#piège fantômes
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Voici nos livres du mois d'octobre pour les deux groupes:
Groupe 1, lecteurs avancés:
Le Monstre, de Camille Bodin -
Résumé du livre:
"Albert aime Marie depuis l’enfance, mais tandis que son père l’a envoyé en ville faire des études, sa promise épouse un autre homme, le comte de Nulsen. Avant qu’Albert n’ait pu intervenir, les jeunes mariés partent pour la Sicile.
Sans nouvelles depuis des semaines, Albert décide de partir à la recherche de Marie. Alors qu’il passe la nuit dans un hôtel, Albert est réveillé par d'horribles cris. Le lendemain, la police lui apprend qu’on a tenté d’assassiner une femme dans son hôtel. Un temps soupçonné, Albert est innocenté par la victime qui a reconnu son agresseur : le comte de Nulsen. La jeune femme raconte son histoire à Albert et lui apprend que le comte est un monstre adepte du marquis de Sade, qu'il torture Marie et la retient prisonnière dans son château."
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Groupe 2, lecteurs débutants:
Le Fantôme de l'Opéra, de Gaston Leroux -
Résumé du livre :
"L’Opéra est hanté. On ne peut pas expliquer autrement les événements étranges qui s’y produisent : la chute d’un lustre, le personnage au visage inhumain que des machinistes ont aperçu dans les coulisses, la voix que la jeune chanteuse Christine Daaé entend dans sa loge. D’ailleurs, un billet signé « Le Fantôme de l’Opéra » a exigé du directeur la réservation permanente d’une loge, et une pension mensuelle. Cette présence mystérieuse terrorise tout le personnel. Un jour Christine Daaé disparaît des coulisses. Son amoureux, Raoul de Chagny, devra échapper à bien des pièges terrifiants pour la tirer des griffes du «Fantôme»."
#french langblr#French books#Book club#french#le fantome de l'opera#Le Monstre#Gaston Leroux#Camille Bodin#Club lecture#French literature#Littérature francophone#Littérature française
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J'avais aimé les moments entre Jimmy et Clark et c'était un peu gay le moment où ils volaient ensemble. En revanche la conférence, ouais c'était un piège et bien que Jimmy avait de bonnes intentions. Ses arguments sont assez faibles par rapport à Lex qui montre sa manipulation. Expliquant que la terre appartient aux terriens et non aux aliens. Et que Superman ne devrait pas choisir ce qui est bien pour la terre. Car même si il a fait du bien autour de lui, ça a aussi amené des conséquences indirectes, les méchants, l'invasion fantôme kryptonienne. Jimmy ne peut pas argumenter pour ça et il se sent impuissant, isolant de plus en plus Clark de ses amis. Après je suis curieuse de voir comment Jimmy va évoluer maintenant qu'il a un rival de taille !
I had liked the moments between Jimmy and Clark and it was a bit gay when they flew together. On the other hand, the conference, yeah it was a trap and although Jimmy had good intentions. His arguments are pretty weak compared to Lex, who shows his manipulation. Explaining that Earth belongs to earthlings, not aliens. And that Superman shouldn't choose what's good for Earth. Because even if he did good around him, it also brought indirect consequences, the villains, the Kryptonian phantom invasion. Jimmy can't argue with that and he feels powerless, isolating Clark more and more from his friends. After that, I'm curious to see how Jimmy will evolve now that he has a major rival!
#my adventures with superman#maws#maws season 2#maws spoilers#jimmy olsen#lex luthor#clark kent#superman#I would not be suprised to see if the attack was also planified to show an example of how “dangerous” Superman could be#If you can't control them by love control them by fear
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La question piège
Nietzsche ne disait pas ‘’Deviens QUI tu es’’ mais ‘’Deviens CE QUE tu es.’’
A un mot près, la phrase et son sens changent du tout au tout.
Aujourd’hui, les gens se demandent ‘’qui’’ ils sont. La logique de cette recherche est une logique d’AJOUT. Tu cherches des attributs, des éléments extérieurs pour te définir, pour t’épaissir la surface. Cette question est liée à l’aspect en nous du personnage, du paraître : le ‘’moi-extérieur-collectif’’, le moi qui existe au travers du regard des autres, inscrit dans une société à un instant T. Ce moi est totalement superficiel et surtout éphémère : Quand les codes et conventions d’une société changent, il devient obsolète. C'est une question génératrice de grande insécurité car ta valeur est définie par des éléments extérieurs à toi-même.
En occident, du fait que nous évoluons dans une société matérialiste, basée sur le plaisir et la consommation, la sexualité a une place centrale. Les gens vivent au travers des plaisirs du corps, c’est tout ce qu’ils ont. Ainsi, ils se définissent par leurs orientations sexuelles ou leur genre, c’est-à-dire leurs attirances sexuelles et leur apparence liée à cette attirance.
Du fait que nous grandissons dans cette société de consommation, le réflexe, pour se définir, est de se trouver une étiquette. Les personnes qui se définissent par leurs orientations sexuelles se croient dérangeantes, rebelles, anticonformistes alors qu’elles s’auto-étiquetent comme des conserves de supermarché (Même si tu te crois être une femme alors que tu es dans un corps d'homme, cela reste une réduction via une identification ! En réalité tu n'es ni une femme ni un homme, tu es un être !)
Il y a également les personnes qui se définissent par leur métier et leur âge, pour indiquer leur rôle, leur fonction et leur date de péremption dans la société. On retrouve ici cette même réduction et cette même considération de soi en tant que chose, personnage, playmobile.
La question du ‘’Qui suis-je’’ est une question piège car plus on tente d'y répondre, moins on y arrive, plus la réponse s’allonge et se complique. C’est exactement comme lorsque l’on cherche à nettoyer une tâche avec du cambouis : plus on essaie de répondre à la question, plus le problème, la tâche grossie. En effet, dès lors que tu te mets une étiquette, tu réalises juste après que tu t’es auto-réduit, auto-rétréci. Tu tentes alors de t'agrandir en rajoutant une nouvelle étiquette et ainsi de suite, jusqu’à te retrouver écrasé sous une couche surchargée de termes et de définitions qui n’ont plus ni queue, ni tête.
Certaines personnes disent aussi qu’elles se sont ‘’trouvées’’ et cela m’a toujours agacé, cette fierté et cette auto-satisfaction du personnage qui ne bouge plus, figé, trop content de sa place dans la maquette.
Pour ma part, j’ai juste arrêté de chercher. J’ai juste accepté de ne pas savoir qui j’étais. J’y suis arrivée en mettant en lumière le piège que représente cette question.
Dans cette déconstruction, j’ai réalisé que l’erreur se trouvait dans la formulation initiale. La question n’est pas de savoir ‘’qui’’ tu es mais ‘’ce que’’ tu es, reconnaître la nature de ce que tu es.
Qu’est-ce que c’est que ça ? Qu’est ce que c'est que ce QUE ?
La nature de ce tu es, c’est ton être. Ton être, c'est ton énergie. C'est plus que ton simple trait de caractère, plus que ta mentalité ou ta personnalité...c'est ta manière de danser. Mais pas comme un danseur !...Plutôt comme une flamme, une corde, une onde.
Nietzsche disait : ‘’Deviens ce que tu es’’ pour signifier que cela est ton projet, ton but et surtout, qu'être n’est pas un acquis, que cela se devient.
Par défaut, nous sommes conditionnés par notre environnement social, culturel, familial. Il y a aussi en nous ces fantômes, ces ombres, cette ténèbres qui voilent notre nature. Il y a donc un processus d’auto-enfantement à réaliser.
Dans cette perspective là, la logique est totalement inverse : c’est une logique de RETRAIT. Tu vas retirer des couches de ton oignon comme on dit, pour arriver au centre de toi-même, dans ton être, dans ta nature authentique.
Pour cela, tu vas mettre en lumière, non pas ce que tu aimerais être ou projetterais d’être mais tout ce qui n’est pas toi. Tu vas mettre en lumière ton obscurité, ta souffrance, tes parcelles victimaires. Dès lors que tu sentiras la moindre honte, la moindre dévalorisation, le moindre abattement, tu libéreras la masse émotionnelle pesante, le fantôme qui squatte ton être.
Peu à peu, ta nature va se révéler et tu vas changer de monde. Tu vas cesser de t'interroger sur toi-même et surtout cesser de croire (la croyance est le pire des pièges car elle amène autant de certitudes que de doutes : quand on dit ''je crois'' on dit qu'on est sûr et en même temps qu'on n'est pas sûr du tout) pour commencer à croître.
Passer du personnage à l'être, c'est passer de la croyance à la croissance, au développement et à l'épanouissement.
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Une secrétaire ennuyante
La tour s'élevait majestueusement au-dessus du paysage italien. Le ciel était nuageux aujourd'hui et la pluie menaçait depuis quelques heures. Les trois reines Volturi, Sulpicia, Athénodora, et Didyme, étaient assises autour d'une petite table en marbre, discutant des intrigues et des farces qu'elles pourraient jouer ce soir.
"Je m'ennuie de ces humains, toujours à faire leurs tâches insignifiantes," murmura Athénodora, les yeux brillant d'excitation. "Je suis prête pour un peu d'amusement."
Sulpicia sourit de manière sinistre, ses dents acérées étincelant à la lumière de la lune. "Et si nous jouions un tour à notre nouvelle secrétaire? Elle semble un peu trop sûre d'elle, je pense qu'elle a besoin d'une leçon."
Didyme, la douce et compatissante, se joignit à l'idée. "Je suis d'accord. Elle doit apprendre sa place dans notre monde."
Les trois reines se levèrent et commencèrent à marcher dans les couloirs sombres du Palazzo, suivi par leur ombre, Corin. Leurs pas silencieux et leurs silhouettes presque éthérées donnaient l'impression que des fantômes se déplaçaient, au cœur du palais. Elles trouvèrent la secrétaire, une jeune humaine au teint pâle et au regard déterminé, qui était occupée à trier les papiers sur son bureau.
Sulpicia s'approcha d'elle avec un sourire séduisant, tandis qu'Athénodora se tint en arrière, l'œil vif et calculateur. Didyme observa avec une expression neutre, se demandant comment cette scène allait se dérouler.
"Chère secrétaire," commença Sulpicia, sa voix suave et envoûtante, "nous avons décidé qu'il était temps pour vous de vous amuser un peu, de sortir de cette routine ennuyeuse."
La secrétaire fronça les sourcils, méfiante. "Je ne suis pas sûre de comprendre, Votre Grâce. Que voulez-vous dire par cela?"
Athénodora s'approcha alors, son regard glacial faisant frissonner la secrétaire. "Nous voulons juste vous montrer que dans ce monde, les règles sont différentes. Et que parfois, il faut savoir s'amuser un peu plus."
Avant que la secrétaire ne puisse répondre, Didyme s'approcha doucement, posant une main réconfortante sur son épaule. "Ne vous inquiétez pas, ma chère. Vous allez passer un bon moment."
La secrétaire sentit une vague de terreur l'envahir alors que les regards des trois reines se durcissaient, révélant leur véritable nature. Elle comprit alors qu'elle était tombée dans un piège, et que les reines des Volturi allaient faire d'elle leur prochain repas.
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« Quand la bile noire est froide, l'esprit du mélancolique devient « émoussé et obtus ». L'indolence et la pâleur de Saturne s'abattent sur lui. Il perd soudainement la faculté de voir. Comme si quelqu'un avait actionné quelque interrupteur gigantesque, la lumière déserte le monde visible. Tout ce qu'il contemple est fixe, livide, spectral: vide comme l'enveloppe d'un coquillage ou une maison brûlée de l'intérieur. Le monde est opaque, immobile, funèbre, terriblement silencieux: comme si personne n'avait jamais risqué un mouvement, jamais éclaté de rire, n'avait jamais connu le moindre instant de joie ou de tension. La vie s'est immobilisée. Le ciel pèse comme la pierre d'un sépulcre. Tout devient irréel : des ombres et des silhouettes hasardent des gestes factices, sur un fond qui sent le décor de carton et de plâtre d'un horrible avant-spectacle de banlieue, sous un éclairage lunaire. Alors, le mélancolique perd tout désir de vivre. Il est apathique, indifférent à tout, abattu: la dernière étincelle s'est éteinte dans son âme obnubilée. Rien de ce qui attire les autres ne lui plaît; tout ce qu'ils aiment l'emplit d'ennui; et le printemps lui pèse comme l'automne, l'hiver et l'été semblent pareils à ses yeux. S'il lit un livre, il ne parvient pas à fixer ses regards sur la page: les lettres ne forment plus de mots, les mots n'évoquent plus d'images, les images ne défilent plus devant ses yeux. Il lit sans participer, sans comprendre, sans éprouver de joie, sans que s'allume en lui cette lumière intérieure qui lui assure qu'il a compris. Les cieux ouverts, les allées bordées d'arbres, la joie des mers et des fleuves ne l'attirent plus. Il reste enfermé chez lui, assis dans son fauteuil, sans rien faire, sans penser à rien d'autre qu'à son interminable maladie, environné d'une ombre qui s'étend continuellement, au milieu des fantômes du jour, des cauchemars de la nuit, de sommeils toujours plus tourmentés. Il connaît à chaque instant la morsure de l'ennui. Nul geste ne parvient à l'en débarrasser. Quand l'ennui se déchire, son cœur s'emplit de soupçons, de craintes, de terreurs innommables, insensées; son moi se transforme, se multiplie, devient un obscur ennemi qui l'attaque de tous les côtés à la fois; cet assaut ne connaît pas de répit; et le malheureux fond en larmes, tant l'ennemi semble inexorable et proche de la victoire. Chaque matin, devant son miroir, il est tenté de se trancher la gorge; s'il résiste à l'idée du suicide, c'est seulement parce qu'il est certain qu'après sa mort, il pénétrera dans un univers plus désolé encore. Il traverse le monde accompagné de cette ombre noire qu'il perçoit dans la saveur même de ce qu'il mange. Il ne parvient pas à s'aimer, il a l'impression que les autres le soupçonnent, le détestent ou préparent contre lui pièges et embûches. Parfois, un élan d'euphorique frivolité le pousse vers eux: il voudrait les serrer contre son cœur mort; plus souvent, il n'éprouve pour eux qu'une hostilité glacée, une amère rancoeur, et rit, dans leur dos, d'un rire amer. »
Pietro Citati - La lumière de la nuit
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Samedi 23/09 - Investigations avec un fantôme
Tubbo veut s'infiltrer dans les locaux de la fédération pour voir s'il peut trouver des informations sur Philza, les œufs ou Fred. il s'est habillé en costume d'espion pour l'occasion. Il s'est infiltré dans le bureau de la fédération, et est tombé sur Cucurucho en train de regarder son écran. Il l'a espionné pendant quelques minutes, avant que Cucurucho le remarque, et le tue. L'enderpearl qu'il avait placé pour que Fit le sauve en cas de soucis n'a pas marché. Il est revenu dans le bureau de la fédération pour retrouver son équipement, et Cucurucho l'attendait. Il lui a tout rendu (sans avoir rien pris), et lui a dit de partir.
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https://clips.twitch.tv/IcySpicyCobblerNotATK-A6FMtC-dM0Issx7d
Tubbo a reçu un livre directement dans son inventaire, disant ":)". Mais en se rendant dans la cage d'ascenseur de Fit, le livre a changé, disant "Enjoy the island :)". Le livre s'est encore mis à jour quand les deux sont sortis de la cage d'ascenseur, le smiley changeant en ";)".
En voulant aller au labyrinthe, Tubbo a remarqué que Cucurucho le suivant. Il a même changé son nom en ":)". Avant de rentrer dans le tunnel, le livre a été mis à jour, pour un message disant "Are you enjoying the island ? ;)". Dans le labyrinthe, ils ont entendu a plusieurs reprise le tonnerre tomber. En sortant du labyrinthe, ils ont remarqué que Cucurucho était toujours a l'extérieur, en train de les épier. Ils se sont dit qu'il était possible que Cucurucho ne puisse pas aller dans le labyrinthe, car il était géré par le Dark Cucurucho.
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https://www.twitch.tv/tubbo/clip/OddPeacefulGalagoDoubleRainbow-xA0wDPaVvksmDvaW
Ils sont ensuite allé au laboratoire de la fédération, là où les nouveaux ont été retrouvés, car c'est aussi le dernier endroit où Tubbo et Phil sont allés ensemble. Tubbo a remarqué que le gros bloc de glace a disparu à l'entrée. Ils n'ont cependant rien trouvé de plus. Tubbo a finalement laissé une lettre à Fred pour lui demander si quelque chose lui était arrivé.
Bad a commencé à investiguer sur ses camarades pour savoir qui pouvait être une marionnette. Ses 3 premiers suspects sont Forever, Fit et Cellbit. Il considère aussi que Philza pourrait avoir été enlevé, et qu'avec Baghera et Jaiden, il commence a y avoir une motif qui se répète avec les oiseaux. BadBoy a été rejoint dans son enquête par un fantôme qu'il a nommé "Boo". BadBoy a rejeté la faute sur lui pour les pièges de mines au spawn. Bad et Boo sont allés voir Forever dans sa megabase, mais il était afk. Ils sont ensuite allé voir Tubbo dans son usine, mais il était afk aussi. Bad et son compagnon sont donc allé visiter la base de Pol, puis de Bagi (ils ont remarqué que son chat Zeno était de retour chez elle), Quackity, Cellbit, Felps… La liste de ses suspects s'agrandit.
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https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/LazyResolutePheasantImGlitch-At0gAKpZZvfJf4iW
Bad et Boo sont ensuite allé dans la base de la fédération, et Boo l'a téléporté dans l'infirmerie, puis a caché la caméra de sécurité par une image d'Hatsune Miku. Boo a ensuite caché d'autres images de Miku dans la fédération, et ils sont partis investiguer le labyrinthe, sans rien trouver. Bad s'est déconnecté en promettant à Ron qu'il mettrait plus de crème glacé dans le frigo.
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https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/AveragePoisedTruffleBrainSlug-FJl9EfKavNMRWOTn
Baghera, Quackity, Roier, Foolish et Pac ont été invités à jouer à un épisode unique du jeu de rôle "Ordem Paranormal" de Cellbit.
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https://www.twitch.tv/cellbit/clip/WanderingLitigiousClipzWOOP-sU8XdGk4pmaJt7ir
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Les montagnes russes de l'écorchée vive
Ma vie est un Grand Huit couplé au Train Fantôme Où je suis embarquée dans un wagon blindé Sans occasion de fuite et sans espoir guindé Par le parcours qui s’ouvre avec mes hématomes.
Chaque tournant m’entraine, ainsi chaque symptôme Est signe d’un syndrome au bon hasard d’un dé, Mon corps est arraché et mon esprit scindé Cherche un langage, un art, un moyen qui l’embaume.
J’ai beau me retenir sur les bords du manège, J’ai mal à en mourir : émotions sensations Qui sont, tout à la fois, et piège et privilège.
Et quand, de bas en hauts, bien calée dans mon siège, Je laisse l’attraction devenir sortilège : Autour de moi je sens la beauté des passions.
- Fabienne PASSAMENT. 2023
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Lingerie volcanique Flamme vive et interactive Le bonheur jouit en ritournelle À jamais conquis et controversé L’inavouable est en péril Craint le plus grand démantèlement Celui de la fraude romantique
Vient alors échauder les détenus En leur tirant la langue Au bien belle vertu Qui semble appartenir à personne
Personne ne sera maître Malgré les décombres Aucun soumis Malgré la cacophonie ambiante
Négation en négation Au chef d’accusation – Non je n’ai rien à voir avec cette histoire Non je n’étais pas présente en ces lieux Non je ne connais pas cet homme Non ce regard ne me dit rien Non je n’ai jamais entendu ce rire Non je ne présente aucune prise de parti –
Mon non sera le pont vers mon oui Malgré le contraire connu Et mon oui sera le résultat de ma construction de mon non
J’oublie mes lettres et les syllabes Devant les tresses de mon cœur
J’inverse les plates-formes Pour n’avoir rien à dire Aux iris aveuglants Des voyeurs passants
Et toi Tu joues sans signer sans entrer dans les grandes paraboles Tu joues comme un chat retraité Bien perché dans ses idéaux À regarder les souris faire la fête et s’enfarger dans leurs pièges Empathique malgré tout
Gorge ouverte en lumière sur l'antique messe noire Scénario neutralisé Le fantôme en opéra Note avec sa sensible pointe des pieds Son hymne réconciliateur
Enfin je crois peut-être Avoir assez dénudé l’amour Pour en connaître son essence Infuse et atemporelle
Entre en moi l’impossible réel Qui fait jouer ses harmoniques Dichotomiques Et bien des enquêtes trouvent route Dans cette locomotive qui délie le temps À n'en perdre sa pesanteur Et à dégarnir ses tutelles avoisinantes
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🇱🇧 🇵🇸 🇮🇱 🇺🇲 🇬🇧 🇨🇵 🇪🇺 𝘿𝙚𝙧𝙣𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙞𝙣𝙨𝙩𝙖𝙣𝙩𝙨
🔴🔴⚰️ [FLASH INFO]
Gaza ne sera jamais autre chose que ce qu'elle a toujours été… un cimetière pour ses envahisseurs :
Vidéo documentant des soldats nazi-sionistes du bataillon 6130 en train de danser à l'intérieur d'une école dans le quartier d'Al-Zaytoun, au sud de Gaza.
🔻Ce qui rend ces images encore plus saisissantes, c'est qu'elles ont été filmées peu avant que trois des soldats visibles dans cette vidéo ne soient liquidés lors d'une embuscade redoutable tendue par l'unité fantôme des Brigades Al-Qassam.
🔻Ces séquences capturent leurs derniers instants avant qu'ils ne tombent dans le piège inéluctable réservé aux envahisseurs qui osent pénétrer dans Gaza
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Le retour de Beetlejuice - Un voyage plein de nostalgie
Le cinéma aime ses retours en grande pompe, et Beetlejuice 2 ne fait pas exception à cette règle. Trente-six ans après le premier film, Tim Burton, Michael Keaton et Winona Ryder reprennent les rôles qui ont marqué toute une génération. Avec un mélange d’anciennes vedettes et de nouveaux visages, cette suite se veut être celle tant attendue que les fans espéraient, tout en ouvrant la voie à une nouvelle génération. Mais à l’ère des legacy sequels (suites qui misent sur la nostalgie), Beetlejuice 2 parvient-il à éviter le piège du recyclage pur et simple ?
Une nostalgie retrouvée
Le retour de Michael Keaton dans le rôle du fantasque et décadent Beetlejuice est sans conteste l’un des attraits principaux de ce nouveau film. Depuis sa première apparition en 1988, le personnage est devenu une icône du cinéma fantastique, avec son humour noir et ses costumes déjantés. Mais alors que beaucoup pourraient craindre une simple répétition des mêmes blagues, Beetlejuice 2 fait quelque chose d’intéressant. Au lieu de se contenter de reprendre les mêmes recettes, le film essaie d’élargir son univers. Plutôt que recycler l'original, Tim Burton et son équipe choisissent de prendre de grands risques. Certes, Beetlejuice 2 ne surpasse pas son aïeul de 1988 (c’est une tâche difficile à accomplir tant ce dernier est ancré dans la culture populaire), mais il parvient à transformer ce qui était autrefois une comédie domestique en un véritable carnaval visuel. Les décors vibrants, mêlant vert macabre, bleu sombre et les emblématiques rayures noires et blanches, nous plongent dans une atmosphère grotesque où l’au-delà n’a jamais été aussi coloré et déjanté.
Un univers élargi
Le premier Beetlejuice était centré sur une grande famille (les Maitland et les Deetz) et leur étrange relation avec le monde des morts. Cette fois-ci, Beetlejuice 2 s’intéresse à une génération plus jeune, la fille de Lydia, Astrid (interprétée par Jenna Ortega). Le film introduit une nouvelle dynamique familiale, où Lydia, autrefois une adolescente gothique rebelle, se retrouve aujourd’hui mère de famille et star d’une émission de chasse aux fantômes. Le thème principal tourne autour des relations entre générations et de la manière dont elles gèrent le deuil. Lydia, qui autrefois rejetait le monde des adultes, s’y trouve désormais plongée jusqu’au cou. Mais malgré ses tentatives de se réinventer en figure plus adulte, Beetlejuice la pousse inexorablement vers ses anciennes excentricités. C’est là que le film brille, dans les scènes où elle se libère de ses contraintes et laisse son côté excentrique refaire surface, rappelant pourquoi elle était la star des adolescents des années 90.
Un retour aux racines visuelles de Tim Burton
Le réalisateur est connu pour son style visuel distinctif, et dans Beetlejuice 2, il retourne aux sources de ce qui a fait son succès. Le film regorge d’effets spéciaux en stop-motion et d’astuces de caméra, rappelant ses premières œuvres. L’une des scènes les plus mémorables est une séquence en hommage aux films d’horreur italiens en noir et blanc, une touche inattendue mais savoureuse qui témoigne du plaisir que Burton a pris à concevoir ce nouveau long-métrage. Cette énergie créative est palpable dans presque chaque instant, même si elle ne parvient pas toujours à sauver le scénario parfois brouillon. Le film tente d’introduire de nombreuses histoires parallèles, certaines plus abouties que d’autres. L’introduction d’un détective de l’au-delà, par exemple, joué par Willem Dafoe pourrait facilement être coupée sans que l’intrigue principale n’en souffre. De même, la relation entre Lydia et sa fille aurait mérité d’être davantage explorée pour donner plus de profondeur émotionnelle au récit.
Les forces et les faiblesses
Le principal problème du film réside dans son scénario, qui, bien que riche en idées, peine à les intégrer de manière cohérente. Les scénaristes Alfred Gough et Miles Millar semblent vouloir aborder trop de sujets à la fois, ce qui alourdit le récit. Ainsi, même si le film ne dépasse pas les deux heures, il donne parfois l’impression d’être surchargé. Cette abondance de contenu ne nuit pourtant pas complètement à l’expérience globale. Beetlejuice 2 cherche à divertir avant tout, et pour ceux qui cherchent une escapade légère pendant la période d’Halloween, il fait parfaitement le taf. Chaque scène regorge de gags visuels et de moments absurdes qui captivent l’attention, à commencer par les apparitions de Keaton. Même après toutes ces années, l’acteur conserve l’énergie frénétique et l’humour corrosif qui ont fait de ce personnage un favori du public.
Une ode à la fantaisie
La véritable force de Beetlejuice 2 réside dans sa capacité à divertir sans prétention. Ce n’est peut-être pas un chef-d’œuvre, mais c’est une célébration de la fantaisie, du burlesque et de la nostalgie. Catherine O'Hara, dans son rôle de Delia Deetz, vole presque la vedette à Michael Keaton avec sa caricature exubérante de l’égocentrisme, apportant une légèreté supplémentaire à l’ensemble. Le film culmine dans une scène finale qui, bien que pleine de rappels au premier opus, parvient à ne pas paraître trop opportuniste. Les fans de l’original y trouveront une conclusion satisfaisante, et même si certaines des nouvelles idées ne fonctionnent pas toujours, l’ensemble reste un moment de cinéma joyeux et décomplexé. En fin de compte, Beetlejuice 2 ne réinvente pas la roue, mais il propose une bonne dose de plaisir et d’humour macabre, à la fois pour les fans de longue date et pour une nouvelle génération prête à découvrir les joies du monde des morts selon Tim Burton.
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Vous connaissez probablement la fable de Jean de la Fontaine intitulé “le lion et le rat” qui raconte l’histoire d’un rat qui délivre un lion de son piège. La morale de cette fable se trouve au début de celle-ci (2ème vers) : “On a souvent besoin d’un plus petit que soi”.
Eh bien ! Dieu se sert de bestioles bien plus petites qu’un rat pour accomplir des délivrances bien plus grandes que celle d’un lion.
* * *
Le petit papillon
Il y a plus d’un siècle et demi, Frank, un vieux mécanicien de locomotive à vapeur, racontait le fait suivant :
« Je conduisais le train sur la ligne Chicago-New York, avec l’aide du chauffeur Jim Walker. Nous sommes partis à 1 heure du matin et l'arrivée à destination était prévue à 6 heures. Il faisait un temps épouvantable : il pleuvait à verse, le vent soufflait avec violence, et la nuit devenait de plus en plus opaque. Toute mon attention demeurait en éveil pour repérer les signaux que je ne discernais qu’au dernier moment. Le brouillard était si dense que les phares de la locomotive n’arrivaient pas à le percer. Il semblait que nous allions foncer contre un mur. J’étais oppressé et je priais pour implorer la protection divine.
Tout à coup, dans le brouillard, je vis l’ombre d’une femme, vêtue d’un ample manteau noir. Elle faisait de grands signes avec les bras, puis brusquement elle disparut dans la nuit. Jim, occupé à la chaudière, n’avait rien vu. Quand il vit mon visage, il s’effraya :
– Qu’as-tu, Frank ? On dirait que tu as vu la mort !
Je fus incapable de lui répondre.
Je savais que nous étions proches de la fameuse cascade de Rock Creek, un des beaux sites du parcours, et là, un pont de 200 mètres franchissait le précipice. Je ne disais toujours rien lorsque Jim poussa un cri d’épouvante. La femme en noir était de nouveau devant le train et nous faisait signe d’arrêter. Presque malgré moi, j’actionnai les freins, et le convoi stoppa un peu plus loin. Les voyageurs se mirent aux fenêtres, quelques-uns vinrent aux nouvelles. Ce n’est qu’au chef du train que je pus raconter ce que nous avions vu.
– Un fantôme ! dit-il d’un ton furieux, vous êtes complètement fous. Enfin, allons voir pour vous tranquilliser ; prenez une lanterne et nous irons jusqu’au pont.
A peine avions-nous fait quelques pas qu’un spectacle terrifiant s’offrit à nos yeux. Au-dessus du vide, les rails tordus pendaient au milieu des poutres cassées et des troncs d’arbres arrachés. La cascade, enflée par la pluie diluvienne, passait par-dessus pour se perdre dans l’abîme.
Nous regardions ce désastre sans mot dire, conscients que, si notre train n’avait pas été arrêté providentiellement, il aurait été précipité dans le ravin.
Alors que je mentionnais une fois de plus cette femme que j’avais vue agitant les bras, le chef de train s’écria :
– Elle est là !
En effet, on pouvait voir une ombre qui s’agitait dans le brouillard. Un voyageur se mit à rire :
– Regardez, voilà votre fantôme !
Et il montrait un petit papillon qui voletait à l’intérieur d’un des phares. Quand il passait devant le réflecteur, son ombre agrandie était projetée contre le mur de brume, et le mouvement de ses ailes donnait l’apparence de signaux.
Cela fit rire certains voyageurs. Pour moi, ce n’était pas le hasard qui avait introduit cet insecte dans le phare. Dieu avait répondu à ma prière. Il peut utiliser même un petit insecte pour protéger la vie des hommes.
Nous pouvons dire ainsi avec assurance : Toutes choses (même un petit papillon) travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu (Romains 8 v.28) »
* * *
Quand une araignée se met au travail
Dans le petit village de Stambourne, au sud-est de l’Angleterre, le presbytère était habité, en 1662, par le pieux pasteur Henri Havers.
Comme beaucoup de ses confrères, il fut contraint d’abandonner son home. Pourtant il n’en continuait pas moins à prêcher l’Évangile de Jésus Christ, en temps et hors de temps. Cette vie errante l’exposait à de graves dangers, mais le Maître qu’il servait lui fit voir maintes fois de merveilleuses délivrances.
Un matin, ses voisins vinrent l’avertir qu’un groupe de dragons* était à sa recherche. Il n’avait plus le temps de seller son cheval et de fuir. Le seul endroit qui pouvait lui servir de refuge était une vieille dépendance de la ferme ; il s’y blottit dans le four vide.
A peine s’y trouvait-il qu’une araignée monta après lui jusqu’à l’ouverture béante et y tissa sa toile gracieuse. Il ne put s’empêcher de l’admirer. Bientôt elle obstrua complètement l’ouverture avec les fils serrés de sa toile.
Henri Havers entendit alors des voix et des pas qui se rapprochaient ; les soldats arrivaient. Ils cherchèrent de tous côtés. Passant devant le four l’un d’eux s’écria : « En tous cas, nous n’avons pas besoin de chercher ici ! Le coquin n’aurait pas pu y entrer sans briser cette toile d’araignée ».
Et ils partirent ne se doutant pas de l’extraordinaire protection que Dieu avait accordée à son serviteur.
* dragons : soldats se déplaçant à cheval mais combattant à pied.
* * *
La mouche
Nous sommes au 18ème siècle. Alors que John Wesley prêchait à Dublin, un certain personnage de la ville, très opposé à ces prédications, mais grand amateur de musique religieuse, résolut d'assister à l'une de ses réunions, seulement pour entendre les cantiques accompagnant la prédication. Décidé de ne rien écouter d'autre que la musique, il se bouchait les oreilles pendant toute la durée des intervalles entre les chants.
Mais Dieu a tous les moyens pour atteindre une conscience !
Pendant que notre homme se bouchait fermement les oreilles, une mouche vint se poser sur sa figure. La démangeaison devint intolérable au point qu'il souleva la main pour chasser l'insupportable bestiole. Ce fut assez pour qu'il entendit John Wesley citer à cet instant précis ces mots, répétés cinq fois dans les Évangiles :
« Quiconque a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! »
Cloué par la surprise, il continua d'écouter et sa conscience fut atteinte par les paroles de la Bible. Elle ne lui laissa plus de repos. Et il suivit toutes les prédications de John Wesley jusqu'à ce qu'il trouvât enfin le repos en recevant Jésus comme Sauveur.
Oui, Dieu se sert même d'une mouche pour amener quelqu'un, même le plus endurci, à croire en Jésus !
* * *
Nota : Cette dernière histoire est tirée du calendrier “5 PAINS ET 2 POISSONS”
Celui qui a nourrit à satiété 5 000 hommes (sans compter les femmes et les enfants) avec 5 pains et 2 poissons (Matthieu 14 v.16 à 21), ne peut-il pas faire de grandes choses avec des petites, ne seraient-ce qu’avec des simples bestioles ?
www.la-verite-sure.fr/page632.html
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La perte d'un répère ( the loss of a landmark)
Ruby n'était pas la seule à avoir des conflits intérieures. Weiss ressent encore la perte d'Atlas et même l'appel de Klein montre que justement les réfugiés ne sont pas réceptifs à l'aide de la famille Schnee ce qui est assez compréhensible. On peut avoir aussi le ressenti de Weiss en sachant la mort de Jacques, montrant ses reproches envers lui car il les a abandonné bien avant la chute d'Atlas. Mais malgré tout, Atlas restait un repère et voir que sa chute a été provoqué par Ironwood, une personne qui avait prit sa grande soeur sous son aile et qui l'avait aidé dans le bal de charité dans le volume 4. Ça fait mal, c'est vrai ! Et elle n'a plus de maison errant en essayant de trouver une réponse. Au port, elle parle au Bruce, elle comprend comment est Gotham est pour lui. Du coup, elle lui pose à son tour la question est ce qu'on peut toujours appeler une maison si elle n'est plus là. Et qu'est ce qu'il y a après ? Qu'est ce qu'elle peut faire désormais ? On se souvient de sa tirade contre sa version jeune d'elle même. Et même si je pense que ça tient toujours, concrètement elle ne sait pas pour où commencer.
Weiss qui n'a justement pas de pouvoir contrairement aux autres, on pourrait croire que ce serait une cible facile. Mais malgré tout, elle arrive à s'adapter en utilisant ce qui l'entoure et comprend que la queue du scorpion grimm est un indice. D'ailleurs le fait qu'elle soit celle qui sauve les innocents lors de l'attaque du pont montre justement que même en tant que Schnee, la priorité sera toujours le peuple et non les intér��ts de sa famille contrairement à Jacques. Même si Batman est plus en retrait dans ce film, j'ai bien aimé leurs interactions concernant la quête de réponses. Tout comme Weiss, il a eu des attentes de la part de ses parents mais après leurs morts. Il a essayé de trouver des réponses à ses questions pour comprendre ce qu'il est et ce qu'il doit faire ainsi que pour Gotham. J'aime bien comment cette scène fait aussi parallèle avec Ruby et Clark dans la salle d'entraînement.
Mais le fait que justement c'est Watts qui a causé tout ce bordel, mettant le désordre dans sa tête que ce soit dans le monde digital mais aussi celui de JL. Je peux comprendre qu'elle soit en rognes car Watts s'était allié à son père pour faire tomber l'un des dominos afin qu'Atlas tombe. Du coup elle soutient Ruby pour continuer sa mission mais Clark insiste sur le fait de se reposer car ils en ont besoin ! Lors de l'affrontement final, elle suit le plan bien qu'elle essaie d'atteindre Watts et malgré leur piège, elle voit sa maison bien que ce soit pas réel. On voit que ça la peine de revoir un pays fantôme or elle voit bien que sa famille sont les personnes qui l'entourent et a eu la chance de les trouver. D'ailleurs j'aime beaucoup la petite provocation lancé par Weiss envers Watts car il suit plus Salem désormais. Watts d'ailleurs parle de sa vision, disant que les Schnee n'en avait pas. Sauf qu'aucune de ses balles ne touchent ses cibles. Et le mettant à nu devant Kilgore pour qu'ils soient en conflit et ainsi les piéger dans le monde digital ce qui soulage Weiss.
Elle n'a peut être pas encore trouvé comment concrètement façonner son héritage. Mais elle continuera d'avancer car elle n'est plus seule désormais et son propre repère, son équipe, la suivra pour ce qu'elle compte entreprendre.
Ruby wasn't the only one with inner conflicts. Weiss still feels the loss of Atlas, and even Klein's call shows that the refugees are not receptive to the Schnee family's help, which is quite understandable. We can also see how Weiss feels about Jacques' death, reproaching him for abandoning them long before Atlas fell. But despite everything, Atlas was still a landmark, and to see that his downfall was brought about by Ironwood, a person who had taken his older sister under his wing and helped her with the charity ball in volume 4. It hurts, it really does! And she no longer has a home wandering around trying to find an answer. At the port, she talks to Bruce, she understands how Gotham is for him. So she in turn asks him the question: can you still call it home if it's no longer there? And what's next? What can she do now? We remember her tirade against her younger version of herself. And even if I think it still holds, she doesn't really know where to start.
Weiss has no powers of her own, unlike the others, so you'd think she'd be an easy target. But despite everything, she manages to adapt by using her surroundings and understands that the grimm scorpion's tail is a clue. Moreover, the fact that she's the one who saves the innocents during the bridge attack shows that even as Schnee, her priority will always be the people and not her family's interests, unlike Jacques. Although Batman takes a back seat in this film, I enjoyed their interactions as they searched for answers. Like Weiss, he had expectations of his parents, but after their deaths. He tried to find answers to his questions in order to understand what he is and what he must do, as well as for Gotham. I like how this scene also parallels Ruby and Clark in the training room.
But the fact that it was Watts who caused the whole mess, messing up her head in both the digital world and JL's world. I can understand why she's upset, because Watts had allied himself with her father to bring down one of the dominoes so that Atlas would fall. So she supports Ruby to continue her mission, but Clark insists they need to rest! In the final confrontation, she follows the plan even though she's trying to reach Watts, and despite their trap, she sees his house, even though it's not real. We can see that it pains her to see a ghost country again, but she can see that her family are the people around her, and she was lucky enough to find them. I also like Weiss's little provocation to Watts because he's no longer following Salem. Watts talks about his vision, saying that the Schnees didn't have any. Except that none of his bullets hit their targets. And exposing him to Kilgore so that they're in conflict and thus trapped in the digital world relieves Weiss.
She may not yet have figured out how to concretely shape her legacy. But she'll keep moving forward, because she's no longer alone, and her own landmark, her team, will follow her wherever she goes.
#rwby#rwby x jl#rwby jl spoilers#rwby analysis#analysis#weiss schnee#bruce wayne#batman#arthur watts
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Quelle raison pourrais-je avoir pour déconsidérer plus que personne les pantins booléens, si c'est parce que je ne me prête pas qu'aucun autre à l'illusion? Il faut dire que La Chambre Noire Lycanthropique n'a jamais été assez conne comme une valise. Comme d'habitude, le discernement de cettes i n t e l l i g e n c e s est presque aussi fin que que les filtres de papier toilette. Quel échec cuisant! Tomber dans vos propres pièges, juste ce à quoi nous nous attendions de la part de cerveaux si rapides!
Vos cauchemars ne sont pas réels. Vos illusions sont faibles, prétentieuses et ridicule. Si vous pensez pouvoir nous effrayer aussi facilement, vous devriez peut-être simplement abandonner et reconnaître que vos faibles et débiles tentatives de vous faire la pâle réplique de tous les dérision sont vouées à l'échec!
I'll say again what I've been saying from the beginning. Nothing and nobody will ever bring to an end the love between me and him. I LOVE HIM! AND HE LOVES ME! Pre-eminently. Profoundly. Passionately. Preternaturally.
Neither time nor tide, nor the wantons of this wretched world shall ever extinguish the vigorous flame that burns between our immortal selves, a love that eternally transcends over the existential spatial limits of worlds beyond worlds and is manifested in a language that only us can understand.
Il s'agit de l’ombre, pas de fantômes intermédiaires qui jouent toujours dans des pièces de théâtre et des spectacles occultes faux, non autorisées écœurant et haïssable. Vous ne l'aurez jamais!
"""
Les cinq yeux de la bête
de la maison rouge
sont devenus aveugles.
"""
#RP#allegedly#multianachronicverse#horizon#1862#jamie bower#jAmIe#steamjunk#jamie campbell bower#horizon hoodoo#JaMiE#mustard of moppets#commander of the ragdoll regiment#electric plush patrol#JM3#avant-garde circus of outlaw ants#JM#the sorceress#inspo
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Évaluation des enquêtes de Maigret par Simenon
Pietr-le-Letton ++++
Le Charretier de "La Providence" +++
Monsieur Gallet, décédé ++++
Le Pendu de Saint-Pholien ++++
La Tête d'un homme ++++
Le Chien jaune ++
La Nuit du carrefour ++++
Un Crime en Hollande ++
Au Rendez-vous des Terre-Neuvas +++
La Danseuse du Gai-Moulin ++++
La Guinguette à deux sous ++
L'Ombre chinoise +++++
L'Affaire Saint-Fiacre ++++
Chez les Flamands ?
Le Port des brumes
Le Fou de Bergerac ?
Liberty Bar
L'Ecluse n°1 ?
Maigret
Les Caves du Majestic
La Maison du juge
Cécile est morte
Signé Picpus
Félicie est là
L'Inspecteur Cadavre
Maigret se fâche
Maigret à New York
Les Vacances de Maigret ?
Maigret et son mort
La Première Enquête de Maigret
Mon ami Maigret
Maigret chez le coroner
Maigret et la vieille dame
L'Amie de Madame Maigret +++++
Les Mémoires de Maigret
Maigret au Picratt's
Maigret en meublé
Maigret et la Grande Perche ?
Maigret, Lognon et les gangsters
Le Revolver de Maigret
Maigret et l'homme du banc
Maigret a peur
Maigret se trompe
Maigret à l'école
Maigret et la jeune morte
Maigret chez le ministre ?
Maigret et le corps sans tête
Maigret tend un piège ?
Un échec de Maigret ?
Maigret s'amuse
Maigret voyage
Les Scrupules de Maigret ?
Une confidence de Maigret
Maigret aux assises
Maigret et les témoins récalcitrants ++++
Maigret et les vieillards
Maigret et le voleur paresseux
Maigret et les braves gens
Maigret et le client du samedi
Maigret et le clochard ++++
La Colère de Maigret
Maigret et le fantôme
Maigret se défend
La Patience de Maigret
Maigret et l'affaire Nahour
Le Voleur de Maigret ++++
Maigret à Vichy
Maigret hésite
L'Ami d'enfance de Maigret
Maigret et le tueur
Maigret et le marchand de vin ?
La Folle de Maigret
Maigret et l'homme tout seul
Maigret et l'indicateur ++++
Maigret et Monsieur Charles
Nouvelles
La Péniche aux deux pendus
L'Affaire du boulevard Beaumarchais
La Fenêtre ouverte
Monsieur Lundi
Jeumont, 51 minutes d'arrêt
Peine de mort
Les Larmes de bougie
Rue Pigalle
Une Erreur de Maigret
L'Amoureux de madame Maigret
La Vieille Dame de Bayeux
L'Auberge aux noyés
Stan le tueur
L'Étoile du Nord
Tempête sur la Manche
Mademoiselle Berthe et son amant
Le Notaire de Châteauneuf
L'Improbable Monsieur Owen
Ceux du Grand-Café
Menaces de mort
Les Caves du Majestic
La Maison du juge
Cécile est morte
Signé Picpus
Félicie est là
L'Inspecteur Cadavre
La Pipe de Maigret
Le Témoignage de l'enfant de chœur
Le Client le plus obstiné du monde
Maigret et l'Inspecteur malgracieux
On ne tue pas les pauvres types
L'Homme dans la rue
Vente à la bougie
Un Noël de Maigret +++++
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LA BRÈCHE, par Constance Ogier
Constance Ogier a intégré il y a peu la joyeuse troupe du Feu Sacré comme relectrice. Elle sera l’œil scrutateur de nos futures publications, passant au peigne fin les tapuscrits. Pour fêter son arrivée, elle a accepté de nous laisser publier son premier texte. Un conte de la crypte, au sens propre. Entre poésie, humour noir, petite et grande histoire. Entre Jules Michelet et Jorge Luis Borges. Gooble Gobble, bienvenue à elle !
“Le prévenu est un vieillard sec et jaune” Gazette des Tribunaux du 11 mai 1856
Chaque passant de Paris se souvient avoir croisé, lu, parcouru un de ces panneaux brunâtres de l’histoire de Paris - autrement nommés pelles Starck - qui annoncent le monument visible ou fantôme auquel il faut s’intéresser. Cette fois-ci, en novembre dernier, j’étais plutôt interloquée par les images qui se formaient en moi après la lecture des appositions “inventeur et victime” inscrites côte à côte sur la même plaque. De là est né un désir insatiable - doublé très vite par un long travail de fouille - de connaître et comprendre cet homme.
Le 12 janvier 1856, prenant le contre-pied des vivants qui se contentent de mourir en dehors des cimetières, un homme meurt à l’intérieur même de celui de Montmartre, anciennement dénommé la Barrière Blanche. Ce cimetière citadin, situé dans le nord de Paris, est bordé par la rue Caulaincourt - ministre sous Napoléon Ier - la rue Ganneron - député et chandelier - Joseph de Maistre - fervent anti-révolutionnaire,...Tous ces noms ne nous disent trop rien quand on les découvre, ils ont pourtant leur part de chair dans le tableau imprécis de cette histoire. De nos jours, on s’y promène le dimanche, rare espace de verdure pour y déposer nos regards et nos corps broyés par les secousses et les bruits de la ville. C’est un espace où l’on fait communauté malgré nous autour des morts, comme pour être tout à fait solidaires avec eux dans un silence résilient. Pourtant, au XVIIIe et XIXe siècles, pour des raisons d’hygiène, le cimetière n’est plus accolé aux églises, mais déplacé en dehors de la ville perdant ainsi une place symbolique au sein de la communauté [1].
Depuis Philippe-Auguste jusqu’à la Révolution, des agents communaux, dits les « crieurs des morts », annonçaient à travers la ville munis de clochettes, le nom des défunts et l’horaire des funérailles aux côtés des prix des marchandises et des lieux de noces. Comme s’ils cherchaient à marchander la mort, sans toutefois y parvenir. Ils sont ensuite remplacés par des faire-part et des rubriques nécrologiques dans les journaux qui deviennent le relais de la mort, l’espace où le nom se dit en même temps qu’il se lie au moment du décès. C’est d’une étonnante violence d’inscrire un nom dans une rubrique, comme si cela actait, d’une certaine façon, l'impossibilité de ne plus l’énoncer autre part. La mort de cet homme n’a été qu’un événement isolé dit-on, le cimetière affiche malgré tout une plaque à sa mémoire en guise d’accueil, ou plutôt, reporte sur l’un de ces panneaux dédiés à l’histoire de Paris, une anecdote assez savoureuse; il clame la mort de cet homme en fanfaron :
« Officiellement ouvert le 1er janvier 1825, le Cimetière du Nord est désormais protégé contre les pilleurs de sépultures : il perd ainsi en 1856, l’un de ses conservateurs, M. de Vaulabelle, inventeur d’un système de pièges avec mise à feu, victime de son devoir pour s’être envoyé une décharge mortelle en pleine poitrine ! »
La lecture de cette plaque ne m’a pas satisfaite, je l’admets. Je suis donc allée lire tous les articles qui me décriraient l’événement plus précisément. J’espérais follement un exposé précis de ce « système de pièges avec mise à feu », et rêvais secrètement d’un nouvel homme tué par sa propre invention, un Franz Reichelt oublié de l’Histoire, un rival de l’homme en costume-parachute qui saute de la tour Eiffel. Ma conclusion fut bien autre, et en passant la déception qu’elle m'apporta, elle m’ouvrit tout un pan de l’Histoire.
Qui décida de faire monter les murs du cimetière à deux mètres ? Je n’en sais rien, mais le 20 et 21 juin 1856, lors du procès à la chambre correctionnelle de la Cour Impériale de Paris, dirigé par M. Zangiocomi, un seul mot était sur toutes les lèvres : « la brèche ». Des intrus avaient réussi à faire une trouée dans ce lieu qui n’accueille que de jour : à l’angle du mur qui sépare le cimetière de la rue des Carrières.
Sont véritablement en cause : trente centimètres de mur, trente centimètres manquants sur le pan de mur entre la 8e et 10e division. Qui donc appeler à la barre ? Il m’a semblé très vite que la culpabilité et le meurtre de cet homme se logeaient dans ce vide là, ce vide laissé par le temps, et la peur qu’il provoque chez les hommes. Ces trente centimètres sont tout juste ce qu’il faut pour former l’idée d’escalader le mur qui sépare la ville ouverte et l’espace clos du cimetière. Interrompre le grand silence de mort qui les sépare des vivants. Ce désir de grimper sur le mur, faire glisser son regard et son corps au-dedans, près des morts… qui ne l’a jamais éprouvé ? Déjà, au Moyen-Âge, le cimetière échappe à la loi : protégé par les églises, il est formellement interdit de capturer un fugitif qui se réfugie dans son enceinte. C’est cette fracture, nichée dans la dénomination du cimetière, qui m’a d’abord intéressée : on l’appelle « le cimetière de la Barrière Blanche » ; tout comme au cirque, on nomme « barrière », la petite palissade qui sépare les spectateurs de la piste.
La Barrière Blanche désignait en fait les carrières de gypse sur lesquelles était situé le cimetière, exploitées depuis l’époque gallo-romaine pour le « blanc de Paris ». Le dicton dit qu’il y a plus de Montmartre dans Paris, que de Paris dans Montmartre. Ce blanc provient du gypse, une espèce minérale qui se transforme en plâtre à 120°C et c’est en lui qu’on a coulé Paris. Au Moyen-Âge, l’espèce était tout à la fois adulée et honnie, admirée pour sa couleur où l’on croyait voir se moirer la lune, détestée pour la rouille qu’elle provoque dans les bassins selon les dires des lavandières. Cette barrière est aussi le lieu des exécutions et des fosses communes lors de la Révolution, celui d’effondrements successifs, effondrements qui parlent de frontières, de barrières naturelles ou reconstruites pas les hommes. L’histoire de ce cimetière s’est façonnée des séparations entre deux espaces qu’on a voulu définis, mais qui n’ont cessé de se frotter l’un contre l’autre: la ville et les carrières d’en-dessous, le cimetière et les rues d’à côté…
Le cimetière du Nord est inauguré en 1825. À cette époque, les pillages sont fréquents dans le cimetière, et une défaillance dans le mur d’environ trente centimètres est alors inculpée. Cette faille creuse de jours en jours une peur chez les gardiens du cimetière à qui on assène ne pas en détacher le regard. M. de Vaulabelle, le conservateur du cimetière, leur confère une charge : celle de garder de nuit cette brèche et d’empêcher tout intrus cherchant à entrer au-dedans. Très vite, ils croient apercevoir des formes étranges, bizarres se mouvoir de ce côté-là, et s’imaginent brandir leurs armes, héroïques, sauvant les possessions des disparus, défenseurs élus de la mort et de ses biens. L’interdiction de franchir les portes du cimetière de nuit est enfreinte à plusieurs reprises et durant plusieurs années.
Peu après la révolution de février, en novembre 1848, les ouvriers catalysent tous les comportements inadéquats, transgressifs et dangereux pour le gouvernement. La Revue des deux Mondes fait paraître un discours de Jean-Jacques Baude, ancien préfet sous la monarchie de Juillet, dans lequel il désigne ouvertement les ouvriers de « bandes de bêtes féroces, professant comme une religion le pillage, le viol et l’incendie » ou encore les comparant aux « hordes d’Attila ». L’association des pillages aux ouvriers est d’autant plus rapide que Maxime du Camp publie un article dans La Revue des deux Mondes où il signale, non sans mépris, la présence d’ouvriers à l’orée du cimetière: « Jadis, au temps où bruissaient les Porcherons, il y avait là une sorte de ferme doublée d'un cabaret; les ouvriers venaient s'y amuser le dimanche. [...] Le prix des concessions [...] est assez élevé pour que l'entrée d'un de nos grands cimetières [...] ne ressemble pas à un cabaret de joueurs de quilles. »
Les formes inconnues sont ainsi troquées par ces joueurs de quilles qui sautent par-dessus le mur, à l’endroit exact de la défaillance, pour y voler toutes sortes d'objets sur les sépultures. D’ailleurs, cette image est véhiculée très largement dans toute la sphère sociale. Le théâtre bourgeois s’en saisit immédiatement, et se représentent à Paris des vaudevilles où l’admirable tenue des patrons s’oppose à l’instinct grégaire des ouvriers. C’est ainsi que le frère de M. de Vaulabelle, Léonore, écrit quelques années plus tôt: La propriété c’est le vol, vaudeville satirique sous-titré « folie-socialiste en trois actes et sept tableaux » qui parodie la formule de Pierre-Joseph Proudhon. La déshumanisation des ouvriers s’accompagne d’autres figures et bientôt, des cornes leur poussent. Dans l’esprit des gardiens, la première réponse à la peur fut la nécessité d’identifier un visage, de déceler une identité et la seconde celle de l’éloigner à nouveau de soi, de faire de cette identité un spectre diabolique et par là même inhumain. Il me semble qu’il y a là bien plus qu’un bouc-émissaire. De l’ouvrier on fait un diable, du diable on fait l’ouvrier. Ils ont en commun d’être des écorcheurs. Le désir des couronnes d’épines en bronze et des vierges d’ivoire se mêle à celui du marbre des horloges et des presse-papier bourgeois chinés sur les marchés. Les objets volés sont tout à la fois objets de mémoire et marchandises. Mais quelle place occupe réellement en eux la cupidité ou le désir de propriété ? Dérober aux morts pour réconcilier les espaces : peut-être est-ce le seul trait d’identité qui nous reste de ces voleurs ?
En 1825 et les années qui suivirent, épier cet espace était devenu un enjeu de taille pour les gardiens. Quelques années plus tard, le cimetière est bien gardé. Le conservateur, M. de Vaulabelle, a posté des gardiens qui exécutent une ronde solitaire de nuit. D’abord, ils n’ont qu’un couteau et attendent à vingt-sept ou vingt-huit mètres de la brèche. Ils rôdent autour d’elle, et ne doivent pas en détacher le regard. Ce qui m’a surprise est la précision des distances et des mesures évoquées dans les journaux et en particulier dans la gazette des tribunaux qui retrace le procès. Deux mètres, un mètre soixante-dix; vingt-sept ou vingt-huit mètres. L’exactitude y est pour beaucoup je crois dans l’angoisse frémissante et partagée des pilleurs et des gardiens, obsédés par cette percée qu’ils brûlent de défendre en tremblant. M. de Vaulabelle décide alors d’armer ses gardiens, de les équiper d’armes à feu pour veiller sur ce coin de cimetière. Ce coin présente des traces de passage qui pointent ce pan de mur comme la voie de prédilection des voleurs. Les gardiens du cimetière de Montmartre sont donc postés là, chargés d’un devoir terrible : celui de surprendre les voleurs et de les exécuter. La seule prévenance donnée par M. de Vaulabelle est celle de prononcer le « Qui vive ? » avant de tirer, adresser une dernière interrogation à une ombre méconnaissable et sans lumière. Selon les versions, la consigne donnée est qu’il faut l’adresser trois fois au nouveau venu et attendre une réponse avant de tirer ou, il n’est question que d’une seule occurrence, d’une unique question. Décliner une identité nominale, sinon la mort.
En 1856, aux environs de cinq heures, le 12 janvier, M. de Vaulabelle est tué par un de ses gardiens à la brèche. Tir de carabine. Au « Qui vive ? » de l’homme jaune et sec, gardien ce soir-là, le conservateur du cimetière du Nord s’est tu. Aucune réponse n’a été entendue du dehors, comme de l’intérieur du cimetière. Comme si, l’homme et sa loi, celui qui professait le « Qui vive ? » à son armée, s’était entièrement remis à l’impossibilité de faire corps avec un nom, comme le cimetière lui-même qui a troqué le sien au fil des ans. Cet épisode est raconté avec un certain amusement dans le tome quatre du Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle : « Ce fut en faisant lui-même, au milieu de la nuit, une ronde de surveillance, que le conservateur du cimetière de Montmartre, M. de Vaulabelle, frère de l’historien, fut tué, il y a quelques années, par suite de l’observation trop rigoureuse d’une consigne qu’il avait donnée, et dont il ne se rappelait plus les termes. » L’avocat général Barbier a dit lors du procès qu’il fumait sa pipe et marchait d’un pas lent et mesuré: sa ronde n’était qu’une balade auprès des morts. Et pour preuve : il en perd sa main ! Que doit-on entendre dans ce silence ? Une simple désinvolture, un homme évaltonné, mesurant son existence dans l’écart entre ses bouffées de fumée et ses pas ? J’entends dans ce silence un doute, une hésitation à se tenir debout dans un cimetière. J’entends un homme qui ne connaît plus son identité face à toutes ces pierres tombales où les noms sont gravés.
M. Lachaud, défenseur de Mabille lors du procès, affirma que cet événement déclencha la folie de sa femme, une folie hors du cimetière. Bien plus tard, en 1912, dans un autre cimetière parisien, un homme décède dans le secret. Le feu n’est pas vu, contrairement à ce qui est montré sur la Semaine illustrée, il n’y a aucun spectateur à cette scène spectaculaire. L’homme a franchi la barrière blanche, les murs des cimetières et leurs trente centimètres, et s’est immolé sur la pierre tombale de sa femme, encore une pierre qui le séparait du corps de la morte. Les portraits et les statuettes de plâtre ont fondu ce jour-là, ou sont-elles tombées ? Brisées ? On a donné un nom à cet homme : le mari; comme on a donné des noms aux acteurs du fait divers précédent: le conservateur et le vieillard, jaune et sec.
C’est un autre mariage qu’il a exécuté seul, sans témoins, un mariage avec la pierre, avec le gypse qui contient l’os et la peau. On nomme aussi les cimetières « champs au repos ». Le premier homme est mort de la main d’un gardien entre les tombes, « au clair de lune » dira Mabille, et le second de sa propre main sur la tombe de sa femme. Vous me direz que le lieu et le temps ne lient pas deux affaires, d’autant qu’il ne s’agit pas du même cimetière. Mais la cause du décès du premier reste inconnue, mystérieuse, la seconde a une fin. Pourquoi le vieillard jaune et sec a-t-il tiré sur le conservateur du cimetière ? Par peur, oui, par peur. Et pourtant, je veux lui donner une autre fin. Ce qui me questionne n’est pas tant la cause de l’homicide, mais l’absence de réponse du conservateur, qui connaissait la procédure qu’il avait lui-même élaborée. Son silence m’interroge et j’aimerais croire qu’il a embrassé l’identité des voleurs, sûrement sans le vouloir, qu’il s’est épris lui-même de la figure de l’ombre que lui et une grande partie de la société associait sans vergogne au premier opposant au régime impérial. Ce soir-là, M. de Vaulabelle a troqué son nom et sa particule pour redevenir un homme et son ombre.
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[1] Les cimetières étaient consacrés et réservés aux catholiques ayant reçu le dernier sacrement (l’extrême-onction). De nombreux enterrements se déroulaient alors de nuit et en cachette.
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Virginie Efira, l’actrice qui a le plus marqué l’année 2021
Vous voulez en savoir plus sur Virginie Efira, l’actrice qui a joué dans Benedetta ? Eh bien, dans cet article, vous aurez toutes les informations que vous recherchez concernant cette talentueuse comédienne. A 44 ans, l'actrice Virginie Efira n'est vraiment pas prête de prendre sa retraire. En 2021, on l'a vu jouer dans plusieurs films comme Benedetta, Lui, Adieu les cons, et plus récemment Madeleine Collins. Mais qui est vraiment Virginie Efira ? Et comment l'actrice est-elle arrivée à se retrouver à l'affiche d'autant de films en 2021 ? De ses origines à sa carrière en tant qu'actrice, en passant par ses nombreuses récompenses, nous vous dévoilons tout sur Virginie Efira. Biographie Virginie Efira est une actrice belge qui est née le 5 mai 1977 à Bruxelles. Elle est la fille de André Efira, professeur en oncologie et de Carine Verelst, restauratrice et esthéticienne. Ses parents ont divorcé alors qu'elle n'avait encore que 9 ans. Elle a deux frères et une sœur. Virginie Efira a suivi des cours de sciences sociales, de psychologie, de mathématiques et de latin. Passionnée par le théâtre, elle a aussi suivi des études d’arts du spectacle à l’Institut National Supérieur du Spectacle. Elle est ensuite entrée au conservatoire dans l’idée d’apprendre la comédie et de jouer sur scène. Coté privée, elle s’est mariée en 2002 avec le comédien et producteur Patrick Ridremont. Malheureusement, ils se sont séparés en 2009. Elle a ensuite retrouvé l’amour au bras de Mabrouk El Mechri avec qui elle a eu une petite fille née en 2013. Carrière de Virginie Efira Ses débuts en tant que présentatrice TV Après son passage à l’Institut national supérieur des arts du spectacle, Virginie Efira devient animatrice de télévision. En 1998, elle démarre sa carrière en tant que présentatrice TV sur Club RTL auprès de Lidia Gervasi. En 2003, elle vient travailler en France, où elle anime des émissions de divertissement et de télé-réalité. Remarquée par la chaîne de télévision M6 lors d’un casting pour devenir miss météo, elle devient rapidement la nouvelle présentatrice vedette de la chaîne. Elle a présenté Le Grand Zap, Le Grand Piège, Follement Gay et a animé l’Opération séduction. Toujours sur M6, Virginie Efira présente en 2005 Classé confidentiel. Elle remplace ensuite Benjamin Castaldi en 2006 pour présenter La Nouvelle Star en prime time. Sa vie de comédienne Sa carrière de comédienne débute avec le doublage de Jennifer Love Hewitt dans Garfield en 2004, et Garfield 2 en 2006. En 2005, elle joue dans le film d’animation Robots, en tant que doublage de Piper. En 2006, elle joue son propre rôle aux côtés d’Amanda Lear et de Bruno Putzulu dans Un amour de fantôme. Virginie Efira incarne aussi l’épouse de Bohort dans les deux épisodes de la série Kaamelott. En 2007, elle joue dans Off Prime de Bruno Solo et Stéphane Kopecky auprès de Simon Astier et Alban Lenoir. En 2008, cette belle comédienne est à l’affiche de Max&Co de Frédéric Guillaume et de Samuel. De 2010 en 2015, elle enchaîne les rôles. On l'a par exemple retrouvé dans Le Siffleur, Mon pire cauchemar, En solitaire, Dead Man Talking, Le monde, etc... De la comédie au drame Après avoir joué la comédie pendant plusieurs années, Virginie Efira décidera ensuite de basculer vers le dramatique. En 2016, elle tient le rôle principal dans Victoria de Justine Triel où elle incarne une avocate divorcée. Ce rôle lui a permis d’obtenir le Magritte de la meilleure actrice. Cette même prestation lui vaut également une nomination au César de la meilleure actrice. La même année, elle co-préside le Festival du film francophone d’Angoulême aux côtés de Gilles Jacob. En 2017, elle apparaît dans la série Dix pour cent et les films d’animation Le Chat botté et Croc-blanc. Elle continue ensuite dans Un Amour Impossible (2018), Police et Adieu les cons (2020) et Benedetta (2021). Crédit : Pathé Filmographie C'est en 2005 que Virginie Efira a obtenu son premier rôle dans le film Africains poids-moyens de Daniel Cattier. Elle commence alors à se faire connaître... Et en 2010, on lui demande de jouer le rôle d’Angèle dans L’amour c’est mieux à deux, un film d’Arnaud Lemort et de Dominique Farrugia où elle joue aux côtés de Clovis Cornillac et de Manu Payet. Elle décroche ensuite le rôle d’une designer prometteuse en 2010 dans La chance de ma vie de Nicolas Cuche, un film franco-belge où elle joue aux côtés de François-Xavier Demaison. En 2013, elle joue son premier grand rôle dans 20 ans d’écart de David Moreau aux côtés de Pierre Niney. Il s’agit d’une comédie romantique française où elle incarne le rôle d’Alice Lantins, la rédactrice en chef du magazine Rebelle. Virginie Efira décroche ensuite en 2015 le rôle de Violette dans Une famille à louer de Jean Pierre Améris où elle aura l'occasion de donner la réplique à Benoît Poelvoorde. En 2016, elle joue au côté de Jean Dujardin dans Un homme à la hauteur de Laurent Tirard. Dans ce film, elle incarne une brillante avocate qui est tombée sous le charme d’un petit homme de 1,36 m. Elle a également joué le rôle de Rachel dans Un amour impossible de Catherine Corsini en 2018. Récompenses Tout au long de sa carrière, Virginie Efira a remporté de nombreuses distinctions. En 2010, elle a par exemple reçu le prix de la meilleure actrice grâce à La Chance de ma vie. Elle a également reçu le prix du public lors de la cérémonie du Magritte du cinéma en 2012. En 2016, le prix de la meilleure actrice lui revient encore grâce à Victoria. Et en 2020, elle a remporté le Bayard de la meilleure interprétation lors du festival international du film francophone. 2021, une année très chargée pour Virginie Efira Virginie Efira est sans doute l’actrice française qui a le plus marqué l’année 2021. En tout cas, ce qui est sûr c'est qu'elle a eu un planning très chargé ! En juillet, on l’a retrouvé aux côtés de Charlotte Rampling et Daphne Patakia dans Benedetta de Paul Verhoeven. Elle y a joué le rôle "diabolique" d'une nonne lesbienne. Elle jouait également dans le film Lui de Guillaume Canet. En décembre 2021, Virginie Efira était aussi à l’affiche du Film Madeleine Collins d’Antoine Barraud. Et visiblement, la machine "Virginie Efira" n'est vraiment pas prête de s'arrêter car on l'annonce déjà dans le film En attendant Bojangles en 2022 et l'Empire en 2023. A lire également : Tout savoir sur l’actrice Camille Razat Read the full article
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