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#homard bleu
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Au large de l'Irlande du nord, Stuart Brown a remonté dans ses filets un homard bleu. Une prise rarissime, qui s'explique par une anomalie pigmentaire du crustacé.
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C'est une prise rare, rarissime même. Mais elle survient de temps à autre. Ainsi, en 2017, un homard bleu avait déjà été pêché dans la baie de Saint-Brieuc, en Bretagne. Cette fois, c'est au large de l'Irlande du Nord qu'un tel crustacé a été sorti des flots. Stuart n'en avait jamais vu de sa vie. Et pour cause les scientifiques estiment qu’un homard sur deux à trois millions est de couleur bleue. Alors pourquoi cette couleur de saphir ? C'est évidemment une histoire de pigment. "Habituellement, la carapace du homard contient à la fois un pigment rouge orangé, l’astaxanthine, et un pigment bleu, la crustacyanine", avaient expliqué les biologistes de l'Aquarium Océanopolis de Brest en 2017. L'animal pêché par Stuart Brown est porteur d'une anomalie génétique qui se traduit par le développement en excès de crustacyanine, qui lui donne sa couleur stupéfiante en revanche, le ventre est blanc
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2022, le secret du Homard Bleu démasqué. François Lugol et Aude Anselmi tiennent ce bel hôtel les pieds dans l’eau, il semblerait qu’ils aient toujours un petit vélo. Ile d'Oléron © Pierre Gayte
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chic-a-gigot · 3 months
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La Mode nationale, no. 7, 12 juin 1886, Paris. No. 1. — Toilette de plage (Modèle de Mme Moslard, rue Saint-Lazare, 96). Bibliothèque nationale de France
No. 1. — Toilette de plage en pongée. Jupe droite plissée à longs plis couchés, recouverte par une draperie à godets, formant pointe devant, et retroussée en pouf derrière. Le corsage est ouvert sur un gilet plissé accordéon en surah homard. Col, revers et nœuds couleur homard. Ceinture régence en dentelle écrue.
Il faut, pour cette toilette, une pièce de pongée de 19 mètres. Cahpeau rond recouvert d'une draperie en surah homard, bouquet de petites fleurs sur la forme.
No. 1. — Toilette de plage en pongée. Jupe droite plissée à longs plis couchés, recouverte par une draperie à godets, formant pointe devant, et retroussée en pouf derrière. Le corsage est ouvert sur un gilet plissé accordéon en surah homard. Col, revers et nœuds couleur homard. Ceinture régence en dentelle écrue.
Il faut, pour cette toilette, une pièce de pongée de 19 mètres. Cahpeau rond recouvert d'une draperie en surah homard, bouquet de petites fleurs sur la forme.
No. 1. — Pongee beach ensemble. Straight pleated skirt with long folds, covered by a godet drapery, forming a point in front, and rolled up into a pouf behind. The bodice opens onto an accordion-pleated vest in lobster surah. Lobster-colored collar, lapels and bows. Regency belt in ecru lace.
For this toilet, you need a 19 meter pong room. Round hat covered with lobster surah drapery, bouquet of small flowers on the form.
Entourage du numéro 1.
(1) Chapeau en paillasson écru, garni sur le devant par de grosses marguerites, avec cascade de ruban comète, flottant derrière.
(2) Éventail en dentelle noire sur monture d'écaille.
(3) Ombrelle en dentelle noire doublée de soie mauve, avec manche à crosse et nœud de ruban mauve.
(4) Capote mauve sans brides, en tulle brodé, doublée de soie bleu clair, garnie sur le sommet par une rose pâle, surmontée de fleurettes et de feuillage.
Entourage of number 1.
(1) Ecru doormat hat, garnished on the front with large daisies, with a cascade of comet ribbon, floating behind.
(2) Black lace fan on tortoiseshell frame.
(3) Black lace umbrella lined with mauve silk, with crooked handle and mauve ribbon bow.
(4) Purple hood without straps, in embroidered tulle, lined with light blue silk, garnished on the top with a pale rose, topped with flowers and foliage.
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thebusylilbee · 2 months
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Homard bleu et macaron rose, décor royal et meilleurs vins pour plus de 150 invité·es : les images de la réception majestueuse de Charles III, en septembre 2023 au château de Versailles, avaient immédiatement alimenté la question. Combien d’euros la présidence de la République avait-elle déboursé pour organiser un tel événement ? La réponse est désormais disponible : 474 851 euros, d’après la Cour des comptes.
Dans leur rapport annuel sur les comptes de la présidence de la République, publié lundi 29 juillet, les magistrats financiers alertent sur la forte augmentation des dépenses du chef de l’État, notamment en ce qui concerne les frais de déplacement et réception, en 2023. L’Élysée a bouclé cette année-là son exercice en déficit (8,3 millions d’euros sur 117,2 millions de résultat), ce qui n’était pas le cas de l’exercice précédent (excédentaire de 300 000 euros).
« Si plusieurs facteurs externes expliquent ce niveau de dépenses non anticipé (inflation, activité présidentielle conditionnée par le contexte international) », la Cour des comptes alerte aussi sur une nécessaire « vigilance accrue » face aux « facteurs internes » qui ont conduit à ce dérapage. À la fin de l’année, les dépenses de la direction chargée de l’organisation des événements, des déplacements et de l’intendance ont été supérieures de 7 millions d’euros par rapport au budget prévisionnel.
Le choix d’organiser le « dîner d’État » en l’honneur de Charles III au château de Versailles a fortement pesé dans la balance, la présidence de la République ayant dû externaliser de nombreuses prestations : traiteur extérieur (et non cuisines de l’Élysée) pour 166 193 euros, « extras » embauchés pour le service pour 100 428 euros, scénographie et montage pour 42 720 euros, ou encore 42 515 euros de vins, champagne et autres boissons. 
Le coût total de la soirée (474 851 euros) ne prend pas en compte les autres dépenses liées à la « visite d’État » – le plus haut rang protocolaire – organisée pour la venue pendant trois jours du souverain britannique en France, ni les frais d’annulation (80 000 euros) de la première visite, repoussée en raison des mobilisations contre la réforme des retraites. « La France entretient des relations diplomatiques soutenues avec de très nombreux pays qui organisent des événements équivalents lorsqu’ils reçoivent le chef de l’État », se défend la présidence de la République.
Des déplacements de plus en plus onéreux
Un autre « dîner d’État » a coûté près d’un demi-million d’euros : celui en l’honneur du premier ministre indien Narendra Modi, le 14 juillet 2023, au musée du Louvre. Là encore, le choix de la présidence d’organiser le repas en dehors du palais de l’Élysée – à l’inverse des réceptions du président américain Joe Biden ou de l’émir du Qatar en 2024 – a coûté cher : près de 173 000 euros de traiteur, 72 000 euros d’« extras », etc. Pour une note globale de 412 366 euros.
À titre de comparaison, deux autres réceptions organisées à l’Élysée – le dîner d’État pour le président mongol et celui pour le Forum de Paris sur la paix – ont coûté 62 000 et 67 000 euros. « Cette comparaison entre les dîners souligne le rôle majeur du choix du lieu dans le coût total de chaque événement », relève la Cour dans son rapport.
Plus encore que les réceptions, ce sont les déplacements d’Emmanuel Macron qui grèvent le budget. Dans son rapport, la Cour des comptes interroge un paradoxe : le président de la République ne se déplace pas beaucoup plus qu’avant mais ses déplacements coûtent de plus en plus cher au contribuable. À titre d’exemple, le coût moyen des déplacements nationaux du chef de l’État a quasiment doublé depuis 2018, culminant l’année dernière à 60 462 euros.
À une échelle plus large, l’évolution des dépenses donne même le vertige. En 2016, pour la dernière année pleine de son quinquennat, François Hollande s’est déplacé 142 fois, pour un budget global de 17,7 millions d’euros. En 2023, Emmanuel Macron a effectué 112 déplacements qui ont coûté 23,2 millions d’euros. Autrement dit, le coût moyen d’un déplacement présidentiel est passé de 125 000 à 207 000 euros en sept ans.
Comment expliquer une telle hausse ? Sans nier le poids de l’inflation sur certaines lignes de dépense, l’institution de la rue Cambon charge lourdement le fonctionnement de l’Élysée, soulignant « le nombre de déplacements, l’évolution de leur structure et la taille des délégations », mais aussi « des problèmes d’organisation interne ».
L’explosion des frais de déplacement résulte directement des choix politiques opérés à l’époque par Emmanuel Macron. Après un premier trimestre passé cloîtré à l’Élysée, en proie à un mouvement social massif contre la réforme des retraites, le chef de l’État avait fait de sa capacité à occuper l’espace un enjeu politique central : il s’agissait de montrer qu’il n’était pas empêché, malgré l’impopularité de sa réforme, et de reprendre la main d’un quinquennat considérablement embourbé.
Une tournée en Océanie à 3 millions d’euros
« Je dois me réengager dans le débat public », avait-il prévenu fin avril. La suite avait été à l’avenant : en quelques semaines, le président de la République était allé discuter déserts médicaux dans le Loir-et-Cher, lycée professionnel en Charente-Maritime, reconquête industrielle dans le Nord, attractivité de la France dans les Yvelines, souveraineté industrielle en Ardèche ou encore transport aérien en Seine-et-Marne.
Fin juin, il avait tenu à passer trois jours à Marseille (Bouches-du-Rhône) pour balayer les dossiers de la cité phocéenne. Le déplacement a coûté 342 828 euros à l’État, un budget « particulièrement onéreux » selon la Cour des comptes.
Laquelle critique également le prix excessif de deux autres visites officielles, en Corse en septembre (278 209 euros) et à Toulouse (Haute-Garonne) en décembre, pour visiter le siège d’Airbus (205 022 euros). La tournée en Océanie (Nouvelle-Calédonie, Vanuatu, Papouasi), au cœur de l’été, bat des records (3,1 millions d’euros), talonnée par celle en Afrique (1,9 million) au printemps.
En plus de leur nombre, c’est le faste et la dimension des déplacements que l’institution place dans son viseur. Pour la visite d’État d’Emmanuel Macron en Chine, en avril 2023, l’Élysée a affrété deux avions A330 pour transporter une délégation pléthorique, où figuraient notamment l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, grand ami de la Chine, ou l’ancien ministre socialiste Jean-Marie Le Guen, membre du conseil d’administration de l’entreprise Huawei. À l’arrivée, en plus de la voiture présidentielle transportée sur place, cinquante véhicules avaient été loués pour déplacer le convoi présidentiel.
Avec le transport et l’hébergement, plusieurs frais annexes sont venus alourdir la facture de cette visite, à l’instar des prestations audiovisuelles confiées à des sociétés privées (55 084 euros). Au total, l’escapade chinoise a coûté 1,8 million d’euros, révèle la Cour des comptes, qui pointe au passage le décalage entre le budget prévisionnel et le coût réel du voyage. Une hausse de 40 %, selon l’instance, traduite par un surcoût imprévu de 520 000 euros. 
Une différence loin d’être anecdotique, aux dires de l’institution administrative. Le rapport pointe ainsi à plusieurs reprises les « problèmes d’organisation interne » à l’Élysée, évoquant par exemple les multiples annulations et reprogrammations de dernière minute. « Bien qu’il existe des contraintes spécifiques à l’activité présidentielle, il ressort que les arbitrages à différents niveaux sont souvent rendus tardivement, ce qui ne permet pas de respecter le processus défini et contraint à un fonctionnement dans l’urgence », souligne la Cour des comptes.
Annulations et reprogrammations
La multiplication des annulations n’est pas que le fait du président de la République : elle découle aussi, pour l’année 2023, de son impopularité. Le mouvement social contre la réforme des retraites a poussé l’Élysée à annuler plusieurs déplacements et voyages prévus. Elle ne saurait toutefois être résumée à ce contexte. Depuis son élection en 2017, Emmanuel Macron a habitué ses interlocuteurs, partenaires et collaborateurs à une instabilité permanente. Plusieurs ministres ont ainsi raconté à Mediapart, ces dernières années, leur lassitude face aux contre-ordres de dernière minute venus de l’Élysée.
En tout, douze déplacements ont été annulés en 2023, un record si l’on excepte l’année 2020 rendue exceptionnelle par le contexte sanitaire. Sans entrer dans ces considérations, la Cour des comptes rappelle un fait : ce fonctionnement a un coût pour le contribuable, 832 328 euros de pertes pour l’année 2023. À elle seule, l’annulation du voyage prévu en Allemagne en juillet 2023 a coûté 429 100 euros à l’État, celle de la visite en Suède en février, 180 150 euros.
En guise de préconisations pour l’avenir, la Cour des comptes suggère à l’Élysée, entre autres, de mieux anticiper l’agenda présidentiel et de plafonner la taille des délégations. Elle encourage aussi la présidence à modérer le recours aux missions préparatoires, ces voyages de collaborateurs d’Emmanuel Macron destinés à « tâter le terrain » et à préparer sa venue.
Car ces missions coûtent cher, soulève le rapport. Avant de se rendre au Brésil, cette année, Emmanuel Macron a envoyé quatre équipes différentes préparer les quatre étapes de son périple. Trop souvent décidées au dernier moment, ces missions préparatoires ont un prix, encore plus lorsque les conseillers présidentiels décident de prendre l’avion pour gagner du temps.
Ainsi de celle censée préparer l’hommage rendu à Roubaix (Nord), en mai 2023, à trois policiers tués par un automobiliste. « En dépit d’une règle édictée d’effectuer en train les trajets inférieurs à quatre heures », l’équipe d’Emmanuel Macron a pris un vol commercial pour atteindre la ville nordiste. La présidence « tiendra compte des remarques de la Cour pour améliorer son organisation et ses dispositifs internes », a répondu l’Élysée, assurant être « mobilisée pour gérer avec efficacité son budget dans un contexte d’une part inflationniste et d’autre part géopolitique et politique qui influence l’agenda de l’exécutif ».
Ilyes Ramdani et Antton Rouget
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carnet-du-capitaine · 10 months
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Les étoiles de mer se déhanchaient sur le dance-floor. 
Amélia ne savait pas ce qui l’énervait le plus : qu’elle trouve le concept d’une soirée déguisée autour de la faune aquatique ridicule, ou bien qu’elle n’ait pas pu trouver une idée de costume à temps. Résultat, elle faisait tâche. Gina, la reine du lycée, était éclatante dans sa robe bleue nuit aux paillettes scintillantes. Ses manches se transformaient en vaguelettes de tissus avec des dégradés de couleurs oscillant du bleu turquoise au doré. Jamais Amélia n’aurait pu penser qu’une méduse soit aussi sexy. Elle se mordit la lèvre. C’était la fatigue, ça ne pouvait être que ça. Gina l’avait toujours exaspérée. Mademoiselle la star était toujours là, à se mettre en avant, à rire de son rire cristallin en rejetant la tête en arrière, faisant voler ses boucles blondes. Elle était énervante, toujours trop, toujours là. Amélia ne pouvait passer une seconde de sa vie paisible de lycéenne sans que Gina ne vienne l’éblouir dans sa vision périphérique. Et cette année, elles avaient le malheur d’être dans la même classe de première. Ça lui tapait sur le système, elle ne pouvait pas lui échapper. Et ce soir, c’était le soir de trop. 
Amélia avança jusqu’à la première table du buffet pour essayer de se changer les idées. Des cookies en étoile, des muffins avec des coquillages en sucre. Rien que du sucré, évidemment. Avec un thème autour de la mer, personne n’avait pensé à mettre à disposition un peu de salé ? Elle soupira, vaincue et se servit un verre de jus de raisin avant de se mettre en route vers le fond de la salle, à l’abri des regards plein de jugement de ses camarades. Alors qu’elle se demandait quelle mouche l’avait piquée de venir à cette fête et avant d’avoir pu regretter sa décision, elle percuta un danseur habillé en homard qui, visiblement, ne regardait pas où il mettait les pieds. 
L’intégralité du contenu de son verre venait d’être dispersé sur le haut de sa petite robe blanche. Sa seule robe potable, qui avait déjà de la peine à la convaincre. Ruinée. Le homard, très embêté, n’eut même pas le temps de balbutier des excuses qu’elle s’élançait hors de la salle de sport reconvertie en dance-floor. Amélia couru dans les vestiaires des filles et se rua dans les toilettes, ne prenant même pas la peine de fermer le verrou de son cabinet. 
Elle s’écroula par terre et se lâcha enfin.
Sa soirée était foutue, ruinée, pourrie. Elle était misérable, immonde. Elle n’avait même pas pu trouver quoi que ce soit qui lui allait et qui était dans ce stupide thème marin. Elle n’avait pas la classe de Gina. Elle n’était rien. Elle était juste une pauvre fille pathétique qui n’arrivait même pas à contenir ses larmes et maintenant elle allait être défigurée par les pleurs et la morve. Merde.
Amélia ne savait pas depuis combien de temps elle s’était abandonnée à ses sanglots, mais elle commençait à avoir mal à la tête. Elle s’arrêta pour reprendre son souffle et déglutir quand un timide Toc Toc se fit entendre à la porte des toilettes où elle s’était réfugiée.
“Amélia ? C’est toi ? Je t’ai vue partir de la salle et je te cherchais… Est ce que tout va bien ?” Gina, c’était Gina. Si Amélia avait pensé que la soirée ne pouvait pas être pire, elle s’était trompée. Qu’est ce qu’elle venait faire là ? La jeune femme avait toujours fait attention à ne jamais engager la conversation avec celle qu’elle redoutait. Pourquoi elle, pourquoi maintenant ? “L…laisse moi tranquille” hésita–t-elle en reniflant. “Non.” Amélia n’eut même pas le temps de répondre que Gina avait franchi la porte des WC et s’était agenouillée près d’elle. Beaucoup trop près. Amélia recula sa tête et baissa le regard, gênée. 
“Si tu voulais être seule, il fallait fermer la porte, ou pleurer moins fort. Maintenant, qu’est ce qu’il se passe ? Tu es blessée, le garçon qui t’a percutée t’as dit quelque chose ? Tu veux que j’aille lui faire un croche patte ?” Amélia resta abasourdie. Elle s’était toujours imaginé que Gina n’attendait qu’une faute, un faux pas, pour se payer sa tête, l’humilier. C’était ce genre de fille… enfin du moins, Amélia le croyait. Elle ne sut pas quoi répondre et se contenta de secouer la tête. Gina souffla, rassurée et arracha plusieurs feuilles de papier toilette pour essuyer le visage d’Amélia. Cette dernière, rougissant, lui prit doucement des mains. “Je… je peux le faire moi même, t’embête pas”. Gina la regardait sans rien dire, un petit sourire gêné aux lèvres. Amélia tenta de se moucher discrètement pour dégager son nez mais c’était peine perdue. En entendant le bruit digne d’un éléphant, Gina laissa échapper un petit rire mélodieux. “C…C’est bon, te moque pas” lâcha Amélia, dépitée, mais Gina l’arrêta “Je ne me moque pas ! Tu devrais m’entendre quand je me mouche, c’est bien pire !”. Le nez rouge et les yeux humides, Amélia ne savait plus où se mettre, embêtée de ses réactions et de sa propre personne. 
“Déso…” commença-t-elle avant de s’interrompre. Gina venait de prendre ses mains dans les siennes. Elle la regarda droit dans les yeux, et lui demanda avec douceur : “Qu’est ce qu’il se passe Amélia, dis moi tout...”.
Elle connaissait son nom. Amélia eut l’impression que son cœur s’était trompé dans son rythme. Elle était déjà rouge d’avoir pleuré, mais là elle devait battre des records de couleur. En tremblant, elle éloigna les mains de sa poitrine pour révéler à Gina l’ampleur des dégâts du jus de raisin sur le haut de sa robe. “Oh” lacha Gina “Quel dommage, elle t’allait vraiment bien.”Qu’est ce qu’elle était censée répondre à ça ?
- “Non…non, elle n’était même pas dans le thème de toute manière, j’ai cherché les embrouilles…
- Comment ça ? On s’en fiche du thème ! Tu t’habilles comme tu veux ! C’était si important que ça pour toi ?
- Je voulais pas faire tâche...”
Amélia s’arrêta. Gina baissa les yeux vers la grande tâche de jus de raisin sur son torse, puis releva la tête, contenant à peine un sourire malicieux. “Et bien, c’est raté on dirait.” Les deux jeunes filles éclatèrent de rire en même temps. Gina n’avait pas lâché ses mains. Sa peau était douce et réconfortante. “Tu ne vas pas rester éternellement ici, à hanter les toilettes, non ?” lui demanda-t-elle, pensive. “Si tu regrettes de ne pas être rentrée dans le thème alors… j’ai une idée !” Gina retira ses mains de celles d’Amélia et lui effleura le visage pour ramener une mèche de cheveux sauvage derrière ses oreilles. La jeune femme se releva d’un bond et épousseta sa magnifique robe bleue, puis tendit la main à Amélia pour l’aider à se relever, avant de la tirer hors des toilettes vers le miroir commun du vestiaire. 
“Reste là et recoiffe toi un peu, je reviens tout de suite !” Lui annonça-t-elle d’une voix chantante en sortant en courant. 
Amélia restait seule dans le vestiaire. Sans la présence de Gina, tout lui semblait vide, silencieux. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et elle avait chaud aux joues. Mais plus à cause des pleurs. 
Alors qu’elle tentait de retrouver son flegme habituel, elle entendit Gina revenir en courant dans les vestiaires. La reine de la promo avait ramené son sac, qu’elle lança sur l’évier sans perdre une seconde. La jeune femme s’affaira en sortant une brosse à cheveux, un kit de maquillage et plusieurs écharpes de tissus chatoyant, aux reflets dorés. 
-“Mais c’est… on dirait le tissu de tes manches.
- C’est le même genre ! J’en avais fait trop ! J’allais pas accrocher tout ça à mes manches alors je ne savais pas quoi en faire, je l’ai ramené avec moi ! Je me suis dit que ça pourrait servir et … ça va servir, allez viens par là !”
Entraînée par l'enthousiasme de Gina, Amélia la laissa faire et la regarda accrocher avec des épingles à nourrice les bras de méduse brillants aux manches de sa robe. 
-”Il faut encore masquer les tâches… hmm. Ah ! Je sais, attends deux secondes !”
Gina s’écarta et souleva sa robe. Amélia détourna le regard, gênée, tout en se demandant ce qu’elle faisait. 
-”J’ai un jupon jaune d’or, avec des paillettes ! Mais il ne sert à rien, il est caché sous la robe et les musiques ne sont pas assez… rythmées pour que je saute partout ! Il est un peu bouffant… alors si je le coupe ici… et que je l’attache là…
- N…n’abime pas tes vêtements pour moi !
- Ah, ne t’en fais pas, j’adore retoucher et bidouiller les fringues ! Je change toujours ce que je couds selon mes envies. Et j’aime le challenge !
- Je ne savais pas que tu cousais des vêtements…
- Oui, c’est une de mes passions, mais je n’ose pas forcément porter mes créations au lycée, elles sont parfois un peu fantaisistes !
- Tu as fait ta robe toi-même ?
- Hm hm !
- Je la trouve magnifique…” Souffla Amélia, en admiration devant l'œuvre et sa créatrice, pendant que Gina était entièrement concentrée sur la reconstruction de son jupon. 
“Et… voilà ! Enfile ça par-dessus ta robe ! Et je l’attache en dessous des bras… parfait !”
Amélia était incrédule, en deux temps trois mouvements, Gina avait créé un haut de secours qui masquait le haut de sa robe blanche, et ajouté des pans de tissus pour l’habiller et lui donner du volume. Le tout était adorné de petites étoiles de mer en pins décoratifs, qui venaient habiller et soutenir sa tenue.
Elle aussi était devenue une méduse, tout en jaune d’or et paillettes.
Après avoir apposé la touche finale sur le visage d’Amélia avec du maquillage brillant doré et bleuté, Gina jubila :  
-“On est accordées ! C’est génial ! Allez viens ! Avec un style pareil, tu as intérêt à venir danser avec moi !
- Je… je.. merci beaucoup, je ne sais pas comment te repayer ça je…
- Non, nonononon ! Tu ne me dois rien, c’était un plaisir de te rendre service et puis… ça fait longtemps que j’ai envie de te parler et de faire ta connaissance alors… C’est le homard que je dois remercier !
- C’est vrai ? Je suis désolée je ne pensais pas que…tu aurais envie de me connaître.” rougit Amélia.
-”Ah bon ? Pourquoi donc ! Tu avais vraiment l’air cool, je n’avais juste jamais trouvé la bonne occasion de t’aborder.
- Je n’ai pas été la plus accessible alors…désolée.
- Stop ! Arrête de t’excuser ! Tout le plaisir est pour moi ! Et puis… si tu veux vraiment me repayer… j’ai une idée ! Si tu aimes tant que ça mes créations vestimentaires… tu pourrais m’aider, j’ai justement besoin d’un modèle et …. tu… tu es une super source d’inspiration !” lui avoue Gina, en la regardant droit dans les yeux, un peu gênée. 
-”C’est vrai ?” Amélia avait l’impression d’être légère comme une plume. Elle n’en revenait pas. Ce soir, toutes ses impressions sur Gina avaient éclaté en morceau, dispersées par le caractère enjoué et le magnifique sourire de la jeune fille. 
-”Oui ! Allez viens danser, je cherche une méduse partenaire de danse, et vous êtes la plus jolie méduse de ces eaux !” Plaisanta la reine du lycée.
Elle attrapa sa main et l'entraîna dans la salle de danse, à son contact doux et chaud, Amélia espéra qu’elle ne la lâcherait plus jamais. 
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edouardroux · 19 days
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Casino et Cuisine: Découvrez les Meilleurs Restaurants de Jeu
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Les casinos ne sont pas seulement des lieux de frénésie et de suspense; ils sont aussi des temples de la haute gastronomie. Aujourd'hui, je vous embarque dans un tour du monde des meilleurs restaurants de casino. Préparez-vous à satisfaire vos papilles tout en tentant de faire sauter la banque!
Monte-Carlo: Cuisine et Luxe à la Méditerranéenne
Quand on parle de casino, le nom de Monte-Carlo résonne tout de suite, n'est-ce pas ? Le Casino de Monte-Carlo n'est pas seulement légendaire pour son élégance et son histoire, mais aussi pour ses restaurants. Le grand incontournable est le "Louis XV - Alain Ducasse à l'Hôtel de Paris". Ce restaurant triplement étoilé au guide Michelin est une ode à la cuisine méditerranéenne. Les produits sont soigneusement sélectionnés, souvent locaux, et chaque plat est une véritable œuvre d'art. Imaginez savourer un homard bleu de Bretagne accompagné de légumes fraîchement cueillis, le tout dans un cadre somptueux. Et après ce repas inoubliable, pourquoi ne pas griller quelques cartes au Blackjack ?
Las Vegas: L'Oasis Gastronomique au Cœur du Désert
Ah, Las Vegas ! La ville du péché est également une capitale de la gastronomie. Chaque grand hôtel-casino héberge des restaurants aux concepts innovants et souvent dirigés par des chefs de renom. Le "Gordon Ramsay Steak" au Paris Las Vegas est un choix de premier ordre. Ici, la star de la cuisine britannique propose des spécialités flamboyantes dans une ambiance qui allie l'élégance parisienne et l'énergie de Vegas. Pour les amateurs de sushi, le "Nobu" au Caesars Palace est un must. Imaginez déguster des sashimis d'une fraîcheur irréprochable avant de vous lancer dans une partie de poker endiablée.
Macau: La Fusion de Saveurs Orientales et Occidentales
Macau, souvent surnommée le "Las Vegas de l’Orient", ne faillit pas à sa réputation avec une scène gastronomique éblouissante. Le restaurant "The Eight" au Grand Lisboa Hotel est un étoilé Michelin qui ne manque jamais d'impressionner. Vous y découvrirez une fusion parfaite de la cuisine cantonaise et de techniques culinaires modernes. Le canard laqué et les dim sums sont des incontournables. Après un tel festin, le Casino Grand Lisboa vous attend avec ses jeux et son ambiance unique.
Atlantic City: Tradition Américaine et Créativité Culinaires
Atlantic City, souvent sous-estimée, possède également des joyaux gastronomiques dans ses casinos. "Capriccio" au Resorts Casino Hotel est un restaurant italien de premier ordre avec une vue imprenable sur l'océan Atlantique. Ici, les pâtes sont faites maison et le menu propose des classiques revisités avec une touche de modernité. Dans une atmosphère plus décontractée mais tout aussi savoureuse, le "Guy Fieri’s Chophouse" au Bally’s vous propose steaks, burgers et plats réconfortants à souhait. Vous voyez, le monde des casinos et de la gastronomie n'a pas de limites. Alors, la prochaine fois que vous planifiez une escapade casino, n'oubliez pas de jeter un œil à la carte des restaurants. Bon appétit et bonne chance!
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leproton · 30 days
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Le banquier aux poches trouées 💼
Il a trop de biftons alors il les flambe espérant du même coup faire retentir les trompettes de sa renommée de prodigalité. Mais ses comptes sont tenus à l’œil par une cour contrôlant toute l’oseille qu’il dilapide dans ses cuisines🤨 avec force champagne, homards bleus …, Mais aussi ailleurs ……
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entomoblog · 1 year
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“Pour que deux moi fassent un nous, il faut que les deux soient soi”
Transcription de ma chronique pour l'émission 492 de Podcast Science enregistrée au Ground Control à l'occasion du Festival Double.Science Castor et Pollux, Luke et Leia ou encore
  Double Je - Strange Stuff And Funky Things
Par taupo, jeudi 22 juin 2023
  Extrait :
  "Et puis il y a des manières exotiques de partager sa vie avec un autre de manière fusionnelle. Plus tôt je vous évoquais comment la détermination du sexe à la naissance pouvait être potentiellement imprévisible, même dans le cas de gémellité monozygote. Mais chez certaines autres espèces, la détermination peut être encore plus alambiquée car certains individus dit gynandromorphes, peuvent présenter un mélange de caractéristiques mâles et femelles.
  Cas particulier de chimérisme, le gynandromorphisme porte bien son nom car son étymologie grecque se découpe en gynē (femelle), anēr (mâle), et morphē (forme). Les individus gynandromorphes sont un mélange de cellules qui définissent des régions mâles et femelles. Ce phénomène se déploie pendant le développement embryonnaire, durant certaines divisions cellulaires où les chromosomes sexuels sont répartis de manière chaotique, ce qui génère des chimères plus ou moins étendues. En effet, plus la division fautive a lieu tard, plus les gynandromorphes auront un aspect de mosaïque. Si la répartition de cellule mâle et femelle se réalise très tôt, vous aurez alors peut être l’opportunité de voir un individu complètement séparé en deux.
  Biologiquement, le gynandromorphisme se manifeste donc chez des espèces où le sexe est essentiellement déterminé par des chromosomes sexuels, sans grand impact d’hormones. Vous l’aurez compris, ce n’est pas le cas de notre propre espèce.
  Par contre, vous pourrez trouver de spectaculaires exemples de gynandromorphismes chez des crustacés (dont des homards qui paraissent mi-cuits car bleu d’un côté et marron de l’autre), mais aussis chez les araignées, les tiques, nombreux insectes, des lézards, des serpents ainsi que chez de nombreuses espèces d'oiseaux."
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Dernière journée avant de reprendre le bus pour ... 16h. Aïe. En attendant, nous choisissons de préserver nos précieux séants, et décidons donc d'aller dans la réserve de Paracas, de 335 000ha ... en bus. Bon, hein, c'était ça ou le vélo, le bus c'est moins pire !
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Nous voici donc dans une immense étendue de sable de trois couleurs : l'eau est turquoise (65% du parc est marin), jaune pâle au niveau de la mer (zone sedimentaire de base), et ocre-rouge dès qu'on est dans les dunes, puisque c'est alors des résidus oxydés de volcanisme qui recouvrent la zone. D'ici quelques dizaines d'années, vu qu'il y a des dépôts de cuivre, ça devrait virer au bleu vert ... il faudra revenir ;)
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En bonus, une jolie plage de sable rouge sur laquelle on n'a malheureusement pas le droit de marcher. Du coup, on se contente de faire des bêtises devant.
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Dr Rathatton nous montrera au passage son magnifique talent pour faire des photos débiles parceque Touille insiste, mais sans vraiment assumer.
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(Eh, avec l'angle des photos, on dirait presque qu'on était seules dans ce paysages, pas du tout avec une horde de touristes sur les talons. C'est beau la perspective.)
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Le midi, on déguste notre premier ceviche du Pérou ... miam miam miam miam. Bon, ça piquait visiblement un peu beaucoup pour le pauvre Dr Rathatton (et pour ma lèvre destroy), mais miam miam quand même 🥰
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A noter qu'avant de nous servir ce monstre, le serveur nous a prévenu que "les portions sont un peu petites, c'est considéré comme une entrée, vous devriez prendre un plat en plus à partager". Lol.
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Après avoir quitté les pélicans sur lesquels nous avions une belle vue (enfin, Dr Rathatton sans ses lunettes, un peu moins), le dernier arrêt se fait le long de la plage de las Minas, tres mignonne.
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Dû au fameux courant froid mentionné hier, l'eau est à un farouche ... 15°. Presque les Caraïbes, mais pas tout à fait, on fait donc les crêpes au soleil après avoir trempé les chevilles.
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On découvre au passage une créature incongrue, croisement entre un crabe, un homard (elles replient la queue sous elles), un bloc de gelée et une araignée perdue. Elles frétillaient sur le sable, rejetées par la marée, sans s'enterrer, ce qui nous a paru une technique de survie bien douteuse...
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Et nous voici de retour à Ica, où notre (looooooooooong) bus nous attend ... Adieu monde cruel, nous vous aimions !
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zehub · 1 year
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Pêché en Vendée, ce rare et sublime homard bleu sera finalement épargné. Explications.
Seul 1 spécimen sur 1 million affiche une telle couleur de carapace. La bonne nouvelle, c'est qu'il pourra rester en vie.
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alocqueneaux · 1 year
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Le bon goût de Glouglou
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Avant je ne trouvais pas beaucoup de tables à mon goût en Presqu’île. Mais ça, c’était avant. Avant Glouglou notamment. Une cave à manger de très bonne tenue à Pornichet.
Sur leur carte... de visite, Marie Le Damany et Guillaume Ferronnière affichent de beaux trophées : le Louis XV de Monaco, le Saint-James de Bouliac, La Mare aux Oiseaux de Saint-Joachim ou encore la Maison d'à Côté de Montlivault-Chambord. Après ces expériences auprès de ces chefs, toqués pour la majorité, ils ont ouvert leur propre maison à Pornichet : Glouglou. Clin d’oeil appuyé à Mimi, Fifi et Glouglou, ce célèbre petit traité de dégustation illustré. Objectif : «  créer un lieu qui nous ressemble, proche des tablées de nos enfances et où le talent des vignerons est mis à l'honneur. »
Cuisine maison et produits de saison
Grâce à leur carnet d’adresse et à la mention sommellerie qui les a introduit dans la sphère du vin en 2017, les sommeliers proposent 300 références de vin plutôt bio ou en biodynamie, comme l’excellent pétillant Solessence dont le nom à lui seul est un voyage. Côté solide, ces enfants de la mer travaillent en circuit court pour monter 10 assiettes à partager… ou pas : homard bleu, crevettes panko pimpées avec une sauce wazabi, courgettes tandoori…, « imaginés autour de la saisonnalité. Notre cuisine s'inspire des influences locales, des produits de la mer pêchés durablement et des fruits et légumes cultivés dans la région. » Le tiramisu, lui, vient de plus loin… de la Mama, la grand-mère italienne de Marie.
Un esprit de partage qui se prolonge
Quant au cadre, il est à l’image du service : impeccable. L’accueil est chaleureux, souriant et bienveillant. Pour preuve, les coups de cœur gastronomiques de la région ou d’ailleurs affichés par  Marie et Guillaume. Brut, Topaze, Le Maju… pour ne nommer que les tables du coin. Encore un beau partage, comme l’occasion aussi pour le client de faire son marché de bonnes adresses. Et puis à la fin, un petit goût de reviens-y aussi...
Anne Locqueneaux
+Net
63 Av. du Général de Gaulle, 44380 Pornichet, + 33(0)2 40 61 75 15
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omagazineparis · 1 year
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Le 1947 à Cheval Blanc Courchevel : une expérience gastronomique inoubliable
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Crédit photo : © Cheval Blanc Courchevel Si vous êtes une foodie passionnée à la recherche d'une expérience culinaire unique, vous avez probablement déjà entendu parler du restaurant étoilé Le 1947 à Cheval Blanc Courchevel. Il est considéré comme l'un des meilleurs restaurants de France et attire des clients du monde entier. Le 1947 est un restaurant gastronomique situé dans l'hôtel de luxe Cheval Blanc Courchevel, dans les Alpes françaises. Il a été nommé d'après le millésime légendaire de Château Cheval Blanc, l'un des plus grands vins de Bordeaux. Le restaurant a été créé en 2012 par le chef étoilé français Yannick Alléno et a rapidement obtenu 3 étoiles au Guide Michelin. Dans cet article, nous allons explorer le cadre exceptionnel du 1947, sa gastronomie de haute volée, les conseils pour une expérience réussie et les avis des clients. Si vous êtes une foodie à la recherche d'une expérience culinaire unique à Cheval Blanc Courchevel, cet article est fait pour vous. Le cadre exceptionnel du 1947 Description de l'hôtel Cheval Blanc Courchevel L'hôtel Cheval Blanc Courchevel est un véritable joyau des Alpes françaises. Il est situé dans la station de ski de Courchevel 1850 et offre une vue imprenable sur les montagnes. L'hôtel est décoré dans un style alpin élégant avec des touches de modernité. Il propose 36 chambres et suites, un spa de renommée mondiale et bien sûr, le restaurant Le 1947. L'ambiance et la décoration du restaurant Le 1947 offre une ambiance luxueuse et intime avec seulement 25 places assises. Le décor élégant est inspiré par le millésime de Château Cheval Blanc, avec des touches de rouge et de blanc. Les tables sont joliment dressées avec des nappes blanches et des couverts en argent. La vue imprenable sur les montagnes Le restaurant offre une vue imprenable sur les montagnes enneigées, ce qui en fait un cadre idéal pour une expérience culinaire inoubliable. Les grandes fenêtres offrent une vue panoramique sur les montagnes, créant une ambiance romantique et chaleureuse. La gastronomie de haute volée du 1947 La carte du restaurant La carte du 1947 est un véritable chef-d'œuvre culinaire. Elle est basée sur les produits locaux et de saison, ce qui signifie que la carte change régulièrement. Le restaurant propose deux menus dégustation : le menu découverte et le menu signature, tous deux offrant une expérience gastronomique inoubliable. Les spécialités du chef Yannick Alléno Le chef Yannick Alléno est connu pour son savoir-faire culinaire exceptionnel. Ses plats sont à la fois créatifs et innovants, tout en respectant les traditions culinaires françaises. Les spécialités du chef incluent le homard bleu de Bretagne, le canard de Challans et le bœuf de Galice. La sélection de vins Le restaurant propose une sélection de vins de renommée mondiale, avec une carte des vins de plus de 14 000 bouteilles. Le sommelier est à votre disposition pour vous aider à choisir le vin parfait pour accompagner votre repas. Les conseils pour une expérience réussie au 1947 La réservation Le 1947 est un restaurant très prisé et les réservations doivent être effectuées plusieurs semaines à l'avance. Il est conseillé de réserver votre table dès que possible pour éviter toute déception. La tenue vestimentaire Le restaurant a une politique vestimentaire stricte, il est donc important de s'habiller de manière élégante. Les hommes doivent porter une veste et une cravate, tandis que les femmes doivent porter une tenue habillée. Les prix et le budget Le 1947 est un restaurant gastronomique de luxe, ce qui signifie que les prix sont élevés. Le menu découverte commence à 390€ par personne, tandis que le menu signature commence à 460€ par personne. Il est important de prévoir un budget suffisant pour profiter pleinement de cette expérience gastronomique unique. Lisez également : Comment choisir un restaurant de groupe à Lyon Les avis des clients sur le 1947 Témoignages de clients satisfaits Les clients du 1947 ont été unanimes dans leur évaluation du restaurant, le qualifiant d'expérience culinaire inoubliable. Ils ont loué la qualité de la nourriture, le service impeccable et l'ambiance romantique. Les critiques positives et négatives Les critiques positives ont souligné la qualité exceptionnelle de la nourriture et le service impeccable, tandis que les critiques négatives ont porté sur le prix élevé et la politique vestimentaire stricte. Les recommandations des clients Les clients ont recommandé le 1947 à tous ceux qui cherchent une expérience culinaire unique et inoubliable. Ils ont également souligné l'importance de planifier à l'avance pour éviter toute déception. Conclusion Le 1947 à Cheval Blanc Courchevel est un restaurant gastronomique incontournable pour les foodies à la recherche d'une expérience culinaire unique. Le cadre exceptionnel, la gastronomie de haute volée, les conseils pour une expérience réussie et les avis des clients ont été décrits dans cet article. L'importance de vivre cette expérience unique Le 1947 offre une expérience culinaire inoubliable dans un cadre romantique et luxueux. C'est une occasion unique de goûter à la haute gastronomie française et de découvrir des saveurs exceptionnelles. Réservez une table Si vous êtes une foodie passionnée à la recherche d'une expérience culinaire unique, il est temps de réserver votre table au 1947 à Cheval Blanc Courchevel. Préparez-vous à vivre une expérience gastronomique inoubliable dans l'un des meilleurs restaurants de France. Read the full article
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paworn · 2 years
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Artichaut en salade de homard bleu - Le Bistrot du Cuisinier - Blois - 9 October 2022 (at Blois) https://www.instagram.com/p/CntQ-_YrgLZ/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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philoursmars · 3 years
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Marseille, au MuCEM, une expo sur Jeff Koons, avec quelques-unes de ses œuvres mises en parallèle avec des pièces du musée.
- “Lobster”
- “Titi”
- “Elephants”
- “Moon (Light Blue)”
- “Bluebird Planter”
- “Backyard”
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Une toute petite plate à l’île d’Oléron !
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chloesdiaries · 2 years
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Dîner au château du Mont-Joly :
Nous avons eu des amuses bouches (grosse pensée aux croquettes au bœuf qui étaient excellentes et origami), puis un velouté avec une glace au centre.
Ensuite une salade de homard bleu et légumes, qui était trop trop bonne.
Puis une déclinaison de volaille.
Une soupe de pêche avec morceaux craquant et glace au lait, très très bon.
Et enfin un entremet praliné et un entremet fruits rouges.
Régalade
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