#miroir rond
Explore tagged Tumblr posts
Text
Nice Home Bar
Example of a large trendy open concept light wood floor, beige floor, exposed beam and shiplap wall living room design with a bar, beige walls and a wall-mounted tv
0 notes
Photo
Nice Home Bar Example of a large trendy open concept light wood floor, beige floor, exposed beam and shiplap wall living room design with a bar, beige walls and a wall-mounted tv
0 notes
Photo
Home Bar Living Room in Nice Living room - large contemporary open concept light wood floor, beige floor, exposed beam and shiplap wall living room idea with a bar, beige walls and a wall-mounted tv
0 notes
Photo
Contemporary Sunroom - Large Example of a large trendy light wood floor and brown floor sunroom design with no fireplace and a skylight
0 notes
Photo
Paris Sun Room Large Example of a large trendy light wood floor and brown floor sunroom design with no fireplace and a skylight
0 notes
Photo
Contemporary Sunroom - Medium
#Sunroom - mid-sized contemporary ceramic tile and beige floor sunroom idea with a standard ceiling meuble vasque#miroir rond#radiateur fonte#parquet chêne#cuisine blanche#verriere
1 note
·
View note
Photo
Midcentury Living Room in Paris
#Example of a large 1950s enclosed medium tone wood floor living room library design with green walls#no fireplace and no tv guéridon pliable#petit miroir rond#living room#exposed beams#updated farmhouse#fauteuil orange
0 notes
Text
Chambre d'Alice
Lit de Myshunosun Matelas de Myshunosun Coussins, Couverture de Sundays Tables de chevet de Pierisim Lampe de Harrie et Felixandre Diffuseur huiles essentielles de Ravasheen Magazines de Largetaytertots Sac à main de Bergdorfverse Bougie de CharlyPancakes Plateau de maquillages de Harrie et Felixandre Réveil de Syboulette Valise de Felixandre Posters films de Makesims Miroir de Max20 Bureau de Myshunosun Chaise bureau de Zynoox Clavier, Casque, Repose clavier de DSCO Gobelet 'Simley' de Bbygyal123 Poubelle, lunettes de Littledica Plantes, Plantes suspendu de Awingedllama Sac Shopping de Platinumsims Ordinateur, manettes de DSCO Ours en peluche 'Gloomy bear' de CursedCC Chaussons 'Kuromi', Oreiller 'Playboy' de Bknysimz Peluche 'Kuromi' de Bknysimz Fauteuil de Myshunosun Néons de Tukete Caméra de Jbabblescc Tapis rond de Myshunosun Tapis de Harrie et Felixandre Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Animation de Sovasims
Cr��ateurs CC :
@myshunosun / @sundays-sims / @pierisim / @ravasheencc / @makesims / @maxsus / @dscombobulate / @awingedllama / @xplatinumxluxexsimsx / @cursedcc / @bknysimz / @harrie-cc / @felixandresims / @largetaytertots / @bergdorfverse / @charlypancakes / @zynoox / @jbabblescc / @sovasimscc /
#ts4#sims 4 cc#ts4 cc#sims 4#cc finds#les sims 4#ts4ccfinds#sims4ccfinds#sims4cc#sims 4 cc finds#sims 4 build#sims 4 buy and build#sims 4 clutter#sims 4 decor#showusyourbuilds#sims room#sims 4 bedroom#Alice#simblr#my builds
111 notes
·
View notes
Text
Le Petit écho de la mode, no. 8, vol. 23, 24 février 1901, Paris. 1. Toilettes d'intérieur. (Création des Magasins du Bon-Marché, rue du Bac, rayon spécial des Peignoirs et Robes d'intérieur.) Toilette de bal (Modèle de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris, Mme Audigier, successeur.) Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(I.) Robe d’intérieur en zenana ornée d’applications en drop brodé et volants de mousseline de soie.
(II.) Robe en zenana ornée d’applications de mousseline de soie et de guipure; pli Watteau garni de petits rubans comète de velours noir.
(III.) Toilette de bal (Modèle de Mme Audigier, 47, boulevard St-Michel, Paris). Cette ravissante toilette de jeune femme est en tulle point d’esprit à pois en relief. La jupe ronde, plissée à plis lingerie, est garnie de neuf petits volants bordés de comète de satin blanc. De mignons bouquets de roses en mousseline de soie sont semés en application entre les plis lingerie. Le corsage, décolleté en rond, froncé légèrement, est garni d’une berthe brodée en paillettes nacrées; à gauche, chou de tulle blanc et nœud Louis XVI en velours.
(IV.) Robe en satin antique broché ornée d’un col modern style et d’une cascade de mousseline de soie coupée par des entre-deux de Valenciennes.
(V.) Robe Empire en satin Bengale plissée du haut à plis lingerie, recouverte par un boléro en velours miroir corail entouré de guipure.
Envoi du catalogue des peignoirs sur demande affranchie.
—
(I.) Zenana house dress decorated with embroidered drop applications and silk chiffon ruffles.
(II.) Zenana dress decorated with silk chiffon and guipure applications; Watteau pleat trimmed with small comet ribbons of black velvet.
(III.) Ball gown (Model of Mme Audigier, 47, boulevard St-Michel, Paris). This lovely young woman's ensemble is made from point d'esprit tulle with polka dots in relief. The round skirt, pleated with lingerie pleats, is trimmed with nine small ruffles edged with white satin comets. Cute bouquets of chiffon roses are strewn between the lingerie folds. The bodice, round neckline, slightly gathered, is trimmed with a berthe embroidered in pearly sequins; on the left, white tulle and Louis XVI velvet bow.
(IV.) Dress in antique brocade satin adorned with a modern style collar and a cascade of silk muslin cut with Valenciennes interlaces.
(V.) Empire dress in Bengal satin pleated from the lingerie pleated top, covered by a coral mirror velvet bolero surrounded by guipure.
Sending the bathrobe catalog on request, prepaid.
#Le Petit écho de la mode#20th century#1900s#1901#on this day#February 24#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#Forney#dress#nightgown#collar#Modèles de chez#Mademoiselle Thirion#Madame Audigier#Magasins du Bon-Marché
47 notes
·
View notes
Text
Claires voyances
J écrivais les ombres folles, les balades improbables de fleurs asoyeuses et assoiffées, pétales insolents, virgules rondes.
Image qui se fait lointaine, arcs de sens insensensés, vol nuit aux diaphanes clairs d’aube, lumières fines et rares.
Que ces afleurs de peau délicates soit à nu d‘illusions cachées, d’allusions subtiles, de miroir insondables.
7 notes
·
View notes
Text
Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?
Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)
The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
19 notes
·
View notes
Text
Toulouse c'était cool. Mon date était sympa. On se reverra peut-être. Ou peut-être pas. Ça dépendra de la vie. En fait, on a vraiment cliqué mais il y a des points qui ne passent pas. Il boit plus de coca que d'eau (deso mais ça, ça passe paaas) et il fume la blinde de chichon (ça coince un mini peu pour my addict ass), il n'aime pas marcher (genre wtf) et je pense qu'il est malheureux (insatisfait) au fond de lui (c'est pas un reproche, c'est la même chose pour moi mais je sais que j'ai besoin de quelqu'un qui soit au minimum à mon niveau, ou plus élevé mais pas en dessous, niveau mal être). Bref, je suis assez sévère mais les points positifs: un vrai gentleman comme je les aime, c'était petit dej au lit tous les matins avec de la viennoiserie bien fraîche, resto tous les soirs, il me tenait tout le temps la porte, excellente chemistry et il est telllllement mais tellement drôle! J'ai pas arrêté de rigoler c'était fun :))) ah oui, il est un peu fou (comme moi. D'ailleurs il m'a demandé à plusieurs reprises qu'est ce qui ne tournait pas rond chez moi) et il matchait super bien mon énergie <3 au fond, je l'apprécie mais je pense qu'il ne s'est toujours par remis de sa dernière rupture et qu'il se laisse aller. Je pense qu'en vérité, on attire des gens qui sont sur la même fréquence que nous. Je pense même qu'il est une sorte de réflexion (miroir) par rapport à qui je suis ou plutôt par rapport à où j'en suis (sauf pour le coca et le fait qu'il n'aime pas marcher) et je lui souhaite bien de jolies choses à ce gros nounours <3 en vrai, il y a quelques temps, j'aurais tellement pu avoir une grosse touche sur une personne comme lui (beau, galant, généreux et qui me donne toute l'attention dont j'ai besoin) mais avec le recul et toutes les tartes que je me suis prise dans la gueu avec mes previous relations, je me dis qu'il est préférable de tomber pour la personne et non pas pour son potentiel if that makes sense ? Whatever. Alala. C'est cool, non ? Bref, tout ça pour dire que j'ai kiffé mon escapade romantique classé x avec un bel inconnu dans le sud ouest
3 notes
·
View notes
Text
Qui de nous deux ?...
Je ne suis fondamentalement pas quelqu’un de rancunier ni de vengeur mais forcée de constater que parfois ma déception reliée à un fond de colère n’est pas toujours facile à disparaitre !
J’en reviens toujours au même point et je me sens alors comme un poisson rouge dans son bocal, toujours à tourner en rond de façon machinale et stupide, avec l’envie de me mettre des gifles tant je me sens idiote de réagir ainsi. Je ne digère pas le paradoxe qu’il peut y avoir chez les gens entre leurs paroles et leurs actes. Je peux comprendre les situations exceptionnelles, je peux entendre les motifs valables, je peux accepter les urgences mais les situations qui se répètent trop souvent pour les mêmes raisons ou pire pour des excuses sorties du chapeau là j’ai plus de mal. Je suis quelqu’un qui fait toujours son maximum pour être honnête et cohérente avec mes paroles et mes actes et je ne supporte pas ceux qui font l’inverse c’est normal.
J’ai l’impression d’être un passe-temps pour lui, d’être un alibi ou une raison à son mal-être. Je ne comprends pas ce qu’il peut autant aimer chez moi alors qu’il me fuit ou me rend coupable ? Je me demande si les visions que j’ai eu n’ont pas été faussées…Il arrive à me faire douter de mon instinct primaire et je n’aime pas ça ! Je sais que je peux me tromper mais la plupart du temps j’ai du mal à l’admettre car mon flair ne me trompe jamais. Pour autant si j’étais face à un véritable faux semblant, comment pourrais-je me fier à mes ressentis ?
Que dois-je faire alors ? Ne plus le croire tant qu’il ne saura pas aligner ses paroles et ses actes à la perfection ? Ne plus se fier à ses belles paroles qui savent parfaitement me charmer et ne retenir que les actes ? Continuer à lui faire malgré tout confiance ?
La confiance…quelle notion fragile ! J’avoue ne plus savoir si j’en possède encore…Je n’ai pas confiance en moi déjà alors en donner aux autres c’est délicat ! De plus, quand il disparait de la sorte pour réapparaitre quand ça lui chante je ne peux m’empêcher de faire le rapprochement avec les hommes qui ont plusieurs vies en parallèle.
Je l’aime et je lui en veux…ce n’est pas compatible tout ça…J’ai peur d’admettre que je vais devoir tirer un trait définitivement sur les jolies visions du « nous » que j’ai eu. Je ne suis même pas persuadée qu’il tienne vraiment à les réaliser lui aussi. Il a peur de tout et tout le temps ce qui le rend terriblement maladroit et horriblement destructeur.
Je suis à nouveau perdue et complètement détruite. Mon seul réconfort est ma liberté qui est restée intacte mais à quoi bon m’enorgueillir si je ne peux rien en faire ? Je me sens comme un animal sauvage mis en cage dont la porte serait restée ouverte mais qui a peur d’en sortir afin d’éviter un plus gros prédateur…
Je l’aime mais je lui en veux…Qui de nous deux lâchera le premier ? J’ai déjà la réponse alors je dois d’ores et déjà continuer d’avancer sans regarder en arrière…Aimer c’est ne rien faire pour demander pardon, pourtant même s’il dit m’aimer à la folie il demande constamment mon pardon ! Je préfère laisser le passé dans le passé…La solitude reste toujours dans les miroirs, c’est pour cela que je n’aime pas vraiment m’y regarder !
4 notes
·
View notes
Text
Thank you for the tag @except4bunnies! This was a lot of fun :)
rules: list ten books that have stayed with you in some way. don’t take but a few minutes, and don’t think too hard - they don’t have to be the “right” or “great” works, just the ones that have touched you
Fair warning: a lot of these are books I read/were read to me as a child because those just hit different (and also I remember those better for some reason)
Wiet Waterlanders en de kleine Caroluscode - Mark Tijsmans (Mark Tijsmans writes amazing stuff, and my mum read me this book and it was so good I re-read it like half a dozen times; also recommend from him Het geheim van te veel torens, de ridders van de ronde (keuken)tafel and de Kronieken van Sooi Molenwieken)
La passe-miroir series - Christelle Dabos (yes I’m cheating. Again. This series taught me the true depths of disappointment. I just have no words for the let-down that were the last 50 pages of that fourth book. But the first two were just masterpieces.)
Het diner - Herman Koch (had to read this for school. Mostly remember that nobody else read it. Truly filled with characters that made me go WTF out loud)
The Lord of the Rings - J.R.R. Tolkien (my love for fantasy started with my dad trying to read me The Hobbit in French when I was distinctly too young for it. I read these on my own much later and I adore them)
The Lady’s Guide to Celestial Mechanics - Olivia Waite (my first time reading an explicitly wlw romance in book form! The descriptions were really beautiful)
De boekendief - Markus Zusak (this was a real eye-opener for tween me, who had always learned about the Second World War from the perspective of a country that won it)
Kruistocht in Spijkerbroek - Thea Beckman (TIME TRAVEL! Also re-read this one multiple times)
The Complete Call the Midwife Stories - Jennifer Worth (The love is always palpable in these stories. Some characters like sister Monica Joan stay with you for the rest of your life)
Koning van Katoren - Jan Terlouw (I was obsessed with this book as a kid)
Jaspers vlinders - Johan Vandevelde (One of the books that made me realize my sexuality. Also a lot softer than that Dirk Bracke book about lesbian girls, which really was not suitable for a twelve-year old).
No-pressure tagging: @weidli @charlotteflorentine and @punchandspade
5 notes
·
View notes
Photo
THE WICKED DEEP
Projet inspiré des oeuvres the sorcery of thorns (Margaret Rogerson) , The Scholomance (Naomi Novik) et La Passe-miroir (Christelle Dabos).
DISCORD
EXPLICATIONS
---- ENCLAVE OZERA, Avril 2023
La nuit vient de tomber, les ténèbres se sont emparées de ses moindres recoins alors qu’on entend les bavardages des grimoires et les pas assidus des Keepers, faisant leur ronde autour des prémisses. Les barrières menant au coffre des grimoires les plus dangereux sont fermées, protégées par deux Keepers, qui eux ne bougent pas. Stoïques, les yeux vrillés ci et là de la bibliothèque, les choses semblent être normales ce soir.
Et pourtant… une fumée épaisse s’imprègne lentement, mais sûrement des murs. Les Keepers tombent tous un à un alors que leur vision leur est retirée pour quelques minutes. Des cris de panique se font entendre, mais il est déjà trop tard. Les grilles menant au coffre sont ouvertes et dans son cœur un grimoire a disparu. Un des huit grimoires les plus dangereux au monde.
---- AUJOURD’HUI
La chasseuse s’empare de son infuseur et insuffle son incantation, lui donnant pour quelques minutes une force décuplée. Elle s’empare de sa rapière et se lance en direction du Mal qui vient de s’engager dans l’enclave des Blackthorn. Les sorciers qui l’entourent courent en panique, cherchant en vain leurs infuseurs pour se défendre. Mais le monstre a faim, le monstre qui ne devrait pas être là, ne pas exister.
La chasseuse, elle, n’hésite pas une seule seconde. Elle le pousse de tout son poids afin qu’il lâche sa proie, et enfonce sa rapière dans sa gorge. Elle sait que ça ne sera pas suffisant pour le tuer, mais assez pour le déconcentrer quelques minutes. Elle attrape un os de lézard et lui insuffle une seconde incantation. Le monstre, à présent en colère, se retourne vers elle pour lui asséner un coup. Mais avec sa force et surtout sa rapidité, la chasseuse ne lui laisse pas la chance et use de cette opportunité pour enfoncer son poing dans ce qui semble être sa tête. Le monstre recule, mais montre ses dents.
S’ensuit un duel qui finira dans la mort du Mal, la destruction de quelques champs de protection de l’enclave Blackthorn. Plus de peur que de mal dira la matriarche de la famille.. mais ce n’est pas la première, ni la dernière attaque. Et les conséquences deviennent toujours plus graves, élevant les questions: qui vole les grimoires et pourquoi les Mals refont leur apparition alors qu’ils étaient enfermés dans les enfers? Les huits enclaves sortiront-elles indemnes de ce plan bien plus élaboré qu’il n’y paraît?
#rpg français#forum rpg#projet rpg#forumactif#the wicked deep#twd#avatars forum#rpg#the sorcery of thorns#la passe-miroir#the scholomance
3 notes
·
View notes
Text
080- Correspondante avec bénéfices (07AVR23 6/6)!
Embarquons dans un nouveau chapitre de cette aventure qui m'a marqué au fer rouge des booooooons feelings! Vous pouvez lire les billets (si vous ne l'avez pas encore fait) 055 - 060 - 066 - 070 - 075 pour les parties de l'histoire que j'ai déjà racontée. Ce billet est justement une suite logique de l'aventure. Mais non, je ne ferais pas comme Netflix, vous n'aurez pas besoin de skipper le résumé des épisodes précédents. J'en suis arrivé au sixième chapitre, originellement prévu au scénario, mais je dois dire que ça va aller au-delà de six épisodes. On commence avec; une première fois chez elle!
Par un vendredi après-midi ensoleillé et frais, l'hiver a déjà commencé à installer un manteau blanc de neige et une mare de gadoue grise. Je ne me souviens plus si j'avais pris un petit congé, mais mon adorable compagne a sacrifié quelques heures de sommeil alors qu'elle est en chiffre de nuit. Son adresse postale me conduit dans un secteur de la ville fusionnée inconnu pour moi. Oooooh, chanceuse! Mon amie est une riveraine de grande rivière, petite plage à proximité, quartier résidentiel faiblement densifié. Un rêve pour ceux qui aime la campagne à la ville et les femmes rondes bucoliques.
« Wooooow, c'est ici »! Son adresse, sa voiture, sa galerie, ses courbes! Elle est là, qui m'attend, en manteau d'automne zippé jusqu'au cou, un sourire gourmand et.. les jambes nues dans des bottes d'hiver Acton. Elle m'avait averti que sa maison est énorme, sans qu'elle n'en soit la propriétaire, une location à long terme qui commence à lui coûter cher. Le propriétaire du lot lui fait des pressions pour qu'elle en devienne l'acquéreur, le marché de la revente est en mode haussier vertigineux.
Une étreinte cou à cou de durée indéterminée sur le perron, en me souvenant qu'elle ne voulait pas de frenche interminable, c'est réservé pour un futur chum 🥺. On entre, on fait disparaitre les vêtements d'hiver. Ce que je vois d'elle, je sais que c'est ce que j'ai toujours secrètement rêvé. Ce que je vois? C'est l'harmonie des rondeurs! Je suis certain que c'est Michel-Ange qui a créé cette femme! Ses courbes dissimulées sous une nuisette blanche format mini, je suis d'ores et déjà près de l'orgasme!
Puis, elle me prend une main pour me guider vers l'escalier qui monte à l'étage des chambres. Cet escalier, pourtant bien ordinaire, il est imprimé quelque part dans mon cerveau, là où même l'Alzheimer ne pourra étendre ses griffes. Elle monte devant moi et ce que j'y vois me fait encore capoter en 2023 (nous étions en 2015). La courte nuisette permet d'y voir les grosses fesses dodelinantes à chaque pas, les cuisses dodues se durcissant en montant l'escalier, les hanches toutes en courbes se balançant, les longs cheveux suivant la courbe du dos.. wooooow.. c'est une ange qui m'amène au paradis ou c'est la dame blanche qui m'attire dans un piège pour me condamner à me noyer dans son jus de chatte pour l'éternité.. ooooooui! Si vous saviez comment je suis bandé en écrivant ce passage!
Vite vite, elle me fait faire la visite de l'étage, jusqu'à sa chambre au grand lit blanc, à la lampe de chevet qui laisse filtrer une douce lumière (sans bas culotte sur l'abat-jour), aux rideaux de fenêtre adaptés aux travailleurs de la nuit et à ses portes miroirs étincelants de la garde-robe.. une chambre nuptiale! Mes vêtements disparaissent magiquement, une verge dressée devient le centre d'attention du regard de la belle!
Elle se met à genoux, sachant sa bouche avide de sexe, elle attaque ma queue de coups de langue qui vont droit au but; elle sait où est ce spot tellement sensible, entre le gland et la hampe. Elle surveille ma réaction, voyant certainement que mes yeux brillent de feelings. Elle libère ses gros seins déjà gonflés d'excitation.. huuuum.. je capote ma vie! Watch out, le point de non-retour est tout près.. je rejette sa bouche.. un cas de force majeure. « Je veux te boire chérie, écarte tes jambes. J'attends ce moment depuis un bout ». Oui, sa vulve format plus que pour la langue, me hante encore aujourd'hui.
Ben oui, c'est à mon tour d'amener la belle vers d'autres ressentis. Ma langue ne se tanne pas de goûter ce jus au goût âcre et salé, qu'elle me donne abondamment. Tirer et lécher, souffler et aspirer, pousser ma langue dans son vagin à l'image de sa grosse vulve, incroyable! Téter ce clitoris, le rouler sous la langue, résister aux spasmes des jambes qui suivent les cris de ma maîtresse! Oh.. le jus du minou devient abondant et coulant comme les érables à la Pâques, salé et acidulé.. je comprends ici que c'est une femme fontaine, hihihi! Je n'y résiste plus, j'enfonce un, deux puits trois doigts.. my god.. je pense que mon bras peut y entrer! C'est assez.. elle me tire vers elle et place mon pénis en contact avec la chaleur de sa vulve.
Si vous n'êtes pas un homme, vous ne pouvez savoir comment ça rend fou que de placer un gland de queue sur une vulve. Oooooh.. je n'ai pas mis de condom.. un combat intérieur m'anime.. je pénètre ou non? On se regarde quelques secondes, un petit mouvement de bassin de sa part pousse mon gland dans l'entrée du paradis. J'y pousse ma verge à l'intérieur, un centimètre à l'heure, profitant de tout ce plaisir qui rend dingue. I-n-c-r-o-y-a-b-l-e-! C'est comme si c'était la première fois de ma vie que je pénétrais une femme. Vraiment, chaque entrée et sortie est un Big Bang de feelings.
Toutes les positions du kamasutra adaptée aux femmes bien en chair y passent, incluant ce cowgirl où le passionné de gros lolos en moi en a eu pour son argent! Les auréoles gonflées de plaisirs avaient quelque chose d'hypnotisant. Les cuisses de mon hôtesse enhardie par cette cavalcade étaient sublimes. J'ai tout fait pour résister à la tentation de soulever la nuisette et d'y plonger mes yeux d'envie.
Elle prenait plaisir de sucer ma queue quelques secondes entre chaque changement de position.. la chanceuse.. goûter une queue couverte d'endorphines de jus de chatte. Je pousse mon hôtesse sur le dos, avec quelques va-et-vient de la main. Mon sexe n'en peu plus, ce point de non-retour est traversé, mon cerveau commande une éjaculation. Ooooooh, je laisse aller une longue giclée de foutre sur les seins, ce qui me vide pratiquement de toute mon énergie vitale. Wooooow!
Après un long moment à se chuchoter des mots doux, mon amie me conduit à la douche. Je sais d'avance que je vais m'y rincer en mode solo, mais quand même, ma compagne m'achale au travers le rideau, ayant gardé ses seins en mode libârté! Alors que je retourne à la chambre, je découvre un félin bien dodu qui s'est étendu sur mes vêtements! En tant qu'amoureux des chats et des chattes (hihihi!), le spectacle est adorable.. c'est le coup de foudre ronronner entre nous deux, le minou et le matou!
Mon ange m'attend en bas, un verre d'eau bien froide pour que je puisse d'étendre mes jambes vidées de tonus. On placote, on se minouche, on se désire jusqu'à ce que la vie nous prépare un nouveau rendez-vous, ici! Comme on dit, to be continued! Merci encore de votre passage sur mon blogue!
#ronde #admirateur #bbw #ssbbw #toutoune #grosse #enveloppée #bienenchair #rencontre #curvy #chubby #jardinsecret #monteregie #correspondre #correspondante #dating #feelings #over50 #50plus #excitation #amant #maitresse #maison #escalier #poitrine #kamasutra #lecher #passion #desirs #chambre #fellation #douche #orgasme #chatte #nuisette #seins
2 notes
·
View notes