#émissions de CO2
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La Chine a réduit les émissions de CO2 de 3 milliards de tonnes en 10 ans
La Chine a réduit les émissions de CO2 de 3 milliards de tonnes au cours de la dernière décennie, une étape cruciale pour le monde
D’après le dernier Livre blanc de la Chine, intitulé “Transition énergétique de la Chine“, la Chine a réduit les émissions de CO2 de 3 milliards de tonnes au cours de la dernière décennie, dans le cadre de ses efforts pour promouvoir la consommation verte. Ces dix dernières années, la Chine a réalisé des économies d’énergie équivalant à 1,4 milliard de tonnes de charbon standard, sans freiner la…
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Découvrez pourquoi notre solution de livraison écomobile (à vélo) est le complément indispensable de votre quotidien
OVL87 déploie un service de livraison écomobile (à vélo) à Limoges au plus proche des limougeauds dans le centre et les différents quartiers de Limoges. Livraison à domicile, livraison de proximité, livraison du quotidien, pour femme enceinte, personnes âgées ou simplement pressées, nos vélos électriques avec remorques peuvent déplacer jusqu’à 300 kg par voyage et offrent une accessibilité…
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L’évolution du bonus écologique
Il est important de noter que le bonus écologique évolue en ce moment. Concernant les voitures électriques, il prend en compte un score environnemental limitant les émissions de CO2, entre autres.
Crédit photo : Vauxford de Wikimedia Commons / Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International (CC BY-SA 4.0)
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Est-ce que le marché du carbone rend l'économie européenne moins compétitive ?
Voix : Françoise Huang et Fabien Piliu J’aimerais savoir : Est-ce que le marché du carbone rend l’économie européenne moins compétitive ? Le marché du carbone européen vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’Europe. Pour ceux qui n’ont pas écouté le précédent podcast, pourrais-tu nous rappeler ce qu’est ce marché carbone ? Bien sûr, c’est un programme lancé par l’Europe…
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#économie#émission#CO2#compétitivité#délocalisation#environnement#Europe#gaz à effet de serre#marché carbone#podcast#quotas#Union européenne
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"Les JO, c’est super. Mais pour qui et à quel prix ? [...]
Les fan zones sont pleines de gens qui rient et pleurent ensemble devant les transmissions des épreuves ; 5��200 personnes ont été expulsées de squats et de campements de rue en Île-de-France en un an et envoyées en région sans solution de logement.
Les transports publics roulent bien et les agent·es d’accueil sont plebiscité·es pour leur bonne humeur ; les émissions de CO2 des Jeux olympiques de Paris (JOP), 1,58 million de tonnes au minimum, seront l’équivalent de ce que rejettent 150 000 personnes en France en un an.
Des athlètes couronné·es sont d’anciens enfants placés ou ont grandi dans des quartiers pauvres ; le prix des places pour la cérémonie de clôture des Jeux va de 250 à 1 600 euros – plus qu’un mois de salaire minimum.
C’est officiellement la trêve olympique, et la délégation ukrainienne a remporté deux médailles d’or (sabre et saut en hauteur), ainsi qu’une de bronze (lutte gréco-romaine), qui deviennent des symboles de résistance face à l’agression militaire russe ; les bombardements israéliens n’ont pas cessé à Gaza, visant une école transformée en refuge le 10 août, veille de la clôture des Jeux, tuant près de cent personnes selon un premier bilan. [...]
La vasque et sa flamme olympique en LED et vapeur d’eau flottant au-dessus des Tuileries émerveillent le public ; les enfants du quartier Pleyel à Saint-Denis vont subir les pots d’échappement de la voie vers l’autoroute construite collée à leur école pour les JOP.
Imaginaire collectif coupé en deux
Cette liste pourrait s’allonger encore et encore. Dans ces conditions, quelles conclusions en tirer sur la portée de l’événement ? [...]
Une situation peut être à la fois agréable et pourtant néfaste. On peut aimer boire du Coca-Cola ou de la vodka, cela n’empêche pas que ce soit mauvais pour la santé ; adorer voyager vers des pays lointains alors que les trajets en avion contribuent à la destruction du climat [...]. Les émotions, aussi fortes soient-elles, ne suffisent pas à façonner la réalité.
En 2015, les chercheurs Stefan Aykut et Amy Dahan parlaient de « schisme de réalité » pour décrire les négociations climat, car elles voulaient réduire les gaz à effet de serre sans s’attaquer à leurs principales émettrices, les industries fossiles. Elles avaient créé un théâtre de discours sans prise directe avec le problème à résoudre.
À sa manière, Paris 2024 aura été un schisme de réalité : il y a une dissociation entre le spectacle, excitant, prenant, populaire, et les conditions de sa fabrication, brutales, excluantes, coûteuses et injustes. C’est un déchirement sensible. Le sentiment d’une immense réussite s’entend dans les déclarations des organisateurs et des dirigeants politiques. La fierté et la joie s’expriment un peu partout, aux repas familiaux, entre collègues, avec ses voisins, sur les réseaux sociaux, dans les médias. Mais qui écoute la complainte, la colère et les douleurs de celles et ceux qui ont été éjecté·es de la fête ?
Si le prix à payer en « nettoyage social », en élitisme commercial (le prix des billets, du merchandising et d’un séjour à Paris) et en destructions environnementales (climat, arbres coupés au parc Georges-Valbon, jardins ouvriers détruits à Aubervilliers et pollution de l’air à Saint-Denis), est considéré comme acceptable, le risque est d’abaisser les critères d’exigence démocratique, sociale et écologique pour la suite.
Car si un pouvoir peut décider un tel événement sans consulter la population, en cédant aux exigences d’une association croulant sous les accusations de corruption (le CIO), en engageant au moins 10 milliards d’euros sans transparence sur le coût final en argent public, et en multipliant les promesses écologiques intenables, alors pourquoi ne pas continuer ?"
#french#en français#upthebaguette#french side of tumblr#paris 2024#olympics#bee tries to talk#france#ecology#pollution#classism
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comment aimer les livres et la planète ? - partie 1 : achat et lecture
⏱️ 3 min
1) l'impact de la fabrication du livre sur la planète
Pour mesurer l’impact du livre sur l’environnement on peut faire une Analyse du Cycle de Vie (ACV) du livre, de l’extraction des ressources au recyclage (l’analyse de l’empreinte carbone est moins intéressante car unidimensionnelle). Dans cet article je me base sur la seule ACV du livre en France, réalisée par les éditions Terre Vivante sur « 1 tirage de 5000 exemplaires d'un livre de 310 g broché cousu de 160 pages en format 15x21 cm sur papier couché de 115 g/m2 PEFC »
a) papier
Plus de 70 % des impacts du livre sur l'environnement sont dus à la fabrication du papier. Il faut 2 à 3 tonnes de bois pour fabriquer une tonne de papier classique [1] Selon la Commission européenne, l'industrie du papier est la deuxième plus consommatrice d’eau douce. Elle serait avec l’imprimerie à l'origine de plus d’1 % des émissions globales de gaz à effet de serre. 70% du CO2 produit lors de la fabrication d’un livre vient de la fabrication du papier [2]. La production d’un seul livre émet environ 4 kilos de gaz à effet de serre. [3]
Elle utilise aussi des produits chimiques qui peuvent être toxiques et génère des déchets qui seront incinérés. Avant, on utilisait des gaz chlorés très polluants pour blanchir le papier mais aujourd’hui on peut le remplacer par un mélange de bioxyde de chlore avec du péroxyde d'hydrogène (eau oxygénée) ou par du péroxyde d'hydrogène avec de l'ozone.
Le remplacement des forêts anciennes par des monocultures d'eucalyptus engendre une perte de biodiversité et l'érosion des sols.
La fabrication de papier génère également des déchets (effluents issus du lessiveur) qui seront incinérés.
b) papier recyclé
La fabrication de papier recyclé est plus économe en eau et en énergie que la fabrication de papier à partir de bois car il est plus facile de faire de la pâte à papier à partir du papier qu'à partir du bois, la phase d'élimination de la lignine n'étant pas nécessaire. D'après Ecofolio, l'éco-organisme chargé du traitement des papiers, « la production de papier recyclé, par rapport à celle de papier non recyclé, consomme jusqu'à trois fois moins d'énergie, trois fois moins d'eau ».
Attention, les fibres ne se recyclent pas à l’infini, au bout d’environ cinq fois les fibres sont trop courtes (puisque redécoupés à chaque fois) et doivent être remplacées par des fibres de bois.
c) livre numérique
Le livre numérique ne représente aujourd’hui que 8,2% du marché. (2017).
Jean-François Ménard, analyste principal au Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services (CIRAIG) a réalisé une analyse comparée du cycle de vie d’un livre papier et d’un livre numérique et estime que l’empreinte environnementale du livre numérique est environ 1/10 de celle du livre papier, calculé comme si les deux tiers des lecteurs utilisaient un iPad et le tiers restant un Kindle. [4]
D’après une étude Ifop réalisée en 2016, il faut quatre ans pour les gros lecteurs, et soixante pour les lecteurs occasionnels, pour amortir l’impact environnemental d’une liseuse électronique (pour ces derniers il est plus écolo de lire des livres papier). [5]
2) lire d’occasion et emprunter en bibliothèque/à des amis
Plus il y a de personne qui lisent un même livre, plus son impact environnemental est faible. En plus, les bibliothécaires vous veulent du bien ! Iels sont là pour vous faire passer le meilleur moment possible avec un livre et iels n’attendent qu’une demande !
Là il y a évidemment une conversation à avoir sur la rémunération des auteur-ice-s, libraires et acteur-ice-s du livre en général. Je suis personnellement d’avis que la chaîne du livre a beaucoup de problèmes et que les auteur-ice-s sont si peu rémunéré-e-s qu’il serait plus efficace pour les lecteur-ice-s de les soutenir directement, en les rémunérant directement par exemple (si l’auteur-ice a un Tipeee par exemple, même si malheureusement la plupart n’en ont pas). Mais c’est une conversation pour plus tard.
3) Solutions/conclusion
- choisir des livres imprimés sur papier recyclé (éditions Alto, Héliotrope, Mémoire d’encrier et Annika Parance, notamment impriment systématiquement sur papier recyclé),
- choisir des ouvrages imprimés avec du papier provenant d’arbres issus de forêts contrôlées (logo FSC en début ou en fin de livre, PEFC, Imprim’Vert…)
- emprunter / acheter d’occasion (mais soutenir les auteurs d’autres façons)
- beaucoup utiliser sa liseuse, et essayer de prolonger sa durée de vie au maximum (en la faisant réparer si elle a un problème et en s’en occupant bien)
- aller acheter le livre à pied/vélo/transports en communs et apporter son sac en tissu
- choisir un livre imprimé en France (dans votre pays de résidence)
Ressources:
[1] Greenpeace
[2] http://blog.sustainablog.org/eco-libris-how-green-is-the-book-publishing-industry-part-2/
[3] https://www.americanprogress.org/issues/green/news/2009/02/25/5615/its-easy-being-green-how-to-be-a-greener-reader/
[4] https://www.ledevoir.com/lire/589417/pour-la-planete-vaut-il-mieux-lire-sur-papier-ou-en-numerique
[5] https://fondationlitterairefleurdelys.com/2017/12/16/e-book-contre-livre-papier-quel-est-le-plus-ecologique-par-francois-girard-notre-planete-info/
#bookblr#book#environment#écologie#climate action#books and reading#livre#booklr#books#books & libraries#reading#climate activism#zéro déchet#live simply#discussion
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Mansory Mercedes Benz SL Widebody 2023 avec de la fibre de carbone partout
Mansory a installé sur la Mercedes Benz SL Widebody de nombreuses pièces complémentaires en carbone tout autour du véhicule.
Mansory a développé un programme de personnalisation étendu pour toutes les versions du nouveau modèle Mercedes SL type R 232. Il inclut quatre éléments clés de personnalisation en plus du programme standard. Pour en savoir plus, consultez la galerie d'images de la Mercedes-Benz SL Widebody Mansory en faisant défiler vers le haut. Galerie - Mansory Mercedes Benz SL Widebody 2023
Depuis 1954, les lettres "SL" chez Mercedes représentent des voitures de rêve, et chaque modèle de ces 8 générations a toujours défini le style de son époque respectif et suscite des désirs chez les amateurs de voitures dans le monde entier. La version actuelle, appelée R232, n'est pas différente. Conception Pour rendre le SL encore plus élégant ! Mansory a ajouté de nombreux composants en fibre de carbone dans tout le véhicule. Le matériau léger et de haute qualité s'utilise sur les prises d'air avant! en dessous et sur le côté du tablier avant, dans la calandre ! les jupes latérales, les rétroviseurs extérieurs et le tablier arrière. D'autres applications en fibre de carbone sur les sorties d'air latérales avant et arrière sur les ailes et le cadre du pare-brise avant complètent les modifications corporelles subtiles et efficaces. La "Mercedes SL Widebody by Mansory" également équipée d'un capot en fibre de carbone ! d'un aileron arrière et d'extensions d'ailes élégantes et visuellement efficaces ! qui complètent harmonieusement l'aspect extérieur général. Toutes les pièces en fibre de carbone peuvent être sélectionnées individuellement parmi la vaste gamme d'options de MANSORY. Roues Pour le SL, Mansory utilise des jantes en alliage "FY.5" ou "FD.15" mesurant 10,5 x 21 (avant) et 12 x 22 (arrière) avec des tailles de pneus correspondantes de 275/35/21 et 335/25/22. L'objectif est de rehausser l'apparence élégante de la SL avec une touche sportive et raffinée dans chaque détail, selon les souhaits du client." Intérieur Comme pour tous les programmes de personnalisation Mansory, l'intérieur fait également l'objet d'une attention particulière. Selon les souhaits du client, tout l'intérieur est repensé et chaque composant imaginable est recouvert du cuir le plus fin. De plus, toutes les coutures peuvent être personnalisées pour correspondre des tons de couleur individuels, comme la peinture extérieure. Diverses incrustations de carbone, un volant sportif en cuir-carbone, des tapis de sol et des pédales en aluminium - le tout avec un lettrage MANSORY subtil - complètent l'intérieur raffiné et ajoutent d'autres accents visuels. Performance En utilisant diverses modifications du système de gestion du moteur - connu sous le nom de PowerBox - MANSORY améliore considérablement les performances du SL "P720". Les clients à la recherche d'une puissance encore plus grande peuvent opter pour la mise à niveau "P850". Les deux versions ce voient équipées de la PowerBox et d'un nouveau système d'échappement sport à 4 tuyaux ! mais le "P850" comprend également des turbocompresseurs plus grands, entre autres améliorations ! pour obtenir une augmentation substantielle de la puissance avec confiance et stabilité. Les chiffres de performance obtenus pour les "P720" et "P850" sont les suivants : P720 : Puissance : 720 ch, couple : 1 000 Nm, V-max : 325 km/h ! 0-100 km/h : 3,4s, émissions de CO2 (combinées) : 328 g/km, consommation de carburant (combinée) : 13,8 l/100km P850 : Puissance : 850 ch, couple : 1 150 Nm (+ 350 Nm), V-Max : 332 km/h ! 0-100 km/h : 3,2s, émissions de CO2 (combinées) : 343 g/km, consommation de carburant (combinée) : 14,4 l/100km Read the full article
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Carbone 4 il aura mis le temps, mais le quota de CO2 a dépassé 100 euros sur le marché européen. 100 euros la tonne de CO2 c'est équivalent à 50 euros par baril de pétrole : on ne parle plus d'un montant totalement anecdotique. Mais ce prix n'est pas celui auquel les sites concernés par le "Système d’échange de quotas d’émission de l’UE" payent l'intégralité de leurs émissions. Cela ne concerne que la partie des quotas (qui sont des autorisations administratives d'émettre) qui n'est pas utilisée par le site qui les as achetés à l'Etat (ou reçus à titre gratuit) en début de période, et qui peuvent donc être vendus sur un marché à des sites qui eux sont en déficit. Rappelons comment fonctionne le système : un quota va avec le droit d'émettre une tonne de CO2. Par période de plusieurs années (la période actuelle va de 2021 à 2030), la Commission fixe de manière unitaire pour environ 10.000 sites industriels très émissifs (centrales électriques fossiles, cimenteries, aciéries, usines chimiques, réseaux de chaleur ou décharges) des émissions individuelles cumulées maximales à ne pas dépasser sur l'ensemble de la période. Puis elle fait le total par pays, et confie au pays concerné le soin de vendre le total de quotas du pays aux sites du pays via un mécanisme d'enchères. Les sites achètent donc leurs quotas, mais significativement moins cher que 100 euros la tonne de CO2 équivalent. En outre certains sites appartenant à certaines secteurs considérés comme exposés à la concurrence internationale reçoivent une partie de leurs quotas de manière gratuite. Le prix qui vient d'être observé sur la "bourse du CO2" ne concerne donc que les quotas qu'un site excédentaire va vendre à un site déficitaire. C'est une bonne chose qu'il soit un peu élevé cela incite les industriels à se décarboner, et globalement il y a de la marge, comme l'a montré le chapitre "industrie lourde" du plan de transformation de l'économie française (https://bit.ly/3knACrg ) mais ce prix a une faiblesse personne ne sait ce qu'il deviendra à l'avenir, car un prix de marché n'est jamais prévisible. De ce fait, les industriels ne peuvent pas savoir à l'avance si les investissements qu'ils font pour décarboner seront rentables ou pas. Il y a quasiment 10 ans, The Shift Project avait proposé que soit amené une amélioration du système : que les enchères organisées par les pays pour leurs sites nationaux comporte un prix de réserve (un prix en dessous duquel on ne peut pas acheter) et que ce prix soit croissant dans le temps (et annoncé comme tel). Cela aurait permis de donner une trajectoire de prix minimal pour l'ensemble du CO2 émis par un site et sur une durée longue (10 ans), et cela aurait permis en conséquence aux industriels de faire leurs calculs de retour sur investissement et de déclencher ceux qui sont rentables. Cette proposition n'a pas été retenue. Il reste alors à prier pour que le prix reste élevé sur le marché, mais le résultat est peut-être moins garanti ! 23 février 2023
L’escroquerie du réchauffement climatique https://solidariteetprogres.fr/nos-actions-20/analyses/Friedrich-Karl-Ewert-escroquerie-du-rechauffement-climatique.html
Comment l’anthropologue Margaret Mead a inventé le réchauffement climatique https://solidariteetprogres.fr/margaret-mead-invente-rechauffement-climat.html
Michel Heldt-- Dirigeant / International Fixing Systems
500 scientifiques écrivent à l’Onu pour dénoncer l’alarmisme climatique https://solidariteetprogres.fr/actualites-001/500-scientifiques-ecrivent-a-l-onu.html
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Je ne suis pas une activiste, mais le climat est un sujet dont on me parle depuis des années aussi bien à l'école que dans la vie de tous les jours. Un proche m'a envoyé un post d'une journaliste, et il est alarmant mais reçoit peu de visibilité. Pas un seul média n'en parle, alors que l'info est plutôt alarmante pour ma génération à moi qui va devoir vivre avec. En tant que jeune le mieux que je puisse faire est partager l'info sur Internet, en espérant que le web qui sait si bien retransmettre les infos les plus inutiles puisse faire de même avec cet article...
"C’est l’information la plus importante que vous lirez aujourd’hui : la glace de mer en Arctique disparaît 10 ans plus tôt que ce qu’avait prévu le Giec, et il est trop tard pour la sauver. Cela aura de grosses répercussions sur nos vies, voilà pourquoi. ⬇
Tout est dans un article publié ce mardi dans la revue Nature Communications, qui annonce que l’Arctique pourrait être privé de glace de mer en été dès les années 2030.
Pourquoi septembre ? Car c’est le moment où la glace de mer atteint sa superficie minimum annuelle. La plupart du temps, l’océan Arctique qui fait 14 millions de km² est quasiment complètement recouvert de glace, ce serait désormais moins d’1 millions de km² ce mois-ci.
Cela interviendra « quels que soient les scénarios d’émissions». C'est à dire que même si l'on réduisait nos émissions de CO2, le processus est trop engagé.
Les chercheurs sont catégoriques : la fonte de cette glace est principalement causée par les émissions de gaz à effet de serre (elles-même causées par nous, les humains). Nous sommes à l'origine de ce qui va causer notre perte.
Les scientifiques expliquent que la disparition de la glace « accélérera le réchauffement arctique, ce qui peut augmenter les événements météorologiques extrêmes aux latitudes moyennes, comme les canicules et les feux de forêts ». Ce n’est pas tout : « Cela peut aussi accélérer le réchauffement mondial, en faisant fondre le permafrost, ainsi que la montée du niveau des océans en faisant fondre la calotte glaciaire du Groenland »
Et ça, c’est vraiment effrayant. La glaciologue Heïdi Sevestre détaille dans un excellent article de Bon Pote (lien en commentaire) sur le sujet : « Cette calotte glaciaire contient assez de glace pour augmenter le niveau des océans de six à sept mètres ». Ambiance.
En plus des conséquences désastreuses, pourquoi cette nouvelle est-elle fondamentale ? Car « il est trop tard pour sauver la glace de mer d’été en Arctique ».
Et pourtant, notre survie dépend en grande partie des glaces de mer et des glaciers, même si ça nous semble loin. Paloma Moritz a réalisé une superbe émission sur le sujet il y a quelques mois (lien en commentaire là aussi).
Alors que faire ? Le directeur de l'étude explique : « Nous devons réduire les émissions de CO2 de manière plus ambitieuse et nous préparer à nous adapter à ce réchauffement plus rapide de l’Arctique et à ses répercussions sur la société humaine et les écosystèmes ».
Malheureusement, cette nouvelle ne fait pas la une de l’actualité alors que c'est un événement majeur qui pourrait vraiment changer la donne en termes de conditions de vie sur notre planète. Il est temps que les priorités médiatiques changent. "
article de Salomé Saqué
#climate crisis#climate and environment#changement climatique#fonte des glaces#environment#environnement
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La reforestation : une solution pour réduire les émissions de CO2
Restauration des forêts : un moyen efficace de lutter contre le changement climatique I. Introduction Présentation du thème Le thème de la reforestation pour réduire le CO2 dans l’atmosphère est un enjeu majeur de notre époque. Les arbres absorbent le CO2 présent dans l’atmosphère, contribuant ainsi à limiter les effets du changement climatique. La reforestation est une solution efficace pour…
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Changer la nature pour la préserver – Elizabeth Kolbert « Under a White Sky – The Nature Of Future »
Avant-propos: je vous partage dans cette série de capsules mes réflexions par rapport à quelques livres et autres lectures exposant une pensée environnementale. Nous y parlerons développement durable, de changements climatiques mais aussi du fonctionnement général de Mère-Nature. Le tout sera agrémenté de données chiffrées et vérifiées, et peut-être aussi d’une touche d’humour.
Je ne présenterai pas une seconde fois Elizabeth Kolbert, l’auteure de ce livre publié en 2021, je vous invite à lire le second paragraphe de ma dernière chronique décrivant cette gagnante du prix Pulitzer. Je ne suis pas sûr qu’il constitue une « lecture d’été », tel que qualifié par Barack Obama ou encore Bill Gates. Pour ma part, j’emploierais une expression du genre « lecture parfaite à emporter dans son abri antiatomique ».
Depuis 10 000 ans, soit à peu près la fin des dernières glaciations, la stabilité des températures a permis le développement des civilisations. L’illustration ci-dessous dresse l’historique pour le Groenland. Imaginez que cette période ait commencé 20 000 ou 30 000 ans plus tôt, où en serait-on aujourd’hui avec le climat et nos technologies? Quand il fait constamment -20 degrés Celsius en dehors de sa caverne humide, on ne pense pas spontanément à développer l’art de la philosophie pour les intellos ou de la métallurgie pour les manuels…
Retenons que nos émissions de CO2 depuis 50 ans remettent en cause cet équilibre, en raison de l’utilisation des énergies fossiles. Bon, je dévoile maintenant l’explication du titre « Under A White Sky », qui signifie que la couleur de notre ciel en temps normal va passer du bleu au blanc, en raison de la géo-ingénierie, si ces technologies audacieuses finissent par être déployées. Mais les levers de soleil seront splendides!
Mais qu’est-ce donc que la géo-ingénierie? Je le savais, j’ai piqué votre curiosité, cela tombe à point puisque les scientifiques et médias de toute sorte vont introduire le concept à la population dans un futur proche. En guise d’introduction, le volcan Tambora, situé en Indonésie, rentra en éruption en 1815. Il rejeta tellement de cendres, gaz et particules fines dans l’atmosphère que les rayons du soleil furent bloqués et cela conduisit à un refroidissement climatique pour les années suivantes (1816 eut un été glacé). C’est sans compter les centaines de milliers de personnes sur la planète mortes de faim ou déplacées. Vous avez donc compris le principe de la géo-ingénierie avec les aérosols dans la stratosphère! Dans le livre, plusieurs possibilités sont déclinées :
Particules de diamants vaporisées dans la stratosphère;
Sel saupoudré au-dessus de la banquise;
Dioxyde de soufre dans la stratosphère, vraiment charmant;
Acide sulfurique et autres aérosols plus ou moins testés…
Tout cela peut faire peur! Oui, on peut transformer de la grêle en pluie avec un additif relâché par avion très localement, mais on parle ici d’une « solution » globale qui gérerait les conséquences et en aucun cas les causes du haut niveau de CO2 dans l’atmosphère. Plutôt que de vaporiser de la méthadone dans notre air, il paraît préférable d’arrêter de consommer l’opium de la croissance économique, à savoir les énergies fossiles.
L’homme, avec sa casquette de scientifique en général, est toujours persuadé de faire la bonne chose au moment où il la fait et avec toutes les connaissances en sa possession, mais les effets collatéraux non prévus peuvent être dévastateurs. Pensons seulement aux DDT, aux CFC, à l’importation d’espèces invasives,… Mentionnons également que ces programmes nécessitent du financement, du matériel (ex : avions capables d’embarquer 20 tonnes d’aérosols à 20 km d’altitude), et la fabrication d’aérosols, mais tout cela pourrait se résoudre avec une volonté politique internationale. Cependant, avant d’entreprendre la géo-ingénierie dont on ne maîtrise pas les possibles effets secondaires, quelques questions et constats s’imposent :
Que se passera-t-il si on commence ces épandages stratosphériques puis qu’on les arrête pour diverses raisons?
Si l’expérience tourne mal, quelles sont les voies de sortie et d’atténuation?
Si elle change les patrons de précipitations (sécheresses en Afrique et en Asie) tel qu’anticipé, que fera-t-on?
Surtout, a-t-on éthiquement le droit de jouer à l’apprenti chimiste avec la planète en lançant des solutions reposant sur notre conviction que tout devrait bien se passer au terme du processus? L’approche est autant empreinte d’espoir que de doutes.
N’oubliez pas que le but demeure de réduire la température ou de freiner sa progression, mais que cela n’implique pas la décarbonation, signifiant que le géo-ingénierie devrait arriver en complément à d’autres actions, centrées sur les causes cette fois-ci.
Restons dans le contrôle de la nature qui est le fil conducteur du livre, mais cette fois-ci avec un regard sur le passé et le présent. Elizabeth Kolbert prend l’exemple de la Louisiane. En mes propres mots, la fondation de la Nouvelle-Orléans correspond à un entêtement vraiment débile des premiers colons français. C’est quoi l’idée de construire en zone inondable quand on sait pertinemment que la zone est justement très inondable? La solution simple fut de construire des digues sur les « levées » naturelles (Levee en anglais), renforcées au cours de décennies. Rassurez-vous, dirais-je cyniquement, ce travail fut réalisé par des esclaves. Le surnom de la ville devrait même évoluer de « Big Easy » à « Big Shame », selon mes valeurs personnelles. La ville ensuite s’est développée économiquement et humainement, rendant impossible d’un point de vue pratique un retour en arrière. Il s’en est suivi l’édification d’autres digues et systèmes d’ingénierie complexes pour contrôler les eaux du Mississippi… et ses alluvions, dans un processus de fuite en avant. La Louisiane est toutefois condamnée à disparaitre sous la mer, citons un article du Washington Post mentionnant que dans cet état perdrait 8,7% de ses terres d’ici 2050. Ce n’est pas une bonne idée que d’habiter en ce moment l’Isle De Jean Charles! Dans la même rubrique de choix insensés et non pérennes naturellement, mentionnons l’établissement même de Las Vegas, le contrôle du territoire plus qu’extrême aux Pays-Bas, ou encore le récent système de protection de la ville via un mur de portes marines à New York. Aussi admirables et perfectionnés soient les systèmes d’ingénierie mécaniques et hydrauliques, Dame-Nature ne respecte pas toujours les spécifications d’ingénierie! Frida Boccara (‘scusez, la référence n’est pas jeune, mais écoutez la chanson pareil) chantait avec sa voix sublime de profondeur : « Venise va mourir un jour… au fond de l’eau verra passer tous les bateaux ». Vous pouvez échanger le nom de la ville pour Amsterdam s’il vous chante.
Je pense avoir eu la délicatesse de commencer la chronique par le sujet le plus épeurant, celui de la géo-ingénierie qui deviendra peut-être réalité dans les prochaines années. Continuons avec une autre variante se focalisant uniquement sur les causes aussi, celle de la captation du C02 dans l’atmosphère. L’idée devrait ou même devra aller de l’avant, sachant que la température mondiale a déjà augmenté de 1,2 degré Celsius depuis le début de la période de référence et que toutes les prédictions modérées seront fracassées d’ici 2050. Mais comment faire? Elizabeth Kolbert a identifié plusieurs solutions, mais le problème reste toujours le même, celui du volume. À petite échelle, on capte facilement le CO2 pour le neutraliser, mais au niveau de la planète et de son atmosphère, c’est bien plus complexe… Voici donc les initiatives :
Capter le CO2 puis l’envoyer dans la roche en profondeur pour qu’il se minéralise dans le basalte. L’image ci-dessus provient d’un de ce type d’installation actuellement en opérations, le système ORCA de Climeworks dont je vous invite à regarder la vidéo;
Extraire 3 milliards de tonnes de basalte et l’épandre sur des terres agricoles sur la planète;
Dissoudre de l’olivine volcanique dans les océans;
Planter 1 000 milliards d’arbres sur la planète, puis les enterrer dans des tranchées lorsqu’ils seront à maturité, pour éviter que le CO2 ne soit retourné dans l’atmosphère. Ces arbres pourraient être modifiés génétiquement afin de se prévaloir de feuillages plus clairs (avec les OGM, on peut tout réaliser!), favorisant ainsi le rejet des rayons UV;
Construire 100 millions de machines résidant dans des « containers » pour pomper le C02.
Ces projets sont mégalomaniaques à première vue (mais c’est quoi le coût de ne rien faire?), sont très couteux et mobilisent des ressources, générant du CO2 au passage, pour être réalisés. À l’instar de la géo-ingénierie, nous sommes confrontés à une logique possible de 2 pas en arrière pour un en avant. Question subsidiaire : qui acceptera de payer $1 000 ou même $100 US par tonne de CO2 capté et neutralisé? Pour information, l’humanité a produit 36,8 gigatonnes en 2022, en augmentation par rapport à 2021… Sapiens tente de gérer un problème qu’il a lui-même créé et qui semble insoluble vu les proportions prises.
Il est temps maintenant d’accompagner l’auteure en Australie et de parler des OGM (organismes génétiquement modifiés. Disons-le de suite à la défense des promoteurs des OGM, ce n’est pas parce que l’on mange un poulet qu’il va nous pousser un bec et des ailes. Cependant, nous nous en sommes aperçus concernant les DDT et autres produits chimiques, ce qui passe par le foie peut gravement impacter notre santé et nos gènes. On parle encore du principe de précaution.
Le très charmant crapaud buffle (cane toad pour les anglophones, rhinella marina de son nom scientifique) représenté ci-dessus, fut introduit dans de nombreux pays tropicaux, puis en Australie pour se délecter d’insectes dans les champs de canne à sucre, ce qui se révéla être un échec. Cependant, ces gros batraciens ont progressivement colonisé de nouveaux territoires sur l’île continent. Au fil des décennies, l’évolution a même fait que leurs pattes à l’arrière se sont allongées, leur assurant une invasion encore plus rapide! Le problème demeure qu’ils sont toxiques, la faune locale de prédateurs pouvant en mourir. Le lien avec les OGM? Une équipe de scientifiques a travaillé fort pour altérer leur gène de la toxicité, de manière que les prédateurs tombent seulement malade après un tel repas, les incitant ainsi à ne plus s’en approcher. Personnellement, rien que de voir l’animal, j’ai déjà une indigestion…
Toujours en Australie, chacun sait que la barrière de corail est sujette à disparaître complétement (blanchiment, puis mort, puis désintégration physique avec le temps). Près de la moitié de la Grande Barrière a déjà trépassé en 2016 et 2017. La solution scientifique? Changer l’ADN des coraux pour les rendre plus résistants à l’eau trop chaude et en dehors de leurs paramètres optimaux.
La manipulation génétique sur l’ADN du vivant peut aller plus loin encore. D’autres équipes ont travaillé sur un « X-Shredder » pour les souris. Imaginez, les souris femelles ne développent plus le chromosome X et ainsi n’engendrent que des souris mâles. Sur une île du Pacifique dont les populations d’oiseaux marins sont en déclin à cause des rongeurs, on comprend. Imaginez que les mignonnes souris s’échappent et colonisent les différents continents, on peut alors éradiquer des espèces, rien qu’avec le bricolage d’ADN! Capotant, vous dîtes?
Arrêtons ici la revue du livre « Under A White Sky » d’Elizabeth Kolbert, supposée être donc une lecture d’été, peut-être à cause de son nombre de pages. Sapiens a créé un énorme problème, celui des changements climatiques, en raison de sa consommation depuis surtout les 50 dernières années d’énergies fossiles, entraînant une hausse des GES et des températures. Je radote. En attendant une annulation ou réduction très drastique (davantage réaliste) des émissions, la communauté scientifique nous apporte des solutions séduisantes axées sur la gestion des conséquences. Il faudra en passer probablement par là pour ne pas atteindre un réchauffement de 3 ou 4 degrés Celsius ou plus d’ici 2100. Mais appliquons encore le principe de précaution, nous ne sommes pas collectivement forcément plus malins en 2023 qu’on ne l’était il y a 60 ans. Les décisions sont toujours prises selon les connaissances scientifiques disponibles. Même Rachel Carson trouvait que c’était une fichue bonne idée que d’importer les 4 espèces de carpes chinoises dans nos eaux nord-américaines. Rétrospectivement, ces gros poissons sont devenus une espèce invasive plus que difficile à gérer. Parions que la nature ne demeurera pas encore longtemps naturelle, et qu’elle devra être modifiée par le génie humain pour atténuer les changements climatiques. Évitons cependant toute forme de dérapage, je pense en particulier à la géo-ingénierie.
Crédits photos :
Géo-ingénierie solaire, géo-ingénierie avec avion, vieux carré de la Nouvelle-Orléans, Climeworks, crapaud buffle, coraux blancs, photos tirées du livre de Elizabeth Kolbert prises par l’appareil téléphonique de l’auteur (Thierry Lagrange)
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Cruso : Le mobilier design durable et écoresponsable.
Cruso est une marque de mobilier design belge, née d’une passion pour le monde du design.
Nous développons des meubles pensés par de grands designers de renoms dans ce milieu.
Notre catalogue reste épuré, durable et écoresponsable, tout en gardant un design minimaliste et intemporel.
Nous nous sommes engagés dans un processus de production respectueux de l’environnement, en utilisant des matériaux qualitatifs et durables, en fabriquant en Europe et en valorisant des solutions d’emballage compactes afin d’optimiser le transport terrestre au maximum.
Cruso : Charte d’engagements environnementale
Nous croyons en la simplicité du design et en une fabrication consciencieuse.
L’engagement de Cruso envers la durabilité commence dès la conception de nos meubles.
Notre vision est de prôner la conception de meubles durables dans le temps, indépendants des tendances tout en restant dans une optique écoresponsable.
Notre objectif est d’innover continuellement afin de réduire notre empreinte écologique tout au long de notre parcours industriel et commercial.
La charte d’engagement écologique de Cruso est claire :
- Concevoir des produits durables et résistants
- Fabriquer en Europe pour limiter les émissions de CO2
- Réduire les emballages et donc, optimiser le transport
- Utiliser des matériaux durables de qualité
Tous ces engagements sont mis en place pour offrir le meilleur design avec des normes de qualité exigeantes pour la création et la production.
Cruso : Des designers de renommée internationale
Nous travaillons avec des designers talentueux, qui partagent notre philosophie et nos engagements environnementaux.
Nous concevons les collections Cruso en étroite collaboration avec les designers pour proposer la meilleure solution de mobilier fonctionnel, confortable et unique.
L'excellence de notre mobilier est le résultat direct de l'univers et de l’expérience exceptionnelle des designers.
Le choix du bois de chêne massif est également un élément clé de la qualité supérieure de nos produits.
Ce matériau noble est sélectionné avec soin pour ses qualités esthétiques et sa durabilité.
Il est travaillé avec un savoir-faire unique en son genre pour obtenir les meilleures finitions de courbes.
Nous sommes fiers d’avoir travaillé pour :
- La collection “SPRINGBACK“ designée par Keiji Takeuchi
- La collection “BLOCK“ designée par BIG-GAME
- La collection “NOTES“ designée par Julien Renault
- La collection “JUNE – JULY“ designée par Jean-françois D’Or
- La collection “PADDLE“ designée par Benoît Deneufbourg
Cruso : Un projet ? Une réponse adaptée !
Cruso se positionne autant pour les particuliers qui souhaitent décorer leur intérieur pour un usage quotidien exigeant que pour les magasins de décoration et les projets professionnels de grandes envergures.
Notre éventail de meubles est pensé pour offrir une solution élégante, polyvalente et durable pour chaque espace.
Les pièces design sont disponibles dans une variété de finitions et de couleurs, permettant de personnaliser notre mobilier en fonction des goûts et des besoins de chacun.
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La fronde anti-CO2 menace-t-elle la transition électrique française ?
En bref: Une alliance se forme entre constructeurs automobiles et États membres, dont la France, pour assouplir les normes européennes sur les émissions de CO2, prévues pour 2025. Le secteur automobile pourrait perdre jusqu’à 16 milliards d’euros d’investissement si les pénalités ne sont pas ajustées, freinant ainsi l’électrification. La Commission européenne reste ferme sur ses objectifs,…
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Montagne : quel est l’impact environnemental des sports d'hiver ?
L’hiver, c’est la saison de la montagne. Mais les vacances à la neige ne sont pas sans impact sur l’environnement. Entre émissions de CO2 dues au transport, au logement ou à l’équipement, mais aussi impact sur la nature et la biodiversité, ID fait le point.
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Réparer pour durer : Comment les marques redéfinissent la durabilité dans l'outdoor
Face à l’urgence climatique, les activités de montagne et de plein air, bien qu’étroitement liées à la nature, ne sont pas exemptes d’un impact environnemental significatif. La fabrication d’équipements techniques, souvent énergivore et gourmande en ressources, contribue aux émissions de CO2, à la consommation d’eau et à la production de déchets. Alors que les paysages sauvages sont menacés par…
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Comment la France pourrait-elle atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 ? Telle est la question explorée par l’Agence de la transition écologique (Ademe) dans son rapport «Transition(s) 2050», qui explore quatre scénarios pour la moitié du siècle. Si le pays suit la trajectoire actuelle, les objectifs climatiques restent hors de portée. Pour «faciliter le passage à l’action», l’organisme a donc réalisé un «exercice de prospective inédit» avec l’appui de plus d’une centaine de spécialistes et d’un comité scientifique.
Dans une première version de ce travail, publiée en 2021, chaque secteur (alimentation, habitat, industrie, etc.) avait été passé au crible afin d’échafauder quatre récits pour une nouvelle société. Sauf qu’entre-temps, la crise énergétique a surgi et la question de l’adaptation au changement climatique s’est imposée. Résultat, les experts de l’Ademe ont affiné leur synthèse mastodonte, rendue publique jeudi. Pour Libé, David Marchal, directeur exécutif de l’expertise et des programmes à l’Ademe, décrypte cette publication et les crispations politiques qu’elle suscite.
En quoi consistent les quatre scénarios de l’Ademe pour une neutralité carbone d’ici 2050 ?
Ces scénarios contrastés reposent en premier lieu sur quatre récits qui répondent aux aspirations diverses de différents acteurs de la société. Le premier, baptisé «génération frugale», est le plus sobre et le plus contraignant : il suppose, par exemple, une division par trois de la consommation de viande des Français, il fait la part belle aux low-tech, implique une gouvernance marquée par des interdictions et des quotas, etc.
Le deuxième, appelé «coopérations territoriales», mobilise toujours, mais dans une moindre mesure, le levier de la sobriété et surtout celui de l’efficacité énergétique. Il s’inscrit dans le cadre d’une gouvernance partagée et d’une fiscalité environnementale.
Le troisième, dit «technologies vertes», s’appuie sur une forme de «consumérisme vert», avec une diminution de la consommation de viande plus faible et un cadre de régulation minimale pour les acteurs privés. Enfin, le dernier scénario, celui du «pari réparateur», préserve nos modes de vie, la consommation de masse, la mondialisation, et mise tous azimuts sur les avancées technologiques telles le captage et le stockage de CO2 dans l’air. Toutes ces options permettent d’atteindre la neutralité carbone, mais les risques et les «paris» afférents ne sont pas les mêmes.
Justement, l’impact de chaque scénario est plus finement analysé dans la nouvelle édition. Quelles conclusions en tirez-vous ?
Au-delà des récits, l’Ademe a réalisé des modélisations très poussées. La plus-value de la version 2024 est la mesure des impacts concrets de ces quatre récits sur l’artificialisation des sols, les besoins en matériaux au niveau national ou en empreinte ou encore la qualité de l’air, au-delà des seules émissions de gaz à effet de serre. «Transition(s) 2050» parle ainsi aussi bien d’alimentation, de biomasse que de voitures électriques. Nous avons également analysé les risques naturels, technologiques ou encore géopolitiques auxquels ces quatre scénarios sont soumis. Concrètement, pour fonctionner, le numéro 4 nécessite un doublement de l’exploitation du cuivre, de l’artificialisation des sols et des besoins en eau pour l’irrigation. Or, on a bien vu avec la guerre en Ukraine ou la crise du Covid-19 que la question de l’approvisionnement en matériaux est soumise à un fort risque géopolitique.
Quels scénarios sont les plus crédibles au regard de ces nouvelles données ?
Les scénarios les plus sobres (1 et 2) ont les impacts les plus faibles et sont soumis à moins de risques. Ils sont donc plus résilients. En revanche, le premier repose sur un pari social fort car il nécessite une mutation rapide de la société vers un monde beaucoup plus sobre. On ne parle pas juste d’éteindre la lumière en partant de chez soi, mais d’une sobriété structurelle, de l’aménagement du territoire à la production industrielle. Son acceptation sociale ne sera pas évidente. Regardez les réactions suscitées par notre campagne de publicité sur la sobriété en fin d’année dernière… [diffusée peu avant le Black Friday, celle-ci, qui incitait à freiner les fringales de consommation pour se tourner vers l’occasion, a provoqué l’ire des organisations patronales, des associations de commerçants et des filières concernée et a vu s’opposer les ministres de la Transition écologique et de l’Economie, Christophe Béchu et Bruno Le Maire, ndlr]. De même, le scénario 4 relève d’un pari technologique fortement incertain car, s’il permet d’atteindre la neutralité carbone, c’est uniquement grâce à des technologies énergivores, encore au stade de prototypes. Les scénarios 2 et 3 semblent donc les plus équilibrés et les plus accessibles.
La croissance économique du pays pâtira-t-elle de cette course à la neutralité carbone ?
Seul le scénario le plus sobre passe par un épisode de décroissance en début de période en raison d’une forte baisse de la consommation. Les bénéfices liés à l’isolation des logements et aux moindres importations d’énergie et de combustibles fossiles ne se font ressentir dans l’économie qu’après 2030. Dans tous les cas, nous mettons en avant la nécessité, pour le monde économique, de se projeter dans un monde où l’on sort, en partie, des modèles d’affaires en volume et où la valeur ajoutée d’une entreprise peut aussi se mesurer grâce aux services qu’elle rend ou à la qualité des produits vendus. On peut créer de la croissance tout en vendant moins de matière ou des produits plus durables.
Comment le gouvernement et les collectivités peuvent-ils se saisir de ces scénarios ?
Ce rapport éclaire tous les enjeux de la transition pour alimenter la SNBC 3, la future stratégie nationale bas carbone. Nous faisons face à de nouveaux enjeux : une accélération de la transition est nécessaire pour atteindre nos objectifs de 2030, il y a une volonté nouvelle de souveraineté industrielle et donc de réindustrialisation et des questions inédites surgissent sur l’hydrogène ou encore la décarbonation de l’aviation. Tout ça fait que les travaux de l’Etat sont complexes et chronophages. On ne peut pas simplement piocher les éléments qui nous conviennent dans tel ou tel scénario pour en créer un nouveau. Tout l’enjeu est de garder une cohérence globale. Nos quatre scénarios permettent ainsi d’éclairer ce débat sur des choix dont les conséquences dépassent le seul sujet de l’énergie. Le Secrétariat général à la planification écologique a notamment beaucoup utilisé nos travaux pour définir le plan jusque 2030 et au-delà. C’est aussi le cas de nombreuses collectivités.
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