#rue parisienne
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PARIS STREET oil painting by Guymick Cormic
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St Denis, la rue de la république.
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Frédéric Manfrin - Ballades parisiennes - Rue Saint-Denis, rue Rambuteau
Rue Saint-Denis, rue Rambuteau,On trouve encore les oripeauxDe feu le Ventre de Paris.Marquise de fonte parapluie,Restes d’échoppe aux bois verdis,Sous le balcon des plus nantis.Roue de charrettes, cliquetisSur les pavés, parmi les crisDes Forts des Halles, marchands en gros,Grisettes et vendeurs de coco.
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L'Art et la mode, no. 47, vol. 21, 24 novembre 1900, Paris. Sous les grands arbres. High Life Tailor advertisement. Bibliothèque nationale de France
Au Bois, où les derniers rayons du soleil d’automne ont tant de charme, deux Parisiennes causent.
Depuis plus d’une heure, le sujet de leur conversation n’a pas changé. C’est presque un hymne de reconnaissance, un cantique de gratitude adressé à l’homme qui se donna la mission de les rendre plus séduisantes encore, à High Life Tailor Depuis son exposition, triomphale, 112, rue de Richelieu, au boulevard, elles n’ont qu’une obsédante pensée, celle du Costume tailleur à 95 francs et de la Jaquette doublée soie à 69 fr. 50, dont le seul souvenir fait passer dans leurs beaux yeux des éclairs d’admiration.
Paris. Imprimerie Maréchal et Montorier (A. Maréchal Succ'), 16, Passage des Petites-écuries.
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Under the big trees.
In the Bois, where the last rays of the autumn sun have so much charm, two Parisian women are chatting.
For over an hour, the subject of their conversation has not changed. It is almost a hymn of recognition, a canticle of gratitude addressed to the man who gave himself the mission of making them even more attractive, at High Life Tailor. Since his triumphant exhibition at 112, rue de Richelieu, on the boulevard, they have had only one obsessive thought, that of the Tailored Suit at 95 francs and the Silk-lined Jacket at 69.50 francs, the mere memory of which brings flashes of admiration to their beautiful eyes.
#L'Art et la mode#20th century#1900s#1900#on this day#November 24#periodical#fashion#fashion plate#advertisement#bibliothèque nationale de france#dress#coat#suit#collar#High Life Tailor
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Aspect nocturne des rues parisiennes dans le brouillard en plein midi, à Paris, France le 28 novembre 1931. (Photo by Keystone-France\Gamma-Rapho via Getty Images)
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Le Pigeon et l’Homme. Sur le pavé froid et mouillé d’une ruelle de Paris, un homme gisait, oublié du monde. Ses haillons trahissaient une misère profonde, et son visage, marqué par le froid, portait l’ombre d’un destin brisé. Autour de lui, les passants passaient, pressés, insensibles, absorbés par les méandres de leur propre existence. Mais du haut d’un toit, un œil brillant observait cette scène. Un pigeon, humble créature des cieux, se tenait là. Son plumage gris semblait absorbé par la pâleur du ciel hivernal, et pourtant, en lui brûlait une lumière. Ce pigeon n’était pas ordinaire : il portait en son cœur une noblesse que peu d’hommes possèdent. Voyant l’homme abandonné, il descendit en une volée d’ailes, et se posa doucement à ses côtés. Là, il vit la détresse. L’homme, au bord de l’inconscience, murmura : Laissez-moi. Paris n’a plus besoin de moi. Mais le pigeon, dans son silence, avait entendu mille histoires. Et dans son instinct, il comprit qu’un geste devait être fait. Il battit ses ailes avec force, saisit les pans du manteau de l’homme entre ses serres, et dans un effort titanesque, il s’éleva. Oh, que dire de cette vision le ciel de Paris s’ouvrit comme un poème. Un pigeon, frêle et déterminé, portait un homme, lourd de douleur, à travers les brumes de la ville. Les toits d’ardoise devinrent spectateurs, et les cheminées, témoins muets d’un miracle. Il le déposa enfin sur un banc, sous la lumière vacillante d’un réverbère. Là, il vola en quête d’aide, et trouva une vieille femme, marchande de fleurs, qui passait avec un panier d’herbes. Elle s’arrêta, interloquée. Que fais-tu là, oiseau des rues ? demanda-t-elle en voyant le pigeon qui voletait autour d’elle avec insistance. Elle suivit son étrange guide, et trouva l’homme affaissé. Avec douceur, elle le ranima, partageant son pain et son vin. L’homme, éveillé, croisa le regard du pigeon perché non loin, comme un ange discret. Était-ce toi ? murmura-t-il, les larmes aux yeux. Le pigeon, dans un battement d’ailes, s’éleva vers le ciel, disparaissant parmi les étoiles naissantes. Et ainsi, dans cette nuit parisienne, un simple oiseau avait rappelé à un homme sa propre valeur, et à une ville son humanité. Car Paris, sous ses façades de pierre, est un théâtre d’ombres et de lumière, où même les plus humbles peuvent devenir héros, et où les cieux abritent des cœurs plus vastes qu’ils ne le laissent paraître. Barbesànthiel
Une sculpture le passage de Fredrik Raddum
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Une maison des associations parisienne a refusé que le sociologue Youssef Souidi vienne s’exprimer dans ses locaux, évoquant deux posts X critiques sur Israël. Elle a aussi exclu de ses murs l’Union rationaliste, qui l’invitait, à laquelle elle reproche d’avoir appelé à faire barrage au Rassemblement national.
ll a fallu un moment aux animateurs et animatrices de l’Union rationaliste (UR) en Île-de-France pour digérer l’information. Samedi 23 novembre, la directrice de la Maison de la vie associative et citoyenne du Quartier latin (MVAC) à Paris, Sandrine Rouet, leur a fait savoir par mail qu’elle ne pouvait « plus accueillir l’association pour quelconques activités » jusqu’à ce qu’elle « redevienne neutre ». « On est restés abasourdis », relate Nelly Bensimon, responsable des rencontres « Sciences et culture » de l’UR Île-de-France, jointe par Mediapart.
L’Union rationaliste, fondée en 1930 par le physicien Paul Langevin, qui a été membre du Parti communiste français (PCF) à partir de 1944, organise régulièrement des rencontres avec des universitaires, produit des podcasts et publie des textes dans lesquels elle s’applique à rapprocher science et société en prônant des valeurs humanistes.
À ce titre, l’UR a appelé solennellement à faire barrage à l’extrême droite aux élections législatives anticipées de 2024 – comme de très nombreuses associations telles que la Ligue de l’enseignement ou la Ligue des droits de l’homme. Elle plaide aussi pour le cessez-le-feu à Gaza, la reconnaissance de l’État palestinien, l’acceptation des deux États et la libération des otages israéliens.
Rien de très étonnant pour une association de défense des droits, qui se donne pour but de lutter « contre toutes les formes de l’irrationnel, ancien ou moderne »,et qui compte parmi ses adhérent·es le professeur au Collège de France François Héran et le politiste Alain Policar, par exemple.
Pourtant, c’est le prétexte pris par Sandrine Rouet pour refuser, dorénavant, d’héberger ses rencontres avec des universitaires, comme l’UR le fait depuis des années. L’association a même son siège administratif à la MVAC, située rue des Arènes, dans le Ve arrondissement de Paris, depuis 2016.
Deux tweets dénonçant les frappes israéliennes
« Étant donné l’engagement politique de l’association et la venue d’un intervenant prenant position politiquement, les rencontres pourraient déraper », explique la directrice dans son mail, en reprochant à l’UR de « s’être éloignée de son objectif initial en intégrant l’actualité politique tout en pointant du doigt des partis ou des responsables politiques ». « Le pauvre Paul Langevin doit se retourner dans sa tombe en sachant qu’on accuse cette association de faire de la politique ! », commente ironiquement Nelly Bensimon.
Dans un communiqué publié le 26 novembre, l’UR a rendu l’affaire publique et répondu vertement : « Appartient-il à la MVAC de décerner des certificats de neutralité autorisant à mener un débat ? L’Union rationaliste s’indigne de la police politique déployée par la MVAC du Quartier latin qui entrave le débat démocratique contrairement à ses missions, et se permet de censurer la liberté académique du chercheur invité. » Jointe par mail par Mediapart, Sandrine Rouet n’a pas donné suite.
À l’origine de cette escalade, un premier prétexte futile. Le chercheur au CNRS Youssef Souidi devait participer à une rencontre de l’UR le 14 novembre pour parler de son livre récemment paru sur la ségrégation scolaire. Deux jours avant, la MVAC avait demandé son report pour « des raisons de sécurité » – des problèmes matériels ayant été constatés dans la salle réservée. Mais après avoir établi que la salle semblait en état de recevoir du public, Nelly Bensimon a demandé des explications à la directrice.
Celle-ci les a données dans son mail du 23 novembre. Sandrine Rouet y évoque deux posts de Youssef Souidi sur le réseau social X (en fait, ce sont des reposts) : l’un d’Edwy Plenel (cofondateur et ex-président de Mediapart), qui relayait le 28 octobre une « cartographie du génocide » à Gaza publiée par le groupe de recherche Forensic Architecture ; l’autre du journaliste Guillaume Auda, qui partageait une vidéo de Gaza le 9 novembre, dénonçant les victimes civiles faites par les frappes israéliennes et en rendant les dirigeants d’Israël « comptables ».
La « cancel culture » n’est pas où on le croit
« Ces deux tweets n’ont pas plu à des administrés, c’est ainsi qu’ils ont regardé à la loupe le site de l’association et n’ont pas accepté le discours politique lié à la question palestinienne. Après vérification des dires et lecture du site, aujourd’hui, je vous demande une nouvelle fois d’annuler la rencontre à la MVAC », explique la directrice, comme si tout cela était bien normal. Elle énumère ensuite, pêle-mêle, des critiques « explicites notamment sur Messieurs Macron et Barnier » et un appel « à faire barrage à une formation politique au travers d’un podcast ».
La directrice conclut en arguant de son devoir d’« assurer la protection de [s]es agents et du public ». Une formulation qui rappelle les nombreuses conférences de l’eurodéputée insoumise Rima Hassan ou de l’avocat franco-palestinien Salah Hamouri que des institutions tentent d’interdire pour « risque de troubles à l’ordre public » – récemment, Rima Hassan a eu gain de cause contre le président de l’université de Strasbourg et contre la direction de Sciences Po-Paris.
Nelly Bensimon n’en revient toujours pas. « C’est ridicule. Comme si on allait se battre et qu’on allait mettre la maison à feu et à sang. On était devenus d’odieux black blocs... », déplore-t-elle, précisant que la moyenne d’âge des participant·es est souvent supérieure à 70 ans, « malgré [leurs] efforts pour la rajeunir ».
Joint par Mediapart, Youssef Souidi est également effaré par cette annulation et les motifs invoqués. « Je pourrais comprendre si c’était sur le sujet du conflit israélo-palestinien que j’allais m’exprimer – et encore ! –, mais là, je ne comprends absolument pas. La rencontre portait sur mon travail sur la ségrégation scolaire », indique-t-il.
La maire du Ve arrondissement de Paris, Florence Berthout (Horizons), a appris l’existence de cet imbroglio après coup, la gestion des salles étant laissée à la libre appréciation de la directrice de la MVAC (qui est commune aux Ve et VIe arrondissements). « Je suis étonnée », dit-elle au sujet de cette affaire dont elle n’a pas été saisie. « On peut avoir des réserves sur l’organisation de tel ou tel débat, mais je trouve dommageable qu’on puisse interdire à une association l’accès à une salle », ajoute-t-elle, défendant « une politique d’ouverture au débat contradictoire, à condition qu’on ne vienne pas y faire des débats politiciens avec des thèses d’extrême droite ou d’extrême gauche ». La mairie du VIe arrondissement de Paris n’a pas donné suite à notre demande à ce sujet.
Dans un contexte de pressions politiques régulières sur les associations depuis la mise en place du contrat d’engagement républicain par la loi « séparatisme » de 2021, et d’offensive de l’extrême droite sur les lieux qui lui résistent, la facilité avec laquelle l’Union rationaliste a pu être empêchée d’organiser ses rencontres questionne.
Désormais, Nelly Bensimon s’active pour trouver « une solution de bricolage » afin que les rencontres « Sciences et culture » à venir de l’UR aient bien lieu. La prochaine au programme, qui devait se dérouler au même endroit, doit donner la parole à Alain Policar sur son livre Le wokisme n’existe pas. La Fabrication d’un mythe (éditions Le bord de l’eau). « C’est ironique, parce qu’il parle de censure réactionnaire... », observe amèrement Youssef Souidi.
Mathieu Dejean
#sandrine rouet espèce de sale merde sioniste#upthebaguette#french#censure#quel pays de collaborateurs de merde rien n'a changé on vit entouré de laches de connards et de criminels#article copié en entier car réservé aux abonné-es#bee tries to talk#french side of tumblr#zionism#palestine#racism
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Un cortège spontané a démarré de République, et s'élance dans les rues parisiennes.
A spontaneous procession started from République, and set off through the streets of Paris.
#paris france#paris hilton#paris fashion week#parislife#paris#france#videos#video#palestine#free palestine#freepalastine🇵🇸#gaza strip#gaza genocide#free gaza#gazaunderattack#gaza#all eyes on rafah#save rafah#free rafah#rafah under attack#rafah#ausgov#politas#auspol#tasgov#taspol#australia#fuck neoliberals#neoliberal capitalism#anthony albanese
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Lecoanet Hemant
Sylvie Marot
Ed.Snoeck, Ghent 2022, 304 pages, 26x30,5cm, ISBN 97894616852
euro 63,00
Lecoanet Hemant (founded in 1981) is a fashion label, founded by Didier Lecoanet and Hemant Sagar. The label initially was based in Rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris and focussed only on haute couture designs. However, the label has transitioned the focus to ready-to-wear and has moved their base to Gurugram, India.
Hemant and Lecoanet met in Paris, France, at the Ecole de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne. Both of them were learning Haute Couture at that time and decided to launch some
05/05/24
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Ilaria Occhini dans "Deux Hommes dans la Ville" de José Giovanni (1973), janvier 2025.
Sortie de prison du personnage interprété par Alain Delon de la "Prison de Pontoise", en banlieue parisienne, en réalité tournée de la "Prison de La Petite Roquette" détruite en 1975 au 143 rue de la Roquette à Paris (actuellement "Square de La Roquette").
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Achille Emile Othon Friesz - Scène de rue parisienne (la Porte Saint-Martin)
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MWW Artwork of the Day (8/30/24) Louis Hayet (French, 1864-1940) Une Rue Parisienne (c. 1893-95) Oil on panel, 19.1 x 27.3 cm. Private Collection
A decorative painter by trade and largely self-taught, Louis Hayet took interest in the scientific study of optical and color theories which in turn informed his Neo-Impressionist technique. Eventually he befriended Camille and Lucien Pissarro, both of whom offered crucial connections that allowed Hayet a brief and extremely productive period as a successful artist in Paris. It was during these years, from 1887 to 1890, that Hayet executed his finest works. He was troubled and brooding, however, and in 1890 he unexpectedly withdrew from Parisian artistic circles by resigning from the Indépendants and renouncing Divisionism.
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Frédéric Manfrin - Ballades parisiennes - Rue Montorgueil
Rue Montorgueil, immeuble fatigué.Les génies du commerce et de l’industrieSont bien ridés, faibles et décrépis,C’en est fini de leur prospérité.La trace demeure de l’antique richesse,La fenêtre a gardé ses lettres de noblesse.Mais le temps a passé :Mercure est dépassé.
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Le Petit écho de la mode, no. 29, vol. 17, 21 juillet 1895, Paris. 2. Grands cols lingerie. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(2.) Grands cols lingerie. — La mode dédaigne totalement ces cols en guipure style Louis XIII. Les voici remplacés par les grands cols Louis XIV en linon brodé qui empruntent à l’imprévu leurs plus hardis caprices et dessinent poétiquement le cou et les épaules. Cet harmonieux encadrement rend la tête si fraîche, si fine, si jolie que les grandes mondaines l’adaptent â leurs chemises de nuit. C’est la variété du goût aristocratique dans sa plus originale expression que les créations en ce genre de la maison Jeanne d’Arc. Les Parisiennes raffinées et les riches étrangères accueillent ces types inédits, d’une si exquise distinction, comme une inspiration de leur renom d’élégance. Les prix établis pour ces grands cols sont les suivants: 10fr.50, 12fr.50, 15fr.50, 20 francs, 25 francs et 30 francs. Le nouvel album créé par Mme Desbruères est mis à la disposition de toutes nos lectrices; il suffit d’en faire la demande. Ce catalogue donne tous les prix des corsets avec buse ou sans buse, lingerie, trousseaux, jupons de soie, ainsi que la manière de prendre soi-même les mesures. Il suffit d’écrire à la Maison Jeanne d’Arc, 265 rue Saint-Honoré, Paris.
(2.) Large lingerie collars. — Fashion totally disdains these Louis XIII style guipure collars. Here they are replaced by the large Louis XIV collars in embroidered lawn which borrow their boldest whims from the unexpected and poetically outline the neck and shoulders. This harmonious framing makes the head so fresh, so fine, so pretty that great socialites adapt it to their nightgowns. It is the variety of aristocratic taste in its most original expression that the creations of this kind from the house of Jeanne d’Arc. Refined Parisians and wealthy foreigners welcome these unique types, of such exquisite distinction, as an inspiration for their reputation for elegance. The prices established for these large passes are as follows: 10.50 francs, 12.50 francs, 15.50 francs, 20 francs, 25 francs and 30 francs. The new album created by Ms. Desbruères is made available to all our readers; you just need to request it. This catalog gives all the prices of corsets with or without a busk, lingerie, trousseaux, silk petticoats, as well as how to take your own measurements. Just write to Maison Jeanne d’Arc, 265 rue Saint-Honoré, Paris.
#Le Petit écho de la mode#19th century#1890s#1895#on this day#July 21#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#collar#Modèles de chez#Maison Jeanne d'Arc#Maison Desbruères
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11 juin 1906 : inauguration des autobus parisiens ➽ http://bit.ly/Inauguration-Autobus-Parisiens La date du 11 juin 1906 restera dans les annales de la circulation parisienne comme celle où l’on vit pour la première fois circuler, en service régulier, dans nos rues, les autobus ou omnibus automobiles
#CeJourLà#11Juin#autobus#parisiens#Paris#inauguration#circulation#omnibus#automobiles#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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Jeux Olympiques 2024 : de bien belles perspectives
Texte de Hashtable
Petites chroniques désabusées d'un pays en décomposition rapide… du 19 Avril 2024 que je vous invite à savourer....
(Source : https://h16free.com/2024/04/19/77292-jeux-olympiques-2024-de-bien-belles-perspectives)
À moins de 100 jours des prochains Jeux Olympiques à Paris, on sent nettement l’excitation et la joie s’emparer de tout le pays. La capitale et ses habitants se réjouissent très manifestement des festivités et jamais le mot “épreuves olympiques” n’aura trouvé une aussi belle résonance avec ce que traversent actuellement les Parisiens qui goûtent maintenant chaque minute d’anticipation de ces futurs grands moments.Futurs grands moments qu’il faut minutieusement préparer et qui ont déjà été l’occasion, notamment pour la maire de Paris, d’aller visiter les lieux des différentes épreuves dans lesquels on trouve – assez commodément – Papeete, cette petite localité qui jouxte Paris et qui accueillera notamment les épreuves de surf.
Moyennant un petit déplacement en avion (cela jouxte à 15.000 kilomètres près) dont la compensation carbone n’a pas été évoquée – mais dont on peut être sûr qu’elle a été réalisée tant Anne Hidalgo est forcément éco-consciente – et une petite facture pour le contribuable parisien de l’ordre de 60.000 euros, les installations ont pu être vérif…ah non, finalement, le voyage déclenchant des démangeaisons pour l’opposition, les contribuables parisiens, une partie de la presse et pas mal de Français en général, la maire n’aura pas poussé jusqu’au site de l’épreuve de surf.
Tout ceci nous amènera quelques mois plus tard à une petite enquête et des perquisitions pour ramasser les éléments de preuve d’une éventuelle prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics (oh, ça alors) dont on ne doute pas qu’elles permettront de totalement laver l’honneur de l’équipe municipale.
La préparation ne s’arrête pas là puisque, rappelons-le, elle comporte aussi le déménagement furtif des encombrants étudiants qui prennent le pain le logement des athlètes : les expulsions ont commencé. Ouf, la place est libérée, les sportifs sont soulagés, l’Olympisme respire.
De même, la déportation le déplacement discret des centaines de migrants et autres vagabonds en dehors de la ville et leur relocalisation, toujours aux frais du contribuable, un peu partout dans le reste du pays, se passe plutôt bien même si certains maires (celui d’Orléans par exemple) s’en offusquent de façon un peu verte. Ouf, la place est nettoyée, les organisateurs se détendent, l’Olympisme retrouve le sourire.
Mais que serait cette belle cérémonie sans une belle organisation et surtout une solide sécurité garantissant à tous de profiter d’un spectacle à nul autre pareil ?
Et justement, en la matière, on sait déjà que tout sera mis en oeuvre pour obtenir un niveau de sécurisation des individus. Comme jamais auparavant… ou presque, puisqu’on va finalement remettre en place ce qui fut une véritable réussite en 2021 et 2022, à savoir affubler les Parisiens et les spectateurs d’un solide petit QR code lors de leurs déplacements (l’auto-attestation ne devrait plus tarder, maintenant).
On se réjouit déjà de savoir qu’une plateforme internet sera bientôt disponible, qui laissera à tous les Parisiens concernés l’opportunité de saisir tout un tas de petites informations pertinentes sur leurs allées et venues, et on souhaite un courage olympique à tous nos seniors dont la maîtrise des outils numériques est largement suffisante pour garantir que ces petits QR codes seront correctement distribués.
Et franchement, qui ne se réjouit pas déjà d’un retour des contrôles et des patrouilles policières dans une partie de la capitale ? Voilà qui permettra d’assurer la légendaire sécurité des rues parisiennes au moins pendant la période des jeux. Les habitants concernés vont a-do-rer !
Enfin, toutes ces considérations ne seraient pas complètes sans mentionner que tout ceci se déroulera avec une maîtrise presque totale des coûts et des dépenses.
En effet, lorsqu’on lit l’article consacré aux coûts de ces Jeux Olympiques, il apparaît que le calcul du total est particulièrement pointu : entre le budget initial, le budget courant, les dépassements, les cautions de l’État, les différents postes de dépenses et de recettes, on est tout à fait rassuré sur ce qui sera inévitablement du ressort final du contribuable.
Mais si.
Il apparaît cependant que le total devrait osciller autour de 11 milliards d’euros selon différentes estimations, dont 3, 4 ou 5 milliards resteraient à la charge des moutontribuables pardon de l’État selon Moscovici, l’actuel président de la Cour des Comptes, le tout pour un budget initial de 3,8 milliards d’euros, déjà supérieur au 3,2 milliards du dossier de candidature. On ne pourra qu’admirer la précision véritablement diabolique de ces chiffres et de l’organe officiel chargé des Comptes : pour un total à 11 milliards, cela nous fait 7 milliards de petits dépassements dodus, et de 3 à 5 milliards d’euros d’argent public, ça nous fait une enveloppe qui varie allègrement de plus de 60% sur des dépassements de plus de 100%. C’est coquet.
Rassurez-vous cependant : les équipes de propag journalistiques sont déjà sur le pont pour bien nous rappeler que même avec une facture de 11 milliards d’euros (que la Nation Française tout entière peut très bien se permettre en ces temps de croissance et d’opulence macronienne), ces jeux seront probablement parmi les moins coûteux de l’histoire récente.
Mais si.
En fait, on se demande même, devant ces chiffres si modestes, pourquoi on mégote tant, à tel point même que la région Île-De-France a par exemple refusé de prendre à sa charge les déplacements de 200.000 accrédités (athlètes, officiels, journalistes…) alors qu’elle avait été courtoisement sollicitée par le comité officiel des Jeux et que ce budget ne représente qu’un peu moins de 10 petits millions d’euros.
Il n’y a pas à dire, cet événement fleure bon la précision millimétrique et la maîtrise des coûts jusqu’au plus petit poste de dépense ! Voilà qui met dans les meilleures dispositions pour imaginer ce que pourrait donner l’organisation des épreuves elles-mêmes, de la cérémonie d’ouverture et celle de clôture, et qui laisse présager d’un niveau de qualité exceptionnel pour la sécurité et l’accompagnement des joueurs, des spectateurs et de l’ensemble des corps de métiers autour de cet événement. Les supporters anglais vont a-do-rer !
Pas de doute, cela va très très bien se passer. Tout va même être olympique, pour sûr.
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