#zone urbaine
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Couleurs de zone.
#zone urbaine#urban area#photographers on tumblr#poltredlyon#osezlesgaleries#lyonurb#brumpicts#frédéric brumby
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Z
Put a letter from A-Z in my ask and I’ll tell you 1 thing I love which starts with that letter.
i love the number zero. i love what it allows us to do. i love the concept of nothing, the void, absence; things that can only be defined in opposition to other things. i love how it's contained within the concept of every other concept if you dig deep enough. i also love the slang for "nothing" that starts with z - zip, zilch - and the fact that zillion also starts with z even though it's supposed to be a big number. i love how when we talk about a big number we talk about how many zeroes it has. paired opposites that rely on each other.
i love the zeugma as a figure of speech, especially when there's a verb being used in different idiomatic senses with two objects. i was so obnoxious about "you held your breath and the door for me" in alanis morissette's "hand over feet" in high school.
i love the word zigzag and how it represents its own meaning, because if you're zigzagging what are you doing but making a representation of the letter Z in the physical world? it's like the visual version of onomatopoeia. i keep seeing it in french in les misérables, so i looked it up and it actually comes to us from french, which makes me love it more because reduplication just hits different in french for some reason.
i feel a childlike wonder whenever i see a zamboni, and it feels like a gift, that i am still capable of such a reaction to such a mundane thing.
#thank you for the ask!! thinking about zero is so...🤩 also my brain is going to explode.#asks#not anon#now for the director's commentary portion of the tags:#my go-to move when i forget all the words that begin with a letter is to get out one of my english-to-another-language dictionaries#and just read through the pages for that letter (yes i do have a go-to move because i often find myself in this situation)#in this case the Z sections are so sparse that i read both my english-latin and one of my english-french dictionaries#and my favorite thing about that experience is that there were only 29 words starting with z in the french one#and one of those words was 'zoning ordinance'. ah yes. that mainstay of alphabet books. Z is for Zoning ordinance#(it's réglementation urbaine if you were wondering)
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La cyclologistique en France
Si ce n’est pas encore le cas, la cyclo-logistique est un terme dont vous allez forcément entendre parler dans les années qui viennent. Les deux mots qui composent ce néologisme vous donnent certainement un indice sur la nature de ce secteur en plein essor. Vous pouvez entendre parler de cyclologistique, cyclo-logistique ou encore vélogistique. Mais qu’est-ce que la cyclo-logistique au juste ?…
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#Ademe#Boîtes à Vélo#Cyclo-logistique#Cyclomobilité professionnelle#Limoges#Livraison à vélo#Logistique urbaine durable#Ministère de la Transition Ecologique#Mobilité propre#Transport de marchandises#Vélogistique#Zones à faibles émissions
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Pay attention Christians.
Half of all French MUSLIMS say they want all French Catholics to convert to Islam. More than one-third of all French Muslims want all French churches to be converted to Islamic Mosques. One-quarter of all French Muslims report that the word "France" is a word they reject.
France has 751 no-go zones ("Zones Urbaine Sensibles") where French authorities have ceded control to Muslim gangs and Imams. Nonuslkms can only live in these zones, if they accept "Dhimmi" status, which means they agree to be 2nd class citizens, admit they live in a territory ruled by Islam, and now their heads when they encounter a Muslim.
France is a country where the prison population is 70% Muslim. More than 100 rapes a day are occurring in France, most committed by followers of Muhammads misogynist cult.
45% of French Muslims say they want the total destruction of Israel.
An equal number of French Muslims want to redefine rape murder torture beheading kidnapping burning-alive and massacres as "acts of resistance."
The remaining Jewish families of France, who haven't been forced out, must pretend to not be Jewish, and have left public education entirely.
#israel#secular-jew#jewish#judaism#israeli#jerusalem#diaspora#secular jew#secularjew#islam#france#Islamic caliphate#Muslim caliphate#caliphate#French Muslims want Catholics to convert to Islam#French Muslims was churches coverted to mosques#antisemitism#Islamic jihad#demographic jihad
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En 2025, les innovations d’Elon Musk s’apprêtent à transformer notre quotidien de manière spectaculaire. Voici un aperçu des inventions les plus attendues :
1. Taxis autonomes : Tesla travaille intensivement sur la conduite autonome, et on pourrait bientôt voir des taxis sans conducteur, rendant les déplacements urbains plus pratiques et plus sûrs.
2. Tesla Bot (Robot humanoïde) : Conçu pour réaliser des tâches répétitives et potentiellement dangereuses, ce robot humanoïde pourrait aider dans les maisons et les entreprises, transformant notre manière d’aborder le travail.
3. Starship et les vols vers Mars : SpaceX prévoit de rendre l’exploration spatiale accessible avec le Starship, un vaisseau réutilisable qui pourrait bientôt envoyer des équipages vers Mars et faciliter le tourisme spatial.
4. Tesla Semi et Van électriques : Pour révolutionner l'industrie du transport de marchandises et de passagers, Tesla développe des camions et vans électriques, promettant de réduire l’empreinte carbone du secteur.
5. Internet haut débit avec Starlink : Ce réseau de satellites vise à fournir un accès Internet rapide et fiable dans les zones reculées, réduisant la fracture numérique dans le monde entier.
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93 Bondy 1954 les grands ensembles HLM, terre d’accueil...Les premiers HLM datent de 1925-1930, mais au nord de la ville, leur construction ne commence que dans les années 1950-1960. A cette période d’urbanisme galopant, les promoteurs achètent les terres du nord encore disponibles pour y construire de grands ensembles immobiliers. En 1954, Bondy compte 22 411 habitants, la ville en comptera 51 653 en 1968, soient plus de 2 000 nouveaux habitants par an ! De nouveaux quartiers flambant neufs accueillent des populations migrantes chahutées par le vent de l’histoire, des pieds noirs, puis des familles immigrées d’Afrique du Nord, du Portugal, et d’Afrique sub-saharienne, notamment du Mali. Ville dynamique, marquée par des modes d’urbanisme contrasté, Bondy a ainsi toujours fait figure de terre d’accueil. C’est aujourd’hui de cette complexité urbaine et de cette mixité humaine que la ville tire sa richesse et entreprend un projet ambitieux de renouvellement urbain. C’est au tout début du 19e siècle, lors des derniers soubresauts de l’Empire Napoléonien, que Bondy va se retrouver sur le devant de la scène géopolitique européenne. En 1814, alors que Napoléon Ier rentre en France avec une armée battue, l’Europe entière coalisée contre l’Empire, est à ses trousses. 700 000 Russes, Prussiens, Autrichiens, Suédois, Bavarois, Wurtembergois, Hollandais, Allemands franchissent le Rhin et marchent sur Paris. Le 27 mars, le corps d’armée du général prussien Yorch vainc, dans la forêt de Bondy, les corps français. Temporairement occupé par les troupes russes, Bondy devient le quartier général de l’Empereur de Russie et du Roi de Prusse. La défaite française, lors de la Bataille de Paris, marque la fin des opérations militaires de la Campagne de France et conduit à la première abdication de Napoléon puis la Restauration des Bourbons. Le 10 avril, des détachements des six premières légions de la garde nationale de Paris se rendent à Bondy pour y recevoir Son Altesse Royale Monsieur, frère du roi Louis XVIII. En 1802, les travaux de percement du Canal de l’Ourcq, voulus par Napoléon 1er pour apporter l’eau à Paris, est un fait marquant de son urbanisme et va permettre à partir de 1821, date à laquelle s’achèvent les travaux, l’installation d’industries, notamment des scieries puis des centrales à béton, qui seront utiles plus tard pour construire des logements. En 1860-1870, l’arrivée du chemin de fer et de la ligne Paris-Strasbourg marque un tournant dans l’évolution démographique de la ville. Beaucoup d’Alsaciens et de Lorrains qui n’ont pas voulu devenir allemands et qui travaillaient en nombre pour les chemins de fer, s’installent dans le quartier près de la gare. Au nord de la ville, des paysans cultivent toujours leurs champs, notamment des maraîchers, tandis que l’urbanisme se développe vers l’ouest et le sud. En 1905, une partie de la ville devient Les Pavillons-sous-Bois. C’est à cette date que se déploie la zone pavillonnaire du sud de la ville avec des maisons en meulière, typique de la région parisienne.
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Cultiver Un Potager Sur Balcon
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Vous avez pensé à transformer votre petit balcon en une oasis de légumes et d'herbes ? Oui, c'est possible ! Cultiver un potager sur balcon est une idée géniale. Cela permet de profiter de la nature et d'utiliser mieux votre espace.
Points Essentiels
Le jardinage sur balcon maximise l'espace urbain.
Cultiver un potager en balcon offre des légumes frais et bio à portée de main.
Il est essentiel de choisir le bon emplacement pour optimiser la lumière et la protection.
Des techniques de plantation appropriées garantissent le succès de votre potager.
Utiliser des pots de bonne qualité aide à maintenir la santé des plantes.
Introduction au jardinage sur balcon
Le jardinage sur balcon devient de plus en plus populaire dans les villes. Les gens veulent cultiver leurs propres légumes et herbes. Cela crée le concept de potager urbain.
En transformant un balcon en jardin, on peut avoir plein de légumes frais. Cela enrichit la culture légumes en pots avec des saveurs variées.
Le potager urbain présente des défis, comme la lumière et l'entretien. Les plantes comestibles ont besoin de beaucoup de lumière pour grandir bien1. Il existe des plantes naines pour les petits espaces, utilisant bien les ressources1.
Les avantages de cultiver un potager en balcon
Le jardinage sur balcon offre de nombreux avantages potager balcon. Il permet de mélanger la ville et la nature. En utilisant bien l'espace, chaque mètre carré est précieux. Vous pouvez cultiver différentes plantes, ajoutant de la verdure à la ville.
Économie d'espace et ressources
Les jardiniers utilisent des contenants verticaux pour plus d'espace. Cela économise de l'espace et de l'eau grâce à un arrosage précis. Les jardins en pot rendent aussi le jardinage plus facile et moins cher.
Accès à des légumes frais et bio
Comment choisir l'emplacement idéal pour votre potager
Choisir le bon endroit pour votre potager balcon est essentiel. Il faut penser à la lumière et à la protection contre le vent. Ces deux points sont clés pour réussir.
Critères de lumière et d'ombre
La lumière est très importante. Les légumes aiment bien la lumière, au moins 6 heures par jour. Mais, certaines plantes peuvent s'adapter à l'ombre.
Il faut donc bien regarder votre balcon. Trouver le meilleur endroit pour vos plantes est crucial.
Protection contre le vent
Le vent peut être mauvais pour vos plantes. Avoir une bonne protection vent est donc important. Des paravents ou écrans peuvent aider.
En protégeant vos plantes, elles pousseront mieux. Et vous aurez plus de légumes à récolter.
En résumé, avoir le bon niveau de lumière et une bonne protection vent est clé. Cela vous aidera à avoir un potager balcon réussi toute l'année2.
Cultiver potager balcon : les meilleures plantes à choisir
Pour cultiver sur un balcon, choisir les bonnes plantes est essentiel. Les légumes et herbes s'épanouissent bien en pots. Cela aide à cultiver même dans les petites zones urbaines.
Légumes adaptés à la culture en pot
Les radis croissent vite, prêts à être récoltés en moins de 30 jours. C'est parfait pour ceux qui veulent des résultats rapides3. Les tomates, courgettes, et concombres sont aussi de bonnes options. Elles commencent à produire vite3.
Cultiver ses légumes peut aussi économiser de l'argent. C'est bon pour l'économie et l'environnement.
Herbes aromatiques : un choix pratique et savoureux
Le basilic, le thym et la menthe sont parfaits pour les petits espaces. Elles ne demandent pas beaucoup d'espace mais apportent beaucoup de goût. 72% des propriétaires de petits balcons veulent un potager bio4.
Choisir ces herbes améliore vos repas. Et cela aide à réduire l'empreinte carbone en cultivant localement. Végétal Temps de croissance Caractéristiques Radis Moins de 30 jours Rapide et facile à cultiver Tomates 3-4 mois Riche en saveur, versatile en cuisine Courgettes 2-3 mois Productif, nécessite un bon arrosage Basilic 6-8 semaines Ajoute de la fraîcheur aux plats, facile à entretenir Thym 2-3 mois Plante rustique, parfait pour les pots
En choisissant ces meilleures plantes potager balcon, vous augmenterez votre production. Et vous aurez un moment agréable de jardinage34.
Astuces pour la plantation sur balcon
Pour réussir votre plantation sur balcon, suivez certaines astuces clés. La préparation du sol est la première étape. Utilisez un terreau de qualité pour une bonne aération et humidité. Le râteau aide à niveler le sol et à aérer, essentiel pour la santé des plantes5.
Élayers adéquats et préparation du sol
Les élayers, comme les treillis, sont idéaux pour l'espace sur votre balcon. Ils élevent vos plantes et augmentent l'accès à la lumière. Pour la préparation du sol, mélangez le terreau avec du compost. Cela enrichit le sol en nutriments, favorisant la croissance des légumes et herbes.
Techniques de plantation efficaces
Utiliser des techniques de plantation efficaces est crucial. Espacez bien les plantes pour éviter la concurrence. Les semis en godet sont une bonne méthode. Elles permettent aux jeunes plantes de s'établir avant d'être transférées. Cela assure une meilleure croissance et rendement6.
Techniques potager urbain pour optimiser l'espace
Dans les villes, il est important d'utiliser bien l'espace pour le jardinage. Le jardinage vertical est une excellente façon de faire. Il utilise l'espace des murs et des balcons de façon optimale. Cela permet de réduire l'espace nécessaire au sol7.
Pour un jardin vertical réussi, l'éclairage est crucial. Les plantes ont besoin de 6 à 8 heures de soleil par jour7. Le basilic et la menthe sont parfaits pour ces jardins, car ils s'adaptent bien8. Utiliser des matériaux recyclés, comme des bouteilles, rend le jardin beau et respecte l'environnement7.
Utiliser des murs végétaux ou des systèmes de culture superposés augmente la densité des plantations. Cela économise de l'espace et diversifie les cultures8. Il faut aussi penser à arroser régulièrement, surtout pour les plantes en hauteur, pour qu'elles restent en bonne santé7.
Les méthodes comme l'hydroponie sont aussi très utiles. Elles nécessitent moins d'eau et favorisent une croissance rapide. Avec ces techniques, même un petit balcon peut devenir un jardin luxuriant9.
Les différents types de pots et contenants
Choisir les bons types de pots et contenants potager est crucial pour la croissance des légumes. Les matériaux utilisés affectent l'esthétique et la santé des plantes. Il est important de choisir certains matériaux pour leurs avantages.
Matériaux à privilégier
Les pots en terre cuite régulent bien l'humidité. Le plastique recyclé est durable et garde l'eau. Le bois apporte une touche naturelle et une bonne isolation. Choisir le bon type de pot en fonction de vos besoins est essentiel.
Taille et profondeur des pots pour les légumes en pot
La taille des pots est cruciale pour les racines. Les tomates ont besoin de pots de 30 cm de profondeur. Les herbes comme le basilic ou le persil se contentent de pots de 20 cm. Assurez-vous de choisir la bonne taille pour chaque légume pour bien utiliser votre espace.
Le balcon potager bio : principes de jardinage écologique
Le jardinage biologique sur balcon utilise des méthodes naturelles pour cultiver des plantes. Cela évite les pesticides chimiques et favorise la biodiversité. En utilisant le compostage et la rotation des cultures, vous aidez à créer un écosystème sain pour vos plantes et protégez l'environnement10.
Il est important de choisir des semences bio adaptées, comme celles recommandées par les Espaces verts de Namur. Cela assure une récolte de qualité11.
Les associations de plantes compagnes sont essentielles pour la santé de votre potager bio. Elles attirent des auxiliaires naturels, comme les coccinelles, pour contrôler les maladies et parasites11. Ces techniques permettent de récolter des légumes frais et de protéger les pollinisateurs.
Enfin, pratiquer un jardinage durable et une irrigation adaptée est crucial. Cela assure un potager productif et sain toute l'année10. En jardinant biologiquement sur votre balcon, vous aidez à protéger l'environnement et profitez des avantages de cultiver vos propres légumes et herbes.
FAQ
Quels légumes sont les plus adaptés à un potager sur balcon ?
Les légumes comme les tomates et les poivrons sont parfaits pour un balcon. Les radis aussi. Les herbes comme le basilic et la menthe prennent peu d'espace.
Comment maximiser l'espace sur un balcon pour le jardinage ?
Utilisez des potagers verticaux pour plus de plantes. Les systèmes de cultures superposés sont aussi efficaces. L'aquaponie et l'hydroponie aident à utiliser l'espace.
Quelles sont les meilleures pratiques pour l'entretien d'un potager en balcon ?
Choisissez un bon terreau pour nourrir vos plantes. Arrosez-les souvent. Évitez les pesticides en utilisant des méthodes écologiques.
Changez les plantes pour éviter les maladies. Le compostage est aussi bon pour votre potager.
Quelle exposition à la lumière est nécessaire pour les plantes en pot ?
Les légumes ont besoin de 6 heures de lumière directe par jour. Protégez-les des vents et des ombres.
Quels types de pots sont les meilleurs pour le jardinage sur balcon ?
Les pots en terre cuite, plastique recyclé et bois sont durables. Choisissez la bonne taille et profondeur pour vos légumes.
Quels sont les avantages de cultiver des légumes bio sur un balcon ?
Cultiver des légumes bio rend vos aliments plus sains. Cela réduit l'empreinte écologique. Et vous vous sentez plus connecté à la nature.
Comment créer un environnement favorable pour un potager de balcon ?
Utilisez des paravents pour un meilleur microclimat. Assurez-vous d'une bonne lumière. Choisissez des plantes adaptées à l'urbain pour une croissance optimale.
Quelles techniques de plantation sont les plus efficaces pour un potager en petit espace ?
Le semis en godet aide à la croissance. L'espacement entre les plantes est crucial pour une bonne production dans un petit espace.
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Andromeda est une petite ville située au cœur de la forêt de Tillamook, dans l'Oregon, nichée entre océan et montagnes. Avec une population de 20 738 habitants, Andromeda est un endroit où l'histoire et les légendes urbaines ne font qu'un.
La ville est connue pour son atmosphère mystérieuse et ses légendes urbaines. D'aussi loin qu'on s'en souvienne, les habitants d'Andromeda racontent des histoires de phénomènes surnaturels et de rencontres avec des créatures étranges. Certains prétendent avoir vu de curieuses lumières dans le ciel la nuit, tandis que d'autres affirment avoir été témoin de manifestations paranormales dans les vieilles maisons abandonnées qui parsèment les environs. L'histoire d'Andromeda remonte à plusieurs siècles, les premiers colons ayant établi la ville dans les années 1800, attirés par les riches ressources naturelles de la région. Si à ses débuts la ville était très appréciée des nouveaux arrivants et dynamique pour l'époque, au fil du temps, Andromeda est devenue un endroit isolé, coupé du reste du monde. Les routes menant à la ville sont peu à peu abandonnées, faute d'entretien et de passage réguliers, contribuant à l'isolement de la bourgade déjà difficilement accessible.
La ville elle-même est un mélange unique d'architecture ancienne et de bâtiments plus modernes. Dans le centre historique, les rues sont bordées de vieilles maisons victoriennes et de boutiques atypiques, accentuant l'ambiance étrange et étouffante d'Andromeda. Les habitants sont fiers de leur patrimoine et de leur histoire, mais ils sont également conscients des légendes sombres qui entourent leur ville. La plus célèbre, celle racontée à tous les nouveaux venus, à toutes les soirées autour d'un feu de camp, à tous les enfants le soir d'Halloween, est celle de Lonely Maddie. On dit que son esprit hante la forêt environnante, apparaissant aux voyageurs égarés et aux curieux qui s'aventurent trop loin. Les habitants ont appris à respecter la nature et à éviter les zones les plus reculées, craignant de rencontrer le fantôme.
Malgré tout, Andromeda reste appréciée des familles y résidant, généralement présentes depuis des générations. La communauté locale est soudée et organise régulièrement des événements culturels et des festivals pour célébrer leur histoire et leur identité unique. Les marchés fermiers locaux proposent des produits frais et des spécialités régionales, tandis que les galeries d'art exposent des œuvres d'artistes locaux talentueux.
La nature environnante, même si parfois inquiétante, est un véritable trésor pour les habitants d'Andromeda. Les montagnes offrent des possibilités infinies de randonnées et d'explorations, avec des sentiers sinueux qui serpentent à travers la forêt dense. L'accès direct à l'océan Pacifique est parfait pour la pêche et les sports nautiques, attirant les amateurs de plein air de tous horizons.
#gravity falls#pacific northwest#pnw gothic#projet forum#projet rpg#rpg#rpg francophone#stranger things#twin peaks#forum rpg
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Global Style Battles
Modes et Sud Cultures Urbaines
Daniele Tamagni
Préface de Rosario Dawson et Abrima Erwiah
Dominique Carré, Paris 2015, 292 pages, 17x24cm, ISBN 9782373680096
euro 28,00
email if you want to buy [email protected]
Ce livre est un mélange de situations spontanées. Son maître mot - identité - est illustré dans des contextes géographiques très différents, où est née une métaculture populaire, profondément enracinée, qui est à la fois un pied de nez à la culture coloniale ou occidentale et la source d'une grande créativité. Le fil rouge est tissé des nombreuses interviews réalisées au cours de ses différents voyages par Daniele Tamagni, interviews qui rendent compte de façon personnelle des modes de vie, des styles et des rêves d'une autre identité, de la part des sujets photographiés. En choisissant des pays ou des villes loin du contexte habituel de la mode, le livre donne un aperçu du phénomène de globalisation des styles, mais aussi de la résistance et de la préservation des traditions. Le livre détaille le quotidien de différentes populations dont le rapport à la mode est signe d'un activisme créatif et joyeux créatif. Les rockers du Botswana, les hipsters de Johannesburg, les dandys du Congo, les lutteuses de Bolivie, la jeunesse cubaine bling-bling, tous sont photographiés et se racontent dans la consciences de leur univers marginal dont ils veulent se démarquer. Etre à la mode, se déguiser, est un outil plantaire d'identité. Le livre vise à offrir un large éventail de pratiques urbaines, sans exclusion d'aucun aspect en termes de race, de sexe, d'âge ou de zones géographiques. Les gens sont dépeints dans différentes situations et contextes mais photographiés comme ils apparaissent naturellement dans un mélange des portraits posés, des portraits en mouvement et de détails. Les couleurs vives sont une des clés communes. Chaque chapitre est introduit par un écrivain (journaliste, chercheur) qui a été au contact de chacune des communautés. Tous racontent la multiplicité des relations et des contradictions à l'oeuvre : l'élégance vs kitsch, luxe / consumérisme vs pauvreté, tradition vs modernité, transformation vs uniformité, l'individuel / particularité vs généralité, originalité vs stéréotype.
Daniele Tamagni (1975-2017), de nationalité italienne, débute sa carrière comme historien de l'art avant de devenir photographe free-lance. Il se fait connaître en remportant en 2007 le Canon Young Photographer Award avec un reportage sur les dandys congolais. Il publie en 2009 Gentlemen of Bacongo avec une préface de Paul Smith, qui s'est inspiré de ses photographies pour sa collection printemps-été 2010. Il remporte en 2011 le World Press Photo in Arts & Entertainment avec son reportage sur les catcheuses de La Paz, en Bolivie.
05/04/24
#Daniele Tamagni#Global Style Battle#Botswana#Congo#Bolivie#Cuba#Johannesburg#photography books#libri fotografia#fashion books#fashionbooksmilano
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La 5G au Sénégal : les consommateurs en pure perte du signal
Dans un paysage où l'attente est palpable, l'annonce par certains opérateurs de télécommunications de la disponibilité ainsi que la commercialisation de la 5G au Sénégal suscite un mélange d'enthousiasme et d'interrogations légitimes si on se réfère aux prérequis obligatoires impliqués dans son déploiement. En effet, il est crucial de rappeler que la technologie 5G se déploie à pas mesurés, entre complexités techniques et impératifs de performance. Décortiquons ensemble les nuances de cette avancée.
D'un côté, la 5G NSA (Non-Standalone) s'appuie sur les infrastructures existantes pour offrir une connectivité améliorée, mais ses performances pourraient être en deçà de la 5G SA (Standalone) qui exige une infrastructure dédiée, offrant des performances optimales et de nouvelles fonctionnalités. C'est là un choix crucial pour les opérateurs, entre rapidité de déploiement et potentiel accru.
Comparativement, la 4G offre un débit de 1 Gbit/s par cellule, partagé entre les habitants couverts par cette cellule, ce qui équivaut à environ 30 Mbit/s par utilisateur. Ainsi, la 5G NSA ou SA propose une vitesse environ 100 fois supérieure à celle de la 4G, avec une latence réduite d'environ 10 fois et une densité pouvant accueillir environ 100 fois plus d'appareils connectés simultanément. De plus, la consommation d'énergie de la 5G est estimée à 90 % inférieure à celle de la 4G, ce qui la rend plus efficace sur le plan énergétique.
En somme, l’argumentation technique précédente explique pourquoi la 5G est souvent comparée à la fibre optique sans fil, car elle apporte des changements significatifs. En effet, elle offre un débit théorique estimé à 1 Tbit/s par km2, bien que ce chiffre puisse varier selon différents facteurs tels que la densité de la population et la congestion du réseau. Typiquement, la 5G assure un débit d'environ 100 Mbit/s par utilisateur, mais ce chiffre peut fluctuer en fonction des conditions du réseau.
En outre, quel que soit le type de technologie 5G choisi, le déploiement nécessite plusieurs prérequis obligatoires. En premier lieu, l’obtention d’un spectre de fréquences adapté. Ainsi, les opérateurs doivent d’abord installer des antennes dans des bandes de fréquences spécifiques, telles que la bande des 3,5 GHz (3,4 - 3,8 GHz), cœur de la 5G, pour assurer une meilleure couverture et une bonne pénétration à l'intérieur des bâtiments. Cette bande de fréquences permet d'avoir les meilleurs débits en 5G mais à faible latence tout en ayant une bonne longueur d'ondes qui permet des transferts de données très rapides. Cependant, elles ont une portée moyenne de 400 mètres en zone urbaine et 1,2 km en zone rurale.
En second lieu, ils doivent installer d’autres antennes (ou upgrader leurs antennes 4G) dans la bande de fréquences basses des 700 MHz (694 - 790 MHz) qui est également cruciale et octroie une grande portée de 2 km en zone urbaine et 8 km en zone rurale. En revanche, la bande des 700 MHz n'est pas celle qui permet de délivrer les meilleurs débits, d’où l’intérêt d’être dans ces deux tranches de fréquence qui sont nécessaires à la 5G et qui offrent le très haut débit, la grande portée. Cependant, il est recommandé de déployer environ 70 % d'antennes à basse fréquence et 30 % à moyenne fréquence pour la 5G NSA, et environ 80 % d'antennes à basse fréquence et 20 % à moyenne fréquence pour la 5G SA.
Enfin, pour répondre à l'explosion de la consommation de data, les opérateurs doivent également installer des antennes dans la bande des 26 GHz (24,25 - 27,5 GHz), qui offre un très large spectre mais aussi des débits comparables à ceux de la fibre Optique. Cependant, elle offre une portée limitée, de l'ordre de 150 mètres en zone urbaine, ce qui nécessitera le déploiement d'un grand nombre d'antennes.
Par conséquent, malgré cette perspective prometteuse des opérateurs, des zones d'ombres persistent. En effet, le choix de la technologie NSA par les opérateurs de la place nécessite une mise à niveau du cœur de leurs réseaux et équipements actifs ainsi que des antennes 4G en sus du déploiement de nouvelles antennes de relais spécifiques à la 5G. Cependant, il est préoccupant de constater l'absence remarquée d'antennes de relais dans les bandes des 3,5 GHz et 26 GHz dans les villes et sur les toits des bâtiments. Alors que, ces antennes sont essentielles pour garantir une couverture optimale en 5G, quelle que soit la technologie choisie (NSA ou SA). Ces interrogations suscitent des inquiétudes légitimes quant à la qualité et à la fiabilité du déploiement de la 5G, surtout dans les zones urbaines.
Dans ce contexte, le besoin de transparence et de surveillance accru se fait sentir. Les consommateurs aspirent à une assurance quant à la qualité des services et au respect des normes établies. C'est là que l'intervention des autorités de régulation devient primordiale, avec des audits réguliers pour garantir un déploiement transparent et conforme de la 5G. Par ailleurs, la 5G représente bien plus qu'une simple évolution technologique. Elle incarne l'avenir connecté du pays, avec des promesses de débits vertigineux et de latences réduites. Mais pour que ces promesses deviennent réalité, il est essentiel que les opérateurs répondent aux attentes des clients et que les autorités veillent au respect des normes et à la qualité des services. Ainsi, nous pourrons tous embrasser pleinement les opportunités offertes par cette révolution numérique.
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Couleurs de zone.
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Les quartiers de Downhill
⸻ centre-ville, Old Towne
Cœur bourdonnant de Downhill, le centre-ville rivalise d'inventivité pour offrir de quoi faire à ses habitants et les quelques visiteurs qu'il accueille tout au long de l'année. Presque tout y est toujours ouvert, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, si bien qu'on ne peut jamais s'y ennuyer. C'est comme si la ville n'avait jamais besoin de trouver le sommeil. Si le centre-ville accueille avant tout de nombreux commerces et les bureaux de diverses entreprises, on peut malgré tout y trouver des logements qui varient entre des appartements étroits mais abordables aux grands appartements et lofts luxueux.
⸻ ceinture urbaine, Parker's Lane
Banlieue qui encercle le centre-ville, Parker's Lane n'était au départ qu'une simple avenue, mais les années et l'expansion de la ville l'ont forcée à s'étendre jusqu'à ce qu'elle devienne la ceinture qu'elle est aujourd'hui, avec ses nombreux bras qui s'étendent vers l'horizon. Bien moins animé que le centre-ville, Parker's ressemble plus à l'image que l'on se ferait d'une petite ville américaine sans importance. Ici, on oublie les grandes chaînes commerciale, on n'y trouve que de petites boutiques locales et sans ambition. Vivre à Parker's revient aussi beaucoup moins cher que le centre-ville, avec l'avantage de pouvoir s'offrir une maison.
⸻ zone industrielle, Eastwater
Eastwater a la réputation qu'il mérite, malgré son nom qui rappelle le sens de l'humour des habitants. Coin reculé de la ville, un peu délaissé par le temps et abandonné par le désintérêt du reste de la ville. Ce sont vieux entrepôts, usines encore en activité et endroits insalubres qui peignent une grande partie de son paysage. En se rapprochant de la ville, on y retrouve des maisons, moins grandes qu'à Parker's Lane et bien plus délabrées, ainsi qu'un trailer park et surtout, en face de ce-dernier, son motel miteux mais tant adoré.
⸻ zone résidentielle, Cove Road
Une immense maison avec vue sur la mer, est-ce que ce ne serait pas ça le rêve américain ? C'est en tout cas ce que pensaient ceux qui ont construits Cove Road, au diable les arbres centenaires, on veut un vrai paysage qui donne envie de se réveiller le matin. Cove Road est un endroit idyllique, qui donne l'impression de ne pas vraiment avoir sa place ici en plein milieu de l'Indiana. Les plus fortunés de Downhill y ont élu domicile dans leurs grandes et belles maisons qui valent des centaines de milliers, voire beaucoup plus. Et ils s'y sentent merveilleusement bien.
⸻ lac et alentours, Chester's Lake
Les forêts qui encerclent la ville et les alentours qui donnent des frissons à tout ceux qui oublient que la nature sauvage reprend toujours ce qui lui revient de droit, son lac immense qui ferait rougir de honte le lac Michigan, et surtout ses brouillards épais et inquiétants qui décorent le bon matin. Il y a aussi le club de paddle et d'aviron au bord du lac, une adorable petite escapade nautique pour ceux qui n'ont pas peur de tomber à l'eau.
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L'urbanisme subit depuis cinquante ans la dictature de la laideur, du non-sens ou du court terme : cités-dortoirs sans horizon, zones pavillonnaires sans âme, banlieues grises servant de dépotoirs municipaux, interminables centres commerciaux qui défigurent l'entrée des villes, proliférations des “ non-lieux ” anonymes qui s'adressent à des usagers pressés, centres-villes livrés aux seuls commerces et dépouillés de leur vie traditionnelle (cafés, universités, théâtres, cinémas, squares, etc.), juxtaposition d'immeubles sans style commun, quartiers délabrés et laissés à l'abandon entre deux rafistolages ou, au contraire, surveillés en permanence par des vigiles et des caméras-espions, désertification des campagnes et surpopulation urbaine.
On ne construit plus des habitats pour vivre, mais pour survivre dans un environnement urbain défiguré par la loi de la rentabilité maximale et de la fonctionnalité rationnelle. Or, un lieu est d'abord un lien : travailler, circuler, habiter, ne désignent pas des fonctions isolables, mais des actes complexes intéressant la totalité de la vie sociale.
La ville doit être repensée comme le lieu de rencontre de toutes nos potentialités, le labyrinthe de nos passions et de nos actions, plutôt que comme l'expression géométrique et froide de la rationalité planificatrice. Architecture et urbanisme s'inscrivent par ailleurs dans une histoire et une géographie singulières dont ils doivent être le reflet. Cela implique la revalorisation d'un urbanisme enraciné et harmonieux, la réhabilitation des styles régionaux, le développement des hameaux et des villes moyennes en réseau autour des capitales régionales, le désenclavement des régions rurales, la destruction progressive des cités-dortoirs et des concentrations strictement commerciales, l'élimination d'une publicité omniprésente, ainsi que la diversification des modes de transport : abolition de la dictature de la voiture individuelle, transport de marchandises par le rail, revitalisation des transports en commun, prise en compte des impératifs écologiques.
Manifeste : la Nouvelle Droite de l'an 2000.
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«Il fait trop chaud pour travailler», disait la publicité dans les années 90. D’accord, mais à part boire un Pulco, on fait quoi ? Alors que les phases caniculaires tendent à se répéter année après année, la question est sérieusement posée. Car face à un code du travail pour le moins discret, la documentation du risque se fait de plus en plus abondante. L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), spécialisé dans la prévention des risques au travail, estime qu’«au-delà de 30°C pour une activité sédentaire, et 28°C pour un travail nécessitant une activité physique, la chaleur peut constituer un risque pour les salariés».
Or, depuis quelques étés, ces températures virent au banal en extérieur. A partir de ce jeudi 17 août et pour plusieurs jours, des températures très élevées devraient ainsi s’installer sur une bonne partie du pays, avec des pointes à 40°C attendues dans le Midi.
Le secteur du bâtiment parmi les plus exposés
Les métiers concernés sont nombreux, et leurs effectifs considérables. Selon l’enquête «Sumer», menée par la direction de la recherche du ministère du Travail, près de 1,5 million de salariés «travaillent au chaud» – soit plus 24°C – et 3,6 millions travaillent en extérieur. Mais ils sont près de 9,7 millions de travailleurs à se dire incommodés par la chaleur dans leur activité professionnelle, selon l’enquête «Conditions de travail» menée par la même Dares.
Au final, on estime donc que 14 à 36 % des salariés sont soumis à la chaleur dans leur activité professionnelle. [...] Dans l’enquête Conditions de travail, plus de 80% des ouvriers qualifiés des travaux publics, du béton et de l’extraction disent subir un «inconvénient du travail lié à une température élevée».
Des conséquences sur le stress, la fatigue et la concentration
Dans la construction de routes par exemple, «on réceptionne le matériau entre 160 et 180°C, et on a les pieds dessus», explique Frédéric Mau, secrétaire fédéral de la CGT Construction. «Quand il fait 33°C au thermomètre, nous au sol on est déjà à 45°C.» La proportion est similaire chez les jardiniers et les maraîchers, et dépasse les 70 % chez les agriculteurs, les sylviculteurs et les bûcherons.
Les conséquences de la chaleur sur la santé des travailleurs sont connues. En premier lieu, ceux-ci subissent «un “stress thermique” qui favorise la fatigue, voire l’épuisement, et diminue un certain nombre de capacités : baisse de la vigilance et de la concentration, moindre qualité de traitement des informations, augmentation des temps de réaction, vision troublée, nervosité et modification de l’humeur, etc.», liste France Stratégie dans une note d’analyse publiée fin juin.
Mais il y a aussi des conséquences indirectes : «Dans le secteur manufacturier, une étude récente a montré qu’à partir de sept jours de température située au-dessus de 35°C, une augmentation de 5 % d’absentéisme est observée», relève France Stratégie, en soulignant que «les réorganisations en “flux tendu” qui en découlent peuvent ensuite favoriser une intensification du travail avec toutes les conséquences que cela peut produire en matière de santé».
Une aggravation des inégalités sociales
A quoi s’ajoute une réalité sociologique : bien souvent, les travailleurs concernés souffrent d’autres facteurs aggravants «liés à leurs conditions de vie». Ainsi, ils vivent plus que d’autres dans des logements mal isolés, eux-mêmes situés dans des quartiers éloignés de leur lieu de travail, qui peuvent être une «zone urbaine délaissée et touchée par le phénomène de l’îlot de chaleur urbain». [...]
Et les solutions parfois adoptées par les entreprises, comme une adaptation des horaires pour faire démarrer les chantiers aux aurores, souffrent de certains revers : en faisant se lever les salariés au moment le plus frais de la nuit, donc lorsque leur sommeil pourrait être le plus réparateur, on prend le risque de les fatiguer davantage, font valoir des syndicats.
Pouvoir moins travailler pendant les épisodes de chaleur
Le code du travail est-il suffisamment garni pour répondre à cette situation ? Non, estiment des partis politiques de gauche. Dans un «plan d’urgence pour passer l’été» présenté en cet été, Europe Ecologie-les Verts plaide pour introduire dans le code du travail «la possibilité d’exercer son droit de retrait lorsque la température est d’au moins 33°C». A LFI, les députées Mathilde Panot et Caroline Fiat ont, elles, déposé une proposition de loi contenant quelques évolutions législatives.
Certaines sont liées à l’activation des niveaux de vigilance météorologique : un temps de travail journalier qui ne peut excéder six heures en cas de vigilance orange (niveau 3), une obligation pour l’employeur de prendre «les mesures nécessaires pour permettre aux travailleurs d’arrêter temporairement leur activité sans perte de salaire» en cas de vigilance rouge (niveau 4). Et, dès lors que la température dépasse 28°C sur le lieu de travail en extérieur, un droit à des pauses plus longues et plus régulières sans perte de salaire.
L’exemple du «chômage intempérie»
Côté syndical, toutes ces idées ne sont pas accueillies de la même manière. Pour Frédéric Mau, de la CGT, la proposition écolo d’un droit de retrait à partir de 33°C constitue en réalité un recul : «Le droit de retrait est déjà dans le code du travail, à l’initiative du salarié quand il s’estime en danger. Le fait d’inscrire une température réduit ce droit !» [...]
En revanche, une idée qui figure dans la proposition de LFI semble emporter une forme d’unanimité, y compris patronale. Ce qui n’était pas forcément évident au départ [...]. Cette idée consiste à faire évoluer le dispositif du «chômage intempérie» dont s’est doté le secteur du BTP dans les années 50 pour, à l’époque, minimiser les frais en cas d’arrêt des chantiers pour cause de pluie, de tempête ou de neige. Proche du chômage partiel, la formule consiste en une indemnisation du salarié privé de travail à hauteur d’environ 75% de son salaire brut, tandis que l’employeur est lui-même indemnisé par une caisse abondée par des cotisations émanant des entreprises du BTP.
«Depuis 2004, le régime de chômage intempéries du BTP a mis en place une commission canicule qui indemnise au cas par cas, mais ce n’est pas généralisé», explique Sophie Sebah, directrice des relations du travail et de la protection sociale à la Fédération nationale des travaux publics (FNTP).
Début mai, les quatre branches du secteur, dont la FNTP et la plus puissante encore Fédération française du bâtiment (FFB) ont donc écrit au ministre du Travail, Olivier Dussopt, pour lui demander que la canicule soit intégrée parmi les risques climatiques permettant d’activer le «chômage intempéries». Même si «cela ne peut pas constituer l’alpha et l’omega», l’idée est accueillie favorablement par la CGT… «en attendant les transformations de fond», précise Frédéric Mau. Qui prévient, en écho à la dernière réforme des retraites : «Quand on fera travailler des gens de 64 ans par 50°C, le Covid et ses 150 000 morts apparaîtront comme une blague à côté de ce qui se passera.»
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Séance #14 - Internet, technologie gratuite mais inégalitaire ?
Internet, cette invention révolutionnaire ayant complètement bouleversé l’organisation de la majorité des sociétés. Malgré sa gratuité et son libre accès, cette technologie n’échappe pas aux différentes inégalités sociodémographiques.
Tout d’abord, un retour aux sources s’impose. Internet fait partie de la vie d’un grand nombre de personnes. D’ailleurs, de plus en plus de générations naissent et grandissent avec Internet, ce qui a pour conséquence une très grande aisance d’utilisation de cette technologie ainsi que de ses capacités. Toutefois, il est important de rappeler qu’Internet est une technologie encore très récente, officiellement mis en place le 12 mars 1989 par Tim Berners-Lee, sous le nom de « Word Wild Web » (epitech, 2022, p.1).
On peut donc facilement remarquer, au vu de la jeunesse de la technologie qu’il existe deux catégories dans la population : les natifs numériques, désignant l’ensemble des individus ayant grandi avec le numérique, le maitrisant donc en grande majorité. La deuxième catégorie utilise le terme d’immigrants numériques, désignant les générations ayant grandi/vécu une partie de leur vie sans Internet (Statistiques Canada, 2019, p.4). Pour ces personnes, la compréhension du fonctionnement d’Internet est souvent un défi.
L’accès à Internet est un problème dans de nombreuses zones géographiques à faible densité de population. C’est notamment le cas au Canada, où Internet n’est pas accessible de façon stable ou assez forte dans de nombreuses zones rurales :
« Au Canada, 98,6 % des ménages urbains ont accès à des services Internet à large bande (à 50/10 Mbps avec transfert illimité), tandis que 45,6 % des ménages résidant dans les communautés rurales disposent de ce même accès. Ces dernières ont accès au réseau mobile LTE, et ce, à un taux de 97,4%, mais ce réseau comporte l’inconvénient de n’être utilisable qu’à partir d’un téléphone cellulaire. » (INSPQ, 2021, p.5).
Cela signifie donc que les populations rurales sont obligées de posséder un téléphone intelligent, chose à laquelle encore beaucoup d’immigrants numériques ne sont pas forcément à l’aise. De plus, le réseau LTE se veut parfois capricieux, ce qui peut potentiellement entrainer un accès plus difficile à Internet ou de mauvaise qualité.
Pour conclure, malgré l’omniprésence d’Internet dans notre société, il existe encore beaucoup d’inégalités d’accès et de connaissances vis-à-vis de cette technologie. De par la proportion que prend cette dernière dans nos vies, il est important de développer son accès davantage ainsi que d’éduquer du mieux possible les populations.
Bibliographie :
Davidson, J et Schimmele, C. (10 juillet 2019). Evolution d’Internet chez les aînés canadiens. Statistiques Canada. https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/11f0019m/11f0019m2019015-fra.htm
Epitech. (15 juin 2022). La naissance d’Internet et du World Wild Web : vers la connectivité à l’échelle mondiale. https://www.epitech.eu/fr/actualites-evenements/quand-et-comment-est-ne-internet/#:~:text=Internet%20est%20officiellement%20n%C3%A9%20le,fichiers%20et%20de%20courriers%20%C3%A9lectroniques.
Institut National de Santé Publique du Québec. (Juin 2021). Inégalités d’accès et d’usage des technologies numériques : un déterminant préoccupant pour la santé de la population ? INSPQ. https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/publications/3148-inegalites-acces-usage-technologies-numeriques.pdf
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Global Style Battles
Modes et Sud Cultures Urbaines
Daniele Tamagni
Préface de Rosario Dawson et Abrina Erwiah
Dominique Carré éditeur / La Découverte, Paris 2015, 292 pages, 17x14cm, ISBN 9782373 680096
euro 45,00
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Ce livre est un mélange de situations spontanées. Son maître mot - identité - est illustré dans des contextes géographiques très différents, où est née une métaculture populaire, profondément enracinée, qui est à la fois un pied de nez à la culture coloniale ou occidentale et la source d'une grande créativité. Le fil rouge est tissé des nombreuses interviews réalisées au cours de ses différents voyages par Daniele Tamagni, interviews qui rendent compte de façon personnelle des modes de vie, des styles et des rêves d'une autre identité, de la part des sujets photographiés. En choisissant des pays ou des villes loin du contexte habituel de la mode, le livre donne un aperçu du phénomène de globalisation des styles, mais aussi de la résistance et de la préservation des traditions. Le livre détaille le quotidien de différentes populations dont le rapport à la mode est signe d'un activisme créatif et joyeux créatif. Les rockers du Botswana, les hipsters de Johannesburg, les dandys du Congo, les lutteuses de Bolivie, la jeunesse cubaine bling-bling, tous sont photographiés et se racontent dans la consciences de leur univers marginal dont ils veulent se démarquer. Etre à la mode, se déguiser, est un outil plantaire d'identité. Le livre vise à offrir un large éventail de pratiques urbaines, sans exclusion d'aucun aspect en termes de race, de sexe, d'âge ou de zones géographiques. Les gens sont dépeints dans différentes situations et contextes mais photographiés comme ils apparaissent naturellement dans un mélange des portraits posés, des portraits en mouvement et de détails. Les couleurs vives sont une des clés communes. Chaque chapitre est introduit par un écrivain (journaliste, chercheur) qui a été au contact de chacune des communautés. Tous racontent la multiplicité des relations et des contradictions à l'oeuvre : l'élégance vs kitsch, luxe / consumérisme vs pauvreté, tradition vs modernité, transformation vs uniformité, l'individuel / particularité vs généralité, originalité vs stéréotype.
Daniele Tamagni, de nationalité italienne, débute sa carrière comme historien de l’art avant de devenir photographe free-lance. Il se fait connaître en remportant en 2007 le Canon Young Photographer Award avec un reportage sur les dandys congolais. Il publie en 2009 Gentlemen of Bacongo avec une préface de Paul Smith, qui s’est inspiré de ses photographies pour sa collection printemps-été 2010. Il remporte en 2011 le World Press Photo in Arts & Entertainment avec son reportage sur les catcheuses de La Paz, en Bolivie. Depuis 2001, Tamagni centre son travail sur l’esthétique des différentes modes de la rue. Ses photographies ont été exposées dans les plus importants musées et galeries privées internationaux.
28/03/24
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