#gros ours en peluche
Explore tagged Tumblr posts
Text
Boutique de peluches en ligne
Vous cherchez le compagnon cùlin idéal ? Découvrez PELUCHE-TORTUE, votre boutique de peluches en ligne incontournable ! Notre ravissante sélection de peluches saura charmer les enfants comme les adultes. Chaque compagnon cùlin est conçu pour le confort et la joie. Visitez peluche-tortue.com pour découvrir notre adorable collection et trouver votre prochain ami en peluche préféré dÚs aujourd'hui !
#Jouets en peluche lapin#Boutique en ligne de peluches#Boutique de peluches en ligne#Magasins de peluches en ligne#Acheter un ours en peluche en ligne#Boutique d'ours en peluche en ligne#ours en peluche géant#peluche lapin#lapin en peluche#gros nounours#gros nounours peluche#gros ours en peluche#ours en peluche#peluche géante ours#peluche ours geant#peluche koala#peluche grande taille#Jouet en peluche tortue#Peluches en ligne#Jouet en peluche abeille#animaux en peluche et jouets en peluche#peluches géantes#chat en peluche
0 notes
Text
Rien ne dure pour toujours - Se perdre pour se retrouver - Chapitre 4 : Quelle histoire!
__________________________________
Il vente et pleut des cordes. Le garçon a dĂ» Ă©courter sa quĂȘte de nourriture. De toute façon, il est fatiguĂ©. Il aurait eu plus de chance de dâattraper un rhume quâautre chose, mieux vaut rentrer se mettre au sec.
La journĂ©e nâa pas Ă©tĂ© productive, il nâa rien trouvĂ©. Il rĂ©essaiera demain, la pluie devrait sâĂȘtre calmĂ©e dâici lĂ .
Le chemin de retour se passe assez bien. La plupart des adultes qui auraient pu causer des ennuis sont allĂ©s se mettre Ă lâabri dans les bĂątisses voisines. Avec toute cette pluie battante, il a du mal a voir loin, mais si lui il ne voit pas grand-chose, les autres adultes et monstres Ă©galement .
Une foi arriver chez lui, Mono se sĂšche du mieux possible. Il est trempĂ© jusquâaux os. MĂȘme son chapeau nâa pas pu protĂ©ger sa tĂȘte de toute cette pluie. Il essore ses vĂȘtements, et un jus brun de tout la saletĂ© accumulĂ©e. Berck... Ses vĂȘtements seront un peu plus propres maintenant au moins. Il finit de sâessuyer avec une serviette sous lâĂ©vier. VoilĂ , ça ira comme ça, ses habits finiront de sĂ©cher sur lui durent la nuit.
Il est Ă©puisĂ©. MĂȘme si il commence Ă avoir vraiment faim, il nâa mĂȘme pas la force dâaller voir si il y a un truc Ă grignoter Ă la cuisine, il veut seulement aller dormir un peu.
Comme Ă lâhabitude, le garçon sâinstalle sous son lit, la ou son ours en peluche lâattend, sur un pull quâil a rĂ©ussi Ă subtiliser Ă son pĂšre. Il peut bien se permettre de rendre sa cachette poussiĂ©reuse un minimum confortable. Dommage que le radiateur ne soit pas plus prĂšs du lit, il a un peu froid avec ses vĂȘtements encore humides. Mais ça va, il ne fait pas si froid que ça dans la maison, et câest clairement mieux que dehors.
AprĂšs sâĂȘtre mis Ă lâaise, souffle enfin. La pluie nâest pas si terrible une fois Ă lâabri, le bruit quâelle fait sur le toit en est presque agrĂ©able. Mono se laisse glisser peu Ă peu. Il est tellement fatiguĂ© que,pour une fois, il sâendort sans trop de problĂšmes. Alors quâil est sur le point de sâendormir, il a lâimpression dâavoir oubliĂ© un truc important, mais quoi ? Avant quâil nâeĂ»t le temps dây rĂ©flĂ©chir davantage, il sombre dans un sommeil Ă peine conscient, presque profond.
....
Dans lâappartement, lâactivitĂ© commence Ă s'Ă©veiller. Mono est tirĂ© en sursaut de son sommeil. Il a vraiment dormi profondĂ©ment cette nuit. Il nâaime pas trop ça, de partir aussi loin et longtemps, mĂȘme chez lui. Mais moins, cette fois, ça a Ă©tĂ© sans consĂ©quence.
Quoi quâil en soit, il y a beaucoup dâactivitĂ© ce matin, plus que dâhabitude. Apparemment il y a deux personnes. Peut-ĂȘtre que son pĂšre est lĂ aujourdâhui ? Il est rarement lĂ . Il part souvent pendant plus dâune semaine et quand il rentre, il reste seulement une seule journĂ©e pour repartir le lendemain,donc, il nâest pas rare quâil le manque. Pas que se soit grave, comme sa mĂšre ou nâimporte quel autre parent, il ne lui prĂȘte guĂšre dâattention, et ça lui convient trĂšs bien.
Mais, au bout dâun moment, le garçon commence Ă se poser des questions. Il y a quelque chose dâinhabituel dans toute cette activitĂ© matinale. Il y a quelquâun dans la salle de bain, mais, les bruits que font lâautre personne lui semble diffĂ©rent : ce nâest ni la dĂ©marche claudicante de sa mĂšre, ni les longues enjambĂ©es de son pĂšre. Ce sont des pas claquants, courts et pressĂ©s. Et il entend un truc qui roule ? Le bruit se dirige vers sa chambre !
Ă peine Ă t-il le temps de chercher Ă comprendre, que la porte de sa chambre est poussĂ©e avec force! Mono Ă©touffe un crie de surpris et se recule le plus loin possible sous son lit. Mais câest qui ? ! La rĂ©ponse ne se fait guĂšre attendre : un Ă©norme chariot, chargĂ© dâun gros sac noir et de toute sorte de longs bĂątons et dâaccessoires, rentre dans la chambre. Lâengin est suivi dâun adulte au dos voĂ»tĂ©, une dame quâil nâa jamais vue avant. Elle a de petites lunettes, une robe verte et un gros chignon. Un de ses bras est bien plus long, touchant presque le sol. Pour ce qui est du visage, il est assez monstrueux avec cette mĂąchoire tordue et sa peau couverte de tache rouge.
Mais quâest-ce quâelle vient faire ici, et dans sa chambre ? Elle regarde un moment autour avec un air agacĂ©.
"Uhg...., ils laissent des saletĂ©s partout oĂč ils passent." Grommelle-t-elle en se saisissant dâun balai sur son chariot. Mono se fait tout petit. Est-ce quâelle sait quâil est lĂ ? Est-ce un captureur ? On dirait pas pourtant.
La dame place le foulard autour de son cou sur son visage et se met Ă balayer le plancher, en commençant par les coins et les bords. Mono nâose pas bouger de sa cachette, il reste couchĂ© sur le pull, Ă observer avec anxiĂ©tĂ© lâĂ©trange dame agiter son balai partout dans la piĂšce. Mais quand est-ce quâelle est rentrĂ©e dans lâappartement? Il ne lâa pas du tout entendue. Pourtant, avec sa petite installation Ă l'entre de devant, il aurait dû⊠Son installation ! Il a complĂštement oubliĂ© de vĂ©rifier avant dâaller dormir ! CâĂ©tait ça quâil avait oubliĂ© hier ! Il est dans de beaux draps maintenant.
La dame continue son balayage, et toute la poussiĂšre commence Ă envahir la piĂšce. Elle pousse sans mĂ©nagement ses jouets sur le plancher vers un coin, avant de sâattaquer à ⊠à ses dessins. Non ! Câest trop tard, il ne peut pas sortir les rĂ©cupĂ©rer, il rĂ©vĂ©lerait sa cachette et il se ferait immĂ©diatement Ă©craser Ă coup de balai. Mono regarde impuissant tous ses chefs-dâĆuvre ĂȘtre balayĂ©s, froissĂ©s. La dame se saisit dâune petite pelle et ramasse le tout, sans avoir Ă trop se baisser avec son dos dĂ©jĂ courbĂ© et son long bras droit. Mais quâest-ce quâelle fait avec ses affaires ? Ce qui suit , il ne sây attendait pas : elle jette tous ses trĂ©sors dans le gros sac noir du chariot. Mais quâest-ce quâelle fait? Ă nouveau, le garçon regarde impuissant alors qu'elle finit de ramasser avec son long bras tout le reste de ses trĂ©sors pour les jeter dans le sac noir.
"DĂ©goĂ»tant, il Ă©tait tant de faire du mĂ©nage ici". Marmonne-t-elle avec dĂ©goĂ»t en jetant les derniers dessins . Comment ça âdĂ©goĂ»tantâ ? Est-ce quâelle parle de ses dessins ? Ils sont trĂšs bien ! Mais il commence Ă comprendre maintenant. Il a dĂ©jĂ entendu parler de ce genre dâadulte. Ils passent leur journĂ©e Ă ramasser tout ce qui traĂźne, Ă tout nettoyer partout avec des balais de toute sorte de taille et de formes. Il nâen avait jamais vu avant. La dame au chignon place le balai et la pelle dans le coin de la chambre et quitte sa chambre avec son chariot.
Ouf⊠Elle est partie. Mono souffle enfin. Il a eu une bonne frousse, mais au moins, elle nâest pas allĂ©e nettoyer sous le lit. Avec son long bras, elle lâaurait attrapĂ© sans problĂšme, et il aurait probablement rejoint ses dessins dans le gros sac noir. Ou pire.
Ses dessins, mĂȘme ses crayons ; disparue. Au moins, il lui reste quelques couleurs qui ont Ă©chappĂ© aux balais, et elle nâa pas touchĂ© Ă ses dessins au mur. Il est tentĂ© dâaller les chercher, mais il lâentant toujours lâadulte dans le couloir, il pourrait se faire surprendre. Peut ĂȘtre que si il fait viteâŠ
Ă peine a-t-il entrepris de sortir, quâil retourne se cacher sous le lit. La dame revient avec un Ă©trange engin quâil nâavait jamais vu au par avant. La chose est munie dâun gros sac le long dâun manche relier Ă une sorte dâĂ©norme tĂȘte rouge et blanche. Un autre genre de balais ? La dame touche Ă la chose au bout du manche et lâengin se met Ă rugir et une lumiĂšre jaillit de la tĂȘte, ce qui fait sursauter Mono. La dame commence Ă balader lâengin partout dans la piĂšce. La chose engloutit tout sur son passage, finissant de dĂ©vorer ses derniers crayons. Mais Mono nâen a que faire maintenant, il a un problĂšme plus important. Câest quoi cette chose ?! La dame la fait aller dans tous les coins de la piĂšce, ne laissant rien derriĂšre son passage. Il peut voir sous la tĂȘte de la chose des sortes de mandibule qui envoie tout dans une sorte de rangĂ©e de dents en brosse rouge tournant Ă toute vitesse. "Un monstre ?" Pense-t-il avec effroi. La chose commence Ă venir autour de son lit. Pourvu quâil nâaille pas dessous ! La dame continue de balader ce monstre, le⊠le ? Gobblor! Câest le premier nom qui lui passe par la tĂȘte, le gobblor !
Au mĂȘme moment, le gobblor passe sa tĂȘte sous le lit ! Mono ne peut retenir un cri de terreur cette fois, mais celui-ci est couvert par le rugissement incessant de la crĂ©ature. Il par se cacher derriĂšre son ours, câest sa seule chance ! Le monstre continue ses aller-retour sous le lit, sâapprochant peu Ă peu de son ultime refuge. Câest alors quâil rĂ©alise quâil a laissĂ© son chapeau derriĂšre lui ! Trop tard, le monstre a dĂ©jĂ mis ses dents dessus et englouti sans le moindre mal le prĂ©cieux couvre-chef dans un slurp glaçant. Et maintenant , il se dirige vers lui ! Le pauvre garçon tremble de tout son corps, en gĂ©missant. Il est fichu ! Cette chose vas lâavaler tout cru! Le monstre est de plus en plus prĂšs Ă chaque aller-retour, il nâest plus trĂšs loin, encor deux ou trois et son compte est bon.
Le monstre fond sur lui, Mono Ă©treint son ours et se prĂ©pare pour la fin. Il espĂšre que ça ne sera pas trop douloureux. Un craquement dans les brosses, suivi dâun gĂ©missement du monstre, se fait entendre.
" Raar, sur quoi je suis tombé encor ?" Rùle la dame de nettoyage.
Mono nâose pas ouvrir les yeux. Est-ce quâil est mort ? Il nâa pourtant rien senti.
La dame retire de sous le lit le monstre. "Mais quâest-ce que ça fait sous le lit ?" ExaspĂ©rer de voir ce qui se trouve entre les dents de la chose. Le monstre continu de gĂ©mir , comme si y il Ă©tait en train dâagoniser. Mono ose regarder ce qui se passe. Il nâen croit pas ses yeux, il est vivant ! Il peut voir la dame essayer de tirer quelque chose de la gueule du monstre : le pull de son pĂšre . Quelle chance !
Le garçon observe estomaquĂ© la dame se dĂ©battre avec le gobblor, qui continue de pousser des gĂ©missements, refusant de lĂącher sa prise. Il est sauvĂ©, mais pour combien de temps ? DĂšs que la dame aura retirĂ© Ă sa crĂ©ature ce vĂȘtement, elle va le relancer dans sa course gloutonne. Il doit fuir, et maintenant. Câest le bon moment, elle est trop occupĂ©e Ă se battre avec son monstre, avec de la chance, elle ne le remarquera mĂȘme pas ! Il par a courir vers la porte
La dame pousse un cri aigu. " Une vermiiine !! " Elle lâa vue ! Elle lĂąche tout, laissant le gobblor continuer Ă se battre avec le pull et se prĂ©cipite pour prendre le balai quâelle avait laissĂ© dans le coin de la chambre. Mono en profite pour passer derriĂšre elle, mais elle le prend de vitesse et Ă©vite de justesse le balai qui sâabat sur lui ! Ce nâest vraiment pas passer loin. Il se prĂ©cipite vers la salle de bain pour sâĂ©chapper de lâappartement, mais malheur , la porte est fermĂ©e. Du coin de lâĆil, Mono voit un autre coup de balai fondre sur lui, quâil parvient Ă nouveau Ă Ă©viter, de si proche quâil a senti de lâonde choque. La dame de nettoyage continue de crier comme une folle. Mais pourquoi elle crie comme ça ? Câest lui qui a peur ! Il est acculĂ© contre la porte de la salle de bain, il ne sait plus aller. Il ne peut que voir quâavec horreur la dame de mĂ©nage se diriger vers lui, le balai prĂȘt Ă frapper.
"Salle petite vermine, je vais tâĂ©craser !" Hurle-t-elle.
Alors quâil croit que son heure est venue, la porte sâouvre derriĂšre lui. Mono tombe Ă la renverse et se retrouve sur le sol de la sale de bain. Dans le chaos, il aperçoit sa mĂšre qui semble interloquĂ©e par la situation. Les cris ont dĂ» attirer son attention. Mono ne cherche pas Ă comprendre dâavantage et cour vers la ventilation, passant entre les jambes de sa mĂšre qui ne sait plus ou donnĂ© de la tĂȘte. La dame de mĂ©nage continue ses vocifĂ©rations alors quâil disparaĂźt. Il est tellement en panique quâil continue sa course dans la ventilation sans sâarrĂȘter.
Ăa y est. Il doit partir maintenant. Il a Ă©tĂ© repĂ©rĂ© par cet adulte et son monstre. Il ne pourra plus revenir. Tout ça parce quâil a oubliĂ© de vĂ©rifier son systĂšme avant. Ce nâest pas juste ! Câest la seule fois oĂč il lâa oubliĂ©. Personne dâautre que son pĂšre ou sa mĂšre la dĂ©clencher au paravent. Pourquoi câest la premiĂšre fois oĂč il est nĂ©gligent que ça lui coĂ»te cher ? Il continue sa course sans regarder devant lui, la vue embrouillĂ©e par les larmes.
Câest alors quâil percute quelque chose et trĂ©buche par-dessus, heurtant la tĂŽle dans un bruit sonore. "ouche ! Attention !" Pousse une voix surprise.
Quâest-ce quâil a heurtĂ© ? Mono est encor sonnĂ© par sa chute, quâil sent que quelque chose le touche. Il tressaille en poussant un petit couinement de surprise, avant de se recroqueviller sur lui. "Hey, ça va, ça va." Dis une voie inquiĂšte, "Sâcuse, je voulais pas te faire peur."
Câest la voix dâun enfant, celle dâun garçon. Mono, Ă court dâhaleine se dĂ©roule, pour voir un autre garçon, vĂȘtu dâun pull rouge et pantalon gris, un peu plus grand que lui. Il le reconnaĂźt, câest Tomah. Ils se sont rencontrĂ©s au parc il y a plusieurs semaines. Le courant est rapidement passĂ© entre eux et depuis, ils se voient de temps Ă autre.
Les deux garçons semblent autant surpris lâun que lâautre par leur rencontre un ne peut plus abrupte. Tomah replace son chapeau qui Ă©tait tombĂ©, il peut voir que Mono vient de vivre quelque chose de terrible. " hey Mono, ça vas ? Quâes-ce qui tâarrive ? " demande-t-il toujours inquiet. Mono , encore bouleversĂ©, peine Ă reprendre son souffle. Le garçon au pull rouge lui frotte le dos, essayant de son mieux pour le calmer. " Respire. Essaye de respirer lentement et Ă fond." instruit-il avec calme. Mono essaye, mais il a du mal, il sanglote et tousse. Tomah continue de lâencourager et Ă le rĂ©conforter comme il peut.
AprĂšs un bon moment, Mono parvient enfin Ă contrĂŽler sa respiration et commence a se calmer. Il sâassoit et pousse un long soupire. Tomah lui laisse encore un moment avant de lui demander ce qui lui est arrivĂ©. Mono explique Ă son ami son malheur, mais tout sort dĂ©sordonnĂ© et dĂ©cousu. Tomah semble plus ou moins comprendre de quoi Mono parle et lui sourie " Hey, tu veux venir avec moi ? Mes adultes sont pas lĂ ." Mono accepte cette invitation sans hĂ©siter. Il a besoin de rĂ©confort avant de partir de chez lui pour toujours.
âŠ
Les deux garçons ne tardent pas Ă atteindre lâappartement dĂ©sirĂ©. Tomah conduit Mono dans sa chambre.
"Jâai quelquâun Ă te montrer" dit-il enjouĂ© " Olivie ? Je suis lĂ ."
De sous le lit, une petite fille au teint pĂąle, plus petite que Mono, Ă©merge. Elle est habillĂ©e dâune robe verte Ă maille et a de longs cheveux clair. Elle salue timidement Mono qui lui salue tout aussi timidement.
Tomah explique ensuite comment il a rencontrĂ© Olivie il y a un peu plus dâune semaine. Il lâa trouvĂ©e durant lâune de ses recherches de nourriture dans un autre quartier. Elle avait Ă©tĂ© chassĂ©e, elle et sa sïżœïżœur de chez elles comme tant dâautres. Mais, malheureusement, sa grande sĆur a Ă©tĂ© attrapĂ©e et dĂ©vorĂ©e par un adulte monstre. Toute seule, Olivie nâaurait jamais survĂ©cu plus dâune semaine. Tomah lĂ donc invitĂ© Ă venir habiter chez lui ; ses parents Ă©tant souvent Ă lâextĂ©rieur, il allait ĂȘtre facile de la garder cachĂ©e dâeux. Elle a pu se remettre de la mort de sa sĆur en sĂ©curitĂ©, bien quâelle en fait encore rĂ©guliĂšrement des cauchemars. Mais malgrĂ© ses airs fragiles, elle a su montrer dĂ©brouillardise et sâest adaptĂ©e facilement Ă son nouvel environnement.
Les prĂ©sentations faites, Tomah demande Ă Mono se qui câest passer tout Ă lâheure. Mono, se sentant maintenant en sĂ©curitĂ©, parvient Ă expliquer sa mĂ©saventure avec la dame du nettoyage ; ses dessins jetĂ©s, son chapeau englouti par le gobblor et qui Ă ensuite foncĂ© sur lui sous le lit. Puis, son Ă©chappĂ© miraculeuse de la dame qui a essayĂ© de lâĂ©craser Ă coup de balai.
" Et bien, tu a eu beaucoup de chance !" SâĂ©tonne Tomah. Mono ne peut quâacquiescer vigoureusement.
Olivie le regarde avec curiositĂ© "Câest quoi un gobblor Mono ? " demande-t-elle dâune petite voix. Mono sâempresse de dĂ©crire la crĂ©ature. " Câest un gros monstre bruyant avec une grosse tĂȘte plate avec un gros'Ćil brillant et un ventre Ă©norme ! Il dĂ©vorait tout.".
Tomah semble réfléchir un moment, puis " es-ce qu'il avait des dents en brosse ?" Demande-t-il.
" Oui ! Et il en avait mĂȘme sur le cĂŽtĂ©" confirme Mono. Il peut voir que Tomah se et Olivie sourire. Quâes-ce quâil y a ? Pourquoi ils sourient comme ça ?
"Câest pas un monstre, câest une machine" Dit Tomah en rigolant. Mono lui donne un regard interrogateur. " Les adultes utilisent des trucs comme ça pour nettoyer le sol." Continue-t-il . Mono comprend mieux maintenant, câest pour ça que la dame le baladait partout. Cette chose nâĂ©tait pas vivante. Il pensait que câĂ©tait une sorte de monstre domestique pour la dame.
" Mais maintenant, je vais devoir partir⊠La dame de nettoyage sait oĂč est ma cachetteâŠ" Sâapitoie Mono.
"Non non non,tâauras pas besoin, tu peux rester chez toi." Sâempresse Tomah.
Mono, Ă©bahi par ce que son ami vient de dire ne comprend pas. "hein ? Mais elle sait que je suis lĂ , elle sait oĂč ou je me cache !"
" Elle ne sait pas vraiment que tâes lĂ . " Tomah explique comment il a dĂ©jĂ entendu des histoires semblables au par avant. Dans la majoritĂ© des cas, les adultes qui viennent nettoyer ne cherchent pas particuliĂšrement les enfants quâils ont dĂ©gagĂ©s de chez eux et il y a trĂšs peu de risque Ă rester. Une foi quâils croient quâils les ont chassĂ©s, ils ne vont pas vĂ©rifier si la âvermineâ est revenue.
"je peux rester ?" Mono demande toujours incrédule. Tomah et Olivie acquiescent tous deux. Mono se laisse tomber à la renverse sur le tapis, soulagé.
AprĂšs un moment un petit gargouillement brise le silence.
"Tâas faim ?" Demande rhĂ©toriquement Tomah. Mono hoche la tĂȘte. "Viens, on va aller Ă la cuisine" conclut-il.
Tous les trois se rendent Ă la cuisine. " Il y a des bonnes choses dans les portes en haut, Ă trois on devrait les atteindre"
Une fois sur le comptoir, ils se coordonnent et se font la courte Ă©chelle pour atteindre le prĂ©cieux placard. Tomah Ă©tant le plus grand, il se met au bas de lâĂ©chelle, portant Mono sur ses Ă©paules. Puis , câest autour dâOlivie de grimper. Elle est tellement lĂ©gĂšre et agile quâelle atteint les Ă©paules de Mono sans problĂšme. Elle nâa plus quâĂ ouvrir et grimper dans le placard et avec lâaide dâune petite pousser de la part de Mono, elle y parvient aisĂ©ment.
Olivie regarde parmi les boites de conserve et les boites de biscuits. Elle jette son dĂ©volu sur une boite dĂ©jĂ ouvert et bien entamĂ© de biscuit Ă la couleur dorĂ© et en prend trois. Elles les passent aux deux garçons avant de redescendre, avec lĂ mĂȘme lĂ©gĂšretĂ©.
"Faut pas trop prendre, sinon les adultes le voient et ils mettent du poison." Explique Olivie.
"Bien pensé." Félicite Tomah en lui ébouriffant ses cheveux chùtain.
"Tien, câest pour toi." Dis Olivie en offrant un des biscuits Ă Mono. Le garçon , ravi de ce cadeau, remercie le duo et goĂ»te le biscuit.
âŠ
Câest tellement bon ! Câest un biscuit au beurre ! Sa mĂšre en prend parfois avec son thĂ©. Il a dĂ©jĂ eu lâoccasion dâen manger les miettes mouillĂ©es au fond dâune tasse, mais câest la premiĂšre fois quâil en mange un frais, et entier. Dommage quâils ne puissent pas en prendre davantage, mais Olivie a raison. Si ils en prennent trop, ça pourrait mal finir.
Le trio retourne dans la chambre pour grignoter au calme leur biscuit. Ils continuent de raconter leur diverse aventure, et jouer, bien que toujours en silence. Un rare moment oĂč les horreurs du monde sont oubliĂ©es le temps dâun instant.
***
En rentrant , Mono peut constater que la dame du nettoyage est bel et bien partie. Lâappartement est calme, il peut entendre sa mĂšre Ă©couter la tĂ©lĂ©vision comme Ă son habitude. Le garçon se rend dans sa chambre pour sâassurer de quelque chose.
Le gobblor nâest plus lĂ : deuxiĂšme bonne nouvelle. Il sait que ce nâest pas un vrai monstre, mais il va continuer Ă lâappeler comme ça, ça rĂ©sume trĂšs bien lâengin.
Il fait maintenant le tour de sa chambre, afin dâinspecter lâampleur des dĂ©gĂąts. Ă son plus grand soulagement, il dĂ©couvre que tout nâa pas Ă©tĂ© jetĂ©. Il ne reste que quelques blocs en bois et sa balle, et ses dessins aux murs qui sont restĂ©s intouchĂ©s. Bien, au moins ça c'est sauvĂ©. Mais, a sa plus grande surprise, cacher sous la table, il met la main sur un ultime rescapĂ© : un crayon. Un seul crayon semble avoir Ă©chappĂ© au gobblor. Câest un crayon noir, mais un crayon non le moindre.
Il va voir maintenant sa cachette sous le lit. C'est le plus important. Câest lĂ quâil trouve, ou plutĂŽt, ne trouve pas quelque chose : son ours ! Son ours a disparu ! Cette folle ne la quand mĂȘme pas jeter lui aussi ?! Mono se met Ă la recherche de son prĂ©cieux compagnon dans les coins de la chambre. Il finit par grimper sur la commode pour avoir une plus grande vue dâensemble.
Il est lĂ ! Mono lâaperçoit sur le lit. Il sâempresse dâaller le rejoindre. Jamais il nâa Ă©tĂ© si heureux de le retrouver.
Ouf⊠le plus important n'a pas été perdu.
Maintenant, il va devoir refaire son nid. Mono va replacer son fidÚle ours sous le lit dans le coin le plus éloigné . Il va lui falloir aussi un autre pull. Il y en a dans les tiroirs de ses parents.
En peu de temps, il a tout remis dans lâordre. En plus, le dessous du lit nâest plus aussi poussiĂ©reux quâavant. Ăa va ĂȘtre agrĂ©able comme cachette maintenant. Fini le nez qui pique.
  Une fois son nid remis en place, Mono va explorer lâappartement , pour voir ce qui a changĂ©. Lâappartement est propre, tous les vĂȘtement et dĂ©bris qui traĂźnaient au sol ont disparu. Ăa fait tout drĂŽle de voir la maison ainsi. Il a tellement lâhabitude de voir des montagnes de dĂ©chet et des tapies de poussiĂšre partout oĂč il va, que ça en est normal pour lui.
Il passe discrÚtement dans le salon, évitant de déranger sa mÚre dans son occupation favorite.
Quâest-ce qui est arrivĂ© dans la cuisine ? Mono se dirige vers ce qui lâintĂ©resse le plus, le comptoir. Il escalade et dĂ©couvre, Ă son plus grand dĂ©sarroi, que tout, absolument tout a disparu ! Plus aucune assiette ne traĂźne, plus la moindre miette de nourriture, mĂȘme sur la table. Tout est partir ! Déçu, Mono ne peut quâaccepter le rĂ©sultat, il ne reste plus rien.
  Tant pisâŠ
Puisquâil ne lui reste plus dâintĂ©ressant pour lui, il peut aussi bien aller se reposer. Mais, cette fois, il ne va pas oublier son systĂšme. Plus jamais il ne va lâoublier aprĂšs sâĂȘtre fait avoir comme ça ! Il devrait lui reste assez de matĂ©riel pour en refaire un. Une balle et quelques blocs, câest tout ce dont quâil a besoin, et par chance il y a se quâil faut. AprĂšs quelque aller-retour, son systĂšme dâalarme est de nouveau en place.
VoilĂ , fini les mauvaises surprises. Lâesprit tranquille, le garçon est sur le point de retourner dans sa chambre quand quelque chose sous le sofa attire son attention : du papier. Ils devaient ĂȘtre trop bien cachĂ©s , il va pouvoir dessiner ! Sa mĂšre est bien centrĂ©e sur son Ă©mission. DiscrĂštement, Mono sâapproche de derriĂšre le sofa et prend les quelques feuilles. Ăa tombe bien, il a de bonne idĂ©e en dessin..
Une fois installĂ© dans sa chambre, il se met au travail. Il dessine les grands Ă©vĂ©nements et rencontre dâaujourdâhui : la dame de mĂ©nage avec son balai et sa mauvaise humeur. Il espĂšre bien ne plus la revoir. Maintenant, le gobblor, il doit lui donner un air fĂ©roce, avec toutes ses dents et son rugissement. Parfait! Pour finir sur une touche joyeuse, Mono se dessine avec Tomah et Olivie, tous trois se tenant la main. Il espĂšre qu'ils pourront se voir plus souvent, ça fait du bien d'avoir de bons amis.
Mono bĂąille, il commence Ă sentir la fatigue venir. Il devrait aller se reposer avant d'ĂȘtre trop fatiguĂ©. Il ne voudrait dormir pas trop profondĂ©ment comme la nuit derniĂšre. Il va s'installer dans son nouveau nid propre, lĂ oĂč lâattend son ours.
Finalement, toute cette aventure avec la dame du nettoyage nâaura pas eu que du mauvais (mais il ne lâaime pas pour autant, il ne faut pas exagĂ©rer). Pour la premiĂšre fois dans la sa vie, Mono va pouvoirs se reposer dans un petit nid propre dans les dessous dâun lit dĂ©barrasser de la poussiĂšre.
...
 AprÚs que Mono est échappé à la dame de ménage
Dans le salon, deux mesdames discutent en prenant une tasse de thé. La dame au chignon est dans tous ses états. La pauvre peine à se remettre de ses émotions, racontant son malheur.
Les choses que lâon peut dĂ©couvrir quand on fait le mĂ©nage chez les autres.
" Puis il est sorti de sous le lit et courait partout dans la chambreâŠ"
Lâautre dame posa la main sur lâĂ©paule de la dame au chignon, la confortant et dans une voie Ă peine comprĂ©hensible. "Allons, câest terminer maintenantâŠ" Dit elle dâun ton doux. La dame au chignon acquiesça, prenant une gorgĂ©e de thĂ© en tremblant nerveusement.
Depuis, les deux mesdames sont devenues bonnes amies, sâinvitant Ă tour de rĂŽle lâune chez lâautre Ă venir prendre le thĂ© et jaser⊠ce qui ne manqua pas de dĂ©plaire Ă un certain garçonâŠ
- - <O> - -
{ Index chapitre }
__________________
#little nightmares fanfic#little nightmares mono#little nightmares oc#fanfic#rien ne dure pour toujour#se perdre pour se retrouver
2 notes
·
View notes
Text
Je me souviens d'une Ă©poque oĂč je ne me sentais plus Ă l'aise au travail lĂ oĂč j'Ă©tais. Je sentais que l'environnement et les gens autour de moi n'apportaient rien de positif Ă ma vie.
J'avais une offre d'emploi mais j'ai dû attendre que tout soit finalisé avant de pouvoir commencer. Elle désespérait déjà de se lancer dans ce nouvel emploi et n'appréciait aucune des activités qu'elle pratiquait.
Le dimanche, quand nous sommes allés à l'église, le pasteur a parlé d'attendre le moment de Dieu et la chose merveilleuse était que nous soyons confiants et patients. L'un des exemples donnés par le berger était celui de deux ours en peluche, l'un plus gros que l'autre.
Il a expliquĂ© que souvent, lorsque nous demandions dĂ©sespĂ©rĂ©ment quelque chose au Seigneur, cela pouvait ĂȘtre de la taille d'un petit ours alors que le Seigneur voulait nous donner une bĂ©nĂ©diction de la taille d'un grand ours.
Si nous désespérons, il se peut que le Seigneur cÚde et nous donne la petite bénédiction pour calmer notre angoisse ou notre désespoir, mais si nous attendions son heure, la bénédiction qu'il nous donnerait nous surprendrait grandement.
J'ai été trÚs surpris car je savais que c'était notre Seigneur qui me parlait à travers le pasteur.
Quand je suis sorti de là , j'ai pensé à toutes ces choses et j'ai décidé que je lui ferais confiance et que j'apprécierais ce que j'avais aujourd'hui, parce que je travaillais toujours et c'était déjà une bénédiction.
Trois semaines aprÚs cette décision, de l'attendre et de profiter de tout ce qu'il faisait, ils m'ont appelé de l'autre travail, dont ils avaient besoin pour commencer immédiatement. J'ai accepté et j'ai été grandement béni à bien des égards.
Aujourd'hui, j'ai toujours cela en tĂȘte et avant de dĂ©sespĂ©rer, je me souviens que sa volontĂ© et son temps sont vraiment parfaits pour moi.
Source WEEB - auteur inconnu
1 note
·
View note
Text
Nounours
Rien de plus confortable qu'un gros ours en peluche pour faire dodo. đ
1 note
·
View note
Text
Rei Mekaru x Female!Reader
Je m'approche de la porte d'entrĂ©e, prĂȘte Ă sortir, lorsqu'une voix derriĂšre moi m'interpelle.
Hey, tu pars déjà ?
Il ne me faut que quelques secondes pour reconnaĂźtre la voix de l'ultime professeure. Sans mĂȘme me retourner vers elle, je lance :
Oui. De toute façon, c'est inutile de rester ici à faire ami-ami.
Sans attendre de réplique de la part de Rei, je pose ma main sur la poignée de la porte. La seule chose que j'entends avant de sortir est la voix de Teruya murmurant :
Elle a l'air pire que Mekaru...
Puis, je sors définitivement et me rend au gymnase. Une fois arrivée, je me mets dos au mur dans un coin.
Hmpf, ça ne me sert à rien de rester avec eux. Ils sont tous inutiles.
Juste aprÚs cette pensées, un moniteur non loin de moi s'allume et une silhouette apparaßt sur l'écran, ordonnant à tout le monde de se rendre au gymnase. Puis, l'écran s'éteint et, cinq minutes aprÚs, les autres ultimes débarquent dans le gymnase. DÚs qu'ils me voient, ils semblent surpris, à part Mikako. Rei s'avance vers moi.
Hey, comment tu savais que ça allait arriver ?!
Ăa ne te regarde pas. Mais si tu veux vraiment savoir, pourquoi ne chercherais-tu pas la rĂ©ponse par toi-mĂȘme, miss ultime professeure~ ?
Tsurugi, qui commençait Ă ĂȘtre agacĂ© par mon comportement, s'approche Ă son tour.
Je n'aime pas ta façon de te comporter, tu sais !
Ăa tombe bien, moi non plus je t'aime pas.
L'officier de police reste bouche-bée devant ma froideur tandis qu'un ours noir et blanc fait son apparition. Cette fois, c'est de l'incompréhension qui apparaßt sur le visage de mes camarades, excepté pour Mikako.
Hm... Ils semblent tous surpris, à part Kurokawa... Je la soupçonne d'avoir toujours ses souvenirs...
AprÚs son apparition, l'ours se présente comme étant Monokuma et nous informe que nous sommes dans une tuerie et que nous allons devoir nous entretuer. AprÚs ça, il disparaßt, laissant la panique gagner tout le monde. Je soupire.
Non mais sĂ©rieusement, vous n'ĂȘtes qu'une bande de gosses. Vous croyez sincĂšrement aux mots de ce jouet en peluche ? Vous devriez avoir honte.
T'apprend qu'on doit s'entretuer et c'est comme ça que tu réagis ?! T'es vraiment encore plus chelou que la binoclarde rousse !
PremiĂšrement, ne me compare pas Ă l'ultime professeure. DeuxiĂšmement, quand on est aussi inutile qu'une tondeuse en panne, on ferme sa gueule, Kizuna Tomori.
La jeune pom-pom girl se tait, abasourdie, tandis que les autres sont choquĂ©s de mes propos. Ă part Rei, qui affiche un sourire en coin, et Mikako, qui semble se dire que Kizuna l'a mĂ©ritĂ©. Sur ces mots, je m'apprĂȘte Ă sortir mais me ravise au dernier moment.
Vous voulez vraiment savoir pourquoi ça ne m'affecte pas ?
Les autres restent silencieux. Je m'approche de Yuki et fouille ses poches. J'y trouve un petit boĂźtier avec un gros bouton rouge au milieu.
Voyons voir, qu'avons-nous là ~ ? Tu ne m'en voudra pas si je t'emprunte ça, hm, "Maeda"~ ?
Sans qu'il puisse répondre ou bouger, je m'éloigne et appuie sur le bouton. AussitÎt, un blackout survient, Mikako perd connaissance et "Yuki" n'est plus avec nous.
Qu'est-ce que- ?!
Qu'est-ce qu'il s'est passĂ© ?! OĂč est passĂ© Maeda ?!
Au lieu de vous inquiéter de ce traitre, vous feriez mieux de vous occuper de miss exorciste, bande d'idiots.
Sur ces mots, je sors de la piĂšce, suivie par Rei. Sans un mot, je me rend dans l'entrepĂŽt. Soudain, je suis surprise par une secousse et manque de tomber.
Merde, le bùtiment commence déjà à s'effondrer !
Je me retourne. Rei semble aller toujours bien, mais en levant la tĂȘte, je vois qu'elle n'ira pas bien longtemps si elle reste plantĂ©e lĂ comme un arbre.
Mekaru, bouge !
Hein ?
Voyant qu'elle ne bougerait pas, je me prĂ©cipite vers elle et l'entraĂźne en arriĂšre, tombant sur elle au moment oĂč un morceau du plafond se dĂ©tache et tombe non loin de nous.
... Ăa va ?
La professeure me regarde, mi-surprise mi-inquiĂšte.
Tu m'a...
Elle ne termine pas sa phrase. Au lieu de ça, elle murmure :
Pourquoi...?
Quoi ? Tu aurais prĂ©fĂ©rĂ© que je te laisse mourir bĂȘtement ? DĂ©solĂ© mais c'est pas dans mes plans.
Je me relĂšve et lui prend le bras avant de la relever.
Bon, puisque maintenant tu es coincée avec moi, autant que tu me sois utile. Suis-moi.
Elle hoche la tĂȘte et je la conduis Ă l'entrepĂŽt. Une fois arrivĂ©e, je m'approche d'une Ă©tagĂšre.
Aide-moi à la déplacer.
Elle s'approche à son tour et, à nous deux, nous déplaçons la lourde étagÚre en veillant à ne rien faire tomber. Puis, je m'approche du trou qu'il y avait dans le mur derriÚre l'étagÚre.
Bingo.
Qu'est-ce que- ?!
Je m'avance dans le passage secret et fais signe à Rei de me suivre. Nous descendons toutes les deux l'escalier jusqu'à arriver dans une sorte de prison. DerriÚre les barreaux, nous voyons un jeune garçon aux cheveux bleu foncé avec une casquette sur laquelle se trouve le symbole de la Fondation Kisaragi.
Le voilĂ . Yamato Kisaragi, l'ultime inventeur.
Comment... tu sais tout ça ?!
à toi de le découvrir, trÚs chÚre~
Sur ces mots, je donne un grand coup dans le cadenas fermant la porte, le brisant. Puis, j'ouvre la porte et m'approche de l'inventeur avant de le libérer de ses chaßnes. Une fois qu'il est libre, je lui colle une pichenette pour le faire reprendre ses esprits. Lorsqu'il nous voit, sa réaction est immédiate.
(T/N) ? Mekaru ?
Hein ? Il nous connait ?
Bien sûr, il est dans notre classe. C'est bien ce que je pensais, lui et Kurokawa n'ont pas eu la mémoire effacée.
Mémoire effacée...?
Tout sera expliqué plus tard. Pour l'heure, on doit déguerpir avant de finir sous l'eau.
(T/N) a raison, Mekaru. Les explications attendront.
... D'accord...
Sur ces mots, nous remontons tous les trois puis courons vers la sortie. AprÚs une bonne vingtaine de minutes, nous parvenons enfin à sortir à l'air libre. Les autres sont déjà là , devant un hélicoptÚre qui n'attend que nous.
Nous voilĂ !
Ah, Mekaru et (T/N) sont lĂ ! Avec, euh...
Les autres regardent Yamato, Ă part Mikako qui lui saute dans les bras.
Yamato-ni !
Haha, doucement, Mikako !
Aaaww~ C'est si adorable.
Huh ? Qui est-ce ? Tu le connais, (T/N) ?
On connaßt tous Yamato Kisaragi. Mais avec l'effacement de votre mémoire, vous ne vous en rappelez pas.
De quoi tu parle ?
Montons dans l'hélicoptÚre, je vous expliquerais tout.
D'accord !
Sur ces mots, nous montons donc tous dans l'hélico. Puis, Yamato le démarre et le met sur pilote automatique avant de s'assoir parmi nous. Il commence alors à nous raconter toute la vérité, aidé par Mikako et moi. à la fin de son récit, certaines questions subsistent, mais personne n'ose dire quoi que ce soit jusqu'à ce que Rei pose la question que tout le monde se pose.
Mais du coup, comment ça se fait que (T/N) n'ait pas eu la mémoire effacée alors que tu n'a pas utilisé ta machine sur elle ?
Je l'ignore. Pourquoi ne pas demander Ă l'intĂ©ressĂ©e elle-mĂȘme ?
Le regard de la professeure se pose donc sur moi. Je lui fais un sourire en coin.
Tu vois, tu a fini par deviner toute seule~ Enfin, pour rĂ©pondre Ă ta question... J'imagine que Taira et Utsuro ont fait un trĂšs mauvais job pendant qu'ils utilisĂ© leur machine sur nous. En tout cas, quand je me suis rĂ©veillĂ©e, je me suis immĂ©diatement demandĂ© oĂč vous Ă©tiez, et quand je vous ai rejoint, j'ai cherchĂ© Kisaragi du regard. Il me semble d'ailleurs que Kurokawa l'avait remarquĂ©.
Et comment tu savais pour le passage secret ?
Je ne le savais pas. En vous cherchant aprÚs mon réveil, je suis entrée dans l'entrepÎt par hasard et j'ai eu une sorte de pressentiment. Quand j'ai vu que Yamato était absent, j'ai légÚrement compris quel était ce pressentiment, puis quand le blackout a eu lieu, j'ai voulu confirmer mes pensées. Et on dirait que j'ai bien fait.
Et tu avais vraiment besoin de l'aide de Mekaru ?
Hm... Au départ, je pensais que je n'aurais pas besoin d'aide, donc je suis partie seule, mais j'ai senti que Mekaru me suivait. AprÚs, elle a failli finir sous un rocher et je l'ai sauvée, et comme nous n'avions aucun moyen de retourner vers vous, j'ai décidé de l'embarquer avec moi. Quand j'ai regardé l'étagÚre, j'ai trÚs vite compris que je n'arriverais pas à la bouger seule.
Je vois...
Eh bien, qui aurait cru qu'une fille avec autant de caractĂšre pourrait ĂȘtre une hĂ©roĂŻne ?
Du caractĂšre ? Kobashikawa, tu dois te tromper.
Nan nan, Kobashikawa a raison. (T/N) était totalement désagréable avec nous ! Si t'avais entendu c'qu'elle a balancé dans la tronche de Tomori !
Je dis ça, je dis rien, mais elle le méritait.
SĂ©rieux ?
Mekaru aussi était désagréable.
Ăa a sĂ»rement un rapport avec l'effacement de notre mĂ©moire, non ?
Hm... Il semblerait que le fait d'effacer votre mémoire a également changé votre comportement... En revanche, pourquoi (T/N) agissait comme ça alors qu'elle n'a pas eu la mémoire effacée ?
... C'était juste de la comédie. à part pour ce que j'ai dit à Tomori et quand je vous ai ordonné de vous occuper de Kurokawa, tout n'était rien d'autre qu'un rÎle que je jouais. J'ai fais ça pour éviter de trop en révéler avant le blackout, et pour ne pas paraßtre suspecte.
Je soupire.
C'Ă©tait peut-ĂȘtre une mauvaise idĂ©e... Au final, vous avez fini par ĂȘtre plus suspicieux Ă cause de mon comportement...
Non, on est désolé. On aurait pas dû agir ainsi envers toi. Au final, c'est un peu toi qui nous a tous sauvés, alors merci.
K-Kinjo...
Ouais, Kinjo a raison ! Ă partir de maintenant, tu sera la tĂȘte pensante du groupe !
... Merci.
Je dĂ©tourne le regard, un peu gĂȘnĂ©e.
Sinon... Que va-t-on faire, maintenant ?
La question de Kinji laisse passer un trĂšs long silence avant que Yamato ne finisse par parler.
Aucune idĂ©e. Avec vos familles dans le dĂ©sespoir, ça va ĂȘtre compliquĂ©...
Eh bien, pourquoi on ne créerait pas une Fondation qui aurait pour but de les retrouver et les capturer ?
En voilà une bonne idée, (T/N) !
Je confirme ! Faisons ça !
Tout le monde ayant retrouvé la bonne humeur, le trajet se termine sans encombres.
Quelques jours plus tard
Je sors de la Fondation en compagnie de Rei. La jeune fille et moi nous sommes beaucoup rapproché depuis notre retour en ville. Aujourd'hui, nous avons décidé d'aller voir les ruines de l'ancienne Hope's Peak.
Ils n'y sont pas allé de main morte...
Elle s'approche des ruines et pose sa main sur un des murs dĂ©truit. Je la regarde en silence en la dĂ©taillant de la tĂȘte aux pieds. Seulement quelques jours Ă©taient passĂ©s depuis qu'on Ă©tait revenus, mais l'ancienne professeure avait dĂ©jĂ commencĂ© Ă changer physiquement. Elle avait coupĂ© ses longs cheveux roux et avait changĂ© de lunettes, et elle avait Ă©galement gagnĂ© quelques centimĂštres. Elle avait aussi adoptĂ© un style vestimentaire plus formel, lĂ oĂč d'autres ne s'Ă©taient mĂȘme pas donnĂ© cette peine. Aussi, le badge de la Fondation Kisaragi Ă©tait visible sur le cĂŽtĂ© gauche du haut de son corps. De mon cĂŽtĂ©, je n'avais pas vraiment grandi, mais mes cheveux (C/C) avaient lĂ©gĂšrement poussĂ© et j'avais Ă©galement adoptĂ© une tenue un peu plus professionnelle. Quant Ă mon badge, je le portais autour du cou grĂące Ă une chaĂźne en argent.
Je sors de ma rĂȘverie aprĂšs que Rei se soit tournĂ©e vers moi.
Tout va bien, (T/P) ?
Hein ? Ah, euh, oui, t'en fais pas !
Tu es sûre ? Tu me fixe depuis tout à l'heure.
Je sens mes joues virer au rouge. J'hésite un moment avant de dire timidement :
H-Hum... R-Rei ? J-J'ai... q-quelque chose Ă te dire...
Je t'Ă©coute.
Elle me regarde fixement, légÚrement surprise. Il faut dire qu'habituellement elle est la derniÚre personne à qui je parle si j'ai des problÚmes.
H-Hum...
Qu'y a-t-il ? Tu a besoin de quelque chose ?
J'hésite encore un peu, avant de dire dans un souffle :
Je t'aime.
Un long silence se fait. Puis, l'ancienne professeure s'approche de moi. Je la sens prendre mon menton entre deux de ses doigts, puis elle pose ses lÚvres sur les miennes. En la regardant, je vois qu'elle est légÚrement rouge. Je ferme les yeux et répond au baiser. Elle s'éloigne quelques minutes aprÚs, un léger sourire sur les lÚvres.
Moi aussi.
Je souris à mon tour, heureuse que mes sentiments soient réciproques. Nous étions dans notre petit monde, si bien que ni elle ni moi n'avions remarqué que nous étions toujours devant les ruines de l'ancienne académie.
Comme quoi, mĂȘme les endroits les moins romantiques peuvent le devenir, il suffit juste d'un peu d'imagination.
0 notes
Text
La fĂȘte foraine - AndrĂ© Nolat
 Il y avait, en ce temps-lĂ , dans les villes et les villages des cirques itinĂ©rants et des fĂȘtes foraines. Le cirque est un spectacle qui â avec ses clowns, ses acrobates, ses chevaux de parade, ses dompteurs et, parfois, selon la taille du cirque, des animaux exotiques quâon plaint plus quâon ne les admire â maintient lâĂ©quilibre entre la rĂ©alitĂ© et lâillusion. En revanche, la fĂȘte foraine câest la vie offerte sous sa forme la plus joyeuse, la plus animĂ©e, le plus parfumĂ©e : odeur de nougat, de praline, de caramel, de sucre dâorge, de barbe Ă papa... Parfums acidulĂ©s des jeunes filles qui vont et viennent Ă la recherche dâun amoureux et sâen donnent Ă cĆur joie. La fĂȘte bat son plein musique et manĂšge (...) Du matin au soir, c'est un long cortĂšge. Chansons, balançoires, la fĂȘte continue Il avait, avant les extravagants manĂšges Ă sensation des fĂȘtes modernes, sur les terre-pleins, sur les places, des attractions plus paisibles : des manĂšges de chevaux de bois poudrĂ©s de guirlandes et dâampoules de couleur oĂč les enfants criaient de joie en essayant dâattraper la queue de Mickey promesse dâun tour gratuit, des auto-tamponneuses multicolores, des vertes chenilles foraines tourbillonnantes oĂč se nichaient des couples attendris, des balançoires, des toboggans, des tirs, des loteries avec leurs gains mirifiques, poupĂ©es sĂ©millantes, gros ours en peluche tendant leurs bras dodus, des labyrinthes de miroirs, des trains fantĂŽmes, des voyantes rusĂ©es, puis, en fin dâaprĂšs-midi et le soir, des parquets-salons oĂč se pressaient les danseurs Ă©moustillĂ©s... Danse, danse, viens plus prĂšs de moi Sans dĂ©fense, je subis ta loi... Il y avait, rĂ©gion aprĂšs rĂ©gion, la grande corporation des forains. Jâai travaillĂ© avec eux dans ma jeunesse estudiantine, entre autres sur les marchĂ©s avec Jean S*** surnommĂ© Jean les Belles Dents qui avait fait provision de surplus amĂ©ricains Ă Moulins et Ă ChĂąteauroux (jeans, tee-shirts, ceintures, etc.) avec les lesquels il faisait fortune. Il mâembauchait comme commis deux jours par semaine (mardi et samedi) de 6 heures du matin jusquâen dĂ©but dâaprĂšs-midi.: on bossait dur, mais câĂ©tait payant et  on se marrait. CâĂ©tait un chic type. Jâai travaillĂ© aussi, deux Ă©tĂ©s, avec M. P***, un industriel forain, un malin qui arborait le surnom de âBoĂźte-Ă -Vices", câest tout dire. Pas une grosse paye, mais des pourboires et des soirĂ©es magiques car la famille mâavait pris en amitiĂ©. Il y avait aussi des journĂ©es oĂč jâachevais de mâaffranchir en faisant le « piquot » (de piquer : Ă©pingler) avec une rude Ă©quipe de camelots dans diverses manifestations sportives ou festives tels les conseils de rĂ©vision, etc. Cette activitĂ© lucrative, mais parfois dommageable, a disparu, je crois, depuis longtemps dĂ©jĂ . Souvenirs, souvenirs (...) chantait alors Johnny Hallyday sur les tourne-disques des manĂšges, suivi par Les Platters modulant  Only You» ou  par  Gloria Lasso qui avait repris  Diana», un succĂšs de Paul Anka... Read the full article
0 notes
Text
7 BONNES RAISONS DâAIMER COURTNEY DAUWALTER
âą 1. ELLE EST IMBATTABLE. La derniĂšre fois quâelle nâa pas Ă©tĂ© premiĂšre sur un ultra trail (hors abandon), câĂ©tait en fĂ©vrier 2018 (deuxiĂšme). Depuis, tu peux miser ton PEL Ă chaque fois que Courtney Dauwalter sâaligne sur un ultra. PrĂ©cisons quâelle nâa pas dâentraĂźneur et cavale aux sensations.
âą 2. ELLE SE BROSSE LES DENTS AUX RAVITOS. Sur la derniĂšre course de quartier de Chamonix, elle sâest tellement brossĂ©e les quenottes que des dentistes ont fait des malaises sur la ligne dâarrivĂ©e.
âą 3. ELLE GĂRE PARFAITEMENT SON AFFAIRE. Sur cette course de quartier, elle est 64Ăšme au scratch aprĂšs 20 bornes. 23Ăšme Ă mi-course, 10Ăšme Ă La Fouly, 7Ăšme Ă Chamonix. Ben oui, câest long 170 bornes.
âą 4. ELLE A UN DĂLIRE AVEC LES TRUCS CHELOUS. Barkley, Bigâs Backyard, 24 heures, course de 240 miles⊠Courtney nâaime pas seulement sortir ses grands shorts sur des ultras, elle a aussi un goĂ»t pour des dĂ©lires dâorganisateurs. Vous lâaurez lu ici : Courtney sera la premiĂšre femme Ă terminer la Barkley.
âą 5. ELLE MANGE NâIMPORTE QUOI AUX RAVITOS. Sur la Bigâs Backyard quâelle a remportĂ© aprĂšs 68 heures de course (455,9 kilomĂštres, soit 68 tours de 6,7 km), elle a dĂ©gustĂ© des patates sautĂ©es, des pizza froides, des frites et des cheeseburgers. Sa passion pour les croissants est immense.Â
âą 6. ELLE AURA BIENTĂT LA FAMILLE COMPLĂTE. « Dans la famille gros ultra mĂ©ga connu quâil faut avoir gagnĂ© avant de mourir, je voudrais le Grand Raid de La RĂ©union ». Western States, Hardrock et course de quartier de Chamonix sont dĂ©jĂ dans son escarcelle. Elle est la premiĂšre femme Ă avoir ce trio magique (seul Kilian Jornet a fait pareil). Il ne manque plus que la beautĂ© de la Diagonale pour complĂ©ter la famille.
âą 7. ELLE A BEAUCOUP DâHALLUCINATIONS. Girafes et anguilles volantes dans les montagnes du Colorado, leopard dans un hamac sur la Moab 240, ours en peluche gĂ©ant faisant un cĂąlin sur le Colorado Trail, Mickey Mouse distribuant des t-shirts sur la Bigâs Backyard mais aussi cow-boy de 12 pieds et chĂąteau de glace. Tout va bien.
Photo Alexis Berg
3 notes
·
View notes
Text
ADIEU MON VIEUX DOUDOUâŠ
Hier, mĂ» par un de ces brusques Ă©lans, que nous connaissons tous, de faire un peu de rangement et de place dans le bazar que lâon peut accumuler jour aprĂšs jour (le trop cĂ©lĂšbre : « ça peut toujours servir »âŠ), jâai retrouvĂ© mon ours en peluche jaune, mon nounours, mon si cher et vieux doudou. Jâavais oubliĂ© que je lâavais conservĂ© durant toutes ces annĂ©es. Il Ă©tait lĂ lors de mes premiers mots, de mes premiers pas, trĂŽnait sur mon armoire pendant mes (longuesâŠ) annĂ©es de collĂ©gien, puis de lycĂ©en. Plus tard, il dormait au fond du petit placard de ma chambre dâĂ©tudiant alors que je mâescrimais Ă trouver une place sur les bancs de la fac. Et partout oĂč la vie mâa menĂ©, il mâa accompagnĂ©. Presque Ă mon insu.
Quand je lâai sorti du carton, une multitude de souvenirs ont brusquement affluĂ©, une sorte de kalĂ©idoscope dâendroits, dâĂ©poques, de visages, de parfums, de moments de joies, de tristesse aussi. Et puis de tous ces fantĂŽmes qui nous habitent, ces ĂȘtres si chers et qui nous manquent tant.
Mon pauvre doudou Ă©tait dans un Ă©tat pitoyable : peluche rĂȘche, lustrĂ©e, presque polie par endroits, une oreille en moins, plus dâyeux, et une sorte de mousse sale et compacte qui lui sortait par une sinistre balafre au bas du dos. Son sort Ă©tait donc inĂ©vitable et il a fini dans un sac poubelle avec dâautres vieux objets inutiles. Jâai ressenti un trĂšs fort pincement au cĆur quand jâai refermĂ© le sac. Il avait si bien rempli sa fonction, accueilli mes doutes, mes pleurs, mes Ă©tats dâĂąme, mes questionnements, apaisĂ© mes angoisses dâenfant et dâadolescent. En ce sens, il avait Ă©tĂ© un digne et fidĂšle compagnon de route. Et je venais de lâabandonner. Jâai nĂ©anmoins conçu que ma rĂ©action Ă©tait idiote. Un objet reste un objet et la sensiblerie ne peut pas lutter face Ă un manque crucial de place.
Et puis, un peu plus tard, en y rĂ©flĂ©chissant, je me suis dit quâau fond, il me ressemblait. Il avait vieilli, sâĂ©tait usĂ© et dĂ©crĂ©pi au fil du temps, avait perdu son charme dâantan (jâai un gros doute me concernantâŠ) et son attrait. Quâil finisse dans une dĂ©charge me navrait donc vraiment.
Mais la douleur la plus profonde que jâai ressentie, câĂ©tait de comprendre que dire adieu Ă mon doudou, câĂ©tait aussi me prĂ©parer Ă ma derniĂšre ligne droite. Une page venait de se tourner et jâattaquais le dernier chapitre. Mon doudou Ă©tait devenu un fantĂŽme.
Et moi, jâen serai bientĂŽt unâŠ
V. H. SCORP
69 notes
·
View notes
Text
Le musĂ©e se dĂ©confine ! RĂ©cit dâune rĂ©ouverture particuliĂšre par NadĂšge
Temps de lecture estimé : 3 minutes
Mercredi 3 juin 2020 ! Cette date signe la rĂ©ouverture du musĂ©e aprĂšs 11 semaines de fermeture en raison du confinement. Une date importante pour lâensemble des Ă©quipes, et bien sĂ»r pour notre public !
Le parc retrouve ses passants, ses promeneurs dâun jour ou de toujours. On y rĂ©entend les voix des habitants, les rires des enfants, les aboiements des chiens en balade⊠autant de sons qui nous confirment que oui, le public est lĂ , prĂ©sent et heureux de pouvoir Ă nouveau arpenter les cavaliers et venelles, de dĂ©couvrir les fleurs apparues depuis le printemps, de retrouver cette faune et cette flore pionniĂšres si caractĂ©ristiques qui, elles, ont continuĂ© leur vie sans nous lâespace de quelques semaines.
Le musĂ©e, lui, sâest adaptĂ© aux conditions extraordinaires que nous connaissons grĂące Ă des amĂ©nagements spĂ©cifiques qui garantissent le respect des rĂšgles sanitaires en vigueur. Le port du masque est obligatoire au-delĂ de 11 ans, le principe de la marche en avant est de mise avec un sens de circulation unique qui Ă©vite tout croisement, du gel hydroalcoolique est mis Ă disposition de chacun, les jauges de frĂ©quentation des espaces sont restreintes, les agents dâentretien interviennent rĂ©guliĂšrement dans tous les espaces⊠Les Ă©quipes dâaccueil, de sĂ©curitĂ© et de mĂ©diation travaillent en collaboration Ă©troite afin dâexpliquer ce nouveau protocole au public. Tout cela peut ĂȘtre un peu dĂ©routant de prime abord, mais câest ce qui garantit une rĂ©ouverture sereine, en confiance, et bienveillante pour tous !
DĂšs 10h ce mercredi, le public est au rendez-vous : nos fervents afficionados de la premiĂšre heure bien sĂ»r, mais aussi des familles venues pour la premiĂšre fois ! Marie Lavandier, directrice du musĂ©e, les attend de pied ferme sur le parvis du musĂ©e, il lui tient Ă cĆur dâaccueillir ce public qui nous a tant manquĂ©Â ! Bien que masquĂ©, le bonheur dâĂȘtre prĂ©sent se lit dans les yeux de chacun.
La presse, elle aussi, est lĂ pour couvrir lâĂ©vĂ©nement. Elle interroge Ă la fois les Ă©quipes et le public pour recueillir leurs sentiments sur ce moment si particulier dans notre histoire. Une dame sâexclame : « Du bonheur ! Du bonheur ! Je suis ici chez moi ! Ăa me fait cette impression-lĂ . ». Une jeune femme venue en famille confirme : « Il Ă©tait temps que ça rĂ©ouvre ! Il Ă©tait temps ! Ăa fait du bien de revenir dans les musĂ©es, dâĂȘtre lĂ et de revoir les Ćuvres. »
Des Ćuvres qui, elles aussi, sont trĂšs certainement ravies dâavoir Ă nouveau les yeux de chacun rivĂ©s sur elles. La Galerie du temps se redĂ©couvre. Une famille, qui nâĂ©tait pas revenue depuis lâouverture du musĂ©e, revient enfin, un peu comme si le musĂ©e vivait une nouvelle inauguration ! Avec le sens de visite imposĂ©, cet espace se voit dâailleurs sous un Ćil nouveau. Ătant coupĂ©e en deux dans le sens de la longueur, le visiteur adopte un point de vue moins central quâhabituellement, ce qui change les perspectives dâapproche de chaque Ćuvre. Un peu comme si lâaccrochage avait Ă©tĂ© renouvelĂ©, alors que rien nâa bougĂ©Â ! Dâailleurs, une de nos visiteuses habituelles sâinterroge face Ă une sculpture : a-t-elle toujours Ă©tĂ© lĂ ou vient-elle dâarriver ? Comme quoi, le principe de la marche en avant participe Ă la redĂ©couverte des Ćuvres â car oui, cette sculpture Ă©tait bel et bien lĂ avant le confinement !
Tiens, mais que vois-je par lĂ -bas ? Un ours en peluche se fait tirer le portrait devant les fameux babouins du temple de Louxor. Il sâagit de la mascotte dâun blog dâĂ©lĂšves quâune enseignante a crĂ©Ă© pendant le confinement. LâursidĂ© a partagĂ© ses aventures avec les enfants pendant tout ce temps, et cela va continuer jusquâĂ la fin de lâannĂ©e scolaire. Aujourdâhui, le gros ours blanc les emmĂšne en voyage au Louvre-Lens ; un moyen original de garder le lien et dâĂ©veiller Ă la culture !
La journĂ©e touche Ă sa fin. La rĂ©ouverture sâest trĂšs bien passĂ©e. Les jours suivants, la mĂȘme dynamique sâobserve, une grande sĂ©rĂ©nitĂ© se ressent de la part du public et des Ă©quipes. Un jeune homme venu pour la premiĂšre fois nous le confirme : « Ăa fait du bien de sortir aprĂšs le confinement, s'imprĂ©gner d'un peu de culture. Ici, on se sent en sĂ©curitĂ©, c'est vraiment bien organisé ».
Je nâai plus quâĂ espĂ©rer vous croiser bientĂŽt au musĂ©e ! Et nâoubliez pas, lâexposition âSoleils noirsâ ouvre ses portes le mercredi 10 juin !
#réouverture#déconfinement#culturecheznous#culturechezsoi#galeriedutemps#MuseumFromHome#çasepasseaumusée#protocolesanitaire
1 note
·
View note
Text
Le Truc et le Colonel
Fandoms: Fullmetal Alchemist/Letter Bee
Classement: Audiences Générales
Avertissement: Aucun Avertissements d'Archives Ne Sâappliquent
Relation: Roy Mustang & Steak (Letter Bee)
RĂ©sumĂ©: Roy le savait, il nâaurait jamais dĂ» faire ce pari stupide. Ăa aller forcement lui retomber dessus. Et lĂ , maintenant, quâest-ce quâil ne donnerait pas pour rentrer chez lui et dĂ©vorer tout cru un gros steak bien grillĂ©âŠ
________________________________________________________________
Lien sur Archive of Our Own
________________________________________________________________
Notes : Je dĂ©dicace ce Crossover Ă Amethyste de par un sujet de conversation au Paestum en Italie. JâespĂšre que cette historiette, bien que tirĂ©e par les cheveux fera au moins sourire les connaisseurs des deux sĂ©ries.
Bien entendu ce nâest quâun rĂ©cit Ă prendre au second degrĂ©.
ĂDITION 03/2020 : Câest une autre vieille petite histoire que jâavais Ă©crite au collĂšge, et qui avait originalement Ă©tĂ© postĂ©e le 19 fĂ©vrier 2013.
________________________________________________________________
Le jeune homme aux courts cheveux noirs planta une Ă©niĂšme fois son bĂąton dans la matiĂšre poreuse qui parcourait la totalitĂ© du sol, avant de lever la tĂȘte.
Par de-lĂ son bout de bois cylindrique se dessinait devant ses yeux lâimmensitĂ© du dĂ©sert sablonneux de couleur dorĂ© pĂąle, qui sĂ©parait la frontiĂšre entre Amestrie et Xing et oĂč Ă une Ă©poque lointaine avait aussi habitĂ© le pays de XerxĂšs. CâĂ©tait au milieu de cette rĂ©gion inhospitaliĂšre et abandonnĂ©e, accompagnĂ© de lĂ©gĂšres tournoyantes de vents, que le brave colonel Roy Mustang contrait les Ă©lĂ©ments en essayant de fendre Dame Nature pour tenter â Ă lâheure actuelle du moins â de se trouver un abri Ă lâapproche dâune tempĂȘte qui sâannonçait plus violente.
Alors que faisait donc un si haut gradĂ© du grand et puissant pays dâAmestrie au beau milieu de bourrasques sablĂ©es dĂ©sertiques ?
Eh bien en fait la réponse était toute simple : Roy avait perdu un pari.
Il avait au dĂ©but juste lancĂ© un dĂ©fi au cours dâune conversation avec le sous-lieutenant Heymans Breda, qui au fur et Ă mesure sâĂ©tait transformĂ©e en gageure perverse envers le lieutenant Riza Hawkeye, mais qui sâĂ©tait malheureusement soldĂ©e par une punition de cette derniĂšre (qui avait bien Ă©videment Ă©coutĂ© leur discussion, et lâavait peu apprĂ©ciĂ©e) et qui aprĂšs bien des dĂ©tours, avait finit par lâexpĂ©dier ici. Et donc cela faisait bien trois heures que le pauvre militaire marchait sans une goutte dâeau en vue, ou voir mĂȘme la moindre petite plante ou autre chose digestible.
Oui, parce-quâĂ©trangement, plus que tout, Roy avait surtout faim â trĂšs faim. Et il donnerait vraiment nâimporte quoi, lĂ , tout de suite pour se trouver chez lui en face dâune bonne assiette de steak.
Roy soupira, secoua la tĂȘte comme pour retirer toutes ces inepties pour le moment inaccessibles de son crĂąne et leva les yeux en sâarrĂȘtant. Tiens⊠le ciel sâĂ©tait lĂ©gĂšrement Ă©clairci. Peut-ĂȘtre quâen fin de compte la tempĂȘte allait finir par cesser ?
Alors quâil allait entamer une nouvelle marche, Ă lâinstant oĂč il posa pied Ă terre un drĂŽle de couinement sâĂ©chappa du sol. Roy resta sans bouger un long moment, en clignant des yeux, figĂ© sur place. JusquâĂ prĂ©sent, il nâavait piĂ©tinĂ© que de longues et Ă©ternels traĂźnĂ©es de sables, mais là ⊠la texture du sol semblait comme diffĂ©renteâŠ
Il baissa les yeux au sol et vit alors une espĂšce de⊠dâanimalâŠÂ ?
CâĂ©tait une⊠sorte de grosse peluche, toute ronde, toute blanche, au pelage Ă©pais, enfouie sous le sable chaud du dĂ©sert. Roy arqua un sourcil.
Quâest-ce que ce⊠truc fait ici ? Et puis câest quoi, dâabord ?
Alors quâil se baissa, dâabord dans lâintention premiĂšre de le ramasser pour lâexaminer de plus prĂšs, il vit un bout de papier qui trĂŽnait sur le dos de la drĂŽle de bĂȘte. Il saisit celui-ci en premier, et le dĂ©plia en vitesse, avant de voir inscrit dessus dâune Ă©trange Ă©criture qui ressemblait Ă des pattes de mouches quelque chose comme : « Câest mon steak Ă moi, pas touche â Niche. »
Roy cligna de nouveau des yeux. Niche ? DrÎle de nom, pensa-t-il, puis il riva de nouveau son regard sur la chose concernée.
Il yâavait mentionnĂ© sur le papier quâil sâagissait dâun « steak ». Roy plissa les yeux. MĂȘme en essayant de le regarder sous tous les angles, il nâarrivait absolument pas Ă voir comment cette bestiole pouvait ressembler Ă un steak. Peut-ĂȘtre fallait-il le griller pour que ça y ressemble plus ?
Le feu Ă©tant son Ă©lĂ©ment de prĂ©dilection, cela ne devrait pas poser de problĂšme pour lui. MĂȘme sans cuisine et casserole, il devrait pouvoir se dĂ©brouiller. Et puis il avait bien trop faim pour chercher dâautres solutions de cuire un « steak ».
Ainsi, sans tenir compte de la menace du bout de papier, Roy sâabaissa de nouveau et prit le drĂŽle de truc qui semblait plus mort que vif par la peau du cou. Juste Ă ce moment, la bĂȘte jappa alors une espĂšce de « swif », et se dĂ©gageĂąt brutalement des mains du militaire avant dâatterrir au sol sous les yeux Ă©tonnĂ©s du jeune homme.
La surprise de ce dernier ne cessa de grandir lorsquâil vit la boule de poils nacrĂ©e frĂ©tiller, avant de finalement dĂ©gager ce qui ressemblait Ă une tĂȘte, et Ă lâautre bout ce qui semblait ĂȘtre une queue. Tout petit, sans doute atteignant les trente centimĂštres tout au plus, il possĂ©dait une pair de pupilles noisettes avec un nez aplatis affublĂ© de deux petite moustaches noires sur les cĂŽtĂ©s, ainsi que dâoreilles bleuĂątres et dâune queue en forme dâarc de cĆur. Il sembla dâabord un moment dĂ©sorientĂ©, scrutant les environs en tournant de droite Ă gauche la tĂȘte, puis enfin regarda vers son convoiteur.
Ils se fixĂšrent tous les deux durant un long moment oĂč le silence se fit roi, seul accompagnĂ© par les volutes du vent frĂ©nĂ©tique envoyant valser dans le ciel les grains de sables. Au fur et Ă mesure que les secondes sâĂ©coulaient lentement, une vive lueur affamĂ©e vint teinter les yeux du colonel ornĂ©s de grands cernes, et avant que la petite bĂȘte ne puisse rĂ©agir, Roy se jeta dessus tel un fauve sur sa proie, la main gantĂ©e au premier plan.
DĂšs que Steak comprit quâil avait maintenant affaire Ă un prĂ©dateur dangereux, il Ă©moustilla ses moustaches, et sans perdre une seconde de plus se dĂ©pĂȘcha dâesquiver lâassaut. Roy sur les talons, il entama sa course jusquâĂ distinguer enfin un rocher au loin, vers lequel il ne se fit pas prier pour sây diriger Ă vive allure, avant de sây glisser dessous avec une agilitĂ© fĂ©line peu commune.
Le pauvre Roy, lui, nâavait Ă©videmment pas calculĂ© aussi vite que son ami animal la vue de la roche insolite au milieu de ce dĂ©sert, nâĂ©tant pas dotĂ© de ce mĂȘme et prĂ©cieux sixiĂšme sens, et lorsque finalement il remarqua la forme grisĂątre, câĂ©tait dĂ©jĂ trop tard quâil trĂ©bucha dessus avant de sâĂ©crouler de tout son long dans le sable chaud avec un cri Ă©touffĂ©.
Steak, quant Ă lui, sâĂ©tait juste aprĂšs Ă©lancĂ© dans lâĂ©tendu dorĂ© emplis de soleil, en souhaitant de tout cĆur ne jamais revoir ce drĂŽle de personnage, aussi original que tous ceux quâil avait pu croiser chez lui, Ă Amberground. Cette petite bestiole avait rĂ©ussi Ă dĂ©barquer dans la frontiĂšre entre les pays de Xing et dâAmestrie simplement lors dâune livraison de Lag â Niche sâĂ©tait un peu trop Ă©loignĂ©e, et en visitant un peu les lieux en compagnie de son fidĂšle petit dĂ©jeuner sur pattes, elle avait dĂ©busquĂ© un passage qui ressemblait Ă une sorte dâĂ©trange portail.
MĂȘme si elle nâĂ©tait pas vraiment de nature mĂ©fiante, la fillette blonde possĂ©dait un instinct animal tout aussi dĂ©veloppĂ© que Steak â voir plus â et mourant dâenvie de le visiter, elle avait donc dĂ©cidĂ© dây envoyer son compagnon en Ă©claireur, avec par mesure de prĂ©caution un message pour quâon Ă©vite de le manger en route.
Steak nâaurait jamais pensĂ© que quelquâun dâautre que Niche aurait eut une telle envie. Comme quoi le monde Ă©tait bien vaste.
Dans tous les cas, cette histoire auras Ă©tĂ© en plus de Niche la goutte dâeau en trop â Ă partir de maintenant, il jura de ne plus jamais toucher Ă cette viande qui portait le mĂȘme nom que lui !
Le tout restait maintenant Ă Steak de retrouver ce passage. Mais bon, il nâĂ©tait pas inquiet. Lag ne partirait sans doute pas sans lui, et Niche ne quitterait jamais Lag.
Alors que le petit animal reprenait son chemin, Roy venait de se redresser, époussetant sa veste en pestant contre tout ce qui venait de lui arriver récemment.
Plus jamais il ne mangera de steak ! Jamais !
Cela fera au moins sans quâil ne le sache un point commun avec cette bĂȘte qui avait faillit ĂȘtre son dĂ©jeuner.
#Fullmetal Alchemist#FMA#Letter Bee#Tegami Bachi#Roy Mustang#Steak#Steak (Letter Bee)#Fanfiction#Fanfic#Fic#Connan's Fanfics#Connan's Posts#Français#Texte Français#French#Fullmetal Alchemist Fanfiction#FMA Fanfiction#Letter Bee Fanfiction#Tegami Bachi Fanfiction#Fullmetal Alchemist Fanfic#Fanfictions#Fanfics#Fics#Ecriture#Fullmetal Alchemist Fic#Archive Of Our Own#Letter Bee Fanfic#Letter Bee Fic#AO3#Writing
2 notes
·
View notes
Link
CHRONIQUE - On rĂ©Ă©dite lâun des chefs-dâĆuvre de Philippe Muray publiĂ© pour la premiĂšre fois en 1991. Toujours aussi jubilatoire. Et prophĂ©tique.
Il est devenu une lĂ©gende. Un mythe. Une rĂ©fĂ©rence suprĂȘme. On se passe ses bons mots comme autant de clins dâĆil complices, de codes de reconnaissance et de connivence, entre une blague de Coluche ou Desproges et une citation de grands Ă©crivains de ce XIXe siĂšcle quâil connaissait si bien. Il est de ces auteurs que Fabrice Luchini aime Ă lire au thĂ©Ăątre et la figure tutĂ©laire dâune «rĂ©acosphĂšre» que les progressistes nâosent pas Ă©gratigner. Trop drĂŽle, trop fĂ©roce, trop lucide, Philippe Muray est intouchable.
Ă lire aussi : Les grands essais du XXe siĂšcle: LâEmpire du Bien, de Philippe Muray
Depuis sa mort en 2006, il a acquis un statut de prophĂšte de notre monde hyper-individualiste qui noie dans la fĂȘte (homo festivus) sa vacuitĂ© spirituelle. Alors, quand lâoccasion est donnĂ©e de relire le maĂźtre, de se dĂ©lecter de ses trouvailles et bons mots, on se prĂ©cipite pour aller voir si sa rĂ©putation de Cassandre ne sâest pas dĂ©mentie avec le temps. Lui-mĂȘme avait exercĂ© ce devoir dâinventaire en 1998, soit sept ans aprĂšs la parution de son cĂ©lĂšbre Empire du Bien, pour une prĂ©face Ă la hauteur de sa rĂ©putation: «Depuis lâempire du Bien, le bien a empirĂ©, attaquait-il. Le bien, en 1991, Ă©tait dans les langes, mais ce petit NĂ©ron de la dictature de lâAltruisme avait dĂ©jĂ de sĂ©rieux atouts de cĂŽtĂ©.» Il en profitait pour aligner dans son viseur Jack Lang, quâil se reprochait dâavoir dĂ©daignĂ© en dĂ©pit de ses coupables Ă©tats de service dâancien ministre de la Culture socialiste, et grand ordonnateur des fĂȘtes officielles, FĂȘtes de la musique, Gay Pride, etc.: «dindon surĂ©minent de la farce festive (âŠ) combinaison parfaite et tartuffiĂšre de lâescroquerie du bien et des mĂ©faits de la fĂȘte.»
Homo festivus nâest plus maĂźtre du monde. Il se dĂ©fend - de plus en plus mal - contre le retour du tragique. Ses ours en peluche et ses bougies font pĂąle figure aprĂšs les attentats meurtriers commis par les djihadistes.
Encore vingt ans plus tard, oĂč en sommes-nous? Muray est victime Ă son tour de la malĂ©diction du «en mĂȘme temps.» Ă la fois dĂ©passĂ© et indĂ©passable. Homo festivus nâest plus maĂźtre du monde. Il se dĂ©fend - de plus en plus mal - contre le retour du tragique. Ses ours en peluche et ses bougies font pĂąle figure aprĂšs les attentats meurtriers commis par les djihadistes. Lâinternationalisme dĂ©mocratique et droit de lâhommiste de «la fin de lâHistoire» (le livre de Fukuyama est contemporain de celui de Muray, et les deux viennent tout naturellement aprĂšs la chute du mur de Berlin et lâeffondrement du communisme) recule partout face Ă la realpolitik des leaders nationalistes qui ont Ă©mergĂ© dans les vieilles nations - et les anciens Empires - qui entendent bien ressusciter: le Russe Poutine, le Turc Erdogan, le Chinois Xi Jinping, ou encore lâIndien Modi. Les peuples occidentaux se rĂ©voltent contre leurs Ă©lites qui avaient programmĂ© leur douce euthanasie: câest le populisme, ce cri des peuples qui ne veulent pas mourir, qui sape les fondements de lâEmpire du bien au cĆur mĂȘme de lâEmpire: Trump, le Brexit, sans oublier la Hongrie, la Pologne, lâItalieâŠ
LâEmpire du bien. Philippe Muray, Perrin, Coll. Tempus, 142 p., 8 âŹ. CrĂ©dit : Editions Perrin Collection Tempus
Mais câest au moment oĂč lâhistoire semble le rendre dĂ©suet que notre Muray nous est le plus utile. Devant lâadversitĂ©, le «petit Neron de la dictature de lâAltruisme» a encore grandi. Le tyran sâest entiĂšrement dĂ©pouillĂ© de ses habits de lumiĂšre festifs. Il donne dĂ©sormais toute sa mesure tyrannique, voire totalitaire, que Muray avait annoncĂ©e, cette «envie de pĂ©nal» quâil avait dĂ©tectĂ©e: lois liberticides Ă©touffant les paroles rebelles sous couvert de lutte contre «les fake news», procĂšs en rafale contre tous les dissidents enfermĂ©s dans «la cage aux phobes», selon sa formule gĂ©niale, sans oublier lâutilisation massive en «carpet bombing» des mĂ©dias pour accoucher du monde nouveau. Lisons-le: «Le consensus nâest quâun autre nom pour servitude (âŠ) LâintĂ©ressant, câest que le lynchage prend maintenant des masques progressistes. Le lynchage accompagne le consensus comme lâombre accompagne lâhomme (âŠ) La passion de la persĂ©cution reprend, je le rĂ©pĂšte, un poil de la bĂȘte terrible sous les croisades philanthropes.»
Au dĂ©but des annĂ©es 1990, on pouvait encore croire que certaines excroissances de lâEmpire du Bien ne toucheraient pas la France, pays protĂ©gĂ© par son archaĂŻsme mĂȘme, sa futilitĂ©, sa lĂ©gĂšretĂ©, son gĂ©nie propre: «Un pays oĂč le fĂ©minisme anglo-saxon et le dĂ©constructivisme derridien nâont jamais pu rĂ©ellement adhĂ©rer, prendre racine en profondeur, ne peut ĂȘtre tout Ă fait mauvais. Câest bien pour cela que nous inquiĂ©tons. Il faudra un jour nous liquider. Nous coloriser nous aussi. Nous convertir intĂ©gralement.»
« LâEmpire du bienâ » sâimpose toujours avec le cĆur en drapeau (âŠ) Mais il ne cache plus dĂ©sormais son gros bĂąton pour rĂ©primer tous ceux qui osent ne pas se soumettre.
Câest fait. Ou presque. Il y a encore quelques rĂ©sistances, quelques Catherine Deneuve pour dĂ©fendre les «porcs», quelques universitaires pour affronter Ă mains nues la mouvance dĂ©coloniale, mais ils sont submergĂ©s par la puissance de feu (mĂ©diatique, judiciaire, politique, Ă©conomique) de «lâEmpire du bien». Celui-ci, dâabord surpris par une rĂ©bellion populaire quâil nâattendait plus est passĂ© Ă la contre-offensive: «âJamais lâĂ©goĂŻsme ne sâĂ©tait montrĂ© plus Ă dĂ©couvert, mais le bien public, la libertĂ©, la vertu mĂȘme Ă©taient dans toutes les bouchesâ, constatait Mme de MĂ©nerville dans lâambiance de 1789. Nous en sommes lĂ exactement. Je cite quelques Ă©crivains parce quâils sont seuls Ă avoir su, Ă avoir su voir, Ă avoir su dire, que ce sont toujours les pires salauds qui sâavancent le cĆur sur la main.» Muray ne serait pas surpris par lâarrivĂ©e de Macron Ă lâĂlysĂ©e: «à chaque siĂšcle son Tartufe. Le nĂŽtre a un petit peu changĂ©. Il sâest Ă©largi, Ă©toffĂ©. Il est membre fondateur de plusieurs SOS-Machin, il a fait les Mines ou lâENA, il vote socialiste modĂ©rĂ©, ou encore progressiste-sceptique, ou centriste du troisiĂšme type.»
«LâEmpire du bien» sâimpose toujours avec le cĆur en drapeau: «Nous sommes en pleine dĂ©votion cordicole. En plein culte du CĆur-roi. En plein nĆud cordien.» Mais il ne cache plus dĂ©sormais son gros bĂąton pour rĂ©primer tous ceux qui osent ne pas se soumettre. Ă lâĂ©poque de Muray, lâillusion consensuelle avait encore cours. Ce temps-lĂ est rĂ©volu. LĂ aussi, Muray nous lâavait annoncĂ©: «Le pamphlet Ă Cordicopolis serait devenu un genre impossible? Et si câĂ©tait le grand contraire exactement? Si tout grand livre, dĂ©sormais, si tout rĂ©cit de mĆurs bien senti, tout roman un peu Ă©nergique, devait de plus en plus virer, comme fatalement, mĂȘme sans le vouloir, au pamphlet le plus vĂ©hĂ©ment? (âŠ) Car lâavenir de cette sociĂ©tĂ© est de ne plus pouvoir rien engendrer que des opposants ou bien des muets.»
Ă chacun de choisir son camp, opposant ou muet.
2 notes
·
View notes
Text
lapin en peluche
Vous cherchez le compagnon cùlin idéal ? Découvrez le ravissant lapin en peluche de PELUCHE-TORTUE ! Nos adorables lapins en peluche sont conçus pour apporter réconfort et joie à vos tout-petits. Doux, cùlins et irrésistibles, ils sont d'excellents compagnons pour le jeu ou le coucher. Visitez-nous sur peluche-tortue.com et offrez le cadeau de l'amour avec nos charmantes peluches !
#Boutique en ligne de peluches#Boutique de peluches en ligne#Magasins de peluches en ligne#Acheter un ours en peluche en ligne#Boutique d'ours en peluche en ligne#ours en peluche géant#peluche lapin#Jouets en peluche lapin#lapin en peluche#gros nounours#gros nounours peluche#gros ours en peluche#ours en peluche#peluche géante ours#peluche ours geant#peluche koala#peluche grande taille#Jouet en peluche tortue#Peluches en ligne#Jouet en peluche abeille#animaux en peluche et jouets en peluche#peluches géantes#chat en peluche
0 notes
Text
Chapitre 3
Tamie planta son regard dans les yeux couleur ocĂ©an dâArmand. Elle venait de finir son exposĂ© de la situation et se mordait nerveusement la lĂšvre en attendant une rĂ©action de la part du jeune homme. Le moins quâon puisse dire câest quâil nâavait rien laissĂ© transparaitre ... Tamie avait eu lâimpression de sâadresser Ă un mur. Elle sâĂ©tait perdue en dĂ©tails et conjectures pendant quâil la fixait, impassible.
Il me prend pour une folle, se dit-elle.
AprÚs ce qui parut une éternité à la jeune femme, il brisa enfin le silence.
- Ecoute, Tamie ...
Oui, câest sĂ»r. Il me prend pour une folle, pensa-t-elle en levant les yeux au ciel avant de se laisser retomber contre le dossier de sa chaise.
- Jâentends bien ce que tu me dis hein, poursuivit-il. Câest juste que ça me semble un peu ...
- Te fatigue pas, jâai compris, le coupa-t-elle sĂšchement en attrapant son sac posĂ© par terre. Mais la prochaine fois que tu sors avec une fille, quand elle se mettra Ă te parler de son ex au beau milieu du repas ou quâelle ira sâasseoir avec des copains dans la salle de cinĂ© en te laissant seul avec tes pop corns, pose toi la question.Â
- Tamie ...
- Jâai du travail ! Merci pour le cafĂ©, dit-elle en laissant un billet de 20 euros sur la table avant de tourner les talons.Â
Armand soupira en regardant tristement son muffin. Il sâen voulait que Tamie se soit sentie offensĂ©e comme ça. Mais toute cette histoire de manipulations et dâinfiltration des profils de rencontre, ... ça semblait un peu gros quand mĂȘme. Depuis sa derniĂšre relation sĂ©rieuse, il avait effectivement connu quelques dĂ©ceptions et des premiers rendez-vous qui nâavaient dĂ©bouchĂ© sur rien mais cela arrive. Rien qui ne justifie un complot Ă grande Ă©chelle comme Tamie semblait le croire. Ceci Ă©tant, il culpabilisait dâavoir laissĂ© la jeune femme repartir aussi vexĂ©e. Il continua de fixer son muffin. Il nâavait plus faim.Â
Il attrapa le billet laissĂ© par Tamie et se dirigea vers la caisse pour rĂ©gler. Elle avait laissĂ© suffisamment dâargent pour rĂ©gler leur consommation Ă tous les deux et un trĂšs gĂ©nĂ©reux pourboire. Il faudrait quâil trouve une façon de se faire pardonner.Â
De son cĂŽtĂ©, Tamie Ă©tait remontĂ©e furieuse dans sa voiture et avait dâailleurs calĂ© Ă la sortie du parking aprĂšs avoir malmenĂ© son embrayage dans son accĂšs de colĂšre. Elle se dĂ©testait dâavoir Ă©tĂ© aussi stupide et dâavoir cru quâil lâĂ©couterait. Bien sĂ»r que câĂ©tait tirĂ© par les cheveux. Et son explication Ă©tait hĂ©sitante, elle avait bredouillĂ©, sâĂ©tait emmĂȘlĂ©e dans des dĂ©tails insignifiants ... Elle nâen Ă©tait pas moins persuadĂ©e de lâimplication dâAmy et dâElsa. Il lui faudrait rĂ©unir plus de preuves peut-ĂȘtre mais les faits Ă©taient lĂ .Â
Tamie rentra tard Ă lâappartement ce soir lĂ . Les consultations sâĂ©taient Ă©ternisĂ©es, les urgences sâĂ©taient accumulĂ©es, ... Câest Ă©reintĂ©e quâelle descendit de sa voiture pour tomber nez Ă nez avec Amy, visiblement toute aussi fatiguĂ©e. Dans le noir, il lui fallut un moment pour que ses yeux distinguent les gouttelettes de sang qui parsemaient le visage de son amie. Tamie la prit dans ses bras.
- Tu pues, finit par lui dire Amy aprĂšs un instant.
- Je sais, rĂ©pondit calmement Tamie. Toi aussi.Â
Les deux jeunes femmes rirent doucement.
- Bon, ça y est ! Jâai eu ma dose de contact humain pour la journĂ©e, dĂ©clara Amy en se libĂ©rant de lâĂ©treinte de son amie.Â
Tamie rĂ©cupĂ©ra son sac, laissĂ© par terre, puis rattrapa Amy pour regagner leur appartement. Une fois arrivĂ©es devant la porte dâentrĂ©e, un petit ours en peluche avec un gros noeud autour du cou et une lettre dans les bras les attendaient sur le paillasson. Amy se baissa pour le prendre et le tendit Ă son amie.
-Yâa ton nom sur lâenveloppe, dit-elle avec un sourire malicieux.
Tamie ouvrit de grands yeux et dĂ©cacheta lâenveloppe.Â
- Ca se trouve, câest un client mĂ©content et yâa des spores de charbon Ă lâintĂ©rieur ! Sâesclaffa-t-elle.
âJe suis dĂ©solĂ© pour ce midi ... Admettons que je te suive, quel serait ton plan ?â
- Câest de qui ? Sâenquit Amy alors que Tamie se prĂ©cipitait de refermer lâenveloppe.
- Je sais pas ! Yâa pas de nom !
- Câest vrai ce mensonge ? Sourit Amy en ouvrant la porte dâentrĂ©e.Â
Tamie regarda lâours en peluche quâelle tenait entre les mains. La partie Ă©tait lancĂ©e ...
1 note
·
View note
Text
Valises Disney
6-9 heures, 730 Washington Ave. La campagne publicitaire Bulgari fera ses dĂ©buts dans les numĂ©ros d'avril des magazines de mode et de la Collection Eden mĂ©diterranĂ©enne sera dans les magasins Bulgari dans le monde en mai, selon les rapports des mĂ©dias. Une autre division de l'entreprise est consultatif de l'Institut Investors Forbes. Le magasin propose des vĂȘtements, bijoux fabriquĂ©s localement, et d'autres biens provenant d'un certain nombre d'artistes et PERSONNAGES DISNEY artisans. Avec le froid encore Ă l'horizon, maintenant, c'est votre chance d'Ă©conomiser gros sur le concepteur hiver d'engins, y compris chic et confortable des minnie et mickey mouse, des gants, Ă©charpes et des chaussettes.Koivula de la Terre, qui a gagnĂ© de nombreux prix et distinctions, a Ă©galement jouĂ© un rĂŽle dans le dĂ©veloppement de la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e «MacGyver» pour Paramount Studios et ABC, et a travaillĂ© comme conseiller scientifique et technique sur la confĂ©rence de show. Blu Dot, 5-8 heures de sortie 1323 Tyler St. Sa clientĂšle s'Ă©tend des villes jumelĂ©es pour autant que l'Islande et la CorĂ©e du Sud.) Diriger la vente sont deux complications Patek Philippe, chacun portant l'empreinte personnelle de leurs collecteurs respectifs. EspĂ©rons que ce ne sera pas leurs artistes collaborateurs last.Look & ours en peluche par Christopher Straub Look Disney Assiette Halloween Mickey Mouse, Walt Disney World Ă Prix Malin par Christopher Straub, bottes par Doc Martens Photo : A. Ils viennent en diffĂ©rents modĂšles et bien sĂ»r ces Disney La Reine des Neiges types de mots clĂ©s { } ont Ă©tĂ© populaires au cours des derniĂšres annĂ©es en raison des avantages supplĂ©mentaires possibles pour la santĂ©. Ceux qui n'emballer leurs pieds dans le style et le Cadeaux De NoĂ«l Disneyland luxe de prendre la tĂȘte d'Cole Haan.com/uptownmnstoreApr 952-854, 1976, 9-11: Eidos et Isaia Men Trunk MartinPatrick Show Ă 3 : cĂ©lĂ©brer le printemps style napolitain comme MartinPatrick3 lance leurs deux nouveaux magasins, Eidos et Isaia. Pour vous donner une idĂ©e, leurs bijoux habituellement se vend entre $40 et $800.Gray Accueil + Lifestyle : CrĂ©Ă© et gĂ©rĂ© par une mĂšre et sa fille, ce mode de vie magasin rĂ©cemment debuted un ligne de collaboration avec Hackwith Design House et transporte Ă©galement des bijoux faits localement.ProcĂ©dĂ© crier Ă Toronto designer de Disney Ballon ChĂąteau Princesses Disney 5Ăšme Anniversaire QualitĂ© garantie Ă 100%, Reena Ahluwalia, pour moi tourner sur cette histoire. La salle blanche fournit des faits sur mesure et adaptĂ©s de robes de mariĂ©e de up-and-coming designers.
www.frsolde.com/
0 notes
Text
T-shirt disney mickey
Nouveau WebEmma HollywoodEmma's captivante de pierre ne sophistication avec une torsion comme personne d'autre. American Trade AssociationO'Connor, qui curated une sĂ©lection de piĂšces de designers ed renommĂ©e mondiale pour les cĂ©lĂ©britĂ©s Ă emprunter pour le tapis rouge Disney Figurine Miniature Jyn Erso De La SĂ©rie Rogue One : a Star Wars Story en ligne one-of-a-kind, dit gros morceaux seront rĂ©pandus sur le tapis rouge, Ă partir de «styles de manchette chunky avec des formes gĂ©omĂ©triques et des dessins vintageĂ ' goutte surdimensionnĂ© ou chandelier dimanche Photo: Elizabeth Disney Mini Peluche Woody Ă Prix SacrifiĂ©s aux enchĂšres de Christie Christie'sFollowing, chercher des piĂšces vintage de prendre la scĂšne aussi. Le vainqueur de Best Dressed va Ă Pierre d'Emma pour sa Haute Couture disney nombre et louboutin pumps. Les problĂšmes de crise et de la dette de la zone Mannequin de disney soldes euro ailleurs pourraient encore avoir des effets [sur les entreprises] »Cette foire BaselWorld annuelle 40e, Ă BĂąle, Suisse, 8 mars -. Cameron Diaz Tours actrice DesignerAmerican Cameron Diaz, cĂ©lĂšbre pour son rĂŽle dans le domaine des longs mĂ©trages Charlie's Angels, John Malkovich et There's Something About Mary a assumĂ© le poste de directeur crĂ©atif pour New York basĂ© contemporain Disney Ensemble Boucle d'Or & Petit Ours Fairy Tale Forest Friends Ă la mode et Accessoires Marque pour la victoire. V-jour est la parfaite excuse pour extraire vos cartes de crĂ©dit et d'acheter ces bottes vous avez Ă©tĂ© lorgne toute la saison. Duchene Ă©tait prompt Ă souligner, cependant, que le succĂšs suisse est non seulement en raison de l'ExtrĂȘme-Orient. Son irrĂ©prochable, chic et toujours en Ă©volution fashion sens la dĂ©marque et nous ne pouvons pas attendre de voir ce qu'elle va la porter en 2017. Cette montre est par Marc Jacobs et est disponible Ă Nordstrom Cartes postales disney. Carrie patent de hautes bottes, disponible Ă qui dit sabots ne peut pas ĂȘtre mignon. L'audacieux Ă l'encolure et dĂ©coupes latĂ©rales Ă©taient Ă©quilibrĂ©es par la subtilitĂ© de son maquillage et bijoux. Le projet a Ă©tĂ© conçu et dĂ©veloppĂ© en interne par une Ă©quipe crĂ©ative tout italien, inclus des meubles qui ont Ă©tĂ© conçus et fabriquĂ©s en Italie. de la demande de hotel entrĂ©e parc disneyland mondiale pour l'or Costumes de princesse pour enfants de disney a baissĂ© de 15 pour cent, annĂ©e aprĂšs annĂ©e, Ă 476,5 tonnes au quatriĂšme trimestre de 2011, le World Gold Council rapporte. EspĂšre que vous Ă©tiez aussi agrĂ©ablement surpris car nous Ă©tions avec leur choix de styles. Le chanteur jumelĂ© le costume avec une rĂ©colte de noir haut et un Neil forfait walt disney tout inclus. VĂ©rifier votre cĂąblo-opĂ©rateurs pour votre chaĂźne de tĂ©lĂ©vision locale liste. NommĂ© d'aprĂšs sa puissance rĂ©serve soutien diabolique en apparence, il met en valeur les progrĂšs dans la technologie, les matĂ©riaux et la conception et est limitĂ©e Ă 10 piĂšces.After recevoir un nombre record d'inscriptions du monde entier, un panel de juges de l'industrie de disney princesse raiponce et de mode amĂ©ricains rĂ©unis Ă New York pour sĂ©lectionner neuf gagnants dans quatre catĂ©gories: Ahluwalia, a reçu le prix MaĂźtre Artisan dans la catĂ©gorie des diamants canadiens.
www.soldedisney.com/
0 notes
Note
CHB Ă la fĂȘte foraine !
Jâaime beaucoup le concept petit Anonyâ !
Je dois dire que je me suis Ă©clatĂ©e Ă lâĂ©crire et Ă glisser quelques touches dâhumour, dont un jeu de mots (tuez moi x) ) Enfin voilĂ pour toi :«Bon Arnaud câest bien gentil, mais ça fait maintenant 20 minutes que nous sommes en voiture et que je ne sais toujours pas oĂč je vais. Si tu as dĂ©cidĂ© de me sĂ©questrer dis le moi maintenant histoire que je sois fixĂ©, tu vois.» souffla BenoĂźt en ironisant, en effet, il avait HORREUR des voyages en voiture. CâĂ©tait dâailleurs pour cette raison quâil privilĂ©giait le train pour ses voyages.
«ArrĂȘte de rĂąler un peu, on ne va pas tarder Ă arriver. Tu vas voir, tu vas adorer.» se contenta de rĂ©pondre Montebourg avec un grand sourire. Ăa lâamusait de voir son petit protĂ©gĂ© si impatient.Â
Oh, sâil savaitâŠ
BenoĂźt parlait souvent de la foire Ă Arnaud. Principalement de ses souvenirs de jeunesse Ă sâamuser dans les manĂšges et aux machines Ă piĂšces avec ses amis ou encore ses quelques conquĂȘtes. Cela faisait parti des plus beaux souvenirs dâHamon. DĂšs lors ce que le bourguignon apprit que la foire venait de sâinstaller en pĂ©riphĂ©rie de Paris, il ne put sâempĂȘcher de lui faire la surprise.
« Ferme les yeux. » Le breton ne savait pas pourquoi il le faisait mais ça ne lâempĂȘchait pas de le faire. Il avait une confiance aveugle en MontebourgâŠÂ
La voiture sâarrĂȘta et bien entendu le socialiste ne bronchait pas et attendait bien sagement quâArnaud lui dise dâouvrir les yeux. Il entendit le claquement de la portiĂšre et se demanda ce que pouvait fabriquer le bourguignon⊠Puis, sa portiĂšre sâouvrit et lĂ , il comprit quâil pouvait ouvrir les yeux tout en sortant du vĂ©hicule. BenoĂźt se retrouva face Ă cette fĂȘte foraine, il en Ă©tait bouche bĂ©e il ne trouvait plus ses mots, il essaya de bredouiller quelque chose dâincomprĂ©hensible avant de reprendre son calme.âšâš
« Arnaud, câest⊠câest une super surprise ! Merci beaucoup ! » sâexclama Hamon avant de se faufiler en tirant son aĂźnĂ© par la main au milieu des manĂšges et des jeux en tout genre.
 Avec la chance quâils avaient, il nây avait pas de monde et avaient donc droit Ă la tranquillitĂ© absolue. Une splendide journĂ©e sâannonçait.
AprĂšs de nombreux tours dans les autos tamponneuse, Arnaud qui Ă©tait un peu sonnĂ© dĂ©cida de changer de jeu pour Ă©viter dâavoir encore plus mal au dos. Le breton aurait aimĂ© continuer Ă foncer dans toutes les voitures en marche mais il fut contraint de suivre son aĂźnĂ©, qui Ă©tait de nature plus calme.
 Bien entendu ils passĂšrent devant un stand de boissons, crĂȘpes, churros, barbapapa, bonbons⊠CâĂ©tait bien connu, la nourriture Ă©tait la faiblesse de BenoĂźt, avec lui câĂ©tait la politique zĂ©ro rĂ©gime. Il sâĂ©tait alors arrĂȘtĂ© et en bon breton, il regardait les crĂȘpes dĂ©jĂ prĂȘte et en salivait presqueâŠ
« Je tâen prends une. » Hamon nâeut mĂȘme pas le temps de dire ouf quâArnaud lui avait dĂ©jĂ payĂ©. Il ne savait comment le remercier, il se contenta dâun petit âmerciâ et dâune tape amicale sur lâĂ©paule de son collĂšgue. Ils Ă©taient en public, il ne pouvait rien faire de plus.
Ils reprirent alors leur chemin jusquâĂ arriver au stand de tir Ă la carabine. De lĂ , le bourguignon commença une partie alors quâĂ ses cĂŽtĂ©s BenoĂźt mangeait tranquillement sa crĂȘpe tout en regardant ce dernier jouer. Il avait rĂ©ussi Ă toucher tous les ballons, le forain lui demanda donc ce quâil voulait. Un sourire en coin, il dĂ©signa la peluche qui se trouvait suspendu au plafond de la sorte de camionnette. Il la rĂ©cupĂ©ra alors et remercia lâhomme en face de lui. Hamon termina quant Ă lui sa crĂȘpe avant dâhumecter ses lĂšvres toute couverte de sucre.« On va faire les montagnes russes ? » demanda le breton en se frottant doucement le ventre, il Ă©tait repu.
« Oui et si tu veux une anecdote, ici, elle sont renversantes. » rĂ©pondit Montebourg avec son Ă©ternel sourire scotchĂ© sur le visage.« Comme toi. » Arnaud ne put rĂ©pondre. Les joues rougies par la rĂ©flexion de BenoĂźt, il se contentait de marcher jusquâaux montagnes russes silencieusement.
« Hey, câest Ă mon tour de passer ! » sâexclama un adolescent avant de dĂ©passer Hamon. Mais câest en remarquant lâhomme politique quâil fit les gros yeux et quâil bredouilla : « Oh euh⊠dĂ©solĂ©, câĂ©tait un.. un jeu de mot ! Hamon, Ă mon tour, vous avez compris ! » Bienveillant, le socialiste se mit Ă rire avant de laisser passer le jeune homme. Il pouvait bien attendre, passer un peu plus temps au calme avec Montebourg ne le dĂ©rangeait pas.Â
Enfin, ce fut Ă leur tour dâacheter des places, le bourguignon nâĂ©tait pas trĂšs Ă lâaise, il nâavait pas trĂšs confiance en ce genre de manĂšge. Il ne savait pas si câĂ©tait de la bonne qualitĂ©, les vis, si câĂ©tait du made in franceâŠÂ
Bon, il prit son courage Ă deux mains et vint monter aux cĂŽtĂ©s de BenoĂźt. Il ne devait pas laisser paraĂźtre son stress, il voulait montrer quâil gĂ©rait la situation et que si ce dernier avait peur il pouvait toujours venir sâappuyer contre lui. Il adorait rassurer Hamon.Â
AprĂšs dix minutes Ă ĂȘtre restĂ© cramponner aux barres de fers qui le soutenait, Arnaud descendit Ă toute vitesse de ce monstre mĂ©tallique pour rĂ©cupĂ©rer lâimmense ours en peluche et reprendre son souffle. Il Ă©tait devenu blanchĂątre ! Le breton, lui, Ă©tait ressorti serein et ça le faisait presque rire de voir son aĂźnĂ© comme ça alors quâil se donnait des faux airs de garde du corps⊠Â
La journĂ©e touchait Ă sa fin, ils dĂ©cidĂšrent alors de terminer par un tour de grande roue. Comme toujours, elle sâarrĂȘta alors quâils Ă©taient tout en haut. CâĂ©tait le meilleur moment pour Montebourg⊠Il vint lui tendre lâours en peluche avec un grand sourire aux lĂšvres avant de prononcer : « Jâai attendu toute la sainte journĂ©e pour te lâoffrir. » Puis, il ne laissa pas le temps Ă BenoĂźt de rĂ©pondre et il vint glisser sa main libre sur la nuque de ce dernier pour venir embrasser tendrement ses lĂšvres toutes sucrĂ©es.
#BH#AM#fanfic#headcanon#prompt#lolitics#politics#Benoit Hamon#hamontebourg#Arnaud Montebourg#CHB#cinn hamon bourge#french politics#c'Ă©tait vraiment marrant Ă Ă©crire#je les trouve tellement adorable#j'Ă©cris que des trucs niais en ce moment
15 notes
·
View notes