#sortir des relations toxiques
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Libérez-vous des Relations Toxiques dès Maintenant!
Êtes-vous fatigué(e) de vivre dans une relation qui vous étouffe, vous draine émotionnellement et vous empêche de mener une vie épanouissante?
Si vous avez répondu "oui" à cette question, vous êtes au bon endroit. Il est temps de prendre le contrôle de votre vie et de dire adieu aux relations toxiques qui vous emprisonnent.
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1. Une Évasion vers la Liberté
Imaginez-vous libre des chaînes émotionnelles qui vous retiennent. Notre programme vous guidera étape par étape pour rompre avec les relations toxiques et retrouver votre indépendance émotionnelle.
2. Des Outils Puissants
Nous vous donnerons les outils psychologiques et émotionnels nécessaires pour comprendre pourquoi vous êtes attiré(e) par des relations toxiques et comment briser ce schéma destructeur.
3. Un Soutien Inestimable
Rejoignez une communauté bienveillante de personnes qui comprennent ce que vous vivez. Notre groupe de soutien vous aidera à surmonter les défis et à célébrer vos réussites.
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Lorsque vous quittez une relation toxique, vous vous ouvrez à un avenir rempli d'amour, de respect et de bien-être. Notre programme vous prépare à embrasser ce nouveau départ avec confiance.
Témoignages de Réussite
"Ce programme a changé ma vie. J'ai enfin trouvé la force de quitter une relation qui me faisait du mal depuis des années. Aujourd'hui, je suis plus heureux(se) que jamais." - Laura
"Je ne savais pas comment mettre fin à cette relation malsaine. Ce programme m'a donné les étapes à suivre et m'a soutenu tout au long du processus." - Marc
Ne Laissez Pas les Relations Toxiques Détruire Votre Vie
La vie est trop courte pour laisser les relations toxiques vous voler votre bonheur. Rejoignez notre programme "Sortir des Relations Toxiques" dès aujourd'hui et commencez votre voyage vers une vie plus saine et épanouissante.
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La liberté, le bonheur et la paix intérieure sont à portée de main. Ne laissez pas les relations toxiques vous retenir plus longtemps.
Oui, je rejoins le programme
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Comment utiliser des objectifs SMART dans les relations toxiques
Les relations toxiques peuvent nous laisser dans un état de confusion ou de paralysie, rendant difficile le passage à l’action. Pourtant, reprendre le contrôle est possible. Les objectifs SMART offrent une méthode concrète et efficace pour avancer, qu’il s’agisse de poser des limites, de protéger votre bien-être ou de reconstruire votre sérénité. Dans cet article, je vous explique comment adapter…
#Bien-être mental#Bien-être personnel#Changements de vie#comportement destructeur#Conseils relationnels#Croissance personnelle#dynamique de couple toxique#Guérison émotionnelle#introspection personnelle#limites relationnelles#manipulation#Reconstruction émotionnelle#relation toxique#Relations saines#Relations toxiques#reprendre confiance en soi#Santé mentale#schémas répétitifs#sortir d&039;une relation toxique
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Ok j'ai une théorie
L'autre fois je me faisais la reflexion que la relation Arthur & Perceval était l'exacte opposée de celle de Loth & Galessin. Loth & Galessin sont un peu les "jumeaux diaboliques" de Arthur & Perceval
Arthur et Galessin sont tous les deux des personnages assez blasés, qui utilisent le sarcasme comme mécanisme de défense, sont souvent de sale humeur et qui ont été habitués à obéir sans trop reflechir (Arthur de part son enfance à Rome). Mais Arthur, lui, a su aller au delà de son caractère parfois solitaire et renfrogné, pour prendre sa vie en main et essayer de tirer le meilleur de sa situation, pour lui comme pour son entourage. Galessin est ce qu'Arthur aurait pu être s'il était resté à Rome par exemple, sans jamais devenir roi.
Loth & Perceval sont tous les deux assez bavards, avec leur propre logique, un langage pas toujours très sensé et ont tendance à vouloir cacher leurs lacunes derrière des techniques un peu bancales. Mais là où Perceval veut se sortir de son ignorence (en se rapprochant d'Arthur, en posant des questions etc.) Loth, lui, ne semble pas vouloir évoluer. Il ne veut rien apprendre des autres ("j'ai pas envie de participer !"). Quand il raconte n'importe quoi, il le fait sous couverture d'une belle assurance pour se présenter comme un savant et manipuler son monde. Perceval, même s'il est tenté de faire de même (nottament avec la célèbre botte secrète) finit par vouloir au contraire apprendre à mieux s'exprimer et enrichir son vocabulaire.
Arthur & Perceval et Loth & Galessin ont quelque part les même lacunes et les mêmes démons. Mais là où le premier duo s'entraide pour s'élever vers le haut, le deuxième au contraire, par le manque de volonté des deux partis de vouloir s'améliorer, stagne et s'enracine dans une dynamique toxique.
En gros, Loth & Galessin sont ce que Arthur & Perceval auraient pu être s'ils avaient succombé à leurs défauts profonds et refusé à un moment d'évoluer.
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Pré-lien familial sur CRIMSON VEIL : (tw: relation toxique mentionnée mais non détaillée)
Lisbeth est la sœur de Sayanel, à qui il n'a pas parlé depuis une dizaine d'années. Rapports tendus et possibles orages à venir, il ferait pourtant tout ce qu'il peut pour sortir sa sœur de sa situation actuelle, de cette ancienne relation qui la met en danger.
Forum surnaturel basé sur des fiches cachées et des identités secrètes*
#crimson veil rpg#dianna agron avatars#taylor momsen avatars#teresa palmer avatars#claire holt avatars#forum rpg#préliens
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Choisir le mutisme devient parfois l'unique moyen de répondre à un monde qui semble imperméable à la compréhension. C'est au fil de ces années, au gré des leçons que la vie m'a prodiguées, que j'ai saisi la nature du bonheur. Il ne se présente pas comme un don inné, mais plutôt comme un choix délibéré, exigeant des efforts constants, une observation attentive de soi-même et une éducation émotionnelle.
La rencontre fortuite avec S cet été demeure une pièce maîtresse de ce récit intérieur. Sur les conseils de Jenifer, j'ai osé sortir de ma zone de confort, bravant les limites que je m'étais imposées. C'était un pas vers l'inconnu, une danse fragile avec le destin. Pourtant, même dans cette quête de renouveau, les ombres du passé violent avec mon ex-fiancé ont persisté. Comme des spectres indomptables, ils se sont insinués dans mes choix, me confrontant à des reflets toxiques que je pensais avoir laissés derrière moi.
Face au chant des sirènes, j'ai choisi de résister, guidée par Dieu vers l'inconnu, malgré les peurs et les doutes qui persistent.
Les instants partagés avec S se dévoilent comme une toile complexe de sentiments ambivalents. Chaque sourire partagé évoque des pensées qui errent vers un autre, vers D. C'est un écho d'une connexion passée, une mélodie nostalgique qui persiste même dans les nouveaux chapitres de ma vie. Et pourtant, la peur persiste, se glissant silencieusement dans les interstices de mes émotions. Peur d'être réduite à un simple trophée, une conquête fugace dans le jeu des relations humaines. L'excitation initiale du défi se mêle à l'ombre du doute, formant un tableau complexe de craintes et de désirs.
C'est dans ce labyrinthe émotionnel que je m'interroge sur la nature de mon attachement à S. La peur de ne jamais être aimée véritablement, mais plutôt d'être une illusion, hante mes pensées. Est-ce un amour authentique ou simplement l'excitation éphémère d'un défi relevé ? Ces questionnements, tels des murmures insaisissables, ajoutent une tension palpable à chaque interaction, chaque regard échangé.
Dans cette traversée incertaine, la présence de Dieu devient mon guide. Une boussole spirituelle dans le brouillard des sentiments humains. Je choisis de me laisser guider sans savoir exactement où cette route me mènera. C'est un voyage vers l'inconnu, vers un horizon incertain, mais la certitude demeure que c'est la voie à suivre pour préserver mon intégrité émotionnelle, pour éviter de retomber dans le cercle de violence qui a marqué mon passé.
Chaque page de cette histoire reste ouverte, chaque ligne écrite avec une plume tremblante, reflétant les tourments intérieurs d'une âme en quête de vérité. Les cinq pages de ce récit ne sont qu'une étape dans ce voyage, une exploration continue de soi, de l'amour et de la foi. Et alors que l'histoire se dévoile lentement, je reste suspendue entre la peur du passé et l'espoir d'un avenir encore inconnu.
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« Love Never Fails est tout à fait l’antithèse des dark romances », entretien avec Melissa Bellevigne
Melissa Bellevigne, romancière française vivant en Angleterre, vient de sortir son dernier roman, Love Never Fails Side A, chez Albin Michel. Il narre l'histoire d'une jeune fille de 17 ans qui débute une relation avec son idole, une rock star, après avoir fugué de chez elle pour s’éloigner de sa famille toxique.
Bouleversant, parfois difficile à lire par les sujets abordés (violences conjugales, viol, suicide), ce roman dénonce les relations d’emprise, familiales et conjugales, devenant ainsi une véritable antithèse des dark romances.
J’ai eu l’occasion de rencontrer Melissa afin de lui poser des questions sur ce roman poignant, mais également plus largement sur son travail et son évolution personnelle.
- Love Never Fails est sorti peu de temps après 7 jours en Écosse, ton précédent roman. Il y a un contraste saisissant entre ces deux livres qui sont assez éloignés au niveau des thématiques et du traitement. Tu peux nous en dire plus ? Lequel as-tu écrit en premier ?
J'ai écrit Love Never Fails en premier. Le processus de publication a été différent pour les deux maisons d’édition chez lesquelles ils sont sortis. Pour tout te dire, mon éditrice chez Bragelonne est tombée amoureuse de ma plume en lisant le manuscrit de Love Never Fails. Elle était relativement déçue que le sujet soit totalement hors de leur ligne éditoriale. C’était beaucoup trop sombre et poignant, alors qu’elle dirige la collection Hauteville qui est feel good. Elle m’a demandé si j’avais dans mes tiroirs une autre idée de projet, qui correspondrait mieux à leur ligne éditoriale.
En 2022 je suis partie en Écosse toute seule pour la première fois, pendant un burn-out. C’est d’ailleurs, entre autres, ce qui m’a permis de m’en sortir je pense. Quand je suis revenue je me suis dit « il faut absolument que je raconte cette histoire ». C’est très romancé, mais comme dans tout ce que j’écris, il y a aussi beaucoup de vrai dans ce livre, parce que ça a été une sorte de voyage initiatique pour moi aussi, j’ai été bousculée par cette expérience. C’était assez intense comme voyage, comme Raiponce descendant de sa tour, je passais la moitié de mon temps à sauter de joie, et l’autre moitié à pleurer de culpabilité. Et c’est quelque chose que l’on retrouve dans le roman.
Love Never Fails est également inspiré d’émotions réelles, même si moins de faits réels que 7 jours en Écosse. Quoique sur le point de vue de la toxicité intrafamiliale, peu de choses ont été romancées malheureusement. Mais ce sont des expériences que j’ai vécu en tant qu’adolescente, donc des souvenirs qui sont moins proches forcément.
J’ai galéré avec des relations toxiques avec des pervers narcissiques comme on dit en France, en Angleterre on parle de personnes atteintes du trouble de la personnalité narcissique, je préfère ce terme. Le mot pervers implique une volonté de faire exprès, alors qu’en dépit du mal qu’on a pu me faire, je comprends les mécanismes qui ont mené ces gens-là à devenir tels qu’ils sont. La plupart du temps, ils ne se rendent pas compte du mal qu’ils font, c’est trop ancré dans leur personnalité.
L’idée de Love Never Fails m’est venue pendant cette période de burn-out que j’évoquais, avant de partir en Écosse. Il y a un jour où j’étais vraiment au fond du trou, toute seule en train de pleurer chez moi, et je me suis imaginée un personnage un peu flou, un Écossais ça c’était une évidence. C’est comme s’il était au pied du lit et qu’il me regardait en me disant « t’es encore en train de te demander pour la millième fois pourquoi t’as pas eu le cran de fuguer quand tu avais 16 ans ? Viens, je vais te montrer moi ce qu’il se serait passé si tu étais vraiment partie et que tu avais suivi un groupe de rock comme tu en rêvais »
Très vite son prénom, Mason, s’est imposé dans ma tête, je ne l’ai pas vraiment choisi. C’est un peu comme s’il me prenait par la main et m’emmenait dans une salle de cinéma vide, m’installait sur un siège et me disait « tu mets ton clavier sur les genoux et tu n’as qu’à retranscrire ce que tu regardes », ça m’a vraiment fait cet effet-là. Alors que 7 jours en Écosse était presque un carnet de route romancé. Très romancé, j’insiste, parce que je n’ai jamais croisé d’Alastair !
Avoir été comme plongée dans le noir à regarder une sorte de film de ma vie parallèle était une expérience très bizarre. Et en même temps je crois que j’en avais besoin pour me relever de certains traumatismes d’enfance et d’adolescence. Le contraste entre ces deux romans vient probablement du fait que les émotions exploitées dans Love Never Fails sont des émotions d’ado, et dans 7 jours en Écosse ce sont des émotions de mère, de femme active surchargée. Et honnêtement, à choisir entre les deux situations, je ne sais pas du tout laquelle est la plus confortable.
- Paradoxalement on retrouve des éléments en commun dans ces deux romans, comme l'Écosse justement. Et même un personnage de 7 jours en Écosse qui fait une furtive apparition dans Love Never Fails… Il y a aussi l'incursion d'un personnage d'Enlève-moi, un autre de tes romans. C'est important pour toi de superposer légèrement les différents univers de tes romans en faisant des caméos de personnages d'autres univers ?
Oui, il y a toujours des crossovers entre mes romans, il y en a d’autres dans plusieurs autres de mes livres. D'ailleurs, Sam d'Enlève-moi fera plus qu'une apparition dans le tome 2 [Love Never Fails Side B, prévu pour avril 2025], il va être un personnage secondaire très important. On retrouve aussi la psy de ma duologie Paranoïa et Miroir dans mon roman London Calling.
Mon mari me fait souvent la vanne en disant que j’ai fait le MBU comme d’autres ont fait le MCU (Marvel Cinematic Universe). Ce sont des personnages auxquels je suis très attachée, ce n’est même pas de la nostalgie à ce stade, c’est que je ne veux pas lâcher prise, je les aime trop donc je veux les revoir !
C’est aussi une façon de tisser un lien assez durable avec mes lecteurs depuis le début. Si tu me lis depuis des années, tu sais ce qu’il advient de chaque personnage. Dans un de mes prochains livres, Alter Ego, qui devrait sortir au printemps 2026 chez Albin Michel, il y aura d’autres crossovers où on aura une idée de ce que sont devenus des personnages d'Enlève-moi et Love Never Fails 10 ans plus tard. Ça m’amuse beaucoup de faire ça !
Je tiens cette idée de Fred Vargas, dont je suis fan. Depuis le début des années 1990, elle met en scène son personnage, Jean-Baptiste Adamsberg. Et si tu lis ses romans dans l’ordre chronologique, tu suis sa vie privée en filigrane. J’ai toujours trouvé ça formidable, à chaque fois j’ai l’impression de prendre des nouvelles d’un vieux pote.
- Dans Love Never Fails, tu dénonces les relations d'emprise, qu'elles soient familiales ou conjugales. Est-ce que pour toi c'est l'antithèse des dark romances, qui au contraire banalisent et romantisent ce type de relations ?
Absolument ! Mais ça n’a pas été un argument marketing parce que, jusqu’à il y a quelques temps, j’avais un peu peur d’exprimer cette opinion. Le journal Libération m’a justement proposé d’écrire un article qui a été publié le 27 novembre, dans le cadre d’une édition spéciale pour le Salon du Livre de Montreuil. Et j’ai choisi d’écrire sur les dark romances, ça a été le premier sujet auquel j’ai pensé, et j’avais d’ailleurs très peur qu’on me dise d’éviter car c’est aussi ce qui fait des best-sellers.
Donc Love Never Fails est tout à fait l’antithèse des dark romances, oui. Une part de moi est d’ailleurs franchement satisfaite de n’avoir eu que des garçons, car c’est un phénomène qui me terrifierait si j’étais maman de filles. Je prends un parti vraiment tranché dans le récit, dès les premières pages Mason dénonce tout de suite la relation d’emprise, et la poudre aux yeux que ça peut représenter.
J’ai fait pas mal de dédicaces ces derniers temps, et j’ai entendu des libraires être absolument scandalisés de voir des enfants, parfois de 13 ans, leur demander des dark romances. C’est vraiment dramatique. Mon livre, qui est pourtant engagé dans l’autre sens, est déconseillé avant 16 ans, ça me tient à cœur.
- Dans le roman il y a des trigger warning en début de certains chapitres, annoncés par un pictogramme de guitare électrique, pour prévenir que des thèmes difficiles vont être abordés. Tu y avais pensé dès l'écriture ?
Non, absolument pas. C’est très égoïste ce que je vais dire mais je n’écris jamais pour un public. J’écris toujours pour moi avant tout, autrement je ne suis pas capable d’être créative.
Ces trigger warnings sont venus plus tard. Il y avait des scènes dures dans le texte, et c’est dans les habitudes de l’éditeur de prévenir le lecteur. Et moi je me suis pliée volontiers à cette règle que je trouve parfaitement saine.
- Dans ta vie précédente, tu avais une chaîne YouTube avec une direction artistique plutôt pastel, colorée, des sujets légers. Tu dis maintenant que tu masquais à ce moment-là ton vrai toi, ta noirceur, et que tu ne veux plus le faire. Est-ce que tu as des regrets à ce sujet ?
Absolument pas, non ! Le burn-out que j’ai fait n’était pas un burn-out parental, ni professionnel d’ailleurs, même si tout était lié. C’était un burn-out autistique. Et c’est parce que j’ai pété les plombs à ce moment-là que j’ai pu avoir une consultation avec un psychiatre, puis une chose en amenant une autre, j’ai été diagnostiquée autiste en mai 2022. Et je pense qu’il m’a fallu 2-3 semaines pour tout fermer.
Le masking est très typique de l’autiste non diagnostiqué, c’est-à-dire qu’on prend sur soi très longtemps, parfois pendant des décennies. En particulier les femmes, qui ont tendance à masquer énormément leur autisme, car on a le cuir un peu plus épais je pense et qu’on nous apprend très tôt à la fermer. Et c’est extrêmement courant au moment du diagnostic qu’un phénomène d’unmasking se produise aussi sec. C’est assez intense et pas forcément évident, déjà d’intégrer l’information du diagnostic, on est souvent dans le déni au départ.
Puis tu vis ta vie à l’envers, tu regardes le film dans l’autre sens et tu comprends beaucoup de choses. Du coup, tu arrêtes de faire des choses pour lesquelles tu as été conditionné. Moi je me suis toujours sentie illégitime de parler de rock, de noirceur, alors que c’était ce que je consommais le plus, mais personne ne le savait. J’avais tendance à ne pas le dire, et à ne parler que de la country que je pouvais écouter, à porter des vêtements pastel.
Ce n’est même pas que je portais des œillères ou que je n’y voyais pas clair, c’est juste que je n’avais pas conscience que j’avais été conditionnée depuis l’enfance à ne pas exprimer ce que j’avais comme besoins, ou mes goûts par exemple. Et le diagnostic a fait sauter tout ça d’un coup, ça a même été une explosion. Je n’en pouvais plus d’être une autre, j’avais besoin qu’on me voie telle que je suis.
Sur le coup, ça m’a mené à m’enfermer plus qu’autre chose, parce que j’avais besoin d’intégrer ça et de digérer toutes ces infos pour me sentir de nouveau légitime de revenir plus publiquement. Avec, finalement, une image qui paraît nouvelle pour tout le monde, alors que ça a toujours été ce que je pensais être à l’intérieur sans oser le dire. Tout a été réajusté, ma façon de voir mon couple, ma maternité, ma vie professionnelle. Ma plume est probablement la seule chose qui n’a pas tant évolué que ça, bien que je me lâche beaucoup plus qu’avant.
Je pense que les seules personnes qui m’ont toujours devinée telle que je suis sont celles qui lisaient mes romans. Hors de ce contexte j’étais toujours dans la douceur, fallait pas faire de vagues.
- Tu as d’ailleurs retiré tes vieilles vidéos YouTube. Tu ne veux plus qu’on voit cette facette de toi ?
Je pense qu’il y a effectivement une part de rejet, c’était pas moi donc je ne voulais plus que ce soit public. Mais il y a aussi le fait que j’ai vraiment besoin de me concentrer maintenant sur ce que j’ai toujours voulu faire de ma vie, à savoir être romancière.
Pendant des années, et jusqu’à il y a peu, quand je voyais mon nom sortir à propos d’une nouvelle parution on associait toujours ça à l’ancienne YouTubeuse ou blogueuse. Je sais que j’ai été influenceuse pendant plusieurs années, mais j’étais également déjà romancière et ça décrédibilisait énormément mon travail d’autrice. Parce que même s’il n’y a toujours eu que de très bons retours sur ma plume, les gens qui n’avaient pas lu partaient du principe que c’était forcément mauvais.
- À l'avenir est-ce qu'on va te retrouver avec des sujets aussi sombres, et peut-être tout aussi personnels ? Est-ce que c'est cathartique pour toi d'écrire sur ces sujets ?
Oui, puisque j’assume plus ma noirceur et que je pense être plus noire que solaire, forcément ce sont des thématiques qui vont revenir. Mon prochain roman, Alter Ego, va aussi aborder la thématique de la toxicité dans le couple, notamment la thématique assez touchy de la jeunesse qui s’éprend d’un homme plus mature, qui va user et abuser de son bagout et de sa position de force. Une relation d’emprise d’un autre type, moins franche mais plus pernicieuse.
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MIEUX ÊTRE SEUL OU MAL ACCOMPAGNÉ?
Accompagné ou tu te sens ignoré,mal-aimé ,seul même à deux,ou ta lumière et tes rires sont éteints,la plus part du temps.
On a tous utilisé la phrase au moins une fois dans sa vie,pour réconforter quelqu’un qui devait se séparer,(tu es mieux seul que mal accompagné)ou quelqu’un l’as utilisé envers nous pour nous aider à sortir d’une mauvaise relation.
Il y a une certaine différence entre être seul et la solitude,
Être seul implique de s’occuper de soit,de prendre du temps pour soit,pour être bien pour ne pas être mal accompagné,la solitude implique l’isolement malgré que l’on ne veut pas ça nécessairement.
Dure de répondre à la question qu’est ce que finalement est une belle relation?qu’est ce que être bien accompagné?
Si être accompagné apporte plus de peine que de joie,plus de déception que de satisfaction,si juste un des deux ,que l’on profite de vous,la réponse devrait être simple vous êtes accompagné d’une personne toxique.
Il est difficile de quitter cette situation,cette relation qui nous rend malheureux à long terme,
Mieux être seul,que vivre une vie pleine de chagrin.
Ne laissez pas votre vie se transformer en une existence pleine de tristesse.
Il existe des relations toxiques que nous maintenons avec des personnes qui ne sont pas des personnes mauvaises,mais ce n’est pas une relation saine,il y a de la manipulation et des mensonges.
Pourquoi on se permet ce genre de relation.
Et l’importance que nous leurs donnons détermineras la difficulté à pouvoir se sortir de la!!
Si c’était quelqu’un que vous connaissiez,vous lui diriez sûrement de partir de s’éloigner.
Mais quand nous on le vit c’est autre chose.
Peut être mieux vaut être seul que mal accompagné.
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Textes à Josee Jo-anna Thompson Avec Amour 4/06/2024
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Vendredi 18 octobre 2024
Je commence encore quelque chose de nouveau en sachant que je risque de lacher d'ici 3 jours, surement même avant.
J'ai trop d'émotions qui crèvent de sortir. Elle sont emprisonnées dans un corps qui à pas l'énergie pour elles.
La frustration : de pas avoir le bon corps, le bon logement, la bonne famille, pour pouvoir faire ce qui me tiens à coeur. Le conflit entre ce que j'aimerais être et ce que je ne peux pas être à cause de limitations que j'ai longtemps crues mentales.
La colère avec la boule d'acide dans l'estomac, de pas pouvoir aider, de pas être aider, de pas être entendu, compris systématiquement.
La tristesse, que les gens ne comprennent pas mon langage, mes intentions. Que ma colère et ma frustration ne puissent pas être utiles.
Maintenant je vais être plus précis.
Plus d'un an que des gens meurent sous nos yeux, qu'ont les entends, qu'on voit leur colère, leur larmes, leurs pertes, et les gens tourne la tête. Les gens tournent la tête quand mes ami.es se plaignent. Les gens tournent la tête quand je les met face à leurs responsabilités. Dans la commu ça parle de vouloir vivre en communauté. Moins centraliser nos vis sur l'amour romantique. BLABLABLA. Je m'en fiche que ta vie tourne autour de ton taff, de tes ami.es, de tes plans cul. Qu'on apprenne à vivre en communauté. Qu'on apprenne a gérer le conflit. A pas se ghoster. Pas juste croire que machin est toxique et puis du coup bye.
Qu'on apprenne à faire face. A faire aussi ce qu'on peut.
Comprendre qu'il y''a des gens qui n'ont pas le choix de ne "rien" faire.
Comprendre qu'il y a des gens qui ont le choix et les privilèges et qu'ils ne font pas.
Je pense qu'on se concentre sur des trucs qui règle pas les problèmes profond, et je suis persuadé de pas avoir la solution. Je sens juste que la forme est aussi importante.
Parler derrière le dos des gens parce qu'on est en colère. Au lieu de leur dire. STOP en fait. Je dois tellement bosser sur ça. Et partir quand y'a pas de changement, ni d'effort.
T'as pas l'énergie mais par contre pour ton taff t'en as ? Pour aller faire la fête t'en as ? Pour bitcher sur les gens t'en as ?
Les économies que je fait depuis que je bois plus, fume plus, vais pas en teuf, date, c'est le CHOC.
On m'a trop traiter misérablement parce que j'ai pas assez crié.
J'ai pas dit mais ferme ta gueule en fait. J'ai pas assez dit c'est finis. J'ai pas assez dit NON, j'ai pas assez lever mon petit cul de blanc pour partir. J'ai pas assez et pourtant je suis trop il parait.
Je me déteste pour des trucs que je fait même plus. Quitter les relations hétéroooo mais je les fanstames toujours ???? Quitter mon taff mais merde du coup j'ai plus de valeur ??? Avoir abandonné mon corps et ma santé, j'en paye le prix avant 30 ans. Croire que pour vivre en communauté il faut vivre en colocation mais LOL. Il faut être poly, lire de la théorie et poster sur insta les news. Mais WTF.
Non je sais pas partager mon partenaire sexuellement, non j'arrête la théorie qui me trigger tellement que je dors pas, du coup je passe par la fantasy pour plus de distance, j'enlève insta sur le tel parce que les cools kids c'était fun deux secondes mais en fait vous êtes trop chiant.es. Et les salomons c'est pas juste fashion, ça me permet de plus avoir de douleurs au pieds pour la première fois de ma vie.
Tout ce que j'ai fait parce que j'ai peur de pas faire parti du groupe alors que franchement, vouloir être seul, c'est tellement ouf. On est tellement devenu des individualistes masqués. Genre se divertir par les autres pour jamais se connecter à soi, sorry mais s'abandonner pour les autres ça devient du people pleasing et c'est pas vivre en commu. ça veut pas dire etre H24 avec des gens et aider à tout va. On fait ça parce que le capitalisme bliblablou tmtc, mais genre du coup on est tellement éloigné les un.es des autres. Bref mais en fait c'est la faute de personne, juste des riches, des mecs blancs cis het, des stars, des célébrités, qui nous donnent comme exemple d'etre pas respectueux blablablablablablabla c'est bon je me suis saoulé, j'ai cru je parle à qui même, je vais quitter ma fucking tête pour retrouver mon corps un peu, je vous laisse, je vous aime, prenez grave soin de vous, on vous détestera pour ça, levez vos belles fesses si vous le pouvez et allez vers l'amour qui vous plait.
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26/01
J’abuse totalement de mes relations avec les autres, je dépasse toujours les limites. Je ne veux plus avoir l’air d’un enfant auprès des autres. J’ai envie que les gens me prennent au sérieux. J’ai peur qu'en changeant de manière d'interagir avec les autres, je me retrouve seule. Je pense que ça n'est pas si simple et que les choses sont plus complexes que les deux faces d’une pièce. Qu’il y a bien un milieu. J’ai juste peur de perdre ma proximité avec les gens. Je n’ai pas envie de faire confiance aux autres, j’ai envie de tout casser. Je crois que je suis toxique. Pas pour me victimiser, mais je crois que c’est vrai. Je me déchire dans mes meilleures relations sociales. Je suis adulte maintenant, c’est mon ami et pas mon sauveur. Mon problème c’est que j’aime les gens toujours trop fort, je me déteste tellement d’être comme ça. Pourquoi ça me touche autant, pourquoi les attentions des autres me touchent autant. Je ne comprends pas pourquoi j’ai besoin de leur amour et de leurs mots. Que tout est sujet à me tuer pour maintenir ces relations.
Je constate que mon problème principal est que je n’ai pas confiance en moi à cause de mon autisme et tout simplement car je manque de confiance. Donc, je cherche à la fois à renforcer ma confiance via une personne tierce, aussi parce que j’aime avoir des relations interpersonnelles fortes. Le problème est que je me sur-investis, et inévitablement je souffre car les autres ne m’aiment pas autant ou avec la même intensité. Donc je suis frustrée, j’ai mal et je suis triste. Le problème de ses amitiés, c’est qu’elles me permettent de soulager la pression. Je ne veux pas les décevoir et je me tue à la tâche : la réalité c’est qu’ils n’en ont même pas grand chose à foutre je pense, que si je fais une erreur c’est humain. J’évite d'échouer car j’ai peur de ressentir de la haine envers moi-même, me sachant fragile et déprimée. Il faut que je trouve un moyen d’accepter l’échec et de détendre mon attitude, être moins agressive sans pour autant me changer complètement et être fatiguée de masquer. L’objectif serait de pouvoir détacher ce regard enfant / petit animal blessé dont je veux me détacher, sans pour autant altérer fondamentalement la relation. Il faut que j’arrive à me détacher émotionnellement de ça. Ça me fait mal à dire mais il faut peut-être aussi que je m’investisse moins à tout niveau pour créer un équilibre. Pour ça, il faut aussi que je me recentre sur les outils que j’ai pour pouvoir fonctionner tout en étant moi-même, moins dépendre de l’amour des autres :”if you can't love yourself, how in the hell you gonna love somebody else?”
J’aimerais tellement être en paix avec moi-même. ne pas avoir à écrire de longues phrases chiantes. J’ai envie de rendre les coups, de retrouver le goût de vivre des choses sans avoir à souffrir à chaque fois, même quand c’est heureux. Tout ricoche dans mon crâne, c’est toujours la même rengaine. Je vais donc écrire pour ne pas me faire du mal, je pourrais peut-être écrire un livre avec tout ce que j’ai dans la tête, comme je faisais avant pour me libérer l’esprit. Ça devait me libérer, du moins un peu, sinon je ne l’aurais jamais fait. Je pense à rien du tout d’autre que comment lutter. Comment faire pour dépasser tout ça, comment rendre les putain de coups ? Je devrais faire tellement de choses, j’ai envie de m’en sortir. Ma vie me fait de l’ombre, je ne peux pas être normale ? Je regarde le plafond comme s’il allait me donner les réponses que je n’ai pas, que je n’ai jamais eu. J’espère les avoir, j’espère demain, le plus vite possible. Je ne peux pas rester dans un état de végétation, je me hais d’être comme je suis, pourquoi je suis comme ça. Faible et nulle parfois, toujours faible, je ne peux rien faire sans fatigue. Je suis toujours fatiguée, ça me dégoute, j’aimerais me secouer, pour me réveiller et reprendre l’ascendant. La rage me manque. La rage de reprendre le dessus sur moi-même. Je veux me battre et gagner. Laisser la part de moi qui n’a plus rien à donner pour construire quelqu’un qui en vaut la peine. J’ai envie que cette personne puisse porter de belles choses dans ce monde. Je veux m’en sortir.
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Le soin Holiscan est une méthode qui vise à l’autonomie et à la libération émotionnelle/énergétique. Il offre une approche holistique pour comprendre et améliorer notre bien-être émotionnel et énergétique. Il permet de sortir des relations toxiques, des paradigmes nocifs et des croyances limitantes. Il révèle ce que l’on ne nous a jamais dit, caché ou ce que nous n’avons jamais cru être autorisés à faire. Il permet de se soigner énergétiquement en autonomie et de trouver un équilibre entre l’ombre et la lumière. à Arras. 06 75 72 21 62 rendez-vous en ligne : https://user.clicrdv.com/cedric-colaert https://www.pagesjaunes.fr/pros/61658803 le site : https://cedriccolaert-energeticien.fr/ #libérationémotionnelle
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Se Libérer des Relations Toxiques
Libérez-vous des Relations Toxiques dès Maintenant! Êtes-vous fatigué(e) de vivre dans une relation qui vous étouffe, vous draine émotionnellement et vous empêche de mener une vie épanouissante? Si vous avez répondu "oui" à cette question, vous êtes
Libérez-vous des Relations Toxiques dès Maintenant! Êtes-vous fatigué(e) de vivre dans une relation qui vous étouffe, vous draine émotionnellement et vous empêche de mener une vie épanouissante? Si vous avez répondu “oui” à cette question, vous êtes au bon endroit. Il est temps de prendre le contrôle de votre vie et de dire adieu aux relations toxiques qui vous emprisonnent. Découvrez notre…
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Se reconstruire après une relation toxique : étapes clés
Se reconstruire après une relation toxique peut laisser des blessures profondes, visibles ou invisibles. En sortir est un acte de courage immense, mais cette reconstruction personnelle est une étape tout aussi essentielle pour retrouver sérénité et confiance en soi. Voici des étapes clés pour vous aider à avancer sur ce chemin de guérison et amorcer une véritable renaissance. Ce n’est pas votre…
#affirmations positives#autonomie émotionnelle#blessures émotionnelles#Changements de vie#chemin vers la résilience#contrôle émotionnel#couper les ponts#Croissance personnelle#dépendance affective#dynamique saine#estime de soi#gestion des émotions#Guérison émotionnelle#introspection personnelle#limites relationnelles#manipulation#Reconstruction émotionnelle#reconstruction personnelle#réflexion personnelle#Relations saines#Relations toxiques#renaissance personnelle#reprendre confiance en soi#routines bienveillantes#rupture amoureuse#Santé mentale#sortir d&039;une relation toxique#soutien après rupture#vie après la toxicité
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Le décollage
Pour retirer la graisse d'une poêle, il faut y passer de l'eau bouillante
Comment l’être nous met sur sa voie ? Comment un individu trouve-t-il son chemin, prend-il son envol ?
Est-ce par l’inspiration ? Est-ce par ses lectures, par la musique, par sa poursuite d'un rêve ou d'un idéal ? On croit que c'est en rêvassant et en s'évadant que l'on va décoller...Mais en réalité pour décoller quelque chose, pour retirer la graisse d'une poêle, il faut y passer de l'eau bouillante.
Pour s'envoler, on essaie d'oublier la pesanteur en s'attachant à de nobles pensées, à de nobles désirs, à une espèce de philosophie spirituelle généraliste en jouant les précieux comme les actrices de cinéma mais on ne peut pas s'envoler sans se décoller, sans agir sur ce qui pègue en nous.
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L’être est une flamme invisible, de très haute vibration, on pourrait dire très haute température. C’est la flamme qui brûle en nous et maintient notre corps au chaud.
Lorsque nous avons besoin de changer de direction, de changer de relations et d’activités, nous allons avoir besoin que cette flamme intensifie son signal. Cela ne vient ni de notre décision, ni de notre désir, ni de notre volonté mais de notre BESOIN.
Pour intensifier son signal, faire grandir sa flamme et améliorer la connexion du réseau interne, l’être va créer en nous les conditions d’une asphyxie et nous rendre insupportable certaines personnes, certaines attitudes, certains environnements. Cette hypersensibilité va créer des états de conflit intérieur (des étincelles) et faire grandir la haine. La haine vis-à-vis de l’hypocrisie, la haine vis-à-vis de la soumission, la haine vis-à-vis des relations toxiques, c’est-à-dire vis à vis de tout ce qui nous maintenait auparavant dans cette force d’inertie et de consentement à la médiocrité. La haine va monter jusqu’à ce que la flamme ait atteint un niveau de combustion suffisant pour nous permettre de sortir de nous-même et effectuer notre transformation intérieure.
On associe souvent l’Amour à un feu purificateur. Cette haine initiatique, cette insupportabilité des faux-semblant et de la médiocrité est l’expression CONCRÈTE de cet amour purificateur qui entame son processus.
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L’amour propre, l’intégrité et la dignité sont le commencement de l’amour véritable.
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C’est l'amour propre qui rend l’être bouillant et décapant.
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Tu ne trouves pas ton chemin en poursuivant un idéal mais en repoussant l’insupportable, pour créer ce dont tu as RÉELLEMENT besoin.
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Une fois que tu as versé suffisamment d’eau bouillante sur ta poêle, la voie se dégage et ta poêle est propre. Tu peux alors enfin commencer à cuisiner dedans, des choses que tu aimes vraiment.
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Boostez votre estime de soi : 5 clés pour gagner en confiance
L'estime de soi et la confiance en soi sont essentielles pour vivre une vie épanouissante et réussie. Découvrez comment gagner en confiance en soi à travers ces cinq conseils pratiques et efficaces. Acceptez-vous comme que vous êtes Apprendre à s'aimer La première étape pour gagner en confiance en soi est d'apprendre à s'accepter et à s'aimer telles que nous sommes. Prenez conscience de vos qualités et de vos défauts, car chacun d'entre nous en a. Identifiez vos forces et travaillez sur vos faiblesses pour vous améliorer, mais n'oubliez pas de vous aimer malgré vos imperfections. Cultivez la gratitude La gratitude est un outil puissant pour renforcer l'estime de soi. Chaque jour, notez trois choses pour lesquelles vous êtes reconnaissante. Cela peut être aussi simple que d'avoir un toit sur la tête ou des amis et la famille qui vous soutiennent. Cette pratique vous aidera à vous concentrer sur les aspects positifs de votre vie et à gagner en confiance en soi. Fixez-vous des objectifs réalistes et atteignables Planifiez votre succès Pour gagner en confiance en soi, il est important de se fixer des objectifs concrets et réalisables. Définissez vos objectifs à court, moyen et long terme et établissez un plan d'action pour les atteindre. Célébrez chaque petite victoire en cours de route, et n'hésitez pas à réévaluer et ajuster vos objectifs si nécessaire. Adoptez un état d'esprit de croissance Cultivez un état d'esprit de croissance en considérant les échecs comme des opportunités d'apprentissage. Ne soyez pas trop dure envers vous-même en cas d'échec, mais cherchez plutôt à en tirer des leçons pour progresser et gagner en confiance en soi. Entourez-vous de personnes positives Choisissez vos relations avec soin Les personnes qui vous entourent ont un impact significatif sur votre estime de soi. Entourez-vous de personnes bienveillantes, encourageantes et positives qui vous soutiennent et vous inspirent. Éloignez-vous des relations toxiques qui vous tirent vers le bas et sapent votre confiance en vous. Cherchez des modèles inspirants Identifiez des personnes qui incarnent les qualités que vous admirez et aspirez à développer. Observez comment elles gèrent les défis et les succès, et apprenez d'elles pour gagner en confiance en soi. Prenez soin de votre corps et de votre esprit Adoptez un mode de vie sain Pour gagner en confiance en soi, il est essentiel de prendre soin de votre corps et de votre esprit. Adoptez une alimentation équilibrée, faites régulièrement de l'exercice et accordez-vous du temps pour vous détendre et vous ressourcer. Un mode de vie sain vous aidera à vous sentir bien dans votre peau et à développer une meilleure estime de vous. Pratiquez la méditation et la pleine conscience La méditation et la pleine conscience sont d'excellents outils pour renforcer l'estime de soi. Prenez quelques minutes chaque jour pour vous recentrer, vous concentrer sur votre respiration et pratiquer la pleine conscience. Cela vous aidera à vous connecter à vous-même, à vous concentrer sur le moment présent et à gagner en confiance en soi. A lire également : Troubles du sommeil : vos nuits enfin paisibles ! Osez sortir de votre zone de confort. Relevez de nouveaux défis Pour gagner en confiance en soi, il est important de sortir de sa zone de confort et de relever de nouveaux défis. Identifiez des opportunités pour essayer de nouvelles activités, apprendre de nouvelles compétences ou faire des expériences qui vous font peur. Chaque défi relevé renforcera votre confiance en vous et vous prouvera que vous êtes capable de réaliser bien plus que ce que vous pensiez possible. Apprenez à prendre des risques. N'hésitez pas à prendre des risques calculés pour atteindre vos objectifs. Acceptez que l'échec fait partie du processus d'apprentissage et d'amélioration, et ne laissez pas la peur vous empêcher de poursuivre vos rêves. Il est temps de passer à l'action et de mettre en pratique ces conseils pour gagner en confiance en soi. Souvenez-vous que le changement et l'amélioration de soi sont des processus continus. Soyez patiente et persévérante, et vous verrez votre estime de vous s'épanouir. Read the full article
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8/ Relation toxique 21/ Aimer sans retour
Extraits multiples
8 janvier 2020
« J'aime pas quand je pense que je t'aime
J'aime pas quand je pense que tu m'aimes pas »
27 février 2020
« Ton sourire
Tes cheveux
Ton rire
La façon dont tu parles
La façon dont tu me rassures
La façon dont tu me regardes quand on est seul
Je ne peux pas supporter le bleu de tes yeux
Je ne peux pas supporter mes émotions »
3 mars 2020
« Parfois je m'en fiche
Parfois je veux me tuer »
21 avril 2020
« Je devrais pas penser à toi
Pas autant
Pas tout le temps
Mais j'ai besoin de ce que tu m'apportais
Encore une fois
Me lâche pas comme ça
Tout est devenu sans intérêt »
8 juin 2020
« 3 mois – 7 jours que je sais que c'est trop tard »
17 juin 2020
« C'est fini »
9 août 2020
« J'ai pas oublié »
15 août 2020
« Je voulais pas de nous avant que tu dises que tu voulais pas de nous »
24 août 2020
« A chaque putain de fois »
5 septembre 2020
« Est-ce que je me sens juste seule »
9 septembre 2020
« Hier était la pire journée de 2020 »
12 septembre 2020
« Mais moi j'ai mal au cœur à en vomir »
15 septembre 2020
« C'est terminé cette fois »
7 novembre 2020
« ça m'arrive encore d'y penser »
13 novembre 2020
« Aujourd'hui j'ai tout archivé
Comme si je te mettais dans le fond d'un tiroir
J'aurai voulu te dire une fois combien je t'ai aimé
Comment tu m'as fais connaître le désespoir
Combien de temps j'ai pleuré dans le noir
Les plaies finiront par être pansées
Le passé finira par passer
Je commence à t'oublier »
7 janvier 2021
« Tu es revenu
Probablement la dernière fois
J'y ai brièvement cru
Une nouvelle fois »
22 septembre 2022
« bien sûr que j'y pense encore »
22 mai 2023
« Je t'ai recontacté c'était dur
J'aurai voulu que ça ne me fasse rien mais j'y pensais presque tout le temps
J'aurai tellement voulu que tu m'aimes que ce désir reprenait le dessus
Je n'ai personne à qui parler alors je n'arrive pas à sortir de mes pensées »
17 octobre 2023
« Quand tu m'as dis ce que tu pensais de moi
Je me suis rendue compte que je n'avais rien à dire de positif sur toi
Il y a dû en avoir des choses pourtant
Sûrement
Mais j'étais tellement triste, il y avait tellement d'angoisse
Que je ne m'en souviens plus
Parfois après qu'on ai fait l'amour, je pleurais
Parce que tu ne me prenais pas dans tes bras
Que je savais que je ne te retiendrais pas
Là encore maintenant le fait que tu ne m'aimes pas
C'est moi que ça dégrade
Un jour tu aimeras un autre fille mais ça ne sera jamais moi
Je ne suis pas assez bien pour ça
Alors tu dis que je mérite mieux
Mais moi c'est toi que je veux »
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Step by step 3
En vrai c'est une bonne chose d'expulser ma colère ici
Je suis énervée :
Qu'il ait des ami-es qui le soutiennent et qui me voit comme l'ayant bien cherché, comme "celle qui a commencé les violences"
Qu'il puisse continuer son travail comme si de rien
Qu'il ait pas de soucis lié à avoir recevoir des coups
Qu'il fasse aucun effort pour essayer de réparer les choses sainement avec moi
On le chouchoute, on l'invite à des soirées, il joue à des jeux avec ses potes, etc. (même si je sais que ça rends pas forcément plus heureux et qu'il doit avoir une grosse boule au ventre sous-jacente en permanence vu qu'il va mal depuis des années)
Les violences que j'ai faites selon lui
Être suicidaire à 3 reprises (il était au courant dès le début de la relation, j'ai passé le premier date à lui parler de mes tentatives de suicide et du fait que j'essayais de m'en sortir)
L'avoir "fait tourner en bourrique" : crise d'angoisse ? Inquiétudes ?
Les violences qu'il m'a faites
Changer de mood de manière impulsive
Faire des vas et viens de bienveillance à "tu me saouls"
Me reproche des petits trucs (genre 3 assiettes pas lavées) là où ses colocs faisaient la même chose
Me reprocher d'être trop expansive quand j'étais super heureuse sur un truc
Ne pas faire beaucoup d'effort sur les tâches ménagères
Ne pas gérer son administratif (d'ailleurs finalement ça l'arrange bien de quitter l'appartement, il supportait pas l'idée de déposer une demande de changement de garant)
Me reprocher d'aller mal tout en me disant "ça va aller c'est pas grave"
Me dire des trucs, et me dire après que j'ai mal compris le truc
Changer d'avis super souvent
Il a menti
Me mettre toute la faute dessus aux yeux de ses potes ou du moins l'accent dessus
Se faire passer pour la victime avant, utiliser sa séance au centre de violence contre moi
M'encourager à aller vers lui si ça va pas alors qu'il gérait clairement pas
Croire que le rôle d'un copain, d'un couple, c'est sauver l'autre au lieu de soutenir l'autre
M'envoyer très peu de message, de petites attentions, alors que j'ai clairement dit que c'est ça dont j'avais besoin et pas forcément +
N'avoir aucune stabilité, notamment dans ses horaires, ne pas prévoir de temps avec moi, vouloir tout faire à l'arrache au lieu de prévoir quitte à annuler au cas où
Me remettre toute la culpabilité dessus sur l'explosion de la colocation alors que son colocataire allait mal, lui aussi, que ça faisait un moment que tout le monde en avait marre et que la tension se ressentait, qu'ils ont tous dit à un moment que c'était pas ouf cette coloc ni cet appart
Un sexisme vraiment sous-jacent malgré son "acceptation" sur mes questionnements de genre
Me frapper, me dire qu'il voulait me tuer, me traiter de sale conne, de salope, de pire chose qui lui soit arriver dans sa vie
Me reprocher que LUI ait finalement voulu être en couple en disant des trucs aberrants tel que "à la base je voulais pas de couple, tu m'y as forcé" alors qu'on a été 3 mois pas en couple du coup et qu'il avait été clair
Il m'a incité à prendre de la drogue (du canabis) quand j'allais mal, et du LSD après la première prise (qui était une demande de ma part du coup mais il était en mode go on prends en encore)
Les violences qui en sont pas vraiment mais qui me saoulait
Qu'il laisse pas le bleu vu sur whatsapp car du coup bah il pouvait ignorer les messages
Les comportements toxiques que je peux avoir selon moi
Manque de confiance (même si là sérieusement il a confirmé toutes mes peurs)
Crise d'angoisse avec geste mutilatoir/suicidaire
Manquer de patience quand je vais très mal (vouloir que les choses s'arrangent immédiatement, après pour la plainte on est limité à 3 mois)
Insister par message quand j'angoisse et vouloir absolument me faire entendre quand l'autre demande un break car je ressens l'injustice
M'être un peu trop reposé sur lui émotionnellement alors qu'il était clairement mais alors clairement pas la bonne personne malgré le fait qu'il m'y encourageait
Avoir voulu le faire culpabiliser des coups qu'il m'a donné
Avoir eu de grosses insécurités et en avoir pleuré
Les trucs que j'aurais pas dû faire
Trop me soucier de lui
Vouloir le sauver
Venir vivre dans sa coloc (bon ça je pouvais pas deviner que ça se passerait aussi mal)
Allez vers lui quand j'allais mal alors que je le sentais pas et que ça me faisait même + mal
Ne pas avoir été assez claire avec lui, ne pas avoir mis mes limites, ne pas avoir dit "stop là tu dois trouver de l'aide car moi je peux pas t'aider"
Ne pas avoir pris de temps pour moi et juste pour moi
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