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Peluche Grande Taille
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Paris Kids Room Study Space Medium-sized modern kids' room image with blue walls and a light wood floor.
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Rien ne dure pour toujours - Se perdre pour se retrouver - Chapitre 5 : Allô?
Sous le lit, le garçon est toujours assoupi, adossé contre son ours en peluche géant. Ce sont les bruits de pas de sa mère qui l’ont tiré de son sommeil. Comme cela lui arrive parfois, elle entre dans sa chambre et fait un bref tour proche de son lit. Il reste aussi silencieux que possible, retenant presque sa respiration, il ne faut pas qu’elle sache qu’il est là. Il n’a pas la moindre idée de comment elle pourrait réagir et il n’a pas envie de le savoir. Plus il se fait oublier, mieux les choses seront.
Après un moment, elle laisse échapper un gémissement plaintif et ressort pour aller faire sa routine du matin. Il ne sait pas pourquoi elle rentre de temps à autre, pour simplement ressortir sans avoir rien fait de particulier.
Sa mère se dirige à la salle de bain pour sa routine matinale. Il devrait en faire de même, ça sera ça de fait. Il sort de dessous le lit et s’étire avant s’épousseter. C’est vraiment poussiéreux sous le lit, mais, au moins, il est caché. Il est encore tôt, donc il devrait rester un peu de perles d’eau sur les fenêtres. Mono escalade le rideau, et comme espéré, la fenêtre est pleine de condensation. Il commence à lécher la vitre pour se désaltérer. L’eau est fraîche. Ça fait du bien. Définitivement meilleur que l’eau sale des gouttières. Après avoir bien bu, il se rafraîchit le visage. Une toilette rudimentaire, mais vivifiante.
Une fois sa toilette finie, il observe le parc depuis la fenêtre. Il espérait apercevoir des silhouettes familières, mais il est si tôt que les nuages dorment encore au sol. Il a hâte d’aller explorer les appartements voisins à la recherche des autres enfants (s’il y en a toujours). Mais pas tout de suite, les autres habitants du bâtiment sont tout aussi actifs que sa mère à cette heure-ci, et si il a le malheur de croiser un autre adulte, il ne donne pas même une miette de pain de sa peau. Pour l’instant, mieux vaut rester dans sa chambre. Et puis, quand sa mère aura fini ses routines, avec de la chance, si elle se prépare quelque chose (elle ne pense pas tous les jours à déjeuner), il restera un petit truc pour lui. Il va s’occuper en attendant que l’activité se calme.
Mono descend de la fenêtre et se dirige à la petite table. Après s’être installé, il prend une feuille et son seul crayon. Il aime dessiner, ça l’aide à faire le trie dans sa tête, à évacuer le stress. Il aurait bien voulu avoir d’autres couleurs que du noir, mais en chercher serait trop dangereux pour rien. Mais bon, c’est mieux que rien. Au moins, les feuilles ne sont pas trop dures à trouver.
Il y a plein d’idée de dessin, mais une l’inspire plus que les autres. Il y en a d’ailleurs encore rêvé cette nuit. Il commence par tracer la silhouette d’une forme longue et mince au centre de la feuille. Ces derniers temps, il fait le même rêve de plus en plus souvent. Il le fait presque toutes les fois où il trouve le sommeil. Les contours finis, il commence à remplir la forme de noir avec le plus d’application qu’il peut. Puis, il ajoute la touche finale au sommet de la longue forme mince.
Voilà, c’est parfait
La Tour noire.
La grande tour qui domine toute la ville.
Il ne sait pas trop quoi penser de ce rêve. Au début, il ne rêvait que d’une forme floue, d’une spirale de nuages, ne voyant vraiment rien de particulier. Mais de rêve en rêve, les images se sont définies. Une lumière au centre de la spirale de nuage est apparue, puis la tour est progressivement apparue, devenant de plus en plus nette, puis de plus en plus proche. Un rêve bien étrange.
Mais ce qu’il intrigue encore plus, c’est ce qu’il ressent pendant ce rêve. Il ne sait pas pourquoi, mais, au fur et à mesure que le rêve se définissait, il sentait une comme une attirance. Pas de la curiosité, non, mais comme si quelque chose l’appelait ou l'y attendait. Ça lui fait peur. Cette tour dégage une énergie sinistre, alors, pourquoi il voudrait avoir quoique ce soit à voir avec ? Il n’a pas eu l’occasion de demander aux autres enfants si ils avaient des rêves de ce genre ou si il est le seul. Il a peur de leurs réactions. Déjà qu’ils le trouvent bizarre à se poser des questions sur l’état du monde, si en plus il fait des rêves étranges à propos de la tour, ça pourrait lui attirer des problèmes.
De toute façon, les rêves ne sont pas vraiment un sujet de conversation. Il y a si peu de différence entre les rêves, ou plutôt les cauchemars, et la vie de tous les jours qu’en parler ne ferait que rappeler des souvenirs que l’on voudrait bien oublier… comme de voir un autre être attrapé et…
Mono secoue la tête pour chasser les affreux souvenirs qui commencent à lui revenir à l’esprit (c’est pour ça que personne ne parle pas des rêves.) Il se recentre sur son dessin pour penser à autre chose.
Il l’observe un moment. La tour est pas mal, mais ça fait un peu vide. Il devrait y ajouter quelque chose d’autre. Il pourrait peut-être y ajouter des bâtiments ? Dans son rêve, il y avait en avaient les silhouettes, et ils étaient tous courbés vers la tour comme si elle les aspirait. Il les ajouts et peu à peu, le dessin prend forme. Il ajoute une à une les fenêtres avec minutie. Dommage qu’il n’ait pas du jaune pour les rendre lumineuses. Puis, la touche finale, une grande spirale au sommet de la tour. Et voilà, son dessin achever, il le vas le placer sur le mur parmi les autres. Sans vouloir se vanter, il trouve qu’il s’est surpassé cette fois.
Il regarde parmi ses dessins. Il y a celui d’un nome, de petites créatures semblables à des champignons blancs et pointus. Il a eu l’occasion d’en observer, mais jamais de proche, ils partent tous en courant avant même de pouvoir s’approcher. Les pauvres doivent avoir peur. Avec cette allure de champignon, ils se font sûrement manger par toute sorte de monstres. Mais il se demande bien pourquoi ils ont peur des enfants comme lui. Il aimerait bien pouvoir en approcher un, pour mieux les connaître. Ils pourraient peut-être être amis ? Ils n’ont pas l’air méchants ou dangereux après tout.
Quoi qu’il en soit, il a une grosse journée devant lui. Il va aller explorer les appartements voisins à la recherche des autres enfants. Il espère voir des visages familiers aujourd’hui. Si il est le dernier dans les parages, il ne sait pas ce qu’il va faire. Il doit aller de plus en plus loin pour trouver de la nourriture et sa mère devient imprévisible. Elle a bien failli le tuer hier. Elle devient comme les autres de plus en plus. Il devrait partir avant qu’il ne soit trop tard. Mais partir est aussi très dangereux. Il n’aura plus de repère, ni d’abris stable, et seul il ne pourra pas dormir, même un peu, sans risquer qu’un monstre ou un animal l’attaque durant son sommeil. Il espère voir Tomath et Olivie. Si ils sont d’accord, ils pourraient partir ensemble et à trois, ça serait plus facile de se protéger des dangers.
Pour l’instant, il lui tarde que sa mère finisse sa routine. Sa mère est dans la cuisine et comme espérer c’est un de ces rares matins où elle cuisine un vrai déjeuner, il peut sentir l’odeur depuis sa chambre. Si il est chanceux, il restera peut-être un peu de ces drôles de petits trucs blancs mousseux. Ça fait longtemps qu’elle n’a pas cuisiné un vrai petit déjeuner. Sa petite cuisine d’hier a dû l’inspirer.
Allez, il a envie d’aller voir ce qu’elle fait, il a juste à rester cacher et tout devrait bien aller.
Discrètement, Mono se dirige vers la cuisine pour épier sa mère. Il reste cacher derrière le cadre de porte, prés à courir si elle devait s’en prendre a lui à nouveau. Elle vient juste de s’installer, il n’a plus qu’à attendre qu’elle finisse. En attendant, il observe patiemment. Elle semble un peu différente que d’habitude. Elle est rivée dans son bol et touille la soupe sans en prendre une bouchée. Elle a l’air… triste ? Qu’est-ce qui pourrait la mettre dans cet état ? Mono l’a rarement vue comme ça. Il est tenté d’aller la voir de plus proche, mais pour quoi faire ?
Il ose s’avancer un peu plus de derrière le cadre quand soudain, quelqu’un cogne à la porte. Déstabilisé, Mono part se cacher dans le couloir, attendant de voir ce qu’il se passe. Qui cela peut bien être à une si bonne heure ? Sa mère est tirée de ses pensé et après une pause, elle va ouvrir, non sans déclencher le système d’alarme que le garçon à m’y en place hier.
Vu la rection de sa mère, elle semble ravie de la visite matinale. Bien, ça lui remontera le moral. Est-ce le monsieur des livraisons de nourriture ? Ça serait bien, il pourrait faire des réserves avant que tout soit rangé hors de sa portée.
Elle ouvre plus grand la porte et Mono se fige. Non, ce n’est pas le monsieur des livraisons. Une dame avec une robe verte et de petites lunettes et une coupe en chignon. Et avec cette peau couverte de rougeur et de cloque, ici et là, pas de doute, il la reconnaît immédiatement : c’est la dame du nettoyage. Non, pas elle et son gros Gobleur !
Sa mère la fait rentrer et Mono se cache davantage derrière le mur. Elles vont à la cuisine et commencent à jaser. Elles sont bonnes amies, mais elle, elle ne l’aime pas du tout, et lui non plus. Cette dame au chignon l’a traité comme un nuisible à écraser à coups de balai. Certes comme la tout les autres adultes qu’il a puent croiser, mais quand même ! Et pour couronner le tout, elle et sa mère sont devenues amies depuis. Et il ne prendra pas la chance de voir si sa mère interviendra pour empêcher son amie de le réduire en bouille.
Elles retournent au salon, s’installent sur le canapé et continuent à discuter. Elles vont sûrement prendre le thé avant de se mettre au boulot et nettoyer la maison. Il peut faire une croix sur son déjeuner, quand elles auront fini, il ne restera rien dans à manger dans les assiettes. Heureusement qu’il a bien mangé hier.
Sans plus attendre, Mono entreprend de quitter l’appartement, mais, juste avant, il va prendre le temps de cache ses dessins sous le matelas de sa chambre. La dernière fois, cette folle les a jetés et son Gobleur a mangé ses crayons colorés. Une fois ses trésors mis à l’abri, il se rend à la salle de bain et passe par la petite ouverture de la ventilation en bas du mur.
***
Mono marche accroupi dans les conduits. Il fait sombre, mais il y a assez de lumière qui rentre par les grilles ici et là, et il connaît ces conduits par cœur.
Au fur et à mesure qu’il avance dans les conduits, il aperçoit des dessins à la craie, laissé par les autres enfants pour se repérer et communiquer sur l’état des lieux pour avertir des potentiels dangers. Le premier dessin qu’il voit est celui deux enfants. À côté, il y a un dessin d’un adulte fâcher, qui chasse les deux enfants. Le message est clair, ils n’étaient plus la bien venue et ont du quitter. Il espère qu’ils vont bien, ce n’est pas facile d’être chassé de chez soi. Surtout qu’ils n’étaient pas plus grands que lui. Il va voir si la voie est libre. Sait-on jamais, il pourrait trouver quelque chose à manger. Mais malheureusement, le propriétaire est dans la salle de bain, donc ce n’est pas la peine.
Mono continue son chemin et le prochain dessin n’est pas mieux. C’est le dessin d’une fille et à côté, deux ensembles de vêtements vides. Ses parents ont donc été aspirés par la télé. Cela ne fait pas longtemps, donc, cet appartement est à priori désert. Mais rien n’est certain. Parfois, quand un appartement devient inhabité, d’autres individus viennent prendre possession des lieux âpres un certain temps. C’est pour ça que quand ses parents disparaissent, il est préférable de quitter les lieux avant l’arrivée de nouveaux occupants qui ne seront pas aussi 'tolérant'.
Il tend l’oreille pour s’assurer que l’endroit est bien désert avant d’explorer plus loin. Rien à signaler.
Bien, il peut s’aventurer sans trop de danger. Il passe doucement par la ventilation et atterrit dans la salle de bain.
Il arrive dans le couloir et commence son exploration. Ce qui est bien, c’est que tous les appartements du bloc ont la même disposition des pièces, la seule chose qui change, c’est la couleur des murs et la décoration. Cela facilite grandement la navigation (et l’évacuation). D’habitude, les enfants évitent de venir fouiller dans les appartements voisins. Si quelqu’un venait à voler les trésors d’un autre, cela pourrait créer des chamailleries inutiles qui pourraient attirer l’attention d’autres résidents, parfois plus dangereux que les spectateurs. Mais là, il ne volera à personne si il prend un truc ou deux.
La première pièce qu’il visite est la chambre d’enfant. Elle est comme la sienne, à par les murs qui sont mauves. Mono explore la chambre avec curiosité, il n’a jamais vu la chambre d’une fille. Manifestement, la fille aime bien les lapins. Il y a une peluche de lapin sous le lit et sur les murs, quelque dessins de lapin et ils sont plutôt réussis. Il y a aussi plein de couleurs ! Il pourrait peut-être en prendre quelques-uns pour remplacer les siens quand il rentrera. La fille n’est plus là et ne reviendra pas donc, il peut bien en prendre quelques-uns. Mono commence à prendre quelques crayons, avant de s’interrompre. Qu’est-ce qu’il raconte… il va bientôt partir. Pourquoi s’embêter avec ça ? Il soupire puis repose les crayons.
Il poursuit son exploration. Le silence de la maison est lourd et rend le garçon anxieux. Dans le couloir, il aperçoit des vêtements au sol. Il s’agissait probablement de ceux d’un homme, et vu sa position il partait vers le salon. Le garçon regard un instant les vêtements vide, grimaçant à l’étrange scène avant de continuer. Le salon est désert, la télévision est éteinte et, âpre à un tour, il n’a rien trouvé d’intéressant ou utile. La cuisine alors. Peut-être qu’il va pouvoir trouver quelque chose à se mettre sous la dent ?
Dans la cuisine, il trouve un autre ensemble de vêtements au sol, avec un tas de vaisselles et de couverts brisé parterre. Il trouve toujours ces scènes étranges. C’est comme si ces adultes c’était évaporé en plein milieu de leur activité, sans même qu’ils s’en aperçoivent. Voir ces vêtements vider des leurs porteur l’a toujours mis mal à l’aise. Ça lui rappelle que, à tout moment, sa mère peut aussi disparaître de la même façon et il n’y pourra rien et devra quitter 'sa' maison. Mieux vaut ne pas trop y penser pour l’instant.
Mono fouille partout dans la cuisine, sur le comptoir et la table. Après un moment, il est clair qu’il ne trouvera rien de mangeable. Si il y a de la nourriture, elle est dans les placards plus hauts, mais il est bien trop petit. Les adultes gardent les aliments secs et en cannette là-haut. Si seulement il pouvait être plus grand, il pourrait les atteindre. Il aura peut être plus de chance dans ailleurs. Il se dirige à nouveau à la salle de bain pour emprunter les conduits.
Il continue sa progression dans la ventilation. Le prochain appartement n’augure rien de bon : un dessin montre 3 enfants… dont un mort. Les propriétaires des lieux ont empoisonné la nourriture, croyant à la présence de petites vermines, volant de la nourriture. Mono soupire, il se souvient de comment cela est arriver. C’est ce qui passe quand trop de nourriture fraîche est chapardée dans les placards et armoires froides. Pas la peine d’aller explorer celui-là, il y a trop de risque de tomber sur du poison.
Tous ces dessins sont vraiment pratiques. Comme la majorité des enfants ne savent pas vraiment lire ou écrire, les dessins sont une bonne façon d’indiquer les dangers des environs, des précautions à prendre et se tenir au courant des événements, savoir qui est partie… ou partie.
***
Il n’a pas pu explorer tous les appartements. Certains des habitants reste durant le jour et dans les quelques appartements qu’il a pu explorer, tout ce que les rats et les insectes n’ont pas déjà mangé, était couvert de moisissure ou pourrie de puis longtemps. Adosser contre la paroir de la ventilation, il prend une petite pause pour grignoter tranquillement un petit morceau de vieux pain rassie qu’il a tout de même réussi a dénicher. Rien de nourrissant, mais mieux que rien.
Il lui reste encore quelque endroit à visiter. Peut-être que si ses deux amis sont toujours là, il pourrait les convaincre de partir ensemble. À trois, ils auront plus de chance de s’en sortir dehors. Son repas fini, il reprend la route.
Mono continue sa progression dans le conduit. Il passe devant une bouche d’aération. Celle-ci est la conciergerie, là où la dame range son équipement, parmi des bouteilles qui puent. Donc, rien d’intéressant pour pour lui. Mais si il est rendu là, cela veut dire que l’appartement de Tomath et Olivie n’est plus très loin.
Une foi rendue, Mono peut voir les dessins à l’entrer. Un garçon et une fille qui se tiennent la main, et apparemment, ils ne sont pas partis. Mais il y a aussi deux autres dessins, ceux de deux adultes. L’un d’eux est gribouillé, il y a donc un autre adulte qui pourrait être là. Il va devoir être très prudent. Le garçon tend l’oreille… il n’entend rien, mais ça ne veut pas dire qu’il n’y a personne. En silence, il rentre dans la salle de bain, et inspecte le corridor avant de si aventuré. Pour l’instant, rien à signaler.
Il approche des portes, collant son oreille sur chacune d’elles. Il veut être sûr que ce second adulte n’est pas là. Si il venait à être surpris par ce dernier, il pourrait mettre en danger ses amis et les forcer à partir prématurément. Certes, tous finissent par quitter le nid, mais mieux vaux plus tard possible.
Il continue son inspection dans le salon et la cuisine, mais l’appartement semble désert. Tant mieux, mais, est-ce qu’eux, ils sont là ? Il retourne dans le couloir et doucement, il se glisse dans la porte à peine entre ouverte de la chambre. Il ne voit rien. La lampe au sol est allumer , don ils devraient être là.
Doucement, il appelle. "Psst." Essaie-t-il. Rien. "Hoi?" Toujours personne.
Peut-être qu’ils sont toujours en train de dormir ? C’est peut-être pour ça qu’ils ne l’ont pas entendue rentrer. Mono approche du lit, prenant garde à ne pas faire de bruit. Il ne voudrait pas les réveiller en sursaut. Il regarde sous le lit… personne. Ils ne sont pas toujours pas rentrer ? Ou bien il les a manqués ? Mais la lampe est allumée, alors ou sont t'ils?
Il n’aime pas ça. Vraiment pas ça. Oui, parfois certains ne rentrent pas pendant quelques jours, mais là… ça doit faire plus d’une semaine. Ce n’est pas normal. Des fois, il arrive que des enfants se perdent et ne rentrent jamais. Il arrive qu’un malheureux accident se produise l'hors d'une quête pour de la nourriture. Un accident ou une mauvaise rencontre.
Il espère qu’ils vont bien et vont bientôt (ou peut-être) rentrer. Ils pourront peut-être partir tous les trois. Il va les attendre encore un peu, il a encore quelque jour devant lui. Il n’a qu’à leur laisser un message dans les conduits. Si ils rentrent avant son départ, ils sauront qu’il est prêt à partir avec eux.
Mono pousse un long soupir… Il voudrait rester et attendre un peu, mais il devrait partir avant que l’autre adulte ne se pointe.
Bbbrrsszzzzz....
Un bruit étrange se fait soudainement entendre, faisant sursauter Mono. Anxieux et sur ses gardes, le garçon tend l’oreille. On dirait un bruit de bourdonnement. Comme celui que font parfois les télévisions, quand elle ne diffuse rien, mais pas tout à fait, il y a quelque chose de différent. Mais, la télévision était éteinte tout à l’heure, non? Il n’a entendu personne rentrer donc, qui pourrait l'avoir allumé ? Qu’est-ce qui se passe ? Est-ce qu’il devrait partir ? Ou se cacher ? Pendant un moment, il reste dans la chambre, attendant voir si quelque chose se passe. Le bourdonnement continue. Mais, après un moment en plus du bruit de bourdonnement, il lui semble d’avoir entendu autre chose. Il ne serait pas comment dire. Cela ressemble à un soupire ou un râle. Qu’est-ce que c’est ?! À nouveau, le râle se fait entendre.
Mono commence à avoir peur. Il n’a jamais entendu ni même entendu parler d’un bruit pareil. Cela semble bien venir du salon. Le garçon s’avance dans le couloir, essayant de voir ce qui s’y passe plus loin. Une partie de lui veut fuir, comme il le devrait. Mais une autre veut aller voir qu’est-ce qui produit ce bruit étrange. C’est idiot. Être curieux n’apporte que des problèmes. Il devrait partir. Le garçon fait demi-tour quand...
"...H̴̙̅ẽ̸̯ý̸͓..."
Mono se fige. A-t-il bien entendu ? On aurait dit… une voix ? Il écoute le bourdonnement, attentif.
"...H̴̙̅ẽ̸̯ý̸͓..."
On dirait bel et bien une voix. Soufflante, comme le râle plus tôt. Devrait-il aller voir ? C’est peut-être dangereux. Il ne sait pas ce que ça pourrait être. Ça pourrait être un monstre.
…
"...H͖̟̗̠̔͢a̶̱̦ͦ́y̛̖͍̻̤̮͌..."
Aller. Juste un coup d’œil. Seulement par acquit de conscience. Si un nouveau monstre est dans les parages, il veut savoir de quoi il a l’air et a quoi s’attendre.
Discrètement, Mono se dirige vers le salon, non sans anxiété. Il reste cacher derrière l’entrée du salon et balaie les environs. Le salon est désert et la télévision est… éteinte ? Pourtant, le bourdonnement vient bien de celle-ci ! La voix se fit à nouveau entendre. Mais qu’es ce que c’est ? Il s’aventure lentement vers la télévision, poussé par sa curiosité grandissante. À nouveau, mélangé au bourdonnement, la 'voix' se fait entendre. Mono en est sûr maintenant, c’est une voix, et elle appelle. Elle semble… vraiment épuisée.
Il s’approche de plus en plus de la télévision, la boule au ventre. Il commence à trembler, sans sens rendre compte. Il reste caché derrière le repose-pied, s’agrippant au tissu. Il ouvre, puis ferme la bouche. Il hésite. Devrait-il répondre à cet appel ? Et si c’était un piège ?
"...H̴̙̅ẽ̸̯ý̸͓..." La mystérieuse voix continue.
Il s’apprête à répondre quand la poignée de porte d’entrée tourne. Trop absorber par les étranges bruits, le garçon commence à peine à comprendre qui ce passe qu’un individu bedonnant rentre. Dès les lumières allumées l’individue le repère immédiatement ! Tous deux restent figé un instant.
L’adulte pousse un grognement furieux, avant de se ruer vers le garçon. Sortant enfin de sa stupeur, Mono par à courir le plus vite qu’il peut vers la sortie. Par chance, l’adulte s’enfarge dans le repose pied dans sa précipitation, lui donnant un peu d’avance. Il court dans le couloir sans se retourner, ça ne servirait à rien. Quel idiot ! Il était trop concentré sur cette télévision ! L’individue gagne du terrain rapidement malgré sa démarche maladroite et son embonpoint. . Mono entend les pas lourds derrière lui. Son cœur bas à tout rompre. Si jamais il se fait rattraper… Il ne sera plus que les restant d’un garçon à peine reconnaissable. Non ! Ça ne lui arrivera pas. Il est presque rendu à la salle de bain. Il entend l’enragé beugler quelque chose quand il se faufile dans la porte.
Mono se précipite vers la bouche d’aération. Mais à quelque pas de celle-ci, il trébuche dans une serviette au sol. Au même moment, l’individue érupte dans la pièce et ne perd pas de temps à le repéré. Les yeux écarquillés par la peur, Mono voit une main plonger vers lui ! Le garçon se précipite à quatre pattes vers la sortie, évitant la main de si peu qu’il la sentit passer au-dessus de lui. Il rentre si rapidement dans la bouche d’aération qui se cogne au fond, avant d’aller un peu plus loin, hors d’atteinte.
L’individu, manifestement furieux de ne pas avoir pu l’attraper, commence à pester, donnant un coup de pied dans le mur. Mono n’entend même pas ce qu’il dit, il a le cœur qui lui tambourine jusque dans les oreilles. Tout tremblant et la respiration saccader, Mono s’assoit et serre ses genoux contre lui, y enfouissant la tête.
C’est passer si proche ! Il a failli mourir bêtement ! Un peu plus et se monstre l’attrapait. Il était trop distrait par ce bruit, cette voix, dans la télévision. Pendant un moment, il reste assis, recroquevillé sur lui-même à trembler, la tête enfouie dans les genoux. Il essaye de se calmer du mieux qu’il peut, prenant de grandes respirations. Elles sont quelque peu saccader, mais après un certain moment, il retrouve un peu de calme. Un bon truc que Tomath lui a donné.
Mono prend encor un petit moment à se remettre. Il pense qu’il va arrêter là. Assez d’exploration pour aujourd’hui pour lui.
Maintenant, qu’est-ce qu’il pourrait faire ? Il ne peut pas rentrer, la dame de ménage est toujours là. Même si elle à sûrement fine chez lui et est partie faire les autres appartements, il ne serait pas surpris si elle revient faire la jasette avec sa mère. Et il n’a pas envie d’être à nouveau chassé comme un rat de si tôt. , il a eu assez d’émotions pour la journée.
Il pourrait aller prendre un peu l’air, ça l’aidera à se changer les idées.
***
Dans le parc, tout est tranquille. La rue est toute aussi silencieuse. Il y a encore un peu de brume, mais le soleil commence à percer malgré les nuages.
Assis sur une des balançoires, Mono s’est un remis de sa mésaventure. Le petit garçon est pensif.
C’était quoi de toute façon ? L’écran était éteint. Es-ce qu’il y avait vraiment quelque chose, ou c'était juste la télé qui faisait des siennes ? Pourtant, ça ressemblait tellement à une voix, à une voix qui appelait.
…
Il pousse un long soupire. Peut-être qu’il se fait trop d’idée. Ce n’était sûrement rien d’autre qu’une autre bizarrerie des télévisions. Il espère qu’il n'a pas attiré des ennuis avec ses amis en danger avec sa bêtise si ils venaient a rentré.
Quoi qu’il en soit, sa quête n’a pas été fructueuse. Il n’a rencontré aucun autre enfants. Du moins vivant... Ceux qui n’étaient pas partis de gré ou de force sont malheureusement partis trop tard. Il a fait de macabres découvertes. Écrasé, projeté contre un mur, ou malencontreusement ou pas piétiné. Il en a le sang encore glacé. Bien que cela ne soit pas inhabituel, cela n’en reste pas moins horrible à découvrir, surtout lorsque les visages sont familiers. Il essuie les larmes qui commencent à se former. Certains étaient de bons compagnons. Cela ne fait que lui rappeler que c’est ce qui l’attend quand sa mère le chassera.
Qu’il le veuille ou non, il doit se rendre à l’évidence, tôt ou, de préférence, pas trop tard, il va devoir se préparer à partir.
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{ Index chapitre }
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#little nightmares fanfic#rien ne dure pour toujours#se perdre pour se retrouver#little nightmare mono
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Coucou la souffrance.
Courtney Dauwalter, la plus grande coureuse d’ultra de tous les temps (voilà, c’est lâché), n’a pas toujours le smile et l’envie de se brosser les quenottes aux ravitos. On sait, c’est choquant. Elle le reconnaît : elle aime ce moment où elle descend gentiment dans « la cave de la douleur ». Quand tout semble alors impossible, que le cerveau est rongé par l’effort et que le corps est à genoux pour supplier d’arrêter le massacre, Courtney cette capacité de donner un grand coup de pied dans le sol pour sortir de la cave. Dans cette cave, Courtney a aussi des hallucinations : girafes et anguilles volantes, leopard dans un hamac, ours en peluche géant faisant un câlin ou encore Mickey Mouse distribuant des t-shirts. Quand elle arrive à sortir de cette diablerie de cave, Courtney assomme la concurrence avec cette statistique effrayante : quand elle termine un ultra depuis 2018, elle le gagne dans 100% des cas.
Photo @chillie.1
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Restaurant parisien qui a placé des ours en peluche géants sur les chaises vides pour séparer les clients Parisian Restaurant that Placed Giant Teddy Bears on Empty Chairs to Separate Customers [DURING COVID]
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Un petit ourson
Du haut de ses six ans, la petite fille se considérait suffisamment grande pour rester seule à la maison. Mais ses parents avaient obligé Sidonie à les accompagner voir une brocante. Qu’est ce qui pouvait intéresser une gamine dans une brocante ? Alors, c’est en boudant qu’elle entra dans la voiture malgré les grimaces de son grand frère pour la décrisper. Les bouderies de Sidonie étaient du genre tenace à durer longtemps. Elle bouda dans la voiture, sans prononcer le moindre mot. Elle bouda en descendant sur le parking, elle bouda encore plus en découvrant la foule immense qui se promenait dans les rues d’un village qu’elle ne connaissait pas.
Comme à ses habitudes, elle refusa de donner la main à ses parents. Préférant marcher un peu en retrait. Elle affirma cependant qu’elle ne se perdra pas. Son visage sévère montrait combien elle regrettait de ne pas être à la maison à jouer à la poupée ou regarder un dessin-animé. Elle marcha silencieusement entre les visiteurs. De temps en temps, elle soupira dès qu’on la bousculait. Les gens sont si imprudents qu’une enfant ne se voit jamais quand on marche en regardant les étalages. Ce jour, la fillette aurait voulu être une géante afin d’écraser tous ces idiots qui ne voient pas où ils mettent les pieds.
Par peur de la perdre, sa mère la surveillait de temps en temps pendant qu’elle et son mari observaient les objets en exposition. Parfois, son frère Mattéo s’arrêtait aussi, principalement dans le curieux but d’admirer un jouet très ancien. Il s’agissait de petits soldats de plombs, de figurines de cyclistes alors qu’il ne fait pas de vélo mais aussi de jeux de société avec lesquels il ne jouera jamais pour différentes raisons ; soit il manque des pièces, soit ils sont trop élaborés pour un garçon de huit ans. Ses parents s’arrêtèrent devant une table ornée d’une multitude d’objets lorsque Sidonie ressentit un étrange frisson. Quelque-chose venait de l’appeler.
Elle se retourna cherchant entre les dizaines de jambes qui l’encerclaient. Elle resta étonnamment subjuguée, se demandant si un camarade de classe l’avait vue. Toutefois, personne ne s’approcha pour lui dire bonjour. Dès lors, elle retourna près de son père au moment où le frisson revint. Un vent anormal souffla dans son oreille. Sidonie se retourna une seconde fois et là, en face d’elle, elle le vit rayonnant tel une coupe en or serti de diamants au milieu d’une cathédrale ! Il était là ! Malgré son regard difforme, il invitait la blondinette à venir vers lui. Elle emboita le pas d’une dame portant un sac à dos et dès qu’elle fut proche de la peluche, elle se sentit aspirée par le jouet à l’apparence trop vieille pour qu’une petite fille s’intéresse à lui. Elle essaya vainement de fermer les yeux mais comme hypnotisée, elle ne put s’empêcher de tourner le regard ; l’ourson lui parlait. Elle crut même voir son bras en partie décousu bouger comme pour la montrer de son index qui n’existait pas. Elle contempla la peluche, fascinée et en même temps troublée. Elle n’entendit pas sa mère l’appeler. Cette dernière l’attrapa par le bras, lui demandant si elle allait bien. Après avoir gardé le silence durant environ dix secondes, Sidonie demanda qu’on lui achète l’ours en peluche sur l’établi. Surprise car pas habituée de cette subite envie pour un jouet usé de la part de sa fille, la maman regarda le Teddy bear. Alors, constatant son état affreusement abimé, elle refusa. Sidonie insista. Sa mère fit de même, refusant d’acheter ce jouet surtout qu’elle possédait déjà une dizaine de peluches qu’elle n’utilisait plus pour jouer. Son père confirma la décision de la mère après avoir remarqué qu’il était plus mité qu’autre chose. Malheureusement, ils durent subir les regards mauvais des gens en raison des cris et pleurs de leur fille. Se sentant mal à l’aise, la famille retourna vers le parking.
Pendant le trajet du retour, Sidonie fut sévèrement grondée. Et plus elle s’éloignait de la peluche, plus elle sentait le remord l’envahir. Elle n’osa pas avouer qu’elle ne comprenait pas pourquoi elle voulait ce jouet pourri. Dès lors, elle se calma et alla même jusqu’à s’excuser, surprenant au passage ses parents. Elle promit de ne plus recommencer, ses parents décidèrent de continuer leur promenade au milieu des stands. Par contre, ils changèrent de direction afin de ne pas revoir les mêmes étalages. Sidonie fut plus sage. Elle sourit et ria aux bêtises de son frère. Elle montra un visage complètement différent du début de la journée. Cependant, elle s’arrêtait parfois à cause d’une sensation de vent froid qui la fouettait brutalement. Mais, son père et sa mère la surveillaient si bien qu’elle revenait toujours auprès de sa famille. La ballade dura l’après-midi. Certains exposants commençaient à plier boutique quand la famille retourna vers le parking. Tranquillement, Sidonie monta à l’arrière de la voiture. Son frère venait de mettre sa ceinture quand il remarqua un objet nouveau à ses pieds. Il demanda à sa sœur de voir ce que c’était et quelle fut sa surprise de découvrir une peluche. Sidonie observa de plus près, elle reconnut le regard bizarre de l’ourson sur le stand, le même regard difforme. Dès lors, elle n’entendit plus rien, ni ses parents, ni son frère, encore moins la portière qui venait de claquer. Elle se sentit comme envahie par une aura visqueuse, quelque-chose imprégnait son esprit au point de ne plus avoir possession de ses gestes. Pourtant, elle réussit à reprendre le contrôle temporairement. Elle s’assit, rassura ses parents et garda dans ses bras la peluche dont un sourire se distinguait sur sa figure crasseuse et balafrée. D’ailleurs, un peu de coton sortait de son museau.
Bien que sa mère demandât de jeter cette horreur, Sidonie refusa, serrant contre elle son nouveau doudou. Elle le garda contre elle, pour jouer, pour manger, pour dormir. Sa famille ne remarqua pas immédiatement le changement dans son comportement. Elle se montra plus effacée, plus arrogante et agressive dès que quelqu’un se moquait de son ourson. A l’école, elle ne fréquenta plus personne, inquiétant son institutrice. Surtout qu’elle amenait l’hideuse peluche en classe. Par contre, elle montra une étonnante progression scolaire. Elle savait lire, écrire et mieux que certains adultes. Elle employa des mots, des termes vieillots, surprenant les adultes. Elle s’intéressa à des choses anciennes mais aussi aux histoires de fantômes ou de meurtres. Le soir, elle se cachait des parents afin de regarder secrètement le film à la télévision si c’était un thriller.
Sa mère comprit qu’il se passait quelque chose lorsqu’elle trouva ses poupées lacérées et découpées. Les peluches avaient toutes été écharpées à coup de ciseaux. Elle découvrit des cheveux coupés, des yeux arrachés. Des membres désarticulés. Elle tressaillit en trouvant une paire de ciseaux dans la chambre de sa fille et à côté, une photo de famille dont les visages furent transpercés par l’objet pointu. A son retour d’école, elle discuta avec Sidonie, mais la gamine ne l’écoutait pas. Elle tenait contre sa poitrine son ours en peluche. Il semblait de plus en plus sale, de plus en plus moche. Alors, sa mère tenta de lui arracher des mains. Elle renonça en croisant les yeux pleins de haine de sa fille. Pour la première fois, la maman de Sidonie avait peur de sa propre fille.
Mattéo ouvrit les paupières en pleine nuit. Réveillé par le grincement d’une porte, il entendit ensuite sa sœur marcher lentement. Par contre, il ne reconnut pas sa voix. Elle était plus masculine, plus agressive et au timbre effrayant. Il comprit les mots employés par Sidonie. Elle parlait de se venger, de ne plus jamais être séparé. Elle exprimait une sorte de haine qu’il n’avait jamais entendu auparavant. La porte de sa chambre, déjà entrouverte, s’écarta. Sa sœur resta dans le couloir. Elle respirait fortement. Toutefois, il ne réagit pas, faisant croire qu’il était encore endormi. Elle resta immobile pendant quelques secondes avant de partir sans faire de bruit. Mattéo la surveilla de l’oreille, il devina en écoutant attentivement qu’elle entrait dans la cuisine. Il entendit un tiroir s’ouvrir suivi d’un bruit de fer qui se touche. Pendant ce temps, il entendait aussi son père ronfler. Il ne savait pas quelle heure il pouvait être. Sa sœur remonta l’escalier, le bois d’une marche craqua comme pour avertir d’un malheur. Sidonie reprit son speech incompréhensible affirmant que plus jamais ils ne seront séparés. Alors, elle entra dans la chambre de ses parents.
Un vent glacial survola le lit de Mattéo, il s’enfonça sous sa couette, ne voulant pas ressortir. Il se doutait qu’il se passerait quelque chose ; Sidonie allait faire une connerie mais ses parents sont bien plus forts qu’elle. Ce n’est pas possible autrement ! Son père ronflait toujours, lorsque soudain, il s’arrêta en même temps qu’un bruit sec et tranchant. Mattéo l’entendit se lever et faire un son étrange, anormal comme s’il cherchait sa respiration. Il entendit ensuite sa mère demander si son père allait bien. Il vit la lumière éclairer les murs du couloir puis sa mère hurla : « Qu’as-tu fait ? Non…non ! » Plusieurs « arrête » résonnèrent dans la tête de Mattéo, il entendit sa mère crier pitié puis plus rien.
Sidonie marcha tranquillement, elle retourna dans sa chambre, se recoucha et s’endormit en serrant son ourson couvert de sang. D’ailleurs il y en avait aussi sur sa chemise de nuit et ses cheveux blonds. Il y en avait partout dans la chambre des parents dont les corps gisaient dans leur lit. Mattéo resta cloitré toute la nuit. Traumatisé, au petit matin, il ne bougea pas lorsqu’un collègue de son père frappa à la porte. C’est Sidonie qui ouvrit à cet homme. Il sentit la peur l’envahir en découvrant les taches brunes sur la fillette. Il entra et trouva les parents. La police vint, Mattéo ne prononça toujours aucun mot. Quant à Sidonie, elle dit simplement que son ours en peluche lui a demandé de ne plus jamais être séparé. Elle a fait le nécessaire.
Alex@r60 – juin 2020
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HAIRSTYLE
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LE MANDAT
Partenaire d’épreuve: Andréanne & Co.
Qui: Client oeuvrant dans le commerce de détail de produits pharmaceutiques
Quoi: Événement majeur sur trois jours
Où: L'événement doit avoir lieu à l'étranger (sauf l'Italie)
Qui: Nombre de participant: 100 pharmaciens + 60 conjoint(e)s
Budget global (incluant les frais d'agence): 1,5 million$ CAD
* Penser que le prix par tête est de 9 375$, alors se demander si notre événement vaut 9 375$ par personne (qualité-quantité)
RÉPONSES DE L’AGENCE
- Client actuel d’Andréanne & CO
- Choisir 5-6 villes (sauf l’Italie, la Californie, l’Asie, l’Océanie)
- À nous de recommander la ville et les lieux utilisés
- Pas à inclure le déplacement des pharmaciens (voyagement)
- Hôtel, nourriture, transport à payer mais pas inclure à votre budget → doit inclure direction artistique et logistique
- Pharmaciens propriétaires - employés de la compagnie organisatrice (ont payé pour assister)
- Fort possible qu’on puisse remettre une programmation papier aux juges
- VALEURS DE L’AGENCE/CLIENT: service client attentionné, raffinement et élégance, finesse, soucis du détail, l’humain avant tout
- ÉCHANGE COURRIEL le jour du mandat
- Événement privé et exclusif
- S’agit d’un événement annuel récurrent
- Peut mettre des infos/idées de places sur la clé USB
VALEURS PHARMACIE
PROXIM
Vision unique
Excellence
Pratique professionnelle
BRUNET
Passion du métier
Soucis du bien-être
Service personnalisé
PHARMAPRIX
Confiance
Excellence
Service personnalisé
FAMILIPRIX
Santé
Innovation
L’humanisme
JEAN COUTU (Amitié)
Audace
Innovation
Leadership
IDÉES CRÉA
Jeu d’évasion où ils doivent trouver les ingrédients d’une pilule
Prix gala en forme de bécher
Sarrau avec le logo de l’événement dessus
Un huge erlenmeyer qui explose des confettis (réaction chimique)
Temps libre!!!!! Aller voir des touristy must
BRAINSTORM
THÈMES
Jouer avec les perceptions qu’on a des pharmacies (comme la compagne Je suis plate)
Cirque des idées / jongler avec …
Propulsion (hélice, combustion, flèche, lumière, mouvement, catapulte) → Propulsion sociale, créative et de talents
Coup de main (d’épaule, de pouce)
Sky is the limit
Speak-easy
Stimulation
Crystallisation
ACTIVITÉS (Historique, Culturel, Sport, Nightlife, Nature, Art, Gastronomie)
Montrer les coulisses de la compagnie (volet éducation)
Laisser du temps libre aux participants pour leurs visites touristiques qui ne matchent pas avec le thème (genre Tour Eiffel, musée, marche)
Inclure les 5 sens au travers des 3 jours
Jeu d’évasion où ils doivent trouver les ingrédients d’une pilule -- Labyrinthe
Matcher des gens selon leurs intérêts (relations clients, pharma, angle business)
Construire un jeu vidéo
Virtual Reality
Dégustation
Activité de collectivité, usage des mains (exposition MAC) avec réaction lumineuse, thermique
Géant stop-motion, mural
3D Printer
Attrape-peluche
Système de points avec une récompense à la fin
Machine distributrice
Zeppelin pour passer un message
Montgolfière
Zipline, escalade
Taureau mécanique
Picnic
Souper sur bateaux loués
PARTY/GALA
Verre/coupe lumineuse pour créer des équipes (glow in the dark, action qui déclenche la lumière)
Fontaine (forme en lien avec thème)
Gif machine, mais pimper en criss
Confettis pour le BIG REVEAL
Famous DJ ou Chanteur (Stunt)
DJBooth décoré selon le thème
Ballounes en lien avec le thème
Buffet nice/Bar de bouffe
Mini-golf
DDR
Concours de cocktail personnalisé
Projections/Lumières/Laser
Table disposition funky (en forme de molécules?)
Photographe
Trucs suspendus (bouffe ou autres)
Pouf, espace détente
Système de points en équipe avec une récompense à la fin
Livestream du gala/cérémonie
CADEAUX
Kinder surprise immense en forme de pillule qui ouvre en deux, avec
- une carte de la ville
- chargeur portable
- tote bag avec logo
- cahier de notes et crayon avec logo
INVITATION
Site web et boîte d’invitation
CONFÉRENCIERS
- Peggy Whitson
-
IMAGES EN RELATION AVEC PHARMACIE
Sarrau
Erlenmeyer ou bêcher ou éprouvette ou fiole
Pots à pillules
La perception des pharmaciens (ils ont une image d’être plate, mais montrer contre ça)
Microscope
Comprimé
Prescription
Capsule qui explosent
Cadeaux en rapport avec la pharmacie
LES NOUVEAUX TRENDS EN PHARMACIE
Il y a une crise de opioid en ce moment
Légalization du cannabis
Amazon qui grandit dans le marché pharmaceutique
Mars: pharmacist awareness month
Drug shortages have been an issue recently
Our professional association is discussing with the government for more roles by the pharmacist (ex: vaccination) and a new salary model
A.I.!!!!
IDÉES LIEUX
1- COPENHAGUE (Danemark - 501.4/1 M AI jobs)
Hôtel: L’Angleterre
Cocktail: KPH Volume, Lokomotivvaerkstedet
Salle congrès: The terminals (bord de l’eau), Skovshoved and Ven. Docken
Gala: Papirhallen, Tivoli Gardens
Traiteur: Dining Six
2- VIENNE (Autriche)
Hôtel: Le Méridien Vienna
Cocktail: Musée Mumok
Salle Congrès: Musée Mumok, Albert Hall
Gala: -
Traiteur: DO&CO
3- PRAGUE (République Tchèque - 543.6/1 M AI jobs)
Hôtel: Cosmopolitan Hotel Prague, NYX Hotel
Cocktail: Hemingway Bar,
Salle Congrès: TechSquare??, Animika Hub
Gala: Forum Karlin,
Traiteur: FB Catering
4- JOHANNESBURG (Afrique du Sud)
Hôtel: Saxon Hotel, AtholPlace Hotel & Villa
Cocktail: Studio 71, Level three, Urban Tree, Salt & Stone
Salle Congrès: Randlords, Perch
Gala: Level three,
Traiteur:
Intéressant: https://sa.sneakerlab.com/#
Autres Idées
5- ZURICH (Suisse)
Hôtel: The Dolder Grand
Cocktail: Jules Verne
Salle Congrès: StageOne
Gala: Aura
Traiteur:
Site pour idées
6- BUENOS AIRES (Argentine)
Hôtel:
Cocktail:
Salle Congrès:
Gala:
Traiteur:
7- MONACO (Monaco)
Hôtel: Hôtel de Paris, Hôtel Metropole de Monte-Carlo
Cocktail:
Salle Congrès: Salle de conférence du Resort Monte-Carlo SBM,
Gala: Salle des étoiles
Traiteur:
Autres idées
APPEL AVEC ANDRÉ
CONGRÈS
Environ 700 personnes dans des centres de congrès, chaque année
Événements de formation, dans la région pour pharmaciens opérants
En France, congrès avec réseau de pharmaciens (300 pharmaciens Familiprix)
Activités oui, rafting pour les conjoints mais maintenant temps libre. C’est souvent des suggestions pour la plupart de temps.
TEMPS HABITUEL: 8h à midi, et 1h30 à 4h30
LA MARQUE ET LES VALEURS
Innovateur: Fêtes des firmes, soirées thématiques, SURPRISE et varié à chaque fois. CÔTÉ INNOVATEUR
Humain: Accent sur les repas, mêlées les gens et que les gens se connaissent
Santé: Pause santé, comme des fruits
SOIRÉE CLÔTURE
Complètement différent de la thématique travail, on est rendu au volet social
CADEAUX
Souvent des partenariats avec des compagnies de cosmétiques
Mettre dans les chambres comme accueil, ou juste avant le gala dans la chambre
AUTRES NOTES
Name tag venait avec l’hôtel, l’affichage dans l’hôtel
Dernière journée de conférence: l’assemblée des actionnaires, conférence d’intérêt générale comme l’expérience, i.e. athlète olympique ou psychologue venait parler. Les invités parlaient de leurs expériences de vies, et c’était en lien avec la thématique habituellement.
Chili, Vienne
Vienne: 25e anniversaire de Familiprix, un bal pour célébrer dans un palais impérial.
Les pharmaciens ont déjà voyagé: ils faut les surprendre dans les événements.
Fiscalement moins admissible de seulement célébrer, faut un peu un volet travail. Sujet léger.
Conjoints: Laisser libre habituellement. Mais souvent, le conjoint est related dans l’industrie pcq c’est des pharmaciens propriétaires.
NOUVEAUX TRENDS: Pharmaciens ont plus de responsabilités pcq médecins trop occupés.
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Le monologue du vieux loup
Alors que la tendance est à un moment de partage en famille à l'occasion de ces fêtes de fin d'année, il y en a pour qui, la solitude fut un malheureux compagnon.
À l'évocation de la "magie" de ces fêtes, un paradoxe nous saisit lorsqu'on nous présente le tableau global. On y voit des gens qui ne se sont montré aucun amour durant l'année et qui font leur maximum pour, comme un nouveau né apprenant la marche, essayer de s'aimer sans se blesser. Et juste après les fêtes, on se revêt du manteau tant aimé de la bête de l'indifférence et du désamour.
Cependant, il y en a pour qui, toute l'année est une rixe avec l'amour.
Ésseulé encore une fois, il errait en pyjama dans les immenses couloirs de la gigantesque maison qu'il s'est construite et qui n'est désormais habitée que par lui et ses fidèles compagnons les araignées et leurs raffinées toiles. Cette année-là, il avait décidé de ne pas se rendre en Europe ni aux États-Unis pour fêter avec ses enfants. Pourtant habitué aux rudes hivers, il s'inclinait face à l'autorité de l'harmattan.
En pleine exploration de l'expressionnisme de sa réussite, il déboucha sur un couloir exempt de tout éclairage. Même la lumière du jour ne trouvait pas son chemin pour s'écraser sur les murs du long et sinistre couloir. L'endroit sentait la solitude et l'absentéisme. Tant et si bien que le maître des lieux redoutait de s'y glisser.
Se faisant violence, il traversa l'enfer obscure sans flammes ni diable. Quelques mètres plus loin, il arriva enfin devant une porte. La vieille porte en bois massif tenait en respect la horde d'araignées qui semblait lui livrer une bataille où David ne trouvait pas sa fronde face à un Goliath figé sur place. Ce combat dure depuis des années avant que finalement, le créateur de cet univers ne balaya la guerre froide d'un revers de la main timide, signe du poids du temps sur le physique de l'homme.
La pièce que protégeait le géant de bois était un débarras qui recelait les artefacts d'une vie de luxe marquée par l'excès et la course à la mode. Fouillant, non pas sans quelques toux épineuses les souvenirs de ses années passées, il tomba sur un ours en peluche. Le pauvre, il avait perdu un œil. Néanmoins, son sourire ineffaçable demeurait.
Le vieux débris, au milieu de ses débris, s'assit. Il posa l'ours en peluche à ses côtés. Ce doudou appartenait à sa fille benjamine. La petite adorait ce cadeau. Elle l'appelait "l'abeille". "Ce pauvre ours devrait être blessé dans son ego." se dit le vieux loup.
Du bout de ses doigts qui avaient depuis longtemps renoncé à toute émotion, le corps inerte du jouet de sa dernière fit remonter des souvenirs.
Les larmes coulaient de ses yeux comme d'un barrage ayant cédé. Ça fait des lunes qu'il n'avait pas versé une goutte. Ni de ses yeux, ni de son front, ni d'ailleurs. Il était triste à l'idée de ne trouver véritablement la paix que dans une petite pièce toute sale, entouré d'objets jetés après avoir servi. Lui, l'homme face à qui tous tremblaient. Lui qui possède des terres si vastes qu'on pourrait y construire un quartier. À quoi a donc servi tous ces sacrifices si c'est pour se mourir de solitude ?
Il regarde autour de lui et repense à son épouse, partie il y'a quelques années, laissant en lui, un vide à y jeter le ciel. Elle était tout. Elle était le cerveau quand il n'était que la main. Elle était la main quand il n'était que la gâchette. À eux deux, ils en ont terrorisé des milliers. Lui, a reçu tous les blames, et elle, dans l'ombre, a épuisé ses charmes et écrasé bien des quidams.
Sa fortune, heritage d'un empire aux fondations de sang, faisait des envieux et des admirateurs. Il se souvient des nombreux jeunes, hommes et femmes, qui lui écrivaient avec admiration. Il était déçu de cette jeunesse qui était amoureuse du bling bling et qui ne cherchait qu'à porter la montre trop chère d'un personnage trop riche, ou les baskets au prix d'or d'une bimbo trop chiche. Aucun de ces jeunes ne se demandait comment telle ou telle idole est parvenue à obtenir tout cet argent. Comment elle a fait ? Ce qu'elle a traversé ? Ce qu'on peut apprendre d'elle ? Ce n'est pas ça qui intéresse la jeunesse.
Il repensa à la fois où il dit à l'un de ses amis qui était un homme d'influence : "tu es coach et tu n'es pas différent des pasteurs. Tu donnes un avis et tu le maquilles en conseil.".
"Au moins toi tu m'écoutes. Mais si seulement tu pouvais parler. Quitte à débiter 50 plaintes en une phrase." Dit-il en s'adressant à "l'abeille".
Au milieu de cet océan de nostalgie, le sanguinaire d'hier, géant de circonstances et humain de tous les temps, trouva le sommeil. "Que je suis fatigué.". Se dit-il. "Si c'est la mort qui s'en vient, je ne crois pas mériter une mort si paisible."
À nous les humains, qu'est-ce qui nous donne vraiment un bon cœur ou un cœur en pierre ? Qu'est-il que l'on essaie vraiment de combler par tout ce matériel inutile qui nous engloutit ? Les peines que l'on ressent à chaque coup à notre gorge, porté par les gants de l'injustice, nous empoisonnent à un point où nos décisions ne constituent que des tranchées derrière lesquelles on se cache pour survivre aux assauts de la vie. On en vient à oublier que les hommes et les femmes les plus cruels sont aussi passés par la case "enfant innocent plein d'amour".
Comme par enchantement, le vieux loup, despote dans son royaume, impitoyable leader sans un regard pour les pauvres et nécessiteux, celui que l'on disait inébranlable, tel un arbre qui a vu passer des millions d'années de l'histoire des hommes, tomba sans un bruit. Seul dans le noir, dans la poussière, dans le froid et au milieu des reliques de son passé.
Écrit par Amétépé ANOUMOU-FONTRIER (A-F A)
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Un chien fidèle abandonné dans un refuge occupé ne lâchera pas son ours en peluche
Un chien fidèle abandonné dans un refuge occupé ne lâchera pas son ours en peluche
En regardant Ellie, il est impossible de croire que quelqu’un aurait pu avoir le cœur de la larguer. Effrayée et seule, elle s’est accrochée à la seule chose qui lui restait au monde… un ours en peluche géant. Ils s’étaient donné la peine d’obtenir tous ses vaccins, sa stérilisation et sa micropuce… [puis] ils l’ont juste jetée au refuge le plus proche après l’avoir eue pendant des mois. Elle a…
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La VDM People : "Oups !"
Aujourd’hui, ma famille a offert à ma fille de 4 mois une fausse Bentley en jouet et un ours en peluche géant. Pour immortaliser le moment, j’ai décidé de prendre une photo et de la poster sur Instagram. Le cliché est adorable. En revanche, mes fans n’ont pas du tout apprécié. Ils m’ont accusé de rendre mon bébé matérialiste. Je suis… Khloe Kardashian. VDM
La rédac'
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La VDM people : Next !
La VDM People : "Oh my dear !"
La VDM People : "Overbookée"
La VDM People : "Wanted"
La VDM People : "prise en flag' !"
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Achetez Gros Nonneurs Janat en France
Achetez le parfait gros nounours géant chez PELUCHE-TORTUE ! Nos oursons géants sont les compagnons idéaux pour les câlins et le réconfort. Avec notre design doux et câlin, Gros Nounours Géant de PELUCHE-TORTUE est un cadeau délicieux pour tous les âges. Contactez-nous à [email protected] pour ramener chez vous votre propre Gros Nounours Géant et expérimenter la joie du luxe câlin.
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30-3-2018 Pourquoi une si grande fascination pour nos amis pandas, Tout simplement, cet animal , nous fait penser à une gentille peluche, et on voudrait le choyer https://www.youtube.com/user/zoobeauval MAGNIFIQUE CE ZOO DE BEAUVAL 18-2-2017 ©PANDA POEME THOMAS André© Juin 2015, une découverte, au Zoo de Beauval, Un nounours tacheté noirs, et blancs, tous mignons, En réalité, un pandas géant installé, confortablement dans ce parc de Beauval, Attitude super cool, assis sur son séant, s’offrant ce frugal repas de bambous, c’est trop mignon.
On voit, que ce monsieur, est un asiatique, Il mange, avec délectation, Une attitude, de yoggiste sympathique, Bravant sans broncher, les dizaines d’yeux, qui le regardent plein de stupéfaction.
Pendant qu’il effeuille, ses bambous, avant d’en déguster la tige, On sent dans cet animal, une sensation de quiétude, Ici point de nervosité, tout est sollicitude, Point de visage menaçant, même si des feuilles résistent, pas d’affolement, on arrivera à manger cette tige.
Quand on le voit, on se sentirait, comme un père avec son enfant, le regard bienveillant, Devant cet être, qui parait insouciant, Aimant souvent la solitude, Comme si, que pour lui, être seul signifie, la béatitude.
Animal symbole en Chine, ici, à Beauval, il ne semble pas regretter la Chine, Avec une patience, qui défie l’entendement, il affectionne ces journées, où avec régularité Il mange un nombre important de tiges de bambous, comme dans ces forêts de Chine, Laissant passer sa vie dans une grande tranquillité. 30-11-2016,Amis Internautes, C'est la première fois que j'avais la chance de rencontrer en vrai,un panda.La première impression qu'il vous donne,c'est comme une grosse peluche très gentille,quand on l’observe,c’est quelqu’un de paisible,qui déguste ses bambous en les épluchant,et qui vous procure une sensation de paix et de sérénité. Si la vidéo vous plaît, pensez à visiter notre site et à vous abonner www.photopeinture.com un parc ou la faune et la flore sont en pleine harmonie et une superbe rencontre le panda, et le le koala
GOOGLE TRADUCTION 18-2-2017 © PANDA POEME THOMAS André ©
June 2015, a discovery, at the Zoo of Beauval, A tanned black and white teddy bear, all cute, In reality, a giant pandas installed, comfortably in this park of Beauval, Super cool attitude, sitting on his seat, offering this frugal bamboo meal, it's too cute.
We see that this gentleman is an Asian, He eats, with delight, An attitude, of sympathetic yoggist, Braving without flinching, the dozens of eyes, who look at him full of amazement.
While it is scattering, its bamboos, before tasting the stem, One senses in this animal, a sensation of tranquility, Here there is no nervousness, everything is solicitude, No threatening face, even if leaves resist, no panic, we can eat this stalk.
When one sees it, one would feel, like a father with his child, the benevolent gaze, Before this being, who seems to be carefree, Loving often the solitude, As if, for him, being alone means beatitude.
Animal symbol in China, here in Beauval, it does not seem to regret China, With patience, which defies the understanding, he loves these days, where with regularity He eats a large number of bamboo stems, as in those forests of China, Leaving his life in great tranquility.
30-11-2016 Friends Internet, This is the first time I had the chance to meet in real life, a panda. The first impression he gives you is like a big plush, very nice, when one observes it, it is a peaceful person, who tastes his bamboo by peeling them, and which gives you a feeling of peace And serenity. If the video you like, think about visiting our site and subscribing www.photopeinture.com (and disable your ad blocker on our channel). A park or fauna and flora are in full harmony And a superb encounter with the panda, and the koala
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7 BONNES RAISONS D’AIMER COURTNEY DAUWALTER
• 1. ELLE EST IMBATTABLE. La dernière fois qu’elle n’a pas été première sur un ultra trail (hors abandon), c’était en février 2018 (deuxième). Depuis, tu peux miser ton PEL à chaque fois que Courtney Dauwalter s’aligne sur un ultra. Précisons qu’elle n’a pas d’entraîneur et cavale aux sensations.
• 2. ELLE SE BROSSE LES DENTS AUX RAVITOS. Sur la dernière course de quartier de Chamonix, elle s’est tellement brossée les quenottes que des dentistes ont fait des malaises sur la ligne d’arrivée.
• 3. ELLE GÈRE PARFAITEMENT SON AFFAIRE. Sur cette course de quartier, elle est 64ème au scratch après 20 bornes. 23ème à mi-course, 10ème à La Fouly, 7ème à Chamonix. Ben oui, c’est long 170 bornes.
• 4. ELLE A UN DÉLIRE AVEC LES TRUCS CHELOUS. Barkley, Big’s Backyard, 24 heures, course de 240 miles… Courtney n’aime pas seulement sortir ses grands shorts sur des ultras, elle a aussi un goût pour des délires d’organisateurs. Vous l’aurez lu ici : Courtney sera la première femme à terminer la Barkley.
• 5. ELLE MANGE N’IMPORTE QUOI AUX RAVITOS. Sur la Big’s Backyard qu’elle a remporté après 68 heures de course (455,9 kilomètres, soit 68 tours de 6,7 km), elle a dégusté des patates sautées, des pizza froides, des frites et des cheeseburgers. Sa passion pour les croissants est immense.
• 6. ELLE AURA BIENTÔT LA FAMILLE COMPLÈTE. « Dans la famille gros ultra méga connu qu’il faut avoir gagné avant de mourir, je voudrais le Grand Raid de La Réunion ». Western States, Hardrock et course de quartier de Chamonix sont déjà dans son escarcelle. Elle est la première femme à avoir ce trio magique (seul Kilian Jornet a fait pareil). Il ne manque plus que la beauté de la Diagonale pour compléter la famille.
• 7. ELLE A BEAUCOUP D’HALLUCINATIONS. Girafes et anguilles volantes dans les montagnes du Colorado, leopard dans un hamac sur la Moab 240, ours en peluche géant faisant un câlin sur le Colorado Trail, Mickey Mouse distribuant des t-shirts sur la Big’s Backyard mais aussi cow-boy de 12 pieds et château de glace. Tout va bien.
Photo Alexis Berg
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Le panda géant est une espèce endémique de la Chine centrale.
Il ne vit que dans le centre de la Chine, dans des régions montagneuses recouvertes de forêts d'altitude.
Morphologiquement, son nom chinois est « grand chat-ours ». En tibétain son nom signifie ours-panaché.
Ma peluche est à -20% jusqu'au 19 juin minuit !
Peluche panda, dans un coeur, en feutrine, à suspendre, fait main, cadeau fête des mères
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13-1-2018 Bébé panda :première sortie publique de Yuan Meng au zoo de Beauval,Cinq mois après sa naissance, le jeune ursidé s’est affiché samedi en présence de sa maman.Un public nombreux se massait samedi matin dans le secteur «chinois» du zoo de Beauval Loir-et-Cher pour admirer le bébé panda Yuan Meng qui faisait sa première sortie publiique 5-12-2017 C'est officiel,il a un nom! Le bébé panda du zoo de Beauval a été officiellement baptisé en présence de la première dame Brigitte Macron ce lundi 4 décembre et répond désormais au nom de "Yuan Meng". La traduction en français signifie "la réalisation d'un rêve" ou "réalisation d'un souhait".La cérémonie s'est déroulée au zoo de Beauval, où le petit panda avait vu le jour au mois d'août. 25-9-2017 IL Y A 3 JOURS NOUS AVONS VU LE FILM NE EN CHINE DE DISNEY NATURE SI VOUS POUVEZ ALLER LE VOIR, FONCER Partagez la vie du Panda majestueux,de l'astucieux Singe Doré et de l'insaisissable Panthère des Neiges... 5-9-2017 petit panda à 1 mois 5-8-2017 hier un petit panda est née à Beauval, l'information à été relayé sur la terre entrère 26-7-2017 AMIS INTERNAUTES GRANDE ET BONNE NOUVELLE MISS PANDA ATTEND UN BEBE 17-3-2017 ABONNEZ VOUS AUX PAGES OFFICELLES DE ZOO DE BEAUVAL SI VOUS AIMEZ LES ANIMAUX https://www.youtube.com/user/zoobeauval MAGNIFIQUE CE ZOO DE BEAUVAL 18-2-2017 ©PANDA POEME THOMAS André© Juin 2015, une découverte, au Zoo de Beauval, Un nounours tacheté noirs, et blancs, tous mignons, En réalité, un pandas géant installé, confortablement dans ce parc de Beauval, Attitude super cool, assis sur son séant, s’offrant ce frugal repas de bambous, c’est trop mignon.
On voit, que ce monsieur, est un asiatique, Il mange, avec délectation, Une attitude, de yoggiste sympathique, Bravant sans broncher, les dizaines d’yeux, qui le regardent plein de stupéfaction.
Pendant qu’il effeuille, ses bambous, avant d’en déguster la tige, On sent dans cet animal, une sensation de quiétude, Ici point de nervosité, tout est sollicitude, Point de visage menaçant, même si des feuilles résistent, pas d’affolement, on arrivera à manger cette tige.
Quand on le voit, on se sentirait, comme un père avec son enfant, le regard bienveillant, Devant cet être, qui parait insouciant, Aimant souvent la solitude, Comme si, que pour lui, être seul signifie, la béatitude.
Animal symbole en Chine, ici, à Beauval, il ne semble pas regretter la Chine, Avec une patience, qui défie l’entendement, il affectionne ces journées, où avec régularité Il mange un nombre important de tiges de bambous, comme dans ces forêts de Chine, Laissant passer sa vie dans une grande tranquillité. 30-11-2016,Amis Internautes, C'est la première fois que j'avais la chance de rencontrer en vrai,un panda.La première impression qu'il vous donne,c'est comme une grosse peluche très gentille,quand on l’observe,c’est quelqu’un de paisible,qui déguste ses bambous en les épluchant,et qui vous procure une sensation de paix et de sérénité. Si la vidéo vous plaît, pensez à visiter notre site et à vous abonner www.photopeinture.com un parc ou la faune et la flore sont en pleine harmonie et une superbe rencontre le panda, et le le koala
GOOGLE TRADUCTION 18-2-2017 © PANDA POEME THOMAS André ©
June 2015, a discovery, at the Zoo of Beauval, A tanned black and white teddy bear, all cute, In reality, a giant pandas installed, comfortably in this park of Beauval, Super cool attitude, sitting on his seat, offering this frugal bamboo meal, it's too cute.
We see that this gentleman is an Asian, He eats, with delight, An attitude, of sympathetic yoggist, Braving without flinching, the dozens of eyes, who look at him full of amazement.
While it is scattering, its bamboos, before tasting the stem, One senses in this animal, a sensation of tranquility, Here there is no nervousness, everything is solicitude, No threatening face, even if leaves resist, no panic, we can eat this stalk.
When one sees it, one would feel, like a father with his child, the benevolent gaze, Before this being, who seems to be carefree, Loving often the solitude, As if, for him, being alone means beatitude.
Animal symbol in China, here in Beauval, it does not seem to regret China, With patience, which defies the understanding, he loves these days, where with regularity He eats a large number of bamboo stems, as in those forests of China, Leaving his life in great tranquility.
30-11-2016 Friends Internet, This is the first time I had the chance to meet in real life, a panda. The first impression he gives you is like a big plush, very nice, when one observes it, it is a peaceful person, who tastes his bamboo by peeling them, and which gives you a feeling of peace And serenity. If the video you like, think about visiting our site and subscribing www.photopeinture.com (and disable your ad blocker on our channel). A park or fauna and flora are in full harmony And a superb encounter with the panda, and the koala
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