#Nous vivons dans un monde de fous.
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DANS QUEL MONDE...
Dans quel monde vivons-nous ?
Sommes-nous devenus fous ?
Le racisme, les génocides, le sang
Des enfants tués par d'autres enfants,
Les guerres, les viols, la faim, la misère,
Quand donc s'arrêtera le calvaire ?
Mais comment avons-nous fait ?
Pour que cette belle boule bleue
Dont un jour nous avons héritée,
Devienne un monde si dangereux ?
Elle était pourtant magnifique
Au début, cette terre magique
Que de vilains petits gnomes
Qui portent le nom d'hommes
Détruisent, sans aucun regret,
Pour toute cette beauté !
J'avoue qu'il m'arrive d'hésiter
A tourner le bouton de la télé,
Parce que je ne peux plus regarder
Cette souffrance étalée
Aux regards indifférents d'un monde,
Que trop souvent je trouve immonde !
Sommes-nous devenus des zombis
Insensibles au malheur d'autrui ?
Des espèces de monstres sans cœur,
Capable de regarder l'horreur
Sans que quelque chose à l'intérieur
Ne se révolte et hurle de douleur ?
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
19/20
En parlant de Tante Rose, je lui ait mentionné la maladie de ton père. Elle a froncé les sourcils et s'est montrée elle aussi inquiète. Elle m'a dit avoir traité assez peu de cas de tuberculose dans sa carrière, mais elle confirme tout ce que tu dis, si ce n'est qu'elle ajoute qu'il peut-être très rapide de passer d'un stade à l'autre, et surtout irréversible. Elle conseille à ton père de se faire traiter séance tenante, d'éviter tout sujet de contrariété, et éventuellement de se faire admettre en sanatorium, où les symptômes pourraient être quelque peu soulagés. Il existe aussi un traitement assez r��cent appelé antigène méthylique qui pourrait freiner la maladie, mais là il n'aura pas d'autre choix que de s'en remettre à un docteur, et elle n'est pas sure que ce traitement existe au Canada. Elle le sait têtu et espère qu'il l'écoutera elle, puisqu'elle est un médecin de la famille. Mais comme tu le dis, peut-être vivra t-il encore des années avec la maladie.
Nous vivons tous deux notre lot de malheurs en ce moment. Je fais le même voeux que toi et que les choses commencent à aller mieux.
Transcription :
Rose « Ange ? Tu n’es toujours pas couché ? »
Ange « Non, je chéris un peu la solitude. Je n’ai pas l’habitude d’être pressé par tant de monde alors que je n’aspires qu’à rester seul. »
Rose « Tu prêches une convertie. Si ça n’avais tenu qu’à moi, j’aurai fait cela en petit comité, rien qu’avec la famille proche. »
Ange « Il y avait toujours cette part de moi qui avait envie de répondre avec des insultes aux condoléances. J’avais l’impression de devenir un peu plus fou à chaque fois qu’on me demandait si ça allait. »
Rose « Quasiment tout le monde a subi un deuil une fois dans sa vie, mais force est de constater qu’on se sait jamais rien dire d’original sans avoir l’air hypocrite ou insensible. Je note tout de même que personne n’a posé de questions sur le sarcophage. »
Ange « La mise en fosse a été des plus dignes. Elle ne nous a pas facilité la tâche en précisant dans son testament qu’elle voulait être enterrée dans le sarcophage, et qu’il soit en mis en terre ensuite. J’imagine qu’elle voulait que chacun le voit sous toutes les coutures. Et malgré tout, j’ai rarement vu Oncle Constantin si fier. »
Rose « Il y avait tout de même trop de monde. »
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Un seul Dieu tu adoreras…
Le 5 mars, j'avais écrit, dans un édito, la phrase suivante, qui a choqué quelques lecteurs et en a apparemment surpris plus d'un : “ 99 % de nos contemporains sont incapables de voir [dans l'islam] autre chose qu'un ’‘christianisme autrement’' et ils sont donc capables de proférer des énormités telles que : ’'L'islam, une religion d'amour et de paix ”... ou “Le carême ? Un ramadan chrétien”... voire, plus énorme encore, “Eux et nous croyons en un seul Dieu, donc c'est le même…” (…)“. Des lecteurs m'ont écrit, juste avant le dernier ’'haut fait” dans l'horreur de ces fous de haine : ’'Sur quoi vous basez-vous pour dire que ce ne serait pas le même dieu ?“. Le demandent-ils encore après ’l'attentat de Moscou’', avant-hier ?
Une remarque préalable : il faut admettre que, à un niveau élémentaire, la définition de l'ancien ’'Catéchisme” de l'Eglise préconciliaire ouvrait la porte à une confusion possible : “Q. : ’'Qu'est-ce que Dieu ?’’ –R. : ’'Dieu est un pur esprit, infiniment bon, infiniment aimable, infiniment puissant, créateur et souverain Maître de toute chose” … ce qui pourrait aussi “définir” Allah… à ceci près que l'équivalent du “Credo” pour les musulmans, la “Chahada”, affirme : “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh..”. (= Non, il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah– seule “définition” connue qui s'ouvre par une négation : “Non, il n'y a pas de Dieu …. autre que Allah)– et précise, pour interdire tout ’'amalgame”, que “Muḥammadan rasûlu-llâh” (Mahomet est son Prophète), ce qui sonne la fin du rêve-cauchemar simpliste des “syncrétistes relativistes”.
Pour être sérieux, il faut partir de l'affirmation initiale, apportée au monde par le christianisme, et qu'aucune autre religion n'égalera jamais, dans l'immensité de ses conséquences. Elle est stupéfiante, et repose sur des bases jamais vues les relations entre l’Homme, le Divin, et le Sacré : “Un Dieu unique, en trois personnes” (on appelle trines, comme “Trinité”, ces trois “unités” résumées en une par Tertullien. Il y a deux mille ans plus encore qu'aujourd'hui, cet énoncé des attributs de la Divinité n'a pas été “facile à avaler”, d'autant plus que l'expression “en trois Personnes”, qui est la plus souvent utilisée traduit très mal ’‘en trois Hypostases’’, ce qui ajoute de la difficulté à la complexité.
Et parmi nous, qui brandissons plus qu'ils ne le méritent notre rationalisme et notre science de plus en plus souvent sans conscience, cette complexité en a effrayé plus d'un, les rejetant dans un obscurantisme encore plus grand : nombreux sont ceux qui se soumettent à de superstitions plus irrationnelles encore que l’existence éventuelle d’un Dieu (du Vendredi 13 qui porte chance ou guigne -on ne sait pas trop !- aux tarots, des horoscopes, aux tables tournantes, ou autres mœurs et pratiques qui rendent “soumis” (= islam) des adeptes d'une néo-religion dénaturée qui en font, chez nous, une démonstration qui est trop souvent sanglante, hélas !).
Pourtant, l'équation (1 = 3), est une expérience que nous vivons à chaque instant : le nombre des choses uniques mais qui se comptent “trois” est immense, depuis la plus modeste pièce de monnaie, qui a une face, un revers et une tranche mais est “une”, indivisible et (si on me permet !) consubstantielle (même si je sais que l’homo-ousia chrétienne est une tout autre chose !) ou une jolie feuille de trèfle qui est une mais trois (si rarement quatre !) et jusqu'à n'importe laquelle de nos journées qui est matin, midi et soir… parmi tant d'autres exemples possibles (cf. n/ billet n° 31-- 23 déc. 2013. NB : c'est un ’'dada” qui, en moi, ne date pas d'hier !).
Mais une autre révélation a été plus traumatisante encore : jusqu’à l’apparition du Christ dans l'Histoire, la notion de dieu était une référence locale et tribale, fermée sur elle-même, et même les monothéismes antérieurs n’avaient pas dérogé à ce critère : Adonaï, le Dieu d’Abraham est “le Dieu d’Israël”, sans ambiguïté (ex. : “Seigneur, sauve Israël, ton peuple”-Ps 28-9, ou : “Le Seigneur dit : je suis un père pour Israël ’’-Jr 31, 7-9), tout comme Amon-Rè ou Aton appartenaient à la seule l'Egypte, Ahura Mazda aux aryens, Tangata Manu aux seuls pascuans (ce qui limitait sa ’'toute puissance” aux 160 km² de Rapa-Nui !) ou Yo aux phéniciens et Baal aux cananéens… Zeus, sur son Olympe, était aux grecs, Jupiter au monde romain, Manitou aux seuls algonquins (et non aux “peaux-rouges”, comme on le croit souvent), Quetzalcóatl aux aztèques et Mango-Capàc aux incas –et cetera…
Exception amusante, Rome avait empilé dans son Panthéon la totalité des dieux adorés par les peuples conquis et intégrés à l’Imperium romanum… et ce, jusqu'à l'absurde : vers la fin du temps où l’Urbs et l’Orbis ne faisaient qu'un, on “adorait” à Rome 30 000 ‘’dieux’’ de toute sorte, de toute forme et de toute origine. (NDLR - Certains ont d’ailleurs vu dans cette “foultitude” l'origine de la célèbre apostrophe d'Obélix : “Ils sont fous, ces romains !“. Je n'ai pas vérifié). On peut se demander quel rôle a joué cette dilution extrême de l'identité romaine dans l'effondrement d’un Empire géant et surpuissant, mais qui s'est trouvé désarmé devant la simple apparition d'une majuscule à “Dieu”... idée, qui –que je sache--n'a jamais été explorée.
Car tout à coup éclate à la face de l’Humanité cette grande nouvelle : Dieu est un, et Il est universel ! Dieu n’appartient plus à un seul peuple, pas même à ses seuls adorateurs, mais Il est pour le monde et au monde : comme il est dit qu’Il “s’est fait Homme”, Il devient l’un des nôtres. Dieu oui, sans aucun doute, mais à jamais solidaire de l’humanité, de toute l’Humanité passée, présente et à venir, quelles que soient ses religions, ses croyances, ses refus de croire, ses choix philosophiques : un homme-Dieu et un Dieu-homme, tout en un, et en trois personnes, en plus ! Deux mille ans plus tard, l’humanité ne s’est pas encore vraiment remise du choc de la révélation que ”Il n'y a plus ni juif ni grec, il n'y a plus ni esclave ni homme libre, il n'y a plus ni homme ni femme,“ (Gal 3-28), malgré tant de tentatives ratées, souvent en ”–isme’’, pour s'approprier cette idée “géniale” ! (Remarque : quel point commun avec Allah ? Pas un seul !).
Parmi tant d'autres apports méconnus ignorés ou mal identifiés du message christique, cette première “mondialisation” qu'a été l'idée d'un Dieu unique pour la terre tout entière a certainement été la plus bouleversante dans ses conséquences, et jusqu'à ce jour, c'est la seule “mondialisation” positive réussie ! Cette idée a été reprise ensuite, sous des formes variées… dont l'Islam est à la fois un bel exemple et un superbe contre-exemple : Allah, Dieu unique s'il en est, exige la conversion des hommes, et il est donc à la fois universel et spécifique. Ne serait-ce que sur ce seul point, toute confusion entre “Dieu” et “Allah” est impossible. D'autres copies de mauvaise qualité ont pris des formes plus avariées que variées, comme le communisme et les socialismes, et plus récemment l'écologisme, l'égalitarisme, le “wokisme”… mais ces spéculations à prétentions internationalistes voulaient imposer une “vérité” qui n'est que leur mensonge… Toutes ont très vite trouvé et prouvé les limites catastrophiques de leur projet sans issue possible.
Quoi qu'il en soit, voilà soudain le monde pourvu d'un Dieu unique, universel, indépendant de l'identité de ses adorateurs, le même pour tous… et qui va proclamer l'égalité “devant sa face” de tous les hommes, femmes, “juifs ou gentils”, pécheurs ou saints… qu'il va aimer aussi fort qu'il aurait voulu qu'ils s'aiment les uns les autres ! Une séparation du type “je t'aime… moi non plus”, entre ceux qui croient et ceux qui refusent de croire, va trouver là un sujet de querelle à vocation d'éternité. Après la réhabilitation en cours, par la science, des contenus de la Bible, très (trop) longtemps moqués et rejetés, la suite de l'histoire de l'Homme sur la Terre va être marquée à jamais par la révélation christique.
Comme nous sommes loin d'un Dieu exigeant, autoritaire et normatif, qui veut commander, conquérir, contrôler, et diriger jusque dans le moindre petit détail… “Aimez-vous comme je vous aime ”, dit l'un. “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh” (= Il n'est de Dieu que Dieu)... et “ s'il le faut, il conquiert les âmes par l'épée” (= “Bès Sif”)“, dit l'autre. Un seul Dieu, c'est évident. Mais Le même ? Sûrement pas, même un peu… Dès qu'on va au fond des choses, c'est chacun le sien ! Et c'est très bien, comme ça !
H-Cl.
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Bienvenue au Clan Destin. Ici, jour et nuit, nous tentons le destin Et le destin nous tente – nous y succombons! Nous tentons le destin par le choix Nous tentons notre chance par le risque Nous tentons Satan comme bon Dieu nous semble, Pauvres diables que nous sommes, Nous qui ne croyons pas au destin Mais en sommes les maîtres, Nous qui ne croyons qu’en l’Être des lettres En somme, nous débutons par la finalité Nous causons la division en vue du partage Nous parions nos biens comme nos maux Sur la Fortune en haillons Et nous vivons en respirant la fatalité Dans l’air familier d’un cri, Dans l’aire de jeu du devenir Car nous sommes un troupeau de moutons noirs, Une meute de loups solitaires, Une volée d’oiseaux en cage MMA, Une colonie de manchots sans empereur, Une ruche de guêpes dont la taille Entoure tout l’univers, Une horde d’éléphants gardant en mémoire La gloire future, Un banc de saumons n’ayant pas de rivière À remonter Voilà. Les dés sont jetés. Chaque dé prime sur notre sort Comme la force prime le droit, La gauche l’emporte sur la droite Et les courbes emportent nos « tout droit » … Nous sommes! De chaque déprime nous sortons Quand, quoique jetés dans le monde, Nous allons tout droit! Tout droit! Tout droit! … et plus haut! Toujours plus haut! Plus vite, plus haut, plus fort – ensemble! Gravissons l’Olympe! Délogeons-en les dieux Tant que le feu sacré nous habite! Brûlons d’amour! Faisons des étincelles Pour que nos torches éclairent la voie! Soyons le brasier incendiant les cimes, Au prix que notre buisson ardent se consume Et qu’on nous mette sur le bûcher Comme par magie, existons! – au prix De nous jeter un sort et que le sort Nous jette par la fenêtre Marchons! – au prix de nous perdre Courons! – au prix de nous couvrir de bleus Volons! – au prix de nous briser les ailes Espérons! – au prix des déceptions amères Visons les étoiles! – au prix de les tuer Et aimons, aimons, aimons à tout prix, Aimons coûte que coûte! L’amour n’a pas De prix autre que le premier prix Et le dernier baiser de nos chéris
Bienvenue au Clan Destin. Ici, voleurs de feu, poètes clandestins, Nous n’aimons que d’un amour clandestin, Avec un cœur ouvert pour saigner en roses, Avec un cœur mis à nu et tombé des nues, Avec un cœur qui (se) bat sans arrêt, Avec la fougue d’une jeunesse éternelle Ici, nous aimons, nous vivons sans raison Car la voix de la raison parle à tort et à travers Et nous sommes les porte-paroles des mimes Nous avons des saltimbanques en tête d’affiche Et chez nous, les fous sont rois, L’équilibre de vie est funambule, Les priorités sont jonglées par des clowns Et seul Orphée – tout seul, dévoré par le chagrin – Dresse les bêtes fauves que nous sommes!
-Poésie: "Le Clan Destin", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme
#poesie#poetry#french literature#clandestine#destiny#alea jacta est#orpheus#animals#wildlife#fate#wheel of fortune#human existence#free verse
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Un refuge où accourir
Nous vivons dans un monde imprévisible. Les personnes et les biens matériels auxquels nous tenons, les vies que nous menons: tout cela semble incertain et instable.
Le roi David pouvait le confirmer. Après des années de fidèle service auprès du roi Saül, ce dernier a comploté pour l'assassiner. Désespéré, David s'est enfui vers Gath, là où vivait Goliath, le géant que David a tué lors d'une bataille. Ayant été reconnu par les habitants de Gath, David était si terrassé par la peur qu'il a prétendu être fou. Le roi de Gath a été rebuté par sa soi-disant "folie" et a chassé David en dehors de la ville.
À cette période, David a échappé plusieurs fois à la mort. Il était entouré de personnes qui le haïssaient, et il avait toutes les raisons d'être anxieux et apeuré. Pourtant, au milieu de ces circonstances incertaines, il a créé un psaume pour louer Dieu pour sa grandeur.
"Je bénirai l'Éternel en tout temps et à jamais, mes lèvres le loueront."
Psaume 34:2 BDS
Louer Dieu a permis à David de relativiser ses problèmes. Les situations pouvaient changer, mais pas Dieu. Il demeurait puissant, constant et omniprésent. L'Éternel n'a pas toujours délivré David des circonstances difficiles qu'il traversait, mais il l'a toujours accompagné.
"Moi, je me suis tourné vers l'Éternel et il m'a répondu. Oui, il m'a délivré de toutes mes frayeurs."
Psaume 34:5 BDS
Dieu était celui qui a secouru David de ses ennemis, celui qui a pourvu maintes fois aux besoins de son peuple dans les temps difficiles.
Et s'il l'a fait avant, il peut encore le faire.
Prends maintenant un moment pour réfléchir aux manières dont Dieu a été fidèle envers toi. De quelles façons t'a-t-il protégé, fortifié, encouragé? Comment a-t-il pourvu à tes besoins?
Si tu as du mal à trouver des exemples, ce n'est pas grave. Si la louange ne te vient pas facilement en ce moment, lis simplement le Psaume 34 et laisse ces paroles devenir ta prière personnelle.
Le même Dieu dont parle David continue à faire de grandes choses dans notre monde. Il continue d'écouter les cris de son peuple. Dieu est toujours présent dans notre douleur, il est toujours à l'œuvre dans nos incertitudes et il est toujours tout-puissant, même lorsque nous nous sentons impuissants.
_____________________________________________
Prière
Père céleste, tu es si bon pour moi! Je n'ai pas besoin de chercher bien loin pour voir les marques de ta bonté dans ma vie. Même quand les situations sont difficiles, tu te montres fidèle, juste, toujours présent et digne de confiance. J'ai vu que tu es bon parce que lorsque j'ai crié à toi pour te demander de l'aide, tu m'as sauvé. Béni soit ton nom! Au nom de Jésus! Amen!
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Un refuge où accourir
Nous vivons dans un monde imprévisible. Les personnes et les biens matériels auxquels nous tenons, les vies que nous menons: tout cela semble incertain et instable.
Le roi David pouvait le confirmer. Après des années de fidèle service auprès du roi Saül, ce dernier a comploté pour l'assassiner. Désespéré, David s'est enfui vers Gath, là où vivait Goliath, le géant que David a tué lors d'une bataille. Ayant été reconnu par les habitants de Gath, David était si terrassé par la peur qu'il a prétendu être fou. Le roi de Gath a été rebuté par sa soi-disant "folie" et a chassé David en dehors de la ville.
À cette période, David a échappé plusieurs fois à la mort. Il était entouré de personnes qui le haïssaient, et il avait toutes les raisons d'être anxieux et apeuré. Pourtant, au milieu de ces circonstances incertaines, il a créé un psaume pour louer Dieu pour sa grandeur.
"Je bénirai l'Éternel en tout temps et à jamais, mes lèvres le loueront."
Psaume 34:2 BDS
Louer Dieu a permis à David de relativiser ses problèmes. Les situations pouvaient changer, mais pas Dieu. Il demeurait puissant, constant et omniprésent. L'Éternel n'a pas toujours délivré David des circonstances difficiles qu'il traversait, mais il l'a toujours accompagné.
"Moi, je me suis tourné vers l'Éternel et il m'a répondu. Oui, il m'a délivré de toutes mes frayeurs."
Psaume 34:5 BDS
Dieu était celui qui a secouru David de ses ennemis, celui qui a pourvu maintes fois aux besoins de son peuple dans les temps difficiles.
Et s'il l'a fait avant, il peut encore le faire.
Prends maintenant un moment pour réfléchir aux manières dont Dieu a été fidèle envers toi. De quelles façons t'a-t-il protégé, fortifié, encouragé? Comment a-t-il pourvu à tes besoins?
Si tu as du mal à trouver des exemples, ce n'est pas grave. Si la louange ne te vient pas facilement en ce moment, lis simplement le Psaume 34 et laisse ces paroles devenir ta prière personnelle.
Le même Dieu dont parle David continue à faire de grandes choses dans notre monde. Il continue d'écouter les cris de son peuple. Dieu est toujours présent dans notre douleur, il est toujours à l'œuvre dans nos incertitudes et il est toujours tout-puissant, même lorsque nous nous sentons impuissants.
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My Moonlights
Dear reader,
Welcome to my moonlights, a place to be, a place to feel, built with love. This is your haven if you wish to escape for a while the crazy world we live in. Follow the light and enter a land filled with stories and tales. Here, under the moonlight the time halts and dreams begin.
Chère lectrice, cher lecteur,
Bienvenue dans my moonlights, un lieu créé avec amour. Il s'agit d'un havre de paix, idéal si vous souhaitez échapper un instant à ce monde fou dans lequel nous vivons. Suivez la lumière et aventurez-vous dans une contrée remplie d'histoires et de légendes. Ici, sous le clair de lune, le temps s'arrête et les rêves prennent vie.
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Cours, Melos !
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Power
Peu importe combien de larmes nous versons Prenons notre courage à deux mains Et dirigeons-nous vers demain
Vivons ainsi Et alors même les moments les plus tristes Se changeront soudainement en quelque-chose de ravissant
Sans avoir peur des paroles angoissées Que me murmure sans cesse mon cœur hésitant Je cours !
Jusqu'à ce que mes rêves se réalisent Je n'abandonnerai pas le pouvoir de l'amour (Power) N'abandonne pas toi non plus !
Je ne veux pas avoir de regrets Mon pouvoir prend maintenant son envol (Power) Je saisirai l'arc-en-ciel Don't stop my heart to heart (Mon cœur-à-cœur continue)
Lorsque tu as envie de pleurer Le ciel bleu t'envoie un pressentiment éblouissant Le pont suspendu du temps, les souvenirs lointains Monte sur un nuage et flotte dans les airs
Tous les hommes ont des moments de solitude Agrippant la carte de mon cœur, je cours !
Jusqu'à ce que mes vœux se réalisent Que mon pouvoir déborde et scintille (Power) Tu n'es pas seul non plus !
Vis et garde ton âme d'enfant Et alors un pouvoir incommensurable te prêtera allégeance (Power) Je saisirai l'amour Don't stop my heart to heart (Mon cœur-à-cœur continue)
Jusqu'à ce que mes rêves se réalisent Je n'abandonnerai pas le pouvoir de l'amour (Power) N'abandonne pas toi non plus !
Je ne veux pas avoir de regrets Mon pouvoir prend maintenant son envol (Power) Je saisirai l'arc-en-ciel Don't stop my heart to heart (Mon cœur-à-cœur continue)
« Cours, Melos ! est une nouvelle écrite par l'auteur japonais Osamu Dazai et publiée en 1940. C'est un classique étudié dans les écoles au Japon. L'intrigue, qui se déroule en Grèce antique, a pour thème principal l'amitié indéfectible d'un jeune paysan, Melos, pour son ami Sélinuntius.
L'intrigue se déroule en Grèce antique dans une région fictive. Melos est un jeune paysan naïf épris de justice. Sa région est gouvernée par un tyran, Dionys. Sanguinaire et paranoïaque, Dionys a fait tuer tous ceux qui pouvaient représenter un danger pour son pouvoir à cause de la misanthropie et de la solitude, y compris les membres de sa propre famille. Un jour, Melos entend un villageois décrire les crimes commis par Dionys. Fou de rage, il décide d'aller assassiner le tyran, se rend jusqu'à sa cité et s'introduit dans sa forteresse armé d'un couteau. Mais il est vite découvert et arrêté. Condamné à mort par Dionys, Melos supplie le tyran de lui accorder un délai de trois jours afin d'aller assister au mariage de sa sœur. Comme le tyran met en doute sa parole, un accord est trouvé : Dionys retient en otage Selinuntius, le meilleur ami de Melos, et c'est lui qu'il tuera si Melos ne revient pas avant le coucher du soleil du troisième jour.
Melos retourne dans son village et assiste au mariage de sa sœur, puis entame le trajet du retour. Mais sur la route, il doit affronter toutes sortes de péripéties, dont un pont qui s'effondre à cause d'une rivière en crue et un groupe de brigands qu'il doit combattre. À bout de forces, il est sur le point de renoncer, mais continue à courir pour tenir parole et sauver son ami.
Au coucher du soleil du troisième jour, Melos est de retour dans la cité, juste à temps pour sauver Selinuntius. Il s'excuse auprès de son ami, et Selinuntius s'excuse de son côté d'avoir douté de son retour. Ému par l'amitié indéfectible des deux jeunes gens, le roi décide de leur laisser la vie sauve. »
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un monde fou va me quitter
Franz-Olivier Giesber
Nous vivons
Dans un pays où
Dès qu'on sort des clous
On vous traite d'extrême-droite
Franz-Olivier Giesber
Ainsi mis sous pression
La bière saine addiction
Un dieu Jupiler
A la vertu extraordinaire
Dimanche 29 octobre 2023
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L’adolescent déboussolé n’entend plus, n’écoute plus, ne voit plus.. Il hurle dans la rue et dans son âme
Le fameux dérèglement est loin d’être uniquement climatique. Notre “système” matérialiste glace les relations humaines et crée un vide intérieur qui peut rendre fou.
Une carte blanche de Baudouin De Rycke, enseignant et auteur
L’aveuglement de ceux qui chiffrent, calculent, bâtissent des projets sur des mirages nous a plongés dans le non-sens. Comme l’écrivait le psychiatre Heike Weis dans la revue Action & Pensée (n°60) , “notre système actuel est moribond. Nous vivons dans un mélange de tout, qui nourrit une boulimie de consommation de tout. Sans une réintégration de la dimension verticale, les choses n’ont pas de valeur, ou seulement celle qu’on leur donne (artificiellement). La pensée de l’homme est tordue au point de vouloir faire rentrer la vie dans une logique monétaire, au lieu d’adapter la logique monétaire à ce qu’exige la vie. La peur du manque d’argent, de reconnaissance, d’amour, de respect, de succès, que nous traduisons en besoins, désirs et envies, est devenue notre carburant, produisant des burn-out sans fin.”
Dégradation des relations humaines
Le fameux dérèglement dont tout le monde parle aujourd’hui est donc bien loin d’être uniquement climatique… La dégradation des relations humaines est telle depuis tant d’années que l’on peine à comprendre que le monde politique ne cherche pas davantage à reconstruire un système de valeurs intellectuelles et morales qui puisse enfin favoriser l’épanouissement de l’homme dans toutes ses dimensions. Il semble en tout cas qu’il ne soit pas évident pour tout le monde que l’on meurt autant d’un refroidissement des relations humaines que d’une hausse de la température.
Antidépresseurs et somnifères ne suffisent plus
Aujourd’hui, les antidépresseurs et les somnifères ne suffisent plus, et la crise morale semble désormais s’attaquer à des pans de population beaucoup plus vastes, la plupart des gens se retrouvant à ce point assujettis à la philosophie matérialiste et libertaire de leur époque, qu’ils en relativisent des valeurs humaines intouchables depuis des millénaires. Obnubilés par leurs droits et de plus en plus allergiques aux devoirs et aux leçons de morale, ils ne voient plus clairement que la vie ne prend de sens que pour ceux qui sont capables de consacrer du temps à ceux qu’ils aiment.
Forme violente de la contestation
Aussi, la forme violente que prennent les contestations sociales ne devrait plus étonner personne. À force de désillusions, le peuple, moralement et nerveusement épuisé, arrive d’autant moins à se conformer à une règle de vie commune qu’il a compris depuis longtemps que le “vivre ensemble” était invariablement sacrifié sur l’autel de la rentabilité économique.
Comme une absence de ses parents.
Déboussolé, il a donc pris l’apparence d’un adolescent mal dans sa peau, jetant par la fenêtre – dans un accès de rage et de plaisir mêlés – les cadeaux et les promesses censés le consoler de l’absence physique et mentale de ses parents.
La baguette moralisatrice et culpabilisante n’ayant eu qu’un effet dérisoire sur leurs petits “protégés”, ceux-ci, relativement inconscients des dégâts psychologiques que leur perte de contrôle éducatif a engendré, risquent fort de sombrer dans un autoritarisme désespéré, qui pourrait bien sonner définitivement le glas de la cohésion familiale.
L’adolescent déboussolé n’entend plus, n’écoute plus, ne voit plus.. Il hurle, simplement, tantôt dans la rue, tantôt dans son âme, le vide intérieur que le système a trop longtemps entretenu dans sa vie sans repères… Humainement parlant, tout est donc à refaire, pas à pas, avec les qualités qui lui sont propres.
Dans La Libre Belgique du 4 juillet 2023
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Pleine lune du 03 juillet 2023 en Capricorne - Hélène Lebougault
Tirage de la pleine lune du 03 juillet 2023 en Capricorne : DISCERNEMENT - FOI - AMOUR - LUMIÈRE - COULEURS Les cartes tirées : conclusion Phrase : Soyez de plus en plus nombreux à divulguer ces informations afin de ne pas entrer dans cette peur de se dire : "ce que je suis en train de lire est fou, ce que je suis en train de penser n'est pas explicable, ce que je ressens n'est pas possible..." (Livre Espoir de Aurore Roegiers p271) Aigle : vision globale (esprit animal de Frédéric Calendini) Couleur : chaque couleur sur le spectre de la lumière possède son propre rayon et sa propre énergie vibratoire qui entre en interaction et agit sur la vibration de notre énergie personnelle. La couleur peut avoir une influence sur notre humeur, notre vitalité et notre bien-être... Faites aujourd'hui l'expérience de l'effet créatif, guérisseur et apaisant qu'apporte une méditation sur la couleur. Asseyez-vous tranquillement et connectez-vous à votre respiration. Imaginez que vous êtes assis sous un arc-en-ciel aux multiples couleurs, céleste, magique, vibrant. Laissez chacune de ces couleurs irisées et translucides couler sur vous et à travers vous : or, argent, cuivre, platine, violet, pourpre, magenta, lilas, indigo, bleu, rose, vert émeraude, jaune, orange, rouge et grenat. Inspirez une à une ces couleurs et restez immergé dans chacune aussi longtemps qu'il le faut. Laissez-les vous traverser et se dissiper dans la lumière qui vous entoure- dans l'unité. A mesure que votre canal de lumière grandit ainsi, ressentez la magie du fourmillement qui circule dans votre corps, qui soigne et qui réconforte au fond de vous... Connectez-vous à votre respiration et retournez à votre journée avec davantage d'énergie, d'équilibre et de créativité. Sachez que le trésor qui est au pied de l'arc-en-ciel se trouve en vous. (Fleur de vie de Denise Jarvie) 21. Le dieu soleil : action, célébration, perspectives positives, rayon doré, les sept principaux chakras, feu, eau, optimisme, lumière, vie, constellation, ascension, tension physique, dépression. (l'oracle de guérison du cœur amérindien de Mélanie Ware) Aie foi en toi : tu es créateur, tu es puissant, tu es un être de lumière venu réaliser sa mission divine sur Terre. C'est le moment de te positionner en tant que leader. Ressens une solide confiance en toi. Conclusion : Cette pleine lune en Capricorne (signe de terre) réveille nos peurs, blessures et insécurités. Ce qui nous demande de prendre de la hauteur sur les drames que nous vivons intérieurement physiquement, mentalement, émotionnellement et énergétiquement. Cela nous permettra également de faire preuve de discernement vis-à-vis de ce qui se passe véritablement à l'extérieur de nous. Le but étant de prendre conscience des vraies couleurs de ce qu'il se passe réellement et ainsi voir la lumière de la vérité derrière les différents masques d'illusion. Il est donc important d'avoir foi en soi, son intuition, sa lumière pour sortir de cette illusion de chaos intérieur et donc extérieur. Ceci est nécessaire pour ascensionner et retrouver les couleurs de notre véritable nature lumineuse et aussi pour faire face à la destruction de l'ancien monde et la création d'un nouveau monde de lumière, d'amour, d'unité, de joie et de paix. Vibrons haut, nos plus resplendissantes couleurs et lumières pour voir nos plus belles visions et intuitions venir créer un nouveau monde rempli d'amour, de joie, de paix et de lumière !!!
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Entre rêver et réalité,
Il faut parfois choisir son camp,
Mais pourquoi se priver de l'autre,
Et ne pas vivre dans les deux temps?
Dans le rêve, tout est permis,
Les limites n'existent pas,
On peut voler jusqu'au paradis,
Et être libre comme un oiseau.
Mais la réalité nous rappelle,
Qu'il faut aussi savoir atterrir,
Et que sans elle, notre vie rebelle,
Ne pourrait pas vraiment exister.
Alors vivons dans les deux mondes,
Et laissons-nous porter par le vent,
Car c'est dans cet équilibre immonde,
Que l'on trouve le bonheur vivant.
Rêvons des rêves les plus fous,
Et rendons-les réalité,
Car c'est ainsi que l'on devient fou,
Et que l'on peut vraiment exister.
Koko AKAKPO
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COVID et hamburger
Depuis maintenant presque un an, le COVID nous met à l'épreuve. Confinement, couvre-feu, fermeture des lieux de culture, des complexes sportifs, des bars et restaurants... Bref, des pans entiers de notre vie quotidienne ne nous sont plus accessibles. Notre équilibre est menacé. Nos vies ne tournent plus qu'autour du travail, de la marche à pieds, du yoga, de Netflix... Rajoutons la difficile gestion des enfants à la maison quand l'école ferme ou manque.
Quelles sont les conséquences ? Frustration, dépression, colère, peur, perte d'espoir, angoisse... Chacun d'entre nous réagit à sa manière et doit négocier avec soi-même pour gérer les privations, l'incertitude, les baisses de moral, les pertes d'espoir, la désorientation, les manques... Cela fait bientôt un an que cette négociation est plus ou moins constante et importante. C'est long !
Il y a quelque mois, j'ai eu l'image du hamburger pour représenter la diversité dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne.
Comme le montre la photo précédente, un hamburger 🍔 est un mets composé d'une succession de couches d'aliments différents : aux extrémités le pain et à l'intérieur la salade, la rondelle de tomate, la viande (ou le steak de lentilles !), les oignons, le fromage, les cornichons... Un hamburger est bon parce qu'il propose plusieurs saveurs et textures et parce que l'ensemble est plutôt goûtu.
Je pense que notre vie quotidienne ressemble à un hamburger : du sommeil, de l'alimentation, du travail, de l'amour, de l'amitié, du divertissement, du sport, du repos, de la sexualité, de la nature, des vacances... Chacun d'entre nous compose son propre burger selon ses désirs et ses besoins.
Quelle tête ont nos burgers aujourd'hui ? Quelle tête ont nos vies ? Je retrouve en consultation beaucoup de personnes qui me parlent de leurs difficultés à diversifier leur vie. "Le yoga et Netflix ça va cinq minutes" me disait un patient. Oui, je trouve aussi. Nous voilà privés d'un certain nombre d'aliments essentiels au bon goût et au bon équilibre de nos burgers. Certes, ils sont mangeables, mais ils sont fades et peu variés. Nous vivons des frustrations (désirs) et des manques (besoins).
Chacun gère comme il peut ce qu'il n'a pas ou plus. Mais après ? Que nous reste-t-il ? Depuis le premier confinement, n'avons-nous pas déjà tout fait pour compenser ? Tout le monde n'a-t-il pas déjà fait son pain, tenté de cultiver ses propres légumes pour les plus chanceux qui ont un jardin, appris à faire du yoga, regardé le contenu de Netflix deux fois, fait des apéros zoom entre copains ? Le malaise qui règne encore ne montre-t-il pas que ce dont nous sommes toujours privés est irremplaçable ?
C'est pas fun, je sais ma chanson n'est pas fun
Mais parce que le monde n'est pas fun
Désolé si je te fous le seum, ah
Suzane - Le monde d'après
Merci Suzane pour ton optimisme !
Malgré tout, face à tout ce qui nous manque, essayons de prendre soin de ce qui nous reste.
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Le monde devient fou! Nous n'avons jamais vu un tel chaos, et tant de gens utilisent la pandémie et d'autres problèmes pour venir contre les églises et les croyants. Il y a toujours eu des persécutions contre les chrétiens, depuis que Jésus est ressuscité des morts et monté au ciel, et il y en aura toujours jusqu'à ce que Jésus revienne pour nous. Mais cela n'a jamais été aussi répandu. Beaucoup vivent dans la peur - et cela a affecté beaucoup d'entre nous qui sommes des disciples de Jésus. Il est difficile de se soumettre et de rester fermes quand cela met nos familles ou nos emplois en danger ou quand nous risquons de blesser nos familles !
Comme nous l'avons déjà dit, Jésus a dit que ceux qui persévéreront jusqu'à la fin seront sauvés. Mais ensuite, il nous encourage dans Jean 15:7, nous disant que si nous demeurons ou vivons en lui, et si ses paroles demeurent en nous – nous pouvons demander ce que nous souhaitons, et notre souhait sera exaucé. Il se soucie de chacun de nous et de nos familles. C'est la beauté de l'endurance. Si nous restons en lui et que ses paroles vivent en nous, il sera notre avocat, travaillant à nos côtés en notre nom.
Puis dans Jean 8:35, Jésus nous promet qu'en tant que ses fils (et filles) nous resterons pour toujours dans sa maison et dans sa famille. C'est la joie et le couronnement de l'endurance!
Vivons aujourd'hui d'une manière qui bénisse ceux que nous rencontrons et qui change le monde qui nous entoure, car notre source de vie est Jésus-Christ lui-même!
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(Source : Insolentiae.com 221020)
#Nous vivons dans un monde de fous.#Je crois que dans ce pays tout le monde devient complètement malade.#Le monde d’Ubu roi !#Une vraie société de mabouls.#Un monde où on vous demande tout et son contraire dans un espèce « d’en même temps » totalement impossible et au succès improbable.#Pour le virus du Covid#ouvrez les fenêtres toutes les 10 minutes et aérez. Pour la chaleur et la sobriété énergétique calfeutrez et fermez tout !#Les masques ne servent à rien en population générale… puis#port du masque obligatoire sinon 135 euros d’amende.#Et désormais#c’est un génial et totalement maboul pour la transition écologique prenez le train et les transports en commun mais à cause des prix de l’é#C’est juste un délire collectif ahurissant dont le professeur en chef de notre asile d’aliénés n’est autre que le docteur Maboul du Palais#Non pas qu’il soit plus maboul que tous les autres. Non.#A la grosse commission de Bruxelles ils sont carrément en phase terminale de décompensation de folie extrême.#Mais notre Manu incarne ce système qui se met à tourner en boucle et à se taper la tête contre les murs !#Plus rien ne fonctionne#parce que nous nous effondrons sur nous mêmes et les complexités que nous créons depuis des années. Nous croulons sous nos empilements de r#de lois#de normes#de fiscalité toutes plus folles et incompréhensibles les unes que les autres.
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Pas moyen d’éviter que l'hiver ne vienne, après l'automne…
Les zones de tensions se multiplient dans le monde : Ukraine, Kosovo, Taïwan, Israël, pays arabes, Afrique sub-saharienne… plus des crises énergétiques et industrielles diverses (pour la plupart fabriquées)… A ce contexte très explosif s'ajoutent, en France, pauvreté, insécurité, perte d'identité, perte du sens des choses et des mots, doute (presque tous fabriqués, aussi !). Alors… si on profitait de l'été pour méditer sur tout ce qui va mal et pouvait être évité ? Des rapaces amateurs de pulsions suicidaires détruisent, autour d'idées mauvaises, l'équilibre bâti au cours des siècles. Peut-on imaginer un scénario où tout serait “moins pire” ?
Oh ! Bien sûr ! Le monde actuel est conflictuel comme rarement : jusque là, seule telle ou telle zone géographique connaissait des troubles, qui étaient spécifiques et “cantonnés”, donc d'apparence guérissable. Mais une soi-disant “globalisation” complètement ratée fait que, de nos jours, tout résonne à la même seconde, partout, trop fort. La “mondialisation” promise n'est qu'une multi-conflictualité qui tend à regrouper en un seul tous les problèmes, insolubles, sans lien les uns avec des autres, que rien n’aurait dû faire interagir. Le résultat ? Nous le vivons, nous en payons le prix : un présent inutilement sombre et un futur bien menaçant.
Car force est de reconnaître que, depuis une décennie, le “danger” iranien et la “menace” nord-coréenne –sans cesse agités par les ''Grands'' de ce monde pour justifier leur réarmement ou des alliances contre-nature voulues par Washington– n'ont causé aucun tort réel à nos intérêts (pas plus d'ailleurs qu'à ceux des Etats-Unis !). Trois fois rien, pour la pauvre Corée du Nord, victime illimitée de satrapes héréditairement fous… et guère plus pour l'Iran, même si on peut avec raison critiquer son sale “jeu” en Irak et au Liban : cette “mollah-cratie” a surtout marqué la décennie écoulée en étant en première ligne dans la lutte contre l'Etat Islamique et les sunnites ivres de conquêtes et de destruction de tout ce qui n'est pas “eux”.
En fin de compte, les confits qui secouent notre quotidien ne sont pas ceux que les voix officielles nous annonçaient. Il y a six mois à peine, personne n'envisageait une invasion russe en Ukraine… pas plus que la stupidité de soi-disant ''sanctions'' qui ne punissent que les peuples de ceux qui les brandissent. Il y a trois mois, Taïwan était à l'abri, protégée par l'Oncle Sam. Hier encore, l'imbroglio du Kosovo, ce non-pays sans raison d'être, ce cauchemar fantoche fabriqué (on ne sait pourquoi) par l'OTAN, semblait avoir trouvé un vague équilibre de façade… alors qu'aujourd'hui, des regains de tension à la frontière kosovo-serbe montrent que les serbes ne renonceront jamais à récupérer le berceau de leur histoire volée et violée... un peu symétriquement, d'ailleurs, à ce qu'est la réaction russe devant la volonté de l'intégration dans l'OTAN de l'Ukraine, patrie de l'âme russe : cette “annexion” était un “casus belli” prévisible, annoncé depuis Khrouchtchev ! Et on s'étonne de récolter la guerre après l’avoir provoquée et l’incendie après avoir allumé un grand feu… même si un conflit ouvert n'est jamais une bonne solution.
Comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles zones de guerre apparaissent, partout dans le monde, généralement là où on ne les attendait pas. Cette évolution vers le pire ne risque-t-elle pas d'ouvrir une porte à des conflits qui –comme ceux qui nous pourrissent la vie aujourd'hui– semblaient ‘’impossibles’’… ce qui ne veut plus rien dire. Un exemple proche ? Pourquoi un conflit en Serbie ou en Ukraine –hautement improbables il y a peu– et pas un, demain, en Seine-Saint-Denis, improbable aujourd'hui ? Le contexte international nous rappelle sans cesse qu'il n'y a pas de fatalité, ni de statut intangible. Tout comme la “Pax franca’’ ou la ’‘Rule Britannia’’ il y a peu de temps encore, la Pax americana prendra fin un jour : rien n'est jamais acquis dans les relations internationales ou le destin des hommes. Aujourd'hui les lignes bougent en Asie, en Europe de l'Est, dans les Balkans, et les jeux d'influence se renversent en Afrique… mais la France et plus largement l'Europe occidentale, égarées dans la contemplation de leur nombril et dans de vastes faux problèmes qui ne devraient même pas être posés, sur le sexe des anges ou le genre d’enfants désemparés, sont en train de se perdre dans une dormition masochiste et fatale.
Chez nous, sous notre nez, de façon claire, évidente et incontestable, la menace d'une explosion des banlieues demeure toujours présente, renforcée, hélas, par l'effroyable gestion des crises qui sont devenues notre pain quotidien : le covid et toutes les ’'conneries” qui nous ont été imposées contre toute sagesse et toute intelligence (et contre toute approche scientifique d'un sujet qui ne ressortit que de ce mode de pensée), les crises migratoires jamais contrôlées (même un peu, aux tartarinades darmanesques près !) et, ce qui est peut-être pire encore, les crises actuelles, énergétique, industrielle, morale et sociale, avec les conséquences illimitées qu'elles portent, sont devant nous, mais nous refusons de voir qu'elles sont fabriquées de toutes pièces (ex : Ukraine, Kosovo, etc...), donc évitables.
La perte de tout bon sens et de toute sagesse, volontairement distillée, instillée et imposée à nos contemporains, fait le lit de faux-cultes absurdes, dangereux et pervers, sûrement mortels pour toute humanité à venir : la facilité, la désinvolture, le renoncement à la “voie étroite”, un faux “bien-être”, l'intolérance et le refus de l'autre rebaptisés “tolérance'' (tu parles !), le mélange des ’'genres” au nom de l'invention de “valeurs” dévalorisantes (qui nous font oublier la seule Loi qui compte, la Nature, qui nous revient… sous la forme ridicule et inefficace de l’écologisme), un consumérisme-pour-consommer qui ne peut être que mortel… et même la fuite en arrière vers des religions exogènes, qui n'apportent rien de bon mais qui ne peuvent qu'accélérer la fin prochaine de toutes nos capacités de vie et de survie.
Longtemps, la “reproduction de l'espèce” a été considérée comme le moteur unique de l'existence des espèces. Une “sortie de route” caractérisée, mais votée, signée, érigée en ''vérité première''( ! ) ad nauseam par des esprits déstructurés, a semé le doute chez les plus faibles. Une fois qu'on a franchi les bornes, il n'y a plus de limites, disait Alphonse Allais. Nous en sommes là : les dépenses sans limites de l'Etat, d'abord pour colmater les trous causés par l'assassinat de l'économie et de nos libertés dans la “crise du covid” (qui n'a rigoureusement rien résolu), et ensuite pour compenser les conséquences des sanctions anti-Poutine qui nous asphyxient plus que lui, laissent aussi entrevoir des océans de dettes qu'il faudra payer un jour.
Tous les indicateurs sont “au rouge”. Tous, ils hurlent, à notre intention, que nos dirigeants, indignes des responsabilités qui devraient être les leurs, nous conduisent vers des catastrophes qui étaient inenvisageables il y a un an à peine. Dans l'attente d'une conflagration plus dramatique, nous voici devant la probabilité improbable de replonger dans des restrictions massives, des manques de tout, des difficultés artificiellement fabriquées et décidées par nos leaders sans leadership. Ma génération a trop connu et vécu les rigueurs de la guerre et la dureté des privations pour avoir envie d'en “remettre une couche” fut-ce au nom de faux “grands principes” qui, de crise inventée en crise fabriquée, n'en sont pas et ne sauraient en aucun cas offrir le moindre progrès pour l’Humanité, à nouveau malheureuse, mais sans espoir, cette fois-ci. Que d'occasions ratées !
L'Histoire et tous les indicateurs (sociaux, sécuritaires, industriels, identitaires) nous rappellent que l'effondrement d'un Etat ou sa partition n'arrivent pas que “chez les autres”. Le processus de déclin dans lequel s'inscrit notre pays depuis dix ou douze ans peut mener à de telles extrémités mais peut aussi être l'occasion d'un réveil, d'une renaissance qui est l'affaire de tous, à tous les niveaux : le renouveau de l'ensemble passera par la capacité de chacun à réfléchir, à rejeter le mensonge, le faux et le laid, le punitif sans progrès possible, à cultiver le beau et le bon, et à rejeter “pour de vrai” le mensonge mortel du chant des sirènes. Retraités, jeunes, actifs, tout le peuple français doit se sentir comme appelé à repenser nos manières d'agir et notre regard sur le monde et sur notre quotidien : nous méritons mieux !
Quelle meilleure période que l'été pour méditer et –qui sait, prendre quelques bonnes résolutions, destinées à être tenues sur le long terme ? L'alternative ? On va geler, sans raison, un ou plusieurs hivers, sans compter tant d'autres punitions imméritées et des privations inutiles, évitables, mais imposées par nos idéologues du néant ! Plus ils adoreront leurs fausses idées, plus nous, leurs électeurs floués, paierons cher et longtemps… Et s'il n'y a pas de contestation sociale en France, ce n'est pas que les réformes–déformes gaucho-sociétal-macroniennes sont bonnes, c’est que personne ne voit à quoi elles servent, pas plus que vers quoi elles tendent
H-Cl
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