#port-de-paix
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Libération de Me Robinson Pierre-Louis et Michelet Virgile : une nouvelle étape dans l'affaire "Miss Lili
Après une longue bataille judiciaire, Me Robinson Pierre-Louis et Michelet Virgile, ancien commissaire du gouvernement de Port-de-Paix, ont été libérés mercredi, marquant un tournant important dans la complexe affaire du bateau “Miss Lili”. Leur libération intervient après leur septième comparution devant la Cour d’appel de Port-au-Prince, un moment clé qui a attiré l’attention du public et des…
#Haiti#Justice#liberation#Michelet Virgile#Miss Lili#port-de-paix#Robinson Pierre Louis#trafic d&039;armes
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La PNH annonce le démantèlement du gang 3 millions à Port-de-Paix
La #PNH annonce le démantèlement du gang 3 millions à Port-de-Paix.- #Juno7 #J7Nov2022
La PNH annonce le démantèlement du gang 3 millions à Port-de-Paix. Sept présumés bandits ont été arrêtés. La Direction Départementale du Nord’Ouest de la police informe avoir procédé à l’arrestation de sept présumés bandits à Port-de-Paix, le lundi 14 octobre 2022, pour association de malfaiteurs et vol à mains armées. Ces malfrats interpellés répondent aux noms de : Louis Augustin alias lawouze…
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Benito Sylvain (born Marie-Joseph Benoît d'Artagnan Sylvain; 21 March 1868 – 3 January 1915) was an Haitian journalist, diplomat, lawyer. He also participated and organized the 1900 Pan-African Conference.
Sylvain pathed the connection between Afro-descendants and Africans and became a representative for these groups that were colonized by France. He is arguably considered to be a pioneer of Pan-Africanism.
Benito Sylvain was born in Port-de-Paix, Haiti, in 1868. In 1887, he finished his studies in Paris at the Collège Stanislas, then attended law school, where he obtained his license and then his doctorate.
Supported by his country that appoints the officer of Marine and secretary to the embassy in London, Sylvain founded in Paris in 1890 a weekly committed against French colonialism, La Fraternité (which appeared until 1897).
In 1897, Sylvain staying in Ethiopia became the aide-de-camp to Emperor Menelik II, who defeated the Italians at the Battle of Adwa. Sylvain represented both Ethiopia and Haiti at the 1900 Pan-African Conference held in London, and was appointed as honorary president of the Pan African Association.
In 1906, Sylvain, who attended all lectures against slavery, published in Paris his principal work, entitled On the fate of the natives in the colonies of exploitation, an indictment against colonialism.
As there were very active Afro-descended students in France, including his compatriot Haitians, Sylvain endeavoured to make the connection between Afro-descendants and Africans, in a spirit of resistance to European colonialism, which he reasoned was a new form of slavery
#benito sylvain#haitian#haiti#ethiopia#east africa#menelik#battle of adwa#africans#london#pan african associatin#port de paix#france#african#afrakan#kemetic dreams#brownskin#afrakans#brown skin
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Printemps des Poétes 2023 : " Frontières " Alain Graz -Le temps viendra
Le temps viendra où tu t’accueilleras en ouvrant la porte.Tu te diras bonjour.Tu te reconnaîtras mais ce ne sera pas toi,Sûrement quelqu’un qui te ressemble, à qui tu parlas un jour,Quelqu’un de bien avec qui tu fis quelques pas,Tranquillement à la profondeur de vos voix.Il aura tes yeux, ta bouche, ton sang.Tu entendras battre son cœur doucement.Tu te reconnaîtras mais ce ne sera pas toi.Il aura…
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Quelle joie profonde, en longeant les vitrines du monde, de m'apercevoir que rien ne me fait plus envie. Plus aucune tentation, plus aucun besoin de désirer des choses : je n'ai besoin de rien de matériel, j'ai déjà l'essentiel. Qu'est-ce qui me ferait plaisir, qu'aurais-je envie d'avoir, d'acquérir, de rapporter chez moi ? Rien, sincèrement, profondément, absolument rien, désolé je ne suis plus client. Besoin d'autres choses, besoin de paysages, besoin de voir la mer ou un beau visage, oui, ça oui. Besoin de profiter du silence ou d'une belle voix, oui, ça oui. Besoin du mouvement de la rivière et de l'odeur des sous-bois, oui, ça oui. Besoin de voir l'ocre d'une belle façade sous le soleil, la profondeur d'une ruelle déserte baignée de nuit, oui ça, oui. Besoin de laisser naître en moi une belle idée et peut-être d'en faire trois lignes qui se perdront elles aussi : oui, ça oui, cent fois oui. Pire encore ou mieux encore —c'est au choix : depuis peu je n'attends plus rien, ni personne. Et pourtant... si "plus rien, ni personne" frappaient à ma porte, j'irais ouvrir et je serais heureux de ce qui suivrait. Je les accueillerais avec plaisir "rien, ni personne", même si à nouveau ils venaient à disparaître. J'en suis arrivé là, je suis capable de ça. Capable de laisser arriver ce qui arrive. Et si cet état devait disparaître avec les acteurs responsables de cet état, ce ne serait pas un drame. Je ne regarde plus dans les vitrines, j'oublie, c'est comme si je gardais les yeux fermés en marchant. Je ne fabrique plus aucune attente, ni aucun de ses produits dérivés : le manque, les frustrations, les désirs incomblés et tout cet inassouvi ravageur qui en découle. Je prends ce qui veut bien venir à moi et me reconnaître. Et sans jamais l'attendre je sais qu'elle existe la minuscule tribu de ceux qui finissent un jour par arriver, s'ils arrivent. L'âge offre ça, ce cadeau, quel cadeau, quelle paix, quel pied (de randonneur) ; ça doit s'appeler finalement le détachement, ça doit s'appeler finalement la Liberté.
jacques dor
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J’ai l’âge de voir les choses avec tranquillité, mais dans l’intérêt de continuer à évoluer.
J’ai l’âge de caresser mes rêves du bout des doigts et de voir mes illusions se transformer en espoir.
J’ai l’âge où l’amour est parfois une flamme qui a besoin de se consumer dans le feu d’une passion désirée, parfois un havre de paix, tel un coucher de soleil sur la plage. J’ai quel âge ?
Je n’ai pas besoin de nombre, car mes désirs réalisés, mes larmes que j’ai versées en voyant mes illusions se briser….. valent beaucoup plus que ça.
Quelle importance d’avoir vingt, quarante, soixante et plus!
Ce qui importe c’est l’âge qui me correspond. J’ai l’âge qu’il faut pour vivre libre et sans peur….. pour suivre mon chemin sans crainte, car je porte avec moi l’expérience que j’ai acquise et la force de mes désirs.
J’ai l’âge suffisant pour ne plus avoir peur et faire ce que je veux et ce que je ressens.
José Saramago
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Also idk when I will finish the edit, but the summer games Mauga spray fucked up Mauga's Pe'a and that is disrespectful to the indigenous Sāmoan tatau artist they hired to help create Mauga's design.
Here is the original summer games spray:
Here is his Port-De-Paix Skin:
Look at his arms! His legs! Not even close. :/
#MicroActiBlizz with a L yet again#/negative#overwatch#maugaloa malosi#Mauga overwatch#overwatch 2#ow#ow2#image#text#idk when i will get to an edit but.#one day.
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j'ai l'impression que tous mes efforts seront toujours vains, j'ai erré en cette fin d'après-midi dans les couloirs du métro et dans la foule dans l'espoir de faire passer cette boule au ventre d'une manière ou d'une autre. je me sentais très seule et le bruit du monde couvert par mon casque était trop fort, les larmes me montaient mais c'est si facile de les retenir, de canaliser le nœud en moi, d'attendre que ça passe. je me dis que ça doit être ça l'impact d'avoir régulé toute mon enfance mes émotions dans le petit recoin entre le mur et mon lit en boule par terre comme un chat se cache pour mourir en paix, d'avoir serré les dents et les poings si fort, de m'être retenue si longtemps de pleurer pour ne pas énerver ou ne montrer aucune trace de vulnérabilité. mais j'aimerais savoir à quel moment tout ça a commencé ? quand est-ce que j'ai commencé à croire que ce que je ressentais n'avait aucune légitimité et pourquoi je n'arrive toujours pas à exprimer mes émotions au moment où je les ressens par peur de blesser ou d'être en tort ? aujourd'hui le petit recoin entre le mur de ma chambre et mon lit n'existe plus mais je finis toujours par imploser en silence roulée en boule derrière ma porte ou sur le carrelage de la salle de bain.
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💙💙
MON GALOPIN
Tu nous quittais le 13 octobre 2010 me laissant anéantie à vie.
Je me recueille devant ton urne chaque soir, et la bougie sera allumée ce soir pour te rendre hommage 🕯️ 🕊️
Merci de tout mon cœur pour tout ce que tu m’as apporté durant ton vivant, cet amour inconditionnel qu’on ne trouve pas chez les humains 🙏🏻 🙏🏻
Je ne t’oublierai jamais, je t’aimerai toujours 💗
(Poème écrit pour tes 20 ans le 12 février 2011)
🤍 MON GALOPIN 🤍
Mon petit cœur, Mon petit amour,
Mon fidèle compagnon, mon ami le plus cher,
Ce 12 février marque pour nous un jour anniversaire,
Celui qui, ce beau jour de 1991, en Ardèche, t’a vu naître,
Tu aurais eu 20 ans aujourd’hui, si seulement tu avais vécu,
Mais la grande roue impitoyable de l’univers ne l’a pas voulu.
Nous espérions tellement l’atteindre ce chiffre de 20,
Pour continuer ensemble vers de beaux lendemains,
Nous voulions tant battre tous les records connus,
Mon petit cœur, mon petit amour, t’en souviens-tu ?
Il y a 2 ans, un AVC sur toi, violemment s’abattait,
Te privant de l’usage de tes pattes, cruellement paralysées,
Devant le pénible spectacle, le désespoir nous envahissait,
Et des torrents de larmes de mes yeux jaillissaient.
Alors qu’à l’unanimité, la grande majorité te condamnait,
Après tant et tant d’efforts déployés et renouvelés,
Durant des heures entières et de longues journées,
Soudain, dans un ultime élan, tu te relevais et tu marchais.
Devant l’étonnement de nos grands yeux écarquillés,
Cet incroyable miracle, de bonheur nous remplissait,
Je t’ai admiré pour cette force unique, cette volonté.
Exceptionnel petit chien, battant, tu l’as toujours été,
Ce jour béni d’entre tous fût le plus beau de ma vie,
Dans cette douloureuse épreuve, tu m’as tant appris.
Cette rage de vivre, depuis, tu l’as toujours gardée,
Le 13 octobre 2010, un nouvel AVC destructeur te frappait,
Cette fois, brutalement et sournoisement, te terrassait,
Enfermant ton petit corps dans une paralysie totale,
Signant ainsi au fer rouge la condamnation finale.
Durant la dernière nuit, tes appels au secours retentissaient,
Et me contraignaient à prendre la décision tant redoutée,
D’abréger tes jours et ta souffrance, et choisir de te délivrer,
Effroyable décision que je ne pourrais jamais me pardonner,
Je le sais, tu voulais vivre encore et ne jamais nous quitter.
Sur la table du vétérinaire, ton petit corps sans vie gisait,
Devant mes larmes de désespoir et ma terrible détresse,
Dans un ultime pleur, tu me suppliais de m’accrocher.
La piqûre contenant le poison mortel ne voulait pas agir,
Sentant mon immense chagrin, tu refusais encore de partir,
Avant que tes yeux et ton cœur ne s’éteignent à jamais,
Me laissant là, abandonnée, impuissante et brisée.
Alors, en hommage à ta force et ton énorme courage,
Comme un emblème, je porte ton collier à mon poignet,
Pour que ton combat ne soit pas vain et ne finisse en mirage,
De me relever et d’être encore plus forte, je te promets,
Afin que ton âme si pure et si belle, puisse vivre en paix.
J’attends maintenant le jour béni de nos retrouvailles,
Ce jour sacré qui nous verra toi et moi à jamais réunis,
Ma seule volonté enfouie au fond de mes entrailles,
Celle de te retrouver enfin pour l’éternité, au paradis.
Je t’aime, à jamais, pour toujours,
Mon petit cœur, Mon petit amour.
💙💙
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🎤 Michel Pépé ~ L’ascension céleste 🎧
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Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Joséphine Le Bris#Jacqueline Rumédier#Louise Le Bris II
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"La propagande ne peut jamais dévoiler les projets et les plans vrais ; elle ne peut livrer les secrets du gouvernement ! Ce serait d’une part soumettre ces projets à la discussion publique, au jeu de l’opinion, ce qui est néfaste pour leur réussite ; d’autre part ce serait, et le fait est plus grave encore, rendre ces projets vulnérables à l’adversaire, qui, prévenu, pourrait prendre toutes les dispositions pour les faire échouer. La propagande doit au contraire servir de voile pour de tels projets, pour les intentions vraies. Elle doit toujours être le rideau de fumée des batailles navales. La manœuvre s’effectue à l’abri d’un écran verbal protecteur sur lequel l’attention du public se fixe. La propagande est donc nécessairement une déclaration de ce que l’on ne fera pas, de ce que l’on n’a pas l’intention de faire comme si c’était l’intention vraie. Elle sera la déclaration de pureté, qui ne s’incarnera jamais, de paix, de vérité, de justice sociale. Bien entendu, il ne s’agit pas de donner de précisions à ce niveau, de parler de telle réforme à brève échéance : car ce serait trop hasardeux de risquer une comparaison entre ce qui a été promis et ce qui a été fait. Mais cette comparaison n’est possible que si la propagande s’est avancée dans le domaine du fait à venir, alors qu’elle doit s’en tenir à l’intention, au domaine moral, au domaine des valeurs, au sujet desquelles aucun reproche précis ne peut être encouru. Et si un mauvais esprit soulignait la contradiction, on sait qu’en définitive cet argument ne porte pas dans le public."
Jacques Ellul, Propagandes, 1962.
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J’ai l’âge de voir les choses avec tranquillité, mais dans l’intérêt de continuer à évoluer.
J’ai l’âge de caresser mes rêves du bout des doigts et de voir mes illusions se transformer en espoir.
J’ai l’âge où l’amour est parfois une flamme qui a besoin de se consumer dans le feu d’une passion désirée, parfois un havre de paix, tel un coucher de soleil sur la plage.
J’ai quel âge ? Je n’ai pas besoin de nombre, car mes désirs réalisés, les larmes que j’ai versées en voyant mes illusions se briser… valent beaucoup plus que ça.
Quelle importance d’avoir vingt, quarante, soixante ans ! Ce qui importe, c’est l’âge qui me correspond.
J’ai l’âge qu’il me faut pour vivre libre et sans peur. Pour suivre mon chemin sans crainte, car je porte avec moi l’expérience que j’ai acquise et la force de mes désirs.
J’ai l’âge suffisant pour ne plus avoir peur et faire ce que je veux et ce que je ressens.
José Saramago, prix Nobel de littérature (1998)
Douce nuit 🌟🌟🌟
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Ma porte est toujours ouverte, le café est vite prêt, et j'ai du thé aussi, et mon four parfois chaud.
Ma maison est un endroit de paix et sans jugement. Tous mes amis qui ont besoin de parler sont toujours les bienvenus. Ce n'est pas une bonne idée de souffrir en silence.
J'ai de la bière, une bonne bouteille de vin, des paillettes et de grands bras. Vous serez toujours les bienvenus.
C'est toujours bien de parler, d'écouter ! Ou juste passer un moment, le temps de faire une pause d'écouter le silence, ou le bruit de la Vie...❤️
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L'heure de philosophie...
Ceci reste un hymne à la joie. Où se niche la joie ?
Lorsque j'étais étudiante, j'ai beaucoup travaillé sur la question des soins palliatifs. La mort m'obsédait tellement qu'il fallait que j'aille la voir de plus près. Il fallait que je me rende là où tout se passe, dans l'antichambre du départ, dans les confins de l'autre monde. Je m'attendais à observer la nostalgie, la peine, le désespoir, le dépérissement qui ôte toute forme de répit. Ce ne fut pas le cas. Alors évidemment, il serait absurde de dire que les centres de soins palliatifs sont des lieux "réjouissants", pour autant, j'ai été surprise de constater qu'il y régnait une certaine forme de paix, une véritable sérénité, une douceur de l'accomplissement. Il y avait souvent des situations à résoudre, des douleurs à soulager, des mots à formuler, mais il demeurait malgré tout, une joie palpable. Celle qui est capable de reconnaître sans trembler "C'etait bien".
Et voilà ce qui m'intéresse au plus profond de moi, c'est d'observer cette joie glissée dans les interstices. Cette joie qui n'est pas gaieté, qui n'est pas plaisir, qui n'est pas facilité, mais qui est la satisfaction sincère d'être à sa juste place, de sentir son âme s'élever. J'ai déjà ressenti la puissance de cette joie, dans les moments lourds de sens, dans des embrassades de rupture, dans la solennité du devoir.
La joie, au contraire du bonheur et du divertissement n'esquive pas le réel, n'ignore rien de la cruauté des choses. Ni optimiste ni pessimiste, elle invite à voir le monde tel qu'il est, à ressentir des frissons parce-qu'on aura été au bon endroit. Je crois qu'aujourd'hui, j'avais envie de partager cette idée-là. De la rappeler à tous ceux qui aujourd'hui, ont quelque chose d'aide à réaliser, à tous ceux qui se disent que la vie des autres est plus facile, j'aimerais leur murmurer que la joie surgit dans des lieux curieux, dans des recoins sombres, dans des discussions pénibles, dans des décisions dures à prendre. Elle jaillit sur les seuils des portes, quand le respect s'impose plus que la violence.
Où se niche nos joies ? Dans le rayon de lumière, les jours de pluie. Je vous souhaite de sentir ces palpitations là.
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Je comprends ta colère contre l'échec de la gauche mais je comprends pas ce qui te nourrit politiquement.. Qui est-ce que tu aimes ? Parce que tu portes une meilleure réthorique contre la gauche que certains élus de droite.
C'est pas une demande de justification, je te trouve hyper pertinente sur les sujets sur lesquels tu t'exprimes, mais je comprends pas pourquoi c'est majoritairement négatif (lors même que j'ai bien conscience que notre gauche est navrante).
On est toujours plus sévère avec ceux qu’on estime. Je n’ai rien à dire contre la droite particulièrement, parce que l’échec de la droite gaulliste est facile à analyser, et expliquer pourquoi l’extrême droite ne mène à rien de bon, tout le monde le sait.
Et surtout, on connaît trop, historiquement, la responsabilité de l’échec des oppositions dans l’avènement de régimes tyranniques, voire leur compromission. Le fait est que LFI joue un jeu extrêmement dangereux, et qu’il faut absolument rester vigilant jusqu’aux présidentielles. Ou alors on se sera juste acheté trois ans de paix avant d’avoir le RN au pouvoir.
Moi je suis ravie qu’ils aient été contenus mais faut garder à l’esprit que sans arrangement entre les partis, ils avaient la majorité avec des candidats sortis de nulle part et un leader de 28 piges. Ça dit le niveau de droitisation du pays.
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«J'ai rencontré quelqu'un... Une personne qui m'offre toute l'attention dont j'ai besoin... Qui comprend mes envies, mes passions, mes folies... Une personne à la fois qui me booste et qui me laisse le temps... Quelqu'un qui me fait confiance et me porte au bout de mes projets... Elle prend soin de moi, ne me juge pas, est à mon écoute et me conforte quand j'en ai besoin... Avec elle, je sais que j'irai loin... Je ne la tromperai pas pour quelques illusions apportées par un autre... Nous ne vivons pas coupées du monde, nous prenons soin de partager avec d'autres ce trésor que nous avons construit que l'on nommera la Paix... Elle est mon équilibre, mon essentiel, ma vie... J'ai rencontré quelqu'un, quelqu'un dont je vais prendre soin... Ce quelqu'un, c'est moi-même...»
Alexandra Julien
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