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#Madame Première
roehenstart · 5 months
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Portrait of Louise Elisabeth of France (1727-1759), Duchess of Parma, in court dress. By Jean-Marc Nattier.
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neiyuu · 11 months
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Ladies and gents, voici le plus bas niveau de médiocrité qu'une personne peut toucher: La belle-mère de mon copain essaie de nous faire rompre. J'aimerais rigoler, mais ça en arrive à du "je vole la culotte en dentelle de la mamie pour la mettre dans le panier de linge sale de mon beau-fils pour que sa copine pense qu'il la trompe".
J'aimerais rigoler.
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lolochaponnay · 18 hours
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Monsieur dit à madame : -Mon coeur, à partir d'aujourd'hui je vais t'appeler Eve. Elle répond : -Et pourquoi ? -Parce que tu es ma première femme. -Alors moi je vais t'appeler Peugeot. -Pourquoi ? -Parce que tu es le 406.
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jade-curtiss · 1 year
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Les choses que je me retiens par concilliance, comme, on teste mon niveau de pédenterie à chaque fois j'passe le cadre de porte. Tsé faut tester et comparer les bien faits de la thérapie de temps en temps.
Pis gaspillez pas votre cash, comme y'a toujours des vices cachés dans ces patentes là.
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empiredesimparte · 2 months
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Napoleon V's Garden Party at the Tuileries: The Kick-off to the Coronation Festivities
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°19 | Francesim, Paris, 29 Thermidor An 230
To establish his own style, the young Emperor Napoleon V does not hesitate to distinguish himself from his father. He takes a keen interest in the opinions of the French people, whom he wishes to meet personally. During the garden party held at the Tuileries, he interacted with many guests, including civilians, soldiers, artists, and intellectuals. The event, marking the beginning of his coronation festivities, was an opportunity for Napoleon V to demonstrate his more modern and accessible approach to monarchy. He listened attentively to the concerns of his subjects in a relaxed and friendly atmosphere, reflecting his desire to forge stronger bonds with the people.
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⚜ Traduction française
Pour imposer son style, le jeune empereur Napoléon V n'hésite pas à se démarquer de son père. Il s'intéresse de près à l'avis des Français, qu'il souhaite rencontrer humainement. Lors de la garden party organisée aux Tuileries, il a personnellement échangé avec de nombreux invités, incluant des civils, des artistes, et des intellectuels. L'événement, marquant le début des festivités de son sacre, a été l'occasion pour Napoléon V de démontrer son approche plus moderne et accessible de la monarchie. Il a écouté attentivement les préoccupations de ses sujets, dans une atmosphère détendue et conviviale, reflétant sa volonté de créer des liens plus forts avec le peuple.
La Garden Party de Napoléon V aux Tuileries
Les splendides jardins du Palais des Tuileries ont été le théâtre d'un événement des plus prestigieux : la garden party impériale, organisée pour célébrer le couronnement récent de l'Empereur Napoléon V. C'est une première sous le Troisième Empire, feu l'empereur Napoléon IV n'ayant pas repris cette tradition pourtant initiée par Napoléon Ier et Napoléon III au XIXe siècle.
L'Empereur Napoléon V, vêtu d'un costume blanc sur mesure, resplendissait aux côtés de l'élégante Impératrice Charlotte, dont la grâce et la beauté ont fait tourner toutes les têtes.
Madame Mère, Marie-Joséphine, rayonnait de dignité, apportant une sérénité touchante à l'événement. Accompagnée d'Hortense, la sœur cadette de l'Empereur, elles ont charmé les invités, incarnant parfaitement le renouveau de l'empire. La princesse Hortense doit bientôt s'envoler pour l'Ecosse, afin de rejoindre son prince charmant, le duc Oliver de Rothsey.
Le Prince Impérial Henri, héritier présomptif, et son épouse, la Princesse Napoléon Olympia, étaient également de la partie. La distinction du Prince Impérial complétait parfaitement l'élégance sophistiquée de la Princesse Olympia, formant un couple harmonieux.
Les invités, charmés par l'hospitalité impériale, se sont livrés à des échanges chaleureux et des moments mémorables. La Maison Impériale a invité des français de tous les horizons, ayant accomplis de nombreux services pour la Nation.
Plus qu'une simple fête, cette garden party symbolisait une nouvelle ère de prospérité et d'unité pour l'Empire français. Elle démontrait l'engagement personnel de l'Empereur Napoléon V à perpétuer les traditions impériales, tout en ouvrant la voie à un rapprochement et une écoute des Français.
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mizaryrottmnt · 2 months
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"My Dear Puppet"
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FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
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Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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ekman · 1 month
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Le mensonge a cessé d’être un vice moral et intellectuel pour devenir un système de gouvernement. C’est un progrès considérable pour les mondialistes, car il a pour première vertu de faire disparaître toute notion d’éthique dans les sociétés dites “avancées”. Comment le mensonge généralisé – statistique, médiatique, étatique – est-il parvenu à effacer non une quelconque vérité, notion fumeuse et très discutable, mais plus radicalement, à escamoter la réalité toute entière ?
Première mise au point, indispensable : qu’est-ce que la réalité aujourd’hui ? Est-elle seulement définissable ? Fait vérifié : la réalité n’est plus le produit de l’observation individuelle, mais celui du discours collectif. D’où l’importance du contrôle permanent et méticuleux des médias classiques, à l’exclusion (très provisoire) des canaux présents sur Internet. Le discours collectif donc, est souvent résumé par l’appellation anglicisante de “narratif”. Les narratifs qui se succèdent, s’enchainent et parfois se chevauchent, ont pour fonction d’installer un climat dans l’opinion publique – euphorisant, anxyogène, consensuel, solidaire, etc. Les problèmes sont créés, les réactions contrôlées, les réflexions orientées, les solutions suggérées. Cela fait partie de l’ingénierie du “soft power”, concept  directement sorti de l’esprit des publicitaires américains... et c’est ainsi que la réalité devient une vérité, celle de “On” qui prospère ainsi sous mille visages. C’est le consensus majoritaire : Monsieur Moyen et Madame Tout-le-Monde, qui ont du bon sens, adorent tout ce qui est très équilibré, donc central, et ne supportent pas les à-coups suggérés par les opinions radicales, trop réactives. L’affect collectif balance du paradis sucré des bons sentiments à l’entêtant pizzicato des situations stressantes. Des Jeux Olympiques à la variole du singe, si vous me suivez.
La force du discours collectif ne tient pas au fait qu’il soit collectif, c’est à dire reçu et relayé par la masse, mais plus par sa capacité de diffusion et de répétition. Ici aussi, on est dans la pure technique publicitaire. On comprend mieux la prise en charge, par l’État, de la santé financière des organes de Presse qui, dès lors, lui sont durablement redevables. Je dis bien “l’État” et non le “gouvernement”, ce qui souligne que le premier est l’expression directe du système qui désormais le contrôle, alors que le second n’a qu’un rôle illustratif, cosmétique.
Que reste-t-il alors de l’observation individuelle ? Eh bien elle ne puise sa valeur que dans celle des individus eux-mêmes. Celui qui ne veut pas voir ne verra pas, ni n’entendra, ni ne réfléchira. Celui qui constate que ce qu’il voit n’est pas ce qu’on lui raconte – pour peu qu’il ait un peu d’instruction et de courage – se sentira tenu de dire et de contredire, surtout. Très vite il deviendra l’emmerdeur, le facho, le complotiste, le parano... autant d’insultes qui deviendront des médailles. Celui qui s’isole dans sa bulle afin d’échapper au bruit ambiant, celui qui a renoncé au succès d’apparence, à l’audience, aux soutiens et aux relais, celui-là souffrira de la solitude et de l’incompréhension. Mais si un seul concitoyen peut, au final, être convaincu d’ouvrir les yeux, alors la journée se soldera par une victoire de plus puisque le discours collectif comptera une paire d’oreilles en moins.
J.-M. M.
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Nephew of Madame la Reine to be Married
A surprise announcement came from la famille royale this morning when it was announced le Comte de Montavin is set to marry Mademoiselle Giselle Roux, daughter to the Comte et Comtesse de Gregny.
Nephew to Madame la Reine, le Comte de Montavin is the son to le Marquis and the late Marquise de Montavin. His mother was the elder sister of our Madame la Reine, lost in childbirth, and it is known le Comte was raised not only by his father, but by Madame la Reine as well. While we have not paid much attention to the other matches happening throughout the season, particularly when the interest to follow the exploits of our young Monseigneur are at the forefront of our minds, we cannot help but congratulate le Comte and his future bride.
The announcement further detailed the marriage is to take place on the twenty-seventh of May, a mere five days away! We are certain Madame la Reine has her hands full, not only with the last preparations for the Prix de Thornolie, but for her nephew's upcoming nuptials.
Though, before we can turn our attentions to the wedding, it is best to focus instead on the Prix de Thornolie. Excitement for the event is high, particularly among the lower classes who will have the chance to attend the royal festivities. This will be the first event of the new season which puts la famille royale in such close quarters with the rest of the Thornolian people, something we are told Madame la Reine was adamant about when putting together this première saison. A small procession to the event will be lead by carriages holding la famille royale, followed by the leading noble families of Thornolia. The races will begin shortly after, and all winners will be presented their awards by Monseiur le Roi et Monseigneur L'Épin.
Of course, we must wonder who will be on the arm of our Monseigeur. Will it once more be Mademoiselle Valery, or is he still pursuing other options? Only time will tell.
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fashionbooksmilano · 11 months
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Azzedine Alaïa Couturier Collectionneur
Olivier Saillard, Miren Arzalluz, Ariel Stark-Ferré, Robinson Boursault
Exposition Palais Galliéra , Paris 2023
Paris Musées, Paris 2023, 224 pages, 23x30,6cm, ISBN 9782759605583
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Une exposition qui présente, pour la première fois, sa collection patrimoniale exceptionnelle qu’il a réunie au fil du temps. Azzedine Alaïa était un grand virtuose de la coupe. Sa technicité lui venait de la profonde admiration qu’il avait pour les couturiers du passé et d’une longue pratique acquise auprès de ses clientes qu’il a habilement servies. Alaïa était aussi un remarquable collectionneur. Il débute sa collection en 1968, à la fermeture de la maison Balenciaga dont il récupère de précieuses pièces. Captivé par l’étude des créations haute couture du maître espagnol, il développe, dès lors, une passion pour l’histoire de sa propre discipline. Alaïa a réuni plus de 20 000 pièces témoins de l’art de ses prédécesseurs, depuis la naissance de la haute couture à la fin du XIXe siècle jusqu’à certains de ses contemporains. Il est ainsi le plus grand collectionneur de pièces de couturiers parmi les plus prestigieux : Worth, Jeanne Lanvin, Jean Patou, Cristóbal Balenciaga, Madame Grès, Paul Poiret, Gabrielle Chanel, Madeleine Vionnet, Elsa Schiaparelli, ou encore Christian Dior... La création contemporaine est représentée par des pièces de Jean Paul Gaultier, Comme des Garçons, Alexander McQueen, Thierry Mugler ou encore Yohji Yamamoto... Réunissant près de 140 pièces parmi les plus exceptionnelles, le parcours de l’exposition retrace l’histoire de cette inestimable collection qu’Alaïa a constituée dans le plus grand secret et qui n’a jamais été dévoilée de son vivant, en France comme à l’international.
28/10/23
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Elle s'est mariée à l'âge de 14 ans, et à l'age de 20 ans, elle devient mère. La première femme millionnaire qui a fait fortune avec ses 10 doigts.
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Elle est entrée dans le Guinness Book of Records en tant que première femme à devenir millionnaire indépendamment, sans argent hérité. Sara Breedlove est née en 1867 dans le sud des États-Unis, dans l'État de Louisiane. Ses parents, ses frères aînés et sa sœur étaient esclaves dans les champs de coton. Mais Sara est née libre. À 7 ans, elle a perdu ses parents. Après la mort de ses parents, elle a emménagé chez sa sœur et son mari. Enfant, Sara travaillait comme femme de ménage et n'avait pas le temps de scolariser. Elle a plus tard indiqué qu'elle n'avait eu que 3 mois d'éducation formelle lorsqu'elle a fréquenté. Elle n'avait que 14 ans quand elle a épousé Moses McWilliams. Elle ne l'a pas fait parce qu'elle l'aimait la vérité était que le mari de sa sœur était un homme très violent, et le mariage était le seul moyen pour Sara de s'échapper de cette famille. 4 ans plus tard Sarah et Moïse avaient une fille ensemble. Son mari décédé elle est donc devenue veuve à l'âge de vingt ans. En 1888, Sara déménage à St. Louis. Ses frères y travaillaient comme coiffeurs. Elle a commencé à travailler dans une laverie et comme cuisinière pour payer les études de sa fille dans une école publique. Sara gagnait environ 1,50 $ par jour. Comme tous les travailleurs de la blanchisserie, Sara est tombée malade à cause de produits chimiques, maladie de la peau, manque d'eau et chauffage dans la maison ont fait que Sara à perdu ses cheveux. Grâce à ses frères, elle a appris les bases des soins capillaires. Eni Malon des produits capillaires, et la rencontrera plus tard en personne, elle commence à vendre ses produits dans la rue. Travaillant toujours pour Malon à 37 ans, elle déménage à Denver avec sa fille et commence à penser à sa propre gamme de cosmétiques pour les femmes afro-américaines. Après de nombreuses expériences, elle réussit et elle commence à construire sa propre entreprise. En 1906, Sara épousa Charles J. Walker est devenu plus tard célèbre sous son nom de famille.
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Charles devient son partenaire commercial, il a fait de la publicité et a aidé sa femme avec la promotion. Sara a fait du porte à porte en essayant de vendre ses produits, mais aussi pour apprendre aux femmes comment prendre soin de leurs cheveux et coiffer. La même année, elle a décidé d'agrandir son entreprise, alors elle et son mari ont voyagé en Amérique. Sa fille a obtenu son diplôme d'école, alors elle a aidé sa mère. Deux ans plus tard, Sara déménage à Pittsburgh, la famille ouvre un salon de beauté, mais aussi une école qui forme les gens sur les soins capillaires afin qu'ils puissent appliquer les produits. En 1910, Sara déménage à Indianapolis, où elle ouvre le siège de la compagnie Madame C. J. Walker. Elle construisit une usine, un laboratoire, un salon de coiffure et une école de beauté où elle forme ses agents commerciaux. En 1917 elle employait 20 000 femmes. Ses agents gagnaient de 5 à 15 dollars par jour. Sara voulait que les femmes afro-américaines soient financièrement indépendantes, alors elle a encouragé les femmes à ouvrir leur propre entreprise et leur a appris à gérer l'argent. Plus elle devenait riche, plus elle passait du temps à des œuvres de bienfaisance elle a donné des conférences, s'est battue contre l'injustice sociale. Avant de mourir, elle a fait don de plus de 100 000 dollars aux pauvres et à diverses organisations et institutions sociales. Dans son testament, elle a déclaré que les 2/3 de ses futurs bénéfices devraient être reversés à une œuvre de bienfaisance. Elle est morte à l'âge de 51 ans. Elle était considérée comme la femme afro-américaine la plus riche. Quand elle est morte, on pensait que sa fortune se situait entre 500 000 et 1 million de dollars. Au cours de sa vie, Sara n'était pas millionnaire, seulement 2 ans après sa mort, sa richesse a augmenté, mais pendant qu'elle était en vie, elle voulait faire plus de bonnes actions.
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haitilegends · 10 months
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CELEBRATING KHLOË TIMMER'S HISTORIC GYMNASTICS VICTORY FOR HAITI 🇭🇹💐🎉🎊🙏🏾
Central American and Caribbean Championships of Artistic Gymnastics El Salvador
🎉 We are thrilled to announce that 14-year-old Khloe Timmer has made history! Huge congratulations to her for winning the first-ever Artistic Gymnastics medal for Haiti 🇭🇹. Her exceptional performance and hard work have earned her a silver medal, which she brings home with immense pride and joy.
This monumental achievement sets a benchmark for future Haitian gymnasts. Khloë, you have not only made us proud but have also become a symbol of enduring tenacity.
Special thanks to Maria Gonzalez from Leyva Gymnastics Academy, proud parents Mr. & Mrs. Timmer, and their family for their unwavering support and guidance.
Join us in celebrating this historic moment!
Sandra Gabriel Lmt
#HaitiLegends
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Haitian Kreyòl: SELEBRE VIKTWA ISTORIK KHLOË TIMMER NAN JIMNASTIK POU AYITI 🇭🇹💐🎉🎊🙏🏾
🎉 Nou kontan anonse ke Khloe Timmer, 14 ane, fè istwa! Gwo felisitasyon pou li pou li te genyen premye meday jimnastik atistik pou Ayiti 🇭🇹. Pèfòmans eksepsyonèl li ak travay difisil li fè li merite yon meday silvè, li pran lakay li avèk yon fyèt ak yon kè kontan.
Sa a se yon siksè monumental ki mete yon referans pou jimnast ayisyen nan lavni. Khloe, ou pa sèlman fè nou fyè, men ou vin yon simbòl de tenasite ki pa kase.
*Mèsi espesyal bay Maria Gonzalez nan Akademi Jimnastik Leyva, paran fyè yo, Mesye ak Madam Timmer, ak fanmi yo pou sipò ak gid ki pa janm kanpe.
Vini patisipe nan selebrasyon sa a istorik la!
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French: CÉLÉBRONS LA VICTOIRE HISTORIQUE DE KHLOË TIMMER EN GYMNASTIQUE POUR HAÏTI 🇭🇹💐🎉🎊🙏🏾
🎉 Nous sommes ravis d'annoncer que Khloë Timmer, âgée de 14 ans, a fait l'histoire ! Félicitations immenses à elle pour avoir remporté la toute première médaille de gymnastique artistique pour Haïti 🇭🇹.
Sa performance exceptionnelle et son travail acharné lui ont valu une médaille d'argent, qu'elle ramène avec une fierté et une joie immenses.
Cette réalisation monumentale établit une référence pour les futurs gymnastes haïtiens. Khloë, tu nous as non seulement rendus fiers, mais tu es aussi devenue le symbole d'une ténacité durable.
Un grand merci à Maria Gonzalez de l'Académie de gymnastique Leyva, aux fiers parents M. et Mme Timmer, ainsi qu'à leur famille pour leur soutien indéfectible et leurs conseils.
Joignez-vous à nous pour célébrer ce moment historique !
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Spanish: CELEBRANDO LA VICTORIA HISTÓRICA DE KHLOË TIMMER EN GIMNASIA PARA HAÏTI
🇭🇹💐🎉🎊🙏🏾
🎉 ¡Estamos encantados de anunciar que Khloe Timmer, de 14 años, ha hecho historia! Enormes felicitaciones para ella por ganar la primera medalla de gimnasia artística para Haití 🇭🇹. Su destacado rendimiento y arduo trabajo le han valido una medalla de plata, que lleva a casa con inmenso orgullo y alegría.
Este logro monumental establece un referente para futuros gimnastas haitianos. Khloe, no solo nos has llenado de orgullo, sino que también te has convertido en un símbolo de tenacidad duradera.
*Un agradecimiento especial a Maria Gonzalez de la Academia de Gimnasia Leyva, a los orgullosos padres, el Sr. y la Sra. Timmer, y a su familia por su apoyo inquebrantable y orientación.
¡Únanse a nosotros para celebrar este momento histórico!
#SGLmt
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selidren · 3 months
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Printemps 1921 - Champs-les-Sims
1/10
Chère Eugénie,
Premièrement, je suis navrée pour vous car si je n'ai pas pu vous lire, j'ai lu entre les lignes du courrier que nous avons reçu de Jules. Je devine que son retour a été pour vous source de tensions, et au vu de sa réponse, il n'a sans doute pas admis grand chose et semblait même craindre ce que vous avez pu me dire. Je vous réitère ma confiance et c'est d'ailleurs Constantin qui répondra à votre mari. J'espère que, malgré tout, vous vous portez bien.
Dès réception de sa lettre, nous avons cependant fait savoir à nos relations que nous cherchions une certaine Liliane Le Bris. Rose a entendu parler d'une certaine Liliane Le Bris, mais il s'agissait (après de plus amples recherches) d'une veuve très âgée de Saint-Brieuc, où elle est également née, et qui n'avait jamais été plus loin que Dinan toute sa vie durant. Je me dois donc de vous dire que nous avons fait chou blanc. Madame Eugénie a ajouté que si il y avait eu une Liliane Le Bris en France qui nous soit apparentée, elle le saurait.
Je me réjouis néanmoins d'apprendre que vos enfants se portent à merveille. De notre côté, Antoine est devenu un brillant lycéen qui n'obtient que d'excellentes notes. Il rentre assez peu souvent car la vie parisienne semble lui réussir au plus haut point et contrairement à son père, il s'est fait des amis au pensionnat. Notre petite Noé n'est pas moins brillante, elle s'est quand à elle rapprochée d'Adelphe ces derniers mois, où elle est plus que déterminée à tout apprendre de l'affaire familiale. Auparavant, je ne la savais pas si passionnée de viticulture.
Transcription :
Arsinoé « Allez, un peu de courage. Ce n’est pas comme si j’allais demander une faveur à Papa... Hum… Oncle Adelphe ? »
Adelphe « Tiens, Noé. Quel bon vent t’amène ? »
Arsinoé « Je… enfin, je me demandais ce que vous faisiez. »
Adelphe « Le pressoir hydraulique est déjà en panne. Et je n’ai que quelques outils et de l’huile de coude comme nous sommes dimanche. »
Arsinoé « Le pressoir que nous avons acheté à l’automne ? Le foulograppe Coq ? »
Adelphe « Je vois que quelqu’un est allé fouiller dans mon bureau. »
Arsinoé « Je n’ai pas vraiment fouillé, je vous jure. La facture était en haut de la pile. Je n’aurai jamais osé vous savez, j’avais peur de mettre la pagaille. »
Adelphe « Le bureau est déjà en pagaille. Je n’ai pas le talent de tes parents quand il s’agit de ranger, ce n’est pas pour rien que c’est ta mère qui vient y mettre de l’ordre régulièrement. Ce n’est vraiment pas grave, c’est même bien que tu t’intéresse à la production. »
Arsinoé « Justement. Je me disais que je pourrais remplacer Maman et ranger à votre place. C’est moi qui range toujours la chambre. Bon, c’est vrai que ça n’a pas grand-chose de comparable, mais je suis assez douée pour classer. »
Adelphe « Tu n’es pas vraiment obligée. Vraiment pas. Les jeunes filles devrait consacrer leur temps à leurs études et à profiter du temps qu’elles ont, pas à suppléer les adultes. Cela viendra bien assez vite. »
Arsinoé « Mais si ! C’est quelque chose que je dois apprendre mon oncle ! Vous même vous étiez jeune quand Grand-Père vous a enseigné les ficelles. Je veux être prête quand ce sera mon tour ! »
Adelphe « Ah, mais je ne savais pas que tu t’intéressais à... »
Arsinoé « Si, bien sûr ! Je suis l’héritière des Le Bris, bien sûr que je m’intéresse à l’entreprise familiale ! Je suis une fille, mais j’en ai les capacités. Je connais bien mon latin et mon grec, Grand-Mère trouve que mon allemand n’est pas mauvais et je suis travailleuse. Je peux apprendre tout ce que vous jugerez important, même la mécanique, je n’ai pas peur de me salir les mains. »
Adelphe « Et bien, quel enthousiasme ! Allez, prends une chaise, je vais te montrer quelques petites choses pour commencer.»
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 22
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour à tous !
Comme je le disais dans l’article précédent, pour m’excuser de ma lenteur caractéristique, je livre trois reviews de chapitre plutôt qu’une seule cette fois-ci (les reviews des chapitres 21, 22 et 23).
La dernière fois, nous rencontrions enfin un changelin, Monsieur X, qui avait l’horrible idée d’embrasser une mineure sous l’apparence de son ex-petit ami. Nous apprenions aussi la machination ayant donné lieu aux missions d’assassinat.
Mais bon, nous allons laisser ça de côté pour retrouver Mara dans un chapitre que j’espère être moins pénible que le dix-neuvième, intitulé « Mara, ou comment faire du vaisseau spatial-stop. »
Let’s go
« Mara essuya son poignard. Devant elle, le cadavre de Selenba gisait, dans une mare de sang.
Elle releva la tête vers la silhouette holographique ténébreuse de Magister qui la regardait en silence.
La jeune fille était détendue. Elle avait fait exactement ce que voulait Magister. Elle désigna le corps de son couteau et demanda dédaigneusement :
— Voulez-vous que je lui tranche la tête et que je vous la rapporte ? Ce sera salissant, mais ça ne me gêne pas.
Magister semblait surpris.
— Comment as-tu fait ? fit-il de sa voix de velours liquide. »
Même s’il est évident que tout ça est mis en scène et que Selenba n’est pas réellement morte, j’apprécie TRÈS FORTEMENT ce début sans préambule. Surtout après toute l’exposition qu’on s’est chopé au dix-neuvième chapitre. Bon Dieu que ce dix-neuvième chapitre était long.
Ah oui, et sidenote : je ne sais pas si j’ai déjà lu la remarque quelque part, mais « la voix de velours liquide » de Magister est une paraphrase qui me fait beaucoup rire. Je suppose que le velours liquide est un type de tissu (je ne m’y connais pas assez en textile pour le dire), mais pour une non initiée comme moi, on dirait que deux consistances différentes sont associées à un truc qui n’est pas censé avoir de consistance, la voix. Et puis là où je peux me figurer des « pattes de velours », les deux se rapprochant plutôt bien, la voix de velours me rend plus perplexe. Je pense que c’est une façon d’exprimer les intonations plutôt que le ton de voix, mais ça veut dire que Magister a constamment une voix caressante, même quand il se transforme en loup et se vautre sur sa propre queue. Perplexe.
C’est comme si je disais de quelqu’un « je n’ai jamais supporté ses grands airs conditionnés ». Genre ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu’il s’agit d’une image, mais alors va te conceptualiser l’image mon gars.
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Yay yay yay c’est de nouveau le moment pour moi de parler de découpage de répliques !!
C’est mal foutu !
Voilà !
Plus sérieusement, la première phrase, pas de souci, ça marche. Je dirais même que ça donne à Mara une façon de parler intéressante.
Souvent, quand on écrit, on a la tentation de donner aux personnages des phrases bien pensées et découpées, exprimant un raisonnement digne d’une thèse ; ce qui en soi fonctionne dans certains types de bouquins, pas de problème. Mais personnellement, je suis très fan des histoires où les répliques des personnages reflètent leur psychologie, dans la façon dont elles sont articulées, la taille des phrases, la façon dont les informations sont mises ─ phrases brèves avec toutes les informations nécessaires synthétisées, ou points de suspension et explications hachées.
Tenez, par exemple, en réécrivant ce passage :
« - S… Selenba a été transformée en vampyr. En vampyr normale, je veux dire, par… par ma sœur, je veux dire Tara, je crois. Donc elle n’était plus le Chasseur. Elle… 
Après une hésitation, Mara se tourna pour présenter son bras cassé à Magister, avant de lui désigner l’entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ ici, Mara est stressée, elle se corrige, se répète, a du mal à finir ses phrases. Ses phrases sont courtes ; les phrases brèves peuvent parfois être symptomatiques d’une personne qui ne veut pas parler en public et lâche l’information qu’elle a sous sa forme la plus simple pour parler le moins longtemps possible.
Par opposition :
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ Ici, Mara est froide, elle exprime un fait. C’est une didascalie et non une narration qui précise qu’elle dévoile ses plaies ; or, placer des actions en didascalie en retire généralement le « poids », leur donnant une allure de geste machinal. En effet, une action qui intervient entre deux bouts de phrases d’un personnage suggère que le personnage peut tranquillement parler tout en accomplissant l’action. (Je précise que c’est mon interprétation d’une action placée en didascalie, vous avez le droit de ne pas être d’accord, ça relève pour beaucoup de comment je lis les histoires personnellement).
Bref, la première phrase marche bien. Ce sont celles qui suivent qui m’embêtent.
« Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Une réplique de quatre lignes, c’est non. Déjà, une réplique sous-entend que quelqu’un la prononce, or je ne vois pas quelqu’un prononcer cette phrase sans devoir s’interrompre au mauvais endroit pour souffler. Vous me direz qu’il y a les virgules pour prendre le temps, mais ces virgules-là ne sont pas là pour prendre des pauses, puisque « elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si... » sont des bouts de phrases tous connectés logiquement qui perdraient de leur sens avec des pauses trop marquées.
En plus, en coupant l’aspect machinal d’une phrase courte, on dirait qu’elle cale le plus d’infos possibles en une seule phrase, ce qui change un peu l’état d’esprit qu’on lui imagine. Enfin, la dernière phrase est très drôle : pourquoi tu mets un point entre « vous m’aviez demandé de la tuer en échange » et « pour sauver Cal ? » La pause fait un effet plus bizarre qu’autre chose.
Bref, réplique mochouille, continuons.
Satisfait qu’elle ait rempli sa mission, Magister transmet les coordonnées à Mara, qui se barre sur un vaisseau, laissant Selenba sur place. Mara ouvre ensuite une vidéocristal pour regarder Tara se rendre au concert.
Et c’est tout ! Le chapitre était très court, restez tuned pour le suivant.
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alain-keler · 6 months
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JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-2
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Après une si longue absence 
L’Auvergne est la région qui m’a vu naitre et dans laquelle j’ai vécu jusqu’à l’âge de onze ans. L'Auvergne, dans la zone libre, fut aussi la région de refuge de mes parents et de mes grands-parents pendant la seconde guerre mondiale. Mes grands-parents, chassés par l'antisémitisme et la pauvreté en Pologne sont venus y chercher un refuge. Refuge éphémère puisque la déportation les rattrapa. Pour eux un voyage sans retour. Pour moi une Histoire de vie, de mort. Une histoire d’une certaine France, celle de mon enfance.
Extrait de mon journal : L’étang de Montmazot. Première vraie halte de mon travail. Il y a la maison de Madame Conchon où j’allais tout petit, je ne devais pas avoir six ans. 
L’étang me paraît aujourd’hui tout petit, en fait il était grand quand j’étais tout petit enfant. Je continue sur Montaigut en Combraille, à quatre kilomètres. Dans la grande rue, qui en fait elle est toute petite et étroite, tous les commerces sont fermés, ou presque. Ça fait ville sinistrée. C’est dans cette rue que nous allions à pied de l’étang avec Madame Conchon pour m’acheter Tarzan. Et sans doute d’autres choses.
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme #photographie#France #lafrancesousleursyeux
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empiredesimparte · 4 months
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°6 | Francesim, Versailles, 27 Thermidor An 230
Napoleon V met Madame Royale de Thornolie (@theroyalthornoliachronicles) at the coronation gala. It was not the first time she had visited Francesim, but he had never spoken to her before. Curious, he was soon disillusioned by Eleanor's coldness. The young emperor hoped that he had not complicated his future diplomatic relations with the kingdom of Thornolia. He also hoped that she had not formed the wrong impression of him.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Some of the characters in the background belong to @officalroyalsofpierreland
⚜ Transcription
Louis: Madame Royale, are you enjoying the festivities?
Eleanor: They are certainly festive…
Louis: I'm delighted to see Thornolia is continuing its friendship with Francesim. Do give my regards to your father.
Eleanor: If only you had the opportunity to send your regards in person.
(Long Pause)
Louis: I must say you are intriguing, Madame Royale, for an ambassador. My advisors told me about you, or at least, they told me what they’ve heard of you, so much so I wanted to see if it was true. 
Eleanor: Do tell. What do your advisors deem worthy information to tell you about me?
Louis: They say you're not very talkative, to put it simply. I'd like to invite you to Compiègne one of these days so we can get to know each other better. What do you say?
Eleanor: Tell me, sire, is that all it takes for you to impose yourself on a woman? To hear they are not very talkative?
Louis: Madame, you’ve got me all wrong. I'm just... 
Eleanor: Non. I’m afraid you have me all wrong. Perhaps you shouldn’t take everything you hear to heart, particularly from people who claim their loyalties only to hide their own agendas. Then you might be able to make valid conclusions about people all on your own. In fact, shall I share what I have heard about you? Louis: I'm all ears, Madame…
Eleanor: In the public eye you are the darling boy emperor who everyone loves to praise. Not a single hair out of place, not a single event you attend favouring you negatively. 
Louis: Not an unappealing narrative…
Eleanor: Perhaps the words I’ve heard are more favourable than I lead you on to believe. 
And yet…. watching you tonight it is easy to see why anyone would be hard pressed to see behind the smoke and mirrors act you project. And that’s all you are: Smoke and mirrors. You have had everything handed to you on silver platters and fed to you with silver spoons, and therefore you have no problem believing everyone you deign to speak with will bow down to give you anything you desire. So do forgive me, sire, if I refuse to be another.
Louis: … Last I knew, we are cut from the same cloth.
(Short Pause. this is when Eleanor shows the chink in her armour at Louis’s words)
Eleanor: That may be, Louis, but not everyone cares for their cloth the same way. 
Marie-Joséphine: Your Majesty, may I join you?... Louis: Of course, Mère.
Eleanor: Bonsoir, Madame Mère. 
Marie-Joséphine: Madame Royale. It's a pleasure to meet you. 
Eleanor: Truly, the pleasure is mine. My father was adamant I passed along his regards to you.
Marie-Joséphine: Merci, it’s appreciated.Eleanor: I’m afraid you must forgive me. Despite the lovely evening put together tonight I’m feeling a bit run down and must retire. Pardonnez-moi. (curtseys) Sire, Madame Mère. (Leaves)
⚜ Traduction française
Napoléon V rencontre Madame Royale de Thornolie durant le gala du couronnement. Ce n'est pas la première fois qu'elle se rend en Francesim, mais il n'avait jamais pu s'entretenir avec elle auparavant. Curieux, il déchante bien vite devant la personnalité froide d'Eleanor. Le jeune empereur espère ne pas avoir compliqué ses prochaines relations diplomatiques avec le royaume de Thornolie. Et aussi, qu'elle se soit faite une mauvaise idée de sa personne.
Louis : Madame Royale, appréciez-vous les festivités ?
Eleanor : Elles sont certainement festives...
Louis : Je suis ravi de voir que Thornolie continue son amitié avec la Francesim. Veuillez transmettre mes salutations à votre père.
Eleanor : Si seulement vous aviez l'opportunité de les transmettre en personne.
(Longue pause)
Louis : Je dois dire que vous êtes intrigante, Madame Royale, pour une ambassadrice. Mes conseillers m'ont parlé de vous, ou du moins, ils m'ont dit ce qu'ils avaient entendu sur vous, si bien que j'ai voulu voir si c'était avéré.
Eleanor : Dites-moi donc. Qu'est-ce que vos conseillers jugent digne de vous dire à mon sujet ?
Louis : Ils disent que vous n'êtes pas très bavarde, pour faire simple. J'aimerais vous inviter à Compiègne un de ces jours pour que nous puissions mieux nous connaître. Qu'en dites-vous ?
Eleanor : Dites-moi, sire, est-ce tout ce qu'il vous faut pour vous imposer à une femme ? Entendre dire qu'elle n'est pas très bavarde ?
Louis : Madame, vous m'avez complètement mal compris. Je suis juste...
Eleanor : Non. J'ai bien peur que ce soit vous qui m'ayez mal comprise. Peut-être ne devriez-vous pas prendre à cœur tout ce que vous entendez, surtout de la part de personnes qui prétendent leur loyauté uniquement pour cacher leurs propres agendas. Alors, vous pourriez être capable de tirer des conclusions valables sur les gens par vous-même. En fait, puis-je partager ce que j'ai entendu à votre sujet ?
Louis : Je vous écoute, Madame...
Eleanor : Aux yeux du public, vous êtes le jeune empereur chéri que tout le monde aime louer. Pas un seul cheveu de travers, pas un seul événement auquel vous assistez ne vous désavantage.
Louis : Un récit pas déplaisant...
Eleanor : Peut-être que les mots que j'ai entendus sont plus favorables que je ne vous l'ai laissé croire.
Et pourtant... en vous observant ce soir, il est facile de voir pourquoi il serait difficile de percevoir ce qui se cache derrière l'acte de fumée et de miroirs que vous projetez. Et c'est tout ce que vous êtes : de la fumée et des miroirs. On vous a tout donné sur des plateaux d'argent et nourri avec des cuillères en argent, et donc vous n'avez aucun problème à croire que tous ceux à qui vous daignez parler se prosterneront pour vous donner tout ce que vous désirez. Alors pardonnez-moi, sire, si je refuse d'être une autre.
Louis : ... Pourtant, nous sommes faits de la même étoffe
(Courte pause. C'est à ce moment qu'Eleanor montre une faille dans son armure aux mots de Louis)
Eleanor : C'est peut-être vrai, Louis, mais tout le monde ne prend pas soin de leur tissu de la même manière.
Marie-Joséphine : Votre Majesté, puis-je me joindre à vous ?...
Louis : Bien sûr, Mère.
Eleanor : Bonsoir, Madame Mère.
Marie-Joséphine : Madame Royale. C'est un plaisir de vous rencontrer.
Eleanor : Vraiment, le plaisir est pour moi. Mon père était catégorique pour que je vous transmette ses salutations.
Marie-Joséphine : Merci, c'est apprécié.
Eleanor : Je crains que vous deviez me pardonner. Malgré la charmante soirée organisée ce soir, je me sens un peu fatiguée et je dois me retirer. Pardonnez-moi. (révérence) Sire, Madame Mère. (S'en va)
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ascle · 6 months
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Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe à l’histoire, volontairement ou non, grâce à une vidéo virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la règle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancé par un Québécois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau à partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une émission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas déjà un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invité un chef afin d’apprendre à apprêter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problème c’est que… les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrôlable et aucun des deux n’arrive à reprendre son sérieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degré.
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Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidéo qui s’est transformée en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugé pour inceste. Le problème c’est qu’à la sortie du palais de justice après avoir clamé son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une déclaration aux journalistes dont son avocat se serait bien passé. « J’ai jamais touché à mes filles… sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanément passée à la postérité et est maintenant portée à toutes les sauces pour avouer à demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensé kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
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La grosse dinde noire
A première vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la même dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prêt à tout pour tuer la une et on se retrouve avec une pièce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mésaventure avec une dinde sauvage qui a défoncé une fenêtre de son salon et, paniquée, s’est soulagée intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
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Update! En février dernier, une autre dinde sauvage a fait la une après avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherché relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi… elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
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Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le désarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux être Brad Pitt, le Président ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes… ben tu t’es chié dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est resté comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisée pour évoquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un très mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
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Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice québécois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend à son procès. Son crime? Des jeunes l’auraient coupée en voiture et elle a décidé de les éduquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delà du fait qu’on ne se fait pas justice soi-même, notre chère Yollande se pointe au tribunal complément bourrée et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
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Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un événement est organisé dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fêter. Elle n’a pas été déçue! Elle tombe sur un mec complètement bourré qui déclare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en même temps, j’ai pas de temps à perdre ».
La vidéo est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire québécoise en version longue ou courte.
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J’ai l’doua!
Alors déjà je commence par un avertissement: même nous, Québécois, faut s’accrocher pour comprendre le mec 🤣.
Contexte: un homme a décide de faire un remblai (illégal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on détecte quand même rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il déclare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se défendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! Arrête de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
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Bonne fête Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool…
Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidéo pour lui offrir nos vœux, mais on dirait que personne ne connaît Kevin 🤣🤦‍♀️.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idéalement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fête Kevin ».
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