#tous au tapis
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@someonewarms
goddddddd i feel so fucking stupid all the time i feel like that meme of the ogre reading joyce
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire b��at, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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youtube
J’ai parfois l’impression que le quotidien m’écrase et que simplement survivre à ces journées difficiles est une sorte de super pouvoir.
Pourtant, le mot héros n’évoque plus que ces surhommes en collants et en cape, qui doivent sauver la Terre trois fois (par semaine) pour mériter leur titre.
Mais moi, je pense que le courage, cette chose inhérente aux héros, n’est pas du tout ce qu’on voit dans les films, je crois que c’est cette chose tapie au fond de nous tous, qui nous aide à avancer quand plus rien ne va, et à y croire quand même, quand tout autour de nous nous indique qu’il ne nous reste plus qu’à abandonner.
C’est de tout ça dont j’ai essayé de vous parler dans cette vidéo, et j'espère qu'elle vous plaira ! (N’hésitez pas à commenter et partager ♡)
𓆝 𓆟 𓆞 𓆝 𓆟
#courage#héros#vidéo#youtube#partage#paysage#campagne#voyage#ciel#vie quotidienne#french#nature#court métrage#Youtube
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
2/7
Pour renforcer l'impression d'avoir débarqué dans un véritable vaudeville, laissez moi vous conter une anecdote. Elle date de notre séjour en Egypte, mais j'attendais de voir sa conclusion avant de vous en parler.
Vous savez peut-être qu'avec l'engouement que suscite l'égyptologie et le nombre de touriste toujours grandissant qui s'y rend, nombreux sont les égyptiens à tenter de profiter de cette manne financière, et de bon droit. Alors que errions dans un souk très fréquenté à Louxor, Constantin est tombé par hasard sur un artisan tailleur de pierre qui réalisait des facsimilés de qualité assez médiocre. Ce dernier réalisait alors ce qui semblait être un sarcophage en calcaire, assez simple pour passer pour authentique. Constantin s'est arrêté devant et a observé l'artisan de façon très insistante pendant plusieurs minutes. Quand les yeux de Constantin se perdent ainsi dans le vague, mieux vaut le laisser et attendre. Je suis donc allée acheter un foulard dans une échoppe voisine. A mon retour, mon mari, très fier, m'a annoncé qu'il avait acheté le sarcophage et qu'il comptait l'offrir à Madame Eugénie pour qu'on puisse l'y enterrer l'heure venue.
Transcription :
Constantin « Ah Grand-Mère ! Je vous attendais depuis une bonne heure. »
Eugénie « A mon âge, il convient de se reposer fréquemment pour garder une bonne santé mon petit ! Mais qu’est-ce… ? »
Eugénie « Dis moi, mon garçon… Quelle est cette chose qui encombre mon tapis ? »
Constantin « Je vous avais dit qu’une partie de mes bagages étaient restées un moment à la douane de Marseille. Cela n’a pas été facile avec tous ces escaliers, mais on me l’a enfin apporté ! C’est splendide n’est-ce pas ? »
Eugénie « Hum… c’est très brut, dirons nous. Mais quand tu parlais de bagages, j’imaginais plutôt quelques malles, pas… qu’est-ce d’ailleurs ? »
Constantin « Et bien, votre cadeau enfin ! »
Eugénie « Mon cadeau ? »
Constantin « Oui, vous m’aviez fait promettre de vous ramener quelque chose cette fois. Comme je ne suis pas ingrat, je m’y suis attelé. Je me suis vraiment creusé la tête pour trouver quelque chose qui pourrait vous plaire, et cela n’a pas été facile. Et finalement, je suis tombé sur cette beauté, et je me suis dit que c’était la chance qui l’avait mis sur ma route ! »
Eugénie « Fort bien. Et qu’en a dit Albertine ? »
Constantin « J’ai du insister car elle n’a pas du tout apprécié que je le fasse ramener à l’hôtel. Elle a dit que c’était un cadeau morbide à la limite de l’insulte. Mais je ne suis pas d’accord. Nous nous sommes mêmes disputés à ce sujet, vous rendez vous compte ? »
Eugénie « Morbide tu dis… »
Constantin « Cela n’a rien de morbide. Qui ne rêverait pas d’être enterré dans un sarcophage ? Je vous accorde que celui de Monsieur Mariette est plus travaillé, mais je me suis dit que celui-ci aurait l’air plus authentique. Il faudra simplement penser à prévenir les fossoyeurs au préalable. »
Eugénie « Tu m’as offert un… sarcophage ? »
Constantin « Et bien oui. C’est Adelphe qui me rappelait justement qu’un jour vous ne seriez plus parmi nous et qu’il me fallait m’y préparer. Je l’ai bien écouté, car vous m’avez toujours dit de bien écouter Adelphe, et il est hors de question que l’on inhume ma grand-mère dans un bête cercueil en acajou. Non, vous méritez les honneurs des anciennes reines d’Egypte ! »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Constantin Le Bris#Eugénie Bernard#Adelphe Barbois
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Terre-2, l'île de Neferis
Dans les profondeurs d’une rame de métro abandonnée est tapi un portail secrètement gardé.
C’est à la surface que Neferis prend place dans un contexte où l'équilibre fragile entre la magie et la technologie est constamment menacé. Au coeur de cette île étouffée par les lois moldu·e·s, les stations de Cheminette clandestines se dissimulent dans l’ombre, offrant un lien solide avec la dimension d’Elysium : échappatoire pour beaucoup.
Ici, les sorcier·e·s ont appris à composer avec les machines moldu·e·s, déjouant les regards scrutateurs des caméras de surveillance, tissant des voiles d'illusion pour dissimuler leur magie et échapper à l'oeil méfiant des humain·e·s. Les rues pavées de Neferis résonnent du cliquetis des détecteurs de magie, portés par des patrouilles de police qui sillonnent les quartiers, traquant sans relâche les signes d'une magie non autorisée et les sorcier·e·s dissident·e·s.
L’interdiction de créer des lieux dissimulés par peur qu’une rébellion s’orchestre dans l’ombre a donné naissance à de nombreux établissements sorciers illégaux : les moyens d’y accéder sont tous plus créatifs les uns que les autres.
Les dispositifs enchantés et les énergies magiques s'entrelacent avec les machines et les innovations moldu·e·s, donnant naissance à la technomagie. Des automates ensorcelés s’animent sous le regard émerveillé ou répugné des passants, tandis que les bâtiments enchantés défient les lois de la physique, s’élevant vers les cieux dans une danse harmonieuse. Au-delà de la splendeur apparente, les merveilles cachent pourtant leurs secrets — laboratoires-usines où les sorcier·e·s sous le joug des moldue·s n’ont d’autres choix que de mettre à disposition leurs dons et capacités. Préjugés et discrimination sont légion bien que de manière inégale : certain·e·s travaillent pour des structures publiques et sont “respecté·e·s” mais surveillé·e·s — d’autres sont réduit·e·s à vendre leur magie pour espérer payer leur loyer, s’embourbant alors dans des contrats avec des individus dépourvus de respect. Tous·tes s’associent pour garder secrète l’existence d’êtres et de fléaux de crainte d’une réaction drastique de la part des moldu·e·s.
Les créatures magiques ne disposent pas de meilleures conditions, tolérées en fonction de leur taille et seulement aux côtés de leurs maitres·ses — ou si elles peuvent faire office de divertissement.
Il n’est guère surprenant que les moldu·e·s contaminé·e·s aient majoritairement été terrifié·e·s ou horrifié·e·s par l’apparition de leurs nouvelles aptitudes. La plupart y voient des anomalies, si bien qu’iels gardent scrupuleusement leur secret de peur d’être rejeté·e·s par leur entourage.
La tentation de fuir est grande, mais demeure un rêve illusoire pour la majorité. En effet, s'iels étaient trop nombreux·se·s à disparaître, les enquêtes seraient inévitables et mettraient en péril le secret et l'existence de la brèche, en plus de causer préjudice à celleux resté·e·s derrière. Par ailleurs, visiter un lieu est plus aisé que s'y installer avec le statut d'étranger et enfin, pour beaucoup, les liens relationnels, familiaux et l'attachement à leur Terre de naissance rendent pénible l'idée d'un départ définitif, d'un abandon.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif
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Aujourd’hui, vendredi 21/06/24, Journée internationale de la girafe 🦒 Journée internationale de la lenteur 🦥 Journée mondiale de l'hydrographie 💧 Journée mondiale de la moto 🏍️ Journée mondiale de la Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA) 🙏 et Journée mondiale du yoga 🧘
Incroyable, j’utilise plusieurs calendriers imprimés et ils m’ont tous indiqué que l’été était aujourd’hui alors qu’en fait, c’était hier❗️Cette année, l’été a débuté officiellement le 20 juin au lieu du 21 comme cela avait été le cas ces dernières années 😲
Je viens d’apprendre que jamais l’été n’avait commencé aussi tôt depuis… 1796 🌞 Donc vu que le début de la saison estivale varie entre le 19 et le 22 juin, est-ce que du coup la Fête de la musique s’est prise les pieds dans le tapis ou bien je soulève un lièvre❓
On va dire que l’évènement musical de la journée ne tient pas compte de la date des solstices et des ajustements liés au calendrier grégorien 😎 Et on va croiser les doigts pour que la météo soit clémente 🤞 En tout cas, dans la cité lacustre, la nuit a été très agitée 🌬️
Indice ATMO : le panache de poussières désertiques devrait quitter la région, poussé par un flux de sud-ouest. Une certaine instabilité atmosphérique devrait garantir le passage régulier d'averses parfois orageuses sur l'ensemble du territoire, favorisant ainsi une baisse des concentrations 💨
La qualité de l’air devrait être dégradée sur le quart sud-est, moyenne ailleurs. L’indice de risque pollinique reste élevé, au niveau 3 en ce qui concerne les graminées, et ce au moins jusqu’à aujourd’hui (on verra demain si il y a du changement) 🤧
Aucun dicton du jour aujourd’hui 😲 J’en ai bien trouvé deux mais pour le premier, ma ligne éditoriale ne me permet pas de le publier, quant au second, comment dire, il est chaud, beaucoup trop chaud, vraiment trop chaud alors je passe mon tour 😳
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🎷
Bonne fête aux Rodolphe 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le jeudi 20/06/24 📸
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C’EST L’ÉTÉ, METTEZ VOUS À LA BEACH CAR
Austin 850 Beach Car de 1961
Les anglais ont un talent: Savoir prendre au vol les idées qu’ils n’ont pas eu. Alec Issigonis, alors qu’il travail déjà sur l’absurde Mini Moke, est contacté par un réseau hôtelier qui souhaite disposer d’une auto de service pour ses clients. Il charge le styliste Dick Burzi de dessiner un véhicule léger entièrement ouvert sur une base de Mini. En 1961 est présentée l’Austin 850 Beach Car. Elle récupère la coque à coffre de la Wolseley Hornet et le nez de l’Austin Mini. Les portes sont coupées, la vitre arrière retirée mais le toit en tôle est conservé au profit de la rigidité. La société Lloyd Loom se charge de concevoir sellerie, tapis et autres accessoires entièrement en osier. Produits en deux ou trois volumes, tous ces véhicules recevrons le préfixe « SPL » sur leur plaque constructeur: Appellation réservée aux véhicules spéciaux. Au final, ce seront moins de 10 Mini Beach Car qui seront produites jusqu’en 1962.
Le modèle présenté est le prototype initial, et date de 1961…
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Alors Fallout est une série de 8 episodes diffusée sur Prime video et elle est une adaptation de la série de jeux vidéo du même nom.
Le 1er fallout est sortie en 1997 (et j'y ai joué, c'était trop bien, je suis vieille, au secours) et etait un jeux de role en monde ouvert dans un univers post apo.
La serie et les jeux partagent le même univers : une réalité alternative à la notre qui serait bloqué dans son imagerie et dans sa politique dans les années 50. La guerre froide ne s'est jamais terminée et le nucléaire est l'energie du quotidien.
En 2077 la guerre éclate entre les USA et la Chine avant qu'un tapis de bombes mette tout le monde d'accord.
Ceux a la surface vont se débrouiller pendant quelques centaines d'annees avec l'effondrement de la société et la radioactivité qui rend les bebettes très grosses et agressives.
Une partie de l'humanité a également survecue dans des bunkers souterrains qui sont prevus pour s'ouvrir dans quelques générations pour repeupler la terre.
La serie suis (surtout) Lucy, une habitante d'abri qui va devoir quitter son bunker pour explorer le monde et retrouver son pere qui a été capturé par des brigands.
La serie suivra également Maximus, un apprenti soldat d'une faction ultra militarisée "la confrerie de l'acier", ainsi que Cooper, un petit bonhomme de 200 ans, survivant de l'avant guerre tellement irradié par les bombes qu'il est a moitié immortel et plus qu'a moitié défiguré.
Le fait que le perso que l'on commence a suivre soit une habitante d'abri a un gros aventage d'un point de vue narratif : elle ne connaît pas le monde qu'elle explore et le decouvre avec nous, pas de dissonance entre le personnage et le spectateur.
La serie offre un bon développement des personages, chacun a droit a une véritable évolution, le parcours de chacun va le faire évoluer (cas particulier de Cooper qui ne va pas en soi évoluer, c'est nous qui allons comprendre comment il en est arrivé là).
La serie est bien filmé, la colorimétrie est sympa, j'ai bien apprécié que la serie ne fasse pas semblant d'avoir le budget qu'elle n'a pas. Alors il y a beaucoup beaucoup de budget hein, mais la serie n'abuse pas des effets spéciaux, et quand il y en a ils sont bons.
C'est gore (donc c'est bien) mais c'est sage.
Je m'explique, plus la serie de jeux fallout avance plus elle devient frilleuse (merci les réseaux sociaux qui font qu'on peut se prendre une manif d'évangélistes si tout le monde n'est pas ultra gentil). La philosophie du 1 était qu'on était tres libre dans ce mondz où la société n'existe plus. On peut etre canibale, esclavagiste, sacrifier des gens ou etre un super samaritain, mais dans tous les cas il faudra assumer les conséquences.
Dans la serie alors que le monde s'est effondré tout le monde semble globalement pas bien méchant, pas bien malveillant. On est loin d'un Mad max. La violence cherche a compenser mais une moralité un peu plus grise aurait été pas mal.
Sinon il y a un peu d'humour, qui marche tres bien, des références aux jeux de partout mais rien de soulants et surtout ce qui est tres sympa c'est qu'on sent que l'univers est très large. Il y a les communautés qui survivent, les brigands, différentes factions qui cherchent a recréer chacun un modele de société (la nouvelle république de Californie, la confrerie de l'acier, l'enclave, l'entreprise Vault tech a l'origine des abris qui n'a pas disparu, etc) et aucune n'est vraiment un "bon choix", chacune a sa vision du monde.
Bref c'est une bonne adaptation mais surtout c'est une bonne serie. Pas de romance à la con, pas de sexualisation des personages, un robot aspirateur central a l'intrigue (si si) etc.
Je recommande / 20.
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S'essayer au village
��Non, je le crois plutôt dans un coin de la plaine, au bord du ruisseau. Il est si petit qu'un rideau de peupliers le cache à tous les yeux. Ses chaumières disparaissent dans les oseraies de la rive. Un bout de prairie verte lui sert de tapis; une haie vive le clôt de toutes parts, comme un grand jardin. On passe à côté de lui sans le voir. Les voix des laveuses sonnent, semblables à des voix de fauvettes. Pas un filet de fumée. Il dort dans sa paix, au fond de son alcôve verte. Aucun de nous ne le connaît. La ville voisine sait à peine qu'il existe, et il est si humble que pas un géographe ne s'est soucié de lui.
(Émile Zola, Le Petit village, Nouveaux contes à Ninon, 1870)
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je redécouvre les photos que j'avais prises l'année dernière de la maison de cet ancêtre inconnu (un grand oncle ? je sais même plus) et de son mari dont on avait hérité et l'envie d'y retourner est très forte, j'aurais aimé les connaître ils avaient l'air d'être très curieux de tout et de s'amuser beaucoup (j'avais d'ailleurs ramené quelques livres d'art, parmi des livres sur absolument tous les sujets du monde, en plus de mon beau miroir) dans la grande pièce du fond était disposée une maquette de train immense, les placards étaient remplis de matériel d'art, de jeux de sociétés et d'instruments de musique (sans oublier les nombreux abat-jours entassés, ça j'ai pas compris) il y avait des petits mots accrochés aux murs, des vinyles qui trainent et des photos de marlene dietrich un peu partout, en plus de celles d'eux deux, des cartes postales de partout en france de leurs certainement nombreux amis, une collection d'agatha christie presque aussi grande que celle de mes grands-parents trônait dans l'escalier qui menaçait de s'effondrer, les nombreuses plantes et fleurs étaient toutes fanées mais rendaient la maison étrangement plus vivante, j'aurais aimé fouiller plus longtemps pour saisir le personnage, à défaut de pouvoir récupérer toute la demeure que je trouve si charmante même si elle tombe en lambeaux et qu'elle n'est pas au goût du jour (de toute façon le goût du jour c'est nul), et puis récupérer plus de ses souvenirs comme certains l'avaient certainement déjà fait avant nous vu l'état de la maison et le fouillis partout par terre, enfin voilà je rêve du grand miroir qui ne rentrait pas dans la voiture et du tapis vache du plus bon goût en attendant de savoir si on pourra y retourner un jour avant que les démarches ne soient finies et la maison close, et en espérant qu'on arrête d'essayer de nous arnaquer en nous demandant de payer des trucs qu'on ne devrait même pas payer
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En tant que fan fr du QSMP, je pense maintenant pouvoir totalement affirmer que le projet m'a trahi.
Ce sentiment n'est pas nouveau, mais pour moi il est arrivé à un point irréversible.
Au début, ça été un peu dur de l'admettre, mais là, force est de constater que les (trop) nombreuses négligences font que le projet ne me parle plus.
C'est dommage.
Est-ce que le projet a donc échoué ? Oui et non. Il a quand même permis de réellement rassembler des fans et communautés du monde entier, de faire connaitre des streamers du monde, de faire reconnaitre les streamers français à l'international, de créer des collab. improbables, etc. Mais le traitement inégal et injuste de tout, finalement, a trop perturbé l'expérience de visionnage. À mon humble avis.
Je ne vais pas m'amuser à tout citer, car les points sont assez souvent relevés (surtout côté fr, sans grandes surprises), mais je peux simplement mentionner l'aspect très arbitraire d'à peu près tout ce qui est évènementiel, ainsi que le manque de transparence concernant à peu près tout aussi.
En fait, à partir du moment où l'on se questionne sincèrement sur les raisons qui ont pu pousser Quackity a vouloir intégrer la France au QSMP, rétrospectivement au fait qu'on se soit constamment fait délaisser depuis le début, montre bien la faille du truc. Et même, la question se pose toujours : pourquoi avoir intégré la France au QSMP ? Est-ce que c'était pour faire du quotas "Europe" ? Est-ce que l'intention de départ était sincère ?
En vrai, peu importe, puisqu'apparemment, tous les problèmes soulevés par les Français (communauté, streamers, admins et "bénévoles") et pas que, semblent avoir été mis sous le tapis. Et les différents communiqués du syndicat impliqué dans l'affaire en cours vont dans ce sens.
Sur ce point, j'espère parler trop vite et même être de mauvaise langue, mais, à ce que je sache, la façon dont le serveur continue de faire comme si de rien n'était, en invitant très maladroitement des streamers coréens (probablement même pas au courant de tout ce qui se trame en coulisses) à un moment plutôt chaud et assez peu actif, peut en dire long sur l'état actuel du projet...
C'est vraiment regrettable.
En tout cas, je salue le boycott des streamers fr, la persévérance de l'admin fr et des "bénévoles" (qui j'espère, obtiendront gain de cause) et la communauté fr. On a assez été pris pour des cons xD Mention aussi aux inter qui soutiennent la cause juste et/ou qui ressentent aussi ce sentiment vis-à-vis de leur propre communauté.
Peut être que les choses changeront, peut être pas, mais ce qu'il faut retenir c'est que, comme tout "arc" sur Twitch, on finira à la fin par passer à autre chose. De plus, les streamers du QSMP continueront à proposer du contenu même après QSMP, donc sur ce point, inutile de faire des adieux définitif.
Personnellement, même si mon compte est assez récent et très discret, je suis quand même contente d'avoir pu un peu contribuer à ma façon dans le fandom. Autant avec des dessins que des fanfic ^^ (Oui oui, des fanfics. Mais comme je suis une chaussette mouillée en interactions sociales, je préférai poster en Anonyme mdr)
Pour le moment, je préfère prendre des distances avec le projet QSMP (sans forcément me priver de poster de temps en temps des choses).
Bref, c'était long mais nécessaire. Merci d'avoir lu !
#qsmp#qsmp talk#qsmp french#le projet me parlera à nouveau lorsque les changements attendus seront constatés avec des preuves#je sais bien qu'une affaire comme celle-ci prendra du temps a être réglée#et que des mesures efficaces ne peuvent pas être prises du jour au lendemain#mais en tant que fr le sentiment de trahison et de ras-le-bol est difficilement évitable#en espérant que les choses s'arrangeront pour pouvoir enfin faire la paix avec Quackity et le projet
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Fils du Feu Seconde Réminiscence
Le petit garçon attrapa la balle en cuir dorée qui roulait vers lui dans sa main potelée. Il l'examina sous tous les angles, la passant d'une main à l'autre avec intérêt, et la laissa échapper. Avec une plainte sonore, il se déplaça à quatre pattes de quelques centimètres sur le tapis précieux qui recouvrait le sol de la chambre d'enfant et parvint à la récupérer avant qu'elle ne soit hors de sa portée. Il la fit rouler un instant sur le sol, puis avec toute la force dont pouvait faire preuve un enfant d'un an, l'envoya en direction de son grand frère qui se trouvait à quelques mètres.
- "C'est bien, Joshua !"
Son petit frère ne savait pas viser juste et Clive dut s'allonger de tout son long par terre pour attraper le jouet, ce qui fit rire le bébé. Clive aimait particulièrement ces fins d'après-midi ensoleillées, quand les rayons du jour commençaient tout juste à baisser et teintaient de feu tout ce qu'ils touchaient. C'était le moment où on le laissait jouer avec son frère sans rien lui demander d'autre. Il ne ratait pas un seul progrès de Joshua. Tout à l'heure, ils iraient prendre une collation légère, et ensuite ce serait le dîner. Insoucieux de tout sauf de s'amuser avec son frère, il renvoya la balle, pas trop fort pour que le bébé puisse l'attraper. Ce qu'il fit avec brio en étendant à peine le bras.
Ils n'étaient pourtant pas seuls dans la pièce. Une gouvernante les surveillait de loin, occupée à astiquer les meubles, un sourire aux lèvres. Sourire qu'elle perdit en se rappelant qu'à quelques mètres d'elles, l'archiduchesse Anabella était occupée à un travail d'aiguille, assise dans un fauteuil de velours rouge. Elle ne regardait pas ses fils, et restait concentrée sur son ouvrage. La broderie était l'une des rares activités auxquelles une femme de son rang pouvait s'occuper sans s'attirer de moqueries.
Le motif représentait un phénix doré, les ailes déployées, sur fond rouge sang. Il était destiné à être cousu sur une courtepointe pour le jeune Joshua. L'enfant n'avait encore manifesté aucun pouvoir particulier, mais l'espérance d'Anabella ne faiblissait pas.
L'archiduchesse avait fait montre de la plus grande patience depuis qu'elle avait épousé son cousin Elwin. Il n'avait jamais été question d'amour entre eux. Le but de leur union avait toujours été, depuis le début, de redonner vie au Phénix. Depuis que le père d'Elwin, le précédent Emissaire, avait connu une mort précoce - ce qui semblait le lot de tous les élus du Phénix -, on avait guetté avec attention les signes du Primordial chez un de ses deux fils. Mais ni Elwin ni Byron n'en avait manifesté le moindre. Les Emissaires ne découvraient leurs pouvoirs que dans leur jeunesse, rarement après quinze ou seize ans. Passé cet âge, on devait se résigner à attendre la prochaine génération.
Elwin avait accepté d'assurer la régence jusqu'à ce que l'un de ses enfants se révèle le prochain Emissaire. Ce n'était pas la première fois que cela se produisait, mais les Rosaliens étaient attachés au Phénix et préféraient que leur archiduc soit aussi leur Emissaire. Cependant, le peuple adorait Elwin ; pour ses positions que l'on qualifiait de progressistes sans doute. Anabella était loin de partager toutes ses vues, notamment au sujet des Pourvoyeurs. Elle estimait que chacun devait demeurer à sa place dans le monde et pour éviter des querelles avec son mari, elle n'avait pris aucune Pourvoyeuse à son service personnel.
L'archiduchesse piqua de nouveau son aiguille et leva les yeux vers les deux enfants cette fois. La balle roulait entre eux, accompagnée des babillements de Joshua et des encouragements de Clive. Elle se demandait bien pourquoi son aîné trouvait ça si amusant... Elle n'avait eu aucun attrait pour ces jeux avec Clive, et n'en ressentait toujours aucun aujourd'hui. Pourtant, la naissance de Clive lui avait procuré une grande joie. Etant le fruit de l'union de deux Rosfield, il avait toutes les chances de devenir le futur Phénix. Sa fierté d'avoir accompli le devoir pour lequel elle pensait être née l'avait sans doute fait trop anticiper le résultat...
Six ans s'étaient écoulés et Clive restait un enfant des plus ordinaires. Ressemblant trait pour trait à son père cependant. Anabella détestait l'ordinaire. Elle voulait donner naissance à un dieu, pas à un petit garçon sans intérêt. Bien qu'elle ne désespérât pas que son aîné se révèle être le Phénix plus tard, Joshua lui semblait plus prometteur. Peut-être parce qu'il lui ressemblait davantage, à elle, avec ses cheveux d'or et ses yeux clairs. Elle avait lutté pour qu'Elwin pense à son devoir conjugal... Le Phénix, le Phénix, lui répétait-elle sans cesse. Il fallait que le Phénix revienne. Et surtout, qu'elle en soit la mère. Elle n'accepterait jamais que son mari la répudie si elle échouait. Même si Elwin passait davantage de temps auprès de ses soldats, dans les casernes ou les écuries, qu'auprès d'elle dans la chambre maritale... Elle ne doutait pas que si on avait le moindre doute sur son capacité à donner naissance au prochain Emissaire, on la forcerait à partir. Elle savait qu'un certain ordre occulte, lié au Phénix, attendait le retour de leur dieu et qu'il disposait d'un certain pouvoir politique, même si Elwin prétendait le contraire... Un de ses fils devait absolument devenir l'Emissaire de Phénix au plus vite ; Anabella était capable de patience mais seulement jusqu'à un certain point...
Elle était encore jeune et belle, si elle devait enchaîner les grossesses jusqu'à ce que cela arrive, elle le ferait. Quitte a rappeler à Elwin ses devoirs d'époux le plus souvent possible...
- "Oh ! Vous le taquinez beaucoup trop, messire Clive !" s'exclama la gouvernante, qui se rattrapa aussitôt en se rappelant que sa maîtresse l'écoutait.
Anabella lui lança un regard courroucé avant d'observer de nouveau les deux enfants. Son aîné jouait à lancer la balle en l'air et à la rattraper ; le petit Joshua scrutait, fasciné, le mouvement du jouet de haut en bas, mâchonnant son propre pouce. A un moment, Clive tendit la balle vers son frère, ponctuant son geste d'un amical "allez, viens, la chercher, Joshua !", sachant bien que son petit frère n'avait pas son pareil pour évoluer à quatre pattes. Il donnait souvent bien du tracas aux gouvernantes qui devaient aller le chercher sous les tables ou les lit dès qu'il lui prenait l'envie d'explorer une nouvelle pièce.
Anabella soupira d'ennui et retourna à son ouvrage minutieux. Une maille après l'autre, l'oiseau de feu prenait forme... Elle sourit pour elle-même. Bientôt, très bientôt...
Cependant, les deux Rosfield continuaient de s'amuser. Ayant fini de mâchonner son doigt, et comme hypnotisé par son frère qui lui tendait les bras pour l'inviter à le rejoindre, le petit Joshua fronça les sourcils et serra ses petits poings sur ses yeux. Il contracta ses bras, les lança en avant et se prépara à avancer grâce à son moyen de locomotion favori... Joshua se pencha en avant et son frère cru un instant qu'il allait faire une simple galipette, et voulu se précipiter pour le retenir, mais ce ne fut pas ce qui se passa.
Le petit tendit les jambes et resta dans cette position, la tête en bas pendant un moment, avant de pousser sur ses mains. Ce faisant, il parvint à se redresser sur ses jambes flageolantes, piétinant un moment sur place pour trouver son équilibre. Clive n'en croyait pas ses yeux.
- "Joshua, tu es... hey ! tu t'es mis debout, je rêve pas ?!"
Le petit garçon tourna sur lui-même, comme un peu perdu par cette nouvelle perspective sur le monde autour de lui, puis fit de nouveau face à son grand frère dont les yeux étaient tout à fait écarquillés de surprise. Clive, fou de joie, ouvrit les bras vers Joshua et se mit à l'encourager comme il le pouvait, mais sans faire un pas vers lui. Il resta assis sur le tapis à quelques mètres, attendant ce que son frère allait faire.
Il n'attendit pas plus longtemps. Retirant son pouce de sa bouche, décidé à affronter la situation dans laquelle il s'était mis, Joshua posa un pied devant l'autre. Ecartant les bras pour assurer son équilibre, il sembla comprendre la manoeuvre à effectuer.
- "Oh, par le Fondateur ! Ma Dame !..." cria de nouveau la gouvernante qui avait abandonné son chiffon.
Anabella leva encore les yeux et faillit lâcher son ouvrage de surprise. Elle vit son cadet, âgé d'à peine un an, debout sur ses courtes jambes tremblantes, avançant à petits pas vers son aîné, qui ne cachait pas sa joie. Son visage était radieux, ses paroles à fois douces et énergiques, et Joshua y répondait avec empressement. Trop peut-être. Il se prit les pieds dans un pli du tapis et tomba du haut de sa petite taille face contre le sol. Clive retint son réflexe premier de voler à son secours, car l'enfant ne s'était apparemment pas fait mal, le tapis étant bien assez épais pour amortir sa chute. Au lieu de cela, il redoubla de conseils de bravoure :
- "Allez, Joshua ! Il faut te relever ! Il faut toujours se relever quand on tombe ! Ca fait pas mal, tu es plus fort que ça ! Tu peux le faire !"
Le petit garçon, le visage tordu par la déception qu'avait causée sa chute, une petite larme au coin de l'oeil, regarda de nouveau son grand frère, et, bien décidé à l'atteindre, réitéra la même opération délicate que quelques minutes plus tôt. Il raidit ses jambes, prit appui sur ses mains, qu'il frotta un peu comme si elles étaient sales une fois debout, mais ne tourna pas sur lui-même ; cette fois, il se dirigea droit vers Clive sans y réfléchir. Il levait bien ses petits pieds pour ne pas tomber une nouvelle fois. Clive était aux anges ; son frère avait parcouru la moitié de la distance.
Anabella contemplait cette scène sans oser intervenir. Mais ses doigts étaient crispés sur sa robe... Inconsciemment, elle espérait que Joshua se lasse de ce jeu, se laisse tomber à terre pour rejoindre son frère, ou même mieux encore : qu'il retourne à sa place loin de Clive et que celui-ci cesse de sourire bêtement... Une rage sourde qu'elle n'avait encore jamais connue lui fit bouillir les veines. Elwin aimait tellement Clive... Si Joshua se mettait aussi de la partie, elle n'allait pas pouvoir le supporter...
Cet enfant osait lui voler un moment qui aurait du être le sien. C'était vers elle que Joshua aurait du marcher. Elle était sa mère. Ses premiers pas auraient du être pour elle. Pas pour... lui.
Elle se força à rester calme et à attendre la fin de cette humiliation en silence. Lorsque les doigts de Joshua touchèrent ceux de Clive, le petit, épuisé, se laissa tomber dans les bras de son aîné, qui l'entraîna au sol avec lui, ivre de joie pure. Les deux enfants se roulèrent sur le tapis, comme deux vulgaires garçons de ferme, Clive pressant son petit frère contre son coeur.
- "Tu l'as fait, Joshua ! T'es le plus fort ! Je suis si fier !"
Joshua gloussa de plaisir en tâtonnant le visage de Clive de ses doigts curieux.
- "Claaaaa... Claaaa," répéta-t-il en attrapant l'oreille de son frère.
Ce n'était pas la première fois que Joshua essayait de prononcer son nom mais Clive se sentait beaucoup trop heureux aujourd'hui.
- "Oui. Encore. Vas-y : Claaaaa-iiii...", prononça l'aîné, tenant son petit frère attentif sur ses genoux.
L'archiduchesse n'en supporta pas davantage. Elle se leva et ce fut à ce moment que Clive se rappela de sa présence.
- 'Mère ! Il... il marche !" osa-t-il dire en limitant son enthousiasme.
- "Vraiment ? Merveilleux."
- "Père devrait le savoir, c'est un jour important..."
- "C'est un jour comme les autres. Quand il aura manifesté le pouvoir du Phénix, ce jour-là sera un jour important."
Elle quitta la chambre sans un mot de plus, ni aucun geste maternel envers ses fils, suivie de sa servante.
Elle s'était sentie trahie, mise de côté par ses propres rejetons. Elle n'était pas prête de l'oublier. Mais si Joshua se révélait être l'Emissaire, elle pourrait peut-être lui pardonner.
Peut-être...
#fild du feu#fdfR2#fanfiction#joshua rosfield#clive rosfield#anabella rosfield#FFXVI#final fantasy XVI#fallenRaziel
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Merci à Chat GPT d'écrire tous mes mails de recherche d'emploi et de réussir à me vendre comme jamais je n'oserai me vendre. Sincèrement, quand on manque de confiance en soi et que tout ce qu'on voudrait dire c'est : "s'il vous plaît embauchez-moi, je sais faire mes lacets" (non je n'exagère pas du tout), Chat GPT réussi à te pondre des mails dignes des plus grands marchants de tapis de LinkedIn. (pardon ce post n'a pas beaucoup de sens mais je suis en train d'envoyer des candidatures spontanées et en tant qu'introvertie en puissance ÇA ME FAIT PANIQUER AU PLUS HAUT POINT).
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Le Jack hausse les épaules et se retourne, ses boulons crissant contre leurs fils créant une légère tension contre son sourire grandissant et étincelant. Vous pouvez voir des bandes de métal se soulever et se plier près du caoutchouc craquelé de ses lèvres, déchirées par le sourire contre nature. Il y a une explosion de son soudain - l'air résonne comme s'il s'était fissuré et commençait à saigner de l'électricité statique et sa voix crie librement. Vous pensez, pendant un moment, entendre des mots. Mais des rires métalliques et résonnants bouillonnent et étouffent tout ce qui est compréhensible, et montent jusqu'à l'hystérie. Il ne cesse pas de rire.
Hare souffle, enveloppé de volutes graisseuses de fumée. La fumée s'échappe des volets de son aération buccal et entre ses dents pointues, s'élevant en volutes sensuelles jusqu'au plafond. Il pointe son seul œil valide vers vous. Quelque part au fond, une lumière semble vaciller, mais toute la romance dans le frétillement de la faible lumière jaune disparaît lorsqu'un énorme frisson craquelant déloge un morceau de charbon ardent de sa gorge. Hare crache, ou fait l'équivalent approximatif (vous n'hésiteriez pas à comparer cela à un camion qui pétarade), regardant distraitement le tapis siffler et se carboniser autour du morceau de charbon fumant. Avant que vous puissiez commenter, les engrenages et les pompes de ses membres dégingandés s'étendent et se cambrent - il s'étire, un geste qui est performatif mais exquisément bien exécuté, croisant soigneusement ses griffes derrière sa tête alors qu'elles reviennent se reposer. Il vous regarde, Hare hausse les épaules et pose la question : « Bonnes relations sociales ? »
« Idiot. » La voix ne résonne pas, mais semble résonner comme un coup de tonnerre lointain dans tous les coins de la pièce. The Skull, perché si immobile et silencieux que seules les bobines encastrées dans son cou produisent un mouvement à travers leur lumière ténue, se tient le dos droit contre le mur, comme un appareil rangé pour une utilisation ultérieure. Il se tient debout de manière anormale, comme s'il était raide et immobilisé aux articulations, car il n'y a aucune raison de mettre du charme dans son regard noir. Semblant remplir la pièce et dominer ses frères même de loin, la machine argentée étincelle et ricane : « Ils ont mauvais goût. »
The Jack, qui s'était transformé en rires saccadés, explose dans un cri métallique et rit à nouveau. Hare fait signe de ne pas écouter le commentaire d'un mouvement irrévérencieux de longues griffes de cuivre. « Ignore tête d'os, le pauvre gosse est dans la galère depuis qu'ils ont arrêté de le laisser se balader de façon effrayante dans ses vieux costumes cramés et croustillants pour intimider les gens dans les bas quartiers. » Son sourcil encore fonctionnel émet un léger clic lorsqu'il se baisse en une expression sympathique sur son regard. « C'était tout ce qu'il avait, tu sais ? Il attendait juste dans les salles de spectacle que quelqu'un le remarque, prêt à rester là et à être exactement aussi moche… vraiment dégu- AÏE ! »
Tu décides de les laisser se débrouiller tout seuls.
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saga: Soumission & Domination 298
Gwen -2, recrutement Escorts hétéros
Gwen fait du bon taf avec mes clientes. C'est même au point que mes autres Escorts font " fade " quand ils passent après lui. Il faut dire que mes jeunes sont plutôt des homos à tendance bi que des hétéros avec la même tendance ! Si je veux garder ma clientèle féminine et être en mesure d'étendre ce secteur, il va falloir que je recrute. J'en parle à PH qui est d'accord avec moi. J'en discute aussi avec Gwen et Stéphane. Je leur demande si, parmi leurs collègues il n'y aurait pas des mecs intéressés pour gagner 4 SMIC par mois à raison d'une soirée par semaine. Si Stéphane réfléchit, Gwen nous dit en connaitre une bonne demi douzaine que le salaire miteux d'interne condamne au minimum vital. Il pousse du coude Stéphane et lui dit que ce serait peut être le moment de se lancer lui aussi. Notre Stéphane passe pivoine ! Et comme il s'empêtre dans des arguments fallacieux, je tranche le débat et disant à Gwen que son pote appréciait plutôt le petit cul de notre Maxou et de pas le faire chier avec ça. Il revient tout de suite à la liste des collègues qui serait probablement prêt à taffer pour moi. Avant qu'il ne les approche, je prends la liste de noms et l'envoie pour enquête rapide à mon contact ex RG.
Ce n'est qu'après avoir lu leurs dossiers que j'autorise Gwen à contacter certains. J'en écarte deux qui ont une consommation régulière, bien que faible, de shit. Les seuls produits que j'autorise sont : le gel, les poppers (pas tous), et la créatine pour la partie développement physique. Les quelques fumeurs ont été priés d'arrêter. Il n'y a que dans les films que l'haleine de chacal que ça donne est romantique.
Je reçois les trois premiers de ma liste. Ils sont tous plus âgés que ma bande d'Escorts " homo " et tapent plutôt les 25-27ans que les 19-22. Physiquement ils ne sont pas trop mal foutus, sans être aussi sportifs que les autres. Manque de temps ! Deux blonds peu poilus et un brun au torse bien couvert (enfin une ligne remontante du pubis et rejoignant des pecs un peu couverts, avec bien sur le corolaire, bras et jambes velues. Si les deux blonds ne font pas de difficultés à passer à l'épilation (c'est vrai que ça ne les changent pas beaucoup), je dois user d'arguments avec le brun. Il a l'impression de perdre sa virilité si on lui retire le surplus de poils disgracieux. Les couilles rasées, il comprend que c'est plus agréable de ne pas se prendre des poils entre les dents. Je profite de cette remarque pour lui demander s'il préfère les meufs avec un tablier de sapeur et le cul plein de poils ou celles qui s'entretiennent et rasent leurs chattes. Il convient que c'est effectivement plus agréable de baiser une meuf bien entretenue. Il ajoute aussitôt que pour les hommes c'est pas pareil. Je fini par lui poser le marché : soit il accepte de se faire épiler et il va gagner dans les 4 000 nets/ mois soit il garde ses poils et ses capacité financières réduites.
Je crois que c'était là le seul argument capable de lui faire accepter la chose !
Vu le travail à effectuer, je l'envoi chez une esthéticienne avec pour instruction de ne revenir qu'avec un tapis ras entre le dessus de sa bite et son nombril. Tout le reste doit disparaitre et j'insiste bien là-dessus. Je téléphone même devant lui au cabinet pour donner les instructions. Je le revois deux jours plus tard. C'est parfait. En plus je m'aperçois que ses pecs sont bien épais, tout comme ses bras et ses jambes où les muscles deviennent visibles. Quand je le fais tourner devant le psyché, il doit bien en convenir. Sa bite, déjà conséquente : 20 x 6, circoncise, parait un tiers plus longue qu'enfouie dans les poils hirsutes.
Pour le test sexuel, j'ai l'idée de réutiliser la mère de Jean. Ça la changera des dépucelages de lycéens ! Pour l'aspect pratique, je loue une chambre dans un hôtel à carte et y convoque mes nouveaux Escorts. Ils ont renâclé quand je leur ai dit que je serais présent lors de la rencontre. Le brun me certifiant qu'il aurait même du mal à baiser devant moi. Sachant qu'il avait participé à des partouzes, je lui faisais part que je connaissais ce détail et que j'étais sûr qu'il saurait honorer la dame.
Le jour prévu, Ammed me conduit pour rejoindre mon initiatrice et nous installe à l'hôtel. Je téléphone à mes Escorts le n�� de la chambre et le premier blond (Blond 1) arrive. Il ne fait pas de manière. Il se déshabille et rejoint la meuf déjà nue sur le lit. Il commence par bien l'exciter. Léchage de seins et mordillements des tétons alors que je vois ses doigts s'enfoncer dans la chatte. Je note qu'il bande déjà. Il ne met pas longtemps à trouver comment la faire jouir et il joue entre le clito et ses 4 doigts enfoncés dans le vagin pour faire durer ce premier orgasme. Très " clinique ", je commente sa technique et lui demande même comment il réalise ce tour de force. Avec Emma on y arrive mais on s'y met à trois avec PH et Ernesto !
Il m'explique qu'il joue sur la capacité qu'a le vagin de se dilater fortement. Là il n'avait enfoncé que 4 doigts mais me dit que sur ce type d'organe, très " ouvert " il pourrait facilement enfoncer sa main entière. Et de le faire aussitôt devant moi, déclenchant une dernière secousse violente qui tétanise le corps de ma testeuse. Il se retire et me dit que le seul inconvénient c'est que, dilaté comme cela, le vagin met un peu de temps à retrouver ses " marques " et du coup il va " flotter " quand il va la baiser. Je lui dis de passer par l'arrière. Il me dit qu'en levrette ce sera pareil avant de réaliser que je lui disais de l'enculer. Il passe aussitôt à l'exécution. A 4 pattes les seins écrasés sur les draps, elle cambre les reins et mon Escort l'encule après s'être enkpoté la bite. Il y va hard mais m'explique qu'il s'était rendu compte à la vue de son anus qu'elle avait l'habitude de cette pratique. D'ailleurs il avait réussi à lui mettre ses 19cm sans problèmes. Je demande à la mère de Jean qui me dit que c'était bon de se faire mettre par un vrai mâle. Je le laisse faire. Il a le coup de rein impérieux et long. Il aime profiter de sa longueur de bite pour faire sentir tous les centimètres. Il ressort régulièrement complètement du cul sodomisé avant d'y retourner jusqu'aux couilles.
Il la baise plus hard. Les mains accrochées aux hanches larges de la mère de Jean, il lui défonce la rondelle. A chaque fin de pénétration, les chairs se collent et les hanches de Blond 1 claquent sur les grosses fesses de la meuf. Puis, conscient qu'il est là pour donner du plaisir à madame, il se penche, la redresse sur ses avants bras et passe ses bras dessous pour lui pincer les tétons. Effet immédiat garanti. Elle hâlette et ne tarde pas à jouir de nouveau. Blond 1, coincé dans son cul explose à son tour et avec trois furieux coups de rein, rempli sa kpote.
Au débriefing, la mère de Jean nous dira avoir apprécié sa façon de lui pilonner le fond de son vagin et aussi la façon qu'il a eu de la faire jouir la première fois rien qu'avec ses doigts.
Le temps que mon " banc de test " se refasse une beauté, je fais venir Brun 1 (mon futur Escort brun bien épilé).
Quand il arrive elle est de nouveau, nue et allongée sur le lit. Il a moins de gueule que la dernière fois où nous nous sommes rencontrés. Il se présente, et de déshabille un peu gauchement (je note ça dans un coin de mon cerveau). Il évite de me regarder mais je sens bien que mon regard le trouble.
Il attaque le morceau. Sa technique est rodée. Il joue bien avec les seins, ses doigts pincent bien les tétons, fort même ! Mais la mère de Jean en a vu d'autre et ça les lui fait bander. Quand il pratique pareil sur le clito, elle en décolle ses fesses du lit. Il en profite alors pour enfoncer trois doigts dans sa chatte.
Puis il se positionne en 69 et je le vois bouffer la chatte. Elle en profite pour engouffrer sa bite qui ne bande que mollement. Je vois que, même avec sa science du sexe pourtant bien éprouvée, elle peine à lui donner sa raideur maximale. Elle y arrive dès qu'elle lui rentre deux doigts dans son cul. Je le vois se kpoter alors très vite et s'enfoncer dans son vagin. Je le trouve un peu trop rapide dans son limage de chatte, comme l'impression d'en finir vite. J'interviens et lui rappelle qu'il est en service commandé, qu'il doit en donner pour l'argent de la cliente. Ça le fait débander direct ! Sensible mon beau brun ! La mère de Jean ne s'embarrasse pas de détail et lui remet aussitôt deux doigts dans l'oignon ce qui refait le même effet, en l'occurrence il rebande direct.
Louche tout ça !!
Il ne se tient bien raide que tant qu'il se fait chatouiller le trou par les doigts de la meuf. Par contre, à l'enculage pas de soucis. Sa bite de 20x6 reste bien dure et finalement donne satisfaction.
Au débriefe, ma testeuse lui envoi carrément que pour un Pd, il s'était pas si mal débrouillé que ça. Il devient tout rouge alors qu'elle continue en me disant que ses doigts étaient rentrés dans son cul comme dans du beurre et qu'il n'avait bandé à mort que lorsqu'il l'avait enculée.
Je me tourne alors vers lui et lui demande depuis combien de temps il se connaissait ce penchant et pourquoi il ne m'en avait pas parlé.
Après une vaine tentative de dénégation, il accepte de me parler alors que la mère de Jean est dans la salle de douche. Il me dit que depuis sa puberté il se sait attiré par les mecs mais que dans son milieu, c'est inacceptable. Il s'est donc forcé à baiser des meufs pour pas attirer l'attention et que ce n'est que dans l'intimité de son studio qu'il ose se faire réellement plaisir à l'aide de godes conséquents. Quand je lui dis qu'il m'avait été conseillé comme étant un bon baiseur de meufs lors des partouzes, il sourit et me répond que c'est de voir les bites et les culs des autres mecs participants qui maintient sa bandaison.
Je lui propose alors d'intégrer mon programme mais avec des clients plutôt que des clientes. Je le vois hésiter. Je le rassure et lui dis que cela peut se faire de façon à ce que personne ne soit au courant. Il n'a pas l'air convaincu. Je l'assure que s'il le veut je peux même dire à Gwen et Stéphane qu'il est recruté pour mes clientes. Car comme c'est eux qui m'ont dirigé vers lui, ils risquent de demander. J'ajoute que je ne l'obligerai pas à assister aux divers entrainements physiques de mon équipe d'Escorts homo. Cette dernière précision emporte le morceau. Je lui demande de passer dans la soirée au Blockhaus pour en discuter.
Le passage du troisième nouvel Escort (Blond2) est sans surprise. Il réussit le test sans émotions particulières.
Le soir même, Brun 1 passe me voir. Je le reçois au 4ème, j'ai la flemme de me faire descendre au premier ! PH est à son cours de danse et j'ai demandé à mes deux beurs de nous laisser seuls.
Devant une bière, je le fais parler. Je ne sais si c'est la déco franchement " homo " de notre séjour ou la possibilité d'être écouté sans risque, mais une fois lancé, il me déballe tout. Enfin, tout est un bien grand mot pour me raconter ses frustrations devant les corps de copains de sport, ses déchainements sur les meufs lors des quelques touzes auxquelles il avait participé et les intromissions répétées et jouissives de godes dans son anus. Sans en avoir l'air, je lui demande la taille des engins, pour info. Je suis quand même étonné quand il me sort qu'ayant commencé avec un gode de 16x3, il était passé quelques semaines plus tard à la copie du sexe d'un acteur porno connu pour ses attributs plus que généreux (25x 5,5 à 7). Après un sifflement élogieux, je lui demandais quand même s'il s'enfonçait ce dernier entièrement dans le cul. Réponse : après quelques essais et beaucoup de vaseline, il avait réussi à coller les couilles en plastiques contre les bords de sa rondelle. Je lui dis alors qu'il me rassure. Comme j'ai principalement des clients homo mais actifs, j'aurais été un peu en peine de l'utiliser s'il n'avait été qu'actif.
C'est de lui-même que vient la proposition d'effectuer un essai avec un homme. Comme il est puceau dans ce type de relation, il me dit craindre de ne pas assurer et surtout de ne pas savoir s'y prendre. C'est tout gêné qu'il me demande si je n'aurais pas quelqu'un à lui présenter pour sa première fois. J'ai failli éclater de rire. Mais son air embarrassé m'a retenu.
Je suis prêt à chercher qui pourrait me rendre ce service quand je pense qu'en tant que " vierge ", il pourrait se faire un max de blé pour sa première prestation.
Je lui explique de quoi il retourne : la mise aux enchères, parmi une sélection de mes clients, de sa première fois. J'ajoute que cela pourrait lui rapporter un bon paquet de fric et lui précise les montants auxquels, jusqu'à présent, mes clients s'était arraché les premières prestations de mes Escorts pourtant loin d'être vierges. Il n'en revient pas qu'un mec puisse offrir autant pour se faire un mec.
Un peu fier, je lui dis que ce n'est pas " un mec " mais un Escort de chez moi !
Je le rassure en indiquant que ma sélection écarterait les mecs un trop bien monté, les brutaux et les trips spéciaux. Je connais bien mes clients et sais ceux qui sauront prendre soin d'un puceau.
Il renonce à son idée de " s'entrainer " avant sur du " matériel " vivant.
Il accepte de faire quelques photos supplémentaires pour l'opération. Je demande à Ammed de les faire avec le mur blanc du salon comme fond.
Il repart avec l'assurance que je l'appellerai bientôt.
Jardinier
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Printemps 1916 - Champs-les-Sims
5/9
Mais même en deuil, Constantin reste Constantin. Il côtoie sans doute de nombreux pères au front, qui doivent parler avec nostalgie de leurs enfants et de ce qu'ils auront envie de faire avec eux une fois la guerre finie. Connaissant mon mari, il est fort probable que de telles conversations aient éveillé un sentiment de culpabilité chez lui. Car son absence m'a définitivement fait prendre conscience qu'il ne s'implique pas assez dans la vie de nos enfants. Mais je laisse cette frustration pour la fin des combats. Comment pourrait-il concevoir de telles considérations domestiques alors qu'il craint pour la survie d'Adelphe chaque jour et voit sa propre vie menacée quotidiennement ? Il m'arrive même de me dire, en pensant à vous, que vous avez vécu d'impensables souffrances mais qu'au moins vous êtes en sécurité chez vous.
Dans tous les cas, un inconnu lui a mis en tête l'idée d'embrasser les enfants. Adelphe le fait, mais ce n'est pas aussi général qu'il semble le croire. Sauf que comme la plupart des promiscuités entre un père et ses enfants, il déteste cela, à tel point qu'il rechigne à prendre les petits dans ses bras. Dans son esprit, il s'est donc dit qu'il pourrait faire un effort, et réserver cette marque d'affection à Noé uniquement. Les leçons de sa grand-mère sur l'importance de l'héritage n'ont pas eu que l'effet escompté, car il ne réalise pas à quel point ses deux soeurs en ont été jalouses. Il a ainsi enlacé Noé devant ses soeurs et ensuite refusé de leur offrir la même chose alors que j'étais partie lui chercher ses pantoufles. Cléo a donc fait une immédiate crise de larmes et c'est avec un air offensé et dramatique digne de Sarah Bernhardt qu'elle lui a remis sa carte de voeux au matin de Noël. Sélène a boudé de façon plus discrètes pendant plusieurs jours. Antoine n'a pas montré son émotion, comme c'est de plus en plus commun chez lui, et sa ressemblance avec son père semble alors dépasser le physique.
En tant que mère, comment puis-je expliquer à mes enfants que seule la plus grande reçoit l'affection de leur père ?
Transcription :
Arsinoé « Papa, c’est toi ? Qu’est-ce que tu fais ici ? »
Constantin « J’ai les chaussures si sales que ta mère m’a ordonné de rester ici en attendant qu’elle m’amène mes charentaises. Elle ne veut pas que je souille le tapis du salon. »
Arsinoé « Ce n’est pas ça, mais Maman a dit que tu étais encore à la guerre pour Noël. »
Constantin « Et bien non, je suis ici pour la semaine, nous allons passer les fêtes ensembles. Tu es contente ? »
Arsinoé « L’institutrice dit que peu d’enfants ont la chance d’avoir leur Papa pour les fêtes. Avec les autres élèves, nous avons rédigé des cartes de voeux pour nos pères courageux qui restent au front pour nous protéger. J’ai de la chance, je vais pouvoir te la donner moi-même. »
Constantin « C’est très gentil. Tu me la donneras au matin de Noël. »
Constantin « Arsinoé, pourquoi n’embrasses-tu pas ton père ? »
Arsinoé « Mais on ne t’a jamais embrassé. »
Constantin « Nous allons changer cela. Un bon père embrasse ses enfants. »
Arsinoé « Cléopâtre et Sélène ont demandé à Maman pourquoi nous n’embrassions qu’elle. Elle a répondu que tu n’aimais pas. »
Constantin « C’est vrai. Mais je ferai une exception pour toi. »
Arsinoé « Pourquoi moi ? »
Constantin « Parce que tu es mon aînée. »
Arsinoé « Et alors ? »
Constantin « Tu es mon aînée et mon héritière, cela fait de toi quelqu’un de plus important. Je dois donc faire une exception pour toi. Maintenant, embrasse ton père. »
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