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#relieur
unesourisetmoi · 26 days
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Auguste Villiers de l'Isle-Adam, Contes cruels, Tirage limité illustré par Paul Maurice Vigoureux, Paris, relieure signée René Kieffer, 1925.
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philoursmars · 1 year
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Une parenthèse pour revenir aux jours actuels !
Le cimetière de Douai. La tombe d’un relieur en forme de livre, une croix polonaise argentée, un if géant, un monument de la Première Guerre, et des croix Art Déco ou Art Nouveau...
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tokowo-reliure · 7 months
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👨‍🎨 Métier d'art - Relieur 📕 (FR) Avec cette vidéo, je vous donne une petite idée des résultats de mes travaux effectués dans le cadre de la Bourse de recherche en création et design du livre (session 2023) octroyée par l’Atelier du Livre de Mariemont. Plus d’informations sur mon site internet : https://www.tokowo.eu/ (EN) With this short video, I’m giving you a glimpse of the results of my work carried out as part of the Book Creation and Design Research Grant (2023 session) awarded by the Mariemont Book Workshop. More informations on my website: https://www.tokowo.eu/
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if-you-fan-a-fire · 1 year
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"LE PROCES DE SIX BAGNARDS AUX ASSISES," La Patrie. May 30, 1933. Page 3. --- Ils sont accusés d'avoir causé des dommages à la propriété du pénitencier de Saint-Vincent de Paul. ---- Les troubles qui se sont produits au pénitencier de Saint-Vincent de Paul l'automne dernier, continuent d'avoir leur retentissement en cour du Banc du Roi. Six des bagnards sur qui pèsent don accusations diverses, comparaissaient ce matin devant le juge Charles Wilson, sous l'accusation d'avoir causé des dommages à la propriété du pénitencier, le 4 novembre dernier au cours de troubles qui s'y produisirent.
Les accusés à la barre étaient Jules Lagacé, Emile Sulorosky,Wilfrid Pelletier, Georges Gagnon, Alphonse Croteau et Charles Howard.
Au début de la séance le procureur du ministère de la justice, Me J. E. C. Bumbray, c.r., fit un résumé de l'affaire, relatant les divers points saillants de la mutinerie.
Le premier témoin fut le garde Zotique Aubé, 39 ans, officier disciplinaire dans les ateliers des tailleurs, cordonniers et des relieurs.
Pour accomplir son devoir de surveillance, Aubé se promenait sur une plate-forme élevée lui permettant de surveiller en me me temps dans les trois ateliers. Sur cette plate-forme se trouvait une cloche que seul Aubé avait le droit de sonner. Elle servait à donner le signal du commencement ou de la fin du travail.
A un moment donné, de dire Aubé, Crossley, un des bagnards inculpés, qui avoua sa culpabilité à deux accusations. sonna la cloche et s'écria: "En avant les gare: c'est le temps! (Hurry-upboys: it is the time".)
"Crossley," continua Aubé "lança sur moi et me précipita en bas de la plate-forme, du côté de l'atelier de la cordonne-le. Deux des détenus de cet atelier se précipitèrent alors sur mot également, et me frappèrent à coups de poing. Je n'ai reconnu que Gagnon, et je ne connais pas l'autre qui m'a frappé."
Aubé parvint à remonter sur la plate-forme, et descendit pour se rendre dans l'atelier de la reliure. Voyant que les flammes gagnaient du terrain, Aubé brisa une croisée de vitre, et c'est alors qu'il perdit connaissance. li ne prévintà lui qu'à l'hôpital. Le second témoin fut le garde instructeur de l'atelier de la cordonnerie, Joseph Binott, 46 ans, qui corrobora le témoignage de garde Aubé.
Toutefois, Binette déclara avoir été frappé par le détenu Croteau, employé do l'atelier de cordonnerie, au moment où le tumulte commença. Binette déclare avoir tenté de se porter au se cours d'Aubé au moment où il était assailli par les détenus mais quatre ou cinq des bagnard l'en empêchèrent.
La cause se continue.
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christophe76460 · 1 year
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2 CD 06 La vocation de John Bost
https://soundcloud.com/jlgaillard/h-13-la-vocation-de-john-bost
John Bost était le fils d’Ami Bost, pasteur à Moutier Grand’Val. Son père fut l’un des premiers fruits du Réveil de Genève, vers 1810.
John Bost avait de grands talents musicaux et songeait à la carrière artistique. John avait consacré tous ses moments de liberté à apprendre le piano, à racler du violoncelle ; son âme d'artiste s'éveillait. Le célèbre musicien Franz Liszt était alors à Genève. Un jour, John Bost fut chargé de lui apporter un cahier de musique que son patron avait relié. Le maestro était absent, mais le piano était là, ouvert. L'ouvrier relieur s'assit au chevet et joua...
Tout à coup, une main se posa sur son épaule, c'était Liszt ! John Bost accepta d'être l'élève de Liszt et se lançà dans la vie de concerts.
Mais un soir alors qu'il était au théâtre à Paris et qu’il écoutait le domino noir, il se dit : « Si tu devais mourir ici, où irais-tu ? »
Bouleversé par cette question, il rentra chez lui. Le reste de la nuit se passa dans les larmes et la prière. « Au matin, raconte-t-il, je me relevais, j’avais la paix ». Il abandonna la musique, devint précepteur, puis pasteur. Conduit par les circonstances, il fonda les Asiles qui portent son nom.
« Ceux que tous repoussent, je les recevrai au nom de mon Maître » résolut John Bost.
A ce moment, il avait pour lui trois choses : sa compassion inépuisable, sa volonté opiniâtre, et l'audace de la foi. Dieu devait lui fournir le reste sur le plateau de La Force en Dordogne.
Il a accueilli les premiers malades, ceux que personne ne voulait, les incurables, aveugles, sourds-muets, épileptiques, les débiles, les détresses les plus grandes.
Cette œuvre fondée en 1848 est toujours active ; elle accueille aujourd'hui encore plus de 1000 malades avec 1200 membres du personnel médical.
#pasteur #célèbre #asile #LaForce #misére #soulager #réveil #mouvement #enthousiasme #foi #déborder #cantique #modeste #presbytère #liberté #piano #racler #violoncelle #ouvrir #relieur #homme #Litz #détermination #malade #chemin
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tasoeurlamilitante · 7 months
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Louise Modestin, barricadière
Il ne nous reste de Louise Modestin qu’une photographie prise dans les prisons versaillaises.
Et une inscription, à l’encre noire, sous la photographie :
« Barricadière, a fait le coup de fusil ».
Elle fait certainement partie de ces communardes qui - plus que leurs homologues masculins - n’ont pas baissé la tête devant la justice versaillaise.
La Commune, ce sont aussi et surtout ces dizaines de milliers de Louise Modestin, d’anonymes qui ont construit l’embryon d’un autre monde pendant deux mois.
Le 18 mars, la police, la justice, l’administration de l’État décampent.
L’Etat bourgeois laisse la place. La Commune la prend, et avec elle tout le prolétariat parisien.
Place aux blanchisseuses, aux couturières, aux relieurs et relieuses, aux chiffonniers, aux charretiers, aux lessiveuses, aux serruriers, aux orfèvres, aux menuisiers…
L’initiative populaire se déploie partout pour construire une nouvelle société.
On discute et on agit à tous les niveaux : dans les clubs, dans les comités de quartiers, dans les chambres syndicales, dans les bataillons de la garde nationale, dans les ateliers.
On incite la Commune à prendre des mesures dans l’intérêt de l’immense majorité. On applique ses décisions quand elles nous conviennent. On la devance quand elle se fait trop timide.
On prend nos affaires en main.
Et quand le vieux monde se rappelle à nous, on est prêts à mourir les armes à la main pour défendre cette nouvelle société en gestation. Il n’y a pas de retour possible.
Mai 1871. Louise Modestin se fait barricadière. On l’imagine construire sa barricade, à Belleville ou à Montmartre. Puis la défendre jusqu’au bout en faisant « le coup de fusil ».
Versailles peut fusiller, arrêter, condamner, déporter.
La Commune reste vivante dans le regard de Louise Modestin.
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No suelo compartir mi trabajo creativo como encuadernadora porque me da pudor. Supongo que tiene que ver con los siempre miles de errores que uno ve en su propio trabajo siempre perfectible. De todos modos comparto con ustedes este ejercicio que llevé a cabo el año pasado sobre el libro El viaje de Pedro el afortunado de Augusto Strindberg—regalo de la escritora Andrea Maturana y antigua pieza de la biblioteca de su padre ♥️— El libro no tenía tapas, por lo que realicé sobre de él una variación de la encuadernación “sacred-binding” de @kathyabbotty con papel de algodón hecho a mano y troquel decorativo en las tapas. ¡Espero les guste!
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zhalfirin · 4 years
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Cuando te van quedando pequeños pedacitos de marmolado de @cinabriopapel las libretas se van achicando pero quedan igual de bellas. Aquí les muestro una de mis últimas entregadas de regalo para un cliente histórico! Gracias a todes aquellxs que confían en mi trabajo. #relicta #encuadernacion #bookbinding #hechoamano #libreta #apuntes #dibujo #regalo #marmolado #relieur #handmade #papel (en Independencia, Santiago De Chile) https://www.instagram.com/p/CZNW7eZOByF/?utm_medium=tumblr
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@editions_tallandier Pierre- Émile Legrain #relieur #artdéco a formé #MarieReynolds Mais, il était aussi #artiste et #ebeniste . Petite présentation ici https://vagabondageautourdesoi.com/2021/11/03/pierre-emile-legrain/ https://www.instagram.com/p/CV3COd5q861k1XwsVhAa_U_3qGfVwmnnOsPDfg0/?utm_medium=tumblr
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lartreliure · 4 years
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Voici l’un des tout premiers articles du blog dans la catégorie “Reliure/cartonnage pour tous”. Alors, prêt à relier pour vous ou vos proches ? => Do It Yourself ! ;-)  
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whatdoesshedotothem · 2 years
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Sunday 8 July 1838
6 ¾
11 10
unpacked bag etc. breakfast at 10 ½ -  had the master of the hotel – Madame de Cazenave lives close by – he thought she was there – sent to inquire – no! at home (ile de Noé) so gave the parcel to his care to be given (as directed aux soins de Mr. Montant negociant à Tarbes) – several people going off and gone off this morning to St. Sauveur, so gave up the thought of staying here today, and ordered horses for 11 ½ to be at the bankers at 12, they being ready to receive me at this hour – all in a bustle – A- poorly – Josephine had new silk dress for me, and [?] biscuits etc. to buy and the imperials were to put on again and my travelling bag etc. to do up – A- had been pleased yesterday at my managing for her to see the chateau at Pau – tho’ poorly has been in good sort ssince – fine but dull morning F69° at 11 am off from Chez Boyer hotel de la paix Tarbes, at 12 35 –stopt chez................ for Josephine the [m.de] des modes, but Josephine had still elsewhere to go – the man at the shop very civil said he would shew me the post-office and went with me there – nor letters nor newspapers – then mentioning the new work published at Pau on the Pyrenees (vid. Bayonne Tuesday 3 instant p. 263) he took me chez ‘Collongues Libraire Relieur à Tarbes’ where I bought Spanish grammar by Don Francisco Martinez. Bordeaux 1836 and Spanish and French dictionary by A. [Berbruggie] 10th edition Hamburg 1835.
SH:7/ML/E/21/0144
 and ‘Les Pyrénées’ 2 vols. 8vo par M. Chausenque [anc.] Capitaine de Génie. Paris 1834. back at the carriage at 12 ¾ - then to the bank chez Fouchonfrères very civil but not very quick – took the value of £50 exchange at 25.40 on my letter of credit for £500 – the 1st draw upon it – 27 minutes at the bank a large rez de chaussée full of Zinc plates and other merchandise as well 2 writing desks and the writing apparatus of office for the 2 brothers the postilion  quite impatient – came to say if they would not be quick, he would take off his horses and go away – at the bank till 1 12 and then once more off and en route for Lourdes – charming beautiful very fine drive from Tarbes – about 2 ¼ at the poor picturesque little steep village of Adé – at Lourdes at 2 50 – drew up opposite the Inn (poste aux chevaux) no horses – on carriage had arrived before us, and was served before us – by and by, 2 more carriages came their occupants seeing no chance of getting on, wisely went into the Inn to stay probably till tomorrow – A- and I sat in the carriage reading and cutting open books bought at Tarbes – at 4 5 saw our Lourdes postilion  off home satisfied and civil on my giving 3 ½p. i.e. 1p. extra for all his waiting – at 4 ¾ our rival carriage off, and we stand next for horses – at 5 ½ got out of the carriage and went for a minute or 2 into the courtyard of the Inn, then strolled up the street and went into a little café, and dined (ate up thin potageau pain and I took a little wine and water and A- a little boeuf bouilli) for which with I great difficulty I persuaded the woman to fix a price 1/50 and gave her 1/. over – then strolled in the little narrow paved streets very old, and off again – found the hoses just put to the carriage at 6 27 having 3 37 hours – of course, we cannot get farther than Pierrefitte – the old castle of Lourdes now a little garrison – literally perched on the top of pointed rock – rocky, winding ascent just out of Lourdes, and the fine wild rock scenery begins – the Gave close alongside (right) from soon after Lourdes – at 7, at the box –wooded hills (know them by their smell) and the round hill in front of us very fine and beyond it the long tall square tower of Vidalos, and valley of Argelez [Argeles] – quite charming – great deal of bled de Turquie at the bottom of the valley as we pass along, and patches of yellow corn (rye) – pretty picturesque village at 7 ¼ - and at 7 21 another nice picturesque village good, scattered and very picturesque little church about the middle of the village and in the left hand pillar of the church yard gate (left on entering) ‘Poste aux lettres’ – magnificent amphitheatre of 3 valleys en face – village of Ost at 7 29 small scattered and picturesque embossed in walnut trees – at Ayzal at 7 374 (Argelez? the ville of) large good village white-washed like all the rest – the city of the villages – long narrow street – hotel du commerce and ditto de Pomme d’or café du commerce and ditto des Pyrénées in one square, and café de France in another between square, and little old chateau at the far end of the village and houses building beyond this – quite a  city of a village and then a little campagne (right) at 7 50 cross bridge and brook-torrent, and pass thro’ little scattered picturesque village – at Pierrefitte at 8 20 à la poste –order horses for 6 in the morning – really a very comfortable village Inn – 2 comfortable bedrooms – good trout for supper at 9 20 which we both enjoyed A- ate 6 in 25 minutes and I 3 in 40 minutes and came to my room at 10 – Had Josephine – a few minutes with A- she had letters this morning (chez Fouchonfrères à Tarbes) from her sister and ditto from SW. ½ of which latter was to me – the steam engine ordered of the Low moor company and Oddy got safe home – A- had much monsieur today  used our boiler and two glasses of hot wine and water did her good – very fine day F67° now at 10 40 pm
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disssquiet · 3 years
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- Charles Meunier Relieur - Les Fleurs du Mal
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already-14 · 2 years
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ROMAN DE TRISTAN ET ISEULT (LE). S'ensuit, renouvelé en français par Pierre Champion, le roman de Tristan et Iseult la blonde où se trouvent racontés: les combats de Tristan contre les Morboult et contre le dragon, le mariage de Tristan avec Iseult aux blanches mains, et la mort douloureuse des amants. Paris, Daragnès, 1928. In-4, maroquin noir, premier plat ajouré selon un grand rectangle vertical qui laisse apparaître la garde de box rouge et dans lequel est enchâssé un décor à répétition de barres horizontales de nickel poli séparées par des laques ondulées noires; rappel du décor sur le second plat par deux barres horizontales de nickel poli; dos sans nerfs portant le titre de l'ouvrage en grandes capitales poussées au palladium; doublures bord à bord et gardes de box rouge, doubles gardes de papier marbré rouge et argent, tranches au palladium sur brochure, couverture imprimée. Chemise, étui (Paul Bonet décorateur, Giraldon relieur, Jeanne doreur, Boit orfèvre, 1933). Belle édition composée, imprimée et illustrée de 28 bois gravés en couleurs par Daragnès. Tirage unique limité à 95 exemplaires numérotés sur papier de Hollande, signés par Daragnès. Importante et rare reliure métallique de Paul Bonet, répertoriée et reproduite dans ses Carnets (Paris, Blaizot, n° 232, planches 35 et 168) avec ce commentaire: reliure sobre, sévère et d'aspect monumental. Reliure reproduite dans Paul Bonet (Paris, Blaizot, 1945, page 69) et citée dans le corpus page 50: ... Poursuivant ses recherches avec une logique obstinée, Paul Bonet a associé le métal au décor de reliures en cuir. La rigidité de motifs ajourés se détachant sur les gardes ... a permis ... un lyrisme très pur...
L'exemplaire a figuré au Salon d'automne 1933 et a été exposé par le relieur en 1937 à diverses manifestations.
blaizot.com
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ikasdu64 · 3 years
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Pierre -Émile Legrain (1888-1929) est un artiste, designer, ébéniste et relieur en vogue lors de la période Art Déco.
https://vagabondageautourdesoi.com/2021/11/03/pierre-emile-legrain/
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