#y a probablement beaucoup de fautes
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mochademic · 11 months ago
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100 Days of Productivity [Day: 55] || 100 Jours de Productivité [Jour: 55]
this holiday season I am extra thankful for caffeine, as I would not be surviving without it. I don’t think I’ve gotten to bed before 2A.M. for the last week, but somehow I’m still able to wake up for 6 without a problem. I haven’t been stressed; on the contrary, I’ve been quite satisfied & thankful. looking at where I was at the beginning of this year compared to now is almost surreal. & the best part of it all? I vowed to take this year slowly. I told myself I would stop over-working for the sake of the “grind-set”. the truth — or at least my truth — is that you must first get to know who you are & where your limits really are before you can successfully challenge yourself without burnout. could I have gotten more done? sure. we can always get more done. but that’s because there’s always going to be something else. but I’ve accomplished more than I ever have, & I have the results to prove it.
after finishing my first market weekend, I spent today working on custom orders & answering emails. this is probably one of the last days I’ll have this week to get preliminary work out of the way. I’m making the most of it.
currently listening // labour by Paris Paloma
En cette pĂ©riode de fĂȘtes, je suis particuliĂšrement reconnaissante Ă  la cafĂ©ine, sans laquelle je ne survivrais pas. Je ne pense pas m'ĂȘtre couchĂ© avant 2 heures du matin la semaine derniĂšre, mais j'ai rĂ©ussi Ă  me rĂ©veiller pour 6 heures sans problĂšme. Je n'ai pas Ă©tĂ© stressĂ© ; au contraire, j'ai Ă©tĂ© trĂšs satisfait et reconnaissant. Regarder oĂč j'en Ă©tais au dĂ©but de l'annĂ©e par rapport Ă  maintenant est presque surrĂ©aliste. et le meilleur dans tout ça ? Je me suis promis de prendre cette annĂ©e au ralenti. Je me suis dit que j'arrĂȘterais de me pousser jusqu'au point de rupture au nom du "grind-set" dont beaucoup de gens disent qu'il est nĂ©cessaire pour rĂ©ussir. La vĂ©ritĂ© - ou du moins ma vĂ©ritĂ© - est qu'il faut d'abord apprendre Ă  se connaĂźtre et Ă  connaĂźtre ses limites avant de pouvoir se lancer des dĂ©fis sans s'Ă©puiser. Aurais-je pu en faire plus ? Bien sĂ»r, il est toujours possible d'en faire plus. Mais c'est parce qu'il y a toujours quelque chose d'autre Ă  faire. Mais j'en ai fait plus que je n'en ai jamais fait, et j'ai les rĂ©sultats pour le prouver.
AprÚs avoir terminé le premier week-end de marché, j'ai passé la journée d'aujourd'hui à travailler sur des commandes personnalisées et à répondre à des courriels. C'est probablement l'un des derniers jours que j'aurai cette semaine pour faire du travail préliminaire. Je vais donc en profiter au maximum.
Chanson // labour par Paris Paloma
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odusseus-xvi · 8 months ago
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DĂ©solĂ©, je tiens juste Ă  dire que je suis exactement comme l'autre anonyme... J'avais littĂ©ralement 'mcyt' filtrĂ© sur Twitter et Tumblr tellement j'avais une mauvaise image des fans et du peu des crĂ©ateurs de contenu que je connaissais (Dream et de nom Quackity) et quand l'annonce est arrivĂ©e je me suis dit 'Étoiles et Kameto seront cancel en 5min top'. Bon, c'est pas exactement ce qui s'est passĂ©, mais malgrĂ© les craintes que j'ai eu qui ont finis par se produire, le mĂ©lange de culture Ă©tait tellement beau que je l'ignorais (en plus des oublis des francophones et des fans qui faisaient des cacas nerveux par rapport au rp sur l'autre rĂ©seau maudit). Finalement, ceux qui aimaient pas 'mcyt' repartent avec la mĂȘme rĂ©putation qu'on avait au dĂ©but et mĂȘme avec tout l'amour que j'avais pour l'/idĂ©e/ du projet, ça faisait longtemps que j'avais pas vu un merdier pareil. Courage Ă  ceux qui continueront Ă  regarder! ♄
Alors faut se dire que c'est pas MCYT qui fait ça, c'est l'internet en général et particuliÚrement, celui Américain, pour beaucoup de choses.
Il y a plein d'aspects sympa au MCYT, c'est juste que comme c'est probablement l'une des communauté internet LES PLUS GRANDES ben forcément, dedans ben ya plein d'embrouilles. On verra bien pour le futur mais à mon avis QSMP... Je sais pas s'il va vraiment se relever. Les interactions entre Streamers du QSMP par contre je pense que ça peut continuer, et ça c'est bien.
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sissa-arrows · 6 months ago
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Quand je pense qu'il y a des milliers d'AlgĂ©riens qui sont coincĂ©s en Nouvelle-Caledonie depuis des dĂ©cennies Ă  cause de la France... Je n'ai pas pu voir mon pays pendant 9 mois et j'ai eu l'impression d'Ă©touffer. Ça fait des gĂ©nĂ©rations qu'ils n'ont pas vu leur pays pour qui ils ont sacrifiĂ© leurs vies. Certains sont morts lĂ  bas sans jamais avoir pu retourner en AlgĂ©rie. À chaque vidĂ©o que je regarde Ă  ce sujet je les vois en train de pleurer. Leur patrie, leur pays leur manque. J'ai envie de pleurer. Pourquoi l'AlgĂ©rie ne les a pas rapatriĂ©s plutĂŽt ? Je ne comprends pas. Ça me brise le cƓur.
Alors beaucoup d’entre eux me faisait de la peine jusqu’à que j’apprenne qu’en fait ils savent pas ce que c’est d’ĂȘtre AlgĂ©riens.
Une des raisons pour laquelle la France a crĂ©Ă© un bagne en Kanaky c’était pas que la gĂ©ographie c’était aussi pour monter les colonisĂ©s les uns contre les autres. Les AlgĂ©riens envoyĂ©s lĂ  bas Ă©tait tous (ou quasiment tous) des hommes. Donc tout ces “AlgĂ©riens de Kanaky” leur dernier ancĂȘtres 100% AlgĂ©rien date de 1870. Ils sont tous mĂ©tissĂ©s caldoches/AlgĂ©riens ou AlgĂ©riens/mĂ©lanĂ©siens (principalement Kanak). Le mĂ©tissage a Ă©tĂ© fait sur plusieurs gĂ©nĂ©rations donc au final ils ont plus une culture de Caldoches ou de Kanak. Ceux qui ont un culture de Kanak pas de soucis ils se rappellent de ce que c’est d’ĂȘtre AlgĂ©rien et s’ils veulent ĂȘtre rapatriĂ© (ils veulent pas ils veulent juste visiter une partie de la terre de leurs ancĂȘtres et certains ont pu le faire) pas de soucis ils sont les bienvenus. Ceux qui ont une culture de caldoches? Ceux la, la France peut les garder/rĂ©cupĂ©rer aprĂšs la libĂ©ration de la Kanaky.
Beaucoup de ceux qu’on voit pleurer me faisait de la peine jusqu’à que je rĂ©alise qu’ils soutiennent le colonialisme Français en Kanaky et qu’ils pleurent pour l’Algerie plus comme un pied noir ou un harki pleure pour l’Algerie que comme une AlgĂ©rien pleure pour l’Algerie.
De la mĂȘme maniĂšre que le simple fait qu’une personne est noir ou arabe ou plus largement racisĂ©s ne fait pas d’elle automatiquement un alliĂ© dans la lutte contre la suprĂ©matie blanche, avoir un ancĂȘtre qui a luttĂ© contre le colonialisme et sacrifiĂ© beaucoup ne veut pas dire que la personne est forcĂ©ment un alliĂ© contre le colonialisme.
Perso je pense qu’il faudrai soit conditionner la double nationalitĂ© (franco-AlgĂ©rienne) Ă  un positionnement contre la colonisation de la Kanaky par la France. Mais ce serai trĂšs compliquĂ©. Soit il faut attendre la libĂ©ration de la Kanaky et ne donner la double nationalitĂ© (Kanak-AlgĂ©rienne cette fois) qu’à ceux que les Kanak ont acceptĂ© de garder sur leur terre parce qu’ils n’étaient pas des traitres.
Je semble probablement dure mais autant je peux accepter de pas ĂȘtre d’accord avec des AlgĂ©riens sur plein de sujet autant le colonialisme aprĂšs ce que notre peuple a vĂ©cu c’est niet. Et soutenir le colonialisme français en plus quand il est la raison pour laquelle ton ancĂȘtre a Ă©tĂ© dĂ©portĂ© c’est culottĂ©. Ceux qui ont eu un passport AlgĂ©rien Ă  l’indĂ©pendance ça c’est dĂ©terminĂ© non pas Ă  ce que les ancĂȘtres avaient fait ni mĂȘme au sang uniquement ça c’est dĂ©terminĂ© par rapport au positionnement que les gens ont eu face aux colonialisme. La majoritĂ© des AlgĂ©riens « de sang » ont choisis la lutte contre le colonialisme mais les AlgĂ©riens « de sang » qui ont choisis la lutte pour le colonialisme ne sont pas vu comme AlgĂ©riens. En mĂȘme temps des gens comme Audin ou Fanon sont vus comme AlgĂ©riens alors qu’ils ont zĂ©ro sang AlgĂ©rien mais ils se sont positionnĂ©s contre le colonialisme.
Contrairement Ă  ce que je pensais tout les AlgĂ©riens ne naissent pas ‘hor’ et ceux qui ont une culture Caldoche font partie des AlgĂ©riens qui ne sont pas naĂźt avec ce dĂ©sir de libertĂ© et de dignitĂ©. À titre personnel je suis reconnaissante Ă  leurs ancĂȘtres mais ça s’arrĂȘte lĂ .
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pompadourpink · 2 years ago
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The Stranger
Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-ĂȘtre hier, je ne sais pas. J'ai reçu un tĂ©lĂ©gramme de l'asile : « MĂšre dĂ©cĂ©dĂ©e. Enterrement demain. Sentiments distinguĂ©s. » Cela ne veut rien dire. C'Ă©tait peut-ĂȘtre hier.
Today, Mum died. Or maybe yesterday, I don't know. I got a telegram from the asylum: "Mother dead. Burial tomorrow. Sentiments distingués." It doesn't mean anything. Maybe it was yesterday.
L'asile de vieillards est Ă  Marengo, Ă  quatre-vingts kilomĂštres d'Alger. Je prendrai l'autobus Ă  deux heures et j'arriverai dans l'aprĂšs-midi. Ainsi, je pourrai veiller et je rentrerai demain soir. J'ai demandĂ© deux jours de congĂ© Ă  mon patron et il ne pouvait pas me les refuser avec une excuse pareille. Mais il n'avait pas l'air content. Je lui ai mĂȘme dit : « Ce n'est pas de ma faute. »
The old people's home is in Marengo, eighty kilometres from Algiers. I will take the bus at two o'clock and arrive in the afternoon. That way I can stay up and I'll be back tomorrow evening. I asked my boss for two days off and he couldn't refuse me with an excuse like that. But he didn't look happy. I even told him, "It's not my fault."
Il n'a pas rĂ©pondu. J'ai pensĂ© alors que je n'aurais pas dĂ» lui dire cela. En somme, je n'avais pas Ă  m'excuser. C'Ă©tait plutĂŽt Ă  lui de me prĂ©senter ses condolĂ©ances. Mais il le fera sans doute aprĂšs-demain, quand il me verra en deuil. Pour le moment, c'est un peu comme si maman n'Ă©tait pas morte. AprĂšs l'enterrement, au contraire, ce sera une affaire classĂ©e et tout aura revĂȘtu une allure plus officielle.
He did not answer. I thought then that I should not have told him that. In short, I had nothing to apologise for. It was rather for him to offer me his condolences. But he will probably do so the day after tomorrow, when he sees me in mourning. For the moment, it's as if Mum hasn't died. After the funeral, on the contrary, it will be a closed affair and everything will have taken on a more official air.
J'ai pris l'autobus à deux heures. Il faisait trÚs chaud. J'ai mangé au restaurant, chez Céleste, comme d'habitude. Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et Céleste m'a dit : « On n'a qu'une mÚre. » Quand je suis parti, ils m'ont accompagné à la porte. J'étais un peu étourdi parce qu'il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu son oncle, il y a quelques mois.
I took the bus at two o'clock. It was very hot. I ate at the restaurant, at CĂ©leste's, as usual. They all felt very sorry for me and Celeste said, "We only have one mother. When I left, they walked me to the door. I was a bit dizzy because I had to go up to Emmanuel's house to borrow a black tie and an armband. He lost his uncle a few months ago.
J'ai couru pour ne pas manquer le départ. Cette hùte, cette course, c'est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à l'odeur d'essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis assoupi. J'ai dormi pendant presque tout le trajet. Et quand je me suis réveillé, j'étais tassé contre un militaire qui m'a souri et qui m'a demandé si je venais de loin. J'ai dit « oui » pour n'avoir plus à parler.
I ran so as not to miss the start. This hurry, this race, it is because of all this no doubt, added to the bumps, the smell of petrol, the reverberation of the road and the sky, that I dozed off. I slept for most of the journey. And when I woke up, I was pressed up against a soldier who smiled at me and asked me if I had come from far away. I said "yes" so I wouldn't have to talk anymore.
L'asile est à deux kilomÚtres du village. J'ai fait le chemin à pied. J'ai voulu voir maman tout de suite. Mais le concierge m'a dit qu'il fallait que je rencontre le directeur. Comme il était occupé, j'ai attendu un peu. Pendant tout ce temps, le concierge a parlé et ensuite, j'ai vu le directeur : il m'a reçu dans son bureau. C'était un petit vieux, avec la Légion d'honneur. Il m'a regardé de ses yeux clairs. Puis il m'a serré la main qu'il a gardée si longtemps que je ne savais trop comment la retirer. Il a consulté un dossier et m'a dit :
The asylum is two kilometres from the village. I walked all the way. I wanted to see my mother straight away. But the caretaker told me I had to meet the director. As he was busy, I waited for a while. During all this time, the concierge talked and then I saw the director: he received me in his office. He was a little old man, with the Legion of Honour. He looked at me with his light eyes. Then he shook my hand, which he held for so long that I didn't know how to take it back. He consulted a file and said to me:
« Mme Meursault est entrĂ©e ici il y a trois ans. Vous Ă©tiez son seul soutien. » J'ai cru qu'il me reprochait quelque chose et j'ai commencĂ© Ă  lui expliquer. Mais il m'a interrompu : « Vous n'avez pas Ă  vous justifier, mon cher enfant. J'ai lu le dossier de votre mĂšre. Vous ne pouviez subvenir Ă  ses besoins. Il lui fallait une garde. Vos salaires sont modestes. Et tout compte fait, elle Ă©tait plus heureuse ici. » J'ai dit : « Oui, monsieur le Directeur. » Il a ajoutĂ© : « Vous savez, elle avait des amis, des gens de son Ăąge. Elle pouvait partager avec eux des intĂ©rĂȘts qui sont d'un autre temps. Vous ĂȘtes jeune et elle devait s'ennuyer avec vous. »
"Mme Meursault came here three years ago. You were her only support. I thought he was reproaching me for something and I started to explain. But he interrupted me: "You don't have to justify yourself, my dear child. I read your mother's file. You could not support her. She needed care. Your wages are modest. And all in all, she was happier here. I said, "Yes, Director." He added: "You know, she had friends, people her own age. She could share with them interests that are from another time. You are young and she must have been bored with you.
C'Ă©tait vrai. Quand elle Ă©tait Ă  la maison, maman passait son temps Ă  me suivre des yeux en silence. Dans les premiers jours oĂč elle Ă©tait Ă  l'asile, elle pleurait souvent. Mais c'Ă©tait Ă  cause de l'habitude. Au bout de quelques mois, elle aurait pleurĂ© si on l'avait retirĂ©e de l'asile. Toujours Ă  cause de l'habitude. C'est un peu pour cela que dans la derniĂšre annĂ©e je n'y suis presque plus allĂ©. Et aussi parce que cela me prenait mon dimanche - sans compter l'effort pour aller Ă  l'autobus, prendre des tickets et faire deux heures de route.
It was true. When she was at home, Mum used to follow me with her eyes in silence. In the first days she was in the asylum, she often cried. But that was just habit. After a few months, she would have cried if she had been taken out of the asylum. Always because of habit. That's why in the last year I hardly went there anymore. And also because it took up my Sunday - not to mention the effort of going to the bus, getting tickets and driving two hours.
Le directeur m'a encore parlé. Mais je ne l'écoutais presque plus. Puis il m'a dit : « Je suppose que vous voulez voir votre mÚre. » Je me suis levé sans rien dire et il m'a précédé vers la porte. Dans l'escalier, il m'a expliqué : « Nous l'avons transportée dans notre petite morgue. Pour ne pas impressionner les autres. Chaque fois qu'un pensionnaire meurt, les autres sont nerveux pendant deux ou trois jours. Et ça rend le service difficile. »
The director spoke to me again. But I hardly listened to him anymore. Then he said, "I suppose you want to see your mother. I got up without saying anything and he preceded me to the door. On the stairs he explained, "We took her to our little mortuary. So as not to impress the others. Every time a resident dies, the others are nervous for two or three days. And that makes the service difficult.
Nous avons traversĂ© une cour oĂč il y avait beaucoup de vieillards, bavardant par petits groupes. Ils se taisaient quand nous passions. Et derriĂšre nous, les conversations reprenaient. On aurait dit d'un jacassement assourdi de perruches. À la porte d'un petit bĂątiment, le directeur m'a quittĂ© : « Je vous laisse, monsieur Meursault. Je suis Ă  votre disposition dans mon bureau. En principe, l'enterrement est fixĂ© Ă  dix heures du matin. Nous avons pensĂ© que vous pourrez ainsi veiller la disparue. Un dernier mot : votre mĂšre a, paraĂźt-il, exprimĂ© souvent Ă  ses compagnons le dĂ©sir d'ĂȘtre enterrĂ©e religieusement. J'ai pris sur moi, de faire le nĂ©cessaire. Mais je voulais vous en informer. » Je l'ai remerciĂ©. Maman, sans ĂȘtre athĂ©e, n'avait jamais pensĂ© de son vivant Ă  la religion.
We passed through a courtyard where there were many old men, chatting in small groups. They were silent as we passed. And behind us, the conversations started again. It sounded like the muffled chatter of parakeets. At the door of a small building, the director left me: "I leave you, Mr Meursault. I am at your disposal in my office. In principle, the funeral is scheduled for ten in the morning. We thought that you would be able to keep an eye on the deceased. One last word: your mother, it seems, often expressed to her companions the desire to be buried religiously. I have taken it upon myself to make the necessary arrangements. But I wanted to inform you. I thanked him. Mum, without being an atheist, had never thought about religion while she was alive.
Je suis entrĂ©. C'Ă©tait une salle trĂšs claire, blanchie Ă  la chaux et recouverte d'une verriĂšre. Elle Ă©tait meublĂ©e de chaises et de chevalets en forme de X. Deux d'entre eux, au centre, supportaient une biĂšre recouverte de son couvercle. On voyait seulement des vis brillantes, Ă  peine enfoncĂ©es, se dĂ©tacher sur les planches passĂ©es au brou de noix. PrĂšs de la biĂšre, il y avait une infirmiĂšre arabe en sarrau blanc, un foulard de couleur vive sur la tĂȘte.
I entered. It was a very bright room, whitewashed and covered with a glass roof. It was furnished with chairs and X-shaped trestles. Two of them, in the centre, held a bier with its lid on. Only shiny screws, barely sunken, could be seen sticking out of the boards, which had been painted with walnut stain. Next to the bier was an Arab nurse in a white smock, a brightly coloured scarf on her head.
À ce moment, le concierge est entrĂ© derriĂšre mon dos. Il avait dĂ» courir. Il a bĂ©gayĂ© un peu : « On l'a couverte, mais je dois dĂ©visser la biĂšre pour que vous puissiez la voir. » Il s'approchait de la biĂšre quand je l'ai arrĂȘtĂ©. Il m'a dit : « Vous ne voulez pas ? » J'ai rĂ©pondu : « Non. » Il s'est interrompu et j'Ă©tais gĂȘnĂ© parce que je sentais que je n'aurais pas dĂ» dire cela. Au bout d'un moment, il m'a regardĂ© et il m'a demandĂ© : « Pourquoi ? » mais sans reproche, comme s'il s'informait. J'ai dit : « Je ne sais pas. » Alors tortillant sa moustache blanche, il a dĂ©clarĂ© sans me regarder : « Je comprends. »
At that moment, the caretaker came in behind my back. He must have been running. He stammered a little, "We've got it covered, but I've got to unscrew the bier so you can see it." He was approaching the bier when I stopped him. He said, "Don't you want to?" I said, "No." He paused and I was embarrassed because I felt I shouldn't have said that. After a while, he looked at me and asked, "Why?" but without reproach, as if he was inquiring. I said, "I don't know. Then twirling his white moustache, he said without looking at me, "I understand."
Il avait de beaux yeux, bleu clair, et un teint un peu rouge. Il m'a donnĂ© une chaise et lui-mĂȘme s'est assis un peu en arriĂšre de moi. La garde s'est levĂ©e et s'est dirigĂ©e vers la sortie. À ce moment, le concierge m'a dit : « C'est un chancre qu'elle a. » Comme je ne comprenais pas, j'ai regardĂ© l'infirmiĂšre et j'ai vu qu'elle portait sous les yeux un bandeau qui faisait le tour de la tĂȘte.
À la hauteur du nez, le bandeau Ă©tait plat. On ne voyait que la blancheur du bandeau dans son visage. Quand elle est partie, le concierge a parlĂ© : « Je vais vous laisser seul. »
He had beautiful eyes, light blue, and a slightly red complexion. He gave me a chair and himself sat a little behind me. The guard got up and went to the exit. At that moment the caretaker said to me, "She has a canker. As I didn't understand, I looked at the nurse and saw that she was wearing a blindfold under her eyes that went around her head.
At the level of the nose, the blindfold was flat. All you could see was the white of the blindfold on her face. When she left, the caretaker spoke, "I will leave you alone."
Je ne sais pas quel geste j'ai fait, mais il est restĂ©, debout derriĂšre moi. Cette prĂ©sence dans mon dos me gĂȘnait. La piĂšce Ă©tait pleine d'une belle lumiĂšre de fin d'aprĂšs-midi. Deux frelons bourdonnaient contre la verriĂšre. Et je sentais le sommeil me gagner. J'ai dit au concierge, sans me retourner vers lui : « Il y a longtemps que vous ĂȘtes lĂ  ? » ImmĂ©diatement il a rĂ©pondu : « Cinq ans » - comme s'il avait attendu depuis toujours ma demande.
I don't know what gesture I made, but he remained standing behind me. This presence at my back was bothering me. The room was full of a beautiful late afternoon light. Two hornets were buzzing against the canopy. And I could feel myself falling asleep. I said to the caretaker, without turning round, "Have you been here long? Immediately he replied, "Five years" - as if he had been waiting for my request all along.
Ensuite, il a beaucoup bavardĂ©. On l'aurait bien Ă©tonnĂ© en lui disant qu'il finirait concierge Ă  l'asile de Marengo. Il avait soixante-quatre ans et il Ă©tait Parisien. À ce moment je l'ai interrompu : « Ah, vous n'ĂȘtes pas d'ici ? » Puis je me suis souvenu qu'avant de me conduire chez le directeur, il m'avait parlĂ© de maman. Il m'avait dit qu'il fallait l'enterrer trĂšs vite, parce que dans la plaine il faisait chaud, surtout dans ce pays. C'est alors qu'il m'avait appris qu'il avait vĂ©cu Ă  Paris et qu'il avait du mal Ă  l'oublier. À Paris, on reste avec le mort trois, quatre jours quelquefois. Ici on n'a pas le temps, on ne s'est pas fait Ă  l'idĂ©e que dĂ©jĂ  il faut courir derriĂšre le corbillard. Sa femme lui avait dit alors : « Tais-toi, ce ne sont pas des choses Ă  raconter Ă  Monsieur. » Le vieux avait rougi et s'Ă©tait excusĂ©. J'Ă©tais intervenu pour dire : « Mais non. Mais non. » Je trouvais ce qu'il racontait juste et intĂ©ressant.
Afterwards, he chatted a lot. He would have been surprised to be told that he would end up as a concierge at the Marengo asylum. He was sixty-four years old and a Parisian. At that moment I interrupted him: "Ah, you're not from here? Then I remembered that before taking me to the director, he had spoken to me about my mother. He had told me that she had to be buried very quickly, because it was hot on the plain, especially in this country. Then he told me that he had lived in Paris and that it was difficult to forget her. In Paris, you stay with the dead sometimes for three or four days. Here you don't have time, you haven't gotten used to the idea that you have to run after the hearse. His wife had said to him: "Shut up, these are not things to tell the gentleman." The old man blushed and apologised. I intervened to say: "No, no, no. No, I didn't." I thought what he was saying was right and interesting.
Dans la petite morgue, il m'a appris qu'il Ă©tait entrĂ© Ă  l'asile comme indigent. Comme il se sentait valide, il s'Ă©tait proposĂ© pour cette place de concierge. Je lui ai fait remarquer qu'en somme il Ă©tait un pensionnaire. Il m'a dit que non. J'avais dĂ©jĂ  Ă©tĂ© frappĂ© par la façon qu'il avait de dire : « ils », « les autres », et plus rarement « les vieux », en parlant des pensionnaires dont certains n'Ă©taient pas plus ĂągĂ©s que lui. Mais naturellement, ce n'Ă©tait pas la mĂȘme chose. Lui Ă©tait concierge, et, dans une certaine mesure, il avait des droits sur eux. La garde est entrĂ©e Ă  ce moment. Le soir Ă©tait tombĂ© brusquement. TrĂšs vite, la nuit s'Ă©tait Ă©paissie au-dessus de la verriĂšre. Le concierge a tournĂ© le commutateur et j'ai Ă©tĂ© aveuglĂ© par l'Ă©claboussement soudain de la lumiĂšre. Il m'a invitĂ© Ă  me rendre au rĂ©fectoire pour dĂźner. Mais je n'avais pas faim.
In the little morgue, he told me that he had entered the asylum as a pauper. As he felt able-bodied, he had offered himself for the position of caretaker. I pointed out to him that he was, in fact, a boarder. He told me that he was not. I had already been struck by the way he said: "they", "the others", and more rarely "the old", when talking about the boarders, some of whom were no older than he was. But of course, it was not the same thing. He was a caretaker, and to some extent, he had rights over them. The guard entered at that moment. The evening had fallen suddenly. Soon it had become darker over the canopy. The caretaker turned the switch and I was blinded by the sudden splash of light. He invited me to go to the refectory for dinner. But I was not hungry.
Il m'a offert alors d'apporter une tasse de café au lait. Comme j'aime beaucoup le café au lait, j'ai accepté et il est revenu un moment aprÚs avec un plateau. J'ai bu. J'ai eu alors envie de fumer. Mais j'ai hésité parce que je ne savais pas si je pouvais le faire devant maman. J'ai réfléchi, cela n'avait aucune importance. J'ai offert une cigarette au concierge et nous avons fumé.
He then offered to bring me a cup of coffee with milk. As I like coffee with milk very much, I accepted and he came back a moment later with a tray. I had a drink. Then I felt like smoking. But I hesitated because I didn't know if I could do it in front of my mother. I thought about it, it didn't matter. I offered the caretaker a cigarette and we smoked.
À un moment, il m'a dit : « Vous savez, les amis de Madame votre mĂšre vont venir la veiller aussi. C'est la coutume. Il faut que j'aille chercher des chaises et du cafĂ© noir. » Je lui ai demandĂ© si on pouvait Ă©teindre une des lampes. L'Ă©clat de la lumiĂšre sur les murs blancs me fatiguait. Il m'a dit que ce n'Ă©tait pas possible. L'installation Ă©tait ainsi faite : c'Ă©tait tout ou rien. Je n'ai plus beaucoup fait attention Ă  lui. Il est sorti, est revenu, a disposĂ© des chaises. Sur l'une d'elles, il a empilĂ© des tasses autour d'une cafetiĂšre. Puis il s'est assis en face de moi, de l'autre cĂŽtĂ© de maman. La garde Ă©tait aussi au fond, le dos tournĂ©. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait. Mais au mouvement de ses bras, je pouvais croire qu'elle tricotait. Il faisait doux, le cafĂ© m'avait rĂ©chauffĂ© et par la porte ouverte entrait une odeur de nuit et de fleurs. Je crois que j'ai somnolĂ© un peu.
At one point he said to me, "You know, your mother's friends are going to come and watch her too. That's the custom. I have to go and get some chairs and black coffee. I asked him if we could turn off one of the lamps. The glare of the light on the white walls was making me tired. He told me it was not possible. The installation was like that: it was all or nothing. I didn't pay much attention to him anymore. He went out, came back in, arranged some chairs. On one of them, he stacked cups around a coffee pot. Then he sat down opposite me, on the other side of Mum. The guard was also at the back, with her back turned. I couldn't see what she was doing. But from the movement of her arms, I could tell she was knitting. It was a mild day, the coffee had warmed me up and through the open door came the smell of night and flowers. I think I dozed off a bit.
C'est un frÎlement qui m'a réveillé. D'avoir fermé les yeux, la piÚce m'a paru encore plus éclatante de blancheur. Devant moi, il n'y avait pas une ombre et chaque objet, chaque angle, toutes les courbes se dessinaient avec une pureté blessante pour les yeux. C'est à ce moment que les amis de maman sont entrés. Ils étaient en tout une dizaine, et ils glissaient en silence dans cette lumiÚre aveuglante. Ils se sont assis sans qu'aucune chaise grinçùt. Je les voyais comme je n'ai jamais vu personne et pas un détail de leurs visages ou de leurs habits ne m'échappait. Pourtant je ne les entendais pas et j'avais peine à croire à leur réalité.
It was a graze that woke me up. Having closed my eyes, the room seemed to me even more brilliantly white. There was not a shadow in front of me, and every object, every angle, every curve, was drawn with a purity that hurt the eyes. It was at this point that Mum's friends came in. There were about ten of them, and they glided silently through the blinding light. They sat down without a single chair creaking. I could see them as I have never seen anyone before, and not a detail of their faces or their clothes escaped me. Yet I could not hear them and could hardly believe their reality.
Presque toutes les femmes portaient un tablier et le cordon qui les serrait Ă  la taille faisait encore ressortir leur ventre bombĂ©. Je n'avais encore jamais remarquĂ© Ă  quel point les vieilles femmes pouvaient avoir du ventre. Les hommes Ă©taient presque tous trĂšs maigres et tenaient des cannes. Ce qui me frappait dans leurs visages, c'est que je ne voyais pas leurs yeux, mais seulement une lueur sans Ă©clat au milieu d'un nid de rides. Lorsqu'ils se sont assis, la plupart m'ont regardĂ© et ont hochĂ© la tĂȘte avec gĂȘne, les lĂšvres toutes mangĂ©es par leur bouche sans dents, sans que je puisse savoir s'ils me saluaient ou s'il s'agissait d'un tic. Je crois plutĂŽt qu'ils me saluaient. C'est Ă  ce moment que je me suis aperçu qu'ils Ă©taient tous assis en face de moi Ă  dodeliner de la tĂȘte, autour du concierge. J'ai eu un moment l'impression ridicule qu'ils Ă©taient lĂ  pour me juger.
Almost all the women wore aprons and the drawstring around their waists still showed their bulging bellies. I had never noticed before how much belly old women could have. The men were almost all very thin and held canes. What struck me about their faces was that I couldn't see their eyes, only a dull gleam in a nest of wrinkles. When they sat down, most of them looked at me and nodded awkwardly, their lips all eaten up by their toothless mouths, and I couldn't tell if they were greeting me or if it was a tic. I rather think they were greeting me. It was at this point that I realised that they were all sitting across from me nodding their heads, around the caretaker. For a moment I had the ridiculous impression that they were there to judge me.
Peu aprĂšs, une des femmes s'est mise Ă  pleurer. Elle Ă©tait au second rang, cachĂ©e par une de ses compagnes, et je la voyais mal. Elle pleurait Ă  petits cris, rĂ©guliĂšrement : il me semblait qu'elle ne s'arrĂȘterait jamais. Les autres avaient l'air de ne pas l'entendre. Ils Ă©taient affaissĂ©s, mornes et silencieux. Ils regardaient la biĂšre ou leur canne, ou n'importe quoi, mais ils ne regardaient que cela. La femme pleurait toujours. J'Ă©tais trĂšs Ă©tonnĂ© parce que je ne la connaissais pas. J'aurais voulu ne plus l'entendre. Pourtant je n'osais pas le lui dire. Le concierge s'est penchĂ© vers elle, lui a parlĂ©, mais elle a secouĂ© la tĂȘte, a bredouillĂ© quelque chose, et a continuĂ© de pleurer avec la mĂȘme rĂ©gularitĂ©. Le concierge est venu alors de mon cĂŽtĂ©. Il s'est assis prĂšs de moi. AprĂšs un assez long moment, il m'a renseignĂ© sans me regarder : « Elle Ă©tait trĂšs liĂ©e avec Madame votre mĂšre. Elle dit que c'Ă©tait sa seule amie ici et que maintenant elle n'a plus personne. »
Shortly afterwards, one of the women started to cry. She was in the second row, hidden by one of her companions, and I could hardly see her. She was crying in small, regular cries: it seemed to me that she would never stop. The others didn't seem to hear her. They were slumped, dull and silent. They were looking at the bier or their cane, or whatever, but that was all they were looking at. The woman was still crying. I was very surprised because I didn't know her. I didn't want to hear her anymore. But I didn't dare tell her. The caretaker leaned over to her, spoke to her, but she shook her head, mumbled something, and continued to cry with the same regularity. The caretaker then came to my side. He sat down beside me. After a long time, he told me without looking at me: "She was very close to your mother. She says she was her only friend here and now she has no one."
Nous sommes restĂ©s un long moment ainsi. Les soupirs et les sanglots de la femme se faisaient plus rares. Elle reniflait beaucoup. Elle s'est tue enfin. Je n'avais plus sommeil, mais j'Ă©tais fatiguĂ© et les reins me faisaient mal. À prĂ©sent c'Ă©tait le silence de tous ces gens qui m'Ă©tait pĂ©nible. De temps en temps seulement, j'entendais un bruit singulier et je ne pouvais comprendre ce qu'il Ă©tait. À la longue, j'ai fini par deviner que quelques-uns d'entre les vieillards suçaient l'intĂ©rieur de leurs joues et laissaient Ă©chapper ces clappements bizarres. Ils ne s'en apercevaient pas tant ils Ă©taient absorbĂ©s dans leurs pensĂ©es. J'avais mĂȘme l'impression que cette morte, couchĂ©e au milieu d'eux, ne signifiait rien Ă  leurs yeux. Mais je crois maintenant que c'Ă©tait une impression fausse.
We stayed like that for a long time. The woman's sighs and sobs became less frequent. She sniffed a lot. At last, she fell silent. I was no longer sleepy, but I was tired and my kidneys ached. Now it was the silence of all these people that was painful for me. Only from time to time I heard a peculiar noise and I could not understand what it was. Eventually, I guessed that some of the old men were sucking the insides of their cheeks and letting out these strange popping sounds. They didn't realise it because they were so absorbed in their thoughts. I even had the impression that this dead woman, lying in their midst, meant nothing to them. But I now believe that this impression was wrong.
Nous avons tous pris du cafĂ©, servi par le concierge. Ensuite, je ne sais plus. La nuit a passĂ©. Je me souviens qu'Ă  un moment j'ai ouvert les yeux et j'ai vu que les vieillards dormaient tassĂ©s sur eux-mĂȘmes, Ă  l'exception d'un seul qui, le menton sur le dos de ses mains agrippĂ©es Ă  la canne, me regardait fixement comme s'il n'attendait que mon rĂ©veil. Puis j'ai encore dormi. Je me suis rĂ©veillĂ© parce que j'avais de plus en plus mal aux reins. Le jour glissait sur la verriĂšre. Peu aprĂšs, l'un des vieillards s'est rĂ©veillĂ© et il a beaucoup toussĂ©. Il crachait dans un grand mouchoir Ă  carreaux et chacun de ses crachats Ă©tait comme un arrachement. Il a rĂ©veillĂ© les autres et le concierge a dit qu'ils devraient partir. Ils se sont levĂ©s. Cette veille incommode leur avait fait des visages de cendre. En sortant, et Ă  mon grand Ă©tonnement, ils m'ont tous serrĂ© la main - comme si cette nuit oĂč nous n'avions pas Ă©changĂ© un mot avait accru notre intimitĂ©.
We all had coffee, served by the concierge. Then, I don't know. The night passed. I remember that at one point I opened my eyes and saw that the old men were asleep, all on top of each other, except for one who, with his chin on the back of his hands clutching the cane, was staring at me as if he was waiting for me to wake up. Then I slept again. I woke up because my back was getting worse and worse. The day was slipping by on the canopy. Shortly afterwards, one of the old men woke up and he coughed a lot. He was spitting into a large checked handkerchief and each spit was like a tear. He woke up the others and the caretaker said they should leave. They got up. This uncomfortable vigil had made their faces ashen. On the way out, and to my astonishment, they all shook hands with me - as if that night when we hadn't exchanged a word had increased our intimacy.
J'étais fatigué. Le concierge m'a conduit chez lui et j'ai pu faire un peu de toilette. J'ai encore pris du café au lait qui était trÚs bon. Quand je suis sorti, le jour était complÚtement levé. Au-dessus des collines qui séparent Marengo de la mer, le ciel était plein de rougeurs. Et le vent qui passait au-dessus d'elles apportait ici une odeur de sel. C'était une belle journée qui se préparait. Il y avait longtemps que j'étais allé à la campagne et je sentais quel plaisir j'aurais pris à me promener s'il n'y avait pas eu maman.
I was tired. The concierge took me to his house and I was able to wash up a bit. I had some more coffee with milk, which was very good. When I came out, it was completely light. Over the hills that separate Marengo from the sea, the sky was full of redness. And the wind that passed over them brought here a smell of salt. It was a beautiful day ahead. I had been in the country for a long time and I could feel what a pleasure it would have been to go for a walk if it hadn't been for Mother.
Mais j'ai attendu dans la cour, sous un platane. Je respirais l'odeur de la terre fraĂźche et je n'avais plus sommeil. J'ai pensĂ© aux collĂšgues du bureau. À cette heure, ils se levaient pour aller au travail : pour moi c'Ă©tait toujours l'heure la plus difficile. J'ai encore rĂ©flĂ©chi un peu Ă  ces choses, mais j'ai Ă©tĂ© distrait par une cloche qui sonnait Ă  l'intĂ©rieur, des bĂątiments. Il y a eu du remue-mĂ©nage derriĂšre les fenĂȘtres, puis tout s'est calmĂ©. Le soleil Ă©tait montĂ© un peu plus dans le ciel : il commençait Ă  chauffer mes pieds. Le concierge a traversĂ© la cour et m'a dit que le directeur me demandait. Je suis allĂ© dans son bureau. Il m'a fait signer un certain nombre de piĂšces. J'ai vu qu'il Ă©tait habillĂ© de noir avec un pantalon rayĂ©. Il a pris le tĂ©lĂ©phone en main et il m'a interpellĂ© : « Les employĂ©s des pompes funĂšbres sont lĂ  depuis un moment. Je vais leur demander de venir fermer la biĂšre. Voulez-vous auparavant voir votre mĂšre une derniĂšre fois ? » J'ai dit non. Il a ordonnĂ© dans le tĂ©lĂ©phone en baissant la voix : « Figeac, dites aux hommes qu'ils peuvent aller. »
But I waited in the courtyard, under a plane tree. I breathed in the smell of fresh earth and I was no longer sleepy. I thought of my colleagues in the office. At that hour they were getting up to go to work: for me, it was always the most difficult hour. I thought about these things for a while longer, but I was distracted by a bell ringing inside the buildings. There was some commotion behind the windows, and then everything calmed down. The sun had risen a little higher in the sky: it was beginning to warm my feet. The caretaker came across the courtyard and told me that the director was asking for me. I went into his office. He made me sign a number of documents. I saw that he was dressed in black with striped trousers. He took the phone in his hand and called out to me: "The undertakers have been here for a while. I will ask them to come and close the coffin. Do you want to see your mother one last time before then?" I said no. He ordered into the phone, lowering his voice: "Figeac, tell the men they can go."
Ensuite il m'a dit qu'il assisterait Ă  l'enterrement et je l'ai remerciĂ©. Il s'est assis derriĂšre son bureau, il a croisĂ© ses petites jambes. Il m'a averti que moi et lui serions seuls, avec l'infirmiĂšre de service. En principe, les pensionnaires ne devaient pas assister aux enterrements. Il les laissait seulement veiller : « C'est une question d'humanitĂ© », a-t-il remarquĂ©. Mais en l'espĂšce, il avait accordĂ© l'autorisation de suivre le convoi Ă  un vieil ami de maman : « Thomas PĂ©rez. » Ici, le directeur a souri. Il m'a dit : « Vous comprenez, c'est un sentiment un peu puĂ©ril. Mais lui et votre mĂšre ne se quittaient guĂšre. À l'asile, on les plaisantait, on disait Ă  PĂ©rez : « C'est votre fiancĂ©e. » Lui riait. Ça leur faisait plaisir. Et le fait est que la mort de Mme Meursault l'a beaucoup affectĂ©. Je n'ai pas cru devoir lui refuser l'autorisation. Mais sur le conseil du mĂ©decin visiteur, je lui ai interdit la veillĂ©e d'hier. »
He then informed me that he was going to attend the funeral, and I thanked him. Sitting down behind his desk, he crossed his short legs and leaned back. Besides the nurse on duty, he told me, he and I would be the only mourners at the funeral. It was a rule of the Home that inmates shouldn’t attend funerals, though there was no objection to letting some of them sit up beside the coffin, the night before. “It’s for their own sakes,” he explained, “to spare their feelings. But in this particular instance I’ve given permission to an old friend of your mother to come with us. His name is Thomas PĂ©rez.” The warden smiled. “It’s a rather touching little story in its way. He and your mother had become almost inseparable. The other old people used to tease PĂ©rez about having a fiancĂ©e. ‘When are you going to marry her?’ they’d ask. He’d turn it with a laugh. It was a standing joke, in fact. So, as you can guess, he feels very badly about your mother’s death. I thought I couldn’t decently refuse him permission to attend the funeral. But, on our medical officer’s advice, I forbade him to sit up beside the body last night.”
Nous sommes restĂ©s silencieux assez longtemps. Le directeur s'est levĂ© et a regardĂ© par la fenĂȘtre de son bureau. À un moment, il a observĂ© : « VoilĂ  dĂ©jĂ  le curĂ© de Marengo. Il est en avance. » Il m'a prĂ©venu qu'il faudrait au moins trois quarts d'heure de marche pour aller Ă  l'Ă©glise qui est au village mĂȘme. Nous sommes descendus. Devant le bĂątiment, il y avait le curĂ© et deux enfants de chƓur. L'un de ceux-ci tenait un encensoir et le prĂȘtre se baissait vers lui pour rĂ©gler la longueur de la chaĂźne d'argent. Quand nous sommes arrivĂ©s, le prĂȘtre s'est relevĂ©. Il m'a appelĂ© « mon fils » et m'a dit quelques mots. Il est entrĂ© ; je l'ai suivi.
For some time we sat there without speaking. Then the warden got up and went to the window. Presently he said: “Ah, there’s the padre from Marengo. He’s a bit ahead of time.” He warned me that it would take us a good three-quarter of an hour, to walk to the church, which was in the village. Then we went downstairs. The priest was waiting just outside the mortuary door. With him were two acolytes, one of whom had a censer. The priest was stooping over him, adjusting the length of the silver chain on which it hung. When he saw us he straightened up and said a few words to me, addressing me as, “My son.” Then he led the way into the mortuary.
J'ai vu d'un coup que les vis de la biĂšre Ă©taient enfoncĂ©es et qu'il y avait quatre hommes noirs dans la piĂšce. J'ai entendu en mĂȘme temps le directeur me dire que la voiture attendait sur la route et le prĂȘtre commencer ses priĂšres. À partir de ce moment, tout est allĂ© trĂšs vite. Les hommes se sont avancĂ©s vers la biĂšre avec un drap. Le prĂȘtre, ses suivants, le directeur et moi-mĂȘme sommes sortis. Devant la porte, il y avait une dame que je ne connaissais pas : « M. Meursault », a dit le directeur. Je n'ai pas entendu le nom de cette dame et j'ai compris seulement qu'elle Ă©tait infirmiĂšre dĂ©lĂ©guĂ©e. Elle a inclinĂ© sans un sourire son visage osseux et long. Puis nous nous sommes rangĂ©s pour laisser passer le corps.
I noticed at once that four men in black were standing behind the coffin and the screws in the lid had now been driven home. At the same moment I heard the warden remark that the hearse had arrived, and the priest starting his prayers. Then everybody made a move. Holding a strip of black cloth, the four men approached the coffin, while the priest, the boys, and myself filed out. A lady I hadn’t seen before was standing by the door. “This is Monsieur Meursault,” the warden said to her. I didn’t catch her name, but I gathered she was a nursing sister attached to the Home. When I was introduced, she bowed, without the trace of a smile on her long, gaunt face. We stood aside from the doorway to let the coffin by.
Nous avons suivi les porteurs et nous sommes sortis de l'asile. Devant la porte, il y avait la voiture. Vernie, oblongue et brillante, elle faisait penser Ă  un plumier. À cĂŽtĂ© d'elle, il y avait l'ordonnateur, petit homme aux habits ridicules, et un vieillard Ă  l'allure empruntĂ©e. J'ai compris que c'Ă©tait M. PĂ©rez. Il avait un feutre mou Ă  la calotte ronde et aux ailes larges (il l'a ĂŽtĂ© quand la biĂšre a passĂ© la porte), un costume dont le pantalon tirebouchonnait sur les souliers et un nƓud d'Ă©toffe noire trop petit pour sa chemise Ă  grand col blanc. Ses lĂšvres tremblaient au-dessous d'un nez truffĂ© de points noirs. Ses cheveux blancs assez fins laissaient passer de curieuses oreilles ballantes et mal ourlĂ©es dont la couleur rouge sang dans ce visage blafard me frappa.
L'ordonnateur nous donna nos places. Le curĂ© marchait en avant, puis la voiture. Autour d'elle, les quatre hommes. DerriĂšre, le directeur, moi-mĂȘme et, fermant la marche, l'infirmiĂšre dĂ©lĂ©guĂ©e et M. PĂ©rez.
Then, following the bearers down a corridor, we came to the front entrance, where a hearse was waiting. Oblong, glossy, varnished black all over, it vaguely reminded me of the pen trays in the office. Beside the hearse stood a quaintly dressed little -man, whose duty it was, I understood, to supervise the funeral, as a sort of master of ceremonies. Near him, looking constrained, almost bashful, was old M. PĂ©rez, my mother’s special friend. He wore a soft felt hat with a pudding-basin crown and a very wide brim—he whisked it off the moment the coffin emerged from the doorway—trousers that concertina’d on his shoes, a black tie much too small for his high white double collar. Under a bulbous, pimply nose, his lips were trembling. But what caught my attention most was his ears; pendulous, scarlet ears that showed up like blobs of sealing wax on the pallor of his cheeks and were framed in wisps of silky white hair.
The undertaker’s factotum shepherded us to our seats, with the priest in front of the hearse, and the four men in black on each side of it. The warden and I came next, and, bringing up the rear, old PĂ©rez and the nurse.
Le ciel Ă©tait dĂ©jĂ  plein de soleil. Il commençait Ă  peser sur la terre et la chaleur augmentait rapidement. Je ne sais pas pourquoi nous avons attendu assez longtemps avant de nous mettre en marche. J'avais chaud sous mes vĂȘtements sombres. Le petit vieux, qui s'Ă©tait recouvert, a de nouveau ĂŽtĂ© son chapeau. Je m'Ă©tais un peu tournĂ© de son cĂŽtĂ©, et je le regardais lorsque le directeur m'a parlĂ© de lui. Il m'a dit que souvent ma mĂšre et M. PĂ©rez allaient se promener le soir jusqu'au village, accompagnĂ©s d'une infirmiĂšre.
Je regardais la campagne autour de moi. À travers les lignes de cyprĂšs qui menaient aux collines prĂšs du ciel, cette terre rousse et verte, ces maisons rares et bien dessinĂ©es, je comprenais maman. Le soir, dans ce pays, devait ĂȘtre comme une trĂȘve mĂ©lancolique. Aujourd'hui, le soleil dĂ©bordant qui faisait tressaillir le paysage le rendait inhumain et dĂ©primant.
The sky was already a blaze of light, and the air stoking up rapidly. I felt the first waves of heat lapping my back, and my dark suit made things worse. I couldn’t imagine why we waited so long for getting under way. Old PĂ©rez, who had put on his hat, took it off again. I had turned slightly in his direction and was looking at him when the warden started telling me more about him. I remember his saying that old PĂ©rez and my mother used often to have a longish stroll together in the cool of the evening; sometimes they went as far as the village, accompanied by a nurse, of course.
I looked at the countryside, at the long lines of cypresses sloping up toward the skyline and the hills, the hot red soil dappled with vivid green, and here and there a lonely house sharply outlined against the light—and I could understand Mother’s feelings. Evenings in these parts must be a sort of mournful solace. Now, in the full glare of the morning sun, with everything shimmering in the heat haze, there was something inhuman, discouraging, about this landscape.
Nous nous sommes mis en marche. C'est à ce moment que je me suis aperçu que Pérez claudiquait légÚrement. La voiture, peu à peu, prenait de la vitesse et le vieillard perdait du terrain. L'un des hommes qui entouraient la voiture s'était laissé dépasser aussi et marchait maintenant à mon niveau. J'étais surpris de la rapidité avec laquelle le soleil montait dans le ciel. Je me suis aperçu qu'il y avait déjà longtemps que la campagne bourdonnait du chant des insectes et de crépitements d'herbe. La sueur coulait sur mes joues. Comme je n'avais pas de chapeau, je m'éventais avec mon mouchoir.
At last, we made a move. Only then I noticed that PĂ©rez had a slight limp. The old chap steadily lost ground as the hearse gained speed. One of the men beside it, too, fell back and drew level with me. I was surprised to see how quickly the sun was climbing up the sky, and just then it struck me that for quite a while the air had been throbbing with the hum of insects and the rustle of grass warming up. Sweat was running down my face. As I had no hat I tried to fan myself with my handkerchief.
L'employĂ© des pompes funĂšbres m'a dit alors quelque chose que je n'ai pas entendu. En mĂȘme temps, il s'essuyait le crĂąne avec un mouchoir qu'il tenait dans sa main gauche, la main droite soulevant le bord de sa casquette. Je lui ai dit : « Comment ? »Il a rĂ©pĂ©tĂ© en montrant le ciel : « Ça tape. » J'ai dit : « Oui. » Un peu aprĂšs, il m'a demandĂ©e : « C'est votre mĂšre qui est lĂ  ? » J'ai encore dit : « Oui. » « Elle Ă©tait vieille ? » J'ai rĂ©pondu : « Comme ça », parce que je ne savais pas le chiffre exact. Ensuite, il s'est tu. Je me suis retournĂ© et j'ai vu le vieux PĂ©rez Ă  une cinquantaine de mĂštres derriĂšre nous. Il se hĂątait en balançant son feutre Ă  bout de bras. J'ai regardĂ© aussi le directeur. Il marchait avec beaucoup de dignitĂ©, sans un geste inutile. Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front, mais il ne les essuyait pas.
The undertaker then said something to me that I did not hear. At the same time, he was wiping his head with a handkerchief in his left hand, his right hand lifting the brim of his cap. I said, "How?" He repeated, pointing to the sky, "It's banging." I said, "Yes." A little later he asked me, "Is that your mother there? I said again, "Yes. "Was she old? I answered, "Like that," because I didn't know the exact number. Then he fell silent. I turned around and saw old PĂ©rez about fifty metres behind us. He was hurrying along, swinging his felt at arm's length. I also looked at the director. He was walking with great dignity, without a single useless gesture. A few drops of sweat were beading on his forehead, but he did not wipe them off.
Il me semblait que le convoi marchait un peu plus vite. Autour de moi, c'Ă©tait toujours la mĂȘme campagne lumineuse gorgĂ©e de soleil. L'Ă©clat du ciel Ă©tait insoutenable. À un moment donnĂ©, nous sommes passĂ©s sur une partie de la route qui avait Ă©tĂ© rĂ©cemment refaite. Le soleil avait fait Ă©clater le goudron. Les pieds y enfonçaient et laissaient ouverte sa pulpe brillante. Au-dessus de la voiture, le chapeau du cocher, en cuir bouilli, semblait avoir Ă©tĂ© pĂ©tri dans cette boue noire. J'Ă©tais un peu perdu entre le ciel bleu et blanc et la monotonie de ces couleurs, noir gluant du goudron ouvert, noir terne des habits, noir laque de la voiture. Tout cela, le soleil, l'odeur de cuir et de crottin de la voiture, celle du vernis et celle de l'encens, la fatigue d'une nuit d'insomnie, me troublait le regard et les idĂ©es.
It seemed to me that the convoy was moving a little faster. All around me was the same bright, sun-drenched countryside. The brightness of the sky was unbearable. At one point we passed a section of road that had recently been resurfaced. The sun had blasted the tarmac. The feet sank into it and left its shiny pulp open. On top of the car, the coachman's hat, made of boiled leather, looked as if it had been kneaded in the black mud. I was a little lost between the blue and white sky and the monotony of these colours, the slimy black of the open tar, the dull black of the clothes, the black lacquer of the car. All this, the sun, the smell of leather and dung from the car, that of varnish and that of incense, the tiredness of a sleepless night, confused my eyes and my thoughts.
Je me suis retourné une fois de plus : Pérez m'a paru trÚs loin, perdu dans une nuée de chaleur, puis je ne l'ai plus aperçu. Je l'ai cherché du regard et j'ai vu qu'il avait quitté la route et pris à travers champs. J'ai constaté aussi que devant moi la route tournait. J'ai compris que Pérez qui connaissait le pays coupait au plus court pour nous rattraper. Au tournant il nous avait rejoints. Puis nous l'avons perdu. Il a repris encore à travers champs et comme cela plusieurs fois. Moi, je sentais le sang qui me battait aux tempes.
I turned around once more: PĂ©rez seemed very far away, lost in a cloud of heat, and then I didn't see him anymore. I looked for him and saw that he had left the road and gone across the fields. I also noticed that the road ahead of me was turning. I realised that PĂ©rez, who knew the country, was cutting it as short as possible to catch up with us. At the bend, he had joined us. Then we lost him. He started again across the fields and like that several times. I could feel the blood pounding in my temples.
Tout s'est passé ensuite avec tant de précipitation, de certitude et de naturel, que je ne me souviens plus de rien. Une chose seulement : à l'entrée du village, l'infirmiÚre déléguée m'a parlé. Elle avait une voix singuliÚre qui n'allait pas avec son visage, une voix mélodieuse et tremblante. Elle m'a dit : « Si on va doucement, on risque une insolation. Mais si on va trop vite, on est en transpiration et dans l'église on attrape un chaud et froid. » Elle avait raison. Il n'y avait pas d'issue.
Everything happened afterwards with such haste, certainty and naturalness that I don't remember anything. Only one thing: at the entrance to the village, the nurse delegate spoke to me. She had a singular voice that did not match her face, a melodious and trembling voice. She said to me: "If we go slowly, we risk sunstroke. But if you go too fast, you get sweaty and in the church, you catch a hot and cold." She was right. There was no way out.
J'ai encore gardé quelques images de cette journée : par exemple, le visage de Pérez quand, pour la derniÚre fois, il nous a rejoints prÚs du village. De grosses larmes d'énervement et de peine ruisselaient sur ses joues. Mais, à cause des rides, elles ne s'écoulaient pas. Elles s'étalaient, se rejoignaient et formaient un vernis d'eau sur ce visage détruit.
I still have some images of that day: for example, PĂ©rez's face when, for the last time, he joined us near the village. Big tears of anger and sorrow were streaming down his cheeks. But, because of the wrinkles, they did not flow away. They spread out, joined together and formed a watery varnish on that destroyed face.
Il y a eu encore l'Ă©glise et les villageois sur les trottoirs, les gĂ©raniums rouges sur les tombes du cimetiĂšre, l'Ă©vanouissement de PĂ©rez (on eĂ»t dit un pantin disloquĂ©), la terre couleur de sang qui roulait sur la biĂšre de maman, la chair blanche des racines qui s'y mĂȘlaient, encore du monde, des voix, le village, l'attente devant un cafĂ©, l'incessant ronflement du moteur, et ma joie quand l'autobus est entrĂ© dans le nid de lumiĂšres d'Alger et que j'ai pensĂ© que j'allais me coucher et dormir pendant douze heures.
There was still the church and the villagers on the pavements, the red geraniums on the graves in the cemetery, the fainting of Pérez (he looked like a dislocated puppet), the blood-coloured earth that rolled over Mama's bier, the white flesh of the roots that mingled there, more people, voices, the village, waiting in front of a café, the incessant hum of the engine, and my joy when the bus entered the nest of lights of Algiers and I thought I was going to lie down and sleep for twelve hours.
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camisoledadparis · 29 days ago
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saga: Soumission & Domination 298
Gwen -2, recrutement Escorts hétéros
Gwen fait du bon taf avec mes clientes. C'est mĂȘme au point que mes autres Escorts font " fade " quand ils passent aprĂšs lui. Il faut dire que mes jeunes sont plutĂŽt des homos Ă  tendance bi que des hĂ©tĂ©ros avec la mĂȘme tendance ! Si je veux garder ma clientĂšle fĂ©minine et ĂȘtre en mesure d'Ă©tendre ce secteur, il va falloir que je recrute. J'en parle Ă  PH qui est d'accord avec moi. J'en discute aussi avec Gwen et StĂ©phane. Je leur demande si, parmi leurs collĂšgues il n'y aurait pas des mecs intĂ©ressĂ©s pour gagner 4 SMIC par mois Ă  raison d'une soirĂ©e par semaine. Si StĂ©phane rĂ©flĂ©chit, Gwen nous dit en connaitre une bonne demi douzaine que le salaire miteux d'interne condamne au minimum vital. Il pousse du coude StĂ©phane et lui dit que ce serait peut ĂȘtre le moment de se lancer lui aussi. Notre StĂ©phane passe pivoine ! Et comme il s'empĂȘtre dans des arguments fallacieux, je tranche le dĂ©bat et disant Ă  Gwen que son pote apprĂ©ciait plutĂŽt le petit cul de notre Maxou et de pas le faire chier avec ça. Il revient tout de suite Ă  la liste des collĂšgues qui serait probablement prĂȘt Ă  taffer pour moi. Avant qu'il ne les approche, je prends la liste de noms et l'envoie pour enquĂȘte rapide Ă  mon contact ex RG.
Ce n'est qu'aprĂšs avoir lu leurs dossiers que j'autorise Gwen Ă  contacter certains. J'en Ă©carte deux qui ont une consommation rĂ©guliĂšre, bien que faible, de shit. Les seuls produits que j'autorise sont : le gel, les poppers (pas tous), et la crĂ©atine pour la partie dĂ©veloppement physique. Les quelques fumeurs ont Ă©tĂ© priĂ©s d'arrĂȘter. Il n'y a que dans les films que l'haleine de chacal que ça donne est romantique.
Je reçois les trois premiers de ma liste. Ils sont tous plus ĂągĂ©s que ma bande d'Escorts " homo " et tapent plutĂŽt les 25-27ans que les 19-22. Physiquement ils ne sont pas trop mal foutus, sans ĂȘtre aussi sportifs que les autres. Manque de temps ! Deux blonds peu poilus et un brun au torse bien couvert (enfin une ligne remontante du pubis et rejoignant des pecs un peu couverts, avec bien sur le corolaire, bras et jambes velues. Si les deux blonds ne font pas de difficultĂ©s Ă  passer Ă  l'Ă©pilation (c'est vrai que ça ne les changent pas beaucoup), je dois user d'arguments avec le brun. Il a l'impression de perdre sa virilitĂ© si on lui retire le surplus de poils disgracieux. Les couilles rasĂ©es, il comprend que c'est plus agrĂ©able de ne pas se prendre des poils entre les dents. Je profite de cette remarque pour lui demander s'il prĂ©fĂšre les meufs avec un tablier de sapeur et le cul plein de poils ou celles qui s'entretiennent et rasent leurs chattes. Il convient que c'est effectivement plus agrĂ©able de baiser une meuf bien entretenue. Il ajoute aussitĂŽt que pour les hommes c'est pas pareil. Je fini par lui poser le marchĂ© : soit il accepte de se faire Ă©piler et il va gagner dans les 4 000 nets/ mois soit il garde ses poils et ses capacitĂ© financiĂšres rĂ©duites.
Je crois que c'Ă©tait lĂ  le seul argument capable de lui faire accepter la chose !
Vu le travail Ă  effectuer, je l'envoi chez une esthĂ©ticienne avec pour instruction de ne revenir qu'avec un tapis ras entre le dessus de sa bite et son nombril. Tout le reste doit disparaitre et j'insiste bien lĂ -dessus. Je tĂ©lĂ©phone mĂȘme devant lui au cabinet pour donner les instructions. Je le revois deux jours plus tard. C'est parfait. En plus je m'aperçois que ses pecs sont bien Ă©pais, tout comme ses bras et ses jambes oĂč les muscles deviennent visibles. Quand je le fais tourner devant le psychĂ©, il doit bien en convenir. Sa bite, dĂ©jĂ  consĂ©quente : 20 x 6, circoncise, parait un tiers plus longue qu'enfouie dans les poils hirsutes.
Pour le test sexuel, j'ai l'idĂ©e de rĂ©utiliser la mĂšre de Jean. Ça la changera des dĂ©pucelages de lycĂ©ens ! Pour l'aspect pratique, je loue une chambre dans un hĂŽtel Ă  carte et y convoque mes nouveaux Escorts. Ils ont renĂąclĂ© quand je leur ai dit que je serais prĂ©sent lors de la rencontre. Le brun me certifiant qu'il aurait mĂȘme du mal Ă  baiser devant moi. Sachant qu'il avait participĂ© Ă  des partouzes, je lui faisais part que je connaissais ce dĂ©tail et que j'Ă©tais sĂ»r qu'il saurait honorer la dame.
Le jour prĂ©vu, Ammed me conduit pour rejoindre mon initiatrice et nous installe Ă  l'hĂŽtel. Je tĂ©lĂ©phone Ă  mes Escorts le n° de la chambre et le premier blond  (Blond 1) arrive. Il ne fait pas de maniĂšre. Il se dĂ©shabille et rejoint la meuf dĂ©jĂ  nue sur le lit. Il commence par bien l'exciter. LĂ©chage de seins et mordillements des tĂ©tons alors que je vois ses doigts s'enfoncer dans la chatte. Je note qu'il bande dĂ©jĂ . Il ne met pas longtemps Ă  trouver comment la faire jouir et il joue entre le clito et ses 4 doigts enfoncĂ©s dans le vagin pour faire durer ce premier orgasme. TrĂšs " clinique ", je commente sa technique et lui demande mĂȘme comment il rĂ©alise ce tour de force. Avec Emma on y arrive mais on s'y met Ă  trois avec PH et Ernesto !
Il m'explique qu'il joue sur la capacitĂ© qu'a le vagin de se dilater fortement. LĂ  il n'avait enfoncĂ© que 4 doigts mais me dit que sur ce type d'organe, trĂšs " ouvert " il pourrait facilement enfoncer sa main entiĂšre. Et de le faire aussitĂŽt devant moi, dĂ©clenchant une derniĂšre secousse violente qui tĂ©tanise le corps de ma testeuse. Il se retire et me dit que le seul inconvĂ©nient c'est que, dilatĂ© comme cela, le vagin met un peu de temps Ă  retrouver ses " marques " et du coup il va " flotter " quand il va la baiser. Je lui dis de passer par l'arriĂšre. Il me dit qu'en levrette ce sera pareil avant de rĂ©aliser que je lui disais de l'enculer. Il passe aussitĂŽt Ă  l'exĂ©cution. A 4 pattes les seins Ă©crasĂ©s sur les draps, elle cambre les reins et mon Escort l'encule aprĂšs s'ĂȘtre enkpotĂ© la bite. Il y va hard mais m'explique qu'il s'Ă©tait rendu compte Ă  la vue de son anus qu'elle avait l'habitude de cette pratique. D'ailleurs il avait rĂ©ussi Ă  lui mettre ses 19cm sans problĂšmes. Je demande Ă  la mĂšre de Jean qui me dit que c'Ă©tait bon de se faire mettre par un vrai mĂąle. Je le laisse faire. Il a le coup de rein impĂ©rieux et long. Il aime profiter de sa longueur de bite pour faire sentir tous les centimĂštres. Il ressort rĂ©guliĂšrement complĂštement du cul sodomisĂ© avant d'y retourner jusqu'aux couilles.
Il la baise plus hard. Les mains accrochées aux hanches larges de la mÚre de Jean, il lui défonce la rondelle. A chaque fin de pénétration, les chairs se collent et les hanches de Blond 1 claquent sur les grosses fesses de la meuf. Puis, conscient qu'il est là pour donner du plaisir à madame, il se penche, la redresse sur ses avants bras et passe ses bras dessous pour lui pincer les tétons. Effet immédiat garanti. Elle hùlette et ne tarde pas à jouir de nouveau. Blond 1, coincé dans son cul explose à son tour et avec trois furieux coups de rein, rempli sa kpote.
Au débriefing, la mÚre de Jean nous dira avoir apprécié sa façon de lui pilonner le fond de son vagin et aussi la façon qu'il a eu de la faire jouir la premiÚre fois rien qu'avec ses doigts.
Le temps que mon " banc de test " se refasse une beauté, je fais venir Brun 1 (mon futur Escort brun bien épilé).
Quand il arrive elle est de nouveau, nue et allongĂ©e sur le lit. Il a moins de gueule que la derniĂšre fois oĂč nous nous sommes rencontrĂ©s. Il se prĂ©sente, et de dĂ©shabille un peu gauchement (je note ça dans un coin de mon cerveau). Il Ă©vite de me regarder mais je sens bien que mon regard le trouble.
Il attaque le morceau. Sa technique est rodĂ©e. Il joue bien avec les seins, ses doigts pincent bien les tĂ©tons, fort mĂȘme ! Mais la mĂšre de Jean en a vu d'autre et ça les lui fait bander. Quand il pratique  pareil sur le clito, elle en dĂ©colle ses fesses du lit. Il en profite alors pour enfoncer trois doigts dans sa chatte.
Puis il se positionne en 69 et je le vois bouffer la chatte. Elle en profite pour engouffrer sa bite qui ne bande que mollement. Je vois que, mĂȘme avec sa science du sexe pourtant bien Ă©prouvĂ©e, elle peine Ă  lui donner sa raideur maximale. Elle y arrive dĂšs qu'elle lui rentre deux doigts dans son cul. Je le vois se kpoter alors trĂšs vite et s'enfoncer dans son vagin. Je le trouve un peu trop rapide dans son limage de chatte, comme l'impression d'en finir vite. J'interviens et lui rappelle qu'il est en service commandĂ©, qu'il doit en donner pour l'argent de la cliente. Ça le fait dĂ©bander direct ! Sensible mon beau brun ! La mĂšre de Jean ne s'embarrasse pas de dĂ©tail et lui remet aussitĂŽt deux doigts dans l'oignon ce qui refait le mĂȘme effet, en l'occurrence il rebande direct.
Louche tout ça !!
Il ne se tient bien raide que tant qu'il se fait chatouiller le trou par les doigts de la meuf. Par contre, Ă  l'enculage pas de soucis. Sa bite de 20x6 reste bien dure et finalement donne satisfaction.
Au débriefe, ma testeuse lui envoi carrément que pour un Pd, il s'était pas si mal débrouillé que ça. Il devient tout rouge alors qu'elle continue en me disant que ses doigts étaient rentrés dans son cul comme dans du beurre et qu'il n'avait bandé à mort que lorsqu'il l'avait enculée.
Je me tourne alors vers lui et lui demande depuis combien de temps il se connaissait ce penchant et pourquoi il ne m'en avait pas parlé.
AprÚs une vaine tentative de dénégation, il accepte de me parler alors que la mÚre de Jean est dans la salle de douche. Il me dit que depuis sa puberté il se sait attiré par les mecs mais que dans son milieu, c'est inacceptable. Il s'est donc forcé à baiser des meufs pour pas attirer l'attention et que ce n'est que dans l'intimité de son studio qu'il ose se faire réellement plaisir à l'aide de godes conséquents. Quand je lui dis qu'il m'avait été conseillé comme étant un bon baiseur de meufs lors des partouzes, il sourit et me répond que c'est de voir les bites et les culs des autres mecs participants qui maintient sa bandaison.
Je lui propose alors d'intĂ©grer mon programme mais avec des clients plutĂŽt que des clientes. Je le vois hĂ©siter. Je le rassure et lui dis que cela peut se faire de façon Ă  ce que personne ne soit au courant. Il n'a pas l'air convaincu. Je l'assure que s'il le veut je peux mĂȘme dire Ă  Gwen et StĂ©phane qu'il est recrutĂ© pour mes clientes. Car comme c'est eux qui m'ont dirigĂ© vers lui, ils risquent de demander. J'ajoute que je ne l'obligerai pas Ă  assister aux divers entrainements physiques de mon Ă©quipe d'Escorts homo. Cette derniĂšre prĂ©cision emporte le morceau. Je lui demande de passer dans la soirĂ©e au Blockhaus pour en discuter.
Le passage du troisiÚme nouvel Escort (Blond2) est sans surprise. Il réussit le test sans émotions particuliÚres.
Le soir mĂȘme, Brun 1 passe me voir. Je le reçois au 4Ăšme, j'ai la flemme de me faire descendre au premier ! PH est Ă  son cours de danse et j'ai demandĂ© Ă  mes deux beurs de nous laisser seuls.
Devant une biĂšre, je le fais parler. Je ne sais si c'est la dĂ©co franchement " homo " de notre sĂ©jour ou la possibilitĂ© d'ĂȘtre Ă©coutĂ© sans risque, mais une fois lancĂ©, il me dĂ©balle tout. Enfin,  tout est un bien grand mot pour me raconter ses frustrations devant les corps de copains de sport, ses dĂ©chainements sur les meufs lors des quelques touzes auxquelles il avait participĂ© et les intromissions rĂ©pĂ©tĂ©es et jouissives de godes dans son anus. Sans en avoir l'air, je lui demande la taille des engins, pour info. Je suis quand mĂȘme Ă©tonnĂ© quand il me sort qu'ayant commencĂ© avec un gode de 16x3, il Ă©tait passĂ© quelques semaines plus tard Ă  la copie du sexe d'un acteur porno connu pour ses attributs plus que gĂ©nĂ©reux (25x 5,5 Ă  7). AprĂšs un sifflement Ă©logieux, je lui demandais quand mĂȘme s'il s'enfonçait ce dernier entiĂšrement dans le cul. RĂ©ponse : aprĂšs quelques essais et beaucoup de vaseline, il avait rĂ©ussi Ă  coller les couilles en plastiques contre les bords de sa rondelle. Je lui dis alors qu'il me rassure. Comme j'ai principalement des clients homo mais actifs, j'aurais Ă©tĂ© un peu en peine de l'utiliser s'il n'avait Ă©tĂ© qu'actif.
C'est de lui-mĂȘme que vient la proposition d'effectuer un essai avec un homme. Comme il est puceau dans ce type de relation, il me dit craindre de ne pas assurer et surtout de ne pas savoir s'y prendre. C'est tout gĂȘnĂ© qu'il me demande si je n'aurais pas quelqu'un Ă  lui prĂ©senter pour sa premiĂšre fois. J'ai failli Ă©clater de rire. Mais son air embarrassĂ© m'a retenu.
Je suis prĂȘt Ă  chercher qui pourrait me rendre ce service quand je pense qu'en tant que " vierge ", il pourrait se faire un max de blĂ© pour sa premiĂšre prestation.
Je lui explique de quoi il retourne : la mise aux enchĂšres, parmi une sĂ©lection de mes clients, de sa premiĂšre fois. J'ajoute que cela pourrait lui rapporter un bon paquet de fric et lui prĂ©cise les montants auxquels, jusqu'Ă  prĂ©sent, mes clients s'Ă©tait arrachĂ© les premiĂšres prestations de mes Escorts pourtant loin d'ĂȘtre vierges. Il n'en revient pas qu'un mec puisse offrir autant pour se faire un mec.
Un peu fier, je lui dis que ce n'est pas " un mec " mais un Escort de chez moi !
Je le rassure en indiquant que ma sélection écarterait les mecs un trop bien monté, les brutaux et les trips spéciaux. Je connais bien mes clients et sais ceux qui sauront prendre soin d'un puceau.
Il renonce à son idée de " s'entrainer " avant sur du " matériel " vivant.
Il accepte de faire quelques photos supplémentaires pour l'opération. Je demande à Ammed de les faire avec le mur blanc du salon comme fond.
Il repart avec l'assurance que je l'appellerai bientĂŽt.
Jardinier
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danceofthedruid · 1 year ago
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Et quand la douleur fais son grand retour
w/ @x1037
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Cela faisait maintenant plusieurs mois que Mark Ă©tait rentrĂ© Ă  New-York, sans mĂȘme le vouloir, mais Ă  cause de sa blessure Ă  la jambe qui le rendait inapte Ă  continuer de servir son pays, comme il l'avait toujours fait depuis qu’il en Ă©tait parti. Mais les choses avaient changĂ©es, il avait dĂ» rentrer Ă  New-York pour recevoir les soins, que mĂȘme les mĂ©decins militaires ne pouvaient lui prodiguer, fautes de moyens. C’est donc Ă  contre-cƓur qu’il avait dĂ» quitter l’armĂ©e et reprendre une vie civile qu’il n'avait jamais souhaitĂ© reprendre, Ă  son plus grand dĂ©sarroi. Mais Ă  son retour en ville, Mark avait commencĂ© sa rĂ©Ă©ducation et avais consultĂ© un nouveau mĂ©decin, comme il lui avait Ă©tĂ© conseillĂ©, car mĂȘme s’il ne serait plus jamais le militaire qu’il avait Ă©tĂ©, il ne voulais pas rester handicapĂ© Ă  vie, il voulais tout de mĂȘme retrouver un maximum de ses capacitĂ©s motrices, mĂȘme s’il ne la retrouvais pas Ă  cent pourcent, mais au moins assez pour avoir une vie civile un temps soit peu normale et ne pas avoir Ă  ĂȘtre dĂ©pendant des gens qui vont l’entourer.
Mais lors de ses visites pour sa rĂ©Ă©ducation, il ne s'attendait pas le moins du monde Ă  y retrouver son ancienne fiancĂ©e, elle aussi engagĂ©e en tant que militaire comme infirmiĂšre, chargĂ©e de soigner les soldats blessĂ©s au combats et faisait la mĂȘme chose Ă  New-York quand elle n'Ă©tait pas dĂ©ployĂ©e sur une ligne de front. Revoir cette fiancĂ©e qu’il avait quittĂ© pour l’armĂ©e, lui avais fais un pincement au coeur, car mĂȘme s’il l'avait quittĂ© pour ne pas qu’elle attende un soldat qui ne reviendrais probablement jamais, il ne voulais pas infliger un tel fardeau Ă  la femme qu’il aimais, car il le savais, il ne quitterais pas le front de ci-tĂŽt, et il avais fallu qu’l soit gravement blessĂ© et jugĂ© inapte pour le faire rentrer au pays, retrouvant ainsi une vie civile qu’il n’avais jamais souhaitĂ© reprendre. Malheureusement, ce choix ne lui appartenait guĂšre Ă  prĂ©sent, obligĂ© de faire avec, mais sans pour autant laisser tomber sans se battre pour amĂ©liorer un maximum sa situation, mĂȘme s’il Ă©tait condamnĂ© Ă  vivre loin des lignes de front.
Pendant des mois, il n’a fait que se rapprocher toujours un peu plus de toi, ses sentiments Ă©tant toujours prĂ©sents et l’ayant tenu en vie, mĂȘme dans les moments les plus difficiles quand il devait faire face Ă  ses ennemis, pour rester en vie, encore et toujours. Mais sa condition actuelle l'empĂȘchait d’envisager quoi que ce soit pour un avenir, qui pour lui, n'avait toujours pas de sens, en tout cas, pas tant qu’il n'aurait pas retrouver un maximum de ses capacitĂ©s motrices, il ne voulais pas ĂȘtre un fardeau, il voulait retrouver son autonomie, ou tout du moins, autant qu’il le pouvait, afin de reconstruire une nouvelle vie ici, Ă  New-York, Ă  dĂ©faut de pouvoir retourner protĂ©ger et servir son pays comme il l'avait toujours fait par le passĂ©. Tant que tu Ă©tais en ville, tu l’aidais du mieux que tu le pouvais en plus de son mĂ©decin, pour aider le jeune Conrad Ă  retrouver cette mobilitĂ© perdue, mais Ă©galement, pour l’aider Ă  retrouver un sens de la vie qu’il avait perdu quand le nouvelle de son inaptitude Ă©tait tombĂ©e, ne sachant toujours pas ce que l’ancien militaire allait dĂ©sormais bien pouvoir faire de sa vie. Puis tu fus rapidement dĂ©ployĂ© de nouveau, mais sans pour autant laisser le jeune homme sans nouvelles, puisque tu lui envoyais des lettres dĂšs que tu en avais l’occasion, lettres auxquelles il ne pouvait rĂ©pondre, il le savait.
Mais un jour, il reçut un appel de son ancien beau-pĂšre, gĂ©nĂ©ral militaire pour lequel il avait la plus grande estime, et inversement, mais le gĂ©nĂ©ral Dawz ne lui parla de rien au tĂ©lĂ©phone, une mesure que tout militaires connaissaient, au cas oĂč les ennemis les auraient mit sur Ă©coute, Mark s’était donc rendu tant bien que mal sur la base avec ses bĂ©quilles, sa mobilitĂ© n’étant pas totalement revenue, il lui restait encore beaucoup d’efforts avant de pouvoir espĂ©rer marcher un tant soit peu normalement, mais dĂšs qu’il fĂ»t sur la base, il apprit la terrible nouvelle de la part de son ancien beau-pĂšre, sa fille, l’ex fiancĂ©e du jeune homme, venait d’ĂȘtre capturĂ©e par les terroristes les plus dangereux du monde aprĂšs que son convoi ai Ă©tĂ© attaquĂ©. La nouvelle laissant le jeune Conrad sous le choc, se demandant ce qu’il allait bien pouvoir faire puisqu’il n’était plus apte Ă  servir son pays, et donc, aller au secours de son ex-fiancĂ©e, qui restait tout pour le jeune homme, bien qu’il ne lui ai jamais avouĂ©, prĂ©fĂ©rant attendre de retrouver sa mobilitĂ© pour ne pas ĂȘtre une charge supplĂ©mentaire pour la jolie blonde. Il regarda alors le gĂ©nĂ©ral, affirmant qu’il ferait tout ce qu’il peut Ă  son niveau, sachant qu’il ne pourrait jamais retourner combattre ses forces Ă  cause de cette blessure Ă  la jambe droite qui l'handicapait.
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shakeskp · 2 months ago
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Des nouvelles de l'Ă©criture
Un "petit" mois, ce septembre à 14 500 mots, mais surtout trÚs éparpillé - j'ai eu du mal à me concentrer sur un seul projet, Springbreak me fai(sai)t de la résistance, et dans ma frustration je suis partie à droite et gauche.
Pas de façon trop improductive quand mĂȘme, j'ai quand mĂȘme Ă©crit et publiĂ© De la cosmographie, bien avancĂ© le Fake Fake Dating et donnĂ© une forme Ă  la petite troisiĂšme partie des Voies.
J'ai aussi Ă©crit une scĂšne qui m'amuse d'une fic potentielle, mais qui risque de ne rester que potentielle, oĂč Obi-Wan rajeunit temporairement vers ses 19 ans :D
Springbreak a enfin daignĂ© se dĂ©bloquer un peu avant-hier, et j'ai une meilleure idĂ©e d'oĂč je vais - il Ă©tait temps, j'ai Ă©crit plus de 18 000 mots et je n'en ai gardĂ© que 12 000 pour le moment !!! Le problĂšme de cette fic, c'est que c'est une ~vibe~ plus qu'un scĂ©nario, sauf qu'Ă  12 000 mots, il faut que je sache un peu mieux ce qu'il faut que je raconte, quoi...
Et parce que donc, cette fic ne restera que potentielle, mais que ça m'amuse, la fameuse scÚne de Babywan :
Obi-Wan n'Ă©tait pas idiot, il comprenait parfaitement l'argument du Conseil. On ignorait s'il venait du passĂ© ou si c’était juste une transformation plus ou moins temporaire, on ignorait ce qui arriverait Ă  cette rĂ©alitĂ© s'il en savait trop. Et il avait bien rĂ©alisĂ© que quelque chose d'Ă©norme, de terrible avait dĂ» arriver. Tout le monde devait probablement discuter de la dĂ©marche Ă  suivre... Et il se plierait Ă  leur dĂ©cision, bien sĂ»r.
On n’allait quand mĂȘme pas l’enfermer Ă©ternellement au temple, de toute façon. Il espĂ©rait, en tout cas.
Mais il y avait une chose, une qu'il devait savoir et qui n’aurait aucune influence sur l’avenir.
Alors, au cƓur de la nuit, quand il fut sĂ»r et certain qu'Anakin Skywalker dormait, il sortit de la chambre de son futur lui avec toute la discrĂ©tion du monde et se rendit directement au communicateur holographique. Il se positionna de façon Ă  voir la porte de la chambre de Skywalker, juste au cas oĂč, avant de chercher la frĂ©quence de com qu'il lui fallait.
Il avait une question, et il ne pouvait la poser qu'à une seule personne. 
— Oh putain de bordel de merde, souffla Quinlan, les yeux Ă©carquillĂ©s, avant d'enchaĂźner dans une langue qui ressemble furieusement Ă  du hutt. Alors ce n'Ă©tait pas une blague.
— Douce Force, tu es tellement vieux, lĂącha Obi-Wan malgrĂ© lui.
Bizarrement, ce fut à ce moment-là que la réalité de la situation se fit vraiment.
Il avait voyagé dans le futur.
Ou rajeuni. 
Peu importait. Quinlan Ă©tait vieux.
— Tu es un bĂ©bĂ©, rĂ©torqua Quinlan.
— J'ai presque dix-neuf ans, chuchota furieusement Obi-Wan.
— Un nourrisson !
— Tu ne disais pas ça hier quand j'avais ton pĂ©nis dans ma bouche.
Quinlan poussa Ă  nouveau un chapelet de jurons en lui demandant de la fermer, Obi-Wan, pour l'amour de la Force, je me sens sale quand je vois ta tĂȘte d'adolescent innocent !
Il savait trĂšs bien qu'Obi-Wan n'Ă©tait plus innocent depuis longtemps, il avait Ă©tĂ© lĂ  la premiĂšre fois et beaucoup d’autres ensuite. Mais peu importait, ce n'Ă©tait pas le sujet. Encore que
 quelque part, si.
— Quinlan, il faut que je sache...
— Je ne peux rien te dire, interrompit celui-ci, soudain sĂ©rieux, sombre, si diffĂ©rent de son ami. Ce ne serait pas...
— Je sais, je sais, coupa Obi-Wan. L'avenir de cette rĂ©alitĂ©, etc. Mais lĂ  ça n'a rien Ă  voir, un dĂ©tail sans aucun impact, promis. Il faut que je sache. Quinlan...
Il prit une profonde inspiration et, pour bonne mesure, baissa encore la voix, l'Ɠil sur la porte de Skywalker.
— Quinlan, est-ce que je couche avec mon ex-padawan ?
***
Ça n'aurait pas dĂ», mais c'Ă©tait la question qui le taraudait depuis qu'il avait ouvert les yeux, Ă©tourdi, et qu'il s'Ă©tait retrouvĂ© face Ă  cet homme absolument magnifique qui avait Ă©veillĂ© chez lui, immĂ©diatement et sans aucune hĂ©sitation, un mĂ©lange d'amour et de dĂ©sir d'une violence dĂ©routante, et auquel il Ă©tait connectĂ© par un lien dans la Force complĂštement inattendu.
Heureusement, les boucliers d'Obi-Wan avaient toujours Ă©tĂ© impeccables et avant mĂȘme de se demander ce qu'il faisait lĂ , il s'Ă©tait enfermĂ© Ă  double-tour. Ça n'avait pas Ă©tĂ© agrĂ©able, comme s'il n'avait pas l'habitude d'ĂȘtre aussi loin de cet homme dans la Force.
Mais ça avait été nécessaire.
Et tout avait Ă©tĂ© perturbant par la suite, mais pas autant que Skywalker toujours sur ses talons, Ă  cĂŽtĂ© de lui, dans sa tĂȘte, prenant d'incroyables libertĂ©s avec son corps - Jamais il n'aurait saisi MaĂźtre Qui-Gon par le bras comme ça ! Ou les Ă©paules ! Ou l'aurait regardĂ© dans les yeux aussi intimement !
Il n'y avait qu'une seule explication, et elle Ă©tait horriblement scandaleuse.
***
Quinlan le regarda fixement une seconde.
— Non, rĂ©pondit-il enfin, tu me l'aurais dit.
Oh. Le mélange de soulagement et de déception le perturba beaucoup.
— Est-ce que je veux coucher avec mon ex-padawan ? demanda-t-il encore en retenant son souffle.
— C'est la question que tout le monde se pose, probablement toi aussi. Et Skywalker. Skywalker doit se poser la question depuis qu'il sait comment fonctionne son appareil reproducteur.
L'horreur d'Obi-Wan dut ĂȘtre visible, car Quinlan corrigea trĂšs vite :
— Non, non, ce n'est pas ce que tu crois, juste que Skywalker aimerait probablement bien que tu veuilles coucher avec lui.
— Oh. 
Quand mĂȘme.
— Écoute, reprit Quinlan, Skywalker et toi... C'est compliquĂ©. Je ne veux pas t'en dire trop, parce que si, ce serait probablement jouer avec le feu de notre rĂ©alitĂ©, bien plus que tu le crois. Mais vous ĂȘtes particuliers, OK ? Ne t'inquiĂšte pas.
Bizarrement, Obi-Wan trouvait ça encore plus inquiétant.
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lepartidelamort · 2 months ago
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Les juifs instaurent l’ùre du terrorisme d’état global.
Les rÚgles de jeu ont changé.
Nasrallah est mort.
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Étant un adepte du darwinisme intĂ©gral, je dois dire que cette fin est mĂ©ritĂ©e.
On ne peut pas faire preuve d’une si aberrante incompĂ©tence sans le payer au prix fort.
Ces gens du Hezbollah parlaient beaucoup.
Leur refus de rejoindre la guerre aux cÎtés du Hamas pour ne pas déclencher une intervention américaine aprÚs le 7 octobre 2023 a mis en confiance les juifs qui sont immédiatement passés à la phase active de leur offensive contre le Hezbollah.
Le résultat de cette « prudence » fait la une des médias mondiaux en ce moment.
La défaite humiliante que les Chiites viennent de recevoir est pour eux un retour salutaire sur le plancher des vaches.
La retenue exigĂ©e par TĂ©hĂ©ran aprĂšs le 7 octobre est le rĂ©sultat de l’influence dĂ©sastreuse du ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres iranien sur la direction du pays. Cela fait trop longtemps que ces gens en costume cravate prĂ©tendent comprendre la situation.
Il est probable que des traĂźtres au sein du gouvernement iranien alimentent les juifs avec des informations cruciales dans le but d’empĂȘcher une confrontation avec les USA.
Les juifs parlent moins, beaucoup moins, et ils tuent plus, beaucoup plus. Les juifs sont des assassins, on ne peut pas leur enlever ça.
C’est une leçon qui a dĂ©jĂ  des consĂ©quences globales. À prĂ©sent, c’est au tour des Iraniens. Ils ont intĂ©rĂȘt Ă  le comprendre et vite car la machine de mort juive est lancĂ©e Ă  pleine vitesse dans son plan de guerre apocalyptique.
Elle ne temporise pas, elle détruit.
Le prochain sur la liste est le chef suprĂȘme iranien.
À 85 ans, je crois que cet homme est trop ĂągĂ© pour comprendre rĂ©ellement la gravitĂ© de la situation.
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Les juifs vont rĂ©pĂ©ter Ă  grande Ă©chelle ce qu’ils ont expĂ©rimentĂ© au niveau du Liban.
Leur plan est clair : dĂ©capiter l’intĂ©gralitĂ© du gouvernement de l’Iran puis prĂ©cipiter une guerre civile en jetant dans les rues tout ce qu’ils peuvent de sĂ©paratistes kurdes, de djihadistes sunnites et de femmes hystĂ©riques.
Les juifs escomptent procéder au démantÚlement du pays de cette façon.
En guise de couverture, les AmĂ©ricains seront jetĂ©s dans cette guerre comme de la chair Ă  canon. Les AmĂ©ricains n’ont plus de volontĂ© collective, faute de direction politique. Leur pays est trop Ă©troitement aux mains des juifs.
Netanyahu peut donc tout faire.
D’ailleurs, Bachar est aussi sur la liste. Les juifs sont prĂȘts Ă  rallumer l’incendie syrien Ă  la moindre occasion.
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Les juifs ne sont pas omnipotents. Leur position est mĂȘme trĂšs prĂ©caire, mais tout dĂ©pend d’une rĂ©ponse Ă©nergique de la part de ceux qu’ils menacent. S’il y a des gens lucides Ă  TĂ©hĂ©ran, l’ordre doit ĂȘtre immĂ©diatement donnĂ© de doter le pays de l’arme nuclĂ©aire. C’est une question de mois, de semaines peut-ĂȘtre avant que les juifs n’attaquent.
Là encore, ce retard dans la nucléarisation est le résultat de la stupidité des diplomates iraniens qui prétendent avoir la situation sous contrÎle.
Mais le guide suprĂȘme iranien n’est encore un hors d’oeuvre.
Un juif suit ce qui se passe avec attention.
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Poutine est la cible ultime.
Si Zelensky exige avec autant de force des missiles Ă  longue portĂ©e et des chasseurs modernes, c’est pour faire ce que font ses congĂ©nĂšres de Tel Aviv.
Plus rien ne peut convaincre ces juifs de ralentir leurs opĂ©rations armĂ©es au niveau mondial. Si personne au Kremlin ne bouscule Poutine pour qu’il cesse de faire barrage aux mesures d’urgence vitales, c’est lui qui finira assassinĂ© par un tir de missile.
Un seul homme dans toute cette affaire a compris tout cela depuis longtemps.
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DĂ©mocratie Participative
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new-guy-voyeur · 3 months ago
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bravo pour la réussite, Mme von der Leyhen estime la concurrence
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la théorie de Mme von der Leyhen est une idée, mais il y a différents domaines économiques qui ont des difficultés avec cette théorie
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Le chiffre 70 est probablement manipulé; mais la crise peut durer !
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il faut réléchir d'avance
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Le monde économique est plein de menaces contre la Santé et les Lycées.Elles sont inutiles, ce qu'il faut c'est une réforme argumentée.
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avec des pointes de 50 en 2007 et 2018 le Vix recommande de la prudence, je n'ai pas l'impression que la construction de bunkers apporte beaucoup; il est en août 2024 en USA à 15.23 donc bas
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Le DAX est encore plus calme COMPARE AVEC LE S&P en USA, la CRISE DU COVID a causé une pointe de 50 en 2020.
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VEILLER LES LES CRISES ET CHOISIR UN FOND C'EST L'IDEE !!!
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Une eC3 Ă  14.500 euro ? avec une bulle de 30% dans le Nasdaq
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un scandale, vrai ou truqué, du bureau of labor staistics le 22.8
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le covid en 2020 était pour les investisseurs une crise sérieuse
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l'aviron, une nouvelle discipline olympique
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kilfeur · 11 months ago
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Mon avis sur le disque Indigo (My opinion about Indigo Disk)
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Alors il y a beaucoup de choses sur ce dlc. DĂ©jĂ  j'ai aimĂ© le fait que la difficultĂ© soit de retour ! Ça a toujours l'une des plaintes concernant la saga PokĂ©mon, c'est que c'Ă©tait devenu trop simple les combats. LĂ  on a des combats duo avec des dresseurs qui utilisent les objets. Je vous jure quand j'ai dĂ» affronter le conseil 4, j'ai galĂ©rĂ© en particulier avec Irido. Il me restait que deux pokĂ©mons encore actif, les autres Ă©taient tous k.o. Donc c'Ă©tait assez plaisant et perturbant de retrouver de la difficultĂ©.
Le conseil 4 est assez sympa, ma prĂ©fĂ©rĂ© c'est NĂ©risse vu son lien avec Roseille et qu'elle semble s'inquiĂ©ter pour Roseille mais aussi Kassis. Irido est assez attachant bien qu'au final il nous utilisait un peu pour vaincre Kassis car ce dernier mettait une mauvaise ambiance Ă  cause de son attitude. Quand Ă  Roseille, elle est toujours fidĂšle Ă  elle mĂȘme, mais je la trouve moins agressive que dans la premiĂšre partie. LĂ  on voit que les erreurs ont Ă©tĂ© apprises dans la premiĂšre partie et qu'elle nous apprĂ©cie. Certains se demanderont pourquoi Roseille n'essaie pas de parler Ă  son frĂšre ? Et vous vous rappelez quand on a voulu s'inscrire ? Roseille a essayĂ© de lui parler mais Kassis lui a rĂ©pondu de fermer sa gueule ! Donc ouais, il Ă©tait pas enclin Ă  Ă©couter sa soeur mĂȘme si Roseille essayait. Et il semblait Ă©couter personne d'autre ! Le seul qui semble vouloir nous Ă©couter c'est nous ! Car on est la cause de son obsession !
Quand Ă  Kassis, parlons en de ce gosse ! DĂ©jĂ  le fait qu'il a changĂ© du tout au tout, s'entraĂźnant d'arrache pied pour nous vaincre. Car oui devenir plus fort et nous vaincre, c'est devenue une obsession. Et de l'autre je peux comprendre que certains s'inquiĂštent pour lui. Et c'Ă©tait le cas pour moi aussi au dĂ©but puis quand j'ai appris que son comportement toxique causait des problĂšmes aux autres. Je me suis dit qu'il fallait que je lui botte le cul ! Son attitude et ses agissements causent des problĂšmes Ă  lui mĂȘme mais aussi aux autres. Depuis qu'il est devenu le maĂźtre de la ligue, il faisait n'importe quoi. L'ambiance n'Ă©tait pas bonne comme pouvait le dire certains membres du conseil 4 voir mĂȘme certains npc !
Donc ouais Kassis n'est pas qu'une victime dans cette histoire ! Bien qu'au final, il arrive pas Ă  nous vaincre lors de l'affrontement final ! Il ne comprend pas pourquoi ! Tout cet entraĂźnement acharnĂ© ! Tout ça pour rien ? Sans compter qu'Irido qui remue le couteau dans la plaie. AprĂšs je pense qu'il a agit ainsi Ă  cause de ce qui s'est passĂ© au club. Il lui en a probablement voulu et c'est pour ça qu'il lui a parlĂ© ainsi. Je dis pas que ça l'excuse pour autant mais de l'autre. Je peux comprendre d'ailleurs mĂȘme lui il se rend compte qu'il aurait pas dĂ» faire ça Ă  ce moment lĂ  ! Et qu'il s'est juste laisser porter par les Ă©vĂšnements !
Sans compter que lors de l'expĂ©dition Ă  la zone zĂ©ro, on retrouve l'ancien Kassis qu'on connaĂźt par des dialogues. Surtout que lorsqu'il essaie d'arracher le cristal de Terrapagos, ça lui permet de vider son sac sur ce qu'il ressent. Et je pense que ça lui a fait du bien ! On a beau l'avoir vaincu, il veut nous affronter avec Terapagos mais une fois la cristallisation de ce dernier. Il se rend compte qu'il a merdĂ© et n'ose pas nous aider alors qu'on est seule Ă  affronter Terapagos ! C'est quand on lui demande de l'aide que cette fois ci, il vient nous prĂȘter main forte pour affronter et capturer Terapagos. Bien que j'Ă©tais en colĂšre contre Bria, elle a Ă©tĂ© irresponsable avec son expĂ©rience ! Je vous jure, y a des baffes qui se perdent ! Une fois de retour Ă  l'institut, Kassis se rend compte qu'il a merdĂ© mais qu'il compte se racheter et souhaite qu'on redevienne amis ! Donc ouais on est de nouveau pote avec Kassis, tant mieux car je l'aime beaucoup ce gosse !
Donc au final, j'ai pas mal aimé ce dlc, je pensais pas autant m'amuser mais faut dire qu'avec les références à la Gen5, je suis un peu biaisé
So there are a lot of things about this dlc. First of all, I like the fact that the difficulty is back! One of the complaints about the Pokémon saga has always been that battles have become too simple. Now we've got duo battles with trainers using items. I swear, when I had to face Council 4, I had a hard time, especially with Drayton. I only had two pokémons still active, the others were all knocked out. So it was quite pleasant and disturbing to find difficulty again.
Council 4 is quite nice, but my favorite is Amarys given her bond with Carmine and the fact that she seems to care about Carmine but also about Kieran. Drayton is quite endearing, although in the end he used us a little to defeat Kieran, who was creating a bad atmosphere because of his attitude in the club. As for Carmine, she's still true to herself, but I find her less aggressive than in the first part. Now we can see that she's learned from her mistakes in the first part and appreciates us.
Some may wonder why Carmine doesn't try to talk to her brother? Remember when we wanted to sign up to fight the Council 4 ? Carmine tried to talk to him, but Kieran told her to shut up! So yeah, he wasn't inclined to listen to his sister even if she tried. And he didn't seem to listen to anyone else! The only one who seems to want to listen to us is us! Because we're the cause of his obsession!
As for Kieran, let's talk about that kid! First of all, he's changed completely, training hard to beat us. Yes, getting stronger and beating us has become an obsession. And on the other, I can understand why some people worry about him. And so was I in the beginning, then when I learned that his toxic behavior was causing problems for others. I told myself I had to kick his ass! His attitude and actions are causing problems for himself and others. Ever since he became master of the league, he'd do anything. The atmosphere wasn't good, as some members of council 4 and even some npc members could tell!
So yeah, Kassis isn't just a victim in this story! Although, in the end, he doesn't manage to defeat us in the final confrontation! He doesn't understand why! All that hard training! All for nothing? Not to mention Drayton stirring the pot. After that, I think he acted the way he did because of what happened at the club. He was probably angry with him and that's why he spoke to him like that. I'm not saying that excuses it, but I can understand that even he realizes that he shouldn't have done that at the time! And that he just let himself be carried away by events!
Not to mention the fact that the expedition to Area Zero reunites us with the old Kieran, whom we know from dialogue. Especially when he's trying to get the Terrapagos crystal, it gives him a chance to vent his feelings. And I think that did him good! Even though we've beaten him again, he wants to confront us with Terapagos, but only once it's crystallized. He realizes he's screwed up and doesn't dare help us, even though we're the only ones facing Terapagos! It's when we ask him for help that this time he comes to our aid to confront and capture Terapagos. As angry as I was with Bria, she was irresponsible with her experience! I swear, there are some slaps that get lost! Back at the institute, Kieran realizes that he screwed up, but that he wants to make up for it and wants to be friends again! So yeah, we're buddies with Kieran again, and that's good, because I really like that kid!
So in the end, I really enjoyed this dlc, I didn't think I'd have so much fun, but I must say that with the Gen5 references, I'm a bit biased.
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raphoupix · 4 months ago
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une victoire est une victoire, balek de la maniĂšre. puis blĂąmer lando pour tout, tout le temps, ça va Ă  un moment. il Ă©tait en tĂȘte, il pensait au classement, c'est "logique" qu'il ne voulait pas vraiment rendre la place Ă  oscar. j'aime beaucoup mclaren, mais pour le coup ils ont encore foirer en arrĂȘtant lando avant oscar. Ă  la fin, il a rendu la place Ă  osc, oscar a gagnĂ©, il le mĂ©rite (pas que pour aujourd'hui) puis voilĂ .
p1 et p2 pour mclaren à la fin, max (le bourrin) p5 - probablement p6 parce qu'il mérite une belle pénalité - c'est parfait.
maintenant, faut que mclaren devienne meilleur dans ce qui est stratégie, pour qu'il y est moins de cas comme ça, qu'il y ait des meilleurs stratégies (coucou silverstone). ils ont LA meilleure voiture, un trÚs bon duo, il faut des victoires réguliÚrement maintenant.
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les-portes-du-sud · 1 year ago
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Le corps
15.08.2023
La torche Ă©clairait le battement des secondes sur l'horloge, le jour se pointe, mon saut du lit est sans enthousiasme, un peu cassĂ©. Le corps physique reflĂšte probablement la dĂ©ception Ă©motionnelle... Je suis allĂ© Ă  2 entretiens. Et c'est un fiasco. Dans le premier, on s'est fortement foutu de moi. Dans mon CV, il est indiquĂ© ce que je veux, le dĂ©tail du salaire dans leur offre manquait, mais la rĂ©ponse au tĂ©lĂ©phone, disait pas moins que le vĂŽtre. C'est une entreprise assez connue et je rĂȘvais dĂ©jĂ  que la rĂ©munĂ©ration y soit encore plus Ă©levĂ©e. NĂ©anmoins , je suis allĂ©e Ă  l'autre bout de la ville. Nous avons parlĂ© pendant une demi-heure et ils n'ont toujours pas abordĂ© la question financiĂšre. Quand j'ai posĂ© la question vers la fin de la discussion, il s'est avĂ©rĂ© que le salaire Ă©tait deux fois infĂ©rieur Ă  celui portĂ© sur mon CV. Dans ce studio de tournage, j'entendis le rĂ©alisateur vocifĂ©rant : - "oh, on a tellement de boulot, des volumes de scĂšnes Ă  prĂ©parer Et nous ne gagnons que des centimes pour cela ... Je m'interrogeais : quelle est leur logique, je ne comprends pas? Dois-je ĂȘtre motivĂ© par cela ? Ne sont-ils mĂȘme pas intĂ©ressĂ©s par les avantages du demandeur, mĂȘme en thĂ©orie ? ...Mais la deuxiĂšme interview a Ă©tĂ© Ă©pique. Le dĂ©but est bon, aprĂšs une conversation avec une autre fille, j'ai Ă©tĂ© emmenĂ©e en stage. Ils ont commencĂ© Ă  nous expliquer l'essentiel du travail, tout Ă©tait clair et j'ai mĂȘme pensĂ© que je pourrais travailler ici, car les conditions semblaient me convenir, mĂȘme si c'Ă©tait un peu loin pour le trajet Mais, aprĂšs un certain temps, une personne entre et, au milieu d'une phrase, interrompant le professeur, nous crie - partez ! On ne comprenait pas du tout ce qui se passait?? Mais on nous a fait sortir de la salle sans explication. Eh bien, vous n'ĂȘtes pas des salopes ?
Mais, le paradoxe est que le scĂ©nario "tu ne peux pas rester les bras croisĂ©s", a nĂ©anmoins Ă©tĂ© fixĂ© - et puis j'ai beaucoup travaillĂ© dans ma vie. Mais c'est pratiquement inutile. Car je n'ai toujours pas rĂ©ussi Ă  me retrouver dans le plan professionnel. Et je me cache derriĂšre le fait que - je ne veux pas de travail au fond de moi-mĂȘme, mais je dois travailler, et par consĂ©quent, je peux faire presque n'importe quel travail jusqu'Ă  ce que je sois dĂ©primĂ©. .... J'envie les artistes qui vendent leur travail... ou les chanteurs qui vendent leur voix.. MĂȘme si, ici, en plus du talent, il faut fouiller un peu plus dans les ventes et amĂ©liorer le "personal branding" pour se dĂ©marquer et vendre , et plus encore, vendre rĂ©guliĂšrement. Mais ce n'est quand mĂȘme pas la mĂȘme chose que quand on n'a rien Ă  vendre..... J'envie les belles personnes qui gagnent grĂące Ă  leur apparence... C'est Ă  dire. tout vient d'une abondance fondamentale de quelque chose simplement accordĂ© par la nature. Par exemple, une personne mince et plastique, engagĂ©e dans la danse, n'investit que son temps et sa force physique. Tandis qu'une personne sujette Ă  la plĂ©nitude, inflexible, mais qui veut ĂȘtre danseuse, va investir toute sa vie, sa force, ses ressources, le rejet de tout autre plaisir, afin d'ĂȘtre au moins approximativement au niveau de ce premier. Autrement dit, leurs coĂ»ts pour le mĂȘme niveau seront disproportionnellement diffĂ©rents. ....Quelqu'un dira qu'un talent ne suffit pas et qu'il faut des compĂ©tences supplĂ©mentaires. Eh bien, c'est comprĂ©hensible, seule une personne talentueuse, ayant des atouts physiques a une avance de cent pas sur celle qui a besoin de construire ce talent Ă  partir de zĂ©ro. .... Et maintenant je cherche ces avantages en moi... mais bon sang, je ne les trouve pas. .... Cela signifie que la gamme de mes travaux est pratiquement quelconque, mais ils m'intĂ©ressent peu et sont trĂšs gourmands en ressources pour moi. ...Mais alors..?
Les-portes-du-sud
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asofterepilogue · 5 months ago
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Il y a une chance de victoire de la gauche selon toi ?
Je suis pas la meilleure personne Ă  qui poser cette question 😂 DĂ©jĂ  je suis super pessimiste de base, et en plus les sondages servent pratiquement Ă  rien donc c'est purement du sentiment et trĂšs trĂšs peu de raisonnement.
Quand je vois cette campagne dĂ©gueulasse et le niveau de bĂȘtise de nos concitoyens, j'ai beaucoup de mal Ă  croire que la gauche puisse l'emporter.
Et mĂȘme quand je me force Ă  l'imaginer, ça ne m'emplit pas franchement d'espoir vue la situation. La NUPES n'a pas tenu un mandat, mais un gouvernement d'union de la gauche serait diffĂ©rent ? Avec les conflits qu'il y a dĂ©jĂ  ?
Faire barrage au RN, c'est vraiment le seul truc qui a justifiĂ© l'unitĂ© (un peu d'opportunisme aussi), et c'est pas vraiment un programme. Sur presque tout le reste, "les gauches" me semblent irrĂ©conciliables. "De GlĂŒcksmann Ă  Poutou" c'est rigolo (?), mais pour gouverner ? La droite de la gauche ne veut absolument pas d'un programme de rupture, mĂȘme avec tous les compromis actuels.
En plus de ça, Macron (et ses prĂ©dĂ©cesseurs) laisse le pays dans un Ă©tat pitoyable, pratiquement ingĂ©rable. Ça va ĂȘtre trĂšs dur de faire quoi que ce soit avec l'UE qui aboie Ă  la porte et les tensions internes actuelles.
Mais de toute façon, ce qui me paraĂźt le plus probable c'est une majoritĂ© relative pour le RN. J'imagine que Macron s'allierait Ă  eux dans ce cas, peut-ĂȘtre en attendant de re-dissoudre l'annĂ©e prochaine ? Ou alors il utiliserait son fameux article 16, en orgueilleux inconscient qu'il est clairement 🙄
Dans tous les cas, victoire du NFP ou pas, j'ai vraiment l'impression que c'est beaucoup plus qu'une Ă©lection qui se joue, et qu'Ă  court terme au moins, on est perdants dans tous les cas.
Mais je suis pessimiste, j'avais prévenu ! Par contre je ne dis absolument pas qu'il faut laisser tomber. Je n'y crois pas, mais il y a une chance. Et si par miracle le NFP obtient une majorité absolue, il faudra se mobiliser pour qu'il ne nous trahisse pas encore, et qu'on puisse profiter de cette opportunité pour enfin amorcer un vrai changement.
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saturdaystaars · 1 year ago
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@modocanis
(J'espĂšre que tu le verras enfin 😭) Bonjour :D Bon tout d'abord je voulais commenter deux ou trois choses, la premiĂšre c'est que je suis trĂšs reconnaissant envers vos Ɠuvres car elles m'ont inspirĂ© Ă  continuer Ă  Ă©tudier comment dessiner et Ă  m'amĂ©liorer en cela Ă  part ça elles m'ont aussi sorti de l'artblock et je veux ajouter que vos Ɠuvres sont trĂšs amusantes Ă  lire et avec des arriĂšre-plans intĂ©ressants. Vous utilisez trĂšs bien les personnages bibliques et leur donnez des situations et des interactions entre eux qui sont assez particuliĂšres dans le bon sens du terme. Comme je l'ai dĂ©jĂ  dit, Ă  chaque fois que vous postez quelque chose de nouveau, je suis vraiment excitĂ© et j'en parle avec certains de mes amis xD J'aimerais aussi continuer Ă  dessiner vos anges et faire mes propres dessins pour eux dans le futur (peut-ĂȘtre faire des animatiques si j'apprends Ă  les faire).
En ce qui concerne le fanart, il est probablement trop doux pour ce que sont Lucifer et Michael, ils ne sont certainement pas calmes quand il s'agit de se toucher ou de s'embrasser (ne me blĂąmez pas s'ils sont trop ooc, je voulais juste les voir s'embrasser 😔). Il n'y a pas de raison particuliĂšre pour laquelle j'ai ajoutĂ© le bandeau d'oreilles de chat sur Lucifer, j'ai juste pensĂ© qu'il correspondait au personnage et c'est tout xD.
Et enfin concernant son apparence je l'ai basé sur quelques fanarts que j'ai trouvé et de vieilles peintures d'eux que j'ai trouvé + ma propre interprétation parce que je n'ai pas pu trouver une description exacte des personnages et j'ai du improviser.
Je pense que c'est tout, encore une fois merci beaucoup d'avoir Ă©crit un si beau travail et j'attends avec impatience vos nouvelles Ɠuvres. Bonne journĂ©e :D
(PD:Désolé s'il y a des fautes d'orthographe ou des phrases absurdes, le français n'est pas ma langue maternelle :c)
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mmepastel · 8 months ago
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Pfffiou !
Quel drĂŽle de livre !
Je ne suis pas certaine d’avoir tout compris. A vrai dire, j’aurais beaucoup de peine Ă  dire quel en est le sujet. Le pĂ©rĂ©grin, c’est celui qui voyage Ă©videmment, et ce livre Ă©voque les dĂ©placements en tous genres et en tous sens, par delĂ  mers et ocĂ©ans, de la narratrice, qui ressemble fort Ă  l’autrice, d’autant qu’elle Ă©voque son parcours personnel au dĂ©but. Oui, certes, le livre parle d’espace, de lieux, de dĂ©placements, mais aussi de temps, de la mort. Du corps Ă©galement. Le livre ressemble un peu Ă  un cabinet de curiositĂ©s, dont elle parle abondamment d’ailleurs, Ă  travers les destins de certains personnages, dont certains ont rĂ©ellement existĂ©, et qui n’ont eu de cesse de progresser dans la science ou dans l’art de connaĂźtre le corps humain, et donc la façon de le conserver, puis de le montrer. (Ces pages, trĂšs nombreuses, sont effroyables et fascinantes.)
Oui, ce livre Ă  ce dĂ©sir d’ĂȘtre une somme, une Ɠuvre totale qui embrasserait l’espace-temps, le passĂ©, le prĂ©sent, leur dĂ©coupage probablement trompeur, comme si tout Ă©tait cyclique, voire parallĂšle, simultanĂ©. Il se prĂ©sente d’ailleurs comme une sĂ©rie de textes plus ou moins courts, comme des objets curieux et stimulants pour l’esprit, comme dans un fameux cabinet de curiositĂ©s. Des objets Ă©pars, mais qui se rĂ©pondent, par Ă©chos, rebonds (remarquez par exemple comme les fleuves de la couverture française Ă©voquent des veines et leurs ramifications
). Des anecdotes ou des rĂ©cits mythiques, des considĂ©rations hasardeuses ou troublantes. Parfois, des histoires, voire des contes, Ă  la portĂ©e symbolique puissante. On passe par des sentiments variĂ©s, allant de l’effroi Ă  l’émotion ou au rire. Car le ton d’Olga Tokarczuk est toujours surprenant, faussement sobre, Ă©maillĂ© de malice discrĂšte.
J’ai beaucoup aimĂ© lire ce livre, malgrĂ© sa complexitĂ©, et l’absence apparente de fil conducteur. J’ai aimĂ© me perdre dans les mĂ©andres de ce voyage intĂ©rieur Ă©rudit et fantasque. J’ai aimĂ© retrouver, chaque soir, l’assurance de trouver de l’étonnement, des idĂ©es neuves et stimulantes, un art Ă©vident de conter les histoires les plus saugrenues tout autant que passionnantes. On est sans cesse sur le fil, entre la joie de comprendre quelque chose de neuf, et la sensation vertigineuse de chute dans le surnaturel, jamais bien loin.
Je retiens toutefois des Ă©lĂ©ments de la conclusion qui suggĂšrent qu’il est judicieux de comprendre qu’on n’est pas vraiment diffĂ©rent de quelqu’un d’autre, qu’on y gagne, et que l’intĂ©rĂȘt pour autrui est toujours enrichissant, que nous appartenons Ă  un tout dont l’harmonie secrĂšte existe, mĂȘme si tout semble chaotique. Il y a une forme d’apaisement dans ces assertions, la promesse d’une humanitĂ© puissante, englobante, consolatrice, qui nous fait tant dĂ©faut au quotidien, il faut quand mĂȘme bien l’avouer. C’est une dimension que j’ai ressentie au fil du livre, mĂȘme si je ne suis pas sĂ»re d’en saisir toute la portĂ©e.
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sloubs · 1 year ago
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Ui bonjour, j'ai vu que t'avais fait des stages en librairie et que t'aimerais bien y travailler, et j'avais une p'tite question (feel free to ignore ofc) : est-ce que tu as fait des Ă©tudes dans ce domaine ?
(J'avais voulu candidater dans une librairie pas loin de chez moi sans avoir fait d'Ă©tudes pour ça, mais je m'Ă©tais fait refouler parce que, attention les guillemets, "on est un vrai mĂ©tier nous, on prend pas les gens qui ne sont pas formĂ©s" 🧍donc bon, ça m'avait un peu dĂ©couragĂ©...)
En tout cas bon courage pour ta candidature!
j'ai pas fait d'études dans ce domaine, j'ai fait des études d'art + j'ai taffé dans la vente pendant plusieurs années aprÚs mes études et j'suis giga passionnée de bd
là j'ai pu avoir un stage en librairie spécialisée grùce à pÎle emploi et j'connaissais le libraire parce que j'allais tout le temps chez lui pour acheter mes bd. un jour j'lui ai laissé un cv en lui disant que ça m'intéresserait et du coup il m'a rappelé et ça s'est fait comme ça, et là j'vais bosser chez lui jusqu'à la fin décembre. donc j'ai pu apprendre comme ça fonctionnait et j'ai les bases du logiciel dont se servent les libraires mais vraiment j'ai appris sur le tas grùce à lui et j'pense que si j'avais jamais eu d'expérience en vente avant et que j'avais pas le contact client aussi facile ça se serait probablement pas fait
en tout cas là j'vais candidater spontanément pour des trucs mais sans vraiment de certitude pcq libraire c'est un métier ultra-précaire et y a beaucoup de demande pour peu d'offre, mais j'me dis qui ne tente rien n'a rien...et probablement je vais me lancer dans une formation courte à distance maybe histoire de renforcer ma formation et d'avoir ça en plus à mettre sur mon cv
donc voilĂ  vraiment j'pense mĂȘme pas que ça me permette d'obtenir quoi que ce soit, Ă  la rigueur les mecs seront divertis pendant 5 minutes, mais bon j'aurais pas de regrets mdr
(ah et btw par rapport à ce qu'on t'a dit, y a des libraires qui sont giga cons et qui se prennent trop pour des grands préceptes de la culture, ceux qui te prennent de haut comme ça en mode "on a un vrai métier gneugneu" ils oublient trop qu'ils ont commencé de rien eux aussi, faut pas te décourager à cause de gens comme ça <3)
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