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#Reconstruire son couple après une dépression
24hinmymind · 3 months
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Ilyan Hayes
Faut croire en ses rêves
Pour les réaliser.
Pascale Tolotta, véritable Monégasque de souche, fit la rencontre de Lorenzo de' Medici, un jeune homme de la célèbre famille Médicis, lors d'une somptueuse soirée à Monaco alors qu'elle était au début de la vingtaine. Lorenzo, un Italien influent, passait l'été à savourer la chaleur et le charme de la Côte d'Azur. Leur amour fut immédiat et intense, une passion qui poussa Pascale à prendre une décision audacieuse : déménager à Florence après les vacances pour être avec lui.
Cependant, l'accueil de la famille Médicis ne fut pas des plus chaleureux. Issue d'une famille modeste, Pascale devait faire face aux regards critiques et aux préjugés de cette noble lignée, qui voyait leur union d'un très mauvais œil. Malgré ces difficultés, leur amour ne faiblit pas. Peu de temps après son arrivée en Italie, la jeune femme découvrit avec émerveillement qu'elle attendait un enfant. Après seulement trois mois de relation, Pascale apprit qu'elle était enceinte de Lorenzo, une nouvelle qui changea à jamais leur destin et les rapprocha encore plus.
Mais la grossesse se révéla plus difficile que prévu, tant physiquement qu'émotionnellement. La famille Médicis avait des opinions très strictes sur la future éducation de l'enfant, ce qui provoqua des désaccords au sein du couple. Pascale, se sentant de plus en plus isolée et incomprise, sombra lentement dans la dépression. Le couple, autrefois uni par une passion intense, n'était plus que l'ombre de lui-même, une mascarade aux yeux de tous.
La situation atteignit son paroxysme lorsque Gabriel eut deux ans. Pascale, épuisée par les tensions et le manque de soutien, prit la décision déchirante de fuir Florence avec son fils. Elle retourna dans sa petite ville natale de Monaco, cherchant refuge et paix auprès de sa famille et dans les souvenirs de sa jeunesse.
Ce retour aux sources permit à Pascale de retrouver une part de sérénité et de se reconstruire. Malgré les épreuves, le combat de Pascale ne s'arrêtait pas là. Lorenzo, avec toute son influence, réussit à récupérer la garde de Gabriel, ne permettant à Pascale de voir son fils que pendant les vacances. Gabriel grandit donc à Florence, sous l'influence stricte des Médicis.
Avec le temps, Pascale reconstruisit sa vie. Elle épousa Hervé Hayes, un homme aimant et compréhensif, et ils eurent un second fils, Ilyan Hayes, qui pointa le bout de son nez le 7 février 1997 à l'hôpital de Monaco, dans la joie et l'allégresse. Ilyan grandit dans un foyer chaleureux et aimant, passant deux mois par an avec son frère Gabriel. À l'âge de 14 ans, Gabriel, fatigué de l'austérité de son père, décida de s'enfuir pour rejoindre sa mère à Monaco. La loi lui permettait alors de choisir avec quel parent vivre, et il opta pour la douceur et l'affection de sa mère et de sa nouvelle famille.
Ilyan naquit d'une mère monégasque et d'un père américain. Ainsi, l'enfant grandit dans un foyer bilingue. Deux ans après la naissance d'Ilyan, un troisième frère arriva : Arthur. La famille était comblée. Ilyan, dès son plus jeune âge, se montra un enfant aimant, prenant soin des siens. Très tôt, il manifesta un intérêt prononcé pour les voitures. Son père, Hervé, mécanicien passionné, l'emmenait souvent au garage où Ilyan passait des heures à observer, apprendre et aider. Cette fascination pour la mécanique et la vitesse prit une nouvelle dimension lorsqu'Ilyan découvrit le karting à l'âge de 4 ans. Ce fut une révélation qui allait déterminer son futur.
Lors de sa première expérience en karting, Hervé remarqua immédiatement que son fils avait un don naturel pour piloter. Sa maîtrise et sa vitesse sur la piste, malgré son jeune âge, impressionnèrent tous ceux qui l'observaient. Reconnaissant le talent exceptionnel d'Ilyan, Hervé décida de l'inscrire à des compétitions de karting. Très vite, les courses devinrent une part intégrante de la vie d'Ilyan.
Dès qu'il le pouvait, Ilyan passait tout son temps libre sur la piste, perfectionnant ses compétences et repoussant ses limites. Il n'hésitait pas à manquer des cours pour participer à des compétitions, bien que son père restât tolérant à condition qu'Ilyan continue d'exceller à l'école. Et exceller, il le faisait. Ilyan parvenait à jongler entre ses études et ses courses avec brio, démontrant une discipline et une détermination hors du commun.
Les week-ends étaient souvent réservés aux compétitions, où la famille Hayes se rassemblait pour soutenir Ilyan. Pascale, bien qu'un peu inquiète des risques, partageait l'enthousiasme de son fils et l'encourageait à suivre sa passion. Gabriel et Arthur, fiers de leur frère, étaient ses plus grands supporters, présents à chaque course pour l'encourager.
Au fil des années, Ilyan se fit un nom dans le monde du karting, remportant de nombreux trophées et attirant l'attention des scouts et sponsors. Sa progression rapide et son talent indéniable laissèrent présager un avenir prometteur dans le sport automobile. Mais pour Ilyan, chaque victoire était avant tout une occasion de rendre fiers ses parents et de remercier son père pour le soutien indéfectible qu'il lui apportait.
Cependant, la situation financière de la famille devint de plus en plus difficile. Hervé enchaînait les heures supplémentaires pour payer les frais liés aux compétitions d'Ilyan, mais avec trois garçons ayant chacun des passions coûteuses, il devint de plus en plus difficile de tout financer. Gabriel était un artiste passionné, tandis qu'Arthur partageait l'amour d'Ilyan pour la vitesse.
À l'âge de 12 ans, Ilyan pensa devoir abandonner sa carrière naissante, n'ayant plus les moyens de payer sa place dans le championnat. Cependant, un investisseur qui observait Ilyan depuis un moment et qui avait développé une amitié avec la famille Hayes décida d'intervenir. Adorant la famille et croyant au potentiel d'Ilyan, il s'engagea à financer sa carrière, permettant au jeune prodige de continuer à courir.
Plus que jamais motivé, Ilyan devint l'un des talents les plus prometteurs à surveiller. Doucement, l'idée de devenir pilote de F1 s'incrusta dans son esprit. Il rêvait de piloter pour la Scuderia Ferrari, fasciné par leurs voitures et les valeurs italiennes qui lui rappelaient ses propres racines.
Cependant, un tragique accident marqua son adolescence. À l'aube de ses 16 ans, Hervé fut victime d'un accident de voiture causé par un chauffeur ivre. Hervé succomba à ses blessures, laissant Ilyan anéanti. Son père aimant et son plus grand supporteur n'était plus. Hervé lui avait tout appris : la mécanique, les stratégies de course, et même des valeurs à travers des cours de piano.
Pendant plusieurs mois, Ilyan sombra dans la négligence, submergé par la douleur. Ce fut son vieux sponsor qui réussit à le remotiver, lui rappelant que son père aurait voulu qu'il réalise son plus grand rêve.
À l'âge de 18 ans, grâce aux contacts de son mentor avec l'emblématique écurie Ferrari, Ilyan obtint une place chez eux. Il devint rapidement le "prince de Ferrari", admiré pour ses valeurs, sa modestie et son immense talent. Ilyan intégra l'école de pilotes de Ferrari et devint le plus jeune pilote à courir pour la marque. Dès ses débuts, il attira l'attention de la presse et commença à remporter des courses, se battant avec fierté en l'honneur de son père.
Les années passèrent, et Ilyan resta le favori de Ferrari. Depuis sept ans, il était leur pilote phare, affrontant épreuves et moments difficiles avec une loyauté inébranlable envers son écurie. De son côté, Ferrari lui resta fidèle, reconnaissant en lui un talent exceptionnel et un esprit de compétition rare. Leur partenariat, forgé dans les défis et les triomphes, devint un exemple de réussite et de dévouement dans le monde de la F1.
Ainsi, Ilyan continua à gravir les échelons, rêvant de devenir un pilote de course professionnel. Son avenir s'annonçait brillant, et chaque course le rapprochait un peu plus de son rêve. Mais peu importe jusqu'où il irait, il savait qu'il pouvait toujours compter sur l'amour et le soutien inébranlables de sa famille.
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Comment reconstruire son couple après une rupture ? Rituel retour affectif puissant
Comment reconstruire son couple après une rupture ? Rituel retour affectif puissant
Whatsapp: https://wa.me/message/ISCY5 Faire revenir l’être aimé: Le travail d’envoûtement d’amour est un rituel hautement spirituel invocation pour séparer deux personnes, L’envoûtement d’amour consiste à appeler l’esprit de la personne à envoûter et effectuer le rituel sur son esprit. Parfois ce travail de rappel peut s’avérer compliquer lorsque la personne bénéficie d’une protection mystique…
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Peu s'en souviennent, certains l'ignorent (21)
Peu se souviennent de Sarah, propriétaire et architecte d'une étrange maison.
Sarah Lockwood Pardee naît en septembre 1839 dans le Connecticut. Elle devient Sarah Winchester lorsqu'elle épouse, le 30 septembre 1862, William Winchester, héritier de la Winchester Repeating Arms Company. Leur fille, Annie, voit le jour le 15 juin 1866, mais s'éteint quelques semaines plus tard, en juillet 1866. Ce décès plonge Sarah dans une profonde dépression et le couple n'aura pas d'autres enfants. En 1881, William Winchester, frappé par la tuberculose, meurt à son tour. Sarah hérite alors d'une partie de la fortune de la Repeating Arms Company, fortune qui sera consacrée à la réalisation d'un projet fou.
Après la mort de sa fille et de son mari, seule et désemparée, Sarah se met à croire que sa famille est traquée par les esprits. Elle consulte des médiums, l'un d'eux confirme ses soupçons en affirmant que les fantômes de toutes les personnes tuées par des carabines Winchester s'en prennent à sa famille. Pour apaiser les esprits, le médium lui conseille de se rendre sur la Côte ouest des États-unis afin d'y faire construire une maison pour elle et les fantômes et, surtout, de ne jamais cesser les travaux sinon elle risque la mort.
C'est ainsi qu'en 1884, Sarah achète une ferme à San José, en Californie. Durant 38 ans, elle dépense sa fortune dans la rénovation et l'agrandissement de la maison. Les plans sont dessinés par Sarah elle-même qui, chaque nuit, fait appel aux esprits lui dictant les travaux à effectuer. Ces plans sont ensuite remis au maître d'œuvre chargé de les faire exécuter. De 1884 à 1922, année de la mort de Sarah, les travaux ne cesseront jamais, se déroulant 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Dotée de tout le confort moderne (chauffage central au gaz, eau courante, cabinets de toilette, ascenseurs...), la maison comprend 7 étages, 160 pièces, 10 000 fenêtres, 2000 portes, 47 escaliers, 17 cheminées... Pour ne jamais faire cesser le chantier, Sarah Winchester demande à détruire des salles pour en reconstruire d’autres à la place. Dans ce que l'on nomme la Mystérieuse Maison Winchester, il y a des fenêtres donnant sur un mur, des portes s'ouvrant sur le vide ou ne menant nulle part, des escaliers qui conduisent au plafond tandis que d'autres se finissent de façon abrupte. Autre bizarrerie, l'omniprésence du chiffre treize (escaliers de 13 marches, 13 panneaux au plafond de la salle de bal, 13 chandeliers...).
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En 1906, les trois derniers étages de la maison sont détruits lors du tremblement de terre de San Francisco. Sarah se retrouve bloquée dans sa chambre, mais elle n'est pas blessée. Elle meurt dans son sommeil 16 ans plus tard, en septembre 1922, à l'âge de 83 ans.
Photo : @WinchesterHouse
Site officiel de la Maison Winchester 
SARAH WINCHESTER, OPÉRA FANTÔME - Court métrage de Bertrand Bonello
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valeriehervo · 6 years
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Lorsqu’un couple divorce, même le Ciel pleure, dit-on. Un divorce, y compris s’il s’avère être parfois la seule issue, est un déchirement, celui de deux âmes qui auraient dû n’en former qu’une jusqu’à la fin de leurs jours.
Jacob Azeroual, psychothérapeute spécialisé dans le couple, l’enfant et l’anxio-dépression, ne sait que trop bien les ravages que peuvent causer les problèmes conjugaux et un divorce. Par-dessus tout, il ne peut se résoudre à accepter que certains couples n’aient pas été sauvés alors que cela aurait été possible. C’est ce qui l’a poussé à écrire “Couple, clefs pour le réussir” (Maxima, 2016). Désormais disponible en version audible, il accompagne les lecteurs y compris dans leurs déplacements, et devient un guide disponible à tout moment.
Ce professionnel nous donne au-delà des clefs pour le couple, celles de la pensée positive, du bon œil et finalement du bonheur et de la sérénité.
Le P’tit Hebdo: Cet ouvrage est le dernier d’une trilogie: le premier, ”L’amour de soi commence par l’amour des autres”, le second ”Prendre l’enfant par la main” et enfin ”Couple, clefs pour le réussir”. De psychothérapeute à auteur: quel a été votre cheminement?
Jacob Azeroual: Après plusieurs années d’exercice avec comme spécialité, le couple, l’enfant et l’anxio-dépression, je me suis aperçu que le meilleur support pour véhiculer des idées positives était le livre. J’ai commencé par traiter de l’amour, suite à la canicule de l’été 2003 en France. Le fait que 15000 personnes aient pu mourir surtout d’indifférence, m’a choqué. Et quand on met cela en perspective avec l’effet des nouvelles technologies, de ce que l’on appelle très justement les ”écrans”, on s’aperçoit que les gens ne sont plus connectés entre eux, ni avec eux-mêmes. Ce sujet se retrouve aussi dans notre rapport aux enfants et au conjoint. Il m’a paru important d’écrire sur ces sujets. Mes ouvrages sont une sorte de compilations de pensées qui ont aidé des patients à s’en sortir, à aller mieux, et être heureux et sereins.
L’objectif est d’essayer de répandre à travers ces livres des messages d’espoir, de réconciliation, comprendre qu’il n’est jamais trop tard pour réparer, reconstruire…révéler l’humain qui sommeille en tout homme….
Lph: Les chiffres des divorces sont en constante augmentation. Est-ce lié au fait que cet acte se soit ”libéralisé” ou au fait que dans nos sociétés, il est devenu difficile de maintenir son couple?
J.A.: Nous vivons, en effet, dans une société qui favorise l’individualisation. Il existe bien un égoïsme sain, que je suis le premier à défendre. Celui-ci nous enseigne que pour bien s’occuper des autres, il faut d’abord prendre soin de soi. Mais, ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Les problèmes de couple se sont aggravés ces dernières années, y compris au sein de la communauté juive. Nous sommes confrontés à des problèmes de communication, de reconnaissance, de respect de l’autre. Tout est dans la confiance que l’on place dans notre conjoint. A l’origine, le titre de mon livre était ”Je, tu(e), nous”. Ce qui compte c’est le passage du ”Je” au ”Tu” puis au ”Nous” et le piège est quand le ”Je” tue le ”Nous”. Le mariage c’est entretenir un territoire commun. Il est plus facile de détruire que de construire, plus facile de rompre que de souder. Apprendre à se relier, à se rapprocher de l’autre demande en revanche de l’énergie, de la patience, de la créativité, de l’humour, de l’abnégation de soi. Mais c’est dans cet apprentissage que réside le véritable trésor.
Lph: Le divorce semble aussi être parfois la bonne décision.
J.A.: Le divorce est toujours une souffrance, il entraine une dislocation familiale, met en jeu des êtres humains: homme, femme, enfants. Les dégâts sont énormes, c’est pourquoi, il fait faire tout ce qui est possible pour sauver le couple. Mon expérience me permet d’affirmer que, bien souvent, ce que l’on ressent ou que l’on pense être inéluctable, est erroné. On pense que l’absence de lois, de cadre, faire ce que l’on veut, est synonyme de liberté. Une femme ou un homme peuvent penser ne jamais avoir aimé leur conjoint, qu’il ou elle ne changera jamais. Et lorsque l’on frotte un peu, on s’aperçoit que la couche de ressentiments ou de mauvais sentiments s’efface pour laisser la place à la force et la beauté du couple.
Lph: Où est la limite dans ce qui est acceptable pour sauver son couple?
J.A.: Dans mon ouvrage, un chapitre entier est consacré au pardon. Pour moi, l’expression populaire, ”chassez le naturel, il revient au galop” est une bêtise. On peut changer, à condition de le vouloir et de persévérer dans sa volonté de réparer. Je commence, dans le livre, par traiter de l’impardonnable. Oui, certains comportements sont impardonnables, on ne peut pas demander pardon dans tous les cas. Chacun a ses défauts et ses qualités, parfois même un seul défaut peut annuler toutes les qualités.  Tout le reste devient possiblement pardonnable.  Depuis que j’exerce, je me souviens avoir une fois dit à une patiente de divorcer dès la première séance. Sinon, très peu de couples passés par mon bureau en sont arrivés au divorce.
Lph: La plupart du temps, les divorces se transforment en ring. Les conjoints se déchirent, les enfants sont pris en otage et parfois même, l’homme retient le guett. Vous avez écrit un ouvrage pour réussir son mariage, peut-on réussir son divorce?
J.A.: J’ai toujours considéré que l’on pouvait juger la classe d’un homme à sa manière de rompre. Tous ceux qui ont voulu se venger pendant leur divorce, se sont surtout perdus eux-mêmes, ont détruit leur propre vie. Lorsque la thérapie de couple n’a pas fonctionné, alors on doit être capables de se séparer comme des adultes et ne pas utiliser les enfants comme boucliers humains. Il n’est jamais dans son intérêt de casser son conjoint. On ne peut pas revendiquer être une bonne personne quand on adopte ce type de comportement.
Dans notre tradition, le divorce est supérieur au mariage. En effet, le mariage est synonyme de plaisir alors que le divorce demande de l’altruisme pour affranchir l’autre. C’est pourquoi c’est aussi une mitsva de donner le guett. Cet acte est grand parce qu’il témoigne d’un acte d’amour envers l’humain: l’autre doit exister, il doit être respecté en tant qu’être humain. Lui refuser le guett c’est le déshumaniser.
Lph: Quels sont les points principaux pour entretenir voire sauver son couple, que vous traitez dans votre ouvrage?
J.A.: Mon livre sur une vision positive du couple. Il engage à se demander comment réussir son couple, comment se placer dans une dynamique de construction. J’y traite de tout ce qui concerne le couple, depuis la recherche de son conjoint, la vie conjugale (le ”je”, le ”tu”, le ”nous”),  jusqu’à la relation avec l’entourage (voir le chapitre ”Belle-mère”), les enfants et la relation à l’argent.
Lph: Quelle est la force de ces facteurs extérieurs sur le couple ?
J.A.: J’avais un professeur de français qui disait: ”la défaite vient de l’intérieur”. C’est vrai dans les grandes batailles, c’est vrai aussi sur le plan individuel. Si le couple est solide, il sera moins vulnérable aux pressions extérieures. Ceci étant, les couples aujourd’hui doivent faire face, là aussi, à une nouvelle tendance: avant, l’entourage, que ce soit les amis, la famille ou les voisins se mêlaient des histoires conjugales surtout pour réparer; de nos jours, ils poussent le plus souvent à la zizanie. J’explique donc comment se protéger de ces influences, le plus important étant de savoir les gérer sans couper les ponts avec notre environnement familial et social.
Lph: Vous abordez également en profondeur la recherche du conjoint. Finalement ne serait-ce pas l’unique clé de la réussite? Tout se joue-t-il à ce stade?
J.A.: En effet, c’est là que l’on peut trouver la bonne clé. Mais si vous ne la tournez pas dans le bon sens ou si vous ne la mettez pas dans la bonne serrure, elle risque de se casser. En parallèle de mon métier de psychothérapeute, je suis un passionné de chant. Et je sais que si l’on place bien sa voix dès la première note, alors le chant sera, a priori, réussi. Les débuts sont primordiaux. C’est pour cela que je considère aussi de la plus grande importance, le fait de réjouir les mariés. Pour cette raison, aussi, j’encourage les personnes en quête de l’âme sœur à faire le ménage en elle et à penser à ce qu’est l’amour.
L’énergie que l’on insuffle au décollage est déterminante. Ceci étant dit, j’insiste sur le fait que rien n’est irréversible. On peut toujours rattraper beaucoup de choses.
Lph: Finalement, ”Couple, clefs pour le réussir” est-il une thérapie ou un guide?
J.A.: C’est un guide. Son organisation par chapitre, par thème, permet au lecteur d’aller vers ce qui l’intéresse le plus, vers les problématiques qui le préoccupent. Je souhaite donner de l’espoir, montrer que les situations, même lorsqu’elles paraissent insurmontables sont réparables. Si je n’avais pas écrit ce livre, je me serais rendu coupable de non-assistance à personne en danger. Gardons à l’esprit que sauver son couple, c’est se sauver soi-même.
Merci à l’auteur pour ce livre passionnant et plein de bon sens.
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writing-feelgood · 5 years
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Livre 3 - Mai 2017
POURQUOI N’AI-PAS RÉAGI A SE MESSAGE ?
D,
Dans ma vie j’ai toujours avancée avec des œillères, marchant droit devant moi en ignorant les choses aux alentours et ce fut avec surprise qu’au début de l’été 2016 j’ai eu la chance d’avoir une petite chose qui me tombe dessus.
Au cas où tu ne réaliserais pas cette petite chose, ce petit bout… C’était toi.
Niant l’évidence je continuais d’avancer, mais avec un sentiment d’amertume, avec des questions ne cessant de se répéter dans ma tête.
Que m’arrive-t-il ?
Ferais-je une erreur ?
Pourrais-je un jour rejouer au lego sans avoir l’air d’un enfant ?
Ces questions ne trouvant pas de réponse c’est un 18 Aout 2016 où nous étions dans un lis séparé que tu as surement pu entendre venant de nulle part une réponse à ces questions transpercer mes pensées « putain… ».
Le 19 Aout 2016 un matin je me suis dit dans ma tête encore ce même mot, en me retournant la tête afin d’avoir le courage d’avancer, de ne pas laisser passer ce qui pour moi été une évidence, un cadeau.
C’est alors que le courage m’envahissant, mon approche banale liée à la proposition d’un massage sans doute à perfectionné, je me suis mis à tenter l’impossible… Dévoiler mes sentiments, me montrer au grand jour et te montrer que « putain… » n’est pas ma réponse à ces questions, mais plutôt « Je l’aime ».
C’est alors suivis un long câlin qui à peine évoqué me fait retourner dans l’innocence joyeuse et heureuse d’une enfance.
Des jours, semaines, mois se sont écoulés depuis avec ce sentiment de conviction sur nous ne cessant d’avancer prenant une ampleur encore jamais espérée.
De nouvelles questions ont puent voir le jour depuis le début de notre relation.
Est-ce la bonne personne ?
Irais-je au bout d’un rêve avec elle ?
Est-ce que tes morsures incessantes me font-elles vraiment mal ?
La réponse à ces questions est « Oui ».
D nous nous sommes donné pour objectif de combattre ensemble ce dur moment qu’est la distance avec pour seul but le fait de savoir que nous sommes faits l’un pour l’autre, que ce matin d’Aout nous ne nous sommes pas trompé.
Ne gâchons pas ce début d’histoire pour une chose aussi futile… continuons ensemble ce petit bout de chemin qui malgré la douleur qu’elle nous éveille n’est au fond là que pour nous rendre plus fort.
Je t’aime D…
Réagis, ne mets pas notre couple comme une banale histoire déjà vécu. Elle est unique…
C.
Je le regrette depuis maintenant 2 ans... Ça ne m’a pas aidé pour sortir de ma dépression qui s’est déclenché après notre séparation.
J’ai écrit en Août 2019,
Je suis triste qu'il puisse pardonné une fille qui l'a trompé ses sentiments alors que moi j'étais seulement en manque d'affection  parce qu'il était loin, parce que j'étais fatiguée de faire des aller retour à Paris, j'étais fatiguée par mon alternance, de mes études, de mes parents qui se séparaient. Je dois faire avec parce que c'est ma faute. J'ai pas le droit d’être malheureuse et me plaindre parce que c'est juste moi qui a merdé. Alors je dis que ça va tous les jours, j'essaye d'oublier que j'ai gâché ma vie, briser mon cœur en micro particule et j'essaye de me reconstruire. Meme si ça fait 2 ans que C. me dit d'arrêter de penser a lui, je le fais pour lui, j'oublie. Ma dépression est un cumul de chose et a chaque fois que je me releve et que je commence a être heureuse, il me manque. Je ne veux pas l'influencer dans ses choix même si ca serai le bon moment. Je veux des sentiments réelle et pas de la manipulation. Alors je lui laisse faire ses expériences. Les âmes sœurs se retrouvent toujours. Je suis forte normalement et j'oublie vite mais pas Clément. Je savais avant de sortir avec lui que si notre relation se termine ça me détruirait et au moment décisif j'ai oublié. J'ai pas envie de dire que c'est trop tard. Et si ça l'est pour l'amour, je veux pas le perdre en ami parce que c'est la seule personne avec qui je peux parler de tout et il a beaucoup de réponse qui sait me convaincre. Je l'aime beaucoup trop et c'est son bonheur que je privilégie. Donc je ne lui dis pas tout sur mes sentiments parce que je ne veux pas l'influencer et je ne veux pas qu'il me bloque. c'est vraiment très frustrant.
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Novembre 2018
Hello à tous,
J’ai été bien servi le 31 octobre.  Sylvie m’annonce qu’elle est amoureuse de quelqu’un d’autre.  C’est le coup de foudre et la passion totale.
Je tombe des nues et la sensation est comme une chute de saut en élastique mais qui ne se termine seulement pas.
En résumé, ce qu’elle me reproche:  Je suis chiant et pas du tout marrant.
Sylvie a été déprimée pendant de très longs mois, n’était pas forcément agréable à vivre (cfr mes autres textes) et c’était même moi qui voulait rompre car je n’en pouvais plus.
Or subitement, après des mois et des mois de dépression, Sylvie me dit qu’elle commençait à remonter la pente dès le mois de juillet et voilà qu’elle tombe amoureuse d’un autre.
OK.  Alors où ai-je loupé?
Pour Sylvie:
1. je ne l’ai jamais aidé ou soutenu lorsqu’elle était en dépression;
2. je ne l’ai jamais soutenu lorsqu’elle avait une activité, que ce soit pour la galerie d’art, Proximus, Sensyl.
3. je suis toujours cassant.  A chaque fois qu’il y a quelque chose de positif, par exemple, des vacances ou un cadeau que je lui offre, je ne peux m’empêcher d’être juste après cassant et je gâche tout le plaisir.  Un rabat-joie .
4. je suis incapable de donner de ma personne pour les autres.  Il faut toujours qu’il y ait un intérêt.  Jamais je ne fais quelque chose de manière “ludique”.
C’est un petit résumé des reproches fait par Sylvie.
Le fait est que depuis l’annonce de cette nouvelle, je me suis rendu compte que j’aime Sylvie de tout mon coeur et que je ne veux pas la perdre.
Avec ce constat, il ne me reste que de m’interroger et de voir avec une aide extérieure si cela est bien vrai ou non.  Suis-je vraiment ce qu’elle me dit?  Si tel est le cas, je suis un personnage horrible et quelqu’un qui ne mérite pas d’être aimé de quelqu’un.
Sylvie et moi allons voir pour la deuxième fois un thérapeute de couple.  Il me semble compétent et lors de la première entrevue, j’ai eu un bon sentiment.
A la question à ce qu’elle attend des discussions avec le thérapeute, Sylvie a répondu: RIEN
Elle est très amoureuse du gars qu’elle a rencontré en septembre.  Je suis très sensible aux symboles et cela m’a fait mal qu’elle venait de quitter son nouvel amoureux pour me retrouver le jour de mon anniversaire.  Que le jour de son anniversaire, elle a passé du temps avec lui, puis avec moi.
Bref, des trucs de culs qui n’intéressent probablement personne.  
C’est certainement l’occasion de nous parler et de nous dire les choses qui nous frustrées pendant des années et qui ont aboutis au résultat d’aujourd’hui.
Oui, j’ai commis des fautes, et j’en suis maintenant pleinement conscient.  Mais le comportement que j’ai eu, et qui n’est pas du tout dans ma nature, est venu de par des frustrations causées soit par Sylvie elle-même, et par d’autres facteurs tels que les problèmes liés au travail, les enfants.
Progressivement, je suis tombé dans une spirale très négative et ne m’en suis sorti que lorsqu’elle m’a annoncé cette nouvelle.
Je me suis réveillé en tout cas, et je vais faire en sorte qu’on puisse reconstruire quelque chose ensemble sur de nouvelles bases.
L’amour que Sylvie porte pour son amoureux ne partira pas directement.  Il s’agit d’une histoire d’amour impossible, il est marié et ne veut pas quitter sa femme, et Sylvie ne souhaite pas me quitter.
L’idéale pour Sylvie: Rester avec Honoré et moi, dans la nouvelle maison, et être avec Denis.  
Avec le temps, j’espère qu’elle comprendra que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs et que comme moi, il a des défauts.
Je vous tiens au courant lors de la prochaine séance.
A bientôt
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