#to be contondered
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"- Salut, c'est la voix-off. J'étais pas là de la parodie avant; ça fait bizarre, non? Ouais... Tout de suite un bref résumé de l'épisode 21:
[Mikey matraque Kazutora]
- Attends, mais il va le tuer, là!
- On devrait peut-être les séparer?
- Si jeune et si décédé!
- Pourquoi aucun de ces connards ne bouge le petit doigt?!!
- Attends, j'viens de me faire planter et tout le monde s'en branle? Mon besoin naturel d'attention n'est pas satisfait! LES GARS!
[Mikey arrête de matraquer Kazutora à coups de poing]
- A-ah, j'bouge plus.
- Hari et Hara sont dans un bâteau. Hari fait la vanne du siècle, et vous savez quoi? C'EST HARA QUI RIT
- Woaw... gênant le mec."
"-À toi aussi tu parles le victime ??
- Chuis pas une victime, je viens de me faire péter la gueule...
- Aller, steuplaît, pour me faire plaisir...
- Bon, ok: aouiouniaou
- Quoi?? J'ai jamais entendu un truc aussi choquant !!!"
"- Ah ouais et si je te disais que je savais qui se cachait derrière le gang Walhalla?
- Qui ça, qui?!!
- Ah, tu le savais aussi?
- Bah non, je te le demande
- Bah non tu viens de me le dire
- Hein?
- Hein?
- Aaaaaa... Non je vois pas
- Bah, 'qui ça qui' en un seul mot ça fait:
- Une faute de syntaxe...
- Mais non mais Tetta
- Mais toi tais-toi! C'est un fou lui!
- Tetta Kisaki!
- Bah à tes souhaits qu'est-ce que tu veux que je te dise?!!
[TRANSITION]
- C'est Kisaki qui dirige Walhalla
- QUEWA?! Enfer et damnation je suis estomaqué, mais Draken tu es CHAUVE?!!
- En dehors de ça je n'ai pas l'ombre d'une piste
- Ni l'ombre d'un cheveu!"
#*avec des objects contondants#mais si tumblr va supporter jusqu'au 'Tokyo Cliffhangers'#ça va le faire#im so going back to work on my translation of it this weekend#the urge to do it is back#i apologize to my followers for whats going on#we'll stop when we'll stop dw guys
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Le monde actuel est un immense bordel...
Chaque fois que viennent sous ma plume (qui est un clavier) un gros mot ou une expression vulgaire, j'en demande pardon : mon amour pour notre belle langue (ce qu'elle était, avant que le progressisme ne lui impose une chute qui risque d'être finale !) n'aimait pas trop ces vocabulaires provenant de registres dits ''familiers''. Cependant, je dois vous avouer que les excuses que je vous fais sont de moins en moins sincères : le monde, tel que je le vois évoluer autour de moi, ressemble à ''un méga-bordel''... et ce n'est pas une bonne nouvelle.
Avant même la réélection quasi-triomphale de Trump, les ''migrations de masse'', la guerre en Ukraine et les événements tragiques du 7 octobre avaient fait, au pied de la lettre, basculer le siècle, dans un temps incroyablement court à l'échelle de l'Histoire. Mais contrairement à tout ce que tout le monde attendait, les cauchemars liés à notre folie de ''mondialisation'' ont laissé la place non pas à la félicité universelle espérée par les naïfs et les cons, mais à une juxtaposition de conflits locaux, qui semble sans fin et ne demandent qu'à s'étendre. Le rêve absurde d'une ''mondialisation heureuse'' a fait long feu... et le fait que de plus en plus de gens s'en rendent compte est la seule bonne nouvelle du moment.
Les stratèges du genre ''La Voix de son maître'' nous affirment que la nouvelle problématique se résumerait à une confrontation ou à une sorte de querelle à mort (dont ils oublient de dire qu'elle est factice, car fabriquée par eux et leurs maîtres à ne pas penser), entre les démocraties libérales et des puissances autoritaires, dans un ''remake'' de la lutte millénaire entre le Bien (eux) et le Mal (les autres). Une telle représentation leur facilite certainement la vie... mais elle n'apporte rien à la nôtre, puisque nos démocraties n'en sont plus (il s'en faut de beaucoup !), et que les soi-disant ''autocraties'' semblent se multiplier à chaque vote... démocratique qui a lieu, un peu partout.
Ce qui ne peut plus faire de doute, c'est que les solutions qui nous ont été présentées depuis 30 ou 40 ans ont toutes fait long feu (mais les irresponsables continuent à raconter qu'elles seraient les seules --ce qui est faux, bien sûr, comme tout le reste de leur discours pourri) : après 3 ou 4 décennies de soumission à ces idées absurdes, nous nous réveillons brutalement devant une montée des tensions internationales qui réveille dans nos mémoires les pires heures du XX ème siècle --pourtant riche en folies. Après l'onirique ''plus jamais ça'' des européistes, nous revoilà face à des conflits dits ''de haute intensité'' à notre porte... et ce n'est pas une bonne nouvelle, non plus : la fameuse horloge dite ''de l'Apocalypse'' ne nous laisserait plus que 90 secondes avant le déclenchement d'une conflagration nucléaire : il serait, selon ses inventeurs, 23h 58Mn 30s. Et à minuit, tout pète...
Et en plus des pénuries de matières premières et de graves problèmes d'alimentation ressuscitant les grandes famines d'antan, la course à l'énergie et aux énergies risque de nous entraîner vers un ''pire'', au moment où même les ''données'' et les informations, la science et ses découvertes, l'eau, le sable, la terre, l'air et l'atmosphère... se transforment, presqu'en même temps, en sujets de discorde... dans un monde où ''discorde'' est devenu synonyme de ''tuerie au couteau''...
De plus en plus souvent, la force ignore le Droit, la violence oublie les règles et les institutions, tout conflit devient existentiel, le moindre objet contondant devient une arme qui va servir à tuer, un stupide ''Moi, je...'' remplace toute autorité, toute morale et toute moralité, les groupes de terroristes dament le pion aux Etats les plus structurés et les mieux armés où le terrorisme et le trafic de drogues sales s'imposent comme des modes de vie, de nouvelles références de ''gagne pain'' (en France seule, 200 000 personnes vivent sur ou du trafic de drogues. C'est énorme !)... La police n'est plus considérée comme ''le bras armé de la Justice'' (qui s'est noyée corps et âmes en ''se pacsant'' avec les idéologies les plus indéfendables), mais comme une bande rivale avec qui on va en découdre...
Le vieil ''ordre du monde'' dont les lignes avaient été tracées en 1945 par les vainqueurs (maintenant en pleine débâcle !) de la Guerre de 39-45, prend l'eau de partout, craque, se fissure et n'est même plus contesté : il est, simplement, ignoré. Il n'existe plus. La civilisation occidentale, qui en était le grand, le seul inspirateur, se débat en pleine décadence, entre un effondrement démographique jamais vu depuis la fin des royaumes amérindiens au XVI ème siècle, une catastrophe économique d'une dimension inenvisageable il y a seulement cinq ans, et une paralysie de toutes ses institutions dont les responsables sont l'aveuglement --et, osons le dire, la bêtise incommensurable-- des dirigeants que nous nous sommes librement choisis --tous incultes, pervers, masochistes, immatures, et, pour beaucoup, corrompus et intrinsèquement malfaisants !
Le résultat était presque prévisible, au fur et à mesure que se découvrait une telle accumulation de fautes impardonnables, d'erreurs ''XXL'' dans tous les domaines, et de persistance dans l'absurdité. C'est une poussée suicidaire ne peut déboucher sur rien qui ne soit effroyable, terrifiant, et mortel. L'Occident, cet ancien phare de la pensée, qui a, pratiquement seul, illuminé le monde entier de sa puissance et de ses réussites, risque de disparaître tel que nous l'avons connu, sans rien pour le remplacer... et les fous s'en frottent les mains. Un miracle peut-il encore nous sauver ? Si ''Oui'', on le cherche, on l'espère, mais il n'est vraiment pas en vue...
H-Cl.
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Je vois...
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 11 août
Thème : Voyance/la vie d’un pigeon
. .
Ne croyez pas ce que vous disent les films. Une bonne voyante ne commence jamais par « je vois��». D’abord, il faut qu’elle prenne du temps pour connaître son client, ses souhaits, ses résistances. Du temps pour qu’elle se connecte réellement à lui. Puis à son avenir. Alors seulement, si tout se passe bien, elle voit.
Celle-ci n’est clairement pas une très bonne voyante.
« Je vois… je vois…
Ce qu’elle voit, plongée sur sa boule de cristal, c’était sans aucun doute la vie d’un pigeon. Je n’ai jamais nié l’être. Je paye beaucoup pour quelques mots de réconfort. Un peu d’espoir. Et si le message n’est pas assez positif, je change de crèmerie.
Mais est-ce qu’on peut vraiment s’auto-catégoriser pigeon ? Si on sait pourquoi on paye, on n’est pas déçu, non ? Et ça reste moins cher que le téléphone rose. Enfin je crois.
— Je vois… de l’eau.
— De l’eau ? Une île ? Je vais partir en vacance sur une île ?
L’idée me plait bien. Peut-être qu’après tout, j’avais mal jugé la dame. Elle n’a pas assuré en matière de spectacle, mais si on part directement sur les fantasmes de tropiques, ça me va.
Elle a vite douché mon enthousiasme.
— De l’eau stagnante. De la vieille eau. Dans un lieu humide.
Beurk. Ce n’est pas avec ce genre d’avenir qu’elle peut compter me garder comme client. Je tente quand même de la remettre sur les rails.
— Un lieu humide, comme une grotte ? C’est une visite ? Un bel endroit à découvrir ?
— Je vois la mort. Une scie. Une cave.
Ah. Ça, ce n’était pas prévu.
— Je vois une femme terrifiée. Un meurtre. Une valise.
Tsss. Une bonne voyante devrait être capable de prévoir les conséquences de ses visions – et à quel moment elle devrait fermer sa gueule. Je cherche du regard un objet contondant à portée de la main. Tant qu’elle concentrée sur la boule, son crâne est sans défense.
— Je vois du sang. Tellement de sang. Des vêtements brûlés.
Ça va, ça va, pas la peine de me faire un dessin, j’étais là, je m’en souviens très bien. Vieille saloperie. J’avais demandé mon avenir, pas mon passé !
Et puis merde. En terme d’objet contondant, j’ai tout ce qu’il me faut sous la main après tout, et j’attrape la boule….
« Mains en l’air ! Bougez plus ! »
Les flics débarquent, envahissant le petit espace du cabinet de voyance, et je me retrouve menotté avant d’avoir eut le temps de dire ouf. Et alors que les policiers essayent de réconforter ma voyante, qui a l’air d’aller très bien, elle me dit avec calme :
« Une bonne voyante commence par prédire sa propre journée. Ça peut aider quand on croise des cas comme le vôtre… Mais ne vous en faites pas : je vous prédis une très longue vie, dans un environnement pas trop ensoleillé, et aux frais de la princesse ! »
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#11 août#voyance#la vie d’un pigeon#on continue le rattrapage du retard !#au début je voulais vraiment qu’il se fasse arnaquer par les voyantes#puis finalement l’idée du psychopathe m’a paru meilleure#pas très original mais j’aime bien#au final il s’auto-qualifie de pigeon parce que comme beaucoup de psychopathe il se trouve trop gentil#french#french writer#écriture
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Ceci est le premier texte d'une série à dérouler : J'ai connu Jed, accessible sous le hashtag #jaiconnujed. Je profiterai du défi @30jourspourecrire pour produire un épisode par jour - sans engagement : je suis pas à l'abri d'un jour sans, d'un jour avec autre chose, ou d'en avoir assez de Jed et de le faire décéder précipitamment.
Ici, toutes les dimensions dépassent celles du corps humain, se dit Jed, et ce sera sa dernière pensée sauvage.
Ce matin, il est sorti sans rien dans le ventre. Sans rien dans les poches. Il se sentirait presque léger. S'il avait fait ça plus tôt dans sa vie, ne serait-ce qu'il y a deux ou trois ans, oui, sans doute qu'il aurait voulu aller plus loin, mais là c'est trop tard. Les services d'urgence sont surchargés dans la soirée, alors autant faire ça en début de journée. Il n'a plus que quelques minutes de marche. Il presse le pas.
Des camions plus volumineux que son appartement, lancés à pleine vitesse. L’air qu’ils déplacent en le doublant, Jed ne le déplacerait jamais en marchant toute la journée. Vues de près, les glissières de sécurité sont plus massives que par exemple les assiettes de Jed, la gourde de Jed, ou même le lavabo de Jed. Deux fois trois voies de bitume : même en largeur, c’est une belle distance, on pourrait y mettre un bistrot sur chacun des sens de circulation.
Jed arrive au pont. En-dessous : la voix ferrée. Il aime cette esthétique. Des couleurs ternes. Deux droites tranquilles, filant vers un point de fuite dans l'espoir vain de se rejoindre. Ici aussi, la hauteur est de belle dimension. Vu de loin, ça ressemble à des graviers qui amortiraient sa chute, mais non, ce sont bien ces cailloux gris clair, suffisamment gros pour lui offrir un accueil contondant. Pas besoin d’attendre le passage d’un train - consulter les horaires et s'en remettre à la rigueur d'un système et des personnes qui le composent ? non - et c’est pour ça que Jed a choisi cet endroit. Cette fois, c’est la bonne. Jed envoie le SMS préparé hier soir. Il enjambe la barrière, se jette dans le vide. Il meurt sur le coup.
Au pied de la glissière, au soleil sur le bitume, le téléphone vibre. Jed est mort et pourtant l'écran n'est pas encore vérrouillé. On peut y lire :
-je me suis suicidé ici, désolé mais je veux bien que vous fassiez évacuer mon corps - jed mimouni
-Le 114 est un service d'urgence réservé aux personnes ne pouvant pas téléphoner. Tous les échanges sont enregistrés. Nous allons traiter votre demande.
~~~
Bientôt, les personnes qui connaissaient Jed seront réunies dans une salle très éclairée. Elles diront quelques banalités. Des banalités qui seront de toute façon belles et feront de toute façon pleurer.
Ces personnes connaissaient Jed, oui. Elles étaient liées à lui. Jed était leur fils, leur cousin, leur oncle, leur frère, leur ex-collègue, leur ex-mari.
Plus tard, au bistro en face du cimetière, on dira autour de Pago Abricot, de grenadines, de panachés, et de blancs sec à onze heures, que Jed continuera à vivre en ces personnes. Oui, on se sentira bien avec cette idée. On fera semblant d'y croire. Mais, c'est tout l'inverse. Jed est mort pour les personnes qui savent qu'il est mort.
Si on ne sait pas que Jed est mort, alors Jed est vivant.
Il continue à vivre chez toutes les personnes avec qui Jed a eu un tout petit contact. Une personne à qui il a failli rentrer dedans en marchant. Une vieille qu'il a laissé passer à la caisse du Auchan. Un enfant à qui il a souri. Ces personnes ne connaissaient peut-être pas Jed, au sens commun du terme, mais elles savaient un peu qui il était.
Je veux les laisser raconter Jed.
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REQUIEM DE LA RUINE I LA MUSIQUE REND-ELLE PUDIQUE ?
On veut toujours ce qu’il y a de mieux pour ses enfants, et c’est bien normal. Les ouvrir au monde et leur donner les moyens de s’y épanouir, le voilà le rôle central des parents! Les vacances au ski, les cours de piano, le permis de conduire ou l’école de commerce… Après, bien sûr, chacun fait en fonction de ses moyens ; et quand l’argent vient à manquer, il faut faire preuve de créativité.
En temps de crise et de chômage de masse par exemple, on peut opter pour une balle dans la tête en plein sommeil, mais en terme de perspective d’avenir, Xavier Dupont de Ligonnès nous a montré qu’un tas de gravats sous une terrasse n’en n’offrait pas plus que ça. Pareil pour Véronique Courjault et sa technique dite « du congélateur« . Le froid ça conserve, ça on ne dit pas, mais en terme de pédagogie, la cryogénisation n’a pas fait ses preuves plus que ça non plus.
Alors il reste quoi ? Si on ne veut pas que nos gosses finissent en taule, sur Youporn ou en fac de socio, il reste quoi? Pas de panique. Il reste Disney Channel, le Endemol sauce Biggy avec des grandes oreilles en plus… Hé oui, en plus d’être parentale – et d’aider à lutter contre la constipation passagère – la fibre peut aussi s’avérer de nature artistique.
Le Mickey Mouse Club de Disney Channel, c’est autre chose qu’un club de plage à Saint-Jean-de-Monts. Quand t’inscris ton gosse là-bas, tu signes pour 20 ans. Le projet, c’est pas vraiment de faire du trampoline et des pâtés de sable. T’y rentres, t’as 4 ans, t’en sors, t’es millionnaire, tu sais chanter, danser, montrer ton cul et sniffer plus de coke que Cyril Hanouna et Jean-Luc Delarue réunis un soir de prime-time. En avant la musique!
Prenons Miley Cyrus par exemple, ce pur produit Disney, actuellement en tête de gondole un peu partout. Miley Cyrus, « la teupu qui fait sa grosse teupu » comme dirait mon pote Moktar, celle que les p’tits loups ont connu avec Hannah Montana, 20 ans à peine, et qui en moins de 6 mois a déjà réussi à élever l’art de la chanson au rang de pratique bucco-génitale.
Non contente de faire la fierté de ses parents à se trémousser en levrette sur la scène des MTV Music Awards dans un Sloggi couleur chair devant des millions de téléspectateurs, la pitchounette continue sa course au buzz et son ascension du raffinement en se balançant le cul à l’air sur une boule de destruction et en léchant des marteaux langoureusement dans son dernier clip.
Il paraît que dans le prochain, elle se baignera dans une piscine de sperme entourée de zaïrois sur-membrés en train de s’astiquer sur le rebord. C’est comme un rêve de petite fille qui se réalise pour elle.
Mais ne soyons pas naïfs, il y a des gens derrière elle, et je ne parle pas d’orifice là. Il y a des gens qui la pilotent, qui l’orientent, des gens qui l’exploitent pour dire les choses. Seulement, maintenant qu’elle a tout enlevé, ce sera quoi la prochaine fois? Elle va s’auto-dépecer sur scène? S’enlever la peau elle-même, comme ça, en direct ? À défaut de montrer ses fesses, elle va nous montrer quoi? Sa rate? Ses poumons ?
Non mais sérieusement, si elle veut s’inscrire dans la durée mignonnette, il faudra quoi la prochaine fois? Une équipe de rugby avec le banc des remplaçants? Des animaux et des objets contondants? Et pourquoi pas un snuff clip ? Hein? Quelque chose entre le film de bondage yougoslave, le happening de Luka Magnotta et un clip deRihanna ? Buzzer vite et mourir jeune! Putain, je crois qu’on tient un concept là!
Vocalises et poils pubiens !
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Les labels indépendants demandent à Spotify de suspendre son plan de redevances pour "instrument contondant".
Une coalition de maisons de disques indépendantes a demandé à Spotify de répondre à des questions sur sa nouvelle structure de redevances et de suspendre ses projets de mise en œuvre pour le début de l’année 2024. Impala, un groupe professionnel basé dans l’UE qui représente plus de 6 000 entreprises et individus impliqués dans la musique indépendante, est généralement d’accord avec le projet de…
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Image: L'attaque du fanboy Baldur's Gate 3 possède certains des mécanismes RPG les plus complexes que le monde du jeu ait vus depuis longtemps. Avec de nombreuses classes et sous-classes parmi lesquelles choisir, il y a beaucoup à assimiler. Dans ce post, nous examinerons la classe Moine dans Baldur's Gate 3 et passerons en revue toute sa progression, y compris ses capacités, ses niveaux et ses récompenses. Toutes les récompenses de montée de niveau des moines dans Baldur's Gate 3 Au fur et à mesure que vous progressez dans les niveaux d'un moine, vous débloquerez des fonctionnalités de classe, des actions, des actions d'armes, et bien plus. Sans plus tarder, voici toute la progression de la classe Moine dans Baldur's Gate 3. Niveau 1 – Rafale de coups (action), KI (fonctionnalité de classe), Défense sans armure (fonctionnalité de classe), Arts martiaux : Attaques agiles (fonctionnalité de classe), Arts martiaux : Frappes habiles, Arts martiaux : Frappe à mains nues bonus (fonctionnalité de classe) 2 – Mouvement sans armure (fonctionnalité de classe), Défense patiente (action), Pas du vent : ruée (action), Pas du vent : désengagement (action) Niveau 3 – Déviation des missiles (fonctionnalité de classe) Niveau 4 – Chute lente (classe Feature), Choisissez un exploit – Choisissez-en un dans la liste des exploits. Niveau 5 - Attaque supplémentaire (fonction de classe), Frappe étourdissante (Mêlée) (Actions d'armes), Frappe étourdissante (sans arme) (Actions d'armes) Niveau 6 - Mouvement sans armure amélioré (fonction de classe), Frappes renforcées par le Ki (fonction de classe) Niveau 7 – Évasion (fonctionnalité de classe), calme d'esprit (fonctionnalité de classe) Niveau 8 – Choisissez un exploit – Choisissez-en un dans la liste des exploits. Niveau 9 – Mouvement sans armure avancé (caractéristique de classe) Niveau 10 – Mouvement sans armure amélioré (caractéristique de classe), pureté du corps (caractéristique de classe) Niveau 1 Au niveau 1, les joueurs débloquent la capacité Flurry of Blows, étonnamment excellente à un niveau aussi bas. Rafale de coups est un type d'action qui oblige le Moine à frapper deux fois dos à dos. Les actions peuvent être utilisées à la fois dans l'exploration et le bataille sur le champ de bataille. De plus, les joueurs débloqueront cinq fonctionnalités de classe différentes au niveau un. Découvrez-les tous ci-dessous. Ki - fonctionne comme des charges pour des attaques spécifiques. Défense sans armure – Les réflexes sont aussi efficaces que n'importe quelle armure. Tant que vous ne portez pas d'armure, vous ajoutez votre modificateur de sagesse à votre classe d'armure. Arts martiaux : Attaques habiles – Les attaques avec des armes de moine et les attaques à mains nues évoluent avec votre dextérité au lieu de votre force si votre dextérité est supérieure. Arts martiaux : Frappes habiles – Les attaques avec des armes de moine et les attaques à mains nues infligent 1 à 4 dégâts contondants à moins que leurs dégâts normaux ne soient plus élevés. Arts martiaux : Frappe à mains nues bonus – Après avoir attaqué avec une arme de moine ou sans armes, vous pouvez effectuer une autre attaque à mains nues en tant qu'action bonus. Niveau 2 Au niveau 2, Monk déverrouille une fonctionnalité de classe pratique appelée Mouvement sans armure. Le mouvement sans armure augmentera votre vitesse de déplacement de 3 m quand vous ne portez pas d'armure ou n'utilisez pas de bouclier. Cette fonctionnalité de classe peut être incroyablement utile si vous vous concentrez sur une construction qui n'utilise pas d'armure ou de bouclier, mais si vous le faites, elle ne sera d'aucune utilité. En plus de la fonctionnalité de classe sans armure, les moines de niveau 2 débloqueront 3 actions. Découvrez-les tous ci-dessous. Défense patiente - Les jets d'attaque contre vous ont un désavantage et vous avez un avantage sur les jets de sauvegarde de dextérité. Step of the Wind: Dash – Doublez votre vitesse de déplacement. Sauter ne nécessite plus d'action bonus.
Step of the Wind : Désengagez - Reculez sain et sauf en vous désengageant. Sauter ne nécessite plus d'action bonus. Niveau 3 Le niveau 3 est l'un des niveaux les plus critiques pour les classes de Baldur's Gate 3, vu que c'est à ce moment que vous choisissez votre sous-classe. Votre sous-classe est unique, avec trois choix a propos le moine. Découvrez les trois ci-dessous. Voie de la main ouverte Idéal pour les joueurs qui souhaitent se spécialiser dans le bataille à mains nues. Cette sous-classe doit employer ses mains et son ki pour soigner ou infliger des blessures graves. Voici le système de progression de la sous-classe Way of the Open Hand. Niveau 3 – Rafale de coups : Renverser (Actions) Niveau 3 – Rafale de coups : Décaler (Actions) Niveau 3 – Rafale de coups : Pousser (Actions) Niveau 6 – Manifestation du corps (Sous-classe) Niveau 6 – Manifestation de l'esprit (Sous-classe Caractéristique) Niveau 6 – Manifestation du corps (caractéristique de sous-classe) Niveau 6 – Intégralité du corps (Actions_ Niveau 9 – Résonance Ki : Coup de poing (Actions) Niveau 9 – Résonance Ki : Coup de poing (Action bonus) (Action) Niveau 9 – Résonance Ki : Blast (Action) Niveau 11 – Tranquillité (Fonctionnalité de sous-classe) Way of Shadow La sous-classe Way of Shadow est destinée à ceux qui veulent se concentrer sur la furtivité et adopter une approche de type ninja et assassin. Découvrez ce système de progression de sous-classe ci-dessous. Niveau 3 – Illusion Mineure (Cantrip) Niveau 3 – Arts de l'Ombre : Cacher (Action) Niveau 3 – Arts de l'Ombre : Passer Sans Trace (Action) Niveau 3 – Arts de l'Ombre : Ténèbres (Action) Niveau 3 – Arts de l'Ombre : Silence (Action) Niveau 5 – Manteau d'Ombres (Action) Niveau 6 – Pas de l'Ombre (Action) Niveau 11 – Frappe de l'Ombre (Action) Niveau 11 – Frappe de l'Ombre : Sans Arme (Action) Voie des Quatre Éléments Cette sous-classe se concentre principalement sur votre ki, lui permettant de devenir davantage une extension de votre corps au bataille. En d'autres termes, cette sous-classe tombe dans une catégorie de lanceur de sorts. Le système de progression de cette sous-classe est court, mais toujours bon. Niveau 3 – Choisissez 3 sorts : Disciple des éléments (fonctionnalité de sous-classe) Niveau 3 – Harmonie du feu et de l'eau (action) Niveau 6 – A obtenu un sort : Disciple des éléments (fonctionnalité de sous-classe) Niveau 9 – Lancement élémentaire amélioré (fonctionnalité de sous-classe ) Niveau 9 – A obtenu un sort : Disciple des éléments (fonctionnalité de sous-classe) Niveau 4 Au niveau 4, les joueurs Monk déverrouilleront la fonction Slow Fall et pourront choisir parmi une variété d'exploits. Slow Fall est un effet qui vous permet d'employer votre réaction pour gagner en résistance aux dégâts de chute. En ce qui concerne les exploits, je vous recommande de choisir Lucky, car cela vous permet d'obtenir un avantage sur un jet d'attaque, un test de capacité ou un jet de sauvegarde trois fois par repos long ! Niveau 5 Atteindre le niveau 5 en qualité de moine accordera au joueur une caractéristique de classe et deux actions d'arme. La fonction de classe, "Attaque supplémentaire", permet au joueur de faire une attaque gratuite supplémentaire après une attaque à mains nues ou avec une arme. C'est idéal pour augmenter la production de dégâts. Quant aux actions d'armes, les joueurs seront récompensés par deux. Découvrez les deux ci-dessous et les effets des deux. Stunning Strike (Melee) – Étourdit éventuellement la cible. Frappe étourdissante (à mains nues) – 1d6+3 contondant. Peut étourdir la cible. Niveau 6 Les moines de niveau 6 seront récompensés par deux caractéristiques de classe, le mouvement sans armure amélioré et les frappes renforcées par le Ki. Le premier augmentera la vitesse de déplacement de Monk de 4,5 m quand vous ne portez pas d'armure ou n'utilisez pas de bouclier. En ce qui concerne Ki-Empowered Strikes, vos attaques à mains nues seront considérées comme magiques pour surmonter la résistance et l'immunité des ennemis aux dégâts non magiques.
En relation: Baldur's Gate 3 Fighter 1-12 Progression: toutes les compétences, capacités et récompenses de niveau supérieur Niveau 7 Comme le niveau 6, le niveau 7 récompensera les moines avec deux caractéristiques de classe : évasion et tranquillité d'esprit. L'effet d'immobilité de l'esprit est le suivant : si vous êtes séduit ou effrayé, vous lancez automatiquement l'immobilité de l'esprit pour supprimer l'état. Ces effets sont une nuisance, il est donc très utile d'avoir cette fonctionnalité de classe incluse dans votre construction. D'autre part,…
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Pathétiques...
Dans une déroute totale de l'intelligence, l'affreux édifice des théories dystopiques, absurdes et mortifères que les idéologues de Gauche ont trop longtemps imposées au monde entier –et à la France-- par la ruse, la force, le mensonge et la mauvaise foi, se fissure et se délite (lentement, mais tout vaut mieux que sa continuation : il est vraiment insupportable !). On savait que cette énorme accumulation de mauvaises idées, plus fausses, plus perverses et plus létales les unes que les autres, devait finir par s'effondrer : sa survie n'était pas une hypothèse envisageable. Mais on ne savait pas quand... C'est maintenant, Dieu merci : le ''top-départ'' à été donné. Alleluïa !
Peut être qu'un jour, dans très longtemps, un historien (s'il en existe encore, ce qui voudra dire que l'Humanité aura surmonté la crise de démence dont elle essaye de s'extirper en ce moment-même) arrivera à trouver une explication à la passivité suicidaire avec laquelle les hommes du XX ème et du début du XX! ème siècles se sont laissés convaincre que le laid était beau, le faux, vrai, le mensonge, vérité et la folie, intelligence. Car c'est exactement ce qui nous est arrivé... et ce dans des proportions telles qu'il nous est encore très difficile de prendre conscience de la gravité de notre confusion mentale et de la fausseté de toutes les représentations erronées qui servent de pseudo système de référence à un nombre encore bien trop grand de nos contemporains, trop souvent jeunes, hélas !
A force d'avoir été trompés sur la vérité, abusés par leurs mensonges, violés dans nos croyances et bafoués dans notre bon sens par des décennies de martellement ininterrompu de contre-vérités éhontées, nous en étions arrivés à un point où même l'évidence ne suffit plus à nous convaincre... (On l'a vécu ''en direct'' avec le covid... D'ailleurs, certains croient encore, contre toutes les preuves indiscutables, au cauchemar dans lequel le Pouvoir nous a fait vivre... ou survivre !). Et ce d'autant plus que l'ordre actuel, qui n'est que désordre, est toujours là et que ses gourous exécrables continuent à nous répéter, aidés par le système de contrôle de la ''vérité-vraie'' qu'ils ont mis en place avec la ferme intention de le voir '''durer 1000 ans'' –comme d'autres fous l'ont fait, avant eux-- que la vérité est dans leurs petits livres rouges et pas dans les faits, que ce qu'on voit est faux, et que l'évidence est trompeuse.
Un seul fait, récent et à la fois affreux et porteur d'espoirs, suffit à démontrer l'immensité vicieuse de leur système pourri : le drame de Crépol. Les efforts faits par le gouvernement (et ceux qui le suivent ou croient encore ce qui vient de lui) ont atteint des stades d'impudeur et des niveaux d'impudence qui forceraient l'admiration s'ils n'étaient pas si pitoyables et si désolants. Nos irresponsables ont fabriqué des bobards honteux pour essayer de faire croire qu'il s'agissait d'un ''fait divers'', puis d'une ''rixe'', puis d'une ''escarmouche'' entre bandes rivales, (toutes choses que personne de sensé n'a cru, fût-ce une fraction de seconde), puis ils ont exigé des ''preuves concrètes'' qu'il y avait ''intention de nuire'' –avec Marion Maréchal, sur FR3-régions--, avant de se résoudre, essoufflés d'avoir tant menti (et sciemment), à donner urbi et orbi des instructions pour que les citoyens, ces minables incultes (à leurs seuls yeux), ne puissent pas savoir les noms des coupables... Nos dirigeants-menteurs, nos soi-disant élites délitées et des journalistes sans honneur sont tombés bien bas...
Ils avaient créé un tel trouble dans les esprits qu'ils en étaient presque arrivés à faire accepter aux braves gens que lorsqu'une ''section d'assaut'' de racailles monte une expédition punitive contre un bal de village et débarque, avec des lames de 20 ou 30 cm , des barres de fer et d'autres outils contondants, en criant ''On est ici pour planter des Blancs'' (mots rapportés par Match et le Dauphine libéré), quand ils blessent 17 personnes et assassinent un adolescent... le seul sujet dont parlent ''nos'' médias, ''notre'' gouvernement et ''notre'' représentation autrefois nationale désormais partisane, c'est que ''le fait que Marion Maréchal ou Eric Zemmour en parlent... est une récupération odieuse'' (dixit Madame Borne, qui s'étonnera ensuite que plus personne ne croie un seul mot de ce qu'elle peut éructer...).
Elle voudrait nous convaincre que si c'est elle qui en parle, n'est-ce pas, c'est bien, puisqu'elle est dans le camp de la bien-pensance, qui a su nous faire croire pendant trop longtemps qu'il était ''le bon côté''... alors que si c'est le Pen, Maréchal ou Zemmour qui prononcent les mêmes mots, ils deviennent récupération, honte et manque de respect pour les victimes et leurs familles. Mais même contre toutes les preuves de leurs mensonges et contre la ''vox populi'' qui monte et s'enfle, ces prébendiers, accrochés à leurs avantages comme des arapèdes à leur rocher, continuent à nous pourrir la vie avec leur fiel... alors que leurs seuls résultats visibles sont que, non contents d'avoir dressé les français les uns contre les autres comme rarement, ils ont amené, avec leurs idées dégueulasses, le ''face-à-face'' qu' avait annoncé Gérard Collomb, le dernier, peut être, des socialistes honnêtes...
On a tous conservé en mémoire la ''lettre ouverte'' de ce pauvre mari d'une jeune femme jolie et heureuse de vivre, qui avait été assassinée au Bataclan un 13 novembre 2015, par d'autres monstres : le ''système'' l'avait tellement conditionné et son cerveau avait été tellement lavé qu'il en était arrivé à dire puis à écrire, contre tout ce qui caractérise toute humanité :''Vous n'aurez pas ma haine''. Je ne sais pas ce que ce pauvre homme est devenu, après cette chute dans leur piège, mais je crains que son épouse ne viennent le revisiter la nuit pour lui faire honte... ce qu'il mérite !
Le plus injuste, dans cette effroyable dérive de toute intelligence, c'est que la ''Psychologie des foules'' a été découverte et rendue célèbre par un homme de Droite, Gustave le Bon (qui, contrairement à ce qu'en a fait la Gauche lorsqu'elle a découvert ce ''machin'' si dangereux pour l'humanité et si efficace pour les gens mal intentionnés qui s'en empareraient), ne s'est jamais abaissé à la transformer en ''moyen de violer les foules''. La ''Propaganda'' moscoutaire en a fait une arme de combat redoutable qui a laissé des traces de sa malfaisance jusque à nous, un demi-siècle plus tard... Pour ces ''nuisibles'', tout est clair : la Gauche décrit, corrige, et montre le (mauvais) chemin... et la Droite ne peut être bonne qu'à ''récupérer''. D'où, sans doute, cette phrase inquiétante que j'entends partout, depuis peu, dans tous les milieux : ''ça va péter'' !
Je ne sais pas (encore) à quelle merveilleuse conjonction des planètes nous devons la véritable onde de choc qui est en train de libérer le monde (et la France, mais pas assez vite, elle) de la férule de toutes les idéologies perverses, néfastes et mensongères qui ont, à la fois, empuanti, déglingué, perverti et rendue malheureuse la Planète.
La seule bonne nouvelle du moment, c'est que, pays après pays, les Nations qui appartinrent longtemps à notre belle ''civilisation occidentale'' mais qui se sont laissé entraîner dans les horreurs du progressisme et de la modernité réunies, mettent le nez hors de l'eau et retrouvent ''les chemins de la Liberté'' –mais à l'opposé complet de ceux que souhaitait Sartre qui, dans sa folie asservissante de toute humanité, les imaginait communistes ! Espérons que ce beau mouvement ne va pas faire long feu, et que l'Homme va enfin pouvoir retrouver ce qui fit si longtemps sa grandeur... et l'Occident son action, finalement très bénéfique, sur le monde... ''Aliquid novi sub sole ?''. L'espoir refleurirait-il à nouveau, sur la Terre ?
H-Cl.
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Le téléfilm de Dario Argento intitulé "J'aurai leur peau" (2006) décrit de façon extraordinairement macabre l'intégralité de la chaîne de travail permettant de confectionner un manteau en fourrure.
Ainsi, au fil des scènes sanglantes, périssent des personnages dont chacun est associé à l'une des étapes de la fabrication d'un magnifique vêtement en peau de bête.
En premier lieu, un trappeur meurt, brutalement assassiné par son jeune fils armé de l'instrument contondant que tous deux utilisent d'ordinaire pour estourbir des animaux à fourrure. Le garçon parricide se suicide ensuite, en tranchant son visage avec la mâchoire métallique d'un piège à loups.
S'ensuit la lente asphyxie d'une couturière spécialisée dans la fabrication de vêtements à fourrure et qui, munie de fil et d'une aiguille, suture méticuleusement ses paupières, sa bouche et ses narines.
Le film s'achève avec les mutilations inhumaines que s'inflige un homme qui découpe un gilet de chair dans la peau de son propre torse.
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"LE PROCES DE SYDNEY WOODS AUX ASSISES," La Patrie. May 18, 1933. Page 3. --- Le bagnard Woods est accusé de tentative de meurtre sur le garde Miron. - Culpabilité par omission. --- "Tue! Tue!" c'est le cri général auf éclata lorsque Sydney Woods s'élança sur le gardien Galarneau, dans l'atelier des tallleurs de pierre", déclarait ce matin, le détenu Hector Guénette, au cours de son témoignage en cour du Banc du Rof, au procès de Sydney Woods, l'un des présumés auteurs de la mutinerie au pénitencler Saint-Vincent de Paul le 7 novembre dernier.
Sydney Woods, sur qu! pèsent deux accusations de tentative de meurtre, comparait actuellement sous l'accusation d'avoir attenté à le vie du garde Miron. Deux détenus ont comparu ce matin, Georges Boivin, qui a été condamné il y a onze ans à la détention pour la vie et qui est en charge de l'atelier des tailleurs de pierre depuis neuf ans et Hector Guénette.
Les deux témoins ont été unanimes à déclarer qu'ils n'avaient pas vu l'accusé Woods frapper le gardien Miron. Ils déclarèrent tous deux l'avoir vu pénétrer dans la cellule du gardien après qu'il eut été frappé par Bélair et Caron, mais pas un deux ne le vit frapper le gardien. En dépit des multiples questions de la couron. ne les deux témoins ont persisté à affirmer qu'ils n'avaient aucunement vu l'accusé frapper Miron.
Guénette relats qu'avant que les mutineries so produlsent. McDonald, Bélair, Caron et Woods, ont. à plusieurs reprises, conversé ensemble. C'est à la suite de ces conversations que Bélair se rendit à la cellule de Miron pour se faire mettre de l'argirol dans les yeux prétextant qu'il y avait de la poussière de roche.
Un point fort important pour la cause, est venu sur le tapis sur une question de la couronne, et que, en dépit de la défense, la Juge a permise. La couronne a demandé à Boivin si Woods avait tenté de défendre Miron, alors attaqué par Bélair et Caron. Le témoin répondit que non.
Le procureur de Woods s'opposa alors à ce que la question soit considérée par le Jury. mais le président du tribunal renversa à demande de la défense par cette remarque: "La culpabilité peut venir d'une action ou de l'omission d'une action", laissant entendre que Woods peut être trouvé coupable de l'offense dont on l'accuse par le fait qu'il n'a rien fait pour porter secours au gardien Miron.
Bolvin a également déclaré que Geo. Gratton aurait dit à Woods, quelques minutes avant la révolte: "Fals-lu! son affaire (make him a good job), mais le témoin ne put dire s'il s'agissait de Miron ou Galarneau.
La cause se continuera cet après-midi.
A la reprise de la séance de la Cour d'Assises, hier après-midi, 2 heures 15. après que le jury eut trouvé Marcel Belair coupable d'avoir causé des blessures corporelles au gardien Miron, du pènitencier Saint-Vincent de Paul Roméo Caron, accusé de tentative de meurtre, comparut et enregistra un aveu de culpabilité. Il souligna cependant que cet aveu n'etait pas pour tentative de meurtre, parce qu'il avait pas eu l'intention de tuer Miron. Il admit tout simplement avoir frappé et lui avoir causé des léslons corporelles.
Caron et Belair seront sentenclés plus tard par le juge Wilson. Le magistrat tint à souligner qu'il tiendrait compte de l'aveu de culpabilit de Caron, disant que s'il avait quelque plainte à formuler. Il l'écouteralt, si cela devait atténuer la rigueur de la sentence.
Le procès de Sydney Woods, un autre forçat, accusé de tentative de meurtre, fut instruit, mais un progressa guère, car ce a prit une heure avant de procéder au chois des jurés. Comme les prisonniers doivent être reconduits au pénitencier à 5 heures, la Cour est ajournée tous les jours à 5 heure 15. Les témoins dans toutes les causes pendantes seront à peu près les mêmes. Au procès de Woods, Me Dan P. Gilmor, l'avocat de la Couronne. Rien de nouveau les faits survenus lors de la mutinerie, quand Bélair entra dans la cage du gardien Miron, le jeta par terre et que Caron le frappa avec un instrument contondant.
#montreal#court of king's bench#prison riot#prisoner testimony#assaulting a prison guard#st vincent de paul penitentiary#attempted murder#riotous assembly#destruction of property#convict revolt#1932 laval pen riot#great depression in canada#crime and punishment in canada#history of crime and punishment in canada#1933 prisoner trials
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Posted @withregram • @sofia_sept7 #instagram #foto #METOOINCESTE ⚠️( Inceste) Je ne me rappelle plus quand ça a commencé. Je me rappelle juste quand ça s’est terminé. J’avais 14 ans. J’étais venue chez toi avec mes grands parents et mon grand cousin. A peine les bagages posés, j’ai supplié mon grand-père en pleurant de surveiller la porte des toilettes et celle de la salle de bains. C’était ton endroit, celui de mon intimité et de ma vulnérabilité. Les lieux clos où tu t’employais à me toucher et à me pénétrer avec des objets contondants sous prétexte de me laver ou de m’essuyer. Pendant tout mon séjour, mon papi s’est employé de me protéger de quelque chose qu’il ignorait. Je le revois délaissant toutes ses activités pour se poster devant les portes closes. Je le revois sourire à mes peurs et à ne pas s’y opposer. À la fin des vacances, il m’a prise par la main, et il m’a emmené dans une jolie clairière. Et il m’a posé la question frontalement : de quoi as tu peur ? Mais c’était de qui. Comment lui dire que c’était de toi ? Lui dire que cette terreur me pétrifiait ? Comment lui préciser ce que je ne comprenais pas. Comment mettre des mots sur ce que je ne connaissais pas ? Ou que j’ai toujours connu ? Tes mots m’ont longtemps hanté. Surtout ceux où tu disais, quand je pleurais de douleur, que les hommes me feraient bien plus mal que toi. Cette phrase que tu répétais en boucle, à été ton meilleur bouclier et ton plus fidèle mantra. Il a fallut longtemps pour que je puisse réaliser qu’être une femme traversée par des pulsions homosexuelles ne justifiait en rien des actes pedocriminels sadiques d’exhibition sexuelle, d’agression et de pénétration sur une petite fille. Je te trouvais des excuses. Des circonstances atténuantes. Il a fallut longtemps pour que j’accepte qu’être une femme n’excusait rien. À cause de toi, j’en avais peur. C’était viscéral. Je les fuyais. J’ai fuis ma mère, et j’ai eu peur de le devenir. J’étais terrorisée à l’idée de faire subir les mêmes choses à ma fille. De devenir un monstre comme toi. En avançant dans la vie j’ai déconstruis. Mon parcours a été long...
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24 MAI 2023
Programme portable
1°) Échauffement blasphématoire (5 minutes) : Aujourd’hui, c’est la St Portable. Selon mon almanach 2023-2024, du moins. On écrira donc une petite prière à ce nouveau Saint du calendrier, sous forme rythmée, quelque chose qu’on pourrait psalmodier facilement.
Mon ancien portable M’a laissé tomber. C’était un jetable, Et je l’ai snobé… *** Mon nouvel haïphone Sonnera bientôt. Mais s’il est aphone Je prends un marteau.
À la Saint Portable, Le marchand de sable Peut passer à table. J'écrirai sa fable Si j'en suis capable, Ou je pète un câble.

2°) Embrayage par citation (10 minutes) : Se défouler ? Une citation est proposée, prise dans un dictionnaire, et on l’intègre dans un court texte. « Je voudrais voir un jour analyser l'automobile en tant qu'instrument à défouler les citadins emprisonnés » (Elle, 31 mars 1958). Dictionnaire Robert.
Je voudrais savoir si un jour quelqu’un saura analyser avec justesse le comportement des automobilistes. En gros, un sur deux juge que celui qui le précède sur la route conduit mal, et un sur deux pense que celui qui le suit est un chauffard. Et en réalité deux sur deux utilisent leur automobile comme un instrument grâce auquel ils se défoulent. Se défoulent de quoi ? De la vie citadine, des contraintes sociales, de la famille, des autres, plus généralement. L’automobile est leur antidépresseur, une arme, et le paradoxe est que pour se libérer de toutes les entraves et de leurs angoisses, ils s’y enferment. Finalement, c’est une prison agréable car mobile, et beaucoup plus efficace que celles de la Justice, et de temps en temps, on passe facilement de l’une à l’autre. On s’est bien défoulé ? Les matons vous foulent.

3°) Écriture longue (10-15 minutes) : Haïr. Les autres, c’est rien que des sales types, selon Jacques A. Bertrand, Julliard, 2009. Écrire un court texte dans lequel on exprime sa haine d’un genre d’individu particulier. Aujourd’hui : le médaillé.

Le médaillé est une espèce qui mérite notre attention, et notre haine. Et elle n’est pas en voie d’extinction. Le médaillé est un individu qui arbore à son revers de veste, et parfois sur toute la largeur de son buste large et puissant, une ou plusieurs breloques pendouillantes qu’on lui a épinglées au bout d’une cérémonie pesante et verbeuse au cours de laquelle un cravaté ventripotent et décoré a rappelés devant un auditoire pressé d’aller au buffet se gave de petits fours et de crémant tiède, des exploits dont le récipiendaire lui-même ne se souvient plus : avions ennemis abattus, copies d’examen corrigées sans frémir, courses de haies ou lancer de divers objets contondants ou piquants, carrière commencée là et en voie d’achèvement ici, le tout avec trémolos dans la voix et la promesse d’autres récompenses à venir, cérémonie clôturée par des hymnes sauvages, patriotiques ou syndicaux, des applaudissements et quelques larmes à l’œil. Rien que pour ces motifs, on devrait déjà souhaiter l’abolition des médailles. Mais qui plus est, le médaillé est un individu fier et imbu de sa personne, il mérite donc sur terre le châtiment que l’enfer lui réserve pour ce péché capital : la dégradation ! Comme Dreyfus ! Sus aux médaillés ! Coupons-leur leurs rubans, arrachons-leur leurs rosettes, faisons-leur manger leurs décorations, avec les épingles !
4°) 10 mots et un pitch pour une histoire (10-15 minutes) : Sonnette de nuit. Voici dix mots à placer, dans l’ordre que l’on veut, à l’intérieur d’une petite histoire. Résumé de l’histoire : Un individu tente une expérience afin de tester son voisinage : il sonne chez eux, la nuit, et leur dit qu’il fait un sondage sur la convivialité. Mots obligatoires : affecter, chance, domicile, enquêter, gain, glisser, imprudence, marche, mégère, plate.
– Chéri, ça a sonné ! Réveille-toi ! – Mmmhhh ? Quelle heure est-il ? – C’est minuit et demi ! Tu vas voir ? J’ai peur, moi ! Vas-y, mais ne fais pas d’imprudence ! – Bon, je passe un pantalon et j’y vais. Mais tout de même, qui peut venir à notre domicile à cette heure ? J’espère que ce n’est pas une mauvaise nouvelle. – Tu fais attention en descendant. Ne glisse pas sur les marches ! *** Le mari alla ouvrir et se trouva face à un individu souriant, qui lui expliqua d’une voix plate et lasse : *** – Monsieur, j’enquête dans le voisinage, et vous avez eu la chance d’être choisis pour répondre à ce sondage. – Mais, à cette heure-ci ? – Oui, justement. C’est exprès, et si la surprise est grande, le gain que vous en retirerez ne le sera pas moins. J’ai été affecté à cette tâche afin de récompenser les meilleurs voisins, ceux dont la convivialité naturelle et spontanée présentera le meilleur indice de tolérance à l’intrusion. La première question est celle-ci : Que pensez-vous de cette initiative ? – Bon, ce sera vite répondu ! Ma femme est déjà en train d’appeler la police, et si vous ne dégagez pas d’ici tout de suite, ça va être convivial, au commissariat, ça c’est sûr ! – Quoi ? Votre femme ? Mais quelle mégère ! Ah, je vous plains, mon vieux. Au revoir ! *** Et l’homme disparut dans la nuit, laissant un couple totalement désemparé. Ils eurent beaucoup de mal à se rendormir.
5°) Fragment pour l’inspiration libre (15-20 minutes) : Une écriture longue à partir d’une bribe déposée sur Internet par Étienne Candel. « L’étrangeté de ces spectacles, alors que tout s’effondrerait. » Sans chercher à savoir ce que son auteur a voulu dire, on se laissera aller à l’exploitation de ces quelques mots, de manière qu’un sens se dégage du résultat : soit une histoire, soit un dialogue, pourvu que la phrase se retrouve quelque part intégralement.

Tout n’est que spectacle, dès qu’il y a quelque part des yeux pour voir. La vie, la mort, la guerre, le passage des trains ou d’un chat errant. Mais voyons-nous vraiment tout cela ? Il faudrait savoir regarder, d’abord, prendre du temps pour observer ce qui nous entoure, la beauté comme la laideur ; mais le monde va trop vite. Comme les horloges. Et l’être humain a la fâcheuse tendance de vouloir aller plus vite que le chronomètre ou le calendrier, alors que la vie est si courte. À quoi bon regarder une société se déliter, des gens se battre ou sombrer dans la misère ou la maladie ? et à quoi bon en parler ensuite. Y aurait-il quelqu’un pour écouter, ou pour lire la description qu’en ferait un journaliste ou un sociologue ? et qu’est-ce qui vaudrait la peine de dépeindre l’étrangeté de ces spectacles, alors que tout s’effondrerait ? Serait-ce pour la gloire d’avoir été l’observateur majuscule, le peintre de l’extinction en route, le prophète des malheurs prochains ? Ne vaut-il pas mieux fermer les yeux et attendre tranquillement le bruit que ne manquera pas de produire la catastrophe finale, et le long silence qui suivra ?
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ISLAM 101: Ta Nourriture et Ta Boisson. Partie 3
La chasse selon les principes islamiques
Il est permis de chasser les animaux et oiseaux dont la chair est licite, animaux qu’on n’arrive pas à attraper ou maîtriser dans le but de les égorger et rendre ainsi leur consommation licite à l’exemple des différentes espèces d’oiseaux qui vivent dans les campagnes et les étendues désertiques, autres que les oiseaux carnassiers, à l’exemple aussi des gazelles, des lapins sauvages et ainsi de suite.
La chasse doit respecter des conditions, notamment :
Que le chasseur soit doué de discernement, que son objectif soit réellement la chasse [pour se nourrir] et qu’il soit musulman ou membre des gens du livre car ce qui est chassé par un athée ou un fou n’est pas permis.
Que l’animal soit de ceux que l’on n’arrive pas à égorger à cause de leur instinct de fuite et leur éloignement. Si ce sont des animaux qu’on peut égorger comme la volaille, les moutons et les bovins, il n’est pas permis de les chasser.
Que l’outil utilisé [pour chasser] tue avec son tranchant comme les flèches, les balles [des armes à feu] etc. En revanche, le gibier tué par un outil contondant [c’est-à-dire qui ne perce pas la peau, ne fait pas saigner] comme les cailloux, n’est pas licite à la consommation sauf si avant la survenue de la mort, on réussit à le sacrifier par égorgement.
Que l’on prononce le nom d’Allah en disant «bismillâh» avant de jeter l’outil [servant à la chasse].
Si on arrive auprès de l’animal ou de l’oiseau chassé et qu’on le trouve encore en vie, on doit obligatoirement le sacrifier en l’égorgeant.
Il est interdit de chasser les animaux pour un autre but que la consommation par exemple pour le loisir et le plaisir, sans intention de les manger.
Les bonnes manières quand on mange et boit
Allah a prescrit un certain nombre de bonnes manières lorsqu’on mange et boit, des manières qui concrétisent des buts et sagesses sublimes telles que se rappeler les bienfaits qu’Allah a octroyés à l’être humain, la prévention des maladies et l’absence de dilapidation et de vanité.
Entre autres bonnes manières, il y a ce qui suit :
L’interdiction de manger et boire dans la vaisselle faite d’or ou d’argent ou plaquée avec un de ces deux métaux en raison du gaspillage et de l’excès que cela suppose et parce que cela dépite et attriste les pauvres. Le Prophète (Paix et bénédiction d'Allah sur lui) a dit : «Ne mangez pas ni ne buvez dans les ustensiles d’or ou d’argent car ceux-ci sont pour eux (les non musulmans) en ce monde terrestre et seront pour nous dans la vie future» (al-Bukhârî 5110, Muslim 2067).
Se laver les mains avant et après le repas. Cela est encore plus préconisé si elles sont sales ou tachées avec un reste de nourriture.
Dire «bismillâh» (au nom d’Allah) quand on commence à manger ou boire. Le sens de cette parole est : «Je recherche la bénédiction et l’aide [divines] par le nom d’Allah». Si on oublie et qu’on s’en rappelle au cours du repas, on dira [pour se rattraper] : «Bismillâhi awwalahû wa âkhirah» (Au nom d’Allah pour le début et pour la fin). Le Prophète (Paix et bénédiction d'Allah sur lui) a vu un enfant qui ne maitrisait pas les bonnes manières en mangeant. Alors, il les lui a enseignées en disant : «Ô garçon, évoque le nom d’Allah [en disant «bismillâh»], mange à l’aide de la main droite et mange de ce qui est devant toi» (al-Bukhârî 5061, Muslim 2022).
Manger et boire avec la main droite. Le Prophète (Paix et bénédiction d'Allah sur lui) a dit : «Ne mangez pas avec la main gauche car c’est avec cette main que mange le diable» (Muslim 2019).
Il est recommandé d’éviter de manger ou boire debout.
Manger la nourriture qui est proche de soi et non du côté des gens [quand on mange dans un grand plat collectif] car ce serait un manque de civilité. Or, le Prophète (Paix et bénédiction d'Allah sur lui) a dit : «…et mange de ce qui est devant toi».
Il est recommandé de ramasser la bouchée tombée, de l’essuyer pour éliminer ce qui aurait pu y adhérer et de la manger et ce chaque fois qu’il est possible de la débarrasser de ce qui l’altère, ceci par égard pour ce bienfait qu’est la nourriture.
Ne pas critiquer, dénigrer ou mépriser la nourriture [le plat présenté]. Ou bien on dit du bien ou bien on s’en abstient et on se tait. Notre prophète (Paix et bénédiction d'Allah sur lui) n’a jamais dit du mal d’un repas. Quand il aimait, il mangeait, sinon il le laissait (al-Bukhârî 5093, Muslim 2064).
Ne pas abuser dans la nourriture en se goinfrant car c’est le chemin menant à la maladie et à la paresse. La modération est ce qu’il y a de meilleur comme le Prophète (Paix et bénédiction d'Allah sur lui) a dit : «Un humain n’a jamais entièrement rempli pire récipient qu’un estomac. Le fils d’Adam peut se suffire de quelques bouchées qui lui permettent de tenir debout. S’il n’a pas d’autre choix [que de manger plus que ça] alors qu’il consacre un tiers pour sa nourriture, un tiers pour sa boisson et un tiers pour son souffle» (at-Tirmidzî 2380, Ibn Mâjah 3349).
Dire «al-ħamdu lillâh» (louange à Allah) quand on a fini. On loue Allah pour ce bienfait qu’il nous a accordé alors que beaucoup de gens en sont privés. On peut dire en plus de cela : «al-hamdu lillâhi-ladzî atamanî hâdzâ wa razaqanîhi min ghayri hawlin minnî wa lâ quwwa» (Louange à Allah qui m’a nourri de ceci et me l’a accordé sans apport de ma part d’aucune force ni puissance).
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