#madame doublée
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ernestlaytonpolls · 11 months ago
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chic-a-gigot · 2 months ago
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L'Art et la mode, no. 42, vol. 17, 17 octobre 1896, Paris. Redfern. Breveté de sa Majesté l'Impératrice de Russie. Dessin de Marie de Solar. Bibliothèque nationale de France
Princesse OB…..KY. Dame d’honneur de S. M. l'Impératrice de Russie.
Collet en soie beige garni d'application de guipure; joli volant de mousseline de soie bouillonnée et plissée en même nuance.
Beige silk collar trimmed with guipure appliqué; pretty flounce of bubbled and pleated chiffon in the same shade.
Princesse PO…KA.
Grand manteau en velours rubis garni de point d’Angleterre blanc en application sur du point d'Angleterre noir. Doublure d’hermine.
Large ruby ​​velvet coat trimmed with white point d'Angleterre applied over black point d'Angleterre. Ermine lining.
Princesse SO….KY.
Grand manteau Caucasien. Drap entièrement doublé de loutre. Toque de loutre.
Large Caucasian coat. Fully lined with otter. Otter hat.
Madame WA……HOFF. Dame d’honneur de S. M. l’Impératrice.
Joli manteau en satin plissé de bas en haut et brode en laine. Col cranté et garni de dentelle et de plumes.
Pretty coat in pleated satin from bottom to top and wool embroidery. Notched collar and trimmed with lace and feathers.
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chicinsilk · 2 months ago
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"Jolie Madame de France"
Pierre Balmain Haute Couture Collection Fall/Winter 1958-59. Venice Film Festival September 1958. Brigitte Bardot at the premiere of Claude Autant-Lara's film "En cas de malheur" wears for the occasion a coat and dress set in parma-colored Lyon velvet by Robert Burg. The coat is lined with water green moire by Hurel, the chest is highlighted with a ribbon in the same flowery water green moire, a bouquet of parma violets by Judith Barbier.
Pierre Balmain Collection Haute Couture Automne /Hiver 1958-59. Mostra de Venise septembre 1958. Brigitte Bardot à la première du film de Claude Autant-Lara "En cas de malheur porte pour l'occasion un ensemble manteau et robe en velours de Lyon couleur parme de Robert Burg. Le manteau est doublé de moire vert d'eau de Hurel, la poitrine est soulignée d'un ruban en même moire vert d'eau fleuri, d'un bouquet de violettes parme de Judith Barbier.
Stringer/intercontinentale/AFP
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erinsvintageemporium · 10 days ago
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On this Day: 14th December, 1873
On this day: 14th of December, 1873
Fashion plate from La Mode Illustrée signed by Anaïs Toudouze and Réville, featuring toilettes by Madame Breant-Castel of 19, Rue du 4 September.
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DESCRIPTION DE TOILETTES.
Robe en faye nuance paille. Jupon plissé par devant (à plis perpendiculaires). Les lés de derrière sont garnis de trois volants disposés en courbes. Tunique pareille, garnie d'une haute blonde blanche. Corsage décolleté, ceinture-écharpe en faye paille. Sortie de bal en cachemire blanc, ornée de broderie en soutache blanche. Frange de soie blanche. Capuchon pointu, avec revers de satin blanc. Grand nœud en ruban de satin blanc.
Costume en drap et velours nuance prune. Le jupon est garni d'un volant composé de séries de quatre plis, alternativement en drap et velours. Sur chaque côté une quille en velours. Tunique en velours, relevée par une écharpe en velours frangé. Spencer en drap avec encolure garnie d'une grosse ruche en drap doublée de velours. Manches en velours. Boutons en vieil argent au spencer et sur les manches.
1873-12 LMI50
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ovent0 · 9 months ago
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Something that has been on my mind recently (Obviously in relation to Layton Mystery Journey)
◣◥◣◥◤◢◤◢SPOILER ALERT◣◥◣◥◤◢◤◢
It's like a kind of Au where Ernest, instead of taking the route of revenge for his mother's death, is adopted by the dragons.
More than anything because I'm curious about how he and Katrielle's relationship would take place under those conditions.
Since it is Madame Gretchin Doublée who takes the responsibility of taking care of him, interesting dynamics arise with the other characters.
Even if I follow this path of thought, Liza Wight and Ernest would be treating each other like siblings and the rest of the characters would end up like uncles.
I would get the impression that he changed his name to keep his relationship with the Richmonds hidden, perhaps not wanting anyone to treat him differently because of status. Which would make the final case have another kind of meaning, where the dragons want to leave Ernest their money because of the devotion they had for their grandfather.
Or who knows, maybe it's a conspiracy from his father (Miles/Ernest's father was never heard from). Who tries to recover all of his father-in-law's money as the new Lord Adamas.
Maybe it is a concept that I will expand one day and if you have made it this far, thank you for reading my teed talk.
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aisakalegacy · 2 years ago
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Automne 1905, Glacier de Fharhond, Canada (5/8)
Après un mois à geler sous mon uniforme, mes vêtements habituels ne me protégeant pas suffisamment du froid malgré la parka doublée de fourrure épaisse, j’ai finalement acheté des vêtements à des locaux, en les échangeant contre de la vodka. Bottes, pantalon, gants et par-dessus en peau de phoque et de caribou permettent de retenir la chaleur corporelle, tout en étant légères et souples. La densité de la fourrure assure une isolation thermique optimale, et je garde ma tête au chaud avec un bonnet en fourrure de putois. Les Inuits ont l’ingéniosité de superposer les couches afin d’offrir une isolation supplémentaire : sous l’uniforme, la parka en phoque. De toute évidence, des millénaires passés dans ces conditions extrêmes ont conduit les Inuits à s’adapter, et leurs vêtements traditionnels sont spécialement conçus pour faire face aux conditions extrêmes de l'environnement arctique. Chaque aspect de leur conception est pensé pour offrir une protection maximale contre le froid intense, les vents glacés et les variations climatiques.
[Transcription] Tagak Angottitauruq : On ne reçoit pas le même journal d’habitude. Jules Le Bris : C’est normal, il s’agit d’un journal local, The Gananoque Reporter. Ma femme m’écrit de consulter la page des annonces. Voyons voir… « Monsieur Emile Rumédier a l’honneur de vous faire part de son mariage avec Madame Jeanne Le Bris ». Jules Le Bris : Oh ! Voyez-vous cela ! Jules Le Bris : « Madame Jules LeBris, née Bernard, a mis au monde un fils, Lucien ». C’est ma femme ! Cela date du mois de septembre ! Je l’ai laissée enceinte en partant. Tagak Angottitauruq : Tu as plusieurs fils ? Jules Le Bris : Non, j’ai une fille aînée de douze ans. Tagak Angottitauruq : Moi aussi, j’avais une fille. Jules Le Bris : Oh ! Où vit-elle ? Est-elle avec sa mère ? Tagak Angottitauruq : … Je ne veux plus en parler. Jules Le Bris : J’entends, mais c’est toi qui… Tagak Angottitauruq : Je ne veux plus en parler.
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laytonnpcbracket · 1 year ago
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ROUND 1 POLL 34 SIDE B
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About the NPCs:
Madame Doublée is one of London's Seven Dragons. She is fond of her pet Rex.
Otherwise known as: スコーラ・ガルフレッツアー (Japanese); Madame de Manton-Grasset (French); Madame Bimenton (Italian); Madame Trijntje Grootekin (Dutch); Madame de Papadome (Spanish); Bertha von Doppelpfund (German)
Dylan is a kid living in Future London's Chinatown. He is fond of toy cars.
Otherwise known as: Duncan (UK English, Spanish, Dutch); ディラン (Japanese)
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geantactu · 3 days ago
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Lualaba- Célébration: Nous formulons humblement à l' de Madame Judith Mujinga Masika des vœux de bonheur, de paix, de santé, de longévité, et de joie du cœur.
Nous prions le Seigneur Dieu Tout-puissant, de toujours vous assister par son Saint Esprit, dans le rôle qui est le vôtre auprès de vos semblables.Que Dieu vous bénisse, et qu’Il étende sa grâce sur votre illustre Époux, ainsi que sur toute votre famille puisse le Dieu que vous servez vous comble de toutes ses bénédictions doublées de sa protection. Que ce jour unique soit votre source naturelle…
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mokarosenoire · 1 year ago
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Chapitre 2
Le pouvoir d’une pierre
Trois semaine venaient de s’écouler, mais aucune lettre n’était arrivé. La mort du roi avait fait le tour du pays, pourtant il n’y avait aucune information sur le couronnement prochain dans le journal. Cette absence inquiétait grandement la noblesse.
-Ne te ronge pas les ongles Lucile, ce n’est pas de ton rang.
Assise dans les jardins du manoir Dulion, le visage d’ange de la jeune femme était tiré par l’inquiétude.
-Comment tu peu être aussi calme Angela ?! Ça fais deux semaines que le roi n’est plus, et il n’y a aucune nouvelle du couronnement !
Contrairement à son amie, Angela était plus intéressée par la rubrique jeunesse que par la politique.
-Un couronnement prend du temps à préparer.
-Père dis que ça n’a jamais été aussi long !
-Il y a un début à tout.
Lucile avait l’air au bord des larmes. On aurait pu croire que c’était elle qui n’avait pas présenté ses respects. Monsieur Dumont sortit un mouchoir de sa poche et le tendit à la jeune femme. Essuyant les quelques larmes qui avait roulée sur ses joues, elle prit la parole.
-Et si il ne t’envoyait jamais d’invitation...
-Je resterais ici pour travailler le jour du couronnement.
-Ne plaisante pas avec ça ! Si tu ne reçois aucune invitation tu deviendra la risée de la noblesse !
Sa voix nasillarde avait doublé de volume, ce qui obligeait Angela à enfin lever les yeux vers elle. En voyant son amie dans cet état, elle ne put s’empêcher de lancer un regard à son majordome. Alors qu’elle espérait un peu de soutien, Monsieur Dumont n’avait pas l’air de vouloir lui venir en aide, obnubilé par la chaleur du thé.
-Comment fais-tu pour rester aussi calme ? Sa voix était redevenue plus douce, comme une mélodie chatouillant les oreilles.
-Je travaille.
Contrairement à Angela, Lucile vivait encore grâce au activité de ses parents. Le chef de la famille de Bellavie est l’un des connétables de la garde royal, sa femme, madame de Bellavie est écrivaine à succès. Elle était majoritairement connue des nobles demoiselles, ses histoires de drame et d’amour étant très populaires au près d’elles. L’aîné, Raphaël de Bellavie, est l’un des lieutenants d’une des nombreuses compagnies royal. C’est lui qui héritera des biens de la famille. Lucile, quand à elle, attend de trouver un fiancé répondant à ses critères. C’est à dire un jeune homme, beau, fortuné, avec de bonne manière, attentionné...La liste de la jeune femme était encore longue. C’est la raison pour la quelle Lucile n’aurait sûrement jamais à poser les pieds dans le monde du travail.
Angela, quand à elle, dût commencer son apprentissage pour devenir le maître de la famille Dulion à l’âge de 7 ans, seulement 2 ans après son entrée dans la société. Seulement 2 ans après sa «rencontre» avec le prince.
Dans un sens, Angela enviait la naïveté de son amie. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas lâchée prise. Être libre de rêvasser, pouvoir lire le journal sans se focalisé sur une rubrique en particulier, être capable de danser avec un homme sans se demander quel prestige il recherche. Pouvoir vivre loin du doute et de l’insécurité.
-Je t’envie Angela. Tu ne t’inquiètes jamais de rien toi.
Perdu dans ses pensées, Angela avait complètement oublié la présence de Lucile. Un petit sourire au lèvre, la maîtresse Dulion prit la parole d’une voix cristalline.
-Merci.
Angela détestait plus que tout jouer les demoiselles parfaites, mais elle en était bien obligée.
-Puisque tu t’inquiète tant pour cette invitation, pourquoi n’irions nous pas faire un tour dans les rues de Llyne ? Peut-être trouveras-tu une idée de robe pour le jour du couronnement.
Lucile eut l’air d’avoir oublié tous ses problèmes. Un grand sourire sur le visage, elle tapota énergiquement des mains dans un petit rire semblable au tintement d’une clochette.
-Oh oui ! Nous pourrions nous trouver des robes similaire !
-Je ne pense pas que se soit possible, mais voyons.
La maîtresse Dulion se leva de manière gracieuse, refermant son journal et faisant signe à son majordome de préparer ses affaires. Lucile quand à elle, se releva rapidement, non sans une once de bonne manière.
-Attends moi dans le petit salon, j’aimerais me changer.
Sans attendre plus longtemps, de Bellavie suivie l’un des servants s’occupant généralement des invités. Monsieur Dumont, qui rangeait les pâtisseries et la vaisselle, ne put s’empêcher un petit rire en voyant l’expression déconfite de sa maîtresse.
-Tu as l’air de vouloir nous accompagner, veux-tu que je te garde une place dans la calèche ?
Le sourire de l’homme disparut aussitôt.
-Ne vous dérangez pas pour moi madame.
Cette fois-ci, c’était Angela qui ne pouvait réprimer un rire.
Debout en sous-vêtement et tournure, Angela regardait ses domestiques s’affairer à trier l’ensemble choisi. La robe qui a été sélectionnée est un costume bien connue des dames de la haute, majoritairement les femmes ayant une autonomie financière comme madame Dulion ou madame de Bellavie. Sans grande surprise, les couleurs choisi étaient celle représentant sa famille. La longue jupe est de la couleur des bleuets, et le veston d’un gris ardoise. Les froufrous pendent de part et d’autre sont assorti à son haut, et les décoration et rebords de se dernier étaient assorti à sa jupe. Pour finir l’harmonie de cette tenue, les domestiques ajoutèrent des nœuds de grandeur différente. L’un d’eux était accroché à l’arrière de son jupon, l’autre était attaché autour de son coup.
-Madame.
Une fois la robe enfilée, il était temps pour elle d’arranger sa coiffure. Il est courant de voir les grandes dames s’attacher les cheveux le plus haut possible pour laisser apercevoir leur nuque. Mais Angela ne supportait pas de ressembler à tout le monde, alors elle préférait laisser les cheveux tombés sur son dos. Pour ne pas qu’elle soit dérangé, sa coiffeuse lui attacha les cheveux en une tresse de blé avant de lui épingler un petit chapeau orné d’une grande plume sur le dessus.
Une fois prête, la jeune femme se releva pour se voir dans le miroir. Elle était superbe, parfaite même. Mais c’était si lourd. Tout était si lourd.
-Madame de Bellavie vous attend madame.
Monsieur Dumont se tenait à coté de la porte, légèrement courbé en avant.
-Je suis prête.
Un sourire parfais au visage, la jeune femme descendit l’un des grands escalier, faisant claquer ses grands talons sur chacune des marches.
-Tu es si joli !
Sautant presque sur place, les yeux de Lucile scintillait telle des diamants poli par le meilleur des artisans. À l’instar d’Angela, la jeune femme avais les cheveux attaché en une grande tresse, la sienne était cependant positionnée de coté. Sa robe ressemblait également beaucoup à un costume porté par son amie, mais elle laissait largement entrevoir un profond décolleté. Il fallait être idiot pour ne pas voir que Lucile copiait Angela.
-Merci.
Les deux jeune femme entrèrent très vite dans la petite calèche.
-Tu as pris ta pierre.
Arrachant son regard du paysage qui défilait par la petite fenêtres, Angela accorda de nouveau son attention à son amie.
-Je ne la quitte jamais, tu devrais le savoir.
-Mais ça ne va pas avec ta robe.
Angela ne pu s’empêcher de caresser le collier d’où pendait la pierre. Ce bijoux était donner de génération en génération, et chaque maître de famille y implante sa propre pierre. Celle d’Angela ressemblait à une Tanzanite d’où l’on pouvais voir, pendant de bref instant, une sorte de lion blanc s’y balader avant de disparaître. Deux fauve maintiennent la pierre, l’empêchant de tomber.
-J’y tiens.
Le ton sec d’Angela invitait grandement à stopper la discutions.
-Je suis désolée.
Lucile baissa la tête d’un air coupable. Absorbée par sa pierre, Angela ne prêtait plus attention à ce qui l’entourait.
La pierre qui absorbait autant l’esprit d’Angela avait pour nom : «Pierre bestiale». Seul les personnes étant née sous la bénédiction d’un des six grand animaux : Le lion, le coq, l’aigle, le cerf, le loup et le serpent, pouvait posséder l’une de ces pierres. Chacun de ces animaux choisi une famille à servir, et sans surprise la famille Dulion avait été bénie par celui du Lion. On dit que pour recevoir la bénédiction du grand animal de sa famille, il fallait reproduire la toute première rencontre avec la bête. Certaine de ces familles on tendance à forcer une rencontre, et d’autre attendent simplement qu’elles arrivent.
Angela avait rencontrée sa bête après la mort de ses parents, alors que la jeune fille c’était complètement refermé sur elle même. Malgré la présence de Monsieur Dumont, l’enfant refusait de s’alimenter. Le soir où le grand lion est apparu, cette dernière était grandement affaiblie. Alors qu’elle regardait le ciel étoilé, une lueur blanche apparu près du lac situé dans le jardin familial. Elle, qui ne voulait plus sortir de sa chambre, c’est retrouvé absorbée par cette lueur inconnue. La jeune fille arpenta les grands couloir du manoir, se retrouvant bien vite dans les jardins. Monsieur Dumont avait bien remarqué l’escapade de sa protégée, mais il avait déjà vu ce comportement des années plus tôt, quand le maître de la famille Dulion avait reçu sa propre pierre. En arrivant devant le grand lac, Angela vit le grand lion blanc fixé un point de l’autre coté du lac. De ce qu’elle pouvait voir, il n’y avait rien qui aurait pu intéresser une telle bête sur l’autre rive. Sans une once de menace, le grand lion posa les yeux sur l’enfant avant de reposer son regard sur l’horizon. Après un instant à se tenir compagnie, Angela posa machinalement une main sur le pelage soyeux. Le glorieux animal s’évapora doucement, un dernier regard à sa nouvelle amie et la seconde qui suivie la pierre refermant le pouvoir du fauve reposait dans la paume de sa petite main. Ce soir là, une détermination nouvelle était née en elle, une détermination qu’elle ne comprenait pas vraiment, mais dont-elle connaissait la provenance.
Revenant dans l’instant présent, Angela observa son amie pendant une seconde. Contrairement à elle, Lucile et Raphaël n’avaient toujours pas rencontré le grand serpent ayant bénie la famille de Bellavie. Il lui est donc impossible pour elle de comprendre l’importance d’une telle pierre.
Répriment un soupir, Angela pris la parole.
-Sophie et Cédric Beaumanoir sont les meilleurs dans le domaine des tenues bal, tu veux aller les voir en premier.
Lucile, qui n’avait plus dit un seule mot depuis le mutisme de son amie, releva la tête avec un grand sourire sur le visage.
-C’est là-bas que ma famille prend toute nos tenues !
Évidement, c’est dans cette boutique que tous les nobles commande leur tenues de bal. C’est bien pour cette raison qu’Angela avait proposée leur boutique. Plus il y aura de noble, plus elle entendra les dernières nouvelles. Ça et le fais que plus vite elles trouveront une robe, plus vite elle rentrera chez elle.
Arrivée dans la rue commerçante, les deux jeune femme sortirent de la calèche. La devanture de la boutique était faite de deux fenêtre en arcs, on pouvait y voir des chapeaux de toute forme et de toute taille d’un coté, et des costumes et des robes de l’autre. Au dessus de la porte, en grosse lettre blanche, on pouvait y lire : «Beaumanoir tissue». En entrant à l’intérieur, une femme d’âge mûr se précipita sur les demoiselles.
-Bienvenue ! Ravie de vous revoir mes dames, que puis-je faire pour vous.
L’apparence excentrique de Sophie Beaumanoir n’avait pas changé depuis la précédente visite d’Angela.
-Nous somme ici pour commander une robe en vu du couronnement prochain.
En entendant les mots de la maîtresse Dulion, le visage de la propriétaire se mit à rayonner.
-Mais bien sur ! Qu’est-ce qui vous ferais plaisir ? J’ai des suggestions si cela vous intéresse.
Un sourire figé sur le visage, Angela voulait tout sauf entendre ses suggestions. Quand elle commence à palabrer, cela peu durée une éternité.
-Oh oui ! Vous avez toujours de si bonne idée !
Ce n’était évidement pas fais avec de mauvaise intention, mais en entendant son amie, le sourire d’Angela se crispa un instant. Répriment un soupire, la jeune femme se contenta de suivre Madame Beaumanoir au fond de la boutique.
C’est ici que la propriétaire avait pour habitude de présenter ces idées, prendre les mesures, ou, comme elle aimait si bien le dire, trouver l’inspiration. La pièce ressemblait à un petit salon. Plusieurs fauteuils positionnées en demi cercle autour d’une petite table entouré de grand rideaux rouge.
Angela s’assit sur l’un des fauteuils, Lucile s’empressa alors de l’imiter. Alors que Madame Beaumanoir servait le thé, son marie, Cédric Beaumanoir, entra expressément dans le petit salon. Chose qui ne plus visiblement pas à sa femme et à Lucile, la première lui offrant un regard noir et la seconde se relevant par surprise. Angela était la seule à être restée parfaitement calme. La raison était très simple. Juste avant l’entré de l’homme, la pierre autour de son coup lui avait envoyer une sorte de décharge à la nuque. Ce genre de chose lui arrivait toujours quand une personne hostile s’approchait un peu trop de la jeune femme. Plus la menasse était grande, plus la décharge était forte.
Chaque animal octroyait un pouvoir différent au membre de sa famille, le lion est connu comme étant un protecteur invincible. Son pouvoir n’est pas le plus impressionnant, mais bien maîtrisé il peu être redoutable. De ce fait la pierre d’Angela lui offrait la capacité de prévoir un danger, peu importe le niveau.
-Je suis en rendez-vous. La voix sèche de Madame Beaumanoir aurait fait céder le précédent roi en personne.
-Je peux te parler un instant. La voix tremblante de l’homme trahissait quand à lui son malaise.
-Je-suis-en-rendez-vous.
Le regard de l’homme passa rapidement sur Angela, en voyant ça, la jeune femme ne pu s’empêcher de sourire. Monsieur Beaumanoir n’était pas très douer pour cacher ce qu’il ressentait, cela le rendez assez facile à lire.
-Vous pouvez y aller, nous réfléchirons à la robe que nous voulons en attendant.
Le regard noir de Sophie venait de redoubler d’intensité, chose qu’Angela n’aurait jamais cru possible. Mais si il y a une chose qui énerve plus Madame Beaumanoir que d’être déranger en plein travail, c’est de louper une affaire. Si Angela lui fait penser qu’elle peut perdre une cliente, peu importe ce que Monsieur Beaumanoir veut, il ne l’obtiendra pas.
-Bien sur. Je suis à vous dans une minute.
Sans attendre, elle prit son mari par le bras pour le faire sortir. Lucile se rassie en fixant la porte.
-Tu crois qu’ils ont un problème avec une commande ?
-Qui sait.
Comme à sont habitude, Angela ne laissait pas ses pensées transparaître. Lucile quand à elle, avait les yeux rivé sur la porte, si elle le pouvait elle irait espionner leurs discutions.
Griffonnant quelques mots sur un morceau de papier, Angela était absorbé par sa nouvelle occupation. Alors que la jeune femme finissait d’écrire, Madame Beaumanoir refit son apparition, un grand sourire sur le visage. Comme elle l’avait promis, elle était de retour en une minute.
-Je suis toute à vous !
Aucune décharge ne traversa la nuque d’Angela à l’approche de la femme.
-J’espère qu’il n’y a aucun problème...La voix douce de Lucile trahissait la bienveillance de sa question.
-Bien sur que non ! Où en étions nous ? Ah oui ! J’ai de magnifique idée à vous partager !
Après des heurs à partager ses «brillantes» idées, Madame Beaumanoir accepta d’écouter les suggestions de Lucile. Ces deux là s’entendaient si bien, on pourrait croire à deux partenaires.
-Pourquoi pas des manches bouffante alors ?
-Ce serait si joli !
Cela devait bien faire une trentaine de minute qu’elle échangeait sur la présumé robe de Lucile, et Angela commençait à perdre patience. De ce qu’elle avait retenue, la robe de la jeune femme aurait un corset vert avec des épaules dénudé, et des volant couleur bronze au niveau de la poitrine. Les tissu recouvrant le haut de la jupe aurait la même couleur que le corset et à l’inverse le jupon serait de la même teinte que les volant. Et évidement il ne fallait pas oublier les manches bouffantes. Tous ces mélange de couleur étaient évidement celle de la famille de Bellavie. Après une dizaine de minute supplémentaire à choisir l’apparence des chaussures, Madame Beaumanoir passa enfin à Angela. La jeune femme se leva alors.
-Je vous fait entièrement confiance. Dit-elle en tendant le morceau de papier à la propriétaire.
Le regardant rapidement, la femme reteint un hoquet de surprise.
-Vous êtes formidable madame ! Comme d’habitude.
-Si possible, nous aimerions avoir nos robes avant la fin de la semaine.
-Mais bien sur, tout ce que vous voudrez.
Accompagnant les jeunes femme, Madame Beaumanoir les salua poliment. Cependant, quand elles passèrent devant Monsieur Beaumanoir, une décharge parcourue la nuque d’Angela. Une fois dans la calèche, Angela ordonna de se rendre à la résidence de la famille de Bellavie.
-Tu voudrais rester manger ? Je suis sur que mon frère en serait très heureux.
Angela tourna légèrement la tête vers Lucile, la fixant un instant.
-J’ai du travail.
-Une prochaine fois peut-être.
Le ton enjouée de Lucile détonait avec le froid sourire d’Angela.
-Tu as demander quoi comme robe cette fois-ci ?
-C’est un secret.
-Ohhh ! C’est pas drôle !
Une fois son amie chez elle, Angela donna l’ordre à son cocher de rentrer au manoir Dulion. En s’éloignant de la résidence de Bellavie, la jeune femme vit une ombre se tenir à la porte d’entrée. Elle n’avait pas besoin de s’attarder plus longtemps pour savoir de qui il s’agissait. Raphaël de Bellavie avait pour habitude d’attendre sa sœur quand cette dernière rendait visite à son amie.
Après plusieurs minute d’attente, les mûrs du manoir Dulion firent leur apparition à la fenêtre de la petite calèche, ce qui rassurait grandement la jeune femme. Comme à son habitude, Angela s’isola dans son bureau à son retour. Ce ne serais qu’une vingtaine de minute plus tard, alors qu’Angela était perdu dans la contemplation de son jardin le regard dans le vague, qu’une voix retenti dans la piece.
-Vous avez l’air bouleversée madame. Monsieur Dumont se tenait à la porte, un chariot de thé dans les mains.
-Je n’ai pas soif.
Si on ne connaissait pas la jeune femme, le ton glaciale qu’elle venait d’utiliser aurait fait fuir n’importe qui. Heureusement Monsieur Dumont fréquentait Angela depuis sa plus tendre enfance, et bien qu’elle ait changé au files des années, il la connaissait presque autant qu’elle se connaissait elle même.
-Mais moi si.
Se servant une tasse de thé, il s’assit sur l’un des fauteuils positionné près de la fenêtres ou se tenait Angela. Il est inutile de précisé qu’une tel attitude n’était pas bien vu pour un majordome, mais la jeune femme n’y prêtait aucune attention.
-Si vous fixez cette fenêtre assez longtemps, peut-être verrez-vous un trou y apparaître.
En entendant ces mots, Angela retourna son attention vers son majordome. Elle connaissait cette manière de parler, il faisait toujours ça pour la rassurer quand qu’elle était inquiète.
-Je vais bien.
-Je n’en doute pas.
Un silence régna dans la pièce, un silence si lourd que les morts eux même n’auraient voulu le coupé.
-Il était là. Prononça t-elle enfin.
-Vous avez ramenée mademoiselle de Bellavie chez elle.
-J’avais entendu dire qu’il était partit au village de Pavv pour y distribuer des vivres.
Monsieur Dumont se leva de son fauteuil et posa sa tasse sur la petite table d’argent à proximité.
-Le roi est mort, il se devait de revenir.
-Lucile ne m’a rien dit avant que je n’ordonne de la ramener.
-Avec tout le respect que je lui dois, mademoiselle de Bellavie n’est pas des plus futée.
Ne voyant pas sa maîtresse réagir, Monsieur Dumont reprit la parole.
-Je sais que c’est difficile, encore maintenant, mais il ne vous en a jamais tenu rigueur.
Comme précédemment, seul le silence lui répondit. Dans se genre de moment, il n’y avait qu’une chose qui pouvait calmer Angela. La solitude.
-Je vous laisse le thé madame, quand-
-Tu peu le reprendre.
-Bien madame.
Le bruit de la vaisselle s’entrechoquant résonna quelques secondes dans la pièce, suivit de près de celle d’un chariot que l’on poussait vers la sorti.
-Donne le au servant qui son en pose.
Toujours captivé par ce qui se passait par la fenêtre, Angela avait dis ces mots d’un ton sec et désintéressé. Avec une petit révérence, l’homme sorti définitivement de la pièce.
Angela ne détestait pas Raphaël de Bellavie, loin de là même. Quand ils étaient enfant, le jeune Raphaël avait pour habitude de se moquer de la petite Dulion. Quand les deux familles s’invitaient à boire le thé ou qu’elles se voyaient lors de soirée mondaine, les deux jeunes filles jouaient toujours ensemble, souvent à faire les grandes. C’est dans ces moments là que Raphaël venaient se moqué d’elles. Elles étaient toujours trop bêtes, trop gamines, trop fleurs bleus. Pour des enfants, le comportement de Raphaël était simplement méchant et idiot, mais pour des adultes capable d’interpréter chaque petit rougissement et chaque petite pique, le comportement du garçon avait plus l’air de celui d’un enfant qui ne savait pas comment montrer ses sentiments. À la mort de ses parents, la petite Angela est restée enfermer chez elle jusqu’à ses quatorze ans. Pendant ces sept années d’absence, la jeune fille avait appris toutes les bonnes manières qu’une femme de la haute devait connaître, mais également tout ce qu’un maître de maison devais savoir pour mener à bien une entreprise telle que celle des Dulion. Cependant, il lui était impossible d’apprendre à contrôler les pouvoirs de sa pierre bestial. Ses pouvoirs ne s’activant qu’à l’approche d’une personne hostile, la seule manière pour elle d’apprendre à les contrôler était de se mélanger à la foule. C’est là raison pour la quelle, lorsque la famille de Bellavie à invité Angela à la soirée honorant l’entrer de Raphaël dans l’ordre des chevaliers, cette dernière, avec l’accord de Monsieur Dumont, accepta l’invitation. Elle qui pendant toute ces années n’avait accepter aucune invitation, même celle de son amie. Elle avait prit un long moment pour prendre cette décision. Et pourtant, si elle pouvait retourner en arrière, jamais elle ne se serait rendu à cette soirée.
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desenvoutee · 1 year ago
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Dans la grande entreprise de réécriture de l’Histoire de France par les partisans du « Grand Remplacement », la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constituent un argument de poids. Son résumé est clair : les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.
Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du « vivre ensemble » que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie.
Laissons donc parler les chiffres (*) :
Effectifs français (métropolitains et coloniaux)
Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20% de la population française totale.
Parmi ces 7,8 millions de Français figuraient 73.000 Français d’Algérie, soit environ 20% de la population « pied-noire ».
Les pertes françaises furent de 1.300.000 morts, soit 16,67% des effectifs.
Les pertes des Français d’Algérie furent de 12.000 morts, soit 16,44% des effectifs.
Effectifs africains
L’Afrique fournit dans son ensemble 407.000 hommes, soit 5,22% de l’effectif global de l’armée française.
Sur ces 407.000 hommes, 218.000 étaient des « indigènes » originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, soit 2% de la population de ces trois pays.
Sur ces 218.000 hommes, on comptait 178.000 Algériens, soit 2,28% de tous les effectifs français.
L’Afrique noire fournit, quant à elle, 189.000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français.
Les pertes des unités nord-africaines furent de 35.900 hommes, soit 16,47% des effectifs.
Sur ces 35.900 morts, 23.000 étaient algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc 17.98% des effectifs mobilisés ou engagés.
Les chiffres des pertes au sein des unités composées d’Africains sud-sahariens sont imprécis. L’estimation haute est de 35.000 morts, soit 18,51% des effectifs ; l’estimation basse est de 30.000 morts, soit 15.87%.
Pour importants qu’ils soient, ces chiffres contredisent donc l’idée reçue de « chair à canon » africaine.
D’ailleurs, en 1917, aucune mutinerie ne se produisit dans les régiments coloniaux, qu’ils fussent composés d’Européens ou d’Africains.
Des Africains ont donc courageusement et même héroïquement participé aux combats de la « Grande Guerre ». Gloire à eux !
Cependant, compte tenu des effectifs engagés, il est faux de prétendre qu’ils ont permis à la France de remporter la victoire. Un seul exemple : le 2e Corps colonial engagé à Verdun en 1916 était composé de 16 régiments. Les 2/3 d’entre eux étaient formés de Français mobilisés, dont 10 régiments de Zouaves composés très majoritairement de Français d’Algérie, et du RICM (Régiment d’infanterie coloniale du Maroc), unité alors très majoritairement européenne.
Autre idée reçue utilisée par l’idéologie dominante : ce serait grâce aux ressources de l’Afrique que la France fut capable de soutenir l’effort de guerre.
Cette affirmation est également fausse car, durant tout le conflit, si la France importa six millions de tonnes de marchandises diverses de son Empire, elle en importa 170 millions du reste du monde.
Conclusion : Durant la guerre de 1914-1918, l’Afrique fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22% de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation.
Bernard Lugan, Universitaire, africaniste, historien, écrivain, 13. 05. 2016
(*)  Les références de ces chiffres sont données dans mon livre Histoire de l’Afrique du Nord des origines à nos jours, Le Rocher, juin 2016.
La France n’a pas gagné la Première Guerre mondiale grâce à l’Afrique et aux Africains
Par Bernard Lugan, universitaire africaniste, historien, écrivain… Dans la grande entreprise de réécriture de l’Histoire de France par les partisans du « Grand Remplacement », la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constituent un argument de poids. Son résumé est clair : les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits…
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profesorlayton · 5 years ago
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ok but i was replaying lmj when (as seen on the screenshot in spanish lmao) madame doublée mentions that her husband is dead but? i watched the whole anime (RIP me) and on ep. 43 we can clearly see that he’s alive and doing perfectly (+also that he’s the only man she’s ever married)? level 5. fix this messy writing inmediately. what is the ABSOLUTE TRUTH...........
i got kinda... mad at this ngl
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laytontheories · 7 years ago
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LMJ theory (warning: quite long)
So, something came to my attention whilst playing the final case of LMJ. It comes from Madame Doubèe’s line to Ernest at the end.
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This always struck me as odd. The seven richest people in London (including the mayor) were unable to find one young boy?
Theory time:
All of the dragon’s were good friends with Maximilian Richmond. However, Madame Doublée seemed to be closest to him, likely due to her husband being friends with him.
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To my knowledge, Madame Doublée never mentioned her late husband before this. It seemed like a strange thing to bring up. Until I realised, this could explain why she never found Ernest.
Considering that Ernest was 9 when his grandfather died, his mother must have struggled to care for him alone. Before this however, it’s possible that she was aided by her father/ father in law. After all, Richmond was a caring man. Miles also has a room in his estate.
So, if the Doublées and Richmonds were close friends, it’s possible that Madame Doublée met Miles’ mother, maybe even young Miles himself. However, if they were so close, why didn’t Madame look after them after Richmond’s death?
Finally, it hit me. Madame Doublée says “my late husband”. Late meaning dead of course. Now it all makes sense. Here’s my theory:
Madame Doublée’s husband (I named him Don) was close friends with Maximilian Richmond and regularly visited him with his wife. They were also acquainted with young Miles and his mother. However, Richmond fell into debt, gave away his diamonds and died. This deeply affected Don Doublée, who also died shortly after. Devastated, Madame Doublée shut herself away and focused entirely on building up her business. The other dragons were also busy, Liza’s parents had a child to raise, Pipper was running as mayor , etc. Miles’ mother struggled to raise her son and eventually passed away. When Madame Doublée eventually tried to find Miles, he had already changed his name. The dragons always regretted not doing more to help Miles.
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So that’s my theory. Please let me know if I got any details wrong.
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chic-a-gigot · 7 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 5, vol. 1, mai 1901, Paris. Mme Jane Hading. Domino. Cliché Boyer. Modèle Redfern. Bibliothèque nationale de France
Page 15. — DOMINO (Madame Jane Hading). — (Modèle Redfern). — Domino de panne noire brodée d’orchidées en paillettes très en relief. — Le manteau, entièrement doublé de panne blanche brodée d’or, est ouvert sur le côté et laisse voir la broderie. Manches d’une seule pièce avec le manteau. — La robe entièrement pailletée de noir.
Page 15. — DOMINO (Mrs. Jane Hading). — (Redfern model). — Black pan domino embroidered with orchids in highly raised sequins. — The coat, entirely lined with white pane embroidered with gold, is open on the side and reveals the embroidery. One-piece sleeves with the coat. — The dress entirely sequined in black.
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chicinsilk · 3 months ago
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"Collection jolie Madame"
Pierre Balmain Haute Couture Fall/Winter 1952-53 Collection. Ensemble of a black otter-lined overcoat and a black and white "Scottylab" mottled tweed suit by Labbey.
Pierre Balmain Collection Haute Couture Automne/Hiver 1952-53. Ensemble paletot doublé de loutre noire et tailleur en tweed chiné noir et blanc "Scottylab" de Labbey.
Photo Martin Dutkovich (Jardin des Modes Septembre 1952)
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erinsvintageemporium · 7 months ago
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Fashion plate from the Journal des Demoiselles, January 1884. Number 4449.
Reproduction Coming Soon!
GRAVURE DE MODES No. 4449.
Costumes et confection des magasins de MM.Tissier et Bourely, ancienne maison Cheuvreux-Aubertot, boulevard Poissonnière, 7.
Chapeaux de madame Boucherie, rue du Vieux Colombier, 16.
Première toilette. — Costume en cachemire de l'Inde myrte. — Confection en ottoman broché loutre, doublée de peluche tigrée; haute bordure en vison de Russie remontant devant et faisant collet; même bordure sur la manche-visite. Manchon en fourrure pareille. Le prix de cette confection (Belle Gabrielle) avec doublure soit en peluche, soit en satin, est de 250 fr.; 280 fr avec le manchon assorti. — Capote de satin loutre à fond coulissé; passe tendue avec bord de velours; gros tuyauté de dentelle lamée et touffe de chrysanthèmes.
Deuxième toilette. —Costume en drap gris acier garni de motifs de grosse soutache du même ton. Jupe plate. Polonaise à chemisette froncée; les petits côtés du dos se terminent en agrafes drapées, relevant les paniers; col plat brodé de soutache; manche froncée à l'épaule, ornée d'un motif dans le bas. (Voir la planche de patrons.) — Chapeau Sully en feutre gris avec bord et draperie en tissu chenille; fantaisie de plumes sur le devant.
Costume de fillette. — Jupe plisséc en cachemire grenat ornée d'un velours. Tunique à basque plissée, rapportée, garnie de velours; gilet froncé en velours; le corsage est fermé à la couture de la basque par une agrafe en nickel; parement plat et col droit en velours. (Voir la planche de patrons.) — Chapeau de feutre grenat à large bord relevé devant; revers en velours avec liséré d'or; dessus draperie de velours et plumes grenat.
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aquamarineglow · 7 years ago
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We hardly know anything about Madame Doublée’s late husband. I decided to change that.
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