#renaissance française
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source : @cheminer-poesie-cressant
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Impuissant et résigné nous disons "tout s'accélère".
En réalité nous profitons de plus en plus de la vie
car le passage du temps sous nos yeux a de moins en moins de secret.
Nous en connaissons l'ouverture et nous en connaissons la fin.
Nous le ressentons jusque dans nos veines.
Et nous approchons chaque jour davantage la vérité, le cœur de la vie.
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(mercredi 5 octobre 2005)
#poésie#poème#poètes sur tumblr#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#dans la portée des ombres#le temps#méditation sur le temps#art#paintings#école de Fontainebleau#renaissance française#1580#la dame à sa toilette#musée des beaux arts de dijon
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French public broadcaster France 24 has live English-language covered of the second round of the snap election for National Assembly.
The far right RN (National Rally - in English) is being opposed by a loose coalition of centrist and leftist parties.
The RN needs 289 seats for a majority.
EDIT: France 24 abruptly ended coverage on the previous YouTube link and continued it on the revised link above. zut alors!
But bien joué to the voters of France for apparently rejecting neo-Nazis!
#france#legislative election#national assembly#france 24#renaissance#rn#nouveau front populaire#les républicains#assemblée nationale#élection française#french politics#Youtube
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Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J'ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m'est et trop molle et trop dure. J'ai grands ennuis entremêlés de joie. (Louise Labé)
【peinture: Félix Auguste Clément, "Romaine endormie"】
生きながら死ぬ 身を焦がしつつ溺れる
熱さのきわみとともに寒さを耐え忍び
生はあまりにもろくあまりに硬い
大きななやみとないまぜに喜びを感じつつ
(ルイーズ・ラベ)
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Valérie Fayolle - La robe de
Présentation du roman de Valérie Fayolle, La robe du jaguar, sur le cheminement d'une femme et sa famille au cœur de bouleversements écologiques.
jaguar La robe de jaguar est la métaphore qui permet à Valérie Fayolle d’illustrer le moment, souvent fugace, où l’harmonie entre soi et l’environnement est accomplie. Rose, quarantenaire, va la découvrir au fin fond de l’Amazonie. Un roman mené tambour battant autour d’un personnage féminin captivant qui aborde aussi des sujets graves et d’actualités. “Les cours d’eau sortent bien de leur lit.…
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Renaissance
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Tire, étire, tord,
déchire, décharne
jusqu'à l'os la société
Match de boxe permanent,
les gentils, les méchants,
l'ennemi, c'est lui, c'est pas moi,
cartons rouges, sifflets, casseroles interdites,
opposition déposée,
explosion d'agressivité,
amoralité comme parangon, bannière, devise,
division stratégiquement promue,
avec moi, le déluge sous le parapluie
que je vous interdis.
Route tracée pour la prochaine,
blonde héritière de toutes les haines
attisées par le malin de l'Intérieur.
On est mal, patron, on est mal
du haut de votre piédestal,
regardant brûler ce qui reste,
Néron, petit patapon devant l'incendie
qui consume nos acquis,
nos valeurs communes, nos espoirs.
Demain sera un autre jour,
un autre tour dans ces cent jours
d'apaisement avant le grand ruissellement
d'essence sur chacun,
briquet à la main,
pompier pyromane prétentieux
qui en appelle à ses dieux
pour qu'il ne pleuve pas et que tout s'embrase
encore une fois.
Politique de la terre brûlée, Gengis Khan
de pacotille derrière lequel
rien ne repoussera.
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Man is the creature who does not know what to desire, and he turns to others in order to make up his mind. We desire what others desire because we imitate their desires.
- René Girard (1923-2015)
Frnechman René Girard’s work has been enjoying a renaissance in recent years. He has long been recognised for his theory of human behaviour and human culture. In 2005 he was inducted into the Académie française, and in 2008 he received the Modern Language Association's award for Lifetime Scholarly Achievement. He was Professor Emeritus at Stanford University.
Back more than 50 years ago, René Girard started teaching French literature because he needed a job. He hadn't even read many of the books he was assigned to teach. Then, as he studied the classic novels of Stendhal and Proust with a fresh mind, staying one step ahead of his students, he was struck by a series of similarities from novel to novel. Unbound by any narrow research agenda, Girard discovered a simple but powerful pattern that had eluded sophisticated critics before him: imitation is the fundamental mechanism of human behaviour.
Stories thrive on conflict between characters. By reading the great writers against the grain of conventional wisdom, Girard realised that people don't fight over their differences. They fight because they are the same, and they want the same things. Not because they need the same things (food, sex, scarce material goods), but because they want what will earn others' envy. Humans, with a planning intelligence that sets them apart from all other animals, are free to choose. With freedom comes risk and uncertainty: humans don't know in advance what to choose, so they look to others for cues.
People can desire anything, as long as other people seem to desire it, too: that is the meaning of Girard's concept of "mimetic desire." Since people tend toward the same objects of desire, jealousy and rivalry are inevitable sources of social tension.
#girard#rené girard#quote#mimetic theory#sociology#philosophy#human condition#human nature#desire#wants#needs#imitation#copying#society#mimetic desire
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Très bien. A 18 ans, se marier, engendrer, c'est normal.
Dans un monde saturé de pulsion de mort, ravagé de toutes sortes d'inversions, perversions, invasions, nous arrivons à trouver curieux ce petit sursaut vitaliste.
Il est évident qu'à 18 ans un Français et une Française dont les pubertés ont eu lieu environ 4 ans auparavant sont depuis longtemps prêts à engendrer, d'abord parce qu'ils sont plus intelligents, plus capables de tenir un foyer que la "moyenne", et puis parce que la Nature en eux réclame cette étape supérieure depuis qu'ils ont 14 ans. Compte tenu de cela, 18 ans est même un âge tardif pour enfin être "légalement" libre de l'engendrement et du mariage. Cette loi, à bien y regarder, ne repose sur aucun fondement profond, ni dans la Loi Naturelle, ni dans la Loi Religieuse, et procède de préjugés admis sans réfléchir. Nos ancêtres, avant la Renaissance, pouvaient accéder au mariage dès 12 ans c'est-à-dire dès l'âge où la Nature le requiert, et qu'importe la jeunesse tant que la vraie Religion, qui ne peut se tromper ni nous tromper, dirige les moeurs.
Nos préjugés ne sont pas nôtres mais nous ont été inculqué, ils sont le masque de la pulsion de mort distillée par les ennemis de la race blanche. Si l'on surpassait nos préjugés nous serions tous mariés depuis l'âge où nous pouvions encore aimer (un vrai homme n'aime qu'une fois), nous aurions tous 10 à 20 enfants chacun, l'immigration aurait dégagé loin très loin, et la race blanche serait sauvée.
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Le Petit écho de la mode, no. 3, vol. 13, 18 janvier 1891, Paris. 13. Dentelle en guipure Renaissance. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
I pulled this plate today, and totally by chance, found myself on a Bordeaux library's website and came across an earlier version of this same plate, from 1879, 12 years earlier:
La mode française, no. 38, 20 septembre 1879, Paris. 3. — Dentelle en guipure Renaissance. Bibliothèque municipale de Bordeaux
They even have nearly identical descriptions:
Le Petit écho de la mode, 1891:
Dentelle en guipure Renaissance. — Le modèle de cette dentelle est des mieux réussi, et l’effet obtenu par son exécution des plus heureux.
Il faut comme toujours reproduire son dessin sur moleskine, ou sur percaline lustrée, puis coudre son lacet avec beaucoup de soin et comme s’il devait rester à demeure sur ladite moleskine; à certains endroits on peut se dispenser de couper son lacet, il faut bien consolider et le plus proprement possible, l’espèce de soudure si je puis m’exprimer ainsi, que l’on ne peut éviter dans la tulipe, à certaines feuilles où les brins sont trop rapprochés; on peut éviter ces coupures en repliant le lacet l’un sur l’autre, mais il faut que ce soit fait avec une grande précision, sous peine de nuire à la perfection du travail.
Dans les intervalles on fait des barrettes vénitiennes festonnées.
—
Renaissance guipure lace. — The model of this lace is most successful, and the effect obtained by its execution is most successful.
As always, you must reproduce your design on moleskin, or on glossy percaline, then sew your lace with great care and as if it were to remain permanently on said moleskin; in certain places we can dispense with cutting the lace, we must consolidate and as cleanly as possible, the kind of welding, if I may put it that way, which we cannot avoid in the tulip, on certain leaves where the strands are too close together; These cuts can be avoided by folding the lace one over the other, but this must be done with great precision, otherwise the perfection of the work will be compromised.
In the intervals we make scalloped Venetian barrettes.
La mode française, 1879:
Le modèle de cette dentelle est des mieux réussis, et l'effet obtenu par son exécution des plus heureux.
Il faut, comme toujours, reproduire son dessin sur moleskine, ou percaline lustrée, puis coudre son lacet avec beaucoup de soin; à certains endroits, on ne peut se dispenser de couper son lacet, il faut bien consolider, et le plus proprement possible, l'espèce de soudure, si je puis m'exprimer ainsi, que l'on ne peut éviter dans la tulipe, à certaines feuilles, où les brins sont trop rapprochés; on peut éviter ces coupures, en repliant le lacet l'un sur l'autre, mais il faut que ce soit fait avec une grande precision, sous peine de nuire ¡a la perfection de son travail.
L'intérieur du dessin est rempli par des jours variés.
—
The model of this lace is most successful, and the effect obtained by its execution is most successful.
You must, as always, reproduce your design on moleskin, or glossy percaline, then sew your lace with great care; in certain places, we cannot avoid cutting our laces, we must consolidate, and as cleanly as possible, the kind of welding, if I may put it that way, which we cannot avoid in the tulip, to certain leaves, where the strands are too close together; These cuts can be avoided by folding the lace one over the other, but this must be done with great precision, otherwise it will harm the perfection of the work.
The interior of the drawing is filled with varied days.
#Le Petit écho de la mode#La mode française#19th century#1890s#1891#on this day#January 18#1870s#1879#periodical#fashion#fashion plate#pattern#lace#flowers#description#Forney#Bordeaux#dress#reprint
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Les fiers patriotes se mobilisent contre les identitaires européens (blancs)
J’adore ce débat.
Le JDD :
La citoyenneté européenne a-t-elle une prise sur les Français ? Selon un sondage réalisé par les instituts Odoxa-Backbone pour Le Figaro, le rapport à la citoyenneté française reste prioritaire dans l’Hexagone. Ainsi, 91 % des personnes interrogées estiment être « en priorité français » contre 8 % en « priorité européens ». Mais cette proportion, estimée à un mois des élections européennes, ne fait pas l’économie d’un constat d’une identité plurielle pour une majorité de Français.
Alors que 86 % se déclarent être « fiers d’être Français », près de 6 Français interrogés sur 10 exhibent également leur « fierté d’être européens ». Dans le détail, ce rapport à la France et à l’Union européenne s’avère disparate selon le positionnement politique. Pour les partis assumant un fort héritage européen, comme Renaissance ou Les Écologistes, la « fierté d’être français » et « d’être européens » se situe quasiment au même rang, variant de deux à quatre points. En revanche, l’écart s’avère abyssal pour les électeurs du Rassemblement national, puisque 86 % se disent « fiers d’être français », contre 40 % « fiers d’être européens ». Cet étiage correspond au programme du RN, résolument opposé à une Europe fédérale et prônant une Europe des nations, comme l’indiquait sa tête de liste, Jordan Bardella.
« L’Europe des nations » – l’Europe des états plus exactement – est ce qui existe actuellement.
La Commission Européenne, qui détient le véritable pouvoir de cette ONU continentale, est composée de 27 commissaires, un par état, désignés souverainement par les 27 états-membres.
La Commission Européenne est tout simplement à l’image des états qui la désigne. Ces états étant tous dirigés par des oligarchies cosmopolites, sans-frontiéristes et pro-américaines, la Commission Européenne est pro-américaine et sans-frontiériste.
L’idéologie profonde de l’UE est celle des états démocratiques, celle des droits de l’homme (marron). Rien ne distingue l’idéologie de la France, de l’UE ou de l’ONU.
C’est la même idéologie sans-frontiériste d’essence juive.
Le sondage témoigne également des différences d’engagement des citoyens français dans le cas du déclenchement d’une guerre. Au total, près de la moitié (49 %) serait prêt à se battre dans l’armée française, contre plus d’un quart (26 %) pour l’Europe. Les sympathisants du RN sont les personnes étant le plus enclins à s’engager pour la France (60 % contre 21 % pour l’Europe), contrairement aux électeurs de La France Insoumise (43 % pour la France contre 39 % pour l’Europe).
J’ai remarqué, au fil des ans, que les Français sont incapables de visualiser ce qu’est l’Europe et de distinguer notre continent, ses peuples, et l’Union Européenne, le truc administratif de Bruxelles. Vous pouvez répéter mille fois à un Français que l’Europe est une notion vieille de 25 siècles, qu’il y a un continent européen et des peuples européens, rien n’y fait : pour un Français, l’Europe, c’est l’UE.
C’est un peu comme si un Américain ne parvenait pas, au plan cognitif, à distinguer l’Amérique du Nord du gouvernement fédéral américain de Washington.
Et comme certains Français sont très hostiles à l’UE, ils s’excitent très longuement pour nier que l’Europe existe. Les plus radicaux vont même jusqu’à dire que si l’Europe n’a aucune réalité physique, il existerait en revanche un beau continuum culturel allant de Dieppe à Brazzaville, par le miracle de la colonisation et de la langue française. C’est à peu près la trame élémentaire du souverainisme : recréer, par un moyen ou un autre, l’empire café-au-lait.
Je dois dire que cette idée est certainement baroque, mais aussi mortelle à l’heure du cataclysmique démographie nègre.
Être européen, c’est tout simplement être blanc et de culture aryenne (« indo-européenne »), c’est appartenir à la race dite « caucasienne » qui a émergé des plaines orientales d’Ukraine il y a 50,000 ans. Ce sang a irrigué le continent et lui a donné vie, comme grand foyer de culture.
Replacées sur le temps long, les nations européennes actuelles ne sont que des sous-ensembles régionaux récents du monde aryen et le nationalisme moderne un régionalisme qui se limite à une aire géographique, comme jadis les cités-états grecques. Prétendre à une incompatibilité fondamentale entre ces différentes composantes de l’Europe est une idée grotesque.
Sparte et Athènes, séparées de 236 kilomètres, se sont faites la guerre pendant des siècles bien qu’en pratique, ces gens étaient identiques.
À l’époque, si le monde grec était culturellement uni et homogène, il était politiquement très divisé. Aurait-on demandé à un Spartiate s’il se sentait « en priorité Spartiate » avant d’être grec, il aurait répondu par l’affirmative.
La question de l’unité est une question politique qui découle de la nécessité. Aujourd’hui, les états-nations d’Europe ne sont plus guère que des objets trop vieux pour être en mesure de faire quoi que ce soit, mais encore trop récents pour être dépassés.
Comme en Grèce, c’est une question d’échelle. Tant que la Grèce était sa seule mesure, les cités-états pouvaient se maintenir indépendantes. Spartiates et Athéniens ont finis unifiés, mais une puissance extérieure : la Macédoine d’abord, Rome ensuite.
Dans notre cas, c’est l’Amérique qui a unifié les cités-états que sont les nations d’Europe, raison pour laquelle l’Europe est entrée dans la voie de l’involution et de la dégénérescence raciale : elle a été conquise par sa colonie multiraciale.
Si l’Allemagne avait gagné la guerre, c’est elle, comme nouvel empire carolingien, qui aurait unifié le continent, sur une base raciale consciente, et mis en mouvement l’Europe pour mille ans.
Le résultat de cette défaite de l’Allemagne, donc de l’Europe indépendante, c’est que Strasbourg est désormais une ville turque, mais demeure administrativement « française ».
De quoi satisfaire les droitardés.
Quand des abrutis parlent de « libération » en évoquant le 8 mai 1945, on est sûr d’avoir face à soi des empoisonneurs.
La « France libre », oui, mais sous la botte des juifs.
La droite réactionnaire, comme c’est sa fonction, s’agite d’impuissance en rabâchant sur le thème du « retour de l’état-nation » dans un pays peuplé de toutes les ethnies du globe, alors même que l’état-nation n’était qu’un effort d’unification et de standardisation culturelle par l’action de l’État.
Prôner ce stato-nationalisme, c’est prôner dans les faits l’amalgame autoritaire de toutes ces ethnies par la force de l’appareil d’état, c’est-à-dire le lent métissage racial. C’est le véritable mot d’ordre derrière « l’assimilation », impraticable, et la « laïcité ».
Paradoxalement, au plan opératif, le nationalisme en France, comme plébiscite de l’état-nation hérité de 1789, ne peut mener qu’à toujours plus d’abâtardissement racial et de dégénérescence antropologique, ce pour préserver une forme historique temporaire, « l’État », bureaucratie coloniale aux mains des juifs.
Le tricolore est le symbole de cette guerre à la race blanche, une réalité inconnue de 99,9% de la population française de souche.
Y’a bon
C’est justement parce que la prolifération des races étrangères s’accroît toujours plus que les Européens, les Blancs, prennent conscience de leur proximité raciale par contrecoup. C’est la base de l’émergence d’une conscience européenne nouvelle, au sens véritable du mot, par opposition au patriotisme administratif qui commande, pour des raisons purement légalistes et géographiques, de se dire le compatriote d’un nègre d’Afrique titulaire d’un passeport similaire au sien.
Française
La question du 21e siècle en Europe est celle de l’émergence d’un patriotisme aryen (« indo-européen ») continental. Les états actuels à l’agonie, coquilles vides démocratiques, s’effondreront sous le poids de leur inconséquence historique. S’agiter pour sauver ces bureaucraties est aussi contre-productif que voué à l’échec, peu importe ce que l’extrême-droite démocratique dira et fera. Les démocraties constitutionnelles ne survivront pas plus que les monarchies au deux derniers siècles.
Il y a bien sûr pléthore de Français qui, par conditionnement chauvin, préfèreront infiniment cohabiter avec des nègres ou des maghrébins au motif qu’ils ont une CNI que de se solidariser des autres Européens. Dans une certaine mesure, plus la France devient multiraciale, orientale, islamisée, plus l’assimilation des indigènes à la culture invasive progresse et plus le monde blanc, chez les beaufs, est identifié à l’ennemi.
C’est le point de jonction entre l’ancien nationalisme chauvin hérité de 1914 et la haine antiblanche des métèques promue par la gauche radicale et le système en place.
Dès l’origine né dans le caniveau de la révolution française, le nationalisme français, adossé aux « droits de l’homme », était voué à devenir l’instrument des juifs et des métèques, machine à abrutir les Blancs pour en faire de la viande à métisser.
C’est la révolution et sa « nation » qui a proclamé l’égalité des nègres avec l’homme blanc et, plus odieux encore, proclamé l’abolition de l’esclavage pour ce motif.
Quiconque boit de ce calice devra le boire jusqu’à la lie.
On ne peut pas s’extraire de sa conclusion logique dès lors qu’on y souscrit.
L’extrême-droite démocratique, pas plus en France qu’en Grande-Bretagne, ne fera de miracle, ni ne ressuscitera l’état-nation. Elle ne fera que ratifier en temps et en heure son ralliement au camp de la Nouvelle Haïti, moyennant quelques conventions de pure forme, à base de flonflons tricolores.
Les racistes empêcheurs de négrifier en rond n’auront jamais bonne publicité chez les réactionnaires adeptes du patriotisme créole.
Une fois que l’on a dit cela, la question raciale et l’émergence d’une conscience raciale européenne ne dispensent pas de la création d’un état, bien au contraire. Aucune conscience collective ne peut agir sur l’histoire sans état, la question de l’État est donc au coeur de cette guerre pour la survie de la race blanche en Europe.
Où commencera-t-il ? C’est impossible de le dire. L’État allemand actuel est le produit d’un combat entamé par l’ordre teutonique il y a 8 siècles dans les Pays Baltes. Composé de Germains et de Slaves, et sans en avoir conscience à ses débuts, il a mis en mouvement, sous sa forme prussienne, le monde germanique entier après des siècles de lutte, jusqu’à embrasser la totalité de l’Europe à son apogée, en 1942.
Pendant quelques années, sous son action, l’Europe a été libérée du sémitisme par la Swastika, de l’Acropole au cercle polaire, de la steppe pontique où est né l’homme blanc, à Brest, à l’extrême-occident.
Mont Elbruz, Caucase, 1942
L’histoire, c’est le risque et l’imprévu.
Les patriotes euro-aryens devront se doter d’un état, peu importe sa taille première, peu importe où en Europe, et sédimenter par son moyen les bases de la renaissance et de la victoire de l’homme européen.
Ce projet d’état racial futur n’est pas incompatible avec l’amour traditionnel de la terre de ses ancêtres, mais faut-il encore comprendre la notion d’ancêtres pour ne pas s’engoncer dans une perception restrictive. Que l’on remonte suffisamment les générations et les ancêtres sont ceux de la même souche primordiale du Caucase qui a conquis l’Europe, les peuples solaires des steppes enneigées.
Il faut la plus longue mémoire pour avancer le plus loin et cet état devrait être un pont tendu entre le passé le plus lointain et le futur le plus lointain.
Que l’écrasante majorité des gens, en France ou ailleurs, plébiscitent ce qui l’ordre en place n’a aucune importance. L’histoire n’est pas faite par les majorités lestées d’habitudes et de poncifs, mais par les minorités révolutionnaires qui imposent leur volonté à la masse après l’avoir soumise à leurs conceptions. L’histoire n’est pas démocratique, aucun changement, pas même la proclamation de la démocratie, ne découle d’une action majoritaire. Toujours, une avant-garde dicte et commande.
À l’idée raciale en Europe il faut un état racial en Europe. C’est cette guerre-là qu’il faut mener, partout sur le continent. Il faut déjà l’annoncer pour qu’elle commence, que l’idée s’enracine pour que les esprits s’en emparent.
Démocratie Participative
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Hello! I wanted to ask if you knew what where the Montagnards views on Cosmopolitanism and foreigners like! Also was Orientalism as strong (? Popular? I don’t know if that is the right word sorry! My English is a bit wonky) in the late 18th century as it was in the 19th century? Thank you so very much <3
It’s hard to talk about montagnards/girondins/thermidorians etc as holding a collective view on something, as these groups were not like modern political parties with a firm set of goals and values neatly presented in a party program. But looking over the Constitution of 1793, which it must be said was mainly worked out by montagnards, we find the following part, which suggests that, at least ideally, the montagnards held a positive (or at least not negative) view on foreigners:
On reports between the French Republic and Foreign Nations
The French people are the natural friend and ally of free people
It does not interfere in the government of other nations, even if other nations interfere in their own.
It will offer asylum to foreigners banished from their fatherland for the sake of liberty. It will refuse this asylum to tyrants.
It will not make peace with an enemy occupying its territory.
The key word here is of course ideally, as this constitution was never actually never put into place due to the situation France was currently in. And on April 16 1794 we instead find Décret sur la police générale de la République: du 27 germinal, l’an II de la République française une et indivisible which declared that any foreigner (with a few exceptions, like children and elders) from nations France was currently at war with should get out of the country’s urban areas if they knew what was best for them:
No ex-noble, no foreigner from the countries with which the Republic is at war, can live in Paris, nor the strongholds, nor the maritime towns during the war. Any noble or foreigner in the above case who is found there in ten days is outlawed.
The idea that every counterrevolutionary within France was actually a paid agent of a big foreign conspiracy was of course also a thing (and not only among the montagnards). Though this still might be best viewed as ”mistrust of foreign nations you’re currently at war with” (which at one point was basically all of Europe) rather than ”mistrust of foreigners in general.”
As for Orientalism in the 18th century, according to Edward Said’s Orientalism (1978): ”What is distinctive about the late eighteenth and early nineteenth centuries, which is where this study assumes modern Orientalism to have begun, is that an Oriental renaissance took place. […] This awareness was partly the result of newly discovered and translated Oriental texts in-languages like Sanskrit, Zend and Arabic. It was also the result of a newly perceived relationship between the Orient and the West. For my purpose here, the keynote of the relationship was set for the near East and Europe by the Napoleonic invasion of Egypt in 1798, an invasion which in many ways was the modem of a truly scientific appropriation of one culture over another, apparently stronger one.” (page 42)
In Said’s view, what we today call Orientalism did in other words not really exist until the late 1790s, which leads me to believe it was not strong during the 18th century overall… On the other hand, I’m far from an expert when it comes to the concept, so I don’t know if this is a controversial issue or whatever. The same thing goes for cosmopolitanism, though I did find an article and a blog post about this topic specifically in relation to the French revolution.
#a bit of an anticlimactic answer with how long I’ve had this in my inbox…#but yeah this is far from my territory sorry#frev#ask
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Les obscures raisons d'une saloperie
Coup de tonnerre, ce soir jeudi 21 novembre à 19 heures : Bouallem Sansal a été arrêté en Algérie. Inquiétude immense. Les lecteurs de ce blog savent mon admiration pour ce héros sans peur. Son dernier livre (''Le français, parlons-en !'') que nous commentions il y a peu, revisitait une fois de plus ce que sont devenus les rapports entre l'islam et la civilisation occidentale et, d'ailleurs, le reste du monde. Le ''blog'' que vous auriez lu ce soir ou demain était dans la ligne ''drôlatique'' : il attendra. Comme disent bêtement les nuls des chaînes main stream : ''Priorité au direct''.
Force est de constater que l'Occident, à force d'avoir refusé toute espèce de confrontation avec l'islam par une faiblesse inexplicable devenue pusillanimité, s'entête à le distinguer d'un soi-disant ''islamisme'' inventé de toutes pièces, dont le nom-même n'existe pas en langue arabe, ce qui prouve sa non-existence. C'est un concept creux, mais notre pays, suivi par d'autres, en est arrivé à un degré d'auto-flagellation tel que les issues possibles deviennent rares. Le résultat est là, devant nous, indiscutable mais pourtant toujours discuté par un gang de politicards et de ''maîtres-à-penser-de-traviole'' qui ont pris leur pays, leur histoire et leur origine en grippe –pour ne pas dire : en haine.
Arrêtons de nous laisser berner par ces prêcheurs de malheur : il y a des liens indiscutables entre les différentes sources de violence qui tourmentent –et trop souvent endeuillent-- notre pauvre pays, vraiment bien mal dirigé, si mal protégé, et ouvert aux vents du large. Un coup de couteau donné à un passant ici, une église incendiée ou vandalisée ailleurs, un attentat perpétré ou réalisé là-bas, ou des insultes proférés juste à côté... sont une seule et même manifestation d'une détestation voulue, organisée, planifiée, programmée. Les hordes de menteurs qui passent leur temps à réciter leurs petits livres rouges de fausses ''bonnes raisons'' toutes très mauvaises pour justifier l'injustifiable, sont assimilables à des ''agents de propagande''. Ou des ''collabos''.
Depuis quelques semaines, nous tournons autour du pot, et le nœud se resserre impitoyablement : même sans vouloir être provoquant ou ''paniquard'', il faut se rendre compte que nous sommes très engagés déjà au cœur d'une véritable ''guerre de civilisation'' entre un monde d'essence et d'inspiration catholiques (devenues ''chrétiennes'' au cours des siècles), si beau mais usé, fatigué et doutant de lui-même, et un monde qui se dit musulman mais trahit le Coran, et qui est, à l'opposé, ''sûr de lui et dominateur'' (pour reprendre une définition gaullienne qui, pourtant, était destinée à Israël).
Nous sommes les témoins (qui, trop souvent, regardent sans le voir le bouleversement planétaire auquel nous assistons) d'un combat à mort entre un modèle considéré parfait il y a quelques dizaines d'années encore mais qui est devenu depuis à la fois ''l'homme malade'' et ''l'homme à abattre'' de peuples décervelés, soi-disant ''à remplacer'' par un non-système mondialisé qui repose, en gros, sur le néant. Dans le viseur des volontaires-à-imposer-leur-nullité, notre ''modèle'', qui est fait de nos racines profondes, d'un art de vivre unique sous ses différences, et des principes moraux tous tirés de la révélation christique, fut elle revisitée, au fil des âges par des sources plus ou moins inspirées d'elle : la Renaissance, la Révolution française, les courants dits ''de Gauche'' et des références modernistes et progressistes, eux-mêmes enfants dévoyés du christianisme en train de sombrer dans la honte du progressisme et --pire encore-- du ''wokisme''.
Et comme pour tout rendre incompréhensible, une guerre qui n'ose pas dire son nom (et que des aveugles chroniques continuent à nier), d'un genre relativement nouveau , parfois dite ''guerre asymétrique'', entre des Etats d'un côté, identifiables et soumis à des règles même dans la guerre, et de l'autre côté, une hydre protéiforme et maléfique (qui se permet les pires horreurs, et hurle à la mort en cas de ''talion'' partiel)... soutenue par un ''cinquième pouvoir'' myope et malfaisant, la Presse, qui ne sait colporter que sa propre vision (NB : qui est plus sale que propre !) de ce qui serait bon a dire, à penser, à croire, à officialiser, d'après son catéchisme selon saint Marx et saint Méchencon.
Le refus de ces ''fabriques de l'opinion publique'' que sont les chaînes de télévision et les radios d'Etat de prononcer le mot ''islam'' (même revu et corrigé par le fameux suffixe ''-isme'' qui n'a aucun sens et ne correspond à rien, on ne le répétera jamais assez) dépasse l'entendement, et souligne l'amphigourie du chef de l'Etat qui ne peut en aucun cas se résoudre à appeler ''chat'' un chat et ''hydre mortelle'' une hydre mortelle, préférant des mots creux tels que ''radicalisation'' ou ''obscurantisme'', qui rendent toute analyse et tout plan d'action, mais aussi toute réconciliation, impossibles :''Mal nommer les choses, aurait dit Camus, c'est ajouter au malheur du monde''. (Petit rappel : on désigne par ''amphigourique'' un propos désordonné dont les phrases mal construites et le vocabulaire incertain n'aboutissent à aucun sens satisfaisant. De là : un discours confus, embrouillé et obscur.)
En fait, nous avons peur... Peur d'eux, peur de leur union systématique contre notre désunion chronique, et même, un peu, peur de nous-mêmes qui ne sommes même plus sûrs d'avoir raison de nous défendre, d'avoir un droit imprescriptible à vivre chez nous, dans les traditions qui sont les nôtres et que nous aimons tant, et à refuser des mœurs, des us et des coutumes qui non seulement ne nous conviennent pas du tout, mais qui sont ou seraient autant de punitions insupportables. Eux, à la même seconde, ne rêvent que de tuer du juif, du chrétien, du non-croyant et du athée, de l'occidental... ou simplement de ''planter du blanc'', comme à Crépol en novembre 2023, ou n'importe où ailleurs, avant et depuis.
Si nous voulons mourir et disparaître, il suffit de persévérer dans les comportements absurdes que des ''leaders'' sans cervelle, sans culture et sans colonne vertébrale, mais aveuglément soumis aux pires idées d'une Gauche devenue folle, nous imposent depuis des décennies. Continuons, ne nous révoltons pas, laissons-nous mener en bateau par les menteurs, laissons l'Algérie croire qu'elle pourrait avoir, même un tout petit peu, raison... et nous sommes foutus : ''C'est la chute finale'', au bout du chemin !
La faute de Bouallem Sansal ? Il a re-situé la querelle dite ''sahraouie'' entre le Maroc et l'Algérie dans le contexte qui est le sien, le vrai. Or toute vérité est insupportable aux tyranneaux dont les anciennes démocraties meurent de ne pas oser se débarrasser au nom de principes qui ne sont pas les leurs mais que la Gauche dévergondée brandit sans vergogne, pour mieux les prendre à leur propre piège... et les perdre.
Tu vas bientôt revenir parmi nous, 'Si Bouallem, au son aigu et joyeux des ''youyous'' de BouMerdès... et d'ailleurs. Le vice finit toujours par perdre devant le juste. Nous sommes avec toi, 'ya rhoya' et nous resterons vigilants tant que tu resteras confiné --sans la moindre raison, comme toujours, pour tous les confinements... véhicule de la seule bêtise des hommes au pouvoir.
H-Cl.
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Je m'appelle marghan je dessine au stylo et j'écris des textes qui les accompagnent
Insta :art.marghan si vous voulez voir mes dessins ^^
Je vais expliquer pourquoi je dessine actuellement des dessins qui porte sur un style Renaissance ,c'est parti !!!
La Renaissance, période de renouveau intellectuel, artistique et culturel qui s'est étendue du XIVe au XVIIe siècle, est souvent perçue comme une rupture radicale avec les siècles précédents. En France, elle a marqué l'épanouissement des arts, la redécouverte des savoirs anciens et le développement d'une pensée humaniste qui a tenté de placer l'homme au centre de l'univers. Mais si l'on gratte sous la surface de cette époque, on peut voir que certaines structures de pouvoir, notamment la monarchie, sont restées étonnamment inchangées. Et en observant notre époque, on peut se demander si ce parallèle n’est pas plus pertinent qu’on ne le pense.
À la Renaissance, la monarchie française a connu une période de consolidation et de renforcement. Des rois comme François Ier ont été des mécènes des arts et des lettres, mais ils ont également centralisé le pouvoir, affirmant l'autorité royale sur les seigneurs féodaux et renforçant les bases de l'absolutisme. La société de l'époque restait fondamentalement inégalitaire, structurée autour de l'autorité monarchique, avec une noblesse puissante et un peuple souvent réduit à l'obéissance.
Aujourd'hui, bien que la monarchie en France ait été officiellement abolie en 1792, certaines dynamiques héritées de cette époque perdurent sous des formes différentes. Le pouvoir exécutif, concentré entre les mains du Président de la République, peut parfois évoquer un retour à une sorte de monarchie républicaine, où l'autorité centrale dispose d'une influence considérable sur les institutions et les décisions nationales. Les élites politiques et économiques continuent de jouer un rôle prépondérant, créant un fossé entre les dirigeants et le peuple qui rappelle, à certains égards, la distance entre la monarchie de la Renaissance et ses sujets.
De plus, la société française moderne reste marquée par des inégalités économiques et sociales profondes, que certains comparent à des formes contemporaines de privilèges qui ne sont pas sans rappeler ceux de l'Ancien Régime. La persistance de réseaux d'influence, le rôle de grandes fortunes et la rémanence d'une certaine classe dirigeante sont autant d'éléments qui peuvent faire écho à cette France d'autrefois.
En conclusion, si la Renaissance est souvent célébrée comme un moment de rupture et de transformation, elle a également été une période de continuité dans la structure du pouvoir monarchique en France. De même, notre époque, malgré ses apparences démocratiques, peut parfois sembler reproduire certaines logiques du passé, où le pouvoir reste concentré et les inégalités profondément ancrées. En cela, on pourrait dire que la monarchie, sous différentes formes, n'a peut-être pas tant changé que cela.
Partage et like ça serait cool 🤟
A bientôt...
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🔴 Berzé-le-Châtel, un castrum du Xème siècle en Bourgogne
Constitué d’un donjon primitif en bois et d’une chapelle carolingienne en pierre, le castrum de Berzé est attesté dans un cartulaire de Cluny datant de l’année 991, en faisant la plus ancienne baronnie du Mâconnais.
Intégré au réseau de défense de l’abbaye de Cluny dès le Xème siècle, le château prend une importance considérable au XIIIème siècle. En 1229, le sire Hugues de Berzé bénéficie d’un prêt de l’abbaye lui permettant de transformer le château en place forte. Berzé devient ainsi en l’espace de quelques années la plus grande forteresse militaire de Bourgogne du Sud, principal château de défense de l’abbaye. Cluny est alors à son apogée et accueille près de mille moines à l’année.
Au cours de la guerre de Cent ans, le château devient un enjeu disputé et convoité entre les Armagnacs et les Bourguignons. Donné aux Bourguignons en 1417, il est pris par les Armagnacs en 1420 lors de leur attaque du Mâconnais. Après quatre ans d’occupation, il est finalement repris par Philippe le Bon grâce à la présence d’un tunnel souterrain reliant le château à une tour de garde située sur une colline voisine. En 1471, il est à nouveau la cible d’une attaque royale, celle de Louis XI, cette fois infructueuse.
Durant la renaissance, le rôle militaire de la forteresse devient plus secondaire, cette dernière se trouvant pourtant au cœur du conflit déchirant alors le royaume : la guerre des ligues. Catholiques et protestants s’affrontent à travers des escarmouches mettant le pays à feu et à sang. Le duc de Nevers à la tête de la ligue catholique porte un assaut considérable en 1591. Forte de 1100 hommes, 100 chevaux et d’une série de canons portatifs, l’armée du duc vient à bout des défenses de la forteresse qui cède après deux mois de siège.
Après l’attaque de la ligue et l’expulsion de ses propriétaires, le château est laissé à l’abandon pendant près de deux siècles. Lieu de pâturage pour le bétail durant la révolution française, il est malgré quelques dégradations relativement épargné par les vagues de destructions révolutionnaires. Déclaré tout comme l’abbaye de Cluny bien national, il entre dans la propriété de l’Etat mais n’est pas réinvesti. Le château subit alors les affres du temps…
En 1817, les descendants des anciens propriétaires rachètent le château, celui-ci redevenant alors un bien privé. Ayant subi de nombreuses dégradations de par son inoccupation prolongée, le château nécessite alors de nombreuses restaurations : charpentes, toitures et planchers doivent être rénovés afin d’assurer la sécurité du lieu. La famille Thy de Milly agrandit peu à peu les fenêtres, rénove le logis seigneurial et entretient les jardins, permettant bien des années plus tard de l’ouvrir au public afin de partager et donner à voir ce monument remarquable du patrimoine.
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🇫🇷Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, quel est le dernier Fronsac que vous avez dégusté🇫🇷
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 cuvée Haut de Carles du domaine @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇 :
96 % Merlot
4 % Cabernet Franc
💰:
33,50€ / bouteille
🏺:
Élevage 18 à 24 mois en fûts
📆:
Age moyen des vignes : 35 ans.
👁️ :
Robe de couleur pourpre soutenu
👃 :
Un nez sur des notes de fruits noirs, épices.
💋 :
En dégustant ce vin, on est enveloppé par des tanins d'une douceur veloutée, une rondeur exquise. Les papilles sont submergées par une explosion de fruits noirs (Cassis, mûre, Myrtille), des touches de poivre noir et de réglisse. Le boisé est parfaitement équilibré, sans excès. Une délicieuse persistance en bouche se termine par une finale délectable de pruneaux et de délicates notes de chocolat.
📜En résumé📜 :
Un sublime Fronsac, fier étendard du domaine, a enchanté mes papilles ainsi que celles de mes convives. Un vin d'une élégance remarquable qui saura vous combler dès à présent ou dans quelques années, sans la moindre hésitation. La patience sera récompensée à coup sûr. Un vin d'exception qui peut rivaliser sans difficulté avec les plus grands Bordeaux.
🧆Dégusté sur une joue de bœuf 🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Agneau mijoté, Bavette de boeuf grillée, Cailles rôties, Charcuteries,...
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver un vigneron📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞.
La plupart des vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
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🗣️🇫🇷Description du domaine @hautcarles_officiel🗣️🇫🇷
Au flanc du tertre de Fronsac, au-dessus de la vallée de l’Isle et entouré de 20 hectares de vignes en coteaux, ce château fortifié à la fin du 14e siècle prend son aspect actuel au cours de la Renaissance deux siècles plus tard. Célébré par Ronsard, il a vu défiler les esprits les plus brillants : Montaigne, La Boétie, Rousseau, et de nombreux autres… Il y a 120 ans, le Sénateur Guillaume Chastenet de Castaing entre en scène. Il est suivi par son fils Jacques, illustre historien de l’Académie Française, et par son petit-fils Antoine. Depuis 1983, l’aventure vigneronne familiale se poursuit par la qua-trième génération, celle de Constance et de son époux Stéphane Droulers. Dans une même quête de qualité sans concession, respectant au plus proche la nature, et entourés des conseils avisés d’Hubert de Bouärd, les deux époux produisent, sur le domaine de ce noble château chargé d’histoire, des vins modernes, équilibrés et respectueux de la magie du grand terroir historique de Fronsac.
Notre ambition est de consacrer tous les moyens nécessaires pour que le domaine de Carles et ses vins retrouvent et pérennisent la gloire et la renommée qui étaient les leurs au tournant du 19ième siècle lorsque les vins de Fronsac, Carles en tête, étaient mieux cotés que ceux de Pomerol et faisaient jeu égal avec les plus illustres des crus de Saint-Emilion. Notre volonté est de transmettre à nos deux filles, Eléonore et Oriane, les mêmes passions et la même recherche d’exigence pour qu’elles puissent à leur tour les trans-mettre aux générations futures.
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🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹
🇺🇸Hello corkscrew lovers. And you, what is the last Fronsac you tasted🇺🇸
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 vintage Haut de Carles from the domain @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇:
96% Merlot
4% Cabernet Franc
💰:
33.50€ / bottle
🏺:
Aging 18 to 24 months in barrels
📆:
Average age of the vines: 35 years.
👁️:
Deep purple dress
👃:
A nose with notes of black fruits and spices.
💋:
When tasting this wine, we are enveloped by tannins of velvety softness and exquisite roundness. The taste buds are overwhelmed by an explosion of black fruits (blackcurrant, blackberry, blueberry), touches of black pepper and licorice. The woodiness is perfectly balanced, without excess. A delicious persistence on the palate ends with a delectable finish of prunes and delicate notes of chocolate.
📜In summary📜:
A sublime Fronsac, proud standard of the estate, enchanted my taste buds as well as those of my guests. A wine of remarkable elegance which will satisfy you now or in a few years, without the slightest hesitation. Patience will definitely be rewarded. An exceptional wine that can easily compete with the greatest Bordeaux.
🧆Tasted on a beef cheek🧆.
🍷Some possible food and wine pairings with this vintage🍷: Slow-cooked lamb, Grilled flank steak, Roasted quail, Charcuterie,...
📌Don't forget, drinking a barrel is saving a winegrower📌.
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞.
Most of the wines have been tasted and spit out. Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🗣️🇬🇧Description of @hautcarles_officiel 🗣️🇬🇧
On the side of the mound of Fronsac, above the Isle valley and surrounded by 20 hectares of hillside vineyards, this castle, fortified at the end of the 14th century, took on its current appearance during the Renaissance two centuries later. Celebrated by Ronsard, it has seen the most brilliant minds parade: Montaigne, La Boétie, Rousseau, and many others... 120 years ago, Senator Guillaume Chastenet de Castaing entered the scene. He is followed by his son Jacques, an illustrious historian of the French Academy, and by his grandson Antoine. Since 1983, the family winemaking adventure has continued with the fourth generation, that of Constance and her husband Stéphane Droulers. In the same uncompromising quest for quality, respecting nature as closely as possible, and surrounded by the wise advice of Hubert de Bouärd, the two spouses produce, on the estate of this noble castle steeped in history, modern, balanced and respectful of the magic of the great historic terroir of Fronsac.
Our ambition is to devote all the necessary means to ensure that the Carles estate and its wines regain and perpetuate the glory and reputation that they enjoyed at the turn of the 19th century when the wines of Fronsac, Carles in the lead, were better rated than those de Pomerol and were on a par with the most illustrious of the Saint-Emilion crus. Our desire is to pass on to our two daughters, Eléonore and Oriane, the same passions and the same quest for high standards so that they can in turn pass them on to future generations.
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🇮🇹Ciao amanti dei cavatappi. E tu, qual è l'ultimo Fronsac che hai assaggiato🇮🇹
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 vintage Haut de Carles del dominio @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇:
Merlot al 96%.
4% Cabernet Franco
💰:
33,50€/bottiglia
🏺:
Invecchiamento da 18 a 24 mesi in botti
📆:
Età media delle viti: 35 anni.
👁️:
Abito viola intenso
👃:
Un naso con note di frutti neri e spezie.
💋:
Degustando questo vino veniamo avvolti da tannini di vellutata morbidezza e squisita rotondità. Le papille gustative sono travolte da un'esplosione di frutti neri (ribes nero, mora, mirtillo), tocchi di pepe nero e liquirizia. La legnosità è perfettamente equilibrata, senza eccessi. Una deliziosa persistenza al palato si conclude con un delizioso finale di prugne secche e delicate note di cioccolato.
📜In sintesi📜:
Un sublime Fronsac, orgoglioso vessillo della tenuta, ha incantato le mie papille gustative così come quelle dei miei ospiti. Un vino di notevole eleganza che saprà soddisfarvi, adesso o tra qualche anno, senza la minima esitazione. La pazienza sarà sicuramente ricompensata. Un vino eccezionale che può facilmente competere con i più grandi Bordeaux.
🧆Degustato su una guancia di manzo🧆.
🍷Alcuni possibili abbinamenti enogastronomici con questa annata🍷: Agnello alla cottura lenta, Fiancata alla griglia, Quaglia arrosto, Salumi,...
📌Non dimenticare, bere una botte salva un viticoltore📌.
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞.
La maggior parte dei vini sono stati degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
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🗣️🇮🇹Descrizione i @hautcarles_officiel 🗣️🇮🇹
Sul lato del tumulo di Fronsac, sopra la valle dell'isola e circondato da 20 ettari di vigneti collinari, questo castello, fortificato alla fine del XIV secolo, ha assunto l'aspetto attuale durante il Rinascimento due secoli dopo. Celebrato da Ronsard, ha visto sfilare le menti più brillanti: Montaigne, La Boétie, Rousseau e molti altri... 120 anni fa, entrò in scena il senatore Guillaume Chastenet de Castaing. È seguito dal figlio Jacques, illustre storico dell'Accademia di Francia, e dal nipote Antoine. Dal 1983 l'avventura vitivinicola di famiglia prosegue con la quarta generazione, quella di Constance e del marito Stéphane Droulers. Nella stessa ricerca intransigente della qualità, nel rispetto della natura il più possibile, e circondati dai saggi consigli di Hubert de Bouärd, i due coniugi producono, nella tenuta di questo nobile castello ricco di storia, moderno, equilibrato e rispettoso della magia del grande terroir storico di Fronsac.
La nostra ambizione è quella di dedicare tutti i mezzi necessari per garantire che la tenuta di Carles e i suoi vini riguadagnino e perpetuino la gloria e la reputazione di cui godevano all'inizio del XIX secolo, quando i vini di Fronsac, Carles in testa, erano valutati meglio di quelli de Pomerol ed erano alla pari dei più illustri cru di Saint-Emilion. Il nostro desiderio è trasmettere alle nostre due figlie, Eléonore e Oriane, le stesse passioni e la stessa ricerca di standard elevati in modo che possano a loro volta trasmetterli alle generazioni future.
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Sauvez le tourisme en France : proposez des vacances culturelles ! 😁
J'vois plein de gens qui s'inquiètent du tourisme en France avec tout ce qui se passe ... alors qu'en vrai, si on regarde bien, on peut vraiment adapter nos offres touristiques à l'actualité !
J'ai tilté ça en voyant de plus en plus de photos de gens, probablement des touristes, se faisant prendre en photo devant les poubelles et feux à Paris. Du coup, je me suis décarcassée pour qu'on puisse rester une bonne destination des tours opérateurs, voici quelques pistes :
Faire vivre la révolution française 2.0 aux touristes : Certains manifestent déjà devant les ambassades françaises, on peut convier les touristes qui sont déjà sur place à ce moment culturel 100% français ! On peut leur fournir une fourche sponsorisée par FO, une casquette à strass CGT et un photographe les prend en photo ! Imaginez comment ils seront fiers de raconter à leur famille comment ils ont accompagné les français dans leur lutte ! C'est pas donné à tout le monde de participer à un moment historique !
Prévoir des goodies ! Beaucoup de goodies ! Les casquettes CGT à strass auraient certainement du succès ! Ainsi que les boules de pétanque gravées "réforme des retraites 2023". Des sweats à capuche "qu'ils viennent me chercher" ou le badge "J'y étais" avec un gros 49.3 en flammes... même que les fonds pourraient être versés aux caisses de grève.
Des repas 100% traditionnels et conviviaux devant le journal de 13h. Le café en terrasse ... devant un bon feu de poubelle réconfortant. Possible partenariat avec Trogneux !
Faire un musée national de la Grève où les touristes peuvent découvrir comment on a obtenu ce droit, la création des syndicats etc.
Faire le parc à thème "Macronieland" où tu peux lâcher un pognon de dingue dans le 49.3 infernal (un rollercoaster où quand t'en veux plus, bah t'en as encore !), Tu peux aussi faire un tour dans le train BRAV-M (c'est comme le train fantôme sauf qu'au lieu des monstres, t'as des mecs qui te menacent avec des matraques en mousse et des fumigènes. Non, pas des vrais lacrymos, on est pas des monstres !). Les enfants pourront jouer à la pêche aux milliards (Comme la pêche aux canards, mais avec des petits bonhommes avec des logos McKinsey et BlackRock gravés) ... et niveau staff, on pourra même récupérer en CDD les anciens élus Renaissance quand ils traverseront la rue pour trouver du boulot.
Non franchement ... pourquoi on s'inquiète ?
Je déconne hein ... mais imaginez quand même !
#tourism#tourisme#france#49.3#réforme des retraites#macron#politique#satire#borne#grève#grève générale#retraite#manifestation#demonstrations#protests and demonstrations#protest#bemorefrench#french#CGT#McKinsey#BlackRock#trogneux
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Vénéjan
une commune française située dans le département du Gard en région Occitanie.
À deux pas de la mairie, depuis la place de la Fontaine, on comprend immédiatement pourquoi Vénéjan a décroché ce titre de cité de caractère. La Grand Rue, pavée, grimpe au milieu des bâtisses en pierres apparentes et des arbres centenaires. Des passages aussi discrets que séduisants offrent aux visiteurs de nombreuses possibilités de vagabonder dans ce paysage de carte postale.
En poursuivant l'ascension de la rue principale, en bifurquant par des escaliers et un chemin de terre, on accède à l'un des monuments du village, la chapelle romane Saint-Jean-Baptiste. Elle date du XIIe siècle et est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1986. La chapelle, qui a été très fréquentée jusqu'au XVIIe siècle avant d'être délaissée pour une nouvelle église, a subi plusieurs remaniements dont des extensions pour accueillir les nombreux fidèles.
On contourne l'édifice religieux et on traverse la végétation pour tomber sur le deuxième monument de Vénéjan : son moulin. Il date de 1813 et a été construit à la demande d'un meunier de Bagnols-sur-Cèze, un certain Joseph Dumas. Le sieur a été inspiré puisque les ailes de ce moulin ont tourné pendant près d'un siècle. Il a ainsi permis à plusieurs générations de paysans d'éviter de se rendre à Pont-Saint-Esprit ou Bagnols-sur-Cèze. Abandonné, en ruines, le moulin de Vénéjan a été sauvé en 1997 par l'association Renaissance du moulin. Il a été tellement bien restauré qu'il fonctionne à nouveau, comme à son heure de gloire, et des démonstrations y sont régulièrement organisées.
Les plus courageux pourront enfin emprunter les chemins de randonnées et partir à la découverte des sources. On peut aussi tout simplement flâner en suivant le très documenté sentier d'interprétation « Le Souffle des mots » qui traduit remarquablement l'esprit de ce village à travers la vie des Vénéjanais. À découvrir dès que possible !
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