#accompagné de son fils
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Un homme va au poste de police, accompagné de son fils, pour signaler la disparition de sa femme. Le policier lui demande: - Pouvez-vous nous la décrire? L'homme dit: - Elle est grande, belle, blonde avec des yeux bleus, une taille fine et une grosse poitrine. Le petit garçon s'exclame alors: - Mais Maman elle n'est pas comme ça. - Chut, tais toi, c'est pour qu'on nous en ramène une mieux!
#Un homme va au poste de police#accompagné de son fils#pour signaler la disparition de sa femme.#Le policier lui demande:#- Pouvez-vous nous la décrire?#L'homme dit:#- Elle est grande#belle#blonde avec des yeux bleus#une taille fine et une grosse poitrine.#Le petit garçon s'exclame alors:#- Mais Maman elle n'est pas comme ça.#- Chut#tais toi#c'est pour qu'on nous en ramène une mieux!
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bagarreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1893 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertion de son fiancé et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restrictions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#lebrisdivers#Jules Le Bris
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Quelques trucs bien. Octobre 2024
Ces “Quelques trucs bien” s'inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, ou des "Notes de chevet" de Seï Shonagon.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d'optimisme.
Aller au musée des femmes artistes avec mon amie Béa. Profiter du soleil d’automne en terrasse et prendre soin de notre amitié
Avoir la visite d’une bergeronnette printanière
Jouer à cache-cache avec mon petit Mateo. Rire ensemble
M’inscrire sur un groupe de rencontres
Être honorée d’être sélectionnée sur la liste des jurés titulaires pour l’année prochaine
Jouer aux cartes avec mon fils. Gagner à être perdante
Prévoir un week-end d’escapade chez mon amie Monique
Me rappeler que ma sœur et moi avions souhaité élever et faire grandir nos enfants ensemble. Suppléer son absence quand elle est en vacances, c’est à dire faire le taxi pour mes nièces
Me faire draguer par un charmant sportif de plus de 10 ans de moins que moi lors du rdv pour test d’effort en cardiologie. Remercier en moi-même ma fille de m’avoir prêté un legging. Épreuve réussie à 100%
M’essayer au caviardage en poésie. Tenter de relancer la créativité
Chanter l’hymne à l’amour dans ma voiture... et pleurer
Faire la sieste pour récupérer le manque de sommeil
Partager une pizza duo avec mon collègue de travail
Réfléchir encore et en équipe à une bonne pratique professionnelle. Entre intuition et philosophie
Avaler des kilomètres pour essayer de laisser derrière moi le quotidien. Faire une halte chez mon amie Lauriane
Recevoir un cadeau de ma nièce de retour de son voyage scolaire à Venise
Profiter de l’alerte météo pour laisser libre cours à la créativité
Avoir une pensée émue pour mon ami Vincent qui manque toujours, même après de 14 ans de deuil
Féliciter Mateo qui s’enhardit à se lâcher pour avancer debout vers un autre appui
Tenir la petite main de Mateo pour l’accompagner dans ses premiers pas debout. Verbaliser pour lui que son regard sur le monde est désormais différent
Porter du jaune quand j’ai besoin de soleil
Participer à une réunion d’équipe de scolarisation. Sentir que je suis un vrai soutien pour ma collègue, la maîtresse et la maman
Avoir la surprise d’un arc en ciel après l’alerte météo pour pluies et inondations
Aller au cinéma pour voir un film érotique. Regretter l’absence de désir
Saluer le retour du berger et de son troupeau sur le terrain. L’automne est lui aussi de retour
Sentir venir le fou rire en entendant maman évoquer l’idée d’héberger tatie Lulu, 88 ans pour ne pas qu’elle soit seule
Aller au Festival du livre où ma nièce tient le stand de l’atelier d’écriture de son lycée. Me faire dédicacer le bouquin par une troupe d’ados. Savoir que la relève est assurée
Lire Mona Chollet et me sentir « sorcière » moi aussi
Rencontrer un jeune adulte venu donner de ses nouvelles à l’équipe qui l’a accompagné. L’entendre raconter son parcours avec gratitude et maturité puis dire que son handicap (TDAH) est aujourd’hui une force. Comprendre ce ressenti et avoir de l’espoir pour les enfants que j’accompagne aujourd’hui
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AU BOUT DES PAGES
Hey les papivores 2.0, aujourd’hui nous allons plonger dans un univers mélancolique. Katherine PANCOL célèbre romancière française, est une écrivaine dont le style se caractérise à l’américaine marqué par de nombreux dialogues et ses récits qui décrivent souvent des destins chaotiques de femmes indépendantes.
ROMAN
« Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi », Katherine PANCOL.
Le PITCH, d’abord !
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Mon AVIS, humblement !
Belles tranches de vies que nous livre ici, en grand chef, Katherine Pancol, tartinées tantôt de miel, tantôt de pâte à tartiner bon marché, mais toujours accompagnées de son fameux tea time dont elle seule à le secret.
On lui pardonnera sans problème cette éternelle histoire d'amour manquée entre Philippe et Joséphine (mais où va-t-elle chercher les prénoms de ses héroïnes ??), mais on l'attend au détour des traits de cet étonnant Junior, surdoué improbable qui casse quelque peu la véracité des propos.
Bien moins malin celui qui trouvera dans ces pages le fil rouge qui a fait le succès de l'opus précédent (La Valse lente des tortues)... on le cherche mais on ne le trouve point, perdu qu'il est peut-être entre les tourments de cette croqueuse d'Hortence (décidément, les prénoms sont un mystère pour Madame Pancol... ) et les pérégrinations de cette bonne vieille Henriette.
Toujours est-il qu'une unité de ton se propage dans les méandres de cette saga familiale à l'américaine, digne des meilleurs Dallas, un questionnement uniforme sur le rapport étroit entre hommes, à l'image du Petit Jeune Homme, vers de terre amoureux d'une étoile filante, de Gary poursuivant un père fantoche ou de Junior devenant un homme au contact du paternel.
Pancol nous en met plein la vue cette fois, en nous faisant entrer dans de nombreux mondes qui nous sont contemporains : celui des affaires internationales, évocant cette "crise financière" si proche de nous ; celui du "gratin" parisien, celui de l'écriture et de sa longue introspection ; une belle galerie de personnages, connus ou nouveaux, nous est alors donnée en pâture, donnant au livre un beau relief qui explique ses presque 1000 pages. Le lecteur en a pour son argent, il est content, content également de refermer ce troisième opus, dernier d'une longue saga qui menace de tourner en rond s'il propose un quatrième volet.
Bref, un écrin brillant et divertissant comme on les aime aujourd'hui, même s'il souffre de quelques incongruités.
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Lundi 11/09 - Mettre la cage dans une cage
Philza est de retour de ses vacances. Il est allé directement dans la chambre de ses enfants, et a découvert qu'ils ne sont plus là. Tubbo et Fit lui ont fait un point global sur tout ce qui s'est passé : les oeufs, les waystones, le vote, les meubles, Forever… Ils ont décidé de passer un message à la fédération en recouvrant le bâtiment fédéral du président de cobblestone grâce à de la lave. Philza a laissé un message au dessus de la structure, disant qu'il avait "mit la cage dans une cage", et qu'il leur laissait une semaine pour leur rendre leurs oeufs, sinon de plus grosse destructions arriveront sur les bâtiments fédéraux.
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https://clips.twitch.tv/ConsiderateFitKathyNotATK-ugcWGxyOXnq-wHnA
Pac a reçu une shulkerbox chez lui avec des informations sur WalterBob, dont la position de sa maison. En y allant, il a pu découvrir des souvenirs de la vie passé de Walter, dont ses enfants et ses amis.
Pac a raconté ses découvertes à Fit. Celui-ci en regardant les images s'est rendu compte qu'il connaissait une des personnes sans visage sur une photo, mais d'avant sa vie sur Quesadilla Island. Il n'arrive pas a remettre le nom sur ce visage, ses souvenirs sont flous.
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https://clips.twitch.tv/MistyPrettiestSeahorsePunchTrees-rAICRI135ZBVFqKD
Philza et Tubbo ont décidé d'enquêter sur le laboratoire de la fédération où les nouveaux joueurs ont été retrouvés. Là bas, ils ont remarqué qu'un gros cube de glace avait fait son apparition. Ils ont analysé tous les étages du labo, sans rien trouver de particulier. Tubbo a les coordonnées de la prison, et pense qu'il faudrait aller là bas, mais elle se trouve a plus de 100.000 blocs, et Etoiles n'a pas de waystone a proximité.
Aypierre a enfilé un gilet jaune, et a démarré une grève à l'aide des autres joueurs. Ils ont placé des explosifs sur la route du spawn, et ont testé un nouveau système de mines. Aypierre a aussi fait écouter à Cucurucho la nouvelle musique de Faster : "Fuck the federation".
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https://www.twitch.tv/aypierre/clip/StrangeSmokyPeachBudBlast-ya3GiM4UTn4EKtOt
Pour aider Cellbit et les autres joueurs dans leur enquête sur les médicaments que procure Cucurucho à Forever, Pac a accepté de jouer au cobaye. Il a expliqué à Forever être triste en ce moment et avoir besoin d'un bon remontant. Forever a transmis l'information à Cucurucho et celui-ci a invité Pac a rejoindre la salle d'opération. Pac, après avoir laissé un livre à Cellbit lui expliquant tout ce qu'il compte faire, est allé dans la base de la fédération, s'est allongé sur le lit, et Cucurucho lui a administré un calment. Son live s'est coupé sur cette image.
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https://clips.twitch.tv/ColorfulTriumphantRutabagaUWot-QQ79C6XPZ_E9FMFe
Forever a souhaité prouver à Philza que Richarlyson va bien. Il l'a donc emmené dans sa base et lui a montré la maison qu'il a construit pour son fils. Philza a pu découvrir la roche dans le lit de Richarlyson et en tentant de lui expliquer qu'il y a un problème, Forever a sorti son pistolet, lui demandant d'arrêter ce bruit d'horloge. Il a pris ses médicaments et sa joie de vivre est revenue. Fit écoutait toute la conversation, caché en minant dans la base de Forever. Lui et Philza se sont entretenus après l'explication de Forever sur les votes. Ils en ont conclu que Forever avait totalement disjoncté, et qu'il fallait s'occuper de ce problème rapidement.
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https://clips.twitch.tv/ViscousTriumphantSwanNerfBlueBlaster-sOJ6frga2Cf_sHUy
Alors qu'il se baladait paisiblement accompagné d'Ironmouse, Tina et Jaiden, le code a attaqué Etoiles. Ils se sont défendus (les autres joueurs ayant pu rejoindre le combat via une sharestone), et le code s'est enfuit sans laisser de message.
Forever, ayant rejoint tout le groupe pour le combat contre le code, a pris BadBoy à part et l'a demandé en mariage ! BadBoy a évidement refusé, lui disant qu'il n'est pas dans son état normal. Forever lui a donc dit vouloir tester quelque chose sur lui et l'a attaqué avec des mines, perdant au passage plusieurs totems. Dès qu'il a vu Etoiles s'approcher, Forever s'est enfuit dans sa base. BadBoy et Etoiles ont conclu qu'il était temps de tuer le président pour lui prendre ses médicaments. Etoiles, qui ne voulait pas attaquer tant qu'il n'en avait pas reçu l'ordre, a accepté la mission.
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https://clips.twitch.tv/CrunchyTenuousGuanacoYouWHY-DOk47Rw2yuTkLTZm
Jaiden s'est mise dans l'idée de profiter de son lien spécial avec Cucurucho pour lui demander des explications sur tout ce qui se passe sur l'île actuellement. Réfugiée dans son havre de paix, elle a attendu Cucurucho pendant plusieurs jours, et a même menacé d'enfreindre la loi du nombre de coeurs maximum, avant de se raviser, se disant qu'elle ne devait pas gâcher tout le travail de confiance que Cucurucho lui a apporté. Cucurucho l'a finalement rejoint, et Jaiden lui a demandé si tout allait bien. Cucurucho a expliqué qu'il est très occupé en ce moment a rendre les gens de l'île heureux, et a s'occuper de l'intégration des nouveaux résidents. Tubbo est un problème pour l'instant, mais il finira par rentrer dans le rang, il va s'en assurer. Jaiden lui a demandé des nouvelles du deuxième Cucurucho : son entrainement continu, mais le temps passé avec Jaiden a clairement aidé. Jaiden lui a montré comment faire du thé, mais n'a pas voulu lui poser de question sur les oeufs ou les médicaments, se disant qu'elle n'aurait aucune réponse de toute manière et qu'il valait mieux faire attention à Cucurucho.
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https://clips.twitch.tv/HonorableGrossNoodleStrawBeary-UTByolwiCjDAbEo_
Pendant que BadBoy et les autres discutaient, ils ont remarqué que le président était mort d'une chute fatale. Ils se sont précipités à sa base pour voir s'ils pouvaient en profiter. Là bas, ils ont remarqué que son cadavre était quasiment vide, il ne portait qu'une armure en dark metal, ainsi qu'une télécommande et un livre se traduisant par "Help, I can't take it all the time going back to that hate". BadBoy en a conclu que le président était somnambule et que son inconscient avait probablement tenté d'en finir. Ils se sont ensuite infiltré dans sa base, voyant que Forever était dedans, pour voir ce que la télécommande ouvrait. Ils ont réussi a ouvrir le passage vers la chambre de Richarlyson, et ont remarqué le président en train de dormir à ses côtés. Une fois que Foolish ai posé aux côtés du président dans son lit, les joueurs ont discuté sur ce qu'il pouvait bien se passer avec Forever pour qu'il agisse comme ça.
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Foolish a continué la construction de la nouvelle route : il a profité du carnage provoqué par les joueurs pour détruire l'ancienne route, au profit d'une en pierre. Avec l'aide de BadBoy, il l'a aussi décoré avec des lampes sur le côté.
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Évangile de Jésus-Christ selon Saint Luc 2,41-52
41 « Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque.
42 Quand il eut douze ans, ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume.
43 À la fin de la fête, comme ils s’en retournaient, le jeune Jésus resta à Jérusalem à l’insu de ses parents.
44 Pensant qu’il était dans le convoi des pèlerins, ils firent une journée de chemin avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances.
45 Ne le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à le chercher.
46 C’est au bout de trois jours qu’ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs de la Loi : il les écoutait et leur posait des questions,
47 et tous ceux qui l’entendaient s’extasiaient sur son intelligence et sur ses réponses.
48 En le voyant, ses parents furent frappés d’étonnement, et sa mère lui dit : « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant ! »
49 Il leur dit : « Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ? »
50 Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait.
51 Il descendit avec eux pour se rendre à Nazareth, et il leur était soumis. Sa mère gardait dans son cœur tous ces événements. 52 Quant à Jésus, il grandissait en sagesse, en taille et en grâce, devant Dieu et devant les hommes. »
Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Lc 2,49
« Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne le saviez-vous pas ? C’est chez mon Père que je dois être. » (Lc 2,49) Ce récit nous présente à la fois une manifestation du mystère de Jésus et l’incompréhension de ses plus proches. Que cette famille se soit rendue à Jérusalem pour la Pâque, rien d’étonnant. Que cela ait duré huit jours, rien d’étonnant non plus : les deux fêtes réunies de la Pâque et des Azymes qui n’en faisaient déjà plus qu’une duraient effectivement huit jours. Mais c’est la suite qui est étonnante : le jeune garçon reste au Temple sans se soucier, apparemment, de prévenir ses parents ; eux quittent Jérusalem avec tout le groupe, comme chaque année, sans vérifier qu’il est bien du voyage. Cette séparation durera trois jours, chiffre que Luc précise, bien sûr, intentionnellement. Quand ils se retrouvent tous les trois, ils ne sont pas encore sur la même longueur d’ondes : le reproche affectueux de Marie, encore tout émue de l’angoisse de ces trois jours se heurte à l’étonnement tout aussi sincère de son fils. La manifestation du mystère de Jésus réside, bien sûr, dans l’émerveillement de tous et particulièrement des docteurs de la Loi devant la lumière qui l’habite de toute évidence. Elle réside aussi dans la mention des trois jours qui, tout au long de la Bible, sont le délai habituel pour rencontrer Dieu. Trois jours ce sera le délai entre la mise au tombeau et la Résurrection, c’est-à-dire la victoire plénière de la vie. La manifestation du mystère de Jésus réside enfin dans cette phrase étonnante dans la bouche de ce garçon de douze ans, accompagné de ses deux parents bien humains : « C’est chez mon Père que je dois être. » : là il s’affirme clairement comme le Fils de Dieu ; à l’Annonciation, l’Ange Gabriel l’avait déjà présenté comme le « Fils du Très-Haut », mais ceci pouvait être entendu seulement comme le titre du Messie ; cette fois, la révélation franchit une étape : le titre de fils appliqué à Jésus n’est pas seulement un titre royal, il dit le mystère de la filiation divine de Jésus. Pas étonnant que ce ne soit pas tout de suite compréhensible ! Et ce n’est pas fini : Jésus, aujourd’hui, dit « Je suis chez mon Père »… Plus tard il dira « Qui m’a vu a vu le Père ». Ce n’est pas compréhensible, effectivement, même pour ses parents : et Jésus ose leur dire « Ne le saviez-vous pas ? » Même des croyants aussi profonds et fervents que Joseph et Marie sont surpris, désarçonnés par les mystères de Dieu. Cela devrait nous rassurer. Ne nous étonnons pas de comprendre si peu de choses nous-mêmes ! Aurions-nous oublié la phrase d’Isaïe ? « Vos pensées ne sont pas mes pensées et mes chemins ne sont pas vos chemins — oracle du SEIGNEUR. C’est que les cieux sont hauts par rapport à la terre : ainsi mes chemins sont hauts, par rapport à vos chemins, et mes pensées, par rapport à vos pensées. » (Is 55,8-9). L’évangile nous suggère que Marie, elle-même, ne comprend pas tout tout de suite : elle retient tout et s’interroge, et elle cherche à comprendre. « Sa mère gardait dans son cœur tous ces événements. » Après la visite des bergers à la grotte de Bethléem, nous lisions déjà : « Quant à Marie, elle retenait tous ces événements et les méditait dans son cœur. » (Lc 2,19). Luc nous donne là un exemple à suivre : accepter de ne pas tout comprendre tout de suite, mais laisser se creuser en nous la méditation. Pas plus que la nôtre, la foi de Marie n’est un chemin semé de roses ! La dernière phrase du récit de Luc donne à réfléchir : « Jésus grandissait en sagesse, en taille et en grâce sous le regard de Dieu et des hommes. » Cela veut dire que Jésus lui-même, comme tous les enfants du monde, a besoin de grandir ! Le mystère de l’Incarnation va jusque-là : ce qui signifie d’une part que Jésus est complètement homme, et d’autre part que Dieu a la patience de nos maturations : pour lui, mille ans sont comme un jour. (Ps 89/90). (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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SARAH BERNHARDT, LA DIVINE - Si l'attente est un biopic de la grande "Sarah Bernhardt", alors effectivement, ce n'est pas le lever de rideau qu'il vous faut. Dans l'opus que nous propose Nicloux, il s'agit de saisir un portrait de l'actrice à partir d'une palette très haute en couleurs, sur deux épisodes essentiels de sa vie : son jubilée, et son amputation de la jambe...
Vie passionnée et tragique, en permanence menée comme sur une scène hyper moderne pour l'époque fin 19ème jusqu' à l'après guerre. Ce qui frappe c'est la richesse et la vitalité de chaque plan, avec des couleurs un peu folles, des décorations de théâtre partout, et des harmonies éblouissantes. Ajoutons le mobilier de belle facture, les ornements luxueux, et la présence d'animaux originaux, très peu présents en ces temps.
Sandrine Kiberlain est dans son plus grand rôle, sa prestation est très travaillée dans l'incarnation d'une femme hors norme, qu'elle ne surjoue jamais. Impétueuse, sulfureuse dans ses relations no limit, le tout dans une santé chaotique, évidemment .. C'est d'ailleurs peut être un symbole que le Dr Freud fasse partie de la gigantesque liste d'invités à ses soirées et surtout la fameuse consécration-massacre dite du jubilé.
Face à ce phénomène intense, imprévisible, pétillant et sans relâche, gravitent de glorieux personnages autour d' elle : l'amour de sa vie : Lucien Guitry (Laurent Lafitte) extraordinaire, et son fils Sacha (à deux époques). Son époux Pitou (Laurent Stocker) nous apparait comme très malmené, jusqu'au malaise.
Un casting de haut vol, très inspiré du théâtre (plusieurs acteurs de la Comédie Française, ça le fait!); l'affaire Dreyfus abordée, Emile Zola qui reçoit sa feuille de toute pour rédiger son "J'accuse", et Edmond Rostand en pleine gestation de " Cyrano"...
Le tourbillon est à la hauteur de cette grande dame, excessive, libre, insolente, désespérée, résiliente et suicidaire.
NOTE 14/20 - C'est un film expressioniste qui témoigne de l’atmosphère de la fin du XIXè siècle, les images étant accompagnées d'extraits musicaux de compositeurs contemporains Ravel, Debussy, César Franck...
Emouvant et instructif, un petit bout de l'histoire de France et un très bon moment de cinéma
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L'héritière Maudite - Le tournoi des sorciers
L'héritière Maudite - Le tournoi des sorciers https://ift.tt/xU7GKsB by Mirabella29 Voldemort a été vaincu. Son fils, Mattheo Riddle, fait son apparition dans l'école de Poudlard, accompagnée de sa sœur cachée : Hermione Marvolo Riddle. Leur venue n'enchante personne, surtout lorsqu'un tournoi de sorciers prend part et que plusieurs maisons doivent se battre pour obtenir le titre de l'année : le célèbre sorcier victorieux héritera d'un poste d'Auror dans le ministère de la Magie et d'une grosse somme. Et Hermione est prête à tout pour enfin vivre la vie qu'elle s'était imaginée, peu importe si Draco Malfoy lui met des bâtons dans les roues. Autrement, une histoire où Hermione n'est jamais allée à Poudlard et lutte pour sa liberté en étant la fille de Voldemort et développe des sentiments pour le célèbre Serpentard : Draco Malfoy. UNE PROPHÉTIE SANGLANTE. UN AMOUR SOMBRE. ET UN AMOUR EN PÉRIL. Words: 34274, Chapters: 10/40, Language: Français Fandoms: Harry Potter - J. K. Rowling Rating: Mature Warnings: Graphic Depictions Of Violence, Major Character Death Categories: F/M, M/M Characters: Theodore Nott, Blaise Zabini, Seamus Finnigan, Ron Weasley, Tom Riddle | Voldemort, Bellatrix Black Lestrange, Antonin Dolohov, Lucius Malfoy, Mattheo Riddle (yasmineamaro), Luna Lovegood Relationships: Hermione Granger/Draco Malfoy, Harry Potter/Ginny Weasley, Neville Longbottom/Pansy Parkinson Additional Tags: Ron Weasley Bashing, Enemies to Lovers, Rival Relationship, Slow Burn, Angst, Blood and Torture, Violence, Angst with a Happy Ending, Alternate Universe - Canon Divergence, Morally Grey Hermione Granger, Dark Draco Malfoy, Family Loss, Hogwarts Eighth Year, Triwizard Tournament (Harry Potter), Draco Malfoy is Bad at Feelings, Draco Malfoy is a Brat, Hurt/Comfort, Childhood Trauma, Psychological Trauma, Good Slytherins, Grief/Mourning, Good Pansy Parkinson, Eventual Happy Ending, Imprisonment, Murder, Character Death, Dark Magic, Inappropriate Use of Legilimency (Harry Potter), BAMF Hermione Granger, Hermione Granger Has a Sibling, Dragon Draco Malfoy, Out of Character, Not Beta Read, Inspired by The Hunger Games, Inspired by Divergent, Tattooed Draco Malfoy, Idiots in Love, Possessive Draco Malfoy, Everyone Needs A Hug, Except Ron, Kingsley Shacklebolt Bashing, Pining Draco Malfoy, Français | French via AO3 works tagged 'Hermione Granger/Draco Malfoy' https://ift.tt/r4WEkLU October 02, 2024 at 03:55PM
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Le Sitar est un instrument de musique typique des musiques Hindoustanie (style de musique phare indienne avec la musique Carnatique.) l’invention viendrait du XIIIe siècle et aurait été inventée par le musicien Amir Khusrau. Il est à l’époque un simple instrument à cordes dérivé du Tambur perse et sera modifié lentement au cours des siècles. Tandis qu'il évolue petit à petit au fil des siècles pour devenir sa version actuelle vers le XIXe siècle, il sera abondamment utilisé notamment par des musiciens dans la culture musicale Hindoustanie. Instrument à cordes de la famille des luths, il mesure 1.2 m de longueur et possède une caisse de résonance piriforme (en forme de poire.) profonde, faite de bois et de calebasse, d’un manche en bois long, assez large et évidé, ainsi que des chevilles frontales et latérales et vingt frettes arquées et qui sont mobiles. Généralement muni d’entre deux à cinq cordes servant pour les variations rythmique, puis de neuf à treize cordes métalliques placées sous les frettes tout en étant accordées sur les notes du Rāga (cadre mélodique de la musique classique indienne) et qui sont placée donc directement sous les frettes, dans le manche. Les frettes qui sont convexes, sont fixés par des liens tendus le long du manche, permettant ainsi le déplacement de ces dernières en fonction des besoins. Bien que les origines de l’instrument sont controversées, oscillant entre un descendant des luths à long manche en provenance d’Asie Central ou bien issue d’une variation du Vînâ à trois cordes de l’Inde du Sud, on peut situer que son nom en lui-même, le “Sitar” provient du persan “Sihtar” qui signifie “À trois cordes”. l’Âge d’or du Sitar se situe entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle, tandis que sa forme actuelle date elle du XVIIIe siècle. Il est aujourd’hui l’instrument dominant la musique dans l’Inde du Nord et est utilisé comme un instrument soliste accompagnée Tambura (Luth à bourdon) ainsi que les tambours Tabla, mais aussi dans des ensembles pour les drames dansés nommée “Kathak”, issue aussi de l’Inde du Nord. Ainsi, pour le Sitar, il existe deux écoles modernes situées en Inde : Celle de Ravi Shankar, Sitariste et Compositeur Indien ayant vécu de 1920 à 2012 et celle de Vilayat Khan, Sitariste Indien ayant vécu de 1928 à 2004. Chacune de ses écoles possède son propre style de jeu, de type de Sitar (qui se résume par une taille, une forme et un nombre de cordes différentes) ainsi que le même système d’accord. Mais comment joue t’on du Sitar ? L’instrument est joué en étant assis en tailleur par terre et calé sous le coude droit et reposant sur le pied. Tenu de façon oblique comme la Guitare Flamenco et non pas de façon droite ou couché comme le Tampura, le sitariste use d’un onglet de métal du nom de Mezrab mis sur l’index droit pour pincer les cordes. Puis dans un mouvement de va-et-vient, comme dans la manière de jouer du le Setar, l'ancêtre du Sitar. Il y joue alternativement les cordes principales et rythmiques. L’utilisation dans la culture populaire se développe dans les années 1960 en piquant l’intérêt des Occidentaux dans les domaines de la spiritualité et de la musique Indienne. C’est avec le mouvement psychédélique en particulier que des sonorités asiatiques, ainsi que le sitar sont intégrées et font leur apparition dans la musique populaire, notamment chez les Beatles. On peut aussi nommer George Harrison qui sera l’élève de Ravi Shankar en 1966, puis son ami et l’utilisera dans de nombreux titres des Beatles tels que Norwegian Wood (1965), Love You To (1966), Withing You Without You (1966) ou encore The Inner Light (1968).
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Fils du Feu 09 ~ Flamme retrouvée
- "Apporte ceux-ci à l'Emissaire, Jote. Je les ai spécialement triés selon les thèmes qu'il préfère !"
La petite fille attrapa la pile de livres que lui tendait l'archiviste et fit en sorte de mettre un pied devant l'autre sans tomber. Heureusement, elle connaissait par coeur le chemin jusqu'aux nouveaux quartiers que Joshua s'était choisis. Se glissant entre les Immortels qui circulaient dans les couloirs, elle parvint enfin à la grande porte autrefois scellée, et qui, grâce au pouvoir de l'Emissaire de Phénix, demeurait toujours ouverte dorénavant.
Elle entendait la voix du jeune homme qui indiquait aux acolytes où poser ses nouveaux meubles. Jote ralentit le pas afin de ne pas gêner les aller et venues. Elle jeta un oeil dans l'alcôve élue par Joshua ; elle se situait un peu plus profondément dans le bâtiment céleste que le reste des pièces de vie, le garçon l'avait repérée durant son périple avec Adalia. Elle était assez spacieuse pour recevoir un grand lit, une table, trois chaises ainsi que le fameux fauteuil en velours rouge - que Joshua semblait tant aimer - et des étagères de livres en nombre. Cette pièce disposait également d'une vasque encastrée, presque semblable à celle du Nid. On était en train d'installer une armoire pour lui permettre de ranger ses vêtements.
La petite fille, essoufflée, posa les volumes sur le sol et s'accorda un moment de répit. Depuis que l'Emissaire avait "éveillé" la cathédrale, les torches n'étaient plus nécessaires. Une lueur bleue suintait de tous les pans de roche grise. Elle ne nécessitait aucune variation car, que ce soit pour la veille ou le repos, elle demeurait d'une intensité parfaite. Les Immortels avaient donc remisé les torches ou les cristaux lumineux, préférant cet éclairage optimal pour toutes les taches de leur quotidien.
Quand Adalia lui avait raconté dans le détail leur voyage souterrain, Jote s'effraya beaucoup ; puis elle regretta de ne pas les avoir accompagnés. Les lieux semblaient receler quelques dangers pour l'heure encore endormis, mais cela avait été rapporté à Cyril, qui avait défendu à quiconque de pénétrer plus avant dans la cathédrale. Joshua aurait aimé explorer les profondeurs encore davantage, mais son humeur était si changeante que ses projets étaient constamment modifiés.
Il avait pris part à la vie du refuge, et déambulait parmi les adeptes avec une certaine aisance, essayant de se rendre utile. Cela rendait les Immortels nerveux ; leur dieu n'était pas censé les aider, même si sa seule présence parmi eux les mettait ordinairement en joie. Joshua était le premier à se précipiter dès que quelqu'un faisait tomber quelque chose, ou se blessait. Il semblait ne plus se souvenir comment guérir les blessures, et il restait alors, interdit et comme muet, tenant la main du fidèle blessé au bord de la syncope, qui n'en revenait pas que le Phénix lui-même lui fasse la grâce d'un simple contact physique.
Jote ne doutait pas qu'il retrouverait cette faculté mais il s'agissait avant tout de canaliser son énergie. Joshua pouvait se montrer d'une folle témérité, puis l'instant d'après se plonger dans un livre et dans le silence pendant des heures. Il prenait des décisions audacieuses par lui-même pour certaines choses, mais se comportait comme un petit enfant timide pour d'autres, quémandant la permission de faire ceci ou d'aller là à chaque Immortel qu'il croisait. Il courait parfois dans les corridors avec une idée fixe en tête, puis s'arrêtait en pleine course, songeur, s'appuyant contre le mur pour réfléchir et faire demi-tour. Ses cinq années de sommeil semblaient avoir quelque peu affecté sa capacité à prioriser les choses et à prévoir les dangers.
Il aimait par-dessus tout revêtir la bure grise des Immortels - il avait réussi à s'en procurer une - et se glisser parmi ses fidèles incognito. Jote l'avait déjà vu faire. Un jour, il s'était assis avec les adeptes durant une de leurs séances de prières, et s'était assoupi, comme mis en transe par les paroles douces et monocordes de Maître Cyril. Mais quand il se déplaçait dans les couloirs, les fidèles finissaient par le reconnaître car il avait une façon bien à lui de marcher, du genre de celle qu'on apprend dans les châteaux. Jote s'en amusait souvent, quand il se faisait démasquer et que l'Immortel qui le houspillait une minute plus tôt comme un vulgaire apprenti se confondait en excuses en s'aplatissant presque par terre.
- "Vous devriez traiter tous vos semblables de la même manière que vous me traitez", expliquait alors Joshua avec patience. "Ou alors traitez-moi comme un des vôtres, cela m'est égal."
Cyril savait tout ceci mais il avait décidé de laisser l'Emissaire agir à sa guise.
Une semaine passa ainsi depuis que Joshua s'était installé dans son nouveau décor. La petite fille prévoyait qu'il aurait de nouveau la bougeotte d'ici peu. Elle le vit soupirer, les yeux levés, quand elle lui amena les cristaux pour son bain. Elle les posa sur la table et demanda la permission de s'assoir.
- "Jote, est-ce que vous croyez que je pourrais sortir ?"
L'Immortelle prit quelques secondes avant de comprendre ce que le mot "sortir" signifiait vraiment ici.
- "Vous voulez dire... dehors ?"
- "Oui, hors du refuge."
Elle saisit alors tous les sens que cette question pouvait revêtir. Il était bien évident que Maître Cyril n'empêcherait pas l'Emissaire d'aller où il voulait ; mais quant à savoir si Joshua était "capable" de sortir à l'extérieur, au soleil, sous le ciel, de retrouver ses semblables, des individus qui ne seraient pas des Immortels dévoués, c'était une autre histoire. Il semblait se porter relativement bien sur le plan physique, même s'il manquait encore d'exercice pour retrouver une pleine forme. Ses pouvoirs d'Emissaire semblaient revenus mais il était difficile de juger de leur puissance et de l'aide qu'ils pouvaient lui apporter en cas de besoin. L'usage de la magie était de toute façon très contre-indiquée dans et en dehors du refuge ; cela attirait beaucoup trop l'attention.
Jote avait entrepris de suivre des cours d'escrime avec leur maître d'arme mais elle n'en était encore qu'au commencement. Elle ne serait d'aucune aide pour le jeune garçon s'il était en danger. Pour l'instant... Jote se gifla mentalement ; Joshua exprimait le souhait de retrouver la vie et elle imaginait déjà le pire !
- "Vous devriez en parler avec le Maître", se contenta-t-elle de dire.
- "Bonne idée. J'aimerais voir Dame Adalia, elle me dira si je vais assez bien pour me risquer dehors..."
De nouveau, il avait adopté son attitude de petit garçon indécis, peu sûr de lui, alors que la veille il avait encore évoqué son idée de redescendre explorer les ruines célestes. Pour l'heure, il se dirigeait vers les quartiers du Maître d'une démarche pas aussi assurée qu'il l'aurait voulu.
Jote, de son côté, courut chercher la soigneuse. Elle ne gravitait plus autant autour de l'Emissaire mais se montrait toujours disponible dès qu'il avait besoin d'elle. Adalia se trouvait dans l'infirmerie et rangeait des flacons quand la petite fille vint presque se pendre à sa robe.
- "Ma Dame, Jo... l'Emissaire ! Il veut vous voir ! Il est avec Maître Cyril !"
- "Que se passe-t-il ?"
Jote pensa la rassurer en l'informant que le garçon désirait seulement quitter le refuge mais cela ne fonctionna qu'à moitié... Les deux Immortelles se hâtèrent dans le couloir, éveillant de nouveau l'inquiétude des acolytes qui les regardaient passer. Qu'avaient-elles encore en tête pour mettre le refuge sans dessus dessous ?
Joshua était sagement assis dans la chambre de Cyril et le Maître se tenait à ses côtés, l'air soucieux. Quand le jeune homme vit Adalia, ses traits se radoucirent et il lui sourit.
- "J'espère que vous êtes remise de notre petite aventure..."
Il s'était rendu compte par la suite du danger qu'il avait fait courir à la soigneuse en la laissant venir avec lui mais l'Immortelle ne lui en avait jamais tenu rigueur, même si elle avait eu grand peur.
- "Vous souhaitez sortir, Votre Grâce ?" demanda-t-elle en croisant les mains.
- "Effectivement, le Phénix trouve peut-être cet endroit trop... étroit pour sa grandeur", prononça Cyril sans aucun sous-entendu. "Je suis particulièrement heureux par la perspective de le voir régner de nouveau sur Rosalia, mais c'est encore un peu..."
- "Oh ! je ne compte pas me rendre en ville !" s'empressa de rectifier Joshua. "Juste... marcher sous le soleil, sentir le vent, écouter les sons de la nature... Je crois que tout cela me manque."
- "Si vous ne comptez pas vous éloigner des marais, cela ne devrait pas être trop dangereux. Je peux vous adjoindre une escorte," décida Cyril. "Je vais quérir de ce pas celui qu'il vous faut. En attendant, examinez Sa Grâce afin de vous assurer qu'il est... apte à cette excursion."
Le Maître s'éclipsa, laissant le trio dans son bureau. Adalia se pencha sur Joshua et commença un examen sommaire. Elle lui demanda comment il se sentait, s'il avait du mal à dormir, s'il avait bien mangé ses carottes, ce qui fit sourire de nouveau le jeune homme.
- "Jote m'en a fait manger. Je n'aime toujours pas ça mais j'ai voulu lui faire plaisir..."
- "J'aurais préféré que vous ne me disiez pas la vérité...", se renfrogna la petite fille.
Adalia regarda leur échange avec tendresse puis prononça son diagnostic.
- "Vous avez surtout besoin de vous dépenser. Vous êtes si jeune ! Vous ne pouvez pas rester ici tout le reste de votre vie. Cependant, ne vous épuisez pas trop. Vous êtes encore fragile, même si vous n'en avez pas l'impression... Dans votre état, tout est une question de dosage ; vous devez apprendre où sont vos limites. Vous l'auriez appris naturellement si vous n'étiez pas tombé dans le coma durant la phase la plus importante de votre développement de futur adulte..." Adalia soupira. "Vous allez devoir faire avec et rattraper ce temps perdu, mais à votre rythme. Inutile d'aller trop vite ou de chercher les ennuis. Vous me promettez d'être prudent ?"
Joshua hocha la tête.
- "Je vous donne mon autorisation alors, en tant que médecin. Je me demande qui va vous accompagner..."
Elle n'eut pas longtemps à attendre. Le Maître revint accompagné d'un Immortel d'âge moyen, à la courte barbe brune grisonnante. L'homme portait une petite épée dans les mains, et une autre était ceinte à sa taille.
- "Votre Grâce, voici votre escorte. Cet homme sera votre fidèle serviteur tant que vous vous déplacerez en dehors de ces murs. Et même davantage si vous le souhaitez."
Joshua jaugea l'homme d'un coup d'oeil, lui sourit et lui demanda :
- "Comment vous appelez-vous ?"
Les quatre Immortels échangèrent un regard un peu gêné, ne parvenant pas à s'habituer aux manières si désinvoltes de l'Emissaire qui brisait toutes leurs règles.
- "Votre Grâce...", commença l'homme, décidé à obéir. "Vous pouvez m'appeler comme vous le désirez..."
- "Donnez-moi un nom, n'importe lequel ! Ce sera plus facile pour moi d'être en votre compagnie si je peux vous appeler par votre nom."
L'homme sembla réfléchir mais Cyril prit les devants.
- "Nommez-le Baden, Votre Grâce."
- "Baden", répéta le jeune garçon en scrutant l'homme silencieux. Celui-ci hocha la tête. "Bien, Sire Baden. Menez-moi donc à l'extérieur par des chemins sûrs."
- "Avant que vous ne partiez, précisa Cyril, veuillez prendre ceci." Il lui remit dans les mains la courte épée que tenait Baden. "Vous n'avez pas de formation particulière même si on vous a enseigné les rudiments des passes d'armes dans votre jeunesse. Mais je me sentirais plus rassuré si vous portiez une arme."
- "Y a-t-il quelques dangers ?" demanda Joshua en passant la ceinture autour de sa taille.
- "Des bandits peuvent rôder dans les marais. Nous avons du nous débarrasser de quelques-uns trop curieux déjà..."
Il se rapprocha du garçon, peut-être un peu trop même pour son rang.
- "Je tiens à ce que personne ne vous voit pour l'instant. Restez à l'écart des foules", murmura Cyril. "N'utilisez pas la magie. Personne ne doit savoir que vous êtes vivant."
- "Comme je vous l'ai dit, je ne tiens pas à me rendre en ville", répondit Joshua en reculant, presque effrayé.
- "Que le Fondateur vous protège."
Le Maître les précéda dans le couloir vers la sortie. Jote et Adalia les suivirent un moment mais furent sommées de retourner à leurs occupations. Face à la porte circulaire qui le séparait encore du véritable monde des vivants, Joshua prit une grande respiration. Il connaissait cette émotion ; il avait eu la même quand son père l'avait officiellement présenté au peuple rassemblé comme l'Emissaire de Phénix. Son coeur avait alors tambouriné dans sa poitrine avec la même force qu'à présent.
Il n'avait pas besoin de clef pour actionner les battants. Plaçant sa main au centre du motif gravé, il attendit que le verrou céleste se débloque sous l'action de sa magie. Un souffle d'air frais faillit le renverser en arrière, tandis qu'il se protégeait les yeux des rayons du soleil, qui lui semblèrent alors d'une violence inouïe. Il plissa les paupières, mais il ne put empêcher ses larmes de couler devant l'assaut de la lumière. En même temps, il sentit une énergie naturelle envahir ses membres à mesure que l'astre du jour le touchait. Il avança en dehors du refuge, les mains toujours tendues devant lui, ne sachant trop où il allait. Il savait juste qu'il sortait pour aller quelque part.
La main de Baden saisit la sienne pour le guider et petit à petit, sa vue s'accommoda. Le soleil ne brillait pas autant qu'il le pensait ; des nuages gris couraient dans le ciel et le disque lumineux ne faisait que quelques apparitions. Il se souvient confusément d'un chiot dont la fourrure avait la même couleur... Ses oreilles furent assaillies par un son qu'il reconnut comme étant un coassement de grenouilles. Il regarda où il mettait les pieds et vit des herbes hautes ainsi que des joncs se balançant tranquillement au vent. Un grand échassier s'envola en les repérant et le bruit de ses ailes parut extrêmement fort aux sens de Joshua.
Il avait l'impression de renaître réellement au monde, après une longue absence.
Baden lui laissa le temps de vaguer parmi les roseaux à la recherche de grenouilles dissimulées. Joshua remarqua alors que le refuge se trouvait sur une petite falaise au flanc d'une chaîne de montagnes basses. Vues de l'extérieur, les ruines ressemblaient aux pétales écartés d'une rose tranchante. Une petite forme blanche voleta jusqu'à la structure et se posa quelque part hors de vue.
- "Un stolas", annonça Baden. "Pour Maître Cyril, je suppose."
En contrebas, Joshua vit la zone des marais rosaliens, qui se situaient au nord du pays. Ses notions de géographies étant rafraîchies par ses lectures, il savait qu'ils se trouvaient éloignés du village de Lestange ainsi que de Fort Phénix de seulement quelques kilomètres. De là où il était, il apercevait l'auberge du croisement, situé sur une éminence rocheuse, bien pratique pour prévenir les attaques.
Mais aucune position stratégique ne pouvait résister à l'armée impériale. Que restait-il de ce charmant petit bourg, dont il se souvenait à peine pour ne l'avoir traversé qu'une seule fois, pressé par le danger ?
Il se déplaça un peu plus en avant et la tour en ruines qui lui cachait la vue lui offrit un paysage plus dégagé. Il porta la main à sa poitrine de stupeur. Ce qui aurait du être un des projets les plus novateurs de son père exposait ses entrailles aux oiseaux et aux intempéries, comme un monstre abattu qu'on aurait dépecé. Le gigantesque aqueduc qui aurait du traverser le pays de part en part avait été abandonné. S'il avait été achevé, il aurait permit à nombre de Rosaliens de se passer des cristaux et des Pourvoyeurs pour leur approvisionnement en eau. Le coeur de Joshua se serra ; son père était mort avant de concrétiser ce rêve...
- "Tout va bien, Votre Grâce ?" Joshua hocha la tête, comme absent. "Rosalia est toujours vivante malgré tout. Le souvenir des Rosfield ne s'effacera jamais. Les Sanbréquois ont bien tenté de le démonter, mais... ses pierres sont bien trop puissantes pour eux."
Il marcha en direction du rebord du plateau.
- "Voulez-vous descendre ? Faites attention, les marches sont traitres."
L'Immortel disparu alors de sa vue et le garçon se précipita en avant. Il vit Baden suspendu à la muraille, les mains accrochées à des entailles profondes creusées dans la roche le long de la paroi. Prenant son courage à deux mains, Joshua suivit son exemple et du beaucoup se concentrer pour coordonner ses mouvements. Arrivé en bas de la descente, il rata une marche et l'acolyte le rattrapa de justesse avant qu'il n'aille s'étaler piteusement dans une mare stagnante.
Il ne se formalisa pas de si peu, déjà accaparé par tout ce qui l'entourait. Il aspira une longue goulée d'air et expira lentement, ravi par les odeurs et les sons. Enfin, de vieilles sensations lui revinrent. La pleine conscience de la vie qui fourmillait tout autour de lui, même la plus infime, la plus invisible, celle qu'il avait toujours été le seul à percevoir, le renversa presque en arrière. Il tourna sur lui-même, laissant ses bottes neuves s'enfoncer dans le sol mou, comme saoulé par ce trop-plein d'émotions.
Il plongea ses mains dans une mare d'eau croupie avant que Baden ait pu l'en empêcher et regarda les lentilles d'eau se coller à ses doigts. Un crapaud sauta près de lui et Joshua se mit à rire en passant sa main mouillée dans ses cheveux blonds.
- "Attention, les crabes de vase sont particulièrement agressifs... et venimeux", s'inquiéta l'Immortel.
Mais Joshua s'en moquait pour l'heure. Il écarquillait des yeux émerveillés sur chaque brins d'herbes, chaque petite créature, et écoutait attentivement tous les bruits de la vie sauvage comme si c'était la première fois. Comme repu, il indiqua du doigt l'aqueduc inachevé.
- "Je voudrais m'approcher des fondations. Est-ce possible ?"
- "Nous devons traverser la route et atteindre l'autre côté des Jonchères. Ce n'est peut-être pas très prudent..."
- "Nous ferons attention alors."
Laissant l'homme le guider parmi les mares, Joshua ne put s'empêcher de traîner en route, demandant le nom des oiseaux qui s'envolaient à leur passage. Baden lui répondait de son mieux avec une infinie patience, puis ils finirent par atteindre la route. Celle-ci montait jusqu'à l'auberge du croisement mais les deux explorateurs ne se rendaient pas là-bas. Ils se cachèrent dans des buissons afin de guetter une opportunité de traverser sans être vus.
Joshua vit passer des hommes, des femmes et des enfants, à pied ou à dos de chocobo ; des soldats aussi, à la livrée étrangère. Probablement des Sanbréquois. Ils n'hésitaient pas à rudoyer les voyageurs ; un Pourvoyeur isolé s'attira même leurs foudres en ne répondant pas assez vite à leurs questions. Le garçon serra les poings. La colère ne lui était pas familière mais une émotion nouvelle se fit jour en lui.
Ces gens étaient des Rosaliens, ses semblables, son peuple. Cette évidence lui fit perdre ses moyens. Pourquoi se sentait-il soudainement si lié à eux ? La vision de ces êtres simples, essayant de vivre leur vie quotidienne sous le joug d'un envahisseur qui ne faisait rien pour améliorer leur existence, le mit hors de lui. Mais il se contint en sentant la main de Baden étreindre son épaule.
- "Gardez votre calme, Votre Grâce. Un jour, nous leur ferons payer..."
Ils laissèrent passer la dernière cohorte et attendit qu'elle soit assez éloignée pour tenter la traversée. Les assises de l'aqueduc se rapprochaient et ils purent davantage apprécier l'audace de l'ouvrage.
De retour dans le marais, Joshua escalada de petits monticules immergés afin de toucher les vieilles pierres glorieuses. Son père lui avait si souvent parlé de cet édifice, mais il n'avait jamais eu l'occasion de le voir de près. Il lui disait toujours que ce serait sous son règne, à lui, que ce formidable outil serait achevé. Elwin Rosfield était un visionnaire, comme tous ceux de sa lignée ; peu lui importait de voir par lui-même les résultats de ses réformes ou de ses travaux monumentaux, tant que ses fils seraient là pour perpétuer ses idéaux.
Un monument destiné à relier tout le monde... Oui, c'était tout à fait Elwin. Son père était un homme bon, épris de justice, et sa mort ignominieuse continuait de hanter Joshua. Cette image le poursuivrait jusqu'à sa propre fin.
Le garçon continua de marcher le long des arcades gigantesques, insoucieux de l'état de ses bottes. Un troupeau d'antilopes rayées se dispersa à son approche, s'égayant dans les hautes herbes et les mares. L'une d'entre elles, cependant, ne sembla pas pressée de s'enfuir. Elle se dirigea péniblement vers les deux hommes - car elle boitait - et s'immobilisa à un mètre de distance, la tête basse.
Joshua sentit comme un puissant appel. Se déplaçant vers l'animal, il perçut immédiatement sa souffrance. Sa source n'était pas difficile à deviner, car son sabot arrière refusait de se poser dans l'eau croupie et restait en l'air, forçant l'animal à rétablir son équilibre précaire à chaque instant.
- "Votre Grâce, cette bête est peut-être dangereuse. Quand ils sont blessés, ils peuvent..."
- "Non, elle veut de l'aide..."
Il tendit la main vers l'antilope et la laisser flairer ses doigts. Ses grands yeux noirs et doux, ourlés de longs cils, exprimaient une sensation que Joshua comprit parfaitement. Elle était épuisée et ne tarderait pas à se coucher pour mourir. La main de l'Emissaire glissa le long de son flanc, puis sur sa cuisse, enfin il se pencha pour examiner la blessure. Là, juste au-dessus du paturon, une plaie ouverte suintante répandant une mauvaise odeur. Pas bon signe... La chair avait commencé à se nécroser, l'infection était en marche. Si la blessure avait été causée plus haut sur le corps, la bête aurait pu s'en sortir, mais l'habitude des antilopes de marcher dans l'eau des marais ne lui en laissait aucune chance.
Il remonta sur le flanc et sentit la fièvre qui le faisait trembler. Il savait ce qu'il devait faire mais n'était pas certain d'y arriver... Il devait d'abord débarrasser la plaie des saletés qui s'y étaient accumulées afin de sauver les tissus. Il guida la petite femelle antilope vers un endroit sec - elle se laissa faire - puis commença à se concentrer. Il ferma les yeux et tenta de visualiser toutes les impuretés qui s'étaient insinuées dans la plaie. Cela lui demanda de faire appel au pouvoir du Phénix ; lui seul pouvait lui permettre de déceler ce qui était invisible à l'oeil nu. Laissant l'oeil du Primordial le guider, le feu guérisseur se mit alors au travail.
Baden n'osait pas prononcer un seul mot, captivé par le processus. Il se mit même à genoux et commença à psalmodier des prières au Phénix, comme pour aider Joshua. Celui-ci n'entendait rien d'autre que le bouillonnement du sang, les battements de coeur entêtés de la bête. Quand il rouvrit les yeux, la plaie saignait de nouveau ; mais le sang était clair et sain, il avait vaincu l'infection.
Il devait maintenant reconstituer les tissus détruits. C'était le plus délicat. Il devait entrer lui-même dans l'organisme malade pour "copier" en quelque sorte le membre sain. Il s'assit par terre et se colla tout contre le flanc chaud de l'antilope. Celle-ci, en retour, s'appuya contre lui, comprenant parfaitement ce qu'il tentait de faire. De ses longs doigts fins, il caressa la jambe blessée de haut en bas, comme pour en modeler une nouvelle, et il sentit que cela revenait. Cette sensation familière de restauration, de reconstruction de ce qui avait été défait, démonté... Il en soupira de satisfaction. Il avait retrouvé la voie de la guérison, il se souvenait comment faire. Cela lui était si facile, jadis... Il passait alors par toutes ses étapes sans y penser, en quelques secondes...
Il ne fit qu'un avec la douleur de la bête en lui murmurant des "ccchhh" lents et doux. La blessure se refermait et les chairs se reconstituaient sous ses doigts habiles. Tous les gestes les plus infimes lui revinrent en un instant et il en aurait pleuré de joie. Il ne supportait pas la souffrance de l'innocent.
Perdu dans sa transe, il serait bien resté ainsi pendant encore un bon moment, la joue pressée contre le ventre de la bête. Celle-ci, reconnaissante, lui fourragea gentiment les cheveux de ses lèvres mobiles, le ramenant au temps présent. Il se leva et plongea dans le regard noir et velouté de l'antilope. "Merci", crut-il entendre. Elle ne lui avait pas parlé bien sûr, mais il comprit que c'était son sentiment.
- "Merci à toi...", lui répondit-il, les yeux dans le vague.
L'animal s'éloigna alors en sautillant vers son troupeau qui attendait à quelques mètres. Elle ne boitait plus du tout. Joshua leva les yeux vers l'aqueduc inachevé et soupira :
- "On peut toujours reconstruire les choses tant qu'il reste quelqu'un pour y croire, n'est-ce pas ?"
Baden avait fini sa prière et se relevait avec lenteur.
- "A vos côtés, je pense que rien n'est impossible, Votre Grâce."
L'Emissaire de Phénix se pencha en avant et toussa fortement. Un froid mordant le saisit alors ; une partie de sa force vitale l'avait quitté pour passer dans un autre être, et jamais plus ne lui reviendrait.
Mais il savait que cela était juste. Il était le Phénix, il ferait ce qu'il devait faire.
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Coucou ! Pour le jeu des questions de la 🔥🔥🔥VIOLEEENCE 🔥🔥🔥, si ça ne te gêne pas, la question 13, 16 et 17 selon ce qui t'inspire le plus pour le fandom que tu préfères ou les fanfiction en général ! Merci d'avance ! :D
Chose violence ask game
Allez c'est parti 🔥Violence🔥 !
13) Pire blorboification !
Allez je vais répondre pour FE3H du coup.
🔥 Hildegarde. Ses stans adorent la qualifier de personnage féminin "gris, fort et complexe". Ils sont pourtant experts dans l'art de la laver plus blanc que blanc. Ils font encore plus fort que le jeu et lui enlèvent toutes ses rares aspérités, la transformant en une pauvre petite fille UwU qui n'a rien fait de mal.
La manière dont je la représente dans ma fic a été beaucoup influencée par ça. Je voulais qu'elle soit vraiment dangereuse, cruelle, violente et monstrueuse. Un truc que ses chevaliers blanc détesteraient.
Le pire étant de savoir que des gens ont été harcelés car ils ont osé mal parler de leur déesse en pixels.
🔥 Lambert. Mon interprétation de Lambert est ultra-minoritaire et peu conventionnelle dans le fandom. Pourtant, je défendrai toujours le fait qu'elle ne contredit pas le canon. On voit peu Lambert dans le jeu, mais on en sait suffisamment pour se rendre compte que c'est un : mauvais roi, mauvais mari, un père négligent et probablement un mauvais ami. J'ai les arguments pour le prouver. Bienvenue à ma soutenance de thèse ahem bref.
Alors je comprends la blorboification de Lambert : il est grand, beau fort, facile de l'imaginer en papa nounours. Mais c'est encore un cas où l'on voit que les gens sont capables de se creuser la tête, de chercher de l'humanité à un personnage masculin à peine développé. Ce qui fait tomber le fameux argument "oui mais si les gens écrivent plus sur les persos masculins c'est parce que les persos masculins sont mieux écrits !!!!!". Mais bien sûr, les personnages féminins qui l'entourent n'ont pas droit à la même chose.
Comme dans la vraie vie les pères sont encensés parce qu'ils font juste le minimum, mais les mères sont soumises à toutes sortes de critiques et c'est toujours la faute des femmes.
La blorboification vient aussi du fait qu'on puisse le shipper avec Rodrigue, ce que je déteste bien entendu. Déjà parce que Rodrigue mérite mieux et ensuite que ça fait passer Rodrigue pour un crétin fini ."oh oui Lambert a risqué une crise diplomatique et donc la stabilité de Faerghus et la vie de son fils en épousant une femme qu'il n'aimait peut-être même pas (merci Nopes) mais c'était kro un bon roi ! Ave Lambert, Domina tecum, Benedictus tu in viribus etc. etc." (j'espère que le latin est bon, j'ai pas vérifié).
Genre c'est quoi ce roi qui met tout le monde en danger pour sa maîtresse du moment ?
🔥Matthias et Miklan et ça vaut pour tous les autres fandoms mais j'aimerais qu'on arrête de racler la fosse sceptique et de chercher de l'humanité/une rédemption pour les pires hommes.
Ce dont Sylvain a besoin, c'est d'être loin de Miklan. Il serait temps que les actions des proches abusifs aient des conséquences. Laissez les persos être légitimement en colère contre ceux qui leur ont fait du mal.
16) Je ne comprends pas pourquoi tant de gens aiment ça (caractérisation, trope, headcanon)
🔥 On va rester dans la lignée du précédent : les épouses troisièmes roues à peine nommées et esquissées et qui ne sont là que pour servir de ventres sur pattes parce qu'il faut donner une descendance au perso du canon. Et évidemment c'est un vrai problème dans le fandom FE3H.
Surtout quand c'est accompagné de situations très violentes comme "mais c'est pas grave, elle était aro-ace" (pour toi c'est pas grave, mais pour moi oui). Parce que le but n'est pas de représenter une situation difficile avec sensibilité. Ce n'est qu'une excuse pour que blorbo 1 et blorbo 2 puissent jouer à tétris sans (trop) de remords. Mais bon, quand je vois les gens se faire des high-fives à eux-mêmes après avoir écrit ça et donné deux traits de personnalité à la femme en question (alors euh bah...elle savait se battre et euh...voilà), je me dis qu'on ne vit pas dans le même monde.
On se croirait au final dans une vieille BD franco belge : les femmes sont en marge. Les seuls trucs intéressants sont liés aux hommes. Elles ne seront jamais le focus et ne sont pas dignes d'amour et d'intérêt. Au pire, elles seront des nuisances qui viennent casser le grand amour éternel ("Noooon Kyphon je ne peux pas rester avec toi car je dois épouser une princesse sortie de nul part". La princesse n'étant même pas nommée et on se fiche de ce qu'elle en pense).
D'autant que dans la vraie vie, les dynasties ne s'effondrent pas parce qu'il n'y a pas d'héritier biologique direct. On trouve des solutions. L'adoption existe. Si vous voulez écrire une relation entre personnes du même sexe, allez-y ! Faites les heureux et épanouis ! Pas besoin de coller une femme troisième roue ! Personne ne vous en voudra si Dimitri n'est pas le descendant direct de Loog ou Felix celui de Kyphon.
🔥Le fait que les personnages masculins aient le droit d'être exceptionnels mais que les personnages féminins doivent à tout prix se plier à des normes étriquées du ""réalisme"". Cessez cette obsession pour les Mary Sue. Beaucoup de vraies personnes seraient des Mary Sues selon ces critères. Ouvrez un livre. Une femme n'est pas une Mary Sue parce qu'elle suit son mari en campagne militaire.
🔥 Les romances où le personnage féminin est naïf/innocent/moins expérimenté dans tous les domaines de la vie que son love interest sombre et torturé. Je préfère quand les deux ont les mêmes aspérités.
17) Il faudrait plus de ce type de fics/art
🔥Plus de fics avec des OCs ! Il faudrait normaliser ça et inonder les fandoms. En ce moment je lis des fics sur Elden Ring et j'adore voir les personnages et les idées de tout le monde. Chaque perso apporte une nouvelle perspective et c'est super chouette.
Pas de reader inserts, non, des vrais OCs bien construits.
🔥Et dans FE3H plus spécifiquement : plus de fics sur Rhéa qui lui sont sympathiques, de contenu sur les Nabatéens, sur le lore du jeu...et sur des couples que j'aime beaucoup mais qui ne sont pas assez représentés comme DeduexByleth ou SylvainxMarianne !
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Retailleau refuse le Projet Guyane et nous fait perdre du temps avec son idée d’envoyer quelques clandestins en Égypte ou en Irak.
Nous devons défendre passionnément notre grand concept guyanais et en finir avec les fausses solutions.
Le centriste sans ambition Retailleau est un vilain militant des droits de l’homme qui fait barrage au Projet Guyane de Democratie Participative
Retailleau est occupé à se faire une réputation de faux dur auprès des naïfs, hélas très nombreux dans ce pays.
Et ça marche. La gauche fait sa publicité en hurlant à la mort tandis que rien de décisif ne se passe en pratique.
L’Opinion :
La question migratoire sera au centre du Conseil européen, jeudi à Bruxelles. Outre le pacte Asile et migrations, les Vingt-Sept se pencheront sur « la coopération de l’UE avec les pays tiers de transit et d’origine à travers l’utilisation de tous les leviers européens » selon l’Elysée. Au fil de ses discours et interventions médiatiques en rafales depuis son arrivée place Beauvau, la stratégie de Bruno Retailleau sur l’immigration est limpide. Il entend imposer un double message et un avertissement : la France doit « reprendre le contrôle » et ne doit « pas être plus attractive que les autres pays européens ». Sa mise en garde ? Les Français ne comprendraient pas qu’on tergiverse encore sur ce tour de vis qu’ils réclament depuis des années. A fortiori depuis que le viol et le meurtre de Philippine, dont est soupçonné un Marocain déjà condamné pour viol et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), ont à nouveau illustré les imbroglios administrativo-judiciaires qui signent, du point de vue du ministre de l’Intérieur, notre impuissance en matière migratoire. Le ministre de l’Intérieur négocie des accords avec des pays tels que l’Irak, le Kazakhstan ou l’Egypte. L’objectif ? Y renvoyer des étrangers impossibles à expulser dans leur pays d’origine.
C’est tellement absurde.
Depuis des mois maintenant, sinon plus, ici, à Democratie Participative, nous avons fait une proposition de bon sens, la seule possible en fait, dont l’efficacité serait de 100%. Elle ne nécessite aucun « accord » avec des états du tiers-monde, accords qui sont toujours accompagnés de pots-de-vin exorbitants pour quelques centaines de métèques effectivement déportés.
Cette solution s’appelle la Guyane.
Un territoire plus grand que la Nouvelle Aquitaine recouvert d’une dense forêt tropicale peuplée par des centaines de milliers d’insectes dont la plus grande part est aujourd’hui encore inconnue des scientifiques.
Ce territoire compte moins de 300,000 habitants et disposent de tout l’espace nécessaire au grand projet de remigration des migrants clandestins (pour commencer) auquel nous aspirons tous.
Nous n’avons besoin d’aucun « accord » avec des états tiers pour placer les clandestins hors d’état de nuire. La Guyane peut les recevoir dans des baraquements disposés au coeur de cette jungle extraordinairement hostile.
Nous aurions à peine besoin de murs et de barbelés. Le plus efficace des murs est la jungle elle-même avec ses scorpions, mygales, serpents, guêpes, maladies, en particulier le paludisme ou la dengue, l’absence de nourriture, pas même de filets pour pêcher quelques piranhas, ni de feu pour les faire cuire, l’humidité extrême. Les candidats à l’évasion mourraient pour la plupart en quelques jours.
Sans oublier les tueurs que l’on pourrait lancer aux trousses des fuyards pour les liquider le plus légalement du monde. On trouverait tout ce qu’il faut de soldats, voire de chasseurs de prime, pour pratiquer cette chasse à l’hominidé.
Et en prime les satellites ne pourraient pas repérer les charniers sous cette épaisse végétation
Écoutez, c’est simple. Nous avons ces territoires d’Outre-Mer qui nous coûtent une fortune et qui, à part être peuplés de nègres, ne nous servent jamais à rien. Cette proposition donne à l’un d’entre eux, la Guyane donc, une réelle valeur ajoutée, tant et si bien que nous devrions l’étendre aux prisonniers de droit commun actuellement détenus en France.
Vous n’avez pas idée à quel point ce grand projet de Democratie Participative est la clef de nombreux problèmes de sécurité, d’indiscipline et de mauvaise génétique dont nous sommes affligés à cause de la submersion migratoire.
En un temps relativement court, un archipel du goulag vert serait mis en place pour des centaines de milliers d’éléments biologiques menaçants. Leur seule chance d’en sortir : retourner dans leur pays d’origine.
Mais encore faut-il une réelle volonté au lieu d’un plan com’ prévu pour échouer.
Vous, chers lecteurs, n’en faites pas assez pour populariser notre proposition de bon sens qui peut sauver des vies. Le projet Guyane doit devenir votre projet, étape préparatoire à la remigration finale. Faites-le connaître autour de vous, sur les réseaux sociaux, partout. Petit à petit, l’idée avancera dans les esprits, ravivant l’heureux souvenir du bagne républicain dans les mémoires, terrifiant par anticipation les allogènes et leurs comparses.
Pourquoi s’enfermer dans des débats inutiles sur des négociations impossibles avec les pays d’origine de ces nuisibles alors que l’Amérique du Sud nous tend les bras ?
Faites vôtre ce projet, embrassez-le complètement, faites-en l’agressive proposition et laissons-le prospérer dans les coeurs jusqu’à ce qu’il devienne politique d’état sous l’influence des sentiments de l’opinion.
Démocratie Participative
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Je suis Charles Didier Paul Jonas, dit Charlie.
Je suis le fils de Barbara Graetz, la fille d'Erika Samson et de Helmut Graetz. Ma grande mère maternelle, avec sa sœur Léonie, étaient les deux seules de sa famille à avoir réussies à échapper aux nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Leur parents et leur frère de 18 ans ont été exterminés à Auschwitz.
Mon père est Didier Jonas, son père était Paul Jonas.
Paul Jonas et le général Charles de Gaulle libérèrent Paris des nazis en juin 1945.
Je suis Charles Didier Paul Jonas, tout le monde m'appelle Charlie car maman est britannique mais mon sang est juif allemand.
Je suis né à Paris le 30 octobre 1983 à la Clinique de la Muette située rue Nicolo dans le 16ème arrondissement de Paris. Ma grand mère est française, elle s'appelait Marie Odile Colin puis Jonas suite à son marriage avec Paul Jonas mon grand père.
Ma chère et défunte grand mère souhaitait que je sois baptisé pour pouvoir entrer dans une école privée catholique : Gerson situé au 31 rue de la Pompe,toujours dans le 16ème...
Ma grand mère anglaise, Erika Graetz à toujours crue que j'étais Juif pendant toute mon enfance. Dans les années 90 nous allions 5 ou 6 fois par an voir Gaggy, comme je l'appelai quand j'étais enfant. Elle habitait à Queensbury, 22 Branksom Way dans la zone 7 de Londres. Mon frère Alexandre et moi étions quasiment les seuls enfants blancs à jouer au cricket, tennis et foot avec les enfants paquistanais et indiens du quartier.
L'eurostar n'existait pas à l'époque donc on voyageait avec la Renault Clio de maman que faisait ses propres cassettes de toutes les musiques des années 60, 70, 80 et 90. Nous tapions dans nos mains sur Tina Turner : You are simply the best, Witney Houston, Queen, Elton John, Michael Jackson, Prince et tous les autres.....
En bref, j'ai été baptisé catholique en France et quand nous traverssions la manche en ferry ou aeroglisseur, j'arrivais juif à Douvres ! Ma vision de la religion est forcément un peu particulière.
Aujourd'hui je crois en une force supérieure qui guide nos pas. Merci Ophelie Winter, le premier CD 3 titres que j'ai acheté à 12 ou 13 ans.... Dieu m'a donné la foi.
J'ai failli mourir dans un accident de voiture à 21 ans et j'ai été emprisonné à Dubaï en 2012, du 8 février au 24 juillet.
Suite à ce malheureux épisode j'ai décidé d'aller habiter dans un pays qui représente l'extrême opposé de Dubai. Le Brésil et plus particulièrement Rio de Janeiro.
J'ai atterrit à Rio le 29 avril 2014 avec 7000 euros en poche et un visa étudiant. En juin 2014, l'Allemagne à gagné la coupe du monde de football. J'étais présent et à la dernière fête de la coupe un ami nommé Léo est venu à la fête accompagné d'une brésilienne blonde aux yeux bleus qui s'appelle Priscila. Ça été le coup de foudre immédiat. Nous nous sommes mariés le 18 juin 2015 et allons bientôt célébrer nos 10 de marriages !
Priscila est originaire de sud du Brésil. Sa famille sont des allemands immigrés d'avant la seconde guerre mondiale. Une partie de sa famille avait quelques liens avec la seconde guerre mondiale mais aujourd'hui ils ont changé de bord et vivent paisiblement au Brésil. L'ironie de la vie. L'amour vainquera toujours !
Aujourd'hui nous habitons à Vidigal, une communauté / favela paisible au pied des montagnes des deux frères et à 5 minutes de Leblon, Rio de Janeiro.
Je suis très heureux d'être né dans le 16ème arrondissement de Paris et de vivre aujourd'hui dans une favela ou je fais de belles choses pour la communauté et les gens dans le besoin.
J'aime Rio et son style de vie plus que tout au monde. J'ai monté mon agence immobilière qui s'appelle www.artdevivre.com.br. Mon nom sur instagram est charlielabellevie...
Je travail actuellement sur la rénovation d'une maison à Vidigal qui appartenait à David Beckham,le célèbre joueur de foot anglais qui a joué à Manchester, au Real de Madrid et au Paris Saint Germain. David à toujours joué avec le numéro 7. Du coup sur mon site internet la maison est la ADV007 :
J'écris ce texte en vue de ce qu'il se passe aujourd'hui dans le monde. J'espère qu'il y a d'autres personnes dans mon cas qui sont inquiets de ce que Donald Duck et Elon Fuck vont faire de cette planète. Moi, perso, j'enverrai bien Elon sur mars, qu'il nous foute la paix.
Et pour ce qui est des États-Unis et de ses psychopathes de républicains, je propose de resister fermement à leurs projets de déportations, d'extremisme de droite et de surtout leur montrer qu'il est impératif de s'occuper immédiatement de l'environnement de notre planète ainsi que des humains qui la peuple.
La planète terre est un endroit magique. Prenons-en soin.
Les armes ne sont pas nécessaires. Pourquoi un être humain devrait en tuer un autre ? Investissez tout l'argent que vous dépensez dans l'armement et dépensez-le dans des technologies pour nettoyer notre planète.
Il y a suffisamment d'espace sur terre pour que nous puissions tous profiter d'une vie heureuse avec les personnes que nous aimons. De toutes les races, de toutes les couleurs et de toute les préférences sexuelles.
Tout ce qu'il faut faire c'est de consommer ce qui est nécessaire et de veiller à ce que nos déchets soient traités et recyclés correctement.
Les religions sont les bienvenues. Croyez en ce que vous voulez. N'imposez pas de règles aux autres.
Tout le monde mérite d'être libre, en bonne santé et heureux !
🙏
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THE LOTHARIO
EN How could we not share with you the one and only Don Lothario after showing you the Caliente sisters? He's accompanied by his mama, the only woman in his life for whom he's faithful haha.
Who wants to marry my son? Adriana Lothario dreams of a worthy offspring and is looking for the perfect wife for her son. Demanding as she is, she has yet to find a suitable suitor… What she doesn't know is that her beloved Don is chasing after conquests with no desire to put a ring on his finger.
FR Comment ne pas vous partager le seul et unique Don Lothario après vous avoir montré les sœurs Caliente ? Il est accompagné de sa mama, la seule femme de sa vie pour qui il est fidèle haha.
Qui veut épouser mon fils ? Adriana Lothario rêve du descendance digne de ce nom et est à la recherche de la femme parfaite pour son fils. Exigeante, aucune prétendante n'a encore trouvé grâce à ses yeux… Ce qu'elle ne sait pas, c'est que son chère Don enchaine les conquêtes sans avoir aucune envie de se mettre la bague au doigt.
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Google drive : Download tray + cc EA Gallery : Toshiki84 All my sims are in their french version (name and description) and make sure to activate custom contents
#sims 4#toshiki makeovers#lothario family#don lothario#adriana lothario#oasis springs#toshiki makeover
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Ur priñs yaouank 'monet d'e rejimant ; Àr ma c'halon eñ 'lak ur groaz argant.
Hag àr ma biz eñ 'lak un diamant, Àr ma c'halon eñ 'lak ur groaz argant.
Àr ma c'halon eñ 'lak ur groaz argant : « Ha gwarnit hi genoc'h ba kornig ho kredañs. (1)
» Ha gwarnit hi genoc'h ba kornig ho kredañs Kent arruin 'r gêr a ma rejimant. »
« Kerzhit ma c'hoar àr vur an tro-c'hastell Da saludiñ ar Priñs 'zo 'tonet 'ziabell.
» Da saludiñ ar Priñs 'zo a-bell é tonet A zo getañ e dropad soudarded. »
« Boñjour, ar Priñs, ho saludiñ a ran ; Setu amañ ho tous Maris vihan !
‒ Salud deoc'h-c'hwi, femelennig yaouank ; N'eo ket c'hwi eo man dous Maris vihan !
» N'eo ket c'hwi eo man dous Maris vihan Hag àr ho piz n'eo ket man diamant.
» Hag àr ho piz n'eo ket man diamant, Àr ho kalon n'eo ket ma c'hroaz argant. »
« Kerzhit ma c'hoar da saludiñ ar Priñs, Ar priñs yaouank en deus ma anavet !
‒ Setu ma mab, ma mab ha ma madoù Kar eh an-me bremañ da soufriñ tourmantoù. »
« Salud ar Priñs, ho saludiñ a ran, Setu amañ ho tous Maris vihan !
‒ Boñjour deoc'h-c'hwi man dous Maris vihan, Ar fall liv a zougit a lâr eh oc'h bet klañv.
‒ Nompas ar Priñs, ha klañv nend on ket bet ; An derzhienn a nav miz he deus ma gwallaozet. »
FR. LE RETOUR DU JEUNE PRINCE. Un jeune prince allant à son régiment pose sur mon cœur une croix en argent. / Sur mon doigt il met un diamant, sur mon cœur il pose une croix en argent. / Sur mon cœur il pose une croix en argent : « Gardez-la dans un coin de votre armoire. / » Gardez-la dans un coin de votre armoire jusqu'à ce que je revienne à la maison de mon régiment. » / « Allez, ma sœur, sur le mur d'enceinte du château pour saluer le Prince qui vient au loin. / » Pour saluer le Prince qui vient de loin, accompagné de sa troupe de soldats. » / « Bonjour Prince, je vous salue, voici votre douce petite Marie ! / - Salut à vous, jeune femme, ce n'est pas vous ma douce petite Marie ! / » Ce n'est pas vous ma douce petite Marie : sur votre doigt ce n'est pas mon diamant. / » Sur votre doigt ce n'est pas mon diamant, sur votre cœur ce n'est pas ma croix d'argent ! » / « Allez, ma sœur, saluer le Prince, le jeune prince qui m'a reconnue ! / - Voici mon fils, mon fils et mes biens car maintenant je vais souffrir mille tourments. » / « Bonjour Prince, je vous salue, voici votre douce petite Marie ! / - Bonjour à vous ma douce petite Marie. Le mauvais teint que vous portez dit que vous avez été malade. / - Non, Prince, je n'ai pas été malade ; c'est la fièvre de neuf mois qui m'a malmenée. »
EN. THE RETURN OF THE YOUNG PRINCE. A young prince going to his regiment places on my finger a diamond. On my heart he places a silver cross: "Keep it in a corner of your wardrobe until I return home from my regiment."/ "Go, my sister, to the castle wall to greet the Prince who comes from afar accompanied by his troop of soldiers…
(1) genoc'h = ganeoc'h ; kredañs = armel, pres
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