#sang du dragon
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look I know I made a post detailing the badassitude of the Danish covers for the Hurog duology already but I need everybody to stop and reflect on the French covers as well
like what the fuck. these are brilliant why are the English covers just Some Guy Standing There
#hurog#dragon bones#dragon blood#les chaînes du dragon#le sang du dragon#tbh if that's what this verse's dragons look like ward's monsterfucker tendencies in the second book were even more valid
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Round One, Match LIX
Reaper Man (Terry Pratchett), Victor Gollancz Ltd. 1991. Cover by Peter Scanlan.
Le Sang du Dragon / Dragon Blood (Patricia Briggs), L'Atalante 2009. Cover by Amandine Labarre.
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Ce que l’Abbé ne savait pas, c���est qu’il y a une raison pour laquelle les templiers n’ont jamais dépensé leur argent. Une malédiction de l’ancienne magie repose sur cette ile : quiconque hérite du trésor en devient son gardien.
Edmond n’en savait rien non plus. Il vit, toutefois, un immense squelette reposant sur la fortune cachée. Quelques baleines purent avoir été déposées là par ses prédécesseurs, peut-être.
Au début, ce ne fut que quelques écailles parsemant sa peau. Rien du tout. Edmond les pris pour une quelconque maladie de peau.
Puis, ce fut une obsession. Un besoin fréquent de retourner sur l'île. La brise était bonne, là- bas. Et sans doute pouvait-il allonger son passage vers l'Italie par un petit détour? S'arrêter vers le trésor n’était qu’une question de prudence, de vérifier que quelques voleurs ne s’étaient pas accaparé ses biens.
L’obsession tourna vite en avarice, comme les ongles d’Edmond s’allongeaient et ses doigts se recourbaient. Chaque sous dépensé pour sa vengeance était légèrement plus dur à donner. Chaque pièce mise a bien pour la machine bien huilé de son plan semblait comme une goutte de sang versé sur l’autel du sacrifice, et lui brisait le cœur.
Quelque beau jour de février, il passa, par chance, près d’un chaman, qui eut tôt fait de le mettre au courant de la malédiction. En effet, le destin de tout héritier de la fortune de Monte-Cristo était de se transformer en dragon, et sous cette apparence draconique, de garder pour toujours le trésor.
Le chaman lui donna force d’amulettes et de concoctions, mais le prévint: tant que le trésor existait, il ne pouvait que ralentir le mal.
La vengeance d’Edmond était désormais une course contre la montre.
Quand ses mains deviennent griffes, il se met à porter des gants. Quand ses pupilles se fendent, il prend l’habitude de lentilles. Dès qu’il peut, malgré la douleur qui lui en déchire la poitrine, il dilapide le trésor; dans le vain espoir d’en affaiblir la malédiction. Plus d’une fois, la providence se joue de lui, et Edmond se retrouve enrichi par les mêmes investissements qu’il avait fait pour perdre sa fortune.
André et Haydé ont beau avoir été ignorants, ils sont loin d’etre stupide. Il ne leur faut que quelques années avant de finalement découvrir le secret du comte; bien qu’ils se gardent de le dire à ce dernier. Comment ne pas remarquer la chose, quand deux ailes immenses déchire le dos du comte, le stoppant en plein milieu de l’accomplissement de sa vengeance à Paris?
C’est l'inquiétude pour son mentor qui pousse André à reporter sa vengeance. Après tout, en prison, son père biologique forme une proie facile.
Au final, seule force de maquillage permet au comte de cacher les écailles recouvrant son visage, et d'apparaître humain pour le chapitre final de sa vengeance. Les jambes courbées du comte, camouflé sous son pantalon, rendent la marche difficile sans sa fidèle canne. Ses dents, aiguisées comme un carnivore, sont ce qui lui remporte la victoire contre Fernand.
Après cela, il sait que c’est la fin. Un cœur qui n’est pas vraiment le sien bas dans sa poitrine, et lui ordonne sans cesse et sans cesse de retourner sur l'île. Pour chaque seconde passée loin d’elle, sa raison le quitte.
Il leur laisse une lettre. Elle ne dit pas un mot de sa transformation, mais elle formule une requête. Elle demande a Haydé et André de se rendre sur l'île de Monte-Cristo, avec une armée s’il le faut, et d’y subjuguer un monstre. Elle leur demande, également, de jeter le reste du trésor à la mer, où il sera enfin oublié par l’Histoire.
Haydé et André ne font rien de cela.
La créature, ils subjuguent, car il ne reste à Edmond que très peu de raison. Mais c’était suffisamment de raison pour les épargner, aussi, quand bien même il demande la mort, les jeunes gens l'épargnent à son tour. Ils ne peuvent le laisser aux prises de la malédiction, aussi, ils l’enferme, mais ce n’est que le temps d’affaiblir cette dernière.
L’or maudit, ils parsèment au quatre vents. Une bonne partie finit dans l’océan, sans doute, mais dans tous les océans du monde, suite aux dangers du milieu marin qui font si souvent couler les bateaux. Le reste, ils échangent, ils négocient, ils jettent. Ils finissent ce qu’Edmond avait commencé, et échangent la fortune tant et si bien que la malédiction peine à les suivre. Elle ne peut s’installer dans ces étranges papiers, qui fait la mode de la monnaie de Paris. Elle ne peut s’installer dans les fermes, les forêts, les montagnes, qui soudainement sont inscrites sous le nom de ‘Monte-Cristo’. Elle ne peut rester dans les quelques artefactes qu’on entrepose en chine, en amérique, ni dans les quelques pépites données aux africains. C’est trop grand, trop large, trop de choses différentes à trop d’endroits.
Tirée à quatre épingle, la malédiction se brise.
Il est trop tard pour Edmond, dont le large corp écailleux ne pourra jamais retrouver forme humaine. Mais son esprit est clair. Il reconnaît ses enfants, ses amis. Il reconnaît le ciel, l’océan, et leurs odeurs qui chatouillent ses narines. Il se souvient avec une douloureuse nostalgie du berceau des vagues, du sel qui prend à la bouche, de l'aventure qui guidait sa vie avant qu’elle ne s'écroule.
Il est libre, désormais. Libre de l’héritage du passé.
Et c’est libre qu’Edmond Dantès, comte de Monte Cristo, se perd dans l’immensité bleu qui l’appelle.
#i’ll translate it into english one day xd#but for now#profitez bien de cette petit piece#meme si je supporte pas mon style d’ecriture dans cette langue XD#le comte de monte cristo#the count of monte cristo#fanfiction#ao3 fanfic#ao3#edmond dantes#dragon#malédiction#curse#the count of montecristo#french movie#frenchblr#french side of tumblr#français#french fanfiction#sinvulkt fics#fragments of imagination#snippet#nouvelle#histoire courte#tcomc
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Un roi et un serviteur
Ezran traverse un moment compliqué en saison 6. Pendant la réunion concernant la perle, il sait que la menace est dangereuse en amenant la perle. Opeli a suggéré de prévenir les autres seigneurs de la Pentarchie et mettre la meilleure sécurité pour la perle. Callum propose de la détruire mais n'a pas de solution concrète. Ezran finit par se dire qu'il vaut la garder à Katolis. Ce qui reste un choix dangereux vu qu'Aaravos a pu le manipuler pour le pousser à se rendre à la tour céleste. Ce qui laisse Ezran tout seule à Katolis et ça fait depuis la saison 3 qu'il n'a été seule. La scène où justement il revoit Viren et lui dit qu'il mérite pas son pardon est assez dur. Mais de l'autre je peux comprendre pourquoi il a agit ainsi. Viren est le roi précédent et Ezran est celui qui le succède. Viren a voulu que l'humanité prospère mais ses actions ont eu de graves conséquences comme par exemple la chute de Lux Aurea ou bien l'attaque de la flèche de tempête. Pour au final révéler qu'il voulait avant tout le pouvoir. Ezran est connu pour son pacifisme et la saison 6 avait teasé que ses principes seraient défiés.
Mais je trouve que les deux précédentes saisons montrait que son pacifisme pouvait le rendre aveugle sur certains points. Dans la saison 4, il a essayé d'unir les dragons et son peuple ensemble dans l'endroit où les morts sont enterrés. Certains le verraient comme une insulte, vu comment Tempête a tué Sarai, leur défunte reine. Et quand le tableau est saboté. Ça a failli dégénérer jusqu'à ce qu'Ezran parle de son deuil de ses parents, permettant à son peuple de faire leur deuil et garder l'amour dans leurs coeurs.
Un enfant roi
Dans l'acte 1, il essaie de se faire entendre en tant que roi. En parlant de ses idées mais Kasef ne le voit pas comme un roi. Et c'est quelque chose qui revient assez souvent. Comme avec Finnegrin quand il a essayé de lui parler. Mais que Finnegrin ne voit pas la valeur de sa couronne. Et que quand il apprend qu'il va utiliser les bébé crapauds pour ses plans. Ezran décide de les lui voler causant indirectement la torture de Callum, le sang gelé de Rayla. Et Soren qui se fait aussi passer à tabac. En saison 6, Ezran voyant que le mariage va se changer en champ de bataille. Il propose d'être leur émissaire pour résoudre le conflit. Et encore une fois, Karim ne le voit pas comme un roi. Se montrant arrogant ordonnant aux humains de partir et qu'ils devraient retourner d'où ils viennent. Toutefois il réussit à atteindre Karim en parlant de sa soeur, montrant que oui, il l'aime toujours. Mais il croit fermement qu'elle va dans la mauvaise direction. Certains se demandent sûrement pourquoi Ezran continue de vouloir parler avec l'ennemi sachant que ça marchera pas ? Pour la même raison que son grand frère continue de vouloir arrêter Aaravos. Ils veulent faire ce qui est juste bien que leurs méthodes sont différentes.
Katolis brûle
La scène où Sol Regem brûle Katolis fait parallèle à la scène où il brûle Elarion. Mais Elarion, tu voyais le massacre de loin dans Katolis, tu le vois de plus près. La scène est horrible à regarder, voir les gens s'enfuir alors que les flammes continuent de se propager. Soren vient voir son père et lui demande d'utiliser la magie pour sauver le peuple. Mais il peut pas faire la magie primale sans pierre primale. Il parle alors du sort pour les immuniser contre le feu mais pour ce faire, il a besoin d'un coeur humain. Et c'est là que je trouve l'acte de Viren impactant, c'est qu'hormis la mise en scène, qui nous fait croire que Soren est mort alors qu'en fait c'est le coeur de Viren. Bien que je me demande comment il a réussi à tenir le coup et ainsi exécuter le sort. Viren donne son coeur à Katolis, se rappelant pourquoi il fait ça, par amour envers sa famille. Et que le sort qui avait servi à assiéger le mont tempête est un sort qui a permit de protéger le peuple de Katolis montrant qu'il est le serviteur de ce royaume. Quand à Ezran, le fait qu'il n'a pas été là va le faire culpabiliser. Il a crû que la menace a été évité pour Janai et Amaya jusqu'à apprendre la terrible nouvelle. Comment on peut être un roi si au final on est pas capable de veiller sur son peuple ? Car certes bien que le pire a été évité pour Janai et son peuple, Ezran va devoir s'occuper de ce qui reste de Katolis, sa maison n'est plus. Mais les survivants de son peuple sont encore là.
A king and a servent
Ezran is going through a complicated time in season 6. During the meeting about the pearl, he knows that bringing the pearl is a dangerous threat. Opeli suggests warning the other lords of the Pentarchy and setting the best security for the pearl. Callum suggests destroying it, but has no concrete solution. Ezran finally decides to keep it in Katolis. Which remains a dangerous choice, given that Aaravos may have manipulated him into going to the celestial tower. This leaves Ezran all alone in Katolis, and he hasn't been alone since season 3. The scene where he sees Viren again and tells him he doesn't deserve his forgiveness is pretty harsh. But on the other hand, I can understand why he did it. Viren is the previous king and Ezran is his successor. Viren wanted humanity to prosper, but his actions had serious consequences, such as the fall of Lux Aurea and the Storm Spire attack. In the end, he revealed that he wanted power above all else. Ezran is known for his pacifism, and season 6 teased that his principles would be challenged.
But I felt that the previous two seasons showed that his pacifism could blind him to certain issues. In season 4, he tried to unite the dragons and his people together in the place where the dead are buried. Some would see this as an insult, given how Avizandum killed Sarai, their late queen. And when the painting is sabotaged. It almost got out of hand until Ezran spoke of his grief for his parents, allowing his people to mourn and keep the love in their hearts.
A child king
In Act 1, he tries to make himself heard as a king. Talking about his ideas, but Kasef doesn't see him as a king. And this is something that comes up quite often. Like with Finnegrin when he tried to talk to him. But that Finnegrin doesn't see the value of his crown. And when he learns that he's going to use the baby toads for his plans. Ezran decides to steal them, indirectly causing Callum's torture and Rayla's frozen blood. And Soren, who also takes a beating. In season 6, Ezran sees that the wedding is about to turn into a battlefield. He offers to be their emissary to resolve the conflict. And once again, Karim doesn't see him as a king. Arrogantly ordering the humans to leave and that they should go back to where they came from. However, he manages to get through to Karim by talking about his sister, showing that yes, he still loves her. But he firmly believes she's going in the wrong direction. Some may wonder why Ezran keeps trying to talk to the enemy, knowing it won't work? For the same reason his older brother keeps trying to stop Aaravos. They want to do the right thing, even though their methods are different.
Katolis burn
The scene where Sol Regem burns Katolis parallels the scene where he burns Elarion. But Elarion, you saw the massacre from afar in Katolis, now you see it up close. The scene is horrifying to watch, people fleeing as the flames continue to spread. Soren comes to his father and asks him to use magic to save the people. But he can't do primal magic without primal stone. So he talks about the spell to make them immune to fire, but to do that, he needs a human heart. And that's where I find Viren's act impactful, is that apart from the staging, which makes us believe Soren is dead when in fact it's Viren's heart. Although I wonder how he managed to hold it together and execute the spell. Viren gives his heart to Katolis, remembering why he's doing this, out of love for his family. And that the spell used to lay siege to Mount Storm was a spell to protect the people of Katolis, showing that he is a servant of the kingdom. As for Ezran, the fact that he wasn't there will make him feel guilty. He thought the threat had been averted for Janai and Amaya until he heard the terrible news. How can you be a king if you can't look after your own people? While the worst may have been avoided for Janai and his people, Ezran will have to deal with what's left of Katolis, his home no more. But the survivors of his people are still there.
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Le temps passe et
Le dragon à deux têtes crache du sang
Pourquoi vouloir le soleil
Quand on a la lune ?
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Top 3 Favorite things from my world(building) :)
Tag game created by @aworldbuildersdelight ! :3
Rules : Tag @aworldbuildersdelight she can reblog and boost all answers. Then post your top 3 favorite things about your world and tag as many friends as you'd like to the post to play as well.
I'm going with the Sixverse for this one, as it's the one I've been lugging around since 2015 or so :3
1 - The fact that technically, Le Prix du Sang, Break of Dawn (and Before Dawn : the age of the gods), the Road Trip with the Forces of Evil*, The One With The Apocalypse** are all part of the same universe. They're just very far away from each other and likely would never collide (unless some galaxies run into each other in millions and millions of years.)
2 - Stars ? Space dragon eggs. Stars dying ? Space dragons hatching. It's one of the worldbuilding bits I've created when I was a teenager and I still find it SO charming I'm keeping it forever. How big are space dragons ? You measure that shit with your heart.
3 - The fact that "regular", lizard-ish dragons exist on several planets and have absolutely no link to the space ones besides, like, similarities in build. and even then, I'm pretty sure i should sit down and Get Creative about this :)
*wip rarely spoken of here despite me liking it a lot, as i'm not actively working on it
**another wip i don't mention often because it's in very very early stages and doesn't have a name yet
Tagging : @isabellebissonrouthier, @ceph-the-ghost-writer, @literarynecromancy, @multi-lefaiye, @jezifster and OPEN TAG for anyone who thinks this would be fun !! (these r all no pressure tags as always :))
#ah yes. this universe has a name. it's the sixverse. i've never tagged it i dont think#sixverse#(i have 2 others : soulsverse and dragonverse)#(souls is the only one who doesnt involve dragons somehow)#my writing#tag games#teehee :)
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Olivia Cooke dans “House of the Dragon (Saison 2)” série créée par Ryan Condal - adaptée du roman “Feu et Sang” de George R. R. Martin (2018) et préquel de la série “Game of Thrones” (2011-19) - août 2024.
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a lot of the 'shifts' and divergences from canon that occur on this blog (as well as a few focus-points in terms of traumatic experiences), in regards to eragon, revolve around one specific event - the agaetí blödhren. in general, i think there was a lot of missed and scrapped potential within the inheritance cycle, but it is the agaetí blödhren that completely changes the trajectory of the story in terms of eragon's character and how he must interact with the world and exist within it.
the agaetí blödhren, or 'the blood oath ceremony' in english, is an elven celebration that occurs every 100 years, commemorating the pact forged between elves and dragons as a means to end the long-standing dragon war (aka, du fyrn skulblaka). it was through this pact that the souls of elves and dragons were brought together as one, and it was when the elves were given their immortality, and the dragons, their magic and ability to communicate. the event itself, which occurs once every hundred years and for three days straight, is described as being so visceral and raw and dangerously intoxicating (and exceptionally unwise for non-elves to experience, as, if i remember correctly, they run the risk of being lost in the ensuing spiritual mania and snapping mentally under what is essentially an overdose of magic), as the elves chant and sing their magic for the entirety of those three days. an excerpt from eldest, the gift of dragons:
Then the elves began to sing in their clear, flutelike voices. They sang many songs, yet each was but part of a larger melody that wove an enchantment over the dreamy night, heightening senses, removing inhibitions, and burnishing the revels with fey magic. Their verses concerned heroic deeds and quests by ship and horse to forgotten lands and the sorrow of lost beauty. The throbbing music enveloped Eragon, and he felt a wild abandon take hold of him, a desire to run free of his life and dance through elven glades forever more. Beside him, Saphira hummed along with the tune, her glazed eyes lidded halfway.
What transpired afterward, Eragon was never able to adequately recall. It was as if he had a fever and faded in and out of consciousness. He could remember certain incidents with vivid clarity—bright, pungent flashes filled with merriment—but it was beyond him to reconstruct the order in which they occurred. He lost track of whether it was day or night, for no matter the time, dusk seemed to pervade the forest. Nor could he ever say if he had slumbered, or needed sleep, during the celebration.…
suffice to say, the night itself is a strange one for eragon, a wave of new and bizarre experiences. but it is less the agaetí blödhren itself that changes eragon - i will always stand by the idea that even without what happens with the dragon-tattoo, the ceremony was, in some fashion, traumatic for eragon, or at the very least a not so great time for him, and though it's definitely something he himself tells himself he has no opinion on, his experience wasn't exactly the greatest - and moreso the violation of autonomy that occurs during.
for context, for the last several months up until this point, eragon has suffered from seizures, which have gotten progressively worse and more frequent and life-threatening as the days have gone on. this is a result of being gored on the sword of durza, a shade 'employed' by galbatorix. the seizures themselves spark as a result of the extreme pain and agony that eragon's wound / scar leaves him in, as well as, in my own opinion, the metaphorical mental scarification of eragon's brain being split between two places (fighting for his own consciousness as well as being trapped in the remnants of durza's memories / mind), and the subsequent struggle to actually bring himself back fully and stay present, even if he's out of that place and belongs to himself again.
with all of that being said - during the agaetí blödhren, there is a moment where an elf's dragon tattoo separates from their body amidst the magic-song of the celebration, and it approaches eragon and touches his gedwëy ignasia, his dragon-mark. in this moment, eragon has no idea what is happening or what will happen to him; he technically can't even be classified as sober, and is, as paolini himself describes, drifting in and out of being black-out, and solidly and detrimentally disoriented. he does not know what the dragon-tattoo will do to him, and neither does anyone else present. and herein lies an odd decision on paolini's part.
when the dragon-tattoo touches eragon's gedwëy ignasia, it triggers a physiological and magical response in eragon, who immediately blacks out as a result of the searing pain that shoots all throughout him, and he is understandably terrified out of his mind as to what's happening to him. excerpt from eldest, the gift of dragons (still):
As the dragon’s baleful eye fell upon him, Eragon knew that the creature was no mere apparition but a conscious being bound and sustained by magic. Saphira and Glaedr’s humming grew ever louder until it blocked all other sound from Eragon’s ears. Above, the specter of their race looped down over the elves, brushing them with an insubstantial wing. It came to a stop before Eragon, engulfing him in an endless, whirling gaze. Bidden by some instinct, Eragon raised his right hand, his palm tingling.
In his mind echoed a voice of fire: Our gift so you may do what you must.
The dragon bent his neck and, with his snout, touched the heart of Eragon’s gedwëy ignasia. A spark jumped between them, and Eragon went rigid as incandescent heat poured through his body, consuming his insides. His vision flashed red and black, and the scar on his back burned as if branded. Fleeing to safety, he fell deep within himself, where darkness grasped him and he had not the strength to resist it.
Last, he again heard the voice of fire say, Our gift to you.
when eragon awakes an hour later, he is completely and utterly changed. when it comes to dragon-riders, due to the pact forged between elves and dragons, and the fact that it was elves who made the first bond with dragons [to create dragon-riders], as they age, human dragon-riders will slowly become more physically elven; an unavoidable thing, a result of the magic which courses through them. however, in this situation, the process has been heavily expedited, and eragon finds himself … near completely elven.
he also finds that he has no scars anymore. no seizures. he is also the pinnacle of beauty, and has been made to have alabaster skin. as it stands, while having such drastic physical changes forced upon him is a traumatic incident for eragon, it is the latter issues that i will not be fully acknowledging, mostly in part because i do not … really enjoy the way in which eragon's blemishes and disability were completely erased, and become things of the past for him. especially in the case of his disability.
the way in which paolini has a tendency to write disabilities is a very unforgiving one. those who are not abled-bodied in some way, shape, or form, are outcast, isolated, and deemed worthless, weak, and generally repulsive. now, this whole thing could have been made into a commentary on how that way of thinking is, in fact, cruel, and that particular lack of compassion and the upholding of 'perfection' and 'normality' [in regards to being able-bodied], but if i'm being entirely honest, you can really tell how old paolini was when he wrote this story when disabilities, physical and mental, are the topic of discussion, and you can definitely tell the era / year the books were written in. even more unsavory, there is the full discussion and implication of eugenics regarding those who are not able-bodied within the story, and virtually every single character seems to be entirely on board and in agreement about the worth and abilities of those who are disabled. it's not exactly the prettiest picture that gets painted, here.
to have eragon magically 'cured' of his seizures, and for the every single character and the story itself sigh a breath of relief, because eragon 'would have been useless' had he not been 'fixed' (which, if i remember correctly, 'fix' was, in fact, a word that was used when speaking about eragon and his disability). it is entirely true that continuing to deal with his seizures would be a struggle, and he would be put through the wringer, and as someone who is disabled himself, i know the feeling of 'i would do anything to not have to feel like this / go through this ever again'. but the way that paolini pretty immediately 'fixes' the problem, and the way that the the story and its cast treat eragon as though he is suddenly useless and incapable of anything after his battle with durza, is honestly more than a little uncomfortable and in extreme poor taste. the idea that life as a whole is an impossible obstacle if you cannot function 'normally', and the persistent ideology that you are weak and useless and incapable of achieving anything if you are not able-bodied is, in fact, a shitty mindset to have, and takes away a lot of the weight that could be applied to your story, were the protagonist allowed to be disabled and still be a hero.
now, the other thing that rubs me the wrong way about eragon's transformation and how he is described, is the prevalent note regarding him now having 'alabaster skin'. while eragon himself has not, up until this point, had his skin-tone described at all, something that has been common place within the writing itself for almost all characters (which, given the fact that it's only the characters of color who ever get described, we can assume that paolini intends for every other character to be white, and for us to just assume and expect that). however, and this is likely just a result of the way that i've read and interpreted the story, but regardless - despite eragon's lack of description wrt skin tone, he has always, in my mind, been brown, which in part is because … and my memory is constantly foggy and i cannot find the exact passage i'm thinking of, but i believe there have been notes made regarding brom (eragon's biological father) and the fact that he would conceal his gedwëy ignasia with mud and clay, which in and of itself does not prove that brom was brown in any way, but it's the idea that no other characters seemed to take notice of that or think anything of it (and the subsequent concept that the mud/clay might have blended relatively well with the rest of his skin). this whole point has a lot less confidence than the one above, i admit, and is more speculation and headcanoning than written-fact, but eragon suddenly being pale as snow and that being one of the identifying traits that makes him beautiful now … it does feel a little bit weird.
now, as i cannot figure out a transition to this point and want to get this post over with before i lose my mind, how i will be portraying eragon on this blog where the agaetí blödhren and his transformation are concerned:
as stated previously, eragon still has seizures. they are not as extreme as they were when he was in the height of his physical agony as a result of his wound, but he still has them from time to time, with the worst episodes typically occurring in moments of high stress as well as, predictably, moments of extreme physical pain. his particular symptoms include temporary disorientation (speaking gibberish / incoherently without realizing, saying the same thing(s) over and over for a second as if 'glitching'), zoning out (staring into space, 'not listening'; extremely brief, does not remember whatever is said / done during these little hiccups), and, less frequently, fainting / blacking out (there have, in fact, been a few instances of him 'passing out' at his desk, or having to sit down on the ground because of a 'dizzy spell'; can last a few minutes, and he usually comes to extremely disoriented and exhausted and out of it). he is still a capable and dangerous fighter, and is far from helpless. he does get frustrated with himself at times, but he is not useless by any measure of the word, and still has the full capacity for adventure and heroics.
many of his smaller and 'less important' scars were healed during his transformation, but not all of them. the scar that durza left, as well as his scars from his first flight with saphira, and the one that he gave himself when messing with garrow's scythe, still mark his body. durza's scar still hurts, but not to the intensity that it did before.
brom and eragon are brown. the transformation does not change this.
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Particularités acquises - animagus
APPRENTISSAGE ‧₊˚ C'est un don qui s'acquiert et se maîtrise, il n'est pas inné.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Les animagi sont des sorcier·e·s ayant la capacité de se transformer en un animal, leur animal totem, celui qui convient le mieux à leur personnalité et non celui qu'iels auraient voulu. Le processus est long et complexe, sur la base de cinq étapes :
⭢ Garder une feuille de mandragore en bouche pendant une journée entière de pleine lune, puis la conserver dans une fiole, baignée de salive.
⭢ A la pleine lune suivante, incorporer dans la fiole un cheveux, une cuillère de rosée d'un lieu empreint de magie, la chrysalide d'un sphinx tête de mort, puis la laisser dans un endroit sombre jusqu'au prochain orage. ATTENTION, une exposition au soleil provoquera les pires mutations possibles.
⭢ Pendant ce temps, placer sa baguette contre son cœur puis répéter l'incantation Amato Animo Animato Animagus deux fois par jour, au lever et au coucher du soleil. Si le sortilège est correctement effectué, l'apprenti·e animagus commencera à entendre un second battement de coeur.
⭢ Une fois le second battement de cœur présent, l'animal totem commence à apparaitre en rêve. Afin de se familiariser avec, de se dompter l'un l'autre, de nombreuses heures de méditation s'imposent. A l'arrivée de l'orage suivant, la fiole devrait avoir pris une couleur rouge sang ; si non, le rituel a été mal effectué et devra être refait.
⭢ Se rendre dans un endroit sûr et grand, à l'abri du danger, pour finaliser le rituel : placer l'extrémité de sa baguette sur son cœur et prononcer l'incantation Amato Animo Animato Animagus, puis avaler la potion d’un trait. Surtout, pas de panique ! La transformation arrive et plus rien ne peut l'empêcher. Pour reprendre forme humaine, il suffira alors de visualiser sa forme sorcière ; le processus peut être long et douloureux.
Si la première métamorphose s'accompagne de son lot de souffrances, les suivantes s'avèrent parfaitement indolores. Dès lors, il sera nécessaire d'utiliser sa baguette chaque fois que l'animagus voudra prendre son apparence animale ; sauf pour les plus aguerri·e·s. Les objets, particularités physiques et blessures accompagnent la transformation : ainsi un·e sorcier·e possédant des lunettes verra sa forme non humaine affublée de deux ronds colorés autour des yeux. La baguette, quant à elle, fusionne avec le corps, de même que les vêtements.
Lors de la première transformation, l'instinct animal prend le dessus ; les prochaines fois, l'humain gardera le contrôle, ses souvenirs et ses pensées. L'animagus acquiert au fil du temps une meilleure compréhension de la nature qui l'entoure, lui permettant de communiquer avec la faune. Avec de l'entraînement, les demi métamorphoses sont possibles ; un animagus chat pourra ainsi activer sa vision nocturne pour voir dans le noir.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Les animagus sont très surveillés par le gouvernement, il est obligatoire de se recenser sous peine d'encourir une peine de prison. Cette capacité est très recherchée pour combler les forces de l'ordre sorcières ; surtout si leur animal est adapté aux planques et aux filatures. Tout le monde ne peut pas le devenir et celleux qui décident d'effectuer le rituel le font dans un environnement très cadré — surtout sur Neferis, où les animagi auraient tôt fait de conserver leur forme animale afin d'échapper au contrôle. Les sorciers, et notamment les mages noirs ont tendance à s'en méfier, il n'est pas rare de voir des animagus user de leur particularité pour se dérober aux regards et espionner les conversations.
ATTENTION, s'il n'est pas impossible de prendre la forme des animaux magiques, ils ne sont néanmoins pas suivis de leurs pouvoirs. Les créatures légendaires, comme les licornes, les phœnix et les dragons, sont quant à eux impossibles.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif#hp rp
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Livres dans l'univers de Game of Thrones étendu écrits par George R.R. Martin
Si vous aimez les Targaryen, je vous les recommande. En plus, ils sont magnifiques. L'Ere du Dragon est une autre version de Feu et Sang mais avec de magnifiques illustrations.
Un conte qui se passe dans le Nord, avec un dragon de glace. Destiné aux enfants, il est plaisant à lire, même pour les adultes.
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Tiens, on est le 21 avril aujourd'hui?
Ca va faire l'anniversaire des 22 ans de Jean-Marie au second tour et où pas mal de personnes censées se sont rendues compte qu'il y avait toute une frange de cons en France : "moi pas content moi mettre coup de pied dans fourmilière alors moi voter pour vieux monsieur qui a formé son parti avec des anciens Waffen-SS et qui a torturé en Algérie et compare les homosexuels au "sel dans la soupe" parce que moi vraiment pas content "
Et depuis on a de plus en plus de cons à tous les niveaux - mais bon, je reste un blog fandom donc parler trop de politique ça va me transformer en bloc de sel géant.
Par contre, avec le fandom actuel sur Fodlan, ben je vois que c'est une tendance de fond apparemment, et ça dépasse nos frontières (ouais on est pas les seuls cons au monde! Youpi!) et c'est toujours aussi inquiétant - je ne parle pas des délurés dans leur caniveau dans un certain serveur de Discord(e) - mais juste un commentaire banal genre :
"J'ai vraiment aimé ta fic du coup j'ai écris la mienne!"
Je me sens un peu flattée qu'un des trucs randoms que j'avais posté ai pu rendre des gens contents ?
"Du coup j'ai aussi repris l'idée de Lycaon l'hybride Nabatéen"
Cool, enfin c'est pas juste moi, les demi dragons, c'est un peu une tradition dans FE et les mondes de fantasy, et puis Fodlan le sous-entend avec certains persos et dialogues et...
"Alors dans mon idée, les hybrides tombent tout le temps malade, jusqu'à que leur descendance ait moins de sang de Nabatéen parce que c'est ça qui les rend fragiles"
... Attends, quoi ??
(gros gros sel sous la coupure)
Moi dans mes délires c'est l'histoire clichée du "il a du sang de créature magique donc ça les rends plus forts/demi-dieux etc etc" avec l'analogie traditionnelle du "ben s'ils peuvent faire des bébés c'est qu'ils ont pas si différents et les deux peuples peuvent s'entendre au lieu de se foutre sur la gueule tout le temps" - il n'a jamais été question de "oui ben l'hybride est mal foutu génétiquement parce que le sang d'une des races n'est pas bon et il survit que s'il se débarrasse de sa partie "autre" " !
Et puis merde, je sais qu'on est dans une fanfic et une oeuvre de fiction, mais c'est super inconfortable de lire ce genre de trucs! Sans rentrer dans les "théories" à la con, ce genre de saloperies a été utilisé dans la vraie vie pour justifier de la merde!
Enfin quoi, on est sur de la fiction, mais on explique que "il est malade parce qu'il n'est pas de sang pur ??" Et ça c'est censé être, genre, normal, et pas un twist où en fait c'est un super raciste qui a "créé" cette maladie pour garder des gens "purs"? C'est juste, euh, "naturel"????
oui bon j'ai relu bleach récemment
Comment un de mes posts a pu inspirer ça?
Tiens, ça me fait penser à cette autre fic qui m'intéressait bien aussi :
Guerre des Héros? Check
Willy ? Check
Lycaon est un hybride? Triple check
Et puis dans les notes de l'auteur "ah oui c'était compliqué pour l'élever en tant que bébé, mais une fois qu'il avait passé sa phase de nabatéen* ça passait"
*Ok, c'est de l'anglais et j'ai peut-être mal compris le "grew out of his nabatean traits" ???
Bordel ça commençait tellement bien, et ça finit comme les épinards de la cantine.
Encore une fois, on est sur de la fanfic alors bon, si quelqu'un écrit sur quelque chose ça ne veut pas forcément dire qu'il est d'accord avec tout ce qu'il écrit ou veut les promouvoir, j'entends bien.
Mais tout de même, je trouve que parler de ça, dans un fandom qui comporte des latrines comme ce fameux sous-serveur, et dont l'oeuvre principale est centrée autour d'une "waifu qui est en fait méchant mais trop kawaii alors tu te sens tristoune de la dégommer mais comme elle trop kawaii personne va lui dire de la boucler ou tout ceux qui le font sont dépeints comme des vilains pas beaux méchants qui à la fin trouvent qu'elle avait pas tort" dont le leitmotiv reste tout de même la volonté de débarrasser le monde du "sang de dragon" (Et personne dans le jeu ne tique ou ne remarque ça pour sortir - à l'époque ce que j'aurais appelé une tarte à la crème mais vu le fandom et les temps actuels ce n'est en fait pas si commun??? - "le racisme ce n'est pas bien" et que tous les persos mettent à leur sauce des "oui mais c'est vrai que le sang de dragon ce n'est pas bien"!) franchement c'est très très bof.
Est-ce que ces "théories racialistes" sur les "hybrides Nabatéens" c'est juste de la liberté littéraire dans le genre de la "darkfic" ou du "dead dove do not eat", ou est-ce que ce sont des effluves nauséabondes qui émanent des toilettes, ou des personnes qui ont joué au jeu et ne se rendant pas compte des énormités de Dedel - qui sont malgré tout passées sous silence par les développeurs et scénaristes eux-mêmes parce qu'il faut vendre des goodies ?
Ça me gonfle parce que normalement, je me dis toujours qu'il faut consommer des choses auxquelles on est pas forcément attirés dès le départ pour élargir ses horizons et peut-être apprécier d'une autre manière quelque chose - mais avec cet univers, avec un fandom (et des jeux) qui nous bassinent en long, en large et en travers "ouin ouin tout ce qui ne va pas dans le monde c'est à cause du sang de Nabatéens" et chie sur, ben, les persos Nabatéens eux-mêmes, une fic qui a part sur un postulat "les hybrides Nabatéens existent, mais ne sont pas viables/en bonne santé/gérables s'ils ont trop de sang Nabatéen", je ne peux/veux plus les lire/voir/écouter.
Comme pour l'utilisateur de Tumblr que j'avais bloqué, sans avoir jamais interagit avec cette personne, mais parce que j'avais lu un billet en mode "oulala rien que de penser à Dedel qui aurait du sang de Nabatéen [encore dans un contexte de demi-nabatéens] ça me rend physiquement malade!" parce que, non seulement, ben ça veut dire que cette personne n'a visiblement pas compris ce qu'est un Emblème dans le jeu, et surtout, parce que ce genre de trucs avec le fandom de FE16, avant même que je ne découvre le trou à fange qu'est le sous-serveur de la Discorde, c'est un gros gros signe que cette vision qu'à cet utilisateur du jeu et la mienne sont tellement incompatibles qu'on ne pourra jamais discuter sereinement dessus, donc blocage automatique.
Je vois le "fandom" comme quelque chose de relaxant où j'ai envie d'être chill et de juste, apprécier des trucs plutôt que de râler (j'ai déjà la vraie vie pour ça), mais là c'est juste, je pense, de la déception (une origo gentis sur les Hresvelg! Un des trucs sur lesquels j'avais déblatéré il y a longtemps! C'est tellement génial de voir que quelqu'un d'autre a eu l'idée d'en faire une! Si seulement il n'y avait pas eu ce foutu commentaire "et en fait les métisses sont malades parce qu'ils ne sont pas viables à cause du sang de l'un de leurs parents mais si ce sang se dilue ils vont mieux"...) et la simple coincidence qu'aujourd'hui on est le 21 avril qui vaut ce bloc de sel.
#french post#rant#attention c'est salé il faut prendre un citron#pour les fanfics en général je suis plus en mode j'aime pas je lis pas et puis voilà chacun ses gouts#mais le 'c'est à cause du sang de cette race que les petits métisses sont malades les pauvres' c'est complètement lunaire#il y a des théories de merde qui circulent actuellement dans la vraie vie et utilisent ça#je pense quand même qu'il y a une différence entre faire de la fiction sur des demi dieux qui vivent des aventures et ont des pouvoirs#grâce au sang d'une race d'êtres fantastiques#et une fiction où on t'explique que des demi-humains sont malades parce qu'ils ne sont pas humains#à cause du sang 'autre' qu'ils ont mais que si ce sang est dilué leur futurs enfants iront mieux#et que par ailleurs ce 'sang autre' est décrié dans l'oeuvre de base comme la lie de la société et la source de tous les maux#je pense que je vais rendre en muet cette fic sur Ao3#je ne sais pas ce qui m'a le plus agacée avec cette histoire#le fait que je suis déçue par une fic mais bon il reste toujours l'adage du si t'es pas contente t'as qu'à écrire#ou le fait de tomber sur une fanfic rédigée par radio courtoisie#Allez pour la route je mets les tag#FE16#fandom woes
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Tournament Results: Day 8
The Lady in the Lake v. The Questing Knights of the Faerie Queen
You Feel It Just Below The Ribs v. Au Guet!
Reaper Man v. Le Sang du Dragon
Lirael v. The Divine Comedy
The Water Outlaws v. Reaper Man
Song Quest v. The Seven Moons of Maali Almeida
Gagner la Guerre v. Let The Great World Spin
Собор парижской богоматери v. Brave New World
Covers moving on to the second round are collected below the cut.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 22
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour à tous !
Comme je le disais dans l’article précédent, pour m’excuser de ma lenteur caractéristique, je livre trois reviews de chapitre plutôt qu’une seule cette fois-ci (les reviews des chapitres 21, 22 et 23).
La dernière fois, nous rencontrions enfin un changelin, Monsieur X, qui avait l’horrible idée d’embrasser une mineure sous l’apparence de son ex-petit ami. Nous apprenions aussi la machination ayant donné lieu aux missions d’assassinat.
Mais bon, nous allons laisser ça de côté pour retrouver Mara dans un chapitre que j’espère être moins pénible que le dix-neuvième, intitulé « Mara, ou comment faire du vaisseau spatial-stop. »
Let’s go
« Mara essuya son poignard. Devant elle, le cadavre de Selenba gisait, dans une mare de sang.
Elle releva la tête vers la silhouette holographique ténébreuse de Magister qui la regardait en silence.
La jeune fille était détendue. Elle avait fait exactement ce que voulait Magister. Elle désigna le corps de son couteau et demanda dédaigneusement :
— Voulez-vous que je lui tranche la tête et que je vous la rapporte ? Ce sera salissant, mais ça ne me gêne pas.
Magister semblait surpris.
— Comment as-tu fait ? fit-il de sa voix de velours liquide. »
Même s’il est évident que tout ça est mis en scène et que Selenba n’est pas réellement morte, j’apprécie TRÈS FORTEMENT ce début sans préambule. Surtout après toute l’exposition qu’on s’est chopé au dix-neuvième chapitre. Bon Dieu que ce dix-neuvième chapitre était long.
Ah oui, et sidenote : je ne sais pas si j’ai déjà lu la remarque quelque part, mais « la voix de velours liquide » de Magister est une paraphrase qui me fait beaucoup rire. Je suppose que le velours liquide est un type de tissu (je ne m’y connais pas assez en textile pour le dire), mais pour une non initiée comme moi, on dirait que deux consistances différentes sont associées à un truc qui n’est pas censé avoir de consistance, la voix. Et puis là où je peux me figurer des « pattes de velours », les deux se rapprochant plutôt bien, la voix de velours me rend plus perplexe. Je pense que c’est une façon d’exprimer les intonations plutôt que le ton de voix, mais ça veut dire que Magister a constamment une voix caressante, même quand il se transforme en loup et se vautre sur sa propre queue. Perplexe.
C’est comme si je disais de quelqu’un « je n’ai jamais supporté ses grands airs conditionnés ». Genre ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu’il s’agit d’une image, mais alors va te conceptualiser l’image mon gars.
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Yay yay yay c’est de nouveau le moment pour moi de parler de découpage de répliques !!
C’est mal foutu !
Voilà !
Plus sérieusement, la première phrase, pas de souci, ça marche. Je dirais même que ça donne à Mara une façon de parler intéressante.
Souvent, quand on écrit, on a la tentation de donner aux personnages des phrases bien pensées et découpées, exprimant un raisonnement digne d’une thèse ; ce qui en soi fonctionne dans certains types de bouquins, pas de problème. Mais personnellement, je suis très fan des histoires où les répliques des personnages reflètent leur psychologie, dans la façon dont elles sont articulées, la taille des phrases, la façon dont les informations sont mises ─ phrases brèves avec toutes les informations nécessaires synthétisées, ou points de suspension et explications hachées.
Tenez, par exemple, en réécrivant ce passage :
« - S… Selenba a été transformée en vampyr. En vampyr normale, je veux dire, par… par ma sœur, je veux dire Tara, je crois. Donc elle n’était plus le Chasseur. Elle…
Après une hésitation, Mara se tourna pour présenter son bras cassé à Magister, avant de lui désigner l’entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ ici, Mara est stressée, elle se corrige, se répète, a du mal à finir ses phrases. Ses phrases sont courtes ; les phrases brèves peuvent parfois être symptomatiques d’une personne qui ne veut pas parler en public et lâche l’information qu’elle a sous sa forme la plus simple pour parler le moins longtemps possible.
Par opposition :
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ Ici, Mara est froide, elle exprime un fait. C’est une didascalie et non une narration qui précise qu’elle dévoile ses plaies ; or, placer des actions en didascalie en retire généralement le « poids », leur donnant une allure de geste machinal. En effet, une action qui intervient entre deux bouts de phrases d’un personnage suggère que le personnage peut tranquillement parler tout en accomplissant l’action. (Je précise que c’est mon interprétation d’une action placée en didascalie, vous avez le droit de ne pas être d’accord, ça relève pour beaucoup de comment je lis les histoires personnellement).
Bref, la première phrase marche bien. Ce sont celles qui suivent qui m’embêtent.
« Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Une réplique de quatre lignes, c’est non. Déjà, une réplique sous-entend que quelqu’un la prononce, or je ne vois pas quelqu’un prononcer cette phrase sans devoir s’interrompre au mauvais endroit pour souffler. Vous me direz qu’il y a les virgules pour prendre le temps, mais ces virgules-là ne sont pas là pour prendre des pauses, puisque « elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si... » sont des bouts de phrases tous connectés logiquement qui perdraient de leur sens avec des pauses trop marquées.
En plus, en coupant l’aspect machinal d’une phrase courte, on dirait qu’elle cale le plus d’infos possibles en une seule phrase, ce qui change un peu l’état d’esprit qu’on lui imagine. Enfin, la dernière phrase est très drôle : pourquoi tu mets un point entre « vous m’aviez demandé de la tuer en échange » et « pour sauver Cal ? » La pause fait un effet plus bizarre qu’autre chose.
Bref, réplique mochouille, continuons.
Satisfait qu’elle ait rempli sa mission, Magister transmet les coordonnées à Mara, qui se barre sur un vaisseau, laissant Selenba sur place. Mara ouvre ensuite une vidéocristal pour regarder Tara se rendre au concert.
Et c’est tout ! Le chapitre était très court, restez tuned pour le suivant.
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Italie : les juifs traînent le peintre Giovanni Gasparro devant le Sanhédrin.
Le judaïsme est une religion de paix et de tolérance.
Précédemment : Le peintre italien Giovanni Gasparo met en scène la véritable histoire des meurtres rituels juifs et déclenche la colère de Jéhovah
Les juifs organisent un de leurs procès dont ils ont coutume depuis l’Antiquité contre le peintre Giovanni Gasparro.
La Gazetta del Mezzogiorno :
« D’un point de vue historique, l’accusation de crime rituel représente l’un des instruments les plus féroces avec lesquels la haine antijuive s’est exprimée ». Tels sont les propos de Riccardo Di Segni, grand rabbin de la communauté juive de Rome, entendus dans le cadre du procès en cours à Bari contre Giovanni Gasparro, un peintre de 40 ans originaire d’Adelfia. Gasparro, assisté de l’avocat Salvatore D’Aluiso, est accusé de propagande et d’incitation à la discrimination raciale, ethnique et religieuse pour certains commentaires sur le post de son tableau « Martyre de Saint Simonino de Trente ».
Peut-on savoir pourquoi un rabbin est entendu dans le procès d’un peintre dans l’Italie de 2024 ?
Giovanni Gasparro
L’œuvre – datée de 2020 – représente le meurtre d’un enfant de Trente connu sous le nom de Simonino, qui a mystérieusement disparu dans la nuit du 23 mars 1475 et a été retrouvé mort trente jours plus tard, avec une plaie saignante sur le côté et entouré de membres de la communauté juive locale qui voulaient recueillir le sang de la plaie de l’enfant dans une bassine. Il s’agit d’un faux historique, comme on l’a constaté par la suite, si bien que le 28 octobre 1965, lors du concile Vatican II, l’Église a aboli le culte des faux bienheureux.
Rien n’est plus faux.
L’affaire ressemble curieusement au mythe des chambres à gaz : il faut croire les juifs sur parole et ne pas poser de questions.
Un procès en bonne et due forme a eu lieu, les preuves, accablantes, n’ont jamais été démenties. L’Église catholique, mortellement enjuivée depuis, a simplement proclamé que tout était faux sans jamais fournir aucun élément.
Et puisque nous entendons parler du « Grand Rabbin de Rome », citons le petit-fils de l’un de ses prédécesseurs à cette fonction, Ariel Toaff, et son ouvrage, Pâques de sang, dans lequel il confirme que Simon de Trente a été rituellement assassiné par des marchands juifs ashkénazes de passage en Italie.
À la lecture des dépositions des prévenus accusés de meurtre rituel d’enfants en relation avec l’utilisation du sang, on a clairement l’impression que, plutôt que d’expliquer la finalité de ce besoin de sang d’enfants chrétiens, les prévenus essayaient de décrire les magnifiques propriétés thérapeutiques et magiques du sang, et en particulier du sang provenant d’enfants et de jeunes gens. On insistait principalement sur le sang brûlé et séché réduit en poudre ; ce sang est supposé avoir été utilisé comme hémostatique [coagulant] d’une efficacité extraordinaire lorsqu’il était appliqué sur la plaie causée par la circoncision. Angelo de Vérone n’avait aucun doute à cet égard et expliqua aux juges de Trente qu’une fois le sang réduit en poudre, les juifs le conservaient normalement pour une réutilisation ultérieure lors de la circoncision de leurs fils, pour soigner la blessure dans le prépuce. Si elles étaient disponibles, on dit qu’ils auraient utilisé d’autres poudres hémostatiques comme alternative, comme le bolo di Armenia et le « sang de dragon », une sorte de résine de couleur rouge foncé, connue en pharmacie sous le nom de Calamus Draco ou Pterocarpus Draco. Le médecin Giuseppe di Riva del Garda, dit le « juif bossu », qui avait circoncis les fils d’Angelo, l’utilisait couramment durant la Sainte opération.
Tous les cas examinés ci-dessus, et dans un grand nombre de cas présents dans les recueils de la segullot, les remèdes et médicaments secrets, élaborés et diffusés par les maîtres de l’exercice de la Kabbale, constituent l’usage extérieur, si l’on veut, du sang, que celui-ci soit humain ou animal, sec ou dilué, à des fins thérapeutiques et exorcistes. Mais l’accusation portée contre les juifs qui ingèrent du sang, ou l’utilisent à des fins rituelles ou curatives, lors de transfusions orales, semble à première vue dénuée de tout fondement, violant clairement les normes bibliques et les pratiques rituelles ultérieures, qui ne permettent aucune dérogation à cette interdiction.
Il n’est donc pas surprenant que les juifs du Duché de Milan, dans leur pétition à Gian Galeazzo Maria Sforza en mai 1479, aient voulu se défendre des accusations de meurtre rituel qui se répandaient comme de l’huile sur le feu après le meurtre de Trente, en rappelant l’interdiction biblique en soulignant que ces accusations étaient sans fondement dans les faits : « Le fait qu’ils ne soient pas coupables est facilement démontré par des preuves et des arguments très efficaces, tant légaux que naturels, de la part d’autorités très dignes de confiance, d’abord en raison de la loi juive Moysaycha qui interdit le meurtre, et dans plusieurs endroits, la consommation du sang non seulement humain mais de tout animal, quels qu’ils soient ».
Mosè de Würzburg, connu sous le nom de « vieil homme », n’a pas hésité, dans les premières phases de son interrogatoire, à mentionner l’interdiction biblique catégorique de consommer du sang pour prouver l’absurdité des accusations, qui est aussi la plus autorisée parmi ceux qui étaient jugés dans le cadre du procès de Trente. « Les Dix Commandements donnés par Dieu à Moïse », affirmait le savant hébreu à ses accusateurs, « nous ordonnent de ne pas tuer ni manger de sang ; c’est pour cela que les juifs tranchent la gorge des animaux qu’ils veulent manger et, qui plus est, salent ensuite la viande pour éliminer toute trace de sang ».(29) Mosè « le vieil homme » était très évidemment parfaitement au courant des normes d’abattage (shechitah) et de salage de la viande (melikhah), prescrites par les rituels juifs (halakhah) et qui appliquent l’interdiction mosaïque de manger du sang avec la plus grande sévérité. Mais ses arguments, comme nous le verrons, bien qu’apparemment convaincants, étaient dans une certaine mesure trompeurs.
En fait, si l’on revient aux recueils de la segullot en usage chez les juifs d’origine allemande, on trouve un large éventail de recettes permettant l’ingestion orale de sang, tant humain qu’animal. Ces recettes sont de formidables électuaires, parfois complexes dans leur préparation, destinés à soulager les maux, à agir comme remède, à protéger et à guérir. Pour le Shabbatai Lipschütz, pour arrêter le flux excessif de sang menstruel, il était conseillé de sécher devant le feu et de réduire en poudre une plume de poulet trempée avec le sang menstruel. Le lendemain matin, une cuillerée de cette poudre, diluée dans du vin et servie à la femme, à jeun, aurait infailliblement produit l’effet désiré. Un autre médicament secret, obtenu par Lipschütz et considéré d’une efficacité extraordinaire sur la base d’une longue tradition, était prescrit aux femmes qui souhaitaient tomber enceintes. La recette prévoyait qu’une pincée de sang de lapin séché soit dissoute dans du vin et administrée à la patiente. Comme alternative, un mélange de vers et de sang menstruel pouvait être d’une grande utilité.
Elia Loans, le Baal Shem de Worms, a également célébré les propriétés extraordinaires du sang de lapin dans la fécondation des femmes stériles. L’expert kaballiste a d’ailleurs prescrit, pour la guérison de l’épilepsie, la dilution dans le vin du sang séché d’une vierge ayant ses premières règles. À cet égard, il convient de noter que Mercklin (Mordekhai), l’un des condamnés pour le meurtre rituel collectif à Endingen en 1470, a souligné l’efficacité de l’utilisation du sang de jeunes humains pour guérir l’épilepsie.
Les recueils du segullot soulignaient en outre les prodigieuses propriétés du sang humain, naturellement, toujours séché et préparé sous forme de caillé ou de poudre, comme ingrédient principal des élixirs aphrodisiaques incitant à l’amour et à la copulation, en plus de leur capacité à réaliser les rêves érotiques les plus audacieux et dévorants. Il n’est pas surprenant que le sang ait parfois été utilisé dans le cadre du mariage – un autre rite de passage fondamental – en plus de ses utilisations dans la circoncision et dans la préparation à la mort.
Le 24 mars 2020, le peintre de Bari avait publié 21 photos de son propre tableau sur son profil Facebook, « immortalisant », résume le ministère public, « la croyance antisémite dans la soi-disant accusation de sang et de meurtres rituels, selon laquelle les Juifs étaient responsables du sacrifice d’enfants chrétiens ». Selon la procureure de Bari, Larissa Catella, avec les réponses aux commentaires inspirés par sa peinture, le peintre aurait également « propagé et diffusé des idées fondées sur la haine antisémite, visant à influencer les opinions d’un public plus large, déclenchant et suscitant des réactions et des commentaires dont plusieurs à contenu clairement antisémite de la part de nombreux adeptes ».
Hier, dans la salle d’audience, les dirigeants de la communauté juive nationale et romaine, constitués parties civiles avec l’avocat Roberto De Vita, qui avait dénoncé l’artiste de Bari à l’époque, ont été entendus. Le rabbin Di Segni a expliqué que « le tableau représente une scène monstrueuse qui dérive d’une ancienne calomnie dans laquelle les Juifs étaient présentés comme responsables d’un crime religieux odieux. Une calomnie porteuse d’une idéologie antijuive ». La publication de l’œuvre et les quelque 6 000 commentaires qu’elle a suscités « ont provoqué des réactions émotionnelles assez intenses au sein de la communauté ».
Pour Noemi Di Segni, président de l’Union des communautés juives italiennes, le tableau « incite à la haine et à la propagande antijuive typique de la période fasciste et nazie », développant un « débat hostile et accusateur contre le monde juif ». Le président Di Segni a ensuite souligné la « préoccupation internationale d’une nouvelle propagation de la haine antijuive », créant des situations de « danger ». Au moment de la publication, Milena Santerini, professeur de pédagogie à l’université catholique de Milan et à l’époque coordinatrice nationale du département de lutte contre l’antisémitisme du cabinet du Premier ministre, a également demandé au peintre de retirer des images et des messages des réseaux sociaux. « J’ai écrit une lettre à Gasparro », a déclaré la conférencière, qui a témoigné au procès, “pour lui dire que je voyais des éléments d’incitation à la haine dans la photo et lui demander de la retirer du web et d’éviter sa diffusion, mais elle est restée là”.
Lors de la prochaine audience, le 17 avril, le peintre lui-même, qui s’est rendu hier à l’audience blindée avec des policiers et des escortes, répondra aux questions de l’accusation et de la défense.
Dans le procès de Trente, les femmes, en particulier celles liées à l’autoritaire Samuel de Nuremberg, chef reconnu de la communauté juive, n’ont pas caché leur grande foi dans l’efficacité du sang des enfants comme ingrédient de sublimes potions curatives et protectrices, dont la médecine populaire et l’exercise de la Kabbale étaient extrêmement riches, fondées sur une longue tradition. Bella, belle-fille de Mosè de Würzburg, déclara sans hésitation, dans sa déclaration de février 1476, que « le sang d’un enfant était merveilleusement bénéfique pour les femmes, incapables d’accoucher à terme ». Les femmes se souviennent que lorsque la jeune Anna de Montagana, belle-fille de Samuel de Nuremberg, était enceinte et menaçait de faire une fausse couche, sa belle-mère, Brunetta, en tant que femme et experte en la matière, lui a rendu visite dans sa chambre, lui faisant prendre une cuillerée d’un médicament composé de sang sec et en poudre dissout dans du vin.(37) Une autre fois, Bella avait vu Anna, enceinte et souffrante, se nourrir d’un peu de sang mélangé au jaune d’un œuf à la coque.
Selon les prévenus de Trente, leurs clients les plus alertes avaient exigé que les revendeurs fournissent des certificats de convenance rituelle, signés par des autorités rabbiniques sérieuses et reconnues, comme c’était l’usage pour les produits alimentaires préparés selon les règles religieuses du kashrut. Aussi paradoxal et improbable que cela puisse paraître à nos yeux – au point de faire croire que ce fait a été inventé de toutes pièces par les autorités judiciaires de Trente – nous pensons que cette question mérite une certaine attention et une vérification précise, lorsque cela est possible, des faits et détails sur lesquels elle semble être construite.
Le maestro Tobias et Samuel de Nuremberg, Angelo de Vérone, Mosè « le Vieux » de Würzburg, et son fils Mohar (Meir), se souviennent tous deux d’être entrés en contact avec ces vendeurs de sang, souvent, selon eux, munis de permis rabbiniques écrits.
Parfois, ils se rappelaient même leurs noms et leurs origines ; dans certains cas, ils décrivaient leur apparence physique avec de nombreux détails.
Abramo (fournisseur de Maestro Tobias), Isacco de Neuss, de l’évêché de Cologne, Orso de Saxe, Jacob Chierlitz, également de Saxe, ne sont pas des noms qui signifient beaucoup pour nous. Ce sont les noms attribués à ces marchands itinérants, originaires d’Allemagne et voyageant, avec leurs sacs à main en cuir au fond ciré et étamé, vers les communautés ashkénazes de Lombardie et du Triveneto.
Sans doute plus grave et plus digne d’attention, même s’il a été extorqué au moyen de méthodes coercitives cruelles, est le témoignage correspondant de Samuel de Nuremberg, chef incontesté des juifs de Trente. Samuel avoua à ses inquisiteurs que le colporteur itinérant Orso (Dov) de Saxe, duquel il avait obtenu le sang, vraisemblablement celui d’un enfant chrétien, portait des lettres de créance signées par « Mosè de Hol de Saxe, Iudeorum principalis magister ». Il ne fait aucun doute que ce « Mosè de Hol » était identique à Rabbi Moshè, chef de la yeshiva de Halle, qui, avec sa famille, jouissait des privilèges accordés par l’archevêque de Magdebourg en 1442 puis par l’empereur Frédéric III en 1446, dont celui de se parer du titre de Jodenmeister, c’est-à-dire le magistrat principalis Judeorum, comme Mosè est décrit dans la déposition de Samuel de Nuremberg. Nous savons que Mosè a abandonné Halle (un particulier apparemment ignoré par Samuel) dès 1458 et s’était installé à Poznán en Pologne, pour poursuivre son activité rabbinique dans cette communauté.
Le texte du certificat de garantie signé par Mosè de Halle, qui accompagnait le sac de sang séché vendu par Orso (Dov) de Saxe, était assez semblable au texte d’une attestation communément délivrée en ce qui concerne les denrées alimentaires autorisées : » Qu’il soit connu de tous que tout ce qui est porté par Dov est kasher« .(56). Il est normal que le texte ait volontairement omis toute mention du type de marchandises traitées par Orso. Samuel, après avoir acheté le sang, a écrit son nom sur le cuir blanc de la bourse, qui comportait une liste des clients du marchand allemand et une signature en hébreu : Rabbin Schemuel miTrient.
Il évoqua ensuite l’un des moments culminants et les plus significatifs de tout le Séder, une fois la tension dissipée, la fantaisie libérée de ses contraintes, les mots furent prononcés distinctement, un par un, pour être savourés et goûtés dans toute leur signification : les dix plaies d’Égypte, ou comme les juifs ashkénazes les ont nommées, les dix malédictions. La digue, le sang, ouvrit la liste, suivie par les grenouilles (zefardea), les poux (kinim) et les animaux féroces (‘arov) ; puis vinrent les fléaux des animaux (dever), les ulcères (shechin), la grêle (barad), les sauterelles (areh), l’obscurité (choshekh). Dans un crescendo terrible et mortel, les fléaux ont pris fin avec la mort des premiers Égyptiens nés (makkat bechorot). Selon la coutume établie de longue date chez les juifs ashkénazes, le chef de famille plongea solennellement l’index de la main droite dans la coupe de vin qu’il avait devant lui et, en annonçant chaque fléau, il fit glisser son doigt dans le verre, vers l’extérieur, en éclaboussant le vin sur la table.
Samuel de Nuremberg n’eut aucune difficulté à réciter les noms des dix fléaux, en hébreu, de mémoire et dans l’ordre, expliquant que « ces mots signifiaient les dix malédictions que Dieu envoyait aux Égyptiens, parce qu’ils ne voulaient pas libérer Son peuple ». Les notaires chrétiens italiens avaient manifestement du mal à transcrire en caractères latins cette rafale de termes hébraïques, prononcés avec un fort accent allemand, mais ils faisaient de leur mieux, obtenant presque toujours des résultats moyennement satisfaisants. Le registre fournit la liste de Samuel comme suit : digue, izzarda (les grenouilles, zefardea, était apparemment trop dur pour leurs oreilles), chynim, heroff (pour ‘arov, avec une variante de peu d’importance), dever, ssyn (pour schechin, ulcère), porech (barad, grêle, prononcé à la manière allemande, bored, ont été mal compris), harbe, hossen (pour choshekh, darkness) et enfin, maschus pchoros (makkat bechorot), qui a rendu le terme de la plaie selon la diction Ashkenaze, makkas bechoros). Mais tout cela était plus ou moins compréhensible, tant en paroles qu’en sens.
Dans l’une des dépositions d’Anna de Magdeburg, la belle-fille de Samuel, elle se souvient que sa belle-mère avait fait gicler le vin sur la table, plongeant son doigt dans le verre et récitant les dix malédictions, mais elle ne se souvient plus exactement de l’ordre. Une Haggada a ensuite été produite et Anna l’a prise et a lu le texte rapidement, en commençant par la digue, le sang, et en traduisant correctement les différents termes.
Le vieil homme Mosè de Würzburg se souvient des temps passés où il était chef de famille à Spira, puis à Magonza. Pendant la soirée de Pessa’h, il s’était assis en bout de table avec les invités et avait dirigé le Séder et la lecture de la Haggada, éclaboussant le vin sur la table pendant qu’il prononçait clairement les noms des dix fléaux de l’Égypte. Il a ensuite informé ses inquisiteurs que, selon la tradition ashkénaze, « le chef de famille ajoutait ces mots : ‘Ainsi nous implorons Dieu que ces dix malédictions tombent sur les Gentils, ennemis de la foi des juifs’, une référence claire aux chrétiens ».(14) Selon Israël Wolfgang, qui était, comme d’habitude, bien informé, le célèbre et influent Salomone de Piove di Sacco, ainsi que le banquier Abramo de Feltre et le médecin Rizzardo de Ratisbonne à Brescia, se sont tous conformés au rituel consistant à réciter les dix malédictions et de verser le vin contre les pays ennemis d’Israël, de manière symbolique.
Mosè de Bamberg, l’invité juif errant dans la maison d’Angelo de Vérone, a témoigné de cette coutume, qui avait eu lieu en sa présence lors du Séder chez Léone di Mohar à Tortoa. Mosè, maître de la langue hébraïque, qui vivait aux frais de Tobias, le médecin, se souvenait bien de l’époque où sa maison était située dans le quartier des juifs de Nuremberg.
Tobias lui-même, en tant que chef de famille, avait directement guidé ces différentes parties du Séder et en rappelait les détails, qui étaient d’ailleurs répétés chaque année à Pessa’h, sans variation. Il annonça donc aux juges de Trente que « lorsque le chef de famille avait fini de lire ces mots (les dix fléaux), il ajoutait alors cette phrase : ‘Nous implorons donc Dieu que vous envoyiez également ces dix fléaux contre les nations, qui sont les ennemis de la religion des juifs’, avec l’intention de se référer, en particulier, aux chrétiens ». Pour sa part, Samuel de Nuremberg, aspergeant le vin sur la table de l’intérieur de son calice, a aussi pris comme point de départ les tragédies des pharaons pour maudire sans ambiguïté la foi chrétienne : « Nous invoquons Dieu pour qu’il retourne tous ces anathèmes contre les ennemis d’Israël ».(17)
Le Séder devint ainsi une manifestation scandaleuse d’un sentiment anti-chrétien, exalté par des actes et des significations symboliques et des imprécations brûlantes, qui se servait maintenant des évènements abominables de l’exode des juifs d’Égypte comme simple prétexte. Dans la Venise juive du XVIIe siècle, les caractéristiques rituelles liées à la lecture de cette partie de la Haggada étaient encore vivantes et présentes, comme le montre le témoignage de Giulio Morosini, que l’on peut considérer des plus fiables.
Les juifs de Trente, en décrivant le Séder auquel ils avaient participé, ne mentaient pas ; ils n’étaient pas non plus sous l’influence des juges, qui ignoraient vraisemblablement qu’une grande partie du rituel leur avait été décrite. Si les accusés s’attardaient longuement sur le sens anti-chrétien virulent que le rituel avait pris dans la tradition du judaïsme franco-allemand auquel ils appartenaient, ils ne se livraient pas à une exagération invérifiable. Dans leur mentalité collective, le Séder de Pessa’h s’était transformé depuis longtemps en une célébration où le désir de la rédemption prochaine du peuple d’Israël passait de l’aspiration à la vengeance, puis à la malédiction de leurs persécuteurs chrétiens, les héritiers actuels du méchant Pharaon d’Égypte.
Il devrait être évident que seule une personne ayant une très bonne connaissance du rituel du Séder, un initié, pourrait décrire l’ordre [précis] des gestes et des opérations ainsi que les formules hébraïques utilisées pendant les différentes phases de la célébration, et être capable de fournir une telle [richesse] de descriptions et d’explications détaillées et précises. Les juges de Trente pouvaient à peine suivre ces descriptions, se faisant une vague idée du rituel, si étranger à leur expérience et à leurs connaissances qu’ils ne pouvaient que le reconstituer [sous forme] d’images nébuleuses et imparfaites. Les notaires italiens avaient donc du pain sur la planche pour [tenter de] se frayer un chemin dans cette jungle de termes hébreux incompréhensibles, prononcés avec un fort accent allemand. Mais d’autre part, ce qui les intéressait, au-delà des détails de la difficile compréhensibilité, c’était d’établir où ces juifs utilisaient le sang chrétien dans leurs rites pascal, en l’ajoutant au pain sans levain et au vin de la libation. Imaginer que les juges aient dicté ces descriptions du rituel du Séder, avec les formules liturgiques correspondantes en hébreu, ne semble pas très plausible.
Goi katan, « petit chrétien », l’expression utilisée pour désigner la victime du meurtre rituel, qui était habituellement sans nom, aurait été utilisée lors de l’acte d’ajouter son sang aux aliments symboliques qui seront exposés et consommés lors du dîner de Séder. Cette expression, bien qu’elle ne soit pas du tout neutre au regard des connotations négatives et péjoratives attribuées aux chrétiens en général, était certainement moins méprisante que le terme normalement utilisé par les juifs allemands en référence à un enfant chrétien. [Par exemple], le mot shekez possède le sens de « quelque chose d’abominable », tandis que le féminin, shiksa ou shikse, est un néologisme utilisé, en particulier, en référence aux filles chrétiennes engagées dans des relations romantiques avec des jeunes hommes de la race d’Israël.(19) Le terme [à la façon italienne] d’affection, le « scigazzello », était en usage chez les Ashkenazes de Venise jusque relativement récemment. Quoi qu’il en soit, les mots shekz, sheghez, ou sceghesc, employés de manière méprisante pour désigner les enfants de ces fidèles en Christ, considérés comme certaines des expressions [les plus] abominables de [toute] la création, étaient largement utilisés dans toutes les villes avec des communautés juives allemandes, même en Italie du Nord.
Les enjuivés du Vatican n’ont jamais répondu à tout cela.
Ils ne le feront jamais, car ils tremblent devant les juifs.
Mais nous, non.
Nous pouvons dire ce que nous pensons de ce crime terrible commis par les juifs et défendre les héros qui osent défier cette race de meurtriers et de menteurs.
Le 24 mars 2020, le peintre de Bari avait publié 21 photos de son propre tableau sur son profil Facebook, « immortalisant », résume le ministère public, « la croyance antisémite dans la soi-disant accusation de meurtres rituels, selon laquelle les juifs étaient responsables du sacrifice d’enfants chrétiens ». Selon la procuratrice de Bari, Larissa Catella, avec les réponses aux commentaires inspirés par sa peinture, le peintre aurait également « propagé et diffusé des idées fondées sur la haine antisémite, visant à influencer les opinions d’un public plus large, déclenchant et suscitant des réactions et des commentaires dont plusieurs à contenu clairement antisémite de la part de nombreux adeptes ». Hier, dans la salle d’audience, les dirigeants de la communauté juive nationale et romaine, constitués parties civiles avec l’avocat Roberto De Vita, qui avait dénoncé l’artiste de Bari à l’époque, ont été entendus. Le rabbin Di Segni a expliqué que « le tableau représente une scène monstrueuse qui dérive d’une ancienne calomnie dans laquelle les juifs étaient présentés comme responsables d’un crime religieux odieux. Une calomnie porteuse d’une idéologie antijuive ». La publication de l’œuvre et les quelque 6 000 commentaires qu’elle a suscités « ont provoqué des réactions émotionnelles assez intenses au sein de la communauté ».
La vérité provoque souvent ces réactions chez les juifs.
Le rav Di Seigni
Pour Noemi Di Segni, président de l’Union des communautés juives italiennes, le tableau « incite à la haine et à la propagande antijuive typique de la période fasciste et nazie », développant un « débat hostile et accusateur contre le monde juif ». Le président Di Segni a ensuite souligné la « préoccupation internationale d’une nouvelle propagation de la haine antijuive », créant des situations de « danger ».
Au moment de la publication, Milena Santerini, professeur de pédagogie à l’université catholique de Milan et à l’époque coordinatrice nationale du département de lutte contre l’antisémitisme du cabinet du Premier ministre, a également demandé au peintre de retirer des images et des messages des réseaux sociaux. « J’ai écrit une lettre à Gasparro », a déclaré la conférencière, qui a témoigné au procès, “pour lui dire que je voyais des éléments d’incitation à la haine dans la photo et lui demander de la retirer du web et d’éviter sa diffusion, mais elle est restée là”. Lors de la prochaine audience, le 17 avril, le peintre lui-même, qui s’est rendu hier à l’audience avec des policiers et des escortes, répondra aux questions de l’accusation et de la défense.
C’est curieux, ces Catholiques qui luttent contre « l’antisémitisme » et qui nient les faits tels qu’ils ont été exposés par des tribunaux catholiques.
On croirait que, comme Judas, ils ont été achetés par les juifs pour leur permettre de commettre leurs crimes.
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LA BALADE DES OUBLIÉES [house of the dragon x oc] • MELEGDIE TARGARYEN I
LA BALLADE DES OUBLIÉES • HOUSE OF THE DRAGON X OCs • CHAPITRE I
✩ synopsis : La princesse Melegdie Targaryen premiere enfant du prince Deamon Targaryen, unique enfant de Lady Rhea Royce est de feu et de sang.
☆ relations : oc!femvelaryon x aegon targaryen; oc!femstark x jacaerys velaryon; oc!femhightower x aemond targaryen; oc!femtargaryen x oscar tully; oc!fembaratheon x lucerysvelaryon
✧ warnings : violence, mort, sexisme typique médiéval, mention d’accouchement
☆ mots : 5 785 mots ⭐︎ note de l’auteur : /!\ Je suis dyslexique, j’ai fais de mon mieux pour corriger les fautes. Désolé s’il y reste quelques fautes d’orthographe ! /!\
✧ chapitres : MASTERLIST • I II III
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L’hiver avait été court cette année là, mais le froid, lui, avait été sans pitié. Même les nobles n’ont pas été épargnés dans leur château, la brise glacé se faufilant entre les pierres et éteignant les grands feus dans les cheminées.
C’est lors de ce mois de juillet des plus rude que la princesse Melegdie Targaryen première de son nom est née.
Les sages femmes racontaient que la première fille du prince Deamon Targaryen été née sous un couché de soleil flamboyant, la couleur du feu du dragon. Les meastres en étaient certain, la princesse était une vrai Targaryen tout comme son père.
Mais malgré son sang, ses cheveux argentés et ses yeux violets, l’œuf de dragon déposé sous son berceau n’a jamais éclôt. Des rumeurs ont commencé à se répandre à la court. Dans les jardins du Donjon Rouge on pouvait entendre des dames dirent que la princesse n’était pas la fille légitime du prince Deamon, la connaissance de l’animosité entre ce dernier et Lady Rhea était trop bien connue dans les Royaumes et beaucoup doutaient que leur mariage avait été consumé. D’autres disaient que c’était l’absence du prince rogue, fraîchement partit ce battre au Degrés de Pierres avec Lord Corlys Velaryon qui avait empêché l’éclosion de l’œuf de la princesse Melegdie. La Targaryen était si loin de Peyredragon à Roches-au-Rhunes, l’absence du sang du dragon avait peut être interféré la naissance d’un nouveau dragon ? Ce n’était que des ragots, ils furent bientôt tus par un nouveau drama de la court.
La princesse Targaryen vécut les trois premières années de sa vie auprès de Lady Rhea, sa mère de qui elle héritera du titre de chef de la Maison de Royce. Elle apprit avant même de marcher à monter à cheval, accompagnant sa mère à la chasse. Dès son plus jeune âge, Melegdie voit la cruauté de la nature, le sang des animaux morts par la main de l'homme. Peut-être qu'est-ce qui le rendait si peu dérangeant que la violence et la cruauté humaine ? Certaines servantes murmurent cette idée à l'oreille de leurs dames. À chaque fois qu’un Targaryen naît, les dieux lance une piece et le monde retient son souffle se demandant de quelle côté elle va bien tomber. Pour Melegdie, tout ce qui avait observé la princesse le savait : la face de l’écu était parfaitement visible, tout comme sa folie.
Lorsque le prince Rogue gagna la guerre des Degrés de Pierres, sa fille avait déjà trois ans. Il ne l'avait vu que pour ses anniversaires, trois fois depuis sa naissance. Ce n’était que des visites courtes, ne laissant pas le prince et la princesse se forger un lien père fille. Deamon Targaryen voulait épouser sa tendre et chère nièce, la princesse héritière Rhaenyra Targaryen. Ainsi après avoir couronné son frère roi Viserys Ier de la couronne des Degrés de Pierre, lui rendant ainsi le territoire autrefois menacé, le prince dragon retourna à Runes-aux-Roches, à la recherche de son épouse. Il n’avait jamais aimé Lady Rhea.
Si Melegdie était née, se n’était que grâce à son oncle le roi Viserys qui a fortement suggérer à Deamon d’essayer de concevoir un hériter et aux Dieux qui on permit à la maîtresse de la maison Royce d’être avec un enfant des la première et unique tentative. L’acte avait été aussi désagréable pour le Targaryen comme pour elle. Alors le prince n’a jamais eut de remords à tromper sa femme et ne lui en voudrait pas si c’était réciproque. Lady Rhea était partie à sa chasse matinale, laissant sa fille encore endormie aux servantes.
Ce fut la dernière fois que la princesse Melegdie vit sa mère, assassinée par son père Deamon Tagaryen d'une pierre sur le crâne après qu’il l’ai paralysé.
Avec ses manches légèrement tachées de sang, le prince rogue rentra dans Roche-au-Rhunes à la recherche de sa fille. La princesse de trois ans jouait entourée de ses nourisses. Ses cheveux argentés étaient détachés et elle portait une simple robe brune-rougeatre. Une tenue simple, pas digne d'une princesse selon Deamon. Les yeux du prince rogue se remplirent d'une curiosité froide et distante alors qu'il contemplait sa fille unique jouant avec ses jouets en bois en forme de soldats et de chevaliers. Il n'y avait aucun sentiment paternel tendre en lui, aucun sentiment d'affection pour l'enfant qu'il avait engendré.
Non pas qu'il n'y était pas habitué à présent, bien sûr. Depuis des années, il sait enfouir la petite voix dans sa tête qui lui rappelait ses propres échecs en tant que parent, se concentrant plutôt sur d'autres plaisirs avec d'autres femmes.
L'enfant potelée continua à jouer malgré l'entrée de son père dans la pièce. Elle était occupée avec ses chevaliers et soldats de bois, ses petites mains délicates déplaçant les petits morceaux de bois sur son champ de bataille imaginaire créé sur le sol de la pièce. Elle semblait complètement inconsciente de l'importance de la présence de son père. Pour elle, il était fondamentalement un étranger.
Le prince Deamon émit un petit ricanement en regardant la scène devant lui. L'enfant était tellement absorbée par son propre petit monde, tellement détachée de la présence de son père. C'était presque pathétique, vraiment.
Et pourtant, il y avait quelque chose dans son innocence, son attitude insouciante qui lui faisait ressentir une lueur de quelque chose, une petite étincelle d'affection paternelle qu'il parvenait généralement à enfouir au plus profond de lui-même. Mais il l'écarta rapidement, refusant de se laisser attendrir maintenant.
Il avança, ses bottes claquant contre le sol poli, mais le bruit ne semblait pas déranger l'enfant le moins du monde.
Elle continua à jouer avec ses jouets en bois, sa tête se balançant d'un côté à l'autre avec un cri de guerre inventé.
« Melegdie », dit Deamon, sa voix mêlant détachement froid et intrigue calculée. Il voulait voir comment elle réagirait à sa voix, si elle le reconnaîtrait ou continuerait simplement son jeu.
La princesse arrêta son mouvement, relevant sa tête vers la voix qui l’avait appeler. C’était toujours "princesse" que les serviteurs ou les chevaliers du château l’appelait, seul sa mère l’interpellait avec son prénom. Si le frère du roi avait trouvé sa fille innocente lorsqu’elle s’amusait, cette idée disparut en voyant les yeux violet claire froidement braqué sur lui.
De l’agacement. Il discernait de l’agacement dans le regard froide de sa fille de trois ans. Melegdie n’avait pas aimé qu’un inconnue l’appelle par son prénom, chose qui était réserver seulement à sa noble mère. Ses iris ont observé attentivement le prince Deamon. La princesse fronça les sourcils en voyant les taches de sang sur les bords de la chemise du Targaryen.
« Vous êtes allez chasser ? » Sa voix semblait trop ferme et autoritaire pour une enfant de son âge. Son père fut quelque peu surpris par sa réponse. Il s'attendait à une réaction plus enthousiaste ou même craintive, étant donné la rareté avec laquelle il la voyait. Mais au lieu de cela, il obtint un ton plutôt froid et détaché qui reflétait étrangement le sien. Il laissa échapper un petit ricanement, une petite lueur d'amusement apparaissant dans ses yeux glacés.
« En effet, j'étais à la chasse », répondit Deamon, sa voix calme et mesurée. Ses yeux se plissèrent, observant chaque mouvement de l'enfant. « Un succès, je dirais même. »
« Quel genre d’animaux ? » Melegdie a demandé, ignorante de l’horrible vérité. C’était le sang de Rhea Royce sur cette chemise, le sang de sa mère qu’elle chérissait plus que tout. Comment pouvait elle le savoir ? Ce n’était qu’une enfant, une enfant excité par la chasse, ignorant que la cible lui était si chère. Et puis, le sang humain et animal se ressemblent non ?
« Une belle biche que j'ai trouvée dans les bois » le prince lui répliqua, son propre ton correspondant à la froideur de l'enfant. « Un coup parfait dans le cœur » Il aurait dut se sentir coupable, peut être qu’au fond de lui c’était le cas, d’avoir assassine la mère de son seul enfant, son héritière. Mais il pensa à Rhaenyra, sa nièce, le délice du royaume, elle sera une excellente mère pour Melegdie qui, de toute façon, ne se souviendra pas de sa mère de sang.
« Maman vise toujours le cœur » dit-elle avec une fierté enfantine, comme tout enfant de trois ans à propos de sa mère. Le visage de Deamon se durcit à ses mots. Sa propre fille, mentionnant sa mère avec un sentiment de fierté, et si inconsciente du sort qui lui était arrivé. La haine qui vouait pour son épouse, sa défunte épouse surpassait sa culpabilité. Il laissa échapper un moqueur froid, masquant ses émotions sous un extérieur indifférent.
« Est-ce vrai ? » Il dit de sa voix stable et mesurée. « Il semble que ta mère ait toujours été douée pour ça. » Il y avait une lourde amertume sous-jacente dans ces mots.
« Elle est la meilleure » Melegdie répondu avec un sourire, le seul sourire qu'elle ait offert à son père depuis le début de leur discussion. Elle l’avait observer, cet homme qui lui était inconnue. Elle avait remarquée ses cheveux d’un blanc argenté et ses yeux violet légèrement plus foncé que les siens. Elle c’était fait la remarque que la couleur lui allait mieux qu’à lui mais n’était pas plus perturbée par la ressemblance frappante entre elle et lui. Dans son voyage d’observation, ses yeux violet clair tombèrent sur l'épée de Deamon, Black Sister. Melegdie a toujours voulu en posséder une comme Rhaenys Targaryen, l’épouse d’Aegon le conquérant dont sa mère et ses nourisses lui racontaient ses histoires. Le prince Rogue avait remarquée le regard observateur presque jugeur de sa fille. Il suivit le regard de la princesse jusqu’à la poigne de Black Sister.
Elle était bien trop jeune pour manier une telle lame, du moins actuellement. Pourtant, d'une manière ou d'une autre, il pouvait déjà voir le soupçon d'ambition dans ses yeux, peut-être la première lueur de quelque chose qui ressemblait à sa propre nature.
Potentiel.
Mais pour l'instant, elle n'était qu'une enfant. Une petite enfant avec un sourire qu'il n'avait jamais vu sur son visage auparavant, un sourire qui n'était pas donné à lui, mais au souvenir de sa mère. La mâchoire de Deamon se tendit légèrement.
« Un jour, toi aussi tu posséderas ta propre épée », dit il, sa voix mêlant ambition froide et fierté paternelle. Oui, il était peut-être un père distant et absent, mais il avait toujours une petite lueur d'espoir que son enfant suivrait ses traces. Il s'avança, ses bottes claquant en même temps. Il la regarda, ses yeux violets froids et calculateurs, mesurant chacun de ses mouvements. « Mais d'abord, tu dois apprendre l'art de la guerre. Comment manier une épée, comment monter à cheval... comment commander des troupes. »
Les servantes échangèrent un regard. Elles s'étaient levées depuis l'arrivée du prince, comme demande la politesse devant un membre de la famille royale. On demande à une princesse d'être douce, délicate et de prendre soin de sa famille et de son seigneur mari, pas de partir à la guerre. Pourtant, le visage de la princesse Melegdie, la fille aînée et unique de Deamon Targaryen, semblait s'illuminer en entendant les paroles de son père. Elle voulait être une chasseuse comme sa mère et une guerrière comme la reine Rhaenys.
« Vraiment ? » demanda-t-elle avec des espoirs enfantins, « comme la reine Rhaenys Targaryen ? »
Les lèvres de Deamon se courbèrent en un sourire froid, presque sinistre. Elle rêvait déjà de gloire, de bataille, de partir à la guerre. Peut-être était-ce une étincelle de sa propre ambition, la même qui brûlait en lui.
« Oui, comme la reine Rhaenys », confirma-t-il, sa voix teintée d'une pointe de sombre satisfaction. « Mais en mieux. Parce que tu es ma fille. » Ses yeux scintillèrent d'un soupçon de détermination et... oui, c'était peut-être presque de la fierté.
La princesse Melegdie comprit pour la première fois que cet homme était son père. Elle qui ne l'avait jamais connu, elle partageait la même raison pour laquelle son cœur battait. L'ambition. Elle hocha la tête, ses yeux violet clair dans ceux de son père.
Deamon hocha la tête en retour, son regard glacial se fixa sur ses yeux violets avec une pointe d'intrigue. Elle était intelligente, pour son âge. Déjà conscient de l'importance du pouvoir et de l'ambition, rêvant déjà de gloire et de bataille.Pendant un instant, il vit une lueur de lui-même en elle, une étincelle de leur sang commun. Il laissa échapper un petit ricanement, ses lèvres se courbant en un petit sourire narquois.
« Tu as du potentiel, Melegdie », dit-il, sa voix portant un soupçon d'ambition sombre. « Voyons jusqu'où tu peux aller. »
La princesse Melegdie commença à vivre avec son père, le prince Deamon, à partir de ce moment fatidique. Le prince Rogue emmena sa fille unique au mariage de sa nièce Rhaenyra Tagaryen et du fils de sa cousine Rhaenys, Leanor Velaryon. La petite Targaryen regarda depuis la table du banquet Sir Joffrey être violemment assassiné par Sir Criston Cole. Les muscles de l’amant de Leanor se faisait broyer sous les poings du chevaliers de la garde royale, le sang épais se répandant sur le sol de la salle du trône comme celui des biches dans l’herbe de la forêt.
Ses yeux violets et froids observaient la scène se dérouler sans que son visage ne paraisse choqué. Elle avait vu sa mère tant de fois achever un cerf ou un sanglier avec encore plus de cruauté. Quelle était la différence entre un animal et un homme ?
Le prince Deamon épousa Lady Leana Velaryon l'année des quatre ans de Melegdie. Cet dernier lui offrit le plus beau cadeau dont sa fille unique pouvait rêver, l'épée du conquérant : BlackFire.
Cela avait provoqué un scandale au Donjon Rouge. Une femme, pas n'importe quelle femme, une princesse ! Avait hérité d'une arme aussi précieuse que celle d'Aegon le conquérant.
Mais il s'en fichait, pas le moins du monde. Il était trop heureux d'énerver quiconque osait sous-estimer son unique enfant, son héritier. Le prince Deamon regardait sa fille, la princesse Melegdie, tenir l'épée du conquérant avec de grands yeux. Bien que l'arme soit bien trop grande pour sa petite silhouette, l'enfant semblait hypnotisée par elle, comme si elle pouvait ressentir le pouvoir qu'elle incarnait.
L'année du huitième anniversaire de la princesse Melegdie, Leana Velaryon donna naissance à deux jumelles, la princesse Baela et Rhaena Targaryen. La femme qu'elle avait prise pour mère se trouvait dans une chambre chaude du château de Pentos où logeaient Deamon Targaryen et sa famille, cette dernière détestant toujours le Donjon Rouge. Melegdie attendait devant la grande porte en bois où elle avait entendu sa belle-mère hurler de douleur pendant des heures et des heures. Elle avait déjà vu un cheval mettre à bas, cela ne l'avait pas dérangée. C'était l'ordre naturel, la cruauté de la nature.
Mais cela lui fit comprendre que c'était ce qu'on attendait d'elle dans quelques années.
Et Melegdie refusait ce sort.
Elle était une princesse Targaryen, pas une simple reproductrice. Elle ne deviendrait jamais l'épouse de ou la mère de. Jamais.
La nièce du roi attendait assise, vêtue d'une robe rouge et noire, ses cheveux blancs parfaitement tressés comme le veut la tradition Targaryen. Elle était musclée depuis qu'elle avait commencé son entraînement à l'épée avec son père. Son visage était dur, froid.
L'attente lui semblait une éternité, encore plus pour un jeune enfant, les heures s'éternisaient.
Mais la princesse était patiente, ses yeux froids fixés sur les portes des chambres où sa belle-mère essayait tant bien que mal d’accouché. Finalement, la porte en bois s'ouvrit, révélant la vue de son père. Deamon regarda sa fille avec une expression froide, presque désintéressée, ses yeux ne laissant apparaître aucune trace d'inquiétude ou d'inquiétude.
« Tes petites sœurs sont nés », dit-il, sa voix calme et pragmatique. « tu peux entrer. »
La princesse se leva rapidement, se dirigeant vers la pièce chaude dont l'odeur de sang et de sueur emplissait la pièce. Leana était au lit entourée des sages femmes, ses cheveux blancs et son visage pâle trempés de sueur. Deux bébés aux cheveux blancs et à la peau métisse étaient dans ses bras. La femme de Deamon sourit en voyant sa belle-fille s'approcher en regardant ses petites sœurs.
« Elles sont très jolies » dit la fille aîné du prince Rogue en souriant, ce qui était rare
« Merci, chérie », dit Leana ses yeux fatigués regardant discrètement son époux se mettre à l'écart. Le frère du roi avait les yeux rivés sur sa fille. Il vit le rare indice d'un sourire sur son visage, une petite lueur de douceur sous son extérieur froid.
« Elles sont bien plus jolis que ceux de la Reine Alicent » dit Melegdie avec un sourire moqueur. Ce n’était un secret pour aucun de ses parents, la petite targaryenne n'aimait pas ses cousins Aegon, Heleana, Aemond et Dearon. Le peu de fois qu’elle a passer ensemble, quand son père était forcer de venir à la court de KingsLanding, la princesse réussissait toujours à se disputer avec eux, surtout Aegon, le fils aîné du roi. Et elle a toujours trouver ses cousins, laids, même elle ne le dit jamais devant eux. Mais ses iris le disaient pour elle. « Et ils n'ont rien à envier aux enfants aux cheveux bruns de cousine Rhaenyra »
L'année dernière, son autre cousine, la princesse Rhaenyra Targaryen a donné naissance à des jumelles, Jacaerys et Shaerea Velaryon, mais, comparées à leurs parents, aucune d'entre elles n'a les cheveux argentés et les yeux violets. Deux bébés nées avec d’épais cheveux bruns boucler et des yeux presque noir. Cela fit scandale car, même si Rhaenyra et son père le démentaient, le jeune prince et la jeune princesse sont des bâtards.
Les lèvres de Deamon se retroussèrent en un petit sourire narquois aux paroles de Melegdie, les coins de sa bouche trahissant l'amusement. Il ne put s'empêcher de trouver sa franchise adorable, un trait qui la rendait encore plus fascinante à ses yeux.Il ne prit pas la peine d'intervenir, laissant sa fille exprimer ses opinions à sa guise.Leana, fatiguée comme elle l'était, secoua simplement la tête en soupirant d’agacement au comportement de sa belle-fille, mais un soupçon de sourire tira ses lèvres.
« Melegdie, tu sais qu'il ne faut pas faire de tels commentaires », dit-elle, sa voix mêlant réprimande et affection.
La princesse se pince les lèvres en regardant sa belle-mère. « Aegon est moche » Dit-elle avec dégoût avant de se rapprocher un peu pour mieux voir les jumelles. « Mais mes sœurs sont très jolies. Elles tiennent beaucoup de toi »
Lady Leana laissa échapper un petit rire doux, ses yeux fatigués se plissant d'amusement alors que le prince Deamon continuait à regarder la scène en silence, son sourire narquois s'élargissant légèrement. Il appréciait la façon dont Melegdie était honnête avec ses pensées, aussi tranchantes ou mordantes soient-elles. Même au milieu de l'épuisement, Léana Velaryon trouvait amusante la franchise de sa belle-fille. Elle baissa les yeux sur les jumelles, ses traits s'illuminant d'une fierté maternelle. « Oui, c'est vrai », acquiesça-t-elle. « Elles ont les plus beaux traits de leur mère. »
« Est-ce que leurs œufs vont éclore ? » demanda Melegdie avec un peu d'excitation en se tournant vers son père. Depuis qu'elle vivait avec son père, elle voulait tellement avoir un dragon. Elle avait supplier ce dernier de lui laisser réclamer ceux qui étaient disponibles parce que son œuf n'avait jamais éclos, mais le prince rogue ne lui a jamais permit. C’était trop dangereux pour une enfant, elle pourrait se faire tuer. Alors elle a essayer d’elle même, dans le dos de ses parents. Lors de leur dernière venu à KingLanding, elle est aller à Fausse Dragon et a essayer de clamer Dreamfire. Cela a mal fini et une grande partit de son dos est brûlé à vie. Les meastres ont mit des semaines a essayer de limiter les dégâts mais n’ont pas put enlever l’inévitable cicatrice.
L'expression de Deamon changea, son sourire narquois disparut et ses yeux froids se firent calculateurs et distants. Il comprenait le désir de sa fille d'avoir un dragon, comment cela semblait être un besoin pour elle autant que l'air ou la nourriture. Et pourtant, il savait aussi que la compagnie d'un dragon n'était pas quelque chose qui venait si facilement.
« Seul le temps nous le dira », répondit simplement Deamon, sa voix mesurée et égale. « La naissance d'un dragon est une chose imprevisible, et tout le monde n'aura pas le privilège d'en chevaucher un »
« Je sais », dit Melegdie avec une légère agacement. Elle regarda ses deux petites sœurs, Baela et Rheana dormir dans les bras de leur mère. « J'espère qu'elles le pourront. C'est nul de ne pas avoir de dragon quand on est un Targaryen »
Les lèvres du prince Targaryen se contractèrent en un petit sourire à peine perceptible face à la déception de sa fille. Il comprenait ses sentiments peut-être mieux que quiconque. Après tout, il avait vu de ses propres yeux ce que signifiait être un Targaryen sans dragon. « Oui, cela peut être... décevant », répondit-il, sa voix teintée d'un soupçon d'amusement sombre.
Lady Leana observa l'échange entre le père et la fille avec un mélange de curiosité et d'épuisement, ses yeux fatigués mais son esprit toujours fort. « Un jour, toi aussi tu auras un dragon », dit-elle, sa voix douce et réconfortante.
Melegdie la regarda, peu convaincue. Comme pour lui rappeler son échec, sa brûlure au dos lui picota désagréablement. Deamon posa ses mains sur les épaules de sa fille aînée.
"Laisse Leana se reposer, tu la verras elle et tes sœurs demain" La princesse Targaryen ne c’est pas fait prier et se congédia après avoir souri à sa belle-mère.
Leana échangea un regard inquiet avec Deamon, son épuisement oublié un instant. Une fois que la petite Targaryen quitta la pièce, Leana posa sa tête sur l'oreiller et ferma les yeux, le cœur chargé de pensées pour sa belle-fille. Il y avait quelque chose de différent chez Melegdie, quelque chose qu'elle n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Mais les soucis de Leana allaient devoir attendre pour le moment, elle était bien trop fatiguée pour penser à quoi que ce soit et s'endormit presque instantanément.
Le son des pas de Melegdie résonnaient dans les couloirs vides du château d’Essos. Elle y vivait depuis plus de trois ans depuis que son père a décidé de s’éloigner de la court. Elle devait regagner sa chambre, c’est ce que son père désirait. Elle allait le faire, oui, mais avant la princesse Targaryen se permit de faire un détour dans les allés décorer de marbre jaune avec de magnifiques mosaïques colorés sur les murs et le sol. La fillette se faufila dans les passages sombres, essayant de ne pas se faire voir par les quelques soldats présent. De toute façon, la sécurité était placée près de Lady Leana et de ses nouveaux nées, elle pouvait papillonner avec moins de vigilance habituelle.
« … c’est vrai, ma tante et mes cousins, ils me l’ont tous dit, ils l’ont vu! Il est toujours près des falaises ! Ils l’ont vu ! » Melegdie c’est arrêtée, ses oreilles percevant une conversation animée entre deux jeunes servantes qui s’occupaient du bois de la grande cheminée. La curiosité l’a piqua. C’était plus fort qu’elle, elle devait être au courant de tout. La princesse ne supportait pas être laisser dans l’ignorance, même à son tendre âge. Un générale a besoin du plus d´information possible pour gagner la guerre, n’est ce pas ? Alors avait apprit a écouter les servantes et les soldats d’Essos de ces lieux, parfois même les ragots pouvaient être interessant.
« C’est sûrement la naissance des deux nouvelles Targaryens qui l’a attiré. Tu t’inquiète pour rien, comme d’habitude. » La plus âgé réprimanda sa collègue avec agacement.
La mention de ses deux nouvelles sœurs interpella la fille aîné du prince rogue. Elle ne savait pas vraiment l’expliquer mais Melegdie se sentait de devoir protéger ses deux bébés sœurs. Elle ne devrait pas, après tout, les princesses Baela et Rheana n’avaient que quelque heures, elle ne les connaissaient pas, elle n’avait aucune raison de s‘inquiéter pour elles, ni même de penser à elles.
« Mais non! Ils ont dit que ce n’était pas un de la maison du dragon! Celui là est sauvage, la prêtresse rouge l’a confirmé! Celui là n’a jamais été monté elle a dit! Et tu sais que la prêtresse a toujours raison… » Alors que la plus jeunes des deux femmes insistait, le cœur de la princesse Melegdie a loupé un battements.
Un dragon sauvage ? Et il n’a jamais eut de cavalier ? Ici à Essos ?!
Elle ne pouvait pas manquer une opportunité comme celle là ! Son père, le prince Deamon, ne laissera jamais sa famille rentre à Westeros, peut importe combien sa femme le lui suppliera. Melegdie ignorait combien d’années elle devrait attendre avant de pouvoir essayer d’essayer clamer un dragon de PeyreDragon.
C’était une Targaryen, la fille du prince Rogue, la détentrice de l’épée du conquérant BlackFire, elle revendiquerait ce qui lui revient de droit.
Elle revendiquerait ce dragon sauvage et deviendrait sa première cavalière.
Elle marquera l’histoire et ne sera pas un Targaryen sans dragon oublié.
La princesse Melegdie Targaryen première de son nom n’était pas destinée à un tel sort.
La petite Targaryen se précipita dans sa chambre aussi vite que sa robe volumineuse lui permettait. La course à pied était plus simple quand elle s’entraînait avec le prince Deamon, ces moments où elle pouvait s’habiller de vêtement de garçon. Elle comprenait que son statue l’obligeait à porter des habits de son rang, elle aimait même certaines des robes que sa belle-mère lui achetait. Mais si elle avait le choix, elle se vêtirait de l’armure de la Reine Rhaenys Targaryen. Melegdie était une guerrière comme son père et une chasseuse comme sa mère Lady Rhea. La porte massive en bois de sa chambre se claqua derrière la petite princesse. Elle n’attendu pas plus pour se déshabiller, retirant les tissues épais et les bijoux d’or et de saphirs, les laissant traîner sur le sol et ses meubles. Sa septa serait furieuse de voir sa pièce aussi déranger. Mais osera t elle lui crier dessus si Melegdie l’a menacé avec un dragon ? Les chèvres se font bien dévorer par les dragons, quel est la différence avec les hommes ?
Une fois son bas et sa cote de maille enfiler, la princesse Tagaryen prit son épée BlackFire. Elle était trop lourde pour son corps d’enfant de huit ans, trop longue pour pouvoir la porter à la ceinture, ses jambes étant trop courtes. Peu importe combien Melegdie s'était entraînée pendant 4ans, la seule façon pour elle de la porter sur son dos. « Puis je savoir où vous allez à cette heure ci princesse? » Avant qu’elle ai eut le temps de courir hors du château sans autorisation, Sir Gelwick l’avait attrapé par la cote de maille. Le chevalier était un homme âgé d’une cinquantaine d’année aux épaules larges et aux cheveux blanc, autrefois brun. Il était au service du prince Deamon Targaryen depuis des années. Depuis que la petite Targaryen vivait avec son père, Sir Gelwick était chargée de sa sécurité.
Melegdie lui a lancer un regard froid, faisant un mouvement pour se libérer de son emprise. « Je vais clamer le dragon sauvage » Sa voix était froide, aussi froide que l’hiver de sa naissance. Le visage de Sir Gelwick se durcit. Il connaissait la princesse et sa perception du monde ainsi que de à quelle point elle était têtu. Il savait d’avance qu’il ne pourrait pas lui faire changer d’avis, pour autant, il essaya. « Un dragon sauvage ? » Répéta le chevalier avec pointe de surprise. Elle était trop intelligente et observatrice pour son propre bien. « Vous n’y songez pas sérieusement princesse? Une telle bête pourrait être extrêmement dangereuse. Les dragons sauvages sont connus pour être beaucoup plus volatils et imprévisibles que les dragons apprivoisés. Je vous conseille de rester à l'écart. »
La princesse Melegdie se remit à marcher à travers le château, le chevalier sur ses talons. Si l’homme n’arrivait pas à la convaincre alors il l’accompagnerait, quoi qu’il était toujours décidé à faire rebrousser chemin à l’enfant. A l’avertissement de Sir Gelwick, la fille du prince Deamon ne lui jeta qu’un regard agacé. « Un dragon reste un dragon, sauvage ou domestiqué. » Dit elle avec certitude. « Et c’est un dragon qui n’a jamais été clamer, je veux et je serais sa première cavalière. »
L'expression de Sir Gelwick resta sérieuse, ses lèvres pressées en une fine ligne devant sa détermination. Il était assez vieux pour connaître les risques d'essayer d'apprivoiser un dragon sauvage, pour connaître les dangers que cela représentait pour une fille aussi jeune.
« Princesse, je dois insister ! » Il la suivit rapidement à travers les longs couloirs sombres du château, ses yeux fixés sur sa petite silhouette alors qu'elle entrait dans ses appartements avec impatience. « Vous ne pouvez pas essayer de revendiquer un dragon sauvage ! »
« Je suis une Targaryen ! C'est mon droit de naissance! » dit la princesse Targaryen d'une voix aiguë de fillette de huit années. Sa cote de maille cliquetaient à chacun de ses pas et le vent soufflait à travers son pantalon en soie large. Il faisait froid quand la princesse Melegdie a ouvert la porte des domestiques qui donnait accès au chemin des falaises. Pourtant ni l’enfant ni le chevalier n’a flancher fasse à la fraîcheur de la nuit.
Sir Gelwick regarda la princesse avec un sentiment croissant de terreur. Son ambition, sa détermination, c'était presque troublant de voir une si jeune fille si motivée, si intrépide. Il secoua la tête, son expression se durcissant. L’herbe haute arrivait pratiquement à la taille de la petite princesse, alors qu’elle se déplaçait avec difficulté dans le noir, la pleine lune comme seule lumière pour l’aider. « C'est de la folie », déclara-t-il fermement, ses mots résonnant dans l'air.
« Je m'en fiche », dit-elle obstinément en continuant de se déplacer dans le champs d’herbes hautes, près des falaises, devant le chevalier, la tête haute et fière. « Je vais clamer ce dragon. Je ne serais pas une Targaryen sans dragon. Non, ça jamais. »
Sir Gelwick la regardait avec impuissante. Il ne pouvait pas l'arrêter, mais il pouvait très bien essayer de la raisonner dans une énième tentative. « Princesse, il ne s'agit pas seulement d'être une Targaryen. Il s'agit de survivre ! Et si cette bête vous tue ? » Sa voix semblait presque suppliante alors qu'il suivait ses pas, sa cape jaune bruissant à chaque pas.
« Alors je mourrai d’une mort honorable », répondit la princesse d’un ton catégorique, la voix pleine de détermination. « En véritable Tagaryen. »
Le vent sifflait à travers les arbres, apportant une odeur de sel et d’air marin alors qu’elle se dirigeait vers les falaises. Sir Gelwick passa une main sur son visage, frustré. Que pouvait il répondra fasse à la fillette ? La princesse Melegdie était loin d’être la petite fille qu’il avait autrefois bercée sur ses genoux. Même si au fond il savait qu’elle avait toujours été ainsi : têtue et désireuse de revendiquer un dragon confinait à l’obsession. La fille du prince Rogue était de feu et de sang et il l’a vu plus que jamais cette nuit la.
Le ciel étoilé c’est assombrit et l’air devint glacé.
Melegdie releva sa petite tête argenté, un sourire sur ses lèvres. Un monstre ailé gigantesque bloquait la lumière de la lune. Il était grand, énorme, plus que la princesse Melegdie n’aurait put l’imaginer. Ses ailes d’un bleu aussi froid que celui du Mur du Nord, étaient déchirée à plusieurs endroit. Meme depuis le sol, ses griffes étaient nettement visibles : longues, tranchantes, meurtrières, capable d’achever n’importe quel être vivant d’un simple coup. Et sa gueule, énorme comme le reste de son corps imposant, était remplit de dents acérés semblable à des stalactites. Au fond de sa gorge large, capable d’avaler deux cavaliers et leur montures sans difficulté, le feu dragon bouillonnait, se lançant dans une danse avec la glace dont semblait être fait les crocs de la bête.
Le dragon volait au dessus de le princesse Melegdie et du chevalier Sir Gelwick comme un rapace encerclant sa proie. Elle était émerveillée par la beauté terrifiante de l’animal. Ses yeux violets claire étaient écarquillés, incapables de se détourner du dragon. Jamais de sa vie elle avait assister à un tel spectacle. Caraxes le dragon de son père ou une biche blanche tachée de sang, achevée par l’arc de sa mère Lady Rhea semblaient d’un banal désolant.
Hypnotisée pour l’animal de l’ancienne Valeria, la princesse ne bougea pas un muscle alors que le dragon se mit à charger en leur direction. Prise d’une terreur sans présidant, le chevalier prit le bras de la jeune princesse, la tirant avec force. Mais c’était trop tard pour fuir.
Le dragon c’est posé en fasse de Melegdie, la terre tremblant sous son poids. Ses yeux étaient deux orbes rouges sangs, fixant avec froideur la princesse Targaryen. Iris contre Iris, les deux se regardèrent. La nature semblait figée, silencieuse fasse a la scène.
« Melegdie ! » A crier avec panique le vieux chevalier en essayant de garder sa main tremblante autour du bras de la fillette de huit ans. Sans même lui accorder un regard, elle le frappa avec toute sa force, se libérant de son emprise. Tétanisé, Sir Gelwick n’a rien put faire d’autre qu’observer, la bouche ouverte de choc et son visage pâle.
Doucement, un pas après l’autre, la princesse Melegdie Targaryen s’approcha du dragon sauvage qui grognait. L’épée du conquérant était lourde sur son dos, mais pas autant que le fils qui semblait l’attirer à l’animal mystique.
« Dohaeragon issa! Obéikos issa zaldrīzes! » sers moi! Obéis moi dragon! La voix de l’enfant Targaryen était ferme, ne laissant pas de place à la peur. Le dragon a rugit, sa tête imposante s’approchant de la princesse. Sa petite main se leva en direction de la gueule de la bête. Si celle ci le désirait, la fillette pourrait se faire avaler rond sans même avoir le temps d’en prendre conscience. Elle avait vu son père faire ce geste des centaines de fois avec son dragon, tout comme sa belle mère avec Vaghar. Et bientôt, elle le ferait aussi des centaines fois avec son dragon. « Lickīri, Dohaeragon Issa » Calme, sers moi
La paume froide de la princesse rencontra les écailles chaudes du dragon.
Elle regardait le dragon droit dans les yeux, son cœur battant dans ses tempes, l’assourdissant du rythme irrégulier. Chaque fibres de son corps était concentré sur lui, comme si elles essayaient du fusionner avec la bête, ne faisant plus qu’un. Le moment sembla durer une éternité, le temps s’arrêtant pendant un instant de pur bonheur et de paix.
La princesse Melegdie Targaryen, première de son nom, fille aîné du prince Deamon Targaryen et enfant unique de Lady Royce l’avait fait.
Elle venait de se lié avec un dragon.
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La tragédie des hommes modernes ils travailleront plus de 40 heures pour leur famille, mais ne prendront pas soin de leur santé. Pendant ce temps, 1/4 d'entre eux meurent de maladies cardiaques les mesures pour éviter une mort prématurée même si vous n'avez pas le temps
Les maladies cardiaques sont la première cause de mortalité, fatigue excessive essoufflement, prise de poids rapide, pieds gonflés, brouillard cérébral, articulations douloureuses. Ce qui provoque Alzheimer, crises cardiaques, diabète, cancer. Mais c’est la résistance à l’insuline qui en est la cause.
Et c'est la vie moderne qui est à blâmer :
→ stress
→ sucres
→ travaux de bureau
→ aliments transformés
→ privation de sommeil
L'insuline est une hormone qui fonctionne comme une clé, mettant du sucre dans vos cellules. Dans le cas de la résistance à l’insuline, la clé ne correspond pas. Le sucre ne peut pas pénétrer dans vos cellules, il s’accumule donc dans le sang. Manger plus de fibres Excellentes sources de fibres avoine, poires, pommes, carottes, brocolis, avocat, framboises, fraises, fruit du dragon, les légumes. Marcher 1h par jour au minimum. Moins de glucides = moins de sucre dans le sang moins de sucre dans le sang = moins d'insuline. Réguler les protéines. Activer les muscles de votre corps en faisant des étirements tractions. Ne pas manger trop tard pour faciliter la phase du sommeil. En résumé 7 étapes simples pour inverser la résistance à l’insuline :
1. Mangez plus de fibres
2. Jeûne intermittent
3. Marchez après les repas
4. 3 repas x 50g de protéines
5. Soulevez des poids 2 à 3 fois par semaine
6. Privilégiez le sommeil et le soleil
7. Moins de 100 g de glucides par jour
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