#fils et filles de france
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Portrait of Louise Elisabeth of France (1727-1759), Duchess of Parma, in court dress. By Jean-Marc Nattier.
#royaume de france#fille de france#maison de bourbon#louise élisabeth de france#duchese de parme#Madame Première#madame infante#princesse de france#jean marc nattier#court dress#kingdom of france#house of bourbon#regno d'italia#kingdom of italy#fils et filles de france#fils et filles de louis xv
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La Mode nationale, no. 24, 13 juin 1903, Paris. Robe élégante pour jeune femme ou jeune fille. Bibliothèque nationale de France
Robe élégante pour jeune femme ou jeune fille, en voile de laine, vert amande. Jupe courte froncée sur un haut volant également froncé. La garniture se compose de jours à fils tirés sur transparent blanc. Corsage froncé, blousant dans une ceinture drapée; l'empiècement de panne vert amande et de panne blanche arrondie est fait de plis "Aurore" avec jours en cerceaux. Au-dessous, haute berthe d'Irlande, pailletée de nacre. Brassards de jours sur le mancheron; manche très bouffante serrée dans un haut poignet d'Irlande; la berthe se ferme devant par un double nœud blanc et amande.
Elegant dress for young women or girls, in wool voile, almond green. Short gathered skirt over a ruffled top also gathered. The trim consists of drawn thread openings on transparent white. Gathered bodice, blousant in a draped belt; the almond green panel and rounded white panel is made of “Aurore” pleats with hoop openings. Below, high Irish berthe, spangled with mother-of-pearl. Day armbands on the cap sleeve; very puffy sleeve tightened in a high Irish cuff; the berthe closes in front with a double white and almond bow.
Matériaux: 8 mètres de voile amande; 1m,50 de taffetas blanc.
#La Mode nationale#20th century#1900s#1903#on this day#June 13#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#collar
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🏛️ Le Palais idéal du Facteur Cheval
À Hauterives, France…
L’acquisition du Palais idéal par la ville de Hauterives
A la mort du Facteur Cheval en 1924, ses deux petites filles Alice et Eugenie (filles de Cyrile, son fils), héritent du Palais et le mettent en gerance. Toutefois l'entretien du Monument s'avérant de plus en plus difficile au fil des années, Alice (qui n'a pas de descendant) décide de leguer sa part du Palais à la ville de Hauterives en 1984. Eugénie vend quant à elle sa part à la commune en 1994.
La ville de Hauterives est désormais l'héritière de ce précieux patrimoine.
Ses petites filles ont également légué l'extraordinaire «Registre des visiteurs» ouvert par le Facteur Cheval en 1905. Un registre sur lequel célébrités et anonymes ont durant plus d'un siècle laissé un témoignage de leur passage.
#photographers on tumblr#original photographers#photografy#photo#art naïf#architecture#art#facteur cheval#Hauterives
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Quelques trucs bien. Octobre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Accueillir ma fille, mon gendre et mon petit M. pendant les quelques jours de leur déménagement. Rassembler la famille
Profiter des vacances d’automne. Se laisser bercer par l’arrière-saison avant l’hiver
Écrire un poème sur la fin de l’été. Ode à septembre
Reprendre les ateliers d’écriture avec les ados
Récupérer mon petit M. après sa journée de garde. Le bercer, inventer une chanson pour le faire patienter en attendant le retour de sa maman. L’écouter pleurer pour évacuer le stress de sa journée puis le sentir se calmer dans mes bras
Bouquiner dans mon fauteuil jaune de lecture
Dénicher deux bd romans graphiques chez mon bouquiniste
Préparer une brioche maison pendant une insomnie. Me recoucher en pensant au délicieux petit déjeuner qui sera tout chaud
Faire la grasse matinée après une longue insomnie
Acheter une robe de soirée pour l’anniversaire déguisé de ma sœur. Soirée folle en perspective
Visiter le prochain appartement de ma fille, tout près de chez moi. La sentir heureuse de se rapprocher et de faire des projets
Bricoler avec mon fils. Trier, ranger, nettoyer. Réorganiser la vie
Accueillir un rouge-gorge qui vient m’annoncer personnellement que l’été est fini et que l’hiver est en chemin
Recevoir des nouvelles baskets. Plaisir des pieds
Commencer à rassembler le groupe de de peinture, petit à petit. Laisser s’exprimer et s’apaiser les craintes. Séance en atelier la semaine prochaine
Aller au restaurant et au cinéma entre filles. Passer une belle soirée à rire de bon cœur. La vraie vie comédie
Passer tout un week-end avec mon petit M. faire encore une insomnie mais l’écouter dormir à poing fermés
Avancer sur les démarches administratives. Espérer que ça aboutisse vite maintenant
Aller à une lecture d’un jeune poète syrien réfugié de la guerre et exilé en France. Écouter son témoignage en français, langue de la raison et ses poèmes en arabe, langue du cœur
Aller à un événement en soutien aux femmes iraniennes et afghanes. Me laisser submerger par l’empathie à l’écoute des témoignages et l’émotion des chants orientaux. Sentir les larmes aux yeux de tristesse et de colère
Aller à un spectacle de Résistances poétiques de Cyril Dion, vibrer de sa voix grave et des accords de guitare de Sébastien Hoog. Apprécier son humour et l’ironie du sort
Recevoir des photos de mon petit M. dans la journée. Savoir qu’il s’adapte bien à son mode de garde chez ma sœur
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Congééééé du coup je lis je joue à acnh je lis je mange je dors je regarde Netflix je lis je vais me balader avec l'ado ou avec son père, je joue à acnh (beaucoup ohlala), je lis encore, je dors un peu devant le tour de France ou la F1 et voilà voilà le programme du bonheur et du coup comme je voulais acheter des BD à mes patients pour la fin de l'année scolaire, je me suis dit que c'était l'occasion de commencer une nouvelle série de manga parce que justement j'ai pleeeiiin de place dans la bibliothèque (c'est faux) et j'ai opté pour Arbos anima. C'est en 5 tomes, ils sont édités par Glénat pour la VF depuis 2016 et là ça n'a pas l'air ni d'être terminé ni de continuer donc peut-être que la fin du tome 5 me laissera dans un état de frustration insupportable mais en attendant c'est une chouette lecture.
On est dans un seinen assez sympa qui m'a attirée avec sa couverture, puis le résumé m'a plu parce qu'il est question de botanique. Un jeune garçon, Noah, possède le don de lire la mémoire des plantes, ce don est vécu comme une malédiction par sa famille, qui l'enferme pendant 15 ans dans la serre. Sympa sympa.
Il devient "collecteur botaniste", il reçoit des missions pour lesquelles il doit chercher et collecter des plantes rares. Au fil des chapitres du premier tome, on fait la connaissance du personnage central ainsi que de ses deux acolytes : un ancien pirate qui lui sert de garde du corps, et une jeune fille qui souhaite venger sa forêt, brûlée il y a longtemps par un autre collecteur. D'ailleurs elle déteste les collecteurs parce qu'elle les prend pour des pilleurs et c'est un peu ça, mais Noah c'est pas pareil, il aime les plantes, il les traite bien, et il veille à en laisser dans leur milieu naturel.
Le tome 2 voit l'arrivée de l'ennemi principal, qui est justement le type qui a brûlé la forêt, c'est fou les hasards de la vie hein, sauf qu'il s'en fout de cette forêt, pour lui c'est de l'histoire ancienne, il veut juste tout savoir sur le don de Noah parce qu'il est un tantinet jaloux. Et manifestement, il est plutôt belliqueux.
Ça me fait seulement 9 livres depuis le début de l'année, les examens ont fait baisser les stats et celui-ci et les autres sont résumés dans le billet épinglé
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Démocratie / religion : un couple inséparable ?
Pendant ces dernières vacances, j'ai eu la chance de lire un livre récent de Hartmut Rosa, ''Pourquoi la démocratie a besoin de la religion''. Ce bouquin m'a transporté au septième ciel (Petit rappel, pour sourire : les astrologues babyloniens avaient découvert que six étoiles semblaient hors de l'organisation de la ''voûte céleste'' (alors dite ''fixe'') : Soleil, Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne avaient donc été associées, chacune, à un ''ciel'' spécifique. Cette image a été reprise par Ptolémée, et jusqu'à Copernic... Puis les sexologues ont détourné ce ''septième ciel'' vers d'autres cieux…).
Hartmut Rosa est un des sociologues majeurs de la modernité. Largement inconnu en France (il n'est pas assez ''de Gauche'' pour l'être, puisqu'il a formulé de grandes réserves sur la modernité –qu'il critique, ce qui est un péché mortel contre la doxa, ceci expliquant cela !), c'est un disciple de Habermas dont Il partage la vision d'un capitalisme prédateur. Mais s'il poursuit des rêves de justice et d'émancipation, il refuse la mode qui voit la solution à tous les problèmes dans la seule critique du catholicisme, qui était si ''prégnant'', il y a 250 ans, que les Lumières en avaient fait l'ennemi à abattre (''Ecrelinf'', écrasons l'infâme, écrivait Voltaire...). Au moment où il ne représente plus aujourd'hui que 2 % de la population française, les fils des prétendues ''Lumières'', définitivement éteintes, ne voient même pas l'anachronisme de toutes leurs prises de position ! Mon Dieu (si j'ose dire ça en leur présence) ! Sont-ils périmés !
Les lecteurs réguliers de ce Blog ont tout de suite compris pourquoi ce livre m'a tellement séduit : depuis notre n°1, le 15 novembre 2013, je n'ai jamais caché ma croyance profonde que le retour aux fondamentaux chrétiens –sources profondes de la civilisation dite occidentale, fille d'Athènes, de Rome et de Jérusalem-- pouvait encore sauver le monde de sa chute vertigineuse actuelle.. idée dans laquelle je persiste, même si je me sens souvent bien seul et en opposition avec ''ce qui est à la mode et que les pouvoirs officiels font croire vrai'', càd. avec cette doxa-du-jour qui égare tant de braves gens, contaminés par cette pathologie tellement plus mortifère que les ''fake-pandémies'' (genre covid) dont nous gavent les médias ''main stream'' (ce terme désignant les destinataires des subventions de l'Etat, donc les suppôts de la mensongère ''vérité officielle''). Vous imaginez mon bonheur devant cet ''essai'' stimulant, à contre-courant de toute la pensée officielle (donc dépassée, par définition : le temps que leur fatras conceptuel atteigne leur lobe droit... l'info est obsolète !).
Le ''script'' est d'une simplicité... biblique : face à une accélération sociale toujours plus agressive pour les individus comme pour les groupes humains, Hartmut Rosa affirme que la religion offre une sorte d'antidote à ce mouvement de destruction de l'individu qui est une tendance lourde de notre monde en marche vers sa fin programmée --et apparemment voulue par certains. Pour lui, la religion –et plus particulièrement son rameau chrétien (nous y reviendrons)-- favorise une manière ''d'être au monde'' qui rejette les excès de contrôle, de domination et de normes inutiles, pour ''se tenir comme un cœur qui écoute...'' comme le dit la prière de Salomon...
Son point de départ est la constatation du mécontentement (en voie de généralisation) qu'engendre notre mauvaise habitude de ne plus voir, juger et évaluer le monde qu'en termes et en fonction de critères économiques (en France, nous en vivons un exemple permanent : nous sommes condamnés à survivre dans un monde où le discours de Macron et de Le Maire sont les références prépondérantes. Quel désastre !). Rosa explique :''Le sentiment que ''ça ne peut pas continuer comme ça'' est devenu culturellement dominant... et il ne débouche sur rien que la violence et le chaos...''.
(NB : on le vit ''H 24'', avec l'appel à l'aide de nos paysans qui demandent respect, considération, écoute, fin des idées absurdes (donc de l'emprise néfaste des malfaisants de Bruxelles) et restitution de leur dignité volée... et à qui on répond : 50 millions d'Euros ici, 30 millions là et 20 ailleurs... en leur vantant les beautés de l'Europe et de la Norme.. comme ne peuvent s'empêcher de le faire Macron et Attal, jetant ainsi de l'huile sur le feu, en plein drame civilisationnel... ).
Devant ce grand doute collectif, H. Rosa parie que ''la religion peut aider à retrouver ce dont nous avons vraiment besoin'' et veut quitter les modalités de l'agression-seule-solution-possible, en retrouvant un iso ''pari de Pascal'' : ''Qu'est-ce que j'y gagne, moi ?'' Et ''Qu'est-ce que cela me coûte / me rapporte'' ?... ce qui invite et incite à la redécouverte d'une attitude résolument ''autre'', tournée vers le bien-être inhérent à se laisser parcourir par un autre souffle. Dans cet essai audacieux, le sociologue nous invite à envisager volontairement que la voie que nous avons choisie et privilégiée n'est sûrement pas la seule, et sans doute loin d'être la meilleure. Lui, offre, en un mouvement contraire, la ''face lumineuse'' de la religion –en espérant la guérir de ses pathologies, qu'il estime plus facilement guérissables que … tout ce qui ne va pas dans le bon sens dans le système actuel.
En tout état de cause, son analyse ouvre la porte à de nouvelles possibilités de dialogue entre croyants et non-croyants... et rien que l'espoir de ce seul authentique progrès justifierait qu'on donne sa chance à ce ''on ne l'a plus essayé depuis des siècles... On dit Chiche ? Il y a, depuis peu, tant de pays qui s'ouvrent enfin à un retour de l'intelligence dans les systèmes politiques que si on ouvrait cette porte hermétiquement interdite par des idéologies dont pas une seule n'a réussi, jamais, même un peu... ça n'irait sans doute pas plus mal, et peut-être même mieux. Après tout, tout va si mal qu'on n'a pas grand chose à perdre ! Il suffit de voir à quelle vitesse le rouge et le rose disparaissent de notre ciel –et ''c'est pas trop tôt !''-- pour avoir envie de se remettre à croire à nos lendemains... Merci, Monsieur Rosa !
H-Cl.
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Marie-Anne de Bourbon (1666-1739). Atelier de Hyacinthe Rigaud.
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Madame Sophie (1744-1782). After François-Hubert Drouais.
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Le Petit écho de la mode, no. 21, vol. 20, 22 mai 1898, Paris. 1. Toilettes pour jeunes filles ou jeunes femmes. Modèles de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1.) Roue en voile "fil de la vierge" composée d’une jupe unie posée sur un fond de jupe de taffetas; et d’un corsage froncé, monté sur un empiècement plissé à plis lingerie, entouré d’une berthe formant épaulettes coupées d'entre-deux et ourlées de dentelle; plusieurs rangs de fronces retiennent l’ampleur du bas du corsage qui se termine sous une ceinture de ruban fermée par une boucle finement ciselée, col droit garni d’une ruche, manches froncées, garnies de coques de ruban. Chapeau en paille orné de tulle et de fleurs.
(1.) Wheel in “thread of the virgin” voile composed of a plain skirt placed on a taffeta skirt background; and a gathered bodice, mounted on a pleated yoke with lingerie pleats, surrounded by a berthe forming shoulder pads cut in between and hemmed with lace; several rows of gathers retain the fullness of the bottom of the bodice which ends under a ribbon belt closed by a finely crafted buckle, straight collar trimmed with a ruffle, gathered sleeves trimmed with ribbon shells. Straw hat decorated with tulle and flowers.
Matériaux: 7 mètres de voile en 1m20 de large, 6 mètres de ruban.
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(2.) Robe en voile posée sur un fond de jupe en taffetas, ourlée de petits galons de velours noir; mêmes galons posés, à mi-jupe, en dents aiguës retenues par des nœuds de dentelle. Corsage blouse devant, composé d’un dos tendu, plissé à plis horizontaux bordés de dentelle, décolleté du haut sur un empiècement en broderie écrue posé sur un transparent de soie; et d’un devant sans pince, plissé en travers, garni de dentelle; empiècement en broderie, fermeture invisible sur le côté, ornée de nœuds de dentelle; col droit recouvert de dentelle, manches en dentelle plissées dans le haut, bordées d’un volant, ceinture en ruban fermée par une boucle. Toquet en tulle noir gracieusement drapé, relevé sur le côté gauche par deux touffes de fleurs d’où s’échappent deux plumes pailletées de jais.
(2.) Voile dress placed on a taffeta skirt, hemmed with small black velvet braids; same braids placed, mid-skirt, in sharp teeth held by lace bows. Blouse bodice in front, composed of a taut back, pleated with horizontal folds edged with lace, top neckline on an ecru embroidery yoke placed on a transparent silk; and a front without pleats, pleated across, trimmed with lace; embroidery yoke, invisible closure on the side, decorated with lace bows; straight collar covered in lace, lace sleeves pleated at the top, edged with a ruffle, ribbon belt closed with a buckle. Gracefully draped black tulle toquet, enhanced on the left side by two tufts of flowers from which two jet-glittered feathers escape.
Matériaux: 7 mètres de voile, 9 mètres d’entre-deux, 1 mètre de guipure, 1 mètre de taffetas.
Chapeaux de Mme Marchand, 96, avenue Victor-Hugo.
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Le Sautoir Sapho que représente notre gravure est une délicieuse création parisienne; il se compose d’une chaîne en cordonnet de soie avec coulants d’acier d’un effet charmant. Cette chaîne mesure 1m50 de long, elle est destinée a retenir une montre, un face à main ou un joli crayon. C’est un objet que toutes nos lectrices voudront se procurer, étant donné sou prix minime de 2 fr. 45 franco.
The Sautoir Sapho represented by our engraving is a delicious Parisian creation; it is made up of a silk cord chain with steel slides for a charming effect. This chain measures 1.5 meters long, it is intended to hold a watch, a faceplate or a pretty pencil. It is an object that all our readers will want to obtain, given its minimal price of 2.45 francs.
#Le Petit écho de la mode#20th century#1890s#1898#on this day#May 22#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#Forney#dress#flower#Modèles de chez#Mademoiselle Thirion#Madame Marchand
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Zadie Smith est presque trop brillante.
Quand la semaine dernière j’ai appris qu’elle avait sorti un roman, se déroulant à l’ère victorienne, j’ai failli m’évanouir de joie. Je me suis précipitée dessus évidemment.
J’en ressors un peu déçue, je ne sais pas trop bien pourquoi puisque je n’ai pas de reproches à lui faire.
Elle nous mène tambour battant à travers l’Angleterre du XIXe, avec de courts chapitres enlevés, à travers la conscience d’Eliza Touchet, femme ayant réellement existé, au statut bancal, pourvue d’une famille étrange et d’un esprit drôlement affuté.
Le style est lumineux mais très sec. On sent que l’autrice s’est voulue exigeante, pas de sentimentalisme, des faits, un œil acéré sur l’époque. Roman victorien, non. Pas de narration linéaire, pas d’effusion, pas de chichis.
Eliza Touchet a été mariée et a eu un fils. Les deux sont morts tôt. Désargentée, elle a rendu service en vivant avec son cousin, un écrivain populaire (lui aussi réel mais aujourd’hui oublié), étant à la fois sa relectrice, sa gouvernante, son amante, sa confidente. Ça n’a pas empêché ledit cousin de se marier deux fois, ainsi la maisonnée, souvent délocalisée suite au déclin du succès des romans de William, est devenue un genre de microcosme composite : une épouse officielle (la deuxième) issue des bas quartiers, leur jeune fille, les trois filles de William de son premier mariage (avec Frances, avec laquelle Eliza a vraiment connu l’amour), et Eliza, qui gère tout ce beau monde et essaie de comprendre sa place dans cette maison, dans ce pays, dans cette époque.
Justement, le pays se passionne pour un procès célèbre. L’histoire d’un imposteur qui voudrait bien croquer une part des restes de l’argent généré par l’esclavage en Jamaïque, à peine aboli. Cette idée est très forte dans le livre et elle en est le cœur. A travers ce personnage et son domestique Bogle, un noir remarquablement stoïque, le pays se déchire. Eliza se passionne pour Bogle et sa conscience catholique abolitionniste s’en trouve renforcée.
Mais c’est là que cela s’est corsé pour moi : je n’avais pas les connaissances suffisantes pour comprendre toutes les subtilités économiques et politiques que soulevaient ce procès. La mort d’une époque, la fin de certains privilèges, je ne les ai compris que péniblement car Zadie Smith est plus ironique que pédagogue (et elle a raison !) ; n’empêche que c’est dur de suivre. Avec les sauts dans le temps aussi. La navigation d’une époque à une autre. Je n’aurais pas craché sur un poil plus d’explications contextuelles.
La meilleure idée du livre selon moi, celle que j’ai pleinement comprise et aimée, en riant souvent, c’est de placer au cœur de cette société patriarcale et raciste une femme intelligente et sarcastique, qui observe tout et a pris l’habitude de tout cacher pour sa sécurité et sa tranquillité. Eliza voit tout, observe tout, juge tout et tous, même Dickens en personne (et il n’est pas épargné par sa sagacité). Elle comprime ses pensées car une femme n’est pas censée penser ni parler politique. Elle supporte en serrant les dents les discussions des littéraires plus ou moins avisés ou alcoolisés, essaie de naviguer dans le petit sillon qui est le sien, se faire sa propre conscience, et agir selon ses convictions. Elle n’a pas beaucoup de marge de manœuvre, mais elle s’y tient. Cette droiture va de pair avec une immense solitude. Solitude que j’ai pleinement ressentie quand elle pose des questions existentielles en son for intérieur, questions qui comptent, cruciales, qu’elle ne peut poser à personne et qui résonnent dans le livre comme autant de coups contre une boîte dans laquelle les femmes et les noirs étaient enfermés en ces temps qu’on voudrait résolument révolus…
Peut-être faudrait-il que je relise ce livre, un jour, en ayant pris les informations nécessaires, en ayant bossé en quelque sorte ! Je crains d’être passé un peu à côté du bijou que ce doit être. Je vous dit, Zadie Smith est plus intelligente que nous. Enfin moi. Mais bon, franchement, elle est au-dessus du lot, largement.
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Ah, le joli mois d’octobre ! La déplorable situation au Proche-Orient – disons en Palestine pour préciser les choses –, révèle, en Occident essentiellement, les peurs, les lâchetés, voire les renoncements de bien des populations et de leur gouvernement. Ce que j’observe, avec amusement autant qu’avec inquiétude, c’est l’immaturité des réactions de la plupart des nations de “l’Occident global” face aux derniers développements de problèmes pourtant vieux comme Mathusalem. Le fond, comme la forme, sont désespérants. L’Europe, et la France en particulier, attestent l’effacement définitif de leur rôle historique dans le bassin Levantin. Les médias, comme c’est leur habitude, hystérisent les événements et prennent aveuglément le parti de leurs actionnaires. “Israël ! Israël ! Israël !” entends-je partout, à tout bout de champ, tout le temps. Il faut défendre Israël avec les Israéliens, parce qu’Israël, c’est le rempart de notre civilisation contre les sauvages musulmans. Quand Israël sera tombé, c’est tout le continent qui sera attaqué, la nuit, à l’aube, au couteau, à l’AK. Nous serons tous pogromisés, kippa ou pas, pour le seul crime d’être des kafirs.
Je résume là ce qui me semble être, plus ou moins explicitement, plus ou moins bruyamment, le mot d’ordre – ou plutôt la “parole de panique” – qui s’installe sous nos latitudes. Et je joins quelques capsules mnésiques liées à ces événements :
• Il est navrant le spectacle de cette aube automnale si belle qui dévoile le défilé des assassins à moto, bouchers amateurs partis massacrer des familles endormies. Éternel recommencement de l’insupportable injustice frappant les populations prises à parti, flinguées, étripées, égorgées – cadavres et scènes de crimes arrangés à des fins de terrorisme par l’image. “Allah u-akbar”, comme toujours, ici ou là-bas. Tout a été filmé, par les caméras d’inutile surveillance des victimes et les go-pros des instigateurs. Tout a été montré. • Scènes à peine croyables – je dis bien “à peine croyables” – des commandos palestiniens faisant détonner des explosifs contre des murs en béton et des rideaux de barbelés pour pénétrer des périmètres de sécurité placés sous surveillance automatique 24/7. Les drones qui ont largué leurs charges explosives au-dessus des relais de communication et autre appareil de détection, volent sans ambage d’un pylône à l’autre. Pouvait-on être plus prévisible ? Des ailes volantes motorisées sillonent le ciel, ouvrant le feu sur tout ce qui court en dessous. Pouvait-on être moins discret ? Et pourtant, la petite base armée prise d’assaut regorge de cadavres en slip, tirés du lit dans la panique, la plupart n’ayant même pas eu le loisir de défendre leur peau face aux assaillants brailleurs.
• Grand rassemblement décadent, scènes et chapiteaux. Les fumeurs de oinjes, les raveurs, les filles et fils de bobos, les zoneurs à dreadlocks et leurs meufs à cheveux bleus fuient dans le désert pour échapper au flinguage venu du ciel. Grand Bataclan à ciel ouvert. On a tous rêvé de débarquer dans une rave en Hummer pour remettre un peu d’ordre. Mais là, je vois courir tous ces hébétés et je pense aux parents qui, dans quelques heures, recevront qui un coup de téléphone, qui la visite d’amis ou d’officiels venus leur annoncer ce qu’aucun parent, jamais, ne devrait être contraint d’entendre.
• Un prof a été égorgé dans un lycée français, le deuxième et certainement pas le second. Héros, hommage, hugs. Les trois “H” du cancre élyséen. À la lumière des “massacres du Hamas”, de nombreux chroniqueurs ne peuvent s’en empêcher : mais combien sont-ils chez nous, nous les braves et pacifiques Français, à attendre le grand soir et son fameux croissant de lune ?
• Prendre parti. Ceux qui déplorent les Palestiniens écrasés sous leurs immeubles à coups de bombes sont d’infects islamo-collabos. Les chroniqueurs, chefs de plateau et autres inutiles s’agitent bruyamment, distribuent des bons points et offrent à qui en veut une tournée de moraline. Ça va de “j’ai d’excellents amis Juifs” à “et la Shoah alors, vous en faites quoi ?”. Pathétiques agitations, pitoyables guignolades.
• Je n’entends quasiment personne rappeler ce qu’était encore la diplomatie française d’après guerre. Ce que nous avions perdu en puissance militaire, nous pouvions encore le compenser en influence. Le refus d’être inféodé, comme l’obsession de la souveraineté, allait favoriser l’émergence d’une autre voie – le non-alignement –, unique chemin vers la préservation d’une forme d’indépendance géopolitique dans un monde violemment bi-polaire. L’exceptionnel domaine ultra-marin de la France lui conférait alors une dimension internationale quasi naturelle, préservée des affres d’une décolonisation dramatique. Que reste-t-il de tout cela ? Rien. Absolument rien. La France a perdu partout, elle qui est maintenant devenue une colonie du tiers-monde, le champ d’expérimentation européen du globalisme assassin.
• Pathos, pathos, pathos ! J’ai du pathos à pas cher, en voulez-vous ? L’heure est donc à l’effroi et à l’indignation. Idéal pour nous rappeler que le peuple juif est un peuple héroïque. Légèrement dominateur – comme nous le rappelait le grand Charles – mais courageux, combattif, résolu. Idéal aussi pour déshumaniser le Palestinien de base et fermer les yeux sur les tonnes de bombes balancées sur des gens qui rêvaient sans doute d’égorger des Juifs mais qui, étant donné leur condition physique nouvelle, n’auront pas le temps de passer à l’acte. Je sais, je fais du mauvais esprit. Précisément. Ce qui est triste, là-dessous, c’est le cautionnement inconditionnel de la scénarisation tous azimuts. Ces gens-là, Monsieur, n’ont honte de rien. Ceux qui montrent avec le regard fixe, la mâchoire d’acier, le geste calme, et ceux qui regardent, le teint livide, la bouche ouverte, l’œil mouillé et la gorge nouée. Images de salle à manger transformée en abattoir, de jardinet jonché de tripaille, de trainées de sang chaud dans les couloirs. Ça change des parents gris qui beuglent comme des bougres avec le cadavre tout cendré de leur môme de quatre ans et demi dans les bras. “Oui, mais en même temps, il y a les agresseurs et les agressés, hein, non ?”. Et dire qu’ils sont payés pour oser proférer de telles ignominies.
• François Cevert est mort le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen. C’était le jour du commencement de la guerre du Kippour. Un demi-siècle plus tard, alors que je raconte à qui veut bien m’écouter la carrière fulgurante et la mort tragique de celui qui fut mon idole, le Hamas fourbit ses armes pour son attaque du 7 octobre. Coïncidence ? Je crois bien, oui.
J.-M. M.
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La maison du célèbre banquier Rothschild a confirmé que l’éco-activiste suédoise Greta Thunberg est l’arrière-petite-fille du célèbre banquier Lionel Walter Rothschild, fils du premier baron Rothschild. Les médias se sont intéressés à cette relation présumée après qu’une source de Handelsbanken, banque suédoise, a affirmé que la Fondation Rothschild avait effectué des virements sur les comptes de la famille Thunberg. L’arrière-grand-père de l’activiste, Joachim Thunberg, était le fils illégitime mais reconnu de Lionel Rothschild en 1928. Sa mère l’ayant élevé seule pendant les deux premières années, il a hérité du nom de famille de cette dernière. Joachim a ensuite été pris en charge par son père biologique et, à partir de l’âge de 12 ans, il s’est installé en France. A 26 ans, Joachim Rothschild-Thunberg devient l’un des banquiers les plus prospères de Suède.
Voir le lien https://www.aap.com.au/factcheck/no-greta-thunberg-is-not-related-to-the-rothschild-family/
Allez savoir la vérité avec tout ça 😮💨
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C'est l'anniversaire des Mystérieuses Cités d'Or. 42 ANS ! 🥳
Les Mystérieuses Cités d’or (太陽の子エステバン, Taiyō no ko Esteban, littéralement « Esteban, le fils du Soleil »)
youtube
La série est diffusée pour la première fois au Japon le 29 juin 1982 sur la chaîne NHK, le 28 septembre 1983 en France sur Antenne 2 et le 30 juin 1986 aux États-Unis sur Nickelodeon.
En 2012, une suite de 26 épisodes de 23 minutes voit le jour. Deux autres saisons suivront en 2016 et 2020, diffusées par France TV.
L'histoire démarre en 1532.
Esteban, 12 ans, vit en Espagne à Barcelone, où on le surnomme le "fils du Soleil" car il peut faire apparaître et disparaitre des nuages devant le soleil.
Après la mort de son père adoptif, Esteban apprend qu'il a été sauvé bébé par Mendoza et il choisit de se rendre en Amérique du Sud pour découvrir la vérité sur ses origines.
En chemin, il rencontre Zia, une jeune fille capable de lire les quipus et arborant le même médaillon que lui. Puis, Tao, descendant du peuple de Mu. Tous les 3 tenteront de retrouver l'emplacement des 7 cités d'or.
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Au fil de l’intrigue du téléfilm américain "Talking to Heaven" (2002), également connu sous le titre "Living with the Dead" et rebaptisé "Apparitions" pour sa diffusion sur le territoire français, un médium, en communication avec les esprits de jeunes garçons kidnappés puis assassinés par un tueur en série, entre en transe et, ce faisant, s’identifie à l’une des victimes du meurtrier, se visualisant ligoté au moyen de cordes et bâillonné avec du ruban adhésif, à l’intérieur du coffre d’une voiture.
Dans un autre téléfilm américain, intitulé "Nightworld : Lost Souls" (1998) et connu en France sous le nom "Les Étranges conversations de Meggan", c’est une fillette autiste qui dialogue avec les âmes d’enfants disparus, enlevés puis assassinés par un mystérieux inconnu. L’auteur de ces méfaits ne tarde pas à s’en prendre au grand-frère de la petite fille : le garçon est capturé dans une forêt, lors d’une promenade en vélo, et finit ficelé au fond d’une grotte, bâillonné par une fine cordelette passée entre ses lèvres.
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🇫🇷Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, quel est le dernier Fronsac que vous avez dégusté🇫🇷
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 cuvée Haut de Carles du domaine @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇 :
96 % Merlot
4 % Cabernet Franc
💰:
33,50€ / bouteille
🏺:
Élevage 18 à 24 mois en fûts
📆:
Age moyen des vignes : 35 ans.
👁️ :
Robe de couleur pourpre soutenu
👃 :
Un nez sur des notes de fruits noirs, épices.
💋 :
En dégustant ce vin, on est enveloppé par des tanins d'une douceur veloutée, une rondeur exquise. Les papilles sont submergées par une explosion de fruits noirs (Cassis, mûre, Myrtille), des touches de poivre noir et de réglisse. Le boisé est parfaitement équilibré, sans excès. Une délicieuse persistance en bouche se termine par une finale délectable de pruneaux et de délicates notes de chocolat.
📜En résumé📜 :
Un sublime Fronsac, fier étendard du domaine, a enchanté mes papilles ainsi que celles de mes convives. Un vin d'une élégance remarquable qui saura vous combler dès à présent ou dans quelques années, sans la moindre hésitation. La patience sera récompensée à coup sûr. Un vin d'exception qui peut rivaliser sans difficulté avec les plus grands Bordeaux.
🧆Dégusté sur une joue de bœuf 🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Agneau mijoté, Bavette de boeuf grillée, Cailles rôties, Charcuteries,...
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver un vigneron📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞.
La plupart des vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
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🗣️🇫🇷Description du domaine @hautcarles_officiel🗣️🇫🇷
Au flanc du tertre de Fronsac, au-dessus de la vallée de l’Isle et entouré de 20 hectares de vignes en coteaux, ce château fortifié à la fin du 14e siècle prend son aspect actuel au cours de la Renaissance deux siècles plus tard. Célébré par Ronsard, il a vu défiler les esprits les plus brillants : Montaigne, La Boétie, Rousseau, et de nombreux autres… Il y a 120 ans, le Sénateur Guillaume Chastenet de Castaing entre en scène. Il est suivi par son fils Jacques, illustre historien de l’Académie Française, et par son petit-fils Antoine. Depuis 1983, l’aventure vigneronne familiale se poursuit par la qua-trième génération, celle de Constance et de son époux Stéphane Droulers. Dans une même quête de qualité sans concession, respectant au plus proche la nature, et entourés des conseils avisés d’Hubert de Bouärd, les deux époux produisent, sur le domaine de ce noble château chargé d’histoire, des vins modernes, équilibrés et respectueux de la magie du grand terroir historique de Fronsac.
Notre ambition est de consacrer tous les moyens nécessaires pour que le domaine de Carles et ses vins retrouvent et pérennisent la gloire et la renommée qui étaient les leurs au tournant du 19ième siècle lorsque les vins de Fronsac, Carles en tête, étaient mieux cotés que ceux de Pomerol et faisaient jeu égal avec les plus illustres des crus de Saint-Emilion. Notre volonté est de transmettre à nos deux filles, Eléonore et Oriane, les mêmes passions et la même recherche d’exigence pour qu’elles puissent à leur tour les trans-mettre aux générations futures.
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🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹
🇺🇸Hello corkscrew lovers. And you, what is the last Fronsac you tasted🇺🇸
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 vintage Haut de Carles from the domain @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇:
96% Merlot
4% Cabernet Franc
💰:
33.50€ / bottle
🏺:
Aging 18 to 24 months in barrels
📆:
Average age of the vines: 35 years.
👁️:
Deep purple dress
👃:
A nose with notes of black fruits and spices.
💋:
When tasting this wine, we are enveloped by tannins of velvety softness and exquisite roundness. The taste buds are overwhelmed by an explosion of black fruits (blackcurrant, blackberry, blueberry), touches of black pepper and licorice. The woodiness is perfectly balanced, without excess. A delicious persistence on the palate ends with a delectable finish of prunes and delicate notes of chocolate.
📜In summary📜:
A sublime Fronsac, proud standard of the estate, enchanted my taste buds as well as those of my guests. A wine of remarkable elegance which will satisfy you now or in a few years, without the slightest hesitation. Patience will definitely be rewarded. An exceptional wine that can easily compete with the greatest Bordeaux.
🧆Tasted on a beef cheek🧆.
🍷Some possible food and wine pairings with this vintage🍷: Slow-cooked lamb, Grilled flank steak, Roasted quail, Charcuterie,...
📌Don't forget, drinking a barrel is saving a winegrower📌.
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞.
Most of the wines have been tasted and spit out. Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🗣️🇬🇧Description of @hautcarles_officiel 🗣️🇬🇧
On the side of the mound of Fronsac, above the Isle valley and surrounded by 20 hectares of hillside vineyards, this castle, fortified at the end of the 14th century, took on its current appearance during the Renaissance two centuries later. Celebrated by Ronsard, it has seen the most brilliant minds parade: Montaigne, La Boétie, Rousseau, and many others... 120 years ago, Senator Guillaume Chastenet de Castaing entered the scene. He is followed by his son Jacques, an illustrious historian of the French Academy, and by his grandson Antoine. Since 1983, the family winemaking adventure has continued with the fourth generation, that of Constance and her husband Stéphane Droulers. In the same uncompromising quest for quality, respecting nature as closely as possible, and surrounded by the wise advice of Hubert de Bouärd, the two spouses produce, on the estate of this noble castle steeped in history, modern, balanced and respectful of the magic of the great historic terroir of Fronsac.
Our ambition is to devote all the necessary means to ensure that the Carles estate and its wines regain and perpetuate the glory and reputation that they enjoyed at the turn of the 19th century when the wines of Fronsac, Carles in the lead, were better rated than those de Pomerol and were on a par with the most illustrious of the Saint-Emilion crus. Our desire is to pass on to our two daughters, Eléonore and Oriane, the same passions and the same quest for high standards so that they can in turn pass them on to future generations.
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🇮🇹Ciao amanti dei cavatappi. E tu, qual è l'ultimo Fronsac che hai assaggiato🇮🇹
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 vintage Haut de Carles del dominio @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇:
Merlot al 96%.
4% Cabernet Franco
💰:
33,50€/bottiglia
🏺:
Invecchiamento da 18 a 24 mesi in botti
📆:
Età media delle viti: 35 anni.
👁️:
Abito viola intenso
👃:
Un naso con note di frutti neri e spezie.
💋:
Degustando questo vino veniamo avvolti da tannini di vellutata morbidezza e squisita rotondità. Le papille gustative sono travolte da un'esplosione di frutti neri (ribes nero, mora, mirtillo), tocchi di pepe nero e liquirizia. La legnosità è perfettamente equilibrata, senza eccessi. Una deliziosa persistenza al palato si conclude con un delizioso finale di prugne secche e delicate note di cioccolato.
📜In sintesi📜:
Un sublime Fronsac, orgoglioso vessillo della tenuta, ha incantato le mie papille gustative così come quelle dei miei ospiti. Un vino di notevole eleganza che saprà soddisfarvi, adesso o tra qualche anno, senza la minima esitazione. La pazienza sarà sicuramente ricompensata. Un vino eccezionale che può facilmente competere con i più grandi Bordeaux.
🧆Degustato su una guancia di manzo🧆.
🍷Alcuni possibili abbinamenti enogastronomici con questa annata🍷: Agnello alla cottura lenta, Fiancata alla griglia, Quaglia arrosto, Salumi,...
📌Non dimenticare, bere una botte salva un viticoltore📌.
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞.
La maggior parte dei vini sono stati degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
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🗣️🇮🇹Descrizione i @hautcarles_officiel 🗣️🇮🇹
Sul lato del tumulo di Fronsac, sopra la valle dell'isola e circondato da 20 ettari di vigneti collinari, questo castello, fortificato alla fine del XIV secolo, ha assunto l'aspetto attuale durante il Rinascimento due secoli dopo. Celebrato da Ronsard, ha visto sfilare le menti più brillanti: Montaigne, La Boétie, Rousseau e molti altri... 120 anni fa, entrò in scena il senatore Guillaume Chastenet de Castaing. È seguito dal figlio Jacques, illustre storico dell'Accademia di Francia, e dal nipote Antoine. Dal 1983 l'avventura vitivinicola di famiglia prosegue con la quarta generazione, quella di Constance e del marito Stéphane Droulers. Nella stessa ricerca intransigente della qualità, nel rispetto della natura il più possibile, e circondati dai saggi consigli di Hubert de Bouärd, i due coniugi producono, nella tenuta di questo nobile castello ricco di storia, moderno, equilibrato e rispettoso della magia del grande terroir storico di Fronsac.
La nostra ambizione è quella di dedicare tutti i mezzi necessari per garantire che la tenuta di Carles e i suoi vini riguadagnino e perpetuino la gloria e la reputazione di cui godevano all'inizio del XIX secolo, quando i vini di Fronsac, Carles in testa, erano valutati meglio di quelli de Pomerol ed erano alla pari dei più illustri cru di Saint-Emilion. Il nostro desiderio è trasmettere alle nostre due figlie, Eléonore e Oriane, le stesse passioni e la stessa ricerca di standard elevati in modo che possano a loro volta trasmetterli alle generazioni future.
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Champs-les-Sims - Automne 1913
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Cher cousin,
Me voici enfin revenu en France. Quel dommage que nous n'ayons pas eu l'occasion de nous rencontrer à nouveau, j'aurai pu vous montrer les croquis et les notes que j'ai fait de mon expédition.
Mais en premier lieu, il me faut vous avertir que je suis à nouveau père depuis l'année dernière. Mon Albertine a donné naissance à notre fils, Jean-François. Enfin une idée de prénom qui a plu à mon épouse. Par ailleurs, mes autres enfants ont sept ans et ont pas mal grandit. Il est cependant encore difficile d'avoir une conversation vraiment intéressante avec eux. Ils ont des préoccupations très enfantines qui ne m'évoquent absolument rien. Arsinoé, mon héritière, est une petite fille superstitieuse qui s'évertue à chercher sous les meubles des monstres imaginaires. J'imagine que c'était une sorte de fatalité au regard des idées parfois étranges de ma grand-mère qui croit aux revenants. Fort heureusement pour elle, la petite tient de sa mère et est plutôt jolie.
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