#j'ai déjà beaucoup écrit cette année
Explore tagged Tumblr posts
Text
La tension de savoir que si tu veux avoir un peu de temps pour écrire c'est maintenant ou plus du tout avant au minimum le 26
Et forcément c'est la page blanche totale
#j'avais pour ambition de finir le soulmate ua avant la fin de l'année#c'est tellement mort#on va essayer de rester philosophe#j'ai déjà beaucoup écrit cette année#ce n'est pas dramatique tout ça tout ça#blabla
6 notes
·
View notes
Text
[In the pale dust I have discerned signs that frighten me.]
X - Mars Éditions
Sur le voyage du retour de Londres à Paris, j'ai lu Nuit Sans Fin encore et encore. C'était un livre très court; juste 9 poèmes étranges, chacun accompagné d'une photo encore plus étrange. Les première et dernière pages se composaient uniquement d'un triangle, un blanc et un noir. Les poèmes décrivaient une sorte de voyage à travers le monde souterrain. Des rituels magiques et une mythologie élaborée qui n'était pas facile à comprendre. Le vocabulaire était très compliqué; beaucoup de mots inconnus ou démodés.
Par exemple, la première poème, simplement intitulé I:
Pour se réadapter Ces nombreuses hyènes Qui tout blêmit disparaissent doucement
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai compris sans comprendre. Ce livre pourrait révéler quelque chose, mais quoi ? Je ne savais pas. Après l'avoir lu en boucle pendant quelques jours sans progresser, je me suis rendu compte que le nom de l'éditeur était bien sûr mentionné au dos du livre. J'ai trouvé leur numéro de téléphone et j'ai décidé de les appeler.
Mars Éditions, bonjour ?
Oui bonjour, je vous appelle parce que j'ai une question sur l’un de vos livres; Nuit Sans Fin.
Pas de problème, comment puis-je vous aider ?
J'ai beaucoup de questions, en fait. Tout d'abord, je me demandais si vous saviez qui l'a écrit ?
Malheureusement, non. Je ne pense pas que cette information soit connue.
Ah, vraiment ? Tellement bizarre. Mais plus curieusement, il n'y a pas de date de publication dans le livre, c'était publié quand initialement ?
La première édition date de 2017, mais je pense que les poèmes sont beaucoup plus vieux. Il y a environ 300 ans, probablement.
Je ne comprends pas. Normalement, un livre comme ça comprend une sorte d'explication; un avant-propos, n'importe quoi. C'est intéressant que vous l'ayez publié juste comme ça, sans contexte ni sans aucune autre information.
Oui, en fait…(longue pause)
Vous êtes toujours là?
Oui. En fait c��est un peu difficile à expliquer. On est une entreprise familiale. L’entreprise a été fondée en 1869 par mon arrière-arrière-grand-père qui s'intéressait aux livres obscurs et mystérieux. Mon arrière-grand-mère, qui a repris l'entreprise, n'était pas différente.
Mais le livre Nuit Sans Fin est beaucoup plus récent et a sûrement été publié récemment?
C'est vrai, mais les circonstances sont compliquées.
Compliqué ?
Oui, après le décès de Michal, l'entreprise était déjà dirigée par sa petite-fille Ray depuis de nombreuses années. Mais il y avait des instructions très détaillées dans son testament à propos de ce livre.
Des instructions?
Comment le publier, quelles informations inclure, quelles photos utiliser, les photos du livre sont évidemment beaucoup plus récentes que les poèmes. Même la date exacte de la publication.
En quoi est-ce si important ?
1er Février, 2017. Le 555e anniversaire de Jean Trithème, ou Johannes Trithemius si vous voulez.
Trithème ?
Un personnage très intéressant. Il était un abbé bénédictin allemand célèbre pour ses découvertes en cryptologie, pour ses chroniques, mais aussi comme ésotériste.
Quel était le lien entre Michal et Trithème ?
En fait, le premier livre que Mars Éditions a publié était une réédition de Stéganographie, son ouvrage le plus connu. Ce livre se présente comme un traité d'angéologie d'inspiration kabbaliste, avec des explications pour communiquer sur de longues distances avec les esprits. À l'intérieur de ce livre, Trithème cachait de nombreux secrets. Il a effectivement inventé la cryptologie, l'art de cacher des informations.
Quel type d'informations ?
Je suis désolé, je dois prendre un autre appel. Au revoir.
Juste comme ça, je suis resté silencieux.
#s08e07 and the kicker is..#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#pale dust#signs#terra incognita
20 notes
·
View notes
Text
Le week end dernier a été compliqué pour nous deux. L'ambiance était froide, pesante et désagréable. Suite à quoi, en début de semaine, je lui avais écrit le fameux "il faut qu'on parle". J'y avais notamment abordé le thème de la communication. Notion sur laquelle j'ai du travail certes mais lui encore plus. Je lui disais que ce n'était plus possible qu'on vive des moments aussi pénibles uniquement parce qu'il ne voulait pas me dire ce qu'il se passait que je n'étais pas dans sa tête, que tout n'était pas flagrant, que des fois, je pouvais ne pas me rendre compte d'avoir mal agi ou été maladroite. J'avais pas fait du chantage affectif, j'avais seulement spécifié que moi ce n'était pas quelque chose qui me convenait et que ça me ferait partir à un moment donné si ça ne changeait pas, que j'en avais marre d'amorcer les discussions difficiles mais nécessaires, d'être rejetée par lui à chaque fois que j'essayais de savoir ce qu'il ressentait, et d'accepter ça globalement. On avait beaucoup parlé, il m'avait expliqué ce qui l'avait dérangé le week end dernier, ce qu'il avait ressenti, ce qu'il pensait de mon monologue, etc. Mais du coup, moi j'avais une appréhension pour ce week end là. Je me suis dit "je suis déjà assez chamboulée par les partiels, je veux pas risquer de l'être plus en le voyant, de me rajouter de l'angoisse". Il est quand même venu. Et j'ai senti que la conversation avait fait un bout de chemin dans sa tête. Il est parti tout à l'heure, milieu d'après midi, et avant de partir, il m'a dit "viens on se pose un peu, couche toi tranquillement et écoute moi, laisse moi parler jusqu'au bout et après tu me diras ce que tu as dans la tête". Je savais pas trop ce qu'il allait me dire. J'ai obéi du coup. Je l'ai laissé parler. Il m'a dit, dans les grandes lignes, qu'il était désolé pour le week end dernier et qu'il allait faire de réels efforts pour que notre couple pâtisse moins de ses traumas et surtout de son incapacité à parler dans les moments compliqués. Ensuite, il m'a dit qu'il n'était pas bête, qu'il voyait bien que sous mon calme plat, j'avais peur de rater, puis il m'a aussi dit qu'il avait conscience que cette année avait été dure pour moi. Surtout ce changement de vie, le cancer de ma mère, sa tromperie, et que c'était normal d'avoir eu du mal à m'y mettre. Et que même si je ratais, mes notes ne reflèteraient jamais qui je suis ni ma valeur. Il m'a dit aussi qu'il avait rarement croisé quelqu'un d'aussi intelligent que moi et d'aussi fort (mentalement) et qu'il admirait beaucoup ce côté là de ma personnalité. Puis il a rajouté qu'il croyait en moi, que j'étais capable et que son amour et celui de mes proches n'étaient pas conditionnés à ma réussite scolaire. Puis qu'il m'aimait aussi.
Et tout ça, j'ai beau le savoir, ça m'a fait tellement de bien qu'il le dise et qu'il me montre un côté plus émotionnel de lui. Finalement, ce week end m'a fait un bien fou. J'ai eu l'impression qu'on s'était retrouvés. Il montre tellement peu de lui des fois, qu'on a vite fait de le prendre pour un con mais là, il m'a prouvé le contraire sans même que j'ai à demander.
24 notes
·
View notes
Text
Bon bah, une année de plus et maintenant, on est au quart de siècle ! Aux noms des dieux, si la vingt-troisième était très longue et difficile, la vingt-quatrième est passé à toute vitesse !
C'était vraiment l'année des premières fois j'ai l'impression... première fois que j'ai passé un concours, même si je ne l'ai pas eu (j'ai réussi les écrits, pas les oraux) mais, ce n'est pas vraiment grave, c'était pour un emploi qui vraiment n'était pas fait pour moi et ne plus être dans cette voie m'a fait vraiment du bien.
Première fois que je ne fais pas une rentrée scolaire aussi vu que j'ai eu mon premier travail sur le long terme qui n'est pas un job d'été ou un service civique ! (et j'ai appris qu'il faut que j'aille au cinéma plus souvent l'après-midi, c'est toujours à ce moment-là que j'avais des appels pour un emploi et pour le coup, c'est celui qui m'a recruté ! XD) C'est pas dans ma branche de base mais, j'y suis plutôt bien depuis juillet, et ça me permet d'accumuler des sous pour reprendre mes études quand je pourrais / voudrais, ou alors me permettre d'avoir qu'un emploi à mi-temps pour avoir du temps pour préparer des concours dans mon coin. Ce sera peut-être pour cette année-là, même si je ne me suis pas réinscrite à la fac. On verra bien comment ça va tourner mais pour l'instant, j'aimerais continuer à me faire de l'expérience et voir ce que ça pourrait donner (surtout que je n'ai pas trop le courage de lire de gros livres en ce moment).
Sinon, je suis assez contente de ce que j'ai pu faire cette année du côté créatif ! J'ai pu expérimenté la BD avec celle sur Pan dont je suis toujours très fière, et j'ai fini mon UA avec berserkr!Rodrigue, une réconciliation générale chez les Fraldarius avec Glenn qui survit, et Lambert qui survit aussi pour se prendre toutes les claques qu'il mérite ! J'ai aussi mis ma version d'AM où Rodrigue survit sur AO3 ! Bon, ça fait un moment que je ne l'ai pas mis à jour vu que je me prend la tête avec le passage où Rodrigue et Alix avouent tout ce qu'ils ont sur le coeur à Dimitri vis à vis de Lambert et expliquent toute son histoire mais, je finirais bien par me débloquer. C'est surtout que je ne sais pas si je leur fais avouer à mi-mot à quel point ils en veulent à Lambert à cause d'une ligne que j'ai ajouté lors de la relecture, avec Rodrigue qui marmonne à Félix qu'il serait étonné s'il savait qui il haït le plus au monde, c'est à dire Lambert à cause de tout ce qu'il a fait et son inconscience qui a tué Glenn et Nicola. D'un côté, ça permettrait de répondre à la potentielle question "qui Rodrigue haït tant ?" mais d'un autre côté, ils viennent déjà de refaire le portrait de Lambert devant Dimitri - qui leur a demandé de lui raconté l'histoire de son père sans le ménager - alors, je ne sais pas si ça suffit et j'ai peur que ce soit trop dur s'ils disaient qu'ils ne pardonneront jamais à Lambert ce qu'il a fait et que même avant sa mort, leur relation s'était beaucoup dégradé à cause de son comportement. Je change d'avis tous les jours à ce sujet mais, je finirais bien par me décider... sinon, je laisserais le chapitre comme il est, il répond déjà à pas mal de question.
Pour l'instant, je suis plus dans un moment où je dessine bien plus que je n'écris mais, je m'amuse bien en le faisant, c'est tout ce qui compte ! J'essaye aussi de m'y remettre petit à petit en écrivant une petite histoire tournant autour d'une pierre de résurrection dans l'univers de FE3H, et j'essaye aussi de mettre mes idées en place pour une histoire originale très inspirée de ma manière de voir les Fraldarius mais, dans un autre contexte et sans le boulet du canon au pied ! J'ai aussi ma BD avec Pyrkaïa qui explose Lonato qui suit son cours et même si je n'ai pas trop continué ces derniers jours pour des raisons persos, j'espère réussir à la finir ! Après tout ce temps déjà mis sur les schémas, se serait bête d'arrêter ! Au moins, j'ai fait trois planches cette semaine qui se déroule après la bataille, avec Ashe qui s'isole après avoir vu Lonato qui lui a hurlé dessus après la bataille, avec Pyrkaïa qui vient le voir pour parler. ça lui fera vraiment beaucoup de bien de parler avec elle, surtout que Pyrkaïa est certifiée adulte responsable et devrait trouver les bons mots pour lui, surtout comparée à Lonato qui ne s'est pas fait explosé pour rien. J'essayerais de vous poster des planches, même si je vais avoir un long week-end assez chargé...
Et surtout, je suis contente d'avoir pu discuter avec plein de gens ! Que ce soit IRL ou sur internet ! Que ce soit mes collègues qui sont sympas pour la plupart, mes amis de longue date IRL, ou les gens de Tumblr ! Surtout @ladyniniane ! Je suis vraiment contente qu'on continue à discuter depuis aussi longtemps ! J'aime vraiment nos conversations, et tes idées sont aussi incroyables que toi alors, je suis contente que ça continue et j'espère que ça continuera encore cette année ! J'ai aussi un peu plus parlé avec les personnes qui suivent mon blog ou que je suis (notamment @mwezina qui fait un travail incroyable sur l'étude des cartes de tarot et leur rapport avec FE3H, j'adore ce qu'elle fait !) et je croise les doigts pour que ça continue !
En tout cas, encore merci à tous pour cette bonne année de vie d'écouler et place à la première de mon nouveau quart de siècle !
9 notes
·
View notes
Note
Coucou ! Pour le jeu des question d'AO3, la 9, 19 et 29 si ça t'inspire s'il te plait ? Merci beaucoup d'avance !
Coucou :) Merci pour les questions !
9) Favorite pairing you wrote for this year?
Alors paradoxalement je n'ai pas tant écrit de choses romantiques (concrétisées s'entend) cette année. J'y ai plus réfléchi.
Pour le couple sur lequel j'ai le plus écrit, il y a bien sûr Sylvain et Ismène. J'aime beaucoup la manière dont leurs personnalités se complètent en mode soleil et lune. Il l'aide à prendre de l'assurance et à sortir de sa coquille, on voit toute la gentillesse et la bienveillance de Sylvain comme dans le soutien avec Marianne, et elle l'aide à trouver la paix.
Parmi les scènes qui m'ont plu, il y en avait une plutôt amusante où ils discutaient de leurs livres préférés et de Loog et la dame du vent
Et puis, c'était drôle en tant qu'autrice de voir Sylvain se creuser la tête sur les origines d'Ismène et être en mode "elle a parfois les mêmes attitude que Dimitri c'est dingue" (peut-être parce qu'ils ont fréquenté la même personne, haha ?)
Sylvain admira son expression déterminée. La similarité avec Dimitri était de nouveau frappante. Amusé, il se vit écrire à son ami : “Tu ne le croiras pas mais j’ai trouvé ta soeur cachée”. La plaisanterie lui sembla néanmoins de mauvais goût après l'affrontement avec Hildegarde
Sinon dans les relectures j'ai apprécié de voir la relation entre Gladys et Dimitri prendre de l'ampleur et de les voir s'affirmer comme un couple capable de surmonter les désaccords et de gouverner ensemble.
Et bien sûr, même si je n'ai pas écrit dessus, il y a le couple Edith/Anselma. Parce que c'est une énorme dinguerie, mais une qui a finalement beaucoup de sens. Faudrait que je réfléchisse à comment l'écrire sans traiter tout cet UA (parce qu'il y a beaucoup de choses dans cet UA : Lambert renversé, le devenir des persos qui change, Nérine qui est en vie et a une romance avec Glenn...).
En tout cas ça nous aura déjà offert cette magnifique tranche de rigolade :
19) What’s one pairing you want to explore next year?
La romance entre Zoé et Basile (eh non Zoé tu ne vas pas rester "veuve" toute ta vie, qu'est-ce que tu crois...). J'ai commencé à avoir les scènes clefs donc je sens que ça va être bien divertissant.
Leur première rencontre est assez amusante, en tout cas. Zoé vient à peine d'entrer au palais et le croise sans savoir qui c'est. Il faut dire qu'il n'a aucun insigne sur lui et se fait passer pour un intendant (bon c'est pas faux mais...). Il ne fait pas assez par malice, mais parce qu'il a envie pour une fois d'avoir une conversation normale avec quelqu'un.
Après ça Antonina invite Zoé à voir la procession impériale et Zoé est en mode "mais attends quoi c'était l'empereur ??? &$*sbhdsv!!".
29) Favorite line/passage you wrote this year?
Alors vu que je l'ai retravaillée cette année, je dirais les dernières lignes de Quatre guerrières (mais je les mets pas pour ne pas spoiler :P). Mais allez, petit teaser :
Elle s’appuya sur son coude, un éclat malicieux dans le regard. Il haussa le sourcil. — Quand je pense que quand j’étais petite la prêtresse m’avait dit que les saints seraient toujours là pour veiller sur moi…j’étais loin de m’imaginer que l’un d’entre eux le ferait de cette manière. — Tu es impossible, prétendit-il s’offusquer.
Sinon il y avait aussi la scène où Miklan se fait déshériter par son père. C'était bien satisfaisant comme il faut.
Sinon je suis fière de l'introduction de Kyphon et Elisabeth qui reflète bien les ressemblances et le contraste entre les deux :
Le garçon et la jeune femme se dirigèrent main dans la main vers le terrain d’entraînement. Douze ans les séparaient, mais ils auraient pu passer pour frère et sœur. Leurs traits ivoirins étaient fins, leurs cheveux des ailes de corbeau aux reflets bleutés et leurs yeux deux sources limpides. La chevelure de la dame ondulait cependant en vagues d’encre. Ses prunelles en amande contrastaient avec celles plus arrondies de l’enfant. Il avait le teint vif et frais mais elle était d’une pâleur diaphane, maladive, tant et si bien que le soleil semblait la transpercer. Un lourd manteau bordé de fourrure l’enveloppait d’ailleurs.
2 notes
·
View notes
Note
salut!! je voulais juste savoir si tu continuais the smell of samba (je veux pas paraître comme si je te presse, je vois bien que tu as d'autres choses à faire) parce que j'adore cette histoire, les dessins sont magnifiques et la suite promet d'être intéressante, notamment avec walter. pas besoin d'une date ou quoi, je lirai, et avec plaisir, quand les chapitres sortiront.
Aw Anon, merci beaucoup de ton message ! :'( Je sais que TSOS n'a pas été updaté depuis plus d'un an maintenant, et make no mistake, cela m'attriste énormément. Sans raconter ma vie j'ai eu du mal à me remettre à faire quelque chose d'aussi chronophage que du webtoon sans situation personnelle à peu près stable. Son grand frère Stone Flower est sorti dans une période de ma vie très insouciante où j'avais pas mal de temps libre ainsi qu'un grand optimisme dans l'existence. Je récupère seulement peu à peu tout cela après deux années globalement assez difficiles et pesantes. Au bout d'un moment j'ai aussi beaucoup tergiversé sur "comment" reprendre, car je ne suis pas fan du format webtoon tout en longueur et je souhaiterais plus repartir sur des planches à la Stone Flower, voir même encore plus proches du format BD. Bref, tous ces blocages ont fait que je n'ai pas avancé sur les planches de TSOS alors que j'ai tout écrit et que l'histoire est précise dans ma tête... Il y a aussi l'effet égoïste du manque d'engouement par rapport à Stone Flower, qui entrait plus rapidement dans le concret de l'aspect romance et qui je pense manque aux lecteurs pour le moment pour s'investir...
...Mais tes mots me touchent énormément. Savoir que quelqu'un attends la suite, aime mon travail et prenne le temps de me le dire me redonne courage. Je suis sur une pente qui remonte depuis le début de 2024, je reprends peu à peu goût au dessin, et l'histoire de Paolo me tient énormément à cœur donc je me dois de la raconter. Sachant tout cela, The Smell of Samba fera sans aucun doute un retour cette année... A vue de nez par rapport à mon avenir je sais déjà à peu près quand, mais je préfère vous laisser la bonne surprise ;)
#merci de ton soutien <3#sorry to my international followers but basically i just got really emotional about what it's like to write webcomics#tell people you like their work... it goes a long way haha.#ask cecil#moi : sans raconter ma vie.... moi deux secondes plus tard : ah mais si tu savais#bref!
10 notes
·
View notes
Text
Eté 1925 - Champs-les-Sims
3/6
Je dois te paraître un peu dure, mais n'y a t-il que moi et Cléo pour nous vexer de nous trouver si bas dans la liste de ses centres d'intérêts majeurs ?
Antoine me dit qu'on ne choisit pas ses parents, et que de toute façon, nous aurions pu tomber sur bien pire, mais tout de même. Et même davantage, nous ne choisissons pas, donc te pourraient-ils pas tolérer un petit effort ? J'ai la maigre consolation de savoir que Jean ne sera jamais ainsi avec nos enfants. Je voix bien que tu te ranges du côté de mon frère et de mon cousin à son sujet d'ailleurs, mais que puis-je espérer de mieux de la solidarité masculine ?
J'ai parlé de toi avec Ange, et il a été surpris que je l'ai évoqué dans notre échange. Il a été curieux de savoir ce que tu avais à dire alors je lui ai montré le passage que tu as écrit à ce sujet un jour où il était en visite. Je n'ai pas compris d'emblée pourquoi, mais il a beaucoup rit. Tant est si bien que Grand-Mère est venu lui demander si il existait un sujet convenable qui puisse susciter tant d'hilarité. Elle est allée bouder quand il lui a fait savoir que cela concernait ses "fréquentations parisiennes". Bref, il m'a dit qu'il ne se trouvait pas lui-même si fascinant et que si vous pensez les gens "de sa sorte" absents du Canada, c'est parce qu'ils n'ont pas pour habitude de le revendiquer en tout lieu et toute heure. Il a aussi remarqué que tsi il semble évident que Hylewood n'abrite pas ce genre de cabaret, il pourrait fort bien en dégotter quelques uns bien dissimulés à Kingston". D'ailleurs, j'ai peut-être laissé entendre qu'Ange "porte" sur lui sa différence et que chaque personne qui le croise le sait tout en acceptant cela chez lui. Ce n'est pas vrai. Chez moi ou même dans cet échange, nous sommes dans l'intimité de la famille alors je n'ai pas vraiment vu ce que cela impliquait de vous en parler sans détour. Mais je sais aussi que mon cousin n'est pas à l'abri d'une descente de police un soir. J'ose à peine imaginer le scandale si le fils aîné de Chastel se retrouvait en cellule au milieu d'autres !
Transcription :
Constantin « Tu sais, je vais t’écrire comme autrefois, autant que possible, et je reviendrai en France une fois l’an au moins. »
Adelphe « Et bien… je suis heureux de voir que ce changement ne te chamboule pas tant que cela. J’avoue que je m’attendais à ce que tu réagisse autrement. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, ni même le jeune premier qui a failli mourir de soif en Égypte à cause de son obstination, j’ai eu bien le temps de peser le pour et le contre. Je m’y suis préparé. »
Adelphe « Mes excuses. Je ne comptais pas te materner. »
Constantin « Mais il est vrai qu’Albertine m’a fait la même remarque. Elle m’a aussi dit que tu allais sans doute vouloir me parler, et elle avait raison. Je suis toujours autant impressionné de voir à quel point elle sait lire les autres alors que j’en suis presque incapable. »
Constantin « Par contre, elle ne m’a pas dit de quoi tu voulais me parler. Alors j’appréhende quelque peu. »
Adelphe « Même elle ne peut pas tout savoir. Je voulais simplement être sûr que tu allais bien et que cette décisions était mûrement réfléchie. »
Constantin « Elle l’est. Nous en parlons depuis plusieurs années déjà. Ce n’est pas que nous ne supportons plus cette maison ou ses occupants, mais que nous avons besoin de notre espace. Tout comme Arsinoé d’ailleurs. Si elle doit faire de cette maison la sienne, il serait sans doute bienvenu qu’elle n’y soit pas coincée avec notre génération vieillissante. »
Adelphe « C’est bien vrai. »
Constantin « Pourtant, tu vis chez ton fils. »
Adelphe « Aussi étonnant que cela soit, c’est à sa demande. Et aussi parce que je n’ai pas vraiment de biens propres, tu t’en souviens ? »
Constantin « Je ne comprendrai définitivement jamais rien à ces histoires. »
Adelphe « Ce n’est pas bien grave, tu ne manque pas grand-chose. Et j’apprécie de vivre avec Alexandre et Sylvette, d’autant plus que je vais pouvoir bientôt rencontrer un nouveau petit-enfant. »
Constantin « C’est si étrange de savoir que tu es grand-père depuis l’année dernière. Quand je pense à toi, je te vois toujours comme autrefois, quand nous étions enfants. »
Adelphe « Je mentirais si je te disais que je ne vois plus le petit garçon que tu étais. Et que cette époque me manque un peu. Des adultes pour s’occuper de nous, pas de responsabilités… »
Constantin « Ma mère me manque Adelphe. »
Adelphe « Je sais Tintin, je sais. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Constantin Le Bris#Adelphe Barbois#Albertine Le Bris#Ange de Chastel#Marc-Antoine Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Alexandre Barbois#Sylvette Norel
6 notes
·
View notes
Text
16 juillet
ça y est j'ai pleuré. je suis tombée sur une annonce de coloc à bruxelles dans les stories d'un ami de r. et ça m'a fait dérailler. 580 euros charges comprises ou bien le double d'ici mais la chambre est cinq fois plus grande (littéralement cinq fois) et c'est près de flagey donc près de m. ils sont tous artistes et dans le cercle de mes connaissances bruxelloises et je meurs d'envie d'être amie avec ce mec. il a l'air trop cool et j'adore ce qu'il fait, j'adore son univers, j'adore son humour. je l'ai envoyé à m. et elle a essayé de me raisonner mais je lui ai dit que j'avais un truc très fort dans mon corps qui voudrait être à bruxelles plutôt qu'ici et elle m'a envoyé l'émoji coeur avec les mains et j'ai pleuré. sans bruit, contrairement à la maison, pour alerter personne. j'ai pleuré et puis j'ai écrit au mec. il m'a dit qu'ils organisaient des visites mi-août mais qu'on pourrait faire un appel vidéo et j'ai dit ok cool mais mi-août ce sera beaucoup trop tard pour donner le préavis de ma chambre. et je peux pas le donner maintenant déjà parce que je sens que mes chances pour avoir cette chambre sont assez compromises.
quand j'ai vu l'annonce j'étais en train de traduire mon cv en allemand et après avoir écrit au mec j'ai complètement laissé tomber le cv, auf wiedersehen berlin, on s'en fout de trouver un job, on s'en fout que j'en ai déjà marre de l'appart et de la musique de prière arabe et de la techno et des engueulades dans la cour, on s'en fout des groupes telegram pour se faire des amis et des soirées lesbiennes auxquelles j'ose pas aller et de la chaleur insupportable et de l'odeur de viande dans le couloir de l'entrée et de la anmeldung etc etc etc, j'étais déjà à moitié partie. prête à annoncer à mes colocs je suis désolée mais je m'en vais à la fin de l'été, ma place n'est pas ici, ma place est à bruxelles, plus près de la maison, plus près de mon coeur, dans une ville francophone, plus petite, moins hardcore, avec des gens que je connais, où j'aurai plus de chances de me faufiler sur la scène artistique, surtout si j'habite dans cette coloc. bon, il reste le détail r. est-ce que c'est lui, le petit diamant au fond de ma gorge qui m'a fait pleurer de nouveau cet après-midi? dans quelle mesure exactement il est impliqué dans cette histoire de truc très fort dans mon corps? j'ai essayé de m'imaginer qu'il se pointe à l'appart un jour avec une fille qu'il aime plus que moi. mais c'est pas que lui. c'est tout son petit monde. je veux être amie avec ses amis. comme s. le bassiste par exemple. dans dix minutes je dois voir une fille de bumble mais c'est pas avec elle que j'ai envie de trainer. je veux trainer avec des gens comme r. je veux trainer avec r.
quand j'ai dit au revoir à la fille de bumble ce soir sur le trottoir devant le resto turc il a pété un énorme orage et j'étais persuadée qu'elle m'avait trouvée chiante à mourir. on s'est promenées à travers le parc de la hasenheide, on a vu des canards, un cygne, des tortues, un rat nageur, une poule d'eau et ses bébés poule d'eau qui ressemblaient à des crânes de dame âgée aux cheveux clairsemés teints en noir avec des énormes pattes de dinosaure, et puis on est allé manger des gözleme et des manti. je lui ai parlé de bruxelles et de mes angoisses existentielles et elle m'a dit que je pouvais prendre berlin comme une étape intermédiaire. je lui ai dit que je le prenais déjà comme une étape intermédiaire, mais là précisément j'ai besoin que cette étape intermédiaire se termine fin août pour pouvoir aller habiter dans cette coloc do you understand. on a encore parlé anglais parce qu'elle a pas insisté pour parler allemand mais si les gens insistent pas moi je m'y mettrai jamais. elle m'a dit qu'elle utilisait chatgpt pour écrire ses lettres de motivation elle aussi et que ça avait toujours bien marché pour elle, elle donne son cv et l'annonce à la machine et voilà. rien qu'aujourd'hui elle a envoyé trois candidatures. elle est revenue de son année à paris y a même pas une semaine et elle a déjà je sais pas combien de propositions d'entretien. moi je suis là depuis dix jours et j'ai toujours pas traduit mon cv. elle m'a dit de postuler à des jobs avec la confiance d'un homme incompétent, même si j'ai pas d'expérience ou les bons diplômes.
17 juillet
troisième jour consécutif que je me réfugie au cimetière pour écrire, c'est mes endroits préférés de la ville parce que c'est calme et on y croise pas grand monde. sauf lundi dans celui du columbiadamm où y avait un groupe de touristes qui marchaient lentement avec un air concentré en regardant autour d'eux, certains avaient posé leurs chaussures et tenaient un carnet et un stylo à la main, on aurait dit qu'ils faisaient une espèce de workshop d'écriture de terrain, ou un walkshop comme ceux d'alisa. je me suis dit que je pourrais trop organiser des walkshop-workshops d'écriture, vu mon expérience en marche urbaine et en écriture. à force de participer à des trucs j'ai accumulé des millions d'idées d'exercice. j'en ai parlé à n. mais elle a dit que pour se faire connaitre il fallait être le genre de personne qui sait se vendre et qui va au contact, ce qui complique un peu mon projet.
y avait un écureuil qui mangeait juste à côté de moi, même s'il restait sur ses gardes. il me faisait penser à moi, contractée et aux aguets, incapable de se détendre parce qu'on sait jamais. j'aime bien savoir que pas loin de la maison y a un endroit où je peux me retrouver seule avec des animaux. des animaux et des morts. mais je pense jamais aux morts quand je me promène dans un cimetière. ou plutôt je pense jamais à la mort. ou alors si, mais pas de façon négative. parfois je regarde les dates sur les tombes pour voir s'ils sont morts vieux ou jeunes. lundi sur mon banc je lisais le livre de thomas bernard qui parle beaucoup de la mort et de la misère humaine. il se plaint de tout lui aussi. il dit: "car le fait est que nous n'existons pas, le fait est que ça nous existe!" tout le monde est absolument désespéré dans ce livre. un des personnages a fini par se suicider. le narrateur dit qu'il avait vécu toute sa vie avec une "prédisposition à la mort." je me demande si j'ai vécu toute ma vie avec une prédisposition à la mort moi aussi. j'y pensais tout à l'heure dans ma chambre pendant que j'étais encore en train de pleurer. et si je me tuais à berlin? mais ça me semble moins faisable ici, ça traumatiserait plus de monde, je veux pas infliger ça à mes colocs.
ce matin je suis retournée à ikea mais ils avaient toujours pas ma lampe alors j'ai du me résoudre à prendre le modèle plus grand et plus cher et racheter des autres ampoules et je suis rentrée avec un sentiment d'échec. en rentrant maman m'a appelée et je lui ai parlé de la coloc à bruxelles et j'ai recommencé à pleurer. elle a dit et tu crois pas que ç'a quelque chose à voir avec r.? elle m'a dit que je pouvais pas partir comme ça sans plan et je commence à en avoir MARRE de devoir avoir un PLAN toujours et de pas savoir quoi FAIRE parce qu'il faut bien FAIRE quelque chose de sa vie. le plan ultime c'est la mort. le plan pour les terminer tous. je choisis ce plan et j'ai plus jamais besoin de faire un plan de ma vie. c'est mon plan préféré. quand j'ai dit à la fille de bumble que j'avais abandonné mon master à paris parce que j'étais dépressive et que je voulais rentrer à la maison elle a dit ah c'est exactement ce qui est arrivé à ma soeur. sa soeur qui est la marginale incomprise et hypersensible de la famille. si j'avais mes deux parents et une soeur ou un frère de plus, ce serait moi qui tiendrais le rôle. mais vu qu'on est que trois, y a pas assez de place pour être marginale. je me contente d'être la fragile. elle travaille dans une agence de voyage et elle vient de publier son premier recueil de nouvelles. l'été elle va chez ses parents avec ses deux enfants, dans leur grande maison au sud de l'allemagne.
5 notes
·
View notes
Text
Fascinée et en même temps gênée par cette... déification envers Goldman qu'on retrouve parfois. Jablonka prétend ne pas parler de "Jean-Jacques" mais seulement de "Goldman" mais il est clair qu'il l'adore et il parle autant de l'homme que de ses textes, surtout qu'il en parle comme l'incarnation d'une façon de vivre, d'exister à la fois artistiquement et politiquement.
Philippe Bilger, homme avec lequel je suis peu d'accord politiquement mais qui est un fan absolu de Goldman (au point qu'il a voulu défendre que Goldman n'était pas de gauche, LOL), a écrit sur son blog :""Comme s'il était le modèle dont en creux ils [les Français] avaient toujours attendu, espéré la venue. Non pas l'affirmation d'une familiarité - il est comme nous - mais le contraire : "Heureusement il n'est pas comme nous" ! (...) On adore JJG parce que, nous épargnant l'envie, il est des nôtres sans l'être. Il est d'ailleurs, en quelque sorte."
Et il y a cet article, sorti en décembre 1988, qui dit quand même :"Alors Jean-Jacques Goldman n'est pas un homme banal parce que l'humain ne possède ni son pouvoir ni ses vertiges. Je ne suis d'ailleurs pas sûr que l'être humain moyen soit aussi honnête, sensible et bon que Jean-Jacques Goldman. (...)Ce n'est pas rien de l'admirer et de vouloir un peu le mériter. Nous n'avons pas le problème d'être une star à visage humain, mais ce ne serait pas déjà si simple d'être parfois un homme sur ce modèle."
Et j'en ai lu des biographies, où clairement le biographe apparaît fasciné par l'homme, dans une admiration... pas malsaine, mais étrange.
Et il y a ce paradoxe incroyable, de Goldman qui écrit dans l'un de ses albums "les chansons sont plus belles que ceux qui les chantent", qui dit qu'il s'en fout d'être la personnalité préférée des Français, qu'il ne veut pas de fan club, qui refuse de recevoir des Victoires de la musique, qui interdisait aux journaux l'interviewant de mettre sa tête à la une et de l'autre, on a cette admiration quasi religieuse.
Plus Goldman se cache, plus il est humble, modeste et refuse la célébrité, plus on l'adule, plus il se cache, plus on l'adore, et ainsi de suite, c'est un cercle vicieux. Le prophète niera qu'il est le prophète etc.
Pas besoin de dire que je suis EXTREMEMENT FAN DE GOLDMAN, et c'est peut-être parce que je le suis devenue en 2007, donc quand sa carrière s'est terminée, mais j'ai toujours été très consciente que, comme tout le monde, il avait des défauts, il avait des opinions avec lesquelles je pouvais ne pas être d'accord (rien de grave, c'est... normal), c'était un être humain en fait. Je ne l'ai jamais vu comme un Dieu, alors que j'avais treize ans et que ça aurait été vraiment très facile de tomber là-dedans - peut-être parce que j'ai été élevée par une mère athée qui se méfie des idoles ahah. Peut-être aussi parce que justement, je suis croyante et que je fais la distinction, et que d'ailleurs, dans le judaïsme, on débat avec Dieu, on lutte avec Dieu.
(Si je faisais des essais en vidéo sur youtube, j'en ferais un là-dessus.)
Goldman a toujours été... un être humain pour moi, un homme cishet blanc, qui parle parfois comme un homme cishet blanc dans ses textes ("Fais des bébés".........), qui a créé les Enfoirés, pour le meilleur mais surtout pour le pire, un millionnaire (milliardaire peut-être ?) qui vit peut-être très simplement mais qui reste immensément privilégié. Et même si je pense sincèrement qu'il est moins pire que beaucoup de célébrités, et je le remercie d'avoir intelligemment pris du recul et d'avoir évité ces dernières années de répondre à chaque polémique (contrairement à... Murat, Renaud, Sardou, beaucoup, beaucoup), ça reste une célébrité, quelqu'un que je ne connais pas et je ne peux savoir ce qu'il est réellement dans la vraie vie. Et je suis surprise de voir des hommes adultes tomber dans une idolâtrie qu'on reproche habituellement à des adolescentes (comme quoi...)
EN BREF : personne n'est parfait, même Goldman, et on le redit "Les chansons sont souvent plus belles que ceux qui les chantent" ET "Les chansons appartiennent à ceux qui les écoutent."
6 notes
·
View notes
Text
La symbolique de la Chouette et l'Assaillant :
Alors... je viens de relire (de nouveau), le chapitre 88 de SnK et plusieurs interrogations me viennent en tête. Je voulais tout mettre dans le même post mais, comme d'habitude, je me suis laisser emporter et ça donne quelque chose de très long. Peut-être même le plus long que j'ai jamais écrit, d'ailleurs. Oups ?
Donc, l'interrogation que je traiterais ici sera : pourquoi le pseudonyme de la Chouette était-il celui d'Eren Kruger ?
Dit comme ça, je suis d'accord que ça peut paraître bizarre mais il m'est venu à l'esprit que ce choix en particulier était vraiment intéressant, surtout pour un détenteur du titan Assaillant, et ce, pour plusieurs raisons :
La chouette est un oiseau qui, dans SnK, semble représenter la liberté de part sa capacité à aller où elle le désire, sans contrainte aucune. Mais, selon une autre interprétation qui, selon moi, peut très bien aller de pair avec la première, l'oiseau pourrait aussi symboliser la connaissance car plus les personnages en savent et plus ils peuvent prendre des décisions éclairées sur la portée de leurs actes. Dans un monde où ils sont condamnés à souffrir quoiqu'ils fassent, c'est peut-être le meilleur qu'on peut leur souhaiter.
Une autre chose est que la chouette est un animal nocturne, qui attaque de nuit en profitant du couvert de l'ombre et dont la technique de chasse consiste à s'approcher silencieusement de sa proie inconsciente jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Ce qui, à mon sens, se rapporte très bien à l'Assaillant, pas seulement au prédécesseur des deux Jaeger.
Kruger était un espion dans le gouvernement qui, sans se faire identifier, a réussit à participer à la mise en place d'un réseau révolutionnaire juste sous le nez de ses ennemis.
Grisha est parvenu a identifier la famille royale sans attirer leurs soupçons même une seule fois (des années après et, sans doute, une enquête approfondie menée sur le sujet, Rod Reiss dira encore à Eren ''tout ignorer de son père'' ce qui veut dire quelque chose !) et a voler le pouvoir de l'Originel en les approchant au moment où ils étaient le plus vulnérables, l'attention étant accaparé par la chute du mur.
Eren s'est infiltré sur le continent Mahr durant des mois tout en complotant la chute de tous ses ennemis dans l'ombre avec succès, mis en place une cellule dissidente à son propre gouvernement dont personne ne s'est douter jusqu'à ce qu'il soit trop tard et est celui qui a dit que ''l'ignorance était le plus grand ennemi de la liberté''. D'ailleurs, son père avait un crédo semblable au sujet de l'esprit humain ne pouvant être retenu par de simples paroles si je me souviens bien.
Aussi, je ne sais pas pour vous mais j'aime beaucoup l'idée de la chouette pour deux autres raisons :
Il s'agît d'un oiseau prédateur qui n'est donc pas du genre à se laisser traquer sans réagir, ce qui correspond tellement bien à Eren Jaeger que ça me fait sourire rien qu'à y penser.
La symbolique de la chouette, dans la culture européenne est souvent rapporter à la mythologie grecque ou greco-romaine qui est très populaire. Et, ici, la chouette est le symbole d'Athéna, déesse grecque de la connaissance, de la sagesse et de la guerre dans le sens stratégique de celle-ci (Arès en représentant l'aspect combatif et la violence l'accompagnant) de par sa ruse. Alors, je me suis intéressée à ce que je pouvais trouver et, parmi les différentes symboliques rattachés à cette déité, j'ai trouver des choses... troublantes.
Ainsi, outre les caractéristiques précédemment décrites, en me concentrant sur les autres symboles, je me suis rendu compte que l'on comptait parmi ces symboles :
Niké la déesse de la victoire et alliée d'Athéna, soeur des déités de la Force et de l'Ardeur.
L'olivier qui représente, entre autre, la force, la victoire et la sagesse, renforçant ce qui est déjà apporté par le symbole d'Athéna et de la chouette.
Le serpent qui est associé au monde des morts et au savoir, soit divin, soit inquiétant, toujours mystérieux et qui serait capable de révéler l'avenir et le passé.
Mais également, une phrase du philosophe allemand (tiens donc !) du nom de Georg Wilhelm Friederich Hegel est que : ''La chouette de Minerve prend son envol au crépuscule''. Ce qui signifierait quelque chose en rapport avec le retard prit par la conscience humaine sur les évènements mais aussi la façon dont les humains ne prennent conscience de leurs erreurs qu'une fois qu'il est trop tard.
Et, c'est peut-être sans rapport, mais dans le contexte SnK, ça me rappelle les mots d'Eren avant de se transformer face à Annie. Quand il dit qu'il n'a pas le temps de se demander ce qui est juste ou ne l'est pas et qu'il doit agir. Ici, il fait alors passer l'action avant ses propres réflexions et, involontaire ou pas, je trouve que c'est un bel écho à cette phrase. On pourrait aussi parer du fait que, dans SnK, les Assaillants (ainsi que plein d'autres personnages) ne prennent conscience/admettent de leurs erreurs qu'au crépuscule (ou ce qu'il pense l'être, souvent à raison) de leur vie.
Kruger avec les restaurateurs et la torture qu'il a infligé à ses victimes.
Grisha et ses erreurs avec Siëg puis, plus tard, avec les Reiss.
Eren avec le Grand Terrassement/Rumbling.
Sans parler du fait que la passation de pouvoir d'Eren Kruger (qui portait ce pseudonyme) à Grisha a eu lieu au crépuscule, que ce dernier l'a donner à son fils peu après le coucher du soleil et que, à en croire certains artwork (je ne sais pas s'ils sont officiels par contre), le manga voit son arc final atteindre sa résolution au crépuscule.
Wow, j'ai réussi à ne pas spoiler et ce n'était pas facile.
Bref. Je trouvais juste intéressant de faire remarquer que si plusieurs personnages pourraient s'identifier à la phrase d'Hegel, les Assaillants sont les seuls auxquels je peux actuellement penser qui correspondent aussi bien à la partie philosophique que littéral.
Aussi, en parlant de cette scène de passation et de la conversation qui l'a précédée, plus haut, je parlais des mythologies grecque et romaine mais saviez-vous qu'au Japon, selon son espèce, la Chouette est considéré à la fois comme une ''démone'' ou une ''messagère des dieux'' ? Et n'y a t-il pas une interrogation semblable au sujet d'une certaine personne précisément dans ce chapitre ?
Comme plusieurs de ces mots sont polysémiques, j'y ait ajouter le sens dans lequel ils doivent être prit (courtoisie du Centre National des Ressources Textuelles et Lexicales pour la plupart) pour en favoriser la compréhension. Et non, je ne fais pas ça car je pense que vous ne comprendriez pas sans mais juste par prudence sachant que certains (guerre, discrétion, liberté... etc.) ont plus d'une dizaine de sens différents selon le contexte d'usage.
Force : Ensemble des ressources physiques, morales ou intellectuelles qui permettent à une personne de s'imposer ou de réagir.
-> Dans le manga, il est souvent mis en valeur que chaque individu possède ses propres forces et faiblesses.
Ardeur : Vivacité ou vigueur que l'on apporte à faire quelque chose. / Désir violent de quelque chose. / Passion.
-> Ce genre de chose ne se rapporte t-il pas tout à fait à l'Assaillant ? Eren Jaeger est le premier qui me vient en tête, bien sûr, mais même Grisha et Kruger, s'ils n'ont pas toujours céder à la passion, ont été en proie à des désirs violent d'obtenir quelque chose, qu'il s'agisse de la liberté et de la vengeance.
Ruse : Procédé dont on use à la guerre pour tromper l'ennemi sur ses intentions. / Habileté à feindre pour arriver à ses fins; art de tromper.
-> Ici, Eren Kruger et Grisha Jaeger en sont de très bon exemples de part leurs contributions respectives (fuite d'informations, vol de l'Originel) à la cause pour laquelle ils ont choisis de se battre.
Guerre Stratégique : Ensemble d'actions coordonnées, d'opérations habiles, de manœuvres en vue d'atteindre un but précis. / Partie de la science militaire qui traite de la coordination des forces armées (en intégrant les aspects politiques, logistiques et économiques) dans la conduite d'une guerre ou dans l'organisation de la défense d'une nation, d'une coalition.
-> Cela peut se rapporter, à la fois au fait que ce sont les actions coordonnées des trois Assaillant connus (et sans doute plusieurs de leurs prédécesseurs) qui ont permit la victoire d'Eren mais également la façon dont celui-ci a pu mener a bien le Grand Terrassement grâce à l'aide de sa propre faction, celle de Siëg mais aussi les actions de ses opposants et ennemis ans le but de défendre sa nation / les personnes qui lui sont précieuses.
Prédation : Synonyme de ''chasse'' qui est l'action de poursuivre, de chercher à atteindre pour s'emparer. Recherche ardente, tenace d'un objet, concret ou abstrait.
-> Juste... entre l'obsession de la liberté des Assaillants, l'action de chercher à s'emparer de quelque chose (ici le pouvoir de l'Originel) à tout prix et le nom ''Jaeger'', ai-je vraiment besoin de le détailler davantage ?
Connaissances : Avoir atteint l'âge où l'on est apte à discerner la valeur de ses actions petites ou grandes.
-> Une autre chose qui fait, selon moi, le charme de SnK, c'est qu'outre le renversement brutal de nos perspectives que nous inflige (oui, ce mot-là car c'est toujours douloureux, voir déchirant, pour les lecteurs) le manga, SnK est aussi une histoire sur la façon dont la capacité à gagner en maturité et en connaissance élargit notre vision, non seulement sur nous-mêmes mais aussi le monde qui nous entoure... et les conséquences de nos actes qui vont avec.
Au-delà : Ce qui fait suite à la vie terrestre, le monde où l'on situe la vie future.
-> Bon, là-dessus, je n'étais pas trop certaine mais vous savez quoi ? Je le met quand même car, quand j'ai vu cette symbolique associé au fait de se passer de la chaleur de la vie, j'ai immédiatement penser aux Chemins qui sont l'au-delà eldien littéral ! Ou, au minimum, celui des shifter, incluant les Assaillant.
Temporalité : Pouvoir temporel. / Caractère de ce qui est dans le temps, de ce qui appartient au temps et de ce qui s'y déroule.
-> Après le chapitre 121 ou l'épisode... 4, je crois, de la saison 4 partie 2 (qui était d'ailleurs splendide !), ai-je vraiment besoin d'expliciter ?
Discrétion : Caractère de ce qui est accompli de manière à passer inaperçu, à rester secret; fait de passer inaperçu, de rester secret. / Qualité consistant à garder les secrets.
-> Un rapport intéressant aux missions d'espionnages respectives de Kruger et Grisha ainsi que de la capacité d'Eren a dissimuler le pouvoir de l'Assaillant jusqu'au moment opportun sans aucun soupçon (de la part des autres personnages).
Interprétation : Attribution d'une signification déformée ou erronée à un fait réel, à un événement, à un comportement.
-> Ici, ce qui est mit en valeur est à la fois la façon dont la situation de Paradis est posé selon à qui l'ont demande (soldats ou guerriers), la façon dont Mahr est vue par le reste du monde (héros triomphateur des démons ou colonisateurs agressifs), les différents points de vue sur Eren lui-même (sauveur et libérateur ou démon meurtrier) ainsi que sur Ymir la Première (déesse ou démone, esclave ou personne).
Contradiction : Relation existant entre deux notions dont l'une nie l'affirmation de l'autre.
-> C'est à peu près la même chose que ce que je dis plus haut avec, cette fois-ci, l'introduction de la nuance voulant que ces interprétations sont non seulement divergentes mais aussi opposées et irréconciliables. De la même façon que les protagonistes ne peuvent pas être soldat et guerrier ou déesse et démone autrement que dans les regards d'autrui.
Liberté : Droit pour tout individu de faire ses choix. / Possibilité d'agir, de penser par soi-même; refus de toute sujétion aux choses, de toute pression d'autrui. / État de celui qui se détermine après réflexion, en connaissance de cause, d'après des motifs qu'il accepte; état de celui qui contrôle ses passions et qui réalise dans ses actes, le bien, la raison, la vérité considérés comme l'expression de sa nature profonde.
-> Vu la façon dont nous avons eu ce mot à toute les sauces et la façon dont il est dit que l'Assaillant est celui qui se bat pour la liberté (ironique quand on sait qu'Isayama a déclaré ne pas savoir ce dont il s'agissait exactement), je ne pense pas que j'ai besoin de préciser davantage en quoi il se relie aux Assaillant. Cependant, pour les courageux qui ont lu jusqu'ici, je serais curieuse de connaître leur interprétation de ce mot.
Personnellement, je pense qu'il s'agit de la capacité à faire ses propres choix, en toutes connaissances de causes et conséquences tout en ayant sa propre définition de ce qu'est la liberté personnelle car personne n'en aura une définition identique. Qu'il s'agisse de venger les personnes qu'on aime, de pouvoir vivre la tête haute sans être constamment rabaissé, de ne pas être obligé à commettre des actes que nous ne désirons pas, d'aller où on le désire sans contrainte et partout dans le monde... chacun peut définir par lui-même ce qu'il considère comme la liberté et si celle qu'il possède actuellement lui suffit.
Vous pourriez penser que ce sont des coïncidences et, peut-être auriez-vous raison. Pour ma part, je trouve que ça fait beaucoup de hasard autour d'un seul sujet, surtout quand on sait qu'Isayama s'est spécifiquement inspiré des culture romaines et scandinaves pour créer les Marleyens et les Eldiens.
#Shingeki no Kyôjin#attack on titan#attack titan#Titan Assaillant#Symbolique#Chouette#Eren Kruger#Grisha Jaeger#Eren Jaeger#Je ne suis pas certaine mais puis-je appeler ça une méta sans abus de langage ?#Mon dieu ce texte était long et casse-couille à rédiger mais depuis le temps que j'y pensais !
8 notes
·
View notes
Text
"du coup je viens de voir le dernier épisode des petits meurtres" j'avais juste cette phrase dans mes brouillons depuis mai je crois 😭. bref, tentative de petite critique sur le dernier épisode des petits meurtres en date : "meurtres du troisième type".
je l'ai pas revu depuis mais je sais que je l'ai vraiment adoré ! surtout au niveau des personnages principaux et des relations entre eux. genre j'ai apprécié comment ils ont utilisé le personnage de blum, je l'ai trouvé beaucoup mieux écrit et utilisé que quand il casse les ovaires de gréco. et genre vraiment les dynamiques des personnages sont trop bien dans cet épisode, perso j'espère vraiment qu'ils les garderont à peu près comme ça. que ce soit le goff, blum ou le trio et même rateau, c'est ma dream team.
le set design est ouf aussi, j'aimais trop le studio de l'émission. aussi ça fait plaisir de revoir Marilyne Canto qui a joué dans l'épisode 5 de la saison 1 (épisode avec plusieurs couples lesbiens à mes yeux). aussi je sais pas pourquoi mais je me souviens bien de son collier que j'aimais beaucoup parce qu'il faisait vraiment années 70. j'ai beaucoup aimé l'intrigue, c'est personnel mais j'ai rarement réussi à deviner l'assassin dans les petits meurtres (sauf dans l'épisode précédent).
maintenant il faut parler de l'histoire de rose et de l'ufologue. dès qu'elle est rentrée dans la salle et que Rose a sursauté en mode 🥺🥰bonjour !!☺️😍 j'ai su qu'il allait avoir un truc, moi j'ai un nez pour les bails de lesbiennes. et pendant l'épisode, j'ai du faire des pauses à plusieurs moments dans l'épisode pour crier silencieusement parce j'étais en mode "ILS VONT LE FAIRE, IL VONT LE FAIRE, ROSE VA ÊTRE CANONIQUEMENT LESBIENNE !!". résultats vers la fin de l'épisode quand elle dit à max qu'elle veut être l'amie de l'autre meuf (je crois elle s'appelle sylvia ? ou julia ? je sais plus maintenant mdr) je me suis dit ouh non... mais c'est ambigu... elle l'est peut-être. et la fin de l'épisode j'étais déçue de ce côté là mais j'ai quand même beaucoup aimé.
aussi, max ami accidentel des spectatrices lesbiennes parce que dire à rose d'aller dîner avec la meuf c'est nous rendre un service, merci ma vie. et gréco qui ne confirme PAS que rose est hétérosexuelle (je prends tout au niveau où j'en suis hein), merci reine pour moi ça me confirme qu'elle est lesbienne. je n'abandonne toujours pas pour mon ship rose/gréco (delusional la meuf bref).
après je suis d'autant plus déçue que rose aurait très bien pu être lesbienne et c'est révélé dans cet épisode. on est loin d'alice (dont la romance avec une femme a été complètement oubliée et qui a eu un relooking en mode "c'est pas une sale gouine regardez elle porte des vêtements plus féminins") et qui elle même est loin de lampion qui était clairement montré homosexuel dès la moitié du premier épisode donc bon.
personnellement, j'ai hâte de voir les épisodes suivants ("bientôt" diffusés) mais pour le prochain, sur l'hypnose j'ai lu le résumé wikipédia et j'ai un peu peur parce que rose va s'allier avec "un expert" pour prouver que l'hypnotiseur est un charlatan et j'ai peur qu'ils mettent elle et l'expert en couple vu qu'elle est la seule du trio à ne pas avoir eu de vraie romance vu que l'ufologue ne compte pas. je preshotte mais je pense, en ne sachant pratiquement rien sur l'épisode, que ce sera l'expert l'assassin puisque c'est souvent le personnage récurrent de l'épisode hors de l'enquête qui tue dans cette série.
sinon dans deux autres qui suivent, on va sûrement et certainement apprendre beaucoup sur Annie et Rose et leurs vies personnelles avant le début de la série. après, personnellement, je n'ai pas envie qu'on apprenne tout déjà sur la fille biologique de gréco, je trouve que c'est encore un peu tôt et que ce serai mieux que ça soit une surprise dans un épisode que quelque chose dit déjà dans le résumé wikipédia.
bref en tout cas, je pense que cet épisode est mon préféré de la saison, à égalité, voire peut-être même au dessus de l'épisode deux !! et j'espère que les épisodes suivants feront des bêtes d'audience qui permettront peut-être à la série de ne pas être annulée comme ça.
edit 16h10 : j'ai oublié mais j'avais une petite blague pour la déconne, quand rose rencontre l'ufologue pour la première fois j'étais vraiment comme shiv quand le pote de son frère a des kiss guys on molly allegations.
#critique de niveau télérama attention les filles.#les petits meurtres d'agatha christie#les petits meurtres#french side of tumblr#up the baguette#french stuff#french show#lesbian stuff#sophia talks#edit : en sah j'ai pas vu l'épisode depuis longtemps j'ai fait la critique à l'aide de mes connaissances là
2 notes
·
View notes
Text
C'est l'histoire de deux coeurs qui tentent de se joindre. Deux coeurs meurtris, qui tâtonnent comme ils peuvent à travers de cette aventure unique qu'ils vivent. Elle a si peur.
Cette histoire, c'est la mienne et la sienne. Je ne pensais pas vivre une telle intensité dans ma vie. Je pensais que l'intensité déjà vécue suffisait. Cette intensité était déjà si forte. Si puissante. Malgré ce cœur fermé, qui a refusé de vivre pendant 4 ans, j'ai découvert une intensité d'un niveau hors du temps.
Mes peurs me dominent. Dans cette relation, d'autant plus. Les voici. Et voici sa réponse. On ne m'a jamais écrit quelque chose d'aussi beau. Je n'ai jamais ressenti cela. Une boule dans le cœur, littéralement. Des tremblements d'émotion.
Si une histoire pareille crée une telle réaction, pourquoi se battre contre la peur ?
Et pourtant, voici mes peurs :
J'ai besoin d'accepter que je ne peux pas tout savoir des gens, de ce qu'ils pensent vraiment, et que je ne suis pas au centre de tout et de chaque vie. L'idée que les autres me disent tout sans aucune limite n'est pas saine et est basée sur un égocentrisme extrême où ce qu'on ne me dit pas n'existe pas.
Je ne suis pas un deuxième choix ou une deuxième option. Je ne souhaite pas m'immiscer dans une vie où je n'ai pas ma place/où je prends la place de quelqu'un d'autre.
Je ne suis pas sûre d'avoir les épaules. Pas certaine d'être capable de m'engager émotionnellement à nouveau.
Je sais déjà comment ça va se terminer. Je sais très bien que c'est moi qui finirai par se faire briser le coeur. Ca ne peut pas être sain. Je ne suis pas quelqu'un avec qui on vit une histoire saine.
J'ai tout intérêt à tout couper maintenant pour me protéger. Je suis en train de me jeter dans la gueule du loup : je sais que je m'éloigne de la paix que j'ai réussi à installer dans ma vie.
Plus ça va moins je sais si je peux te faire confiance. C'est facile de dire "j'ai pas envie de te mentir". Rien ne me dit que ça n'est pas déjà un mensonge.
Tu es l'addition de beaucoup de choses devant lesquelles je ferais normalement demi tour.
Je ne suis pas sûre d'être ce dont tu as besoin.
Je déteste qui j'ai été quand j'ai été amoureuse. J'ai peur de redevenir comme ça.
Je sais que cette fois-ci, je ne tombe pas amoureuse parce que c'est pratique. C'est aussi pour ça que j'ai envie de m'y plonger aussi bêtement.
J'ai l'impression de m'immiscer dans une histoire sérieuse déjà existante.
Je ne suis pas du tout habituée à une telle rapidité et une telle intensité aussi vite. Ca crée de la panique totale.
J'ai l'impression que tu me mets sur un piédestal.
C'est pas l'engagement en termes d'exclusivité ou dans le même genre qui me fait peur. C'est l'engagement émotionnel. Le mien principalement.
Réponse :
Bon ce petit message qui se veut organiser, mais qui se parsemait sans doute de chaos au fur et à mesure que mon esprit s’empare du clavier.
Je vais écrire écrire écrire, laisser glisser pour la première fois depuis quelque temps mes émotions et mes pensées sur ces petits bouts de plastiques sérigraphiés.
Tu n’es pas une première ou deuxième option.
En fait tu es la seule qui est apparue depuis des années, mais peut-on alors parler d’option ? Je te qualifierai plutôt une évidence absolument pas évidente.
Car nous sommes d’accord pour dire que ce n’est pas simple.
Hochement de tête commun des deux personnages
Je me rends compte que je vais pas mal parler de moi, de ce que j’ai en tête au cours de cette lettre (oui je viens de sortir du déni, cela ne sera pas copié/collé sur messenger.).
Je te répondrai aussi, et j’espère que tu trouveras dans mes mots une certaine réassurance. Ou pas. Ce n’est pas vraiment le but. Plutôt une invitation digitale à l'intérieur de ma tête pour te montrer comment je vois les choses que tu m’as dites.
Est-ce que cela sera un tissu de mensonges ?
J'espère juste que je transmettrai, de manière sans doute très décousue, le maximum de ce que je ressens à travers l’écran froid de ton tel pour que tu ne le penses pas.
Avoir les épaules ? Je ne suis pas certain non plus de les avoir. J'ai même parfois franchement peur de rechuter et de tout foutre en l’air. Encore et encore. De me renfermer loin et seul dans ma coquille froide.
Mais j’ai beaucoup avancé aussi. Je n’ai plus envie de me méfier. Je n’ai même jamais aimé ça. Je n’aime pas ça. Peut-être que je me ferai encore avoir. Ce n’est pas grave.
Ce ne sera ni la première, ni la dernière.
Car si je ne me trompe pas, si au final, j’ai eu raison de faire confiance, alors les choses seront incroyables.
Une sorte de naïveté qui ne m’a jamais quitté.
Peut-être que tu ne voudras plus à la réception de cette lettre, peut être dans 1 mois, j’apprendrai que tu es en fait un agent en couverture qui doit disparaître (mais tu te souviendras toujours de moi et tu écriras un super bouquin sur le sujet, un petit succès chez les ménagères de 35 ans).
Peut-être que je te trahirai ? Te mentirait ? Je n’espère pas. Je ne le veux pas. Je ne veux pas perdre cette lumière inédite d’honnêteté que je vis avec toi. Les lueurs grisâtres des relations corrompues par le mensonge, j’ai donné. Et j’en étais parfois très responsable.
Mais revivre encore et encore la même chose ? Franchement, j’aimerai vraiment être heureux et me sentir libre de tout foutoir dans ma prochaine relation, quoi qu’elle puisse être.
Après, je ne suis pas un gars simple non plus, j’entends. Un p’tit cumul de quelques red flag formant les étendards d’une belle troupe anglaise.
Je refuse de te les cacher. J’ai peut-être même un peu trop voulu te les montrer. Je ne veux pas te mentir, pas omettre (😉). Et aussi, car il est ptet plus simple aussi de montrer cette partie-là. Car il n’y a pas que ça. de ça j'en suis sûr (au moins 1 ou 2 trucs cools).
Difficile de te rassurer le dessus. Cela se fera ou non lors de nos nombreuses conversations. Je vais être moi, si j’échoue à passer la barrière cela sera ainsi.
Je ne sais de quelle relation tu parles en disant s'immiscer au milieu d’une autre. Sans doute une chose dont nous parlerons demain (cette lettre est interactive avec messenger, dingue la vie). Je n’en ai pas. Bien que j’en ai eu quelques-unes au fil de Paris, les choses me semblent cette fois différentes.
Avec toi c'est une relation ou j’ai envie de me dire “putain ça peut mener ou cette histoire” plutôt que de la penser morte avant même qu’elle naisse.
Et je ne sais pas si l’un d’entre nous finira avec le cœur brisé. J’ai juste l’instinct profond que l’aventure vaut le coup.
Je ne peux pas te promettre que tout finira bien. Qui le peut ? (J’adore le côté théâtral de cette phrase.).
Et tu n’as pas à être ce dont j’ai besoin. Je dois être ce dont j’ai besoin. Et si tu m’aides un peu au milieu de tout ça, tant mieux. Et surtout, laisse moi être juge de la question. Et je m’autorise à un tel niveau de vulnérabilité et de lâche prise en ta présence. Être moi : c’est quoi le meilleur cadeau que tu puisses me faire ?
Est-ce que tu es saine ? Vaste question. Il y a deux paramètres ici. La personne en elle-même (dans le fond, une bonne ou une mauvaise) et la relation. Je pense foncièrement que tu es une belle personne, et notre relation semble saine et nous fait du bien.
Après… on est un peu gris, mais perso, j’aime les gens gris. J’ai appris à faire avec eux au fur et à mesure de ma vie. Pour une obscure raison, ils semblent être ceux que j’aime le plus.
Et je me doute que je vais trouver cela plus tard de diverses manières si notre relation se poursuit. Mais je pense que tu ne devrais pas autant redouter comment tu étais avant.
Car cela sera forcément différent (on espère mieux pour toi si tu en as autant peur 😀).
Non seulement, on est vraiment différents selon nos relations, mais j’ai personnellement énormément évolué depuis ma dernière relation. Je suis avec toi d’une manière inédite. C’est grisant.
Nous avons une communication et lâcher prise incroyable, et je n'ai jamais vécu cela. He oui, tu ne pourras pas connaître tous les détails de ma vie et du tréfonds de mon esprit. Et de même pour toi. Et oui franchement ça fait chier, car c’est cool de tout savoir.
(Par contre à deux, on pourra mettre en place un système de potin pour connaître celles des autres.)
Et bien que je ne sache pas tout, j’aime vraiment la personne que tu es. Je la trouve splendide. Je ne te mets pas sur un piédestal. Je tombe amoureux de toi, Amel, petit à petit. Et c’est parce que je trouve ta personne incroyable. Cela ne m'empêche pas d’en voir les failles. Je ne te vois pas comme parfaite et sans défaut. Je saurai mettre les limites que je dois, c’est pour cela que je n’ai aucun problème à admettre que je trouve ton être magnifique.
C’est bien en tout cas, je suis capable de faire court.
0 notes
Text
Critique - Les Annales du Disque-Monde: Le Faucheur
Bonjour à tous.
Étant un grand fan de fantasy, je me suis récemment intéressé aux Annales du Disque-Monde, de Terry Pratchett. Et… je ne m'attendais pas à ça il faut dire. J'ai commencé par Le Faucheur (sans savoir qu'il s'agissait du 11e tome, mais bon…). Alors de quoi s'agit-il ?
Et bien comme dit précédemment, Les Annales du Disque-Monde est une série de romans de fantasy écrits par Terry Pratchett et dont Le Faucheur en est le 11e tome. Il est publié pour la première fois en 1991 et sort chez nous en 1998. Le traducteur, Patrick Couton, en obtiendra même le Grand Prix de l'Imaginaire la même année.
L'histoire raconte qu'un jour, la mort découvre qu'il a été mit à la retraite et qu'il est donc maintenant mortel. Il va donc profiter du temps qu'il possède à présent pour vivre comme un mortel en attendant la Nouvelle Mort. Il va alors vivre à la ferme de Mme Trottemenu sous le nom de Pierre Porte en tant que moissonneur (pour 6 sous à la semaine).
Pendant ce temps, Vindelle Pounze, le plus vieux des mages, s'apprête à mourir sous les yeux de ses collègues de l'Université de l'Invisible. Et lorsque vint le moment fatidique, rien, il reste vivant. Il va donc tenter de trouver un moyen de mourir avant de rejoindre le Club du Nouveau Départ où d'autres morts-vivants partagent la même expérience.
Et les membres de l'Université, dépassés par les événements, tenteront de comprendre ce qu'il se passe.
Tout d'abord, comme je l'ai dit auparavant, ce fut pour moi une introduction à l'univers du Disque-Monde, et je ne fut pas déçu du tout. J'ai directement accroché à ce monde et son humour absurde, car oui, il y a énormément d'humour dans cette histoire.
Pour en revenir à l'univers en question, je ne savais rien avant de lire, mais il m'a fournit suffisamment de détails pour que je comprenne où j'étais et ce qu'il s'y passe, sans pour autant me vomir un lore indigeste pendant 3 chapitres comme le font beaucoup trop de livres. Et même si j'ai effectivement commencé par le 11e tome, je n'ai pas ressenti le besoin de lire les tomes précédents pour comprendre le Disque-Monde (bien que je vais quand même le faire).
Les personnages de l'histoire sont tous attachants. Mais celui qui m'a le plus touché est la Mort, qui arrive dans un monde totalement inconnu pour lui, alors qu'il l'a vu durant des millénaires, et qui le découvre sous un nouvel angle. En lisant son histoire, je voulais qu'il puisse vivre heureux à la ferme de Mme Trottemenu, même si son destin était déjà scellé. Sinon, on peut également citer Modo le jardinier, qui semble s'en foutre complètement de tout les événements improbables qui se passent actuellement, ou encore de Mlle Cake et son don de prémonition qui lui fait répondre une phrase avant qu'on ne lui pose la question (ce qui est un vrai mindfuck). Même si pour la plupart des personnages, je voulais simplement savoir quelle genre de situations invraisemblable pouvait leur arriver. Ce qui m'a fait le plus rire est le combat qu'on dut mener les mages de l'Université contre un tas de fumier mort-vivant (oui vous avez bien lu).
Le rythme de l'histoire est rapide sans pour autant l'être trop, nous laissant suivre les histoires de chacun sans nous perdre, alors qu'on suit quand même trois points de vue différents, ce qui peut facilement rendre fou quand c'est mal écrit (ce qui n'est pas le cas ici). Pas de chapitre, pas d'acte, juste un changement de position à chaque événement pour laisser chacun vivre sa petite histoire.
Les « entités supérieures » (elles n'ont pas de noms exact, sauf si je me trompe) ont toutes une manière spéciale de s'exprimer. Par exemple, Pierre Porte parle en petites capitales, les anges (ou du moins ce qui est présenté en tant que tel) s'expriment via le narrateur et Azraël prend littéralement une page entière pour dire un seul mot. De plus, lorsqu'ils sont là, on ressent une telle prestance de leur part qu'on comprend tout de suite leur puissance, et qu'ils sont pas là pour déconner. Mention spéciale à la Faux de la Mort qui est si puissante qu'elle peut même trancher du texte.
Mon seul problème avec ce livre, c'est sa problématique (c'est un comble vous allez me dire) car le fait que personne ne meure ne semble poser problème qu'aux personnages principaux, alors que le phénomène est décrit comme général. J'aurais bien aimé que Vindelle ou même directement Pierre Porte tombe sur d'autres touchés par l'impossibilité de mourir, mais les seuls autres morts-vivants qu'on rencontre sont ceux du Club du Nouveau Départ. Mais c'est le seul point noir que j'ai relevé.
En clair, c'est un excellent livre que je conseille à tout ceux qui ne l'ont pas encore lu, et j'encourage tout ceux qui n'ont pas encore découvert Les Annales du Disque-Monde à prendre d'assaut leur librairie préférée pour en obtenir la collection.
0 notes
Text
Hier, j'ai beaucoup discuté avec un de mes ex, le deuxième qui m'a contacté, Malik, celui qui va être papa pour la 2em fois. J'ai l'impression qu'il est resté dans un idéal de nous deux qui remonte tout de même à 14 ans. Il en garde de merveilleux souvenirs, il se souvient même ce que je portais la première fois qu'il m'a vu. Même si c'est touchant, je ne cesse de lui rappeler que cette femme, ce n'est plus moi ! Le temps, les kilos et la ménopause sont passés par là. Et mentalement aussi, j'ai changé. Il répond qu'il le sait, qu'il l'a vu sur les photos mais que je lui plait toujours et pour bien d'autres choses. Je lui ai expliqué clairement que je ne souhaitais pas être un objet de fantasme, que je n'avais pas envie de rencontrer qui que ce soit, que toute cette période était derrière moi. Le revoir, un jour, pourquoi pas, mais pas dans l'optique de redevenir des amants. Surtout qu'en ce moment, avec sa femme enceinte de 5 mois, il a probablement des manques. Alors je me dis qu'il espère peut être que je vais combler ses envies à distance. Si c'est le cas, il rêve ! Quand je lui en parle, il dit que non, bien entendu. Il dit aussi que ça lui fait du bien de me parler, de retrouver cette complicité et cette facilité d'échange que nous avons lui et moi. J'ai envie de croire qu'il veut simplement renouer une relation amicale mais...
Et puis, c'est quoi ces mecs dont les femmes sont enceintes et qui papillonnent ailleurs ? Bien que, enceinte ou pas enceinte, pas mal de mec papillonnent loin de leur femme. S'ils mettaient autant d'énergie et de mots sucrés à renforcer leur relation conjugale, ce serait plus productif ! Au cours des dernières années, c'est le 3em qui se rapprochent de moi alors qu'il va devenir papa. Le pire cas, c'est l'autre ex, le premier qui m'a écrit. Lui, il m'a annoncé que sa femme était enceinte la veille de notre weekend ensemble ! J'étais déjà trop accro pour tout annuler. Bien entendu, après ce weekend, il a culpabilisé, coup classique ! Je l'ai quitté quelques semaines plus tard tant il était devenu insupportable, entre son égoïsme et ses sautes d'humeurs. Hier d'ailleurs, il n'a pas écrit. Quand je lui ai fait constaté que mon dernier message, envoyé 12h plus tot, n'avait pas été lu (alors qu'il était en ligne) ça l'a fait rire et il a répondu que la lecture des messages dépendait de son humeur ! Ce mec là, c'est vraiment le plus égoïste que j'ai pu rencontrer. Même avec sa femme! Il est parti 15 jours voir sa famille dans un autre pays, alors qu'elle était enceinte de 8 mois de leur premier enfant qu'ils ont mit des années à avoir ! Je ne comprends pas. Et je ne ME comprend pas. Pourquoi je continue à parler avec ce mec ? Je sens que le blocage lui pend au nez.
De toute façon, mon cœur est verrouillé depuis 8 ans maintenant. Mais ça, c'est une autre histoire.
1 note
·
View note
Text
A vous, que je tutoie
Je vous écris depuis l’espace rebel de mon Coeur. Et derrière ce ‘vous’ entendez ‘toi’, toi qui m'es proche, toi qui m’es inconnu, toi Marie, toi Shiva,
et le reste.
Je vous écris car vous êtes ceux qui me restent, quand je ne sais plus vers qui me tourner.
Oui, j’ose écrire à l’Humanité , sans exception.
Je bénis la lassitude extrême, ce point de non-retour qui aujourd’hui articule mon poignet. Je bénis cette fatigue qui a fait tomber jusqu’à mon chignon, je bénis ce léger désespoir qui, juste assez me pousse vers l’abandon.
Je vous écris sans le devoir,
mais sans trop de choix non plus
je vous écris par ce que ma suite en dépend,
et parce que j’aimerais continuer ensemble.
Je pourrais n’écrire qu’à moi comme je le fais chaque jour - et pourtant la possibilité même infime que ces mots puissent aider, réconforter ou questionner certains d’entre vous ne me permet pas de nous priver d’une évolution collective. Je vis pour le questionnement , plus que pour les réponses.
Je sais ne pas être l’unique, je sais que tout déjà a été dit, ressenti, écrit - néanmoins, l’universalité du vécu n’enlève rien au précieux de l’individuel, ni à la puissance guérisseuse du partage. Et, plus personnellement et égoïstement peut-être, si j’ai une chance de sauver tous les livres encore muets que j’ai en moi par cette lettre qui déblaye le chemin, alors je tenterai tout.
Une mise au point s’impose.
Et même si vous ne m’avez rien demandé et que je ne vous ai pas mentis - je ne vous ai pas tout dit.
Ces deux dernières années ont été des plus denses, des plus difficiles et des plus riches en enseignements.
J’associe le début de ce long cycle de dépouillement au décès de mon grand-père qui m’a confrontée à la perte - mais sans drame, au contraire, avec une certaine grâce (il aura eu la classe jusqu’au bout) . Cette perte de figure masculine a coïncidé avec l’arrivée de l’Amoureux. Vraiment, presque jour pour jour - un menuisier a laissé place à un autre. Sublime & vertigineuse passation.
Seulement voilà, pour laisser entrer l’Amoureux en ma vie il m'a fallu laisser partir ma meilleure amie, ma soeur, ma moitié - je me suis soudain retrouvée au coeur du plus grand chagrin d’amour de ma vie. Ce jour-là j'ai cru perdre une partie de moi. Je semblerais avoir inconsciemment créé une situation de dilemme, et j’ai dû choisir.
Entre elle et lui, ce fut lui. Je suis littéralement tombée en amour : le coeur déchiré par l’une, recousu par l’autre. A quelques semaines de la mort de mon grand-père je me suis dit que le plus difficile n’est peut être pas de faire le deuil de nos morts mais celui de nos vivants.
Cette année-là, je me suis réveillée chaque nuit en sursaut, en sanglot, accablée par une Tristesse trop grande pour moi. Elle n’était pas en moi : j’étais en elle, avalée par elle. Elle me digérait et prenait son temps.
Quelques mois plus tard, alors que j’entamais une réconciliation avec le masculin par la relation -tumultueuse- à deux, l’arrivée imminente de mon premier neveu nous a motivées ma soeur et moi à faire l’experience d’une constellation familiale. L’heure était venue, nous étions prêtes, moi un peu moins. Beaucoup a été guéri ce jour-là. Le retour des ancêtres, de la lignée, du poids des histoires transmises. On m’a dit abus sexuel - je me suis retrouvée au sol. Je me souviens du tambour de cette femme qui battait comme pour ré-animer mon corps.
J'ai ce jour-là retrouvé une partie de moi - la plus collante, encombrante, honteuse - mais la pièce manquante. A la fois accablée et soulagée d’être arrivée à un dénouement, ça hurlait dans mon utérus. Une rage enfouie, une colère telle qu’elle m’évanouit, me dissocie, fait disjoncter mon système nerveux.
Tout un gospel.
Cette rage n’est encore jamais loin , mais elle n’a plus de point de départ , ni de destinataire précis. Elle dit simplement d’un dysfonctionnement et d’une volonté de renverser, bousculer, afin de reconstruire ensemble sur des valeurs de respect, d’égalité et de compassion. Elle perd en violence et gagne en élan créatif : doucement, on s’apprend. Je vis avec un mystère, une incompréhension une enquête pour toujours inconclue. Mais y a-t-il quelque chose de certain en ce Monde ?
Et pendant tout ce temps, entre les sanglots, j’ai chanté. J’ai ‘survécu grâce au chant’ m’a t-on dit , j’ai hurlé comme j’ai pu.
Et pendant tout ce temps j’ai écrit, enseigné, guidé des pratiques, des ateliers et des stages. J’ai organisé -beaucoup- en matérialisant mes rêves de tribu : toujours plus loin en tournée, plus grand en festival. J’ai adoré cette expansion et je me pince encore pour y croire.
Et, pendant tout ce temps je vous ai massés , m’effaçant pour vous laisser place. Et pour autant : votre guérison appelait la mienne. A chaque corps j’ai massé l’Humanité - nos plaies, nos bleus, nos tensions - et j’ai retrouvé foi en Nous.
Oui, pendant tout ce temps , j’ai vu le Beau , partout. Des moments de mal-être ponctués par des pluies de Grâce. J’ai reçu de l’Amour de toutes les directions, en cascade. Je sais ma chance.
Et pendant tout ce temps, l’in-envisageable :
Il y a eu Marie.
Même plus tard au fin fond d'une grotte indienne, aux pieds de Shiva, il y a eu Marie. Depuis je reconnais son appel, son arrivée en mon corps - ma tête qui s’incline sur une épaule invisible, ma voix qui gagne en profondeur, mes mains qui flottent dans l’espace - je suis alors emprunt d’une élégance que je ne me connais pas.
Un jour, je raconterai. Pour l’instant je pose les cartes sur la table. Nous oublions trop souvent l’histoire qui se cache derrière chacun(e).
C’est au coeur de ce contexte que, pendant ces deux années, je me suis jetée dans l’action. Je n’aurais jamais autant accompli en si peu de temps et n’aurais jamais été aussi souvent malade. Je ne peux ignorer le lien. J’ai balayé un projet pour un autre , j’ai bâclé l’intégration, écourté le Savasana - par peur, non pas du vide, mais de tout ce qui l’encombrait.
Dans le brouhaha de tout ce ‘Faire’ , j’ai compromis l’Etre’ . Et j’aimerais bien voir ce qui de moi reste.
Une partie de moi cherchait la fuite, un moyen d’enfoncer l’océan de ma Tristesse. Une autre partie de moi a agi par Dharma, par sens de la Mission - j'ai aimé tout ce que j’ai fait et m’y suis investie en corps et en coeur.
J’espère avoir touché des vies, avoir éclairé, pacifié - j’espère avoir fait rire et fait pleurer quand il le fallait ; j’espère avoir ravivé l’espoir en vos coeurs et le désir de prendre votre place en ce Monde et de rejoindre cette folle danse.
Oui, au final, fuite ou pas, tout ce que j’ai fait a été mu par mon immense amour pour la Vie et pour Nous.
Alors voilà, chers lecteurs que je prends, et en otage, et pour témoins:
je proteste, je capitule.
Je ne veux plus remplir. Je veux construire sur du Vrai, sur du plat. Je ne veux plus me cacher. Je veux honorer mes voix. Je ne veux plus m’enfermer dans une conception du temps trop étriqué pour moi. Je veux du temps ample , de lin ou de coton. Je ne veux plus porter. Je veux me laisser porter ; par l'Humour, par la légereté, par l'Enfant sautant dans les flaques.
Je ne veux plus m’octroyer le repos uniquement en réponse à l’épuisement.
Je ne veux plus croire en ce que le Repos, la Vie simple, l’Abondance et l’Amour se méritent. Je veux tout ça, parce que c’est ce qu’On veut pour moi, que c’est accessible,
et stipulé dans nos contrats d’Existence.
A 33 ans me voici à un tournant - je pourrais , sans trop de mal continuer ainsi et vivre une vie correcte, brillante même, aux yeux de la société. Mais pourquoi alors ces temps-ci, quand on honore et me félicite sur certains accomplissements je pleure de Tristesse ?
C'est qu’aujourd’hui, je vois surtout ce que m’a coûté toute cette énergie déployée, toutes ces techniques d’évitement, toute cette négligence de mes besoins. Je vois comme j’ai souvent puisé dans mon reservoir limité, épuisée au lieu de puiser en la Source infinie.
Je vois comme ma compréhension de l’Amour a été faussée dès le départ, comme je l’ai toujours envisagé ‘conditionné’ . Je vois comme mon addiction à l’action, au ‘faire plaisir’ , au rendre service est parfois le cri desespéré de l’enfant qui dit ‘ aime-moi en échange’. J’ai tout fondé sur l’échange, sur le mérite, sur la notion d’utilité.
Heureusement, le Bhakti Yoga a su me montrer autrement , a su m’ouvrir à l’Amour déjà là, celui qu’on ne mérite pas ou qu’on mérite tous, celui qui ne se gagne ni se perd - ce fluide qui s’écoule en nos êtres si seulement nous levons les barrages. Et quand la tête s’apaise, j’en déborde, j’implose, je rejoins le Om.
Je me retire donc un peu de ce circuit, je prends du recul, une respiration, je retrouve le point-virgule.
Je m’en vais intégrer la densité d’une vie pourtant pas si longue, me dira-t-on , je m’en vais écrire, pleurer, chanter, L’appeler,
et écrire encore.
Je m’en vais pratiquer, honorer les enseignants & les enseignements, jusqu’à les incarner.
Je m’en vais prendre le temps - m’en faire un allié - y trouver le repos et surtout l’envie du dépôt. Je m’en vais me pardonner. Pour mes maladresses, les déceptions causées, les excuses inventées, mes dysfonctionnements, mes insécurités, mon infiabilité ... je m’en vais l’accepter, l’assumer,
je m’en vais m’aimer,
moi et mon histoire dans son intégralité.
Je m’en vais remercier ; me promener dans les vides, dans les pleins ; je m’en vais écouter les cycles, vivre avec les saisons intérieures, extérieures
Je m’en vais, à notre juste valeur, nous apprécier.
Je m’en vais me féliciter - pour avoir fait au mieux -
m’adorer, me rendre Humour, me rendre Grâce ,
Lui laisser place.
Je m’en vais rêver - un à un tous les récupérer.
Puisse ma Vie être un enseignement, une lueur dans la Nuit du Temps, un Chant, une flamme, une oeuvre d’Art,
Puisse ma Vie me garder
en son ventre encore un peu
et qu’on y danse,
et qu’on y danse.
0 notes
Note
Salut! 3, 12, 17, 18 et 30 pour Ao3 Wrapped?
Ao3 Wrapped
Salut :) Et merci pour toutes ces questions !
3) What work are you most proud of (regardless of kudos/hits)?
Sans conteste ma fanfic sur fe3h Quatre guerrières. ça a été un énorme projet. J'ai inventé les héroïnes en octobre 2021, commencé l'écriture en janvier 2022 pour la finir en novembre 2023. Après ça, avec toutes les relectures et mises en forme, j'ai posté le dernier chapitre le 22 juin 2024.
On est sur un total de 213 039 mots, ce qui est franchement pas mal du tout. Au-delà de la quantité, je suis fière d'avoir été jusqu'au bout. J'ai commencé cette fic après un passage où j'avais du mal à me remettre à écrire. Mais j'ai tenu et j'ai débloqué tout ça !
En plus, je continue d'être très attachée à mes héroïnes.
Et, je sais que je l'ai postée l'an dernier maiiis, il y a une variante de cette histoire qui compte beaucoup pour moi : Omnia Vincit Amor. Cette fic n'a pas eu beaucoup d'attention (c'est normal, le sujet est trop spécifique je pense...) mais elle a une place spéciale dans mon coeur.
Sinon, il y a aussi mon one-shot L'étoile filante dont je suis assez fière, notamment pour l'ambiance et la progression de l'histoire (je pense qu'il peut être lu sans trop de connaissances du fandom. Enfin je suppose).
12) How many WIPs do you have in your docs for next year?
-L'histoire de Zoé pour commencer.
-La suite de ma fanfic sur Fe3h. J'en ai écrit une grosse partie mais je ne sais pas trop ce que je vais en faire. A voir.
-Une nouvelle de fantasy que je suis en train de corriger.
17) Your favorite character to write this year?
De nouveau Zoé, haha. C'est très clairement l'héroïne que j'avais envie de voir, pour toutes les raisons que j'ai déjà citées. Ce que j'aime aussi avec elle, et mes univers fictifs, c'est qu'elle n'a rien à prouver. Elle existe et elle vit sa vie. J'ai du mal avec le cliché de la guerrière/magicienne qui doit se battre contre un bastion exclusivement masculin pour prouver qu'elle est l'exception à la règle. Notamment parce qu'au final, on demande toujours à la femme de prouver qu'elle est digne, mais l'institution n'est jamais remise en cause à la fin et la protagoniste reste souvent l'exception qui confirme la règle.
Ensuite, Kyphon, le protagoniste de L'étoile filante. J'ai beaucoup aimé écrire ses liens familiaux forts, notamment avec sa tutrice/cousine. Cette histoire était aussi l'occasion d'explorer plusieurs facettes du personnage : orphelin/chevalier/guérisseur/mari/régent/protecteur.
Et enfin, toutes les femmes sur lesquelles j'ai écrit pour mon blog historique ! J'adore faire des recherches dessus et contribuer à les faire connaître.
18) The character that gave you the most trouble writing this year?
Basile, l'empereur dans l'histoire de Zoé (et du coup un des personnages principaux et son futur intérêt amoureux). Déjà, je n'arrivais pas à me décider sur son nom. Puis le choix final m'est venu dans un rêve fiévreux suscité par le Covid (ça ne s'invente pas).
J'ai mis du temps à cerner sa personnalité, mais maintenant je sais qui il est, d'où il vient et comment se passent les interactions avec Zoé.
30) Biggest surprise while writing this year?
Je ne sais pas si j'ai eu beaucoup de surprises. Rétrospectivement, j'ai pas mal écrit cette année, même si je n'en ai pas l'impression. Il faut dire aussi que ma santé n'était pas au beau-fixe à partir d'Octobre. J'ai donc préféré me reposer et faire ce dont j'avais envie, sans culpabilité.
Je pense que c'était plus une année de réflexion et de maturation. Un gros projet qui se termine, on se demande où va l'avenir...
En tout cas, j'ai planté des graines qui, j'en suis sûre, sortiront de terre en 2025 !
2 notes
·
View notes