#apprendre à dire non
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Apprendre à dire NON
Oser dire NON nécessite de se donner le droit de s’opposer à tout ce qui cause du mal, une étape qui peut parfois sembler complexe. Je vous conseille de commencer par travailler sur vous-même avant de vous affirmer face à autrui afin d’acquérir pleinement ce droit. Bien que cela puisse paraître étrange, de nombreuses personnes n’ont jamais été encouragées à exercer ce droit lors de leur…
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Savoir Dire Non sans Culpabiliser (et sans Déclencher de Drame)
😰 Toujours dire "oui" et finir épuisée ? Il est temps de poser des limites sans culpabilité ! 💪✨ Découvrez Comment dire NON et retrouver votre équilibre sans déclencher de drame. Un guide essentiel pour vous prioriser ! 💛 Cliquez ici 👇
Imaginez : votre enfant vous demande pour la énième fois de jouer alors que vous êtes épuisée, ou un collègue sollicite votre aide pour une tâche qui n’est pas dans vos responsabilités. Votre instinct ? Dire “oui”. Parce que vous voulez être une “bonne maman”, une “bonne amie”, une “bonne collègue”. Mais à force de dire “oui”, vous vous épuisez. Les mamans, en particulier, ont cette tendance…
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Apprenez à dire non grâce à ces 12 conseils
Comment dire non ? Et pourquoi ce petit mot est-il si compliqué à prononcer parfois ? Savoir refuser est un pas essentiel dans la construction et l’affirmation de soi. Cela fait d’ailleurs partie des outils à utiliser pour échapper au burnout ou pour s’en relever. Je vous rassure : on peut tout à fait dire non sans passer pour l’égoïste de service ou mettre sa vie en péril. Voici quelques…
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Il y a tellement de choses à dire dans ce chapitre, déjà le fait que Nova affirme haut et fort qu'ils doivent être indépendants. Et je peux comprendre ce désir mais de l'autre, vouloir être indépendant et refuser l'aide des autres pour ensuite s'isoler n'est pas une option non plus pour le bien du peuple. Iruma a choisi la plus sage décision pour l'instant car il veut apprendre à les connaître. Et le fait que justement Mephisto dit qu'Iruma ne doit pas être roi fait sens, je pense qu'il va comprendre par lui même en apprenant à connaître le peuple et aussi Nova. Mais un roi a plusieurs oreilles serait à même de mieux répondre aux besoins des siens qu'un autre démon d'une autre race par exemple. Et du coup Iruma devra choisir un roi mais devra plus faire office de guide et de conseiller donc ça promet d'être intéressant
There's so much to say in this chapter, already the fact that Nova states loud and clear that they must be independent. And I can understand that desire, but on the other hand, wanting to be independent and refusing help from others and then isolating themselves is not an option either for the good of the people. Iruma has chosen the wisest decision for the time being because he wants to get to know them. And the fact that Mephisto says Iruma shouldn't be king makes sense; I think he'll figure it out for himself and with his friends, as he gets to know the people and Nova too. But a king with many ears would be better able to meet the needs of his people than another demon of another race, for example. And so Iruma will have to choose a king, but will have to act more as a guide and adviser, so it promises to be interesting.
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En Inde, on enseigne ; " Les quatre lois de la spiritualité ".
La première dit : " La personne qui arrive est la bonne personne ", c'est-à-dire personne n'entre dans notre vie par hasard, toutes les personnes autour de nous, toutes celles qui interagissent avec nous, sont là pour une raison, pour nous apprendre et progresser dans toutes les situations.
La deuxième loi dit : " Ce qui s’est passé est la seule chose qui aurait pu arriver." rien, mais rien, absolument rien de ce qui s’est passé dans notre vie n’aurait pu être autrement. Même le plus petit détail. Il n'y a pas de " Si j'avais fait ce qui s’était passé autrement ..." Non. Ce qui s'est passé était la seule chose qui aurait pu arriver, et c'est comme ça que nous apprenons la leçon et que nous allons de l'avant. Chacune des situations qui se produisent dans notre vie est l'idéal, même si notre esprit et notre ego sont réticents et non disposés à l'accepter.
La troisième dit : " Le moment où c'est le moment est le bon moment :" Tout commence au bon moment, pas avant ni plus tard. Quand nous sommes prêts à commencer quelque chose de nouveau dans notre vie, c'est alors qu'il aura lieu.
La quatrième et dernière : " Quand quelque chose se termine, c'est fini. " C'est ça. Si quelque chose est terminé dans notre vie, c'est pour notre évolution, donc il est préférable de le laisser, aller de l'avant et continuer désormais enrichis par l'expérience.
Je pense que ce n'est pas un hasard si vous lisez ceci, si ce texte est entré dans nos vies aujourd'hui c'est parce que nous sommes prêts à comprendre qu'aucun flocon de neige ne tombe jamais au mauvais endroit .....
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Eté 1934 - Champs-les-Sims
2/5
!! Ces dialogues ont été écrits pour essayer de retranscrire le niveau de langage d'un enfant de trois ans. Navrée si il n'est pas très clair. Une version plus lisible est dispo en bas. !!
Tu as sans doute déjà remarqué que j'ai également répondu à ta petite soeur. C'est une jeune femme adorable qui a simplement besoin de s'épancher un peu, et je suis contente de voir que cela lui fait plaisir. Je sais que c'est parfois difficile de le faire avec ses proches. Ma propre mère m'a parfois reproché de ne pas assez me confier à elle. Je pense qu'elle aurait aimé davantage de proximité. Il faut dire qu'en face, elle avait Oncle Adelphe, qui avait autrefois une relation presque fusionnelle avec ses enfants, surtout avec Alexandre, ce qui est difficile à imaginer aujourd'hui.
D'ailleurs, il semble qu'Antoine et Ange se soient lancées dans une espèce de compétition de meilleur père en imitant Adelphe. Cela reste amical heureusement. Je n'ai jamais vu des hommes aussi investis dans la vie de leur progéniture. Quand il rentre le soir, Antoine demande à Louise de lui raconter sa journée en détail, et il fait preuve d'une infinie patience pendant que la petite bégaye, bute sur les consonnes ou cherches ses mots pendant de longues secondes. Même Ange n'a jamais eu une telle patience.
En réponse, mon mari s'est lancé à corps perdu dans les études de nos filles et a fait des mathématiques son nouveau cheval de bataille. Cela a valu aux filles les félicitations de Mademoiselle Yvain.
Antoine a surenchérit en faisant apprendre à sa fille des mots comme "prolétariat", "capital" ou encore "Lénine". Louise a encore du mal à prononcer les sons en "l", alors ça a été assez laborieux. C'est une plaisanterie plus ou moins amicale entre Antoine et Ange, le premier reprochant au second son manque de conscience politique. Aurore y a mis fin quand la petite s'est mise à bégayer "Vive le camarade Staline." Ma belle-soeur n'aime pas qu'on répète des choses qu'on ne comprend pas, exactement ce qu'était en train de faire Antoine avec leur fille.
Transcription :
Louise « Puis on a lu l‘histoire et Maman a dit d’aller jouer avec Elisabeth. »
Marc-Antoine « Et bien dis moi, ça en fait une journée bien remplie. Et ça t’as plu ma grande ? »
Louise « Oui. Et Papa y fait quoi au travail ? »
Marc-Antoine « Moi ? Oh, tu sais ce n’est pas très intéressant. »
Louise « Pourquoi tu vas au travail alors ? Maman dit que c’est important ton travail. »
Marc-Antoine « Bon alors si Maman le dit… Et bien, Papa aide les gens. Enfin, il essaie. Mon travail, c’est d’essayer de régler les problèmes au village. »
Louise « Pourquoi ? »
Marc-Antoine « Il faut bien que quelqu’un le fasse non ? Je pense que je suis assez utile. Et puis, Papa veut que tous les gens aillent bien. »
Louise « Tu fais comment ? »
Marc-Antoine « Il faut que personne ne sois dans le besoin. Et dans l’idéal, il faudrait que chacun ait droit à la même chose. Tu sais, comme quand tu prend le goûter avec tes cousines, vous avez droit à la même chose. »
Louise « C’est pas vrai ! Pourquoi moi je peux pas avoir la fourchette ? »
Marc-Antoine « Tu es encore trop petite mais… oh ce n’est pas un bon exemple… Tu es peut-être encore un peu petite pour comprendre. Mais dis toi simplement que Papa veut que tous les gens puissent être égaux et qu’il n’y ait plus ni riches ni pauvres. »
Louise « Et c’est bien ça ? »
Marc-Antoine « Oui, c’est bien. Demande à Maman si tu veux. »
Louise « Maman elle pense ça aussi ? »
Marc-Antoine « Oui. Maman et Papa sont mariés parce qu’ils s’aiment mais aussi parce qu’ils pensent la même chose. »
Louise « … »
Marc-Antoine « Louise ? »
Louise « Maman elle pense que je peux avoir une fourchette aussi pour manger. Alors, tu es d’accord ? »
Marc-Antoine « Petite futée… C’est bien la fille de son père celle-là... »
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Je repensais à je ne sais pas trop quoi. En fait, je n'arrive pas vraiment à savoir pourquoi j'avais ce sentiment. C'est de la nostalgie je crois. Ou peut-être un regain d'intérêt qui cause du manque. J'ai l'impression d'avoir connu peu de monde et encore moins d'avoir vraiment connu, viscéralement je veux dire. J'ai parlé à beaucoup de gens mais en réalité je n'ai jamais vraiment échangé et plongé dans l'univers de beaucoup de personnes. Des fois, ça me peine ce défaut de profondeur et pourtant, c'est quelque chose qui m'effraie parce que c'est fatiguant de bien connaître quelqu'un. C'est sûrement pour ça que j'ai jamais trop su mettre des points finaux, ni développer des relations de malade. Je me suis rarement éprise d'un être, sans parler forcément d'amour ou de sentiments amoureux, je veux dire, j'ai rarement eu une réelle appétence. Peut-être que le seul qui a bénéficié d'un intérêt et d'une curiosité sans faille c'est mon ex. J'avais ce besoin de me nourrir de lui, nourrir dans le sens toujours plus en apprendre sur lui, pas le vider de son énergie comme un parasite. Autrement, les autres personnes qui ont compté et comptent toujours ont eu une évolution linéaire de mon investissement. Peut-être que c'est parce que j'ai senti que j'avais le temps, je savais que ça durerait et que je pouvais prendre le temps de les connaître et de laisser la vie faire. J'avais sûrement trop peur de perdre mon ex pour le laisser filer avec des parts d'ombre, pour ne pas rassasier instantanément mon envie complète de lui, pour ne pas interférer avec le cours normal des choses. J'ai toujours été une personne bizarrement sociable, je ne vais jamais volontairement vers les gens mais ne suis pas fermée à ce qu'ils viennent à ma rencontre. Je ne crois pas avoir été timide dans ma vie, je suis capable de parler avec beaucoup de personnes très différentes et sans réelle difficulté. Pour autant, je ne noue jamais d'attaches. J'ai cette idée que les relations prennent du temps et de l'énergie et que si j'agrandis mon cercle, je pourrai encore moins subvenir aux attentes de ceux déjà là. Par peur d'être défaillante, je m'efface assez tôt dans la relation pour ne pas donner envie qu'on s'investisse avec moi. Le pire, c'est qu'il peut m'arriver de feindre l'étonnement ou l'incompréhension face à ça. J'ai appris, une personne importante après l'autre, à isoler leur impact sur moi. L'impact étant différent pour chaque personne, je pense que c'est adéquat de parler d'apprentissage. Ça fait des années que je me protège de la souffrance potentielle des autres car je me dis que je n'ai pas les épaules pour ça. Je me retrouve quelques fois à suffoquer parce que j'ai créé ma solitude. Je l'ai bâtie avec de grandes et erronées certitudes. C'est vrai que c'est très calme parce que je ne laisse presque aucune personne de mon entourage affecter moi, mes émotions et mes safe places. Je ne sais pas si ça fait de moi une très bonne amie ou partenaire au final. Puis, si je manque d'intérêt c'est en réponse au manque d'intérêt flagrant que le monde reflète à mon égard. Pourtant on ne donne pas à hauteur qu'on reçoit, ça se saurait si c'était une condition sine qua non. D'autant plus que ça pose une question importante : alors qui doit donner envie à qui ? Qui doit commencer en premier pour stimuler l'autre ? Les gens pensent sûrement de la même manière que moi, leur intérêt est décuplé grâce à la valorisation des autres. On ne vit que par ce prisme. À fois triste et à la fois rien de plus humain. Je me sens mortellement seule et il est peut-être temps de m'incriminer dans cette pensée.
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Le message que Richard Bach a souhaité faire passer se résumerait en deux phrases : Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être, et le Paradis n'est pas un lieu où tu peux te rendre; non, le Paradis, c'est la perfection en toute chose.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
« Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson, mais désormais nous avons une raison de vivre : apprendre, découvrir, être libres ! »
« Nous sommes libres d'aller où bon nous semble et d'être ce que nous sommes »
« Tu es libre d'être à l'instant toi-même, vraiment toi-même, et rien ne saurait t'en empêcher. »
« Tu n’aimes ni la haine, ni le mal, c’est évident. Il faut t’efforcer à voir le Goéland véritable – celui qui est bon – en chacun de tes semblables et à les aider à le découvrir en eux-mêmes. »
« Ne les laisse pas répandre sur mon compte des bruits absurdes ou faire de moi un dieu. […] Tu sais, je ne suis qu'un goéland qui aime voler, pas plus… »
« Pour voler à la vitesse de la pensée vers tout lieu existant, il te faut commencer par être convaincu que tu es déjà arrivé à destination. »
« Tu es un être libre et sans limite, aussi parfait qu'un chiffre non retranscrit en nombre »
« Oú va la pensée, le corp suit car telle est la Loi du Grand Goéland »
« Ils suffit d'avoir la conviction absolue que vous êtes un être aussi parfait qu'un nombre imaginé et non retranscrie en chiffre, dans l'espace et le temps.»
« Brisez les chaines de vos pensées et vous briserez aussi les chaines qui retiennent votre corps prisonnier.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Don Juan Matus dans les livres de Carlos Castadena parle également du fait de schifter en se téléportant et bien plus encore. (Livre, Enseignements d'un sorcier yaqui).
« Un déplacement du point d'assemblage au-delà de la ligne médiane du cocon de l'homme fait disparaitre instantannément de notre vue l'ensemble du monde que nous connaissons, comme si il avait été effacé — car la stabilité, la solidité, qui semblent inhérente à notre monde perceptible, ne réside que dans la force d'alignement »
« ...la connaissance du monde que nous percevons nous contraint à croire que nous sommes entouré par des objets, existants par eux memes et comme eux meme, juste comme nous le percevons, tandis que, en faite il n'y a pas un monde d'objet, mais un univer d'émanation »
« le mirage n'est pas dans la solidité du monde, il est dans la fixitation du point d'assemblage sur un endroit, quel qui soit. Quand les voyants déplacent leurs points d'assemblages, ils ne sont pas confronté à une illusion, ils sont confronté à un autre monde ; ce monde nouveau est aussi réel que celui que nous sommes entrain de contempler maintenant, mais la nouvelle fixation de leurs points d'assemblages, qui engendre ce nouveau monde et au meme titre que l'ancienne fixation, un mirage. » (Par fixation -> intention)
« c'est le dialogue interne qui maintient le point d'assemblage fixé à sa position d'origine. Une fois que l'ont est parvenue au silence, tout est possible »
« l'intention est l'alignement de toutes les émanations de toutes les émanations de conscience, il est donc juste de dire que la liberte totale est la conscience totale. La liberte est le Don de l'Aigle à l'homme. Malheureusement, tres peu d'homme comprenne qu'il nous faut acceder à bcp d'energis, pour acceder un Don aussi magnifique. »
« Ce qu'il nous faut faire pour permettre à la magie de s'emparer de nous c'est chasser les doutes de notre esprit. Une fois que les doutes ont disparus, tout est possible.»
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Vous êtes le Soi et le schift n'est que la pure libérté et le fonctionnement de l'univers. Si pas de shift, pas de 3D ! Les deux sont interconnectée.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
La question est : qui shift ? Qu'elle conscience permet cela ? Pourquoi doutez-vous ? Vous.
À travers le shift, vous percevez que vous êtes ni votre identité, corps, esprit. Tous montrent votre puissance. Vous êtes quelques choses de plus haut, de plus abstrait, de plus puissant.
Pensez-vous toujours que vous etes un simple humain si vous pouvez être un chat ? Un sorcier ? Pensez-vous que cela vous limite rééllement ???
Trouvez ce que vous êtes rééllement.
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SolarTale Arc 1 - Chapter 1 : The human in the Underground
(English part below in the post)
Une jeune humaine tombe du mont Ebott après une querelle avec les personnes de son village, elle fait donc une sacrée chute pour atterrir au parterre de fleurs dorées, inconsciente. Après un petit moment, elle se réveille et observe les lieux. Elle ne connaissait aucunement cet endroit, ce qui la fait paniquer.
Chara : Me suis je perdue ? Ho nooon.. comment je vais faire pour retourner au village..
se demanda-t-elle déboussolée et sans moyen de rentrer. Elle se relève alors avec difficulté en se tenant la tête suite à la douleur de sa chute pour marcher et explorer les lieux. Elle traverse une salle sombre avec pour seule lumière, un faisceau lumineux qui se trouve au milieu de la salle, ce faisceau éclairait d'autres fleurs dorées. Après avoir traversé la salle jusqu'au centre, une fleur qui avait l'air animée sort des fleurs dorées.
Flowey : Howdy ! Moi c'est Flowey, Flowey la fleur ! Tu es perdue ? Je vais t'aider à rentrer chez toi !
Cette fleur s'appelle donc Flowey et semble très énergique et joyeuse, Chara qui fait la rencontre pour la première fois d'une fleur qui parle n'y croit évidemment pas, pensant que c'était juste son cerveau qui lui jouait de mauvais tours.
Chara : Bon j'ai dû perdre la boule après la chute..
Flowey se vexe rapidement suite à la réaction de Chara et rétorque
Flowey : Hé ! Non je suis bien réel et faudra t'y faire, tu veux rentrer chez toi oui ou non ?
Chara reprend alors un peu de sérieux voulant bien avoir l’aide de quelqu’un pour sortir d’ici, même si c'était celle d'une fleur.
Chara : Heu oui bien-sûr ! Moi c’est Chara.
Dit elle sans vraiment savoir comment cette fleur pourrait l'aider mais avoir un peu de compagnie ne peut pas faire de mal.
Flowey : Très bien alors en route !
La petite fleur disparaît sous terre et réapparaît en sortant du sol non bien loin, à l’intérieur d’un pot
Flowey : Transporte moi et je te guiderais à travers les ruines.
Chara se rapproche du pot contenant la fleur et le récupère, attendant les instructions de Flowey. Ils se mirent en route, après un petit moment à traverser les différentes salles des ruines et élucider les énigmes avec l’aide de Flowey et de l’esprit pratique de Chara, Chara et Flowey se retrouve devant une maison à l’air chaleureuse. Ils rentrent dedans pour remarquer qu’elle est vide. Ils visitent alors cette grande maison.
Flowey : Hé Chara ! On va se poser ici pour la nuit, tu dois être fatiguée et j’en profiterais pour t’en apprendre plus sur ces lieux
Chara : D’accord faisons ça, je t’écoute
Sentant que les explications allait être longues, Chara préfère s'asseoir sur le fauteuil du salon en posant le pot de fleur contenant Flowey sur un tabouret en face d'elle.
Flowey : Très bien, alors je vais tout d’abord te dire ce qu’est cet endroit. Ici nous somme dans l’Underground, une cavité assez grande en dessous de la montagne de laquelle tu es tombée, pour l’instant nous n’avons pas croisé beaucoup de monstres mais il y a ici des habitants très puissants
Flowey explique en détail alors la légende de la guerre des humains et des monstres ainsi que ce qu’est la garde royale et le roi et la reine de l’Underground à Chara qui écoute attentivement, elle finit par s’endormir sous les explications excessives de Flowey.
Flowey : Je n’ai pas encore vu sa magie, j’espère qu’elle est de taille à survivre ici
A young human falls from Mount Ebott after a quarrel with the people of her village, so she takes quite a fall to land in the bed of golden flowers, unconscious. After a little while, she wakes up and looks around. She didn't know anything about this place, which made her panic.
Chara : Did I get lost ? Ho nooo.. how am I going to get back to the village..
she asked herself, disoriented and without a way to get home. She then gets up with difficulty, holding her head following the pain of her fall, to walk and explore the area. She crosses a dark room with the only light, a beam of light which is in the middle of the room, this beam illuminated other golden flowers. After crossing the room to the center, a flower that looked animated comes out of the golden flowers.
Flowey : Howdy ! I'm Flowey, Flowey the flower! Are you lost ? I'll help you get home !
This flower is called Flowey and seems very energetic and joyful. Chara, who meets a talking flower for the first time, obviously doesn't believe it, thinking that it was just her brain playing tricks on her. .
Chara : Well I must have lost my mind after the fall.. Flowey quickly gets offended by Chara's reaction and retorts
Flowey: Hey! No, I'm real and you'll have to get used to it, do you want to go home yes or no? Chara then becomes a little more serious, wanting to have someone's help to get out of here, even if it was that of a flower.
Chara : Um yes of course! I'm Chara.
She said without really knowing how this flower could help her but having a little company couldn't hurt.
Flowey : Alright then, let's go!
The little flower disappears underground and reappears coming out of the ground not far away, inside a pot
Flowey : Transport me and I'll guide you through the ruins.
Chara approaches the pot containing the flower and retrieves it, waiting for Flowey's instructions. They set off, after a little while crossing the different rooms of the ruins and solving the puzzles with the help of Flowey and the practical mind of Chara, Chara and Flowey find themselves in front of a warm-looking house. They go inside to notice that it is empty. They then visit this big house.
Flowey : Hey Chara! We're going to stay here for the night, you must be tired and I would take the opportunity to teach you more about these places Chara : Okay let's do this, I'm listening
Feeling that the explanations were going to be long, Chara prefers to sit on the armchair in the living room, placing the flower pot containing Flowey on a stool in front of her.
Flowey : Okay, so first I'll tell you what this place is. Here we are in the Underground, a fairly large cavity below the mountain from which you fell, for the moment we have not encountered many monsters but there are very powerful inhabitants here
Flowey then explains in detail the legend of the war between humans and monsters as well as what the royal guard and the king and queen of the Underground are to Chara who listens attentively, she ends up falling asleep under the excessive explanations by Flowey.
Flowey : I haven't seen her magic yet, I hope she's good enough to survive here
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Seule une critique de l’idéologie pourrait permettre au sujet de s’extraire de l’impasse discursive dans laquelle se sont enfoncées les "démocraties occidentales", en prise aux puissants Denkverbot (interdit de penser) que sont:
-L’innovationnisme technologique
-L’écologisme-climatisme
-Le lgbtisme-féminisme
-L’antiracisme…
qui par le surmoi social (Kultur-Überich) qu’ils font peser sur le sujet du discours courant, ouvrent la porte à un fascisme numérique supranational plus toxique, régressif et dévastateur que tout ce que l’humanité a connu jusque là…
L'illustration la plus courante de l'idéologie est probablement celle de Marx, le célèbre "cela, ils ne le savent pas, mais ils le font".
On attribue donc à l'idéologie une certaine naïveté constitutive: l'idéologie méconnaît ses conditions, ses présuppositions effectives, son concept même implique un écart entre ce qu'on fait effectivement, et la "conscience fausse" qu'on en a.
Le but de l'analyse critique-idéologique est donc de détecter, derrière l'universalité apparente, la particularité d'un intérêt qui fait ressortir la fausseté de l'universalité en question: l'universel est en vérité pris dans le particulier, déterminé par une constellation historique concrète…
Mais aujourd’hui, sous la pression persistante du wokisme, qui dans le déni du réel où il se fonde, est à considérer comme la religion païenne sans transcendance des postmodernes qui couvre les Denkverboten cités plus haut, l’argumentation rationnelle n’a plus droit de cité, le discours courant ne dépasse plus le niveau de l’opinion, et toute pensée, tout argument, tout raisonnement sont automatiquement ravalés à une opposition binaire: pro- ou anti–, pour ou contre, -phile ou -phobe. Voilà donc le formidable exploit d’essorage et d’aplatissement des consciences opéré en un peu plus de cinquante ans par l’idéologie libérale-libertaire dont se soutiennent les technologies dites "numériques", le sacro-saint mythe progressiste identifié aux seules performances machiniques du calcul: 0 ou 1.
À l’opposé de cet obscurantisme new-age, pour ceux qui ont appris à compter jusqu’à trois, il y a la découverte freudienne de l’inconscient dont les conséquences restent encore largement ignorées plus d’un siècle après…
La psychanalyse n’est pas à réduire au rang d’une technique destinée à "thérapier le psychique", à son niveau le plus fondamental, l’analyse offre l’expérience de ce qu’il en est — en vérité et dans le Réel — de l’impossible et donc des possibilités de l’ex-sistence humaine la plus radicale, à savoir la sienne.
Que «la société» procède du refoulement et pas l’inverse, voilà la véritable subversion freudienne, voilà le dire de Freud qui est encore loin d’avoir fait son chemin, notamment chez l’immense majorité de ceux-là même qui se réclament de la psychanalyse.
Ce n’est pas "moi" qui m’inscris dans la société mais bien l’Autre qui est toujours déjà là, en moi, non pas sur un mode identificatoire, mais par césure. Je ne suis pas étranger à la société, il y a toujours déjà un étranger qui vit en moi.
Nous sommes disjoints de nous-mêmes, décentrés, déjetés, dégénérés, c'est le sens de ce qui, en psychanalyse, a pris le nom de "castration symbolique", qui est un pléonasme car c’est le symbolique, le langage, qui nous a toujours déjà coupé de nous-mêmes en colonisant notre corps jusqu’à la dernière de nos cellules.
Si nous communiquons avec d’autres, c’est parce que nous ne pouvons pas directement communiquer avec nous-mêmes, nous avons toujours besoin de la médiation de l’Autre.
L’Autre c’est le lieu du langage, le trésor des signifiants.
Pour le sujet humain, ce qui se passe ce sont des mots, c’est le désir en tant que désinence du dire qui fait la loi au sujet, et c’est le langage qui fait la loi du désir.
Le vrai malaise dans la civilisation aujourd’hui, c’est de ne plus apprendre à parler…
La caste des médiocrates au pouvoir, des politiciens professionnels de gauche ou de droite a consolidé son empire par l'emploi d'une langue simplifiée, binaire, proche du modèle informatique.
L'emploi de cette novlangue, hégémonique dans les médias, rend incapable l'accès à la dialectique et donc à la pensée.
Nous ne savons plus parler, nos lèvres sont sèches et les mots sont déjà morts avant de passer la barrière de nos dents.
Apprendre à parler présuppose toujours d'apprendre à lire, puis écrire, et aussi dessiner, composer comme on aiguise une lame, comme on répète des enchaînements pieds-poings, apprendre à parler c'est apprendre à se battre.
Le combat n’est pas un moyen, le combat est une fin.
Comme disait Platon «seuls les morts auront vu la fin du combat.»
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Mon petit astronaute
La fusée ressemble à une tour haricot magique qui touche les nuages, sa base est d’un noir anthracite métallisé, le reste des deux autres tiers sont d’un blanc éblouissant, reflétant le bleu du ciel et le coton des nuages. Elle se tient là, immobile, dans l’attente du fameux décompte transpirant. Les petits hommes s’affairent à ses pieds en la baisant d’ingénieries et de mathématiques complexes, on marche devant les gigantesques réacteurs, on crie sur le chantier de construction.
- Plus que deux jours avant le lancement, dépêchez-vous de souder les dernières plaquettes. -
Le vaisseau pointe vers les cieux, triste de savoir qu’il va partir en petits morceaux pour des petits hommes à la conquête de l’infini. Bientôt le pantin au casque globuleux et à la combinaison matelassée touchera presque tous les petits points lumineux qui brillent dans la nuit noire, bientôt le vent ne fera plus voler ses cheveux vers l’arrière, bientôt il sera le cheveu dans le vide galactique, seul dans sa petite capsule respirant l’odeur de l’espace et du bacon.
Son entrainement était sans faille, la turbine ne lui faisait même plus d’effet, son endurance avait atteint des niveaux “surpantins”, sa boite crânienne complètement saturée de formules, statistiques et rêves. Il est prêt comme jamais, comme la dernière fois sauf qu’ici, ça sera la dernière fois.
Ses portes-mines sont chargés, il a aussi pris des mines de recharges: “On ne sait jamais, il faudra peut-être faire exploser des chars aliens sur la planète XPL-zion ou apprendre leur langue.”
Le D-Day est vite arrivé, la société voulait dire les au revoir à notre petit héros emmitouflé. Conférences de presse, questions-réponses, baisers d’adieu, photos, flashs… Superstar hollywoodienne couverte d’une visière qui reflète le ciel à l’image de son vaisseau.
Trois heures du matin, l’alarme s’enclenche, une main s’effondre dessus pour l’éteindre, il faut se lever tôt pour être un astronaute. Notre pantin enfile ses pantoufles en daim, marche dans le corridor de sa petite maison en bois et fait chauffer son dernier café terrien dans une cafetière style “Moka”.
- Un bon café italien - pense-t-il, - avant les cafés martiens. -
Deux œufs, un avocat, deux toasts au beurre salé, deux tranches de jambon bio et un peu de Sriracha pour ne pas que ça soit trop sec. Il avale son déjeuner doucement, profitant de chaque bouchée car elles seront les vraies dernières. L’excitation du grand départ ne facilite en rien l’ingestion des derniers œufs hydratés mais il faut quand même des forces avant le grand départ.
Une douche froide et trois bâillements plus tard, voici arrivé le moment fatidique: quoi se mettre pour le grand jour? Ses mains balayent les ceintures à la vitesse d’une comète en dérive dans l’espace.
- Pas ça, mmh… Non, non, pas ceci… -
Le choix est difficile et requiert une attention astrale… Jusqu’à l’eurêka vestimentaire: un costume Tom Ford noir profond, si profond que le moindre pli se confond, trou de ver. Marchant avec une fière allure, il sortit de chez lui sans fermer la porte à clé comme si le voyage n’allait durer que 23 secondes, et pourquoi pas ? Les arbres défilaient à toute vitesse sur l’autoroute, il faisait chaud dehors et froid dedans comme il le fera dans la fusée.
Notre ami rentre dans la station, l’ambiance est studieuse et sérieuse. Pas d’agitation avant le grand bond vers l’au-delà, peur de perturber les neurones qui s’entrechoquent pour la grande réussite de la mission à travers les astres. Son défilé bien fringué dans les couloirs est long et émouvant, des souvenirs surgissent devant ses yeux sans aucun contrôle: sa petite maison en bois, sa cafetière, ses bancs d’école d’astronaute, sa penderie pleine de costumes, sa voiture vintage… Quelle vie… Pourquoi vouloir la quitter pour toujours? La réponse se trouvera peut-être dans le noir de l’espace.
Sa combinaison l’attend, elle a été customisée pour l’occasion, blanche éblouissante, écusson de la station brodé avec du fil ciré, coupe cintrée. Morceau par morceau, il enfile sa combinaison, considérant presque son trois pièces comme sous-vêtement. Le confort est palpable, l’excitation aussi.
Une grande porte s’ouvre à ses pieds, quelques pas pour descendre l’échelle, évitement d’une barre pour ne pas se cogner la tête, dernière salutation aux ingénieurs et fermeture du sas. Il est prêt, la tête à 90° face au ciel bleu étincelant et sa concentration au maximum. Allumage des réacteurs, décompte: 6… 5… 4… 3… 2… 1… décollage…
Ses mains semblent rentrer dans les accoudoirs et ses cheveux sont complètement tirés vers l’arrière, rien n’échappe à l’accélération de pesanteur. Jusqu’au moment venu, son corps flotte, il le sent, sa tête lui paraît s’envoler dans les airs, la terre semble déjà être un lointain souvenir. Nous y voilà, dans l’espace, prêts à le conquérir avec notre poussière de navette spatiale. Un son blanc résonne dans ses oreilles, suivi d’une voix enthousiaste:
- Wouhou! Bravo! Tu l’as fait, tu y es, nous perdrons la communication radio dans quelques jours. Dans ce cas, ne prenons pas de risques et dis-nous ce que tu as sur le cœur. -
Sa pensée est claire, nette, précise. Il ne faut pas trop réfléchir et dire ce que l’on a sur le cœur. Une profonde inspiration, un battement de cils:
- Au revoir… Et à bientôt, dans une autre galaxie d’étoiles. -
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Nous sommes en 1990 à Baltimore, Maryland. Un jour, l'enseignante de la maternelle appelle d'urgence Maman Debbie. "Michael ne peut pas s'asseoir, il n'est jamais silencieux, il ne peut pas se concentrer", explique le professeur. "Peut-être qu'il s'ennuie juste", répond Debbie. "Impossible. Démissionnez-vous, votre fils n'est tout simplement pas doué, il ne pourra jamais se concentrer sur quoi que ce soit", explique la femme sans appel.
Le garçon en question, que Michael, dont le nom de famille est Phelps, a 5 ans, il a grandi sans père dans une famille entièrement féminine, avec sa mère et ses deux sœurs, et jusqu'alors il n'a presque jamais mis les pieds dans une piscine. Lorsqu'il le fait pour la première fois, il est tellement terrifié de se mouiller le visage que l'instructeur est obligé de lui apprendre le dos. Michael a un talent inné mais discontinu. Ce n'est pas mieux à l'école. Tous ses professeurs répètent toujours les mêmes choses à Debbie: "Il ne peut se concentrer sur aucune tâche", "il n'est pas adapté à telle ou telle matière", "agace le camarade de classe". Debbie décide alors de le soumettre à une visite spécialisée. Le diagnostic est clair: TDAH ou DDAI, mieux connu sous le nom de trouble déficitaire de l'attention / hyperactivité.
Mais Debbie, en plus d'être maman, est également enseignante et directrice. Et il se met dans la tête pour prouver que tout le monde a tort. "Je savais que si j'avais travaillé dur avec Michael, il aurait pu atteindre tous les objectifs qu'il s'était fixés." Elle travaille en étroite collaboration avec les professeurs de Michael et chaque fois que l'un d'eux dit "il ne peut pas faire ça", elle répond: "Eh bien, que pouvons-nous faire pour l'aider?" Face à ses difficultés mathématiques, trouver un tuteur et une méthode qui suscite l'intérêt de Michael, avec des problèmes de ce type: "Combien de temps vous faut-il pour nager 500 mètres si vous nagez à une vitesse de 3 mètres par seconde?".
Transformez les limites de votre enfant en opportunités. Chaque fois qu'il a une explosion de colère ou de frustration dans la piscine, elle lui donne un signal conventionnel en forme de C depuis les tribunes qui, dans leur langage privé, signifie "se remettre ensemble".
Michael s'améliore à l'école, alors que dans le réservoir, il est déjà un petit requin: à 11 ans, il est plus fort et plus rapide que tous ses pairs qui ont déjà nagé aux États-Unis. Debbie est ensuite convoquée pour la deuxième interview la plus importante de la vie de Michael. Cette fois, elle n'est pas une enseignante de maternelle mais son entraîneur, Bob Bowman. Nous sommes en mai 1996.
"Madame, maintenant je vais vous dire ce qui va se passer," commença-t-il. "En 2000, Michael participera aux essais olympiques. Je ne sais pas s'il gagnera l'appel, mais on en parlera sûrement. Et en 2004, il sera sans aucun doute un athlète qui gagnera des médailles olympiques. Et nous ne serons qu'au début."
Bob avait tort. En 2000, à Sydney, non seulement Michael se qualifierait au 200m papillon, mais il atteindrait la finale, terminant à la cinquième place, touchant le podium et une médaille. Il avait 15 ans. À partir de ce jour, pour les 16 prochaines années, Phelps remportera 83 médailles, dont 66 d'or, 28 olympiques, 33 championnats du monde, dans huit disciplines différentes, devenant, en 2008 à Pékin, l'athlète avec le plus d'or (huit) en une édition de l'histoire des Jeux et, en affichant, le nageur le plus titré de tous les temps, en plus de l'un des sportifs les plus forts de tous les sports ou de toutes les époques.
Ce champion incomparable et icône planétaire était un enfant ayant un déficit d'attention diagnostiqué, comme des dizaines de millions d'autres enfants comme lui dans le monde. Avec la seule chance d'avoir une femme et un professionnel à ses côtés qui ne l'ont jamais jugé ou justifié, mais l'ont poussé à faire ressortir son talent là où les autres ne voyaient que des troubles, de l'inattention et de l'hyperactivité. Elle aurait pu se résigner, comme son premier professeur de maternelle l'avait conseillé. Au lieu de cela, Debbie a décidé de faire quelque chose de bien plus long et de plus fatigant: croire en son fils.
Peut-être qu'aucun de ces millions d'enfants ne deviendra jamais Michael Phelps, mais derrière la stigmatisation d'un diagnostic et d'un jugement incontestable, il y a des gens avec des talents et des capacités extraordinaires dans n'importe quel domaine ou profession. Parfois, ce qui manque, c'est seulement quelqu'un qui veut les voir et les reconnaître. Tout comme maman Debbie.
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Dans la série "je dois tout apprendre à mes parents donc flemme d'avoir des gosses" j'ai dû essayer d'expliquer à ma mère que non, hurler très fort et ne pas laisser les gens s'exprimer, ça n'est pas avoir une discussion mâture et construite et que malgré un désaccord on peut juste parler de façon posée et se dire les choses
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (10.1/15)
Je viens d'aller faire un tour sur la plage et je n'ai aperçu aucun nuage à l'horizon : le ciel devrait être clair ce soir...
Voilà une bonne nouvelle ! Cela va bientôt faire deux semaines que la pluie et ces maudits nuages n'ont cessé de venir ruiner mes expériences !
« Ruiner » ? Allons, ne dit pas cela comme s'il se fut agi de la volonté de quelque élément... Et puis tu as toujours préféré étudier l'astronomie, n'est-ce pas ?
Je ne peux décidément rien te cacher, sœurette...
Qilby… Dis-moi ce qui ne va pas.
Hum ? Comment ça ce qui ne va pas ? Mais tout va parfaitement bien !
Qilby ... Tes yeux... Regarde-moi en face et dis-moi qu'il n'y a rien dont tu souhaites me parler...
Je... Shinonomé, n'as-tu jamais rêvé d'avoir quelqu'un comme toi ?
Comme moi ? Mais toi aussi tu te souviens de toutes tes vies passées : nous sommes pareils... Pourquoi voudrais-je alors qu...
Ne fais pas semblant de ne pas comprendre ! Tu sais très bien de quoi je veux parler ! Je voulais dire... N'as-tu jamais imaginé ce que serait ta vie s'il existait d'autres dragons et d'autres Éliatropes ? D'autres frères et sœurs, qui possèderaient un dofus, comme nous, et avec qui nous pourrions rire, échanger, apprendre et découvrir ! Les autres espèces ont toutes une multitude d'individus dans leurs rangs, mais nous, nous sommes uniques : ce n'est pas normal ! En plus, nous sommes les seuls à être dotés de ces pouvoirs, cette immortalité, ces connaissances... Il doit forcément y avoir une raison à cela, tu ne crois pas ? Peut-être avons-nous été séparés des nôtres par le passé, et que...
Qilby, nous avons déjà eu cette discussion... Moi aussi j'aimerai croire en l'existence de nos semblables, mais ne crois-tu pas que cela serait une peine que de les chercher dans l'immensité de cet univers ?
Tu as sans doute raison... Mais tant que je vivrai... Je ne pourrai pas supporter de rester sans rien faire, sans réponse... de rester seul...
Tu... Tu te sens seul ? Même... Même quand je suis avec toi ? Je ne te suffis pas ?... Tu... Tu ne m'aimes plus ?
Quoi ?! Mais bien sûr que non, Shinonomé ! Je suis ton frère et tu es ma sœur : je ne pourrai jamais te haïr ! Jamais, tu m'entends, jamais je n'aimerai quelqu'un plus que toi ! Simplement... Je me disais que nous pourrions... en apprendre davantage sur nous-mêmes...
Apprendre... Que veux-tu dire ?
Lorsque nous nous sommes éveillés pour la première fois dans ce monde, nous savions déjà qui nous étions, quelles étaient les énergies régissant cet univers, comment parler, écrire, comprendre notre environnement et progresser... Contrairement à tout ce qui vit sur ce misérable rocher, nous n'avons pas eu à souffrir pour acquérir notre place à son sommet. Néanmoins, il demeure une chose que ceux qui nous ont créé ont oublié de nous confier... Notre mission, notre but... Une simple raison d'exister... Aujourd'hui encore je n'ai pas trouvé de solution à tous ces problèmes. Mais je suis convaincu qu'elle se trouve dans ce que nous nommons « civilisation », « société », « communauté » ... « Famille » ...
Frère...
Je sais ce que tu vas me dire, mais sache que je nous considère aussi comme une famille ! Simplement, deux, c'est assez peu en soi...
Qilby, s'il-te-plait...
Non, franchement, je pense que quatre cela serait un bon départ ! Et puis, il faudrait des sexes opposés aux nôtres, afin de diversifier au maximum les avis et points de...
Qilby !!! Les étoiles !
Hein ? Quoi les étoiles ?
Elles... Elles tombent !!!
Shinonomé, reprend ta forme originelle, vite !
Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il se passe ?
Je n'ai pas le temps de t'expliquer ! Je t'en prie, fais-moi confiance : il faut que l'on suive ces météores !
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Shinonomé... Aide-moi, tu veux ?
Avec plaisir mon frère...
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Dis, tu crois que c'est parce que nous en avons fait le vœu qu'ils sont apparus ?
Je ne sais pas, Shin’, mais si c'est le cas, alors nos dieux ne sont vraiment pas à jour dans leurs réalisations de miracles. Et après tout... Je m'en moque bien de savoir d'où ils viennent : pour l'instant, nous avons des choses autrement plus importantes à faire ! Nous aurons tout le loisir d'y réfléchir une fois qu'ils auront de quoi manger et se vêtir !
En effet, je doute de plus que notre cabane soit assez grande pour tout ce petit monde...
Hum... Tu n'as pas tort... Il va falloir agrandir... Mais je doute qu'une falaise soit l'emplacement idéal pour élever des enfants en toute sécurité : si ça se trouve, c'est leur première incarnation !
Alors pourquoi ne pas nous établir ici ? Regarde autours de toi, mon frère, c'est l'endroit rêvé pour...
Pour fonder notre famille...
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Eh bien mon frère, je ne te reconnais plus ! Est-ce donc la perspective de devenir grand-frère qui te réjouit à ce point ?
Non, je trouve juste que le destin a très mauvais goût ! Après nous avoir planté ici pendant près de cinq millénaires, voilà seulement qu'il se décide à nous révéler ce que nous sommes !
Ah oui ? N'étions-nous donc pas Qilby et Shinonomé, avant ce jour ?
Non... Pas qui nous sommes : ce que nous sommes...
Et alors ? Nous sommes...
Les Premiers Nés !
Hey ! Grand-frère ! Grand-frère, regarde un peu ce que Shinonomé m'a offert ! Il est beau, hein ?! Regarde ! Regarde comme il est chouette ! »
Qu’as-tu donc là, Nora ? Oh, mais ne serait-ce pas un nouveau carnet ? Montre-le-moi de plus près… Il est vraiment splendide, Nora, je suis certain que, d’ici peu, il sera déjà rempli de merveilleux dessins…
Oh oui, oui, oui ! Et tu as vu tous ces feutres !? Je n’avais jamais eu autant de couleurs pour dessiner ! Tu imagines un peu tout ce que je vais pouvoir faire avec ?!
Hum, eh, grand-frère ?
Oui, Nora ? Qu’y-a-t-il ?
C’est que… J’ai… Moi… Moi aussi, j’ai quelque chose pour toi ! Je… Je me suis dit que, comme ça, on pourra toujours être ensemble ! Ce n’est pas grand-chose comparé à tout ce que toi et Shinonomé faites pour nous… Mais je voulais quand même que tu l’aies ! J’espère que ça te plaira !
…
Alors ? Tu aimes ? Mina m’a un peu aidé pour l’écriture, Chibi a fait quelques taches d’encre, et Balthazar a un peu tremblé lorsqu’il a signé, mais y’a tout le monde, même Shinonomé !
Oui, tu as raison. Toute notre famille... Merci beaucoup, je…
Je le garderai précieusement…
À l’aide ! Grand-frère ! Grand-frère, s’il-te-plaît ! C’est Chi… hic… Chibi ! Chibi et les garçons !
Yugo et Balthazar sont avec lui ? Où ?! Que s’est-il passé ?!
Shhhhh… Calme-toi, petite luciole, tout va bien se passer… Là, là… Tu n’as plus rien à craindre. Maintenant, dis-moi ce qu’il se passe : où sont-ils ? Qu’est-il arrivé ?
Chibi v-voulait faire une chasse au trésor d-dans la forêt ! Ça avait l’air amusant, alors… Y-Yugo et Balathazar l’ont suivi ! Je leur avais pourtant dit que c’était dangereux, que tu nous avais interdit d’y aller seuls ! Adamaï et Grougal sont partis avec eux, mais… hic… Seul… Seul Grougal est revenu, et… Et il avait des cicatrices partout ! Et du sang ! Il était couvert de sang ! Il… Il va peut-être mourir ! Et Chi… bi… hic… Yugo et G… Glip… hic, eux aussi, ils… !
.
Rassure-toi, ils ne mourront pas. Tout ira bien, je te le promets… Allez-vous réfugier à la maison : Shinonomé vous protègera quoi qu’il arrive ! Prenez soin de Grougal et attendez mon retour
.
Yugo, ne bouge surtout pas !
Mais… Mais … !
J’ai dit ne bouge pas ! Ark- Chier !
Grand frè- !
Non !
Yugo !
.
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ASSEZ !!!
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MEURT !
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NE LA TOUCHE PAS ! NE LA… TOUCHE PAS !!!
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Ne la touche pas… Ne la touche pas…
Ne touche pas à ma famille…
Ne touche plus jamais à ma famille…
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Yugo ! Aller, réveille-toi ! C’est plus marrant là, arrête ! On jouera plus tard, ok ? Mais maintenant arrête, aller, réveille-toi !
Debout Yugo ! Arrête ! J’te promets de plus faire de trucs dangereux ! J’te le promets, tu m’entends !? Alors arrête ! On va rentrer à la maison, d’accord, p’tit frère ?! Alors debout ! J’recommencerai plus, d’accord ?! J’recommencerai plus ! »
Ça suffit, calmez-vous tous les deux : Yugo… Yugo n’est pas mort, pas encore, et ce n’est pas en le maltraitant de la sorte que tu le feras se réveiller.
Mais… Mais pourquoi … !? Pourquoi est-ce qu’il ne bouge plus ?! Il… Il est mort, hein ?! C’est sûr, il est mort et c’est d’ma faute… C’est entièrement de ma faute !
M… Mort ? Non, t’as pas le droit d’dire ça ! Non ! T’as pas le droit !
Allons, calmez-vous, je vous en prie ! Écoutez-moi : notre frère n’est pas mort… Si c’était le cas, alors cela fait longtemps qu’il aurait rejoint son Dofus… Yugo est blessé, très gravement même, et s’il ne reçoit pas les soins adéquats, alors il risque de… Il n’est pas mort, mais j’ai besoin de m’occuper de lui. Sans être dérangé, c’est important. Chibi ? Glip ? Je peux compter sur vous ?
.
Chibi ?
Que- ? Comment … ?
Ne cherche pas à comprendre : accepte-le.
.
Oh, Déesse, je… Oh, pardonne-moi Yugo… C’est, tellement… froid. Je ne pourrais pas effacer ce qu’il s’est passé, mais je peux peut-être… Je peux… Je peux… Je dois… Aller, Yugo... Reviens-nous, reviens-moi… Réveille-toi, Yugo !
C'est bientôt fini... Encore un peu de temps... Yugo, je t'en prie, donne-moi encore un peu de temps, et je pourrai te... Non ! Pas maintenant... Yugo, pitié...
.
Je... l'ai terminé ! Le re...
Retard tu es en retard ! Comment oses-tu te présenter ainsi devant Yugo alors qu'il est sur le point de mourir ? Sais-tu seulement depuis combien de temps tu n'es pas sorti de ton maudit laboratoire ???
Une... Deux semaines... Peut-être trois ?
Six !!! Cela va faire bientôt un mois et demi que tu vis comme un rat dans son trou ! Regarde-toi : pâle comme un spectre, la blouse maculée, les cheveux en bataille et la peau empestant le formol ! Tu ne mérites pas de te présenter devant lui ! Tu...
Ça suffit Chibi ! Qilby voulait juste aider notre ami. Il a fait de son mieux pour que Yugo reste encore un peu parmi nous, pour qu'il arrête enfin de souffrir !!! Il est juste arrivé tr...
À temps... Il est arrivé juste à temps...
.
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Je ne dois pas être beau à voir, n'est-ce pas ? Mais vu la description de Chibi, tu me ferais presque de la concurrence ! Haha-Karf ! Oh, non, s’il-te-plaît, ça ne sert à rien de te lever... Kof... Je vais... bien... Et garde ton remède, ce serait gâcher que de l'utiliser sur moi... maintenant.
.
Bah... Il fallait bien que ça m'arrive, et je serai bien stupide de me plaindre. Je vais réintégrer mon dofus, et alors moi et Adamaï nous... Qilby, tu ... ?
Oui. Excuse-moi, c 'est juste que... J'aurais préféré arriver plus tôt.
Et moi j'aurais préféré que tu n'assistes pas encore à l'une de mes morts.
.
.
Promets-moi de m'en reparler une fois que je serai... revenu
Je te le promets.
Ah et… Grand frère ?
Oui, Yugo ?
J'aimerai... une histoire...
Une histoire ?
Oui... Comme celles que tu me racontais pour m'endormir... J'adore tes contes et fables, Qilby, alors... Avant que je ne parte... Est-ce que tu...
Bien sûr, oui… Laquelle voudrais-tu entendre ?
Toutes... j'aimerai toutes les écouter encore une fois...
Héhé, comme tu voudras, petit frère. Hum, alors… Il était une fois...
Ces dernières semaines ont été très éprouvantes, mais il ne s'agit pas là d'une excuse : j'aurais dû faire plus attention à ceux qui m'entouraient. Cela ne se reproduira plus. Dis-moi, qu'as-tu fait durant mon absence ?
J'ai fini d'étudier les manuscrits que vous m'aviez confiés, je me suis entraînée à la réalisation de décoctions contre les maux de gorge et de ventre, j'ai recopié des planches anatomiques en réserve, j'ai mis à jour le carnet de visites, et... Ah oui ! J'ai aussi arrosé les plantes de la serre principale !
Parfait... Tu sais, parfois je me demande ce que je ferai sans une élève aussi intelligente que toi... Pense tout de même à te reposer et à sortir de temps à autre, d'accord ?
Ce conseil sonne étrangement faux à mes oreilles... De la part d'un insomniaque chronique, doublé d'un misanthrope invétéré, c'est assez exceptionnel pourtant !
Sieur Chibi ! Mon maître est fatigué : il souhaiterait se reposer. Je vous demanderai donc de par...
Laisse-le passer. Tu… Tu peux y aller Dérelian.
Elle a du répondant cette petite... J'aime ça ! Tu as eu l'œil quand tu l'as choisie. Quand je pense que le mien n'est même pas capable de différencier l'orichalque de l'iridium, ou de concevoir un Wak'atalyseur digne de ce nom... Même toi tu te débrouillerais mieux...
Je vais prendre cela comme un compliment. Cependant, c'est elle qui m'a choisi... Je n'avais nullement prévu d'avoir un apprenti.
Ah oui ? Cela est pourtant contraire aux lois : « Tout Premier né devra, au cours de sa cent-cinquantième année d'existence, porter son dévolu sur un membre de son peuple pour lui transmettre ses connaissances, sa philosophie et son savoir-faire. Ainsi, malgré la mort de ses gardiens, le peuple Éliatrope saura être à l'abri de tout malheur, attendant sereinement leur retour... ». Monseigneur J'ai-la-mémoire-longue n'aurait-il plus assez de place dans son petit crâne pour retenir cela ?
Tu sais très bien ce que je pense de ces fameuses "lois"... Dérelian est l'unique survivante de l'épisode de Purpura ayant ravagé les terres de l'Ouest, il y a dix ans. Son traitement fut l'un des plus longs et difficiles que je n'ai jamais opéré. D'ailleurs elle en porte encore les marques aujourd'hui...
Humpf... Maintenant que tu en parles, je me souviens qu'on avait passé une semaine entière à survoler les alentours pour brûler les restes. Ah Déesse, cette puanteur ! Pendant deux mois, j'étais au bord de l'écœurement à chaque fois que je voyais le moindre morceau de viande !
Vraiment ? Deux misérables mois face à l'éternité, je compatis à ta douleur. Et si tu ne peux comprendre la mienne, alors essaye au moins de compatir à la sienne : elle avait tout perdu : ses parents, sa petite sœur, ses amis, son village... Je ne pouvais pas l'abandonner...
Surtout après avoir échoué à sauver ceux qu'elle aimait, pas vrai ? Tu sais, je crois que tu devrais arrêter de te torturer l'esprit ainsi. Tu n'es pas responsable de ces désastres... Et cela vaut également pour la mort de Yugo.
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Ne t'arrive-t-il jamais de te demander pourquoi tu tiens tellement à aider les autres ? N'essaierais-tu pas seulement d'apaiser tes remords ?
Pourquoi ? Ma foi... Pour ne pas reproduire les mêmes erreurs que ceux qui nous ont condamnés à vivre ici, pour permettre à un semblant de bonheur d'exister, pour aspirer à une certaine forme de justice et d'équité... Pour que chacun ait droit à une seconde chance...
Hum... Noble cause... Avec un soupçon de mauvaise foi, mais noble cause quand même... Bien que tu mériterais de passer au rang d'impie pour ainsi dénigrer la Déesse et le Grand Dragon.
Ne l'étais-je pas déjà ?
Si, mais cela m'ennuierait de condamner mon rat de laboratoire préféré. D'ailleurs, ma vie serait bien morne si je ne pouvais plus m'amuser de tes expériences farfelues...
De subtiliser mes instruments...
De mettre de la craie dans ta blouse...
Et du pili-pili dans mon thé...
Tu t'en souviens aussi ?
Question stupide...
Ah, que de bons souvenirs... Ça fait du bien de parler du bon vieux temps, non ? Je suis certain que nous en rirons encore dans plusieurs années !
Vieux ? La dernière de tes gamineries remonte à trois j...
Enfin, je ne suis pas venu pour cela. J'ai à te parler… Suis-moi.
~ Fin de la partie 1/3 du chapitre 10
Formule d'amnésie ?
Temporaire pour ce qu'elle va vivre durant les prochaines heures, permanente pour ce qu'elle éprouvait... Je n'avais pas le choix. Si je ne l'avais pas fait elle aurait fini par se laisser dépérir.
Je ne te reproche rien : j'avais essayé de la convaincre... Sans succès : lorsqu'elle désire quelque chose, il est difficile de la faire s'en détourner. Je l'avais prévenu que son amour ne pouvait pourtant pas... Enfin...
.
.
Que vas-tu faire maintenant ?
Je vais attendre la fin de la Veillée, puis je partirai vers les Rocheuses Incarnates. Avec un peu de chance, Chibi ne comprendra notre destination que lorsque nous aurons mis assez de distance entre nous et le Siège du Conseil. Mais avant ça... je vais m'allonger un peu.
Besoin de te reposer ?
Non... De me souvenir...
.
Mais tu as raison, frère, cela ne se peut. Personne ne peut être un dieu... C'est pour cela qu'il n'en existe pas... Sur terre, il n'y a que des dragons, des Éliatropes... Et des démons...
Personnellement, j'aurai employé « damné » ! Quoique « déchu » n'est pas mal non plus...
Efrim ? Que me vaut le déplaisir de ta visite ?
Déplaisir ? Aurais-je fait quoique soit t'ayant porté préjudice, très cher ?
Ne fait pas l'innocent, s'il te plaît... C'est toi qui a révélé mes projets à Chibi, n'est-ce pas ?
Ahh... Qilby, on ne peut décidément rien te cacher... Ta quête est trop périlleuse, mon frère. Je souhaitais avertir Mina, mais Chibi m'a surpris devant le Sanctuaire. Je n'ai pas pu échapper à l'interrogatoire... Je ne pensais pas qu'il pouvait être aussi...
Terrifiant ?
Bel euphémisme...
Merci.
O-on ne tiendra pas très longtemps !
Non ! Je peux- !
Qilby, tu es le seul à connaître l’antidote ! Si tu meurs maintenant, nous sommes tous condamnés ! Alors sauve-toi, frère… Maintenant !
.
.
Ce n’est pas un fossile… T… Trois paires d’ailes, un abdomen recourbé, des pattes plus longues que la moyenne et une excroissance au niveau de la tête… Caligo Saltatrix. M-Mais cette espèce… Elle n’est pas censée avoir disparue !
.
Une impression négative… Une telle empreinte ne devrait pas être possible… Même avec nos connaissances actuelles, les flancs ne devraient pas être aussi nets ! Cette puissance… Elle dépasse tout ce que j’aurai pu imaginer… Elle dépasse tout ce que nous avons pu apprendre et construire en dix mille ans… Je… Elle…
.
.
Elle me dépasse…
.
Hey ! Vous : lâchez mes frères !
Qilby… ?
Eh bien, t’en as mis du temps à arriver, le rat de laboratoire !
Attention !
Enfants d’Erasme -Cette Folie- Arrêter
Attends, c’est moi où le gros tas de ferrailles vient de…
Non, tu ne rêves pas. Il a… Il a parlé.
Je vois donc, ce symbole-ci, «
», se prononcerait « Ko - ha ». Et il signifie… ?
Dans votre langue, paix est la signification de ce mot.
Ah ! Intéressant… Comme c’est intéressant ! Notre système de langue repose sur une base phonologique, mais la vôtre est davantage… sémantique ?
Oui, cela est une bonne interprétation !
Hé, hé, je n’ai qu’à remercier mon éminent professeur.
Émi-nent ?
Hum, eh bien… Quelqu’un de… grand ?
Mon corps ne fait que moins de sept coudées.
Oh, je v-voulais dire « grand » dans le sens de, disons, « sage » ou « savant » ? Ce n’était absolument pas avec l’intention de- !
et non pas :
je comprends ! Un même mot pour plusieurs sens, voilà qui est ingénieux pour une race aux représentations aussi complexes.
Race… ?
Ce mot est-il une…
Insulte ? Pardon je vous demande !
Oh, non ! Pas du tout, je… ! C’est juste que…
…
Non, ça ne fait rien. Simplement… Je suis également heureux d’avoir pu vous rencontrer. Vous et… votre race.
Peut-être alors… Communauté ?
Haha, va pour communauté !
.
.
Sûrs -Vous- Être ?
Absolument. Si vous acceptez de ne pas étendre votre « récolte » au-delà des limites de la forêt, alors nous ne voyons aucun problème à votre accueil sur nos terres.
Mon Peuple -Reconnaissant- Être
Bien que -Amusant- Croire -Une planète entière- Posséder
Hum ? Je… suppose que pour des voyageurs tels que vous, se déclarer propriétaire de landes et rivières doit paraître quelque peu… incongru ?
Une belle expérience -Voyager- Toujours -Être-
Ça, je n’en doute pas un seul instant.
Autre question -Enfant de l’Étoile Bleue- Avoir ?
Oui, en réalité je… Je suis assez étonné.
…
Vous, les… Enfants d’Érasme ? Vous vous désignez tous comme faisant partie de la même race, mais pourtant vous… êtes si différents les uns des autres. Aroh, qui est intervenu en notre faveur et avec qui je, disons, travaille le plus, est celui qui -sans offense- s’exprime le mieux. Il a la même taille que nous autres, si… petit par rapport à vous ou même à Méthyl, votre technicien !
…
Sans compter, Irhode, qui possède autant de bras qu’un chêne a de racines ; vous me direz, cela doit être plutôt pratique pour sa fonction ! Quant à Culi et Merur, je n’ai jamais vu deux créa- personnes agir de concert comme eux.
…
Et enfin, il y a Orgo… Orgonax, c’est bien cela ? Je… Je crois ne jamais…
Ta question -Quelle- Être -Enfant de l’Étoile Bleue ?
Oh ! Désolé. Eh bien, je…
…
Je me demandais simplement… Comment êtes-vous parvenus à, disons…
Problème -Pas évident- Être
Mais -Conseil- Peut-être -Je pouvoir- Offrir
Je…Oui ?
Enfant de l’Étoile Bleue -Intelligent- Être
Chacun -Sa place- Chercher
Et parfois -Jamais- Ne trouver
…
Enfants d’Érasme -Parents- oublié Avoir
Mais alors… ?
Mais -Jamais- Corps -Faillir devoir
Si -Engrenage- Casser
Alors -Machine- Mourir
Chacun -Sa place- Avoir
Sinon -Tous- Leur place -Perdre
…
Je… Je crois, oui.
Tous les membres de votre communauté ont leur rôle, et, par cet équilibre, vous êtes parvenus à fonder une… famille en quelques sortes. Une communauté.
Ainsi, Irhode, Méthyl et les autres servent chacun à une forme d’entretien, Orgonax, Erium et Zyinc à votre « récolte » d’énergie… Et Aroh, par sa recherche du contact avec les autres espèces, pourrait être associé à… Au cœur peut-être ?
Intelligent -Enfant de l’Étoile Bleue- En effet -Être
Oh ! Je, hum… Merci ? A-yé ?
Haha, il me reste encore pas mal de choses à apprendre je crois…
.
Mais dites-moi ?
Demande -Enfant de l’Étoile Bleue
Qilby, juste… Qilby suffira.
Bien -Qilby-
Puis-je… ? Puis-je également vous demander votre rôle ?
Réponse -Aisée- Être
.
Zinit -Le Voyageur- Être
~ Fin de la partie 1/4 du chapitre 10
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N°1753 – Jeudi 11 février 2021
Beaucoup croient que le bonheur vient de l'extérieur. Beaucoup pensent qu'il suffit de posséder des biens matériels pour arriver à se sentir bien. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il se leurrent. Le bonheur ne vient pas si nous possédons plus que le voisin. Il ne vient pas quand on ne fait aucun effort de notre côté et que l'on en demande beaucoup des autres.
« Le bonheur vient de la capacité à ressentir profondément, à apprécier simplement, et à penser librement. »
- Storm Jameson -
Les biens matériels contribuent au bien être à un certain degré. Dire le contraire serait un mensonge. Ceci dit, chacun y voit à sa façon. Il y a des personnes qui vont se sentir bien avec beaucoup d'objets, quels qu'ils soient, et d'autres vont se sentir plus léger, plus libre s'ils possèdent peu. Pourtant, miser tout son bonheur là-dessus, c'est risqué. Au cas échéant, nous ne sommes pas satisfaits et nous en voulons toujours plus, jusqu'au jour où nous devenons comme lassé. C'est un peu comme si, sur une course de chevaux, nous misons tout sur le même cheval. Cela réduit nos chances de gagner. Là, c'est pareil. Nous risquons et nous diminuons nos chances d'être heureux, si nous misons que sur notre bien-être matériel pour cela. Le jour où tout disparaît, que nous reste-t-il ?
Ça commence à l'intérieur de nous. Gérer les doutes, les mauvaises réflexions. Arrêter de se rabaisser sans cesse et commencer à prendre, peu à peu, confiance en soi. Le but n'est pas de tout arrêter, car cela est presque impossible. Ne jamais douter, ne jamais avoir des pensées négatives, c'est comme nier le côté obscur qui se trouve en nous. Il vaudrait mieux l'accepter, apprendre à le gérer et aussi, augmenter tout ce qu'il y a de positif en nous. Tout ça, ça sera déjà un très bon début. Les efforts se feront connaître d'eux-mêmes. Le bien-être psychologique est une des choses les plus importantes, pour être heureux et bien dans ses baskets. Tout aussi important que la santé. Qu'elle soit mentale ou physique. En prenant son temps et en travaillant tous les jours, nous pouvons dompter notre esprit et acquérir une paix antérieure, qui nous est propre. Elle ne sera pas totale. Elle se fera avec le temps. Même si nous traversons des moments difficiles, cela ne veut pas dire que tout disparaîtra au moindre malaise.
Nous finissons au bout d'un moment par vivre une vie comme nous le souhaitons. Nous finissons par ne plus nous cacher derrière des biens matériels, ou même pire, derrière es illusions. Être soi-même est une des finalités. Elle permet de vivre et d'organiser son existence en fonction de nous et non de la société ou de notre entourage. Nous nous ne sommes plus influencés par qui que ce soit. Cela devrait faire partie de notre apprentissage. On devrait tous suivre des cours pour apprendre à nous connaître, durant l'adolescence, qui est une période si difficile pour beaucoup d'entre nous. Nous serions plus à même de faire face à la vie, qui n’est pas toujours aussi simple qu'on l'imagine. Ces cours nous permettraient de ne pas passer à côté de l'essentiel : S'écouter. S'aimer. Se faire confiance.
« Au fur et à mesure que je modifie mes pensées, le monde autour de moi se transforme. »
- Louise L. Hay -
Depuis plusieurs années, j'ai arrêté de penser que ce sera les autres qui m'amènerait le bonheur. J'ai arrêté de penser qu'il fallait que je me cache et que je me fonde dans la masse, au risque de m'en prendre plus dans la tête. Comme si c'était une protection sûre et fiable. J'ai arrêté de penser que les autres penseraient à moi, à ma place et que je pourrais m'occuper des autres, avant moi. J'ai arrêté de ne faire qu'exister, maintenant, je vis. Rien n'est parfait. J'ai des moments de doutes, des moments d'angoisses. J'ai des hauts et des bas, comme une grande partie de la population. C'est notre cerveau qui fait cela. Il a des mécanismes automatiques qui, parfois, nous font plus de mal que de bien. Cela peut se régler. Mais malgré cela, même si tout n'est pas rose, je me sens bien avec moi-même. Je me sens en paix avec la plupart des choses qui réside en moi. J'ai façonné mon esprit. J'ai changé sa façon de percevoir le bien-être. De voir qu'il peut venir d'ailleurs, notamment de l'intérieur. Je l'ai fait évoluer à fin qu'il regarde la vie, mon existence d'une autre manière. C'est tout aussi bien de voir les choses sous un autre angle. Nous pouvons prendre conscience de beaucoup de choses. Des choses qui ne sont pas toujours flagrantes de suite. Mon bonheur passe en priorité dans ce que je ressens. Mes envies réelles et fondées. Cela passe en priorité dans ce que je vis et avec qui. Désormais, grâce à tout ce travail, je pourrais rester seule avec moi-même. Cela ne me dérange pas. Même quand mes pensées négatives me submergent, je sais que, même si c'est très dur sur le moment, et que je n’ai personne à qui en parler, je pourrais y faire face.
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J'ai juste besoin de lui ; rien ne sait compter plus que lui. J'ai besoin de le voir sur la table, à se faire comprendre pour avoir des croquettes ; et puis miauler, parce qu'il sait bien faire maintenant, et miauler parce que ça va pas assez vite ! Je veux le retrouver tout mouillé et que monsieur attend qu'on l'essuie parce que quand même, il va pas se sécher tout seul ! Je veux le sentir frétiller sous la serviette et ronronner même un peu ; et puis le voir descendre de la table, avec sa démarche de danseuse et réclamer à sortir encore, alors qu'il pleut et que je viens de l'essuyer ; de quoi je me plains, c'est un honneur de recommencer ça toutes les dix minutes !
J'ai besoin de le prendre dans mes bras, de l'embrasser partout sur la tête et le sentir serein, bien posé, sentir son tout petit poids relâché, là, dans le creux de mes bras. Même qu'on ronronne un peu mais pas tant, mais je sais que chez lui c'est énorme, qu'il a appris y'a même pas si longtemps ! Parce qu'il s'arrête jamais d'apprendre à être heureux, de comment c'est d'être un petit chat ; un jour, il ira vraiment pour préférer un carton à n'importe quoi d'autre dans une pièce... En attendant il est décidé qu'il dormirait à tel endroit et puis c'est tout ! J'aurais beau le ramener dans le lit, non non, il part directement pour se mettre dans le coin le plus inconfortable de la baraque ! Vraiment sa spécialité ça, alors qu'il a cent autres endroits où se mettre, tous mille fois plus confortables que ça !
Ouais, il a encore beaucoup à apprendre ; il m'impressionne toujours autant, parce que maintenant il fait des progrès de géant ! Alors qu'il est effrayé par les gens, il parvient à leur donner sa confiance maintenant, parce qu'il me croit, parce qu'il me voit aimer et que si j'aime la personne, il peut y aller aussi ! Il a ce grand coeur qui demande que ça dans le fond, comme avec Osiris ; le supporté pas au début et finalement c'est devenu son meilleur pote, à miauler derrière lui pour être sûr qu'il rentre quand on vient ouvrir la porte, qu'on y voit que du feu à se dire que c'était Marvel et en fait non !
Je veux qu'il revienne me faire râler ; en montant sur mes épaules ou sur mes cuisses quand je suis sur le pc ; à dormir sur mes côtes la nuit, à m'obliger de me réveiller un peu pour bouger sans l'écraser ; à le tenir d'une main tout en me tournant, en râlant dans mon sommeil avant de me rendormir, tandis qu'il se réinstalle en s'en fichant bien que je râle !
J'ai oublié ce que c'est, de vivre sans lui.
Parce qu'il m'a fait vivre pour lui.
Parce qu'il a vécu pour moi.
J'ai peur que cette journée se termine. J'ai peur de me réveiller demain. J'ai peur de me dire que ça fera déjà une journée sans lui. J'ai peur. J'en veux pas, de tout ça.
Je voudrais juste retrouver sa chaleur tout contre moi.
Comment on se remet de la perte de son ange gardien ?
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