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New generation, new world, new challenges
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L'e-magasine d'un groupe d'étudiant du campus d'Amiens de France Business School
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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La finalité de ce Tumblr est de réaliser un e-magazine. Comme tout magazine digne de ce nom, il possède sa première et quatrième de couverture ainsi que son sommaire. bonne lecture!
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Qui sommes nous?
          Cette article s'adresse à toi! Ô toi le vagabond de la toile qui te retrouves ici par le clic de ta souris. A toi qui n'as jamais entendu parler de France Business School. Nous allons tout t'expliquer...
fBS, new world, new school
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          Ce tumblr est le fruit d'un projet pédagogique organisé par France Business School  (fBS) dans le cadre de son programme grande école. Mais qu'est ce c'est au juste fBS? C'est très simple, il s'agit d'une toute nouvelle école résultant de la fusion d'écoles de management reconnues que sont Sup de Co Amiens-Picardie, ESC Bretagne Brest, ESC Clermont et ESCEM. Le tout dans le but d'unir leurs forces et de former les élèves de demain dans un monde en pleine mutation. fBS se veut novatrice et précurseur, cette école propose un tout nouveau mode d'apprentissage, plus adéquat par rapport aux autres systèmes vieillissants mais surtout pour faire face aux enjeux de demain.
Un jour, un thème, une conférence, un billet. 
          L'une des parties intégrantes du programme réside dans ce blog qui sera alimenté chaque jour pendant une période donnée. Pour la rédaction de nos billets, nous commençons notre journée par un module d'une heure et demie où l'on nous présente un thème qui représente un enjeu pour notre société contemporaine. Les sujets proposés sont vastes et peuvent traiter de la santé, de la démographie tout en passant par la santé. A la suite de ce module, nous devons rédiger un article de 800 mots en lien avec le thème de la journée, le tout complété par une conférence journalière traitant également du sujet du jour. Une fois l'article réalisé, il se retrouve sur ce blog où d'autres élèves partout à travers la France l'évalue, le critique et nous conseillent pour l'améliorer. Tout ceci en complément d'une évaluation par un professeur.
Et pourquoi pas toi?
          Peut-être  qu'en lisant ce billet, qui est un aperçu de ce que nous faisons au sein de notre école, tu as trouvé cela intéressant (et tu as raison). Nous te répondrons alors que tu es peut-être éligible aux concours d'entrées pour rejoindre la famille fBS. Pour plus d'informations, nous te conseillons de te rendre sur le site d'fBS dont voici l'adresse http://www.france-bs.com/fr. Nous te souhaitons une bonne navigation sur notre tumblr.
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Journaliste, un métier difficile...
Comme vous l'aurez compris, nous sommes étudiants en école de commerce et tous issus d'horizons bien différents. Une chose est sûre, aucun d'entre nous n'a une formation journalistique et cela tombe bien: nous n'avons pas la prétention d'être journaliste.
Le contexte
L'objectif du forum des nouveaux mondes n'est donc pas de former des journalistes.
Le premier enjeu du forum est celui de faire prendre conscience aux étudiants des mutations actuelles et ce que cela implique sur notre futur, notamment professionnel. 
Ensuite, il est indéniable que le forum implique un travail de rédaction important. Ceci dans le but de nous améliorer dans ce domaine en mettant un point particulier sur l'esprit de synthèse. En effet, chaque article doit être réaliser en 800 mots maximum. Croyez-nous, il faut aller à l'essentiel et ne surtout pas s'éparpiller.
De plus, ces travaux nous ont poussés à travailler dans l'urgence et à un rythme soutenu. Chaque article devait être achevé et déposé dans un délai très court. Le sujet de l'article nous était communiqué à 9h00 ou 12h15 et être rendu le lendemain à 8h00 au plus tard. Le tout en jonglant avec un TD, un module et un cours d'une durée d'une heure et demie chacun ainsi qu'une conférence pouvant durer jusqu'à 2 heures.
Pour continuer, l'enjeu du forum des nouveaux mondes est de faire travailler les élèves en groupe, qui plus est sans laisser le choix dans la formation de celui-ci. Nous avons donc du travailler ensemble et avec des personnes que nous n'avons pas choisies. Il a été très important d'être opérationnel et organisé dans notre travail pour mener à bien ce projet.
Enfin, le forum à rimer avec créativité. Les contraintes étaient de réaliser un article de 800 mots par thème, d'en conserver 12 pour produire un e-magazine. Pour le reste, nous étions totalement libre de faire l'article sous n'importe quel angle. Nous étions libre de tenir notre Tumblr comme nous le souhaitions et d'y mettre ce que nous voulions (ce billet en est un exemple).
Tous ces éléments sont autant de compétence que doit maîtriser un élève prétendant à être diplômé d'une école de commerce. En effet, étant amener à travailler en entreprise,la saisie des enjeux contemporains, la qualité de rédaction ,l'esprit de synthèse, le travail avec des collaborateurs non-choisis ou encore la créativité sont autant de cordes qu'un futur cadre doit posséder à son arc.
La forme et le fond
Bien que nous n'avons pas la prétention d'être journaliste, ce Tumblr est le fruit d'un travail rigoureux. Nous tenons également à rassurer nos lecteurs, nous avons reçu des cours pour faire un travail d'investigation, avoir une démarche scientifique tout en gardant à l'esprit les codes journalistiques et une sensibilité de présentation.
Nous tenons donc à remercier madame DESMARET pour tout ses conseils sur la mise en page, la rédaction, les différents types d'article... C'est elle qui nous a aidé à mettre la forme sur nos articles.
Nous voulons également remercier madame BOUBLIL. Elle nous a été d'une précieuse aide pour menernos investigations, nos recherches, nos interviews... Vous pouvez l'écouter tous les dimanches à 22h sur France Inter puisqu'elle y anime une émission de jazz
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Interview: "la nouvelle entreprise"
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Mohamed MEHANAOUI est docteur en sciences économiques et professeur de finance. Il rejoint le campus d'Amiens en 2012 en tant qu'enseignant chercheur. Retrouvez ses publications et ses domaines de recherche à l'adresse suivante: http://www.france-bs.com/fr/corps-professoral/mehanaoui
A l'occasion du "forum des nouveaux mondes", il anime plusieurs modules parmi lesquels figure celui de "La nouvelle d'entreprise". L'enjeu de ce module est de décrypter les nouveaux enjeux que l'entreprise doit intégrer pour s'adapter aux mutations contemporaines. Ces mutations couvrent l'ensemble des variables influençant l'entreprise, cela passe par l'aspect social, financier en passant par les évolutions technologiques. Nous avons décidé de l'interviewer à ce sujet pour qu'il nous donne sa vision de l'entreprise de demain.
Quels sont les nouveaux types d’entreprises qui émergent ?
L’entreprise n’est pas pérenne. Actuellement, l’aspect PME reste important. Les entreprises surfent sur les tendances notamment celle du e-commerce. Les entreprises qui émergent doivent impérativement répondre à des besoins pour avoir une chance d'exister. Aucune structure particulière ne se démarque si cette condition est respectée. En revanche, nous pouvons souligner le potentiel d'avenir des plateformes 2.0. Ce potentiel s'explique par le partage simple et rapide d'informations.
Pensez-vous que les incubateurs d’entreprise jouent un rôle dans la nouvelle entreprise ?
Oui c’est le cas. Une tendance apparaît dans l’entrepreneuriat, ce sont surtout les jeunes diplômés qui sont attirés par cette branche.
Comment être une organisation responsable ?
Avant tout, il est nécessaire de prendre en compte l’intérêt des parties prenantes. Cet enjeu doit découler d’une politique globale. Faire participer le salarié est un moyen de responsabiliser l’organisation. Exemple d’organisation: les activités de mécénat contribuent financièrement en promouvant les arts et lettres.
Que sont les “utilities energy” dont parle Charles Edouard Bouée, le conférencier de ce soir ?
C’est lié à l’émergence de nouvelles entreprises. C’est un concept développé dans le domaine des énergies. La personne n'est spécialisée que sur son environnement.
Pour quelles raisons les think-tank ne sont pas plus développés en Europe ?
Ces laboratoires d’idées connaissent un choc de cultures en Europe. C’est un vieux continent, les européens ont des réticences à accepter le changement et ont tendance à rester sur leurs positions. A cela s'ajoute des réglementations plus strictes qu’en Amérique ou en Asie où les think-tank sont très présents.
Comment jugez-vous l’efficacité des concours d’application ?
Le problème n’est pas résolu mais c’est un moyen qui reste positif et encourageant pour les participants qui veulent créer leur entreprise. Cependant, l’innovation n’est pas concentrée sur un projet: tous les secteurs sont à repenser ! Le crownfunding apparu récemment permet de collecter de l’argent auprès du public grâce à des plateformes dédiés à l’appel au don. C’est une piste à exploiter.
Le commerce équitable représente t-il une alternative viable ?
Tout dépend de ce que veut dire “équitable”… Respect des pratiques ? Conditions de la main d’œuvre ? Tout est relatif. Ce système bien qu’ayant connu un boom s’essoufflera d’ici 20 ans.
Qu’est-ce que la finance peut apporter à la société ?
Le système connait des dérives. Les réglementations existent: taxes, cadre éthique… mais les investisseurs n’adhèrent pas. L’être humain est joueur ! On peut imaginer un marché sans spéculation mais ça reste des projets. Nous vivons dans des pays libéraux. Le débat est ouvert.
Selon vous, les agences de notation ont-elles trop d’influence, de pouvoir ?
Oui mais ce n’est que de l’influence, elles ont pris de l’ampleur avec la crise. Les marchés ont surtout donné de l’importance aux agences américaines et non européennes car elles sont guidées par certaines entreprises.
“Google” et “Apple” ont lancé récemment une entreprise centrée sur la santé “Calico”. Est-ce ce vers quoi s’orientent les grandes entreprises ?
Ce sont des grandes entreprises pionnières qui lancent régulièrement des prototypes. Elles font preuve d’imagination et de créativité. Leur stratégie se veut mondiale. La responsabilité sociétale des entreprises est au cœur de ce projet. Avec Calico l’entreprise s’attaque au défi de l’âge et des maladies associées. L’objectif est ambitieux mais très intéressant.
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Ces inégalités qui persistent en France
Bien que la France soit réputée pour être un pays développé et égalitaire. Les inégalités sociales persistent sur plusieurs domaines. Il est donc important de les identifier pour pouvoir agir.
État des lieux
Le premier constat concerne l’éducation. De nombreuses études sociologiques démontrent une forte corrélation entre les chances de réussite pour un enfant et sa situation familiale. Ainsi, on constate qu’en 2012, environ 30 % des étudiants ont des parents cadres supérieurs ou exerçant des professions intellectuelles supérieures quand les enfants d’ouvriers ne représentent que 10,3% des étudiants.
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On s’est aperçu que ces inégalités commencent dès la maternelle. Elles se matérialisent par tout ce qui se passe en dehors de l’école, ce que la sociologie classe  appelle « l’héritage culturel » (façon de s’exprimer, transmission du savoir parents/enfants...).
Cette situation est aussi préjudiciable pour la France. En effet, chaque individu est potentiellement un créateur de richesses. Si une personne ne répond pas aux besoins économique parce qu’elle est mal éduquée. L’État perd un potentiel non exploité, peut-être un sportif de haut niveau, un artiste ou encore un grand chercheur.
Les inégalités concernent également les revenus. D’après l’INSEE, les inégalités de revenu ne cessent de progresser. En effet, les 10% plus aisés ont un niveau de vie 3,6 fois supérieur aux plus pauvres. Ce ratio était de3,4 en 2008.
Si on accepte le fait que certains métiers méritent une meilleure rémunération que d’autres, notamment par les responsabilités qu’elles engendrent ou pour leur productivité marginale. Il faut néanmoins être réaliste.
Ce réalisme passe déjà par le constat que nous avons fait précédemment. Il est probable qu’un grand patron ait fait de grandes études et soit l’enfant de parents ayant eu une profession similaire. On peut ensuite se demander si la différence entre un grand patron gagnant plus d’un million par an et un ouvrier gagnant un peu plus d’une dizaine de milliers d’euros est réellement justifiée.
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On voit bien tout le problème que pose ce constat. C’est un cercle vicieux pour les plus défavorisés et vertueux pour les plus prospères. Il faut donc lutter pour permettre à chacun d’avoir une chance de réussite.
Des mécanismes favorisant l’égalité
            Le postulat que nous avons fait précédemment, bien qu’il marque une tendance difficilement inversable, ne doit pas pour autant nous rendre fataliste.
Une première mesure efficace serait de contribuer à promouvoir l’égalité des chances pour l’accès aux formations de l’enseignement supérieur des différentes classes sociales. Bien que cela puisse paraitre anodin, on sait que c’est une variable importante. Elle a notamment été mise en évidence dans l’inefficacité de l’accès à la santé pour les plus démunis.
Pour faire des études, il faut en avoir les moyens. Bien qu’il existe certaines bourses et autres aides de l’état, on sait que l’étudiant est un individu en grande situation de précarité surtout s’il ne dispose d’aucune aide parentale. Il est donc important de mettre en place des systèmes progressifs comme à l’Institut d’Études Politiques (IEP) de Paris. Chacun paie selon ses moyens.
Les institutions de prestige françaises sont élitistes. Des systèmes de discriminations positives ont donc été mis en place ces dernières années et il faut l’encourager. Ce procédé doit être fait avec prudence puisqu’il ne s’agit pas d’exclure des personnes méritant l’accès à certaines voies sous prétexte d’être issu d’un milieu favorisé.
Cela nous amène aux questions d’éthiques et de morales. En plus des moyens matériels (ces mesures ont un coût), ces 2 variables sont essentielles dans la lutte contre les inégalités. Cela est d’autant plus vrai dans le partage des revenus qui, s’ils ne sont pas tout à fait égaux (et c’est normal), doivent être partagé de manière raisonnable. La loi est un moyen pour éviter ces écarts. Cela reste difficile puisque les cerveaux ne doivent pas pour autant fuir l’hexagone pour d’autres pays plus rémunérateurs.
Dans « la théorie de la justice », John RAWLS dit qu’il faut effectuer la redistribution sous « un voile d’ignorance ». C’est-à-dire d’imaginer ce système en faisant abstraction de la position que l’on occupe dans la société, de penser comme si nous pouvions être à la place des plus démunis. Dans cette posture, chacun préconisera une redistribution des revenus la plus juste possible.
Nous pouvons faire l’analogie entre cette théorie et notre système d’imposition sur le revenu progressif qui est en parti redistribué aux plus défavorisés. Là encore, il faut être méfiant afin que cela reste juste pour les riches comme les pauvres.
Un long chemin à parcourir
            Il est assez flagrant qu’en France, les inégalités demeurent malgré les mesures existantes. Ceci est dû à la complexité du problème qui trouve ses sources dans de nombreux domaines. Il est primordial de poursuivre les efforts en veillant à la manière dont les mesures sont prises. Il ne faut en aucun cas créer un climat d’assistanat pour les plus démunis sans toutefois laisser les inégalités se creuser. 
Pour aller plus loin
Statistiques: Retrouvez tous les indicateurs d'inégalités sociales sur le site de l'institut national de la statistique et des études économiques http://www.insee.fr/fr/publications-et-services/default.asp?page=dossiers_web/inegalites_sociales/inegalites_sociales.htm
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Bienvenue dans l’ère de la mondialisation
« Une économie sans frontière », c’est le concept qui illustre le mieux la situation actuelle de l’économie mondiale. On entend par économie sans frontière à la fois l’interdépendance financière (importations, exportations), mais aussi  le processus de  libre échange (biens, services, hommes) entre les  pays. 1.3 trillion de dollars transitent chaque jour sur les marchés et 98% de cette somme est consacrée à l’échange de monnaie. Ainsi, nous sommes à l’opposé du 19 siècle qui fut l’apogée du protectionnisme et de l’autarcie. Cependant, l’état d’esprit reste globalement le même, et les intérêts individuels sont primordiales dans cette économie mondialisée. De nombreux économistes prônent les bienfaits et opportunités de cette économie à échelle mondiale cependant elle implique de nombreux enjeux.
Le revers de la médaille
L’intégration des marchés comportent un certain nombre de défis pour les entreprises : l'un d’eux : les barrières à l'entrée. Afin de prétendre aux marchés internationaux les entreprises doivent se constituer une base technologique et industrielle solide pour être concurrentielle et faire face aux grandes entreprises solidement implantées sur ces marchés. Cette base technologique doit également s'accompagner d'une main d'œuvre suffisamment qualifiée pour tirer profit des installations mises en place. L'internationalisation des marchés et l'omniprésence des multinationales posent un autre défis, celui d'une exploitation responsable, en adéquation avec les principes de respect de l'environnement. Les intérêts économiques des entreprises prennent trop souvent le pas sur l'ordre social et environnemental, il semble donc primordial que les entreprises adoptent un code éthique et moral pour abolir ces pratiques. Si la mondialisation facilite le transit de biens économiques,  elle a également pour effet d’encourager toutes sortes de trafics. Les réseaux internationaux criminels ont fleuris en même temps que le processus de mondialisation a eu lieu.
Les défis de l'internationalisation des marchés ne concernent pas uniquement la sphère de l'entreprise, il touche également l'individu et sa culture. Depuis l'ouverture des marchés, une certaine standardisation culturelle s'est progressivement mise en place, nous obligeant à voir les mêmes films, manger la même nourriture, écouter la même musique… cette situation est particulièrement condamnable dans le sens ou elle représente un obstacle à la culture de chaque pays. Les individus devront préserver leur culture et empêcher la culture mondiale de prendre le pas sur la leur. L'ouverture des marchés implique également une émigration croisée entre pays en voie de développement et pays développés. Du coté des pays en voie de développement ce phénomène s'appelle « fuite des cerveaux », (les diplômés quittent le pays) et du coté des pays développés il s'appel « Délocalisation », dans les deux cas il génère des carences. Dans les pays développés : un manque d'industrie qui génère son lot de « laissés pour compte » (les employés peu qualifiés). Et du coté des pays en voie de développement : un manque de diplômés qui limite l'efficience des industries locales. Pour endiguer ce phénomène les entreprises devront trouver des arguments  pour motiver les jeunes diplômés  du sud à rester dans les entreprises locales et trouver des solutions pour permettre aux industries du nord de rester compétitives malgré le coût de la main d'œuvre.
Un potentiel et des opportunités à saisir
         Cependant, l’intégration des marchés est aussi source d'opportunités, pour preuve l’intégration des marchés a permis de sortir de la pauvreté plus de 680 millions de chinois en moins de 20 ans. Avec l’intégration des marchés, les entreprises peuvent jouer de leurs avantages comparatifs pour s'imposer sur les marchés internationaux, ainsi elles peuvent tirer profit de leurs spécialisation dans une exploitation pour laquelle elles sont le plus efficace comparativement à leurs concurrents internationaux.
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En effet, tout pays a intérêt à se spécialiser dans ce pour quoi il est le meilleur comme le prône la théorie Heckscher-Ohlin. D'autant plus que la coloration régional d'un produit augmente un peu plus la valeur que peuvent accorder les clients à ce produit (suscite la curiosité...). Par ailleurs, la production de masse associée à ce type d'exploitation permet la réalisation d’économies d’échelles qui décuplent toujours plus le bénéfice finale.
Au niveau de l'individu, l’intégration des marchés présente des opportunités indéniables, elle permet une amélioration du climat économique et social. Cela se répercute directement sur  l'emploi, le pouvoir d'achat et la couverture sociale des individus. Elle est donc un facteur de bien être. L’intégration des marchés représente aussi des opportunités de mobilité internationale, elle permet également une ouverture culturelle sans précédent qui donne la possibilité à tout individus de pouvoir consommer, apprendre, et explorer un ensemble de pays, de cultures, de religions...
               Nous l’aurons compris, quoique l’on puisse en penser, notre avenir se fera avec la mondialisation. On voit très difficilement cette tendance s’inverser. Elle présente de nombreux bienfaits et peut être source de croissance rapide pour beaucoup, mais il faut néanmoins garder à l’esprit qu’elle peut présenter des risques sur divers plans si elle n’est pas bien contrôlée.
Pour aller plus loin
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Quel avenir pour le travail de demain ?
Le mot « travail » du latin « tripalium » est le nom d’un instrument de torture à trois pieux. A l’origine, le travail était réservé aux pauvres voire aux esclaves. De nos jours, il est pratiquement primordial d’avoir un travail pour exister socialement. Ceci est la conséquence de certains concepts modernes tels que le taylorisme ou plus largement le capitalisme mondial.
Un modèle dépassé
            Cette vision du travail fait pourtant l’objet d’une forte remise en question sur la forme comme sur le fond. Les emplois tels que nous les connaissons aujourd’hui, sont, pour certains, amenés à disparaitre. Ceci s’explique par la mutation du monde : les nouvelles technologies, les changements sociaux, les besoins des entreprises, la lutte contre les travaux aliénants. Le travail est même remis en cause sur le plan philosophique et on se demande s’il est réellement utile à l’Homme. C’est le cas pour Albert JACQUARD qui se demande même s’il n’est pas nuisible, il considère le travail comme obstacle à la créativité. A partir de ce postulat, il fait une différence entre les métiers considérés comme une activité et les autres qui sont considérés comme un travail. Il revendique le fait que le mot « travail » est utilisé à tort pour désigner l’ensemble des activités humaines rémunérées alors qu’il ne devrait désigner que les activités jugées obsolètes et aliénantes. Ce constat nous amène à réfléchir, à partir de tous ces éléments, sur ce que sera le travail de demain.
Un changement dans la forme
            L’évolution technologique, notamment dans le domaine de l’information et de la communication (NTIC), aura un impact important sur notre façon de travailler et permettra une ergonomie améliorée. On voit déjà des dispositifs où la souris et le clavier sont virtuels. Un boitier placé devant le PC détecte les mouvements des doigts et des mains (leap motion). De nouvelles lunettes sont développées et permettent à chaque individu de lire par exemple leurs e-mails. Toujours dans cette optique d’ergonomie et de bien-être. Le lieu de travail est également en pleine métamorphose. On voit l’apparition de « travailleurs nomades ». Le lieu de travail n’est donc plus fixe ! Les tâches pourront s’effectuer de divers endroits et le domicile du salarié pourrait être le lieu principal de travail, un lieu où le salarié est à l’aise. Aujourd’hui certaines entreprises expérimentent déjà un nouveau procédé opposé : « le chez soi au travail ». On laisse le soin au salarié d’aménager à sa guise son espace de travail afin d’y retrouver le même bien-être, une ambiance semblable à celle de chez lui.
Le bureau ne sera pas pour autant mis de côté mais sera totalement repensé. Selon Adam BRENTON, il deviendra tactile avec une table qui sera capable d’exécuter plusieurs applications en même temps (ouvrir un fichier, afficher une vidéo conférence...). On favorisera les open spaces et architectures respectueuses de l’environnement, tout pour le rendre plus agréable et fonctionnel.
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On cherche par ces procédés à favoriser la créativité, l’innovation et les interactions des collaborateurs avec le développement d’espaces de travail collaboratifs et collectifs (co-working et social working).
Une nouvelle dimension sociale et législative
            Cette nouvelle donne implique aussi de nouveaux métiers. Nous verrons surement des nouvelles formations, plus liées au web. Des métiers spécialisés dans l’aspect social du travail seront probablement développés. Ces formations afin de créer de l’emploi dans le conseil en ergonomie ou en climat social d’entreprise par exemple.
L’approche RH doit aussi s’adapter à ces changements majeurs et plus précisément en terme de recrutement et d’évaluation. Des enquêtes révèlent à quel point les ressources humaines méconnaissent le contenu du travail des salariés et pourtant, c’estbien à eux d’évaluer ces salariés. Il serait judicieux de réorienter les évaluions sur le 360 degrés ou l’autoévaluation afin de mieux appréhender les performances des travailleurs.
La rupture implique aussi de repenser les horaires ou encore les contrats de travail. Aujourd’hui nous sommes enfermés dans un système horaire qui est encadré par la législation. Quand on compare les chiffres de l’INSEE avec ceux de la loi (théoriques), on comprend que ce système est plein de paradoxes et comporte de nombreuses limites. Par ailleurs, on peut envisager un aménagement personnel du temps de travail en tenant compte de la vie privée des salariés et de leurs activités extra-professionnelles qui ne coïncident pas toujours à leurs horaires de travail. Le tout en gardant la même performance que dans un système d’horaires encadrés. Le nouveau modèle de travail doit aussi prendre en compte les entreprises. Le concept de flexisécurité a fait ses preuves au Danemark en réduisant le taux de chômage. Ce procédé consiste à donner une plus grande flexibilité aux niveaux des emplois tout en revoyant les salaires à la hausse.
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            Tous ces changements font que notre approche du travail subit une mutation notable. Le processus a déjà commencé dans certains pays et entreprises. C’est à nous de saisir cette opportunité et de modéliser le travail selon notre vision !
Pour aller plus loin:
Article: Le Cercle Les Échos présente son point de vue sur le travail du futur http://lecercle.lesechos.fr/entrepreneur/social-rh/221176926/route-vers-travail-futur-episode-3
Vidéo: « L'oisiveté est, dit-on, la mère de tous les vices, mais l'excès de travail est le père de toutes les soumissions.  ». Albert JACQUARD nous présente sa vision du travail, le tout en vidéo http://www.youtube.com/watch?v=_tru7cOEle4
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Réhabilitation des bidonvilles en Inde, la voie associative indispensable
          Aujourd’hui, l’Inde arrive à la deuxième place dans la liste des pays les plus peuplés du monde après la Chine. De nombreux problèmes se posent face à son explosion démographique ; notamment celui du logement. En effet, on compte entre 30 et 50 % de la population urbaine vivant dans des bidonvilles. Par conséquent, de nombreuses organisations non gouvernementales ou associations tentent d'intervenir pour remédier à leurs conditions de vie. C'est le cas par exemple de l'association « Shelter associatess » qui aide les communautés pauvres dans les « slums » de Pune. Leur finalité est d'encourager la population des bidonvilles à travailler ensemble pour avoir accès à des terrains, habitations et infrastructures. On ne peut cependant pas négliger le rôle des autorités gouvernementales dans ce combat.
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figure 1: un bidonville en Inde Source: theindianpapers.fr
Des mesures gouvernementales inadaptées
Face au désastre urbain, les autorités indiennes ont pris des initiatives et lancé des projets de réhabilitation des bidonvilles. Le plus vaste concerne le bidonville de Dharavi (Bombay) avec les projets DRP (Dharavi Redevelopment project). Ce projet semble très prometteur au premier abord, il prévoit une réhabilitation du bidonville fondée sur des principes d’autosuffisance. Il s'agit de loger plus de 72 000 familles dans des petits logement de 21 m2. Pour une intégration durable de cette population le gouvernement veut prendre en compte les contraintes de revenu de ses habitants : (création d'emploi), favoriser l’éducation des populations (prise en charge scolaire des plus jeunes), cela dans le respect  de l’environnement. Bien que ce projet semble prometteur, il est très décrié par les « slums » de Dharavi considérant ce projet comme une entrave à l’économie du bidonville. 
En effet, depuis plusieurs années, des industries s'y sont développées et emploient une partie de la population. Il s'agit d'activités qui nécessitent une surface minimum pouvant aller jusqu'à 80 m2. La standardisation des appartements implique donc l’arrêt de toutes ces activités qui sont pourtant nécessaire à la survie des habitants ... Sans compter que le projet ne concerne que 72 000 familles, or, ce bidonville en abrite plus de 100 000. Lors de l’établissement de ce projet, il y a clairement eu un manque de communication entre les promoteurs et la population, il n'y a eu aucune prise en compte des besoins de la population en terme de répartition de l'espace. Cette situation indigne la population qui se voit retirer toute source de revenu, d'autant plus que compte tenue de l'importance du projet et du manque de fond. Le gouvernement aura beaucoup de mal à tenir ses promesses en terme d'employabilité de la population.
 Shelter Associates, la réponse tant attendue
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Figure 2: logo de shelter associates Source: shelter-associates.org
D'autres organisations ont, quant à elles, bien compris les enjeux d'une urbanisation seine des bidonvilles en Inde, l'ONG Shelter Associates en fait partie. La philosophie de cette organisation est basée sur le postulat que les personnes en difficultées sont les mieux placées pour trouver une solution à leurs problèmes. La communication est la base de leurs actions. Avant de prendre toute décision les membres de l'ONG communiquent avec la population pour trouver les solutions les plus adaptées à leurs problèmes. Leur première intervention à Sangli a été couronnée de succès, elle consistait à déplacer et réhabiliter les bidonvilles en fonction de l'emplacement du lieu de travail de ses habitants. L'inquiétude des « slums » dans cette réhabilitation était l'éloignement vis à vis de leurs lieux de travail, les bénévoles l'ont bien entendu et ont fait le maximum pour reloger chaque famille dans une habitation décente à proximité de leurs emplois
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Figure 3: Geographical Information Systems (GIS) Source: shelter-associates.org
Pour ce faire, ils ont utilisé les relevés satellite des bidonvilles et des différents lieux de travail. Un budget de 15 millions d'euros leur ont été alloué pour la réhabilitation de chaque bidonville. Leurs implications dans cette réhabilitation a totalement changé les conditions d'existence des « slums » : ils ont su répondre à leurs attentes en leurs offrant des logements à proximité de leurs emplois. Ils ont régularisé leurs existences en signant des contrats de location sur l'ensemble des terrains utilisés. Enfin, ils ont su leurs offrir un logement convenable, avec un accès à l'eau, l’électricité … Aujourd'hui, ce sont des maisons à trois étages qui ont remplacé les bidonvilles de Sanglie pour le bonheur des habitants et de l'ensemble de la communauté.
           Dans une démarche d'urbanisation il est primordiale de tenir compte des besoins des populations. Lorsque l'on s'engage dans ce type de projet il est important de communiquer et échanger avec les populations pour définir leurs besoins et leurs attentes. La compréhension de leurs mode de vie est nécessaire afin de pouvoir leur proposer des solutions adaptées ... On sait aujourd’hui que l’urbanisation peut poser certains problèmes, notamment dans certains pays comme l’Inde ici ou encore le Brésil ou le nombre de bidonvilles est considérable. Ainsi, il est possible et nécessaire que certaines organisations comme des ONG interviennent afin d’améliorer, de pallier et résoudre les problèmes liés à l’urbanisation. Tout comme Shelter Associates nous pouvons et nous devons agir …
Pour aller plus loin:
Site: Voici l'adresse de l'ONG shelter associates, qui présente l'organisme en détail http://shelter-associates.org/
Article: L'Express présente Tonyo Meloto et son association Gawad Kalinga. Cet organisme promeut les opportunités aux Philippines. http://www.lexpress.fr/emploi-carriere/emploi/rencontre-avec-antonio-meloto-de-gawad-kalinga-le-batisseur-de-reves_1168457.html 11/03/2013
Reportage: Présentation du plan national indien pour la réhabilitation des bidonvilles par Arte http://www.arte.tv/fr/objectif-zero-bidonvilles/4045472,CmC=4046042.html 19/07/2011
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Bienvenue au lycée Jules Verne, l’école de demain
Pour ce projet, il nous a été demandé d’imaginer l’école du futur en prenant en compte tous les défis que l’éducation représente. Pour cela, nous avons créé une école fictive où les mesures nécessaires à nos yeux sont présentes. L’établissement et l’interview sont fictifs.
               En France, l’éducation nationale, l’enseignement supérieur et la recherche représentent 139.5 milliards d’euros de dépenses en 2012. Une statistique de 2007 évalue à 7470€ le coût annuel d’un élève pour l’éducation nationale tous niveaux confondus. Au-delà de la question financière, c’est le système tout entier qui est remis en cause, jusque dans la pédagogie en passant par les inégalités d’accès à l’école. Nous avons visité un lycée expérimental sur tous les plans : enquête.
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Un financement adapté
               L’école à un coût, nous estimons que les ménages dépensent entre 6 000 et 8 000€ par enfant scolarisé (tous frais compris). Comment palier à ce problème ? Au lycée Jules Verne, on a mis en place un système le plus égalitaire possible, comme le souligne la directrice, Murielle DUBAS « nous avons mis en place un système progressif, un peu à la manière de Sciences Po, chacun paie en fonction de ce qu’il a. Cela nous paraît la meilleure méthode pour rendre l’accès à l’éducation la plus juste possible. « Je suis persuadé qu’il faudrait étendre ce système, surtout au supérieur, où les frais de scolarité prennent une autre dimension.». Il s’agit donc de demander une certaine somme en fonction du revenu des foyers à la manière de l’impôt sur le revenu, c’est en effet le mécanisme que Richard DESCOINGS à son arrivée à la tête de l’institut d’enseignement politique de Paris.
L’école comme ascenseur sociale
               Pierre BOURDIEU et Jean-Claude PASSERON nous l’ont prouvé depuis longtemps, l’enfant de votre dentiste ne fera probablement pas les mêmes études que celui de votre plombier, origines sociales obligent. Plus dramatique, ces inégalités commenceraient dès la maternelle comme le souligne la sociologue Marie DURU-BELLAT.
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C’est ici, le plus grand défi que l’école doit relever, on sait que ces inégalités sont très difficiles à gommer, ne soyons pas pour autant fatalistes. La tâche est d’autant plus ardue qu’il ne faut pas stigmatiser un élève par son origine sociale. Les mesures doivent être efficaces tout en étant invisible une fois que nos têtes blondes seront installées en classe « nous ne voulons pas que les enfants d’origines plus modestes ressentent un traitement de faveur par rapport aux autres, une sensation d’assistanat où pire, avoir l’impression d’être moins bon que ses camarades ». Des systèmes d’incitations et de récompenses ont donc été mis en place, mais ils se matérialisent en dehors des classes.
Ce système est certes coûteux mais si on pense à tous les talents qui ne seraient pas dévoilés dans le système actuel, nous nous y retrouvons largement!
Une pédagogie repensée
               Le baccalauréat est l’illustration de la vétusté du système français. Il est une véritable institution franco-française. Et pourtant! Cela ne l’empêche pas d’être remis en cause chaque année, que ce soit sur le coût qu’il représente pour l’État ou tout simplement pour son efficacité. Osons une nouvelle façon d’apprendre, comme au lycée Jules Verne.
Un contrôle continu tout au long de l’année, c’est le système retenu à Amiens pour évaluer ses élèves. « Le contrôle continu a montré son efficacité comme nous le démontre les études sur les systèmes scandinaves notamment. Le BAC ? Il y a déjà un moment que son obsolescence est prouvée ! ».
La pédagogie est beaucoup plus interactive, les cours sont basés sur de réels échanges élèves/professeurs. Le but de la démarche étant de rendre le processus d’apprentissage moins formel, moins « scolaire ».
Un lycée connecté ! « Nous sommes conscient que les nouvelles technologies seront aux cœurs des métiers de demain, nous avons voulu prendre cette variable en compte. Nos professeurs ont donc reçus des formations, c’était vraiment nécessaires pour certains ! Désormais, la pédagogie s’appuie beaucoup sur l’informatique et les plus réticents sont désormais enchantés maintenant qu’ils ont découvert le potentiel de cet outil ! ».
A la carte s’il vous plaît ! On le sait, chacun son truc. Pourquoi s’obstiner dans un domaine que l’on déteste quand il y en a d’autres dans lesquels on excelle? Le système tel qu’il est fait actuellement ne laisse malheureusement pas le choix. Ici, les élèves peuvent choisir ce qu’ils préfèrent sous forme de modules. « Nous pensons qu’il est primordial que l’élève se sente à l’aise dans ce qu’il apprend, nous pensons en plus que cela peut rendre à la formation professionnalisant ce qui lui est due. Le BAC professionnel ne doit plus être un exutoire mais un choix ».
Les horaires ont été aussi repensés, moins lourd « il n’y a qu’en France que l’on voit ça. Nous sommes au lycée, cela peut encore passer... Mais regardons le primaire, un tel rythme n’est pas raisonnable, impossible de capter l’attention d’un élève de 6 ou 7 ans aussi longtemps. C’est un non-sens puisque ce système n’a jamais montré une efficacité supérieure à un autre ».
Le lycée Jules Vernes a décidé d’écouter les entreprises, au-delà des compétences, les entreprises veulent de l’expérience ! Il y a deux mois de consacrés à un projet en entreprise qui se veut moins passif que le stage de 3ème.
          C’est sur tous ces éléments que s’appuie l’éducation de demain au lycée expérimental Jules Verne. Il espère ainsi montrer la voix à tous ceux de l’hexagone mais a également pour vocation d’inspirer tous les degrés de l’enseignement en France.
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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L’épuisement des ressources: Une situation d’urgence !
Bien que les avis diffèrent sur l’avenir de notre planète, certains faits sont incontestables : les ressources naturelles s’amenuisent. Cet épuisement est accentué par la croissance économique, le développement humain et l’explosion démographique. Ce constat nous amène à réfléchir sur la manière dont l’Homme va pouvoir continuer ses activités tout en trouvant des substituts viables. C’est-à-dire des moyens qui répondent aux besoins tant sur le plan économique qu’écologique.
Un constat alarmant
            Les faits parlent d’eux-mêmes, dépeuplement des océans, épuisement du pétrole, du charbon, mais pas seulement! Or, zinc, chrome, aluminium, titane... Et la liste est encore longue. Ces ressources sont au cœur des activités humaines, elles permettent de produire et répondent à d’autres besoins vitaux comme celui de se nourrir.
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D’un point de vue économique, cela pose plusieurs problèmes.
Tout d’abord, ces ressources naturelles étant en quantités finies, cela en fait des biens rares (la demande supérieure à l’offre pour un prix nul). La rareté à un impact direct sur les prix des ressources, plus un bien sera demandé, plus son prix augmentera. Par conséquent, la question des inégalités vient se greffer au problème de raréfaction des ressources : ce sont les plus riches qui pourront s’offrir ces biens. Ce phénomène est amplifié par le fait que les ressources sont déjà inégalement répartis dans les sols. Cette situation a pour effet de créer des pays potentiellement riches quand d’autres sont potentiellement pauvres. On imagine aisément la création d’un système d’échange de ressources réciproque excluant les pays ayant moins de ressources. Dans les faits, le mécanisme est plus complexe puisque les pays riches en ressources n’ont pas toujours les moyens d’exploitation adéquats. C’est le cas du Niger avec l’Uranium puisque c’est l’entreprise française Areva qui en est le principal exploitant. Notons tout de même que Total trouve de plus en plus difficilement des contrats à l’étranger pour l’exploitation du pétrole puisque les pays producteurs de pétrole maîtrisent de mieux en mieux le procédé d’extraction.
Sur le plan environnemental, nous pouvons aborder la question de l’empreinte écologique. Nous sommes souvent focalisés sur l’épuisement des ressources qui pourrait causer notre perte. Il ne faut pas négliger l’impact des activités humaines sur l’environnement qui est lié à l’exploitation des ressources. On parle alors de la logique puits/sources avec d’un côté les puits représentants les déchets rejetés ou stockés (CO², méthane, déchets nucléaires...) qui sont les principales causes du réchauffement climatique. D’un autre côté les sources, qui modélisent l’usure et la consommation des ressources (charbon, déforestation...). 
Comment sortir de l’ornière
            Une telle situation nécessite des décisions radicales afin de renverser la tendance pour ne pas atteindre le point de non-retour. D’après certains professionnels de la question, notamment des économistes, différentes mesures permettraient d’atténuer puis de supprimer ce phénomène.
Tout d’abord, nous comptons beaucoup sur les innovations technologiques et scientifiques. En effet, elles pourraient être un moyen de contourner notre dépendance à certaines ressources mais aussi permettre d’en exploiter de nouvelles. C’est le cas du gaz de schiste qui illustre parfaitement cet exemple. Il y a quelques années, nous n’avions pas les moyens technologiques pour exploiter cette ressource. Aujourd’hui, la fissure hydraulique nous permet l’extraction du gaz et peut-être que dans quelques années, de nouvelles technologies nous permettront de trouver d’autres ressources qui nous donnerons un sursis.
Ensuite, il est impératif de privilégier le développement durable et de penser à long terme.
Il y a un débat qui enfle autour de la croissance et du développement. Nous savons qu’ils amplifient le phénomène de raréfaction des ressources. La question est donc de savoir s’il faut encadrer la croissance quand les plus alarmistes préconiseront même la décroissance.
Pour finir, un consensus existe sur la création d’une gouvernance mondiale. Ce dispositif permettrait de palier à deux problèmes majeurs, le partage équitable d’une part et le contrôle de la consommation d’autre part. Une gouvernance mondiale pourrait arbitrer la distribution des ressources et ainsi éviter les tensions géopolitiques. Ceci afin de ne pas permettre aux États d’utiliser leurs ressources nationales comme moyen de pression diplomatique comme l’a fait la Russie, pays très riche en gaz, avec l’Ukraine. Ce système permettrait d’avoir une vision globale des niveaux de réserves des différentes ressources. Une telle institution jouerait le rôle de régulateur afin de limiter la consommation mondiale en fonction des quantités à dispositions.
Une solution viable passerait donc par une alliance de toutes les mesures proposées citées précédemment. L’enjeu est donc de taille puisqu’il implique implicitement des changements majeurs dans notre façon de vivre.
       Pour les plus confiants, nous ne pouvons pas nous prononcer sur l’avenir. Les dates théoriques d’épuisement des ressources annoncées ne sont pas fondées. Ils avancent également l’argument que d’autres ressources peuvent être trouvées dans le futur.
Pour les plus pessimistes, le point de non-retour est proche et une réaction est impérative dès maintenant.
Quoiqu’il en soit, cette réaction est nécessaire, que ce soit aujourd’hui ou demain. Il est donc important de focaliser notre attention sur le sujet mais surtout d’être dans une logique d’anticipation.
Pour aller plus loin
Article: La khan academy analysée et décrite par Le Monde. Une école révolutionnaire http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/08/27/la-khan-academy-l-ecole-du-futur_3467236_3234.html
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Le coltan, l’enjeu caché du conflit en République Démocratique du Congo
« Le Congo est comme une gazelle qui meurt de soif au bord de l'eau ». Comment un pays dont les sols regorgent de richesses : or, diamant, cuivre, coltan, peut-il être aussi chaotique ? Entre corruption et rivalités ethniques, les causes du désordre sont multiples, le conflit semble interminable. Officiellement, il serait terminé depuis 2003 mais chaque journée apporte son lot de victimes, plus de 5 millions depuis le début de cette guerre. Il s'agit de l'un des conflits les plus meurtriers du XXIème siècle qui ne semble pas vouloir prendre fin. De plus, cette région du Kivu (nord-est du Congo) détient entre 60 et 80 % des ressources mondiales de coltan, nous verrons par la suite que cela est une clé dans la compréhension du conflit. Ainsi, il est primordial de retenir que le conflit qui a lieu actuellement à l'est de la République Démocratique du Congo (RDC) est avant tout économique. Pour comprendre ce conflit il faut décrypter tous les intérêts économiques qu'il génère que ce soit au niveau local ou au niveau international.
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Un conflit entretenu
            Il est important de rappeler dans un premier temps les intérêts économiques locaux dont bénéficient les belligérants, et les parties présentent sur les zones de combat et d'extraction. Le gouvernement congolais est un gouvernement faible et instable où la corruption occupe une place prédominante dans la gestion courante du pays, elle est d'autant plus accentuée par le climat qui règne actuellement au Congo. Le gouvernement lui-même qui est censé endiguer l'instabilité dans le pays, trouve des intérêts au conflit. Les  chefs de région, détachés du pouvoir central, s'accordent avec l'armée pour instaurer leurs taxes et toucher un pourcentage sur l'extraction frauduleuse du coltan.  La présence des soldats dans les différentes régions est de protéger les populations des rebellions. Malheureusement, ils n'ont aucun intérêt à ce que la guerre s’arrête puisque cette même population est source de revenus. L'armée régulière, présente dans les zones d'extraction profite de ces territoires difficiles d’accès pour organiser le trafic des ressources agricoles et minières qui s'y trouvent. Ils instaurent des taxes, des droits de passage... D'autant plus que la clientèle n'est pas difficile à trouver, les multinationales profitent de l’instabilité pour acheter les minerais à bas prix. Ce conflit présente tellement d’intérêts économiques pour les entreprises, qu’on en serait jusqu’à soupçonner que ces mêmes entreprises financent en partie l’armement de la rébellion.
Une guerre qui dépasse les frontières de la RDC
            Le conflit congolais s'illustre sur la scène internationale par une bataille économique entre le bloc occidental et celui des pays émergeants d’Asie à propos du coltan, minéral présentant des forts intérêts économiques dans le domaine de l’électronique ou de l’aéronautique. Cette abondance minérale suscite une véritable frénésie dans les pays industrialisés qui pour la plupart, dépendent des ressources étrangères de coltan. Derrière ce conflit régional il y a donc des conflits internationaux à forte coloration économique avec comme objectif le contrôle des zones minières. Ceci s’illustre par exemple par le conflit indirect que mènent la Chine et les occidentaux, partenaires de longue date de la RDC. Ce conflit concerne les fameux « contrats chinois » qui leurs donne un accès facile aux réserves de coltan du pays. Cette situation a bien évidemment fâchés les occidentaux, jusqu’alors partenaires privilégiés du gouvernement congolais. Pour contrer les chinois, l'occident tente de faire pression sur le gouvernement congolais en faisant valoir leur participation dans la stabilité (toute relative) de la région. Ils promettent également de revoir à la baisse la dette que doit la RDC à ces pays occidentaux. 
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Quel avenir pour le Congo ?
            Face à cette situation il semble urgent de résoudre le conflit et de mettre en place une nouvelle force armée, une force internationale, neutre et capable d'appuyer les casques bleus dans leur mission. Cette idée a déjà été introduite lors du comité international des grands lacs CIRGL, un renfort de 4000 hommes sera créé pour stabiliser la région.
          Cette crise congolaise est effrayante tant au niveau des faits qu'au niveau de l'attitude générale des gouvernements et de la communauté internationale. Les témoignages sont d'une violence rare, il relate des scènes de barbarie, notamment des viols et des pillages. Mais le plus effrayant est peut-être l’intérêt économique qui implique des multinationales et des gouvernements qui préfèrent s’enrichir plutôt que de chercher une voie vers la paix, laissant le conflit s’enfoncer dans l’impasse en toute indifférence, voire dans l’approbation générale. Par ailleurs, l'influence de l'occident sur le Congo pourrait être vue comme du colonialisme moderne. Bien que le Congo se soit émancipé de toute soumission étrangère, il reste influencé dans ses choix politiques par les obligations financières qu'il a contracté auprès de ses ex-geôliers.  
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Manipulations génétiques, un potentiel scientifique à haut risque
          Aujourd’hui  les avancées scientifiques nous permettent de repousser certaines limites dans de nombreux domaines comme la médecine, la nutrition, la technologie … Elles permettent notamment d’effectuer des manipulations génétiques en vue d’améliorer ou transformer le corps humain. Vivre jusqu’à 150 ans, ou espérer l’immortalité, une utopie ou une réalité envisageable ? En effet, la recherche scientifique permet aujourd’hui d’envisager plusieurs opportunités pour la pérennité de l’homme. Par exemple, le renouvellement des cellules mortes permettrait à l’homme de vivre davantage. Cela peut par ailleurs comporter certains risques et mérite d’être encadré.
Une aubaine multi-domaines
          Les manipulations génétiques telles qu'on les connait actuellement offrent des opportunités économiques considérables : les OGM permettent d'accroître la rentabilité économique des cultures. Ensuite,  le degré de liberté laissé à la recherche et aux manipulations par les gouvernements peuvent-être interprétés sur le plan géopolitique.
Gardons à l’esprit que ces manipulations ont un intérêt scientifique et peuvent potentiellement guérir certaines maladies jusqu’alors incurables. Par exemple, la culture de cellules souches pourrait, si les recherches sont concluantes, reconstituer des organes. Ce procédé prend des cellules embryonnaires et donc « déprogrammées » ; c’est-à-dire que ce sont des cellules qui n’ont pas encore de rôle précis, contrairement à toutes les autres cellules du corps humain (une cellule constituant une oreille est bien différente d’une cellule constituant un œil). On sait  aisément le potentiel de la manipulation génétique et combien il pourrait améliorer nos vies, notamment sur un plan sanitaire
Un thème sujet à la controverse
          Les effets de la manipulation génétique restent flous. Il est important de tenir compte des problèmes éthiques que peuvent impliquer la modification génétique : le clonage ne réduit-il pas l’être humain à un matériau ou à un moyen ? Soulignons aussi qu’une population trop décontractée sur le sujet  peut-être la porte ouverte à des dérives dans l’indifférence, voire l’approbation générale. Là encore, il faut que les choses soient faites avec raison et éviter les dérives. Tout le monde a en mémoire la secte de Raelle qui se ventait d’avoir réalisé le premier clone humain. Bien que l’on sache que ce n’est pas vrai, on imagine que l’organisme s’est prêté à des manipulations génétiques, la question est de savoir quels genres de manipulation et dans quel but ? Connaissant cette organisation dénuée de morale.
Le clonage existe maintenant depuis les années 30, on clonait toutes sortes d’animaux (souris, moutons etc). En revanche lorsque l'on a abordé le clonage de l’être humain des voix se sont soulevées pour fixer des limites et dénoncer  les œuvres de savants fous. Au-delà des problèmes éthiques que génèrent les plus grandes avancées scientifiques de notre siècle même lorsqu’elles  paraissent améliorer  certains domaines tels que la santé, ou encore la productivité  (rendements), certaines d’entre elles peuvent diminuer la valeur de l’Homme.
Un encadrement indispensable
           Il faut donc privilégier des activités de Recherche et Développement axées sur la sécurité (environnementale, humaine...) pour aboutir à des certitudes, et pouvoir proposer des produits qui répondront aux inquiétudes des gouvernements et des consommateurs.
Il est important que toutes les activités de recherches génétiques soient fortement encadrées à l’aide d’une législation intraitable. Une transparence est de rigueur quant aux activités de ces manipulations. Il est important de faire un travail de sensibilisation auprès de la population, éviter les conflits d’intérêts entre médecins ayant une influence sur l’opinion publique et laboratoires menant les recherches.
Un avenir incertain
          Certains auront un regard avant-gardiste sur la question quand d’autres, plus conservateurs, jugeront ces pratiques immorales. Un gouvernement à l’aise avec ces questions, permettra par cause à effet d’avoir une population décomplexée sur le sujet. Cela est louable et met les individus dans une perspective d’ouverture d’esprit  sur la manipulation génétique et fait avancer dans les mœurs. A noter également que les pays trop frileux sur la question pourraient prendre beaucoup de retard sur le domaine le jour où ils changeraient d’avis sur la question. Certaines questions ont le mérite d’être posées  et constituent un risque pour la cohésion sociale, de plus on ne connait pas les externalités négatives sur l’homme : Quelle sera la condition sociale d'une personne « clonée » ?  Quelles seront les répercutions sur son identité ? …, l'homme devra y répondre à l'aide de la science mais aussi et surtout grâce à ses idéaux. Il devra choisir dans quel monde il veut vivre et quel monde il laissera à ses enfants, déterminer ce qui est bon pour lui tout en s'interrogeant sur les conséquences morales de ses besoins …
Pour aller plus loin:
Article: Le point revient sur une découverte scientifique qui en dit un peu plus sur l'origine de l'homo sapiens http://www.lepoint.fr/actu-science/histoire-de-l-homme-nous-sommes-tous-des-arabes-27-01-2012-1424481_59.php
Lecture: "Histoire de l'humanité - Développement scientifique et culturel". Une équipe de plus de 450 scientifiques trouvent un point d'accord sur l'histoire de l'humanité http://www.unesco.org/new/fr/culture/themes/dialogue/general-and-regional-histories/history-of-humanity/
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Comment réussir une transition énergétique amorcée depuis des années sans freiner ni nuire à la compétitivité des précurseurs?
          A  l’heure du développement durable et de la croissance verte, la transition énergétique s’avère être nécessaire. Les sources d’énergie non renouvelables vont vers l’épuisement et génèrent d'importants dégâts : réchauffement climatique, montée des eaux, déforestation, disparition des espèces…  Ainsi, il est essentiel de créer de nouveaux processus de production d’énergie moins destructeurs. Vivre dans une société plus écologique et durable peut paraître utopique, néanmoins il faut tenter de s’en rapprocher pour la pérennité de la planète et la sauvegarde des espèces. Malgré des premiers efforts, timides, ceux-ci restent très insuffisants notamment lorsque l'on sait que le protocole de Kyoto n’a pas été signé par certains pays ou que le sommet de Copenhague n’a pas abouti du fait de l’égoïsme de certains pays pour des raisons économiques. La question est de savoir comment réussir une transition énergétique amorcée depuis des années sans freiner ni nuire à la compétitivité des précurseurs?
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figure 1:Consommation d'énergie primaire par type d'énergie et par secteur en 2012. Source INSEE http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NATTEF11347
  Un triste constat
          La transition énergétique reste un pari des plus risqué car malgré quelques réactions, peu de gouvernements peuvent se venter de détenir une solution optimale. Depuis la catastrophe nucléaire survenue au Japon, beaucoup de pays remettent en doute le nucléaire et cherchent urgemment des alternatives à la production d’énergies. C'est le cas de l'Allemagne qui a choisi de renoncer au nucléaire et de se recentrer sur le charbon, ressource abondante dans le sol outre Rhin. Ce rétropédalage est censé financer la transition énergétique allemande qui est, grâce à ses investissements, alimentée à 22% par des énergies renouvelables. Ce chiffre encourageant est à nuancer quand on sait que le charbon est le dispositif le plus polluant à ce jour.  Si l'on compare avec la situation de la France on s’aperçoit que celle-ci pollue moins malgré la part plus faible (16%) d'énergies renouvelables dans son mix énergétique. Ceci s'explique par le choix de privilégier l'atome (75% du mix), fleuron de son industrie,qu'on pense à tort plus polluant.
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Figure 2: Production d'électricité, comparaison France-Allemagne. Source edf.fr rubrique l'énergie en question. Juillet 2013 https://www.lenergieenquestions.fr/production-delectricite-comparaison-france-allemagne-infographie-2/
Une réaction attendue
           Dans la situation actuelle, différents enjeux se présentent à nous afin d’assurer une bonne transition énergétique. De multiples aspects sont à prendre en compte. Tout d’abord sur le plan géopolitique. Il est crucial que les pays s'entendent pour assurer cette transition et en payer le prix à part égale, cet enjeu en cache un autre qui est bien sûr financier. La technique est aussi un enjeu important, la rentabilité des dispositifs utilisant des énergies renouvelable est bien inférieure à celle des énergies fossiles comme le pétrole. Le progrès doit permettre d'améliorer cette rentabilité afin de répondre aux besoins en énergie avant que ces ressources non-renouvelables soient épuisées (à l'heure actuelle, nous savons que pour 6 barils de pétroles consommés, seulement un est découvert, on estime que cette ressource sera épuisée d'ici 40 ans). Le dernier enjeu et non des moindres que nous pouvons souligner est environnemental. Avant même que ces énergies soient exploitées, leur extraction à déjà coûté cher à la planète. Le tout est accentué par leur combustion qui dégage du CO2, lequel à des effets que tout le monde connait.
          Devant ce constat alarmant, il est important de réussir ce virage primordial pour la pérennité de la planète. Ce virage sera réussi à la première condition qu'il soit financé. Bien qu'il existe des dispositifs tels que celui du pollueur/payeur mis en place par l'OCDE notamment présent dans les pays riches. En France, Il se matérialise par exemple par des taxes sur les ordures ménagères ou sur l'assainissement des eaux. Malheureusement, ce dispositif est loin d'être suffisant et on relève même une certaine hypocrisie généralisée selon certains professionnels de l'environnement. En effet, une solution simple pour financer en partie la transition serait de renforcer cette logique de faire payer celui qui pollue et de le généraliser à l'échelle planétaire par un dispositif d'internalisation dans chaque pays. Ce système d'internalisation consiste à faire payer les entreprises pollueuses pour financer les nouveaux modes de production d'énergie, ce pourrait être une taxe carbone (montant  dû par tonne de CO2 rejeté). Ce dispositif doit être généralisé pour qu'il pénalise tous les pays dans la même mesure. Ainsi, chacun perd une part égale de compétitivité. Pour ce qui est des solutions, nous en connaissons plusieurs, avec leurs avantages et inconvénients. Nous ne pouvons pas affirmer qu'il y en ait une meilleure que les autres, il faut évidemment prendre en compte le contexte dans lequel on l'applique (exposition au vent, au soleil, présence de cours d'eau à fort courant...). On peut citer des dispositifs tels que l’éolien, l’énergie solaire ou encore la biomasse (système qui utilise les matières organiques qui en se dégradant forment des biogaz qui sont source d’énergie).
          L’ensemble de ces enjeux  constituent  un défi pour notre générations et les futures mais surtout une opportunité de créer un monde responsable. On ne peut donner de solution miracle, tout dépendra de la volonté des pays à faire des efforts. Ce qui est sûr, c'est qu'une vraie réaction est primordiale, d’une part pour la préservation de l'environnement  et d'autre part pour pouvoir subvenir à nos besoins une fois que toutes les ressources naturelles seront épuisées. L’utilisation de ressources renouvelables et propres comme l’éolien, l’énergie solaire, hydraulique... pourraient répondre au défi d’une transition énergétique réussie et favorable à la planète à conditions que ceux-ci s'améliorent. On sait qu’elles ont un coût pour certains états qui ne sont pas prêts à renoncer à leur développement économique, ainsi un consensus planétaire devrait se faire afin d’assurer notre avenir. Le tout réside dans la volonté de l’homme à assouvir ses besoins ou à préférer anticiper ceux à venir et l’avenir des générations futures.
Pour aller plus loin: 
Article: La transition énergétique allemande exemplaire? Tout est relatif, le modèle allemand analysé par Rémy Prud'hommes des échos. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0202946400311-allemagne-une-transition-energetique-bien-peu-ecologique-596725.php
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Article tiré du Monde « L’assurance maladie relève des inégalités dans l’accès aux soins »
Pour ce billet, il nous a été demandé de nous appuyer sur un article relatif à la santé, voici l'article que nous avons choisi: http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/06/29/l-assurance-maladie-releve-des-inegalites-dans-l-acces-aux-soins_1542685_3224.html
          L’équité et la solidarité sont-elles toujours des valeurs qui représentent notre système de couverture sociale et en particulier celle de l’assurance maladie ? L’écart entre les riches et les pauvres se creuse. Des inégalités dans l’accès aux soins illustrent ce phénomène en contradiction avec le modèle français de protection sociale. Cependant, nous sommes conscients des sources de ces inégalités qui sont de plus en plus visibles : le revenu de chaque ménage, la catégorie sociale et l’éducation. Il est impératif d’identifier et de diagnostiquer les failles de notre système pour enfin apporter des actions correctrices.
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figure 1: Nombre de spécialistes en secteur 1* pour 100000 habitants ayant un niveau de vie inférieur au SMIC. Source: Le figaro, 2009.
Le système français, une réussite mitigée
          Aujourd’hui, le système de santé en France est l’un des meilleurs au monde. Le système français se singularise par la Sécurité Sociale qui rembourse la majeure partie des soins médicaux.L'Hexagone possède également une mise en place de mutuelles comme la couverture maladie universelle (CMU) qui prend en charge 13%. Nous pouvons souligner qu’en Allemagne, les assurances privées ne prennent en charge que 9% des dépenses de santé. Ce système a pour principal objectif de permettre l’accès aux soins pour tous. En, France, le financement passe par un impôt progressif en fonction du revenu des ménages afin de permettre aux plus pauvres de bénéficier des prestations égales pour l’accès aux soins.
          Au regard des informations que nous donne cette article, il semblerait que l'implication du gouvernement français dans les dépenses de santé ne soit pas optimal. En effet, dans le contexte actuel il y a certaines dérives comme le dépassement d'honoraires, ou l'augmentation croissante du nombre de médicaments non remboursables. Aujourd'hui l’accès a certains services de santé de base tels que les soins optiques ou dentaires représente un coût non négligeable pour les ménages. Ce postulat pose un réel problème et va à l'encontre du principe d'équité puisque tout le monde ne peut pas y avoir accès de la même manière.
          Paradoxalement, cette article souligne que ce n'est pas forcément le coût de santé qui décourage les ménages à consulter. Ainsi, en 2008 la proportion de femmes de 50 à 75 ans n'ayant pas fait de mammographie dans les trois dernières années était de 8 % chez les cadres et de 20% chez les ouvriers, or ce dépistage peut être réalisé gratuitement. Cette exemple fait entrevoir un réel problème de prévention et de communication, ce qui remet clairement en cause l'efficience des dépenses de santé. Par ailleurs, sur les 2,2 millions de personnes potentiellement éligibles a l'ACS (aide a l'acquisition d'une complémentaire santé) un quart seulement en bénéficie, ce sont donc 1,3 million de personnes qui payent des charges de santé qui ne sont pas censé leur revenir. Le manque d'information et de prévention a un impact dramatique sur l'efficacité des initiatives gouvernementale en matière de santé.
Des sources d'inégalités inattendues 
          Nous avons vu que malgré plusieurs dispositifs, l’accès égalitaire aux soins en France est loin d’être vérifié. Cette situation est encore plus vraie dans d’autres pays où nous savons que l’accès aux soins est très inégalitaire notamment dans le tiers-monde. Cette hétérogénéité est entre autre liée au degré de développement d’un Etat. Ainsi, selon le site de l’OMS, 80% des décès dus au paludisme se répertorient dans seulement 14 pays alors qu’on sait soigner le paludisme. Cet exemple parmi tant d’autres montre l’importance pour un pays à tendre vers une couverture universelle de la santé (CUS). Il existe différents types de financement de CUS : soit par le biais d’un financement public (par l’Etat) surtout destinés au pays du nord de l’Europe ; soit par le biais du au financement privé (en Suisse et aux États-Unis). Le processus de mise en place d’une CUS peut-être long comme le montre les exemples du Costa Rica (1941-1961) et même de 118 ans pour la Belgique (1851-1969) ! Ceci s’explique par la politique et les jeux d’intérêts particuliers qui jouent un rôle déterminants et peuvent freiner le processus.
          On en conclut que contrairement aux idées reçues, le manque d’équité concernant l’accès aux soins n’est pas spécifique aux pays en développement. La France occupe la troisième place des pays où le système de santé coûte le plus cher derrière les Etats-Unis et le Pays-Bas. Tout est fait pour que tout le monde est accès aux soins seulement des inégalités subsistent en raison d’un manque d’informations causé par une insuffisance de la prévention notamment chez les moins aisés (ouvriers). On pointe du doigt également un dépassement d’honoraires récurrent chez certains spécialistes (dentistes, ophtalmologues), ou zones géographiques.
*secteur 1: Spécialistes de la santé appliquant les tarifs préconisés par la caisse d'assurance maladie et est donc remboursé en intégralité. Si les tarifs pratiqués sont supérieurs (possible dans certains domaines de la santé), il y a dépassement d'honoraires qui eux ne sont pas remboursés.
Pour aller plus loin :
Site: Retrouvez les statistiques mondiales sur le site de l'organisation mondiale de la santé http://www.who.int/fr/
Conférence: Irène Frachon revient sur son histoire et le scandale du médiator dans son livre "médiator: 150mg, combien de morts". Le livre est disponible ici :http://www.amazon.fr/M%C3%A9diator-150MG-Combien-Ir%C3%A8ne-Frachon/dp/2918135143
Lecture: Article issu du cercle des échos, "portrait robot du criminel en col blanc". Lecture proposée par Irène Frachon lors de sa conférence sur la santé. Cet article dresse la typologie des criminels impliqués dans les scandales tel que celui du Médiator mais plus généralement sur les criminels "en cols blancs". http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/societe/221132712/portait-robot-du-criminel-en-col-blanc
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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Une démographie qui bouleverse les équilibres
          On peut facilement affirmer que d'ici 2050, la population mondiale aura évolué de telle sorte qu'elle atteindra presque les 12 milliards d'individus. On sait que la population n'était que de 2 milliards en 1927 et qu'elle est de 7,5 milliards aujourd'hui. On remarque que le monde se voit faire face à un bouleversement démographique considérable et qu'il va devoir faire face aux conséquences et apporter des solutions aussi bien d'un point de vue économique, environnemental que social. La question qui se pose est de savoir si la planète sera capable de supporter un accroissement de la démographie et quelles seront les mesures à mettre en place pour ce faire ?
          Etant donné le fort taux d’accroissement de la population, il y a plus d’hommes à loger. Ainsi plus d’espaces seront utilisés pour loger ces hommes, ce qui réduit les surfaces disponibles pour l’agriculture et l’élevage, alors que ce sont ces activités mêmes qui servent à nourrir les hommes. Cela entraine des risques de pénuries de nourriture et famine, ce qui sera également préjudiciable pour la croissance économique car il y aura une baisse de la production.De plus, certains pays comme ceux d’Afrique connaissent le taux de croissance démographique le plus élevé, hors ce sont ces mêmes pays qui souffrent de la pauvreté. Ainsi cela va accroitre la pauvreté car il y aura le même nombre de richesse à se partager pour le même nombre d’individus et ils auront plus de mal à se développer et à envisager une croissance économique.
          Cette explosion démographique n'est pas uniforme dans le monde, aujourd'hui on estime que 84 % de la population mondiale se concentre dans les pays dit du Sud, et qu'en 2100 ce taux passera à 90 %. Le grand défi des 30 prochaines années sera d’inverser la tendance et de permettre aux pays du Sud de se développer. Pour favoriser le développement du tiers monde, il existe des solutions : le commerce équitable, les programmes d’échanges pour former des leaders ou encore la mise en place de services minimums dans les pays du tiers monde tels que la santé, l'éducation.
  Un défi environnemental
          La question de l'environnement reste très préoccupante. Depuis 2 siècles, l'augmentation démographique a généré une augmentation des activités humaines et de ses effets. On constate que les ressources naturelles non-renouvelables se dirigent vers l’épuisement à vitesse grand V. Cette croissance démographique entraînera également une augmentation de la pollution et inévitablement une accélération du réchauffement climatique. Limiter ces effets passe par l’utilisation de modes de production plus propres, en particulier grâce au progrès technique, et par le contrôle de la démographie humaine.
         Les sonnettes d'alarme ont été́ tirées lors de la conférence de Rio en 2012, et lors du sommet de Copenhague en 2007. Des accords comme le protocole de Kyoto en 1997 font face à l'urgence environnementale mais les gouvernements restent toujours aussi hypocrites et les résolutions sont bien trop minces à coté des dégâts à rattraper. Il va falloir changer les choses : intensifier les initiatives environnementales, imposer la signature de certains protocoles, contrôler les rejets de chaque pays et enfin responsabiliser les gouvernements.
  Des enjeux économiques
          La croissance démographique bien que bénéfique sur un plan économique, présente également des revers, notamment un certains nombre de problèmes sociaux : Comment nourrir une population toujours plus nombreuses avec des ressources limitées? La famine dans le monde est déjà un problème social majeur et on peut craindre de la voir exploser avec les prévisions démographiques actuelles. La plupart des pays auront d’énormes défis à relever liés à l’éducation, l’urbanisation ou encore le renouvellement des infrastructures. Il sera indispensable de mettre en place des modes d’optimisation de l’espace public pour la bonne cohabitation de la population. Lorsqu’il y a plus de personnes que ne peut le supporter un territoire, l’excédant humain risque d’être éliminer de manière naturelle par des famines, pour y pallier on peut envisager de réduire fortement le gaspillage et la surconsommation des pays développés, également appliquer des taxes sur certains produits de consommation courant pour susciter une réelle conscience collective du problème. Du fait du progrès technique et des évolutions en terme de santé, l'espérance de vie s’est allongée, ainsi faudra t-il faire face à une population de plus en plus âgées. Un problème se pose donc : Comment s'occuper des personnes retraitées qui seront en nombre important dans quelques années? Dans des pays comme la Chine la politique de l'enfant unique fera qu’un individu aura 6 personnes à assumer (grands parents et parents). Caroline Van Dullemen essaie de résoudre cette question avec son association Worldgranny: proposer des maisons de retraites en Afrique pour que les enfants n'aient pas à assumer le coût financier des personnes âgées. Bien que cette association ne puisse pas répondre à elle seule à la problématique du vieillissement de la population, elle ouvre peut-être une voie: celle de la solidarité et du bénévolat.
          La transition démographique semble être l'une des questions les plus importantes du XXIème siècle en raison de son imminence. Cependant l'inéluctabilité de cette situation ne va pas de paire avec le désastre humanitaire, et environnemental qu'elle pourrait entrainer. Il existe des solutions mais il faudra accepter certaines concessions et sensibiliser les populations et gouvernements du Nord de la situation à venir, d'autant plus que le réchauffement climatique et la montée des eaux vont s’accroître et limiter un peu plus le volume de terre disponible.
Pour aller plus loin:
Compteurs: Connaissez-vous worldometers? Toutes les statistiques mondiale en temps réel, notamment sur la démographie, des chiffres à couper le souffle! Bien sûr, le site s'appuie sur les statistiques déjà existantes pour faire ses prévisions et sa précision n'est pas parfaite, mais tout de même! http://www.worldometers.info/fr/
Animation: Une animation proposée par l'ined (institut national des études démographiques avec des chiffres, des prévisions... http://www.ined.fr/jeux.php?_movie=/flash/popu2/FR/INED_ANIM.swf&titre=Combien%20la%20Terre%20comptera-t-elle%20d%E2%80%99habitants%20demain%20?&lg=fr
Association: Worldgranny, une association qui veille aux bonnes conditions de vies des personnes âgées en Afrique. La réponse pour laisser la population vieillir dignement? Cette association est l'initiative de Caroline Van Dumellen qui a donnée une conférence sur les campus fBS.
Vidéo: Présentation de l'association, de sa créatrice et surtout de certaines statistiques qui montre l'importance de l'initiative. Et oui, nous nous préparons à avoir plus de personnes âgées que de jeunes pour la première fois dans l'histoire de l'humanité! http://www.youtube.com/watch?v=9O01oFuQ6g8 D'autres vidéos de l'association sur la chaîne worldgranny disponible sur youtube.
L’hexagone: Voici quelques données, le tout en image, sur la population française.
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student-fbs-amiens-c-blog · 11 years ago
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La responsabilité humaine face à la technologie
         Depuis le début des années 30 nous sommes entrés dans une nouvelle ère industrielle. Avec la création de la télécommunication, de l'informatique, et le début de la mondialisation l'homme est de plus en plus confronté à la machine. Les bienfaits que génèrent toutes ces nouvelles technologies sont bien perceptibles. Que ce soit dans un cadre professionnel ou personnel la technologie semble être au service de l'homme : elle favorise la productivité, l'autonomie, la performance, l’échange … toutes ces nouvelles innovations nous ont apporté une ouverture incroyable sur le monde, et ont contribué à la mondialisation que nous connaissons actuellement.
Ne pas tomber dans la facilité
         Mais aujourd'hui il est primordial de considérer les problèmes éthiques qu’engendre cette abondance technologique. En effet il n'est pas rare d'observer des comportements qui ont un impact néfaste sur nos aptitudes intellectuelles : le fait de faire appel à une technologie pour une action simple telle qu'utiliser une calculatrice pour un calcul basique, utiliser un tutoriel vidéo pour une manipulation qui nécessite quelques minutes de réflexion ou encore brancher son GPS pour un trajet de 10 minutes, Albert Einstein disait déjà en son temps « Je crains le jour ou la technologie remplacera les interactions humaines, nous aurons alors créé une génération d'idiots »... L'homme se comporte comme un « assisté » face à la machine, l'utilisation superflue de la technologie se banalise, elle appauvrie nos capacités en stimulant la paresse intellectuelle. Il semble donc important de redéfinir le cadre dans lequel nous devons faire appel à la technologie, adopter une attitude responsable et prôner l'utilisation intelligente de la technologie.
Par ailleurs, le problème de taille que représente cette surabondance technologique est la dépendance qu'elle génère. La technologie est devenue dans certains cas un besoin « vital », pour preuve l'accès à l'électricité qui était à l'époque considéré comme un confort de vie est devenu peu à peu un besoin vital pour nos sociétés contemporaines. Le « confort » prend peu à peu le pas sur le « vital » et l'homme s'enfonce de plus en plus vers l'asservissement et l’aliénation technologique.
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         Certains dirons que l'homme vie avec son temps mais il faudra un jour s’intéresser aux conséquences de cette omniprésence technologique, de son impact sur l'environnement. L’Homme voit souvent les effets bénéfiques des nouvelles technologies à court terme tout en négligeant ses conséquences à long terme.
Les impacts de la création humaine sur la planète sont déjà largement mesurables, les sonnettes d'alarme ont été tirées lors de la conférence de Rio. Bien sur des initiatives ont été prise taxe carbone, pollueur payeur... Mais face a l'urgence environnementale les gouvernements restent toujours aussi hypocrites, l'environnement ne nous attend pas pour se dégrader, et les résolutions gouvernementales sont bien trop minces a coté des dégâts à rattraper, la planète s'essouffle ! Les effets pervers de la technologie tournent parfois a l'ironie en effet l'homme est la première victime de ses créations Mais l'inconscience humaine le pousse toujours à continuer.
En effet, devant les apports des nouvelles technologies, les Etats préfèrent les développer en négligeant leurs impacts environnementaux. L’exemple de la Chine ou des Etats-Unis et de leur production annuelle de CO2 illustre bien ce problème, difficile de sacrifier des gains économiques pour préserver la planète. Nous pouvons illustrer en parlant des nouvelles techniques agricoles, de l’élevage intensif ou de certains pesticides qui polluent les sols.
Les technologies peuvent devenir un enjeu politique, que les états exhibent pour affirmer leur place sur le plan international, la course entre les Etats-Unis et l’URSS à la conquête lunaire l’illustre. On connait les coûts engendrés par ce projet.
Une simplification de la vie bien relative
       La technologie ne cesse d’évoluer, d’innover, de vouloir pousser toujours plus loin les limites de la techniques ; ce qui engendre forcément chez les moins adeptes une incompréhension du nouveau monde et des enjeux. Ainsi, il est facile de tromper le consommateur qui n’aurait pas les connaissances technologiques dans un domaine précis. Le domaine pharmaceutique est souvent l’objet de fausses innovations mises en avant par la corruption. Certains médicaments n’apportent pas de réelles innovations et pourtant, les médecins travaillant pour ces laboratoires recommandent ce médicament.
        Les révolutions technologiques ont un impact majeur dans notre vie actuelle. Elles font partie intégrantes de notre vie. L’innovation est appréciée et reconnue dans un contexte d’invention et non de simples améliorations.Cependant la dissémination des nouveautés et des informations peuvent influencer notre opinion et ne constituent donc pas un service à l’Homme. En effet, nous nous rendons soumis aux nouvelles technologies inconsciemment. Le besoin est souvent créé mais non vital… Par conséquent, la révolution technologique est louable lorsque l’Homme interagit avec. Comme le souligne Bill Gates “Most people overestimate what they can do in one year and underestimate what they can do in ten years”.
Pour aller plus loin :
Un peu d'humour: Un vacancier se fait dérober son téléphone, son voleur oublie de désactiver la fonction "partage" de photos. Le malheureux qui s'est fait voler reçoit toutes les photos du nouveau "propriétaire" sur son ordinateur. Heureusement, la victime de ce larcin a perdu son téléphone mais pas son humour, il réalise un blog avec le portrait du voleur en question. Le tumblr qui a fait le buzz: http://lifeofastrangerwhostolemyphone.tumblr.com/
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