#tous au tapis
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@someonewarms
goddddddd i feel so fucking stupid all the time i feel like that meme of the ogre reading joyce
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saga: Soumission & Domination 370
Novembre en France-2
Blockhaus Jour 2
Pendant le déjeuner j'essaye d'en savoir plus sur notre nouveau voisin mais PH et Ludovic me disent qu'ils ne savent pas qui il est.
Du coup je les charge de voir Ă qui appartient l'immeuble de droite qui est du mĂȘme type avec mission de le racheter si c'est possible.
Dans la soirée je fais visiter le second étage (celui dédié à ma société) à Dane.
Il mate la frise de mon bureau. Il ne pensait pas que ma " petite affaire " reprĂ©sentait autant de mecs. Je le vois fixer son intĂ©rĂȘt sur notre petit Maxou !
Pour le remercier de s'ĂȘtre occupĂ© de moi pour mon retour en catastrophe, j'appelle mon escort et lui demande de venir nous rejoindre illico. Quand je raccroche, Dane se rend compte que je le fais venir pour lui. Pour avoir discutĂ© avec Tyler et lui de ma sociĂ©tĂ© et des tarifs que je pratiquais, il me demande combien il va me devoir.
Evidemment rien bien sĂ»r !! Je ne fais pas payer mes amis mĂȘme si moi, je rĂ©tribuerais Maxou, mais ça je ne lui dis pas.
Maxou arrive aprÚs ses cours et nous rejoint en salle de sport. Il y a déjà une 10aine de mes escorts à s'entrainer avec nous.
Comme je m'étonne de l'absence de Jona et de François, PH me glisse qu'ils ont été rappelés au " service ". Du coup le coaching muscu et combat a échu à nos deux gymnastes fraichement intégrés avec surveillance de Ludovic pour la partie fighting. Le tout sous la gestion de notre Maitre-nageur. Pour les prestations d'Escorting, PH a pris l'affaire en main. Je ne peux qu'admettre que cette organisation est la plus efficiente.
Le temps que je me mette Ă jour, Maxou s'est attaquĂ© Ă Dane en le provoquant Ă un combat sur le tatami de la serre. ArrĂȘt de quasiment tous les entrainements pour voir le dĂ©fi.
Si au départ Dane avec sa carrure d'adulte n'y allait pas trop fort au regard du format toujours crevette de son adversaire, quand il a gouté pour la deuxiÚme fois le tapis, il s'est aperçu que le niveau de son adversaire valait bien le sien. AprÚs quelques 15 minutes, profitant de son allonge et de son poids supérieur, il réussit à coincer Maxou sur le tapis. Jusqu'à ce que déloyalement, ce dernier ne lui roule un patin ! Fin d'entrainement pour tous, douche et évidement c'est parti en touze !! Dane, nouveau pour beaucoup, s'est retrouvé trÚs sollicité et aprÚs avoir profité de Maxou, s'est laissé entrainer par mes autres escorts.
Une bonne heure et demi plus tard, il me rejoint et épuisé me dit que mes mecs sont trop bon. Il a particuliÚrement apprécié le fait qu'ils utilisent leurs potentiels physiques comme des pros. Puis il se rend compte que c'est évidement à des pros qu'il avait eu à faire !
Je garde Maxou alors que les autres nous quittent. Dane et un peu gĂȘnĂ© et il lui demande si cela ne l'embĂȘte pas trop de rester pour lui.
Réponse de l'intéressé : " quand il bosse, il ne prend pas en compte ses avis personnels, mais là en plus il n'a aucunement à se forcer pour me faire plaisir " (à moi Sasha). Il ponctue sa déclaration d'un bisou sur ses lÚvres.
Pendant le diner la conversation passe des évÚnements Parisiens à notre vie à San Francisco. Maxou est super intéressé et quand il apprend que le petit frÚre de Dane viendra en France pour la fin d'année, il n'a de cesse d'en savoir plus sur ce dernier.
Pour faire cesser le harcÚlement de question, je lui dis de s'adresser à Enguerrand ou à Max, car je suis sûr que ces deux-là l'ont pris en photo au minimum. Pas garanti qu'ils n'aient pas réalisé en plus une sextape !!
Dane, qui depuis le passage de la triplette, s'est rapprochĂ© de son frĂšre notamment sur le sujet du sexe et de son utilisation, confirme que ces derniers en ont mĂȘme fait plusieurs lors de leur passage en Californie.
 La soirée se passe calmement, enfin à recouvrer des forces !
La nuit nous restons de part et d'autre. Moi je retrouve mes deux amours et nous faisons l'amour. Comme cela fait longtemps que nous ne nous étions retrouvés tous les trois seuls, cela prend un parfum de tendresse rarement présent quand nous sommes plus nombreux.
A cÎté je suis sûr que Maxou donne à notre yankee un aperçu des petits Français qu'il ne sera pas prÚs d'oublier.
Retour
Les quelques jours passent rapidement et quand nous remontons à Paris pour prendre notre avion, nous trouvons Kev chez Henri (pas question qu'il reste seul dans son duplex). Un infirmier beau comme un dieu s'occupe de lui dans la journée quand Henri est au travail.
Que voulez-vous ? On ne se refait pas et nous ne quittons l'appartement qu'aprÚs que j'ai sodomisé le corps médical.
Déjà en blouse et pantalon blanc relativement large, il paraissait canon mais à poil (enfin nu) il l'est vraiment ! Une bouche bien profonde idéale pour abriter les 21x5,5 de Kev, et une musculature lui permettant de s'occuper de tout lors des sodos. Il m'en fait une démonstration alors que, couché sur le dos, il se plante sur mes 20x5 et me les pompe avec sa rondelle sans que j'aie à faire de mouvement.
Pour les plus curieux, il fait dans les 1m80 et porte au moins 70Kg de muscles secs. Une belle bite de 18/19 Ă©paisse et surtout un petit cul bien rond cachant une rondelle souple mais nerveuse.
Alors que nous quittons l'appart d'Henri pour l'atelier d'Alban, Kev me demande comment j'avais trouvĂ© son " garde malade ". RĂ©ponse " avec lui tu ne vas pas ĂȘtre en manque de tes potes " !! Il me dit que pendant que je m'amusais avec son " garde malade ", il avait profitĂ© de mon amĂ©ricain. Un simple 69 mais qui avait tenu toutes ses promesses.
Quant Ă ses copains habituels de baises, Kev me rĂ©ponds que certains passeront quand mĂȘme le voir pour Ă©viter la routine. Je le reconnais bien lĂ , aussi chaud que moi !
Passage chez Alban. Il hĂ©berge encore Ric que son pĂšre est venu voir quelques jours plus tĂŽt. Avec juste un bandage autour du biceps, Ric est tout content de nous voir. Il nous dit s'ĂȘtre inscrit pour un mois Ă la salle de gym de Kev, puisqu'ils ont dĂ©cidĂ© qu'il ferait sa convalescence Ă Paris. DĂ©jĂ la semaine et demi d'arrĂȘt lui pĂšse et il va vite reprendre au moins le cardio et tout ce qu'il peut travailler. Les cuisses, les abdos et tout le haut avec son bras droit avant de reprendre doucement avec le gauche en fonction de l'autorisation de la facultĂ©.
Le taxi nous dépose à Roissy juste à temps pour l'enregistrement. Pas de bagages de soute, cela rend l'enregistrement plus rapide. Mais du coup le passage de la douane est plus fouillé. Si Dane passe rapidement, c'est limite si les douaniers ne m'auraient pas mis à poil. Bon j'aurais bien aimé car un des mecs qui me palpait était tout à fait baisable. J'ai eu le plaisir de le voir rougir alors qu'il s'apercevait avec sa mains tout le bien que je pensais de lui (bandant comme un ùne, il aurait eu du mal de ne pas capter !).
J'ai eu l'espoir un moment que la barre dure qui déformait mes jeans allait l'amener à me faire une fouille au corps, mais non, dommage !!
Attente dans le salon des premiĂšres, puis embarquement. Compagnie amĂ©ricaine, personnel de bord charmant, Ă nos petits soins mais loin d'ĂȘtre de premiĂšre jeunesse !!
A l'arrivée Tyler nous attend. On se raconte notre petite semaine en France. Dan est le plus disert. Je m'aperçois que notre passage à Paris l'avait fortement impressionné (surtout mes amis Henri, Kev et la musculature hors norme de Ric). Il lui décrit aussi le blockhaus comme un endroit de folie et les mecs qui y passent.
Du coup Tyler est pressé que l'on soit un mois plus tard !!
Quand il apprend que Duke a fait des sextapes avec mes " petits frÚres ", il est surpris tout en étant pas plus étonné que ça venant de 4 obsédés de la bite !!
Duke nous attendait chez Tyler. Lui aussi voulait des nouvelles et surtout de ses nouveaux copains Frenchies. Dan répÚte pour lui. C'est à son tour de devenir impatient d'arriver à Noël !!
Le mois passe vite et les nouvelles de France qui me parviennent rïżœïżœguliĂšrement sont bonnes. Tellement que mes deux amis blessĂ©s le 13 novembre pourront ĂȘtre des nïżœïżœtres en fin d'annĂ©e.
CotĂ© immobilier, PH me prĂ©vient qu'il a pu acquĂ©rir l'immeuble qui nous jouxte pour une bouchĂ©e de pain et me propose de transformer le rez-de-chaussĂ©e en garage d'entretien pour nos motos dont Cyril prendrait la charge et l'Ă©tage pour faire un grand appartement pour Samir et Ammed. MĂȘme s'ils restent Ă notre service, ils auront ainsi un peu plus d'intimitĂ©.
 Quant à la cour, il comptait, si j'étais d'accord, la raccorder à la nÎtre en y organisant un jardin toute saison avec quelques fruitiers.
J'accepte toutes ses propositions et le questionne sur ce qu'il se passe de l'autre cÎté du blockhaus chez notre nouveau voisin.
LĂ , les travaux seraient finis avec en copie une verriĂšre comme la nĂŽtre mais 2 Ă©tages plus basse.
Ăa m'intrigue que l'on ne rĂ©ussisse pas Ă savoir qui est le propriĂ©taire !!
CotĂ© sexe, j'ai repris mes apartĂ©s qui ne le sont plus trop vu le nombre de mecs qui participent Ă ceux-ci. Depuis nos virĂ©es " touristiques ", je suis le point focal des deux groupes de sportifs (arts martiaux et natation) du moins pour les plus Pd d'entre eux ! Heureusement que quelques-uns sont originaires de cet Ă©tat, ça nous permet de nous retrouver en dehors de l'universitĂ©. MĂȘme si nous avons trouvĂ©s des coins oĂč nous pouvons baiser sans trop de risque de nous faire surprendre !
Les installations sportives sont nos préférées. Ce sont les vestiaires, les douches, certaines salles un peu isolées qui abritent nos turpitudes.
Ăa me rappelle un peu les touzes que je faisais en France aprĂšs nos sĂ©ances de sport au Blockhaus. La seule diffĂ©rence c'est que j'entends plus " Fuck me " que " vas-y dĂ©fonce moi ".
Je me fais plaisir aussi bien à défoncer les rondelles américaines qu'à me faire prendre.
Sans qu'ils soient prudes, mes partenaires Ă©taient plutĂŽt Ă baiser par deux parfois trois qu'Ă touzer comme des bĂȘtes en rut ! Maintenant ce n'est plus le cas et j'ai l'impression qu'ils aiment ça.
Il n'est pas rare que je me prenne deux ou trois bites dans le cul (pas toutes en mĂȘme temps !!) et que je fasse subir Ă autant de cul mes coups de rein. J'aime particuliĂšrement Ă m'accrocher aux Ă©paules hypertrophiĂ©es des nageurs alors que je les encule en levrette. Ăpaules larges associĂ©es Ă des tailles fines bien cambrĂ©es et de beaux fessiers ronds, que demander de plus pour bander comme un Ăąne ?  Avec les " combattants ", c'est plus hard. On ne peut s'empĂȘcher inconsciemment de voir qui sera le " dominant " de la relation. Les embrassades sont plus rudes et les prĂ©liminaires plus musclĂ©s jusqu'Ă ce que l'un d'entre nous cĂšde ou dĂ©cide d'ĂȘtre cette fois-lĂ le passif du moment.
Je ne suis pas le dernier Ă me mesurer aux autres et grĂące Ă l'entrainement de Don j'ai le dessus quand je veux. Ce qui ne m'interdit pas de laisser couler quand je suis en manque de saillie !!
HĂ©, on ne se refait pas, je suis recto/verso et je prends mon pied dans toutes les relations sexuelles possibles (entre mecs).
Au tout début de mon séjour, quelques filles m'ont dragué. Je pense dans l'idée de se faire un petit français. Mais de ce cÎté-là je suis fidÚle à Emma !! Elles ont dû se rendre à l'évidence que pour moi c'était mecs uniquement.
Un des derniers plans a eu lieu dans une des salles de sport du campus. Un des fighters nous a emmenés dans une salle de boxe et nous avons pu baiser sur le ring. Les cordes et les 4 coins ont bien servis à soutenir les corps en train de se faire défoncer. Je pense que ces installations n'avaient encore jamais vu ça depuis leurs installations.
Je me souviens m'ĂȘtre fait dĂ©foncer par un nageur alors que je me tenais, les jambes Ă©cartĂ©es et les bras accrochĂ©s autour d'un sac de sable, alors qu'un autre des mecs me pompait la bite. Chaque coup de rein qui enfonçait la belle queue de mon assaillant au fond de mon trou, faisait progresser mon gland derriĂšre la glotte de mon pompeur. A nos cĂŽtĂ©s, les couples, trio ou plus ne se retenaient pas de bruits significatifs.
Nous avons Ă©tĂ© tellement discrets qu'Ă un moment j'ai vu la tĂȘte de l'entraineur principal des sports de combats passer la tĂȘte par une des portes. Trop emportĂ© par mon plaisir je n'ai pas rĂ©agi ni prĂ©venu mes potes. Mais il n'est pas entrĂ© nous faire cesser. Il nous a matĂ©s quelques instants puis s'est retirĂ© sans bruit.
Le lendemain matin je sĂ©chais un de mes cours pour aller le trouver. Avant mĂȘme que je n'essaye de le convaincre de ne pas divulguer notre touze, il me dit comprendre le besoin des Ă©tudiants de se dĂ©tendre et de faire tomber la pression que les Ă©tudes peuvent produire. Il ajoute que nous devrions les prochaines fois prendre soin de bloquer les issues, tous les encadrants n'ayant pas la mĂȘme tolĂ©rance envers nos pratiques, mĂȘme si nous Ă©tions en Californie.
Jardinier
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (4/27)
Dâun pas prĂ©cipitĂ©, Lola et moi nous Ă©lançùmes dans la maison, puis nous gravĂźmes les marches de lâescalier quatre Ă quatre pour parvenir au dernier Ă©tage de la maison, de lĂ oĂč Ă©tait provenu le cri. Devant la porte, dans le couloir, Sonia, lâaide que nous avions recrutĂ©, soutenait Layla qui semblait avoir du mal Ă tenir sur ses jambes. Agathon se trouvait dĂ©jĂ lĂ Ă©galement, et leurs trois silhouettes en contrejour nous barraient la vision du drame.
La voix teintĂ©e dâinquiĂ©tude, je demandai ce quâil y avait. Comme personne ne me rĂ©pondait, jâinsistai dâun ton alarmĂ©. Agathon fut le seul Ă se retourner vers moi. Il se contenta de secouer la tĂȘte, trĂšs lĂ©gĂšrement et avec effort. Dâune voix implorante, Lola demanda ce quâil se passait. Je mâimmisçai entre Agathon et Sonia. La vue de la chambre sâoffrit Ă moi. Lorita gisait sur le ventre, devant la porte, la face sur le tapis. Je sentis mon estomac se nouer. Ce nâĂ©tait pas la premiĂšre fois que je voyais un cadavre ; en revanche, câĂ©tait la premiĂšre fois que jâen voyais un aussi jeune et de façon si brute. Papa et Maman, jâavais eu le temps dâanticiper. Mais là ⊠Lola plaqua une main sur sa bouche pour rĂ©primer un cri, et ses yeux sâemplirent de larmes. Moi, je restai trop hĂ©bĂ©tĂ© pour parler.
[Transcription] DolorĂšs Lebris : Lorita ! Lucien LeBris : Est-ce quâelle estâŠ? Agathon LeBris : Jâen ai bien peur. Layla Bahar : Je ne comprends pas comment câest arrivĂ©. Lucien LeBris : Elle est tombĂ©e, Ă©videment. Sonia Houveau : Câest peu probable, rien nâest renversĂ©. Agathon LeBris : Non, il nây a ni sang, ni commotion. IrĂšne LeBris : Quâest-ce que câest que cette odeur atroce ? Lucien LeBris : IrĂšne, ne rentre pas lĂ avec la petite ! IrĂšne LeBris : Sainte Vierge des bĂ©cosses⊠Est-elle morte ? Mais⊠de quoi ? Lucien LeBris : IrĂšne⊠La petite⊠;_; Agathon LeBris : Ses doigts sont mouillĂ©s. Cette odeur que nous sentons tous, câest de la chair brĂ»lĂ©e. Et observez la prise Ă©lectrique noircie prĂšs du phono. Câest Ă cause dâelle les plombs ont sautĂ©. Tout porte Ă faire croire que notre chĂšre Lorita est morte Ă©lectrocutĂ©e. Layla LeBris : Câest un accident, alors. Sonia Houveau : Il faut appeler la police. Agathon LeBris : Mes amis, je crois que notre chĂšre Lorita a Ă©tĂ© assassinĂ©e.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#IrĂšne Bernard#Agathon Le Bris#DolorĂšs LeBris#Layla Bahar#Gizelle LeBris#Roseline LeBris#Lorita Donaldo#Sonia Houveau
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De lâolympisme en intraveineuse. Du shoot de winner mĂ©daillĂ© or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffĂ© par ses Ă©lites, se dĂ©lecte. BientĂŽt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillĂ© BCE, mais qui sâen fout ? La tant redoutĂ©e âtroĂŻka bruxelloiseâ viendra dĂ©fĂ©quer dans les bottes de la garde rĂ©publicaine, nakamuratĂ©e Ă mort et bien incapable de dĂ©fendre la porte du chĂąteau. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu Ă lâĂ©pargne, aux retraites, Ă la santĂ©. On se responsabilisera enfin sous le regard sĂ©vĂšre (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, dâOurzoula et de tous les copains habillĂ© en bleu atlantique. Chiche que lâon nous demandera dâapprendre lâukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tĂąter du muscle au soleil, photographiĂ© sur le yacht dâun Ă©niĂšme oligarque (?), tout sourire, dĂ©jĂ bronzĂ©, sans Jean-Bri. Ăa va nous faire un combo cocaĂŻne-vaseline au coucher du soleil, Ă nâen pas douter. Les feux de lâamour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la RĂ©publique.
La France coule, le sourire bĂ©at, les poumons pleins dâair pur, dans le bonheur dâune capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de camĂ©ras rĂ©putĂ©es intelligentes, gavĂ©e de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga Ă chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bĂ©nĂ©voles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos Ă micro-ondes des quartiers encore Ă©pargnĂ©s par les grillages et les blocs de bĂ©ton.
La France se noie parce quâelle a bu la tasse dans une Seine plombĂ©e par les Ă©trons, les rats crevĂ©s et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors dâun passĂ© couillu et bien rĂ©volu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre Ă Salvadorina Allende et Ă une ministre clitoridienne de jouir dâun bain pourri, infect, dĂ©gueulatoire. Tristes connes, pauvres athlĂštes.
Que se passera-t-il aprĂšs tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombĂ©es de la table, parties sous le tapis ou dĂ©jĂ bouffĂ©es par les rongeurs darwinisĂ©s par la rĂšgle du profit et du silence. MĂȘme les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mĂštres haies tant lâhorizon est bouchĂ© â illisible, imprĂ©visible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aĂźnĂ©e dâune Ăglise wokisĂ©e, pute consentante de satrapes ricaneurs et lĂąches, cumshotĂ©e dans tous ses orifices, veinifiĂ©e Ă la pfizzerine, noyĂ©e dans la CĂšne, raccourcie Ă la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misĂšres proprement mĂ©diĂ©vales ? 2025, annĂ©e des funĂ©railles, ou premier chapitre dâun nouveau rĂ©cit ? Les deux, qui sait, mon GĂ©nĂ©ral ?
J.-M. M.
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j'Ă©tais la fille qui ne tenait pas la cadence, pendant les cours d'endurance en eps au collĂšge. abonnĂ©e aux notes en dessous de 9/20 parce que ton corps n'est pas en capacitĂ© de tenir autant que ce que demande le polycopiĂ© du prof. aucun conseil pour aider Ă la progression, juste le constat que tu es une brĂȘle qui devrait tenir plus longtemps. j'ai longtemps pensĂ© que j'Ă©tais incapable de courir plus de 3 minutes sans m'essouffler et que c'Ă©tait immuable (comme 2 et 2 font 4 ou bien ma tendresse pour loana). et puis, si, finalement, ils avaient raison, tous ces gens, de dire que ça se travaille. petit Ă petit, Ă©videmment. je trottine plus que je ne cours, sur mon tapis Ă la salle de sport. d'abord heureuse d'avoir rĂ©ussi Ă courir 10 minutes sans m'arrĂȘter. maintenant j'approche des 23 minutes. petit Ă petit. mais ça me fait plaisir. la contrepartie, c'est que j'ai rdv jeudi chez un kinĂ© (parce que douleur suspecte Ă chaque session, Ă l'intĂ©rieur de la cheville droite). qu'est-ce qui va se passer ? je ne connais pas les kinĂ©s. je vais devoir mimer la course Ă pied dans son cabinet ? comment je dois dĂ©crire la douleur ? (alors, ça fait pas mal de façon handicapante, mais ça me fait peur) est-ce que je dois apporter mes pompes de sport ? que d'interrogations, je vous jure.
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Alors
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.
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Alors il faudrait se réjouir
sur commande,
sur un claquement de doigts,
il faudrait sourire
béatement
au nom d'une mythologie absconse,
d'un nouveau nĂ©, d'un Ăąne, d'un bĆuf
et d'une paillasse de fortune,
alors il faudrait oublier le cours du monde,
l'impétueux torrent de haine déversé
par tapis de bombes,
rafales de Kalashnikov,
alors il faudrait célébrer le fils d'un Dieu,
d'un des Dieux,
d'un des millions de dieux
tous mieux
les uns que les autres
au nom duquel, desquels
tant de sang a coulé.
Et coule encore.
Alors il faudrait défaire le ruban rouge,
déchirer le papier,
s'extasier
et s'extraire de toutes ces pensées.
Alors c'est Noël, bonnes gens
souriez, gavons-nous
devant le spectacle désolant
d'une humanité à la dérive
avant de nous coucher repus
de notre fatuité.
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Merci Ă Chat GPT d'Ă©crire tous mes mails de recherche d'emploi et de rĂ©ussir Ă me vendre comme jamais je n'oserai me vendre. SincĂšrement, quand on manque de confiance en soi et que tout ce qu'on voudrait dire c'est : "s'il vous plaĂźt embauchez-moi, je sais faire mes lacets" (non je n'exagĂšre pas du tout), Chat GPT rĂ©ussi Ă te pondre des mails dignes des plus grands marchants de tapis de LinkedIn. (pardon ce post n'a pas beaucoup de sens mais je suis en train d'envoyer des candidatures spontanĂ©es et en tant qu'introvertie en puissance ĂA ME FAIT PANIQUER AU PLUS HAUT POINT).
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
2/7
Pour renforcer l'impression d'avoir débarqué dans un véritable vaudeville, laissez moi vous conter une anecdote. Elle date de notre séjour en Egypte, mais j'attendais de voir sa conclusion avant de vous en parler.
Vous savez peut-ĂȘtre qu'avec l'engouement que suscite l'Ă©gyptologie et le nombre de touriste toujours grandissant qui s'y rend, nombreux sont les Ă©gyptiens Ă tenter de profiter de cette manne financiĂšre, et de bon droit. Alors que errions dans un souk trĂšs frĂ©quentĂ© Ă Louxor, Constantin est tombĂ© par hasard sur un artisan tailleur de pierre qui rĂ©alisait des facsimilĂ©s de qualitĂ© assez mĂ©diocre. Ce dernier rĂ©alisait alors ce qui semblait ĂȘtre un sarcophage en calcaire, assez simple pour passer pour authentique. Constantin s'est arrĂȘtĂ© devant et a observĂ© l'artisan de façon trĂšs insistante pendant plusieurs minutes. Quand les yeux de Constantin se perdent ainsi dans le vague, mieux vaut le laisser et attendre. Je suis donc allĂ©e acheter un foulard dans une Ă©choppe voisine. A mon retour, mon mari, trĂšs fier, m'a annoncĂ© qu'il avait achetĂ© le sarcophage et qu'il comptait l'offrir Ă Madame EugĂ©nie pour qu'on puisse l'y enterrer l'heure venue.
Transcription :
Constantin ïżœïżœÂ Ah Grand-MĂšre ! Je vous attendais depuis une bonne heure. »
EugĂ©nie « A mon Ăąge, il convient de se reposer frĂ©quemment pour garder une bonne santĂ© mon petit ! Mais quâest-ceâŠÂ ? »
Eugénie « Dis moi, mon garçon⊠Quelle est cette chose qui encombre mon tapis ? »
Constantin « Je vous avais dit quâune partie de mes bagages Ă©taient restĂ©es un moment Ă la douane de Marseille. Cela nâa pas Ă©tĂ© facile avec tous ces escaliers, mais on me lâa enfin apportĂ©Â ! Câest splendide nâest-ce pas ? »
EugĂ©nie « Hum⊠câest trĂšs brut, dirons nous. Mais quand tu parlais de bagages, jâimaginais plutĂŽt quelques malles, pas⊠quâest-ce dâailleurs ? »
Constantin « Et bien, votre cadeau enfin ! »
Eugénie « Mon cadeau ? »
Constantin « Oui, vous mâaviez fait promettre de vous ramener quelque chose cette fois. Comme je ne suis pas ingrat, je mây suis attelĂ©. Je me suis vraiment creusĂ© la tĂȘte pour trouver quelque chose qui pourrait vous plaire, et cela nâa pas Ă©tĂ© facile. Et finalement, je suis tombĂ© sur cette beautĂ©, et je me suis dit que câĂ©tait la chance qui lâavait mis sur ma route ! »
EugĂ©nie « Fort bien. Et quâen a dit Albertine ? »
Constantin « Jâai du insister car elle nâa pas du tout apprĂ©ciĂ© que je le fasse ramener Ă lâhĂŽtel. Elle a dit que câĂ©tait un cadeau morbide Ă la limite de lâinsulte. Mais je ne suis pas dâaccord. Nous nous sommes mĂȘmes disputĂ©s Ă ce sujet, vous rendez vous compte ? »
EugĂ©nie « Morbide tu disâŠÂ »
Constantin « Cela nâa rien de morbide. Qui ne rĂȘverait pas dâĂȘtre enterrĂ© dans un sarcophage ? Je vous accorde que celui de Monsieur Mariette est plus travaillĂ©, mais je me suis dit que celui-ci aurait lâair plus authentique. Il faudra simplement penser Ă prĂ©venir les fossoyeurs au prĂ©alable. »
EugĂ©nie « Tu mâas offert un⊠sarcophage ? »
Constantin « Et bien oui. Câest Adelphe qui me rappelait justement quâun jour vous ne seriez plus parmi nous et quâil me fallait mây prĂ©parer. Je lâai bien Ă©coutĂ©, car vous mâavez toujours dit de bien Ă©couter Adelphe, et il est hors de question que lâon inhume ma grand-mĂšre dans un bĂȘte cercueil en acajou. Non, vous mĂ©ritez les honneurs des anciennes reines dâEgypte ! »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Constantin Le Bris#Eugénie Bernard#Adelphe Barbois
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Terre-2, l'Ăźle de Neferis
Dans les profondeurs dâune rame de mĂ©tro abandonnĂ©e est tapi un portail secrĂštement gardĂ©.
Câest Ă la surface que Neferis prend place dans un contexte oĂč l'Ă©quilibre fragile entre la magie et la technologie est constamment menacĂ©. Au coeur de cette Ăźle Ă©touffĂ©e par les lois moldu·e·s, les stations de Cheminette clandestines se dissimulent dans lâombre, offrant un lien solide avec la dimension dâElysium : Ă©chappatoire pour beaucoup.
Ici, les sorcier·e·s ont appris à composer avec les machines moldu·e·s, déjouant les regards scrutateurs des caméras de surveillance, tissant des voiles d'illusion pour dissimuler leur magie et échapper à l'oeil méfiant des humain·e·s. Les rues pavées de Neferis résonnent du cliquetis des détecteurs de magie, portés par des patrouilles de police qui sillonnent les quartiers, traquant sans relùche les signes d'une magie non autorisée et les sorcier·e·s dissident·e·s.
Lâinterdiction de crĂ©er des lieux dissimulĂ©s par peur quâune rĂ©bellion sâorchestre dans lâombre a donnĂ© naissance Ă de nombreux Ă©tablissements sorciers illĂ©gaux : les moyens dây accĂ©der sont tous plus crĂ©atifs les uns que les autres.
Les dispositifs enchantĂ©s et les Ă©nergies magiques s'entrelacent avec les machines et les innovations moldu·e·s, donnant naissance Ă la technomagie. Des automates ensorcelĂ©s sâaniment sous le regard Ă©merveillĂ© ou rĂ©pugnĂ© des passants, tandis que les bĂątiments enchantĂ©s dĂ©fient les lois de la physique, sâĂ©levant vers les cieux dans une danse harmonieuse. Au-delĂ de la splendeur apparente, les merveilles cachent pourtant leurs secrets â laboratoires-usines oĂč les sorcier·e·s sous le joug des moldue·s nâont dâautres choix que de mettre Ă disposition leurs dons et capacitĂ©s. PrĂ©jugĂ©s et discrimination sont lĂ©gion bien que de maniĂšre inĂ©gale : certain·e·s travaillent pour des structures publiques et sont ârespecté·e·sâ mais surveillé·e·s â dâautres sont rĂ©duit·e·s Ă vendre leur magie pour espĂ©rer payer leur loyer, sâembourbant alors dans des contrats avec des individus dĂ©pourvus de respect. Tous·tes sâassocient pour garder secrĂšte lâexistence dâĂȘtres et de flĂ©aux de crainte dâune rĂ©action drastique de la part des moldu·e·s.
Les crĂ©atures magiques ne disposent pas de meilleures conditions, tolĂ©rĂ©es en fonction de leur taille et seulement aux cĂŽtĂ©s de leurs maitres·ses â ou si elles peuvent faire office de divertissement.
Il nâest guĂšre surprenant que les moldu·e·s contaminé·e·s aient majoritairement Ă©tĂ© terrifié·e·s ou horrifié·e·s par lâapparition de leurs nouvelles aptitudes. La plupart y voient des anomalies, si bien quâiels gardent scrupuleusement leur secret de peur dâĂȘtre rejeté·e·s par leur entourage.
La tentation de fuir est grande, mais demeure un rĂȘve illusoire pour la majoritĂ©. En effet, s'iels Ă©taient trop nombreux·se·s Ă disparaĂźtre, les enquĂȘtes seraient inĂ©vitables et mettraient en pĂ©ril le secret et l'existence de la brĂšche, en plus de causer prĂ©judice Ă celleux resté·e·s derriĂšre. Par ailleurs, visiter un lieu est plus aisĂ© que s'y installer avec le statut d'Ă©tranger et enfin, pour beaucoup, les liens relationnels, familiaux et l'attachement Ă leur Terre de naissance rendent pĂ©nible l'idĂ©e d'un dĂ©part dĂ©finitif, d'un abandon.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif
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Aujourdâhui, vendredi 21/06/24, JournĂ©e internationale de la girafe đŠ JournĂ©e internationale de la lenteur đŠ„ JournĂ©e mondiale de l'hydrographie đ§ JournĂ©e mondiale de la moto đïž JournĂ©e mondiale de la SclĂ©rose LatĂ©rale Amyotrophique (SLA) đ et JournĂ©e mondiale du yoga đ§
Incroyable, jâutilise plusieurs calendriers imprimĂ©s et ils mâont tous indiquĂ© que lâĂ©tĂ© Ă©tait aujourdâhui alors quâen fait, câĂ©tait hierâïžCette annĂ©e, lâĂ©tĂ© a dĂ©butĂ© officiellement le 20 juin au lieu du 21 comme cela avait Ă©tĂ© le cas ces derniĂšres annĂ©es đČ
Je viens dâapprendre que jamais lâĂ©tĂ© nâavait commencĂ© aussi tĂŽt depuis⊠1796 đ Donc vu que le dĂ©but de la saison estivale varie entre le 19 et le 22 juin, est-ce que du coup la FĂȘte de la musique sâest prise les pieds dans le tapis ou bien je soulĂšve un liĂšvreâ
On va dire que lâĂ©vĂšnement musical de la journĂ©e ne tient pas compte de la date des solstices et des ajustements liĂ©s au calendrier grĂ©gorien đ Et on va croiser les doigts pour que la mĂ©tĂ©o soit clĂ©mente đ€ En tout cas, dans la citĂ© lacustre, la nuit a Ă©tĂ© trĂšs agitĂ©e đŹïžÂ
Indice ATMO : le panache de poussiĂšres dĂ©sertiques devrait quitter la rĂ©gion, poussĂ© par un flux de sud-ouest. Une certaine instabilitĂ© atmosphĂ©rique devrait garantir le passage rĂ©gulier d'averses parfois orageuses sur l'ensemble du territoire, favorisant ainsi une baisse des concentrations đšÂ
La qualitĂ© de lâair devrait ĂȘtre dĂ©gradĂ©e sur le quart sud-est, moyenne ailleurs. Lâindice de risque pollinique reste Ă©levĂ©, au niveau 3 en ce qui concerne les graminĂ©es, et ce au moins jusquâĂ aujourdâhui (on verra demain si il y a du changement) đ€§
Aucun dicton du jour aujourdâhui đČ Jâen ai bien trouvĂ© deux mais pour le premier, ma ligne Ă©ditoriale ne me permet pas de le publier, quant au second, comment dire, il est chaud, beaucoup trop chaud, vraiment trop chaud alors je passe mon tour đł
Bon cinquiĂšme jour de la semaine Ă tous et Ă toutes đ·
Bonne fĂȘte aux Rodolphe đÂ
đ· JamesO PhotO Ă Annecy le jeudi 20/06/24 đž
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CâEST LâĂTĂ, METTEZ VOUS Ă LA BEACH CAR
Austin 850 Beach Car de 1961
Les anglais ont un talent: Savoir prendre au vol les idĂ©es quâils nâont pas eu. Alec Issigonis, alors quâil travail dĂ©jĂ sur lâabsurde Mini Moke, est contactĂ© par un rĂ©seau hĂŽtelier qui souhaite disposer dâune auto de service pour ses clients. Il charge le styliste Dick Burzi de dessiner un vĂ©hicule lĂ©ger entiĂšrement ouvert sur une base de Mini. En 1961 est prĂ©sentĂ©e lâAustin 850 Beach Car. Elle rĂ©cupĂšre la coque Ă coffre de la Wolseley Hornet et le nez de lâAustin Mini. Les portes sont coupĂ©es, la vitre arriĂšre retirĂ©e mais le toit en tĂŽle est conservĂ© au profit de la rigiditĂ©. La sociĂ©tĂ© Lloyd Loom se charge de concevoir sellerie, tapis et autres accessoires entiĂšrement en osier. Produits en deux ou trois volumes, tous ces vĂ©hicules recevrons le prĂ©fixe « SPL » sur leur plaque constructeur: Appellation rĂ©servĂ©e aux vĂ©hicules spĂ©ciaux. Au final, ce seront moins de 10 Mini Beach Car qui seront produites jusquâen 1962.
Le modĂšle prĂ©sentĂ© est le prototype initial, et date de 1961âŠ
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saga: Soumission & Domination 364
Arrivés à la villa c'est direct les salles de bain ! Douches pour tous et rasages pour certains ne sont pas de trop. Puis morts de fatigue, grosse sieste au soleil (oui je sais c'est la mauvaise heure rapport aux UV !) sous une bonne couche de crÚme. Paco se charge de réveiller l'un ou l'autre pour assurer le renouvellement des protections ou basculer de face certains. Vers 17h, c'est un réveil général. La triplette qui a du mal à faire surface est projetée dans la piscine. Echauffourée générale !
Quand Paco demande de l'aide pour aller faire les courses car les stocks sont au plus bas et nous recevons ce soir, c'est pas la bousculade. MĂȘme son Jesus tire au flanc. Ok, j'ai compris, je m'y colle. Deux grosses glaciĂšres dans le coffre nous descendons faire nos achats. J'ai consenti Ă couvrir mes fesses d'un short Aussiebum plus provoquant que couvrant et d'un marcel qui Ă©largi encore plus mes Ă©paules. Paco rigole ne me voyant monter dans la voiture et me dit que nous n'allons qu'au supermarchĂ© ! Nous y faisons nos courses. Moment agrĂ©able avec la clim du magasin. RĂ©appros des basiques : eau, lait, fromages, Sopalin ! J'ajoute kpotes et gels dans une quantitĂ© qui fait rire la caissiĂšre quand je les entasse sur son tapis. Puis nous passons chez son primeur pour les lĂ©gumes. Pas Ă dire ils sont quand mĂȘme plus beau qu'au grand magasin. Pour la viande c'est aussi un boucher de sa connaissance qui reçoit notre visite. Petit moment de confusion quand le professionnel me prend pour le dernier copain en date de Paco. Il rectifie et me place comme un de ses patrons. Je m'approche alors de lui, attrape son paquet et le mettant en Ă©vidence j'ajoute " pas que ". Paco rougit alors que son pote Ă©clate de rire (nous Ă©tions seuls dans sa boutique quand mĂȘme). Paco bande et ça se voit !! AprĂšs ça l'ambiance est dĂ©tendue ! Le professionnel nous sert les quelques kilo que nous Ă©tions venu chercher pour le BBQ du soir. En partant, le mec me dit que si je me fatiguais de mon cuisinier, il avait un " morceau " Ă©quivalent Ă mon service. Au moins ça le mĂ©rite d'ĂȘtre clair ! Retour Ă la villa. Les autres ont profitĂ© pour faire un peu de rangement et quand je renverse le sac des " outils spĂ©ciaux ", il s'en trouve trois pour aller rĂ©partir les stocks dans les endroits stratĂ©giques.
Naturellement Nathan donne un coup de main à Paco. Il s'occupe de la marinade des viandes alors que Paco organise la partie légumes.
Je raconte à mes amours que je m'étais fait draguer par le boucher. Ils me disent qu'avec ma tenue, c'est d'avoir échappé à un viol qui les étonne !
DÚs 19h30 nos nouveaux amis sont à la porte, impatients. Ils découvrent la villa et admettent que c'est le niveau au-dessus de la leur. La piscine plus grande leur plait bien mais c'est surtout les installations de muscu qui les font kiffer. Ils ont apporté les alcools et le vin. Et l'un d'eux aprÚs avoir repéré le bar s'improvise aux cocktails. Il nous fait des boissons délicieuses et pas trop chargées qu'on puisse profiter de notre soirée. Accompagné des tapas confectionnés par Paco, la soirée se lance parfaitement.
Sachant que le sexe viendra avec certitude, il n'y a pas de dĂ©rapage, mĂȘme si les maillots prennent du volume. Justement les jeux de sĂ©ductions fleurissent. Quand un mec devient trop chaud, il se plonge dans l'eau Ă 28° pour se rafraichir les idĂ©es. Yago, celui qui m'avait si bien sodomisĂ© le martin mĂȘme, me demande s'il pourra venir utiliser les postes de muscu. Vu sa largeur d'Ă©paules j'en Ă©tais sĂ»r. Mais quand il me dit ça, il regarde aussi mon petit cul moulĂ© dans l'Aussiebum du moment.
J'éclate de rire et lui dit que c'est aussi mes 85Kg qui l'intéressent. Alors qu'il m'avoue que oui, me saute dessus mes trois amours (Ernesto, PH et Ludovic). Ayant entendu la derniÚre réplique, ils lui disent qu'il faudra aussi compter avec eux.
Du coup je situe qui est qui. C'est limite si Yago allait s'excuser de m'avoir enculé ! Ernesto l'attrape par le cou et le rassure. C'est juste qu'eux aussi veulent profiter de ses capacité physiques. Et il conclue ça par une grosse pelle. De son cÎté, il nous informe qu'il est le petit frÚre de Felipe.
Je vois Ernesto le jauger avant qu'il ne lui demande ce qu'il fait comme Ă©tudes. Je sens qu'il a une idĂ©e derriĂšre la tĂȘte. Il me fait un clin d'oeil et me dit qu'il n'a personne de basĂ© sur Madrid. Marc bat le rappel et nous commençons les grillades. Si Paco et Nathan s'y collent dans un premier temps, aprĂšs chacun donne un coup de main, mĂȘme les invitĂ©s. L'ambiance est bonne et les vins apportĂ©s sont dĂ©licieux bien qu'espagnol (joke).
Je passe de groupe en groupe. Les discussions vont de savoir si les mecs draguent sur la plage (mes plus jeunes qui se renseignent) à des sujets plus sérieux : situations des uns et des autres, crise, autonomie... quand je m'introduis dans d'autres groupes.
La nuit tombe et les éclairages de la villa (piscine comprise) étirent des ombres fantasmagoriques. Les différents alcools commencent à faire leurs effets désinhibiteurs. Les deux groupes sont mélangés et les mains s'égarent enfin ! Avec mes trois amours, on kidnappe Yago et nous squattons une des chambres.
Pendant l'heure et demi qui a suivi, il n'a plus touchĂ© terre ! Entre sa bouche ses tĂ©tons, sa bite et sa rondelle, il y avait toujours l'un de nous sur le chantier. Mes " collĂšgues " ont testĂ© sa bite et ses coups de reins impĂ©rieux et tous ensembles (mais un par un) nous avons Ă©largi sa rondelle. Pas salauds, quand il nous a dit ne pas avoir Ă©tĂ© sodomisĂ© depuis longtemps, on y a Ă©tĂ© croissant. Mais il a pris mĂ©chamment son pied avec les 24 x6 d'Ernesto !  Nous n'Ă©tions pas de trop, Ă trois, pour maintenir son corps qui se tordait de plaisir. Moi j'Ă©tais Ă lui bouffer le tĂ©ton droit comme PH se faisait le gauche et que Ludo utilisait tout son poids (plantĂ© sur ses 21cm) pour le stabiliser. Ses cris de plaisir ont rameutĂ© son frĂšre qui a Ă©tĂ© stupĂ©fait de le voir emmanchĂ© sur une si grosse queue. Quand on dĂ©monte notre " Ă©chafaudage " je vois que son torse est couvert du sperme de Ludo, que les kpotes sont pleines (Yago et Ernesto). Avec PH, on s'agenouille et on se roule une pelle par-dessus Yago et en 2 mouvements de poignet, larguons Ă notre tour la sauce ! Felipe s'approche alors de son petit frĂšre et s'enquiĂšre de lui. Il nous dit que c'est la premiĂšre fois qu'il apprend que son frĂšre s'est fait enculer. Il n'avait jusqu'alors jamais Ă©tĂ© autrement qu'Actif !! Yago encore un peu parti le rassure et lui dit qu'on avait Ă©tĂ© trop bons !! Passage dans la salle de bain, retrait des secrĂ©tions collant sur nos peaux puis nous retournons dans la mĂȘlĂ©e. Felipe est derriĂšre moi et sa main entre mes fesses pousse ses doigts contre ma rondelle.
Quand je lui dis que je n'ai pas encore goutĂ© Ă ses amis, il pose la tĂȘte sur mon Ă©paule et me dit que de toutes les maniĂšres j'avais baisĂ© avec les deux meilleurs de leur groupe !! Comme nous atteignons le salon, il me plie sur le dossier du canapĂ© et j'entends la dĂ©chirure d'un Ă©tui Ă kpote et 3 secondes plus tard, il me plante sa bite dans le cul ! Je me cambre et j'attrape son cou pour me retenir dressĂ©. Je lui demande si c'est une vengeance pour la veille en boite ?
Non, mais je l'aurai mérité à avoir enculé les deux frÚres qui étaient jusque-là les purs Actifs de leur groupe ! Je le laisse se défouler dans mon cul. Il est bon à ce petit jeu lui aussi. Il alterne pilonnage du fond de mon trou avec de grandes envolées qui le font sortir de ma rondelle. Ludo nous rejoint. Il s'agenouille devant moi et me roule une pelle.
C'est juste aprĂšs que je sens que la bite quoi me laboure n'est plus la mĂȘme ! Je me dĂ©gage de ses mains et retourne la tĂȘte. Ils sont 6 bandĂ©s et kpotĂ©s derriĂšres moi Ă attendre que mon trou soit libĂ©rĂ© pour m'enculer Ă leur tour !!
Je laisse faire et profite du moment. Chacun a son style et c'est agrĂ©able par la variation d'effet que cela me procure. Marc passe et me traite gentiment de salope ! Pas faux non plus, mĂȘme si mon Ludo conteste la chose. Evidement ça finit avec un mĂ©lange d'ADN sur mes reins.
Petit moment de calme aprĂšs la tempĂȘte qui a secouĂ© mon trou ! Nouvelle douche, Ludo m'accompagne et me donne des nouvelles des autres. Mes deux escorts ont Ă©tĂ© trouvĂ©s particuliĂšrement bons et notre triplette s'est encore fait remarquer par leur ingĂ©niositĂ© dans les sodos de groupe !! Quand on rejoint la terrasse, les autres ont dĂ©jĂ en train de reprendre des forces avec les desserts. Je prends un cafĂ© puis tombe Ă l'eau. Quelques ploufs derriĂšre moi. Je suis rejoint par la triplette qui vient d'arriver.
Ils me coursent et m'attrapent, ce qui est facile dans ce genre de bassin. Ils m'agressent (roulage de pelles, collages contre moi), encore tous fous de leurs plans baises. Nathan me dit n'avoir jamais imaginĂ© ce type de trip. Il rĂ©itĂšre l'offre qu'il m'avait dĂ©jĂ faite de satisfaire Ă tout ce que je voudrai. C'est trop mimi, d'autant plus qu'il ne connait pas l'oiseau ! Il prend des risques. Enguerrand qui en sait plus, lui, sur ce dont je suis capable temporise et me dit qu'il est quand mĂȘme un des membres du trio et qu'ils sont mes " petits frĂšres ". Je vois oĂč il veut en venir. Je les attrape tous les trois par le cou, les serre contre moi et leur promet de ne jamais abuser de leurs confiances. Des pelles anarchiques Ă 4 langues, scellent cette promesse. Nous donnons l'hospitalitĂ© Ă nos invitĂ©s et ils ne nous quittent qu'aprĂšs le brunch de midi.
Seul Ă©vĂšnement notable du reste des vacances (les touzes, baises, dragues et divers passages en boites sans compter les tĂȘtes tournĂ©es par nos petits culs dĂ©ambulant Ă la limite de la mĂ©diterranĂ©e) a Ă©tĂ© le recrutement de Yago comme Escort.
Comme la filiale espagnole a beaucoup de clients recto/verso, il devrait s'y plaire.
Ernesto l'avait jaugĂ© au premier regard. Son physique alliĂ© Ă sa jeunesse et Ă ses performances sexuelles l'avait convaincu d'en faire un membre de notre Ă©quipe espagnole. Le fait qu'il ait quasiment passĂ© le reste de notre sĂ©jour chez nous (plus de jeunes de son Ăąge qu'avec son frĂšre et ses amis) nous a facilitĂ© les choses quand Ă le cerner. Issu de parents de la classe moyenne ayant la chance de ne pas avoir perdu leurs travails, avec son grand frĂšre dĂ©jĂ indĂ©pendant (d'oĂč les vacances avec lui) il n'est restait pas moins que la vie Ă©tait dure avec 2 frĂšres plus petits que lui. Quand Ernesto lui a proposĂ© un taf rĂ©gulier, peu gourmand en temps et fortement rĂ©munĂ©rateur, il a sautĂ© dessus.
Entrant en école d'architecture, il s'était octroyé là son dernier mois de vacances avant de taffer à l'usine pour aider ses parents. Eureka ! J'ai la solution !! Quelques coups de téléphone, je lui décroche un stage rémunéré chez Olivier le mec de mon petit Pierre et architecte de son état. Je les savais en vacances en Juillet et donc au taf en Août. Yago est un peu éberlué de la vitesse avec laquelle sa vie est en train de changer.
Marc doit y aller de sa caution morale auprÚs du grand frÚre pour valider cette option. De mon cÎté je fournis tous les renseignements sur le cabinet d'architecture d'Olivier. Ce dernier nous envoie par mail le contrat de travail et le tout est bouclé avant notre retour en France. Ses parents sont ravis qu'il ait trouvé un travail dans sa future branche plutÎt qu'à l'usine et aprÚs avoir été rassuré quant au fait que son séjour en France ne lui mangera pas ce qu'il va gagner, ils lui donnent leurs bénédictions.
J'en profite pour inviter Felipe Ă venir le voir, nous serions tous trĂšs heureux de l'accueillir quelques jours chez nous.
Retour en France. Nous sommes tous honteusement bronzés et nos culs blancs à nous les jeunes sont de véritables appels au viol. Petite déception, que des hÎtesses pour servir la premiÚre classe !
Ludo et Enguerrand filent directement chez eux tout comme Nathan, Max et Romain alors que nous prenons nos quartiers Ă la campagne. MĂȘme si l'Espagne c'est bien, ĂȘtre chez nous l'est aussi ! JoĂŁo est avec nous et apprĂ©cie aussi le calme de cette nouvelle villĂ©giature. Marc et HervĂ© reprennent le collier et nous quittent dĂšs le lundi matin suivant notre retour.
Je laisse deux jours à mes " fermiers " d'amours avant d'aller les chercher. Ernesto m'accompagne alors que je leur emmÚne Max et Nathan. Mes " beaux-parents " sont ravis de nous voir tous en si bonne forme et tout bronzés. Surtout quand on se plonge dans leur nouvelle piscine. A son propos, ils ne savent comment nous remercier et nous disent en avoir jusque-là bien profité. Je me fais le porte-parole de tous en leur demandant juste de ne pas changer.
Le pÚre, bronzé est vraiment canon et je suis content rien qu'à l'idée que mon Ludovic puisse devenir comme lui.
S'ils sont surpris de la prĂ©sence d'Ernesto, ils n'en font pas cas. CĂŽme est lĂ aussi. Il revient juste de son stage obligatoire. Il est moquĂ© quand en maillot, son bronzage " agricole " se rĂ©vĂšle. Ok ce n'est pas un vrai de vrai car il s'est mis torse nu dĂšs qu'il le pouvait. Mais on voit quand mĂȘme les marques de ses t-shirts ! Le bon français d'Ernesto est fĂ©licitĂ© par les parents. Le pĂšre prĂ©vient la triplette qu'ils ont bien fait de prendre des vacances car maintenant ils allaient l'aider Ă la ferme. Madame mĂšre les rassure aussitĂŽt qu'en cette saison, c'Ă©tait plutĂŽt calme ! Nous restons dĂźner et rentrons tard Ă notre campagne Ă nous.
Jardinier
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2025 perfume
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resolution: doing more sports next year
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5 décembre
hier soir je suis allĂ©e voir un concert de g. anciennement mon fan numĂ©ro deux. je lui ai pas parlĂ© mais quand je suis partie je lui ai fait au revoir de la main en lui souriant avec un pouce en lâair et il m'a dit Ă bientĂŽt et maintenant je me dis qu'il faut que je lui Ă©crive puisqu'il a dit Ă bientĂŽt il faut bien qu'il y ait un bientĂŽt. j'ai passĂ© la soirĂ©e Ă lorgner sur la table oĂč il Ă©tait assis Ă la fin avec tous les autres artistes pendant que moi j'Ă©tais coincĂ©e avec a. et son ami horripilant qui heureusement nous a rejoint qu'Ă la fin. quand je me suis rendu compte qu'ils couchaient ensemble et qu'elle rentrait en voiture avec lui je me suis retenue de pas dire ew ew ew, il m'a dĂ©goĂ»tĂ©e dĂšs que je l'ai vu arriver avec son parapluie qu'il a posĂ© sur la table et son pardessus de parvenu et sa chemise sous son pull et sa grosse montre et sa coupe de champagne et son weekend en avion Ă nice et ses selfies devant la mer et son weekend de ski Ă val thorens qu'il a annulĂ© parce qu'il va pas faire beau ETC mais pourquoi je m'Ă©nerve sur ce type alors que j'ai passĂ© une bonne soirĂ©e avec a. et la guitare dĂ©licate de g. dĂ©licat dĂ©licate les deux me vont Ă un moment pendant le concert je croyais qu'il Ă©tait en couple avec e. r. et j'Ă©tais jalouse. les guitares sont les plus grandes attrape-couillonnes jamais inventĂ©es et je suis la couillonne en chef. j'avais envie qu'il me chante ses chansons dĂ©licates rien que pour moi. dans sa ferme. la ferme oĂč il habite. j'avais aussi envie d'ĂȘtre Ă sa place, Ă©videmment.
10 décembre
j'ai rĂȘvĂ© d'un lĂ©zard et d'une grenouille Ă cĂŽtĂ© de mon lit par terre sur le tapis. ils bougeaient, ils Ă©taient vivants, ils se promenaient dans ma chambre, y avait aussi un poisson avec des jolies couleurs alors je suis vite allĂ©e remplir un grand seau d'eau. y avait aussi deux perlou qui se faisaient des cĂąlins et je me suis incrustĂ©e dans leurs cĂąlins. je crois que j'ai envie de toucher des animaux. je suis allĂ©e me promener derriĂšre le centre Ă©questre mais j'ai vu ni chevaux ni vaches. j'ai mĂȘme rallongĂ© mon chemin dans la forĂȘt pour passer devant le petit Ă©tang dans l'espoir de voir une grenouille mais j'ai vu personne. il pleuvait. en rentrant j'ai pris une douche et j'ai pensĂ© Ă jeanne dielman en me lavant la nuque. on l'a regardĂ© dimanche avec maman et on la voit se laver la nuque avec un gant dans sa baignoire. ça m'a marquĂ©e parce que je me suis rendu compte que je me lavais jamais la nuque et aussi parce que je trouvais la scĂšne trĂšs inconfortable. je me demandais pourquoi elle se lavait assise dans sa baignoire froide au gant de toilette, je me demandais pourquoi elle Ă©coutait pas la radio, pourquoi elle gardait ses chaussures Ă talons Ă l'intĂ©rieur, pourquoi mĂȘme ses pantoufles avaient des talons et pourquoi elle faisait cent mille allers-retours entre les piĂšces en ouvrant et en fermant des portes Ă chaque fois. chantal akerman dit que jeanne dielman a parfaitement rĂ©glĂ© rempli sa vie de tĂąches mĂ©nagĂšres au millimĂštre Ă la secondes prĂšs pour ne jamais se retrouver seule avec ses pensĂ©es. et puis un jour y a un trou dans son emploi du temps et sa journĂ©e se dĂ©rĂšgle et sa tĂȘte se dĂ©rĂšgle aussi y a un truc qui saute et elle tue un homme qui la paie pour coucher avec elle. je me suis demandĂ© si sa vie aurait Ă©tĂ© diffĂ©rente si elle avait tenu un journal. je pensais Ă la danseuse yvonne rainer qui raconte dans son autobio que c'est le silence qui l'a poussĂ©e Ă essayer de se tuer. son incapacitĂ© Ă mettre des mots sur ce qui se passait Ă l'intĂ©rieur. on la voit jamais exprimer aucune Ă©motion, ni en parler. mais maman non plus ne parle jamais de ses Ă©motions, maintenant que j'y pense. elle a dit qu'elle trouvait que le film finissait en queue de poisson parce qu'on sait pas ce qui va lui arriver aprĂšs avoir tuĂ© l'homme. je lui ai dit que c'Ă©tait pas le sujet. je pensais Ă clarisse michaux qui a Ă©crit un livre de poĂ©sie sur son visionnage du film. elle pouvait plus s'arrĂȘter de penser Ă jeanne dielman. le premier jour du poetik bazar sa mĂšre m'a demandĂ© si je savais oĂč Ă©taient les halles de schaerbeek dans la rue mais je savais pas non plus alors on a cherchĂ© ensemble. elle m'a dit qu'elle venait jamais dans ce quartier, que c'Ă©tait ses enfants qui la faisaient sortir, qu'elle allait voir sa fille, elle faisait une lecture de son nouveau livre.
16 décembre
hier matin on Ă©coutait une Ă©mission sur les journaux intimes dans la cuisine et ils parlaient d'un centre d'archivage oĂč on peut envoyer ses carnets, ils en reçoivent en moyenne 120 par an. ils ont lu des extraits du journal d'un homme de 1915 avec une fleur sĂ©chĂ©e Ă l'intĂ©rieur. ils parlaient des journaux qui ne sont pas destinĂ©s Ă ĂȘtre lus, jamais, sauf par la descendance un jour peut ĂȘtre, et puis des gens qui publient leur journal sur internet, pour ĂȘtre lus. je sais plus oĂč je me situe depuis que je le publie sur tumblr quasi intĂ©gralement. est-ce que ça a changĂ© quelque chose? j'ai pas l'impression, curieusement. je me censure pas, j'embellis pas, j'ai la mĂȘme relation avec mon journal qu'avant. le seul truc qui a changĂ© c'est que j'Ă©cris plus. mais ça c'est aussi liĂ© Ă ma nouvelle activitĂ© littĂ©raire. j'ai Ă©tĂ© invitĂ©e Ă faire une lecture Ă paris en fĂ©vrier, la fille qui m'a invitĂ©e a lu mon texte dans sabir et mon texte dans sabir n'existerait pas sans mon journal. m. m'a racontĂ© que l'autre jour Ă la ass book fair de bruxelles elle Ă©tait allĂ©e voir leur stand pour prendre en photo le numĂ©ro avec mon texte et une des filles lui a dit que justement quelqu'un venait de lui dire qu'elle adorait ce numĂ©ro Ă cause de mon texte et qu'il avait beaucoup de succĂšs AHH, ĂȘtre lue et aimĂ©e, je vaux pas mieux que nicolas mathieu.Â
j'ai encore loupĂ© une opportunitĂ© de me mĂȘler Ă la population artistique qui m'intĂ©resse le weekend dernier, je voulais aller Ă la soirĂ©e de prĂ©sentation de projets du collectif ill mais c'Ă©tait encore Ă esch et y avait aucun train ni de bus direct en circulation, maman m'a proposĂ© de m'amener mais j'avais peur de pas savoir comment rentrer et de devoir attendre le bus dans une zone industrielle au milieu de nulle part dans le noir alors j'y suis pas allĂ©e et j'ai passĂ© la soirĂ©e Ă ĂȘtre Ă©nervĂ©e contre ce maudis pays rendez-moi la bvg, je me sentais tellement libre de mes mouvements Ă berlin, j'avais peur nulle part parce qu'y avait du monde partout. mĂȘme si les distances entre les choses Ă©taient parfois dĂ©courageantes, au moins tout Ă©tait accessible. je me suis toujours pas remise d'avoir loupĂ© cette soirĂ©e, c'Ă©tait l'occasion idĂ©ale pour rencontrer des gens que je connais vaguement mais qui m'intĂ©ressent, revoir c. t. et c. et enfin voir sa performance avec le balai lĂ , revoir g. etc. tous ces gens adaptĂ©s et voiturĂ©s.
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Alors Fallout est une sĂ©rie de 8 episodes diffusĂ©e sur Prime video et elle est une adaptation de la sĂ©rie de jeux vidĂ©o du mĂȘme nom.
Le 1er fallout est sortie en 1997 (et j'y ai joué, c'était trop bien, je suis vieille, au secours) et etait un jeux de role en monde ouvert dans un univers post apo.
La serie et les jeux partagent le mĂȘme univers : une rĂ©alitĂ© alternative Ă la notre qui serait bloquĂ© dans son imagerie et dans sa politique dans les annĂ©es 50. La guerre froide ne s'est jamais terminĂ©e et le nuclĂ©aire est l'energie du quotidien.
En 2077 la guerre Ă©clate entre les USA et la Chine avant qu'un tapis de bombes mette tout le monde d'accord.
Ceux a la surface vont se débrouiller pendant quelques centaines d'annees avec l'effondrement de la société et la radioactivité qui rend les bebettes trÚs grosses et agressives.
Une partie de l'humanité a également survecue dans des bunkers souterrains qui sont prevus pour s'ouvrir dans quelques générations pour repeupler la terre.
La serie suis (surtout) Lucy, une habitante d'abri qui va devoir quitter son bunker pour explorer le monde et retrouver son pere qui a été capturé par des brigands.
La serie suivra également Maximus, un apprenti soldat d'une faction ultra militarisée "la confrerie de l'acier", ainsi que Cooper, un petit bonhomme de 200 ans, survivant de l'avant guerre tellement irradié par les bombes qu'il est a moitié immortel et plus qu'a moitié défiguré.
Le fait que le perso que l'on commence a suivre soit une habitante d'abri a un gros aventage d'un point de vue narratif : elle ne connaĂźt pas le monde qu'elle explore et le decouvre avec nous, pas de dissonance entre le personnage et le spectateur.
La serie offre un bon développement des personages, chacun a droit a une véritable évolution, le parcours de chacun va le faire évoluer (cas particulier de Cooper qui ne va pas en soi évoluer, c'est nous qui allons comprendre comment il en est arrivé là ).
La serie est bien filmé, la colorimétrie est sympa, j'ai bien apprécié que la serie ne fasse pas semblant d'avoir le budget qu'elle n'a pas. Alors il y a beaucoup beaucoup de budget hein, mais la serie n'abuse pas des effets spéciaux, et quand il y en a ils sont bons.
C'est gore (donc c'est bien) mais c'est sage.
Je m'explique, plus la serie de jeux fallout avance plus elle devient frilleuse (merci les rĂ©seaux sociaux qui font qu'on peut se prendre une manif d'Ă©vangĂ©listes si tout le monde n'est pas ultra gentil). La philosophie du 1 Ă©tait qu'on Ă©tait tres libre dans ce mondz oĂč la sociĂ©tĂ© n'existe plus. On peut etre canibale, esclavagiste, sacrifier des gens ou etre un super samaritain, mais dans tous les cas il faudra assumer les consĂ©quences.
Dans la serie alors que le monde s'est effondré tout le monde semble globalement pas bien méchant, pas bien malveillant. On est loin d'un Mad max. La violence cherche a compenser mais une moralité un peu plus grise aurait été pas mal.
Sinon il y a un peu d'humour, qui marche tres bien, des références aux jeux de partout mais rien de soulants et surtout ce qui est tres sympa c'est qu'on sent que l'univers est trÚs large. Il y a les communautés qui survivent, les brigands, différentes factions qui cherchent a recréer chacun un modele de société (la nouvelle république de Californie, la confrerie de l'acier, l'enclave, l'entreprise Vault tech a l'origine des abris qui n'a pas disparu, etc) et aucune n'est vraiment un "bon choix", chacune a sa vision du monde.
Bref c'est une bonne adaptation mais surtout c'est une bonne serie. Pas de romance Ă la con, pas de sexualisation des personages, un robot aspirateur central a l'intrigue (si si) etc.
Je recommande / 20.
10 notes
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Quelques trucs bien. DĂ©cembre 2024
FĂȘter le rĂ©veillon de nouvel an autour dâune raclette. Improviser la soirĂ©e festiveÂ
Recevoir ma nouvelle machine Ă cafĂ©Â
Mâoffrir une robe dâĂ©tĂ©. Anticiper sur ma saison prĂ©fĂ©rĂ©eÂ
Prendre le soleil dâhiver sur la terrasse de maman pour chasser les virusÂ
Finir lâannĂ©e terrassĂ©e par la grippe mais choyĂ©e par ma familleÂ
Marcher au petit jour dans les paillettes de givre pour descendre chez mamanÂ
Ăclater en fou rire quand mon amie Pascale, aussi allumĂ©e quâun sapin de NoĂ«l, improvise une chorĂ©graphie avec chaussons Ă grelots et serre-tĂȘte Ă oreilles de lutinÂ
Ătre lĂ pour maman. Juste lĂ
Savoir que passĂ© le solstice dâhiver, les jours commencent Ă rallongerÂ
Garder une photo souvenir dans la poche de mon manteauÂ
Recevoir une surprise de NoĂ«l. Penser que câest le plus beau cadeau reçuÂ
Boucler les cadeaux une semaine avant NoĂ«l. Exploit !Â
Partager un fou rire avec maman qui me raconte la visite dâun mĂ©decin Ă qui elle conseillait dâaller voir une personne mieux conservĂ©e quâelle. « Et en plus, il Ă©tait pas mal ! »
Aller au spectacle de NoĂ«l de la mairie avec Mateo et Chantal. Applaudir et chanter avec les enfants. Retrouver mon Ăąme dâenfant sur le tapis au pied du sapin et Mateo debout les bras tendus vers les guirlandes allumĂ©esÂ
Ătre rassurĂ©e de savoir lâĂ©tat de santĂ© de maman amĂ©liorĂ© par le traitement suite Ă son hospitalisation en urgenceÂ
Faire du shopping avec ma sĆur pour les cadeaux de NoĂ«lÂ
Entendre lâĂ©cho des pĂ©tards et savoir que câest la fĂȘte de la lumiĂšre derriĂšre lâombre de la forĂȘtÂ
Me faire draguer par un pĂšre NoĂ«l de supermarchĂ© qui me propose son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Partir Ă rire tous les deux dans une connivence surrĂ©alisteÂ
Boire du champagne en plein milieu de la journĂ©e et de la semaine pour fĂȘter lâanniversaire de mon directeurÂ
PrĂ©voir un rĂ©veillon de NoĂ«l pour 12 personnes et mâen rĂ©jouirÂ
Accueillir lâĂ©lan dâun cĂąlin spontanĂ© dâun jeune trĂšs inhibĂ©Â
Faire une grasse matinĂ©e, câest Ă dire rĂ©veillĂ©e Ă 6h30 et en profiter pour lire un texte de rĂ©flexion cliniqueÂ
Reprendre les collagesÂ
Danser avec mon petit MateoÂ
Mâengager pour mes collĂšgues afin dâavoir une action collectiveÂ
Me sentir Ă ma place dans le travail thĂ©rapeutique partagĂ© avec ma collĂšgue Psychomotricienne. Ensemble, permettre Ă un jeune dâĂ©voquer des souvenirs dâenfance dâune maniĂšre authentique, dense et intenseÂ
Ces âQuelques trucs bienâ s'inspirent directement des â3 trucs bienâ de Fabienne Yvert, ou des âNotes de chevetâ de SeĂŻ Shonagon.Â
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté réguliÚre de gratitude et d'optimisme.
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#Algérie
Les tissages algériens
Les tissages algĂ©riens sont d'une diversitĂ© extrĂȘme et d'une richesse extraordinaire. Tapis, carpettes et coussins sont tissĂ©s dans toutes les rĂ©gions avec des motifs aussi variĂ©s que riches. Le motif berbĂšre original fut enrichi par la flore de l'art musulman et oriental.Des tapis Ă points nouĂ©s, Ă©pais et aux grandes dimensions aux hambels, couvertures Ă dĂ©coration simple, en passant par les tapis Ă la dĂ©coration extrĂȘmement riche des AurĂšs. Les styles et les formes se sont affinĂ©s pour devenir l'expression authentique d'un art conjuguĂ© au quotidien qui porte les indices de tĂ©moignages ambiants significatifs. L'Ăąme de tous les peuples prĂ©sents et passĂ©s nourrit de ces notes colorĂ©es.Les tissages ont su rĂ©sister aux vicissitudes diverses grĂące au gĂ©nie des artisans qui ont su en prĂ©server les bases particuliĂšres. Le don de soi de l'artisane qui tond, lave, teint et qui tisse ne s'embarrasse pas de prĂ©jugĂ©s thĂ©oriques anesthĂ©siants. Elle est lĂ , prĂ©sente, elle se donne Ă cette passion vitale un peu comme elle va aux champs Ă l'aube naturellement. La mise en valeur, la puretĂ© du style doit rester imprimĂ©e dans les gĂšnes car, dĂ©positaire de l'histoire d'une communautĂ©.
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