#vous avez travailler fort
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Le Créateur – HONOREZ VOTRE VRAI MOI
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Vous vous demandez parfois si tout cela en vaut vraiment la peine. Vous avez traversé des périodes intéressantes ; vous avez laissé tomber les blessures, les colères et les croyances limitatives. Vous avez appris à laisser la joie, la paix et l’amour inconditionnel prendre leur place. Vous vous êtes libéré des aspects…
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Mon psychiatre m’a tuer
#pour une fois que j’ose m’auto flatter timidement peut être bah il a tout cassé et la je me rends comptes que ma ‘confiance en moi’ c#c’est un château de cartes et que la bah il s’effondre le château de cartes#putain il m’a tué le peu d’aspiration que j’avais en moi le peu de confiance en moi et les autres que j’avais#bon bah je vais aller le voir que pour les médocs maintenant#oui c’est immature et je vais lui prouver#qu’il a raison que je suis bien immature et dysfonctionnelle émotionnellement#tain 14 ans que je travaille sur ma gestion émotionnelle j’suis au niveau -10 de l’intelligence émotionnelle#mais par contre ah oui je suis grave intelligente intellectuellement comme si c’est sur ça que je travaille depuis plus de 10 ans#oui j’ai pas confiance en moi#oui je suis une boule d’anxiété et oui je suis tellement hyper indépendante que ça me rends émotionnellement labile et que je ne pourrai#jamais guérir cela#autant me poignarder directement et physiquement#ça fera moins mal que de savoir que ce que j’ai mis en place depuis belle lurette ne sert à rien et n’avance à rien#du coup je disais que ma collègue a mentionné qu’elle pense que je suis très bien entourée alors qu’en réalité non pas tout#que ça montre que j’ai des appuis solides et que je suis intelligente émotionnellement et la il me coupe et me dit que non#‘vous êtes très immature émotionnellement ce n’est pas vrai’#y avait besoin de me dire ça maintenant ?#et il a rajouté ‘vous savez que vous avez un fort dysfonctionnement émotionnel et social’#quand je vous dit que mon sourire à quitté mon visage et que je me suis directement sentie humiliée#bref que les anxiolytiques on raconte plus sa vie#text#personal
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Older faceclaim (directory & resources)
→ Accéder au directory
STATUT : ouvert et en perpétuelle évolution.
@angemorose et moi sommes ravi·es de vous en partager la première version. 🔥
Avec ce directory, on aimerait offrir de la visibilité à des célébrités plus âgées que ce que l'on voit généralement et en profiter pour rassembler des ressources pour les graphistes et leur permettre de créer sur ces faceclaims. Sont inclus des informations de base sur chaque faceclaim ainsi que des liens directs vers des avatars, gifs et galeries de photos.
Contribuer au directory
Ce directory est voué à évoluer et s'enrichir au fil du temps. Une idée de FC à y ajouter ? Des galeries à partager ? On n'attend que vous ! Seront privilégiés les faceclaims racisés, trans, non binaire et féminins ! On continuera à le mettre à jour régulièrement pour le rendre le plus utile possible.
→ Comment contribuer au directory
On voudrait aussi prendre le temps de remercier toutes les personnes qui ont contribué à enrichir ce directory depuis que l'on a partagé ce projet avec vous. Un grand merci à vous, pour les noms que vous nous avez proposés et fait découvrir ! Et big up aux personnes qui nous partagé des galeries, on espère très fort que ça aidera à grapher plus souvent sur ces FCs !
Grâce à vous, à son ouverture, le directory compte 175 FCs, dont 90 ont une ou deux galeries de photos (soit la moitié des FCs du directory !!). Le chiffre parait incroyable, on a du mal à réaliser le travail accompli grâce à votre aide ! Merci encore une fois pour vos contributions. ♥️
#forum rpg#directory#faceclaim#underused faceclaim#faceclaims#resources rpg#rpg#rpg resources#older fc#older faceclaim
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Accessibilité, design, codage… : par où commencer pour le (re)design de mon forum ? (1/2)
Bonjour, c'est mon premier post, et comme prévu, il est trop long pour rentrer en un seul message ! 😁
Je sors de ma cave pour contribuer à ma manière aux dernières conversations de la sphère au sujet des capacités des admin et créateur.rices lorsqu’il s’agit d’avoir la main sur l’interface et l'accessibilité de leurs forums rpg.
Disclaimer :
Ce n’est pas poussé très loin, c’est plutôt un vrac de questions et d’amorces de réflexion des premières étapes du UX design et du design thinking, qui font partie de mon travail au quotidien.
Outre les quelques ressources en fin de post, tout mon blabla ne propose évidemment pas de tutoriels pratiques sur des thèmes précis, principalement parce que les questions évoquées n’auront peut-être pas les mêmes réponses d’un forum ou d’un admin à l’autre.
C'est un processus de pensée qui guide un long travail, et ce que j'écris ici ne règlera aucun vrai problème par magie. Surtout, je n’ai pas la science infuse ni l'ambition d'écrire une bible ! Il est fort possible que ça ne vous parle pas du tout, que vous ne soyiez pas d'accord, ou que ce ne soit pas très clair. Mais si ça peut en aider quelques un.e.s à s’organiser pour se lancer dans des améliorations qui auront même juste un tout petit peu plus de sens pour l’expérience utilisateur, alors tant mieux ❤️
Attention : c’est long. Je sais. C’est un de mes plus gros problèmes… (j'angoisse déjà avant de poster, send help). Je ne prétend pas non plus incarner un parfait exemple de ce que je prêche (mon forum a aussi son lot de jolis problèmes ! - j'y reviendrai en fin de post).
Mais également, si il y a la moindre chose que vous jugez mal formulée ou pouvant prêter à confusion sur l’intention ou le sens, n’hésitez pas à me le faire remonter et je tâcherai de revoir ma rédaction ou de clarifier si nécessaire !
Constat Initial
Dans le monde des forums rpg, nous ne sommes pas tous.tes égaux.les en termes de connaissances et de maîtrise de ce que ça nous demande comme compétences. C’est normal - c’est un hobby, nous ne sommes pas tous.tes du métier, et croyez moi - même l’être, ça ne veut pas toujours dire grand chose… (je bosse au Japon. vous avez vu la tronche du site web lambda au Japon ?! bref, voilà .)
Pour ces mêmes raisons, on tombe tout naturellement facilement dans le vortex de la course aux dernières modes et des design principalement motivés par une simple recherche d’esthétique - pour son propre fun sans se prendre la tête avant tout, ce qui est très bien en soi et le droit de chacun.e, mais peut-être pas toujours adapté à une utilisation en communauté !
À constater les choses sur lesquelles on semble accorder le plus d’attention dans les conversations actuelles, et en tant que professionnelle irl, il y a une chose qui m’a frappée : à mon sens, on ne prend peut-être pas les choses dans le “bon” ordre. Attention, les guillemets sont là non pas pour dire que l’accessibilité n’est pas la priorité, au contraire, c’est l’objectif ultime ! - c’est la manière dont on essaie de régler le problème du manque d’accessibilité qui me semble parfois pas toujours très efficace.
Hier, c’était le fameux plug-in Userway, aujourd’hui, une taille de texte - demain, peut-être encore autre chose ! Tant mieux : ça met en lumière des petites actions qui contribuent à une amélioration collective. Mais si toutes ces initiatives sont évidemment importantes, uniquement se concentrer sur une action isolée sans réfléchir pourquoi on la fait, essentiellement, c’est un peu comme mettre un pansement sur une fracture ouverte.
Toutefois, et parce que rien n'est tout blanc ou tout noir, si tu n’as pas beaucoup de temps ni de ressources (ou d'envie) à investir dans un gros redesign qui n’est pas donné à tout le monde, tout ce blabla ne te sera pas très utile - auquel cas, en effet, se concentrer sur les actions tangibles simples et les “quick fix” mentionnés à de nombreuses reprises par mes collègues seront la meilleure option pour améliorer l’accessibilité de ton forum ! Ce ne sera peut-être pas vraiment profond, et ça n’apportera peut-être que des solutions temporaires, mais c’est déjà mieux que de ne rien faire du tout.
Pour celleux qui sont prêt.es ou ont envie de faire un plus ou moins gros ménage de printemps et de prendre le problème à la racine, je vous partage simplement quelques lignes de pensée de la manière dont, personnellement, je réfléchis à mes modifications, ou à la construction de tout produit d’un point de vue UX.
Commencer le processus de UX Design
L’UX Design est une approche user-centric qui doit s’appliquer à tous les produits et services interactifs et numériques. Son objectif est de concevoir une expérience utilisateur optimale en se basant sur les besoins de celui-ci.
Source : La Grande Ourse
Pour t’aider à prendre toute décision quant à comment réaménager ton forum, il est crucial de se mettre dans la peau de celleux qui l’utilisent au quotidien pour comprendre leurs besoins et leurs problèmes.
Ça implique tes membres, qui ont un certain angle de vision du forum, mais aussi toi, en tant que staff, qui peut aussi bénéficier de ces modifications pour te simplifier la vie par la même occasion. Toi aussi, tu es un.e utilisateur.rice !
Ces besoins te permettront ensuite d’extraire tes objectifs et de définir ce qui est vraiment important pour les atteindre, tout en établissant un ordre de priorité selon l’importance du problème.
Compatir : Qui ?
Pour qui est-ce que tu veux proposer ton forum ? Quelle est la cible principale de ces modifications, pour qui les fais-tu ?
C’est le U de UX : on design pour les Utilisateurs avant l’esthétique. Les réponses au “qui” sont sans doute assez faciles dans le monde des forums rpg : les membres en priorité, bien que le fun des staff soit aussi important dans le cadre d’un hobby. Mais les membres constituent néanmoins la majorité lambda des utilisateurs, et te permettent d’avoir des avis divers et moins biaisés par rapport à l’interface et l’utilisation “classique” de ton forum.
Pose leur des questions ! Prépare toi peut-être à des critiques plus ou moins délicates (on se sait), mais qui sont des critiques tout de même - de toutes manières, si tu lis ce texte, à ce stade, tu devrais être prêt.e à les entendre (ou du moins, la plupart d’entre elles - et à condition qu'elles arrivent au bon moment).
Tu recevras aussi peut-être des avis personnels, des avis divergents de la vaste majorité, ou des choses qui relèvent plus des goûts et des couleurs, mais c’est normal ! Tout retour, même un retour avec lequel tu n’es pas d’accord personnellement, vient forcément de quelque part. Si tu ne peux évidemment pas satisfaire absolument tout le monde, c’est parfois très intéressant de discuter pour essayer de comprendre d’où ces avis viennent.
Note tout ça sans essayer de rien justifier ou négocier, ce n’est pas le moment - ensuite, ce sera à toi de trier les retours utilisables et constructifs pour l’expérience de la communauté des opinions peut-être plus subjectives.
Compatir : Pourquoi ?
Quels sont tes objectifs ? Pourquoi remets-tu en question l’interface de ton forum ? Pourquoi est-ce que tes membres te font tel ou tel retour ? D’où viennent ces critiques ? Est-ce que tu les comprends ? Mais aussi, pourquoi ton forum est-il ce qu’il est actuellement ? Pourquoi as-tu fait les choix qui l'ont mené où il en est aujourd'hui ?
C'est un peu vaste, mais l'idée est de remettre en question les habitudes qu’on a intégrées depuis des années dans la communauté. On veut ici comprendre avant tout pourquoi (et pour qui) on cherche des solutions, plutôt que d'appliquer des principes généralistes sans vraiment savoir pourquoi on en a besoin.
La réponse au “pourquoi” semble évidente en surface - l’inclusion, of course, pour la question d’accessibilité, mais pas que. Se demander pourquoi à chaque étape te permet de faire le tri dans tes priorités d'abord et prendre confiance en ta démarche et tes modifications - et, ensuite, plus factuellement, de te débarrasser de ce qui n’est pas réellement utile pour ton forum !
Définir : Quoi ?
(feur, sans doute)
Quels sont les principaux problèmes soulevés sur ton forum ? Que veux-tu réparer ou améliorer en priorité ? Quelles ressources peux-tu aussi allouer à cette initiative ?
C’est le moment d’évaluer tes capacités et ton temps libre, pour t’aider à établir des priorités et un plan d’attaque ! Les retours de tes membres dans la question précédente peuvent t’aider aussi à déterminer ce qui est important et sur quoi te concentrer en premier si jamais tu es indécis.e ou si tu as un temps libre limité.
En tant que joueur.se, quelles actions est-ce que je fais au quotidien sur mon forum, quelles informations ou fonctions me sont utiles en priorité chaque jour ?
En tant que joueur.se, quelles difficultés est-ce que je rencontre lorsque je navigue ou utilise mon forum actuellement ? Est-ce qu’il y a des petites choses qui me frustrent lorsque j’utilise le forum, qui m'empêchent de créer/écrire librement, ou qui me dissuadent de passer plus de temps dessus ?
En tant qu’admin ou modérateur.rice, quelles difficultés est-ce que je rencontre lorsque j’administre/je modère mon forum ? Qu’est-ce qui me prend le plus de temps au quotidien ?
Pèse aussi le pour et le contre de chaque fonction de ton forum : est-ce que ce script supplémentaire apporte réellement une vraie plus-value pour l’effort nécessaire, ou est-ce que je peux m’en débarrasser facilement pour ne pas entâcher l’efficacité des autres fonctions plus essentielles ? Si une fonction est peu utile et implique beaucoup d’efforts de mise en place/ralentit ton forum, alors peut-être qu’il vaut mieux la laisser de côté dans un premier temps.
On arrive ensuite au questionnement final avant de remonter ses manches et attaquer la construction, mais ce sera pour le prochain post...
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The Article Anon was talking about.
Plus vue en France depuis mai dernier, Gabby Williams (1,80 m, 27 ans) vient d'effectuer un retour tonitruant sur les parquets après trois mois sur le flanc (fracture de fatigue au pied) : flamboyante dimanche dernier contre Basket Landes (27 points, 4 rebonds, 5 passes), puis décisive lors de la première victoire de l'Asvel en Euroligue face à Lublin mercredi (73-72). Avant d'affronter Villeneuve-d'Ascq, leader invaincu du Championnat (7 victoires), l'ailière internationale, plus vue en équipe de France depuis un an (forfait pour l'Eurobasket), a confié à L'Équipe sa volonté - et la nécessité - de monter en puissance. Tant en club que chez les Bleues - désormais affranchies de l'affaire Johannès - afin de viser haut aux JO de Paris.
« Après trois mois sans jouer, votre retour a coïncidé avec deux victoires importantes pour l'Asvel. La saison est enfin lancée ?
J'étais un peu surprise que ça se passe aussi bien. Pendant mon absence, j'avais fait en sorte de travailler pour être tout de suite prête à rejouer. Je le devais à mes coéquipières. Je pense que je ne me suis jamais sentie autant en forme.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour votre club, qui jusque-là a souffert des absences et pourrait le payer dans ses objectifs ?
Cette équipe est plus forte que l'année dernière. Elle est capable d'assumer ses ambitions et toutes les filles sont obnubilées par la victoire et mettent les ego de côté. On sait qu'il va nous falloir être quasi parfaites chaque soir. À moi de continuer à montrer la voie et de transmettre à la fois le goût de la victoire et la haine de la défaite. Quelque chose de très américain peut-être, ou en tout cas pas assez cultivé en France.
Un état d'esprit que vous allez, sauf surprise, ramener en équipe de France en février prochain ?
C'est au programme, oui ! J'ai vraiment envie de retrouver la sélection. C'est même une nécessité, il n'y aura pas d'autre rendez-vous avant la préparation des Jeux. Reprendre mes marques avec le groupe est primordial.
Les frustrations de la fin de saison dernière et de l'Eurobasket, que vous avez manqués, sont loin derrière ?
C'était tellement déprimant ! Et mentalement si dur à vivre. Il faut se rendre compte de tout ce qu'on donne en cours de saison pour pouvoir vivre ces moments de gloire. Je n'ai pas pu fêter le titre avec Lyon. Puis je me suis retrouvée toute seule pendant six semaines afin de me soigner. Quand on m'a annoncé le temps de convalescence, j'ai compté les jours jusqu'à l'Euro. Et quand j'ai compris que j'allais le manquer, j'en ai pleuré. Retrouver mes proches à Seattle (en WNBA) cet été m'a fait beaucoup de bien.
« Il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner »
Vous reviendrez chez les Bleues avec Marine Johannès, dont l'affaire de son absence de l'Euro semble digérée ?
Il fallait que chacun assume ses choix, ses décisions. C'est du passé, oui. La suite arrive vite et on a tous le même objectif : gagner à Paris. A priori, personne ne souhaite nous voir échouer aux Jeux. Donc mettons tout ça de côté ou derrière et allons de l'avant.
Le mois dernier, sur les réseaux sociaux, vous aviez pourtant publié un message, fort, de soutien à votre coéquipière...
(Elle coupe.) C'était dans la foulée de sa défaite en finale WNBA avec New York. Aucun rapport avec les Bleues ou la Fédération. Je l'admirais avant même de la côtoyer. Quand je l'ai vue pour la première fois je me suis dit : il n'y a aucune autre fille comme elle dans le monde. Je le répète souvent, j'ai l'impression qu'on ne se rend pas assez compte de toute ce qu'elle apporte au basket français, tout comme du niveau d'exposition auquel elle est confrontée. Pour en revenir au message, j'étais simplement déçue pour elle. Ce n'est un secret pour personne que nous sommes très proches. J'ai donc vu ce que les gens ne voient pas en coulisses, l'abnégation dont elle a fait preuve pendant ces mois difficiles. Vous avez vu son émotion après le titre en Ligue féminine non ? Mais ce message, j'aurais pu l'écrire pour n'importe laquelle de mes coéquipières.
Avez-vous regardé l'Euro ? Va-t-il falloir rattraper le temps perdu en vue des Jeux ?
Je n'étais pas dans le groupe, donc je n'ai pas à juger. On s'est beaucoup focalisé sur ce qui manquait à cette équipe plutôt que ce dont elle disposait. Nous avions tout ce qu'il fallait. Pour la deuxième question, c'est en partie vrai. Personne ne veut aller à l'autre bout du monde en février (pour le TQO en Chine), on préférerait se reposer. Mais c'est indispensable car il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner. Je veux gagner une médaille avec la France. Mais c'est trop facile pour les joueuses ou la Fédération de dire qu'on veut gagner ou qu'on vise l'or. Tout le monde voudrait l'or, non ? Il reviendra à ceux qui auront tout mis en oeuvre pour y arriver. »
thank you so much, everyone is going to be able to read it now 💛
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
5/5
Quand tu me parles de tes séjours à Kingston puis de ta visite de Montréal, j'ai l'impression que tu as une sorte de vie mondaine. J'aimerai bien voyager un peu un jour. Le nom de Montréal a quelque chose de très évocateur pour moi et j'ai demandé à Ange de me ramener un livre illustré de Paris la prochaine fois qu'il ira y faire un séjour. Pour revenir sur la question du français au Canada, j'en ai discuté avec Grand-Mère, et elle m'assure que c'est déjà un sujet qu'évoquait ton grand-père autrefois avec ma grand-tante Lucrèce. Je pense qu'il devait être aussi révolté que toi. Je suis assez surprise de toutes ces règles, mais étant française et francophone, je ne sais pas ce que c'est que de parler une langue minoritaire dans son propre pays.
Je suis également surprise que Grand-Mère se rappelle du contenu d'une lettre vieille de plus de trente ans. Je pense qu'étant donné son âge, c'est une sorte de miracle que cela arrive si tard, mais elle montre de plus en plus de problèmes de mémoire et elle est parfois désorientée. Oncle Adelphe a voulu se montrer rassurant, mais je vois bien qu'il est aussi inquiet que moi. Il lui arrive même de descendre en chemise de nuit à présent. Tante Rose m'a bien assuré que la Eugénie Le Bris d'autrefois se serait coupé un bras plutôt que de franchir le seuil de sa chambre ainsi vêtue et elle se souvient bien des remontrances quand elle faisait de même. Grand-Mère va avoir cent-sept ans cette année. En revanche, elle n'a rien perdu de son caractère opiniâtre ni de son sens aigu de l'observation.
J'espère que tes affaires se porteront comme tu le souhaites. Je voulais simplement que tu saches que je suis là pour t'aider au besoin.
Avec mon amitié,
Noé
P.S. Je viens de relire la première question que tu me poses. Non, ma cousine n'a pas la moindre idée de ce qui m'est arrivé. Comme tout le monde, elle croit que les jumelles sont d'Ange. Anna est rousse, mais c'est un trait commun chez les Le Bris. Je ne pense pas que ça vaille le coup de briser sa propre vie en lui en parlant, sachant qu'elle attend leur premier enfant (il s'agissait alors d'une fausse alerte). Oncle Adelphe veille au grain, le faire suivre partout où il va, afin d'épargner à sa fille la moindre infidélité. Je sais que tu ne penses pas à mal, mais j'aimerais à l'avenir que tu évites de parler de lui, car c'est une blessure qui me fait toujours atrocement souffrir et que je préférerais oublier une bonne fois pour toutes pour me consacrer à mon entreprise, mon mari et mes filles.
Transcription :
Eugénie « Qu’attends-tu mon garçon ? »
Marc-Antoine « Rien de particulier. Vous ne deviez pas aller vous reposer ? »
Eugénie « C’est ce que j’ai dit oui. Mais je me disais peut-être que tu pourrais monter avec moi et me faire la lecture pendant que je me repose. Tu es désœuvré et tu erres sans but depuis un moment, au moins tu seras occupé. »
Marc-Antoine « Vous avez peur que je m’ennuie ? »
Eugénie « Non, tu as toujours trouvé de quoi occuper tes mains et ton esprit. Mais ces derniers temps, j’ai remarqué que tu importunais souvent Mademoiselle Laroche. Elle a son travail à accomplir et tu lui fais perdre du temps. »
Marc-Antoine « Je n’avais pas l’impression d’être à ce point dans ses pattes. »
Eugénie « Et pourtant si, alors tu vas monter avec moi et me lire quelques chapitres du livre de ta sœur. Et quand tu auras fini, nous lirons un peu la Bible tous les deux. »
Marc-Antoine « La Bible ? »
Eugénie « Oui, le Chant de Salomon. Cela fait longtemps que je ne l’ai lu et je pense que tu pourrais en tirer quelques enseignements fort à propos. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Ange de Chastel#Jules Le Bris#Lucrèce Le Bris#Adelphe Barbois#Rose Le Bris#Anne Barbois#Jean Davires#Anna Le Bris de Chastel#Elisabeth Le Bris de Chastel
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Journal
Mon père à la compagne la plus maniaque de la terre ! Elle a été femme de ménage pendant des années et elle ne trouve jamais un lieu à la hauteur de son exigence de propreté. Elle débarque chez moi dans une semaine mais comme elle sait que le ménage n'est pas mon fort, elle préfère aller dormir à l'hotel. Sauf qu'elle a déjà fait les 3 meilleurs hotels de ma petite ville et que chaque fois, elle a trouvé quelque chose à redire. Alors cette fois, ils ont loué un appartement sur Booking. Depuis que j'ai eu la confirmation de sa venue, je me stress en voyant l'étendue du travail qui m'attend pour remettre mon appartement aux normes sanitaires souhaité par la dame. Tout en sachant bien qu'elle trouvera forcément quelque chose à redire. Bien entendu, elle ne me le dira pas ouvertement, quoi que. Elle fera des réflexions sur le fait qu'elle ne pourrait pas vivre dans un appartement aussi encombré, ni avec de la poussière sur les étagères, etc. Mais je sais qu'elle fera des commentaires plus virulents sur ma façon de tenir ma maison, au reste de la famille. Elle l'a déjà fait, il y a quelques années, en pleins repas avec mes grands parents et mes tantes, affirmant que la prochaine fois qu'elle viendrait nous voir en Normandie, elle irait à l'hotel car c'est sale chez moi . Cela m'a blessé parce qu'en plus, lors de sa venu, mon appart n'avait jamais été aussi propre ! Bien entendu, on a tous son idée de ce que la propreté peut être. Mais je vis avec deux chats et un chien, j'ai des tonnes de plantes un peu partout. Mon mari et mon fils n'en ont rien à faire de l'état de la maison, ils n'y prêtent pas attention et je ne veux pas passer ma vie à ranger et nettoyer après eux. Pour moi, le ménage c'est secondaire, c'est vite fait, parce que c'est de nouveau sale au bout de quelques heures et que je ne souhaite pas passer ma vie un aspirateur à la main. Mais ça, ma belle-mère ne le comprend pas. Elle refuse de sortir de chez elle si elle n'a pas tout nettoyer avant ! Elle ne cuisine plus rien qui sente un peu fort, car l'odeur reste dans leur minuscule appartement. En faisant la liste des critiques faites par ma belle-mère, je me suis rendue compte que même quand on va au restaurant, elle critique. Surtout les restaurant à volonté ou elle ne manque jamais de faire la même réflexion, au sujet de la nourriture asiatique qui serait du chien ou du rat. Bref, elle arrive dans une dizaine de jours et 48h plus tard c'est mon mariage ! Autant vous dire que j'ai des choses à faire, à prévoir, à penser que que me mettre un coup de stress supplémentaire pour le ménage, ça me déprime ! Du coup, j'ai décidé de ne rien faire de plus que d'ordinaire et vogue la galère. Elle va pouvoir s'étouffer avec la poussière, déprimer en voyant les toiles d'araignée dans les coins, gerber en constatant que les chats montent sur les tables, je m'en fous ! Je sais que, quoi que je fasse, ce ne sera pas suffisant, qu'elle critiquera de toute façon. Alors, à quoi bon ? Sérieusement, je ne pense pas que les gens se souviendront de moi parce que mon ménage laissait à désirer. Ils se souviendront de la femme joyeuse, cool, et aimante, celle qui avait toujours le temps pour discuter, créer, sortir. Mais quels souvenirs garderont-ils d'elle ? Pour ma part, je crois que vous avez déjà compris ce que j'en garderai .
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– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.
– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.
– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.
– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait. – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service...
J.-M. M.
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La Mode nationale, no. 7, 13 février 1904, Paris. Advertisement. Bibliothèque nationale de France
Hypnotisme
La science du succès! (The science of success!)
Ce qui amène le succès! (Which brings success!)
Un pouvoir accordé par la providence. (A power granted by providence.)
Apprenez-le chez vous pour rien. (Learn it at home for nothing.)
Un livre rempli de rares secrets donné gratis. (A book full of rare secrets given free.)
Lecteur, vous êtes-vous jamais demandé pourquoi certaines personnes ont tant de succès; pourquoi tout ce qu'elles touchent semble se changer en or; pourquoi elles acquièrent fortune, position sociale, pouvoir et influence, sans cependant pour cela paraître faire de grands efforts? Ces personnes sont entourées d'amis, honorées et respectées dans leur entourage, recherchées dans la société, et deviennent éminentes et distinguées, sans effort apparent. Avez-vous jamais pensé à ces choses? En savez-vous la raison?
Ce n'est pas le travail, car le pauvre travaille beaucoup plus fort que le riche. Ni la naissance, car plus d'un de nos hommes de succès sont nés de parents pauvres. Ni la chance, car plus d'un chanceux est mort sans amis et dans le plus grand denûment. Qu'est-ce donc alors? Le secret du succès dans la vie, c'est l'influence personnelle — le pouvoir de faire penser aux autres comme vous-même; de gagner leur confiance et leur amitie, et de vous assure leur concours. Il existe un pouvoir secret, grâce auquel vous pouvez exercer une influence personnelle irrésistible; vaincre tout obstacle, charmer et fasciner qui vous voudrez; guérir toute maladie connue et toute mauvaise habitude, sans avoir recours aux drogues, à la médecine ou au scalpel du chirurgien. Cette influence s'appelle le Magnetisme personnel ou Hypnotisme. C'est la base du succès dans toutes les affaires et dans toute position sociale.
C'est un pouvoir nous venant de la Providence et qui est l'apanage du pauvre aussi bien que du riche. C'est véritablement la science la plus merveilleuse de l'époque. Réfléchissez un instant ce que c'est que de pouvoir convaincre une personne que vos marchandises sont les meilleures qu'il puisse y avoir sur le marché, que vos services lui sont inappréciables, que vous lui offrez un bon placement, qu'elle a besoin de ce que vous avez à vendre, que votre opinion est juste, qu'elle devrait agir selon vos conseils, et mille autres choses de ce genre. Songez quelle supériorité un tel pouvoir vous confèrerait. Si vous volez obtenir une position lucrative, une augmentation de salaire, ou augmenter votre revenu actuel de quelque façon que ce soit, la connaissance de l'Hypnotisme vous sera inappréciable. Dans des centaines de cas, cette science a été le point tournant de la vie chez des gens prèts à tout abandonner de désespoir et auxquels l'avenir ne semblait plus offrir aucine espérance.
Nous venons de publier le livre le plus remarquable du siècle, lequel explique tout ce qui concerne l'Hypnotisme, le Magnétisme personnel, la guérison magnétique, etc., un un langage si clair et si simple qu'un enfant peut le comprendre. Cette œuvre est due à la plume du Dr. X. La Motte Sage, A.M., Ph.D., LL. D., l'hypnotiste le plus éminent et le plus réputé des temps modernes. il y développe de nouvelles méthodes secrètes et instantanées qui permettent à toute personne intelligente d'apprendre cette science merveilleuse chez soi, en quelques jours, et d'exercer ce pouvoir sur ses amis et son entourage, et cela à leur insu. Nous garantissons un succès absolu sous peine d'un dédit de 5,000 fr. Nombre de personnes gagnent maintenant de 10,000 fr. à 25,000 fr. par an grâce à ce que leur a enseigné ce merveilleux volume, tandis que d'autres sont devenus immensément riches.
Le Dr. Sage, auteur de ce précieux ouvrage, a décidé de faire connaître à tout le monde ces secrets mystérieux si jalousement gardés pendant des siècles. Il veut que le pauvre ait autant de chance que le riche.
Il a cédé son droit d'auteur à la condition que dix mille exemplaires de son œuvre soient distribués gratuitement au public; c'est donc en raison de cette convention que toute personne peut obtenir un exemplaire de ce libre absolument gratis et franco, sur simple demande soit par lettre affranchie à 25 centimes, soit par carte postale de 10 centimes, adressée à:
The New York Institute of Science. Dept. Y.A. 41, Rochester, N.Y., (E.U.D'A.)
"Cette œuvre remarquable vaut plus que l'or. Elles est remplie de merveilleux secrets et de surprises des plus étonnantes. L'étude de cet ouvrage devrait suivre celle de la Sainte Bible. Je conseille à tous de s'en procurer un exemplaire." Rev. Paul Weller, Gorham, N.Y.
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Reader, have you ever wondered why some people are so successful; why everything they touch seems to turn to gold; why do they acquire fortune, social position, power and influence, without appearing to make great efforts? These people are surrounded by friends, honored and respected among those around them, sought after in society, and become eminent and distinguished without apparent effort. Have you ever thought about these things? Do you know the reason?
It's not work, because the poor work much harder than the rich. Nor birth, for more than one of our successful men were born of poor parents. Nor luck, because more than one lucky person has died without friends and in the greatest destitution. So what is it then? The secret to success in life is personal influence — the power to make others think as you do; to gain their trust and friendship, and to assure you of their support. There is a secret power, by which you can exert irresistible personal influence; overcome any obstacle, charm and fascinate whoever you want; cure every known disease and bad habit, without resorting to drugs, medicine or the surgeon's scalpel. This influence is called Personal Magnetism or Hypnotism. It is the basis of success in all business and in every social position.
It is a power coming to us from Providence and which is the prerogative of the poor as well as the rich. It is truly the most wonderful science of our time. Think for a moment what it is like to be able to convince a person that your goods are the best there is on the market, that your services are invaluable to him, that you are offering him a good investment, that he needs of what you have to sell, that your opinion is right, that she should act on your advice, and a thousand other things of this kind. Think of the superiority such power would give you. If you want to obtain a lucrative position, a salary increase, or increase your current income in any way, the knowledge of Hypnotism will be invaluable to you. In hundreds of cases, this science has been the turning point in life for people ready to abandon everything in despair and to whom the future no longer seemed to offer any hope.
We have just published the most remarkable book of the century, which explains everything about Hypnotism, Personal Magnetism, Magnetic Healing, etc., in language so clear and simple that a child can understand it. This work is due to the pen of Dr. X. La Motte Sage, A.M., Ph.D., LL. D., the most eminent and renowned hypnotist of modern times. There he developed new secret and instantaneous methods which allow any intelligent person to learn this marvelous science at home, in a few days, and to exercise this power over their friends and those around them, without their knowledge. We guarantee absolute success under a penalty of 5,000 francs. Many people now earn 10,000 to 25,000 francs per year thanks to what this marvelous volume taught them, while others became immensely rich.
Dr. Sage, author of this precious work, decided to make everyone aware of these mysterious secrets so jealously guarded for centuries. He wants the poor to be as lucky as the rich.
He assigned his copyright on the condition that ten thousand copies of his work be distributed free to the public; It is therefore because of this agreement that anyone can obtain a copy of this book absolutely free and free, on simple request either by letter stamped at 25 centimes, or by postcard of 10 centimes, addressed to:
The New York Institute of Science. Department Y.A. 41, Rochester, N.Y., (U.S.A.)
"This remarkable work is worth more than gold. It is filled with wonderful secrets and the most astonishing surprises. Study of this work should follow that of the Holy Bible. I advise everyone to obtain a copy." Rev. Paul Weller, Gorham, N.Y.
#La Mode nationale#20th century#1900s#1904#on this day#February 13#periodical#fashion#advertisement#bibliothèque nationale de france#description#hypnosis
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Je regarde une émission de harcèlement scolaire/travail
J’ai subit les deux.
Scolaire :
- le sac ouvert dans la cour
- coup de pied dans le sac
- insulte sur mon poids
- moquerie à longueur de journée
- moquerie en sport
- couper dans mes cheveux long
- tirer mes cheveux long
- jeter mon vélo
- crever les pneus de mon vélo
Travail :
- Heure à gogo car j’en faisais jamais assez selon eux. (45h semaine au lieu de 35h et tout ça non payé)
- Jamais ce que je faisais était assez bien
- à chaque fois c’était de ma faute
- je n’avais plus de temps pour prendre soin de moi
- des remarques sans cesse
- des insultes parfois
- me forcer à partir de cette société
Si vous traversez quelques chose de similaire, je sais combien vous avez mal, combien vous êtes triste.
Je sais qu’on peux souvent se dire que jamais ça finira mais
TU ES FORT/E ÇA NE TE RÉSUME PAS ET SURTOUT ÇA NE RÉSUME PAS TA VIE. TU ES UNE BELLE PERSONNE N’ARRÊTE PAS DE CROIRE EN TOI. MOI JE CROIS EN TOI. ✊🏻♥️
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Dépolitiser la littérature met des vies en danger
Permettez-moi de faire au plus simple dans ce billet, parce que je m'adresse essentiellement à des personnes qui, comme moi, à l'époque où je ne comprenais pas ce que le mot "politique" impliquait, n'ont que peu de notions. Si vous souhaitez nuancer mon propos ou partager des ressources, n'hésitez pas à laisser des commentaires.
Cela semble exagéré comme titre ? Et pourtant, il n'en est rien. Depuis que je suis sur les réseaux sociaux, et en particulier dans la sphère littéraire de divers milieux numériques, beaucoup ont clamé haut et fort qu'il fallait "cesser de tout politiser" ou d'arrêter d'évoquer les questions relatives à la place de la politique dans nos ouvrages. Comme si dire que la littérature a un rôle social et politique, c'était prêter trop d'importance, ou trop de sérieux, à "un simple loisir". Chose que beaucoup de personnes pensent, la réduisant ainsi à un rôle unique : celui de nous divertir. Or, notre manière de nous divertir est bien plus politique que vous ne le pensez.
Introduction
Si vous n'en êtes pas convaincu-e, c'est peut-être que vous ne vous êtes pas interrogé-e sur le sujet, ce qui est normal, personne ne l'a vraiment appris. C'est en faisant des recherches, en rencontrant des gens ou en militant qu'on peut en venir à se questionner. Au cœur de notre imaginaire collectif, nous n'avons de cesse de voir partout des domaines relatifs au divertissement être réduits à une seule fonction : divertir. Certes, elle n'est pas négligeable, et elle est tout aussi importante à considérer. Sauf que c'est aussi un moyen de porter des idées. La mentionner chaque fois que l'on parle de politique a été, dans bien des situations, une façon de délégitimer des critiques, qui visaient, entre autres, des idées conservatrices et oppressives. Donc des idées susceptibles de mettre des personnes en danger, car les mettre en avant et les banaliser normalise des violences : le racisme, la misogynie, le validisme, la grossophobie, etc.
Quelques notions
"Discriminations", "oppressions". Voici des formes de violences dont vous connaissez peut-être les noms, ou que vous avez pu lire sur les réseaux. Ce sont des violences basées sur des critères arbitraires qui consistent à marginaliser, exclure, des groupes de personnes du fait qu'elles ne correspondent pas à des normes établies ou à un modèle social défini selon des hiérarchies, et cela varie en fonction des pays et cultures (aux causes et conséquences sociologiques et historiques différentes). Le fait d'être un homme blanc (au sens littéral comme au sens social), cisgenre, riche, valide, neuroT, hétéro, mince, etc fera que vous serez valorisé-e en France par exemple. Il vous sera plus facile d'obtenir un logement, un travail et d'autres avantages, au détriment d'autrui parfois. Pour peu que vous n'entriez pas dans ces critères, et que vous ne faisiez pas partie d'un groupe haut dans la hiérarchie, vous pouvez donc subir des violences. Les degrés dépendent du milieu où vous évoluez en société, de l'exposition à ces dernières, de vos liens sociaux et divers autres facteurs.
Le conservatisme est, d'après le dictionnaire de l'Académie française : "une doctrine ou état d’esprit qui tend à s’opposer à toute modification ou innovation, par attachement aux pratiques traditionnelles ou à un ordre existant". C'est donc un ensemble d'idées qui tend vers le maintien de ces dernières. Dans une société aux pensées conservatrices, il est donc fréquent que les normes, injonctions et modèles soient défendus au point de réprimer des idées qui osent s'y confronter, puisqu'elles sont banalisées et institutionnalisées. Cet "attachement" décrit dans cette définition n'existe non pas que pour la valeur sentimentale des traditions (argument souvent utilisé par la droite et l'extrême droite qui jouent sur les paniques morales et la fameuse "perte des valeurs et de notre identité"). Il est aussi présent parce que conserver ces hiérarchies favorise et avantage des groupes privilégiés (ceux qui sont donc en haut) au détriment des autres par leur exploitation. Il s'agit là d'un rapport de force se trouvant être le résultat d'évènements socio-historiques, et cet ensemble d'éléments (idées, rapport de force et un pouvoir institutionnel et gouvernemental) forme un système.
À présent que vous avez quelques notions, humblement définies, sachez que les idées (vous vous en doutez) ne se présentent pas que sous la forme d'injonctions. Elles circulent à travers notre manière de vivre, et bien sûr, notre manière de se divertir. Et oui. Même l'humour est un vecteur d'idées. C'est parce qu'on normalise certaines blagues, basées sur des clichés oppressifs, qu'elles perdurent. En les réduisant à du divertissement, on minimise et sous-estime l'impact qu'elles peuvent avoir dans nos représentations et elles finissent par perdurer en perpétuant des violences déjà existantes (parfois en les augmentant dans des périodes de tensions politiques, comme lorsque des idées progressistes ou des luttes prennent de l'ampleur ou que des droits sont enfin obtenus).
Dire "ce n'est qu'un récit" quand on parle de littérature en ignorant (volontairement ou non) son rôle politique, cela fait partie de la dépolitisation. C'est-à-dire nier ou retirer dans notre propos le caractère, le rôle et l'impact politique (au sens social du terme) que peuvent avoir des livres. Des personnes vont les lire et des idées seront diffusées à travers ces lectures, d'une manière ou d'une autre. En dépolitisant des sujets qui concernent des vies humaines (souvent des groupes oppressés et discriminés), nous les mettons donc en danger. En dépolitisant la littérature, nous maintenons des idées destructrices.
La dépolitisation de la littérature
Plusieurs auteurices ont présenté des œuvres avec des idées oppressives (participant de fait à des violences visant des groupes de personnes pour leurs origines, couleur de peau, handicaps, identité de genre, religion, orientations romantico-sexuelles, et bien d'autres choses...). Que cela soit volontaire ou non, les mêmes arguments, plus que discutables, sont encore tenaces de nos jours : "ce n'est que de la fiction" ; "mon livre n'est pas politique, il est divertissant" ; "il faut arrêter de tout politiser, c'est juste un récit".
La politique n'est pas détachable de toute sphère ou domaine, car elle les influence en permanence. Elle est présente dans notre langage et nos représentations, d'où l'importance de ne pas négliger sa présence dans la littérature. Certain-e-s pourraient dire qu'il ne s'agit là que de questions culturelles : en réalité, les deux sont très liés. Les cultures se sont construites autour d'environnements, de sociétés, elles-mêmes grandement liées à des évènements et évolutions socio-historiques, comme mentionné plus tôt, qui ont émergé parce qu'elles ont été portées par des idées.
Répandre l'idée selon laquelle il faut différencier politique et divertissement/littérature, c'est passer à côté du rôle que l'on a. C'est aussi dépolitiser notre propre place d'écrivain-e et/ou lecteurice. En tant qu'individu membre d'une société, qui que l'on soit, on porte, diffuse, partage un regard politique sur notre monde de manière consciente et/ou inconsciente. Ignorer cela, ne pas prendre en compte la place que la politique prend dans les milieux littéraires, c'est participer, volontairement ou non, au maintien de violences. Ne pas agir, c'est devenir complice.
Conclusion
Il est vrai que se positionner, agir, sur des sujets politiques, s'éduquer, apprendre, n'est pas toujours chose aisée. C'est un inconfort que l'on doit surmonter si l'on souhaite contribuer à une littérature plus éthique et engagée. L'esprit critique garantit une forme d'autonomie et une liberté de penser, qu'il faut considérer avec sérieux, selon moi, au-delà de l'aspect moral (ce n'est pas un combat entre le bien et le mal). N'est-il pas plus enviable de prendre conscience et comprendre la société dans laquelle on évolue ? Dans les milieux centrés sur l'écriture, on parle davantage de diversité, d'inclusivité, ce qui montre que les mentalités ont évolué et qu'il est possible de surmonter cet inconfort. Il devient moindre grâce au travail collectif réalisé dans nos luttes et nos efforts individuels.
Plus tard, j'envisage de présenter quelques ressources pour compléter ce modeste billet. J'espère qu'il éclaircit un peu plus les enjeux présentés. La dépolitisation touche bien d'autres domaines, alors gardons en mémoire que la politique ne concerne pas que le vote ou les débats.
Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
Si cela vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux et lire mes projets publiés ici, à bientôt ! :
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Maryam Jameelah (Margret Marcus), née à New York dans une famille juive, a exploré le judaïsme et d'autres confessions, s'est convertie à l'islam en 1961 et a émigré au Pakistan. Elle est l'auteur de plus de trente livres sur la culture et l'histoire islamiques et une voix féminine de premier plan pour l'islam. Voici sa lettre qu'elle a écrite à ses parents du Pakistan:
Chère mère et père,
Je vis au Pakistan depuis plus de vingt ans, au cours de laquelle vous avez acquis une famille entière d'amoureux, ajoutant beaucoup à votre bonheur. Vous avez atteint un âge mûr, merci à Dieu, vivre plus longtemps en bonne santé que ce que j'avais jamais prévu. Vous avez lu tous mes livres et la littérature islamique. Je vous ai envoyé avec un esprit large et ouvert. Par conséquent, vous n'avez besoin d'aucune introduction au sujet que je souhaite discuter avec vous maintenant et rien que je dois dire vous paraîtra étrange et nouveau.
Je me demande si vous vous rendez compte à quel point vous êtes fort chanceux. Tant que vous pouvez garder une santé raisonnable et pouvoir vous occuper, vous pouvez continuer à vivre une vie agréable. Mais pensez-vous à la foi tragique de ces centaines de milliers d'autres Américains plus âgés, victimes de maladies et d'infirmités chroniques, qui se déplacent vers des hôpitaux et des maisons de soins infirmiers (qui sont vraiment des maisons de charlelles), les maisons de vieillesse Et les salles séniles des institutions mentales? Et pensez-vous déjà à un nombre encore plus grand de personnes âgées qui sont veuves et vivent leurs vies solitaires confinées à leurs salles sombres dans la peur constante de muggings, d'attaques physiques et de vols par des délinquants juvéniles qui se nourrissent des anciens et des malades sans remords ou La peur de la punition? La maltraitance des personnes agées résulte directement de l'effondrement du foyer et de la famille élargie. Est-ce que votre sœur aînée - ma tante Rosalyn, une arrière-grand-mère, habilement abritée dans une famille proche et adorante et une maison heureuse, pensez-vous à quel point elle est chanceuse et combien peu d'âge avancé en Amérique sont-ils laissés comme elle?
Vous devez savoir que la société dans laquelle vous avez été élevé et que vous avez vécu toute votre vie est en désintégration rapide au bord de l'effondrement. En fait, le déclin de notre civilisation était évident dès la Première Guerre mondiale, mais à cette époque, peu de gens, à l'exception de certains intellectuels et artistes, étaient conscients de ce qui se passait. Mais depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et surtout au cours des deux dernières décennies, la pourriture a atteint une telle phase de désintégration avancée que personne ne peut plus l'ignorer.
L'anarchie morale en l'absence de normes de comportement et de conduite respectées et fixes, l'obsession du sexe perverti par les médias de divertissement, les mauvais traitements infligés aux personnes âgées, le taux de divorce qui a grimpé si haut que parmi la nouvelle génération, Le mariage heureux devient rare, le maltraitance des enfants, la destruction de l'environnement naturel, le gaspillage prodigieux de ressources rares et précieuses, l'épidémie de maladies vénériennes et de troubles mentaux, la toxicomanie, l'alcoolisme, les suicides comme principales causes de décès, la criminalité, le vandalisme, La corruption dans le gouvernement et le mépris pour la loi en général - tout cela a une cause.
La cause de cela est l'échec de la laïcité et du matérialisme et l'absence de valeurs théologiques et morales absolues et transcendantales. L'action en définitive dépend de la croyance parce que si l'intention est fausse, le travail souffre toujours.
Il ne fait aucun doute que cela pourrait vous ennuyer pour lire ceci. Vous protesterez que si vous n'êtes pas des théologiens, des philosophes ou des sociologues, alors, pourquoi vous inquiétez-vous de ces questions «profondes» quand elles ne semblent pas vous intéresser directement? Après tout, vous êtes heureux et les contenus vivent comme vous l'êtes. Vous souhaitez seulement profiter de la vie en ce moment, vivre entièrement dans le présent et accepter chaque jour. Si la vie est un voyage, n'est-ce pas téméraire que de se préoccuper d'un hébergement agréable et confortable en chemin et de ne jamais penser à la fin du voyage? Pourquoi sommes-nous nés? Quel est le sens et le but de la vie, pourquoi devons-nous mourir et ce qui arrivera à chacun de nous après la mort?
Père, vous m'avez dit plus d'une fois que vous ne pouvez accepter aucune religion traditionnelle parce que vous êtes convaincu que la théologie est en conflit avec la science moderne. La science et la technologie nous ont en effet donné beaucoup d'informations sur le monde physique, nous ont fourni un confort et des commodités abondants, une efficacité accrue et des remèdes découverts pour de nombreuses maladies qui étaient mortelles. Mais la science ne nous permet pas de nous dire le sens de la vie et de la mort. La science nous dit "comment" mais elle ne répond jamais à la question "pourquoi" ?. La science peut-elle nous dire ce qui est juste et ce qui ne va pas? Qu'est-ce qui est bon et quel est le mal? Qu'est-ce qui est beau et ce qui est laid? Et à qui sommes-nous responsables de ce que nous faisons? La religion fait.
Aujourd'hui, l'Amérique est à bien des égards une répétition de la Rome antique dans les étapes terminales de son déclin et sa chute. Penser que les gens savent que la laïcité n'a pas été une base solide de notre ordre social. Ils cherchent anxieusement dans d'autres directions pour une solution à la crise mais ne savent pas encore où le trouver. Cela ne concerne que quelques sociologues. La maladie de la désintégration nationale affecte directement vous et moi et chacun d'entre nous
Au cours de la période la plus critique, la Rome antique a adopté le christianisme comme son salut et, désormais, l'Église a dominé l'Europe depuis plus de mille ans. Cela a mis fin à bon nombre des pires maux sociaux et moraux de la Rome décadente et a élevé les normes morales et spirituelles du peuple. Malheureusement, pendant la période formative de son histoire, l'Église s'est compromise avec le paganisme et la laïcité, en adoptant un sacerdoce élaboré et une théologie incompréhensive qui ne pouvait résister à l'impact de la renaissance, au renouveau des sciences naturelles et à la laïcité radicale de la Révolution française. Alors que les chrétiens en Europe et en Amérique ont abandonné leur foi en gros en laissant les églises presque vides, les missionnaires continuent à représenter l'avant-garde de l'impérialisme et de l'exploitation occidentales en Asie et en Afrique.
Après le christianisme, les juifs constituent le deuxième plus grand groupe religieux en Amérique qui dominent politiquement et économiquement, exerçant ainsi un contrôle considérable sur les médias. Mais le judaïsme a toujours été paroissial et tribal, accueillant rarement les convertis. Ce n'est pas et n'a jamais été une foi universelle. Le mouvement sioniste qui a abouti à l'établissement de l'état d'Israël est l'expression laïque du nationalisme juif et du tribalisme. Les terribles atrocités commises par les Israéliens dans la Palestine occupée, l'agression non provoquée au Liban et les zones adjacentes et la tentative de génocide des Arabes de Palestine, les privant de tous les droits humains et politiques, est le résultat logique de cette même perspective paroissiale étroite. C'est la raison pour laquelle même les plus orthodoxes des rabbins refusent de croire qu'Israël peut faire tout son mal et sans critique tout ce qu'elle fait. Ces défauts morales et spirituels flagrants décalent automatiquement le judaïsme comme la foi de l'avenir
Les musulmans constituent la troisième foi de plus en plus forte en Amérique aujourd'hui. L'islam ne se limite plus aux régions éloignées des déserts et des jungles d'Asie et d'Afrique. L'islam ne soit plus étranger à la scène américaine. Il y a aujourd'hui plus de trois millions de musulmans en Amérique et leur nombre augmente rapidement. Il y a des milliers d'étudiants de tous les pays musulmans qui étudient dans les universités américaines et des musulmans bien formés et hautement qualifiés travaillent activement dans toutes les professions. Au cours des deux dernières décennies, des centaines de convertis américains natifs ont gonflé leurs rangs. Au début, la plupart des convertis étaient des noirs qui se trouvaient dans l'islam, la dignité, l'honneur, le respect de soi et la fraternité raciale, comme Malcolm-X, mais ces dernières années, de plus en plus de convertis blancs d'origine européenne, cherchant des conseils dans toutes les affaires De leur vie formellement chaotique, ont également embrassé l'islam, faisant beaucoup de sacrifices et endurant beaucoup de difficultés pour le faire. Peu d'entre eux ont de la chance car je dois avoir un parent aimant comme vous. La plupart d'entre eux souffrent de frictions sévères avec leurs parents et leurs parents non musulmans. Aujourd'hui, les églises et les synagogues sont presque désertes, mais les mosquées nouvellement construites et les centres islamiques, qui surgissent dans toutes les villes et villes américaines importantes, attirent des chiffres en croissance rapide. La plupart des nouveaux musulmans en Amérique sont jeunes, intelligents et instruits. Qu'est-ce qui attire tant d'Américains jeunes en Islam?
Les Américains aujourd'hui, jeunes et vieux, recherchent désespérément des conseils. Ils savent par expérience amère que la liberté personnelle et les possibilités qu'ils apprécient en tant qu'américains sont sans signification et autodestructives sans une orientation, une direction et un but fiables. La laïcité et le matérialisme sont impuissants à fournir des valeurs morales positives ou constructives aux Américains, individuellement ou collectivement. C'est pourquoi, après que le christianisme et le judaïsme les ont échoué, de plus en plus de gens en Amérique se tournent vers l'islam. Dans l'islam en tant que nouveaux musulmans, ils trouvent une vie saine, saine, propre et honnête. Et pour les musulmans, tout ne prend pas fin à la mort. Ils attendent avec impatience une éternité de bonheur, de paix et de bonheur parfait (dans l'au-delà).
Cette orientation trouvée dans le Saint Coran et les paroles et les actes enregistrés du Saint Prophète Muhammad, sur qui soit la paix, n'est pas seulement pour les races étrangères dans un coin lointain de l'Est, il y a des siècles. Voici les solutions à tous les problèmes économiques, sociaux, moraux et politiques qui nous confrontent ici aujourd'hui en Occident. En outre, l'islam n'est pas froid, éloigné et impersonnel. Les musulmans ont une foi complète dans un Dieu très personnel qui non seulement a créé, soutient et gère l'univers, mais aime aussi et s'inquiète profondément du sort de chacun d'entre nous. Le Saint Coran nous dit que Dieu est plus proche de chacun de nous que nos veines jugulaires.
Puisque le Saint Coran est une révélation divine, il ne peut et ne sera jamais changé. Parce qu'il est parfait, il ne peut être amélioré, révisé ou réformé. Puisque Muhammad, sur qui soit la paix, est le Prophète final, ses conseils ne peuvent jamais être remplacés par aucun autre. Le Coran et la Sunnah s'adressent à tous les peuples, dans tous les pays occidentaux et orientaux. Comme il est pertinent pour tous les temps, il ne peut jamais devenir obsolète ou périmé dans tous les endroits.
Vous êtes à la fois très avancé et il reste tellement de temps. Pourtant, il n'est pas trop tard si vous agissez maintenant. Si votre décision est positive, vos liens avec vos proches au Pakistan seront non seulement par le sang, mais aussi par la foi. Vous ne pouvez pas seulement les aimer dans ce monde, mais être ensemble avec nous pour toujours dans l'éternité.
Si votre décision est négative, j'ai beaucoup peur que votre vie heureuse, confortable et agréable finisse très prochainement. Dès que l'inévitable se produit, il est trop tard pour des remords et des regrets. La punition sera terrible à partir de laquelle il n'y a pas de refuge et pas d'évasion.
C'est comme votre fille qui vous aime et espère que vous serez épargné par ce sort. Mais la décision vous incombe entièrement. Vous avez la liberté totale d'accepter ou de rejeter: Votre avenir dépend du choix que vous faites maintenant.
Tout mon amour et mes meilleurs voeux.
Votre fille dévouée,
(Maryam Jameelah)
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" Little Little "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Solas.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Trouvant refuge auprès de Solas à Fort Céleste, l'inquisitrice juge qu'il serait bon de passer un peu de temps avec celui-ci. Elle pense passer un agréable moment, sans se douter d'à quel point la présence du jeune homme risque de la chambouler.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟑𝟏𝟔.
Musique : Little Little - Red Velvet.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
« Mon cœur. »
Il murmure, l'expression soudain éclairée par mon arrivée. Je lui réponds dans un sourire.
Sa simple présence me ravit, je m'étais attendue à le retrouver; nous deux, l'un face à l'autre, nos souvenirs emmêlés, toutes nos discussions passées soudain ravivées sous la forme d'une complicité romantique, toutefois je dois avouer que je ne me suis toujours pas habituée à l'effet qu'il me fait. Solas me paraît à la fois à ma merci et à des kilomètres de là. Cela devrait me faire peur, instaurer une barrière entre nous, cependant cela ne fait que m'attirer davantage à lui.
La porte menant au hall de Fort Céleste se referme sur mes pas. Elle me transmet l'impression que nous sommes seuls, si on en oublie la foule d'alliés perchées au dessus de nous sur deux étages. Le brouhaha des aristocrates m'est à présent inaudible, ils ont beau se penser discrets, j'entends la moindre de leur opinion concernant mes plus récentes décisions au sujet de l'inquisition. Et il faut dire qu'ils ne me ménagent pas j'en ai bien peur. J'ai besoin de me détendre, de penser à autre chose. Il fallait que je m'éloigne de toutes ces attentes, ces demandes, tous ces yeux de biches rivés en ma direction..
C'est ici que j'ai trouvé refuge. Le coin intellectuel de Fort Céleste, où nos agents travaillent d'arrache-pied afin de nous donner les atouts nécessaires pour venir à bout de Corypheus et de son armée de démons. Ce qui se situe en haut m'importe peu, je dois dire.
Pour l'instant tout ce que je vois c'est lui.
Solas.
« Comment allez-vous ? »
Tout en le questionnant, je m'assois. Il n'y a qu'un fauteuil ⸺hormis le canapé près des escaliers⸺ je m'autorise à le monopoliser ce que Solas ne me reproche pas. Il s'est éloigné de la fresque pour me rejoindre, il zieute brièvement un parchemin sur la table dont il s'est saisi.
« Quelque peu exténué par nos récentes aventures, et vous ? »
« Un peu pareil.. »
Il arque un sourcil.
« Les... Les nobles de Val-Royeaux. » je confesse, plaquant mon coude contre la table et laissant ma joue reposer sur mon poing. « Ils m'en demandent beaucoup, je ne suis qu'une personne. »
« Ils ont d'hautes attentes. »
« Je crains de ne pouvoir les atteindre.. j'ai déjà tant de choses à gérer avec les Gardes de l'Ombre et les failles. Maintenant je dois écouter Joséphine et Vivienne me parler de la cour et de comment embellir Fort Céleste ? J'avais besoin d'une pause. »
« Je crains de ne pouvoir être une grande aide dans ce cas. »
« Je n'attends rien de vous, Solas rassurez-vous. J'avais... J'avais juste besoin de souffler. »
« Ici ? »
« Où d'autre ? » m'étonné-je.
Un brin de curiosité me pique, mais je sais qu'il n'a pas d'idée en tête. Il a dû penser que j'aurais préféré le jardin, mes appartements, voire le haut des murailles. Il est vrai que celles-ci offrent une vue splendide.
« Votre présence est la bienvenue, restez-donc ici le temps qu'il vous faudra. »
« Merci, Solas. » je réponds.
Il est devant moi, les paumes de ses mains plaquées sur la table et accompagné d'un fin rictus sur ses lèvres qui se veut tout sauf taquin. Il m'observe, je fais de même.
Cette même impression se saisit de moi, j'ai l'audace de penser qu'il m'est possible de l'atteindre. Nous partageons une connexion folle; elle se certifie par les baisers que nous avons échangés, que ce soit dans son monde à lui, l'immatériel, voire sur le balcon au sommet de Fort Céleste dans ma chambre. Je suis réconfortée par la pensée que personne n'a encore vu cet aspect de lui. Il n'appartient qu'à moi. Malgré tout, il me paraît tout aussi lointain. Solas est présent physiquement, mais je ne saurai dire ce qui se trame dans son esprit. Je ne peux qu'être intriguée.
J'aimerais me saisir de sa main et m'ouvrir à lui afin qu'il s'ouvre à moi en retour.
Je désire bien plus que de simples baisers coupables.
Je suis toutefois contrainte de calmer mes ardeurs. Je ne saisis pas pourquoi sur le moment ⸺la nouvelle de notre relation a déjà fait le tour de notre organisation, merci Sera, alors le fait que nous partagions un simple baiser dans un endroit publique ne devrait pas me gêner⸺ mais ne peux qu'accepter. Je cède et détourne le regard.
« Vous continuez d'observer ces fresques. » constaté-je. « Ont-elles un sens ? »
Il se racle la gorge puis passe ses mains dans son dos. Son inconfort m'intrigue.
« J'y travaille. »
« Elles sont splendides. »
« Très. Son artiste devait être talentueux. » dit-il.
Fort Céleste était ainsi lorsque nous l'avons trouvé. Abandonné, il nous révéla ses secrets, nous accueillit à bras ouverts et malgré mes difficultés à comprendre la raison de son existence ainsi que de son immensité, j'essayai de l'apprécier tel quel. Un château au fort caractère ayant surmonté vents et marées au sommet de cette montagne enneigée.. ça n'est pas tous les jours qu'il est donné de séjourner dans un tel lieu. Il frôlerait le sacré.
Les fresques aux murs ne me parlent pas vraiment. Outre leur splendeur.
Ce que fait Solas à les observer tous les jours m'échappe, j'aurais bien trop envie de m'enfuir par la porte de sortie, direction l'extérieur histoire de prendre un bon bol d'air frais. Mais après tout, ce côté mélancolique lui va bien. C'est tout Solas. Les vestiges du passé ont une grande importance pour lui, notamment ses racines, c'en serait presque admirable si il n'était pas autant sur la défensive à ce propos. Cela fait partie de son charme j'imagine. C'est un elfe fier, puissant, il n'a pas honte de qui il est voire d'exprimer son point de vue dans n'importe quel type de situation. Cela doit être la raison pour laquelle ces fresques le passionnent autant, il me semble qu'elles ont une nature elfique.
J'avoue que ça ne m'intéresse pas tant que ça. Contrairement à Solas, je n'apporte pas une bien grande importance au passé. Encore une fois; ça n'est pas la raison de ma venue ici.
« Oh, tien. »
Soudain, la silhouette sur le mur attire mon attention.
Fronçant les sourcils, je la pointe du doigt. Solas me suit. Elle se situe près de la porte de sortie, non pas celle menant au hall du château mais aux murailles. J'y vois un homme à la silhouette sombre. Il me rappelle...
« Il vous ressemble. »
« Queᅳ »
Solas tousse contre son poing.
« Vous trouvez ? »
« Je dis ça comme ça. » me rattrapé-je. « C'est juste.. oui, j'ai eu l'impression qu'il vous ressemblait. »
« Je suppose que je ne suis pas le seul elfe de la sorte à Férelden. Il n'est pas rare que certains traits soient partagés au fil des générations. »
J'acquiesce.
L'homme sur la fresque a une allure effrayante. La dague qu'il conserve près de lui y est pour beaucoup mais c'est davantage le fait qu'il a été peint dans des couleurs sombres qui me donne cette impression. Il est fait de noir, fondu dans l'obscurité tandis que la lame dont il est muni est blanche au possible. J'ai du mal à savoir si il la tient de face ou dans son dos. La chose principale qui me frappe est, en effet, sa ressemblance avec Solas. La même droiture dans leur posture ⸺témoin d'une éducation aristocrate je suppose⸺ ainsi que de traits droits, géométriques. Ils sont tout deux dotés d'une mâchoire taillée, d'un menton puissant; sur la fresque celui-ci est visible puisque la tête de l'homme est de profil.
Néanmoins, cette ressemblance ne parvient pas à me convaincre autant qu'elle le devrait.
Je ne sais pas si la dague est une métaphore quant à la trahison, la tromperie fourberie ou un bien réel ⸺sûrement les deux⸺, mais j'imagine mal Solas ainsi. J'en rirai presque. Cette silhouette et lui ne partagent qu'une chose; leur splendeur. Rien de plus.
Mon regard dérive du mur. Je le porte sur lui.
Solas m'observe déjà, un éclat de surprise passe dans ses yeux. Je me pince les lèvres, penche la tête sur le côté.
« Solas ? »
Il se reprend.
« Mon cœur ? »
« Vous étiez perdu dans vos pensées ? »
« Brièvement, ça ira. »
Il se reprend, plaque la paume de sa main sur la table et s'y tient.
Des parchemins sont laissés à l'abandon, certains sont tâchés par la cire de bougies. Il y en a deux sur le meuble. C'est un bazar. Je ne sais pas ce que Solas fait de tout ce savoir, la bibliothèque de Fort Céleste semble le combler, c'est tant mieux, il a recueilli quelques documents dont une petite pile d'ouvrages sur le coin, ça se sent qu'elle a été utilisée. Je ne suis pas particulièrement intéressée par ce savoir. Il m'échappe, je le sais bien. Je préfère largement retourner regarder Solas. Et je crois qu'il s'en est aperçu.
Il esquisse un rictus gêné, je fais pareil.
Au creux de ma poitrine, je sens mon cœur se serrer. Contemplant Solas dans le blanc des yeux, consciente des sentiments romantique que je lui porte, je me trouve dans l'incapacité de l'ignorer. Nous ne sommes pas seuls, quelques yeux doivent êtres rivés sur nous, et peut-être même davantage d'oreilles. Ils attendent de me voir m'affirmer, ou de succomber, qui sait. Toutefois, alors que je fais face à l'homme dont je me suis terriblement amoureuse, plus rien d'autre n'est apte à m'ébranler.
Lors de ce bref instant, de cette pause bien mérité, Corypheus quitte mon esprit, le destin de ce monde ne repose plus sur mes épaules. Je ne suis qu'une simple elfe éprise d'un des miens et, l'espace d'un maigre instant, la réalité m'échappe.
Enveloppée par l'enlace des songes, je ne peux que m'imaginer aux côtés de Solas.
Pour toujours.
Et à jamais.
Cela suffit à me combler. Quelques minutes passées auprès de lui et voilà que je me sens revivre, je ne ressens pas l'envie de me remettre au travail, loin de là, encore moins de faire face à l'armée d'aristocrates dans le hall sans Joséphine pour me superviser. L'envie d'aller de l'avant s'est emparée de moi. Je désire faire de mon mieux, survire. Sauver des innocents compte, toutefois ici je ne songe qu'à Solas.
Il est omniprésent dans mon esprit autant que dans mon cœur. Il remplit son rôle d'amant à la perfection.
De part sa simple présence, il m'épaule.
D'une simple conversation, il me redonne de la force.
Alors évidement que je ne cesse de l'admirer, évidement que mon cœur s'emballe et que je tombe davantage amoureuse de lui ⸺bien que cela me paraisse impossible : je l'aime déjà à la folie⸺. Je ne peux que lui sourire bêtement. Si jamais je venais à lui faire part de mes sentiments, ici et maintenant, je...
Il lui faut du temps. Je me montrerai patiente.
Je me régale de ces moments que nous partageons. Qu'ils soient à Fort Céleste ou sur le champ de bataille je n'en rate pas une miette. Même si je dois avouer être particulièrement friande de nos discussions ici. Cet endroit n'est pas particulièrement agréable sachant que nous sommes surveillés, mais la pièce de cet étage n'appartient qu'à nous. C'est spécial à mes yeux.
Je suis là, avec lui, et c'est tout ce qui compte.
Solas se penche dans ma direction. Il tend sa main et, délicatement, me touche la mâchoire. Le geste se veut délicat, il me caresse, ses yeux dans les miens. Je ne bouge pas. Figée sur le fauteuil, mes mains compressées contre mes cuisses, j'en ai le souffle court. Solas a un air curieux sur le visage. À nouveau, je le sens lointain. Mais son toucher me fait du bien.
Je ne saurai le décrire. Tout me paraît flou alors qu'il est si proche, je me sens transportée ailleurs, à l'instar de notre voyage dans l'immatériel. Je me perds dans son regard. J'aimerais y périr. Ses beaux yeux bleu, son éclat féroce et à la fois mélancolique, cela ne me fait que l'admirer davantage. Plus il me touche, glissant la pulpe de ses doigts sur ma joue, et plus mes sens se détériorent. De légers fourmillements me parcourent le corps, de mes mains jusqu'à mes jambes. Je n'avais encore jamais ressenti ça. Je me demande si c'est pareil pour lui... Je me demande si il est autant affecté par ma présence que je suis par la sienne.
J'aime à croire que oui.
J'aime à croire que mes sentiments sont plus que partagés, et tant pis s'il reste muet à ce propos. De sa part, j'accepterai même le plus muet des silences.
Ma main s'approche de la sienne, je la recouvre.
« Solas.. Je— »
Je suis incapable de finir.
Son regard s'adoucit, Solas plisse les yeux d'adoration et écarte ses doigts de manière à ce que je puisse les entremêler aux miens. Le geste est instinctif, je n'hésite pas et accepte son invitation. Nos mains fusionnent, la chaleur de sa main se lie à la mienne, c'est merveilleux.
Mon cœur est dans ma poitrine, je vais le vomir.
Cela ne fait pas longtemps que nous nous connaissons. Pourtant, il fait déjà partie de moi. Je l'ai dans la peau et ça m'en rend presque malade.
« Vhenan. »
Solas murmure. Il me paraît autant chamboulé.
« Restons comme ça, s'il vous plaît. »
Je l'aime. Je l'aime à la folie.
« Juste un instant de plus, Solas. Je vous en prie. »
Il hoche la tête. Un fin sourire courbe ses lèvres, de même pour ses yeux, c'est soudain, son teint s'éclaire et son pouce me caresse la joue.
« Très bien, vhenan, restons ainsi. »
Il fait de moi la femme la plus heureuse au monde. Le ciel pourrait bien nous tomber sur la tête...
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— Alphonse, cher maître, puis-je vous importuner dans votre travail ? — Mais entrez-donc, mon ami. Vous êtes venu accompagné ? — Point du tout ! C’est par coïncidence que Mademoiselle se présente à votre porte au moment où j’y frappe. — Monsieur Fauré, je dois vous parler ! — Vous êtes ? — Séraphine Lampion. Avez-vous une bouilloire ? — En effet, elle se trouve sur le poêle. J’en suis pleinement satisfait. Inutile de m’en vendre une nouvelle. — Je vais faire du thé. — Et bien faites. Et vous, mon cher Hypolite, quel bon vent vous amène ? — Une brise toute joyeuse ! J’ai été chargé par la Société des Artistes Méridionaux de la rédaction du catalogue de la prochaine exposition. La curiosité et une impatience toute enfantine m’ont portées jusqu’à votre atelier pour connaître les œuvres dont vous voudrez bien nous honorer. — Voilà une fort bonne nouvelle ! Je mets justement la dernière touche à… — Où rangez-vous les tasses ? — Dans la petite armoire chinoise, Mademoiselle. Près de la fenêtre. — Ah ? Quelle drôle d’idée. Vous n’avez que du thé noir ? — Oui, je m’en excuse. Je vous disais, mon cher Hypolite, que je mets la dernière touche à un magnifique bouquet de violettes qui fera oublier mes mimosas de l’exposition précédente. — Comment serait-ce possible ? Vos mimosas étaient si beaux qu’on croyait en sentir le parfum ! — C’est l’excellent indigo de chez Viollet-Roze qui m’a inspiré une toute nouvelle combinaison de nuances. Un ange a dû guider ma main pour me faire accomplir ce prodige chromatique ! — Je me réjouis d’avance de le contempler… Mais… Mais… Mademoiselle ? Votre robe tombe il me semble… — Vous n’avez pas de sucre non plus ? Pas de miel ? Il va être raide mon thé. — Ma parole vous voilà dénudée ! Perdez-vous toute pudeur ? — La pudeur ! Dans un atelier de peintre où défilent les modèles tirés du caniveau entrent deux séances de passe ! Que les hommes sont hypocrites ! — Je ne peins que des fleurs, des paysages et quelques fois des visages. Je le jure ! Dites-lui, Hypolite. — Jamais Alphonse ne s’est adonné à la peinture licencieuse, Mademoiselle, pas même au genre mythologique ou allégorique. Votre reproche est infondé. — Les hommes sont tous les mêmes. C’est pour cela que vous avez besoin de moi, Alphonse. Ce n’est pas en peignant des coquelicots dans un champs ou des nymphéas sur une mare que vous deviendrez célèbre. — Je suis sûr que mes violettes toulousaines marqueront tous les amoureux des fleurs et du Bel Art ! — Et pourquoi pas des tournesols fanés dans un vase en terre cuite, tant que vous y êtes ? Non, Alphonse, si vous voulez passer à la postérité, il vous faut peindre un nu. Voici mon nu, peignez-le. — Je… je ne sais que dire, Mademoiselle Séraphine. C’est un très beau nu. Votre offre est généreuse, mais je ne puis. Ce n’est pas moi, ce n’est pas mon art. D’autres peintres savent mieux que moi peindre ce genre de… ce genre là. — Je n’offre pas, je vous commande. Regardez ça… Et ça… Ah, vous regardez, cochon ! Alors peignez. Faites-moi belle et désirable, qu’on ne parle que de moi sur le Capitole. — Hypolite, que dois-je faire ? Est-elle folle ? — Je ne crois pas. Un peu plus impudente que les femmes de son temps, mais guère plus que les romaines des antiques orgies. Qui sait ? Un jour, sûrement, chaque jeune femme voudra que sa photographie soit exposée au monde entier. Dans quelle tenue ? Je n’ose l’imaginer. Il faut prendre en pitié les hommes des temps futurs, s’ils aiment encore les fleurs. Peignez-donc la scène, puisque Mademoiselle vous le demande. Quelle jolie vision que le tourbillon du thé…
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Salut Koundé, je sais que c'est difficile après cette défaite contre l'Espagne, mais souviens-toi que tu t'es donné à fond sur le terrain. Ta passion et ton dévouement étaient évidents tout au long du match. Garde la tête haute et utilise cette expérience pour revenir encore plus fort. Ton parcours ne s'arrête pas ici. Reste concentré et continue à avancer! 🫶
À toute l'équipe de France, je sais que c'est difficile après cette défaite contre l'Espagne, mais rappelez-vous que vous vous êtes battus avec passion et détermination jusqu'au bout. Gardez la tête haute et utilisez cette expérience pour revenir encore plus forts. Votre parcours dans cette compétition a été remarquable, et vous avez montré un jeu exceptionnel. Continuez à travailler ensemble et à viser de nouveaux succès à l'avenir! 🫶
Allez ! 🇫🇷
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
14/15
Même au travers de ses récits, nous nous sommes mises à oublier un peu la guerre. Dans un état un peu fantasmagorique, nos hommes n'étaient pas au combat mais simplement au travail. Nos enfants les verraient le soir, il n'y aurai pas de nouveaux récits de bataille dans les journaux ni cette sale odeur de tabac froid qui s'est imprégnée dans les rideaux du bureau de Constantin. Fort heureusement, lui ne vois jamais les combats, où alors il n'en entend que la rumeur. C'est toujours ce qu'il m'écrit dans ses lettres, que je reçois toujours tous les trois jours, bien calligraphiées et avec les mêmes formules d'amour qu'il se plait à répéter. Jeune, je pensais la routine ennuyeuse, aujourd'hui je la pense d'un confort rassurant.
Transcription :
Rose « Éteignez moi cette pipe, Monsieur Dumont ! »
Gilles « C’est mon petit plaisir journaliser Docteur. Vous voudriez pas priver un pauvre éclopé de son petit plaisir quand même ? Et puis ça distrait de la douleur ! »
Rose « Si vous avez mal, dîtes le nous et on vous donnera des calmants. »
Gilles « Oh allez, on est dans un grand jardin ! Je ne vais pas vous empuantir les lambris ou les tapisseries ici non ? »
Armand « C’est le règlement Monsieur Dumont. Seigneur, comment avez-vous pu survivre au front avec un caractère aussi têtu ? Discutiez vous aussi les ordres de vos supérieurs de cette façon ? »
Gilles « Mon caporal avait un pétoire à la main, et passionné de la gâchette comme il était, il aurait bien pu me trouer la caboche. Vous, le seul truc que vous pourriez me planter, c’est une seringue qui va m’envoyer au pays où tout est beau. »
Rose « Comment peut-on avoir autant raison tout en ayant tort ? »
Armand « C’est que notre Monsieur Dumont a de la verve Docteur de Chastel. »
Gilles « Sûr. Ma mère a toujours dit que ça me mènerai loin ! »
Rose « Et elle avait totalement raison, j’en suis sure. Mais avec une jambe en moins, vous ne pourrez jamais assez loin pour éviter que je vous confisque cette chose. »
Rose « Seigneur ! »
Gilles « Oh ! Quoi encore ? Je vais l’éteindre, mais je vais quand même pas gaspiller le gris qui reste Docteur ! »
Rose « Oui bon… faites comme si je n’avais rien dit. »
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