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#port de paix
kemetic-dreams · 9 months
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Benito Sylvain (born Marie-Joseph Benoît d'Artagnan Sylvain; 21 March 1868 – 3 January 1915) was an Haitian journalist, diplomat, lawyer. He also participated and organized the 1900 Pan-African Conference.
Sylvain pathed the connection between Afro-descendants and Africans and became a representative for these groups that were colonized by France. He is arguably considered to be a pioneer of Pan-Africanism.
Benito Sylvain was born in Port-de-Paix, Haiti, in 1868. In 1887, he finished his studies in Paris at the Collège Stanislas, then attended law school, where he obtained his license and then his doctorate.
Supported by his country that appoints the officer of Marine and secretary to the embassy in London, Sylvain founded in Paris in 1890 a weekly committed against French colonialism, La Fraternité (which appeared until 1897).
In 1897, Sylvain staying in Ethiopia became the aide-de-camp to Emperor Menelik II, who defeated the Italians at the Battle of Adwa. Sylvain represented both Ethiopia and Haiti at the 1900 Pan-African Conference held in London, and was appointed as honorary president of the Pan African Association.
In 1906, Sylvain, who attended all lectures against slavery, published in Paris his principal work, entitled On the fate of the natives in the colonies of exploitation, an indictment against colonialism.
As there were very active Afro-descended students in France, including his compatriot Haitians, Sylvain endeavoured to make the connection between Afro-descendants and Africans, in a spirit of resistance to European colonialism, which he reasoned was a new form of slavery
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netalkolemedia · 2 months
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Libération de Me Robinson Pierre-Louis et Michelet Virgile : une nouvelle étape dans l'affaire "Miss Lili
Après une longue bataille judiciaire, Me Robinson Pierre-Louis et Michelet Virgile, ancien commissaire du gouvernement de Port-de-Paix, ont été libérés mercredi, marquant un tournant important dans la complexe affaire du bateau “Miss Lili”. Leur libération intervient après leur septième comparution devant la Cour d’appel de Port-au-Prince, un moment clé qui a attiré l’attention du public et des…
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dixvinsblog · 2 years
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Printemps des Poétes 2023 : " Frontières " Alain Graz -Le temps viendra
Le temps viendra où tu t’accueilleras en ouvrant la porte.Tu te diras bonjour.Tu te reconnaîtras mais ce ne sera pas toi,Sûrement quelqu’un qui te ressemble, à qui tu parlas un jour,Quelqu’un de bien avec qui tu fis quelques pas,Tranquillement à la profondeur de vos voix.Il aura tes yeux, ta bouche, ton sang.Tu entendras battre son cœur doucement.Tu te reconnaîtras mais ce ne sera pas toi.Il aura…
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juno7haiti · 2 years
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La PNH annonce le démantèlement du gang 3 millions à Port-de-Paix
La #PNH annonce le démantèlement du gang 3 millions à Port-de-Paix.- #Juno7 #J7Nov2022
La PNH annonce le démantèlement du gang 3 millions à Port-de-Paix. Sept présumés bandits ont été arrêtés. La Direction Départementale du Nord’Ouest de la police informe avoir procédé à l’arrestation de sept présumés bandits à Port-de-Paix, le lundi 14 octobre 2022, pour association de malfaiteurs et vol à mains armées. Ces malfrats interpellés répondent aux noms de : Louis Augustin alias lawouze…
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jacquesdor-poesie · 7 months
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Quelle joie profonde, en longeant les vitrines du monde, de m'apercevoir que rien ne me fait plus envie. Plus aucune tentation, plus aucun besoin de désirer des choses : je n'ai besoin de rien de matériel, j'ai déjà l'essentiel. Qu'est-ce qui me ferait plaisir, qu'aurais-je envie d'avoir, d'acquérir, de rapporter chez moi ? Rien, sincèrement, profondément, absolument rien, désolé je ne suis plus client. Besoin d'autres choses, besoin de paysages, besoin de voir la mer ou un beau visage, oui, ça oui. Besoin de profiter du silence ou d'une belle voix, oui, ça oui. Besoin du mouvement de la rivière et de l'odeur des sous-bois, oui, ça oui. Besoin de voir l'ocre d'une belle façade sous le soleil, la profondeur d'une ruelle déserte baignée de nuit, oui ça, oui. Besoin de laisser naître en moi une belle idée et peut-être d'en faire trois lignes qui se perdront elles aussi : oui, ça oui, cent fois oui. Pire encore ou mieux encore —c'est au choix : depuis peu je n'attends plus rien, ni personne. Et pourtant... si "plus rien, ni personne"  frappaient à ma porte, j'irais ouvrir et je serais heureux de ce qui suivrait. Je les accueillerais avec plaisir "rien, ni personne", même si à nouveau ils venaient à disparaître. J'en suis arrivé là, je suis capable de ça. Capable de laisser arriver ce qui arrive. Et si cet état devait disparaître avec les acteurs responsables de cet état, ce ne serait pas un drame. Je ne regarde plus dans les vitrines, j'oublie, c'est comme si je gardais les yeux fermés en marchant. Je ne fabrique plus aucune attente, ni aucun de ses produits dérivés : le manque, les frustrations, les désirs incomblés et tout cet inassouvi ravageur qui en découle. Je prends ce qui veut bien venir à moi et me reconnaître. Et sans jamais l'attendre je sais qu'elle existe la minuscule tribu de ceux qui finissent un jour par arriver, s'ils arrivent. L'âge offre ça, ce cadeau, quel cadeau, quelle paix, quel pied (de randonneur) ;  ça doit s'appeler finalement le détachement, ça doit s'appeler finalement la Liberté.
jacques dor
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J’ai l’âge de voir les choses avec tranquillité, mais dans l’intérêt de continuer à évoluer.
J’ai l’âge de caresser mes rêves du bout des doigts et de voir mes illusions se transformer en espoir.
J’ai l’âge où l’amour est parfois une flamme qui a besoin de se consumer dans le feu d’une passion désirée, parfois un havre de paix, tel un coucher de soleil sur la plage. J’ai quel âge ?
Je n’ai pas besoin de nombre, car mes désirs réalisés, mes larmes que j’ai versées en voyant mes illusions se briser….. valent beaucoup plus que ça.
Quelle importance d’avoir vingt, quarante, soixante et plus!
Ce qui importe c’est l’âge qui me correspond. J’ai l’âge qu’il faut pour vivre libre et sans peur….. pour suivre mon chemin sans crainte, car je porte avec moi l’expérience que j’ai acquise et la force de mes désirs.
J’ai l’âge suffisant pour ne plus avoir peur et faire ce que je veux et ce que je ressens.
José Saramago
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perduedansmatete · 3 months
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j'ai l'impression que tous mes efforts seront toujours vains, j'ai erré en cette fin d'après-midi dans les couloirs du métro et dans la foule dans l'espoir de faire passer cette boule au ventre d'une manière ou d'une autre. je me sentais très seule et le bruit du monde couvert par mon casque était trop fort, les larmes me montaient mais c'est si facile de les retenir, de canaliser le nœud en moi, d'attendre que ça passe. je me dis que ça doit être ça l'impact d'avoir régulé toute mon enfance mes émotions dans le petit recoin entre le mur et mon lit en boule par terre comme un chat se cache pour mourir en paix, d'avoir serré les dents et les poings si fort, de m'être retenue si longtemps de pleurer pour ne pas énerver ou ne montrer aucune trace de vulnérabilité. mais j'aimerais savoir à quel moment tout ça a commencé ? quand est-ce que j'ai commencé à croire que ce que je ressentais n'avait aucune légitimité et pourquoi je n'arrive toujours pas à exprimer mes émotions au moment où je les ressens par peur de blesser ou d'être en tort ? aujourd'hui le petit recoin entre le mur de ma chambre et mon lit n'existe plus mais je finis toujours par imploser en silence roulée en boule derrière ma porte ou sur le carrelage de la salle de bain.
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praline1968 · 1 year
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💙💙
MON GALOPIN
Tu nous quittais le 13 octobre 2010 me laissant anéantie à vie.
Je me recueille devant ton urne chaque soir, et la bougie sera allumée ce soir pour te rendre hommage 🕯️ 🕊️
Merci de tout mon cœur pour tout ce que tu m’as apporté durant ton vivant, cet amour inconditionnel qu’on ne trouve pas chez les humains 🙏🏻 🙏🏻
Je ne t’oublierai jamais, je t’aimerai toujours 💗
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(Poème écrit pour tes 20 ans le 12 février 2011)
🤍 MON GALOPIN 🤍
Mon petit cœur, Mon petit amour,
Mon fidèle compagnon, mon ami le plus cher,
Ce 12 février marque pour nous un jour anniversaire,
Celui qui, ce beau jour de 1991, en Ardèche, t’a vu naître,
Tu aurais eu 20 ans aujourd’hui, si seulement tu avais vécu,
Mais la grande roue impitoyable de l’univers ne l’a pas voulu.
Nous espérions tellement l’atteindre ce chiffre de 20,
Pour continuer ensemble vers de beaux lendemains,
Nous voulions tant battre tous les records connus,
Mon petit cœur, mon petit amour, t’en souviens-tu ?
Il y a 2 ans, un AVC sur toi, violemment s’abattait,
Te privant de l’usage de tes pattes, cruellement paralysées,
Devant le pénible spectacle, le désespoir nous envahissait,
Et des torrents de larmes de mes yeux jaillissaient.
Alors qu’à l’unanimité, la grande majorité te condamnait,
Après tant et tant d’efforts déployés et renouvelés,
Durant des heures entières et de longues journées,
Soudain, dans un ultime élan, tu te relevais et tu marchais.
Devant l’étonnement de nos grands yeux écarquillés,
Cet incroyable miracle, de bonheur nous remplissait,
Je t’ai admiré pour cette force unique, cette volonté.
Exceptionnel petit chien, battant, tu l’as toujours été,
Ce jour béni d’entre tous fût le plus beau de ma vie,
Dans cette douloureuse épreuve, tu m’as tant appris.
Cette rage de vivre, depuis, tu l’as toujours gardée,
Le 13 octobre 2010, un nouvel AVC destructeur te frappait,
Cette fois, brutalement et sournoisement, te terrassait,
Enfermant ton petit corps dans une paralysie totale,
Signant ainsi au fer rouge la condamnation finale.
Durant la dernière nuit, tes appels au secours retentissaient,
Et me contraignaient à prendre la décision tant redoutée,
D’abréger tes jours et ta souffrance, et choisir de te délivrer,
Effroyable décision que je ne pourrais jamais me pardonner,
Je le sais, tu voulais vivre encore et ne jamais nous quitter.
Sur la table du vétérinaire, ton petit corps sans vie gisait,
Devant mes larmes de désespoir et ma terrible détresse,
Dans un ultime pleur, tu me suppliais de m’accrocher.
La piqûre contenant le poison mortel ne voulait pas agir,
Sentant mon immense chagrin, tu refusais encore de partir,
Avant que tes yeux et ton cœur ne s’éteignent à jamais,
Me laissant là, abandonnée, impuissante et brisée.
Alors, en hommage à ta force et ton énorme courage,
Comme un emblème, je porte ton collier à mon poignet,
Pour que ton combat ne soit pas vain et ne finisse en mirage,
De me relever et d’être encore plus forte, je te promets,
Afin que ton âme si pure et si belle, puisse vivre en paix.
J’attends maintenant le jour béni de nos retrouvailles,
Ce jour sacré qui nous verra toi et moi à jamais réunis,
Ma seule volonté enfouie au fond de mes entrailles,
Celle de te retrouver enfin pour l’éternité, au paradis.
Je t’aime, à jamais, pour toujours,
Mon petit cœur, Mon petit amour.
💙💙
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🎤 Michel Pépé ~ L’ascension céleste 🎧
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LA PLANÈTE DES SINGES : LE NOUVEAU ROYAUME (2024)
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Vers 2328, environ 300 ans après la mort de César, le « Moïse » du peuple des singes, plusieurs clans de primates se partagent désormais le havre de paix où leur chef historique les a conduits. À l'extérieur, les humains ont régressé à l'état sauvage.
Noa est un chimpanzé d'un clan de singes dresseurs d'aigles. Koro, le père de Noa, est l’un des anciens et le chef du village. Avec ses amis Anaya et Soona, Noa se prépare à un rite de passage à l'âge adulte. Pour cette cérémonie très importante, ils doivent collecter des œufs d'aigle en prenant d'énormes risques pour accéder aux nids. La nuit précédant la cérémonie, Noa repère un humain à la recherche de nourriture. Un bref contact entre les deux casse par inadvertance l'œuf de Noa. Il est obligé d'aller rapidement dans la nuit chercher un œuf de remplacement. En chemin, Noa rencontre un groupe de singes guerriers se disant être au service de César et utilisant des armes à la technologie étrange. Les guerriers, masqués, ont tué l’éclaireur du village de Noa. Ils découvrent ensuite son cheval, alors que Noa reste caché. Ils utilisent le cheval pour retrouver l'emplacement du clan. Quand Noa rentre chez lui, à pied, il trouve le village en feu. Il aide son père à libérer les aigles et tente de riposter, mais le général singe Sylva tue Koro. Noa, inconscient après une grosse chute, est laissé pour mort.
Noa se réveille le lendemain et découvre que sa famille et son clan ont été enlevés. Noa enterre le corps de son père et se lance à la recherche des siens, suivi de loin par l'aigle de son père, Aigle-Soleil. Dans les ruines de l'aéroport international de Los Angeles, il rencontre un orang-outan nommé Raka. Ce dernier explique que la bande de pillards a perverti les idées de César et raconte à Noa les véritables enseignements de l'ancien. Il décide finalement d'accompagner Noa. Ils remarquent rapidement qu'ils sont suivis par une humaine. Raka lui offre de la nourriture et une couverture, malgré les réticences de Noa, et la nomme « Nova ». Dans un observatoire abandonné, Noa est subjugué par ce qu'il voit dans l'immense télescope. Au cours de leur voyage, ils rencontrent un groupe d'humains primitifs avant que les singes masqués les attaquent soudainement. Noa et Raka sauvent Nova, qui, à leur grande surprise, sait parler. Elle leur révèle que son vrai nom est Mae et que les singes ont détruit son village. Elle explique également à Noa où ont été emmenés les membres de son clan : dans une colonie autour d'un ancien bunker humain.
En route vers cette colonie, ils tombent dans une embuscade tendue par Sylva, alors qu'ils tentaient de traverser un pont au-dessus d'une rivière. Dans le combat qui s'ensuit, Raka sauve Mae de la noyade mais est emporté par le courant. Noa et Mae sont capturés et emmenés dans l'immense camp des singes sur une plage. Noa y retrouve son clan dont sa mère, Dar, et ses amis Anaya et Soona. On le mène ensuite devant le roi des singes, Proximus Caesar. Ce dernier cherche à « évoluer » en utilisant la technologie humaine apparemment enfermée dans le bunker situé sur la plage. Chaque jour, Proximus pousse ses singes essayer d'ouvrir les portes blindées du bunker, en vain. Proximus invite Noa à dîner avec Mae ainsi que Trevathan, un humain qui s'est allié aux singes et qui divertit le roi chaque jour. Proximus pense que Noa est utile et exige de savoir quel est le plan de Mae et comment ouvrir le bunker, informant Noa qu'elle veut seulement en profiter pour elle-même.
Noa s'oppose à Mae et exige de connaître la vérité et ses réelles motivations, en échange de son aide. La jeune femme révèle qu'elle connaît une entrée secrète pour pénétrer dans le bunker et qu'elle recherche un livre qui pourrait ramener la parole à l'Humanité. Noa espère détruire le bunker à la suite de cela et ramener son clan chez lui. Noa, Mae, Soona et Anaya placent alors des explosifs autour d'un barrage devant le bunker. Trevathan les interrompt et veut avertir Proximus, mais Mae le tue et jette son corps à la mer, à la grande stupeur des trois singes. Le groupe escalade ensuite une falaise verticale vers l'entrée cachée. À l'intérieur, Mae découvre une réserve d'armes et récupère son « livre », qui est en réalité une clé de déchiffrement d'un satellite. Pendant ce temps, les singes découvrent des livres d'images dans le bunker, qui décrivent les humains comme l'espèce autrefois dominante avant les singes, ce qui les amène à se méfier de Mae.
Alors qu'ils sortent du bunker, le groupe est confronté à Proximus et ses sbires. Il menace de tuer Soona, mais Mae tire et tue Lightning, le singe qui tenait Soona en otage. Proximus accepte de laisser partir Noa si elle leur dit où se trouvent les autres armes dans le bunker. Mae refuse et déclenche les explosifs, inondant le bunker avec Noa et les autres singes toujours à l'intérieur. Alors que l'eau monte rapidement dans l'édifice, les singes grimpent le plus vite possible vers la sortie. Noa affronte Sylva. Il parvient finalement à le piéger et le regarde se noyer. Lorsque Noa s'en sort, il est attaqué par Proximus. Alors que Proximus ordonne à Noa de s'agenouiller devant lui, le chimpanzé maîtrise enfin les chants d'aigle de son père et parvient à leur faire attaquer Proximus. Les aigles l'assaillent et le font tomber de la falaise.
Le clan des aigles revient ensuite sur ses terres et y reconstruit son foyer. Mae fait ses adieux à Noa, en cachant derrière elle une arme à feu, au cas où. Elle explique qu'elle pense que les Humains méritent à nouveau leur chance car ils étaient à l'origine l'espèce dominante sur Terre. Noa lui demande quelle liberté auront alors les singes dans ce monde. Au lieu de tirer sur Noa, elle s'en va. Elle se dirige ensuite vers un établissement humain situé dans une base satellite, où elle livre la clé de déchiffrement, permettant à son groupe de réactiver les satellites et de reprendre contact avec d'autres humains. Alors que l'établissement humain rétablit une connexion satellite, Noa et Soona regardent à travers un télescope fixant avec inquiétude un objet invisible dans le ciel.
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jamie-007 · 4 months
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J’ai l’âge de voir les choses avec tranquillité, mais dans l’intérêt de continuer à évoluer.
J’ai l’âge de caresser mes rêves du bout des doigts et de voir mes illusions se transformer en espoir.
J’ai l’âge où l’amour est parfois une flamme qui a besoin de se consumer dans le feu d’une passion désirée, parfois un havre de paix, tel un coucher de soleil sur la plage.
J’ai quel âge ? Je n’ai pas besoin de nombre, car mes désirs réalisés, les larmes que j’ai versées en voyant mes illusions se briser… valent beaucoup plus que ça.
Quelle importance d’avoir vingt, quarante, soixante ans ! Ce qui importe, c’est l’âge qui me correspond.
J’ai l’âge qu’il me faut pour vivre libre et sans peur. Pour suivre mon chemin sans crainte, car je porte avec moi l’expérience que j’ai acquise et la force de mes désirs.
J’ai l’âge suffisant pour ne plus avoir peur et faire ce que je veux et ce que je ressens.
José Saramago, prix Nobel de littérature (1998)
Douce nuit 🌟🌟🌟
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leparfumdesreves · 4 months
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Ma porte est toujours ouverte, le café est vite prêt, et j'ai du thé aussi, et mon four parfois chaud.
Ma maison est un endroit de paix et sans jugement. Tous mes amis qui ont besoin de parler sont toujours les bienvenus. Ce n'est pas une bonne idée de souffrir en silence.
J'ai de la bière, une bonne bouteille de vin, des paillettes et de grands bras. Vous serez toujours les bienvenus.
C'est toujours bien de parler, d'écouter ! Ou juste passer un moment, le temps de faire une pause d'écouter le silence, ou le bruit de la Vie...❤️
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L'heure de philosophie...
Ceci reste un hymne à la joie. Où se niche la joie ?
Lorsque j'étais étudiante, j'ai beaucoup travaillé sur la question des soins palliatifs. La mort m'obsédait tellement qu'il fallait que j'aille la voir de plus près. Il fallait que je me rende là où tout se passe, dans l'antichambre du départ, dans les confins de l'autre monde. Je m'attendais à observer la nostalgie, la peine, le désespoir, le dépérissement qui ôte toute forme de répit. Ce ne fut pas le cas. Alors évidemment, il serait absurde de dire que les centres de soins palliatifs sont des lieux "réjouissants", pour autant, j'ai été surprise de constater qu'il y régnait une certaine forme de paix, une véritable sérénité, une douceur de l'accomplissement. Il y avait souvent des situations à résoudre, des douleurs à soulager, des mots à formuler, mais il demeurait malgré tout, une joie palpable. Celle qui est capable de reconnaître sans trembler "C'etait bien".
Et voilà ce qui m'intéresse au plus profond de moi, c'est d'observer cette joie glissée dans les interstices. Cette joie qui n'est pas gaieté, qui n'est pas plaisir, qui n'est pas facilité, mais qui est la satisfaction sincère d'être à sa juste place, de sentir son âme s'élever. J'ai déjà ressenti la puissance de cette joie, dans les moments lourds de sens, dans des embrassades de rupture, dans la solennité du devoir.
La joie, au contraire du bonheur et du divertissement n'esquive pas le réel, n'ignore rien de la cruauté des choses. Ni optimiste ni pessimiste, elle invite à voir le monde tel qu'il est, à ressentir des frissons parce-qu'on aura été au bon endroit. Je crois qu'aujourd'hui, j'avais envie de partager cette idée-là. De la rappeler à tous ceux qui aujourd'hui, ont quelque chose d'aide à réaliser, à tous ceux qui se disent que la vie des autres est plus facile, j'aimerais leur murmurer que la joie surgit dans des lieux curieux, dans des recoins sombres, dans des discussions pénibles, dans des décisions dures à prendre. Elle jaillit sur les seuils des portes, quand le respect s'impose plus que la violence.
Où se niche nos joies ? Dans le rayon de lumière, les jours de pluie. Je vous souhaite de sentir ces palpitations là.
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a-room-of-my-own · 3 months
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Je comprends ta colère contre l'échec de la gauche mais je comprends pas ce qui te nourrit politiquement.. Qui est-ce que tu aimes ? Parce que tu portes une meilleure réthorique contre la gauche que certains élus de droite.
C'est pas une demande de justification, je te trouve hyper pertinente sur les sujets sur lesquels tu t'exprimes, mais je comprends pas pourquoi c'est majoritairement négatif (lors même que j'ai bien conscience que notre gauche est navrante).
On est toujours plus sévère avec ceux qu’on estime. Je n’ai rien à dire contre la droite particulièrement, parce que l’échec de la droite gaulliste est facile à analyser, et expliquer pourquoi l’extrême droite ne mène à rien de bon, tout le monde le sait.
Et surtout, on connaît trop, historiquement, la responsabilité de l’échec des oppositions dans l’avènement de régimes tyranniques, voire leur compromission. Le fait est que LFI joue un jeu extrêmement dangereux, et qu’il faut absolument rester vigilant jusqu’aux présidentielles. Ou alors on se sera juste acheté trois ans de paix avant d’avoir le RN au pouvoir.
Moi je suis ravie qu’ils aient été contenus mais faut garder à l’esprit que sans arrangement entre les partis, ils avaient la majorité avec des candidats sortis de nulle part et un leader de 28 piges. Ça dit le niveau de droitisation du pays.
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ultravioart · 2 months
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Also idk when I will finish the edit, but the summer games Mauga spray fucked up Mauga's Pe'a and that is disrespectful to the indigenous Sāmoan tatau artist they hired to help create Mauga's design.
Here is the original summer games spray:
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Here is his Port-De-Paix Skin:
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Look at his arms! His legs! Not even close. :/
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lisaalmeida · 6 months
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Le droit d'exister
Sensation de paix.
L'horloge du temps est arrêtée.
Ces secondes, ces minutes qui me fouaillaient pour me précipiter vers mes travaux, mes recherches, sont ce matin sans pouvoir sur moi.
Je goûte l'instant.
Je sens qu'il a plus à m'apprendre
que l'accumulation de tous les suivants.
Pourquoi me suis-je si rarement accord��
Le temps de vivre,
Le droit de vivre ?
Il me fallait justifier sans cesse mon existence
par ma production, par mon rendement,
à mes yeux comme a ceux des autres.
Mon existence, en soi, n'avait pas de valeur.
Je ne croyais pas exister pour les autres,
j'ai fini par ne plus exister pour moi.
Ce matin, j'ai le droit d'exister tout seul,
pour moi tout seul.
Je prends le droit d'exister.
Et les êtres et les choses autour de moi commencent
à exister d'une existence plus dense.
Eux aussi commencent à avoir le droit d'exister.
Nous sommes un univers d'existences solides, réelles, également importantes et respectables.
C'est comme si le sablier de l'existence se remplissait
de minute en minute de la quantité de réalité
qui le rend stable.
Ce n'est plus cette sensation de vide qu'il faut remplir d'actes, de mots, d'oeuvres.
Je goûte d'être immobile.
J'existe davantage de ne rien faire,
je repose sur ma racine.
Quelle est cette racine ?
Je sens l'existence sourdre en moi sans arrêt,
et ce mouvement, quand je l'observe,
suffit à m'occuper.
Je lui fais confiance.
Je n'ai plus à intervenir, à me justifier d'exister, il me justifie.
Exister justifie d'exister.
C'est bon d'exister.
Ça ne doit « servir » à rien d'exister.
On n'est pas obligé de servir à quelque chose.
On n'est obligé de servir à rien.
On a le droit d'exister d'abord.
Il me semble que je cherchais
sans cesse à justifier mon existence
avant d'avoir pris conscience et goût d'exister.
Jusqu'ici, il m'était incroyable
que l'on puisse passer du temps
sans rien faire et ne pas le sentir perdu !
Le temps n'est pas rempli de ce qu'on y met.
Mon temps se remplit par l'attention que je lui porte...
par le goût que j'en prends parce que je le considère
parce que je me considère
parce que je me suis
restitué LE DROIT D'EXISTER.
Louis Evely,
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coolvieilledentelle · 7 months
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«J'ai rencontré quelqu'un... Une personne qui m'offre toute l'attention dont j'ai besoin... Qui comprend mes envies, mes passions, mes folies... Une personne à la fois qui me booste et qui me laisse le temps... Quelqu'un qui me fait confiance et me porte au bout de mes projets... Elle prend soin de moi, ne me juge pas, est à mon écoute et me conforte quand j'en ai besoin... Avec elle, je sais que j'irai loin... Je ne la tromperai pas pour quelques illusions apportées par un autre... Nous ne vivons pas coupées du monde, nous prenons soin de partager avec d'autres ce trésor que nous avons construit que l'on nommera la Paix... Elle est mon équilibre, mon essentiel, ma vie... J'ai rencontré quelqu'un, quelqu'un dont je vais prendre soin... Ce quelqu'un, c'est moi-même...»
Alexandra Julien 
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