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Partie 2 : Production personnelle
Dessin digital
Croquis
Dessin d'observation
Peinture aquarelle - reproduction Renoir
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Mes questions à CHATgpt
"C'est moi qui me sentait mal depuis le début" qu'il a dit
Also moi depuis le début (dans l'ordre, depuis juin) :
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TW drogue : LSD
"L'autre" m'a fait testé le LSD (à ma demande, je ne vais pas faire de mauvaise foi, j'étais curieuse depuis longtemps). À chaque trip avec lui, la montée était top, une belle introspection, des fou rires, il me regardait beaucoup et était doux.
À la descente, c'était l'enfer. Tout autour de moi me faisait penser à la mort. Tout était funeste, tout était terrifiant, violent. Je voyais "l'autre" me tuer. TW suicide À chaque trip seule, par contre, tout allait bien, tout était soft. Pourtant j'ai pris la même dose. Une fois, ça m'a même sauvée : j'étais en train de manger des somnifères comme des smarties, et la lucidité du LSD m'a fait appeler une ambulance.
Le dernier trip seule, j'ai réalisé que j'étais en vie, et la gravité de son acte, alors même que j'étais en descente. Je ne me sentais plus en danger, je me sentais même extrêmement vivante. Je n'avais plus peur de l'obscurité, je n'avais plus peur de rien, je n'avais plus peur de la mort. Et pourtant, je le répète, c'était en descente : le pire moment. Finalement, toute ma relation avec lui, n'était qu'un énorme trip au LSD : des moments où on croit que c'est bien, des moments terrifiants, en alternance comme ça
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Tarot
Bon et bien en vue des circonstances, je peux enfin parler de ça Y a 1 mois (le 9 septembre plus exactement), j'ai fais des tirages au tarot sur comment ma relation avec "l'autre" évoluerait. Les deux tirages étaient extrêmement négatif Voici le premier
Ce tirage parle d'une situation d'immobilité (représenté par le pendu) et d'espoir faussement cru (le monde), qui crée un effondrement intérieur insidieux (la maison Dieu) créant des émotions extrêmement angoissantes. Le résultat est le Mat : la folie, la destruction, la violence. Quelque chose ne va pas, mais est ignoré. Le changement sera violent, brusque, soudain.
Je suis perdue, désorientée, je fais le mauvais choix, j'ai peur, je suis dans une situation de blocage (l'Amoureux) Au moment de ces tirages, j'avais une boule au ventre très violente, j'étais super mal sans trop savoir pourquoi. Les mots doux de "l'autre" me touchaient, mais me rendaient également malade, c'est très difficile à expliquer. J'angoissais beaucoup à son contact. C'était à la fois beau et horrible.
Et à ce moment là, je pensais souvent "je me sens comme si j'étais au purgatoire" : et de nouveau alors, pourquoi je suis restée ? Pourquoi je n'ai pas fui ? Car je ne voulais juste pas y croire, pas m'écouter. Je ne me sentais pas en sécurité. J'avais l'impression que quelque chose de grave allait arriver.
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Step by step 3
En vrai c'est une bonne chose d'expulser ma colère ici
Je suis énervée :
Qu'il ait des ami-es qui le soutiennent et qui me voit comme l'ayant bien cherché, comme "celle qui a commencé les violences"
Qu'il puisse continuer son travail comme si de rien
Qu'il ait pas de soucis lié à avoir recevoir des coups
Qu'il fasse aucun effort pour essayer de réparer les choses sainement avec moi
On le chouchoute, on l'invite à des soirées, il joue à des jeux avec ses potes, etc. (même si je sais que ça rends pas forcément plus heureux et qu'il doit avoir une grosse boule au ventre sous-jacente en permanence vu qu'il va mal depuis des années)
Les violences que j'ai faites selon lui
Être suicidaire à 3 reprises (il était au courant dès le début de la relation, j'ai passé le premier date à lui parler de mes tentatives de suicide et du fait que j'essayais de m'en sortir)
L'avoir "fait tourner en bourrique" : crise d'angoisse ? Inquiétudes ?
Les violences qu'il m'a faites
Changer de mood de manière impulsive
Faire des vas et viens de bienveillance à "tu me saouls"
Me reproche des petits trucs (genre 3 assiettes pas lavées) là où ses colocs faisaient la même chose
Me reprocher d'être trop expansive quand j'étais super heureuse sur un truc
Ne pas faire beaucoup d'effort sur les tâches ménagères
Ne pas gérer son administratif (d'ailleurs finalement ça l'arrange bien de quitter l'appartement, il supportait pas l'idée de déposer une demande de changement de garant)
Me reprocher d'aller mal tout en me disant "ça va aller c'est pas grave"
Me dire des trucs, et me dire après que j'ai mal compris le truc
Changer d'avis super souvent
Il a menti
Me mettre toute la faute dessus aux yeux de ses potes ou du moins l'accent dessus
Se faire passer pour la victime avant, utiliser sa séance au centre de violence contre moi
M'encourager à aller vers lui si ça va pas alors qu'il gérait clairement pas
Croire que le rôle d'un copain, d'un couple, c'est sauver l'autre au lieu de soutenir l'autre
M'envoyer très peu de message, de petites attentions, alors que j'ai clairement dit que c'est ça dont j'avais besoin et pas forcément +
N'avoir aucune stabilité, notamment dans ses horaires, ne pas prévoir de temps avec moi, vouloir tout faire à l'arrache au lieu de prévoir quitte à annuler au cas où
Me remettre toute la culpabilité dessus sur l'explosion de la colocation alors que son colocataire allait mal, lui aussi, que ça faisait un moment que tout le monde en avait marre et que la tension se ressentait, qu'ils ont tous dit à un moment que c'était pas ouf cette coloc ni cet appart
Un sexisme vraiment sous-jacent malgré son "acceptation" sur mes questionnements de genre
Me frapper, me dire qu'il voulait me tuer, me traiter de sale conne, de salope, de pire chose qui lui soit arriver dans sa vie
Me reprocher que LUI ait finalement voulu être en couple en disant des trucs aberrants tel que "à la base je voulais pas de couple, tu m'y as forcé" alors qu'on a été 3 mois pas en couple du coup et qu'il avait été clair
Il m'a incité à prendre de la drogue (du canabis) quand j'allais mal, et du LSD après la première prise (qui était une demande de ma part du coup mais il était en mode go on prends en encore)
Les violences qui en sont pas vraiment mais qui me saoulait
Qu'il laisse pas le bleu vu sur whatsapp car du coup bah il pouvait ignorer les messages
Les comportements toxiques que je peux avoir selon moi
Manque de confiance (même si là sérieusement il a confirmé toutes mes peurs)
Crise d'angoisse avec geste mutilatoir/suicidaire
Manquer de patience quand je vais très mal (vouloir que les choses s'arrangent immédiatement, après pour la plainte on est limité à 3 mois)
Insister par message quand j'angoisse et vouloir absolument me faire entendre quand l'autre demande un break car je ressens l'injustice
M'être un peu trop reposé sur lui émotionnellement alors qu'il était clairement mais alors clairement pas la bonne personne malgré le fait qu'il m'y encourageait
Avoir voulu le faire culpabiliser des coups qu'il m'a donné
Avoir eu de grosses insécurités et en avoir pleuré
Les trucs que j'aurais pas dû faire
Trop me soucier de lui
Vouloir le sauver
Venir vivre dans sa coloc (bon ça je pouvais pas deviner que ça se passerait aussi mal)
Allez vers lui quand j'allais mal alors que je le sentais pas et que ça me faisait même + mal
Ne pas avoir été assez claire avec lui, ne pas avoir mis mes limites, ne pas avoir dit "stop là tu dois trouver de l'aide car moi je peux pas t'aider"
Ne pas avoir pris de temps pour moi et juste pour moi
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Step by step 2
Le message d'hier m'a quand même fait réaliser à quel point :
J'ai été trop conciliante et gentille
Il n'a jamais vraiment été là pour moi, vu qu'il dit s'être forcé
Mon mal de ventre est parti dès que j'ai reçu ce message car je me suis dit "non mais là c'est bon stop hein ça suffit"
Je me suis perdue
Conséquence :
J'arrive plus du tout à le trouver beau
Il me fait peur
Les souvenirs sont ternis et sonnent creux dans mon coeur
Pas envie de lui laisser mes dessins mignons
Je voulais qu'il se rattrape pour les coups, car c'est très grave, et il ne fait rien. Heureusement j'ai retrouvé des gens sains et beaux avec qui parler, qui me rassurent même à longue distance. C'est ce qui me permet de sortir de la vase et donner envie de prendre soin de moi.
J'ai même un peu réussi à manger ce matin et là, je vais me faire un petit karaoke avant de continuer la lettre de motivation en écoutant du Queen.
Par contre, problème :
J'arrive plus à lire le mot "jazz" ou en entendre sans faire de crise de panique
Idem pour certaines musiques classiques et la danse classique (vu qu'il aimait bien, je regrette qu'il aimait bien en fait je préférais quand c'était mon petit truc à moi)
The Doors j'arrive plus alors que j'adorais
Supertramp idem j'arrive plus alors que j'adorais
En fait tout ce qui est rock vintage j'arrive plus trop, à part Queen, c'est l'exception
Du coup j'écoute du Queen en boucle, car la puissance et la belle vibe de Freddy Mercury (dont je suis amoureuse profondément), me donne l'énergie de surmonter. Et c'est pas le groupe qu'il préférait alors bon ça aide.
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Step by step
Bon, on me dit de ne plus rien attendre de lui.
Hier, il m'a dit qu'il n'a jamais voulu de cette relation et que je l'aurais forcé. J'étais plus qu'atterrée : on a eu une relation flirt pendant des mois, sans que ça ne soit sérieux, avant qu'il ne me propose d'aller plus loin.
J'ai retrouvé plein de message où je lui dis que c'est OK pour moi qu'on ne soit pas un couple, tant que je peux offrir de l'amour à quelqu'un pour ne plus être triste, alors ça me suffit.
J'ai toutes les preuves disponibles, que ce soit moi qui parle de cette relation sur les réseaux sociaux, des documents où j'exprime à quel point cette relation me faisait du mal, mais où je voulais "laisser une chance", sans doute par peur de la solitude et par peur qu'il ne se fâche.
Là où je commence à m'inquiéter, c'est que lorsque j'ai vécu d'autres types d'agressions il y a 10 ans, j'avais aussi fait un blog, avec des dessins. J'avais espéré que mon agresseur réalise.
La différence je pense, avec une plainte le concernant, c'est que j'ai décidé que je ne m'impliquerai pas plus que ça. Je ne lirai pas ses procès verbaux. Je ne me battrai pas. Je relaterai des faits, qui ont été documenté dès le jour où ça s'est passé. J'ai le soutien de beaucoup de gens et genre tous-tes me disent que porter plainte est parfaitement légitime. Il m'a tapé, je l'ai quitté, après il y a eu l'attachement amoureux qui fait que, mais maintenant qu'il m'explique ne jamais l'avoir été, cet attachement est parti, et je ne ressens plus de pitié. Pour le moment je ne sais pas encore si je vais porter plainte : je n'ai plus du tout d'affection pour lui, et mes souvenirs sont ternis, pour ne pas dire morts, depuis son message d'hier. Mais j'ai peur que ça me bouffe moi. J'ai peur d'une nouvelle procédure sans fin. D'un autre côté, on m'a dit que porter plainte, vu ce qu'il s'est passé, l'aiderait lui dans son cheminement et aiderait la société, les prochaines relations qu'il pourrait avoir. "La justice est là pour reconnaître des coupables" a dit mon psy : oui, c'est vrai. 3 jours où j'ai craqué à vouloir me tuer, 3 jours de crises, sur 1 mois de colocation, certes ce n'est pas à minimiser, mais ça ne justifie aucune diffamation ni coups. Du mal psy à ses colocs avant ma tentative de suicide : sérieusement mais j'ai fais quoi ? Littéralement je m'excusais de mon existence à 100% du temps. Je vais m'arrêter là pour ne pas tomber dans un puit de négativité, mais l'injustice de cette situation me sidère. Mais on m'avait averti.
"Il va donner une version qui l'arrange bien, où il sera dans la déculpabilisation. Il ne racontera pas le fait que vous vous sentiez mal depuis le début dans cette relation car vous aviez peur de lui" Après, j'ai jamais nié MES erreurs. J'ai jamais dis que mes actions étaient bien. Avoir des pensées ou pire, des gestes suicidaires, c'est pas cool du tout pour l'entourage, c'est très dur à supporter. Une fois il m'a dit "si tu tentais de te suicider, je fuirai, mais ça ne voudra pas dire que je t'ai jamais aimé ou que ce n'était pas réel". Alors qu'en est-il maintenant qu'il aurait "réalisé" qu'en fait il voulait jamais de cette relation, que j'aurais soi-disant forcée ? Lui-même dit tout le temps "les choses peuvent changer" : dès le début de notre fréquentation, il m'a dit "pour le moment pas de couple, mais ça peut changer". Et de fait, un jour, il m'a dit être amoureux, il a voulu officialiser, ça venait de lui, et j'ai accepté car je l'appréciais tout de même. Je n'ai jamais forcé, si ce n'est que je n'étais pas sûre, et que je ne savais pas si je voulais vraiment de ce type de relation où je me sentais aussi mal. "Faut jamais dire jamais"
Et maintenant je me fais pourrir car au début il voulait pas et après il voulait. En fait ça n'a aucun sens : il a peut-être réalisé qu'il voulait pas de relation, que lui aussi ça lui convenait pas, mais en quoi c'est ma faute ? À la limite qu'on allait mal tous les deux et qu'on se mentait à nous-même je veux bien, mais me traiter comme ça ? Il a dit qu'il s'en voulait aussi de "pas s'être écouté", je m'en veux également : mais moi, je n'ai jamais menti, je lui ai dis que j'avais mal au ventre, il me disait que ça passerait et que je devais "juste lui faire confiance". Tu parles.
D'ailleurs une liste de ses phrases et mots préférés qu'il répétait tout le temps : "Enlise" "C'est non négociable" "Fais moi confiance"
"J'ai pas lu car je me sens agressé" (quand on lui fait des gros reproches)
Il reste 2 mois et demi pour porter plainte. On est déjà le 18, ça s'est passé le 1. Donc jusqu'en janvier.
Je vais dire un dernier truc, après je vais arrêter sinon je vais juste déblatérer de l'énervement : mais qu'il se fasse passer pour victime aux yeux de tous-tes me tue littéralement. Pendant 5 mois j'ai pris sur moi à fond, j'ai eu très peu de crise, et j'ai tout fait pour limiter la casse de ces dernières (j'ai trouvé un psychiatre, pris des médics, etc.). J'osais pas m'exprimer pleinement devant lui sinon il me jugeait beaucoup ou me trouvait trop expansive. "Tu aurais dû être comme tu es" il m'a dit il y a une semaine.
Moi aussi j'ai besoin d'un break de ce gars, et me recentrer sur ma vie, mais ça n'enlèvera pas les coups et le mal qu'il m'a fait, et ça, peu importe ma tentative de suicide ou mutilation, que je regrette amèrement de mon côté, il l'aura aussi sur la conscience.
Je trouve plus grave de faire du mal à l'autre physiquement que du mal à soi. Quand on se fait du mal à soi on ne peut s'en prendre qu'à soi-même : quand on fait du mal à l'autre, on lui inflige quelque chose qu'il n'a pas demandé.
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Je suis morte. À l'intérieur. Physiquement. Je ne bouge plus.
J'aimerais tant que tu puisses revenir et me donner la tendresse qui rattraperait ce moment. Que tu m'aides à repartir, à reprendre mon envol. J'aimerais que ça ne ce soit jamais produit. J'aurais aimé que l'on continue de s'aimer, et de t'aimer autrement que par peur de la souffrance.
Je pense à porter plainte. Mais c'est tellement dur. Dur de faire ça à quelqu'un qui nous aimait, qu'on pensait aimer.
Alors que j'étais dans une espèce d'euphorie de confiance en moi, j'ai dessiné ça pour expliquer à une intervenante des violences ce qu'il s'est passé. Elle était terrifiée. Elle était terrifiée par les photos. Les bleus, les mots.
Je minimise, je sais, car je ne veux pas y croire moi-même, et je sais que toi non plus.
Les jolis dessins me manquent aussi. Je réalise que ça fait longtemps que je n'ai pas pu en faire. J'avais mis ça de côté, pour le jour où je trouverais un stage.
Je réalise que je n'arrive même plus à te dessiner. Surtout les yeux. Je n'arrive plus à trouver de douceur, je ne me souviens plus de ce regard.
Toi aussi tu es mort, quelque part.
Je ne sais même pas à ce stade si stage il y aura, où si je vais être en arrêt cette année. J'aimerais que non. J'aimerais que tu sois là, pour me sortir de cette vase où tu m'as plongée. Mais dis-moi, c'était quoi, ton vœux, face aux étoiles ?
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