#Ecoutez c’est fun
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Chap 1 ✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 3
La main d’Edmond serra le manche de son couteau. Le sac mortuaire puant qui le recouvrait battait au rythme des pas des hommes qui le transportait, le ballottant inconfortablement. Il faisait froid. D’après le calendrier que l’abbé avait insisté pour tenir, on était le 27 février. L’air marin passait à travers le sac comme une porte grande ouverte, et Edmond peinait à ne pas grelotter. Des frissons le secouaient malgré tout de temps à autre, à peine suffisamment discrets pour ne pas être repéré par ses transporteurs.
Il se força à détendre ses muscles, faisant sa meilleure impression de mort flasque que l’on emmenait au cimetière. C’était loin d’être chose facile. Il avait mal rentré une de ses ailes, et elle reposait douloureusement tordue, coincée sous son bras pour ne pas que les geôliers la remarque. Des fourmillements avaient parcouru le membre un peu plus tôt, mais ces derniers s’étaient tus, laissant place à une étrange sensation d’engourdissement.
Le sac s’immobilisa. Edmond se gaina, étonné que les geôliers aient déjà atteint le cimetière. Le château d’if était à peine assez grand pour être appelé une île. Peut être attendaient ils une barque pour les mener au dernier lieu de repos des prisonniers ?
Un flash lumineux perça à travers le sac. Peu de temps après, un grondement sourd retentit. Edmond pouvait entendre l’agitation des vagues non loin, annonçant une tempête imminente.
“L’orage ne va pas tarder à tomber,” un des geôliers commenta.
“Cela fera une belle noce pour l’abbé,” le second ricana.
Il y eut plusieurs bruits de froissement, puis Edmond sentit quelque chose se resserrer autour de ses chevilles. Il raffermit pour la énième fois sa prise sur son couteau de fortune.
“Tu l’as bien accroché?”
“Oui, aucun risque qu’il flotte comme le dernier.”
Flotter ? Les pensées d’Edmond furent distraites par un mouvement du sac. On le prit par la tête et les pieds et on balança le sac de droite à gauche.
“À la une, à la deux,” les geôlier chantèrent.
“À la tr—”
Le craquement du fil trop tendu qui cède retentit.
Les coutures du pauvre sac, recousues à la hâte par les mains fébriles d’Edmond, se déchirèrent d’un coup. Les geôliers, surpris, lâchèrent le sac qui tomba lourdement sur le sol. Edmond hoqueta, la respiration coupée par le choc. La chute avait libéré ses pieds. Il cligna des yeux, aveuglé par la soudaine lueur du jour attisant ses pupilles, même atténué par les sombres nuages qui couvraient le ciel.
“Mais- mais ce n’est pas l’Abbé Faria!” l’un des hommes s’écria.
Edmond surgit du sac comme un diable, couteau à la main. Le plan jouait en boucle dans son esprit.
Attaquer le geôlier le plus proche.
Courir.
S’envoler.
Ses ailes s’arquèrent d’un air menaçant, plumes battant dans le vent qui hurlait. Avant qu’il ne réalise vraiment ce qu’il faisait, Edmond plongea son poignard dans la poitrine de l’homme qui avait crié. La lame s’enfonça avec un bruit répugnant dans la chair.
Choqué, il lâcha l’arme et recula d’un pas. Sa promesse a l’abbé de n’attaquer les sentinelles qu’en dernier recours tournait sans fin dans sa tête.
Déjà, le second geôlier sonnait l’alarme à grands cris. Tout en hurlant, le géolier porta sa main à la baïonnette sanglée dans son dos et s’avança vers son compagnon blessé et le prisonnier.
Edmond sonda ses portes de sortie. Ils se trouvaient sur un des chemins de ronde du château d’If, juste au bord de la falaise. Le geôlier bloquait la voie d’accès à la cour, et aucune barque n’était en vue. Il jeta un regard derrière lui. S’il prenait le tournant du chemin de ronde, il aurait peut-être assez d’élan pour décoller.
Sans perdre une seconde de plus, Edmond détala à toute jambe. Ses ailes suivirent par instinct, se déployant de toute leur envergure d’une façon dont elles avaient été incapable entre les étroits murs du cachot. Le vent se pris dans les plumes tout comme il gonfle une voile. Edmond, surpris, failli tomber à la renverse et ne redressa sa course qu’en repliant ses ailes.
Derrière lui, le geôlier lui aboyait des ordres.
“Au nom de la loi, arrêtez-vous !”
Edmond s'arrêta. Il fit quelques pas en arrière pour regagner un peu de distance, vérifia que les gardes étaient encore assez loin, et reprit sa course. Cette fois, il ne garda ses ailes qu'à moitié entrouverte, comme on baisse le grand mât pour prendre un vent trop fort.
“Avec la tempête, vous ne vous en sortirez jamais !”
Ignorant les cris du geôlier qui se rapprochait, Edmond prit le tournant qui le menait à une belle ligne droite, puis soit à une chute vertigineusement létale, soit à un envol libérateur. Chaque pas n’était plus qu’un battement de cœur qui s’accélère, un muscle qui se prépare. Chaque pas était un espoir qui s'ajoutait au dernier.
“C’est du suicide !”
Le bout du chemin vint en vue. Les vagues rugissaient sur des rochers pointus en contrebas. De temps en temps, un éclair venait aveugler la vue encore sensible d’Edmond, illuminant les crocs du relief l’espace d’un instant comme une vision d’horreur. L’idée de sauter du rempart, un instant plus tôt parfaitement réaliste, semblait désormais effectivement un suicide.
Mais rester menait à une mort certaine, et si elle n’était pas physique, alors elle serait mentale.
Le pied d’Edmond atteint le bout du rempart. Fermant fort les yeux comme un enfant qui prie une étoile filante d'apparaître, il ouvrit grand ses ailes et s’élança.
Après quelques battements d’ailes, il ouvrit les yeux.
Edmond volait.
Le vent, qui avait semblé si furieux au sol, le portait sans effort vers l’immensité du ciel. Dès qu’une bourrasque le menaçait, ses membres ajustaient son équilibre par un étrange instinct qu’Edmond n’avait jamais remarqué jusqu’alors. Il pouvait sentir chaque tendons crispé par l’effort, chaque plumes tendues pour maintenir son cap, le tout formant une machine magique lui permettant de naviguer les airs.
Edmond leva les doigts pour sentir l’air courir contre lui. L’atmosphère lourde et cinglante de l’orage qui n'attendait qu’un signe pour éclater faisait fleurir de la chair de poule sur sa peau. Il s’en délecta. Le go��t salé de la liberté flottant sur sa langue l’enivrait.
Edmond ne vit pas la baïonnette du garde pointé sur la cible facile qu’il formait, balancé par les courants aériens. Il n’entendit pas le cliquetis de la gâchette que l’on actionne. Il entendit la détonation, mais c’était déja trop tard.
Le coup parti.
Au début, Edmond n’entendit que le bruit du fusil. Se pensant hors d'affaires, il se força à lutter contre le vent à large coup de battements d’ailes avant qu’un second fusiller ne visa mieux. Des plumes blanches tachées d’écarlates tourbillonnèrent dans le vent. Puis, une explosion de douleur retenti comme un fouet brulant le long de ses cotes et de son aile droite. Quand il porta la main à son torse, elle revint trempée de sang. La vue vacillante, incapable de lutter contre la tempête avec son aile touchée se repliant à la première bourrasque, Edmond chuta.
L’eau était glaciale.
Il accusa le choc d’un coup de brasse vigoureux. Sa blessure le lançait, mais pas autant qu’il ne l’avait craint. Edmond devait sa chute à la surprise et à son manque de pratique quant à l'utilisation de ses ailes, plus qu'à la traînée sanglante laissée par la baïonnette. Le sel attisait sa brûlure d’une manière qui était familière à tout marin, mais la douleur restait tolérable. Dans la mer enragée, à des kilomètres de la côte, les conséquences d’un coup de feu étaient le cadet de ses soucis.
Les ailes qui le portaient jusqu’alors le condamnaient désormais. Leurs mouvements brusques et agités conflictaient avec la brasse qu’il avait appris auprès des autres marins. Gorgées d’eau, elles le traînaient lourdement vers le fond. Edmond se débattit de toutes ses forces pour retrouver la surface. Se souvenant des leçons prodiguées quatorze ans plus tôt, il vida son esprit et fit de son mieux pour ralentir son cœur. Plus calme, il réussit à replier ses ailes sur son dos, plaquée de telle sorte qu’elles ne le génèrent plus lors de la nage.
Edmond était toutefois loin d’être sorti d’affaire pour autant. Les longues secondes qu’il avait pris pour retrouver ses esprits l'avaient emmené vers les bas-fonds. La mer, noire et profonde, le pressait de toute part de telle sorte qu’il avait perdu le ciel de vue. Ses poumons le brûlaient, réclament un air absent qu’Edmond ne pouvait pas leur procurer.
Un éclair lumineux attira son attention. Désespéré, Edmond donna de vigoureux coup de pieds dans sa direction. Son cœur battait à tout rompre, renforçant la douleur montante de sa poitrine. Quelques instants plus tard, il perça les flots, victorieux, et aspira goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Comme pour le moquer, l’orage grondant choisit ce moment pour déverser sur lui tout son malheur. Un flot de gouttes se précipita sur lui, martelant son visage et tout ce qui avait le malheur de dépasser de l’eau. Pis, le vent avait impossiblement forci, et des vagues effrénées menaçaient de noyer sa bouche grande ouverte, manquant de l’étrangler. Peu importe la façon dont Edmond battait des paupières, ses yeux, pourtant habitués à la pénombre des cachots, ne pouvaient distinguer qu’eau et noirceur.
Edmond nagea.
Il nagea à l’aveugle, luttant contre le courant de peur que les flots déchaînés ne le précipitent contre une falaise. Ses dents claquaient sous le froid glacial de février. L’effilade que la balle avait laissé le long de son torse et de son aile droite s’enflammait douloureusement à chaque mouvement. De temps à autre, une vague plus imposantes que les autres le renversait, et Edmond devait redoubler d'effort pour retrouver la surface.
Il nagea.
Ses forces s’amenuisaient. Les frissons qui le secouaient jusqu’alors s’étaient tuent. La piqûre du sel était omniprésente dans sa bouche, dans sa gorge, dans ses poumons. Ses pensées avaient laissé son passé, la prison, ses gardes et le corps de l’abbé loin derrière, et se réduisaient désormais à un fin fil d’espoir désespéré, érodé par la houle qui le frappait interminablement. Il ne voyait que la prochaine vague, et les coups qu’il faudrait donner pour la franchir.
Il nagea encore.
Une autre vague le renversa. L’eau salée s’infiltra dans ses poumons, pressée d’investiguer ce nouvel orifice. Edmond se crispa et attendit, guettant un des flashs aveuglants de la foudre qui déverse sa fureur sur le monde pour retrouver son chemin. Ce n’est qu’une fois la surface retrouvée que, toussant, il réalisa la position vainement déployée de ses ailes. Comme ce qui lui semblait être une éternité plus tôt, le réflexe, loin de l’aider à flotter, lui compliquait la tâche. Il dépensa un peu de l’énergie raréfiante qui lui restait pour lutter contre le courant et replier les excroissances gorgées d’eau.
Il nagea, encore et toujours.
C’était tout ce qui comptait désormais. Perdu dans l’immensité de l’océan, luttant pour chaque gorgée d’air atteignant ses poumons, Edmond n’avait plus que cet objectif en tête. Nager .
Son genou racla soudainement contre une surface dure. Sans même y penser, Edmond se retourna et s'accrocha à l’objet qui se présentait. La pierre, froide et glissante sous ses doigts, ne bougea pas. Des bouts s’effritèrent, peut-être, mais trop peu pour stopper son avance frénétique comme il se hissait, désespéré, à cette bouée inespérée de l'océan.
Une fois arrivé en haut, il s’écroula, la respiration sifflante. Le rocher qu’il avait frappé était en réalité un îlot de quelques mètres de large, sur lequel poussait de rares broussailles. Un peu plus loin, Edmond pensait apercevoir la bordure d’une île, mais le rideau de pluie rendait le paysage difficile à distinguer. Il pouvait encore entendre les vagues rugir à ses oreilles. Elles battaient rageusement autour de son refuge, comme endiablé par la perte de leur proie.
Edmond rassembla ses forces pour se traîner un peu plus loin de leur portée, juste par précaution. Il atteint une des broussailles, et trouva son pied confortable. L’amas de branche protégeait quelque peu du fouet de la tempête, et le lit de feuilles mortes était aussi confortable que la paille du cachot qu’Edmond venait de quitter. Ses plumes, qui s'étaient gonflées sous l'effet du froid maintenant qu'elles n'étaient plus immergées, feraient une parfaite; si légèrement humide; couverture.
Exténué, tremblotant, il se roula en boule et s’endormit.
#Wouuuah j’avais oublier de mettre le chap 2 ici#Oops#Le voici ~#Oui je passe mon temps a balancer Edmond dans l’eau#Ecoutez c’est fun#french side of tumblr#frenchblr#upthebaguette#français#french#whatthefrance#fragments of imagination#ao3#fanfic snippet#fanfiction#fanfic#tcomc#the count of monte cristo#le comte de monte cristo#alexandre dumas#edmond dantes#edmond dantès
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2020 Reading List
Because in the end it was a great year for reading! Just a list of the books I read this year, with comments that (maybe) get progessively more boozy as I go on
1. The Historian - Elizabeth Kostova: A really irritating read to start out this year (feels prescient?). Only worth it for the travel log features of places like Istanbul, Amsterdam, and most of Eastern Europe. Even Dracula was completely boring and useless.
2. Howard’s End - E.M. Forster: Love, love, I will forever whore myself out for bright women acting mildly rebellious in Edwardian England, love
3. Les liaisons dangereuses - Choderlos de Laclos : Pas un seul personnage aimable, c’est magnifique, 10/10
4. The Brothers Karamazov - Feodor Dostoevsky: Did I read this as a flex in early confinement mode? Absolutely. Did I enjoy it? Christ no. If I have to read one more Christ allegory I’m climbing up on that cross myself. 4/5.
5. Chéri - Colette : C’était mignon et trop sucré, comme de la pâte aux amandes. Moins de 100 pages, du coup à avaler dans une gorgée.
6. Pride and Prejudice (for maybe the 8th time?) - Jane Austen: Substitute “Regency” for “Edwardian” in the comment for Howard’s End and I’ll literally start vibrating. I want to be buried with this book, preferably with 90s Colin Firth, too
7. The Sorrows of Young Werther - Goethe: I go through more sorrows in seven hours of existing than Werther did in his whole life. Pass.
8. The Epic of Gilgamesh: Ok, fine, I skimmed. You ever try reading a religious text out of respect and interest, not being very religious yourself, only half the text is missing and it’s been written so long ago that most of it is gibberish until you stumble upon a few lines that reach across millennia and sucker punch you? Similar experience. Hard to find a good translation.
9. Mémoires d’Hadrien - Marguerite Yourcenar : Il m’a fallu une putain de pandémie, mais j’ai en fin (en fin!!!!!!!) fini ce bouquin et qu’est-ce que c’est beau. Yourcenar était un génie, ce livre est son chef-d’oeuvre, je suis tellement content que je n’ai plus à le lire. 100/10.
10. Dune - Frank Herbert: Ok, don’t come at me because it will only frustrate all of us (much like this book did me), but SNOOZE. A+ world building, but God, at what cost? Timothée Chalamet could respectfully get it, though.
11. Going After Cacciato - Tim O’Brien: This was good? Like in the territory between okay and good? Just like a fine little book, albeit stuck in the middle of the Vietnam War.
12. The Good Earth - Pearl S. Buck: Is a white American woman from the 30s necessarily the best person to write about rural China? Probably not, even if she was raised in rural China. Honestly, though? Still pretty good.
13. Tender is the Night - F. Scott Fitzgerald: Do you ever get so desperately bored of pretty, rich 1920s people having pretty, rich 1920s people problems, like being tragically unfaithful or having too much money and not enough problems? No? You might by the end of this book -- but it’ll sound pretty while you’re reading. More engaging than Gatsby, in any case.
14. Jamaica Inn - Daphne du Maurier: Reading a du Maurier novel is always trippy because the tone is like “I’m a plucky heroine and I’ll give them a piece of my mind!” and then the stakes are literally “I’ll bash your head in and strangle you on the moors and you can’t stop me.” Reading this book is like swigging moonshine in a soft, lace- and chintz-covered tea room. Gotta love it.
15. L’éducation sentimentale - Gustave Flaubert : C’est bizarre, car mon beau-frère s’appèle Arnoux aussi, mais c’est une belle histoire qui perd un peu de son élan vers la moitié du roman. Je préfère Madame Bovary quand-même.
16. Wishful Thinking - Carrie Fisher: Who doesn’t love Carrie Fisher?
17. Shogun - James Clavell: Is a white Australian man from the 80s necessarily the best person to write about feudal Japan? Probably not (he was not raised in feudal Japan). But it’s well researched and very good. This unfortunate theme in authors did not continue this year, luckily.
18. Chanson douce - Leïla Slimani : J’adore, j’adore, j’adore. Louise m’a donné des frissons tellement elle faisait peur. Impossible de ne pas se mettre à la place de Miriam; à lire, 100%.
19. A Short History of Tractors in Ukrainian - Marina Lewycka: A cute, light read that I stumbled upon in a bookshop (support local businesses, kids! Jeff Bezos will harvest your dreams like one of those shitty vampires from Charmed where they couldn’t afford good special effects!) Some of the writing felt a little more caricatural than anything else, but I liked the main character. Sometimes things can just be fun.
20. L’ombre du vent - Carlos Ruiz Zafón : !!!!!!!!! Le livre de l’année, l’étoile de l’été, un gout de miel qui a laissé des traces sur mon âme. Que d’amour pour ce livre (et ce n’est pas que le champagne qui parle!)
21. L’étincelle - Tahar Ben Jelloun : Etant l’époux d’un Tunisien, je suis plutôt obligé de tout connaître sur le printemps arabe, et j’ai bien aimé ce livre. Par contre, d’après ce fameux époux tunisien (bisous baby!) ce n’est pas forcément la meilleure ressource pour en parler.
22. Barbe bleue - Amélie Nothomb : J’aime bien Amélie Nothomb, mais c’est clairement pas son meilleur. Ça donne envie de boire du champagne, par contre.
23. Les contes de Perrault - Charles Perrault : Ecoutez, je me faisais chier en août, et c’est quand-même pas mal. Merci à Barbe-bleue d’avoir inspiré tous les cauchemars de mon enfance.
24. La princesse Palatine - Christian Bouyer : BOF. Elle aurait été plus intéressante si elle avait eu des vrais problèmes. Profite bien de tes châteaux, betch.
25. Things Fall Apart - Chinua Achebe: For some reason I started this one years ago and didn’t get past the first few pages, but it was totally compelling this time around? It truly is a wonderful (and tragic) story, completely worth a read.
26. Rules of Civility - Amos Towles: Katy is the type of person I wish I was, I would look so good in 30s clothes, I just wish I hated NYC a little less (it’s not your fault, NYC [I mean it is but I at least feel bad about it])
27. A Room of One’s Own - Viriginia Woolf: Quintessential! Still a transcript of a lecture though. Prosecco is amazing!
28. Le horla - Guy de Maupassant : Soyons honnêtes c’est plutôt une nouvelle.
29. Alcools - Guillaume Apollinaire : J’aime pas la poésie, même quand elle est belle. Meh.
30. Consider the Lobster - David Foster Wallace: I’m so tired of this man being the standard for everything. I mean I know I ended up reading this but what the hell. He was just bored. He read a few edgy novels and he was bored. Come on. That being said, this was an enjoyable read.
31. Doctor Zhivago - Boris Pasternak: Ok, to be fair this was a PAIN in the beginning, but by the end I had tears?? In my eyes. That very rarely happens. Love it.
32. Censoring an Iranian Love Story - Shahriar Mandanipour: It would have been better if he was so convinced of what a great writer he was?? What was the point of the weird dead little goblin?? Must we read from countless men every day of our lives?? Must we????
33. Jonathan Strange & Mr Norrel - Susanna Clarke: So my Fenian grandmother loved this book, which is why I feel I have no right to go too hard on it, but at the same time if English exceptionalism had a literary form it would be this book (but like that insidious kind of English exceptionalism where it’s all tongue-in-cheek, so if you call them out on it they just mock you for being a rube. I see you, English exceptionalists. You’re only special because you’re on an island)
34. Go Tell It on the Mountain - James Baldwin: Christ I loved this book. Anyone who reads or writes hopes one day to be as lucid as James Baldwin.
35. The Maltese Falcon - Dashiell Hammett: I was left largely unmoved.
36. Alexis - Marguerite Yourcenar : Pendant six mois j’ai cherché ce bouquin, et une fois trouvé il m’a déçu. Alexis est gay, voilà le grand choc.
37. Kafka sur le rivage - Haruki Murakami : Je ne suis toujours pas sûr d’avoir bien compris ce livre ; il faudrait peut-être le relire encore une fois. Mais ça vaut le coup d’être relu encore une fois.
38. Le mec de la tombe d’à côté - Katarina Mazetti : Super cute comme roman!! Inattendu, mais ça a super bien démontré le conflit de cultures même à l’intérieur d’un pays.
39. Brave New World - Aldous Huxley: I should have totally read this in high school, but didn’t. I’d waste your time with a bunch of faux-deep statements about how prescient this was, but I’m about a bottle of prosecco deep and no one really wants that, right?
40. Ninth House - Leigh Bardugo: I am basic for reading this and I am so glad I did; very good stuff, I’m all in, I’m sure UChicago had the same type of shit, love it!!
41. The Alchemist - Paulo Coelho: I read light on Christmas break, ok?
42. Watership Down - Richard Adams: I’m not big on anthropomorphic, animal-based stories, but this really went off? These are some hard-ass rabbits, respect.
43. Sharp Objects - Gillian Flynn: Intense!! Great!! Sharp!!!!!!!!!!
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Another inspiring, smart, fun and uplifting show 🙋🏽♀️ . 👉🏽 @masterminderent: Dans le Lunch Show de février sur MM Radio, @angelapeauty (style @uniqlo_fr U) discute avec @tatianahaen - experte en communication stratégique, coach média et en image professionnelle qui sort son premier ouvrage "Le Power Dressing", "L’idée du Power Dressing, c’est de se doter des outils nécessaires pour savoir s’habiller selon les circonstances professionnelles et pour booster sa carrière..." & Monique Pierson - conférencière, animatrice d’atelier sur le management et auteure qui sort son nouvel ouvrage, "Manager, Faites de Votre Équipe Une Dream Team !", "Le manager a besoin des RH en appui parce que c’est là qu’est la compétence technique mais il n’empêche que c’est bien lui qui, au quotidien, va travailler avec son équipe..." DÉGUSTATION 😋: le coffret découverte @mielmartine et les 🥜 Butter de Treets NEWS : @facebook ajoute l’option Unsend dans Messenger pour annuler des messages après envoi, @mediatransports & @ratp teste le dispositif Micro Don dans le métro 🚇, découvrez le kit 4K Android de Strong pour ceux qui préfèrent les contenus à la 📺, Uniqlo lance la collection printemps-été 2019 de sa ligne Uniqlo U désignée par Christophe Lemaire - essayage sur le plateau 💁♀️, iPad Pro / Apple Pencil / Smart Keyboard Folio... - Angela fait tester aux invités les dernières nouveautés @apple... BOUTS DE LECTURE : Tatiana conseille "Brèves Réponses aux Grandes Questions" de Stephen Hawkins, Monique conseille "L’Homme Qui Marchait le Long de L’Autoroute" de Patrick Edernac et Angela conseille "Encyclopédie Pour Tout Conserver" par Julie Schwob - 📸 Shot with an📱XS Max @apple . Ecoutez l'émission via le lien dans la bio + Apple Podcasts/iTunes, TuneIn, Stitcher et Acast ! . #LunchShow #MasterMINDER #MMRadio #WeTellStories . . #radio #podcast #talk #news #photooftheday #instagood #lifestyle #bestoftheday #business #entrepreneur #startup #pencil #ipadpro #technology #book #instabook #foodie #food #instafood #reading #tech #manager #style #fashion #look #dreamteam https://www.instagram.com/p/Btq3Gk2hAwk/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=3upv5x1wsiac
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Sundara Karma - Youth Is Only Ever Fun In Retrospect
Le 6 janvier dernier, Sundara Karma ont sorti leur premier album, Youth Is Only Ever Fun In Retrospect. Trois mois et demi plus tard, après avoir beaucoup écouté l’album et suivi leur tournée anglaise, nous vous livrons nos sentiments à l’égard de cette première sortie.
Youth Is Only Ever Fun In Retrospect est la première réelle œuvre complète de Sundara Karma. Nous avions entendu Oscar Pollock (guitare, voix), Ally Baty (guitare), Dominic Cordell (basse) et Haydn Evans (batterie) dans des chansons très indie dans leurs premiers EPs, habilement nommés EPI et EPII. Leur premier album présente différents genres de musique mais, globalement, un son plus pop que ce à quoi nous aurions pu nous attendre. C’est, en ce qui nous concerne, l’une des nombreuses qualités de l’album.
Le single She Said, sorti au mois d’août, est la preuve la plus évidente de ce tournant. C’est la chanson la plus pop et la plus dansante de l’album. Le refrain est entraînant (vous risquez de le garder en tête un petit bout de temps) et nous vous défions de l’écouter sans avoir envie de twister. En somme, c’est une excellente chanson de pop et un pari réussi.
Comme She Said, beaucoup des chansons de l’album ont été révélées au public bien avant la sortie de l’album. Certaines chansons ont été reprises des EPs précédents (Loveblood et The Night du premier, Vivienne du second), d’autres ont été des singles dans l’année précédant la sortie de YIOEFIR (Flame, A Young Understanding, She Said, Happy Family) et d’autres sont jouées par le groupe depuis des années en concert (Olympia). Après une petite enquête, il apparaîtrait même que Lose The Feeling ait déjà été publiée il y a quelques années sous un autre nom. Finalement, très peu de nouvelles chansons sont présentes sur l’album ce qui est toujours un peu frustrant au moment de sa parution. Néanmoins, YIOEFIR reste logique dans son ensemble. Les transitions d’une chanson à l’autre sont travaillées et elles semblent avoir été faites pour toutes être présentées ensemble.
L’atout principal de Sundara Karma se trouve dans leurs paroles. Happy Family et Deep Relief, notamment, méritent toute votre attention. La première, chanson la plus longue de l’album, est aussi la plus émouvante. La seconde, dont est issu le nom de l’album, est une constatation plutôt juste de ce que représente la jeunesse pour une personne d’une vingtaine d’années. C’est d’ailleurs là tout l’enjeu de l’album. Youth Is Only Ever Fun In Retrospect porte bien son nom. Ecrit durant l’adolescence du groupe, il permet de jeter un œil à cette période de leur vie qui n’est risible, selon eux, qu’à posteriori.
Lors de l’écriture de l’album, Oscar Pollock s’est inspiré de sujets plutôt particuliers. Flame et Lose The Feeling sont inspirés de l’allégorie de la caverne, de Platon. Olympia est tirée du célèbre tableau d’Edouard Manet (conservé au musée d’Orsay à Paris pour les plus curieux d’entre vous). En outre, plusieurs chansons contiennent des questions d’ordre théologique. Dans Olympia, le chanteur questionne « Is heaven such a fine thing ? », un thème déjà présent dans le single Cold Heaven (2014). Ce genre de thèmes est plutôt rare à lire de la plume d’un jeune homme de vingt ans et apporte sans aucun doute une grande singularité aux écrits de Sundara Karma.
Lors des concerts du groupe, Vivienne est l’une des plus attendues des fans. Oscar Pollock pose sa guitare et vient se jeter dans une foule enchantée. Si Run Away et Prisons To Purify étaient nos chansons favorites du second EP, il faut admettre que Vivienne leur survit plutôt bien. Deep Relief, Happy Family, Olympia et Watching From Great Heights sont, à notre avis, les autres moments à ne pas rater du concert (mais peut être manquons nous d’objectivité à l’égard de ces titres). Le spectacle se termine invariablement par Loveblood, sa fin rythmée et sa dernière phrase « One last kiss and away she goes / Obsessed with loveblood and no one knows » qui clôt tellement bien le concert qu’on en viendrait à se demander si elle ne devrait pas figurer à la fin de l’album aussi.
Pour finir, nous vous conseillons l’écoute de Sundara Karma ne serait-ce que pour écouter la voix d’Oscar Pollock qui, très particulière, vaut réellement le détour. L’univers du groupe ne pourrait être le même sans ce timbre qui donne toute sa dimension à chacune des chansons. Notons aussi les harmonies d’Ally Baty (notamment dans les versions live de Happy Family) et Dominic Cordell qui donnent leurs substances aux concerts de Sundara Karma.
Nos chansons préférées de l’album sont Deep Relief (pour ses paroles tenant du génie), Watching From Great Heights (pour sa partie instrumentale entraînante) et Olympia (car c’est la chanson désignée par le groupe comme étant celle qui définit le mieux le style de Sundara Karma et nous ne pourrions être plus d’accord). Ecoutez aussi Happy Family et son récent et émouvant clip.
Nous devrions vous reparler de Sundara Karma dans les mois à venir puisqu’ils seront la tête d’affiche du Dot To Dot Festival auquel nous serons présentes.
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#texte: clémentine tricaud#crédit photo: amber pollack + sundara karma#sundara karma#album#youth is only ever fun in retrospect#uk
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30 Days Music Challenge
J’ai vu ça sur Twitter, et je me suis dis que ce serait fun de le faire. Par flemme de le faire sur Twitter aussi, j’ai pensé qu’ici, ce serait pas plus mal. Du coup, chaque jour, si j’y pense, je viendrais rajouter ici un lien vers une chanson. 1. A Song with a colour in the title Je ne sais pas trop pourquoi, mais la première chanson qui me vient à l’esprit, c’est Blue Monday de New Order. Peut être parce que c’est un morceau super cool. J’ai aussi pensé à Dressed in Black de Depeche Mode, mais il parait que le noir n’est pas vraiment une couleur. MEH. https://www.youtube.com/watch?v=FYH8DsU2WCk 2. A song with a number in the title Il y avait un million de possibilités pour celui ci. Et au moins trois chansons de ce groupe là qui convenait. J’aurais d’ailleurs pu attendre et poster cette chanson demain parce que ça pue l’été à plein nez. Bref, c’est Noah and the Whale, et c’est Five Years Time. https://youtu.be/T8YCSJpF4g4 3. A song that reminds you of summertime Cette chanson me rappelle ces étés il y a déjà quelques années quand je me deplacais en longboard, et que tout était simple. Et il faisait beau. Et l’été quoi. C’est The Dodos avec The Season. https://youtu.be/T1ew5ERixS4 4. A song that reminds you of someone you'd rather forget Je n’ai pas vraiment d’idée pour celui ci. Je n’ai plus vraiment de personnes que je préfererais oublier. Je pense que j’ai tourné la page de pleins d’histoires de ce type, et je n’ai envie d’oublier personne. J’ai trouvé comment me souvenir des bons moments et me concentrer sur ça. Du coup, après avoir cherché super longtemps, je me suis dit qu’il n’y avait qu’une personne à qui penser me rendait encore un peu triste parfois. Alors je vous laisse juste avec Nine Inch Nails et March of the Pigs https://youtu.be/PL72Tyxe1rc 5. A song that needs to be played loud Ha ha ha ha ha ha ha ha ha. BON JOVI TIME ! https://youtu.be/lDK9QqIzhwk 6. A song that makes you dance Bon. La dessus. J’ai envie de dire... Ne me jugez pas. Mais y a un truc qui me donne envie de bouger peu importe ce que je fais au moment où cette chanson demarre. J’y peux rien. C’est physique. TURNED DOWN FOR WHAT ?! https://youtu.be/HMUDVMiITOU 7. A song to drive to Si tu trouves une chanson mieux que Believer de John Maus pour conduire, genre sur une petite route nationale, vitres baissées, soleil couchant, tu m’appelles. Parce qu’il faudra que je te dise que tu as tort, et que ce n’est pas possible. https://youtu.be/PMku-GbafEg 8. A song about drugs or alcohol Je pensais a un morceau pour celui ci, mais je ne sais pas pourquoi, je suis INCAPABLE de me souvenir du titre et de l’artiste. C’était un morceau avec une ligne de basse super cool à jouer en plus. Ça craint. Du coup, bhin je ressors du bon basique, du Velvet Underground. ‘Cause it makes me feel like I’m a man, when I put a spike into my veiiins.. https://youtu.be/6xcwt9mSbYE 9. A song that makes you happy Oui alors, une chanson qui me rend heureuse... Bhin en fait, là, c’est plus pour le coup une histoire de groupe qui me rend heureuse. Ça a été ma découverte pansement de mes premiers mois à Edimbourg, et ces imbéciles me rendront toujours heureuse. Eitooooo ! http://www.downvids.net/-pv-kanjani8-monjai-beat-292498.html 10. A song that makes you sad Zéro hésitation. Ce morceau me tord le coeur comme aucune autre. J’ai peut être un peu encore cette image de Thom Yorke les larmes aux yeux dans la tête datant de la première fois où je l’ai entendue. Mais cette chanson est belle, et la voix de Thom Yorke...pfffiou.. Y a pas de mots. https://youtu.be/JQkMiZeWoTY 11. A song that you never get tired of Parce que c’est Sigur Ros, que ça défonce, et que c’est juste sublime. https://youtu.be/wlPtmws131o 12. A song from your preteens years Preteens years. Il y a vachement de choix. Genre vraiment BEAUCOUP de choix. Ila deja fallu faire un dur choix entre francais ou anglais. Laisser Pleymo derrière a été dur. Mais fallait mettre une belle représentation de mes 13 ans. Donc pour ça, on ressort Taking Back Sunday.. Oui oui. https://youtu.be/CQE7gu4D1R4 13. One of your favorite 70's songs Simple, fort et efficace. On est en 77, c’est le punk, le garage, ou j’sais pas trop, mais c’est bien. On sait pas chanter, mais on y met tout son putain de cœur, et on balance ses tripes dans un micro. Johnny Thunders est très fort pour ça. La sincérité brute. C’est son truc. Et c’est ce qui fait que je lui laisse la place pour aujourd’hui. Le morceau c’est Born To Lose, allégorie de ma vie. https://youtu.be/wQoDCEKZyQw 14. A song you'd play at your wedding Je ne prevois pas de me marier. Jamais. Mais si je devais faire une petite fête pour celebrer l’amour que je porte à une personne, je suis quasiment sure que je mettrais ce morcau. Parce que je sais pas, c’est joli, elegant, doux, et aérien. C’est Fred Astaire, et c’est Cheek to Cheek. https://youtu.be/dG3oqTVNhzU 15. A song that is a cover by another artist Une reprise de Kanye West version acoustique toute douce, ça vous tente ? Parce que c’est ce que William Fitzsimmons propose avec Heartless. Meilleure reprise de cette chanson. On est bien loin de la daube de Christine & the Queens. https://youtu.be/ZCQHd9PJzK4 16. One of your favorite classical Songs C’est pas franchement facile comme choix a faire, y a beaucoup de choses exceptionnelles, et je ne pense pas m’y connaitre assez en classique. Mais je crois que je vais tout de même choisir cette petite claque prise dans la tronche le jour de sa découverte. C’est un classique dans le classique. C’est le Piano Concert No.2 de Rachmaninoff. Ou Rachmaninov. Je sais jamais. https://youtu.be/pBx-tr1FDvY 17. A song you'd duet at karaoke Je ne sais pas pourquoi, mais je suis à peu près sûre que ce morceau, à deux, au karaoké, ça peut être de l’or en barre. The Human League, Don’t You Want Me https://youtu.be/uPudE8nDog0 18. A song from the year you were born J’en ai de la chance, j’ai un putain d’album de Pearl Jam qui est sorti en 1991, l’année où je suis née. Du coup, le choix est assez easy, et BOUM, Release. Parce que bon, en plus, j’attends toujours une loi autorisant à se marier à une voix. https://youtu.be/iPUwtyZglQI 19. A song that makes you think about life Là, c’est beaucoup plus compliqué. Je sais pas trop si j’ai des chansons qui me font à proprement parler penser à la vie. J’ai eu le nom de Scroobius Pip qui m’est venu en tête, mais alors à partir de là, il fallait choisir un seul morceau. J’ai pensé à Waiting for the Beat to Kick In, aui est vraiment interessante, mais pas assez. J’ai pensé à Get Better, qui envoie un message vraiment chouette. Mais je crois que definitivement, ce morceau là, il me parle plus que les autres. C’est Broken Promise. Ecoutez bien les paroles. https://youtu.be/GVhrC9CjF5o 20. A song that has many meanings to you #LesCopains https://youtu.be/tH2w6Oxx0kQ 21. A favorite song with a person's name in the title Je bats tout le monde, j’ai pas un nom, mais DEUX. Ouais ouais ouais. Quoi comment ça c’est pas une compétition ? Brand New, Me Vs Maradona Vs Elvis https://youtu.be/LllchE03xRk 22. A song that moves you forward J’suis pas sure d’avoir bien compris ce que je devais poster, mais je crois que c’est le moment ou je poste ma power song de la mort qui me redonne l’envie de me battre quand j’en ai plus la force, non ? Bhin WATCH.ME.RISE. https://youtu.be/nUiInhwNq6o 23. A song that you think everybody should listen to héhéhéhhéhéhéhhéhéhéhhéhéhhé https://youtu.be/dQw4w9WgXcQ 24. A song by a band you wish were still together Petit coeur brisé lorsque The Elektrocution s’est séparé. Alors je les choisis eux. J’aurais pu mettre The Smiths, mais c’était franchement trop facile. https://youtu.be/qI0V1St2PXk 25. A song by an artist no longer living Qui d’autre ? https://youtu.be/CMThz7eQ6K0 26. A sont that makes you want to fall in love J’ai déjà posté du Scroobius dans ce Challenge, je sais, mais quoi de plus beau que la simplicité de ce morceau pour avoir envie de tomber amoureux ? https://youtu.be/-swq2om3R7s 27. A song that breaks your heart Je sais pas trop quelle chansons me brisent le coeur. Ou plutot quelles chansons ne me brisent pas le coeur. N’en choisir qu’une est ridicule. Mais après quelques decisions difficiles, j’ai choisi Touche Amore et son Condolences. Deja posté ici mais arrache coeur à souhait. https://youtu.be/GkluDX30q1Y
28. A sont by an artist with a voice you love 29.A song you remember from your childhood 30. A song that reminds you of yourself
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