#toutes ces belles promesses
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museumofsins-rpg · 2 months ago
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pour chaque personnage, un trait vous sera demandé à l'inscription. vos personnages devront s'organiser autour d'une vertu ou d'un vice proéminent, fortement exacerbé par une newport catalyseuse. nous vous demanderons aussi de choisir un trait compatible (le vice ou la vertu avec lequel votre personnage possède une affinité) et un trait incompatible (qui créer une forte hostilité). ici, les extrêmes rendent fou les saints comme les impurs. car de tous les traits, aucun n'est pire que celui qui se tire d'un gras crayon. ainsi, que vous choisissiez un vice ou une vertu, il semblerait que vous ne pourrez jamais en sortir vainqueur; car si les vices sont généralement connus pour être problématiques... que pensez-vous vraiment d'une qualité poussée à son paroxysme? et si la clé pour sortir de cet enfer semble donc être l'équilibre, newport ne vous permettra pas de la trouver. mais après tout, voulez-vous réellement la quitter..?
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implosion; hystérie; instabilité ; phalanges écorchées; haine; babines écumeuses; aigreur; désespoir; sale bile; jurons de maudits; âpres regrets; faiblesse pitoyable; vengeance.
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vanité; mégalomanie; ce bleu roi; drapé de soie et de chair putride; gloriole; autosuffisance; mépris; ô beau narcisse; solitude du parfait; trône de bois; fantasque éphémère; fierté; faux.
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indifférence; apathie; absence de conséquences; sombres méninges; éternel aquilon; abandon, atrophie insupportable; désengagement; l'affligeant ennui, électron libre.
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jalousie; éternelle insatisfaction; jurons de malheur; aigreur; confiance érodée; vicieuse frustration; rivalité infondée; caïn; rancune hostile; manigances chuchotées; caprice de minot.
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obsession; insatiable; extase dionysiaque; plaisirs exacerbés; épicure; auréole en bois de vigne; primitif; addictions; sève d'ivresse; banquets; opium; foule paillarde; folie fiévreuse; chaos.
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cupidité; matérialité; l'or en idole; possession excessive; manipulation; opportunisme; cruauté; bedaine enflée; gel du marbre; pingre; attachement excessif; fortune enchaînée; geôle dorée.
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passion; débauche; trahison; parade de charme; faim de charnel; indécence; démesure; tentation entêtante; pourpre de velour; instabilité amoureuse; absence de lien.
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quête de la vérité; inébranlable acharné; sceptre justicier; de bleu roi et d'or; ordre implacable; autoritarisme; châtiments exacerbés; ô douce tyrannie; fièvre justicière.
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corps contre rafale; ce ô preux chevalier; folie héroïque; absurde hardiesse; imprudence; orgueilleuse bravoure; sacrifice vénérable; insoumis; brasier de grandeur; la sale audace. 
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sacrifice aveugle; martyr; empathie éreintante; funeste abnégation; générosité hypocrite; lugubre bonté; bras de saint, vaine ironie; quête de profit personnel; folie du sauveur, blanche prière.
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méfiance flaire essence; cardinal sans sens; mutisme cri statisme; conséquences au lourd pesant; clairvoyance aveugle; horace à pas velours; abstinence septentrionale; repos contre écueil.
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fouet contre palais; gerbe assassine; lame de mauxmots; noble monologue; muselière décousue; sincère blessure; confessions agonisantes; terrible transparence; impitoyable; malédiction. 
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tendresse aveugle; douleur gobée; belle miséricorde; dégénérescence du beau; cécité du malin, acceptation du pire; juge sans voix; empathie hypertrophiée; psyché de pitié.
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doux mirage d'éden; saveur déni; songe en nuages; cauchemar idéal; horizon promesse; folie d'espoir; fantasmes en pagaille; ris aux enfers; insouciance candide; géant de croyance.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Avec le temps, vous comprendrez que les plus belles vacances peuvent se trouver sur une paire de lèvres ; qu'il y a de l'hiver en été, de la poésie en automne et que toutes les fleurs ne naissent pas au printemps. Vous apprendrez aussi que rien n'est éternel, mais que certains moments sont proches de l'être ; que les cicatrices sur l'âme ne guérissent pas, que les promesses expirent, que les rêves changent, que les plans changent et que les gens déçoivent ; qu'il y a de la douleur derrière les sourires, de l'amour derrière un "prenez soin", des raisons et des regrets derrière les silences. Que les meilleurs baisers que vous ayez jamais reçus sont cachés dans les regards et que les bras sont sans aucun doute le meilleur abri, celui qui vous débarrasse vraiment du froid. Avec le temps, vous comprendrez la valeur d'un je t'aime, d'un comment vas-tu, d'un merci, d'un pardon et d'un je t'ai manqué, et que, bien que ce soient des mots, certains sont si lourds qu'ils ne sont pas emportés par le vent ; vous comprendrez l'importance d'un sourire, d'une accolade, d'un bonjour, d'un baiser sur le front, d'un repas à l'ancienne, d'un café avec des amis et d'une lettre inattendue dans la boîte aux lettres. Avec le temps, vous changerez vos priorités, votre façon de penser, de rire, de vous habiller, de rêver, vous changerez votre numéro préféré pour celui d'un rendez-vous, votre chanson pour une bande originale dans le silence d'une paire de bras, votre couleur préférée pour celle de ces yeux ? Vous changerez tant de choses… Le temps vous fera aussi pleurer, crier de rage, vous mettre en colère, tomber amoureux, désirer quelque chose… Mais il t'apprendra qu'il n'y a pas de regrets, qu'il faut prendre des risques, qu'il y a des erreurs, des regards, des baisers et des moments qui sont les seuls à donner un sens à tout cela.
Et avec le temps, vous comprendrez qu'il n'y a plus de temps. Que c'est aujourd'hui et maintenant qu'il faut agir.
Mais seulement… Vous ne réaliserez qu'avec le temps…
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ekman · 4 months ago
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Une très célèbre école de commerce française communiquait récemment vers les entreprises via le réseau socio-professionnel “LinkedIn”. Elle proposait à d’éventuels prospects en quête de performance personnelle de “renforcer leur leadership par la posture coach”. Rien de moins. Cette annonce, si prototypique du monde de merde dans lequel nous régressons chaque jour que post-Dieu fait, m’a soufflé à l’oreille que la décadence s’accélérait. Plusieurs indices émaillent le parcours qui m’a conduit à cette déduction. Sauras-tu les retrouver ?
• L’accroche qui coiffe le visuel s’est armée de “working idioms” du plus bel effet, favorisant une parité bienvenue entre le langage hébergeur véhiculaire (the français) et les “key-words” impactants (l’english). Comme ça, on ne fâche personne et cette façon montrera aux maîtres anglo-saxons que le français n’est plus, effectivement, qu’un verbiage anecdotique sympathique et inoffensif, donc inoffensant, apte à inclusifier toutes sortes d’impétrants racisés.
• La muse en position debout – c’est à dire en posture dominante – est une crépue génétiquement adoucie ayant fait le choix d’une posture alpha (position des bras), réputée non rigide (la coiffure n’est pas tenue) et indiquant une disponibilité sexuelle grâce à son chemisier laissant apercevoir un décolleté demandeur. On subodore, en complément, une croupe marquée. En dessous de cette lauréate du “Programme Court Executive”, les pas encore “executive”, avec un cadre blanc cravaté et barbu, tendance génuflexion et gay friendly ; à sa droite une jolie dame qui pourrait avoir eu un arrière grand-père natif de Hanoï, phénotype synonyme de soumission aux puissants ; en face de lui un petit morceau de pimbèche française dont on a oublié jusqu’au prénom, mais qui transpire sûrement la frustration et l’esprit revenchard. Pour finir, au premier plan, résolument de dos, un chicanos marocain venu livrer les salades “deetox” Uber-Eats du lundi.
• Comme elle a eu du pif pour booster sa carrière, Christine (appelons-la “Christine”, en hommage à Christine Kelly, la jolie journaliste caribéo-bolloréenne) a voulu améliorer son écoute et adapter son style de leadership, ce qui ne veut absolument rien dire. Elle a, pour ce faire, exploré son cadre de référence et développé son intelligence émotionnelle, ce qui n’en dit pas vraiment beaucoup plus – sauf que “intelligence émotionnelle” indique un embryon d’altruisme post-industriel de bon aloi.
• La signature de ce pavé publicitaire pour le programme “Posture Coach” de cette célébrissime école orientée vers les études commerciales d’altitude, spécifie qu’il développera l’écoute, permettra de questionner efficacement tout en adaptant son style de management. Une promesse en trois points qui aurait sans doute reçu un écho favorable rue Lauriston.
Voilà, vous savez tout. La clé du succès de votre carrière tient à bien peu de choses. Il vous suffit de vous conformer aux standards américano-bolchéviques du moment et votre promotion sera garantie. Soyez “open et bienveillant”, massacrez la piétaille avec le sourire, suggérez une réductions des privilèges carbonés pour maintenir la stratégie éco-favorable sur sa courbe zénithale, trafiquez vos résultats comme Nono-le Rigolo et tout se passera bien pour vous. Enfin n’oubliez pas de souhaiter à vos interlocuteurs une “belle journée” en conclusion de chacun de vos courriels – pardon, de vos mails.
J.-M. M.
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petit-atelier-de-poesie · 1 year ago
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Bignone
Bignone, allons voir si la pose Qui au jardin le recompose Son rôle de pampre au soleil,  Est bien pendue et décorée,   Emplie de ses fleurs colorées Et ses brins vautrés sur la treille.  Là ! voyez comme elle est tenace Bignone, elle a reçu l’audace,  La pergola boude ses gloires !   Ô vraie meurtrière Nature Puisque ces belles fleurs perdurent   En serpentins juste accessoires !  Donc, si vous me croyez, Bignone,  Tant pis si vos tiges couronnent  Ensemble à travers tout l’été,   Veuillez, veuillez tenir promesse : Comme assez de fleurs le délaissent  Et là retenir vos bouquets. 
/ Fabienne PASSAMENT. 2023 Pastiche de l'Ode à Cassandre. Ronsard. 1550
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iranondeaira · 5 months ago
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Combien j’ai apprécié chaque moment passé avec toi ...
Pardon .
J’aurais voulu avoir une autre chance de te dire combien je t’aime quand bien même il est trop tard maintenant que l’histoire n’est apparemment plus à suivre ...
Notre histoire ...
Je me réveille la nuit, une douleur liquide qui coule dans tout le corps, cherchant l’erreur que j’ai pu commettre... les jours sont restés les mêmes, ils se suivent ... les nuits se sont transformées en vertige, ton absence est trop présente pour que je puisse tenir ton souvenir hors de moi , la vie est courte mais lente et donne à espérer ...
je ne te cherche pas ... tu es là ... oui certains soirs tu me fais mal ... je m’imagine marchant dans les rues, nos rues ... à la recherche de ton fantôme ... Je sais qu’une part de ma vie d’homme vient de marquer le pas, elle restera là... longtemps... à ne plus pouvoir passer la porte de ces lieux ... à attendre que le temps efface les traces ... à attendre ... de sentir imperceptiblement l’indifférence atténuer la douleur ... avec le temps ...
Je sais que je ne pourrais plus dire je t’aime, je me sens étranger à moi-même, une part de moi est partie avec toi ... je t’ai laissé aller là où personne n’avait trouvé le chemin ... j’en étais moi-même heureux de la surprise de me découvrir à travers tes yeux, sentir mon corps devenir vivant sous ta chaleur... j’y ai cru si fort ...
Toi seule pouvait te faufiler là où j’étais ... Toi seule pouvait trouver le chemin de ce jardin que la vie m’avait donné à fermer ... j’y ai cru à cette promesse ... nous étions amants ... j’y ai cru à nos cœurs à corps ... j’y ai cru à cet amour, il venait de tellement loin ...
je porterai le deuil de cette histoire, un bout de mon histoire ... ce sont les choses de la vie paraît-il ... je vais apprendre à vivre sans toi, je me souviendrai de ton goût de pommes de cerise et de lilas, je me souviendrais du parfum de verveine, de vanille de ce petit bonheur tout doux ... Je dois vivre sans tes bras, avec le souvenir de ton sourire, de tes yeux ... Ma raison renoncera mais je sais que ma mémoire est marquée au fer rouge tel le tatouage qui coure sous ma peau ... oui je t’ai dans la peau , les jolies danses sont rares , tu étais, tu es ma plus belle danse ... notre histoire est, était ... un moment ... bien.
Il me faudra du temps pour ne plus être frappé par cette panique de la raison si je devais te revoir même par hasard ... Je te vois danser sur les quais dans cette petite robe noire ... je sais que je n’aurai pas la force et pourtant je voudrais te revoir .
Avons-nous bien vécu la même histoire ? Oui, parfois je reste immobile les yeux dans le vide et de me demander si ce n’était pas un rêve, juste un joli rêve .
Mon amour est abîmé ... tu n’aurais qu’à ouvrir les bras pour tout recommencer... tout reconstruire ... une nouvelle histoire ... Nôtre histoire ...
Toi sinon personne
.. .’ ....
🎨 : Gleb Gloubetski
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lounesdarbois · 1 year ago
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Chaque été depuis une trentaine d'années la descente graduelle de la Civilisation direction Afrique suit son cours. C'est comme le long déboutonnage d'un homme qui se rend compte peu à peu être un singe et n'y voit aucun problème, et au point où il se trouve cet été, un bouton de plus ou de moins, se dit-il, quelle différence ?
Ainsi nous aurons droit comme chaque année: -  aux clandos psychiatriques déambulant cul nu en hurlant sur le bitume fondu, ne s'arrêtant que pour chier accroupis sur les poubelles publiques (toujours en hurlant). -  à  la stupéfaction des pachas de l'époque ottomane écrasés de chaleur dans leurs chaises de plage sur les seuils, ne parvenant à manier leur éventail qu'à deux mains - aux filles de gauche voix enrouée dans la file d'attente des épiceries de nuit: "mais meuf what deux fuck?" pour faire américaine- canaille toujours trop bronzées, pieds sales, irrécupérables. - aux bandes de cailleras à la recherche de "chose-kek à gratter", blédards à teinture vendeurs de clopes, bonobos vomissant leurs lèvres marchant bras dépliés et mains sous le genou - aux lapeuses de glace au sucre de 40 berges cheveux courts, surpoids, cette fois tout à fait répugnantes, qui ont déjà renoncé à l'effort parce qu'elles ont leur gosse à la maison, leur chose  entièrement en leur pouvoir qu'elles vont malaxer tout leur soûl toute leur vie restante pour se venger de la vie - les bourges-"bohèmes" de plus en plus effeminés chaque année, de plus en.plus ambigus, toujours plus cocufiés, cambriolés, mais c'est justice. - aux transports en commun transformés en zoos roulants, bouillants, puants. - aux "événementiels", aux "fêtes", toujours les mêmes : un étal navrant d'objets à vendre sous une tente en toile cirée, une estrade vide avec des haut-parleurs crachant "du son", des brochures sur une table entourée de panneaux, c'est tout.
On ne le répétera jamais assez. Le processus d'extermination des Blancs est une guerre qui oppose non pas 2 fronts mais 3.
1/Le front des "vrais" avec les fas, les tras, "les petites gens les braves gens", les Gilets Jaunes, certains droitards, certains bourgeois, certains non-Blancs amis, nous, moi. 2/ le front des clandos, des envahisseurs, des colonisateurs, des métisseurs, des racailles, des profiteurs bien visibles, bien abrutis, identifiables, irréfutables. 3/ le front le plus méchant et le moins visible: bourges-bohèmes, planqués, banques, médias, synas, loges, PàB, boumeurs, antifas, élus, fonctionnaires, agents de l'étranger, bref toute la racaille du haut et de l'intérieur.
Il n'y a rien de pire que le front numéro 3, pas même la racaille même si elle était multipliée par clandestins au carré le tout au maximum de leur crasse en  fermentation sous cagnard dans maillot de foot synthétique. Le grand espoir de ces émeutes de sauvage c'est que ces primitifs une fois rassasiés de leurs bâtonnets de surimi au Capri-Sun chourrés dans les Lidl forcés à la Porsche-bélier s'en aillent demander un supplément d'argent de poche aux bourges-bohèmes du front numéro 2.
Par pitié les fas ne sortez pas du bois alors que la fête bat son plein! Nul ne doit risquer une minute de GAV pour un immeuble de bureau cramé. Je suis sorti du bois en novembre 2005, GAV pour extinction de feux de voiture à Echirolles. La belle affaire... c'est fini ce temps-là. Intervenir signifierait une interruption catastrophique de l'affrontement entre le front numéro 2 et le front numéro 3.
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Une idiote m'a dit que de toute façon tout le monde est bobo. Je lui ai dis non pas, pas les fachos. Et quand les bourges-bohèmes auront été bien détroussés, bien rossés, bien fessés, bien outragés par la racaille peut-être alors voudront-ils devenir des hommes c'est à dire, hélas pour eux, des fachos. "Mais nous on nique les fachos"...  Teu teu teu petites putes, tout beau, tout beau. L'arrêt des hostilités réveille une insolence refoulée ? Qui va niquer qui? Toujours des promesses. On vous renvoie trois mille autres cailleras sur la gueule ou vous avez suffisamment de quoi faire avec les dégâts des dix mille de la semaine dernière ?
Certains ont discerné quelle fabuleuse aubaine offrait le déchaînement de tous ces primitifs: - tout d'abord ces rats se sont donnés à voir au monde tels qu'ils sont vraiment et non tels que le monde voudrait qu'ils fussent. - ils ont cassé les barreaux de la prison des Blancs, ils ont saccagé, ridiculisé, piétiné presque chaque mirador du camp de concentration où nous à jeté le front numéro 3: magasins de vêtements franchisés, panneaux publicitaires, restaurants industriels, écoles publiques, mediathèques de gauchistes, etc. - ils ont menacé physiquement les insolents collabos ordinaires du front numéro 3: boumeurs, gauchistes, "activistes", hurleuses en surpoids, salopards anti-Blanc, insolentes, bouches inutiles de toutes sortes.
Toutefois que ces singes avachis dans leur hamac de sieste perpetuelle ne s'imaginent pas avoir accompli un quelconque travail lucratif. Ces quadrupèdes branlomanes sous shit ont encore beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent à se faire s'ils veulent bien mettre momentanément en sourdine leur lâcheté de pillards opportunistes de caravanes et tourner leurs groins renifleurs vers les opportunités fabuleuses des segments de marché encore intacts de la société de consommation. "La manière dont tu comptes en dit long sur ce que tu as brassé, la manière dont tu pompes en dit long sur ce que tu as sucé".
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mrlafont · 1 year ago
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Une vidéo d’une jeune fille qui expose son point de vue à propos de la nudité de la femme en public. Elle trouve que c’est absurde que les seins soient considérés comme un “objet sexuel”. Que les seins ne servent qu’à nourrir le nourrisson. Certes, certes. Ce qu’elles doivent comprendre, ces femmes, ces jeunes femmes, et les hommes qui tiennent le même discours, c’est qu’il existe chez l’être humain quelque chose qui s’appelle l’instinct de reproduction et que cet instinct est un des plus puissants, si ce n’est le plus puissant. Pourquoi les attributs proprement féminins de la femme, les seins, les fesses, les cheveux, et tout ce qui représente l’altérité, sont générateurs de tant d’émotions pour le sexe opposé ? Un homme excité à la vue d’une belle poitrine, d’une belle croupe, ou de tout autre attribut, l’est car le génie de son espèce y reconnait ce dont il a besoin pour tendre vers son idéal de vitalité. C’est déjà une chose, un phénomène qu’il faut comprendre. Ce n’est pas moi qui l’invente, il faut relire Schopenhauer, ou simplement observer les faits. Nos préjugés et nos mœurs, aussi arbitraires qu’ils semblent, cachent une vérité qu’il faut découvrir. Tout, tout a une explication. Hommes et femmes, les deux recherchent et désirent la même chose chez l’autre : la beauté. La beauté qui n’est autre chose que la vitalité. Vitalité qui s’exprime de différentes façons : mais toujours en ce qui agit pour, en faveur de la vie, tout ce qui l’empuissante. La femme est attiré par la virilité, l’homme la féminité... Mais ce qui plait pour l’une dans la virilité et ce qui plait pour l’un dans la féminité est une seule et même chose : il s’agit de tout ce qui promesse et signe de vitalité, signe de force donc, de puissance. C’est d’ailleurs ça qu’on appelle “beauté”. Seins nus en public... Il faut comprendre que cela ne peut pas être sans conséquences, qu’inévitablement cela engendra des regards et certains comportements. Inévitablement, il y aura tentation, désir. Alors quoi ? Éduquer les hommes ? Les désensibiliser ? Taire, tarir l’instinct ? C’est folie. Il me semble bien, à moi, que la pudeur est le garant d’une certaine paix sociale, aussi superficielle soit-elle. Mais la pudeur est peut-être ce qui nous éloigne de notre bestialité. La pudeur, ce produit de l’intelligence de notre instinct de survie, ce raffinement qui est sûrement né de notre couardise face à la violence qu’engendre la compétition. Il faut savoir ce qu’on veut. Il y a autre chose qui vient expliquer les différences de comportement entre les hommes et les femmes. Une chose logique, biologique. Il faut neuf mois à une femme pour enfanter. Il faut deux minutes à un homme pour l’ensemencer. La femme est forcément plus exigeante et prudente quant au choix du partenaire. C’est un réflexe très profondément ancré dans sa biologie de femme. Et ce fait explique la réserve naturelle de la femme, sa prudence, sa méfiance instinctive. L’homme, qui ne risque rien à enfanter, a forcément une autre psychologie que celle de la femme. Il est, forcément, plus exubérant, plus bête. La peur rend plus sensible. D’où une certaine délicatesse chez la femme. On comprend donc bien pourquoi le fait qu’elle veuille aujourd’hui se montrer seins nus puissent outrer certains. Car nous, êtres humains, nous savons, davantage instinctivement qu’intellectuellement, que quelque chose pose là problème. D’ailleurs, je pose ça là, mais toutes celles qui aimeraient pouvoir se balader seins nus (pourquoi d’ailleurs ?) : ce ne sont généralement pas des femmes qu’on veut enfanter : elles sont, physiquement, soit indésirables, soit psychologiquement dépravée. Le génie de l’espèce n’y voit rien de bon. On en tirera les conclusions qu’on veut.
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sinvulkt · 3 months ago
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Chap 1 ✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 3
La main d’Edmond serra le manche de son couteau. Le sac mortuaire puant qui le recouvrait battait au rythme des pas des hommes qui le transportait, le ballottant inconfortablement. Il faisait froid. D’après le calendrier que l’abbé avait insisté pour tenir, on était le 27 février. L’air marin passait à travers le sac comme une porte grande ouverte, et Edmond peinait à ne pas grelotter. Des frissons le secouaient malgré tout de temps à autre, à peine suffisamment discrets pour ne pas être repéré par ses transporteurs.
Il se força à détendre ses muscles, faisant sa meilleure impression de mort flasque que l’on emmenait au cimetière. C’était loin d’être chose facile. Il avait mal rentré une de ses ailes, et elle reposait douloureusement tordue, coincée sous son bras pour ne pas que les geôliers la remarque. Des fourmillements avaient parcouru le membre un peu plus tôt, mais ces derniers s’étaient tus, laissant place à une étrange sensation d’engourdissement.
Le sac s’immobilisa. Edmond se gaina, étonné que les geôliers aient déjà atteint le cimetière. Le château d’if était à peine assez grand pour être appelé une île. Peut être attendaient ils une barque pour les mener au dernier lieu de repos des prisonniers ?
Un flash lumineux perça à travers le sac. Peu de temps après, un grondement sourd retentit. Edmond pouvait entendre l’agitation des vagues non loin, annonçant une tempête imminente. 
“L’orage ne va pas tarder à tomber,” un des geôliers commenta.
“Cela fera une belle noce pour l’abbé,” le second ricana.
Il y eut plusieurs bruits de froissement, puis Edmond sentit quelque chose se resserrer autour de ses chevilles. Il raffermit pour la énième fois sa prise sur son couteau de fortune.
“Tu l’as bien accroché?”
“Oui, aucun risque qu’il flotte comme le dernier.”
Flotter ? Les pensées d’Edmond furent distraites par un mouvement du sac. On le prit par la tête et les pieds et on balança le sac de droite à gauche.
“À la une, à la deux,” les geôlier chantèrent.
“À la tr—”
Le craquement du fil trop tendu qui cède retentit.
Les coutures du pauvre sac, recousues à la hâte par les mains fébriles d’Edmond, se déchirèrent d’un coup. Les geôliers, surpris, lâchèrent le sac qui tomba lourdement sur le sol. Edmond hoqueta, la respiration coupée par le choc. La chute avait libéré ses pieds. Il cligna des yeux, aveuglé par la soudaine lueur du jour attisant ses pupilles, même atténué par les sombres nuages qui couvraient le ciel.
“Mais- mais ce n’est pas l’Abbé Faria!” l’un des hommes s’écria.
Edmond surgit du sac comme un diable, couteau à la main. Le plan jouait en boucle dans son esprit. 
Attaquer le geôlier le plus proche. 
Courir. 
S’envoler.
Ses ailes s’arquèrent d’un air menaçant, plumes battant dans le vent qui hurlait. Avant qu’il ne réalise vraiment ce qu’il faisait, Edmond plongea son poignard dans la poitrine de l’homme qui avait crié. La lame s’enfonça avec un bruit répugnant dans la chair. 
Choqué, il lâcha l’arme et recula d’un pas. Sa promesse a l’abbé de n’attaquer les sentinelles qu’en dernier recours tournait sans fin dans sa tête.
Déjà, le second geôlier sonnait l’alarme à grands cris. Tout en hurlant, le géolier porta sa main à la baïonnette sanglée dans son dos et s’avança vers son compagnon blessé et le prisonnier. 
Edmond sonda ses portes de sortie. Ils se trouvaient sur un des chemins de ronde du château d’If, juste au bord de la falaise. Le geôlier bloquait la voie d’accès à la cour, et aucune barque n’était en vue. Il jeta un regard derrière lui. S’il prenait le tournant du chemin de ronde, il aurait peut-être assez d’élan pour décoller. 
Sans perdre une seconde de plus, Edmond détala à toute jambe. Ses ailes suivirent par instinct, se déployant de toute leur envergure d’une façon dont elles avaient été incapable entre les étroits murs du cachot. Le vent se pris dans les plumes tout comme il gonfle une voile. Edmond, surpris, failli tomber à la renverse et ne redressa sa course qu’en repliant ses ailes.
Derrière lui, le geôlier lui aboyait des ordres.
“Au nom de la loi, arrêtez-vous !”
Edmond s'arrêta. Il fit quelques pas en arrière pour regagner un peu de distance, vérifia que les gardes étaient encore assez loin, et reprit sa course. Cette fois, il ne garda ses ailes qu'à moitié entrouverte, comme on baisse le grand mât pour prendre un vent trop fort.
“Avec la tempête, vous ne vous en sortirez jamais !”
Ignorant les cris du geôlier qui se rapprochait, Edmond prit le tournant qui le menait à une belle ligne droite, puis soit à une chute vertigineusement létale, soit à un envol libérateur. Chaque pas n’était plus qu’un battement de cœur qui s’accélère, un muscle qui se prépare. Chaque pas était un espoir qui s'ajoutait au dernier. 
“C’est du suicide !”
Le bout du chemin vint en vue. Les vagues rugissaient sur des rochers pointus en contrebas. De temps en temps, un éclair venait aveugler la vue encore sensible d’Edmond, illuminant les crocs du relief l’espace d’un instant comme une vision d’horreur. L’idée de sauter du rempart, un instant plus tôt parfaitement réaliste, semblait désormais effectivement un suicide.
Mais rester menait à une mort certaine, et si elle n’était pas physique, alors elle serait mentale.
Le pied d’Edmond atteint le bout du rempart. Fermant fort les yeux comme un enfant qui prie une étoile filante d'apparaître, il ouvrit grand ses ailes et s’élança.
Après quelques battements d’ailes, il ouvrit les yeux.
Edmond volait.
Le vent, qui avait semblé si furieux au sol, le portait sans effort vers l’immensité du ciel. Dès qu’une bourrasque le menaçait, ses membres ajustaient son équilibre par un étrange instinct qu’Edmond n’avait jamais remarqué jusqu’alors. Il pouvait sentir chaque tendons crispé par l’effort, chaque plumes tendues pour maintenir son cap, le tout formant une machine magique lui permettant de naviguer les airs.
Edmond leva les doigts pour sentir l’air courir contre lui. L’atmosphère lourde et cinglante de l’orage qui n'attendait qu’un signe pour éclater faisait fleurir de la chair de poule sur sa peau. Il s’en délecta. Le goût salé de la liberté flottant sur sa langue l’enivrait. 
Edmond ne vit pas la baïonnette du garde pointé sur la cible facile qu’il formait, balancé par les courants aériens. Il n’entendit pas le cliquetis de la gâchette que l’on actionne. Il entendit la détonation, mais c’était déja trop tard.
Le coup parti. 
Au début, Edmond n’entendit que le bruit du fusil. Se pensant hors d'affaires, il se força à lutter contre le vent à large coup de battements d’ailes avant qu’un second fusiller ne visa mieux. Des plumes blanches tachées d’écarlates tourbillonnèrent dans le vent. Puis, une explosion de douleur retenti comme un fouet brulant le long de ses cotes et de son aile droite. Quand il porta la main à son torse, elle revint trempée de sang. La vue vacillante, incapable de lutter contre la tempête avec son aile touchée se repliant à la première bourrasque, Edmond chuta.
L’eau était glaciale.
Il accusa le choc d’un coup de brasse vigoureux. Sa blessure le lançait, mais pas autant qu’il ne l’avait craint. Edmond devait sa chute à la surprise et à son manque de pratique quant à l'utilisation de ses ailes, plus qu'à la traînée sanglante laissée par la baïonnette. Le sel attisait sa brûlure d’une manière qui était familière à tout marin, mais la douleur restait tolérable. Dans la mer enragée, à des kilomètres de la côte, les conséquences d’un coup de feu étaient le cadet de ses soucis.  
Les ailes qui le portaient jusqu’alors le condamnaient désormais. Leurs mouvements brusques et agités conflictaient avec la brasse qu’il avait appris auprès des autres marins. Gorgées d’eau, elles le traînaient lourdement vers le fond. Edmond se débattit de toutes ses forces pour retrouver la surface. Se souvenant des leçons prodiguées quatorze ans plus tôt, il vida son esprit et fit de son mieux pour ralentir son cœur. Plus calme, il réussit à replier ses ailes sur son dos, plaquée de telle sorte qu’elles ne le génèrent plus lors de la nage. 
Edmond était toutefois loin d’être sorti d’affaire pour autant. Les longues secondes qu’il avait pris pour retrouver ses esprits l'avaient emmené vers les bas-fonds. La mer, noire et profonde, le pressait de toute part de telle sorte qu’il avait perdu le ciel de vue. Ses poumons le brûlaient, réclament un air absent qu’Edmond ne pouvait pas leur procurer.
Un éclair lumineux attira son attention. Désespéré, Edmond donna de vigoureux coup de pieds dans sa direction. Son cœur battait à tout rompre, renforçant la douleur montante de sa poitrine. Quelques instants plus tard, il perça les flots, victorieux, et aspira goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Comme pour le moquer, l’orage grondant choisit ce moment pour déverser sur lui tout son malheur. Un flot de gouttes se précipita sur lui, martelant son visage et tout ce qui avait le malheur de dépasser de l’eau. Pis, le vent avait impossiblement forci, et des vagues effrénées menaçaient de noyer sa bouche grande ouverte, manquant de l’étrangler. Peu importe la façon dont Edmond battait des paupières, ses yeux, pourtant habitués à la pénombre des cachots, ne pouvaient distinguer qu’eau et noirceur.
Edmond nagea.
Il nagea à l’aveugle, luttant contre le courant de peur que les flots déchaînés ne le précipitent contre une falaise. Ses dents claquaient sous le froid glacial de février. L’effilade que la balle avait laissé le long de son torse et de son aile droite s’enflammait douloureusement à chaque mouvement. De temps à autre, une vague plus imposantes que les autres le renversait, et Edmond devait redoubler d'effort pour retrouver la surface. 
Il nagea.
Ses forces s’amenuisaient. Les frissons qui le secouaient jusqu’alors s’étaient tuent. La piqûre du sel était omniprésente dans sa bouche, dans sa gorge, dans ses poumons. Ses pensées avaient laissé son passé, la prison, ses gardes et le corps de l’abbé loin derrière, et se réduisaient désormais à un fin fil d’espoir désespéré, érodé par la houle qui le frappait interminablement. Il ne voyait que la prochaine vague, et les coups qu’il faudrait donner pour la franchir.
Il nagea encore.
Une autre vague le renversa. L’eau salée s’infiltra dans ses poumons, pressée d’investiguer ce nouvel orifice. Edmond se crispa et attendit, guettant un des flashs aveuglants de la foudre qui déverse sa fureur sur le monde pour retrouver son chemin. Ce n’est qu’une fois la surface retrouvée que, toussant, il réalisa la position vainement déployée de ses ailes. Comme ce qui lui semblait être une éternité plus tôt, le réflexe, loin de l’aider à flotter, lui compliquait la tâche. Il dépensa un peu de l’énergie raréfiante qui lui restait pour lutter contre le courant et replier les excroissances gorgées d’eau. 
Il nagea, encore et toujours.
C’était tout ce qui comptait désormais. Perdu dans l’immensité de l’océan, luttant pour chaque gorgée d’air atteignant ses poumons, Edmond n’avait plus que cet objectif en tête. Nager .
Son genou racla soudainement contre une surface dure. Sans même y penser, Edmond se retourna et s'accrocha à l’objet qui se présentait. La pierre, froide et glissante sous ses doigts, ne bougea pas. Des bouts s’effritèrent, peut-être, mais trop peu pour stopper son avance frénétique comme il se hissait, désespéré, à cette bouée inespérée de l'océan.  
Une fois arrivé en haut, il s’écroula, la respiration sifflante. Le rocher qu’il avait frappé était en réalité un îlot de quelques mètres de large, sur lequel poussait de rares broussailles. Un peu plus loin, Edmond pensait apercevoir la bordure d’une île, mais le rideau de pluie rendait le paysage difficile à distinguer. Il pouvait encore entendre les vagues rugir à ses oreilles. Elles battaient rageusement autour de son refuge, comme endiablé par la perte de leur proie. 
Edmond rassembla ses forces pour se traîner un peu plus loin de leur portée, juste par précaution. Il atteint une des broussailles, et trouva son pied confortable. L’amas de branche protégeait quelque peu du fouet de la tempête, et le lit de feuilles mortes était aussi confortable que la paille du cachot qu’Edmond venait de quitter. Ses plumes, qui s'étaient gonflées sous l'effet du froid maintenant qu'elles n'étaient plus immergées, feraient une parfaite; si légèrement humide; couverture.
Exténué, tremblotant, il se roula en boule et s’endormit.
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claudehenrion · 3 days ago
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L'homme propose... ou croit le faire
''L'homme propose, et Dieu dispose...''. Cette jolie phrase qui remet soigneusement chaque chose à sa place (et il paraît même que c'est dans ce cadre-là que les vaches seraient le mieux gardées...) est devenue une sorte de proverbe passe-partout. Elle reste d'une actualité brûlante, alors qu'elle date de 600 ans (''Homo proponit, sed Deus disponit'', tirée de L'Imitation de Jésus-Christ (XV ème siècle), bouquin dont très peu de gens savent qu'il est, de nos jours encore, le livre le plus imprimé de tous les temps, après la Bible. Je vais la prendre pour exemple de la distorsion de facto qui existe entre nos désirs et les réalités... qu'est ma situation personnelle à ce jour.
Ceux d'entre vous, chers Amis-lecteurs, qui avez eu la patience de lire jusqu'à la fin l'Addendum chronologique à mon avant-dernier éditorial (Le Trou) n'ont pas pu ne pas être admiratifs devant la précision des détails fournis, relatifs à tout ce qui devait se passer dans les 2 mois qui suivaient, en commençant par une petite visite sur mes terres jurassiennes suivie d'un assez long séjour sous les ciels glorieux de l'île Maurice. En permanence, il jaillissait de mes poches une foultitude de ''QR Codes'' aussi inquiétants que perturbants : on voyait que j'avais tout prévu !
Tu parles ! A peine arrivé dans le Jura, une infection pulmonaire --fille de l'embolie pulmonaire que j'avais si mal soignée au mois de mai dernier-- m'a transformé en chape de plomb. Impossible de faire quoi que ce soit. Abandonnant ma voiture dans mon garage, je suis rentré à Paris en train, dare-dare... avant une hospitalisation de plus d'une semaine à Ambroise Paré --Urgences, pour commencer, et Pneumologie, ensuite.
Adieu lagons verts, cocotiers frémissants, cocktails parfumés et eaux translucides presque tièdes, où la vie foisonnante est si jolie à contempler à travers le masque de plongée... Adieu couchers de soleil sanglants ou petits matins rouges et or... Adieu, projets colorés et sables doux sous les pieds... Adieu, même, la célèbre ''vague'' Manawa, qui étend son rêve pour surfeur sur plus de 7 km : Esculape et Hippocrate semblaient s'être ligués contre moi pour m'assurer un futur proche exclusivement rempli d' IRM et de ponctions pulmonaires --le genre de distractions dont on se prive sans trop de regrets... même si, tout bien mesuré, la vue de ''ma'' Chambre d'hôpital, plongeant du 5 ème étage sur le Bois de Boulogne, avec la Tour Eiffel comme fond de décor, est vraiment belle... ou pourrait l'être, n'était la grisaille uniforme et déprimante qui sert de ''toit'' à la Ville lumière, totalement éteinte par le sectarisme primaire d'une édile délitée...
Tout ce lyrisme, un peu triste tout de même, pour vous dire que tous les items contenus dans mon édito de fin octobre sont nuls et non avenus. Je vais tout faire pour me remettre sur pieds le plus vite possible et reprendre le petit train-train de notre rythme habituel (depuis novembre 2013, on a eu le temps de s'y acclimater, vous en récepteurs et moi en émetteur !), mais ma faiblesse extrême du moment ne me permet aucune promesse qui puisse être sérieusement tenue. Je vais tenter un retour sur vos écrans, mais je vais reprendre la phrase que j'utilisais hier pour vous parler de Trump : ''Que sera, sera..." !
H-Cl
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lisaalmeida · 2 years ago
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« Je t'attends », selon moi, est l'une des plus belles formes d'amour. C'est une sorte de promesse.
C'est comme dire : « Vas-y, je suis là quand même, je t'attends, je ne bouge pas. " C'est plus difficile que de dire "je t'aime" parce que tout le monde aime à sa façon.
Mais attendre, sérieusement attendre, regarder le temps passer est une chose rare.
Au bout d'un certain temps, beaucoup s'ennuient et partent, mais attendre, attendre quelqu'un qu'on aime, attendre vraiment, c'est quelque chose qui dépasse
Je ne dis pas "je t'attends" aux gens qui comptent peu pour moi, bref je dis "je t'attend" à qui je veux m'amener à côté, à la personne que je pense être la bonne correspondance pour moi.
Et quand une personne te dit "je t'attends", ne prends pas ces mots au sérieux, car tout le monde ne sait pas attendre mais tout le monde devrait dire "je t'aime".
Auteur inconnu
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jeanchrisosme · 2 months ago
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Le chagrin d'amour est une douleur silencieuse qui envahit l'âme, un vide immense qui semble aspirer chaque parcelle de lumière. Il y a des souvenirs qui s'accrochent, des sourires qui hantent, et des promesses échangées sous des étoiles aujourd'hui éteintes. C'est comme si le monde avait perdu ses couleurs, comme si chaque battement de cœur portait le poids de l'absence. Pour toi, cette femme qui a tant compté, il reste des fragments de moments partagés, des échos de rires et de regards complices. Tu étais un refuge, une étoile dans l'obscurité, et maintenant, il ne reste que l'ombre de cette complicité passée. L'amour que tu lui portais était sincère, profond, un amour qui défiait le temps et l'espace, et pourtant, malgré cette intensité, il s'est effrité. La douleur est là, tenace, brûlante. Chaque matin, tu espères que le poids sur ta poitrine s'allègera, que l'image de son visage s'effacera, mais elle persiste, gravée dans ta mémoire, dans ton cœur. Le monde continue de tourner, indifférent à ta peine, tandis que toi, tu restes figé dans cet instant où tout a basculé. Mais au-delà de ce chagrin, au-delà de cette douleur insoutenable, il y a l'espoir. L'espoir que, peut-être, un jour, les cicatrices se transformeront en force, que les souvenirs deviendront des leçons, et que ton cœur, bien qu'abîmé, saura à nouveau s'ouvrir à l'amour. Car l'amour, même lorsqu'il blesse, reste la plus belle des épreuves.
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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La cuvée 2024 d’iPhone a été dévoilée par Apple, et le moins que l’on puisse dire c’est que ce n’est pas une révolution. Deux nouveaux boutons, de belles promesses côté IA… et c’est à peu près tout
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Au lendemain de la présentation de l’iPhone 16, Huawei dévoile son nouveau smartphone : le Huawei Mate XT, premier téléphone pliable en trois au monde. 📅 Date de sortie le 20 septembre 2024.
💰 Prix : 2500€.
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laurierthefox · 11 months ago
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J'espère que vous avez toustes passé de bonnes fêtes de fin d'année, ou à défaut, pas trop épuisantes. Les miennes ont été sereines et joyeuses avec ma famille choisie, même si je suis complétement épuisé maintenant
Je profite de cette note pour faire un petit point annuel sur mon travail ! BILAN 2023
Cette année à été très riche en terme de rencontre, marchés, dédicaces, interventions, commandes ! Un atelier BD et une conférence dans une université à Amiens, le début de mes streams sur Twitch, des interventions auprès de lycéen'nes à Nantes, des dédicaces en Belgique, des marchés de créateurices à Nantes et au Havre, un salon du livre queer à Metz, Quai des Bulles à St Malo...etc
Cela fait 11 ans que je suis à mon compte et 2023 à été la première année ou j'ai pu enfin me dégager un vrai salaire ! Et c'est aussi en grande partie grâce à mes mécènes sur Patreon qui me soutienne depuis un an déjà. Ce soutien me permet de mieux choisir mes commandes ou interventions, de refuser du travail gratuit sous prétexte de visibilité et de pouvoir -parfois- prendre mes week end pour me reposer.
Dans les points moins joyeux, le stress et la fatigue m'ont amené à une crise violente de ma maladie de Crohn pendant les mois de Mars-Avril-Mai 2023 et j'ai dû changer de traitement, l'ancien ne faisant plus effet. Le nouveau est plus efficace mais à aussi plus d'effets secondaires du fait que c'est un immuno-modulateur. Il défonce mes défenses immunitaires, ce qui fait que le moindre rhume risque de me clouer au lit pour 15 jours.
Je vous parle de tout ça, non pour faire pleurer dans les chaumières mais juste pour vous tenir au courant.
RECONNAITRANS
Mon but en ouvrant une page Patreon, en plus de pouvoir payer mes factures pendant les mois ou je n'avais pas de commandes/BD/marchés..etc, était de pouvoir finir les derniers témoignages de ReconnaiTrans qui patientent dans ma boite mail depuis des mois et mettre un point final à ce projet (en tout cas pour l'instant). Mais comme cette année à été, de façon très positive, assez intense en terme de travail (mais aussi des soucis de santé) je n'ai pas réussi à atteindre cet objectif.
Je ne vais pas abandonner pour autant, ce projet est très important pour moi et surtout je ne veux pas laisser tomber les témoignant'es qui patientent pour que je fasse leur récits. Je vais donc essayer cette année de mieux maitriser mon emplois du temps pour pouvoir mener cela à bien et poster au moins tous les 2 mois un nouveau témoignage.
NOUVEAUX PROJETS ET RÉSOLUTION
Cette année j'aimerais beaucoup réussir à faire quelques unes des notes de blog / webcomics qui remplissent mes tiroirs. Niveau sujet il y à pèle-mêle : tranche de vie, sujets féministes, sujets LGBTIA+, sujets peronnels/autobio, fiction medfan (médieval fantastique).
Mon agente est toujours en train de démarcher plusieurs de mes projets BD et jeunesse mais pour l'instant cela n'a pas l'air d'intéresser les éditeurs. Je me dis que si ça continue je vais peut être devoir publier uniquement en ligne gratuitement, quitte à faire un Ulule si cela plait.
On viens enfin de nous installer la fibre, donc je vais pouvoir refaire des lives twitch de temps en temps. Mon objectif est surtout de streamer des dessins ou illus que j'aurais en cours, mais pour cela il faut que je me dégotte un meilleur micro que celui de mon casque et que je teste mon set up actuel. Donc si tout va bien (et selon mes finances pour le micro) peut être que je pourrais streamer correctement vers Mars/Avril.
CONCLUSION
Je sais qu'il ne faut pas que je me fixe des objectifs trop haut, qui du point de vue de ma santé et de ma vie quotidienne (gestion de la maison, ménage, animaux, administratifs, rendez vous médicaux, gestion de mon shop, dédicaces, commandes, relations amicales et amoureuses...) serait juste impossible à réaliser. Mais je vais faire du mieux que je peux ^^
Je vous souhaite une belle année 2024, pleine de promesses, douceur, bienveillance mais aussi de manifs, militantisme et d'humanité.
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cruelviolence · 4 months ago
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L’amour me fait peur mais je suis vivante. Je veux que tu saches que si je ne te dis pas « Je t’aime » ce n’est pas parce que je t’aime pas pour moi il est difficile de m’ouvrir à quelqu’un. On m’a déjà abandonné une première fois et pour moi c’est la preuve que je ne suis pas fait pour quelqu’un. Je ne sais pas si je suis faites pour quelqu’un car dès qu’on me dit « Tu es belle ! » je ne sais pas si sincère ou si c’est pour me faire plaisir. Je fais attention à qui je fais rentrer dans ma vie maintenant. Je faisais rentrer n’importe qui et j’étais toujours entourée par des mauvaises personnes. Je dépendais des gens toujours. La dépendance affective a atteint ses limites et je ne veux plus retomber. Je me suis attachée trop vite à des personnes facilement sans que je me rende compte qu’ils voulaient juste se foutre de moi. Je prends maintenant du temps pour m’attacher à quelqu’un je ne suis plus comme avant. Te dire Je t’aime sera le moment où je commencerai à te connaître comme si ça faisait longtemps que je te connaissais. Que toutes les promesses étaient prises en compte et que tu me rassures que tu seras toujours là pour me rassurer. Même si il y a une distance entre toi et moi je pourrais toujours vivre notre relation en kilomètres. Ce ne n’est pas des kilomètres qui vont m’empêcher d’avancer avec toi. Je veux vraiment te rendre heureux et que tu ressens ma présence. J’ai décidé de quitter Bordeaux pour aller vers d’autres horizons dans un monde inconnu où j’ai besoin de me reconstruire et de me retrouver pour recommencer à zéro. Pour pouvoir me donner l’envie à m’aimer de nouveau je devais quitter ma mère et mes amis en France pour me reconquérir. Je suis fière d’être une de tes connaissances mais n’attends pas que je te dis « Je t’aime » en premier. Laisse-moi d’abord écrire le premier chapitre de ma vie à Toronto pour me réapprendre à m’aimer !
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thormanick · 2 years ago
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some thoughts on Hydro Archon
now that we have the first fontaine teaser and that the song évidemment (the song from France on eurovision this year) is stuck in my head on repeat
I come back to thinking about Focalors and what they're like. I have so many thoughts; I can't wait to see her.
Because she is the Hydro Archon, I think we might kinda-sorta predict her behaviour based on other Hydro wielders (can be both genuinely soft and stern when needed, might be a bit of a menace for the sake of fun).
I want her to be a reflection of a phrase "still waters run deep". On a surface, she might seem as a great&mighty archon. People love her, she is respected by her court, she knows the value of her own power and how to put it to use, she lives a life anyone could dream of [with the Archon loving the court drama this might as well be true]. On the other hand, I want her to... kinda hate it all. Quite possibly because she is overflowing with power compared to everyone else, because she has a responsibility of upholding Justice not only in the eyes of the people, but in the eyes of the Heavens. She probably has to fill quite big shoes after the loss of the previous Archon (bonus points if she knew the previous Archon personally and saw them as her mentor figure), but she kinda fails to do it (the Oceanids leave).
Is she scared of anymore failures? Is she afraid of judgement being bestowed upon her, even though she seems to be willing to accept it? ("[The laws and the Tribunal] can judge even me.") Is she scared of not being enough for her people, for the Heavens? Whose approval as a god would she want to receive more? Does she see any true value in the concept of Justice? How does she uphold it?
She is so interesting to me, I can't wait to see her~
P.S. AND ALSO YES why I bring up évidemment:
"Évidemment Toutes ces belles promesses que j'entends C'n'est que du vent Évidemment Car après l'beau temps vient la pluie C'est c'qu'on oublie C'est toujours trop beau pour être vrai Mais c'n'est jamais trop laid pour être faux
//
Evidently All these beautiful promises I'm hearing It's nothing but wind Evidently 'Cause after the sun comes the rain That's what we forget It's always too good to be true But it's never too bad to be false"
To me this is a very. Very Focalors speaking to the traveler (about the Heavens) vibe hehe
P.P.S. Also i think the recent artifact set was metaphorically about... the Hydro Archon and the First Hydro Archon??? I don't remember it clearly now but that's the source of my "Current Hydro Archon might miss the Previous Hydro Archon" vibes (I also might have completely misread the source lol)
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atthedas · 4 months ago
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Mise à jour n°32
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Crédits : Ariala by IB.Gomes ; Gino zhang yuan, ArtStation ; The Order 1866, Ready at Dawn and Santa Monica Studios.
Les lanternes s'envolent comme autant d'étoiles dans le ciel de la cité : Satinalia a été belle et Starkhaven souffle de soulagement. Car aujourd'hui, belles sont les nouvelles.
On les observe depuis le bascloître où elles ont été libérées pour amuser de leurs milles couleurs. Elles sont aimées, ces petites boules de papier fabriquées avec humilité et amour. Humains et Elfes ont dansé et chanté les uns avec les autres, ont ri et ont aimé de concert : une vie simple dont ils oublient d'ordinaire la douceur des fruits, et qui se rappelle à eux avec tendresse ce soir.
On les observe depuis le palais où elles clignotent comme les plus amusants lucioles, fragiles et pourtant insaisissables : elles sont appréciées, ces lueurs lointaines, qui font oublier à tous ces esprits d'intrigants ces mystérieux papiers cachés dans les manches et les aumônières. Il ne s'est rien passé de spectaculaire, ce soir, et pourtant personne n'a oublié que les ombres planifient… et jouent avec toutes.
On les observe depuis ce thaig nain où elles scintillent comme une surprise inattendue, alors que l'on s'extraie des profondeurs du monde : l'âme lourde de ces étouffantes ténèbres et de ce qui a été laissé dans les Tréfonds. Un cri résonne contre les tympans, un cri qui a provoqué la fuite et permis de sauver de nombreuses vies : cette exploration s'était pourtant déroulé tranquillement… jusqu'à ce qu'ils soient deux à ne plus rapparaître.
Les lanternes s'éteignent comme autant de promesses dans le ciel de la cité : Satinalia s'est terminée, et Starkhaven retient son souffle. Car demain, terribles seront les nouvelles.
Statistiques
Ainsi tomba Thédas compte actuellement 50 comptes pour 47 personnages validés ! Les Factions sont globalement toutes équilibrées, sauf la Garde des Ombres et les Aristocrates qui ont un désavantage.
Animation en cours : L'évènement s'est terminé ! Vous trouverez les résumés de ce qu'il s'est passé ici.
Prédéfinie mise à l'honneur
Nom : Mathalin Tanassavir. Âge : 27 ans. Genre : Féminin. Peuple : Elfe. Nation d'origine : Dalatiens (Clan Tanassavir). Occupation : Garde des Ombres. Religion ou croyances : Panthéon elfique. État civil : Mariée.
Cette année-là, l'hiver était particulièrement rude, et vous ne connaissez peut-être pas ma poisse ? Je chassais, pour mon clan et pour moi-même, dans les forêts enneigées, mais ce cerf m'a éloignée et me suis retrouvée coincée dans une tempête de neige. J'étais affamée, et j'ai eu un peu de chance pour une fois en trouvant une grotte pour m'abriter. Ou peut-être pas. Je suis tombée sur un lièvre agonisant, et je l'ai mangé. J'ai très vite ressenti les effets de la souillure dans mes entrailles, la douleur et la faiblesse. J'ai eu alors la chance de croiser un groupe de gardes qui m'ont fait passer l'union avant qu'il ne soit trop tard pour moi. Chance ? Non, car il n'y avait là aucun hasard, et j'ai dû payer pour mon service, insister pour revoir les miens qui, sûrement, m'ont crue morte. Si j'ai rejoint la garde des ombres, c'était uniquement pour survivre et non par conviction, bien que mon altruisme me pousse à faire de mon mieux. Je ne le fais pas toujours avec envie - et maintenant que je peux retrouver ma famille, je ne sais quelle Mathalin ils vont voir. Voir plus...
Scénario mis à l'honneur
Nom : Gregory Harimann. Âge : 58 ans. Genre : Masculin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Marches Libres (Starkhaven). Occupation : Lieutenant de la Garde de Starkhaven. Religion ou croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Célibataire, veuf ou divorcé..
Il est des hommes que jamais rien n'ébranle, des statues de marbre blanc vierges d’aspérité. Je suis de la race opposée : boue et sang sous ma carapace d’or. Trébucher, dit-on, fait partie de la vie, et la mienne cumule déjà plusieurs décades. Combien d’erreurs alors ? Beaucoup : certaines que je regrette, d’autres dont je me félicite ; et d’autres encore qui me tiennent éveillé la nuit. L’âge, toutefois, a apporté la sagesse qui me faisait autrefois défaut, et la garde les responsabilités que j’ai longtemps cherché à fuir. Alors que vienne l’Enclin, que sortent de leurs tanières les ennemis de ma cité : je suis prêt. Voir plus...
Organisation mise à l'honneur
Ancienne organisation criminelle, le Carta est essentiellement localisé à Orzammar où il emploie les parias dans leurs diverses activités illégales : assassinat, vol, esclavage, extorsion d’agent ou d’informations… Mais Orzammar est très loin du Nord du continent, les anciens Tréfonds étant condamnés par les horreurs du temps, et les différents conflits qui secouèrent les nations septentrionales développèrent leurs besoins conséquents en ressources. Le Carta en profita depuis deux cents ans pour s’implanter à la Surface, en Tévinter, Antiva et les Marches Libres : et Starkhaven n’y échappa pas. Au contraire même puisque sa position stratégique sur la Minantre et sa neutralité affichée en firent une plateforme privilégiée d’échanges depuis cent ans. C’était sans compter sur les autorités de la Cité-État qui, poussées à bout de cette contrebande, déclenchèrent la Guerre des Rats et purgèrent les rues de la ville de toute organisation illicite : elles les poussèrent hors des murailles, les forçant à s’installer dans les villes et villages alentours, voire à quitter le territoire de Starkhaven. Le Carta eut une longueur d’avance, leur chef ayant été prévenu par un contact que la conseillère Dunaid allait s’en prendre violemment à eux, et réussit à prendre possession d’un ancien thaig nain perdu. Tandis que les autres organisations se faisaient pour la plupart purger, il récupéra les morceaux perdus et leur offrit un refuge - contre compensation pécuniaire ou en nature, bien évidemment.
Le Carta est actuellement l’organisation illégale la plus influente du territoire de Starkhaven, bien qu’elle ait perdu, comme les autres, ses possessions et influences dans la cité-même. Son dernier coup d'éclat est la prise du quartier de Clattercraft : si l'action a bien été commune à plusieurs organisations hors-la-loi et quelques indépendants, c'est bien le Carta au travers de Brasir lui-même qui a su coordonner l'action. Maintenant, il ne reste plus qu'à s'installer durablement dans le quartier pour réussir à y récupérer richesses et influences, faire en espérant qu'ils réussiront à le faire avant les autres organisations hors-la-loi - pour ainsi maintenir leur positions ascendante. Ils n'ont cependant pas perdu la main sur le thaig Kavish qui reste encore aujourd'hui leur principal refuge, et qu'ils ne souhaitent pas abandonner, surtout qu'elle représente une manne pour la Garde des Ombres... Voir plus...
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