#lampe de chambre
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seodigital2006 · 4 months ago
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Transformez votre salon avec nos lampes élégantes, conçues pour ajouter de la chaleur et du caractère tout en complétant votre décor unique. Contactez-nous dès aujourd’hui [email protected]
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whengarfielddiets · 1 year ago
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Eclectic Kids - Kids Room Illustration of a large eclectic girl's medium tone wood floor children's room with pink walls.
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lampedechevetdebureau · 2 months ago
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Illuminez votre chambre avec la lampe de chevet de bureau
Découvrez le charme festif de notre Lampe de Noël de LAMPE DE CHEVET DE BUREAU ! Illuminez votre temps des fêtes avec cette lampe enchanteresse qui apporte chaleur et joie à n'importe quelle pièce. Parfaite pour créer une atmosphère chaleureuse pour les rassemblements ou les soirées tranquilles à la maison, cette pièce lumineuse exquise allie beauté et fonctionnalité. Rendez vos célébrations plus lumineuses avec notre ravissante lampe !
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mannaturelandscape · 1 year ago
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Paris Kids Room Mid-sized contemporary kids' room design with white walls, a beige floor, and wallpaper that is gender-neutral in tone.
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nerdsquadplus1 · 2 years ago
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Paris Kids Room Study Space Medium-sized modern kids' room image with blue walls and a light wood floor.
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brynhallavellan · 2 years ago
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Bedroom - Kids Room Idea for a kids' room in a mid-sized contemporary home with gray walls and a medium-toned wood floor that is gender-neutral.
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tesia-a-138 · 11 months ago
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J'ai couché avec une femme l'autre fois. Et dans ma chambre, il y a une lampe sur pied que je voulais allumer. Et elle,non. Elle voulait qu'on reste dans le noir. J'aurais voulu lui dire que je m'en fichait, de sa cellulite, de ses rondeurs, de ses 4 poils mal épilés, qu'elle était parfaite. Qu'elle n'avait pas à s'excuser,comme elle s'est excusée de son corps.
Parfois je me demande ce que la société fait aux femmes, ce que les font aux femmes, ce que les hommes font aux femmes , ce que l'on se fait à nous-mêmes, pour qu'on ai si peur d'allumer la lumière ? J'aurais voulu qu'on laisse la lumière. Parce que toutes les femmes sont belles.
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ludivinevanckerwisky · 18 days ago
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Apprendre à recevoir
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Résumé : Alex, marquée par un passé difficile, lutte pour accepter de recevoir du plaisir. Avec Spencer, elle découvre la douceur et l'écoute, apprenant petit à petit à se libérer de ses blessures émotionnelles.
Avertissements :Thèmes sensibles, traumatisme passé, relation intime, exploration des blessures émotionnelles, contenu mature.
La chambre est baignée d’une lumière tamisée, la douce lueur de la lampe de chevet dessinant des ombres mouvantes sur les murs.
Le silence est seulement troublé par nos respirations mêlées et le bruissement léger des draps sous nos mouvements.
Je suis en califourchon sur Spencer, mes mains posées sur son torse, mes hanches effectuant un mouvement lent, calculé, maîtrisé.
Son regard est fixé sur moi, intense et brûlant, mais différent de ce que j’ai toujours connu. Il ne me scrute pas avec avidité, ni avec cette impatience possessive que j’ai toujours l’habitude de voir dans les yeux des hommes.
Il me regarde comme si j’étais importante, comme si j’étais... humaine. Je baisse les yeux, troublée. Depuis toujours, j’ai appris que mon rôle était de donner, d’être là pour l’autre, et jamais pour moi-même.
Mes gestes sont automatiques, parfaits, répondant à ce que je crois être ses attentes. Je ne cherche pas mon propre plaisir, seulement le sien.
Et je fais tout pour qu'il y arrive rapidement, en silence, sans jamais laisser transparaître mes besoins.
Mais Spencer n'est pas comme les autres. Ses mains glissent lentement sur mes hanches, exerçant une légère pression pour ralentir mes mouvements.
Je sursaute, mon rythme se brise un instant alors que je lève les yeux vers lui, inquiète.
"Alex..." murmure-t-il, sa voix grave résonnant doucement dans la pièce. "Pourquoi tu fais ça ?"
Je détourne les yeux, un frisson me parcourant. "Je veux que tu prennes du plaisir," dis-je automatiquement, comme si c'était une évidence.
Il fronce légèrement les sourcils, ses doigts dessinant des cercles réconfortants sur ma peau.
"Et toi ?" Sa voix est douce mais ferme. "Pourquoi tu ne veux pas en prendre aussi ?"Un sourire nerveux flotte sur mes lèvres. "Je suis bien comme ça," je murmure en haussant légèrement les épaules, évitant son regard.
Il ne dit rien pendant quelques secondes, puis il tente doucement de me donner du plaisir, ses mains glissant entre mes cuisses avec une infinie délicatesse.
Je me raidis aussitôt, attrapant son poignet dans un geste presque paniqué."Non." Le mot s’échappe précipitamment de ma bouche, et mon cœur s’emballe.
Spencer s’arrête immédiatement, son regard scrutant le mien avec une attention douloureuse. "Pourquoi pas ?" demande-t-il doucement, sans jugement, seulement de l’inquiétude dans sa voix.
Je déglutis difficilement, sentant mes doigts trembler sur son poignet. "J'ai pas besoin de ça," je murmure, ma voix à peine audible.Il observe mon visage un long moment, et je vois son expression se transformer, une ombre de tristesse voilant ses traits.
"Ce n’est pas que tu n’en as pas besoin," murmure-t-il, "c’est qu’on t’a appris à ne pas en avoir envie, c’est ça ?"
Des souvenirs remontent brutalement, des fragments de mon passé que j’ai essayé d’enterrer.
Je revois Daniel, mon premier petit ami, me reprochant d'être "trop passive" si je ne me donnais pas entièrement à lui.
Je revois Lucas, soupirant d’agacement quand je demandais une pause. "Tu peux tenir encore un peu, j’ai pas fini."
Et puis mon père... Sa voix, froide et implacable : "C’est normal, les hommes ont des besoins, tu dois apprendre à donner."Je ferme les yeux, un nœud douloureux se formant dans ma poitrine.
"Mon père disait que..." Je ravale mes larmes et inspire profondément. "Que c'était normal qu'une fille donne tout. Que je devais apprendre à ne pas être égoïste."
Je sens Spencer se tendre sous moi, ses mains se crispant légèrement sur ma peau. "Quoi ?"
Sa voix est à peine un murmure, mais je peux y sentir toute sa colère contenue.Je baisse les yeux, honteuse.
"Il... il me touchait..." Je me recroqueville légèrement sur moi-même. "Quand j'étais enfant."Spencer inspire profondément, et je le sens lutter pour ne pas laisser sa colère exploser.
Ses bras m'entourent doucement, m'attirant contre lui, son souffle chaud effleurant mon front."Alex..." murmure-t-il, la voix brisée. "Ce qu'il t’a fait... c'était mal.
Ce n'était pas normal."Je hoche faiblement la tête, nichant mon visage dans le creux de son cou.
Son odeur me rassure, me ramène à l’instant présent. Après un long silence, Spencer recommence à caresser doucement mon dos, cherchant à me rassurer.
Je hausse les épaules, mal à l’aise. "C’est juste comme ça. J’ai appris à être... utile."
Son expression se durcit légèrement, pas en colère, mais avec une détermination que je ne lui ai jamais vue auparavant.
"Tu n’es pas un outil, Alex. Tu es une personne. Tu mérites plus que ça."
Sa tendresse me trouble. Ses doigts effleurent ma joue, ses lèvres pressent un doux baiser contre mon front, comme pour effacer ces années de douleur imprimées sous ma peau.
Puis il reprend lentement ses mouvements sous moi, ses hanches cherchant un rythme doux, patient, mais je tente instinctivement de reprendre le contrôle.
J’essaye de bouger plus vite, de me concentrer sur lui, sur ce que je pense qu’il veut.Ses mains viennent alors saisir fermement mes hanches pour m’arrêter.
"Non, Alex," murmure-t-il, son regard brûlant plongeant dans le mien. "Laisse-moi faire. Laisse-moi prendre soin de toi."
Je veux protester, dire que ce n’est pas comme ça que ça marche. Mais il m’embrasse doucement, son baiser me faisant taire, et je sens mon corps céder petit à petit à sa tendresse.
Il murmure des mots rassurants contre ma peau, me guidant avec une patience infinie jusqu’à ce que je me laisse enfin aller.
Et quand l’extase me submerge, mon premier réflexe est de mordre ma lèvre, d’étouffer le moindre son, de ne pas faire de bruit.
Spencer le voit tout de suite. Ses lèvres capturent les miennes, sa langue caressant doucement la mienne pour m’encourager à relâcher la tension.
"Laisse-toi aller," souffle-t-il contre ma bouche. "Je veux t’entendre, Alex. Personne ne va te punir ici."
Je me fige, un sanglot étouffé m’échappant, suivi d’un gémissement que je ne retiens plus. Spencer me tient fermement contre lui, son regard tendre ancré au mien alors qu’il m’aide à franchir cette barrière invisible que je traîne depuis des années.
Et pour la première fois, je me laisse aller à ressentir, à recevoir.Après, blottie contre lui, ma tête nichée dans le creux de son cou, je murmure :
"T’es pas comme eux..."Il resserre ses bras autour de moi, déposant un baiser sur mes cheveux.
"Non. Et tu mérites quelqu’un qui ne soit pas comme eux."Je ferme les yeux, une larme solitaire coulant le long de ma joue.Avec lui, je suis en sécurité. Enfin.
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aliceinoakdale · 11 months ago
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Chambre d'Alice
Lit de Myshunosun Matelas de Myshunosun Coussins, Couverture de Sundays Tables de chevet de Pierisim Lampe de Harrie et Felixandre Diffuseur huiles essentielles de Ravasheen Magazines de Largetaytertots Sac à main de Bergdorfverse Bougie de CharlyPancakes Plateau de maquillages de Harrie et Felixandre Réveil de Syboulette Valise de Felixandre Posters films de Makesims Miroir de Max20 Bureau de Myshunosun Chaise bureau de Zynoox Clavier, Casque, Repose clavier de DSCO Gobelet 'Simley' de Bbygyal123 Poubelle, lunettes de Littledica Plantes, Plantes suspendu de Awingedllama Sac Shopping de Platinumsims Ordinateur, manettes de DSCO Ours en peluche 'Gloomy bear' de CursedCC Chaussons 'Kuromi', Oreiller 'Playboy' de Bknysimz Peluche 'Kuromi' de Bknysimz Fauteuil de Myshunosun Néons de Tukete Caméra de Jbabblescc Tapis rond de Myshunosun Tapis de Harrie et Felixandre Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Animation de Sovasims
Créateurs CC :
@myshunosun / @sundays-sims / @pierisim / @ravasheencc / @makesims / @maxsus / @dscombobulate / @awingedllama / @xplatinumxluxexsimsx / @cursedcc / @bknysimz / @harrie-cc / @felixandresims / @largetaytertots / @bergdorfverse / @charlypancakes / @zynoox / @jbabblescc / @sovasimscc /
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papillondusublime · 3 months ago
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En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
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coulisses-onirisme · 3 months ago
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Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin) Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)
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mizaryrottmnt · 6 months ago
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"My Dear Puppet"
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FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
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Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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lampedechevetdebureau · 2 months ago
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L’applique murale parfaite pour chambre
Achetez la superbe applique murale chambre de LAMPE DE CHEVET DE BUREAU pour rehausser l'ambiance de votre chambre. Cette élégante applique murale allie à merveille style et fonctionnalité, offrant l'éclairage parfait pour la lecture ou la détente. Son design chic complète n'importe quel décor, ce qui en fait un incontournable pour votre espace. Transformez votre espace nuit en un refuge douillet avec ce luminaire exquis !
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yannig · 9 months ago
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C'est le jour des langues aujourd'hui donc vous avez droit à un poste en français
Et je vais continuer à parler de Koisenu Futari (une série japonaise centrée sur deux personnages AroAce, mon premier poste ici) parce que cette série est mon coup de cœur du moment. <3
Je ne suis généralement pas très bonne à repérer les éléments de language visuel - mais il y a un détail de cette série qui me fait sourire à chaque fois qu'il est dans le plan.
Quand Sakuko se prépare à s'installer avec sa meilleure amie, elle achète une lampe colorée très fun.
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Et c'est évident dès l'épisode 1 qu'elle va bien s'entendre avec Takahashi, parce qu'au delà d'être tous deux AroAce, ils partagent un amour des lampes colorées.
Voilà la première lampe que Takahashi allume la première fois qu'on découvre sa maison :
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Il allume cette lampe en premier, avant même le plafonnier. Je vous jure que c'est fait exprès ! Elle est parfaitement centrée dans le cadre !
Je pense qu'elle sert aussi à annoncer le côté... disons maximaliste, de la maison. Il y a beaucoup de choses, partout, tout le temps, mais ça donne un côté très chaleureux au décor.
(en opposition à l'appart moderne et lumineux mais entièrement vide que Sakuko a visité avec sa meilleure amie quelques scènes plus tôt)
(Oui je tire beaucoup d'un unique arrêt-sur-image, et alors. Quand la cinématographie est bien faite il y a beaucoup a interpréter.)
Et comme elle est installée en plein milieu de la pièce à vivre, cette lampe est régulièrement à l'écran, et elle me fait sourire à chaque fois.
La revoilà dans l'épisode 4 :
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Même éteinte elle est souvent présente :
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Et finalement au premier plan dans la dernière scène de l'épisode :
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Cette lampe est clairement un choix de décore délibéré et je l'adore ! C'est quasiment un personnage à ce stade.
D'ailleurs ce n'est pas la seule lampe à fleurs de la maison, il y en a plusieurs rien que dans le salon, et au moins une dans la chambre de Sakuko.
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 342
Février le Ski-4
Jour 5
Réveil aux aurores. Mon chasseur été tout surpris de se réveiller dans mon lit. Il me surprend en me faisant un câlin avant de sauter sous la douche. Quand je me lève, j'aperçois Marc et Hervé qui rentrent de leur escapade à l'étage du dessous. On se fait des bisous et je leur demande si c'était bien les chaudasses que m'avaient dit les deux chasseurs qui les avaient levées. Ils confirment en coeur que c'était bien le cas. Nous nous pressons au petit déjeuner. Nous sommes tous là et cela s'entend dans le restaurant. Nous sommes devant les remontées mécaniques dès leurs ouvertures et nous nous dispersons dans la montagne. Les groupes sont restés les même alors que les niveaux ont tous progressé.
Aujourd'hui nous prenons vraiment plaisir à skier. Les descentes se succèdent assez facilement et nous apprécions même les noires. Nous terminons la journée en hors-piste avec un long passage dans les sapins pour voir si nous avons retenu les astuces pour ne pas s'enfoncer dans les fourrés recouverts de neige. Ce coup-ci nous ne perdons personne. Le retour se fait dès la fermeture des remontées mécaniques. A l'hôtel, avant de monter je vois le directeur pour notre denier soir (demain). Je veux un diner qui sorte de l'ordinaire pour notre petite troupe + 2 car je sens que d'ici là nous allons avoir adopté le duo de l'étage du dessous. Douche seul, ça faisait longtemps. J'en profite et détends mes muscles sous les jets brûlants. Vers 19h nous envahissons la piscine. Evidemment nous y retrouvons nos deux voisins du dessous qui nous attendaient avec impatience. A part quelques filles qui bronzent sous les lampes UV, l'espace aquatique est à nous. Dans la partie haute de la piscine nous organisons un combat en couple (un mec juché sur les épaules d'un autre) Escorts contre Chasseurs Alpins. Le couple gagnant est quand même militaire. C'est leur lutteur en portage du lieutenant responsable qui gagne le défi. Nous nous partageons entre le sauna et le spa. Retour à l'étage pour nous changer puis diner. Le groupe de chasseur est maintenant invisible. Fondu parmi nous, ils ne pensent plus à la caserne. Ça discute entre tous comme avec de vieux amis. Ils nous apprécient car on ne fait pas de différence entre eux et nous. Ils sont sous-officiers ou simples soldats et nous sommes tous en études supérieures. A côté de cela, ils ont des compétences que nous n'avons pas. Ça équilibre et comme mes escorts sont tout sauf snobs, ça se passe nickel. Les derniers arrivés ont aussi pioché dans nos valises de quoi s'habiller plus " neutre ". Je propose une virée à la boite de nuit de l'hôtel. Pas de réaction puis tous me disent qu'ils veulent se coucher tôt pour être en pleine forme demain. Et je vais les croire peut être ! Le retour se fait en ordre dispersé selon ceux qui étaient pressés, ceux qui voulaient un café et/ou un alcool.
Je prends juste un café. Je veux moi, aussi bien profiter de la fin de soirée. Avec PH, Ernesto et Ludovic, j'ai bien envie de profiter des deux " voisins ". J'aime me faire mon avis moi-même et voir s'ils sont aussi chaudasses que ça. Ils ne sont pas contre donc on monte dans leur chambre. Plus petite que les nôtres, elle fait quand même 4m x 5. Les deux lits jumeaux sont déjà collés, les pieds attachés entre eux par les premiers " visiteurs ". Nous sommes 4 et eux 2. Ils se trouvent propulsés sur leur lit et dévêtus en 30 secondes. Je les regarde de près. Ils sont pas mal tu tout et très baisables. A leur tour, ils nous mettent à poil et se mettent aussitôt à nous pomper en alternance. Et quand je les vois se mettre, en même temps qu'ils nous sucent, des doigts dans le cul, je comprends l'adjectif " chaudasse " qui leur a été attribués. Même pas besoin de les préparer, ils sont auto-chauffés ! Comme j'enfonce mon gland dans la gorge d l'un des deux, c'est Ernesto qui se colle à l'enculage. Il se kpote et défonce la " salope " qui me pompe. Ses doigts ont dû être efficaces car c'est un direct au fond qu'il lui octroi. Je vois sous mes yeux les 24cm de mon espagnol préféré s'enfoncer en une seule et puissante percussion jusqu'à ce que son bassin colle aux fesses de mon pompeur. Ça ne s'arrête pas là. Emporté par l'élan, Ernesto le pousse en avant et mon gland défonce encore plus loin sa gorge. Je sens ses dents s'enfoncer dans mon pubis. Jamais je n'avais défoncé une gorge aussi profonde ! Trop bon !
Quand je me retire il prend une respiration et pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer à nouveau vers lui ! Son copain à coté, avec Ludovic et PH demande qu'ils lui fassent la même chose. Excité par notre trio, ils s'y mettent, Ludovic à mettre en sourdine les gémissements que PH tire du mec en l'enculant aussi fermement qu'Ernesto. On part dans un délire grave tous les 6 ! On s'échange les différents trous et les deux mecs pendant un bon moment, les deux amis se prennent de quoi les calmer un bon moment. J'aime particulièrement la voracité avec laquelle ils accueillent nos bites dans leurs gorges affamées que dans leurs culs de velours. Même après les passages répétés d'Ernesto, ils restent serrés et confortables à la sodo. Pendant tout ce temps ils bandent dur et ne veulent pas qu'on touche à leurs sexes de peur de partir trop tôt ! Nous arrivons à les baiser plus de deux heures avant d'être rattrapé nous-même par le plaisir d'exploser sur et /ou dans eux. Quand le dernier d'entre nous expulse sa dernière goutte de sperme, ils se collent en 69 et nous les voyons chacun déglutir la production de l'autre.
Nous sommes tellement cassés qu'il nous faut 1/2 heure pour émerger de l'état de mort cérébrale qui a suivi nos éjaculations. Nous arrivons quand même à regagner notre étage non sans avoir choqué les voisins direct (les deux vieux) alors qu'ils avaient passé la tête par leur porte pour voir qui faisait autant de bruit à côté de chez eux. Il faut dire que nous n'avions pas renfilé beaucoup de vêtement pour glisser jusqu'à l'ascenseur. Et qu'une ou deux fesses devaient encore déborder des slips censément chargés de les couvrir. A notre étage, les baises sont aussi dans leurs stades terminales. En passant devant toutes les chambres, nous atteignons celle d'où proviennent encore des gémissements. Il fallait s'y attendre, on y trouve Max et Enguerrand en train de se faire démonter par deux Chasseurs. Ils ont bien choisi, ce ne sont ni les plus moches ni les plus vieux non plus. Et d'après ce que l'on peut en voir, ils ont encore les batteries bien chargées. Enguerrand me voit et me fait signe d'approcher. Il est sur le dos, les jambes relevées et écartées pour laisser la place à son enculeur d'oeuvrer. J'approche ma tête de la sienne. Il me l'attrape et me roule un gros patin. Quand il me relâche il me dit qu'il est trop content que nous les (max et lui) ayons emmenés avec nous. Des deux militaires, nous arrivent les mêmes commentaires, comme quoi s'aurait été dommage si nous les avions laissés derrière nous. Tout ça bien sûr sans cesser de limer les deux petits culs de nos benjamins !
Nous restons avec eux participants à l'apothéose finale. Entre rouler des pelles ou bouffer des tétons, nous nous répartissons les acteurs. Puis, j'ai une idée lumineuse. Pourquoi ne pas enculer les deux chasseurs Alpins histoire d'accélérer leurs montées terminales. Un clin d'oeil à Ernesto qui me comprend et, une kpote plus tard, j'encule celui d'Enguerrand alors qu'Ernesto se charge, ou plutôt charge, le chasseur de Max. Le mien s'est bien adapté à la nouvelle situation alors que celui d'Ernesto s'est montré plus... surpris, on va dire ! Bon c'est vrai que 24x6 c'est plus hard à prendre que mes 20x5.  En attendant nos interventions ont précipité les choses et nos deux chasseurs tirent leurs cartouches au fond de nos amis. Eux prennent leurs pieds entre les sodos et les stimulations de PH et Ludovic respectivement sur Enguerrand et Max. Quand nous rejoignons notre suite, la grande chambre est occupée par Marc et Hervé... accompagnés de mes deux " russes ". Nous nous installons dans un autre des chambres de la suite.
Jour 6 Sur le même rythme, tout pareil !
Jour 7, dernier soir et dernière nuit ! Réveil sur les coups de 8h par nos militaires douchés et équipés. On se presse tous pour être au petit déjeuner à 8h30. Les groupes " faibles " qui le sont bien moins sont réunis, mais les deux autres groupes restent indépendants. Nos ainés ne veulent pas se faire chier à nous suivre sur notre rythme de fou et nous nous voulons rester avec Jona et François. On se fait plaisir sur toutes les noires maintenant. La godille n'a plus de secret pour nous et nous filons comme des flèches sur les pistes. Nos coaches ont content de nos progrès et c'est tant mieux puisqu'on est l'avant dernier jour !
Un dernier passage dans la forêt qui nous avait donné tant de mal la première fois, sauf pour Max qui s'y était fait son premier Chasseur Alpin. Comme sur des roulettes ! Et c'est notre dernier soir !! J'avais insisté pour que nous rentrions tous de bonne heure et c'est le cas. 16h30 tout le monde est à l'hôtel. Douches, rasages, épilations, hydratation, nous prenons soin de nous et de notre équipe de " profs ". Ils ont beau protester, au départ, ils finissent par succomber au nombre et à se faire bichonner. Nous leurs devons bien ça après tout le mal qu'ils se sont donnés à améliorer notre pratique du ski ! A presque 3 par mec, nous nous occupons de leurs bodies de fou. C'est bien pour ça que je voulais qu'on rentre tôt. Après un douchage entre nos mains, nous leurs octroyons un rafraîchissement de leurs pilosités mais dans leurs limite, pas question de les mettre en porte à faux avec leurs autres collègues. Cela ne nous empêche pas de les masser avec de l'hydratant et ils en sortent avec de vraies peaux de bébés. Un soin particulier est mis à leur choisir les vêtements les plus mode qui peuvent leur aller. Emportés par l'ambiance ils se laissent faire même le chef du détachement. Quand ils sont prêts, ils sont parfaits, au point que je leur dis que s'ils n'avaient déjà un travail, je les aurais embauchés sans problème dans ma boite d'escorts. Ils éclatent de rire avec tous mes amis. Nous descendons diner. La traversée du hall nous vaut des regards encore plus appuyés que les dernières fois. Je crois même avoir entendu plusieurs sifflets et ne provenant pas que de femmes. Nos deux invités qui nous attendaient devant la porte du salon particulier où nous allions, ont leurs mâchoires qui tombent en nous voyant, surtout nos militaires ! On les pousse à l'intérieur et nous sommes pris en charge par les serveurs. Apéritif, les bouchées sont délicieuse et légères (il n'est pas question qu'on ait plus faim après). Le diner est parfait. Les vins sont suffisamment bons pour que personne ne songe à en abuser. On prend tous un café, nous attendant à une fin de soirée plutôt chaude.
O remonte et pour cette dernière nuit nos deux invités sont autorisés à nous accompagner. Je passe sur leurs exclamations devant le luxe de l'étage et celui de voir tous les mecs se foutre à poil en 15 secondes. Comme ils sont un peu lent, ils sont aidés et se retrouvent dans le même " plus simple " appareil que les autres. Je les laisse à d'autres qui n'ont pas encore eu le plaisir de baiser leurs deux petits culs très gourmands et part à la recherche d'un bon coup avec Ludovic. On croise Jona et François en train de se payer les deux lieutenants. Je sais qu'ils avaient tenu tant que ces derniers étaient leurs " moniteurs ". Là, ils baisaient avec eux avec la fougue propre à ceux qui se sont retenus ! C'est amusant mais mes escorts en couple tendent à baiser avec d'autres mecs mais ensemble quand même. Mes deux escorts spéciaux et leurs deux lieutenants baissent côte à côte, et s'échangent de temps en temps. Je m'arrête 3 chambres plus loin. Dedans Max et Enguerrand se font défoncer par Sosthène et Jo��o. Ludovic hésite à venir avec moi, gêné par la présence de son frère. Je le pousse devant moi et il tombe sur Max qui se fait limer par João. De mon côté, je me glisse vers Enguerrand et Sosthène. Roulage de pelle à chacun. Ils ont l'air content de me voir. Enguerrand réclame ma bite. Je ne fais pas de cas pour la lui planter dans la gorge. A côté, Ludovic m'imite dans la bouche de Max.
J'ai la bonne surprise de sentir une fraicheur sur ma rondelle. Quand je tourne la tête c'est pour voir celle de Sosthène plantée entre mes deux fesses. C'est donc bien sa langue qui me lèche l'oignon. Putain comme il fait ça bien ! Je me sens m'ouvrir et sa langue progresser dans mon trou. Je n'en raidis que plus et les amygdales d'Enguerrand en profitent un max. Je suis obligé de me calmer et pour cela me retire de la bouche chaude qui enveloppait mon sexe et glisse sur son corps dans le but de me mettre en position de lui rouler une pelle. C'est presque aussi bon que d'en faire une à Ludovic. Ok, c'est aussi bon ! J'entends un déchirement d'enveloppe de kpote et mon anus se fait envahir à son tour. C'est bien sûr les 23cm " café au lait " de Sosthène qui prennent leurs marques. Je jette un oeil à nos voisins. Ludovic a vu mon changement de position. Il m'imite et je le vois glisser sur le corps de Max pour proposer sa rondelle à João. Pour éviter que mon petit beau-frère pâtisse d'un coup de froid mal placé, je m'empresse de boucher le trou laissé vacant par ma bite. Il m'aide en relevant ses jambes et son bassin.je lui mange la langue en essayant d'amortir les coups de rein de Sosthène dans mon fondement. Sa rondelle se resserre sur ma bite plus fine. Il fait ça bien et me fait bander plus encore. Tout comme les coups de gland dans ma prostate, ça participe à m'envoyer des ondes de bien être dans tous mon corps. Après quelques minutes, placé ainsi, Enguerrand se tortille sous moi pour se tourner et se mettre en levrette, un peu écrasée sur ses pattes arrières la bestiole quand même ! Il s'écarte les fesses de ses deux mains pour que je le pénètre plus profondément encore.  J'aime trop son petit cul, étroit à souhait. Je ressens un contact total avec ses chairs intérieures comme avec la peau de tout son dos. Contre le miens je sens les pointes dures des tétons de Sosthène s'écraser sur mes omoplates. Je ne sens bien sûr pas que ça ! Ses 5,8 de diamètre m'écartent la rondelle avec une pression impérieuse. Le préservatif est si fin que j'ai comme l'impression que nos chairs sont collées. Puis ça se mélange avec le trio d'à côté. Je ne sais comment mais je me retrouve entre Max et João dans la même position, c'est-à-dire en jambon du sandwich. Quand j'en prends conscience je me demande où est parti Ludovic. Je mate à droite et c'est là que je le vois dans ma position !!! C'est-à-dire " occupé " par Sosthène et " dans " Enguerrand qui sur le dos, lui roule un patin d'enfer.  Ça me déconcentre un peu avant que mes deux amants m'envoient au 7ème ciel.
Je me dégage vite et vais retrouver mon Ludo et son frère. Ma langue rejoint les leurs et j'aime trop ça. Enguerrand se tourne un peu pour me serrer dans ses bras et me rouler une pelle tout seul. On se bat un peu de la langue avant que je me retourne et fasse de même avec Ludovic. Sans s'en apercevoir les trois autres nous ont quittés. J'ai occupé la place laissée vacante par Sosthène et c'est tous les trois en même temps que nous avons jouis comme des fous. Moi au fond de Ludovic, lui au fond d'Enguerrand et ce dernier entre leurs abdos compressés. Nous prenons une douche ensemble comme pour retarder le moment de nous séparer. Je les embrasse tous les deux les serrant fort contre moi, en premier mon amour et en second son " conard " de petit frère. Ils sont trop ces trois frères là !  Je repars à la chasse aux chasseurs lol ! Je tombe sur le mien (celui qui m'avait coaché toute la semaine) qui faisait de même. Je l'attrape par le cou, lui roule un patin et lui demande s'il est d'accord. Il ne demande pas pourquoi et me pousse dans une chambre. On tombe en réel sur Ernesto en train d'enfiler un de ses collègues (à mon chasseur). On est surpris tous les deux car c'était celui qui m'avait fait part de ses craintes quelques jours plus tôt de se faire emmancher. On s'installe à coté pour baiser nous aussi. Et c'est avec eux trois que j'ai fini la nuit. Quand je me suis réveillé j'étais encore emmêlé avec eux. A poil j'ai fait le tour de l'étage. Max et Enguerrand avaient retrouvé leurs deux " chasseurs " préférés et dormaient aux creux de leurs bras. Marc couvrait de son corps un des deux invités comme Hervé serrait l'autre dans ses propres bras. Ludo et PH dormaient encore dans les bras l'un de l'autre alors qu'Ernesto dormait entre les deux lieutenants. 
Jour 8 Pas de ski ce dernier matin !  Nous passons notre matinée entre douches, petit déjeuner et valises. Les militaires se préparent de leur côté. Ils repartent tous lestés de la tenue qu'ils portaient hier soir. Les adieux se font à l'étage. On se serre dans les bras, on échange les dernières pelles et alors qu'ils vont prendre l'ascenseur, je leur donne à chacun une enveloppe avec interdiction de l'ouvrir avant le soir et seuls ou entre eux. Dans chaque enveloppe se trouve une rétribution substantielle, en liquide, pour récompenser les efforts qu'ils avaient déployés, le temps passé avec nous et mes coordonnées pour le cas où ils aimeraient passer des vacances au bord de la mer pour les changer. Pour le cas même ou certains voudraient se revoir.
Jardinier
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les-portes-du-sud · 11 months ago
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Le bleu ne fait pas de bruit...
(extrait)
Le bleu ne fait pas de bruit.
C'est une couleur timide, sans arrière-pensée, présage, ni projet, qui ne se jette pas brusquement sur le regard comme le jaune ou le rouge, mais qui l'attire à soi, l'apprivoise peu à peu, le laisse venir sans le presser, de sorte qu'en elle il s'enfonce et se noie sans se rendre compte de rien.
Le bleu est une couleur propice à la disparition.
Une couleur où mourir, une couleur qui délivre, la couleur même  de l'âme après qu'elle s'est déshabillée du corps,  après qu'a giclé tout le sang et que se sont vidées les viscères, les poches de toutes sortes, déménageant une fois pour toutes le mobilier de ses pensées.
Indéfiniment, le bleu s'évade.
Ce n'est pas, à vrai dire, une couleur. Plutôt une tonalité, un climat, une résonance spéciale de l'air. Un empilement de clarté, une teinte qui naît du vide ajouté au vide, aussi changeante et transparente dans la tête de l'homme que dans les cieux.
L'air que nous respirons, l'apparence de vide sur laquelle remuent nos figures, l'espace que nous traversons n'est rien d'autre que ce bleu terrestre, invisible tant il est proche et fait corps avec nous, habillant nos gestes et nos voix. Présent jusque dans la chambre, tous volets tirés et toutes lampes éteintes, insensible vêtement de notre vie.
Jean-Michel Maulpoix
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