#Hélène Rivière
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backstreetsbackalright · 6 months ago
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Unchained, “Rambler” [A Colourful Storm, 2024]
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mkblais · 8 months ago
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Ici, des rivières de hontes, de peines et de sale-tés, des rivières de rats, des dompes bourbeuses qui serpentent à travers les vies tranquilles de leurs riverains. Ailleurs, des rivières claires comme des autels sans apparats, dressées pour les rituels de toutes les saisons. Les trappages, les glissements de visons et de rats musqués, les soies fines et les leurres.
Marie-Hélène Voyer, L’habitude des ruines (2021)
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alexlacquemanne · 1 year ago
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Décembre MMXXIII
Films
Chef (2014) de Jon Favreau avec Scarlett Johansson, Jon Favreau, Sofía Vergara, Emjay Anthony, John Leguizamo, Robert Downey Jr. et Dustin Hoffman
Y a-t-il un flic pour sauver Hollywood ? (The Naked gun 33⅓: The Final Insult) (1994) de Peter Segal avec Leslie Nielsen, Priscilla Presley, George Kennedy, Fred Ward, O. J. Simpson, Anna Nicole Smith, Kathleen Freeman, Ellen Greene et Ed Williams
Quai des Orfèvres (1947) de Henri-Georges Clouzot avec Louis Jouvet, Simone Renant, Bernard Blier, Suzy Delair, Pierre Larquey, Claudine Dupuis, Henri Arius, Charles Blavette, René Blancard et Robert Dalban
Maintenant, on l'appelle Plata (…più forte ragazzi!) (1972) de Giuseppe Colizzi avec Terence Hill, Bud Spencer, Cyril Cusack, Reinhard Kolldehoff, Riccardo Pizzuti, Ferdinando Murolo et Marcello Verziera
Moi, Michel G., milliardaire, maître du monde (2011) de Stéphane Kazandjian avec François-Xavier Demaison, Laurent Lafitte, Laurence Arné, Xavier de Guillebon, Guy Bedos, Patrick Bouchitey e Alain Doutey
Noël blanc (White Christmas) (1954) de Michael Curtiz avec Bing Crosby, Danny Kaye, Rosemary Clooney, Vera Ellen, Dean Jagger, Mary Wickes et John Bascia
Rendez-vous avec la mort (Appointment with Death) (1988) de Michael Winner avec Peter Ustinov, Lauren Bacall, Carrie Fisher, John Gielgud, Piper Laurie, Hayley Mills, Jenny Seagrove et David Soul
Bridget Jones : L’Âge de raison (Bridget Jones: The Edge of Reason) (2004) de Beeban Kidron avec Renée Zellweger, Colin Firth, Hugh Grant, Gemma Jones, Jim Broadbent, Jacinda Barrett, Shirley Henderson et Sally Phillips
Les Trois Mousquetaires : Milady (2023) de Martin Bourboulon avec François Civil, Vincent Cassel, Romain Duris, Pio Marmaï, Eva Green, Lyna Khoudri et Louis Garrel
Y a-t-il un flic pour sauver le président ? (1991) (The Naked Gun 2½: The Smell of Fear) de David Zucker avec Leslie Nielsen, Priscilla Presley, George Kennedy, O. J. Simpson, Robert Goulet, Richard Griffiths, Anthony James et Jacqueline Brookes
Wallace et Gromit : Le Mystère du lapin-garou (Wallace & Gromit: The Curse of the Were-Rabbit) (2005) de Nick Park et Steve Box avec Jean-Loup Horwitz, Jeanne Savary, Philippe Catoire, Frédérique Cantrel, Patrick Messe et Mireille Delcroix
Rivière sans retour (River of No Return) (1954) de Otto Preminger avec Robert Mitchum, Marilyn Monroe, Rory Calhoun, Tommy Rettig, Murvyn Vye et Douglas Spencer
L'Ange de Noël (Christmas Magic) (2011) de John Bradshaw avec Lindy Booth, Paul McGillion, Derek McGrath, Kiara Glasco, Teresa Pavlinek et Tricia Braun
Joyeux Noël (2005) de Christian Carion avec Benno Fürmann, Guillaume Canet, Diane Kruger, Gary Lewis, Daniel Brühl, Dany Boon, Lucas Belvaux, Bernard Le Coq et Alex Ferns
L'Assassinat du père Noël (1941) de Christian-Jaque avec Harry Baur, Raymond Rouleau, Renée Faure, Marie-Hélène Dasté, Robert Le Vigan, Fernand Ledoux et Jean Brochard
Danse avec les loups (Dances with Wolves) (1990) de et avec Kevin Costner ainsi que Mary McDonnell, Graham Greene, Rodney A. Grant, Floyd Westerman, Jimmy Herman, Nathan Lee, Tantoo Cardinal et Wes Studi
Noël en trois actes (Christmas Encore) (2017) de Bradley Walsh avec Maggie Lawson, Brennan Elliott, Art Hindle, Tracey Hoyt, Mercedes de la Zerda, Mika Amonsen, Sherry Miller, Sabryn Rock, David Tompa et Erin Agostino
La Souffleuse de verre (Die Glasbläserin) (2016) de Christiane Balthasar avec Luise Heyer, Maria Ehrich, Franz Dinda, Dirk Borchardt, Robert Gwisdek, Max Hopp et Ute Willing
Le père Noël est une ordure (1982) de Jean-Marie Poiré avec Anémone, Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Josiane Balasko et Bruno Moynot
Le Lion en hiver (The Lion in Winter) (1968) de Anthony Harvey avec Peter O'Toole, Katharine Hepburn, Anthony Hopkins, John Castle, Nigel Terry, Timothy Dalton, Jane Merrow et Nigel Stock
Les Mystères de Paris (1962) d'André Hunebelle avec Jean Marais, Raymond Pellegrin, Jill Haworth, Dany Robin, Pierre Mondy, Georges Chamarat, Noël Roquevert et Jean Le Poulain
Derrick contre Superman (1992) de Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette avec Patrick Burgel et Évelyne Grandjean
La Classe américaine : Le Grand Détournement (1993) de Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette avec Christine Delaroche, Evelyne Grandjean, Marc Cassot, Patrick Guillemin, Raymond Loyer, Joël Martineau, Jean-Claude Montalban, Roger Rudel et Gérard Rouzier
La Grande Course autour du monde (The Great Race) (1965) de Blake Edwards avec Tony Curtis, Natalie Wood, Jack Lemmon, Peter Falk, Keenan Wynn, Arthur O'Connell, Vivian Vance et Dorothy Provine
Séries
Life on Mars Saison 1, 2
Bienvenue en 73 - La Loi selon mon boss - Le Pari - Corruption - Rouge un jour, rouge toujours - Compte à rebours - Cas de conscience - Mon père - Meurtrier en puissance - La Chasse aux ripoux - Peur sur la ville - Pièges pour jeunes femmes - Kidnapping - Héroïne - Recherche du coupable - La Promesse
Doctor Who
La Créature Stellaire - Wild Blue Yonder - Aux confins de l'univers - Le Fabricant de Jouets - The Snowmen - A Christmas Carol - The Doctor, the Widow and the Wardrobe - The Return of Doctor Mysterio - The Church on Ruby Road - Eve of the Daleks
Les Enquêtes de Vera Saison 12
À contre-courant - Un homme d'honneur - Au nom de la loi - Une soirée funeste - Marée montante
Coffre à Catch
#144 : La Draft 2009 : Les bonnes affaires du mercato ! - #145 : La ECW débarque à Londres et l'Undertaker à Strasbourg! (avec Carole) - #146 : Christian enfin champion de la ECW ! - #147 : Un coffret à Noël, ça c'est une idée !
Kaamelott Livre III
Le Jour d’Alexandre - La Cassette II - La Ronde II - Mission - La Baliste - La Baraka - La Veillée - Le Tourment III - La Potion de fécondité II - L’Attaque nocturne - La Restriction II - Les Défis de Merlin II - Saponides et Détergents - Le Justicier - La Crypte maléfique - Arthur in Love II - La Grande Bataille - La Fête de l’hiver II - Sous les verrous II - Le Vulgarisateur - Witness - Le Tribut - Le Culte secret - Le Mangonneau - La Chevalerie - Le Mauvais Augure - Raison d’argent II - Les Auditeurs libres - Le Baiser romain - L’Espion - Alone in the Dark - Le Législateur - L’Insomniaque - L’Étudiant - Le Médiateur - Le Trophée - Hollow Man - La Dispute première partie - La Dispute deuxième partie
Affaires sensibles
Gérald Thomassin : l'étrange disparition d'un coupable idéal
Top Gear
Spécial Nativité
La Voie Jackson
Episode 1 - Episode 2 - Episode 3
Meurtres au paradis
L'étrange Noël de Debbie
Spectacles
Le Muguet de Noël (2021) de Sébastien Blanc et Nicolas Poiret avec Lionnel Astier, Frédéric Bouraly, Jean-Luc Porraz et Alexie Ribes
Sinatra (1969) avec Frank Sinatra, Don Costa & son Orchestre
Le Professeur Rollin a encore quelque chose à dire (2003) de François Rollin
Alain Souchon : J'veux du live au Casino de Paris (2002)
La Bonne Planque (1964) de Michel André avec Bourvil, Pierrette Bruno, Robert Rollis, Roland Bailly, Alix Mahieux, Albert Michel et Max Desrau
André Rieu : White Christmas (2023)
Michael Bublé: Home for Christmas (2011) avec Michael Bublé, Gary Barlow, Gino D'Acampo, Dawn French et Kelly Rowland
Michael Buble's Christmas in the City (2021) avec Michael Bublé, Leon Bridges, Camila Cabello, Jimmy Fallon, Kermit the Frog, Hannah Waddingham, Dallas Grant, Jarrett Johnson, Julianna Layne et Loren Smith
Michael Bublé's 3rd Annual Christmas Special (2013) avec Michael Bublé, Mary J. Blige, Mariah Carey, Red Robinson, Jumaane Smith, Patrick Gilmore et Cookie Monster
Un fil à la patte (2005) de Georges Feydeau avec Thierry Beccaro, Marie-Ange Nardi, Valérie Maurice, Églantine Éméyé, Ève Ruggiéri, Tex, David Martin et Patrice Laffont
Vintage Getz (1983) The Stan Getz Quartet live at the Robert Mondavi Winery, Napa Valley, California avec Stan Getz, Victor Lewis, Marc Johnson et Jim McNeely
James Brown : Live at Montreux (1981)
Livres
Le seigneur des anneaux, Tome 3 : Le retour du roi de J.R.R. Tolkien
Détective Conan, Tome 18 de Gôshô Aoyama
Lucky Luke, Tome 27 : L'Alibi de Morris et Claude Guylouïs
Détective Conan, Tome 19 de Gôshô Aoyama
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inesgdr · 1 year ago
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Mes forêts sont le bois usé d'une histoire que racontent des lunes tenues à bout de bras quand s'approchent la nuit et le hurlement de nos peurs mes forêts sont la mise en terre de vagues immenses et de mots que je ne reconnais pas
elles sont un horizon de corps nus sur le plateau des heures qui bascule soudain la danse très lente des ombres vient hanter la machine de nos pas
et quand les brumes s'apaisent mes forêts sont une poignée de rayons plantés dans le sol durci
avec le réveil d'un temps elles sont les paupières tremblantes d'un espoir qui parle une langue d'écorce et de souffle
langue de tous les jours - humiliée résistante conquise invaincue - qui trouble et promet avec des mots de travers mots de trop de peut-être où les temps se confondent
mes forêts parlent la langue du fleuve celle d'algue et de limon de rivières qui débordent corps fous de joie ou emportés dans les remous de leur vie
elles disent nos mains d'obscurité de frêles beautés l'effroi qui pèse sur demain
mes forêts racontent une histoire
qui sauve et détruit sauve et détruit
alors nous rêvons comme la sève qui sera comme le sang de ce qui n'est plus
nous sommes hauteur de montagne parmi les brumes affolées rien ne nous appartient nous dénouons nous réparons ce que nous pouvons
Dorion, Hélène, Mes forêts, Paris, Editions Bruno Doucey, Sacoche, 2021, p. 93 - 94
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if-you-fan-a-fire · 2 years ago
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"Travaux contre le chômage que la ville serait prête à commencer incessamment," La Presse. June 19, 1933. Page 3. ---- Ainsi que la "Presse" l’annonçait samedi, M. Alfred Legault, président intérimaire du Comité exécutif municipal, avait informé par téléphone, la veille, à l'issue d'une assemblée dudit comité, l'hon. J.-N. Francoeur, ministre des travaux publics du gouvernement provincial, que la ville est prête à mettre à exécution, a 24 heures d'avis, tout un programme de travaux contre le chômage, au cas d'une entente entre les autorités fédérales et provinciales en vue de substituer ce genre de travaux aux secours directes. Or voici, selon une nouvelle déclaration de M. Legault faite cet avant-midi aux chroniqueurs municipaux, le détail du programme de travaux contre le chômage projetés:
Ouverture du boulevard Persilller; prolongement de la rue Papineau; prolongement de la rue Beaublen vers l'Est; améliorations au parc Western nouveau tunnel sous les voles du Canadien National, près du pont de Cartierville: deux nouveaux réservoirs pour l'aqueduc; l'un à Rosemont, l'autre rue Guy; un bain dans le quartier Saint-Edouard; construction du boulevard Métropolitain.
Le même programme comporter d'anciens travaux à compléter, savoir: égoûts du nord, de l'avenue Mont-Royal, de la rivière Saint- Pierre, de l'Est de l'avenue Henri Julien; rues: prolongement du boulevard Saint-Joseph vers l'est ouverture de la rue Berri, entre DeMontigny et Ontario: prolongement de la rue Gosford vers le sud, à travers le quadrilatère formé par les rues Bonsecours, LeRoyer, Saint- Paul et Gosford; améliorations à l'Ile Sainte-Hélène: aménagement d'une plage; construction d'égouts et installation d'un système d'éclairage; améliorations pour l'utilisation du chalet de la Montagne; elargissement des rues Smith et Colborne, à le sortie du tunnel Wellington: améliorations au jardin botanique.
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instants-chavires · 2 years ago
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L'Expérience France Culture 09/04/2023 Nina Garcia est musicienne, son nom de scène c’est Mariachi, et Mariachi c’est ”une guitare une pédale”. Somaya Dabbech propose cette immersion dans un monde de musiques expérimentales et improvisées. Une Expérience signée Somaya Dabbech, réalisée par Annabelle Brouard. Avec : Nina Garcia, Jean-François Pichard, Hélène Marian, Arnaud Rivière, Sarah Benhaïm, JZ, Sophie Agnel, Mathilde Coupeau et les enfants de Poitiers Avec également : David Chiesa, Camille Emaille, Natacha Muslera, Benoit Kilian, Pascal Battus, Thierry Schaeffer et Ju Musique : Mariachi, Autoreverse, Sophie Agnel, Joke Lanz et Le Un
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jbrasseul · 6 years ago
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Gabrielle Hébraud, Le bouquet de boules de neige
au musée de Lavaur, Tarn, Musée du pays vaurais, été 2019. Des femmes peintres de la région, au début du XXe siècle. Femmes peintres oubliées, très belle expo.
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Pont sur l’Agoût à Castres, 1935, Gabrielle Hébraud
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Gabrielle Hébraud, Paris, Panthéon, 1930
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Mowgli, Le livre de la jungle, Gabrielle Hébraud
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  Albi, Paule Soulé, 1929
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  Jeanne Astre, La Danse, 1928
  Jeanne Astre, Le petit Espagnol, 1936
Jeanne Astre, Le jardin de l’Encastre, 1938
Hélène Rivière, Collioure, 1926
Hélène Rivière, Falaises, 1931
Hélène Rivière, La forge à St Paul, 1937
Hélène Rivière, Laboureur à St Paul Cap de Joux, 1950
Hélène Rivière, Les perruches, 1932
Luce Boyals, autoportrait, 1920
Luce Boyals, Portrait de Georges Gaudion aux lunettes rondes, 1920
Luce Boyals, Nu aux bras marrons, 1920
Marie-Anne Ichanson, Tolède, 1950
Marie-Anne Ichanson, Venise, 1937
Marie-Anne Ichanson, Zouzou, 1917
Portrait de Louis Deloume, 1907, Madeleine Cartailhac
Portrait d’Emile Cartailhac, 1923
Jane Atché, 1896, affiche papier Job
Jane Atché, Méditation, 1897
Jane Atché, Portrait, 1909
Jane Atché, Rêverie, 1897
Marie Bermond, Couple
Marie Bermond, Portrait de la cousine Félicie
Marie Bermond, Trois vieilles dames
Renée Aspe, Femme nue au chapeau, 1945
Renée Aspe, Les brodeuses, 1950
Renée Aspe, Orchestre à la fête, 1947
Renée Aspe, Pêcheurs aux filets, 1950
Renée Aspe, Place du Capitole, 1945
Sébastienne Marre, La corrida, 1935
Sébastienne Marre, Pêcheurs à Collioure,1935
Sébastienne Marre, Scène de bal populaire, 1936
Geneviève Duboul, Enfant dans l’herbe, 1936
Geneviève Duboul, Fillette blonde, 1936
Geneviève Duboul, Portrait de Renée Aspe, 1950
Hélène Gasset-Ousset, Le corbeau voleur, 1935
Hélène Gasset-Ousset, Rapace et Canard, 1935
Edmée Larnaudie, Ma soeur dans l’atelier de F. Sabatté, 1935
Lucie Bouniol, Joueurs de cartes, 1940
Marguerite Loubat
Marguerite Loubat, Portrait avec ma sœur, 1916
Jean-Blaise Villemsens, Jeune peintre au chevalet, 1830
A Lavaur :
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Regards de femmes au musée de Lavaur, Tarn, Musée du pays vaurais, été 2019. Des femmes peintres de la région, au début du XXe siècle.
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alain-keler · 2 years ago
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Lundi 5 septembre 2022.
Le train déverse son flot de passagers gare de Lyon. Je suis sans doute l’un des derniers à quitter mon siège. Nous venons de traverser une grande partie de la France. Les ouvrages d’art succèdent aux paysages bucoliques où paissent tranquillement des vaches de toutes couleurs, noires, blanches et autres couleurs non discriminées, aux rivières franchies à très grande allure. Les voitures sur les autoroutes qui longent la ligne de TGV semblent faire du surplace. On passe d’un monde à un autre presque sans s’en apercevoir.
Perpignan d’où je viens est très vite loin. La ferveur de Visa pour l’image s’estompe à 300 km/heure. On m’y a décerné samedi soir le Visa d’or  d’honneur du Figaro Magazine qui récompense le travail d’un photographe confirmé et toujours en exercice pour l’ensemble de sa carrière. Ce fut un grand moment de bonheur, mais un moment qui donne au photographe que je suis une étrange impression du temps qui passe, plus vite aujourd’hui qu’il y a vingt, trente ans. Des images défilent sur l’écran géant du Campo Santo. Je les connais par cœur et c’est peut-être la le cœur du problème. Un photographe qui veut rester en vie se doit de continuer à photographier, tant que son souffle lui permettra de respirer et que ses jambes le soutiendront malgré le poids des années qui commencent à se faire sentir.
Ma vie de photographe se mesurait autrefois au nombre de kilomètres parcourus par année. L’âge aidant, ou pas, le kilométrage de mon compteur fut remplacé, tout au moins je l’espère, par la réflexion sur l’image, sur le genre humain et autres choses que je découvrais, plus importantes que tout le reste qui se transformait lentement en souvenirs d’aventures de jeunesse. La vision du photographe évolue avec l’âge, l’expérience, la retenue. Des images cachées dans le nombre de films et d’années revenaient à la lecture de planches contact, mémoire intraitable du photographe, des souvenirs, des moments oubliés refaisaient surface, les échecs et les loupés, les bons moments.
En me décernant ce prix prestigieux, Jean-François Leroy et Cyril Drouhet  m’ont fait un immense honneur, et bonheur, et je les en remercie de tout coeur.
Nous avons partagé tous les trois une petite partie du temps de nos vies de photographies. Jean-François fut avec certains photographes, Pascal Maitre et moi-même* , au début de l’aventure d’Odyssey images en 1989, Cyril Drouhet travaillait avec l’agence GLMR où, après la guerre interne qui mena à l’arrêt d’Odyssey nous nous réfugiâmes en créant une entité « Saga images », longtemps avant qu’il ne rejoigne le Figaro Magazine. Je perdis un long moment sa trace.
Jean-François quitta le navire Odyssey avec la création de Visa pour l’image où il m’exposa dés 1990 (l’arbre témoin). Tout cela pour vous expliquer que nos destins furent parallèles, éloignés, proches aussi, modestes moments dans une minuscule partie de l’histoire de la photographie.
Cyril réapparut un jour.
Je les remercie tous les deux pour l’immense honneur et plaisir qu’ils viennent de me donner, et je ne suis pas du genre à passer de la pommade aux personnes de la profession, mais là il s’agit pour nous tous de  vies dédiées à la photographie.
À ce duo je rajoute Pascal Maitre, avec qui j’ai navigué dans cet univers qu’est la photographie, aujourd’hui au sein de la merveilleuse agence MYOP.
 Le train est arrivé Gare de Lyon. Il déverse sont flot de passagers dans l’inconnu de la grande ville, de la vie.
 Le temps me manquera sans doute un peu pour continuer la grande aventure qui fut la mienne pendant toutes ces nombreuses années, mais c’est ainsi que le monde tourne. Déjà de nouvelles figures apparaissent,  c’est normal et souhaitable, beaucoup de jeunesse enthousiaste et talentueuse, à MYOP et ailleurs.
Que reste-t-il de notre mémoire si ce n’est une photographie !
*Odyssey image : Jean-luc Maneaud, Yves Gellie, Serge Sibert, François Guenet, Hélène Bamberger, Michel Viard er Eric Bouvet.
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selidren · 3 years ago
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Automne 1880 - Champs-les-Sims
2/32
Je vous avais parlé il y a quelques années de la motivation de mon frère à faire inviter notre famille au bal des De Chastel qui a lieu au début de l’automne, comme une clôture symbolique de la saison mondaine parisienne. Y sont présents, en plus des amis de Monsieur Le Baron, ses partenaires commerciaux. Maximilien est ainsi heureux de vous faire savoir qu’il vient d’intégrer leur rang car la Butte au Chêne approvisionnera le domaine en vin pour les cinq prochaines années comme le stipule le contrat signé cet été. Cela a procuré à notre famille une invitation audit bal. 
Cette nouvelle a fait les beaux jours de Maximilien bien sûr, mais aussi de Mère, et bien entendu de Daphné. Ma jeune soeur n’espérait toujours rien de moins que de devenir la nouvelle Baronne, de même que Mère qui y voit (en plus d’un pourvoyeur de petits-enfants) un moyen de s’intégrer à nouveau à la bonne société. Maximilien sait également que cette union lui apportera un nouveau carnet d’adresses, de nouveaux contrats (en plus de pérenniser celui avec le Baron), et une reconnaissance de ce pour quoi il a travaillé si dur. 
Daphné a réfléchit durant des jours à ce qu’elle pourrait porter et je lui ai permis les dépenses les plus folles pour une saillante robe de bal. Mère lui a prêté le diadème hérité de sa propre mère (elle le lui a même posé sur la tête avec tant de fierté qu’elle en a eu les larmes aux yeux) ainsi qu’une rivière de diamants dont de nombreuses pierres sont vraies. Elle a ajouté avec émotion que c’est la seule partie de sa dot que Père n’a pas spolié. Je n’ai guère compris son sentiment car si cela a toutes les apparences du reproche, j’ai senti une nette affection. Vous qui êtes marié depuis un certain temps déjà, peut-être pourrez vous me renseigner sur les sentiments contradictoires que peut nourrir un mariage.
Transcription :
Daphné : Le voici ! Hélène, me trouves-tu suffisamment parée ?
Hélène : Suffisamment oui.
Daphné : Mais ta taille est tellement plus fine que la mienne.
Hélène : Sans doute parce que Mère tient énormément à ce que je ne puisse point respirer, contrairement à toi. Peut-être espère-t-elle que je tombe opportunément en pamoison dans les bras d’un de ces beaux messieurs.
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alexar60 · 4 years ago
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Les rêves
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Je rêve toujours de ce moment où je suis au bord d’un cours d’eau. Je ne vois pas le rivage de face, car une brume épaisse le recouvre.  Si bien que je ne sais jamais si je suis au bord d’un lac, d’une rivière ou de la mer. Dans un décor totalement en noir et blanc, je suis entièrement nu. Ma peau blanche à la texture de l’argile. Je fais un quart de tour pour me retrouver face au même paysage glauque. Le brouillard est tout aussi épais, l’eau est grise.
Soudain, je réalise que je porte dans les bras un corps. C’est moi ! Cet autre moi est aussi nu. Il a les bras en croix, il agonise. Alors, je lève la tête et j’observe une forme noire qui flotte sur l’eau. Cela ressemble à une flamme. Parfois, la forme semble représenter un personnage portant un long manteau dans une barque. Je regarde la forme s’éloigner quoi qu’elle ne rétrécisse pas. Pourtant, l’eau remue autours de la forme. A ce moment, mon autre moi se met à parler. Il prononce des mots incompréhensibles mais je sais qu’ils veulent dire quelque-chose. C’est une langue étrangère car je reconnais une certaine logique dans son expression. Je continue de regarder la forme. Et mon autre moi arrête de parler en disant : « Ode à la raison ». Je réponds sans détourner le regard : « effectivement, je dois faire avec. » Et je reste dans le silence à regarder la forme partir tout en gardant mon autre moi dans les bras. Parfois, j’entends : « Aude, elle a raison. » Mais je ne connais aucune Aude. Il n’y a pas de logique dans ce rêve récurrent.
J’ai d’autres rêves tout aussi étranges.
C’était un match de rugby. On mettait la pâtée en marquant essai sur essai. Soudain, Hélène, une ex petite-copine est apparue. Elle était à côté de moi, m’a félicité pour le match et dit : « Vous avez fait un super match. Dommage que vous ayez perdu. » A ses mots, je senti l’angoisse monter en réalisant qu’elle avait raison. Pourtant, nous avions bien gagné mais je voyais mes coéquipiers totalement effondrés sur le terrain. Mon ex pressa mon bras gauche et m’emmena en direction des vestiaires tout en me rassurant. Je répondis : « Tu as raison et ce n’est pas le rugby qui va me faire vivre. ».
Nous entrâmes dans le vestiaire qui s’avérait être une salle de réunion. Je me retrouvais face à trois hommes assis derrière une table. Je reconnus l’un d’eux, c’était un prof d’université. J’avais passé un oral avec lui. J’ai parlé, j’ai répondu à leurs questions. L’examen dura longtemps et se finit par une étrange question : « Pensez-vous de l’intervention espagnol pour sauver Paris ? » J’ai répondu : « C’était nécessaire parce que les américains était trop loin pour libérer Paris du siège des prussiens. » Le prof que je connaissais intervint en disant : « C’est évident » Et nous avons ri.
Pendant tout ce temps, je ressentais toujours la pression d’Hélène sur mon bras gauche. Je tournai la tête vers la droite et la vis. Dès lors, je pris peur en réalisant qu’elle était morte et qu’elle n’avait rien à faire ici. Son visage était blanc, tout comme ses cheveux, ses yeux et même ses vêtements. Elle ne portait plus son sourire charmeur. Elle gardait les mains dans les poches. Je m’éloignais d’elle, cependant nous gardions toujours la même distance tandis qu’elle n’avançait pas. La pression sur mon bras devint de plus en plus intense. Je me réveillais en réalisant que quelqu’un essayait de me sortir du lit.
Allez un dernier rêve.
J’avais huit ans quand j’ai rêvé me regarder dans une glace. J’étais vieux et chauve. Le rêve ne dura pas longtemps ou, plutôt, je n’ai retenu que ce passage. Il y a moins de dix ans de cela, je venais de me raser, je me suis baissé pour nettoyer mon visage et me débarrasser de la mousse qui restait. En relevant la tête, je me suis nez-à-nez avec mon reflet, et j’ai réalisé avoir rêvé de ce moment. J’étais déjà vieux et chauve.
Alex@r60 – août 2021
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les-portes-du-sud · 5 years ago
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Amoureuse de la vie,
Elle parle aux oiseaux,
Se baigne à la rivière,
Et se mire dans l’eau.
Les rayons du soleil,
Caressent doucement sa peau,
Amoureuse de la vie,
Elle parle aux oiseaux.
Elle admire les étoiles,
Qui scintillent là-haut,
Se nourrit de serments,
Qu’elle fait au Printemps.
Amoureuse de la vie,
Elle aime aussi la pluie,
Qui tombe salvatrice,
Sur son corps endormi.
Amoureuse de la vie,
Elle tangue avec la mer,
Le chaos de ses vagues,
La suspend dans les airs.
Elle rêve d’horizons,
Et de terres lointaines,
Bras tendus vers le ciel,
Elle se sent souveraine.
Amoureuse de la vie,
Elle parle aux oiseaux,
Qui chantent aussi pour elle,
De tendres mélodies.
Marie-Hélène COPPA
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pipocacomcafe · 4 years ago
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Minha Vida em Cor-de-Rosa (1997)
Ma vie en rose
Direção: Alain Berliner;
Roteiro: Alain Berliner e Chris Vander Stappen; 
Gênero: Drama; 
País: Bélgica, França e Reino Unido. 
Narrativa audaciosa e atualíssima: sob o pano de fundo de um drama familiar, o filme discute com determinação e ternura questões sobre transgeneridade, infância, preconceito e aceitação. Ludovic (Georges Du Fresne) é uma criança de sete anos de idade que nascera e fora socializada no gênero masculino. Ela, no entanto, identifica-se a si mesma e deseja performar-se como menina. Concomitantemente, seu pai Pierre (Jean-Philippe Écoffey) que trabalha numa empresa de alarmes, muda-se com a família para uma vizinhança de classe média tradicionalista e conservadora, onde vivem seu patrão e outro colega de trabalho. A presença de Ludovic neste ambiente provocará reações violentas por parte dos vizinhos, ainda mais depois que a garota declara sua intenção de casar-se com Jérôme (Julien Rivière), filho de Albert (Daniel Hanssens), patrão de seu pai. 
A situação torna-se ainda mais dramática quando Pierre é despedido do serviço e a família tem de se mudar. Incompreensíveis, os pais atribuem a responsabilidade pela situação aos “caprichos” de Ludovic. A única pessoa em seu redor que se esforça por compreendê-la é sua avó, Elizabeth (Hélène Vincent). É particularmente triste e emocionante a cena em que Hanna (Michèle Laroque), a mãe, corta o cabelo de Ludovic para que ela apresente-se mais de acordo com definidores do gênero masculino. Sem o apoio e a compreensão dos pais, da escola e da psicóloga, Ludovic torna-se cada vez mais introspectiva e deprimida, até que, na nova vizinhança, ela conhece Christine (Raphaelle Santini), uma criança da sua idade que, apesar de socializada como menina, performa através de atributos masculinos. O filme encerra-se com a percepção da família de Ludovic de que a afetividade e o amor sobressaem-se às diferenças e incompreensões. 
Minha Vida em Cor-de-Rosa é um filme muito bonito e que merece ser redescoberto, principalmente pela pertinência atualíssima das questões discutidas nele. O trabalho de atuação de Georges Du Fresne no papel de Ludovic é admiravelmente bem feito. A estética do filme, jogando dialeticamente o tempo todo com colorações azul e rosa, agregam significados imagéticos à película. Enfim, um filme sensível, terno e potente. 
⭐ 4.5 / 5.0
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allthecanadianpolitics · 5 years ago
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Where the NDP could win:
…and hence where you should absolutely vote NDP and not fear ‘vote splitting’ or ‘handing the election to the Conservatives.’ Ridings where the NDP are incumbent but behind have to be considered at least plausible.
(working from this great breakdown from @Historian_Matt on twitter, using projections (not polls) from 338 and riding history from wikipedia)
Newfoundland & Labrador - swept by LPC, time to take it back. St. John’s East: won by Jack Harris in ‘08 &’11, Harris is running again. Two way race between NDP & LPC on 338. St. John’s South—Mount Pearl: won by Ryan Cleary in ‘11, 338 doesn’t like the odds. Nova Scotia - Some lost territory to regain, CPC not a huge factor. Dartmouth–Cole Harbour: won by Robert Chisholm in ‘11, Emma Norton is an ‘Our Time’ endorsed environmental activist.    Halifax: won by the excellent Megan Leslie in’08 and ‘11, previously won by former leader Alexa McDonough, this is a two-way race and this should be an NDP riding. Sackville—Preston—Chezzetcook: won by (the now-disgraced) Peter Stoffer in six consecutive elections, currently a three-way race.  New Brunswick - Acadians rise up. Acadie—Bathurst: won by Yvon Godin six times between ‘97 and ‘15, two-way race against incumbent LPC Serge Cormier. Quebec - NDP not looking good, but the CPC is even lower most places. Abitibi—Baie-James—Nunavik—Eeyou: Enormous Northern riding held by the retiring Romeo Saganash. 338 has this split between the Bloc and LPC, but with the NDP not far behind. The Tories are a non-factor.
Abitibi—Témiscamingue: Currently held by retiring Christine Moore, another tight one between LPC/BQ/NDP.  Beloeil—Chambly: Currently held by Matthew Dubé, the last-standing member of the McGill 5. 338 has him well behind the LPC and BQ. Berthier—Maskinongé: Currently held by Ruth Ellen Brosseau (the notorious REB) and one of the few Quebec ridings that the NDP can be said to be leading in. It would be ludicrous to vote Liberal here, it’s REB or the Bloc. Drummond: Currently held by Francois Choquette, 338′s breakdown somehow puts him 4th. Hochelaga: Currently held by retiring Marjolaine Boutin-Sweet, now allegedly a LPC/Bloc battleground. Fuck ‘em both, vote NDP. Jonquière: Currently held by Karine Trudel, who, like Choquette in Drummond, is improbably in 4th.                  Laurier—Sainte-Marie: The site of the retiring Hélène Laverdière defeating Bloc leader Gilles Duceppe, and a Quebec riding where the NDP are second to the LPC. Rimouski-Neigette—Témiscouata—Les Basques: Leadership candidate Guy Caron’s riding, which he won in ‘11 and ‘15. 338 has him behind the Bloc and LPC. Sucks to that. Rosemont—La Petite-Patrie: NDP Deputy Leader Alexandre Boulerice isn’t going anywhere. Currently ahead.   Saint-Hyacinthe—Bagot: Currently held by Brigitte Sansoucy. Salaberry—Suroît: Held by the retiring Anne Minh-Thu Quach. Sherbrooke: Pierre-Luc Dusseault is now 28 years old after two full terms in office, unfortunately Sherbrooke is yet another Quebec riding now being contested between the Bloc and LPC. Trois-Rivières: Another of the 2011 pickups that weathered 2015, incumbent Robert Aubin being given a disrespectful 8.9% on 338. Ontario - Big yikes of a province, but traditional ridings could hold. Algoma—Manitoulin—Kapuskasing: Carol Hughes has represented this rural riding since 2008, currently polling well. Brampton East: Raj Grewal left the LPC amid a particularly spicy investigation into his gambling debts. Canada’s only majority South Asian riding, its provincial analogue is held by Jagmeet’s brother. 338 lists it as safe LPC even so. Beaches—East York: NDP has been a strong performer in this riding and held it in the past, it’s a two-way race between them and LPC. Davenport: Won by Andrew Cash in 2011, he’s back and trailing slightly. Essex: Tracey Ramsey won this riding in 2015, this is a rare NDP/CPC race and Tracey’s leading but she needs your vote. Hamilton Centre: The retiring David Christopherson is the only MP this riding has known (created in 2004,) Our Time is endorsing his replacement, Matthew Green. He’s leading, according to 338. Hamilton East—Stoney Creek: Previously held by Wayne Marston from ‘06 to ‘15, and a race between the LPC and NDP. Hamilton Mountain: Historically always a LPC/NDP battleground, currently an orange seat for Scott Duvall. London—Fanshawe: I don’t generally approve of dynastic politics, but the retiring Irene Mathyssen’s daughter Lindsay is vying to replace her in London and is currently ahead of the LPC. Niagara Centre: Malcolm Allen won this riding in ‘08 and ‘11 and is trying to avenge his 2015 defeat in what now looks like a three-way race. Nickel Belt: Traded between LPC and NDP for decades, singer-songwriter Stef Paquette is in yet another close race. Oshawa: Not sure I agree with the detective work on this one. Yes, Ed Broadbent used to rep Oshawa. Literally thirty years ago. Candidate seems like a good one though. Ottawa Centre: Also repped by Ed and the late, great Paul Dewar. Currently held by the duplicitous Catherine McKenna, the NDP are polling 2nd in this used-to-be stronghold. Parkdale—High Park: Once the riding of powerhouse Peggy Nash, another two-way race. Check out Paul Taylor’s specs.   Sault Ste. Marie: Strong NDP results historically, held by Tony Martin among others. NDP candidate Sara McCleary really laid it all out when she was nominated. Scarborough North: Previously held by Rathika Sitsabaiesan in 2011, NDP currently polling 3rd.  Scarborough Southwest: Strong LPC district, though Dan Harris won this riding in 2011. Whoever you vote for here, maybe don’t vote for Bill fucking Blair. Spadina—Fort York: downtown Toronto, previously the riding of Olivia Chow. Climate activist Diana Yoon in tough against incumbent Adam Vaughn. CPC a non-factor.      Sudbury: LPC/NDP battleground, with the Liberals on top pretty solidly in the polls. Thunder Bay—Rainy River: Close race between incumbent LPC and the NDP. The late John Rafferty represented the riding between 2008-2015. Thunder Bay—Superior North: Contest is a three-way between aisle-crossing GPC Bruce Hyer, incumbent LPC Patty Hadju and the NDP’s Anna Betty Achneepinsekum, former Deputy Grand Chief of the Nishnawbe Aski Nation.    Timmins–James Bay: Say what you will about Charlie Angus, the wannabe-Pat Martin is not in any particular danger of losing this race. Toronto—Danforth: As matter of principle the NDP should not have lost Jack’s riding in 2015, and as this is essentially a two-way race between them and the LPC, documentarian Min Sook Lee should absolutely have your vote. Windsor—Tecumseh: Big NDP riding, incumbent Cheryl Hardcastle should be able to hold a riding the party has held all millennium. Windsor West: Similarly, Brian Masse has represented Windsor West since 2002. It’s his to lose. Toronto Centre: I mean, imagine unseating Bill Morneau. Liberals have a big lead here, the CPC are a non-factor and Brian Chang is an excellent candidate. University—Rosedale: Still unhappy that Jennifer Hollett lost out to Capitalism with a Human Face Chrystia Freeland, and further unhappy that Freeland seems a shoe-in for re-election. NDP are second, for what it’s worth. York South—Weston: Won by the NDP’s Mike Sullivan in ‘11, something of an LPC stronghold otherwise. Again, NDP are second in a very Liberal riding. Manitoba - well, it’s not all bad news.  Churchill—Keewatinook Aski: Yeah, Niki Ashton’s sticking around. It was close in 2015, but this is her 4th rodeo. Elmwood—Transcona: aka, the Blaikie dynasty riding. Again, I don’t care for that sort of thing but I do hope Daniel Blaikie holds on here. Currently 2nd behind the CPC. Winnipeg Centre: I feel like the good people of Winnipeg, who dumped Pat Martin for the Liberals in 2015, should be real disappointed with Ouellette. 338 has this one pretty tight with the NDP, and Leah Gazan is an incredible candidate. Winnipeg North: Historically a strong NDP riding despite disappointing results this decade.  Saskatchewan - The LPC is almost completely absent, the NDP trail the CPC everywhere. Desnethé—Missinippi—Churchill River: Currently held by Georgina Jolibois, tight race with the CPC here. Saskatoon West: Currently held by deputy NDP leader Sheri Benson, and apparently another tight one.  Regina—Lewvan: Oy. Currently held by former-NDP Erin Weir, who is thankfully not running. Seems like a loss incoming, CPC leading the NDP. Saskatoon—Grasswood: Safe CPC territory but with decent NDP numbers. Saskatoon—University: Oh gods, Brad Trost’s riding. The NDP are the second choice overwhelmingly here, but the Trostlodyte seems entrenched. Alberta - Let’s keep this short. Edmonton Strathcona: Linda Duncan, who won this seat in 2011, is retiring. Her would-be replacement Heather McPherson has a real uphill battle against… Alberta, conceptually. BC - The Greens are beginning to become a problem. Burnaby North—Seymour: Svend Robinson is back. Despicable CPC candidate Heather Leung has been removed (but remains on the ballot.) LPC incumbent Terry Beech has made wild claims about the necessity of defeating the Conservatives. I wanna bet on Svend but it seems like a hard one, especially with a strong Green 3rd place.  Burnaby South: If the NDP lose this riding we’ve learned a very important and painful lesson. CPC Jay Shin has disturbingly high numbers. Cowichan—Malahat—Langford: Alistair McGregor won this riding in 2015 and looks ahead of the pack in the rare 4-way race. Courtenay—Alberni: close CPC/NDP race with incumbent NDP Gord Johns looking okay but not exactly strong. Greens in a close third place. Esquimalt—Saanich—Sooke: On the island, NDP incumbents like Randall Garrison are in real danger of being run-over by the Greens – he’s currently polling third, behind the GPC and CPC.   Kootenay—Columbia: NDP incumbent Wayne Stetski is in a close race with the CPC, they’re the only two parties relevant in this interior battle. Nanaimo—Ladysmith: Paul Manly won a spring by-election for the Greens, taking the riding from the NDP. Every expectation is they’ll hold it, and the NDP seem to be fighting the Conservatives for 2nd.   New Westminster—Burnaby: Peter Julian has represented the NDP from a variation of this riding since 2004, his biggest rival here is the LPC. North Island—Powell River: Incumbent NDPer Rachel Blaney barely leads the pack of 4, edging out the CPC. Needs your help, for sure. Port Moody—Coquitlam: part-man part-shark Fin Donnelly, having finally realized his legislative goals of banning shark-fins, is retiring. The NDP are thus in tough against the CPC for the fate of Po-Mo-Co, with the LPC not super far behind. Skeena—Bulkley Valley: Everyone’s favourite NDP MP Nathan Cullen is retiring and this enormous riding is sadly thus in play, a race between the NDP and CPC. South Okanagan—West Kootenay: Incumbent NDP Dick Cannings, avian biologist extraordinaire, is in a rare Interior three-way with retired tennis pro Helena Konanz and an unusually strong LPC in third. Surrey Centre: LPC seem likely to hold, the NDP are well-back in 2nd. NDP have a history of doing well in North Surrey. Surrey—Newton: I don’t think the recent scandal involving former MP Jinny Sims is going to help the NDP in this riding, but they are the 2nd choice to the incumbent LPC. Vancouver East: Never in doubt. The NDP have repped East Van consistently since they were the CCF, going all the way back to the thirties. Two brief interruptions in the 70s and 90s, otherwise 75 of the last 84 years this fortress of leftism has held. Vancouver Kingsway: My riding. Don Davies has done well by us for more than a decade. The Liberals attempting to gain this riding by parachuting in TV presenter Tamara Taggart kinda makes my blood boil. I’m good with Don. He’s got a healthy lead but it’ll be closer than I’d like. Northwest Territory At-Large: Three way race, could be a vote splitter. Nunavut At-Large: Three way race, could be a vote splitter. Sure would like to see them dump Leona. Mumilaq Qaqqaq is a fascinating candidate for the NDP.
Submitted by @omegatheunknown
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theatremassalia · 5 years ago
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Malgré le confinement qui a interrompu l’atelier théâtre des élèves du collège belle de mai, Hélène Arnaud, artiste, et Sophie Bacq, enseignante, ont continué à entretenir le lien avec les élèves de la 5ème.
De retour au collège, nous avons entrepris un atelier pour construire des koinobori en tissus et Hélène a souhaité restituer ce travail ainsi que les haikus à travers lesquels les élèves ont exprimé leurs pensées et émotions.
Elle a créé cette vidéo et composer un texte pour raconter ce parcours :
« Nous aurions dû présenter en juin sur le plateau de la Friche Belle de Mai une adaptation du texte de Jean-Paul Alègre : 
Moi, Ota, rivière d'Hiroshima :  
Le matin où la nuit est tombée.
Nous savions que ce texte qui raconte Hiroshima à travers le témoignage de celle qui a tout vu, la rivière Ota et la correspondance d’Akimitsu à son petit frère Yoshi nous demanderait un travail exigeant mais qu’il nous bouleverserait.
Nous étions prêts à chercher, à inventer un spectacle mêlant théâtre documentaire et tableaux vivants reproduisant des estampes japonaises. 
Mais voilà qu’en mars ... l’école s’est arrêtée du jour au lendemain.
Puis... tout s’est arrêté, 
mis sur pause.
 Confinés, éloignés les uns des autres, nous avons malgré tout continué à travailler autour du texte, 
à garder un lien, 
à parler de tout et de rien, du temps ou de recettes, 
à tenter de construire une parole ensemble, 
construire ce qui serait notre récit commun.
 Ces jeunes gens ont tous voulu y participer, malgré une situation parfois complexe et difficile au quotidien.
 Ils ont nourri, chacun à sa manière, cette nouvelle proposition. 
 Et grâce à l’écoute bienveillante de leur professeure Sophie Bacq, ils ont créé cet objet, ont fabriqué un koinobori, ont écrit des haikus - témoignages des pensées, des doutes, des peurs mais aussi des espoirs et émerveillements qui les ont traversés pendant ces longues semaines de confinement.
Je suis touchée par leur désir, si fort, de faire naître une parole du chaos,
De dire parfois avec une simplicité déconcertante l’impermanence des choses...
J ai tenu à partager cette parole sans y changer le moindre mot. 
Brute. Vivante. 
Bonne route, petits dragons ! »
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leblogdemarinaetjm · 5 years ago
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JEUDI 23 AVRIL 2020 – 37ème jour du confinement (Billet 1 / 3)
Le Billet sur le Concerto N°2 de Rachmaninov en a semble-t-il interpellé plus d’un… dont « une », Thérèse (T.), qui tout de suite après la publication du Blog a cherché à nous joindre pour nous raconter tout plein de choses très intéressantes au sujet de ce Concerto.
Entre autre ceci : elle a eu comme gendre Erik Berchot, très grand pianiste, qui a joué son propre rôle dans le film « Partir, revenir » que Claude Lelouch a écrit en totale symbiose avec ce Concerto.
Ce qui est fou et c’est surtout ça qui a excité notre curiosité, c’est que Michel Legrand a composé un quatrième mouvement pour ce Concerto et que c’est Erik Berchot qui l’interprète dans le film.
Une chose est sûre, nous n’avions pas vu ce film lorsqu’il est sorti et après avoir passé presque une matinée sur Internet à nous renseigner à son sujet, en plus de tout ce que nous a dit Thérèse, nous avons commandé deux exemplaires du DVD sur le Net et il y en aura un pour Thérèse.
La bande-annonce, ne la ratez pas (voir ci-dessus), est incroyablement longue et « gonflée » pour l’époque.
Vous comprendrez mieux notre engouement en lisant ce qui suit.
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PARTIR, REVENIR (2h) : un film français réalisé par Claude Lelouch, sorti en 1985.
Musique : Michel Legrand et Serguei Rachmaninov
Date de sortie : 27 mars 1985
Distribution
Annie Girardot, Jean-Louis Trintignant, Evelyne Bouix, Richard Anconina, Françoise Fabian, Michel Piccoli, Erik Berchot, Marie-Sophie L., Bernard Pivot…
Lieux
Il est à noter que l'essentiel de l'action se déroule dans le château du village de Châteauneuf-en-Auxois, un château qui a été restauré par Claude Lelouch pour les besoins de son film – renseignement donné par Thérèse (NDLR du Blog).
Synopsis
1985. Salomé Lerner, rescapée des camps de concentration, vient d'écrire son premier livre : "Partir, revenir" et le présente à l'émission de Bernard Pivot "Apostrophes" : elle a eu l'idée de ce roman en voyant un jeune pianiste qui lui a terriblement rappelé son frère Salomon Lerner, mort en déportation.
Salomon était lui aussi pianiste, et Salomé s'est souvenue de la théorie de son père Simon : nous vivons probablement plusieurs vies, et chaque vie améliore la précédente. Ainsi, le père disait-il à son fils pianiste qu'il se réincarnerait un jour en un musicien plus parfait, enfin capable d'interpréter ce fameux Concerto N° 2 de Rachmaninov sur lequel il s'était tant exercé !...
A partir de là, Salomé Lerner est amenée à raconter toute l'histoire de sa famille pendant la guerre et l'Occupation : comment les Lerner - ils sont juifs - ont été recueillis et hébergés par leurs amis Hélène et Roland Rivière, qui vivaient dans un petit château, loin de Paris, et comment, un jour, les Allemands sont arrivés là et ont emmené la famille Lerner en camp de concentration.
A la fin de la guerre, seule la jeune fille Salomé a survécu ; Roland Rivière veut à tout prix découvrir le coupable qui a dénoncé les Lerner aux Allemands. On soupçonne le propre fils des Rivière Vincent, garçon bizarre, rêveur, funambule, que la plupart des villageois considèrent comme un peu fou.
Mais en réalité, c'est l'épouse Rivière - Hélène - qui, voyant que son fils Vincent est tombé amoureux de Salomé, et croyant que son mari s'intéresse aussi à Mme Lerner, a dénoncé les Lerner parce que, dans un moment de folie, elle a cru que son fils et son mari la quitteraient. L'horrible vérité ayant éclaté, Salomé a pu poursuivre son chemin et écrire son roman, quarante ans plus tard...
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Un montage complexe
« Partir, revenir » se caractérise notamment par un montage complexe, pourvu d'un nombre conséquent de retours en arrière qui morcellent la narration. Au total, il y a environ une dizaine de passés emmêlés les uns aux autres que le film décortique successivement. Le seul repère stable est en fait le point de départ du film, lorsque Salomé est reçue par Bernard Pivot à Apostrophes. Le film n'est donc pas du tout monté de façon linéaire. Ce constat fut dressé dès sa sortie : Michel Perez, dans sa critique du 27 mars 1985 dans Le matin de Paris, soulignait que "le film est construit comme le puzzle éclaté de la mémoire".
Un réalisateur angoissé
Claude Lelouch, particulièrement attaché à ce film (il affirma : "Partir, revenir est plus que tout autre un film sur ma passion du cinéma"), était très angoissé quant à son succès. Peu avant la sortie, il avait même déclaré qu'il pourrait bien tout arrêter si « Partir, revenir » ne plaisait pas !
Une structure centrée sur la musique
Selon les propos de Claude Lelouch lui-même, « Partir, revenir » est dans une très large mesure agencé autour de sa musique, à savoir le concerto n°2 de Rachmaninov, auquel Michel Legrand a rajouté un quatrième mouvement. Il affirmait même que ce morceau "a été la pierre angulaire, l'âme, la star invisible de ce film. [...] De metteur en scène, je suis devenu messager de ce film gigogne, funambule de ce film puzzle en équilibre sur une portée musicale." Le réalisateur justifiait son choix par la concordance entre cette musique et la période historique décrite dans le film : "cette oeuvre, composée par Rachmaninov à la suite d'une dépression nerveuse, correspondait exactement à ces années 1943-45 qui ont été, d'une certaine façon, la plus grande dépression nerveuse collective de tous les temps."
(Sources : « cinema-francais.fr » et « allocine.fr »)
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readingloveswounds · 5 years ago
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it’s quite well acknowledged that Agrippa d’Aubigné’s writings tend to be extremely violent - this is what he’s known for. He wasn’t part of the Pléiade, not did he invent any particular form, and while his style can be described as Baroque, that’s also not really his claim to fame. Anyway all this to say that it’s really important to keep in mind just how absolutely buckwild his writing is in comparison to others.
I’m reading his Hecatombe à Diane right now and sure a lot of love poetry involves some violence done by the beloved to the lover, including bringing the lover to death.
but most love poetry doesn’t include the line “Je suis le champ sanglant où la fureur hostile / Vomit le meutre rouge,” (Hecatombe VIII) (I am the bloody field where hostile rage / vomits red murder). The speaker is describing the conflict between Fortune and Love, by the way.
If you want a comparison, we can look to Ronsard’s Seconde Livre des Sonnets pour Hélène, specifically XXVI, which references the Wars of Religion:
Au milieu de la guerre, en un siècle sans foy, Entre mille procez, est-ce pas grand’folie D’escrire de l’Amour ? De manotes on lie Les fols qui ne sont pas si furieux que moy. Grison et maladif r’entrer dessous la loy D’Amour, ô quelle erreur ! Dieux, merci je vous crie. Tu ne m’es plus Amour, tu m’es une Furie, Qui me rens fol, enfan, et sans yeux comme toy : Voir perdre mon pays, proye des adversaires, Voir en nos estendards les fleurs de liz contraires. Voir une Thebayde et faire l’amoureux ! Je m’en vais au Palais : adieu vieilles Sorcières. Muses je prens mon sac, je seray plus heureux En gaignant mes procez, qu’en suivant vos rivières. 
I’m not going to translate this one, but believe me when I say that the imagery around the war nowhere near approaches that one line of Aubigné’s work. It’s just wild.
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