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Comment gérer les litiges en matière de travaux de construction
Comment gérer les litiges en matière de travaux de construction

https://nf-avocats.fr/comment-gerer-les-litiges-en-matiere-de-travaux-de-construction/
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Manger coréen dans un bar de quartier qui sent la vieille clope, caler sur la vue la bouche ouverte, dessiner sous MD et se faire aspirer par les courbes, aller boire des cocktails dans un vieux bar de jazz qui n'a pas changé de déco depuis les années 60.... je revis




#Parler d'excision jusqu'à en pleurer avec mon meilleur ami#Afin qu'il comprenne que c'est une putain de pratique de merde#Et qu'il faut arrêter de justifier les choses par la culture#Et aussi recevoir une boule de neige en pleine tronche par un petit mioche haut comme 3 pommes#❤️
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Appropriation des meilleures pratiques de la gouvernance participative: La Pascib forme les partenaires stratégiques de Pacofide
La Plateforme des Acteurs de la Société Civile au Bénin (PASCiB) a organise une formation destinée aux partenaires stratégiques de Pacofide sur les meilleures pratiques de la gouvernance participative. Pendant 72 heures, les participants auront l’occasion de se familiariser avec les principes et outils de la gouvernance participative afin de mieux mettre en œuvre leurs conventions respectives et…

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#Journal Santé Environnement#Meilleures pratiques de la gouvernance participative: La Pascib forme les partenaires stratégiques de Pacofide#Ministère de l&039;Agriculture de l&039;Elevage et de la Pêche#Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable#PACOFIDE#PASCiB#Projet d&039;appui à la compétitivité des filières agricoles et à la diversification des exportations (Pacofide)
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saga: Soumission & Domination 391
Mes Escorts-5, Renouvellement-2
Je laisse les deux autres à Jona, ça m'amuse de les réceptionner mais j'ai moins de temps ! Gabin 18ans, Hétéro, première année fac de science, 1m82, brun, un peu velu et monté 18x4.5. Il pratiquait le handball mais a dû arrêter car avec les entrainements sur semaine plus les matchs le WE et son travail certains soirs c'était devenu incompatible avec ses études.
Jona m'appelle car lui a préféré aller à sa première prestation bien préparé et il sait que j'aime tester moi-même les services que je propose. Donc finalement je vais m'en occuper un peu ! Quand j'arrive, Gabin est déjà tout lisse et psychologiquement prêt à se faire dépuceler. Je l'emmène dans une des chambres de l'étage. J'admire ses cuisses épaisses et son torse large. Il me dit qu'il est soulagé d'avoir quitté son club car comme " ça ", dit-il en me montrant son corps de la main, il aurait eu du mal sous les douches avec ses potes à côté de lui. Je l'assure qu'il est devenu très apetissant et qu'il aurait fait des émules plus que des ennemis. Je bande devant son cul très rond. Je le prends contre moi et commence par une pelle. Il se donne à fond le petit ! En quelques minutes il bande dur contre ma cuisse. Je caresse son dos alors que nos langues continuent à se chercher. Mes mains descendent et empoignent ses fesses. Pas de gras, que du muscle sous mes mains ! Il les serre avant de se relâcher et de laisser passer mes doigts dans sa fente. Sa pelle se " voracifie " alors que j'atteins sa rosette. Je le prends aux épaules et le projette sur le lit. Comme il atterri sur le dos, je le retourne et le positionne à 4 pattes le cul en l'air. Je commence alors à lui travailler la rondelle. Massage rotatif au gel, je le chauffe car je veux que ce soit lui qui me supplie d'aller plus loin. Ça plus des pressions sur son périnée qui le font bander encore plus, ajouté au fait que je ne touche pas sa queue ni ses boules et que je l'empêche de le faire, et j'arrive à mes fins. Il cambre encore plus son dos et me souffle un " vas-y défonce moi " qui d��note son état d'excitation.
Je n'y vais qu'avec les doigts. Un puis deux et bientôt 3 jouent à ouvrir sa rondelle. De sa tête enfoncée dans la couette me parviennent gémissements et supplications. Quand je l'estime prêt, je monte sur le lit, place mes pieds de part et d'autre de ses genoux et plie les miens pour pointer mon gland sur son orifice encore inexploré. Pas besoin de poppers, je le plante et direct enfile mes 20cm entiers. Pas de hurlement mais un long gémissement qui accompagne ma progression. Par les cheveux je décolle sa tête du matelas et lui demande si ça va. Réponse étranglée de l'intéressé " oui mais si tu peux attendre un peu avant de me limer le cul... ". Je peux comprendre ça et d'ailleurs il est tellement serré sur ma bite que je me ferais mal à bouger. Il se détend enfin, je commence mon travail de dépucelage proprement dit. Quand sa rondelle s'est faite à mon diamètre, je n'hésite plus à sortir complètement pour y revenir aussitôt. Ses gémissements ont laissés place à des halètements de bon augure. Je cesse un moment me dékpote et lui demande de me sucer. Il s'y prend comme les meufs qui ont dû lui faire des pipes. Je lui explique alors la différence et lui dis de me faire ce que lui aurait voulu de leur part. C'est tout de suite meilleur. Il cesse de léchouiller mon gland pour venir l'engloutir. Il y va tout seul de plus en plus profond et je le surprends à me faire une gorge profonde. Si la première est passée la seconde lui vaut un réflexe de régurgitation. Il insiste et ça se calme un peu. Sa position face à moi n'est pas la plus favorable pour commencer cette pratique. Je le mets sur le dos la tête en dehors du matelas et vient m'enfoncer dans sa gorge. Là, sans difficultés ni renvois, il me mange entier. Bonnes prédispositions ! Quand je sors et que je le félicite, il me dit que c'est comme ça qu'il aurait aimé être pompé par les meufs qu'il s'est fait. Je ne le laisse pas disserter et l'empêche à nouveau de parler. Je tâte sa rondelle qui s'est refermée. Il est temps d'y retourner. Je le prends cette fois ci de face, ses jambes bien écartées pour que je puisse en même temps lui rouler un patin. Il est tellement excité qu'il jute sans se toucher. Je continue à le limer une petite 10aine de minute pour jouir à mon tour. Il subit sans chercher à se dérober, Bon point pour lui.
Nouveau passage sous les douches. Je lui dis qu'il a passé le premier teste avec succès, maintenant il ne s'agissait plus que de le formater au bon diamètre ! Pour cela il revient encore deux soirs où João et ses 22x6 suivis de Florian et ses 18x7 font le travail. J'étais présent et avec un peu de poppers Gabin s'est fait à ces nouvelles dimensions. Maintenant il est impatient de commencer et d'avoir son premier salaire.
Fabrice 18ans, Hétéro en première année d'école d'infirmier, 1m83, blond, peu velu et monté 17x5. C'est au football qu'il a eu son expérience homo. Enfin façon de dire pour de simples branlettes en groupe après certains match. Comme pour Gabin, Jona s'occupe de tout jusqu'au test puisque lui aussi a opté pour un dépucelage maison avant d'entrer dans le grand bain. Il est pas mal et sa blondeur le rajeunit. Par contre si son sport lui a taillé de beaux fessiers et de belles jambes, le haut est un peu à la traine et je ne me cache pas de le lui dire. En prenant exemple sur des Ronaldo et concert, je lui démontre qu'ils travaillent aussi cette partie de leurs anatomies et que c'est franchement encore plus bandant. Épilé du très peu qui poussait sur lui et le pubis tondu ras, il faut passer la main dessus pour voir qu'il n'est pas total imberbe. Je commence par lui demander une pipe. Vu comme elle est réussie, je lui demande s'il était sur de n'en n'avoir jamais fait. Il est un peu gêné mais avoue qu'avec un certain milieu de terrain de son équipe d'il y a quelques années, lui était attaquant, ils avaient été plus loin que la branlette avouée. Mais comme il avait parlé en dernier des 4 et que tous les autres étaient hétéros, il n'avait pas osé nous le dire. En plus c'était vrai qu'il se faisait des petites meufs. Il s'y prend bien et me fait raidir efficacement, ce qui n'est pas très dur, mais en variant sa façon de m'exciter ce qui est plus intéressant. Avec son coéquipier ils avaient été jusqu'aux sodos réciproques mais que ça faisait presqu'un an qu'ils ne se voyaient plus lui étant parti faire ses études à Paris. C'était aussi la raison pour laquelle il n'avait pu choisir notre première proposition sans mentir. Je le remercie pour son honnêteté et lui demande de s'occuper de moi. Il me suce encore quelques minutes avant de me pousser dos sur le lit. Il y reprend sa pipe et l'améliore par un placement en 69 qui lui permet de me faire des gorges profondes. Il est plein de surprise ce petit Fabrice ! Quand il cesse c'est pour me demander une kpote et du gel. Il m'habille et enjambe mon bassin. Une couche de gel sur ma tige et sur ses fesses et il entreprend de s'assoir dessus. Moi je suis raide donc pas de soucis, par contre lui ne s'est pas fait enculer depuis plusieurs mois ! Je le regarde, il grimace un peu mais insiste et sa rondelle cède. Vu la pression qu'il avait mise, il se retrouve direct assis sur mes cuisses et le souffle coupé. Moi je suis hyper-serré et c'est trop bon. Il reste sans bouger quelques 10aines de secondes et vaillamment se soulève. Il se penche au-dessus de moi, pose ses mains sur mes épaules et commence à onduler de l'arrière train le temps de se réhabituer aux sensations. Quand il s'estime assez ouvert, il monte en puissance progressivement pour finir par galoper sur ma bite. Je vois même qu'il retrouve des plaisirs sinon oubliés du moins perdus depuis quelques mois. Je me redresse, il accompagne le mouvement et s'accroche à moi quand je me lève. Les plis de ses genoux au creux de mes bras, ses fesses sont écartées au maximum et il ne lui manque aucun mm de mes 20cm. Accroché à mon cou, sa tête contre la mienne, il me souffle que cela lui avait manqué. Bon petit lui aussi et plus rapidement en situation d'Escort. On se termine mutuellement alors que je l'ai reposé sur le lit et que, en tenant ses jambes au chevilles bien écartées, je l'encule plus hard. Il se jute dessus et je rempli ma kpote.
C'est donc lui qui décroche le premier des 4 un contrat. Son aspect juvénile malgré ses 18ans fait monter les enchères, ça plus la blancheur de sa peau si appréciée de mes blacks les plus noirs de teint. Pour sa première, le client est dans la moyenne (de mes clients) avec un attirail de 26 x6.5. Comme les 4 DS3 ne sont pas encore arrivées, il emprunte une RCZ de la maison et comme ce n'est pas une prestation de représentation je le laisse y aller en jeans (de marque) et gros blouson de cuir. J'attends son retour et ce n'est que vers les 3heure du matin qu'il revient au Blockhaus. Il est tout content de lui et surtout l'appréhension qu'il avait de mal faire s'est dilué face à la gentillesse de mon client. Ce denier avait pris le temps de bien lui préparer la rondelle en la lui mangeant pendant plus d'une heure. ça plus une bonne couche de gel et deux sniff de poppers et les 26x6,5 étaient rentrés comme dans du beurre, enfin presque. Ayant omis de préciser pour les enveloppes bonus, il me tend celle que lui a remis le client. Par curiosité je regarde le montant avant de la lui rendre et de lui dire que les bonus sont personnels et n'entrent pas dans ma comptabilité. J'ajoute qu'il avait bien du plaire pour une telle prime. Il rougit et bafouille que le client avait apprécié de lui défoncer la gorge c'est pour ça qu'il avait la voix un peu grave. Encore sur son petit nuage, il est prêt à repartir quand je veux. Je le calme et lui dit qu'il ne doit pas négliger ses études et qu'avec ce qu'il vient de mettre sur son compte il pourrait même vivre toute la fin d'année dessus. Et puis l'été ne va pas tarder et il va pouvoir accompagner un client pendant ses vacances. Lui qui avait prévu de travailler en plus de son stage est très content car serveur même en station c'est quand même pas le Pérou. Je lui précise que contrairement à ses jobs précédents, là c'est du full service 24h/24. Il me répond que tant qu'à être Gay for pay, autant engranger un maximum.
Jardinier
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⚜ 𝕋𝕙𝕠𝕤𝕖 𝕎𝕙𝕠 ℍ𝕒𝕧𝕖 𝕊𝕠𝕞𝕖𝕥𝕙𝕚𝕟𝕘 𝕥𝕠 𝕃𝕚𝕧𝕖 𝔽𝕠𝕣 - ℂ𝕙. 𝕏𝕍𝕀𝕀: 𝕊𝕨𝕒𝕟𝕤 𝕄𝕒𝕥𝕖 𝕗𝕠𝕣 𝕃𝕚𝕗𝕖 ⚜


*✧・゚: *✧・゚ ✧.*★ Thank you to @kavalyera for the beta read!
Summary: Vincent and Chidi withdraw to a more private winter home to escape the bustle of the High Table for a while. And it's helping - Vincent is getting better. ...But does that mean he won't need Chidi by his side anymore?
TW: mention of drug addiction, lots of angst
The master of the Gramont house set out again, leaving Il Palazzo as vacant as he had left Versailles. Where there was no conquering to be done, he and Chidi could never linger. Onward they went, chasing the frontier. Fittingly, the United States came first. New York. Dallas. Later, Osaka. Casablanca. Chidi watched these cities pass in front of him with mild curiosity. They interested him primarily for the power Vincent held over them. He traced the lines of Vincent’s network with his own footsteps, his own jet trails, and saw firsthand how power ensnared the whole globe. There was nowhere where anyone could possibly escape from the Marquis, and nowhere where the Marquis could escape his constant work. Christmas had come and gone by the time the alliance with Gianna had reached enough stability to give him a moment’s rest.
“À ce rythme-là, ils vont encore me mettre à terre. [They’ll run me into the fucking ground again at this rate,]” Vincent said, in a Beijing hotel, severely jet lagged. He lay prone, his face half buried in a pillow. It was the kind of night on which he was liable to whine about wanting a hit, and if Chidi wasn’t careful, he’d get one.
How many days had it been since the last slip-up? Eleven? That was a new streak. Chidi closed the curtains against the city lights and pulled his Marquis’ head into his lap. “Je suis fier de toi. Ils ne vous ont pas encore mis à terre, et je ne les laisserai pas. Que pouvons-nous faire ? [I’m proud of you. They haven’t run you into the ground yet, and I won’t let them. What can we do?]” Can I kill someone about it?
Vincent made a small, unhappy sound and blinked up at him cheerlessly. “…Je pense que j’aimerais devenir complètement inaccessible cet hiver. Disparaître de tout le monde. […I think I’d like to become completely unreachable this winter. Just disappear away from everyone.]” Very softly, “Sauf toi. [Except you.]”
“"Je ne voudrais rien de mieux, monsieur. [I’d like nothing better, sir,]” said Chidi, playing with his hair. “Où pouvons-nous nous retrouver enneigés ensemble ? [Where can we get snowed in together?]”
In the northern part of France, near Calais, the Gramont family kept a summer home (which Chidi quickly understood to mean a small castle dating back to the 16th century). Àlderic had barely set foot there, Vincent explained, but the young Comte had enjoyed a lovely few months there once when his father grew tired of him. “Il m'a plutôt envoyé déranger les tuteurs pendant un été. [He sent me away to bother the tutors for a summer instead],” said Vincent, and laughed in a way that tore Chidi’s heart open without noticing anything unusual about it. “Mais la plaisanterie était contre lui, car c’était le meilleur été de ma vie. Beaucoup de temps pour lire et pratiquer le piano, et courir autour du lac pour me lier d’amitié avec la sauvagine locale, au grand dam de ma nounou. [But the joke was on him, because it was the best summer of my life. Plenty of time to read and practice piano, and run around the lake making friends with the local waterfowl, much to my nanny’s chagrin.]”
Chidi smiled, picturing it easily. “Cela semble parfait. Même si vous aurez de la compagnie cette fois-ci. [It sounds perfect. Though you will have some company this time.]”
“…Je vais. […I will.]”
Chidi liked ”Château de la Lune” just fine. To the south, it overlooked a lake where he might go walking or riding anytime, and to the north, a vast forest of hunting grounds. It was a patchwork of eras, renovated several times and partially rebuilt in the wake of an 1850s fire, but retaining its old gothic grandeur in its west wing. Thanks to that eclecticism, it didn’t strike him as such as frighteningly rigid place as Versailles, nor even as curated as Il Palazzo. It simply was what it was – unique and historied and extremely comfortable.
Besides, he liked any place where Vincent was to be found, and where there was hardy work to be done. His friendships with Vincent’s attendants and secretaries and his own favorite trainees among the guards had grown into something dependable. He spent his days making sure that everything ran smoothly with all of them. But Vincent remained the one and only person who understood him not just in part, but in full. The Marquis was the only person who could motivate him not just to take general pride in his work, but to go into a kind of adrenaline-fueled frenzy over something as simple as making sure Vincent got the exact kind of crème brûlée that he wanted for dessert. To say that Chidi enjoyed this work would have been a vast understatement.
They were so perfectly settled. And Vincent had never struck him as a settled sort of person. Chidi waited for the restlessness, for the explosion. But instead, something heartier was unfurling in the evenings when Vincent sat playing him sonatas or dancing with him or joining him for an evening walk. The Marquis talked more. He made jokes. And when he went quiet, it was with calm, private reflection, not with emotional shutdown.
A reflection that Chidi couldn’t enter into.
He went quiet like this more and more often as the days turned to late February and the dismal cold started to wear on Chidi’s nerves. He had to be thinking about something, but wouldn’t say what. The Marquis had started to work alone in his study, to dismiss Chidi outright from time to time. But no matter how many times Chidi asked if he was okay (which provoked Vincent into irritation more than once), the answer was always the same – yes, he was perfectly content. And he could meet Chidi’s eyes when he said it. His voice no longer shook with concealed pain. He really was okay, and upon that realization, Chidi’s fear shifted.
He was watching Vincent pull away from him with newfound independence, he realized. He tried to be happy for him, and he was, sometimes so happy he could hardly contain the heartbreaking joy. But at the same time, it made him feel physically sick, adrift. Me, as Vincent's protector... What a joke. It's him who has protected me from purposelessness all these years, Chidi thought. First Vincent had been a daydream that he’d hoped for as a child, then the man he met and pined after, and then the lover he served. But this was the tragedy of his situation: that if he ever succeeded in healing the man he loved, what would be the need for him? Only then did he understand how much he needed Vincent.
Once, when Chidi could no longer contain himself, he asked, “Mon amour, tu penses que les choses changent entre nous ? [My love, do you think things are changing between us?]”
Vincent simply said, “Oui,” and smiled maddeningly. Chidi walked out that night into the forest. He walked until many layers of barren branches had hidden the lights of the castle windows, and the reflected glow of yesterday’s snowfall sparkled as the only, unearthly light under the stars. Then he screamed himself hoarse.
The worst part was that he couldn’t even blame Vincent. His favor had always been a fortunate and perhaps temporary blessing. He was the wildest person Chidi knew, and he loved him for that. To restrain him…it wasn’t worth seeing him trapped in yet another gilded cage.
So when Vincent announced that he planned to spend a few days without him in Paris, Chidi felt the ground drop out from under him. He had no real reason not to trust Vincent to go on his own. He couldn’t say no, even knowing that the reason could well be an affair or just…time away. Time enough to contemplate a permanent severance between them. The best he could manage was, “Je préférerais de loin vous accompagner, maître, pour votre sécurité. Es-tu sûr? [I would greatly prefer to go with you, master, for your safety. Are you sure?]” And Vincent said he was sure.
He kept in constant contact with the guards who did follow the Marquis. His fear, he told himself, was all for Vincent. A protective rage just like every other. But it didn’t abate when they told him that all was well. “He’s in the best spirits we’ve ever seen,” wrote his second-in-command. “Practically skipping. And no, not from intoxicants.” Chidi looked down to find that he’d shattered the glass tumbler he was holding.
Another text shattered him on the second night of Vincent’s trip, this time from Vincent himself. “Je rentre demain matin, tôt. Retrouve-moi au bord du lac à 7 heures. J'ai quelque chose à te dire. Habillez-vous bien – c’est important. [I am coming home tomorrow morning, early. Meet me by the lake at 7. I have something to say to you. Dress well – it’s important.]”
Chidi shut his phone and let his chest shudder with silent tears for five whole minutes before he could bring himself to answer. “Oui, monsieur.” And then his chest fully caved in, and for the rest of the night, he was, whether loudly or silently, inconsolable.
So it was with finality, with resignation, that he donned his grey suit for the last time, held his pin to the light till it flashed in his eyes, and stabbed twice through his lapel as he had done each and every day. One piercing on the way in, one on the way out, each one a rending deep in the fabric that left a small but irreparable hole. For your freedom, Vincent, I will tear out even Cupid’s arrow. I will do as you say.
It was the warmest morning in quite some time. There was mist over the lake, and it settled into Chidi’s skin and into his eyes, that vast damp blurring of an uncertain future. Would he at least be allowed to stay at Vincent’s side, enjoying the torturous sight of his master’s unreachable perfection? To guard the gate of a life into which he would never again be permitted? Damn it all, but he hoped for even that small pleasure. Because if he could never see him again…
But Chidi couldn’t bear to think of that after catching sight of the Marquis, picking his way over the dormant winter grass in riding boots. He must have risen hours ago and seen to his appearance somewhere on the road, in a hotel perhaps. That majesty might look unstudied, but Chidi alone knew the effort that went into it, the thought and the fretting. His own morning routine seemed like nothing to him by comparison. Vincent’s lips, pinkened by the chill of morning, kissed him softly while the dew beaded on his polished shoes and kissed his ankles with flecks of sweet cold where the grass had poked its way under his starched hems. He let himself be present in his body and hold the Marquis, their breath intermingling in air, looking out across the dawn in silence.
There, on that glassy surface turned to agate by the rising sun, a pair of swans circled. The first of the spring. “J'ai entendu dire qu'ils s'accouplent pour la vie. [I’ve heard they mate for life],” said Chidi. “Quand l’un meurt, l’autre aussi. [When one dies, so does the other.]”
“J'ai entendu dire qu'ils pouvaient tuer un dogue allemand avec leur bec nu, [I’ve heard they can kill a great dane with their bare beaks],” said Vincent, “pour être sûr que cela n'arrive pas. [to make sure that doesn’t happen.]” For a second, Chidi almost laughed, but he didn’t trust the choked sound that came out of him, and quieted it back into soberness.
He turned to his master, searching. His eyes came up against a wall of porcelain and glass and placid smiles. In his desperation, he found himself asking for the first time, “À quoi pensez-vous, monsieur ? Vous me désavantagez, et je – [What are you thinking, sir? You have me at a disadvantage, and I -]” His voice broke against that impenetrable wall. “Je sais que tu n'as plus besoin de moi. Je suis si heureux de te voir plus heureux. Je ne peux tout simplement pas supporter ce... suspense quand je sais que tu... finis-en, juste – [I know you don’t need me anymore. I’m so glad to see you happier. I just can’t take this…suspense when I know that you…just get it over with, just - ]” He narrowly prevented himself from collapsing onto Vincent’s shoulder and instead turned the other way, face hidden by his hands.
“Chidi. Non, Oh mon Dieu, je ne voulais pas dire… [Chidi. No. Oh god, I didn’t mean…]” Vincent’s arms were around him then. “C'était un plan stupide. S'il te plaît, ne pleure pas. Je n’aurais peut-être pas dû être aussi mystérieux, mais ce n’est pas comme si je voulais tout gâcher… [It was a stupid plan. Please don’t cry. I shouldn’t have been so mysterious maybe, but it’s not like I meant to ruin it…]”
“Attendez. Quoi? Détruire quoi ? Non, vous n'avez rien fait de mal. Je comprends. Tu n'es plus obligé de me vouloir, c'est juste – c'est juste dur pour moi, je suis désolé – [Wait. What? Ruin what? No, you haven’t done anything wrong. I understand. You don’t have to want me anymore I just – it’s just hard for me, I’m sorry – ]”
Vincent grabbed him by both shoulders so roughly that he was shocked out of his tears. “JE te veux! Bien sûr, je te veux. C’est exactement de cela dont il s’agit. [I DO want you! Of course I want you. That’s exactly what this is about.]”
“… Je ne pense pas savoir ce que tu dis. […I don’t think I know what you’re saying.]”
Vincent just pulled him close, and whispered, “Soyons heureux, d'accord ? C'est un moment spécial. Il y a un photographe sur la colline qui va le capturer, alors… dis-moi quand tu te sens prêt. [Let’s be happy okay? This is a special moment. There’s a photographer on the hill who’s going to capture it, so…tell me when you feel ready.]”
Chidi hastily tried to clean up his face on his sleeve, but he still wasn’t following. “D'accord. Je vais bien, je suis prêt. Mais je ne le fais vraiment pas… [Okay. I’m okay, I’m ready. But I really don’t…]”
And then he looked back to Vincent to find him on one knee.
“Oh.”
Vincent, he realized, was faintly shaking. So was he, rather more violently.
“Dios mío… [Oh my god…]”
Time went surreally slow. With the motions of a person underwater, the Marquis was pulling a small velvet box from the pocket of his overcoat. To his surprise, Vincent spoke in somewhat stilted, practiced Spanish. “Una vez me devolviste algo que pensabas que había dejado caer. Me lo devolviste cuando sentí que... como si no tuviera nada. Me encontraste en mi punto más bajo y me ayudaste incluso entonces. Eso fue más que una amabilidad. Cambiaste mi vida permanentemente con ese acto. Pero aquí está el problema: quería dejarlo. Lo intenté para que lo disfrutaras, porque quería que hubiera alguna conexión entre nosotros. Así que ahora te lo doy de nuevo. Para siempre. [You once returned to me something that you thought I had dropped. You gave it back to me when I felt like – like I had nothing. You found me at my lowest, and helped me even then. That was more than a kindness. You changed my life permanently with that act. But here’s the problem: I meant to drop it. I intended it for you to enjoy, because I wanted there to be some connection between us. So now, I’m giving it to you again. Forever.]”
There in the box: a gold ring, with a band of clear resin at its core. And embedded in that band, amongst flecks of gold leaf, were flecks of white. “El pétalo de rosa blanca. [The white rose petal.]”
Vincent nodded, unable to speak. Finally, he managed it. “¿Quieres casarte conmigo, Chidi? [Will you marry me, Chidi?]”
And again, Chidi saw that bottomless depth in his eyes. That desperate, hidden thing that had called out to him with irresistible compulsion from the first sight. Vulnerability.
And again, he answered its call. “Sí. Dios, sí. [Yes. God, yes.]”
◃ Back ⚜ Next ▹(coming soon)
Image Sources: One | Two
#hopelesslydevoted#john wick fanfic#john wick#chidi x marquis#chidi jw#marquis de gramont#wickblr#marquis de gramont whumpee#chidi caretaker#whump fic#assassin whump#ao3 crosspost
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Les Celtes croyaient que les abeilles étaient des intermédiaires entre ce monde et l'autre. Ils pensaient que les abeilles pouvaient aider à transmettre des messages de ce monde au monde des morts, les aidant ainsi à communiquer avec leurs proches. Les abeilles sont tellement respectées pour leurs capacités qu'il existe même des documents juridiques créés dans le but de protéger toutes les pratiques liées aux abeilles. Le miel contient des enzymes vivantes.
🐝 Au contact d'une cuillère en métal, ces enzymes meurent.
🐝 La meilleure façon de manger du miel est d'utiliser une cuillère en bois ou en plastique.
🐝 Le miel contient une substance qui aide le cerveau à mieux fonctionner.
🐝 Le miel est l'un des rares aliments sur terre qui ne peut soutenir que la vie humaine.
🐝 Une cuillère à café de miel suffit à maintenir la vie humaine pendant 24 heures.
🐝 La propolis, produite par les abeilles, est l'un des antibiotiques naturels les plus puissants.
🐝 Le miel n'a pas de date de péremption.
🐝 Les corps des grands empereurs étaient enterrés dans des cercueils en or recouverts de miel pour éviter qu'ils ne pourrissent.
🐝 Le terme « lune de miel » vient de la tradition qui veut que les jeunes mariés consomment du miel pour assurer leur fécondité après le mariage.
🐝 Une abeille vit moins de 40 jours, visite au moins 1 000 fleurs et produit moins d'une cuillère à café de miel au cours de sa vie.
🐝 L'une des premières pièces de monnaie portait un symbole d'abeille.

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Ouverture (officielle) de La Piscine
Bonjour tout le monde 👋
Ici @1019-code, je viens vous annoncer l'ouverture (officielle) de La Piscine, un discord de commandes et d'entraide pour forums Forumactif dans les domaines du codage et du graphisme.
Vous pourrez :
trouver des épreuves, "challenges", pour tester votre créativité ou faire fleurir l'inspiration (et accessoirement peut-être réussir à booster le libre-service),
rejoindre des équipes pour gagner des POINTS qui ne servent à RIEN !!!
si vous êtes prestataire, discuter entre nous dans le but de se mettre d'accord sur nos pratiques ou trouver de l'aide dans le monde merveilleux du freelance,
trouver un répertoire de prestataires pour réaliser des commandes payantes en code ou en design,
partager votre plateforme, tumblr, forum, etc pour présenter votre travail,
partager du libre-service que ce soit en code ou en design,
nous faire part de vos meilleures ressources (et en trouver !) que ce soit en code ou en design,
vous entraider et réussir à traquer les bugs ou à comprendre comment on fait des incrustations trop classes sur des bannières,
présenter votre travail en cours et recevoir tous les compliments du monde pour faire un peu de bien à votre ego,
recevoir des feedbacks si vous le souhaitez, que ce soit sur un design, une création ou un code,
demander de l'aide pour trouver l'inspiration, finie la page blanche,
présenter vos objectifs de la journée, du mois, de l'année, au choix,
partager vos coups de coeur en terme de codage ou de design, que ces derniers soient des forums où d'autres sites qui n'ont absolument rien à voir,
partager vos meilleurs memes sur le burn-out,
et tout simplement discuter de codage et graphisme !
Et en plus on a déjà 280 membres !
J'ai récemment terminé la configuration du serveur (après 2 ans, oups...), de fait j'en fais maintenant la publicité !

Le but de La Piscine
Avec La Piscine, j'espère composer une vraie communauté d'entraide autour de Forumactif, mais aussi une plateforme de partage de ressources, de tutoriels, et aussi d'idées "irréalisables".
On a quelques scripts inédits et totalement révolutionnaires qui sont uniquement présents là-bas, faute de temps de leurs créat·eur·rice·s (oups, je parle peut-être que des miens). On a par exemple le processus complet de @code-lab concernant la génération de fiches de présentation, mais on a aussi des tentatives de bases de données de membres pour permettre des bottins automatiques mais aussi des listes de membres avancées, style masterlist, entre autre choses.
Ce que j'aimerais également, c'est que ça booste la création de libre-service. Que ce soit en design ou en code, qu'on propose + de contenu libre. Donc si vous créez régulièrement du libre-service (maquettes ou code), n'hésitez pas à nous rejoindre pour remplir les placards de vos créations !

Vous êtes débutant·e ?
Pas de panique : La Piscine est ouverte à TOUS les niveaux ! On est là pour vous aider, même si c'est pour quelque chose d'ultra simple mais que vous ne maîtrisez pas. Et vous n'êtes vraiment pas seul·e !
Vous êtes professionnel·le ?
On est plusieurs à l'être ! et parfois on parle de nos projets en-dehors de Forumactif. Donc si vous avez besoin d'aide sur des choses plus avancées, y a peut-être moyen que vous trouviez quelqu'un pour vous aider là-bas !
#la piscine#discord#forumactif#forum rpg#forum francophone#forum roleplay#rpg ressources#ressources graphiques#ressources rpg#rpg francophone
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Baudouin IV de Jérusalem
Voici la somme des romans, docs en français que j'ai pu réunir et lire sur Baudouin IV de Jérusalem.
Si cela peut donner des idées à des gens. Attention cette liste est exhaustive.
Romans en français :
L'Étoile de Pourpre est sans doute le meilleur, il existe d'ailleurs une édition en deux volumes de l'ouvrage avec des illustrations magnifiques mais pratiquement introuvable à un prix abordable.







En roman adolescent :

Documents historiques sur Baudouin IV :
La meilleure est sans doute la seule autobiographie de Baudouin IV qui existe en français.


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Été 1930, Hylewood, Canada (4/4)
Quelques nouvelles de ton investissement. Il va bien ! À la mi-juin l’année dernière, j’ai réuni quelques gars de l’île et des copains pour m’aider avec les travaux. Au départ, ce n’était que moi et mon cousin Fabien, mais Rumédier le gérant du sanatorium nous a envoyé son petit-fils pour nous donner un coup de main, et mes copains du pensionnant sont venus aider aussi. À nous sept, nous avons dragué, nivelé, construit la jeté et les quais, aménagé les accès, installé les bâtiments portuaires, les points d’eau, et les points de carburant. Grâce à toi, j’ai pu payer ceux qui ont pris de leurs temps et de leurs ressources pour m’aider, et surtout, j’ai pu faire électrifier le port ! Oui, tu lis bien, le port d’Hylewood est relié à l’électricité.
A la mi-juillet de cette année, après un an et un mois de travaux, le port était terminé (mises à part quelques petites finitions). On m’a envoyé un inspecteur afin de vérifier la solidité des infrastructures et faire des tests pratiques… Et depuis aujourd’hui, le 16 septembre 1930 : le port d’Hylewood est officiellement ouvert ! Bon, la saison est pratiquement terminée donc je ne pense pas que j’accueillerai grand monde cette année, mais tu sais, même si on avait terminé les travaux plus tôt, on n’aurait sûrement pas eu grand monde de toute manière. Par rapport aux années précédentes, il y a eu très peu de touristes cet été. L’année prochaine sera sûrement meilleure. En attendant les clients, je m’occupe. Je joue de la guitare, et surtout, je pêche. Tu trouveras d’ailleurs trois photographies dans l’enveloppe de cette lettre, pour que tu puisses voir à quoi ressemble le port. J’y ai ajouté aussi une prise que j’ai faite, une magnifique truite de dix livres !
Je ne savais même pas que la cousine Ada s’était rendue en France. Pour tout t’avouer, nous ne sommes pas très proches de cette branche de la famille, alors je ne sais pas bien comment elle a entendu parler de toutes ces histoires, mais je plaide non coupable ! À mon avis, ça doit être Maman, puisqu’elle allait régulièrement voir Tante Françoise pour qu’elle corrige ses lettres à ta mère. Je t’avoue que depuis la mort de Tante Françoise, je ne sais pas bien qui s’occupait de la corriger. J’avais toujours supposé que c’était Mlle Rumédier, mais peut-être bien qu’elle demandait à la cousine Winifred, qui aurait parlé du contenu de ses lettres à sa sœur Ada. Tante Françoise pouvait parfois se montrer un peu snob et vieux jeu, alors ne prend pas toutes les pratiques de ses filles pour des généralités. Par exemple, porter un voile noir épais pour un enterrement est plutôt quelque chose qu’on associe aux vielles dames très catholiques.
Embrasse les filles de ma part. J’espère que tu profites du calme retrouvé, que Sélène est mariée, et que Jean-François est bachelier. Ne manque pas de montrer la photographie de ma truite à Ange et à Antoine !
Je t’embrasse affectueusement,
Lucien LeBris
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Comment réussir un audit juridique d’entreprise
Comment réussir un audit juridique d’entreprise

https://nf-avocats.fr/comment-reussir-un-audit-juridique-dentreprise/
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100 Days of Productivity [Day: 80] || 100 Jours de Productivité [Jour: 80]
interesting conversations were had in the office today. since I work alongside a few other FSL people [French Second Language], the conversation came up about how best to learn. Duolingo came up & all of us agreed that while it's a good app to practice already learned skills, it provides very little in terms of actually learning the language. before I enrolled in actual French classes, I used a combination of other language programs, listened to podcasts that were in slow-French [as people tend to speak quickly when talking in a language they're familiar with] but one of the biggest things that helped me learn was actually watching children's shows/reading children's books. no matter the language, any content produced for learning-age children use the basics of that language in order to communicate.
combining oral practice [speaking] as well as listening to & reading in a language are all essential in fluency. I started learning French in grade school at a young age, & even now I still struggle sometimes, especially when using it to communicate professionally. my grammar still isn't perfect, but thankfully I'm in an environment where I get to cultivate those skills daily - plus I have this blog where I write in both languages as regularly as I can :]
currently listening // we fell in love in october by girl in red
Des conversations intéressantes ont eu lieu au bureau aujourd'hui. Come je travaille avec quelques autres personnes en FLS [français langue seconde], la conversation a porté sur la meilleure façon d'apprendre. Duolingo a été évoqué et nous avons tous convenu que, bien qu'il s'agisse d'une bonne application pour mettre en pratique les compétences déjà acquises, elle n'apporte pas grand-chose en termes d'apprentissage réel de la langue. avant de m'inscrire à des cours de français, j'ai utilisé une combinaison d'autres programmes linguistiques, j'ai écouté des podcasts en français lent [car les gens ont tendance à parler vite lorsqu'ils parlent dans une langue qui leur est familière], mais l'une des choses qui m'a le plus aidé à apprendre a été de regarder des émissions pour enfants ou de lire des livres pour enfants. quelle que soit la langue, tout contenu produit pour des enfants en âge d'apprendre utilise les bases de cette langue afin de communiquer.
la combinaison de la pratique orale [parler], de l'écoute et de la lecture dans une langue est essentielle à la fluidité. J'ai commencé à apprendre le français à l'école primaire à un jeune âge, et même maintenant j'ai encore parfois des difficultés, surtout quand je l'utilise pour communiquer professionnellement. ma grammaire n'est toujours pas parfaite, mais heureusement je suis dans un environnement où je peux cultiver ces compétences quotidiennement - en plus j'ai ce blog où j'écris dans les deux langues aussi régulièrement que je le peux :]
chanson // we fell in love in october par girl in red
#100 days of productivity#day 80#100dop#100 jours de productivité#jour 80#100jdp#studyblr#studyspo#study blog#study motivation#study aesthetic#bookish#gradblr#langblr
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Libérez votre potentiel dans le domaine du son grâce à notre Cours d'Ingénierie Audio ! Ce programme complet est conçu pour les débutants et les professionnels, couvrant tout, des techniques d'enregistrement et du design sonore au mixage et au mastering. Bénéficiez d'une expérience pratique avec des outils standards de l'industrie, apprenez auprès de professionnels expérimentés et portez vos compétences en production audio à un niveau supérieur. Inscrivez-vous dès aujourd'hui et transformez votre passion pour le son en une carrière florissante dans l'ingénierie audio !
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Je te souhaite
Je souhaite d’abord que tu aimes et,
Qu’En aimant, tu sois aussi aimé.
Et que, ceux qui ne t’aiment pas, tu les oublies
Et qu’après avoir oublié, tu ne gardes pas de rancunes.
Je te souhaite de continuer à aimer sans désespérer
Je souhaite aussi que même si tes amis
Sont mauvais et inconséquents,
Toi, tu restes toujours vaillant et fidèle
Et qu’il en existe au moins l’un deux
En qui tu peux avoir confiance, sans douter.
Et parce que la vie est telle,
je souhaite aussi que tu aies des ennemis.
Plusieurs ou même un seul, dans la mesure exacte pour que,
Parfois, tu puisses apprendre la tolérance
Et qu’entre ceux-ci, il en existe au moins un qui soit juste,
Pour que tu ne te sentes pas trop sûr.
Je souhaite de plus que tu sois utile, mais pas irremplaçable.
Et que dans les moments mauvais,
Quand plus rien ne va
Ton utilité te pousse et t’encourage à continuer
Je souhaite également que tu sois tolérant ;
Non pas, avec ceux qui se trompent un peu,
Parce que cela est facile,
Mais avec ceux qui se trompent beaucoup et irrémédiablement,
Et qu’en utilisant cette tolérance,
Tu serves d’un exemple aux autres.
Je te souhaite aussi qu’en étant jeune
Tu ne mûrisses pas trop vite,
Et que déjà mûr,
Tu n’insistes pas pour rajeunir,
Et qu’en étant vieux tu ne t’envahisses pas de désespoir.
Parce que, chaque âge a son plaisir et sa douleur
Je ne souhaite pas que tu sois triste, Oh, Non !
Non, pas toute l’année mais que tu connaisses la tristesse un seul jour seulement !
Afin que tu apprécies
Que le rire retrouvé est bon, et meilleur
Qu’un rire habituel fade, constant et malsain.
Je souhaite aussi que tu plantes une graine,
Une minuscule graine,
Et que tu l’accompagnes dans sa croissance,
Pour que tu découvres de combien de vie un arbre est fait.
Je souhaite, de plus, que tu aies un peu d’argent,
Juste pour le nécessaire et le pratique
Et qu’au moins une fois par année tu réfléchisses
À cet argent et que tu te dises : “Cela est le mien”, je l’ai bien gagné
Seulement pour que ce soit clair à savoir :
Qui est le maître de qui.
Je te souhaite aussi que tu gardes le plus longtemps possible :
Ceux que tu aimes
Et que, s’ils partent, tu puisses pleurer sans te lamenter
Et souffrir sans te sentir coupable.
Je souhaite enfin
Qu’en étant un homme, tu aies une brave femme,
Et qu’en étant femme, tu aies un brave homme
Demain, le lendemain, et encore le sur lendemain,
Et que quand même, vous serez épuisés
Vous restiez souriants, toujours amoureux comme au premier jour !!
Si toutes ces choses arrivent à se passer pour toi…
Alors, Je n’aurai plus rien à te souhaiter !
Victor Hugo
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saga: Soumission & Domination 378
Jalil.
Jalil arrive entouré des jeunes. Je le vois choqué par notre combat. Jona le rassure et lui dit que c'est le meilleur moyen pour ne plus risquer ce qui lui ait arrivé. Il ajoute que ce n'est pas comme s'il ne l'avait jamais vu combattre. Il ajoute quelques mots en arabe. Je m'aperçois que mes " protégés " évoluent en dehors de ma sphère d'influence !
Jalil se reprend alors qu'à plusieurs voix ses nouveaux amis nous pressent de question quant à l'avenir de ce jeune homme.
La décision était déjà prise (en accord avec les autorités bien sûr), il reste ici avec Jona et François et reprend son cursus scolaire. Il se décompose devant nos yeux. Max nous explique sa peur de reprendre le lycée à 18ans !
Jona qui connait bien l'animal et son potentiel, lui dit que s'il est capable de faire deux ans en 7 mois, avant la rentrée prochaine, il pourrait intégrer une terminale littéraire. Je lui dis qu'il est peut-être un peu trop exigeant.
Les jeunes assurent qu'ils le coacheront pour que ça marche. Là-dessus je leur fais confiance. Maintenant ce sont les yeux de Jalil qui s'ouvrent tous grands.
Coté logistique, je leur dis de prendre deux des chambres de l'annexe en attendant que leur appartement soit terminé. Pour les repas ils verront avec Samir et Ammed le plus pratique pour tous, soit venir les prendre au Blockhaus soit venir les chercher et manger à l'annexe.
Pour l'enseignement, inscription aux cours par correspondance du CNED pour seconde et première, PH se charge d'organiser son planning avec ses différents coaches. Je lui fais confiance pour trouver le bon mec pour la bonne matière.
Jalil s'affole un peu de la vitesse de prise de décision le concernant. Il va pour objecter que cela va prendre beaucoup de temps à tous mais se fait couper par François qui lui dit que c'est pas négociable, il n'allait pas faire sa vie sur un départ pareil !
Passages sous les douches pour les sportifs et les baiseurs puis diner. Jalil est maintenant plus à l'aise. Est-ce d'en avoir vu certain à poil faire l'amour ou tout simplement la tension qui commence à s'évacuer, mais il est beaucoup plus disert. Je l'entends même de temps à autres rire avec les jeunes.
Mes escorts médecins le préviennent que se seront eux qui assureront le soutient scientifique, bio, math et physique. Sosthène assurera le français et Viktor l'histoire et la géographie. Quant au sport, il devra s'étoffer un peu et pour ça je laisse Jona s'en occuper.
Il remarque en riant qu'il est le plus fluet de tous, même s'il n'est pas le plus petit. Quand ça commence à repartir à la baise, je fais signe à Jalil que je peux l'emmener à sa chambre. Avec Jona, on descend d'un étage et en le faisant entrer dans la chambre située juste à côté de la nôtre, je l'assure que là, personne ne viendra l'embêter.
Il me remercie mais je le vois gêné. Jona le questionne. On obtient une réponse surprenante. Ce qui le troublait c'était que dans sa famille et avec ses amis, tous savait qu'il avait servi de jouet sexuel aux arabes de Daech et que même si sa famille est libérale, ses parents été frères n'arrêtaient pas d'y penser et leurs comportements le criaient. Et puis, tout bas, il ajoute que ça lui manquait aussi.
Je demande quoi et en même temps réalise que c'est de baiser qui lui manque !
On remonte donc tous ensemble. Le quatuor de jeunes s'éclaire à notre arrivée. Ils nous bousculent et embarquent Jalil, nous disant de leur faire confiance.
Jalil a juste le temps de dire à Jona que ça va et il disparait.
Je retrouve PH et m'excuse enfin de lui mettre cette responsabilité de plus sur le dos. Il rit qu'avec Jona et François à ses côtés ça va être du gâteau. On part chercher un plan
Récit d'Enguerrand :
On est tout content de récupérer Jalil quand il remonte avec Sasha. Il est trop mignon pour rester tout seul dans cette maison de fou. En plus je commence à sentir un bon feeling avec lui. Alors qu'on se cherche un coin pour " discuter " tous les 5, je le vois un peu mal à l'aise. Quand je le questionne, il me dit qu'il craint de faire l'amour devant tout le monde. Nathan lui dit que personne ne le jugera car tous on se fait des plans différents et juge personne ne juge. Et de citer en exemple : Jimmy le pro de la dilatation extrême qui n'a aucune honte à se faire démonter la rondelle en double sodo, Cédric amoureux fou de la grosse bite noire de son Eric que ça n'empêche pas de se faire saillir par tous les mâles ttbm de l'assemblée (nous, c'est même pas la peine de lui proposer !!), Ric qui ne crache pas sur des plans hards limite sado/maso et d'aligner encore deux ou trois exemples de sexualités plus poussées que de la baise à la papa maman.
Sans vouloir nous faire pitié, Jalil nous explique qu'il n'a connu que le viol comme type de rapport et depuis que Jona et François l'ont tiré de ça, il n'a encore jamais refait l'amour. Il sait juste que ça lui manque mais craint en même temps qu'il doive se faire battre pour jouir.
Quand il nous dit ça, sa tête est tournée vers le sol et sa voix est tombée.
Je le prends dans mes bras et lui explique qu'il faut laisser venir. Je lui explique que sans avoir été maltraité aussi longtemps que lui et surement moins durement même si j'avais été violé plusieurs 10aines de fois, je crois comprendre un peu son malaise.
Max qui sait tout de mon parcours ajoute que s'il y avait un seul endroit pour s'en remettre c'était bien ici, dans cette maison où il ne sera jamais jugé. Et même si, pour qu'il prenne son plaisir, les rapports devront être hard, il fera et nous tous feront comme il le veut ou en a besoin.
Je l'interromps, attrape Jalil et lui roule la pelle dont j'avais envie depuis qu'il est sorti de la SLS. Il se laisse faire, vraiment très passif. J'insiste, ma langue cherche la sienne et je la sens timidement répondre à la mienne. Je ne le laisse aux autres que quand elle se bat franchement avec la mienne. Après nous avoir tour embrassé, il a la tête qui tourne et nous dit que c'est trop bon. Il m'attrape à son tour et me montre qu'il a bien appris. Les autres viennent nous recouvrir et les bouches se mélangent.
Finalement nous ne bougerons pas de la salle de muscu du second étage du blockhaus. Nous sommes à poil en moins de deux et Jalil se fait caresser au même titre que tous. Il est juste " maigre " plus que fin, (j'en parlerais à Jona). Sa peau est extra-douce, les autres aussi le remarque et il se retrouve avec nos 4 bouches à parcourir sa peau. J'aime voir que ce traitement le fait bander et pas un petit oiseau mais une belle queue de 22 x6. Je suis le premier à y gouter. Propre, circoncise, légèrement courbée, elle a la forme idéale pour s'enfoncer très loin dans ma gorge. Je ressens l'effet que ça lui fait dès que je m'enfile son gland dans la gorge. Je serre sous ses couilles pour qu'il ne jute pas déjà. Je me redresse et Nathan me remplace. Je peux voir sur son visage l'effet d'une pipe bien menée. Il aime c'est indéniable ! Max me cède sa bouche et part agacer un téton. Son baiser est beaucoup plus fougueux, il en devient même vorace, tétant ma langue plus que se battant avec elle. Je suis repoussé de côté alors que Duke relève ses jambes pour lui bouffer la rondelle.
Sous notre quadruple action, il décolle ses lèvres le temps de me demander tout bas d'être le premier. Je veux être sûr et ne pas faire de connerie. Je lui demande " à t'enculer ? ", réponse " oui ".
J'apprécie l'honneur qu'il me fait à sa juste valeur. C'est une marque de confiance énorme alors qu'on ne se connait que depuis un peu plus de 24h !! Je lui dis que ce sera quand il veut. Ça me rappelle aussi quand j'avais demandé la même chose à Sasha. C'était comme me refaire une virginité, putain c'est important pour lui, va falloir que je fasse très attention !!
10mn plus tard, il me le demande. Mes amours comprennent et me laissent la place tout en restants disponibles pour nous deux.
Comme il a dû souvent se faire violer en levrette (c'était toujours comme ça pour moi, les soi-disant hétéros qui te violent ne veulent que rarement voir ton visage exprimer ton dégout) je me couche sur lui. Alors qu'on s'embrasse, je bouge mon bassin pour le glisser entre ses jambes et laisse ma bite se placer tout naturellement entre ses fesses. Dès qu'il sent mon gland s'introduire entre les 2 globes, il écarte ses cuisses pas loin du grand écart. Il glisse à nos mateurs de prendre ses pieds et d'écarter encore plus ses jambes. Ses petites fesses enserrent mon gland ne lui laissant qu'un seul chemin possible, celui qui amène à sa rondelle. Après que Max m'ait kpoté rapidement, je pousse doucement mon bassin en avant.
Mon gland bute sur sa rondelle. Un petit coup de rein et je le propulse au-delà. Léger soupire de Jalil qui pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer plus profondément en lui. Je le laisse maitriser ma pénétration. En fait il y va doucement mais sans s'arrêter avant que mon bassin écrase ses petites fesses. Il est bien serré. Je suis content que ces salauds d'intégristes ne lui aient pas ruiné la rondelle !!
On reste un moment comme ça puis il initie mes vas et vient. Je lui roule un patin alors que mes reins deviennent indépendants et prennent un bon rythme de labourage. Quand on cesse de s'embrasser, c'est pour se regarder dans les yeux. Si au début j'ai l'impression d'y voir une douleur impossible, bientôt c'est plutôt dans un lac profond que je me perds.
Finalement ça m'angoisse et je préfère lui rouler un nouveau patin. A croire que nous ne sommes que tous les deux. Je ne perçois que lui et mon plaisir qui monte et me brule les reins. Il me sort des " vas-y bien profond ", des " défonce-moi " et autres encouragements de ce type ! Comme un automate, je lui obéi, je me redresse et l'entrainant avec moi. Sur mes genoux, il saute sur ma bite et mène l'assaut. Je n'en peux plus et bientôt j'explose dans ma kpote alors qu'il jute à m'en couvrir le torse, jusqu'au visage. Je n'ai pas fini de me vider qu'il me lèche le visage. Dans l'euphorie, on se roule un patin avec son sperme comme dessert.
On se tient encore serré dans nos bras jusqu'à ce que la tension retombe. Nos amis nous soutiennent alors que nous nous décollons. On est embrassés, pris dans les bras, félicités. Eux aussi ont compris que le moment était spécial pour Jalil.
Je me tourne vers lui et dans ses yeux qui me fixent je ne vois qu'apaisement.
Sasha
Je suis content d'Enguerrand. Je sais qu'avec ce petit groupe Jalil a toutes ses chances de remonter la pente. Pendant qu'il se faisait aux petits mecs de la maison, Jona et François nous ont parlé (à PH, Ludovic, Marc et moi) plus précisément de lui et de ce qu'il avait subi ces trois dernières années.
On apprend un peu de ce qu'ils avaient dû endurer eux aussi. Si pour Jalil le viol a été son tous les jours, pour mes deux espions, ça été aussi la première étape d'un " conditionnement psychologique " de soumission à la hiérarchie arabe ! C'est aussi pourquoi ils avaient été choisis pour ce travail. Ni Jona ni François ne regrettent d'avoir dû en passer par là pour pouvoir exfiltrer Jalil. Ils nous disent que quand ils l'avaient enfin rencontré, il était beaucoup plus maigre que maintenant. Mais leurs " maitres " avaient toujours fait attention à sa peau et jamais ils ne l'avaient battu.
Dimanche :
Alors qu'on se prépare pour rentrer en Californie, coup de sonnette et on nous livre un permis de séjour étudiant au nom de Jalil ainsi qu'un smartphone avec préenregistrés, les nos de Jona et de François ainsi que celui de son père. L'adresse de résidence est celle du Blockhaus. Pendant 5 mn Jalil rentre ceux de mes 3 petits frères sans oublier d'ajouter celui de Duke. Timidement il me demande le mien et ajoute aussi ceux de PH et Ludovic.
Les invités repartent tous en ordre dispersé, non sans s'être tous jurés d'être là l'année prochaine !! Ils sont gentils mais c'est qui qui organise !!
Je boucle mes bagages. Quand j'en ai fini, c'est grosse réunion de tous mes escorts. Ils m'assurent que 2016 sera une grande année pour ma boite et que je n'ai pas à m'inquiéter, avec le retour de Jona, ils allaient foutre la paix à PH et ils garderont tous un oeil sur le dernier venu.
La triplette a un peu de mal à se séparer de Duke ou c'est plutôt l'inverse ! Du coup c'est un véritable débarquement à l'aéroport. Les au-revoir ont donc lieu avant l'embarquement et même si nous sommes en période de nouvel an, notre petit groupe se fait gentiment remarquer !! Je crois bien qu'on s'est tous dit trois ou 4 fois à bientôt. Enguerrand me glisse que je ne m'inquiète pas, ils allaient gérer pendant mon absence et que je serais fier d'eux.
Je le serre fort et lui dis que j'en étais sûr.
Dans l'avion du retour, Duke assis à ma gauche me demande s'il pourra revenir aux vacances d'été. Je note en moi-même que la villa en Espagne devra encore être plus.
Jardinier
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Flufftober 2024 : "Comment t'es habillé ?", "C'est le jour de la lessive !"
15 octobre
« Comment t'es habillé ? », « C'est le jour de la lessive ! » ("What are you wearing ?", "It's laundry day !")
Ophélie & Octavio (La passe-miroir)
Ophélie demeura déconcertée sur le pas de la porte d'Octavio lorsqu'elle vit ce que Seconde portait. C'était une sorte de tunique courte à fleurs, avec en plus un short de lointaine station balnéaire et enfin, un collant noir en-dessous. Ça n'avait aucun sens.
L'adolescente, bien sûr, n'en avait cure. Elle fonça joyeusement à travers la maison, salua la nouvelle venue d'un mouvement de main, sa chaîne en or se balançant entre son sourcil et son nez. Après quoi, elle écarta la moustiquaire et sortit dans le jardin, effrayant du même coup une volée de perroquets.
«Seconde ! l'appela la voix d'Octavio depuis la cuisine. Quand je t'ai dit que tu pourrais m'aider à ranger tout ce qui traîne, ce n'est pas exactly ce que j'avais en tête ! »
Il s'interrompit net en découvrant son amie, dont l'écharpe était en train de balayer les plumes d'aras qui avaient pénétré dans le hall d'entrée. Ophélie haussa davantage les sourcils d'étonnement, sans pouvoir s'en empêcher. Les vêtements d'Octavio avaient encore moins de logique que ceux de sa sœur : une blouse boutonnée jusqu'en haut, une veste par-dessus et le pantalon qu'il portait au conservatoire de la Bonne Famille. Celui qui, normalement, n'était assorti qu'à une redingote bleu nuit et des bottes ornées d'ailes d'avant-coureur. Spontanément, l'Animiste lança un :
« Comment t'es habillé ?
-C'est le jour de la lessive ! se défendit Octavio en rangeant sa bouteille de produit pour les vitres dans la poche de sa blouse. »
Comme ils s'étaient jamais dit au revoir du temps où leurs vies étaient incertaines et compliquées, ils ne se souhaitaient jamais le bonjour non plus. Cet écart à la politesse était également dû, cette fois, dans le cas d'Ophélie, à la mine totalement déboussolée de son ami. Octavio n'avait certes pas l'habitude de devoir choisir ses propres vêtements et ceux de sa sœur : autrefois, Babel possédait un code extrêmement stricte en ce qui concernait les accoutrements de chacun. Comme il n'était plus question de faire de distinction entre les différentes nationalités de l'ancienne arche, les Babéliens ne se vêtaient plus systématiquement de toges colorées selon leur rang dans la société. Ophélie voulait bien croire que toutes celles de Seconde et d'Octavio étaient au sale, mais était-ce une raison pour paniquer et s'affubler de choses n'ayant même pas de rapport avec la météo ?
« Même moi qui ait tendance à porter la première robe me tombant sous la main, je n'aurais jamais combiné autant de pièces différentes, admit-elle en se laissant tomber sur le canapé de son ami. Tu veux de l'aide pour ta lessive ?
-Well, si je me souviens bien, tu n'es pas la meilleure en ce qui concerne les tâches ménagères, fit valoir Octavio en venant s'installer à côté d'elle. Mais peut-être as-tu une ou deux robes à prêter à Seconde.
-J'ai bien peur que non. Mon petit frère et mes petites sœurs me dépassent déjà d'une bonne tête et je suis toujours plus grande que Seconde. Mais, en ce qui te concerne…
-… Oui. Je crois que je vois perfectly où tu veux en venir. »
Octavio et elle avaient exactement la même taille et pratiquement la même silhouette. Les redingotes de la Bonne Famille ne laissaient pas beaucoup de place aux rondeurs de toute façon, il n'aurait aucun mal à porter la sienne.
« Merci, soupira le Visionnaire en se passant la main dans les cheveux. J'avoue que ça me dépannerait énormément. Du côté de l'habillement, je préférais clearly comme c'était avant !
-Ne t'inquiète pas, sourit Ophélie tandis que l'écharpe se posait sur son épaule. Je demanderai aussi à Thorn de te montrer comme on entretient une maison. Le recours aux automates pour les tâches de haute nécessité uniquement a dû vous porter préjudice. »
Octavio réussit, sans qu'elle sache trop comment, à lui retourner un regard déconfit et en même temps un petit sourire.
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