#Allez c'est tout pour moi
Explore tagged Tumblr posts
chaotictomtom · 8 months ago
Text
vous rendez vous fou vous même pas 1h que l'épisode est sorti en ligne ça commence déjà à spoiler. enfin le post date de y'a 45min donc la personne là commence à spoil alors que ça faisait même pas 15min que le bail est sorti. aussi pourquoi show uk sort en ligne en premier à des heures us ça rend zinzin ça aussi ils ont pas assez de trucs eux là ???? bref dw fandom aussi nul que successionfandom pour les périodes de sorties d'épisodes vous êtes pas mieux que les sunday girlies on retient on retient
1 note · View note
emptyset-sys · 9 months ago
Text
Vous savez quoi ? Y a pas assez de systèmes français sur tumblr. Vous êtes tous cachés derrière l'anglophonie (comme nous mdr)
Faut changer ça! Donc on va créer un tag pour nous, les systèmes francophones: sysfr.
1 note · View note
zuzcreation · 6 months ago
Text
En 15 ans de RP, je n'ai jamais vu ça
J'exprime rarement mes états d'âme sur tumblr mais là...je dois dire que je suis sur le cul et je suis profondément blessée...
Cela fait presque 2 ans et demi que je joue un "scénario" sur un forum. Mon activité n'est pas fifolle mais le staff répétant à longueur de temps IRL avant tout, je me suis jamais inquiété. J'ai été raisonnable et je n'ai jamais demandé de DC.
J'ai traversé une petite période à vide en mars et puis je me suis pris par la main et j'ai discuté par MP avec les principaux liens du personnage des évolutions du personnage. Tout allait bien.
Il y a un mois, je reçois un MP pour discuter de l'avenir de mon personnage et l'évolution du lien entre nos 2 persos. Adorant notre lien, je suis hype. Mon erreur a peut être de ne pas avoir répondu dans la semaine, mais avoir attendu 10 jours car mon IRL étant un peu prenant en juin. Et depuis, silence radio. Je me dis naïvement qu'elle a pas le temps de me répondre et pour moi c'est OK.
Aujourd'hui, je reçois un message du compte staff avec en titre "activité". Je comprend pas, on est pas en fin de mois et j'ai posté 2 rp le 3/07. Et là...je découvre qu'on me demande de changer de personnage car la joueuse ne trouve plus son compte vis à vis de mon activité et aimerait faire évoluer le personnage (probablement plus vite). Je n'ai jamais vu ça. Oui je suis pas une lumière, je veux bien le reconnaître. Mais était-ce si terrible de venir me voir et me le dire en face ? Alors que ça fait 2 ans qu'on échange et RP ensemble... et que tout c'est toujours bien passé.
En 15 ans de rp, jamais j'ai reçu ce genre de MP, de message. Pourtant j'en ai foulé des forums, j'en ai joué des personnages, pris des scénarios/PV. Jamais on m'a dit que l'IRL avant tout et de me dire que mon activité va pas... Si j'avais eu plusieurs compte ok... mais c'est mon seul et unique compte sur ce forum.
Je suis dégoutée...
Conclusion : si vous avez un soucis avec votre partenaire, allez le voir et PARLEZ LUI ! Soyez honnête et sincère. A chaque problème sa solution et souvent en parlant entre adulte tout se règle tranquillement.
93 notes · View notes
camisoledadparis · 9 days ago
Text
saga: Soumission & Domination 361
Espagne 2015-3 : Jaime recrutement
Jaime
Donc Jaime a 18ans et rentre en 1ère année de fac de science. C'est un volleyeur (ça s'est vu sur la plage). 1m85, 80Kg de muscles sous une peau imberbe, bronzée et débarrassée de ses quelques poils hors pubis, noir de cheveux, monté 20 x 5 à 5,2 circoncis. Homo depuis sa première expérience sexuelle avec un de ses potes de sport, il a fait son coming-out et sort d'une histoire de près d'un an avec un mec de 20 ans. Il est actif et passif. Son père est médecin et sa mère l'assiste, mais dans le contexte économique actuel et 3 frères et soeurs plus petits, il cherche à participer au financement de ses études et c'est pour ça qui va faire le serveur au mois d'août.
Ernesto déballe son argumentaire. C'est la première fois que je l'entends. Il est bon dans l'exercice. Jaime n'est pas choqué par la proposition. Il faut dire qu'Ernesto amène comme un privilège le fait d'entendre celle-ci. D'ailleurs Jaime est flatté que ce soit lui et pas les autres qu'on ait choisi en premier.
J'insiste sur le côté " sécurité " du travail, suivi médical, pratiques SSR, clients conscient du " haut de gamme " de notre offre de service. Sans minimiser la partie sexuelle des prestations, Ernesto précise qu'il faut aussi être bon dans l'Escort proprement dit.
Là, notre futur collaborateur s'inquiète de son dressing. Peur balayée quand on lui dit que les vêtements spécifiques (costumes, smoking...) sont compris dans le contrat.
Le dernier détail qui pourrait clocher c'est la taille de bites à " héberger " dans son cul. Le XXL n'est pas naturel à tout un chacun.
Quand je l'ai sodomisé, j'étais confortable, mais bien serré aussi. Rires de l'intéressé, le mec qu'il vient de quitter était équipé d'un sexe de 20 x 6.5 et avec lui il n'était que passif.
J'en profite pour dire que nous gérerons la partie professionnelle de sa vie mais pas la partie privée. Le seul truc est de ne pas prendre de risque concernant sa santé, question de respect pour les clients.
Ernesto bat le fer tant qu'il est chaud et je comprends pourquoi quand il nous dit qu'un de nos clients n'est pas " couvert " pour ses vacances le mois prochain. Contrat type de 3 semaines, voyage compris, 1 semaine d'affaires dans la capitale et 2 semaines sur la côte d'azur, le tout pour un salaire net 40 fois supérieur à celui de serveur estival.
Il a un peu de mal à digérer l'information. J'appelle Romain qui lui confirme que c'est du réel. Lui aussi va taffer le mois prochain et qu'entre sa mise aux enchères, ses prestations hebdomadaires et le " travail " d'été, il se fera cette première année plus qu'un cadre supérieur moyen.
Je n'avais pas pensé que ce serait aussi sa première prestation dans la société. J'en parle à Ernesto qui avait lui aussi zappé le truc. Il corrige aussitôt la proposition et l'assure pouvoir obtenir plutôt du 80 à 100 fois. Il est scié.
Ernesto lui propose d'aller le lendemain à Barcelone à son bureau. Il accepte et nous retournons avec les autres. Ses potes essayent de lui tirer les vers du nez pour savoir ce qui nous avait retenu tous les trois, mais il se tait.
21h, nous dînons tous ensemble, nos visiteurs ayant accepté l'invitation. Nous aidons Paco pour le service. C'est surtout Jésus qui fait les aller et retour avec la cuisine. Allez savoir pourquoi ! Le rosé glacé est de mise et sans nous en apercevoir, nous sommes tous un peu " partis " à la fin du repas.
Jaime me prend à part et me demande si je veux qu'il plante son cul sur la mégabite de Paco pour nous montrer ses capacités. Je lui roule une pelle. Il est gentil le gamin. Je lui dis que je lui fais confiance et que s'il prend ses quartiers à la villa, ça arrivera bien assez tôt. Il me serre dans ses bras et me dit qu'il a trop de chance cette année. Il a eu son " Bac ", il a largué son mec et nous arrivons avec la solution à ses problèmes de financement. Il va même économiser le camping. Quand il me dit cela, il éclate de rire et me dit qu'il vient de se rendre compte que c'est rien maintenant. Et puis ses deux amis ont besoin de son cofinancement de l'emplacement de leur tente.
La soirée se prolonge. Entre cafés, papotages, caresses diverses mais encore softs et passages dans l'eau pour nous rafraichir, la nuit s'avance et nos amis acceptent de rester. Traverser une partie de la ville à moitié bourré, pour rejoindre les matelas durs de leur tente... Ça convient bien aux habitants de la villa qui espéraient bien une deuxième partie de sexe.
Je me fais les hollandais. Culs blanc mais fougue toute méditerranéenne. En alternance avec PH et Ernesto, nous saturons leurs trous de nos coups de bites impérieux. Quand nous les laissons pour tester d'autres " abris ", ils sont pris en charge par Ludovic et Hervé. Pas de temps morts !
Alors que je cherche un plan, j'entends Jaime qui m'appelle. En levrette devant Paco, il se fait ramoner le conduit par ses 23cm épais. Au moins on ne pourra pas dire qu'il n'a pas de suite dans les idées. Je m'approche roule un patin rapide à Paco avant de lui demander ses impressions. Je n'arrive à lui tirer qu'un " bon, trop bon". Je m'aplatis, retrouve les lèvres et la langue de ma dernière conquête. Il arrive à me glisser un " t'as vu, je peux prendre lourd " entre deux brassages de langues. Je me coule entre ses bras et kpote sa bite que le limage de sa rondelle ne semble pas faire débander. Je me retourne et, sur le dos cette fois, je recule jusqu'à ce qu'il me plante. Dans cette position, on peut se rouler un patin tout en menant nos petites affaires et Paco aussi. Ce dernier devine que j'ai un peu de mal à garder mes reins suspendus sous Jaime. Il nous propose de migrer vers la table basse proche. C'est mieux. Je suis couchée dessus sur le dos, Jaime à genoux entre mes cuisses est juste à la bonne hauteur pour m'enculer et Paco, accroupi, les mains accrochées à ses épaules reprend son labourage en règle.
La bite de Jaime est très efficace. En fonction des coups de rein qu'il reçoit, il arrive à modifier ceux qu'ils m'envoient dans le cul. Sans que je lui en parle, il me dit que c'est ce genre de plan qui lui avait manqué avec Pedro (son ex).
Il arrive à me faire jouir sans que j'aie besoin de me branler. Les passages et chocs répétés de son gland sur ma prostate suffisent à déclencher mon orgasme. Quand, lors de chacune de mes éjaculations, je stoppe net sa progression, il monte en pression et, à son tour, jute mais dans sa kpote. Ricochet suivant, c'est Paco qui gueule en larguant sa sauce.
Il est 4h30 quand on s'endort.
J+2
Réveils à 11h. Je suis dans notre grand lit avec Ludovic, Ernesto, PH et Jaime. Il y a aussi João et Romain à l'autre bout.
J'enfile un maillot. Ça réveille Jaime qui se lève à son tour. Sans bruit nous allons à la cuisine. Les portes des chambres sont grandes ouvertes et on voit qui a dormis avec qui. Mon Marc a encore dans ses bras Baz alors qu'Hervé s'est endormi avec Rubén. Plus loin Arvid et Gaz ont l'air d'avoir fait plus que dormir dans les bras l'un de l'autre vu la pagaille des draps.
Quand on déboule dans la cuisine, le spectacle est revigorant. Pour au moins la deuxième fois, Jesus est planté par Paco. Torse sur la table de la cuisine, il pousse de tous petits gémissements pour ne pas réveiller toute la maison. Paco va pour se retirer et nous servir le café mais je le prends de vitesse et lui dis de finir son petit Jesus.
Avec Jaime, on sirote notre café en commentant leur baise. Enfin c'est surtout Jaime qui entreprend Jesus. Il rigole car ce dernier le traitait de fou quand il se faisait Pedro et sa grosse bite. Là, Jesus se prend bien plus gros et long et il voit bien que ça donne aussi du plaisir les grosses bites. On mate encore quelques instants. C'est intéressant ce qu'une grande différence de physique permet comme positions. Paco exhibe ses gros muscles avec des portés sur bite athlétiques. Jesus n'en peut plus de se faire ramoner. Il finit par jouir, les jambes serrées autour de la taille de Paco, accroché à son cou. On le voit mordre dans le deltoïde et y laisser la marque de ses dents pour ne pas hurler son plaisir alors que son jus coule de leurs abdos compressés.
On les laisse pour se mettre au soleil sur la terrasse. Lunette sur les yeux, nous synthétisons de la vitamine D.
Les autres occupants de la maison arrivent en ordre dispersé. Certains la tête dans le cul, d'autres quasiment frais et dispo !
Je profite que tout le monde soit là pour prévenir qu'avec Ernesto et Jaime nous allons en début d'après-midi à Barcelone. Arvid nous demande de l'emmener aussi. Les autres décident de rester. Nous embarquons donc dans une des trois voitures de location et traçons au nord. Ernesto conduit. Il dépose Arvid devant sa coloc avec la promesse de ce dernier de revenir nous voir (il a notre adresse et nos n° de téléphones) surtout que les grosses partouzes sont encore à venir.
Puis on file vers le bord de mer. Vers le Bario de Barceloneta où Ernesto vient d'acquérir pas trop cher, au nom de la société, un vieil immeuble de 2 étages où il a implanté les bureaux et son appartement. L'extérieur est encore à refaire mais l'intérieur est nickel. Jaime est impressionné par l'endroit. Comme au blockhaus, Ernesto a réalisé une frise avec les photos de ses Escorts en maillot Addicted (chez moi ils sont en Aussiebum). J'ai beau connaitre mes employés, les voir les uns à côté des autres, je remarque une plus grande disparité de physiques. Jaime a du mal à décrocher ses yeux. Il nous dit reconnaitre trois mecs. Il n'aurait jamais pensé que leur aisance financière venait de ce taf. Quelque part ça le rassure.
On monte son dossier. Ernesto lui donne l'adresse des boutiques dans lesquelles il devra aller s'habiller. Il téléphone au labo d'analyse pour les prévenir que nous passerions plus tard. Il en profite pour appeler son client. Alors que ça sonne, il pousse le dossier du mec devant Jaime. Je l'ouvre et on voit le mec en photo. Il est en maillot de bain. Dans les 45ans, bien fait, on voit que le contenu de son slip est lourd et pourtant il ne bande pas ! Je regarde Jaime, il me dit que ça va il avait craint un mec gras, chauve et repoussant.
Nous entendons la conversation téléphonique. Ernesto explique qu'il lui a trouvé un escort pour le mois d'août. Le mec est ravi, il lui explique aussi que c'est une nouvelle entrée dans la société donc il devine ce qu'il va lui demander. Réponse du client " je sais comment ça marche mais là tu ne vas pas me faire des enchères j'en ai besoin ".
Ernesto l'assure qu'il le lui réserve mais qu'il va falloir qu'il soit généreux tout seul. Le client comprend et annonce le chiffre d'un résultat d'enchères normales. C'est ce que lui fait remarquer Ernesto qui lui rappelle qu'il va avoir son gars 3 semaines en 7j/7 et 24h/24.
 A mes côtés, Jaime est sans voix. Je tempère en lui disant que le chiffre discuté est le salaire brut. Qu'il n'en aura que 55% net (le reste ce sont les charges 35% et la marge de la boite).
C'est limite s'il ne tombe pas dans les pommes quand le client propose 1 fois et demie sa première offre. J'opine de la tête et Ernesto confirme notre accord puis raccroche.
Jaime me roule un patin de la mort avant de faire pareil à Ernesto. Il est trop content. Son mois d'août qui s'annonçait sympa mais peu rémunérateur s'est transformé en vacances en France avec salaire de ouf.
Je lui demande si avec ses parents ça ne posera pas de problème. Ernesto annonce qu'officiellement, il émargera en tant que " secrétaire particulier ". Il dit que ce sera OK. Je pense aussi à la drogue, à Saint Tropez, ça ne doit pas manquer. Jaime me rassure que s'il avait dû tomber là-dedans, ce serait déjà fait vu la facilité pour trouver de la cocaïne aussi bien à Barcelone qu'à Sitgès. J'en profite pour souligner que nos escorts sont tous " propres " concernant les drogues et le tabac. Question de respect du client.
Quand on repart, on passe au labo. Le prélèvement dure 5mn et les résultats lui seront communiqués sous 48H comme en France. Nous sommes de retour à 18h. La villa est quasi vide. Marc et Hervé nous préviennent que les jeunes sont sur la plage et qu'eux attendent notre agent immobilier et son petit copain qui vont passer la soirée avec nous.
On enfile nos maillots, un short par-dessus. On prend la voiture et descendons à la plage.
Facilement on retrouve le petit groupe qui squatte un filet de volley. Les deux potes de Jaime l'assaillent de question. Il coupe court en leur disant qu'il avait profité du fait qu'Ernesto et moi dévions aller à Barcelone pour aller voir ses parents.
On entre dans le jeu. Une partie décousue mais acharnée, un plongeons dans la mer et on discute de la soirée. Les deux hollandais ont entendu parler d'une teuf et comptent y aller tout comme Rubén. La triplette souhaiterait les accompagner. Je demande plus de renseignement sur qui organise quoi. J'ai pas confiance et Ludovic non plus.
Après 5mn à nous faire la tête, ils admettent que nous ne sommes que le troisième jour d'un séjour de 21, donc ils ont le temps.
João me prend à part et me dit que si je veux, il pourra " encadrer " les petits au besoin.
En attendant nous remontons à la villa sans les " fêtards ". Dans la voiture où nous sommes tous entassés (10 !! y'en a 2 dans le coffre du C4 Picasso) Jaime console les jeunes en leur assurant que cette fête c'était plutôt souleries et défonce que baises et plaisirs. Il avait été à la précédente organisée par le même mec et s'était barré tôt avec Arvid qu'il avait rencontré là-bas pour la première fois.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
38 notes · View notes
kiddressources · 1 month ago
Text
besoin de vos avis
Bonjour la commu 💕 J'espère que vous allez toustes bien en ce troisième jour de décembre, que vous êtes satisfait.e.s de l'année écoulée et si non, sachez que je suis aussi dans la team de ceux qui ont HATE qu'elle se finisse, duh. Mais bon, rentrons dans le vif du sujet.
Depuis quelques temps je pense à ouvrir un Patreon. Je posterai toujours des avatars sur ce tumblr, évidemment, mais le Patreon me permettrait d'arrondir un peu les fins de mois difficiles (elles sont nombreuses) (quelle foutue idée j'ai eu d'aller vivre dans une capitale européenne hein), tout en proposant, pour les personnes qui y seront abonnées, un partage de ressources, pourquoi pas des tutoriels (god bless y'all, je suis pas une bonne prof, sauf pour vous apprendre à faire des cocktails jpp) (ça peut être une option aussi en soit), un système de commandes (surtout pour des designs de forums parce que même si j'adore faire ça, ça me prend un temps FOU, c'est pour ça que je propose très très rarement de le faire), etc.
Le prix ne serait évidemment pas exorbitant, ce serait de £3-4 par mois.
Qu'est-ce que vous en pensez? Est-ce que certain.e.s d'entre vous seraient partant.e.s? 👀 Gardez évidemment en tête que je ne force à RIEN, qu'aucun couteau n'est contre votre gorge, que si vous avez envie, vous le faites, sinon sans rancune! J'y ai surtout pensé encore plus quand on m'a dm récemment pour un travail commissionné donc je me suis dit que ça pourrait aussi être sympa d'offrir cette opportunité aux gens???
(Les asks anonymes sont désactivés donc si vous voulez balancer de la haine comme ça arrive souvent quand il est question d'argent, utilisez vos pseudos <3)
25 notes · View notes
ernestinee · 4 months ago
Text
*soupir* Allez on continue ce bouquin.
- La vive et fantastique Marie disparaît en lui disant "file moi ton adresse je te retrouverai" (bonjour le challenge), évidemment comme il veut tout contrôler il décide d'enquêter pour savoir qui elle est, le gros stalker là. Il se base sur UNE PHRASE qu'elle a dite. Flippant.
- Elle a disparu pcq un vieux gars est venu l'engueuler en lui disant que son infirmière la cherchait, c'est le truc qui me donne encore un peu d'espoir pour la suite. Quelle est sa maladie ? Je parie sur un trouble psy, ça irait trop bien avec son comportement extrême du moment de la rencontre.
- Le mec est insupportable. Il est imbu de sa personne, il est désagréable avec le mec qui remplace la bibliothécaire pcq il parle un peu trop simplement à son goût mais vraiment il m'énerve, et j'arrive pas à savoir si c'est voulu par l'auteur. S'il nous amène vers un gros CHEH ou si le gars va développer ses qualités au cours de l'histoire, ou que sais-je mais qqchose qui rend ce comportement utile à l'histoire. J'ai l'impression que non, que c'est juste un connard qui se prend pour un doux rêveur instruit mais qui est en fait totalement creux à l'intérieur et qu'il va rester creux au détriment de la pauvre Marie.
Tumblr media Tumblr media
Putain quoi. Et après évidemment il sort son langage soutenu pour lui parler, pour bien montrer sa supériorité intellectuelle de mon cul là.
C'est vraiment un truc qui m'horripile chez les gens, cette supériorité par le langage. L'instruction n'est pas incompatible avec l'empathie et l'humanité.
20 notes · View notes
yenasmatik · 7 months ago
Text
Re- French Elections stuff
Yo, les gens qui désespèrent de la dernière fils de puterie de l'ignoble banquier.
SAMEDI, PARTOUT EN FRANCE S'ORGANISENT DES MANIFS ANTI RN.
Alors allez googler le nom de votre ville et les horaires de la manif de votre coin, et par pitié déplacez-vous. J'ose espérer qu'ils auront la cervelle de ne pas mettre ça aux mêmes horaires que la Pride. Touchons du bois.
Je n'ai malheureusement trouvé nulle part une liste pré-faite de tous les rendez-vous. Le site de la LFI a une section "créer/rejoindre un événement" avec une carte, où une partie des événements sont indiqués. Si la grande ville proche de chez vous n'est pas indiquée, googlez [nom de votre ville] manifestation 15 juin. UPDATE: LE SITE DE LA CGT A UNE CARTE DES RENDEZ-VOUS
Rameutez les darons les daronnes les frères les sœurs les potes les collègues les mutuals tout ce que vous pouvez traîner avec vous ! Beaucoup de gens (moi la première je juge pas, ok?) n'osent pas aller en manif seuls ! Lancer le sujet en demandant qui se sent d'y aller en groupe peut leur permettre de venir ! Si vous avez un véhicule, vous pourriez être la personne qui permet à d'autres de participer ! Et comme ça vous pouvez faire un déjeuner / un café / thé / etc de célébration/réconfort en fin de manif !
CONSEILS POUR CEUX QUI NE VONT PAS SOUVENT EN MANIF SOUS LE CUT
- chaussures confortables, vous allez piétiner au départ et puis marcher entre 30 minutes et 1h - Vérifiez la météo. Pensez à un chapeau ou un vêtement de pluie. Dans le doute vaut mieux l'avoir pour rien. - On est en été prenez une bouteille d'eau ! même si vous avez jamais soif vous pourriez vraiment aider un pote
- Au cas où prenez un truc sucré, genre barre chocolatée ou petit paquet de gateaux. Si quelqu'un commence à faire un malaise autour, ça peut être important. - En premiers soins : des pansements à cloques, du doliprane, si vous avez une articulation fragile pensez à une bande de support (chevillère, genouillère) dans le sac au cas où. C'est de la parano jusqu'au jour où vous en avez besoin.
HANDICAP - Vous pouvez TOTALEMENT venir avec des bouchons d'oreilles et un casque anti-bruit !! (Les orgas de manifs sont des boulets sur l'inclusion niveau bruit, mais c'est pas l'école personne va vous les confisquer !) - Les manifs marchent sur la route et je n'en ai jamais vu emprunter d'escaliers. Pour nos amis en fauteuil roulant. N'hésitez pas à contacter une asso/ un collectif d'orgas pour demander le parcours de la manif. - Vous pouvez venir, marcher ce que vous pouvez et quitter le cortège quand vous êtes fatigués. Ca aide de venir même si vous ne pouvez pas être là jusqu'à la fin. Personne ne vous jugera, ni même ne vous remarquera. Pensez à prévenir le groupe avec qui vous venez que c'est une possibilité et discutez à l'avance de ce qui sera fait dans ce cas, pour vous éviter le stress ou la gêne qui empêche de dire "j'ai besoin de m'arrêter". - évitez les panneaux fatigants à porter. Vous pouvez écrire vos slogans au marqueur indélébile sur un vieux T-shirt blanc ou clair, ça marche très bien et c'est plus confortable ! Et si vous ne savez pas quoi écrire, ne vous prenez pas la tête, votre présence aide même sans panneau.
LIMITER LES RISQUES D'EMBROUILLES - Les manifs qui rassemblent des syndicats mainstream et autres institutions nombreuses et blanches sont rarement attaquées par la police, en tout cas hors Paris. Ca n'empêche pas de suivre quelques conseils de bon sens. - Niveau sécurité, évitez la tête de cortège (tout devant) et la queue de cortège (tout tout derrière). - Quand la marche est terminée, si la foule se disperse, ne restez pas sur place. - SI UN GROUPE D’EXCITÉS SE METTENT A CRIER DES INCITATIONS A CASSER DES TRUCS ET/OU BIFURQUENT HORS DU TRAJET DE LA MANIF PRINCIPALE, NE LES SUIVEZ PAS. Les pseudo-casseurs infiltrés ou aux affiliations douteuses ça existe. Restez dans le cortège principal, ne cassez rien, ne taguez pas, c'est plus sûr quand on ne connaît pas les groupes locaux.
23 notes · View notes
selidren · 5 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Printemps 1933 - Champs-les-Sims
1/4
Cher Lucien,
Cela me fait plaisir de voir que les choses commencent à être plus belles par chez vous, en particulier pour Marie qui semble si bien s'en sortir dans son mariage. J'ai d'ailleurs transmis tes salutations à tout le monde, et ils te renvoient tous la pareille.
La crise a fini par arriver par chez nous également. Avec du retard, mais une certaine intensité. Tante Rose dis qu'à Paris, les queues devant les soupes populaires ne font que s'allonger. Ange me confirme que les clients se font un peu plus rare dans les établissements de loisirs. Les prix ont augmenté et nous avons essuyé des pertes sèches durant la dernière année. Oncle Adelphe s'en est arraché les cheveux tant nos meilleures bouteilles ne se vendent plus beaucoup. J'ai eu l'idée de réorienter la production vers des vins de moyenne gamme qui eux se vendent toujours aussi bien. Les chiffres commencent un peu à remonter ces derniers mois, mais nous sommes très loin du chiffre d'affaire que nous avons eu pendant vingt ans. Nous avons du licencier un de nos ouvriers pour faire des économies, et je suis ravie d'avoir autrefois insisté auprès d'Adelphe pour qu'il m'apprenne les gestes techniques du métier. Je suis un peu rouillée, mais grâce à ça, j'ai pu maintenir le niveau de vie de la famille. La vie sociale de tout le village en est bouleversée. Il y a beaucoup moins de soirées organisées chez les voisins, les repas de famille sont moins nombreux, et l'épicerie des frères Musclet peine à maintenir la tête hors de l'eau.
Tu me demandes comment s'est passé le retour de Petite Eugénie à la maison. Dans les grandes lignes, c'est assez agréable. Je suis heureuse de retrouver ma petite soeur, mais je suis aussi décontenancée par son attitude. Elle ne fait pas du tout ses dix-sept ans et semble être bien plus jeune, raison pour laquelle les filles en font très souvent leur compagne de jeu. Mais parfois, elle a des éclairs très brusques de maturité qui lui font adopter l'attitude d'une adulte. Je crois qu'elle même ne sait pas vraiment comment se comporter. Elle est parfois confuse, invente des événements qui n'ont pas lieu ou oublie tout simplement que Papa et Maman ne vivent plus ici. Les crises les plus fortes ont cessé, mais voir dans ses yeux le moment où elle réalise qu'elle n'avait plus qu'un pied dans la réalité est très dur et triste. Le médecin à Paris dit que son état s'améliore, et c'est vrai, mais j'aimerais l'aider davantage.
Transcription :
Eugénie « Qu’est-ce que vous faites ? »
Ange « Une activité vespérale trépidante. Nous lisons. »
Arsinoé « Il s’agit de notre petit rituel du soir, avant le dîner. Et toi ? Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ? »
Eugénie « J’attends que la voiture d’Eugène vienne me prendre. Il organise une soirée au château. »
Arsinoé « Ma chérie… Eugène n’organise pas de fête ce soir. »
Ange « Et le château a été vendu à l’état il y a des années déjà. Tu ne t’en souviens pas ? »
Eugénie « Je… heu… si. Je crois. Oh non… ça a recommencé... »
Arsinoé « Ce n’est rien Eugénie. Tu es très belle. Tu t’es coiffée toute seule ? »
Eugénie « Heu… Anna m’a aidée… Je dois faire quoi maintenant ? »
Ange « Vas donc t’asseoir au salon. Je vais appeler Eugène de ta part et l’inviter à dîner ce soir. Aurore va très certainement m’assassiner pour le faire si tard, mais je pense que ça fera plaisir à ton amoureux. »
Eugénie « Vous ne lui direz pas, n’est-ce pas ? »
Arsinoé « Lui dire quoi ? Tu t’es bien pomponnée pour lui faire une surprise ce soir non ? »
Ange « Allez, vas ! Noé, vas donc prendre l’appareil, Petite Eugénie est bien trop jolie ce soir pour qu’on manque une occasion de lui tirer le portrait. »
Arsinoé « Quelle bonne idée ! »
10 notes · View notes
chifourmi · 8 months ago
Text
J'ai besoin de parlerparlerparler pour m'enlever cette boule au ventre alors que j'ai déjà énormément parlé
Sur le moment la boule part mais dès que je m'arrête elle revient mais rien que le fait d'écrire ça m'aide purée ça fait du bien limite j'ai envie d'écrire pour ne rien dire en fait dès que je m'arrête de parler et d'écrire je réfléchis trop et des petites pensées autodestructrices arrivent beurkbeurk en 2024 il s'agirait d'arrêter surtout quand on est une bombe atomique comme moi avec un cœur beaucoup trop gros pour mon buste tout frêle
Ce qui est fou c'est de malgré tout savoir que c'était pas l'homme de ma vie et que j'avais aperçu des red flags que je me suis bien retenue de dire ici pcq j'avais la flemme qu'on me dise de fuir mais d'être quand-même blessée genre pourquoi et en plus j'ai aucune raison d'être blessée pcq on a jamais été clair genre j'arrive pas vraiment à savoir où ça me touche exactement, est ce que c'est pcq j'ai archi pas confiance en moi que ça touche à mon ego de me dire que j'étais pas aussi spéciale que je pensais être pour lui? Ça me fait flipper d'avoir fait tout un plat de notre relation genre wtf c'était un plan cul faut se calmer j'ai carrément fait un compte où je parle de lui mais beurk arrêtez moi quoi c'est fou de s'emballer comme ça et puis en même temps il a vraiment agi à l'inverse de mon connard d'ex et ça m'a redonné confiance en moi et je peux pas non plus effacer ça et tous les bons moments et en vrai oui ça sert à quoi d'effacer les bons moments peut être qu'il faut juste que je me contente de ce qu'on a vécu sans penser aux autres meufs pcq peu importe le reste ce qu'on a vécu c'était beau et je sais bien que s'il vient vers moi me faire un câlin c'est pas faux genre ça reste une envie de lui faut surtout pas que je me dise que tout était faux pcq c'est pas vrai aller ça va aller franchement tranquille
La fin sonne si faux mdr mais en vrai je suis sûre que ça va vraiment aller, faut juste que j'accuse le coup et en vrai je suis teellement contente qu'on ait mis les choses au clair
Ma seule question maintenant x'est est-ce que je continue la relation en sachant qu'il verra d'autres meufs? Pcq j'ai l'impression que je pourrais pas me passer de l'attention qu'il m'apporte sur le moment et d'un autre côté je me dis mtn que je sais tout je peux prendre du recul sur ses messages genre vivre ma vie sans les attendre h24 pcq ce qui est positif quand même là dedans x'est que hé crois être plus attachée à ses comportements que lui en lui-même pcq il est vachement égocentrique et trop cash et j'ai horreur de ça je sais qu'on serait pas bien ensemble enfin ce serait explosif et vous allez me dire pourquoi tu voulais lui avouer tes sentiments à la base alors bah écoutez je me suis dit one life jsp ce que ça va donner mais je veux tester ce qui est bien sur ce compte c'est qu'on remarque vraiment à quel point je suis instable après ob se demande pourquoi il m'est impossible de rencontrer des gens ici pcq y a des gens qui se considèrent comme fou ici mais je dois tenir la palme d'or je vous jure ptn quelle instabilité de merde
(17/05/2024)
22 notes · View notes
dazeofcoral · 14 days ago
Text
critiques sur les personnages toxiques petit tw, mention d'abus, viols, génocide
première différenciation à faire entre ceux qui sont anti-personnage toxique parce qu'ils ne veulent pas en écrire, pas en lire, pas en voir et ceux qui n'ont rien contre en fiction tant que certaines atrocités ne sont pas romantisées/défendues corps et âme IRL
une différence très importante que les pro-choix du rp, qu'on parle sujet de rp à style de personnages, aiment foutre dans une même catégorie alors que l'un et l'autre n'ont rien à voir, c'est le jour et nuit
les gens qui ne veulent pas en voir, laissez les entre eux dans la bulle rose-bonbon d'un monde imaginaire qu'ils veulent parfait et rempli de bonnes intentions, ils ne font de mal à personne, ça ne devient problématique que lorsqu'ils cherchent à vous dicter ce que vous avez ou non le droit de jouer INRP dans vos sujets.
passons aux gens qui n'ont rien contre les personnages toxiques, tant que les comportements toxiques ne soient pas validés, justifiés, défendu et romantisés par les rpgistes qui les jouent in real life
on peut très bien accepter que vous jouer des personnages manipulateurs, violents, des violeurs aux pervers narcissiques, on est tous là dans un petit monde fictif et si vous avez des partenaires rp, ou même un forum où un tel personnage a sa place, faites vous plaisirs !
ce qui passe moins, c'est quand vous défendez les actions de votre personnage (on le répète, toxique) sur une cb, sur discord, sur des conversations privées. l'écrire mais ne pas avoir conscience que c'est des actes intolérables, en rire ensuite parce que quand on vous fait savoir que vous allez trop loin vous nous dites que c'est que de la fiction alors que ça fait dix minutes que vous expliquez à qui veux l'entendre que certains abus sont pardonnables dû au vécu ou sont de la faute de la victime ET qu'on interprète très bien que c'est ce que vous pensez IRL, non, ça, ça pose problème
quelques exemples récent ; sur un discord d'un forum ou 2 rpgistes expliquent aux autres que le personnage A ayant dit non à un rapport intime n'a pas été violé par le personnage B parce qu'en fait c'était un doute, pas une décision et le personnage B avait compris cela (précision, le contenu du rp, c'était non je ne veux pas mais j'ose plus dire non sinon il ne voudra plus de moi et l'autre personnage menace effectivement que c'est du c*l ou la rupture...) et ça arrive toujours irl, des gens qui disent non mais qui veulent pas vraiment dire non / sur une cb ; une rpgiste nous explique que c'est normal que son personnage (f) se soit prise une droite, elle n'avait qu'à se taire quand son mec le lui a demandé et puis irl on sait tous que nous les femmes parfois on est hystérique et que de mieux qu'une baffe pour nous calmer..
il faut vous réveiller, c'est quand des propos pareils sont tenu hors rp qu'on s'énerve, parce qu'encore si votre personnage il y croit, c'est ce que vous écrivez, OKAY, on connaît tous des gens qui vivent de mauvaises situations et qui arrivent encore à se dire que c'est eux le problème, parfois on a été / est de ces gens-là, alors que votre personnage FICTIF défends de telles actions dans vos sujets, pourquoi pas, c'est triste, on espère qu'iel va évoluer, ouvrir les yeux, mais c'est dans vos sujets !
lire que vous, la personne derrière l'écran, justifie de telles actions parce que vous tenez absolument à prendre en compte les circonstances qui permettent donc d'excuser certains abus, fictif ou dans la vraie vie, NON
À AUCUN MOMENT il est acceptable de défendre des comportements toxiques, bien souvent au détriment de la/es victime/s. une personne n'est pas l'autre, ce que vous avez surmonté ou non, ce que vous avez pardonné ou non, c'est pas un sentiment universel que toutes les victimes d'abus ressentent pareil ! vous êtes pas chez vous, privé entre potes. vous êtes sur des CB, des discords de forums où tout le monde peut vous lire, il n'y a pas beaucoup de mineurs mais il y en a ET surtout, une victime n'en est pas une autre, je me prends en exemple, j'ai subis des abus et je sais parfaitement les lire, les regarder à la télévision, je ne jouerais jamais un mec qui tape ses proches ou qui viole de gens mais je sais jouer un big bad qui veut tuer tout le monde, pour autant je n'ai pas envie de lire sur la cb qu'un personnage en ayant violé un autre est pas un méchant, qu'il a un horrible passé et que c'est donc pas de sa faute qu'il a fait ça à l'autre personnage, parce que non seulement je dois gerber mais en plus je m'inquiète de vos situations irl
non, sérieusement, si on vous fait mettre des trigger warnings dans vos profils et sujets, c'est pas pour voir la brigade défense des actions de personnages toxiques sur les CB et discord, SURTOUT s'il est clair comme de l'eau de roche que c'est ce que vous pensez IRL
7 notes · View notes
mrsines · 21 days ago
Text
Always And Forever
chapitre 12 : La bataille final
♥*♡∞:。.。  。.。:∞♡*♥ ♥*♡∞:。.。  。.。:∞♡*♥
Le matin s'était levé doucement, baignant la pièce d'une lumière dorée. Rosalia ouvrit lentement les yeux, un léger sourire sur les lèvres en sentant la présence familière à ses côtés. Agatha était déjà éveillée, appuyée sur un coude, la tête inclinée vers elle, un sourire tendre étirant ses lèvres.
« Tu es restée à me regarder dormir ? » demanda Rosalia d'une voix encore endormie, taquine.
Agatha haussa un sourcil, un air faussement innocent sur le visage. « Peut-être. »
Rosalia roula des yeux en riant doucement, se redressant un peu pour s'asseoir contre le dossier du lit. Mais elle sentit aussitôt le regard d'Agatha sur elle, intense, brûlant, comme si la sorcière était absorbée par chaque détail de son visage.
« Quoi ? » demanda Rosalia, confuse mais amusée.
Agatha se redressa légèrement, son regard ne quittant pas celui de Rosalia. « Je ne peux m'empêcher de penser à t'embrasser. »
Rosalia pencha la tête, une lueur malicieuse dans les yeux. « Et qu'allez-vous faire à ce sujet, Madame Harkness ? »
Agatha sourit doucement, approchant lentement son visage de celui de Rosalia, son souffle caressant la peau de cette dernière. « Quelque chose comme ça... » murmura-t-elle avant de capturer les lèvres de Rosalia dans un baiser tendre et langoureux.
Rosalia répondit aussitôt, ses mains trouvant leur chemin jusqu'à la nuque d'Agatha. Le moment était doux, lent, une danse silencieuse entre deux âmes qui s'étaient enfin trouvées malgré les obstacles.
Quand elles se séparèrent, Rosalia, les joues légèrement roses, murmura avec une pointe d'humour : « C'est une façon bien agréable de commencer la journée, je dois l'avouer. »
Agatha sourit, posant son front contre celui de Rosalia. « Si c'était possible, je voudrais commencer toutes mes journées comme ça. »
Rosalia éclata de rire, secouant légèrement la tête. « Vous êtes incorrigible, Madame Harkness. »
« Je prends ça comme un compliment, Madame Velez. »
Elles restèrent ainsi quelques instants, l'une contre l'autre, profitant de la douceur du matin, avant que Rosalia ne s'écarte légèrement en soupirant.
« On devrait se lever. Ils vont finir par se demander ce qu'on fait... »
Agatha fit mine de réfléchir, un sourire en coin. « Eh bien, nous pourrions toujours leur dire que nous étions en train de discuter... intensément. »
Rosalia secoua la tête en riant. « Allez, debout. »
Mais dans le fond, elle n'avait aucune envie de quitter ce moment, de s'éloigner de la chaleur d'Agatha et du calme parfait de cet instant volé à la réalité.
Agatha attrapa doucement la main de Rosalia alors qu'elle s'apprêtait à sortir du lit.
« Attends, » murmura-t-elle, sa voix douce mais sérieuse.
Rosalia s'arrêta, la regardant avec une curiosité teintée de tendresse. « Quoi encore ? »
Agatha tira légèrement sur sa main pour l'inciter à s'asseoir de nouveau. Ses doigts jouaient nerveusement avec ceux de Rosalia, une lueur inhabituelle de vulnérabilité dans son regard.
« Je voulais juste... te remercier. »
Rosalia haussa un sourcil, un léger sourire sur les lèvres. « Me remercier pour quoi ? »
« Pour... » Agatha hésita, cherchant ses mots. « Pour me donner une chance. Pour croire en moi, en nous. Après tout ce que j'ai fait, tout ce qu'on a traversé... Je sais que c'est pas simple. Et toi, tu es là. Avec moi. »
Rosalia sentit son cœur se serrer devant cette sincérité si rare chez Agatha. Elle posa une main sur sa joue, ses doigts effleurant doucement sa peau.
« T'es compliquée, Agatha Harkness... mais je crois que c'est pour ça que je t'aime. »
Agatha resta sans voix un instant, surprise par ces mots qu'elle n'avait pourtant cessé d'espérer entendre. Son regard s'adoucit, et elle posa sa main sur celle de Rosalia, toujours sur sa joue.
« Tu sais que c'est un très gros mot que tu viens de dire, là... »
Rosalia éclata de rire, tapotant doucement son épaule. « Ne le prends pas trop au sérieux. Ça veut pas dire que je vais tout te pardonner d'un claquement de doigts. »
Agatha fit mine d'être blessée, posant une main sur son cœur. « Moi ? Monter ça à la tête ? Jamais ! »
Elles éclatèrent de rire ensemble, dissipant enfin la tension qui planait entre elles depuis leur dispute. Rosalia se leva, tendant une main vers Agatha.
« Allez, lève-toi. On a des responsabilités, et je doute que Lilia, Malia ou Billy s'en sortent sans nous. »
Agatha attrapa la main tendue avec un sourire espiègle. « Si tu insistes... mais sache que je préférerais rester ici. Avec toi. »
Rosalia roula des yeux, mais elle ne put retenir un sourire amusé. « Peut-être ce soir, Harkness. »
Agatha se redressa, ses doigts effleurant encore ceux de Rosalia avant de les lâcher. « Je retiens cette promesse. »
Elles quittèrent la chambre ensemble, plus complices que jamais, une chaleur silencieuse les liant dans un équilibre fragile mais rempli d'espoir.
༺♡༻
Le petit-déjeuner était déjà bien entamé lorsque Billy, visiblement agité, prit la parole. Il jouait nerveusement avec une cuillère, ses yeux passant de Lilia à Malia.
« Je dois vous dire un truc... Cette nuit, j'ai fait un rêve bizarre. »
Lilia fronça les sourcils, un air préoccupé sur le visage. « Quel genre de rêve ? »
Billy posa la cuillère avec un soupir, puis planta son regard dans celui de Malia. « C'était... ma mère. Elle était là, ou plutôt sa voix. Elle m'appelait, elle me suppliait de la libérer. Elle disait qu'elle était coincée dans la crypte. »
Un silence pesant tomba autour de la table. Malia échangea un regard inquiet avec Lilia, tandis que cette dernière posait une main rassurante sur celle de Billy.
« Ça pourrait être juste un rêve, non ? » tenta Lilia.
Billy secoua la tête, visiblement troublé. « Non, c'était... différent. Réel. Comme si elle me parlait directement. »
C'est à ce moment-là qu'Agatha et Rosalia firent leur entrée dans la cuisine, leurs pas résonnant légèrement sur le sol de bois. Agatha tenait encore une tasse de café dans sa main, son expression calme mais observatrice, tandis que Rosalia, un peu plus éveillée, les suivait de près.
« Qu'est-ce qu'on a raté ? » demanda Rosalia en s'asseyant à table, son regard passant sur chaque visage autour d'elle.
Billy hésita un instant avant de parler, mais il finit par répondre. « J'expliquais mon rêve... ou plutôt ce qui ressemblait à un message. Ma mère est coincée dans la crypte. »
Le visage d'Agatha se durcit instantanément, et elle posa sa tasse un peu trop brusquement sur la table. « Et tu comptes faire quoi avec ça ? » demanda-t-elle froidement.
« Je... Je sais pas encore, » répondit Billy en se redressant. « Mais je dois faire quelque chose. Je peux pas l'ignorer. »
Malia intervint alors, sa voix calme mais ferme. « On ne peut pas agir sur un simple rêve. Ça pourrait être une manipulation. »
Rosalia hocha lentement la tête. « Elle a raison. Ça pourrait être une distraction ou un piège. Il faut réfléchir avant de foncer tête baissée. »
Billy serra les poings, son regard brûlant de détermination. « Si c'était quelqu'un que vous aimiez, vous hésiteriez autant ? »
Le silence retomba dans la pièce, chacun pesant ses mots. Agatha croisa les bras, son expression fermée, mais Rosalia posa une main apaisante sur son épaule, l'encourageant à parler plus doucement.
« Ce n'est pas qu'on ne veut pas t'aider, Billy, » dit Rosalia d'une voix calme. « Mais on doit être sûrs de ce qu'on fait. Et surtout, sûrs que c'est bien elle qui t'a parlé. »
Billy regarda chacun d'eux à tour de rôle, sa résolution intacte. « Alors aidons-nous à le découvrir. Mais je refuse de rester là sans rien faire. »
Agatha soupira, mais un léger sourire s'esquissa sur son visage. « On dirait que tu as hérité de l'entêtement de ta mère. Très bien, on va y réfléchir. Mais pas de décisions hâtives. »
Lilia tapota l'épaule de Billy avec un sourire rassurant. « On est tous là, Billy. On va trouver une solution ensemble. »
Malia, quant à elle, fixait Agatha avec méfiance, comme si elle cherchait à déceler ses intentions. Mais pour l'instant, tout le monde semblait d'accord : ils allaient devoir élucider ce mystère, un pas à la fois.
Rosalia se redressa légèrement sur sa chaise, croisant les bras en fixant Emma d'un regard ferme.
« Ce serait peut-être la solution, » dit-elle en regardant Billy. « Si c'est vraiment Wanda qui t'a parlé, alors il faudrait envisager d'y retourner et de comprendre ce qu'elle veut. »
Agatha tourna vivement la tête vers Rosalia, son regard sombre et chargé de reproches. Elle ne dit rien, mais son désaccord était évident, son silence plus bruyant que des mots.
Emma, qui était restée discrète jusque-là, arqua un sourcil, amusée par la tension palpable entre les deux femmes. Elle s'appuya contre la table, ses yeux rivés sur Agatha avec un brin de provocation.
« C'est quoi ton problème avec Wanda, Agatha ? » demanda-t-elle avec un sourire narquois. « Hormis cette histoire de sort, bien sûr. Parce qu'on dirait que ton aversion va bien au-delà. »
Agatha posa lentement sa tasse, sa mâchoire se serrant légèrement, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Rosalia intervint, son ton tranchant.
« Ça ne te concerne pas, Emma, » dit-elle d'une voix ferme. « Ce genre de discussion reste entre nous. »
Emma haussa les épaules, feignant l'innocence. « D'accord, d'accord. Je me tais. Mais tu sais que je ne suis jamais loin si tu veux vraiment en parler, Rosie. »
Agatha bouillait de l'intérieur, ses doigts tapotant nerveusement la table. Elle finit par se lever brusquement, le bois de la chaise grincant sous le mouvement.
« Wanda n'est pas la solution, » déclara-t-elle sèchement. « Elle est le problème. Et s'il faut vous le répéter encore et encore, je le ferai. »
Billy, qui observait la scène, fronça les sourcils. « Pourquoi tu dis ça ? Tu parles comme si elle n'était pas digne de confiance, mais c'est ma mère. Elle m'a toujours protégé. »
Agatha soupira, son regard glissant un instant vers Rosalia, comme si elle cherchait une réponse ou un soutien. « Parce que Wanda n'a pas toujours été... elle-même, Billy. Je te demande juste d'être prudent. Ce n'est pas une question de confiance, c'est une question de sécurité. »
Rosalia, bien qu'agacée par la tension, posa une main sur l'épaule de Billy. « Agatha a raison sur une chose : on doit être prudents. Mais ça ne veut pas dire qu'on ignore cette piste. Peut-être que Wanda a des réponses que nous n'avons pas encore. »
Emma éclata d'un rire sarcastique. « Prudents ? Sérieusement ? Vous vous battez contre une magie que vous ne comprenez même pas. Franchement, ça manque un peu de cohérence. »
Agatha lui lança un regard noir, mais Rosalia la retint avant qu'elle ne réponde.
« Ça suffit, Emma, » dit-elle d'un ton autoritaire. « Si tu es là pour semer la zizanie, tu peux partir. On n'a pas besoin de ça. »
Emma leva les mains en signe de paix. « D'accord, je me tais. Mais ne venez pas me dire que je n'avais pas raison quand tout ça tournera mal. »
Le silence s'installa, pesant, jusqu'à ce que Billy prenne la parole à nouveau.
« Alors, qu'est-ce qu'on fait ? » demanda-t-il, ses yeux brillants de détermination.
Rosalia jeta un dernier regard à Agatha, cherchant à comprendre son état d'esprit. Finalement, elle soupira et répondit :
« On fait un plan. Mais cette fois, on le fait ensemble. »
Agatha resta silencieuse, le regard fixé sur la table, mais elle hocha légèrement la tête, acceptant à contrecœur.
Le groupe finit par se mettre d'accord : ils allaient retourner à la crypte. L'atmosphère était lourde alors qu'ils rassemblaient leurs affaires. Agatha, plus silencieuse que d'habitude, traînait légèrement en arrière, les bras croisés, le regard perdu.
Rosalia, qui marchait à ses côtés, remarqua son air fermé. Elle ralentit pour se mettre à sa hauteur, laissant les autres avancer devant eux.
« Hé, » murmura-t-elle doucement. « Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles... ailleurs. »
Agatha haussa les épaules, essayant de masquer ses émotions. « Rien. »
Rosalia roula des yeux, mais son ton resta tendre. « Agatha, je te connais. Ce n'est pas "rien". »
Agatha hésita un moment avant de répondre, ses doigts jouant nerveusement avec un pli de sa veste. « C'est juste... tout ça. Retourner là-bas, affronter encore des secrets, et maintenant avec Emma qui se mêle de tout... » Elle fit une pause, ses yeux rencontrant brièvement ceux de Rosalia. « Je ne veux pas te perdre à cause de tout ça. »
Rosalia s'arrêta, posant doucement une main sur le bras d'Agatha pour l'inciter à faire de même. Sans un mot, elle se pencha et déposa un tendre baiser sur le sommet de sa tête, laissant ses lèvres y rester un instant.
« Tu ne vas pas me perdre, » chuchota Rosalia, sa voix apaisante. « Peu importe ce qu'on découvre ou ce qu'on affronte, tu m'entends ? Je suis là. »
Agatha ferma brièvement les yeux sous le geste, touchée par l'intimité de ce moment. Elle inspira profondément avant de murmurer : « Merci. »
Rosalia lui sourit, ses doigts caressant doucement le bras d'Agatha. « Maintenant, concentre-toi. On va découvrir la vérité ensemble. Et quoi qu'il arrive, je crois en toi, Agatha Harkness. »
Agatha releva légèrement la tête, un mince sourire sur les lèvres. « Ça fait du bien de l'entendre. Merci, Rosalia. »
Elles se remirent à marcher, plus proches qu'avant, et rejoignirent les autres.
Devant l'entrée sombre et imposante de la crypte, le groupe s'arrêta. Malia jeta un regard prudent à Lilia, qui lui adressa un signe rassurant. Billy, visiblement nerveux, se tenait au milieu, ses pensées probablement tournées vers le rêve troublant qu'il avait eu.
Rosalia prit la tête du groupe, sa voix forte et déterminée. « Allons-y. Ensemble. »
Agatha, à ses côtés, hocha la tête, les yeux fixés sur l'entrée obscure, prête à affronter ce qui les attendait.
༺♡༻
Alors que le groupe avançait dans la crypte, Malia ralentit sa marche, laissant les autres s'éloigner un peu devant. Elle jeta un coup d'œil à Lilia, qui marchait à ses côtés, et l'attrapa doucement par le poignet pour l'arrêter.
« On peut parler une minute ? » demanda-t-elle à voix basse.
Lilia fronça légèrement les sourcils, mais hocha la tête. « Bien sûr. Qu'est-ce qui te tracasse, Bambina ? »
Malia hésita, croisant les bras et regardant brièvement le sol avant de lever les yeux vers Lilia. « C'est Emma. Ses agissements... sa façon de manipuler les gens, de s'insinuer dans leurs vies... » Elle serra la mâchoire. « Ça me met mal à l'aise. »
Lilia s'appuya contre une paroi de pierre, observant Malia attentivement. « Tu veux dire ce qui s'est passé avec Rosalia ? »
Malia soupira profondément. « Pas seulement ça. Elle agit toujours comme si tout lui appartenait, comme si elle avait tous les droits. Je sais qu'elle est ma tante, mais... parfois, j'ai du mal à comprendre pourquoi elle fait ce qu'elle fait. Elle veut toujours contrôler tout le monde, et ça me fatigue. »
Lilia hocha la tête, ses yeux se posant doucement sur Malia. « Je comprends. Ce n'est pas facile d'avoir quelqu'un comme ça dans ta vie, surtout quand cette personne est censée être une figure protectrice. »
Malia passa une main dans ses cheveux, visiblement frustrée. « Ce n'est pas seulement qu'elle est agaçante. J'ai l'impression qu'elle complique les choses pour tout le monde, qu'elle n'est pas vraiment là pour nous aider mais pour servir ses propres intérêts. »
Lilia tendit une main et la posa doucement sur l'épaule de Malia. « Écoute, Bambina. Tu n'es pas responsable de ses choix ou de ses actions. Tu es ta propre personne, et de ce que je vois, tu es bien plus sensée et respectueuse qu'elle. »
Malia releva les yeux vers Lilia, un léger sourire en coin. « Tu crois vraiment ça ? »
Lilia haussa un sourcil, un sourire amusé sur les lèvres. « Absolument. Tu as un grand cœur, même si tu ne veux pas toujours le montrer. Tu n'es rien comme elle. »
Le rouge monta légèrement aux joues de Malia, mais elle se reprit rapidement. « Merci, Lilia. Ça compte beaucoup, venant de toi. »
Lilia lui tapota doucement l'épaule avant de reprendre la marche. « Allez, allons rattraper les autres. Et si Emma te cause trop de problèmes, je serai là pour te soutenir. »
Malia la suivit, un peu plus légère malgré la tension ambiante, et sentit son lien avec Lilia se renforcer encore davantage.
Le groupe avançait lentement dans les tunnels sombres menant à la crypte. L'atmosphère était lourde, entre la tension palpable et le silence pesant. Emma, fidèle à elle-même, trouva une occasion de se rapprocher de Rosalia, marchant juste à ses côtés.
Elle baissa la voix, pour que seuls Rosalia et elle puissent entendre. « Tu es sûre de toi ? Vraiment sûre que c'est elle que tu veux ? » demanda-t-elle, un sourire à peine dissimulé sur les lèvres.
Rosalia s'arrêta brusquement, forçant le groupe à ralentir légèrement. Elle tourna son visage vers Emma, un éclat de détermination dans le regard.
« Emma, écoute-moi bien. » Sa voix était ferme mais calme. « Il n'y aura plus rien entre nous. Pas maintenant, pas demain, pas dans cette vie. Ce qu'on avait appartient au passé, et c'est là qu'il doit rester. »
Emma haussa un sourcil, visiblement surprise par la dureté de ses mots, mais tenta de maintenir son air confiant. « Tu dis ça maintenant, mais je sais qu'une part de toi... »
« Non. » Rosalia la coupa d'un ton sec. « Arrête de t'accrocher à quelque chose qui n'existe plus. Ce que je ressens aujourd'hui, ce que je veux aujourd'hui, ce n'est pas toi. Et ça ne le sera plus jamais. »
Emma resta figée, décontenancée, alors que Rosalia continuait de marcher.
Agatha, qui avait observé toute la scène depuis quelques pas en arrière, ne dit rien. Pour une fois, elle se contenta de regarder, ses yeux suivant chaque mouvement de Rosalia. L'ancienne sorcière n'avait pas l'habitude de rester silencieuse dans ce genre de situation, mais quelque chose dans la manière dont Rosalia avait géré Emma la toucha profondément.
Malia murmura à Lilia en marchant à côté d'elle, « On dirait qu'Emma a enfin trouvé quelqu'un qui ne se laisse pas intimider. »
Lilia sourit légèrement. « C'est bien que Rosalia mette les choses au clair. C'était nécessaire. »
Agatha continua à observer Rosalia, une lueur de fierté mêlée à une profonde affection traversant ses yeux. Elle n'avait pas besoin de dire quoi que ce soit. Rosalia venait de prouver, une fois de plus, la force de ses convictions, et Agatha ne pouvait qu'admirer cela en silence. Alors que le groupe continuait à descendre les couloirs sombres menant à la crypte, Billy s'approcha d'Agatha. Il gardait un ton bas, de peur que les autres n'entendent, surtout Emma, dont la présence tendait déjà l'atmosphère.
« Agatha, je dois te parler... » dit-il en marchant à ses côtés.
Agatha, qui était restée inhabituellement silencieuse depuis l'incident avec Emma, tourna lentement la tête vers lui, l'air fatiguée mais attentive. « Qu'est-ce que tu veux, Billy ? »
Billy hésita une seconde avant de plonger dans le sujet. « À propos de ma mère... Je sais que tu as des rancunes, que tu penses qu'elle a tout fait intentionnellement, mais... »
Agatha leva une main pour l'interrompre, son regard dur. « Billy, si c'est pour excuser Wanda, je te préviens tout de suite— »
« Laisse-moi finir. » Billy la coupa d'un ton calme mais ferme. « Ce que je veux dire, c'est que je ne crois pas que tout ça ait été voulu. Pas comme tu le penses. Elle ne voulait pas que ça se passe comme ça. Elle n'a jamais voulu blesser autant de gens. »
Agatha fronça les sourcils mais resta silencieuse, incitant Billy à continuer.
« Elle s'en veut. Je le sais, je l'ai ressenti. Chaque fois que j'entends sa voix, il y a ce mélange de tristesse et de regret... Elle voulait juste une famille, Agatha. Elle voulait une vie normale, un endroit sûr. Et oui, elle a fait des erreurs—des grosses erreurs—mais ça n'était pas volontaire. »
Agatha détourna les yeux, fixant le sol poussiéreux devant eux. Sa mâchoire se serra, et Billy put voir qu'elle luttait avec ses émotions.
« Et tu veux que je fasse quoi avec ça, Billy ? Que je pardonne ? Que j'oublie tout ce qu'elle a fait ? Elle m'a détruite, elle a détruit des vies... »
Billy hocha la tête, comprenant sa colère. « Non, je ne te demande pas de pardonner. Mais je pense qu'il faut que tu comprennes une chose : ma mère n'était pas une ennemie. Elle a perdu le contrôle. Et aujourd'hui, elle est enfermée, seule, et elle souffre. »
Agatha soupira profondément, son regard se faisant plus lointain.
« Peut-être qu'elle souffre, Billy. Mais moi aussi. Je ne peux pas juste effacer ce qu'elle m'a pris. »
Billy posa une main sur son bras, un geste réconfortant. « Personne ne te demande de tout effacer. Mais si on veut vraiment rompre ce sort, on doit comprendre pourquoi elle l'a fait. Et peut-être que ça passe par l'écoute, pas par la colère. »
Agatha resta silencieuse un moment, ses pensées tourbillonnant dans son esprit.
« On verra, Billy. On verra. » murmura-t-elle finalement, reprenant la marche sans un mot de plus.
Billy la regarda s'éloigner, un mélange de tristesse et d'espoir dans les yeux. Même si elle ne l'admettait pas, il pouvait voir que ses mots l'avaient touchée. Le chemin vers la vérité, et peut-être vers une réconciliation, venait de commencer.
༺♡༻
Après une longue marche dans la crypte, le groupe arriva enfin devant une imposante porte ornée de runes anciennes. L'énergie autour d'eux semblait vibrer, pesant sur leurs épaules comme une force invisible.
Billy se plaça devant la porte, l'examinant attentivement. « C'est ici », dit-il, la voix tremblante.
Agatha plissa les yeux en observant les runes. « Ces symboles... Ils agissent comme un verrou magique. Ce n'est pas n'importe quel sort, il faudrait une force considérable pour les briser. »
Billy inspira profondément et posa ses mains sur la surface froide de la porte. Il sentait l'énergie résonner en lui, comme si elle l'appelait.
« Je peux le faire », déclara-t-il, même si sa voix trahissait son hésitation.
Rosalia posa une main sur son épaule. « Es-tu sûr, Billy ? Si tu fais ça, il n'y aura pas de retour en arrière. »
Il hocha la tête. « Je dois le faire. Ma mère est derrière cette porte, et elle mérite une chance de s'expliquer. »
Agatha croisa les bras, clairement tendue. « Tu n'as aucune idée de ce que tu pourrais libérer, Billy. Ce n'est pas juste Wanda que tu risques de réveiller, c'est une force qui pourrait détruire cette île... et nous avec. »
Billy la fixa, une lueur de détermination dans les yeux. « Je sais ce que je fais. Si je ne le fais pas, personne d'autre ne le fera. »
Malia s'avança, plaçant sa main sur la porte également. « Tu n'as pas besoin de faire ça seul. Je ressens aussi cette énergie, je peux t'aider à canaliser ta magie. »
Billy lui lança un regard reconnaissant, puis ferma les yeux. Il commença à murmurer un sort, les mots anciens résonnant dans l'air. Malia se concentra également, ses mains brillant d'une lueur dorée.
Les runes sur la porte s'illuminèrent, une lumière bleue éclatante s'échappant des gravures. Une onde de choc secoua la crypte, forçant tout le monde à reculer.
« Continue ! » cria Malia, même si son propre corps tremblait sous la pression.
Billy hurla, canalisant toute sa magie dans un dernier effort. Une explosion de lumière remplit la crypte, et la porte se brisa en mille morceaux, laissant place à un silence assourdissant.
Lorsque la poussière retomba, une silhouette se dessina dans l'obscurité de la pièce au-delà. Wanda Maximoff se tenait là, ses vêtements déchirés, ses yeux brillants d'une énergie rouge familière.
Elle s'avança lentement, ses traits marqués par la fatigue et la douleur. Son regard se posa immédiatement sur Billy, et ses yeux s'embuèrent.
« Billy... » murmura-t-elle, sa voix brisée par l'émotion.
Billy avança timidement, les larmes coulant sur ses joues. « Maman... »
Avant qu'il ne puisse dire autre chose, elle l'enlaça avec une force désespérée, comme si elle craignait qu'il disparaisse.
« Je suis désolée... Je suis tellement désolée... » répéta-t-elle, les sanglots secouant son corps.
Le reste du groupe resta en arrière, chacun réagissant différemment à la scène.
Agatha était figée, ses poings serrés. Elle fixait Wanda avec un mélange de haine et de douleur. Rosalia posa une main sur son bras, comme pour l'apaiser, mais elle n'eut aucune réaction.
Emma, quant à elle, observait la scène avec un sourire ironique. « Alors, c'est elle la fameuse Sorcière Rouge... »
Wanda releva finalement la tête, son regard croisant celui d'Agatha. Une tension palpable s'installa dans la crypte.
« Agatha... » dit Wanda doucement, une lueur de culpabilité dans les yeux.
Mais avant qu'elle ne puisse continuer, un grondement sourd retentit dans les profondeurs de la crypte, comme si la libération de Wanda avait réveillé quelque chose d'autre.
« Qu'est-ce que c'est que ça ? » demanda Lilia, le visage pâle.
Malia recula, son instinct lui dictant que le danger n'était pas encore passé. « On a libéré plus que Wanda... Il y a quelque chose d'autre ici. »
Rosalia serra les poings, se plaçant entre le groupe et la direction du bruit. « Préparez-vous. Ce n'est pas fini. »
Le grondement sourd devint un cri strident, et une silhouette majestueuse émergea des ténèbres. Une femme à l'aura éclatante, couronnée d'or et de lumière, apparut devant eux. Sa présence était écrasante, divine, et son regard perçant balayait le groupe.
« Vous avez osé troubler mon sommeil, » dit-elle, sa voix résonnant comme un millier d'échos dans la crypte. « Une vie pour une vie. C'est le prix à payer pour libérer cette femme. »
Billy avança d'un pas hésitant, la tête baissée. « Si c'est le prix à payer, alors prenez ma vie. C'est moi qui ai brisé le sceau. C'est ma responsabilité. »
Wanda cria d'effroi, agrippant Billy par les épaules. « Non, Billy ! Je ne te laisserai pas faire ça. Jamais. »
Mais avant que la déesse ne réponde, Rosalia s'interposa entre elle et Billy. Ses yeux étaient pleins de détermination, son corps tendu.
« Il n'y aura pas de sacrifice aujourd'hui, » dit Rosalia fermement, fixant la déesse droit dans les yeux.
Agatha, qui était restée en retrait, sentit son cœur s'arrêter lorsqu'elle vit l'expression de Rosalia. Elle savait exactement ce que cette dernière avait en tête.
La déesse plissa les yeux, comme si elle lisait à travers Rosalia. « Tu es prête à offrir ta vie, n'est-ce pas ? »
Rosalia hocha la tête sans hésitation. Mais avant qu'elle ne puisse parler, Agatha s'avança brusquement et attrapa son bras.
« Non ! » s'exclama Agatha, sa voix tremblante.
Rosalia tourna un regard triste mais résolu vers elle. « Agatha, je ne peux pas laisser cela arriver. Pas à Billy. Pas encore. »
Les larmes montèrent aux yeux d'Agatha. « Tu parles comme si ta vie avait moins de valeur. Comme si... » Sa voix se brisa.
Rosalia posa une main douce sur la joue d'Agatha, forçant cette dernière à la regarder. « Je ne laisserai pas Billy subir ce que nous avons vécu. Je ne laisserai pas une autre vie se briser sous nos yeux. »
Elle baissa la voix, un murmure à peine audible : « Je ne laisserai pas ce qui est arrivé à notre fils se reproduire. »
Agatha resta pétrifiée, les souvenirs qu'elle s'efforçait d'enterrer remontant brutalement à la surface. « Non, » dit-elle, plus doucement, presque désespérée.
Rosalia l'embrassa tendrement, ses lèvres transmettant toute la douleur, l'amour et la résignation qu'elle portait en elle. Lorsqu'elle se recula, elle chuchota : « Je t'aime, Agatha. Toujours. »
Agatha attrapa son poignet, les larmes coulant librement maintenant. « Je refuse de te perdre. Je refuse, Rosalia ! »
Rosalia se tourna vers la déesse, se libérant doucement de l'emprise d'Agatha. « Prenez ma vie. Je suis prête. »
La déesse sembla réfléchir un instant, puis leva une main lumineuse, prête à sceller l'accord. Mais Agatha cria, sa magie crépitant autour d'elle. « Non, attendez ! »
Rosalia se retourna une dernière fois vers Agatha, lui lançant un regard plein de douceur. « Protégez-les, Agatha. Protégez Billy, Wanda, et... vivez. Pour nous deux. »
La crypte vibrait sous la puissance de la créature. Sa voix grave et inhumaine résonnait dans les profondeurs.
« Une vie pour une vie », répéta la déesse, son ton implacable.
Agatha se tenait devant Rosalia, désespérée, sa magie crépitant autour d'elle comme un bouclier fragile. Rosalia posa une main douce sur l'épaule d'Agatha, la forçant à se retourner.
« Laisse-moi faire ça », murmura-t-elle, ses yeux brillants de détermination et d'amour.
« Non, Rosalia, je ne te laisserai pas ! Je trouverai une autre solution, je trouverai quelque chose ! » Agatha hurlait presque, ses larmes brouillant sa vision.
Mais avant qu'Agatha ne puisse réagir davantage, la créature leva un bras puissant, et une lumière aveuglante enveloppa Rosalia.
« Non ! » cria Agatha, tendant les mains pour attraper Rosalia, mais une force invisible la repoussa brutalement.
Le corps de Rosalia s'éleva dans les airs, suspendu dans la lumière dorée, ses cheveux flottant autour de son visage serein. Une énergie immense et écrasante emplissait la crypte, coupant le souffle à tous les présents.
Agatha s'effondra au sol, ses jambes refusant de la soutenir. Elle tendit une main tremblante vers Rosalia. « Rosalia ! Non ! »
Billy, paralysé par l'horreur, sentit ses jambes céder sous lui. Il tomba à genoux, son visage enterré dans ses mains, incapable de regarder davantage.
Wanda, debout à côté, fixait la scène avec des yeux écarquillés, remplis de culpabilité. « Tout cela est de ma faute... » murmura-t-elle, sa voix brisée.
La lumière autour de Rosalia atteignit son apogée, éclatant dans une explosion silencieuse. Lorsqu'elle s'éteignit, le corps de Rosalia retomba doucement au sol, inerte.
Agatha rampa jusqu'à elle, la prenant dans ses bras. Ses mains tremblaient en caressant le visage de Rosalia, espérant une étincelle de vie, une réaction.
« Rosalia... s'il te plaît... ouvre les yeux... s'il te plaît... ne me laisse pas... » Ses sanglots secouaient son corps.
Billy releva enfin la tête, les larmes coulant librement sur ses joues. « Je n'ai pas voulu ça... Elle n'aurait pas dû se sacrifier... »
Wanda, dévastée, s'approcha lentement, mais l'aura d'Agatha était si intense qu'elle hésita à franchir le pas. « Je voulais juste protéger tout le monde... Je ne savais pas que ça se terminerait ainsi », murmura-t-elle, sa voix emplie de remords.
Le silence pesait lourdement dans la crypte, seulement brisé par les pleurs d'Agatha. Elle serra Rosalia contre elle, son front pressé contre celui de la femme qu'elle avait perdue.
Puis, dans un murmure à peine audible, elle jura : « Je te ramènerai, Rosalia. Peu importe ce que ça me coûtera. Je ne te laisserai pas partir. »
La créature avait disparu, mais elle avait laissé derrière elle un groupe brisé, et un amour condamné qui refusait de mourir.
La lumière dorée s'était éteinte, laissant la crypte baignée dans une étrange obscurité oppressante. Rosalia gisait immobile dans les bras d'Agatha, son visage paisible comme si elle dormait.
« Rosalia, s'il te plaît... reste avec moi », murmura Agatha, ses mains tremblant en caressant doucement le visage de celle qu'elle aimait.
Mais soudain, un grondement sourd se fit entendre. Le sol sous leurs pieds se mit à vibrer légèrement, et une lueur étrange émana des fissures de la crypte.
Billy leva les yeux, terrifié. « Qu'est-ce qui se passe encore ? »
Avant que quelqu'un ne puisse répondre, une énergie obscure et irrésistible s'enroula autour du corps de Rosalia. Ses membres furent tirés doucement hors des bras d'Agatha, comme si une force invisible cherchait à la reprendre.
« Non ! » hurla Agatha, se jetant en avant pour la retenir, mais la force était implacable. Le corps de Rosalia fut soulevé dans les airs une fois de plus, enveloppé d'un halo lumineux, mais cette fois d'un noir profond, chargé d'une puissance ancestrale.
Le sol au centre de la crypte s'ouvrit lentement, révélant une crevasse béante remplie d'une lumière scintillante, presque hypnotisante. La voix de la créature résonna de nouveau, froide et implacable :
« Elle m'appartient désormais. »
Agatha se précipita, ses mains cherchant à attraper Rosalia avant qu'elle ne disparaisse. « Non ! Vous ne pouvez pas me l'enlever ! »
Wanda, paralysée par la culpabilité et la peur, tendit une main vers Billy, qui était incapable de détourner le regard de la scène. « Faites quelque chose ! » cria-t-il, sa voix brisée.
Mais il était trop tard. Le corps de Rosalia fut lentement aspiré vers le sol, descendant dans la lumière. Ses cheveux flottèrent un instant avant d'être happés par l'abîme.
Agatha, effondrée, tomba à genoux à côté de la crevasse, frappant le sol de ses poings. « Ramenez-la-moi ! » hurla-t-elle, ses larmes coulant librement.
La crevasse se referma avec un bruit sourd, ne laissant plus aucune trace du corps de Rosalia. La crypte retrouva son calme glacial, mais le vide qu'elle laissait derrière était insupportable.
Agatha resta à genoux, le regard fixé sur l'endroit où Rosalia avait disparu. Sa voix, brisée par la douleur, murmura : « Je te retrouverai... Où que tu sois... Je te ramènerai, je te le promets. »
Un silence pesant s'abattit sur le groupe, et même la culpabilité de Wanda et les larmes de Billy ne suffirent à combler l'absence de Rosalia, emportée dans les profondeurs mystérieuses de la terre.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
@sayresse17
@theonefairygodmother
@harknessshi
8 notes · View notes
thankyouforthememoriesworld · 3 months ago
Note
The Article Anon was talking about.
Plus vue en France depuis mai dernier, Gabby Williams (1,80 m, 27 ans) vient d'effectuer un retour tonitruant sur les parquets après trois mois sur le flanc (fracture de fatigue au pied) : flamboyante dimanche dernier contre Basket Landes (27 points, 4 rebonds, 5 passes), puis décisive lors de la première victoire de l'Asvel en Euroligue face à Lublin mercredi (73-72). Avant d'affronter Villeneuve-d'Ascq, leader invaincu du Championnat (7 victoires), l'ailière internationale, plus vue en équipe de France depuis un an (forfait pour l'Eurobasket), a confié à L'Équipe sa volonté - et la nécessité - de monter en puissance. Tant en club que chez les Bleues - désormais affranchies de l'affaire Johannès - afin de viser haut aux JO de Paris.
« Après trois mois sans jouer, votre retour a coïncidé avec deux victoires importantes pour l'Asvel. La saison est enfin lancée ?
J'étais un peu surprise que ça se passe aussi bien. Pendant mon absence, j'avais fait en sorte de travailler pour être tout de suite prête à rejouer. Je le devais à mes coéquipières. Je pense que je ne me suis jamais sentie autant en forme.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour votre club, qui jusque-là a souffert des absences et pourrait le payer dans ses objectifs ?
Cette équipe est plus forte que l'année dernière. Elle est capable d'assumer ses ambitions et toutes les filles sont obnubilées par la victoire et mettent les ego de côté. On sait qu'il va nous falloir être quasi parfaites chaque soir. À moi de continuer à montrer la voie et de transmettre à la fois le goût de la victoire et la haine de la défaite. Quelque chose de très américain peut-être, ou en tout cas pas assez cultivé en France.
Un état d'esprit que vous allez, sauf surprise, ramener en équipe de France en février prochain ?
C'est au programme, oui ! J'ai vraiment envie de retrouver la sélection. C'est même une nécessité, il n'y aura pas d'autre rendez-vous avant la préparation des Jeux. Reprendre mes marques avec le groupe est primordial.
Les frustrations de la fin de saison dernière et de l'Eurobasket, que vous avez manqués, sont loin derrière ?
C'était tellement déprimant ! Et mentalement si dur à vivre. Il faut se rendre compte de tout ce qu'on donne en cours de saison pour pouvoir vivre ces moments de gloire. Je n'ai pas pu fêter le titre avec Lyon. Puis je me suis retrouvée toute seule pendant six semaines afin de me soigner. Quand on m'a annoncé le temps de convalescence, j'ai compté les jours jusqu'à l'Euro. Et quand j'ai compris que j'allais le manquer, j'en ai pleuré. Retrouver mes proches à Seattle (en WNBA) cet été m'a fait beaucoup de bien.
« Il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner »
Vous reviendrez chez les Bleues avec Marine Johannès, dont l'affaire de son absence de l'Euro semble digérée ?
Il fallait que chacun assume ses choix, ses décisions. C'est du passé, oui. La suite arrive vite et on a tous le même objectif : gagner à Paris. A priori, personne ne souhaite nous voir échouer aux Jeux. Donc mettons tout ça de côté ou derrière et allons de l'avant.
Le mois dernier, sur les réseaux sociaux, vous aviez pourtant publié un message, fort, de soutien à votre coéquipière...
(Elle coupe.) C'était dans la foulée de sa défaite en finale WNBA avec New York. Aucun rapport avec les Bleues ou la Fédération. Je l'admirais avant même de la côtoyer. Quand je l'ai vue pour la première fois je me suis dit : il n'y a aucune autre fille comme elle dans le monde. Je le répète souvent, j'ai l'impression qu'on ne se rend pas assez compte de toute ce qu'elle apporte au basket français, tout comme du niveau d'exposition auquel elle est confrontée. Pour en revenir au message, j'étais simplement déçue pour elle. Ce n'est un secret pour personne que nous sommes très proches. J'ai donc vu ce que les gens ne voient pas en coulisses, l'abnégation dont elle a fait preuve pendant ces mois difficiles. Vous avez vu son émotion après le titre en Ligue féminine non ? Mais ce message, j'aurais pu l'écrire pour n'importe laquelle de mes coéquipières.
Avez-vous regardé l'Euro ? Va-t-il falloir rattraper le temps perdu en vue des Jeux ?
Je n'étais pas dans le groupe, donc je n'ai pas à juger. On s'est beaucoup focalisé sur ce qui manquait à cette équipe plutôt que ce dont elle disposait. Nous avions tout ce qu'il fallait. Pour la deuxième question, c'est en partie vrai. Personne ne veut aller à l'autre bout du monde en février (pour le TQO en Chine), on préférerait se reposer. Mais c'est indispensable car il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner. Je veux gagner une médaille avec la France. Mais c'est trop facile pour les joueuses ou la Fédération de dire qu'on veut gagner ou qu'on vise l'or. Tout le monde voudrait l'or, non ? Il reviendra à ceux qui auront tout mis en oeuvre pour y arriver. »
thank you so much, everyone is going to be able to read it now 💛
15 notes · View notes
clhook · 10 months ago
Text
Moi : je déteste les mensonges et je sais pas mentir
aussi moi quand une lectrice qui rend tout le temps ses livres en retard de 3 mois me dit qu'elle déménage : oh non vous allez nous manquer :)
aussi moi quand la meuf bizarre complotiste qui vient tous les jours me dit qu'on doit en avoir marre de la voir tout le temps : oh mais non vous venez quand vous voulez évidemment :)
aussi moi quand le vieux qui nous demande des photocopies et des agrandissements relous à faire me dit qu'il nous amènera des chocolats pour nous remercier : oh mais non c'est pas la peine on est là pour vous aider :)
29 notes · View notes
tosteur-gluteal · 8 months ago
Text
Slutty priest is homophobic (chaos ensues) - OMORI MLB AU x Priest!Nick au (French version)
This is a collaborative fic I've made with @theokusgallery! This does not contain any spoiler, and is in French (English version coming soon. Probably. maybe.) Trigger warnings! This fic contains queerphobic slurs, as Priest!Nick is very repressed. If this makes you uncomfortable, don't hesitate to avoid this post! With that out of the way, Bonne lecture!
Les carreaux de la Cathédrale se brisent en milles éclats. Ladybug, dans la hâte, ne remarqua pas la présence du prêtre: une alerte akuma avait été formulée trente minutes auparavant dans ce quartier, et selon le protocole, on avait fait évacuer les lieux pour la sécurité des citoyens. En l'occurrence, Ladybug avait décelé une activité suspecte au sein de la Cathédrale.
Le prêtre, caché sous les débris, regarda Ladybug depuis le sol. Il l'espionna alors que le jeune homme cherchait la source de la menace qui avait été formulée. Il attendit le bon moment pour sortir de sa cachette, l'attaquer, le tuer--
Et le moment vint.
Il sauta du sol, faisant tomber les débris autour de lui, et se lança vers Ladybug. Les ailes de chauve-souris qu'il avait dans le dos l'aidèrent à se propulser tandis que sa queue de démon s'agitait de bas en haut pour détourner les morceaux de vers qui auraient pu l'atteindre.
"Ce gosse, pensa Nick, il a le droit de faire ce qu'il veut, mais MOI…!"
Ladybug serrait les dents. Malgré son agilité, il éprouvait une grande difficulté à éviter les attaques du vilain. De plus, il lui fallait trouver un moment de répit pour communiquer son emplacement à son coéquipier.
"Très élégant, monsieur! Enfin bon, malheureusement, je ne pense pas qu'il soit approprié de porter ce genre de tenue en ce lieu sacré..!"
Ladybug sautait de pilier en pilier, forçant le vilain à lancer ses débris dessus.
"Oh pitié, rétorqua celui-ci, tout en ventilant son torse exposé de manière provocatrice; t'es très mal placé pour parler, travlo!"
Ladybug le regarda, interloqué, ne sachant quoi répondre, et Arsenic en profita pour tenter de lui asséner un coup de poing que Ladybug évita de justesse.
"Ladybug, tout va bien ?!"
Ladybug poussa un soupir de soulagement en entendant Catmint.
"C'est pas trop tôt ! Il t'en a fallu, du temps, qu'est-ce que tu faisais ?!"
"J'ai évacué tout le monde, répondit Catmint. C'est lui, l'akumatisé?"
"T'en vois souvent, des gens normaux avec des ailes, queues et cornes de démon, toi ?"
Catmint eut tout juste le temps d'éviter une attaque du "démon" avant que celui-ci ne fit volte-face et saisisse Ladybug par le col. Il plongea verse le sol, entraînant Ladybug avec lui, en le plaqua contre les dalles de l'église.
"Ça va, tu t'amuses bien à flirter avec ton pote, pédé?!"
Ladybug utilisait ses bras pour tenter d'échapper à la prise du vilain sur son cou.
"Tu m'as l'air…bien, bien frustré, mon gars-"
"Comment ne pas être frustré quand on voit que des gens de ton espèce se baladent librement, sans aucune crainte envers Dieu..!"
Avant qu'il puisse en rajouter une couche, Catmint libéra Ladybug de sa poigne d'un coup de pied bien visé.
"Combien de temps avant un Lucky Charm?" Catmint signait à Ladybug alors que tous deux s'étaient dispersés, en mouvement constant dans toute la Cathédrale.
"Cinq minutes. Gagne du temps."
Catmint hocha de la tête.
L'homme se releva, le regard fixé sur Ladybug. La haine dans ses yeux était claire, et Catmint décida de se lancer dans le combat plus intensément, puisque ce vilain semblait décidé à l'ignorer pour se concentrer sur Ladybug.
Il attrapa le bras d'Arsenic, et le jeta vers le mur de la cathédrale. Nick eut tout juste le temps de stopper son élan en utilisant ses ailes, mais avant qu'il ne puisse se jeter une fois de plus vers Ladybug, Catmint courut vers lui et saisit ses ailes pour l'immobiliser au sol.
Le vilain se débattit furieusement, criant vers Catmint, qui essayer tant bien que mal de garder le contrôle des ailes de l'homme.
"Allez, juste deux minutes de plus..!" pensa Catmint.
Arsenic se pencha violemment en avant, faisant voler Catmint, qui était derrière lui. Catmint se rattrapa et retomba sur ses pieds sans grande peine, s'élançant une fois de plus vers l'homme et lui portant un coup de poing dans le ventre qui repoussa le vilain. Arsenic attérit sur le sol, tenant son rosaire dans la main.
"C'est son rosaire…!"
"MAINTENANT !" cria Ladybug.
Catmint porta un coup de pied sur la main de l'homme qui tenait le rosaire. Celui-ci cria de douleur et lâcha le rosaire, laissant à Catmint le temps de le détruire.
L'akuma jaillit de la croix fendue; puis d'un saut contre le mur, il le captura en plein vol avec son yo-yo. Triomphant, il leva le poing dans les airs. "Je te libère du Mal!"
14 notes · View notes
lesdamesmures · 5 months ago
Text
Un après-midi avec ma tante
Je garderai à jamais le souvenir de cet après-midi passé à faire les boutiques avec ma tante. On déambulait dans le rayon femme de ce grand magasin à la recherche d'un cadeau pour ma mère quand elle elle s'arrêta devant un mannequin exposant un déshabillé noir paraissant très transparent.
Comme beaucoup de femmes qui peuvent s'empêcher de toucher les vêtements en passant, ma tante se mit à palper le déshabillé et pris du recul comme pour se faire une idée de cette parure suggestive.
En la voyant hésiter j'avais osé la taquiner en lui disant que ca lui irait surement très bien mais ma remarque eu l'effet de l'éloigner du mannequin en me jetant un regard gêné comme si elle avait été surprise à s'imaginer dans ce déshabillé. Elle se mit à sourire en reprenant mon bras en ajoutant qu'on était pas là pour ça.
Une fois trouvé un foulard en cadeau pour ma mère, en repassant devant le mannequin, je souriais en la voyant ralentir et lui dis :
" tu es sûre que tu n'as pas envie d'en profiter puisqu'on a trouvé le cadeau de maman et qu'on est là ?, tu peux prendre ton temps si tu veux regarder "
Elle me regarda en s'arrêtant avant de toucher la texture à nouveau et se tourna vers moi comme si elle était curieuse d'avoir l'avis d'un jeune homme
" Tu penses vraiment que ca m'irait ? "
" Oh oui j'en suis certain ! mais je peux t'attendre si tu veux l'essayer je ne suis pas pressé maintenant qu'on a trouvé le cadeau de maman "
Après l'avoir rassuré, elle vérifiait l'étiquette visible sur le côté à l'intérieur du déshabillé. Elle enfourcha ses lunettes sur son nez pour lire l'étiquette en chuchotant
" Ah ce n'est surement pas ma taille malheureusement "
Entretemps j'avais déjà repéré le portant un peu plus loin et lui suggérai de vérifier sa taille en lui montrant du doigt les quelques déshabillés alignés sur des ceintres.
Je la laissais tranquille en la regardant faire défiler les déshabillés un à un tout en vérifiant les étiquettes. Elle s'arrêta et en extirpa un du portant le tenant à bout de bras devant elle comme pour l'inspecter le tournant et retournant à plusieurs reprises.
Je la regardais en souriant, elle était concentrée, hésitante avant de relever les yeux pour chercher un miroir qu'elle trouvait un peu plus loin. Elle leva les yeux vers moi avec un sourire gêné et se dirigea vers le miroir en plaçant le déshabillé devant. Je pouvais deviner ses vêtements à travers le tissus transparent, je la regardai avec attention et lorsqu'elle tourna le regard vers moi, de loin je lui montrai mon pouce levé comme pour lui indiquer que c'était un bon achat.
Elle revint vers moi avec le déshabillé à la main et le glissa dans le panier avant de se justifier
"C'est une folie je crois bien mais après tout c'est pas tous les jours que je m'accorde ce genre d'achat et que j'ai un avis masculin pour ce genre de tenue. Allez ! on file d'ici je t'ai suffisamment fait attendre "
En sortant du magasin, elle me remercia de l'avoir conseillée ajoutant que c'était agréable de faire les boutiques avec un homme patient qui sait donner son avis
Je lui répondais en vantant sa féminité et finissait par une pointe de regret sachant que malheureusement je ne la verrai jamais porter cette tenue.
Elle s'arrêta interloquée et me répondait en me taquinant
" et bien coquin je n'allais tout de même pas me déshabiller pour te demander si ca m'allait bien" puis elle parti en éclat de rire comme si elle venait d'imaginer la situation.
Sans me dégonfler je répondais spontanément
"Oui je sais bien tatie mais j'aurai bien aimé te voir le porter"
Elle passa son doigt sur ma joue en me faisant un clin d'oeil, je la sentais d'humeur légère après ce moment intimiste
J'étais rentré chez moi, j'avais apprécié ce moment avec ma tante. Même si on était proche ona vait encore jamais fait les boutiques tous les 2. Vers 22h je recevais un sms, c'était ma tante. Jamais elle ne m'écrivait mais je pouvais lire ...
Tumblr media Tumblr media
9 notes · View notes
maxeine-txt · 5 months ago
Text
TAG GAME DU RPG
règles du jeu : créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
Au début, j'avais un peu la flemme. Puis, j'ai reçu un deuxième tag (merci @timuschaos et @dynamiiiight <3). Au pire, comme j'suis un peu nouvelle dans les parages, ça fera une introduction à ce qu'il y a dans ma tête.
Depuis combien de temps fais-tu du rp? — 6 piges, je crois ? Plus ou moins. Et ça fait qu'un peu plus d'une année que je traine sur les forums.
Quel était le premier personnage que tu as créé? — Pallas, ado devenue trop vite adulte ; directrice d'une cathédrale vivante, peut lire dans ta te-tê et broder littéralement les émotions. Elle est sous les traits de Steffy Argelich et aujourd'hui, c'est la protagoniste de mon premier roman (oops).
Quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — Mes fcs sont toujours équivoque à un perso dans ma tête. Mais je rejoue tout le temps les mêmes persos (et puis c'est encore mes débuts, j'étais sur de l'illustré avant d'arriver sur forum) ; du coup : Kate Snap & Anna Somna, mon duo de fc que je traine partout.
Y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — Le medfan, la fantaisie un peu (un certain univers avec des sorciers aussi) ; j'suis plus dystopie, cyberpunk, goudron, néon, "are you lonely? let me fix that".
Quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — Les romances, les trucs durs qui finissent bien. Les familles choisies, les fratries qui essaient de survivre entre eux. Oh, et les figures paternelles pour mes persos. J'aime bien les trucs un peu tristes qui tendent vers le mieux. J'écris jamais de bad ending.
Dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — Mon petit rêve, c'est d'ouvrir un forum dans l'univers de The Last Of Us. J'ai déjà tout dans ma tête, j'ai même commencé à faire le graphisme. Mais j'sais pas coder mdrr. Sinon, comme j'ai dit plus haut ; cyberpunk, dystopie. Oh et j'adore les conneries avec des super-pouvoirs (que ce soit plus vibe Miss Peregrine ou carrément du capepunk).
Un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — Niamh, une ex trop jeune taularde qui peut parler aux morts. Du coup, elle gagne sa vie en se la jouant GussDX. Sous les traits de Sophie Thatcher.
Y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — Des meufs qui peuvent être ton daron. Plein de défauts. Crades ; plein de poils sur les jambes et plein de tatouages sur les bras. Sinon, je parle souvent de trucs que j'ai vécu. J'ai un aspect assez thérapeutique et cathartique avec l'écriture et le RP. Donc ; je parle souvent quand on confond la faim et une envie de fumer, quand ta chambre à coucher c'est le canapé des potes, quand ta caboche c'est pas ta meilleure pote.
Y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — Le rap français. Même les textes autotunés qu'on juge comme pas bien écrit parce que ça sort pas de l'Académie Française (promis, on a capté que le "p" dans rap ça voulait dire poésie). Mon Hugo à moi, c'est Wallace Cleaver et sa mélancolie. Ma Voltairine de Cleyre, c'est Asinine et sa female rage. Mon Rimbaud, c'est l'autotune de Selug et $enar. Mon Camus, c'est Okis et ses réfs de foot.
Une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — L'album Le plus beau des Monstres de Surprise. Ma rappeuse préférée avec Asinine, j'me reconnais énormément dans ces textes. Oh et L'INVERSE pour mon son préféré. Allez, hop, hop, on soutient les meufs dans l'industrie et on va écouter.
Putain, c'est qu'elle débite la conne.
☞ je tague : @byzantium-pearl @frierenart @montmarays + ceux qui veulent, hein ; soyez pas timide.
12 notes · View notes