#afin de me rassurer ?
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lolochaponnay · 3 months ago
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Une très jeune fille se rend à la pharmacie avec une ordonnance pour la pilule. Elle dit au pharmacien : - C'est la première fois que je vais prendre la pilule. Pouvez-vous me conseiller une marque qui ne présente pas, ou peu, d'effets secondaires ou indésirables, s'il vous plaît ? - Je vais vous donner la marque "Restouté". Ma femme en prend depuis 20 ans, et n'a jamais eu de problème. - Ah...très bien. Mais me serait-il possible de parler un peu avec votre femme, afin de me rassurer ? - Oui, je vais vous la chercher. Mais ne la retenez pas trop longtemps, car elle a beaucoup de travail, avec nos douze enfants!
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empiredesimparte · 1 month ago
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⚜ Le Cabinet Noir | N°26 | Francesim, Palais des Tuileries, Paris, 9 Fructidor An 230
In a historic televised address, Emperor Napoleon V, unexpectedly, decides to temporarily hand over power to his beloved wife, Empress Charlotte, thereby instituting a Regency. This unexpected announcement surprised the French public, who had anticipated hearing about the first political actions of his reign. To reassure the nation, Napoleon explains that the Empress will be supported by a trusted council, led by Imperial Prince Henri, who will ensure the continuity and greatness of Francesim.
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⚜ Traduction française
Dans une annonce télévisée historique, l’Empereur Napoléon V, contre toute attente, décide de céder temporairement le pouvoir à son épouse bien-aimée, l’Impératrice Charlotte, marquant ainsi la mise en place d’une Régence. Cette déclaration inattendue a surpris le peuple français, qui attendait plutôt les premières mesures politiques de son règne. Pour rassurer la nation, Napoléon indique que l'Impératrice sera épaulée par un conseil de confiance, présidé par le prince impérial Henri, qui veillera à la continuité et à la grandeur de la Francesim.
(Napoléon) Français, françaises,
(Napoléon) C’est avec un profond sentiment de responsabilité et de dévouement envers notre grande nation que je m’adresse à vous aujourd’hui.
(Napoléon) Je veux servir la Francesim avec discernement. Pour cela j’ai, comme les Empereurs avant moi, bien des conquêtes à faire.
(Napoléon) Afin de répondre à toutes les exigences qu’implique mon rôle, j’ai pris la décision de parfaire ma formation militaire à l’Ecole Navale.
(Napoléon) J’ai la ferme conviction qu’elle sera bénéfique à tout l’Empire et renforcera notre position sur la scène internationale.
(Napoléon) Durant cette période, je crois satisfaire l’opinion publique, en même temps que j’obéis à mes sentiments pour l’Impératrice, en la désignant comme Régente.
(Napoléon) L’Impératrice sera assistée par un Conseil composé d’hommes ayant ma confiance, le prince impérial Henri à sa tête. Ensemble, ils travailleront pour la grandeur de la Francesim
(Napoléon) Montrons qu’une nation où règne la confiance résiste aux emportements, et que, maîtresse d’elle-même, elle n’obéit qu’à l’honneur ou à la raison
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selidren · 22 days ago
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
5/5
Quand tu me parles de tes séjours à Kingston puis de ta visite de Montréal, j'ai l'impression que tu as une sorte de vie mondaine. J'aimerai bien voyager un peu un jour. Le nom de Montréal a quelque chose de très évocateur pour moi et j'ai demandé à Ange de me ramener un livre illustré de Paris la prochaine fois qu'il ira y faire un séjour. Pour revenir sur la question du français au Canada, j'en ai discuté avec Grand-Mère, et elle m'assure que c'est déjà un sujet qu'évoquait ton grand-père autrefois avec ma grand-tante Lucrèce. Je pense qu'il devait être aussi révolté que toi. Je suis assez surprise de toutes ces règles, mais étant française et francophone, je ne sais pas ce que c'est que de parler une langue minoritaire dans son propre pays.
Je suis également surprise que Grand-Mère se rappelle du contenu d'une lettre vieille de plus de trente ans. Je pense qu'étant donné son âge, c'est une sorte de miracle que cela arrive si tard, mais elle montre de plus en plus de problèmes de mémoire et elle est parfois désorientée. Oncle Adelphe a voulu se montrer rassurant, mais je vois bien qu'il est aussi inquiet que moi. Il lui arrive même de descendre en chemise de nuit à présent. Tante Rose m'a bien assuré que la Eugénie Le Bris d'autrefois se serait coupé un bras plutôt que de franchir le seuil de sa chambre ainsi vêtue et elle se souvient bien des remontrances quand elle faisait de même. Grand-Mère va avoir cent-sept ans cette année. En revanche, elle n'a rien perdu de son caractère opiniâtre ni de son sens aigu de l'observation.
J'espère que tes affaires se porteront comme tu le souhaites. Je voulais simplement que tu saches que je suis là pour t'aider au besoin.
Avec mon amitié,
Noé
P.S. Je viens de relire la première question que tu me poses. Non, ma cousine n'a pas la moindre idée de ce qui m'est arrivé. Comme tout le monde, elle croit que les jumelles sont d'Ange. Anna est rousse, mais c'est un trait commun chez les Le Bris. Je ne pense pas que ça vaille le coup de briser sa propre vie en lui en parlant, sachant qu'elle attend leur premier enfant (il s'agissait alors d'une fausse alerte). Oncle Adelphe veille au grain, le faire suivre partout où il va, afin d'épargner à sa fille la moindre infidélité. Je sais que tu ne penses pas à mal, mais j'aimerais à l'avenir que tu évites de parler de lui, car c'est une blessure qui me fait toujours atrocement souffrir et que je préférerais oublier une bonne fois pour toutes pour me consacrer à mon entreprise, mon mari et mes filles.
Transcription :
Eugénie « Qu’attends-tu mon garçon ? »
Marc-Antoine « Rien de particulier. Vous ne deviez pas aller vous reposer ? »
Eugénie « C’est ce que j’ai dit oui. Mais je me disais peut-être que tu pourrais monter avec moi et me faire la lecture pendant que je me repose. Tu es désœuvré et tu erres sans but depuis un moment, au moins tu seras occupé. »
Marc-Antoine « Vous avez peur que je m’ennuie ? »
Eugénie « Non, tu as toujours trouvé de quoi occuper tes mains et ton esprit. Mais ces derniers temps, j’ai remarqué que tu importunais souvent Mademoiselle Laroche. Elle a son travail à accomplir et tu lui fais perdre du temps. »
Marc-Antoine « Je n’avais pas l’impression d’être à ce point dans ses pattes. »
Eugénie « Et pourtant si, alors tu vas monter avec moi et me lire quelques chapitres du livre de ta sœur. Et quand tu auras fini, nous lirons un peu la Bible tous les deux. »
Marc-Antoine « La Bible ? »
Eugénie « Oui, le Chant de Salomon. Cela fait longtemps que je ne l’ai lu et je pense que tu pourrais en tirer quelques enseignements fort à propos. »
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camisoledadparis · 7 days ago
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saga: Soumission & Domination 314
Côme devient Bi et Ludovic me présente ses parents
Plusieurs semaines plus tard, alors que Côme est entré comme membre actif des Escorts hétéro, pour le plus grand plaisir de déjà deux de mes plus fidèles clientes et pour leur plus grand plaisir selon leurs retours, il demande à me voir.
Quand il arrive et que je le reçois au 4ème, il me demande si ça ne me dérange pas d'aller au bureau du 1er.
Je lui demande s'il a eu un problème avec la cliente. Sa réponse négative, si elle me rassure coté travail, m'inquiète plus coté personnel !
Je le fais assoir et lui demande si tout va bien. Je m'assure qu'il n'est pas mécontent de ce qu'il perçoit pour ses prestations et que notre relation avec son frère n'est pas en cause. Réponses négatives à tous ces points.
J'attends donc qu'il se décide à me dire ce qui ne va pas. En attendant qu'il se décide je fais 2 cafés et lui en tends un. Ce n'est que quand il l'a fini qu'il se lance.
Il commence par me remercier de l'avoir mis sur le coup et qu'il m'est très reconnaissant de ce qui lui arrive. Je lui dis que c'est réciproque et qu'il fait merveilles auprès des clientes.
Il me dit que justement il craint de me décevoir. Comme je ne vois pas en quoi et que je lui en fais la remarque, il se lance.
Il m'explique que faire du sport 2 fois par semaine avec mon groupe, ça l'avait méchamment travaillé et qu'il avait envie de céder à Jona et François mais que ce faisant, il allait rompre le contrat moral qu'il avait pris avec moi comme quoi il était hétéro car c'était pour ça que je l'avais embauché.
J'éclate de rire. Sans que ça le vexe, je vois bien qu'il ne comprend pas ma réaction.
Je le rassure et lui dis qu'il n'a de contrat que de " prestater " pour ma boite. Que ce qu'il fait par ailleurs, à condition que cela ne remette pas en cause sa santé et par ricochet celles de mes clients, cela ne regardait que lui. Il s'en défend et avance que je ne l'aurais probablement pas embauché sinon.
Là, je lui fais remarquer qu'il dit quand même une grosse connerie étant donné que mon secteur client gay est beaucoup plus développé ! Effectivement il prend conscience de l'énormité de sa réflexion. Je résume pour lui : il est en train de s'apercevoir que certains mecs ne le laissent pas indifférent et que ça le trouble étant donné qu'il était sûr d'être hétéro à 200%.
Il me dit que c'est tout à fait ça et qu'en plus c'est sur Jona et François qu'il flash ! Comme ils sont en couple, ça le gène de s'immiscer entre eux. Même si ces derniers l'ont assuré que cela n'aurait aucune incidence pour personne. Je contourne mon bureau et pose mes fesses contre le plateau alors qu'il est devant moi prostré dans le fauteuil. (Enfin, prostrer un corps comme le sien c'est pas évident !).
Je le lève et lui relève la tête afin d'avoir ses yeux dans les miens. Je lui demande où il a bien pu trouver que s'il allait baiser avec Jona et François, cela mettrait en péril nos relations professionnelles et même personnelles ?
Je l'avais prévenu qu'il allait subir un siège en règle de la part de mes escorts, il avait oublié cela ? Que si je m'en doutais, cela voulait dire aussi que ce n'était pas de mon ressort mais qu'il était libre de vivre comme il le souhaitait.
Il tombe dans mes bras et 85Kg, c'est pas rien ! Il me dit que Jona et François sont des mecs vraiment bien, ce dont je ne doutais pas une seule seconde, que ce sont les seuls qui le font bander grave mais que ça l'effraie aussi.
Quand je lui dis qu'il aurait pu demander conseil à son frère, il me fait aussitôt jurer de ne rien lui dire.
Je le vois encore tourner autour du pot. Je sens bien qu'il n'en a pas fini. Nouveau silence puis il se lance. Il me dit qu'il est vierge coté cul et qu'il n'a jamais fait de pipe de sa vie. Il craint que sa première fois se passe mal et qu'il ne déçoive Jona et François.
Sous ses dehors de " grosse brute ", se cache un véritable mec sensible et prévenant. Ce dont je ne doutais pas vu son comportement avec Ludovic.
Je lui conseille de leur dire que ce sera sa première relation homosexuelle et de les laisser gérer. Je connais mes hommes, ils sauront faire en sorte qu'il en redemande !
Du coup il accepte l'apéro avant de rentrer chez lui.
Il profite du moment et que Ludovic ne soit pas là pour me parler de ses parents. Ludovic leur a tout déballé l'autre matin au petit déjeuner familial. Comme quoi il est homo, qu'il a rencontré un garçon qui lui plait (il n'a pas eu l'inconscience de dire deux garçons, un c'est déjà pas évident à faire passer), qu'il passera plusieurs nuits par semaine avec lui. Et que c'est comme ça que leur second fils est heureux.
Il me dit que ç'avait coupé court à toutes les discussions en cours. Le premier à avoir réagi est leur petit frère de 16ans qui lui a demandé qui c'était son mec, s'il le connaissait. Puis ses parents l'ont questionné pour savoir s'il était sérieux en leur disant ça. Devant l'assurance de leur fils ils ont dû convenir qu'il leur disait la vérité. Leur mère lui a dit que pour elle, ça ne changeait pas le fait qu'il était et resterait leur fils quelques choix qu'il fasse dans la vie mais que s'il pouvait éviter de virer mauvais garçon, cela la rassurerait quand même. Leur père les a surpris par le fait qu'il s'est inquiété du fait que le chemin de vie qu'il s'était choisi n'était pas simple et qu'il se mettait d'emblée des bâtons dans les roues.
Une fois la conversation terminée, Ils ont dit à Ludovic qu'ils souhaitaient rencontrer le jeune homme qui a fait craquer leur fils.
PH est plié en deux de rire. Il me dit que j'ai du pot que cela ne me soit pas arrivé avant. Mais le milieu d'où sont issus mes autres escorts n'est pas le même aussi.
Je demande si c'est indispensable. Côme me répond que si je veux pouvoir continuer à voir son frère et à l'héberger quelques soirs par semaine, j'avais plutôt intérêt à pointer mes fesses chez eux. J'essaye de refiler la corvée à PH. Il se défile et me dit que c'est mon choix que d'avoir placé Ludovic comme plus qu'un de mes simples escorts dans notre vie et donc que c'était à moi de m'y coller.
Pour m'encourager, Côme me dit qu'il sera présent ce soir là pour nous soutenir tous les deux.
Quand il est parti, j'appelle Jona et lui fais part de notre conversation pour Côme bien sûr. Il me dit qu'il lui avait déjà dit tout cela mais que Côme ne les croyait pas. Je lui dis juste de faire attention que c'est un puceau avec les mecs. Quand il me répond de ne pas m'en faire et qu'ils s'en doutaient avec François, je sais que je peux avoir confiance, je leur laisse bien ma mère après tout !
Rencontre des parents de Ludovic et Côme.
Je suis invité à l'apéritif le vendredi soir qui suit notre conversation. Je me change au moins trois fois avant d'y aller. PH est plié de rire de voir mon comportement. Il me dit que je n'avais pas autant stressé quand j'avais rencontré les siens. Je lui dis que j'étais jeune et inconscient à l'époque (il y a 3 ans déjà).
Finalement je reste en Jeans (de marque) et passe un blazer par-dessus un polo à manches longues. Style détendu mais classe, ce que j'imagine devoir convenir dans le milieu rural évolué. Je prends la 300C moins m'as-tu vu que la SLS.
Quand j'arrive, Ludovic est dehors avant que je ne mette un pied sur le sol. Il m'embrasse sur la bouche et me dit qu'il avait négocié ça avec ses parents. Je le remercie, c'est moins brutal comme contact. Il ajoute de ne pas faire attention à son petit frère qui est d'une curiosité maladive envers moi et me dit que Côme est là.
Je le suis, pénètre dans une entrée où trône une tête de cerf impressionnante. Vaut mieux ne pas être WWF ici ! Je le suis jusqu'au salon. Ses parents se lèvent pour m'accueillir. Je prends la main de madame et me penche légèrement dessus. Celle de monsieur est ferme sans être conflictuelle. Côme me salut et le petit frère se permet de m'embrasser sur la joue pour la provoque je pense. Ce qui lui vaut un regard noir de son père.
Je n'en mène pas large et pourtant j'ai rencontré des personnes autrement plus importantes qu'eux, mais aucune dans ces circonstances. Intérieurement je maudis PH de ne pas avoir accepté la corvée. Le père me sert un Martini (faut garder les idées claires ce soir) alors qu'il prend un whisky bien tassé.
La conversation est neutre, études, famille. Madame me demande si je suis de la famille d'Emma X. Je confirme que c'est ma mère. Elle manque de s'étouffer vu notre différence d'âge (entre ma mère et moi). J'ajoute rapidement qu'elle m'a adopté quand mes propres parents sont décédés. Excuses de sa part, je minimise l'impact. Mais j'ai l'impression que ça me rends plus " sympathique ". Le père entre dans le vif du sujet. Il me dit qu'il me trouve gentil mais que nous sommes jeunes, surtout Ludovic. Ludo se récrie que ce n'est pas une raison pour ne pas savoir reconnaitre les sentiments quand ils se développent entre deux êtres. J'ajoute qu'effectivement nous le sommes mais que c'est aussi le moment des expériences, des essais pour savoir nos véritables natures. Que je suis conscient que Ludovic pourrait me quitter d'ici quelques temps même si ce n'est pas ce que je souhaite. J'accepte le défi. Il me répond que ce n'est pas un jeu. J'ai loupé !! J'argumente sur le fait que je suis là pour son fils parce qu'il me plait énormément, que j'ai de forts sentiments pour lui et que c'est réciproque. C'est pas évident de se dévoiler comme ça devant des inconnus !! Surtout quand le petit dernier sort " ils sont amoureux ". Ce qui lui vaut d'être éjecté de la salle.
Je rappelle que j'ai 25 ans et que je suis conscient du trouble que je provoque dans cette maison. J'ajoute que si cela n'avait pas été moi, cela aurait été un autre, la nature de leur fils n'étant pas de leur ramener une gentille jeune fille.
Côme entre dans la conversation. Il dit à son père qu'il connaissait les penchants de son frère depuis leurs apparitions et qu'il ne l'avait encore jamais vu aussi épanoui et heureux que depuis qu'il me connaissait. Il doit avoir l'oreille du père car cela clos la discussion. Elle repart sur des banalités jusqu'à ce que la mère m'invite à diner. Côme me fait un signe d'accepter et je m'excuse pour m'isoler et appeler PH. Bref résumé, il me dit qu'il dinera seul que ce n'est pas un souci qu'il a pas mal de travaille. Je l'aime ce mec !
Au diner le petit dernier est de retour mais il a dû être briefé car il se retient de sortir des vannes vaseuses. Dans la discussion, quand le père apprend que je suis déjà dans le conseil d'administration des sociétés de ma mère, cela me pose. Et du coup quand Ludovic demande plus de liberté quant au fait de découcher du nid familial, il obtient satisfaction sous conditions qu'il réussisse tous ses partiels. J'assure qu'étant moi-même encore en 4ème année d'école de commerce, je veillerai à ce qu'il ne les loupe pas.
Quand je les quitte, on ne se tape pas dans le dos (c'est pas le genre) mais il règne entre nous une entente cordiale. Malheureusement Ludovic ne me suis pas !!
Il sera avec nous le soir suivant. Racontant à sa façon le diner de la veille à PH. Là, je m'aperçois qu'il a beaucoup d'humour.
La rencontre avec Marc s'est passée idéalement. Mon mec a craqué devant son physique et Ludo s'est adapté avec un naturel suspect. Je saurais plus tard qu'il avait cuisiné PH pour ne pas faire d'impairs avec Marc.
Notre première nuit à 4 s'est terminée au matin, tous morts de fatigue et les couilles sèches. Heureusement qu'on était un vendredi soir ! Je crois bien que Ludovic s'est fait enculer par chacun d'entre nous et qu'il nous a tous pompé au moins une fois. Après sa prestation, les 22x6 de Marc ne lui ont pas posés de problème. Nous n'avons jamais été deux couples cote à cote mais un quatuor en train de faire l'amour. Je me suis surpris à penser que Marc était même beaucoup plus doux avec Ludovic qu'il ne l'avait jamais été avec nous autres (PH, Ernesto et moi). Une nuit de folie où les caresses ont succédé à des enculages de folie, me rappelant par bien des aspects les retours d'Ernesto à la maison, quelques cm en moins mais la douceur en plus. J'ai adoré mon 69 avec Ludovic alors que Marc m'enculait et que PH faisait de même à mon partenaire. Tout comme lorsque c'était moi qui l'enculait alors qu'il se faisait celui de PH pompant Marc. Je pense qu'on a dû tous juter au moins 4 fois dans la nuit. Ce qui est sûr c'est qu'on n'a pas débandé pendant des heures.
Au déjeuner du lendemain (petit, déjeuner sauté), Marc me dira combien notre choix l'avait ravi. Encore plus que tous ceux que je lui avais ramené exception faite de PH et Ernesto bien sûr.
Jardinier
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alexar60 · 1 year ago
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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kamomille9 · 2 years ago
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 6
Bonjour à toutes et tous !!
Je sais j’ai tardé à poster ce nouveau chapitre mais grâce à @ladychoco je me suis mis un bon coup de pied aux fesses ! Et le voilà 😉
J’espère qu’il vous plaira, j’ai hâte de lire vos commentaires.
Bonne lecture.
Chapitre 6 : La Réalisation
Arthur Pendragon n’était pas connu pour être un homme patient. Que ce soit pour attendre des nouvelles de son ex-femme, ou pour tolérer le nombre incalculable d’abrutis étant venus demander sa main à Léodagan, c’était tout bonnement pareil. Le Roi de Bretagne avait les nerfs à vifs. Une semaine sans aucune nouvelle, pas une lettre pas un mot… Il pensait que Guenièvre aurait au moins pris la peine de rassurer ses parents… Cela dit, cela ne devrait pas le surprendre puisqu’elle ne les avait même pas informés de son départ. Alors, quand Angharad vint le voir pour lui dire qu’elle avait des nouvelles, il se dit qu’il était bien bête de ne pas avoir pensé à elle plus tôt.
_ Le seigneur Perceval m’a envoyé une lettre, dit-elle, la porte de la chambre du Roi juste ouverte.
_ Entrez !
_ Il dit qu’il se trouve chez la tante de Madame …
_ La sœur de Léodagan ?
_ Il semblerait… Le seigneur Perceval ne sait pas écrire, c’est l’oncle de Madame qui l’a aidé à la faire… Je doute que Madame soit au courant de cette initiative…
_ Vous avez sans doute raison… Elle sait que si elle révélait sa position, tous ces idiots qui frappent ici depuis quatre jours iraient directement la voir.
_ Et en quoi cela dérange Monsieur que Madame ait des prétendants ?
Arthur lança un regard noir à Angharad. La jeune femme avait toujours eu la langue bien pendue, il ne devrait pas en être surpris. Pour autant, il n’avait pas de conseil à recevoir d’une femme même pas foutue de faire comprendre ses sentiments à Perceval. Il préféra donc ignorer sa question et la congédia sans ménagement.
_ Monsieur devrait bien réfléchir… car s’il veut récupérer Madame, il ferait mieux de le faire pour les bonnes raisons et pas simplement parce que d’autres hommes se sont, eux, aperçus que Madame était digne d’être aimée et non trompée et humiliée à longueur de temps.
La servante prit alors ses jambes à son cou, n’attendant pas la réponse du roi. Elle savait qu’elle avait dépassé les bornes mais il fallait qu’il comprenne qu’il ne pouvait plus jouer comme il le faisait… S’il voulait vraiment refaire de Guenièvre sa reine, elle devait s’assurer que les choses seraient différentes pour sa maîtresse. Elle ne devait pas revenir si le Roi comptait ne rien changer à son comportement.
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C’était difficile à admettre mais Angharad avait raison. Le Duc d’Armorique était venu rencontrer Léodagan afin de lui demander la main de Guenièvre. Un de plus ou un de moins, après tout quelle importance, son ex-beau-père les avaient pratiquement tous fait fuir. Seulement, cette fois, Léodagan avait reçu poliment le jeune homme d’environ trente ans. Grand, des cheveux châtains et des yeux verts, il aurait pu charmer n’importe quelle dame du royaume. Toutefois, ce n’était pas n’importe quelle dame du royaume qu’il voulait courtiser mais bel et bien l’ancienne Reine… et cela faisait du mal à Arthur de le reconnaître mais il était un parti tout à fait convenable. Le roi de Carmélide devait être du même avis car il avait reçu le prétendant avec une politesse qu’il ne lui connaissait pas… En effet, attiré par l’appât du gain et par l’idée d’emmerder royalement Arthur, Léodagan avait pris soin d’écouter attentivement la demande de ce duc bien sous tous rapports. Ne rester maintenant qu’à savoir où se cachait Guenièvre… Une information qu’Arthur décida finalement de garder pour lui…
Après tout, n’avait-il pas le droit de faire comme bon lui semblait ? Il était le Roi non d’un chien ! C’est alors qu’au détour d’un couloir désert, il entendit une conversation des plus instructives :
_ Elle est enfin partie, nous devons en tirer avantage ! chuchotait Démétra, face aux autres maîtresses du Roi.
_ On est bien d’accord mais maintenant que c’est fait qui serait en droit de prendre sa place ? demanda Aelys sur le même ton.
_ Nous avons œuvré pendant trop longtemps pour exacerber tous ses défauts auprès du Roi ! Il nous faut agir sans perdre de temps ! Pour ma part, je suis celle ayant été avec le Roi le plus longtemps donc je suis la mi…
_ Attendez un instant ! Pourquoi devriez-vous passer en priorité ?
_ C’est vrai ça ! Si vous étiez vraiment aussi forte que vous le prétendez le Roi n’aurait jamais pris d’autres maîtresses après tout ! s’exclama fermement Tumet, soutenant sa sœur.
_ Je ne vous permets pas ! Et puis, je n’en ai rien à faire de votre avis ! Je suis persuadée de gagner et puisque vous ne voulez pas l’admettre, lorsque je serais Reine j’aurais le pouvoir de me débarrasser de chacune d’entre vous !
_ Comme l’ancienne Reine vous voulez dire ? demanda sarcastiquement Azénor, sous le ricanement des autres pintades de mes deux.
_ Non pas comme l’ancienne Reine puisque nous avons fait tout ce que nous pouvions pour que jamais il ne la touche ! Nous avons eu de la chance qu’elle soit conne comme une chaise et que lui préfère notre compagnie à la sienne ! On a juste eu à maintenir la situation en l’état… Mais quand je serais Reine, je m’assurerai qu’il reste bien dans mon lit comme j’ai toujours su le faire malgré votre présence à toutes !
Sur ces dernières paroles, Démétra s’éloigna de ses « amies », passant juste à côté d’Arthur sans le voir…
_ Va falloir la jouer serrée… On ne peut pas la laisser faire…
_ Arthur aura toujours besoin de maîtresses, même si elle arrive à ses fins. Elle est bien trop sûre d’elle ! Rien ne dit qu’elle gagnera cette guerre…
_ J’ai entendu dire qu’Arthur voulait récupérer Guenièvre…
_ Pfff… Alors ça, je n’y crois pas une seule seconde ! Elle l’a toujours dégoûté ! Cela n’aurait aucun sens qu’il veuille la récupérer !
Tour à tour, elles acquiescèrent. Sachant pertinemment que, de toute manière, elles avaient tout fait pour entretenir ce dégoût. 
_ Et bien mesdames, que la meilleure gagne !
-o-
En retournant à sa chambre, Arthur était mortifié. Comment avait-il pu s’enticher de toutes ses hypocrites, sournoises et mesquines ? Des opportunistes, voilà tout ce qu’elles étaient ! Il savait que quand d’autres auraient mené la vie impossible à ses maîtresses, Guenièvre n’avait eu envers elles que de la bienveillance… Jamais elle n’avait mal parlé de ou à ses maîtresses… Elle aurait été en droit de le faire… Mais elle ne leur avait offert que de la gentillesse et en retour elle n’avait le droit qu’à leur hypocrisie et leurs moqueries…
Non, il ne pouvait pas tolérer cela. Il n’avait pas besoin de ça, d’elles dans sa vie. Elles se croyaient indispensables et irremplaçables. Il comptait bien leur montrer qu’il n’y avait qu’une seule personne dans ce cas : celle qui était déjà partie.
Angharad avait raison. S’il voulait récupérer sa femme, il fallait le faire pour les bonnes raisons et il devait procéder à certains changements afin de mériter son retour. Il devait tout d’abord se poser toutes les bonnes questions. La première : que voulait-il de Guenièvre à présent ? Sa présence, sa gentillesse, sa compréhension… Il y avait autre chose mais il n’était pas prêt… Était-il seulement capable de l’aimer…
La deuxième : était-il en mesure de renoncer à la promesse faite à Aconia ? Voulait-il faire évoluer sa relation avec Guenièvre et lui accorder enfin la seule chose qu’elle avait jamais voulu ? Aimerait-il avoir un héritier avec elle ?
Il se souvenait parfaitement des mots qu’elle avait prononcé avant de partir : « Je ne peux plus accepter d’être humiliée jour après jour, année après année en sachant que jamais vous ne m’aimerez comme moi je vous aime. »
Les choses avaient-elles évoluées pour lui ? Était-il réellement sûr de pouvoir et vouloir changer son comportement ne serait-ce que vis-à-vis d’elle ?
Ses paroles résonnaient dans sa tête depuis plus de six jours maintenant : « J’ai besoin d’être aimée mais aussi d’aimer en retour ! ».
Il ne pouvait pas changer du jour au lendemain. Il le savait mais pouvait-il fournir des efforts et considérer cette femme pour ce qu’elle était : un trésor précieux et inestimable, la seule personne de tout ce foutu pays à n’avoir jamais voulu profiter de son statut et à avoir fait l’erreur de tomber amoureuse de l’homme et non du Roi qu’il est ?
La réalisation le frappa alors aussi soudainement qu’un éclair. La réponse à toutes ces questions était définitivement bien trop simple : Oui. Car elle en valait la peine. Elle méritait qu’il se batte pour elle comme il aurait toujours dû le faire dés le premier jour. Ce ne serait certainement pas facile. Il devrait se jeter corps et âme dans la bataille mais il était prêt. Il la voulait, la désirait mais surtout souhaitait l’aimer comme il aurait toujours dû l’aimer.
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Le lendemain, Arthur convoqua chacune de ses maîtresses dans la salle du trône. S’il voulait prouver sa détermination, autant commencer par cela. Il avait convié Léodagan, Séli, Bohort, Karadoc et Mévanwi à assister au spectacle qu’il allait donner, ceci dans un seul et unique but : faire comprendre à chacun que sa décision était sincère mais surtout irrévocable.
Démétra, Aélis, Azénor, Tumet et Azilis entrèrent ensemble dans la salle. Elles arboraient toutes un grand sourire qui ravie Arthur. En effet, afin de leur donner la leçon qu’elles méritaient, il avait fait en sorte que les personnes ayant été les prévenir leur fassent miroiter une nouvelle de la plus haute importance pour chacune d’entre elles.
_ Bien. Je pense qu’il est inutile de vous faire patienter plus longtemps. Je vous ai fait venir afin de vous annoncer une nouvelle de la plus haute importance. J’ai pris une grande décision.
Les cinq femmes le regardaient avec un immense intérêt et une impatience à peine contenue, tandis que les autres personnes conviées se demandaient dans quelle merde le Roi allait-il les mettre ce coup-ci.
_ Je souhaite ardemment que… Toutes les cinq… Vous vous cassiez d’ici en vitesse !
Dire qu’ils étaient surpris serait un doux euphémisme.
_ Mais Sire… Je ne compr…
_ Vous n’avez absolument pas besoin de comprendre Démétra ! J’ai simplement décidé que la comédie avait assez durée. Vous n’êtes pas à votre place ici. Vous ne l’avez jamais été et ne le serez jamais. Il est grand temps que je cesse de repousser la seule et unique femme digne de siéger à mes côtés. J’en profite pour demander solennellement au roi et à la reine de Carmélide la main de leur fille. Et pour que ce soit bien clair, si par malheur Guenièvre décide de refuser ma requête, ce dont elle aurait tout à fait le droit, je ne veux aucune autre femme. Ce sera Guenièvre de Carmélide ou personne. Je tiens à ce que tous soient au courant, je n’accepterai aucune autre proposition de mariage. Maintenant, je ne le répèterai pas une autre fois : cassez-vous et ne revenez pas !
Sous les regards médusés de toutes les personnes conviées, le Roi Arthur Pendragon se leva de son trône et sortit de la salle les laissant comme des glands. Les anciennes maîtresses n’en menaient pas large et se demandaient comment elles avaient pu en arriver là… Elles n’avaient pas vu venir ce retournement de situation. Personne ne l’avait vu, pas même Mévanwi qui tâchait de se faire aussi discrète que possible. Elle ne l’avait pas cru lorsqu’il disait vouloir récupérer sa femme… Elle allait certainement regretter la lettre qu’elle avait envoyée à peine deux jours auparavant…
Au moins, les choses étaient on ne peut plus claires.
Seule une servante s’étant cachée dans un renfoncement de la pièce esquissa un fin sourire. Angharad était enfin rassurée. Il avait enfin compris… Il restait maintenant à la convaincre elle…
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wubblesred · 6 months ago
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Ghoulcy Week 2024 Day 4 NSFW French
Bonjour mes chers habitants d'abri, j'espère que vous allez bien. Nous revoilà parti avec la semaine ghoulcy pour ce jour 4. Cette fois ci avec le thème NSFW Tendre Touché. Donc personnes mineures ne pas interagir merci. Bonne lecture et bon voyage dans les terres désolées.
Cooper et elle étaient mariés, c'était complètement dingue. Cela l'a rendait même euphorique. Bon rien n'était vraiment légal et cela avait été une union entre eux seulement mais y a-t-il encore des unions légaux dans ce monde hors dans des abris Vault-Tec. Et honnêtement elle voyait mal Cooper accepté un mariage officié par cette maudite entreprise. Même si c'était cette dernière qui les avait réunis.
Sa petite tueuse lui appartenait enfin, elle était tout à lui. La goule ne pensait pas ressentir une telle joie à nouveau depuis l'apocalypse pourtant Lucy avait cette tendance à rendre meilleure sa vie depuis qu'ils voyageaient ensemble. Jamais il n'aurait imaginé retrouvé l'amour dans ce monde pourri cependant Lucy MacLean lui prouvait le contraire.
Les deux époux marchaient côte à côte, à la recherche d'un endroit bien précis. L'homme connaissait une ville dans les environs qui proposait des chambres assez décentes pour un nombre de capsules assez raisonnables. Une sorte de lune de miel en soi pour eux deux. Ils auraient du calme et de l'intimité sans Canigou pour une nuit. Ils aimaient beaucoup le chien mais l'avoir juste à côté d'eux pendant qu'ils couchaient ensemble c'était un peu désagréable. Et puis leurs dos les remercieront de le faire dans un lit pour une fois. Camille, une vieille connaissance de Cooper travaillait là-bas et le chien serait donc bien traité pendant qu'ils seraient occupés.
Cooper lui avait assurer que la ville allait l'accueillir malgré que seule des goules y résidaient mais une angoisse gagna tout de même la jeune femme. Cependant un regard vers son mari qui lui fit un magnifique sourire suffit à la rassurer à l'approche de leur destination. Tant que la goule était à ses côtés, l'habitante d'abri se sentait capable de tout. On les laissa entrer sans problème à son grand étonnement, les gens semblait se classer en deux catégories ceux qui respectait son homme et ceux qui fuyaient à peine approchait-il. Cooper la guidait par la main jusqu'à une énorme bâtisse sur laquelle on pouvait lire une pancarte « auberge » accrochée au dessus de la porte. Cela ne faisait pas de doute, l'homme connaissait cette ville comme sa poche. Néanmoins quelque chose avait nettement changé depuis son dernier passage, l'électricité était omniprésente dans la cité, sûrement grâce à l'invention de Moldaver. Lucy quant à elle, fut agréablement surprise de reconnaître la personne présente au comptoir.
« Alors le vieux enfin de retour en ville. Et avec ta petite peau douce. » Dit Camille en les voyant approcher. « Vous restez combien de temps ? »
« Juste une nuit. Y a moyen que tu surveilles le chien pendant qu'on est en haut ? » Rétorqua Cooper tout en pointant du doigt le dit chien.
« Pourquoi t'as un truc à fêter ? Parce que ça avait pas l'air de vous déranger qu'on vous voit la dernière fois. »
« On s'est mariés. » Sautilla Lucy en s'intégrant à la conversation. La jeune femme avait dit cela avec un tel enthousiasme que même son mari fut surpris. Il n'avait pas imaginé que son épouse soit si heureuse de proclamer leur union ainsi.
La goule aux cheveux roses se mis à éclater de rire, jamais depuis les années passées à côtoyer l'autre goule aurait-elle penser que ce dernier déciderait de se marier et encore moins à une peau douce aussi joyeuse que Lucy. Et pourtant en les voyant se regarder ainsi, leur yeux brillants et arborant un sourire aussi radieux, il n'y avait aucune doute que ces deux là s'aimaient. Elle balança un jeu de clés à l'homme tout en contournant le comptoir afin d'aller près du chien pour le caresser et l'amener à ses côtés.
La chambre était assez banale, un lit double, des draps simples, une couverture rouge légère, les murs, eux, étaient nus laissant apparaître le bois en dessous. Il y avait tout de même une salle de bain juste à côté et franchement malgré sa simplicité, c'était du grand luxe pour ce monde.
« Et bien, même pas vingt-quatre heures mariés et déjà mon époux me gâte énormément. Je suis chanceuse. » Lucy ne put s'empêcher de rigoler, un discours qu'elle voulait taquin dans l'espoir d'attirer son compagnon près d'elle.
« Faut bien sortir le grand jeu, poupée. J'ai pas envie que tu fuis avec le premier venu. »
Même si Cooper avait usé un ton semblable au sien, la brune comprit que ce dernier avait une crainte qu'elle choisisse un autre que lui. Elle s'avança vers lui et remonta sa main le long de son torse pour atterrir sur sa joue.
« Ça ne risque pas d'arriver, à moins qu'on m'arrache à toi de force et te connaissant tu ne laisseras jamais ça arriver. C'est peut-être fou à dire vu le nombre de jours qu'on se connaît mais je m'en fous, je t'aime Coop. »
« Je... Je t'aime aussi Lucy, plus que je n'aurai imaginé. »
Les deux amants se rejoignirent pour un baiser, un qu'ils savaient allait lancer le début de leur étreinte passionné. Cooper la porta jusqu'au lit avant de la déposer délicatement dessus, ce soir il allait savourer chaque instant, il ferait en sorte que sa femme ne ressente que du plaisir et de la douceur. Leurs vêtements chutèrent l'un après l'autre sur le sol afin que les deux amants puissent se découvrir sans entraves à nouveau comme si c'était la première fois. Cette fois-ci pas de pillards, pas de précipitation ou de distraction. Seulement eux deux dans cette pièce, rien d'autre n'avait d'importance en ce moment, pas de Vault-Tec ni même Henry, juste eux, leurs corps et leurs amours.
La peau de Lucy était vraiment une des choses les plus douces que la goule avait touché de toute sa vie. Il n'osait que l'effleurer du bout des doigts, la peur de la ruiner d'une manière ou d'une autre était omniprésente. Poupée était vraiment le surnom parfait pour elle, ce fut ses grands yeux qui lui avait donné l'idée du surnom, ils lui rappelait une des poupées dont sa fille faisait la collection. Il savait que ses longs mouvements de ses doigts rendait la jeune femme dingue mais il désirait savourer chaque seconde de leur échange cette nuit. Enfin il pouvait voir clairement chacune de ses réactions, quelles caresses lui procuraient le plus de sensations, ce qui lui plaisait ou non, tout ça lui était complètement visible et c'était grisant.
Lucy n'avait jamais été aussi mouillée et pourtant Cooper ne lui avait fait que de minimes caresses tandis qu'elle se préparait à le recevoir. Mais son regard était tellement intense tandis que son touché, lui, était d'une douceur que son corps ne pu qu'être émoustillé. Néanmoins son désir était trop grand et malgré qu'elle comprenait l'envie de la goule de faire durer le plaisir, la jeune femme désirait avoir son mari en elle, sentir sa virilité emplir son être tandis que leurs âmes se touchent et s'unissent dans une explosion intense de plaisir et d'amour. L'homme semblait être le seul à lui procurer une jouissance aussi immense et profonde. Et en cet instant ce n'était plus un désir mais un besoin de ressentir cela qui la poussa à attirer l'attention de son amant à elle pour lui susurrer à l'oreille « Fais moi tienne pour l'éternité. Je t'en prie Coop, prends moi. » Cette phrase eut le mérite d'enflammer son mari qui n'attendit plus et retirer ses doigts avant d'entrer en elle d'un coup.
Cooper ne se lassera jamais de l'expression que Lucy avait quand il entrait en elle, sa bouche qui s'ouvrait pour laisser échapper un hoquet de plaisir tandis que son regard se brouillait et ses joues qui prenait cette jolie couleur rosée. Tandis que la goule commençait des mouvements de hanches lents mais précis, ses mains continuèrent de se promener doucement sur le corps de sa femme ne sachant pas que cet acte tendre procuraient tout autant de plaisir que ces vas-et-viens les plus brusques. Peu importe ce que l'homme faisait, Lucy y trouvait de la satisfaction. Justement parce que c'était son homme qui l'a touchait et lui faisait l'amour. La tendresse dont il faisait preuve aujourd'hui était tout aussi intense que si il l'avait prise sauvagement, Cooper savait parfaitement quoi faire pour l'amener au septième ciel et Lucy espérait lui donné autant de plaisir. Au dire de l'homme et à sa façon de réagir face à elle, c'était le cas.
Les amants n'allaient pas tarder à atteindre l'orgasme ensemble, leur première fois en tant que mariés allait finir mais la nuit, elle, ne faisait que commencer. La sauvagerie ou bien la rapidité prendrait la relève sur la douceur dont les amants avaient fait preuve. Ils avaient ce qu'ils leur semblaient l'éternité face à eux et ils en profiteraient un maximum ensemble. Les deux amants improbables. Les tourtereaux invraisemblables qui s'aimaient et se vouaient l'un à l'autre malgré tout. Cooper et Lucy Howard, liés ce soir et à jamais.
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paulysson1 · 6 months ago
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Un Ange en flamme
Belle entité,
Je ne peux m'empêcher de m'approcher d'elle,
Une ruelle déchue mais pourtant elle me remarque,
Que veut son Âme,
Veut-elle des ailes? À m'aimer, elles perdront de leurs splendeurs,
Pourtant je suis assis auprès de ses pleurs,
Je me dis que tenir l'oreille pour une nuit , vaut plus qu'un simple cuni, et si jamais, elle s'approche de moi, je la console.
Le ciel et la pluie la rassure,
Et une symphonie de paradis s'écrit sous éclosions d'émotion, comme un papillon sortant de sa chrysalide.
Et si je suis son dément, tant mieux ==> un fantôme pieux qui ne vaut que son bien-être, comme ces êtres, qui s'oublies entre autruis.
Et les couleurs de l'arc-en-ciel me rapproche de toi encore une fois,
Tu es sublime,
Et devant une déesse qui esquisse une envie de dominance je suis en tranche, coupé en lamelle,
De qui doit te servir, qui doit te résonner et enfin
Doit te dominer,
Dis-moi déesse ou s'arrête tes prouesses, ton courage et défiance envers dieu, vaut tous les maux de mon intellect perturbé,
Et si je dois la vérité je me dirais que ceux,
Qui n'ont point aider par les êtres odieux,
C'est gens là te rendent ambitieux,
Tel le félin qui rêverait de l'éléphant,
Tel le loup sur l'élan.
Ne brûle plus jolie lumière,
Je suis là,
Afin de condenser ta flamme.
P.amis
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spleen-et-ideals · 1 year ago
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Oyé oyé, population du rpg francophone
Je viens à toi en ce petit *remplacer par la période la journée qu'il est chez toi* pour te proposer un petit prélien/scénario pas piqué des hannetons (non, je ne suis pas biaisée du tout).
Alors pourquoi pas, mais ça se passe où ?
Excellent début ! Ca se passe sur Maleficis Ambulare, forum de sorcellerie qui se joue autour d'un panthéon inédit aux inspirations pluriculturelles dont voici le résumé :
Naquit du vide Navnah, Première-Née, Divinité-Mère. [...] De sa bouche sortit les Envoûtant.e.s, la Première Race, une menace pour les Divins, qui les exterminèrent. Alors, de sa chair, naquirent [...] les Hommes, la Seconde Race, et tous peuplèrent la Terre. Les Hommes avaient soif de découverte et de pouvoir. Ils se détournèrent de la Nature et des Divins. Ils bâtirent des empires et vénérèrent de nouveaux Dieux. Alors Navnah se déposséda de ses dernières chairs, et d'elles jaillirent les Sorcier.e.s, la Troisième Race. Et enfin, elle disparut.
Ca en jette pas vrai ? Normal, c'est pas de moi.
Bon, et ce scénario alors, c'est quoi ?
On y vient, ne t'en fais point. Il s'agit du scénario du mari de ma très chère Zénobie qui est, disons... très gentille ? Mais qui a un peu été traumatisée par la vie et est très très dévouée à sa divinité. Allez, jetons un coup d'œil de plus près.
Bonjour, Vous êtes un homme très ambitieux parmi Zeddhis ou l'un de ses alliés. Vous vous êtes mariés il y a cinq ans de cela pour des sentiments sincères ou pour des raisons politiques (les deux ?) à une jeune femme souffrant d'un trouble de stress post-traumatique dont les symptômes s'apparentent à ceux de la schizophrénie, et donc la sœur jumelle, très légèrement misandre cherche plus ou moins activement à vous tuer. Ah, et ne vous attendez pas à quelque descendance, elle empoisonne également votre femme afin que cette dernière demeure stérile. Bienvenue dans la famille !
Ca vent du rêve, hein ? Comment ça, cauchemardesque ? Oui bah ça c'est de moi, normal j'imagine.
Des petites infos en plus, Zénobie est jouée avec La Zarra, chanteuse maroco-canadienne, elle a 30 ans. Son mari en aura donc entre 31 et 36, et comme je suis super sympa (et que j'adore faire des listes de fc), je t'ai préparé des petites suggestions (qui sont tout à fait négociables, c'est juste pour te donner la vibe du bonhomme : aaron taylor johnson, barry keoghan, daniel kaluuya, dev patel, john boyega, riz ahmed, robert pattinson, trevante rhodes, willy cartier, yahya abdul-matteen II.
Et pour le PL dans son entièreté c'est par ici <3.
Mh, je suis pas convaincu par le bonhomme mais l'univers a l'air sympathoche !
Mais viens dont, mon petit ! Je suis pas rancunière, et au contraire, ça me ferait super plaisir de rameuter un.e petit.e nouveau.elle ! On a une équipe administrative hyper réactive et à l'écoute, les membres sont super accueillants, c'est super facile de se trouver des liens, les rp fusent dans tous les sens alors qu'on est en période estivale (période généralement basse niveau activité), et le forum n'a que deux mois, tu peux nous rejoindre dès le début de notre aventure ! On a également un petit serveur Discord où ça floode un peu tous les jours et qui permet aussi pas mal d'aider à trouver des liens en sympathisant avec les autres joueurs.euses (et je te rassure, moi aussi de base je suis sceptique comme la fosse quand il s'agit de Discord dans le milieu du rpg, mais notre canal est vraiment chill et good vibes !).
Sur ce, je te fais des bisous, et j'espère bien vite te croiser sur Maleficis Ambulare !
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NSBC • Chapitre 11
Gabriel grandit, et devient un bambin plein de vie. Trop plein de vie pour mes vêtements secs…
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Cela dit, c’est quand même plus agréable que s’il faisait des caprices tout le temps !
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Il est tellement adorable, que… eh bien… Peut-être qu’on oublie d’être vigilant, en ce moment.
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On n’en a pas vraiment parlé, ça s’est fait comme ça. J’ai rapidement retrouvé mes copines les nausées le matin avant d’aller bosser…
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Et travailler dans ces conditions c’est pas l’idéal non plus, mais bon… quand ‘faut y aller… !
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Je sais pas si ce sont les hormones de grossesse, mais j’étais d’humeur particulièrement joueuse ce matin-là, malgré mes vomissements au saut du lit. Et j’ai enfin pu tester la fonction glaciale de mon Pistolet à Électroparticules… sur une jeune âme perdue qui s’était infiltrée dans notre laboratoire…
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Apparemment, j’ai bien fait puisque Thierry est venu me féliciter. Cette personne était en fait un extra-terrestre infiltré, avec de mauvaises intentions… C’est pas très gentil, tout ça ! Nous, on veut juste vous rencontrer, pas vous faire du mal ! Roh !
J’ai continué ma journée de travail normalement après ma BA. Thierry m’a vite fait dis que si je continuais comme ça, la prochaine promotion était à porter de main… la classe !
Et sans surprise, en prenant ma douche quelques temps plus tard, j’ai eu le plaisir de voir mon ventre légèrement arrondi. Bon, avec des nausées en prime, bien sûr…
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Edward est ravi, à nouveau. C’est tellement un papa poule avec Gabriel que je ne me fais aucun souci, il arrivera à en gérer un deuxième sans problème.
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Mais maintenant, la question d’agrandir la maison ou de déménager se pose plus que jamais… et j’ai préféré opter pour un agrandissement ! Edward m’a soutenu dans mon choix, et j’ai ainsi pu appeler les ouvriers nécessaires pour qu’ils effectuent des travaux. Nous avons construit un étage, qui pour l’instant, est bien vide…
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Il y a également l’emplacement pour une deuxième salle de bain, histoire qu’on ne se marche pas dessus. Et j’ai profité de la présence des ouvriers pour leur demander s’il était possible de me construire un petit sous-sol professionnel… et après avoir fait les bonnes mesures, ils m’ont annoncé que oui, c’était tout à fait possible. Et donc voilà le début de mon petit nid de scientifique !
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Il faudra que je récupère d’autres machines au travail pour compléter l’ensemble…
Gabriel continuera de dormir dans notre chambre le temps qu’il soit assez grand pour pouvoir monter les marches de l’escalier tout seul. Mais ça ne l’empêche pas d’investir également le salon…
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Et mine de rien, c’est pas facile de s’occuper du petit monstre quand on a l’estomac à l’envers. Si le deuxième n’est pas aussi calme, je ne sais pas si je voudrais en faire un autre… !
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Mais en attendant, on a seulement un amour de petit bébé… Regardez-moi cette bouille !
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Bon, il sait clairement s’en servir pour obtenir des friandises… mais tant que c’est que pour ça, ça me va. Il grandit beaucoup trop vite, ça me fait presque peur ! Même si je suis rassurée quand je le vois enlacer sa peluche préférée comme n’importe quel bambin.
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De mon côté, j’entame rapidement mon huitième mois de grossesse. C’est pour bientôt… J’espère que ça sera une petite fille ! J’ai préféré dire au médecin de ne rien me révéler lors de mes visites de contrôle. Ça sera comme pour Gabriel… une surprise !
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Au travail, Victoria me gronde presque régulièrement pour que je prenne des jours afin de préparer l’accouchement, mais elle se heurte à mes refus catégoriques. Et pour lui prouver que le bébé est en parfaite santé malgré mes heures de travail, je lui propose de toucher mon ventre quand je le sens bouger.
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Elle se montre moins hésitante que la première fois, et je sens que ça la rassure. Même si, pour tout vous avouer, j’ai toujours autant de mal à lire ses expressions… ! Et chose promise, chose due, Thierry m’augmente au même grade qu’elle… « Elle a bien besoin d’un coup de main pour gérer les papiers du laboratoire, hahaha ! » Vieux fou… Mais j’ai quand même eu le droit à un nouvel uniforme, dont Victoria n’a jamais voulu, je ne sais pas pourquoi… !
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empiredesimparte · 1 year ago
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⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 17 Prairial An 230
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Napoléon V and his fiancée Charlotte travelled south of Paris for the night to meet the extended Mortemart family. On the way, Charlotte reassures Louis that she feels ready to become Empress.
(I've put subtitles back on the images but I'm not really convinced, I'll come back to the tumblr text format a few posts later.)
⚜ Traduction française
Napoléon V et sa fiancée Charlotte se rendent pour une nuit au sud de Paris afin de rencontrer la famille élargie des Mortemart. Sur le chemin, Charlotte rassure Louis : elle se sent tout à fait prête à devenir impératrice.
Napoléon V : Non, ça ne dérange pas l'emploi du temps. Et puis, ce n'est qu'à trois heures de Paris. Je veux rencontre toute ta famille Charlotte : Ils sont curieux de te rencontrer eux aussi Napoléon V : C'est important avant le mariage Charlotte : Tu es si attentionné, Louis Napoléon V : Une fois que nous serons emprisonnés dans cette prison dorée des Tuileries, nous... Charlotte (le coupe) : Je ne le ressens pas comme ça, j'aime le palais impérial, et mes futurs devoirs
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selidren · 10 months ago
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Printemps 1916 - Champs-les-Sims
4/9
Je crois qu'en plus de s'être fait la plus petite possible, elle s'en veut un peu d'être la seule à qui Constantin accorde réellement de l'intérêt. Ce qui s'est manifesté d'une façon bien cruelle lors de sa dernière permission lors des fêtes de Noël et a occasionné une grosse dispute entre nous. D'ordinaire, je suis suffisamment heureuse de le voir bien en vie devant moi pour songer à le gronder pour quoi que ce soit. Et pourtant, il a été très secoué par le décès de son mentor, Monsieur Hautbourg. Le pauvre homme a eu selon lui une mort peu enviable et laisse derrière lui une veuve et un fils unique d'à peine un an.
Transcription :
Eugénie « Oh mon petit. Te voilà enfin ! Nous ne savions même pas que tu viendrai nous voir pour le jour de Noël. »
Constantin « Je vous ai écrit en début de semaine après avoir reçu ma notification de permission. Mais le caporal Mercier m’a dit que des sacs de courrier de notre division avaient été perdus. Je vous ai envoyé une carte hier à la gare de Mont-Notre-Dame mais je dois être arrivé avant elle. »
Albertine « Nous étions si inquiets ! »
Albertine « Cela fait des nuits que je n’en dors plus. »
Constantin « Pas de nouvelles, bonnes nouvelles dit-on. Si j’avais été tué ou porté disparu sur le front, l’état major t’en aurait déjà avertie. »
Albertine « Il n’y a que toi pour me rassurer de la sorte… Et depuis quand cites-tu des proverbes ? »
Constantin « Monsieur Hautbourg disait que les proverbes recèlent une grande sagesse et que nos ancêtres nous ont les transmis sous la forme la plus simple afin que chacun puisse recevoir leurs enseignements. »
Albertine « Il disait… oh Constantin... »
Albertine « Je suis navrée pour toi. »
Constantin « Il a reçu une salve de mitrailleuse dans l’abdomen. Les brancardiers ont dit qu’il a expiré avant qu’ils aient pu le conduire à l’hôpital. J’aurai aimé lui dire au revoir. Dès demain, j’irai présenter mes respects à sa veuve et à son fils, c’est ce qu’il aurait fait pour moi. »
Albertine « Toi tu es rentré, et pour l’instant c’est tout ce qui m’importe. »
Constantin « Tu as raison, j’y penserai plus tard. Je suis déjà ravi de pouvoir être revenu à temps pour réveillonner avec toi et les enfants. »
Albertine « J’espère que tu comptes t’arranger un peu avant. »
Constantin « J’y vais de ce pas. De toute façon, Grand-Mère n’acceptera pas à sa table un homme dépenaillé et qui n’est pas rasé de frais. J’ai en plus le sentiment d’être tout crotté. »
Albertine « C’est bien vrai. Même au fin fond d’un caveau égyptien ou d’un cénotaphe, je ne t’ai jamais vu si sale et mal apprêté. »
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arypurple · 1 year ago
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DL - Résumé foireux S01.ÉP05
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Repensant à ce que Fedora-chan lui a dit dans l'église, la blondasse est en train de cueillir les roses. Pourquoi ? J'en ai foutrement aucune idée ! Soudain, l'hystérique arrive avec sa peluche et lui ordonne de le suivre avec les roses cueillies, puis va dans un cimetière avec elle. Il lui dit ensuite que la froideur, l'odeur des tombes et le silence l'excitent sexuellement lui font se sentir bien. Il affirme ensuite que sa mère repose dans la tombe en face de lui... avant de dire qu'il l'a butée. Nikel... Alors, Yui... tu te retrouves avec un nécrophile taré qui adore l'ambiance des cimetières, mais en plus il te sort comme ça qu'il a zigouillé sa maman, donc fais pas chier. Sous les ordres du gamin, elle pose les fleurs sur la tombe avant de lui dire qu'elle s'en va. Ça met l'hystérique en colère qui commence à gueuler en réduisant le bouquet en miettes avant de rabaisser notre petite blonde en lui rappelant encore qu'elle n'est rien qu'une humaine. Apeurée, elle recule et on constate son immense talent à trébucher. Au bord de l'érection Amusé, Kanato rigole et lui ordonne de lui implorer son pardon. Après ses excuses, il se jette sur elle pour la croquer... mais il recule avant de dire que les humaines se mettent en colère si on les embrasse pas avant l'acte. Venant de quelqu'un qui apprécie plus la compagnie des cadavres que celle de sa famille, je suis pas étonnée de sa logique foireuse ! Il lui roule une pelle avant de la mordre. Sous le choc d'un sang aussi sucré, l'hystérique la remord avant de caresser ses cheveux et son épaule en se disant que tout est okay si elle prend du plaisir (ça ne fonctionne pas, coco !). Après Yui retourne au man... attendez ! J'ai l'impression d'avoir vu cette démarche quelque part... ah oui, ça me revient maintenant !
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Le tonton pédophile fait un coucou à Tsundere Simulator et disparaît après avoir parlé de l'Éveil. Car on manquait justement de cliffhanger ! De retour au manoir, Plante Verte entend des... des gémissements ?! En plus, il y a même la musique qui donne une ambiance obscène. Oh et puis, merde ! C'est sans doute Claude Faustus en train de jouir sur une partie d'échec... il aime vraiment les échecs, celui-là. En fait non, c'était un cauchemar et monsieur se réveille après que Yui ait mis une main sur son épaule avant de se faire un thé, de critiquer la fille et quand elle demande si Shuu utilise cette salle, il le prend mal. Il lui prépare donc un thé "spécialement pour elle" avec une bonne dose de GHB (non, je vous rassure ou pas, c'est du poison). En plus, ce con lui en refait avaler de force avant qu'elle ne s'effondre au sol et lui sort que c'est vulgaire de s'étouffer de la sorte. Okay, parce qu'il y a une manière polie et respectable de s'étouffer avec du poison ? Tu m'en diras tant ! Comme elle s'est coupée avec un éclat de la tasse renversée au sol, Reiji prend sa main avant de la lécher et il affirme ne pas avoir de goût pour les choses qui ne sont pas parfaites (eh bah, il ne doit pas souvent se regarder dans le miroir alors 😂) comme la tasse qu'il a sans doute dérobé dans la collection de vaisselle de sa grand-mère. Yui se lève en se chiant presque dessus et deux voies s'offrent à elle: fuir par la porte ou reculer contre la bibliothèque. Comme le talent de faire des choix intelligents manque cruellement dans son code génétique, elle opte pour la bibliothèque. Le Butler la rejoint vite et lui dit que les humains, quand même qu'ils soient que des sacs de sang sans valeur, réclament plus de plaisir que n'importe quel être et pense que lui croquer la nuque va lui faire plaisir. Question de paraître encore plus creepy, Reiji lui dit qu'il va soigner sa plaie, serrer le bandage si fort au point de couper la circulation du sang dans ses doigts afin que ceux-ci pourrissent et tombent. Il s'excite presque devant son visage terrifié et alors qu'elle vient tout juste de perdre connaissance, Monsieur-J'ai-Un-Gros-Balais-Dans-Le-Cul- se remémore la fois où il a fait buter sa daronne et lui pardonne pas d'être morte heureuse. Bon, au moins c'est clair il faut ajouter le mot "matricide" sur la liste des défauts communs des frères...
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b1190 · 1 year ago
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27 mai
Il est le Possesseur Absolu à qui appartient seul la totalité des univers et tout ce qu’ils contiennent meme le moindre grain de sable sur terre lui appartient. Tout lui appartient puisqu’Il est celui qui a tout crée en les faisant sortir du néant et ou en les faisant des enrailles de la femelle à la suite d’une fécondation. Tout les biens matériels que nous possédons lui appartiennent 
1) puisqu’ils ont été fabriqués à partir des éléments de base que Lui seul à crée et qu’Il nous a mis disposition.
2) et avec la force et l’intélligence qu’Il a octroyé à l’homme.
Il sera également l’Héritier final de toutes nos possessions à la toute fin.
Soumission: je reconnais que je ne m’appartient mais que j’appartient à mon maitre à qui je me soumet en Lui obeissant et en évitant Ses interdits.
Puisque j’appartient à Allah, tout ce que je possède Lui appartient car Il m’en a seulement donné la gérence et il me demandera des comptes la-dessus au Jour Dernier.
Argument coranique: tout ce que vous adorez en dehors d’Allah ne possède rien. Car le possesseur  est le réel détenteur de la force et du pouvoir mais lorsqu’il maitrise ce qu’il possède et lorsqu’il dirige ce qu’il possède.
Le possesseur de la Royauté absolue est Allah. Autre que Lui possède mais n’a pas l’autorité absolue sur son royaume et ou a une autorité relatif (dirige et gouverne pour qq1 d’autre).
Autorité : 1) La puissance et Le Pouvoir Absolu. 2) Le fait de détenir la chose; elle m’appartient et personne ne peut venir me la contester. 3) etre capable de décider ce que je souhaite (Aquida).
Implication: Apprendre à demander à Allah puisque tout est entre Ces mains et ne jamais désespérer de notre situation. Cette connaissance nous rassure, nous donne de la confiance et nous donne la détermination à semer les graines du bien.
2) Allah nous montre la perfection qui est de maitriser ce qu’il possède. Il nous a donner 1 royaume (notre ame), s’impregner de ce nom c’est maitriser notre ame et l’éduquer mais également apprendre à maitriser ses passions et ses désirs.
Vouloir caractériser ce nom et tenter de ressembler à Allah, c’est de comprendre que mon plus grand défi/reseponsabilité/combat c’est d’éduquer mon ame afin de la maitriser et me libérer de la domination de mes passions et de mes désirs dans l’harmonier et l’équilibre. Car s’est ainsi que je serai fort et que j’atteindrai la noblesse que l’on accorde à tout roi.
Sagesse: Youssouf va atteindre les plus hauts sommets de l’Etat et les hauts sommets de la spiritualité par le fait qu’il va mener et gagner le combat contre ses passions et vice-versa pour Zuleykha.
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dooareyastudy · 2 years ago
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coucou,
je me demandais, comment trouver un bon sujet pour le projet de recherche ? qu'est ce qui fait qu'un mémoire ou une thèse soit pertinente et réussie ? et aussi comment s'y prendre si on veut faire une enquête sur quelque chose pour alimenter sa recherche ?
Salut :)
En ce qui concerne le choix d'un sujet, mon premier conseil serait de cibler un sujet qui t'intéresse et dans lequel tu penses pouvoir t'investir suffisamment pour apporter quelque chose à ton domaine d'étude. Tu peux, par toi-même, vérifier si ton objet de recherche a déjà fait l'objet d'études, de quels genres d'études... afin de voir quelle place pourrait combler ton propre travail. Certains travaillent sur quelque chose de si inédit dans leur domaine que la question ne se pose pas. Pour d'autres, il va être nécessaire d'identifier les "trous" qu'il peut exister dans le traitement de tel ou tel objet.
Ça peut être compliqué à identifier seul donc mon second conseil, c'est de se rapprocher de spécialistes dans ton domaine. Généralement, ça va être un professeur que tu connais déjà ou que tu envisages pour encadrer ta thèse mais ça peut être un est spécialiste du domaine dans lequel tu voudrais mener tes recherches que tu ne connais pas encore. Pouvoir discuter avec quelqu'un qui a un peu plus d'expérience va te permettre de vérifier si tes pistes semblent solides ou non et éventuellement, ça va aussi te permettre de découvrir d'autres pistes, d'autres approches... !
Je n'ai pas vraiment d'autres conseils puisque, dans ma fac, la pratique consiste plutôt en ce que les potentiels directeurs et directrices de thèse proposent des thèmes de recherche aux étudiants qui veulent commencer une thèse donc je n'ai pas d'expérience dans le choix d'un sujet à proprement parler !
Ensuite, qu'est ce qui fait qu'un mémoire ou une thèse est pertinente et réussie ? Je ne sais pas ? Du tout ???? Une thèse finie, ça me semble déjà un bon début ; je te tiens au courant si j'arrive à dépasser ce stade héhé
Quant aux enquêtes, je ne suis pas la bonne personne pour en parler vu que je n'ai aucune formation, ni aucune expérience en la matière. Si quelqu'un veut rajouter son grain de sel, c'est avec plaisir !
Mais rassure-toi, les écoles doctorales dispensent parfois des formations pour apprendre à faire des enquêtes, en analyser les résultats et tout et si jamais tu es en Master, tu peux demander à la personne qui dirige ton mémoire si elle a connaissance de ses formations et si elle peut t'orienter vers elles (j'avais suivi une formation doctorale en M1 sur recommandation de mon directeur de mémoire donc je pense que ça peut s'arranger) ou tout simplement, si elle peut te former à cette pratique elle-même.
Bonne journée !
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shana-broken-thing · 2 years ago
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Airtag pour ma chienne
Une fois j'ai perdu ma chienne en ville. Ce qui était horrible, c'était de ne pas savoir dans quelle direction chercher.
Alors j'ai décidé d'accrocher un airtag, un tracer bluetooth qui permet de retrouver des objets grâce au réseau des appareils Apple. On peux localiser un airtag sur une carte pour savoir approximativement à quel endroit il a été vu par un appareil Apple. Et comme j'habite en ville assez dense, ça peut donner une indication si je perd à nouveau ma chienne, en tout cas ça se tente.
J'ai donc fabriqué un support à airtag pour son collier.
J'avais trois contraintes :
la largeur et l'épaisseur de son collier,
la forme de l'airtag,
la solidité (il ne doit pas se détacher facilement et être bien protégé)
J'ai donc conçu un modèle en 2 parties qui se fixe autour du collier à l'aide de 4 vis et écrous.
L'une des parties est un simple pavé creusé avec la forme du collier, ainsi que 4 trous pour accueillir le collier :
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Pour la partie supérieure, qui est nettement plusse épaisse, j'ai creusé un trou en forme de l'airtag afin qu'il puisse être contenu une fois la support monté sur le collier.
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Sur la partie supérieure j'ai inscrit "NFC" afin que les éventuels gens qui trouvent ma chiennent sachent qu'ils peuvent scanner l'objet en NFC avec leur smartphone.
Cela leur ouvrira une page avec mes coordonnées pour me contacter (mon numéro de téléphone est aussi inscrit dans le harnais de ma chienne, et elle est pucée, mais ça ne mange pas de pain).
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Une photo de l'objet final :
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À ce jour je n'ai jamais re perdu ma chienne et n'ai donc pas eu l'usage de ma bidouille.
J'espère que je n'en aurai jamais besoin, mais ça me rassure de l'avoir fait et que ça puisse m'aider si jamais ça devait arriver.
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