#piège fantômes
Explore tagged Tumblr posts
frenchlitclub · 4 months ago
Text
Voici nos livres du mois d'octobre pour les deux groupes:
Tumblr media Tumblr media
Groupe 1, lecteurs avancés:
Le Monstre, de Camille Bodin -
Résumé du livre:
"Albert aime Marie depuis l’enfance, mais tandis que son père l’a envoyé en ville faire des études, sa promise épouse un autre homme, le comte de Nulsen. Avant qu’Albert n’ait pu intervenir, les jeunes mariés partent pour la Sicile.
Sans nouvelles depuis des semaines, Albert décide de partir à la recherche de Marie. Alors qu’il passe la nuit dans un hôtel, Albert est réveillé par d'horribles cris. Le lendemain, la police lui apprend qu’on a tenté d’assassiner une femme dans son hôtel. Un temps soupçonné, Albert est innocenté par la victime qui a reconnu son agresseur : le comte de Nulsen. La jeune femme raconte son histoire à Albert et lui apprend que le comte est un monstre adepte du marquis de Sade, qu'il torture Marie et la retient prisonnière dans son château."
~~~~~~~~~
Groupe 2, lecteurs débutants:
Le Fantôme de l'Opéra, de Gaston Leroux -
Résumé du livre :
"L’Opéra est hanté. On ne peut pas expliquer autrement les événements étranges qui s’y produisent : la chute d’un lustre, le personnage au visage inhumain que des machinistes ont aperçu dans les coulisses, la voix que la jeune chanteuse Christine Daaé entend dans sa loge. D’ailleurs, un billet signé « Le Fantôme de l’Opéra » a exigé du directeur la réservation permanente d’une loge, et une pension mensuelle. Cette présence mystérieuse terrorise tout le personnel. Un jour Christine Daaé disparaît des coulisses. Son amoureux, Raoul de Chagny, devra échapper à bien des pièges terrifiants pour la tirer des griffes du «Fantôme»."
21 notes · View notes
kilfeur · 8 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
J'avais aimé les moments entre Jimmy et Clark et c'était un peu gay le moment où ils volaient ensemble. En revanche la conférence, ouais c'était un piège et bien que Jimmy avait de bonnes intentions. Ses arguments sont assez faibles par rapport à Lex qui montre sa manipulation. Expliquant que la terre appartient aux terriens et non aux aliens. Et que Superman ne devrait pas choisir ce qui est bien pour la terre. Car même si il a fait du bien autour de lui, ça a aussi amené des conséquences indirectes, les méchants, l'invasion fantôme kryptonienne. Jimmy ne peut pas argumenter pour ça et il se sent impuissant, isolant de plus en plus Clark de ses amis. Après je suis curieuse de voir comment Jimmy va évoluer maintenant qu'il a un rival de taille !
I had liked the moments between Jimmy and Clark and it was a bit gay when they flew together. On the other hand, the conference, yeah it was a trap and although Jimmy had good intentions. His arguments are pretty weak compared to Lex, who shows his manipulation. Explaining that Earth belongs to earthlings, not aliens. And that Superman shouldn't choose what's good for Earth. Because even if he did good around him, it also brought indirect consequences, the villains, the Kryptonian phantom invasion. Jimmy can't argue with that and he feels powerless, isolating Clark more and more from his friends. After that, I'm curious to see how Jimmy will evolve now that he has a major rival!
21 notes · View notes
urween · 23 days ago
Text
Soft Hanky | Steve Kemp x ftm!reader
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
notes : écrit avec un reader opéré du torse en tête
résumé : Pour le bien de son commerce, Steve Kemp prend connaissance de l’existence d’une catégorie de personnes spéciales. Il trouve donc un jeune transgenre et met en place son plan habituel. Problème, cet homme cache bien des surprises.
⚠︎ warnings : Description volontairement maladroite de la transidentité, idolâtrie du transgenre, Steve Kemp est un red flag à lui seul (cannibalisme, violence, manipulation..), kinks (dégradation, soumission, proie/prédateur)
english version here
- Description à la deuxième personne
- 2 509 mots
Tu avais pensé à un accident, peut-être même à un signe du destin. Il faut dire que ta vie sentimentale ne s’étalait pas sur des kilomètres, pas même quelques mètres. Alors tomber nez à nez avec un si bel inconnu, souriant et intéressé, ça avait été une sorte de miracle à tes yeux, et malheureusement pour toi il le savait. Steve, c’était son prénom, assez classique, rien d’original et un côté de déjà vu. Pourtant il t’avait attrapé en quelques secondes, à peine avait-il commencé à te poser des questions que tes joues étaient devenues aussi rouges que les sièges de la salle de cinéma où vous vous étiez rencontrés.
Pas de chance pour toi, le destin n’avait rien à voir dans cette romance soudaine. Cela faisait deux jours que Steve te suivait, apprenant principalement tes lieux les plus fréquentés et surtout les personnes avec qui tu y allais. Là se creusait le piège, tu n’avais personne, et c’était ton atout majeur. Aucun ami, aucune famille, pas même un poisson rouge à qui tu allais manquer. Tu étais un être vivant sur Terre sans attaches humaines, ce qui faisait de toi un fantôme, la victime parfaite.
Non je n’ai pas vraiment de famille, c’est assez compliqué à ce niveau-là, lui avais-tu naïvement confirmé lors de votre premier rendez-vous. Puis, disons plutôt des connaissances que des amis, avait-il réussi à te faire avouer. Enfin le bouquet final, c’est bizarre à dire vu que je ne te connais que depuis peu mais je t’apprécie beaucoup Steve. Le sourire qui t’avait accueilli à cette déclaration avait fait bouillir tes joues, et alors l’homme en face de toi tenta une approche – pensant qu’il s’agissait du moment idéal – il déposa sa main par-dessus la tienne sur la table de restaurant. Ta réaction ne fit que l'encourager, et quelques instants plus tard vous étiez en train de vous embrasser au coin d’une rue. Tout se déroulait à merveille, tout était parfait, dans les temps et même agréable. Il ne restait plus qu’à te faire di– Attends je..excuse-moi je crois que c’est un peu trop d’un seul coup pour moi, l’avais-tu couper alors que vous vous dirigiez vers chez toi. Il n’avait rien laissé paraître, seulement sourit avant de te rassurer, c’est rien on a tout le temps pas vrai ? Il aurait dû s’y attendre, tu avais été différent dès le début, tout ne pouvait pas être aussi simple.
À vrai dire tu n’étais à l’origine pas sur sa liste. Vanessa, Penny, Kate. Mais pas ton nom, pas un homme. Les femmes étaient demandées, recherchées et meilleures, pas les hommes.
Puis, un jour, lorsqu’il effaçait le compte instagram d’une précédente candidate, il tomba sur un post : Journée internationale de la visibilité des personnes transgenres. Les couleurs vives l’interpellèrent et puisqu’il n’avait plus rien à faire, il se balada à travers ce sujet. Plusieurs photos de personnes concernées, mais rien de spécialement intéressant, ils n’avaient rien qu’il ne pouvait pas trouver ailleurs. Quand soudain, une photo le stoppa net. Un dessin fait au crayon, représentant un être androgyne magnifique. Steve cliqua sur la photo de profil du créateur, et tomba sur toi. Tu n’avais que très peu de publications, mais assez pour qu’il te choisisse. Ton visage, ta silhouette, tes cuisses, hanches. Il y avait quelque chose de spécial dans ton être, différent des femmes, des hommes, différent des cisgenres. Dans ta biographie trônait fièrement le drapeau tricolore transgenre, accompagné de trois lettres “ftm”. Steve ne mit pas longtemps à ressembler toutes les pièces du puzzle, tu étais exceptionnel. Le parfait mélange de la beauté harmonieuse de la femme avec la sublime force calme de l’homme. Ton corps était splendide, tes traits divins. Ton goût ne pouvait qu’être sans égal.
Alors, tu passas en quelques heures premier de sa liste. Ton visage angélique allait rendre fou les acheteurs, et tu rendais déjà fou Steve. La nuit de sa découverte il ne ferma pas l'œil, cherchant toutes les informations possibles sur toi et sur ce qui te représentait. Il n’avait pas l’habitude de se sentir aussi impliqué, mais tu étais différent, c’était sûrement pour ça.
C’est de cette façon qu’une semaine plus tard, tu rencontras le subjuguant Steve Kemp en sortant de ta séance cinéma hebdomadaire. Tu fus surpris de tomber face à un homme aussi attirant, intéressé et surtout cultivé sur les sujets qui te tenaient à cœur. Il connaissait les termes queer, riait en disant qu’il avait visité ton endroit de rêve, ou freignait l’ignorance en découvrant ton nom.
Mais outre cette spécificité physique, il avait – avec surprise – découvert que tu n’étais pas aussi rapide que les autres. Tu ne l’invitais jamais chez toi, esquivant les sous-entendus d’un prochain date là-bas. Tu étais ouvert à ses avances et pourtant quelque chose semblait toujours te faire reculer au moment fatidique. Il avait d’abord pensé que tu étais inquiet par rapport à ton genre “spécial”, que tu avais peur de le lui en parler. Mais tu ne donnais pas l’impression que le sujet était sensible, au contraire tu en parlais avec légèreté. Le problème venait donc d’ailleurs. Steve avait dû creuser, mais la source avait fini par devenir visible. Tout venait d’un domaine plus intime. La façon dont tu mordais ta lèvre lorsqu’il te complimentait, croisais les jambes à certains regards insistants, gémissait faiblement dans vos baisers. Il avait cru à un comportement basique, il te plaisait ça se voyait. Puis, il avait remarqué ton léger inclinement de tête vers le bas, tes yeux fuyeurs, tes muscles faiblissant. Ton corps se soumettait à lui, consciemment ou non, tu réagissais d’une façon primale à lui. Cette conclusion lui avait sauté au visage lors de votre dernier baiser. Il t’avait gentiment bloqué contre un des murs extérieurs du restaurant asiatique, sa main à la jonction de ton cou et de ton épaule, ton corps avait semblé se ramollir dans son étreinte. Tu te laissais contrôler par lui, protéger, épauler. Il avait alors accentué votre échange buccal, et tout s’était confirmé. Ton corps avait besoin d’être soumis, vulnérable dans des bras puissants et protecteurs.
Après s’être rendu compte de cela, Steve a su trouver le problème : tu n’étais pas à l’aise avec ce fantasme. Ça tombait sous le sens, tu ne connaissais que depuis quelques jours l’homme qui te faisait sentir ainsi, c’était évident que tu ne voulais pas laisser ton corps à un presque inconnu.
Mais tout problème avait une solution, et il l’avait trouvée.
Tumblr media
Humide de ta récente douche, ta main attrapa ton téléphone portable déposé sur le rebord de ton lavabo. Steve venait de t’envoyer plusieurs messages.
–  Bon matin angelot –  Un café pour commencer la journée ?
Tu répondis avec enthousiasme, lui disant que tu acceptais avec plaisir son invitation et en quelques secondes tu reçus une réponse.
–  Je peux passer te prendre d’ici une vingtaine de minutes –  Et si ça te va, je pourrais te montrer le fameux tableau que j’ai à la maison ? – Je te l’aurais bien apporté mais il faut croire qu’il ne rentre pas dans le coffre 🦣
Ton sourire t’accompagna pendant que tu enfilais des vêtements propres. Sa proposition te tentait énormément mais il y avait un hic. Passer du temps avec Steve te plaisait toujours, cependant aller chez lui voulait forcément dire passer une étape. Il n’était pas du style à te presser le pas, mais tu en avais envie et d’après vos échanges il semblait également en avoir envie. Avec un soupçon de doute, tu attrapas de nouveau ton portable pour lui répondre :
–  Ok pour chez toi, mais seulement pour voir le tableau ;)
À seulement deux rues de ton immeuble, Steve esquissa un vague sourire en tapant une rapide réponse. Il se doutait que tu allais réagir ainsi, mais tu étais malgré tout tombé dans le piège et c’était le plus important. Le plan n’était de toute façon pas de coucher avec toi, seulement de te ramener en lieu sûr, chez-lui. Il ne couchait jamais avec ses cibles, parce qu’il n’en avait pas spécialement envie et surtout qu’elles venaient sans soucis chez lui, sans avoir besoin d’en arriver là.
Tumblr media
Le trajet en voiture avait été plus long que tu ne l’aurais imaginé. Entre les petits chemins et les routes étroites, il vous fallut en tout à peu près une heure et demie pour enfin arriver vers ce qui devait être chez Steve. Un peu – beaucoup, mais l’avouer serait étrange – perdu au milieu d’une épaisse forêt de sapins en tout genre, trônait une longue et grande bâtisse. Tu sortis de la voiture en premier, voulant avoir le temps de détailler la maison avant d’y rentrer.
Pour être honnête, beaucoup de branches et de végétations camouflaient l’habitacle, tu ne parvenais qu’à deviner des lignes modernes et rectangulaires qui finissaient par disparaître derrière des troncs d’arbres. Mais malgré ça, tu trouvas la maison assez jolie de l’extérieur.
Steve arriva par surprise derrière toi, te faisant sursauter et pousser un petit cri peu viril. Son rire mélangé au tien fit voltiger quelques oiseaux à côté de vous, aussitôt tu t'inquiétas du possible bruit que ton cri aurait pû poser. Mais Steve te rassura immédiatement, déposant une main sur ton épaule il te sourit en disant : “Pas besoin de s’inquiéter, aucun voisin aux alentours, personne pour se plaindre du bruit”. Tu fus sur le coup soulagé, répondant quelque chose comme “oh génial” sans savoir que ce détail ne t'était absolument pas favorable.
Guidé par la main chaude du propriétaire, tu te laissas porter jusqu’à la porte d’entrée – même s’il devait sûrement en avoir plusieurs au vue de la taille de la maison –. Tu aurais en temps normal était quelque peu suspicieux par rapport à cette taille justement. Une habitation aussi grande signifiait grands revenus, Steve t’avait dit qu’il travaillait comme chirurgien plastique et ça pouvait expliquer ce détail là. Néanmoins, ton attention ne se porta absolument pas sur ses revenus, ni même la possible dangerosité d’une maison aussi éloignée de la civilisation. À vrai dire, une fois la porte franchie tu fus hypnotisé par la décoration. Tout était extrêmement sombre, dans des teintes marrons et noires. Il n’y avait que le minimum de lumières, et même les fenêtres ne donnaient pas assez de luminosité pour pouvoir apercevoir les quatres extrémités de la cuisine ouverte sur le salon. Les murs étaient très hauts, sombres eux aussi, seulement entrecoupés de quelques touches beiges. Vu de l’intérieur on oubliait le loyer de l’habitat, on se laissait dévorer par l’atmosphère si spéciale. Si tu prenais chaque petit détail à part, la décoration n’avait rien d’extraordinaire, mais mis bout à bout c’était comme si tu rentrais dans une sorte de tableau immersif. Sûrement à cause de la luminosité inégale au dehors ou de l’odeur flottante d’encens, mais tu avais le sentiment d'être coupé du monde extérieur. C’était étrangement agréable.
« Je ne te propose pas d’eau, intervint Steve en montrant d’un signe de tête ton café encore chaud dans tes mains »
Tu souris timidement en secouant la tête de gauche à droite. Même s’il conduisait, Steve avait fini sa boisson en moins de vingt minutes. Une main sur le volant, une autre toujours sur son gobelet en carton – à croire qu’il avait peur de le perdre – il enchaînait les petites ou grandes gorgées de caféine comme s’il s’agissait d’un élixir de jeunesse. Tu ne t’étais pas vraiment posé de questions sur le moment, supposant qu’il avait mal dormi ou que quelque chose lui prenait la tête.
Une fois ta petite observation complétée, tu proposas un peu de ton café à ton interlocuteur – ce qu’il accepta – puis tu te dirigeas vers le fameux tableau qui t’avait fait venir ici. Il n’avait rien de si spécial, juste une grande toile horizontale pleine de touches de peinture en relief. Tu n’étais même pas un expert en art, mais lorsque Steve t’avait parlé de cette œuvre tu avais été curieux et au fil de vos conversations tu avais eu envie de le voir en personne. C’est comme si on voyait plein de personnes vivre, t’avait-il confessé, comme si j’avais le super pouvoir de transformer les corps en âmes colorées. Sa description t’avait intrigué, tu avais voulu mettre une image sur ce pouvoir, et puisque Steve n’avait pas de photo sur lui quoi de mieux que de le voir en vrai.
« J’aurais plutôt dit qu’elles meurent, commenças-tu en inclinant la tête, regarde leurs positions on dirait qu’elles se font aspirer ou qu’elles pleurent, ton doigt accusateur accompagna ton analyse en dessinant des formes abstraites dans l’air, et puis les couleurs sont en train de disparaître, le orange vif devient cramoisi »
Trop absorbé par ton investigation, tu ne prêtas pas attention à Steve se plaçant derrière toi. Vos deux silhouettes étaient dans un parfait alignement, fades et indéfinies à cause de la pénombre, vu de face tu semblais disparaître dans la carrure glaciale de l’homme te surplombant de plusieurs centimètres. Ses yeux couraient au ralenti sur ta nuque dévoilée et nue, ton dos dessiné. Ils imaginaient les courbes alléchantes qui étaient camouflées sous deux ou trois couches de tissus – si facilement déchirables, même du bout des dents –. Tes épaules étaient relaxées, tu étais en confiance. Tu ne faisais qu’observer un tableau, sans te douter de la menace qui se trouvait derrière toi ni des preuves dissimulées derrière la peinture. Tu ne faisais qu'observer l'œuvre qu’un homme qui te plaisait avait chez lui. Sans penser un instant que derrière toi ce même homme serait désespérément un mouchoir en tissu imbibé de GHB. Sans penser que son bras était bloqué dans cette position, alors qu’il devrait être enroulé autour de ton cou. Sans imaginer le flot de pensées qui dévalait au même moment l’esprit de cet homme. Tu ne faisais qu’admirer une toile dont il t’avait parlé, qui lui tenait à cœur, dont il n’avait jamais parlé à personne à part toi. Tandis que lui était pétrifié par le doute.
« Je pense que j’aimerais pas avoir ce super pouvoir, de voir les âmes de gens, déclara ta voix, j’aimerais pas savoir qui est bon ou mauvais c’est trop volatile, continuas-tu en reculant d’un pas, et puis les mauvaises personnes sont juste incomprises, et j’aime bien essayer de les comprendre »
Ton talon heurta la pointe d’une chaussure cirée, tu crus tomber en arrière. Ton dos fut stoppé par un buste bouillant, et un sourire revint sur tes lèvres.
Un mouchoir tomba au sol et alors que tu te baissais pour le rattraper, la main ferme de Steve stoppa ton mouvement.
« Laisse-le ici, soupira presque une voix que tu n’avais jamais entendu aussi légère, il ne servira plus à rien »
Tumblr media Tumblr media
Très envie de faire une partie deux, qui sait peut-être un jour ?
images : Pinterest
bannières : @/saradika-graphics and @/thecutestgrotto
3 notes · View notes
elodieamet · 8 months ago
Text
La question piège
Nietzsche ne disait pas ‘’Deviens QUI tu es’’ mais ‘’Deviens CE QUE tu es.’’
A un mot près, la phrase et son sens changent du tout au tout. 
Aujourd’hui, les gens se demandent ‘’qui’’ ils sont. La logique de cette recherche est une logique d’AJOUT. Tu cherches des attributs, des éléments extérieurs pour te définir, pour t’épaissir la surface. Cette question est liée à l’aspect en nous du personnage, du paraître : le ‘’moi-extérieur-collectif’’, le moi qui existe au travers du regard des autres, inscrit dans une société à un instant T. Ce moi est totalement superficiel et surtout éphémère : Quand les codes et conventions d’une société changent, il devient obsolète. C'est une question génératrice de grande insécurité car ta valeur est définie par des éléments extérieurs à toi-même.
En occident, du fait que nous évoluons dans une société matérialiste, basée sur le plaisir et la consommation, la sexualité joue une place centrale. Les gens vivent au travers des plaisirs du corps, c’est tout ce qu’ils ont. Ainsi, ils se définissent par leurs orientations sexuelles ou leur genre, c’est-à-dire leurs attirances sexuelles et leur apparence liée à cette attirance.
Du fait que nous grandissons dans cette société de consommation, le réflexe, pour se définir, est de se trouver une étiquette. Les personnes qui se définissent par leurs orientations sexuelles se croient dérangeantes, rebelles, anticonformistes alors qu’elles s’auto-étiquetent comme des conserves de supermarché (Même si tu te crois être une femme alors que tu es dans un corps d'homme, cela reste une réduction via une identification ! En réalité tu n'es ni une femme ni un homme, tu es un être !)
Il y a également les personnes qui se définissent par leur métier et leur âge, pour indiquer leur rôle, leur fonction et leur date de péremption dans la société. On retrouve ici cette même réduction et cette même considération de soi en tant que chose, personnage, playmobile. 
La question du ‘’Qui suis-je’’ est une question piège car plus on tente d'y répondre, moins on y arrive, plus la réponse s’allonge et se complique. C’est exactement comme lorsque l’on cherche à nettoyer une tâche avec du cambouis : plus on essaie de répondre à la question, plus la tâche grossit. En effet, dès lors que tu te mets une étiquette, tu réalises juste après que tu t’es auto-réduit, auto-rétréci. Tu tentes alors de t'agrandir en rajoutant une nouvelle étiquette et ainsi de suite, jusqu’à te retrouver écrasé sous une couche surchargée de termes et de définitions qui n’ont plus ni queue, ni tête. 
Certaines personnes disent aussi qu’elles se sont ‘’trouvées’’ et cela m’a toujours agacé, cette fierté et cette auto-satisfaction du personnage qui ne bouge plus, figé, trop content de sa place dans la maquette. 
Pour ma part, j’ai juste arrêté de chercher. J’ai juste accepté de ne pas savoir qui j’étais. J’y suis arrivée en mettant en lumière le piège que représente cette question. 
Dans cette déconstruction, j’ai réalisé que l’erreur se trouvait dans la formulation initiale. La question n’est pas de savoir ‘’qui’’ tu es mais ‘’ce que’’ tu es, reconnaître la nature de ce que tu es. 
Qu’est-ce que c’est que ça ? Qu’est ce que c'est que ce QUE ? 
La nature de ce tu es, c’est ton être. Ton être, c'est ton énergie. C'est plus que ton simple trait de caractère, plus que ta mentalité ou ta personnalité...c'est ta manière de danser. Mais pas comme un danseur !...Plutôt comme une flamme, une corde, une onde.
Nietzsche disait : ‘’Deviens ce que tu es’’ pour signifier que cela est ton projet, ton but et surtout, qu'être n’est pas un acquis, que cela se devient. 
Par défaut, nous sommes conditionnés par notre environnement social, culturel, familial. Il y a aussi en nous ces fantômes, ces ombres, cette ténèbres qui voilent notre nature. Il y a donc un processus d’auto-enfantement à réaliser. 
Dans cette perspective là, la logique est totalement inverse : c’est une logique de RETRAIT. Tu vas retirer des couches de ton oignon comme on dit, pour arriver au centre de toi-même, dans ton être, dans ta nature authentique. 
Pour cela, tu vas mettre en lumière, non pas ce que tu aimerais être ou projetterais d’être mais tout ce qui n’est pas toi.  Tu vas mettre en lumière ton obscurité, ta souffrance, tes parcelles victimaires. Dès lors que tu sentiras la moindre honte, la moindre dévalorisation, le moindre abattement, tu libéreras la masse émotionnelle pesante, le fantôme qui squatte ton être.
Peu à peu, ta nature va se révéler et tu vas changer de monde. Tu vas cesser de t'interroger sur toi-même et surtout cesser de croire pour commencer à croître.
Passer du personnage à l'être, c'est passer de la croyance à la croissance, au développement et à l'épanouissement. 
3 notes · View notes
ltalaynareor · 7 months ago
Text
Une secrétaire ennuyante
Tumblr media
La tour s'élevait majestueusement au-dessus du paysage italien. Le ciel était nuageux aujourd'hui et la pluie menaçait depuis quelques heures. Les trois reines Volturi, Sulpicia, Athénodora, et Didyme, étaient assises autour d'une petite table en marbre, discutant des intrigues et des farces qu'elles pourraient jouer ce soir.
"Je m'ennuie de ces humains, toujours à faire leurs tâches insignifiantes," murmura Athénodora, les yeux brillant d'excitation. "Je suis prête pour un peu d'amusement."
Sulpicia sourit de manière sinistre, ses dents acérées étincelant à la lumière de la lune. "Et si nous jouions un tour à notre nouvelle secrétaire? Elle semble un peu trop sûre d'elle, je pense qu'elle a besoin d'une leçon."
Didyme, la douce et compatissante, se joignit à l'idée. "Je suis d'accord. Elle doit apprendre sa place dans notre monde."
Les trois reines se levèrent et commencèrent à marcher dans les couloirs sombres du Palazzo, suivi par leur ombre, Corin. Leurs pas silencieux et leurs silhouettes presque éthérées donnaient l'impression que des fantômes se déplaçaient, au cœur du palais. Elles trouvèrent la secrétaire, une jeune humaine au teint pâle et au regard déterminé, qui était occupée à trier les papiers sur son bureau.
Sulpicia s'approcha d'elle avec un sourire séduisant, tandis qu'Athénodora se tint en arrière, l'œil vif et calculateur. Didyme observa avec une expression neutre, se demandant comment cette scène allait se dérouler.
"Chère secrétaire," commença Sulpicia, sa voix suave et envoûtante, "nous avons décidé qu'il était temps pour vous de vous amuser un peu, de sortir de cette routine ennuyeuse."
La secrétaire fronça les sourcils, méfiante. "Je ne suis pas sûre de comprendre, Votre Grâce. Que voulez-vous dire par cela?"
Athénodora s'approcha alors, son regard glacial faisant frissonner la secrétaire. "Nous voulons juste vous montrer que dans ce monde, les règles sont différentes. Et que parfois, il faut savoir s'amuser un peu plus."
Avant que la secrétaire ne puisse répondre, Didyme s'approcha doucement, posant une main réconfortante sur son épaule. "Ne vous inquiétez pas, ma chère. Vous allez passer un bon moment."
La secrétaire sentit une vague de terreur l'envahir alors que les regards des trois reines se durcissaient, révélant leur véritable nature. Elle comprit alors qu'elle était tombée dans un piège, et que les reines des Volturi allaient faire d'elle leur prochain repas.
4 notes · View notes
oviri7 · 1 year ago
Text
Tumblr media
« Quand la bile noire est froide, l'esprit du mélancolique devient « émoussé et obtus ». L'indolence et la pâleur de Saturne s'abattent sur lui. Il perd soudainement la faculté de voir. Comme si quelqu'un avait actionné quelque interrupteur gigantesque, la lumière déserte le monde visible. Tout ce qu'il contemple est fixe, livide, spectral: vide comme l'enveloppe d'un coquillage ou une maison brûlée de l'intérieur. Le monde est opaque, immobile, funèbre, terriblement silencieux: comme si personne n'avait jamais risqué un mouvement, jamais éclaté de rire, n'avait jamais connu le moindre instant de joie ou de tension. La vie s'est immobilisée. Le ciel pèse comme la pierre d'un sépulcre. Tout devient irréel : des ombres et des silhouettes hasardent des gestes factices, sur un fond qui sent le décor de carton et de plâtre d'un horrible avant-spectacle de banlieue, sous un éclairage lunaire. Alors, le mélancolique perd tout désir de vivre. Il est apathique, indifférent à tout, abattu: la dernière étincelle s'est éteinte dans son âme obnubilée. Rien de ce qui attire les autres ne lui plaît; tout ce qu'ils aiment l'emplit d'ennui; et le printemps lui pèse comme l'automne, l'hiver et l'été semblent pareils à ses yeux. S'il lit un livre, il ne parvient pas à fixer ses regards sur la page: les lettres ne forment plus de mots, les mots n'évoquent plus d'images, les images ne défilent plus devant ses yeux. Il lit sans participer, sans comprendre, sans éprouver de joie, sans que s'allume en lui cette lumière intérieure qui lui assure qu'il a compris. Les cieux ouverts, les allées bordées d'arbres, la joie des mers et des fleuves ne l'attirent plus. Il reste enfermé chez lui, assis dans son fauteuil, sans rien faire, sans penser à rien d'autre qu'à son interminable maladie, environné d'une ombre qui s'étend continuellement, au milieu des fantômes du jour, des cauchemars de la nuit, de sommeils toujours plus tourmentés. Il connaît à chaque instant la morsure de l'ennui. Nul geste ne parvient à l'en débarrasser. Quand l'ennui se déchire, son cœur s'emplit de soupçons, de craintes, de terreurs innommables, insensées; son moi se transforme, se multiplie, devient un obscur ennemi qui l'attaque de tous les côtés à la fois; cet assaut ne connaît pas de répit; et le malheureux fond en larmes, tant l'ennemi semble inexorable et proche de la victoire. Chaque matin, devant son miroir, il est tenté de se trancher la gorge; s'il résiste à l'idée du suicide, c'est seulement parce qu'il est certain qu'après sa mort, il pénétrera dans un univers plus désolé encore. Il traverse le monde accompagné de cette ombre noire qu'il perçoit dans la saveur même de ce qu'il mange. Il ne parvient pas à s'aimer, il a l'impression que les autres le soupçonnent, le détestent ou préparent contre lui pièges et embûches. Parfois, un élan d'euphorique frivolité le pousse vers eux: il voudrait les serrer contre son cœur mort; plus souvent, il n'éprouve pour eux qu'une hostilité glacée, une amère rancoeur, et rit, dans leur dos, d'un rire amer. »
Pietro Citati - La lumière de la nuit
6 notes · View notes
recapqsmp · 1 year ago
Text
Samedi 23/09 - Investigations avec un fantôme
Tumblr media
Tubbo veut s'infiltrer dans les locaux de la fédération pour voir s'il peut trouver des informations sur Philza, les œufs ou Fred. il s'est habillé en costume d'espion pour l'occasion. Il s'est infiltré dans le bureau de la fédération, et est tombé sur Cucurucho en train de regarder son écran. Il l'a espionné pendant quelques minutes, avant que Cucurucho le remarque, et le tue. L'enderpearl qu'il avait placé pour que Fit le sauve en cas de soucis n'a pas marché. Il est revenu dans le bureau de la fédération pour retrouver son équipement, et Cucurucho l'attendait. Il lui a tout rendu (sans avoir rien pris), et lui a dit de partir.
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/IcySpicyCobblerNotATK-A6FMtC-dM0Issx7d
Tubbo a reçu un livre directement dans son inventaire, disant ":)". Mais en se rendant dans la cage d'ascenseur de Fit, le livre a changé, disant "Enjoy the island :)". Le livre s'est encore mis à jour quand les deux sont sortis de la cage d'ascenseur, le smiley changeant en ";)".
En voulant aller au labyrinthe, Tubbo a remarqué que Cucurucho le suivant. Il a même changé son nom en ":)". Avant de rentrer dans le tunnel, le livre a été mis à jour, pour un message disant "Are you enjoying the island ? ;)". Dans le labyrinthe, ils ont entendu a plusieurs reprise le tonnerre tomber. En sortant du labyrinthe, ils ont remarqué que Cucurucho était toujours a l'extérieur, en train de les épier. Ils se sont dit qu'il était possible que Cucurucho ne puisse pas aller dans le labyrinthe, car il était géré par le Dark Cucurucho.
twitch_clip
https://www.twitch.tv/tubbo/clip/OddPeacefulGalagoDoubleRainbow-xA0wDPaVvksmDvaW
Ils sont ensuite allé au laboratoire de la fédération, là où les nouveaux ont été retrouvés, car c'est aussi le dernier endroit où Tubbo et Phil sont allés ensemble. Tubbo a remarqué que le gros bloc de glace a disparu à l'entrée. Ils n'ont cependant rien trouvé de plus. Tubbo a finalement laissé une lettre à Fred pour lui demander si quelque chose lui était arrivé.
Tumblr media
Bad a commencé à investiguer sur ses camarades pour savoir qui pouvait être une marionnette. Ses 3 premiers suspects sont Forever, Fit et Cellbit. Il considère aussi que Philza pourrait avoir été enlevé, et qu'avec Baghera et Jaiden, il commence a y avoir une motif qui se répète avec les oiseaux. BadBoy a été rejoint dans son enquête par un fantôme qu'il a nommé "Boo". BadBoy a rejeté la faute sur lui pour les pièges de mines au spawn. Bad et Boo sont allés voir Forever dans sa megabase, mais il était afk. Ils sont ensuite allé voir Tubbo dans son usine, mais il était afk aussi. Bad et son compagnon sont donc allé visiter la base de Pol, puis de Bagi (ils ont remarqué que son chat Zeno était de retour chez elle), Quackity, Cellbit, Felps… La liste de ses suspects s'agrandit.
twitch_clip
https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/LazyResolutePheasantImGlitch-At0gAKpZZvfJf4iW
Bad et Boo sont ensuite allé dans la base de la fédération, et Boo l'a téléporté dans l'infirmerie, puis a caché la caméra de sécurité par une image d'Hatsune Miku. Boo a ensuite caché d'autres images de Miku dans la fédération, et ils sont partis investiguer le labyrinthe, sans rien trouver. Bad s'est déconnecté en promettant à Ron qu'il mettrait plus de crème glacé dans le frigo.
twitch_clip
https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/AveragePoisedTruffleBrainSlug-FJl9EfKavNMRWOTn
Baghera, Quackity, Roier, Foolish et Pac ont été invités à jouer à un épisode unique du jeu de rôle "Ordem Paranormal" de Cellbit.
twitch_clip
https://www.twitch.tv/cellbit/clip/WanderingLitigiousClipzWOOP-sU8XdGk4pmaJt7ir
19 notes · View notes
petit-atelier-de-poesie · 1 year ago
Text
Les montagnes russes de l'écorchée vive
Ma vie est un Grand Huit couplé au Train Fantôme Où je suis embarquée dans un wagon blindé Sans occasion de fuite et sans espoir guindé Par le parcours qui s’ouvre avec mes hématomes.
Chaque tournant m’entraine, ainsi chaque symptôme Est signe d’un syndrome au bon hasard d’un dé, Mon corps est arraché et mon esprit scindé Cherche un langage, un art, un moyen qui l’embaume.
J’ai beau me retenir sur les bords du manège, J’ai mal à en mourir : émotions sensations Qui sont, tout à la fois, et piège et privilège.
Et quand, de bas en hauts, bien calée dans mon siège, Je laisse l’attraction devenir sortilège : Autour de moi je sens la beauté des passions.
- Fabienne PASSAMENT. 2023
Tumblr media
13 notes · View notes
zehub · 17 days ago
Text
Félin et « fantôme » sauvage : sur les traces du discret lynx boréal, à 1h de Strasbourg
Correspondant du réseau loup-lynx dans le nord de l’Alsace pour l’Office français de la biodiversité (OFB), Claude Kurtz veille sur un réseau de pièges photographiques dédié au plus grand félin des Vosges. Une traque méticuleuse et passionnée, riche d’émerveillements, qu’on a décidé de découvrir le temps d’un après-midi. 
0 notes
embryon-cyclique · 2 months ago
Text
Lingerie volcanique
Flamme vive et interactive Le bonheur jouit en ritournelle À jamais conquis et controversé L’inavouable est en péril Craint le plus grand démantèlement Celui de la fraude romantique
Vient alors échauder les détenus En leur tirant la langue Au bien belle vertu Qui semble appartenir à personne
Personne ne sera maître Malgré les décombres Aucun soumis Malgré la cacophonie ambiante
Négation en négation Au chef d’accusation – Non je n’ai rien à voir avec cette histoire Non je n’étais pas présente en ces lieux Non je ne connais pas cet homme Non ce regard ne me dit rien Non je n’ai jamais entendu ce rire Non je ne présente aucune prise de parti –
Mon non sera le pont vers mon oui Malgré le contraire connu Et mon oui sera le résultat de ma construction de mon non
J’oublie mes lettres et les syllabes Devant les tresses de mon cœur
J’inverse les plates-formes Pour n’avoir rien à dire Aux iris aveuglants Des voyeurs passants
Et toi Tu joues sans signer sans entrer dans les grandes paraboles Tu joues comme un chat retraité Bien perché dans ses idéaux À regarder les souris faire la fête et s’enfarger dans leurs pièges Empathique malgré tout
Gorge ouverte en lumière sur l'antique messe noire Scénario neutralisé Le fantôme en opéra Note avec sa sensible pointe des pieds Son hymne réconciliateur
Enfin je crois peut-être Avoir assez dénudé l’amour Pour en connaître son essence Infuse et atemporelle
Entre en moi l’impossible réel Qui fait jouer ses harmoniques Dichotomiques Et bien des enquêtes trouvent route Dans cette locomotive qui délie le temps À n'en perdre sa pesanteur Et à dégarnir ses tutelles avoisinantes
0 notes
gerardt10 · 3 months ago
Text
🇱🇧 🇵🇸 🇮🇱 🇺🇲 🇬🇧 🇨🇵 🇪🇺 𝘿𝙚𝙧𝙣𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙞𝙣𝙨𝙩𝙖𝙣𝙩𝙨
🔴🔴⚰️ [FLASH INFO]
Gaza ne sera jamais autre chose que ce qu'elle a toujours été… un cimetière pour ses envahisseurs :
Vidéo documentant des soldats nazi-sionistes du bataillon 6130 en train de danser à l'intérieur d'une école dans le quartier d'Al-Zaytoun, au sud de Gaza.
🔻Ce qui rend ces images encore plus saisissantes, c'est qu'elles ont été filmées peu avant que trois des soldats visibles dans cette vidéo ne soient liquidés lors d'une embuscade redoutable tendue par l'unité fantôme des Brigades Al-Qassam.
🔻Ces séquences capturent leurs derniers instants avant qu'ils ne tombent dans le piège inéluctable réservé aux envahisseurs qui osent pénétrer dans Gaza
0 notes
kilfeur · 1 year ago
Text
La perte d'un répère ( the loss of a landmark)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ruby n'était pas la seule à avoir des conflits intérieures. Weiss ressent encore la perte d'Atlas et même l'appel de Klein montre que justement les réfugiés ne sont pas réceptifs à l'aide de la famille Schnee ce qui est assez compréhensible. On peut avoir aussi le ressenti de Weiss en sachant la mort de Jacques, montrant ses reproches envers lui car il les a abandonné bien avant la chute d'Atlas. Mais malgré tout, Atlas restait un repère et voir que sa chute a été provoqué par Ironwood, une personne qui avait prit sa grande soeur sous son aile et qui l'avait aidé dans le bal de charité dans le volume 4. Ça fait mal, c'est vrai ! Et elle n'a plus de maison errant en essayant de trouver une réponse. Au port, elle parle au Bruce, elle comprend comment est Gotham est pour lui. Du coup, elle lui pose à son tour la question est ce qu'on peut toujours appeler une maison si elle n'est plus là. Et qu'est ce qu'il y a après ? Qu'est ce qu'elle peut faire désormais ? On se souvient de sa tirade contre sa version jeune d'elle même. Et même si je pense que ça tient toujours, concrètement elle ne sait pas pour où commencer.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Weiss qui n'a justement pas de pouvoir contrairement aux autres, on pourrait croire que ce serait une cible facile. Mais malgré tout, elle arrive à s'adapter en utilisant ce qui l'entoure et comprend que la queue du scorpion grimm est un indice. D'ailleurs le fait qu'elle soit celle qui sauve les innocents lors de l'attaque du pont montre justement que même en tant que Schnee, la priorité sera toujours le peuple et non les intérêts de sa famille contrairement à Jacques. Même si Batman est plus en retrait dans ce film, j'ai bien aimé leurs interactions concernant la quête de réponses. Tout comme Weiss, il a eu des attentes de la part de ses parents mais après leurs morts. Il a essayé de trouver des réponses à ses questions pour comprendre ce qu'il est et ce qu'il doit faire ainsi que pour Gotham. J'aime bien comment cette scène fait aussi parallèle avec Ruby et Clark dans la salle d'entraînement.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Mais le fait que justement c'est Watts qui a causé tout ce bordel, mettant le désordre dans sa tête que ce soit dans le monde digital mais aussi celui de JL. Je peux comprendre qu'elle soit en rognes car Watts s'était allié à son père pour faire tomber l'un des dominos afin qu'Atlas tombe. Du coup elle soutient Ruby pour continuer sa mission mais Clark insiste sur le fait de se reposer car ils en ont besoin ! Lors de l'affrontement final, elle suit le plan bien qu'elle essaie d'atteindre Watts et malgré leur piège, elle voit sa maison bien que ce soit pas réel. On voit que ça la peine de revoir un pays fantôme or elle voit bien que sa famille sont les personnes qui l'entourent et a eu la chance de les trouver. D'ailleurs j'aime beaucoup la petite provocation lancé par Weiss envers Watts car il suit plus Salem désormais. Watts d'ailleurs parle de sa vision, disant que les Schnee n'en avait pas. Sauf qu'aucune de ses balles ne touchent ses cibles. Et le mettant à nu devant Kilgore pour qu'ils soient en conflit et ainsi les piéger dans le monde digital ce qui soulage Weiss.
Elle n'a peut être pas encore trouvé comment concrètement façonner son héritage. Mais elle continuera d'avancer car elle n'est plus seule désormais et son propre repère, son équipe, la suivra pour ce qu'elle compte entreprendre.
Ruby wasn't the only one with inner conflicts. Weiss still feels the loss of Atlas, and even Klein's call shows that the refugees are not receptive to the Schnee family's help, which is quite understandable. We can also see how Weiss feels about Jacques' death, reproaching him for abandoning them long before Atlas fell. But despite everything, Atlas was still a landmark, and to see that his downfall was brought about by Ironwood, a person who had taken his older sister under his wing and helped her with the charity ball in volume 4. It hurts, it really does! And she no longer has a home wandering around trying to find an answer. At the port, she talks to Bruce, she understands how Gotham is for him. So she in turn asks him the question: can you still call it home if it's no longer there? And what's next? What can she do now? We remember her tirade against her younger version of herself. And even if I think it still holds, she doesn't really know where to start.
Weiss has no powers of her own, unlike the others, so you'd think she'd be an easy target. But despite everything, she manages to adapt by using her surroundings and understands that the grimm scorpion's tail is a clue. Moreover, the fact that she's the one who saves the innocents during the bridge attack shows that even as Schnee, her priority will always be the people and not her family's interests, unlike Jacques. Although Batman takes a back seat in this film, I enjoyed their interactions as they searched for answers. Like Weiss, he had expectations of his parents, but after their deaths. He tried to find answers to his questions in order to understand what he is and what he must do, as well as for Gotham. I like how this scene also parallels Ruby and Clark in the training room.
But the fact that it was Watts who caused the whole mess, messing up her head in both the digital world and JL's world. I can understand why she's upset, because Watts had allied himself with her father to bring down one of the dominoes so that Atlas would fall. So she supports Ruby to continue her mission, but Clark insists they need to rest! In the final confrontation, she follows the plan even though she's trying to reach Watts, and despite their trap, she sees his house, even though it's not real. We can see that it pains her to see a ghost country again, but she can see that her family are the people around her, and she was lucky enough to find them. I also like Weiss's little provocation to Watts because he's no longer following Salem. Watts talks about his vision, saying that the Schnees didn't have any. Except that none of his bullets hit their targets. And exposing him to Kilgore so that they're in conflict and thus trapped in the digital world relieves Weiss.
She may not yet have figured out how to concretely shape her legacy. But she'll keep moving forward, because she's no longer alone, and her own landmark, her team, will follow her wherever she goes.
9 notes · View notes
romain-leclaire · 4 months ago
Text
Le retour de Beetlejuice - Un voyage plein de nostalgie
Tumblr media
Le cinéma aime ses retours en grande pompe, et Beetlejuice 2 ne fait pas exception à cette règle. Trente-six ans après le premier film, Tim Burton, Michael Keaton et Winona Ryder reprennent les rôles qui ont marqué toute une génération. Avec un mélange d’anciennes vedettes et de nouveaux visages, cette suite se veut être celle tant attendue que les fans espéraient, tout en ouvrant la voie à une nouvelle génération. Mais à l’ère des legacy sequels (suites qui misent sur la nostalgie), Beetlejuice 2 parvient-il à éviter le piège du recyclage pur et simple ?
Tumblr media
Une nostalgie retrouvée
Le retour de Michael Keaton dans le rôle du fantasque et décadent Beetlejuice est sans conteste l’un des attraits principaux de ce nouveau film. Depuis sa première apparition en 1988, le personnage est devenu une icône du cinéma fantastique, avec son humour noir et ses costumes déjantés. Mais alors que beaucoup pourraient craindre une simple répétition des mêmes blagues, Beetlejuice 2 fait quelque chose d’intéressant. Au lieu de se contenter de reprendre les mêmes recettes, le film essaie d’élargir son univers. Plutôt que recycler l'original, Tim Burton et son équipe choisissent de prendre de grands risques. Certes, Beetlejuice 2 ne surpasse pas son aïeul de 1988 (c’est une tâche difficile à accomplir tant ce dernier est ancré dans la culture populaire), mais il parvient à transformer ce qui était autrefois une comédie domestique en un véritable carnaval visuel. Les décors vibrants, mêlant vert macabre, bleu sombre et les emblématiques rayures noires et blanches, nous plongent dans une atmosphère grotesque où l’au-delà n’a jamais été aussi coloré et déjanté.
Tumblr media
Un univers élargi
Le premier Beetlejuice était centré sur une grande famille (les Maitland et les Deetz) et leur étrange relation avec le monde des morts. Cette fois-ci, Beetlejuice 2 s’intéresse à une génération plus jeune, la fille de Lydia, Astrid (interprétée par Jenna Ortega). Le film introduit une nouvelle dynamique familiale, où Lydia, autrefois une adolescente gothique rebelle, se retrouve aujourd’hui mère de famille et star d’une émission de chasse aux fantômes. Le thème principal tourne autour des relations entre générations et de la manière dont elles gèrent le deuil. Lydia, qui autrefois rejetait le monde des adultes, s’y trouve désormais plongée jusqu’au cou. Mais malgré ses tentatives de se réinventer en figure plus adulte, Beetlejuice la pousse inexorablement vers ses anciennes excentricités. C’est là que le film brille, dans les scènes où elle se libère de ses contraintes et laisse son côté excentrique refaire surface, rappelant pourquoi elle était la star des adolescents des années 90.
Tumblr media
Un retour aux racines visuelles de Tim Burton
Le réalisateur est connu pour son style visuel distinctif, et dans Beetlejuice 2, il retourne aux sources de ce qui a fait son succès. Le film regorge d’effets spéciaux en stop-motion et d’astuces de caméra, rappelant ses premières œuvres. L’une des scènes les plus mémorables est une séquence en hommage aux films d’horreur italiens en noir et blanc, une touche inattendue mais savoureuse qui témoigne du plaisir que Burton a pris à concevoir ce nouveau long-métrage. Cette énergie créative est palpable dans presque chaque instant, même si elle ne parvient pas toujours à sauver le scénario parfois brouillon. Le film tente d’introduire de nombreuses histoires parallèles, certaines plus abouties que d’autres. L’introduction d’un détective de l’au-delà, par exemple, joué par Willem Dafoe pourrait facilement être coupée sans que l’intrigue principale n’en souffre. De même, la relation entre Lydia et sa fille aurait mérité d’être davantage explorée pour donner plus de profondeur émotionnelle au récit.
Les forces et les faiblesses
Le principal problème du film réside dans son scénario, qui, bien que riche en idées, peine à les intégrer de manière cohérente. Les scénaristes Alfred Gough et Miles Millar semblent vouloir aborder trop de sujets à la fois, ce qui alourdit le récit. Ainsi, même si le film ne dépasse pas les deux heures, il donne parfois l’impression d’être surchargé. Cette abondance de contenu ne nuit pourtant pas complètement à l’expérience globale. Beetlejuice 2 cherche à divertir avant tout, et pour ceux qui cherchent une escapade légère pendant la période d’Halloween, il fait parfaitement le taf. Chaque scène regorge de gags visuels et de moments absurdes qui captivent l’attention, à commencer par les apparitions de Keaton. Même après toutes ces années, l’acteur conserve l’énergie frénétique et l’humour corrosif qui ont fait de ce personnage un favori du public.
Tumblr media
Une ode à la fantaisie
La véritable force de Beetlejuice 2 réside dans sa capacité à divertir sans prétention. Ce n’est peut-être pas un chef-d’œuvre, mais c’est une célébration de la fantaisie, du burlesque et de la nostalgie. Catherine O'Hara, dans son rôle de Delia Deetz, vole presque la vedette à Michael Keaton avec sa caricature exubérante de l’égocentrisme, apportant une légèreté supplémentaire à l’ensemble. Le film culmine dans une scène finale qui, bien que pleine de rappels au premier opus, parvient à ne pas paraître trop opportuniste. Les fans de l’original y trouveront une conclusion satisfaisante, et même si certaines des nouvelles idées ne fonctionnent pas toujours, l’ensemble reste un moment de cinéma joyeux et décomplexé. En fin de compte, Beetlejuice 2 ne réinvente pas la roue, mais il propose une bonne dose de plaisir et d’humour macabre, à la fois pour les fans de longue date et pour une nouvelle génération prête à découvrir les joies du monde des morts selon Tim Burton.
0 notes
christophe76460 · 5 months ago
Text
Tumblr media
Vous connaissez probablement la fable de Jean de la Fontaine intitulé “le lion et le rat” qui raconte l’histoire d’un rat qui délivre un lion de son piège. La morale de cette fable se trouve au début de celle-ci (2ème vers) : “On a souvent besoin d’un plus petit que soi”.
Eh bien ! Dieu se sert de bestioles bien plus petites qu’un rat pour accomplir des délivrances bien plus grandes que celle d’un lion.
* * *
Le petit papillon
Il y a plus d’un siècle et demi, Frank, un vieux mécanicien de locomotive à vapeur, racontait le fait suivant :
« Je conduisais le train sur la ligne Chicago-New York, avec l’aide du chauffeur Jim Walker. Nous sommes partis à 1 heure du matin et l'arrivée à destination était prévue à 6 heures. Il faisait un temps épouvantable : il pleuvait à verse, le vent soufflait avec violence, et la nuit devenait de plus en plus opaque. Toute mon attention demeurait en éveil pour repérer les signaux que je ne discernais qu’au dernier moment. Le brouillard était si dense que les phares de la locomotive n’arrivaient pas à le percer. Il semblait que nous allions foncer contre un mur. J’étais oppressé et je priais pour implorer la protection divine.
Tout à coup, dans le brouillard, je vis l’ombre d’une femme, vêtue d’un ample manteau noir. Elle faisait de grands signes avec les bras, puis brusquement elle disparut dans la nuit. Jim, occupé à la chaudière, n’avait rien vu. Quand il vit mon visage, il s’effraya :
– Qu’as-tu, Frank ? On dirait que tu as vu la mort !
Je fus incapable de lui répondre.
Je savais que nous étions proches de la fameuse cascade de Rock Creek, un des beaux sites du parcours, et là, un pont de 200 mètres franchissait le précipice. Je ne disais toujours rien lorsque Jim poussa un cri d’épouvante. La femme en noir était de nouveau devant le train et nous faisait signe d’arrêter. Presque malgré moi, j’actionnai les freins, et le convoi stoppa un peu plus loin. Les voyageurs se mirent aux fenêtres, quelques-uns vinrent aux nouvelles. Ce n’est qu’au chef du train que je pus raconter ce que nous avions vu.
– Un fantôme ! dit-il d’un ton furieux, vous êtes complètement fous. Enfin, allons voir pour vous tranquilliser ; prenez une lanterne et nous irons jusqu’au pont.
A peine avions-nous fait quelques pas qu’un spectacle terrifiant s’offrit à nos yeux. Au-dessus du vide, les rails tordus pendaient au milieu des poutres cassées et des troncs d’arbres arrachés. La cascade, enflée par la pluie diluvienne, passait par-dessus pour se perdre dans l’abîme.
Nous regardions ce désastre sans mot dire, conscients que, si notre train n’avait pas été arrêté providentiellement, il aurait été précipité dans le ravin.
Alors que je mentionnais une fois de plus cette femme que j’avais vue agitant les bras, le chef de train s’écria :
– Elle est là !
En effet, on pouvait voir une ombre qui s’agitait dans le brouillard. Un voyageur se mit à rire :
– Regardez, voilà votre fantôme !
Et il montrait un petit papillon qui voletait à l’intérieur d’un des phares. Quand il passait devant le réflecteur, son ombre agrandie était projetée contre le mur de brume, et le mouvement de ses ailes donnait l’apparence de signaux.
Cela fit rire certains voyageurs. Pour moi, ce n’était pas le hasard qui avait introduit cet insecte dans le phare. Dieu avait répondu à ma prière. Il peut utiliser même un petit insecte pour protéger la vie des hommes.
Nous pouvons dire ainsi avec assurance : Toutes choses (même un petit papillon) travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu (Romains 8 v.28) »
* * *
Quand une araignée se met au travail
Dans le petit village de Stambourne, au sud-est de l’Angleterre, le presbytère était habité, en 1662, par le pieux pasteur Henri Havers.
Comme beaucoup de ses confrères, il fut contraint d’abandonner son home. Pourtant il n’en continuait pas moins à prêcher l’Évangile de Jésus Christ, en temps et hors de temps. Cette vie errante l’exposait à de graves dangers, mais le Maître qu’il servait lui fit voir maintes fois de merveilleuses délivrances.
Un matin, ses voisins vinrent l’avertir qu’un groupe de dragons* était à sa recherche. Il n’avait plus le temps de seller son cheval et de fuir. Le seul endroit qui pouvait lui servir de refuge était une vieille dépendance de la ferme ; il s’y blottit dans le four vide.
A peine s’y trouvait-il qu’une araignée monta après lui jusqu’à l’ouverture béante et y tissa sa toile gracieuse. Il ne put s’empêcher de l’admirer. Bientôt elle obstrua complètement l’ouverture avec les fils serrés de sa toile.
Henri Havers entendit alors des voix et des pas qui se rapprochaient ; les soldats arrivaient. Ils cherchèrent de tous côtés. Passant devant le four l’un d’eux s’écria : « En tous cas, nous n’avons pas besoin de chercher ici ! Le coquin n’aurait pas pu y entrer sans briser cette toile d’araignée ».
Et ils partirent ne se doutant pas de l’extraordinaire protection que Dieu avait accordée à son serviteur.
* dragons : soldats se déplaçant à cheval mais combattant à pied.
* * *
La mouche
Nous sommes au 18ème siècle. Alors que John Wesley prêchait à Dublin, un certain personnage de la ville, très opposé à ces prédications, mais grand amateur de musique religieuse, résolut d'assister à l'une de ses réunions, seulement pour entendre les cantiques accompagnant la prédication. Décidé de ne rien écouter d'autre que la musique, il se bouchait les oreilles pendant toute la durée des intervalles entre les chants.
Mais Dieu a tous les moyens pour atteindre une conscience !
Pendant que notre homme se bouchait fermement les oreilles, une mouche vint se poser sur sa figure. La démangeaison devint intolérable au point qu'il souleva la main pour chasser l'insupportable bestiole. Ce fut assez pour qu'il entendit John Wesley citer à cet instant précis ces mots, répétés cinq fois dans les Évangiles :
« Quiconque a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! »
Cloué par la surprise, il continua d'écouter et sa conscience fut atteinte par les paroles de la Bible. Elle ne lui laissa plus de repos. Et il suivit toutes les prédications de John Wesley jusqu'à ce qu'il trouvât enfin le repos en recevant Jésus comme Sauveur.
Oui, Dieu se sert même d'une mouche pour amener quelqu'un, même le plus endurci, à croire en Jésus !
* * *
Nota : Cette dernière histoire est tirée du calendrier “5 PAINS ET 2 POISSONS”
Celui qui a nourrit à satiété 5 000 hommes (sans compter les femmes et les enfants) avec 5 pains et 2 poissons (Matthieu 14 v.16 à 21), ne peut-il pas faire de grandes choses avec des petites, ne seraient-ce qu’avec des simples bestioles ?
www.la-verite-sure.fr/page632.html
0 notes
ishootthemdown · 8 months ago
Text
Quelle raison pourrais-je avoir pour déconsidérer plus que personne les pantins booléens, si c'est parce que je ne me prête pas qu'aucun autre à l'illusion? Il faut dire que La Chambre Noire Lycanthropique n'a jamais été assez conne comme une valise. Comme d'habitude, le discernement de cettes i n t e l l i g e n c e s est presque aussi fin que que les filtres de papier toilette. Quel échec cuisant! Tomber dans vos propres pièges, juste ce à quoi nous nous attendions de la part de cerveaux si rapides!
Vos cauchemars ne sont pas réels. Vos illusions sont faibles, prétentieuses et ridicule. Si vous pensez pouvoir nous effrayer aussi facilement, vous devriez peut-être simplement abandonner et reconnaître que vos faibles et débiles tentatives de vous faire la pâle réplique de tous les dérision sont vouées à l'échec!
I'll say again what I've been saying from the beginning. Nothing and nobody will ever bring to an end the love between me and him. I LOVE HIM! AND HE LOVES ME! Pre-eminently. Profoundly. Passionately. Preternaturally.
Neither time nor tide, nor the wantons of this wretched world shall ever extinguish the vigorous flame that burns between our immortal selves, a love that eternally transcends over the existential spatial limits of worlds beyond worlds and is manifested in a language that only us can understand.
Il s'agit de l’ombre, pas de fantômes intermédiaires qui jouent toujours dans des pièces de théâtre et des spectacles occultes faux, non autorisées écœurant et haïssable. Vous ne l'aurez jamais!
"""
Les cinq yeux de la bête
de la maison rouge
sont devenus aveugles.
"""
1 note · View note
enquetedepolars · 9 months ago
Text
Évaluation des enquêtes de Maigret par Simenon
Pietr-le-Letton ++++
Le Charretier de "La Providence" +++
Monsieur Gallet, décédé ++++
Le Pendu de Saint-Pholien ++++
La Tête d'un homme ++++
Le Chien jaune ++
La Nuit du carrefour ++++
Un Crime en Hollande ++
Au Rendez-vous des Terre-Neuvas +++
La Danseuse du Gai-Moulin ++++
La Guinguette à deux sous ++
L'Ombre chinoise +++++
L'Affaire Saint-Fiacre ++++
Chez les Flamands ?
Le Port des brumes
Le Fou de Bergerac ?
Liberty Bar
L'Ecluse n°1 ?
Maigret
Les Caves du Majestic
La Maison du juge
Cécile est morte
Signé Picpus
Félicie est là
L'Inspecteur Cadavre
Maigret se fâche
Maigret à New York
Les Vacances de Maigret ?
Maigret et son mort
La Première Enquête de Maigret
Mon ami Maigret
Maigret chez le coroner
Maigret et la vieille dame
L'Amie de Madame Maigret +++++
Les Mémoires de Maigret
Maigret au Picratt's
Maigret en meublé
Maigret et la Grande Perche ?
Maigret, Lognon et les gangsters
Le Revolver de Maigret
Maigret et l'homme du banc
Maigret a peur
Maigret se trompe
Maigret à l'école
Maigret et la jeune morte
Maigret chez le ministre ?
Maigret et le corps sans tête
Maigret tend un piège ?
Un échec de Maigret ?
Maigret s'amuse
Maigret voyage
Les Scrupules de Maigret ?
Une confidence de Maigret
Maigret aux assises
Maigret et les témoins récalcitrants ++++
Maigret et les vieillards
Maigret et le voleur paresseux
Maigret et les braves gens
Maigret et le client du samedi
Maigret et le clochard ++++
La Colère de Maigret
Maigret et le fantôme
Maigret se défend
La Patience de Maigret
Maigret et l'affaire Nahour
Le Voleur de Maigret ++++
Maigret à Vichy
Maigret hésite
L'Ami d'enfance de Maigret
Maigret et le tueur
Maigret et le marchand de vin ?
La Folle de Maigret
Maigret et l'homme tout seul
Maigret et l'indicateur ++++
Maigret et Monsieur Charles
Nouvelles
La Péniche aux deux pendus
L'Affaire du boulevard Beaumarchais
La Fenêtre ouverte
Monsieur Lundi
Jeumont, 51 minutes d'arrêt
Peine de mort
Les Larmes de bougie
Rue Pigalle
Une Erreur de Maigret
L'Amoureux de madame Maigret
La Vieille Dame de Bayeux
L'Auberge aux noyés
Stan le tueur
L'Étoile du Nord
Tempête sur la Manche
Mademoiselle Berthe et son amant
Le Notaire de Châteauneuf
L'Improbable Monsieur Owen
Ceux du Grand-Café
Menaces de mort
Les Caves du Majestic
La Maison du juge
Cécile est morte
Signé Picpus
Félicie est là
L'Inspecteur Cadavre
La Pipe de Maigret
Le Témoignage de l'enfant de chœur
Le Client le plus obstiné du monde
Maigret et l'Inspecteur malgracieux
On ne tue pas les pauvres types
L'Homme dans la rue
Vente à la bougie
Un Noël de Maigret +++++
0 notes