Tumgik
#“il a un passif tu sais”
neiyuu · 11 months
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Ladies and gents, voici le plus bas niveau de médiocrité qu'une personne peut toucher: La belle-mère de mon copain essaie de nous faire rompre. J'aimerais rigoler, mais ça en arrive à du "je vole la culotte en dentelle de la mamie pour la mettre dans le panier de linge sale de mon beau-fils pour que sa copine pense qu'il la trompe".
J'aimerais rigoler.
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dynamiiiight · 1 month
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tag game du rpg
règles du jeu : créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
Bon je ne fais jamais ces jeux mais si je suis taguée par @valhdia ET @timuschaos (entre autres), j'accepte mon sort. ✨
depuis combien de temps fais-tu du rp? — je ne sais plus exactement quand j'ai commencé et j'ai fait plusieurs pauses entre temps, mais je dirais facilement plus de 10 ans.
quel était le premier personnage que tu as créé? — une gigantesque connasse à la tête d'un empire multimédia, sous les traits de Natalie Portman. C'était une vraie attention whore qui faisait et défaisait les réputations au gré de ses humeurs.
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — j'ai abusé de Ben Barnes à une époque mais à part lui, je ne réutilisais pas tant que ça mes fc au départ. Par contre aujourd'hui j'ai mes petits chouchous -- notamment Riz Ahmed qui a volé mon coeur et que je veux jouer absolument PARTOUT, je me confesse.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — les forums city vraiment mega chill, de type slice of life, où j'ai beaucoup de mal à trouver une ligne directrice à mes personnages ; je perds la motivation s'ils n'ont pas vraiment d'objectifs.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — j'aime beaucoup jouer des liens nuancés entre des personnages qui ont un passif très complexe, des relations qui s'étalent sur plusieurs années au cours desquelles iels ont pu être allié.e.s autant qu'ennemi.e.s à des périodes différentes. Dans la même veine, j'adore les ships enemies/rivals to lovers (bonus si c'est un slow burn).
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — j'ai un faible pour les univers fantastiques, en particulier les forums avec des créatures surnaturelles. Je dirais que du moment qu'il y a de la magie, le forum a de fortes chances de m'intéresser (je dis ça mais en vrai je suis super picky, oops).
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — LUKYAN. 🐺 Un chasseur de créatures super vénère qui s'est fait mordre par un loup-garou un soir de pleine lune et qui l'a légèrement mal vécu.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je suis abonnée aux personnages morally grey ascendant bitchy drama queens. 💅
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — mhmm pas vraiment influencée, mais je citerais tout de même Leigh Bardugo pour l'inspiration que j'ai pu puiser dans ses œuvres pour inventer des univers ou des factions/gangs.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — je suis en train de lire Yellowface par Rebecca F. Kuang, ça parle d'appropriation culturelle et de représentation. C'est une sorte de satire de la société actuelle et du monde de l'édition. Je ne suis pas encore très loin dans le livre mais pour l'instant, je suis curieuse de lire la suite!
☞ je tague : les bb @halxmshiral @lunnyii & @amaaaterasu + @maxeine-txt parce que je suis curieuse (sans obligation obvi) ♡
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pommunist · 5 months
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Chère Pommunist,
Merci pour ta patience, ta nuance et ta gentillesse à toutes épreuves. J'espère que tu prends soin de toi car même si les gens ne t'envoient pas de haine, ce type de situation peut devenir rapidement épuisant.
Je tiens à t'informer que dans un climat grandissant de mauvaise fois assumée et d'une incapacité à lire inquiétante du beau site qu'est tumblr – où il est toujours de bon goût de poster "si j'ai bien compris, le syndicat veut que Q MEURT 😨" plutôt que de relire les phrases lentement et avec le doigt qui suit la ligne – je résiste à l'envie terrible de laisser un message passif agressif d'explications en anon en ton honneur.
En effet, alors que je tapais un long message sarcastique et un peu méchant dans mes notes pour l'effacer ensuite comme j'en ai maintenant l'habitude (ça permet d'extérioriser...), m'est venue l'idée saugrenue que peut-être, sans doute, ça ne ferait pas trop de mal de poster ce message dans les asks d'une personne particulièrement obtuse... et je me suis dit que Pommunist, rayon de soleil de tumblr, symbole de patience à toute épreuve et de gentillesse sans faille dans l'adversité, n'approuverait pas. On a tous des moments de faiblesse je suppose, mais je suis contente de ne pas avoir suivi le mien, et c'est grâce à toi que ça a été possible.
(Je continue d'être aigrie cela dit. Mais aigrie selon les principes pommunistiens de respect et de tolérance.)
Bref continue comme ça, t'es incroyable, j'en deviendrait presque parasociale (/j)
(Mais entre nous........ parfois ce message ultra sarcastique dans les notes du téléphone démange les doigts........ je sais pas comment tu fais pour garder ton calme tout le temps mais j'admire........ Mais plus sérieusement, continue d'être quelqu'un de super (autant que possible, tu reste humaine !!), parce que je trouve ça vraiment cool que ta gentillesse m'ait inspirée moi et peut-être d'autres à ne pas écouter la petite voix dans la tête qui donne envie d'être méchant parfois. Dans une situation déjà tendue ça n'aiderait à rien mais parfois j'ai envie de m'énerver quand même. Bref, long message mais voilà, je t'envoie beaucoup de force et d'amour, prends soin de toi !!)
Franchement j’ai fait la paix avec le fait que certaines personnes ne savent juste pas lire quand j’ai vu un tweet qui répondait à la trad qu’on a fait de l’interview de léa en demandant quand s’etait passée l’interview (c’est literallement dans la première phrase du doc, tout en haut, écrite en gras 🫡). Et je pense que y’a beaucoup de gens qui sont tellement attachés à Q ou au serveur qu’ils vont inconsciemment chercher la moindre petite bête dans les discours d’en face pour les discréditer et se dire que tout va bien se passer, force à eux mdrrrr
Et vraiment c’est pas l’envie qui me manque des fois de passer en mode full français vnr full gilet jauné ambiance bien on brûle des poubelles dans la rue mais bon déjà qu’on galère à faire passer le message si on garde pas calme ça serait encore pire mdr
Mon astuce c’est juste de ronchonner en parlant à mes chats pour rester zen (ils captent rien ils doivent penser que je leur exprime mon amour et good for them franchement)
En tous cas trop doux ton message, merci beaucoup et plein d’amour en retour !!! Par contre, attends, t’as dit parasoQUOI ?????
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/jjjjj
Je rigole dsl ça fait trop longtemps que j’avais cette image sans pouvoir l’utiliser car j’ai le malheur d’avoir la chance de pas recevoir de haine en anon 😔✊✊
Et on oublie pas que les valeurs pommunistiennes sont certes le respect et la tolérance mais aussi les droits des travailleurs, la grève, la RÉVOLUTION DRAAAAA (now playing l’internationale)
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hellmouthheritage · 1 year
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RPG sur www.hellmouth.forumactif.com
FAITH LEHANE :
Cette maison me rappelle tellement de souvenirs. Mon tout premier Noël en famille, avec Joyce. La seule et unique femme à m'avoir fait aveuglement confiance. J'ai bien failli la tuer, je n'en reviens pas encore que j'ai menacé de mort la mère de Buffy, alors qu'elle était ma seule et véritable amie. Mon stress grandit à chaque pas que je fais vers la porte. Tant de choses se sont passées depuis la dernière fois que j'ai vu Buffy. J'ai changé, grandi, évolué, mais les souvenirs de notre passé me hantent toujours. J'espère qu'elle me pardonnera pour tout ce qui s'est passé. Mon poing se lève lentement, et je cogne à la porte. Le bruit résonne dans le silence de la nuit, et j'entends mon propre souffle s'accélérer. Les secondes semblent durer une éternité, et j'attends anxieusement que Buffy apparaisse devant moi. Soudain, la porte s'ouvre, et c'est elle. Buffy, debout là, les yeux écarquillés de surprise.
Hey, B Essayant de cacher mon propre émoi derrière un sourire timide. Ça fait un moment. J'ai entendu dire que tu avais besoin d'aide.
BUFFY SUMMERS : Ça ne faisait pas longtemps que j'étais rentrée à la maison. La semaine avait été longue, mais c'était enfin vendredi soir. Les week-ends, comment pourrais-je vivre sans ? C'est les seuls deux jours de la semaine où je peux être libre de mes fonctions de policière. L'autre nuit, j'avais envoyé ma fille, au Bronze, mettre Faith au courant de ce qui était entrain de ce passer à Sunnydale. Je me demandais ce qu'elle en pensait. Malgré notre passif assez agressif, elle est la seule alliée dans cette guerre qui est capable de livrer bataille avec la même force et la même expérience que moi. Je n'ai pas le choix de piler sur mon orgueil et de la faire participer à cette guerre, malgré tout ce qu'elle m'a fait.
Ça cogne... J'ouvre, et devant moi se tient Faith. Mon cœur bat fort, mais je n'arrive pas à masquer ma méfiance. La voir ici, devant ma porte me fait ressentir encore plus cette plaie sur mon front entrain de cicatriser. J'avais eu de la difficulté à vaincre un Turok-Han, un peu plus tôt. Je n'avais jamais rencontré de vampires aussi forts qu'eux. Ils sont presque invincibles et le pire dans tout ça, c'est qu'ils ne sont pas la plus grande menace, en ce moment. Nous avons la reine des enfers qui veut notre peau et celle de nos enfants sans oublier la grande annonce de @Willow Rosenberg, concernant des tueuses venues tout droit des enfers.
Je ne suis pas contente de la revoir après tout ce temps. Vingt-deux années dans une tombe ont fait remonter beaucoup d'émotions, y compris la rancune envers Faith pour tout ce qu'elle a fait par le passé. Elle s'est invitée dans ma famille, elle a essayé de me voler mes amis, ma vie, de tuer Willow et Alex sans oublier Angel. Cette fille, je la déteste, mais je dois admettre que je suis contente qu'elle soit là.
Faith... dis-je d'une voix froide, gardant mes émotions sous contrôle. Oui, vingt-deux ans pour être exacte. Lui lançais-je sur un ton sèche en hochant la tête sur la gauche. Aurais-tu pu choisir un moment pire pour revenir?
Je m'écarte de la porte légèrement pour la laisser entrer et la suivre dans la cuisine. Faith n'avait pas changé. Sa façon de bouger, de parler... Elle faisait comme si elle était déjà comme chez elle. Mes yeux tournèrent vers le plafond. Je prend place derrière le comptoir de la cuisine en sortant une bouteille de sauvignon blanc et deux coupes de cristal. Si j'ai à affronter une conversation avec Faith Lehane, je vais avoir besoin d'un verre et sans doute que elle aussi.
Oui, j'ai demandé à Aube de te parler des dernières nouvelles. Dis-je en gardant une distance émotionnelle. Mais ça ne signifie pas que je te fais confiance ou que je te pardonne pour tout ce que tu as fait.
Je sens le regard de Faith sur moi et ça me perturbe de la savoir ici, dans ma maison. Je sais qu'elle veut retrouver sa place dans notre équipe, mais je ne suis pas prête à lui accorder rapidement. Le ressentiment est profond, et il faudra du temps pour le surmonter, si c'est possible. Je reste sur mes gardes, ne lui accordant qu'une attention minimale. Je sais que nous avons besoin de toute l'aide possible, mais cette fille, elle me travaille les entrailles. Chaque fois que je croise ses yeux, j'ai envie de lui en mettre une.
La guerre approche, et nous devons nous concentrer sur cette menace. Je suis prête à mettre de côté mes sentiments personnels pour l'instant, mais je ne sais pas si je pourrai un jour te pardonner pour tout ce que tu m'as fait, Faith. La blessure est trop profonde. Je ne crois pas qu'un jour, toi et moi, nous serons amies.
Après avoir versé le vin dans les coupes, j'en fais glisser une devant elle en levant mon verre pour qu'elle puisse le cogner contre le mien. J'ai la quarantaine, je suis capable de faire la différence entre une amie et une alliée. J'ai besoin d'elle dans cette guerre et je veux lui faire comprendre. Je cogne mon verre contre le sien et je bois une gorgée avant de la relancer.
J'ai entendu dire que tu es la nouvelle propriétaire du Bronze. L'ancien propriétaire est disparu, la police de Sunnydale n'a toujours pas retrouvé le corps. Je le sais, parce que j'en fais partie maintenant. Lui dis-je en sortant mon badge, pour regarder sa réaction. Faith était toujours recherchée par la police de Los Angeles. Je voulais qu'elle stresse un peu.
T'en fait pas Faith. Je garderai tes petits secrets.
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lunapwrites · 1 year
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Applied Theory Ch 7 - Drop Shot - The Humiliation
Biiiiiiig thanks to @bluesundaycake for his help with the French dialogue, of which there is... much. Y'all might need translate for this one, girlies. <3
“Sirius? J'ai reçu ton message. Est-ce que tout est—?” Regulus slid to a halt in the doorway, mouth dropping open. The corners twitched dangerously, threatening a smile. “Oh.”
Sirius glared at him. “Ne moque pas de moi.”
“Je ne moque pas,” he lied, stepping carefully into the room and thankfully closing the door behind him, silently taking in… the situation. “Depuis quand as-tu ça?”
“Je me suis réveillé comme ça.”
“Et tu—”
“Tu crois vraiment que je n'ai pas tout essayé pour l'enlever?” Sirius snapped, throwing his hands up to gesture wildly at his face. “À moins que je m'arrache la peau du visage—”
“Non, vraiment?” Regulus’ eyes lit up excitedly. “Même avec du maquillage?”
“Non. Ça ne couvre rien, ça change même de couleur.”
“Fascinant.”
“Concentre-toi, Regulus ! J'ai besoin de ton cerveau et son obsession pour les détails!”
Regulus raised a brow at him. “Si tu me le demandes comme ça...”
“Tu sais bien ce que je veux dire!”
His brother crossed his arms, and for a brief, terrifying moment, Sirius thought he might abandon him to his fate.
Instead, he did something far, far worse.
“D'accord, j'appelle Madame Maxime.”
Sirius blanched. “Pourquoi ferais-tu ça?”
“Car quelle que soit ton opinion de moi - injustifiée d'ailleurs - ce que Lupin t’a fait au visage dépasse largement même mes capacités.” And without another glance in his direction, Regulus swept out the door, leaving Sirius alone to await the inevitable.
It was over. His life, his career — all of it, over. He would never survive the humiliation, he was certain of it.
For a mercy, Regulus returned with Olympe in short order — far more quickly than he had expected, in truth. Unmercifully, she was far less contained than his brother had been, letting out a loud, booming laugh the moment she set eyes on him.
“L'œuvre de votre grand rival, je suppose?” she asked, grinning widely as she inspected the word emblazoned across his forehead. At his sullen nod, she snorted. “Ah non, courage. Il aurait pu écrire bien pire que ‘twat.’ Y avait-il un message, ou était-ce que c’était censé être la grande finale après ces grues en papier - combien y en avait-il?”
“Mille, soi-disant,” he grumbled. They had haunted him for the better part of three weeks, hiding in every corner of the castle only to fly out when he least expected it and smack him about the face. Even his own quarters hadn’t been safe. But they had come with a proper letter — not a Howler — which he pulled from his pocket and handed off to Olympe.
“... I send these cranes with the wish that you find better uses of your time — Personne ne peut l'accuser d'être passif-agressif.”
Sirius’ scowl deepened. “Lupin est un vrai comédien.”
“Et c'est un vrai sorcier, d’après son travail.” She paused, swatting him on the cheek gently with the parchment. “Ne fronce pas les sourcils comme ça, ça donne des rides.”
“Ça ne le tuerait pas d'avoir l'air son âge, à mon avis,” Regulus muttered, earning an elbow to the ribs from Sirius. “D'autant plus qu'il refuse de faire son âge.”
Olympe hummed. “Je n'ai jamais rien vu de tel. C'est incroyable, quand même.”
“Devrait-on le laisser, alors? Puisque le titre lui conv—oof!” Regulus recoiled at a firmer strike from his brother — this time to the stomach — retaliating with a swift kick to the ankle.
“Professeurs,” the Headmistress warned lightly, “n'oubliez pas que vous êtes censés enseigner aux enfants, et non les imiter.”
“Je ne peux pas enseigner comme ça,” Sirius groaned. “Si on ne peut pas l'enlever de mon visage…”
“C'est possible.” Olympe handed him the letter, all but waving it under his nose. “Tu vois? Il t'a laissé toutes les informations nécessaires ici.”
“Ah bon?” Sirius squinted down at the last line, written in Lupin’s steady, looping script. “Il ne fait que me traiter d'idiot.”
“Non. Lis comme il faut.”
Sirius pursed his lips, failing to see the value in this exercise, but obeyed nonetheless: “I’m sure someone as clever as you has already figured out the source of the problem, but just in case my fifth-years are cleverer than you— oui, très original, Lupin —  then you might want to know it’s a simple localisation issue. Do let me know how you make out. Il est audacieux lui, de s'attribuer le mérite d'avoir trouvé le problème de localisation alors que c'est moi qui lui en ai parlé en premier lieu. L'arrogance—!”
“Tu ne vois pas d'autre raison pour qu’il ait pu dire ça?” Regulus asked pointedly enough to stop Sirius in his tracks.
What did Lupin gain from taking credit for this? It wasn’t as though he were making the claim publicly; it was a private letter — or would have been if he hadn’t just shared the contents. Was it a threat? Blackmail of some sort? If so it was a piss-poor attempt; he’d gotten worse from his grandmother — after she’d lost her teeth. So what was it? And now that he was looking at it more closely, why was the phrasing sitting so strangely with him?
And then, all at once, it clicked.
He dropped his face into his hands — stupid. “C'est un problème de localisation.”
“Voilà,” Olympe said, clasping his shoulder gently as she stood. “Il suffit de trouver le sort qu'il a lancé en anglais, et tu devrais pouvoir inverser l'effet, non?”
It sounded so easy when she said it like that - despite the fact that there were half a dozen spells he needed to try, and pray he came across the correct variation. But unfortunately Sirius found himself remembering a crucial bit of information from Lupin’s biography — information which could well spell his doom.
He let out a mirthless laugh. “En théorie, oui. Mais Lupin n'est pas anglais, il est gallois.”
A ringing silence met his statement, hanging in the air for several tense moments.
Regulus broke first, throwing his head back with a sharp, barking laugh so similar to his own, and he walked out of the room — still laughing, his work complete. 
Olympe sniffed, shaking her head. “Faire son âge… c'est l'hôpital qui se moque de la charité,” she muttered, turning to Sirius with a sympathetic grimace. “Tu peux continuer seul à partir d'ici, oui?” At his nod, she continued: “Très bien. J'ai cru comprendre que tu prendra la parole lors de la grande conférencecet été. C'est aux États-Unis cette année, n'est-ce pas ?”
“New York,” Sirius supplied with a proud, if weak smile. His work in recursive casting methodology — which had sprung, interestingly enough, from his feud with Lupin — had finally caught not only the eye of l'Académie de la Magie, but that of the greater international community at large. To be able to present his research at IACST was an incredible honour. And one which — he hoped — he would be able to accept with a clear complexion.
“J’ai aucun doute que tu vas bien nous représenter.” She walked to the door. “Je vais couvrir tes cours de l'après-midi aujourd'hui, mais si tu n’as toujours pas trouvé la solution d'ici demain, puis-je suggérer un chapeau?”
Sirius flushed, but inclined his head gratefully. “Oui, Madame. Merci.”
Once she had left, he walked over to the mirror, pointing his wand carefully at the offensive word spelled across his forehead in bold, black lettering. “Evanesco.”
A small, simple variation, but significant enough; still, the word didn’t budge.
Sirius wondered idly what the protocol would be if he were to murder Lupin at the conference — assuming of course the prick would be there (he would; ego that size? He’d never miss it.)
Well. Hopefully he wouldn’t need to find out.
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Tomber malade ou tomber amoureux?
Bien entendu que les gesticulations gouvernementales vides autour du covid (confinements, masques, couvre-feu, vagues saints etc.) ont autant d’impact sur la propagation du virus que les danses tribales pour faire tomber la pluie...
Le point saillant durapport du subjectif au collectif et du collectif au subjectif est toujours le rapport du sujet à la peur, la jouissance de la peur, l’instrumentalisation de la peur et le corrélât fantasmatique sur laquelle elles reposent: l’illusion de la maîtrise.
Tomber malade n’est pas sans rapport avec tomber amoureux, cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, le sujet sent la maîtrise lui échapper, d’où l’impression de "tomber", et ensuite il (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui aura échappé à la chaîne des causes et des effets...
Si je me questionne sur les "raisons" qui me font tomber amuoureux, j'ai beau énumérer ses qualités, je sais que ce n'est jamais "ça"... Ce qui m’aura attiré en l'autre, c'est un "je ne sais quoi" qui n'appartient pas à la série des raisons objectives, c'est peut être même l'index d'un défaut... Formellement, tomber amoureux a la structure d'une décision. Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons, le fameux "nachtrag" freudien que l’on retrouve dans la "performativité rétroactive du signifiant" chez Lacan...
C'est parce que suis déjà tombé amoureux (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a effectivement échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui se trouve dès lors marqué du sceau du Réel...
Dans "ce qui se passe", cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
L’impasse "culpabilité/victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration (le "complotisme" d’aujourd’hui), c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle des gens du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... Comment dès lors ne pas piger l’importance dans l’idéologie de la profusion et l’entretien des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en soufflant l’effroi, afin que le plus grand nombre possible de nos concitoyens soit maintenu en suggestion de victimisation (qui à tout prendre, puisqu’elle est "socialement reconnue" sera préférée aux affres de la culpabilité...)
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bourbon-ontherocks · 2 years
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(Précédemment, dans le Cœur a ses Raisons rewatch HPI...)
Attention les enfants, c’est là que le shipping sérieux peut commencer... 📦🛳️
Le rêve de Karadec... Les Santa Anna winds n’ont qu’à bien se tenir 😱🤭
Je suis complètement fascinée par le fait que la conception d’Adam d’un rêve érotique implique des trucs salissants qui collent et tâchent, genre littéralement tout ce qu’il déteste, non ? Il avait pas tellement tort quand il parlait de cauchemar en fait... 😅
Sofiaaaaaane !!! 💕💕💕💕💕
J’veux pas dire, mais Gilles est quand même beaucoup trop investi dans les rêves de son Commandant. On frôle le harcèlement là 😆
Le chaos total de la scène de crime quand Karadec ouvre la porte asjkdkaksjk
Non. Non non non non non, je suis désolée, il y a des limites à l’incohérence, Théa ne peut PAS être en 3ème alors qu’un peu plus tôt dans la saison elle mentionnait aller au LYCÉE, et qu’elle a quinze ans dans cet épisode, elle est a minima en seconde, maiiiis il fallait justifier qu’elle fasse un stage. Les scénaristes, vous le dites si on vous dérange, hein ? 🤦
Entre Adam qui se met une (des) baffe(s) à lui-même et qui s’écroule dès que Morgane le frôle, j’adore comment il ne se remet absolument pas de son rêve ! 😆
Eeeeet encore une référence à Titanic, et cette fois-ci on apprend que Gilles aussi est fan ? Épisode où il se font une soirée projection when? 🙊 Par contre, j’ai juste une question, Morgane, pourquoi tu pleurais quand Jack a pécho Rose en fait ?
Le montage avec Morgane qui décrit les aventures coquines de la victime avec toutes les images qui vont avec et la tête de Karadec en prime est juste hilarant. Et points bonus pour Gilles qui réalise que sa mère se tape le gars de la supérette, Gilles est l’incarnation de la candeur, je l’aime d’amour 😍
Atta atta, pouce. Le gamin bute son père accidentellement au cours d’une bagarre, donc on s’imagine qu’il est plutôt catastrophé, et là ? Il lui met un papier “Pour Josépha” dans la bouche ? Wow, ça c’est de la tête froide, quand même
Karadec est chaud, Karadec est chaud.... 🎶 Y’a pas à tortiller, c’est toujours le plus gros moment gênant de ce show
Gilles qui s’auto-interviewe devant Théa c’est magique 🤣
On veut plus de Freud!Daphné, siouplait et merci
"Il bandait à gauche ou à droite ?” Morgane, on se calme 😂 😂
"Un délire comme ça, ça peut vite déraper...” Gilles, le mec qui deux secondes avant ne connaissait même pas le mot “érotomane” et qui maintenant nous fait un cours dessus...
Putain, mais Agnès c’est la reine du passif-agressif !! 😭
Mais c’est qu’elle me fend un peu le cœur cette complicité Ludo/Morgane ! D’un côté je les aime bien ensemble, mais de l’autre... Adam ! 💔
Ça existe vraiment ce moteur de recherche Trakk ou c’est juste qu’ils voulaient pas mettre Google à l’image ? Parce qu’il a l’air vachement bien...
"Alvaro ?” “Ouais ?” “Non, l’autre.” This has to be one of my favourite moments ever 😍😂
J’adore comment Adam est intérieurement catastrophé à l’idée que Morgane ne soit pas reconduite *swoons*
On veut PLUS d’interactions Adam/Théa, siouplait !!
“C’est pour être seul avec ma mère que vous voulez pas que je vienne ?” Théa est l’amiral du Brosse Adam ship, c’est officiel
"Et pour ta maman, elle m’intéresse autant qu’un match de curly.” Mhhh, vous aimez le curly, Commandant ? 👀👀
Ok, à quel moment entre la révélation du Narval et son entrée dans le bar Morgane a trouvé le temps de bûcher l’historique du FC Lille ?
Je sais que c’est censé être une comédie et que la “punition” est au final bon enfant, mais objectivement, c’est juste terrifiant ce moment où Morgane se fait démasquer et se retrouve toute seule avec 25 mecs connus pour être violents... 😱😱 *sighs dreamily* On aurait pu avoir TELLEMENT d’angst et un Adam paniqué qui vole à son secours... #CelticLegends
LE COUP DU SANDWICH !!!! Les baffes de Karadec !! Et il est tellement déçu qu’elle se casse, c’est trop mignon 🤩🤩
Pardon ? Les vacances a Celtic Park ? Ils nous font un thème pour l'épisode 7 ou quoi ?
“En plus elle est pédiatre !” En fait singer les gens, c’est le jealousy telltale de Morgane ! 😊😊
La façon dont Karadec s’est remis à appeler Morgane “Alvaro” exclusivement depuis son rêve est juste... so loud 🤭
“C'est juste des enfants, ça pique pas, vous êtes allergique aux enfants aussi ?” Cette petite référence aux 1001 allergies du Commandant Karadec dans l’épisode 4 mais je meurs 🤣🤣
Je ne sais pas ce que je préfère dans cette scène entre Daphné en baby-sitter désignée volontaire, ou le fait que Karadec fasse confiance à Morgane et emmène le fils de la victime au bar de supporters...
“Est-ce qu'à un moment vous apprenez de vos erreurs, Morgane ?" "J'aimerais tellement vous dire oui !" Le taux de flirt au m² dans cette scène oh bordel 🪥🪥🪥🪥🪥
“Avec beaucoup plus d'humour, surtout !” On veut PLUS d’interactions Morgane x Sofiane en Saison 3 !!!! 😍
Sofiane est vraiment le Capitaine du Brosse Adam ship, c’est fou !
Le dEuXièMe rÊvE... 🥵🔥🙊 I watched that scene a very normal amount. I am totally normal about it. Absolutely.
Le montage de Théa aksjskdjkzakj... C’est vraiment la fille de sa mère ! 😅
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e642 · 2 years
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Il n'y a qu'une fois en colocation ou en ménage avec quelqu'un (notamment un homme) qu'on peut se rendre compte que l'on vit, en effet, bien dans une société patriarcale. Dans une société, où on a élevé nos garçons dans le soucis de peu de chose et dans le réconfort de savoir qu'on passera toujours après eux. Ce n'est que maintenant, enfin depuis 3 ans, que je me rends compte ce que c'est d'être une femme, et d'être mère. Ce que ma mère a pu endurer avec un père aussi passif et un enfant roi comme moi. Je ne pensais pas que le schéma se répèterait. Le fait est que dans chacune de mes colocations (qu'avec des garçons) j'ai une charge mentale malgré le fait que je sois étudiante et jeune. La charge mentale de passer le balai, faire la vaisselle, ranger derrière eux, leur faire penser à des trucs de leur vie, repasser derrière eux, vérifier le frigo, réparer les choses, jeter ce qui est périmé, jeter les poubelles, les discipliner, ect. Tout ce qui paraît anodin. Mon père me dit souvent - et je ne suis pas étonnée que ce soit lui qui me le dise -, "tu n'as qu'à arrêter de faire les choses pour eux, ils le feront tout seul". J'ai découvert que les gens pouvaient vivre dans la crasse la plus totale sans que ça ne les dérange, j'ai découvert que les gens n'étaient tellement pas habitué à faire ce qu'on délègue souvent aux femmes que je devais toujours repasser derrière eux, jusqu'à relaver la vaisselle. Ou même attendre bien patiemment que quelque chose m'incommode assez fort pour que je le fasse à leur place. C'est vicieux. J'ai 21 ans et je ne me suis jamais autant sentie en charge de gamins parce que je fais tout comme une mère, dans un soucis d'empathie mais également parce que j'en suis forcée. J'ai toujours quelque chose à penser, je sais toujours qu'en rentrant l'appart sera dégueulasse, je sais toujours que je ne serais pas remerciée parce que c'est normal, je sais toujours qu'ils ont mal vite fait, mal fait quelque chose pour que ça me passe l'envie de leur redemander. Même leurs copains ne sont pas reconnaissant ni gracieux, ce sont que des garçons et pas une seule fois quelqu'un m'a proposé de l'aide. C'est inadmissible et je comprends mieux ce que vivent certaines femmes, certaines mères, certaines copines. On me dit que les choses changent entre générations, malheureusement, la seule chose qui change cest moi, et c'est les draps, les couverts, les éponges, les poubelles.
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christophe76460 · 6 months
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Savoir attendre !
Pour vous je ne sais pas, mais pour moi attendre est toujours une école. J’imagine que pour les disciples cela ne devait pas être simple. Durant ces 40 jours de patience, ils virent le Seigneur et reçurent de lui des instructions et des paroles d’encouragement. Savoir attendre Dieu n’est pas un moment passif, c’est un temps pour préparer notre cœur à vivre la prochaine étape de vie dans laquelle Dieu nous conduit. Cette nouvelle étape valait la peine d’attendre pour les disciples. Laisse le Saint-Esprit te préparer et quand le temps de Dieu arrive, tu vas voir sa gloire se manifester. Sache attendre son temps, Dieu t’aime !!!
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nereidofthesoul · 7 months
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December 20th, 2023
Alright babydoll, ce soir je me sens un peu… Démotivé. Il est un peu plus de 1am right now, donc technique j’ai menti, nous devrions être le 21. Tu dors, là (j’ose espérer) car demain c’est officiellement ta dernière journée de cours avant les vacances. Tu es partie au lit feeling un peu down — well, i figured, après tes réponses toutes molles et ton petit passif-agressif dont j’ai du mal à démêler le réel meaning parfois (pas de reproche… ton monsieur est juste slow). J’ai pas réussi à te suivre tout de suite, j’espère que j’y arriverai in a bit. Tout à l’heure j’ai reçu le mail de mon contrat de TA pour cette prochaine session, je me sens un peu stressé car je sais pas si ce prof va me mettre beaucoup d’heures sur le dos, ça peut pas être si terrible, right? I mean… J’ai pas le droit à plus de dix heures par semaine puis; bref. Mon dieu. Ne commençons pas à en parler avant de savoir… Useless. Comme tu vois, je t’écris comment je pense, tu subis mes idées en direct. J’ai dit que je me sentais démotivé pour la bonne et simple raison que j’ai peur, je suis terrifié à l’idée de manquer de temps pour toi.
Et tu sais, c’est un thought totalement déraisonnable finalement. Mais j’ai tellement été habitué à être là pour toi 24/24 que c’est difficile d’affronter les quelques barrières qui se mettent en travers de mon chemin alors même que ces barrières sont faites en papier mâché. J’ai tellement peur que tu te lasses, tellement peur que ces quelques petites heures de rien du tout te fasse t’éloigner de moi. Tu vois, je prends un ton ironique rn parce que j’ai conscience de l’idiotie de mes mots. J’ai conscience que c’est pas des pépins aussi insignifiants qui vont changer quoi que ce soit à nous deux. Dans le pire de tous les scénarios, c’est seulement que trois mois. Et trois mois, ça passe vite.
T’façon, quand tu liras ça, on aura presque terminé d’avoir tous ces worries. So tell me, baby, are we okay ? Please, tell me we are. How do you feel ? I wonder, i will wonder until this day. I will remember it.
I need it so bad that it’s breaking my heart just thinking about it. Who would have thought that love could do that ? Certainly not me but here i am, everyday journaling my silly thoughts, hoping you will get to read them…
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martinecantin · 1 year
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Je suis sur mon U.
Je vous explique. Ce n’est pas que je suis une adepte de l’expression « être sur son X ». Peu s’en faut. Mais il faut bien être de son temps. Il semble que ce soit la nouvelle expression à la mode, pour les comédiens, les athlètes – du moins au Canada – alors pourquoi pas pour moi. Être sur son X, c’est être exactement où l’on veut être dans la vie, tant sur le plan personnel que professionnel.
Alors dans mon cas, je dirais plutôt que c’est un U. Parce qu’un X, peu importe comment tu le retournes, il reste immobile. Et moi, j’aime mieux être en mouvement. Un U, ça penche d’un côté et de l’autre. C’est comme une chaise berçante, et les gens qui me connaissent savent que j’aime les balançoires et les chaises berçantes. Elles offrent un réconfort, une légèreté, un sentiment de liberté. J’aime bien les petits pas d’un côté puis de l’autre. Ça donne une belle petite danse. Je n’irais toutefois pas jusqu’à être sur un W, puisque dans ce cas le mouvement est trop fréquent, inconstant, changeant, voire précaire. Bref, j’aime bien l’endroit exact où je suis maintenant sur mon U. Ce n’est ni l’immuabilité du X, ni la précarité du W.
Oui, j’aime où je suis, ce que je suis devenue, mais je n’aurais jamais la prétention de croire qu’il s’agit exactement et précisément de la bonne place. Il y a si peu dans l’endroit actuel où je me trouve qui était dans mes rêves des premiers jours, voire de mi-chemin.
Par exemple, j’étais loin de m’imaginer que je passerais la majorité de ma vie au Nouveau-Brunswick, et pourtant ce n’est tout de même pas si loin de ce que je voulais être. Au secondaire et à l’université, je me voyais plutôt m’installer dans ma province natale et défendre les intérêts de ma communauté franco-ontarienne. Je me voyais aussi accomplir de grandes choses au sein d’un mouvement humanitaire mondial, avec l’homme de ma vie à mes côtés. Je me voyais aussi comme une grande écrivaine, un peu torturée.
Mais pour ce faire, il fallait quand même que je commence par aller voir ce qui se passait ailleurs, et je suis venue ici. Puis j’ai ressenti le besoin de m’accomplir dans cet ailleurs afin de mieux savoir de quoi j’étais capable avant de faire de grandes choses, dans un milieu où je ne jouissais ni de népotisme ni de favoritisme du fait d’un simple patronyme ou de relations héritées. Et je suis restée.
Et en restant ici, mine de rien, je me suis effectivement accomplie à ma façon, relevant des défis professionnels tout aussi divers les uns que les autres. Des défis professionnels qui m’ont mené à travailler dans des domaines que je ne me serais jamais imaginée. Des défis qui m’ont permis de me dépasser et qui m’étonnent encore aujourd’hui. Des défis qui, lorsque j’y pense, me laisse avec un sourire en coin. Un sourire amusé et admirateur, parce que rien ne me destinait – ni par intérêt, ni par talent – à me retrouver à travailler dans le monde des chiffres, dans de grosses entreprises ou au sein de hiérarchies complexes par exemple. Je me suis donc forgée un portefeuille d’expériences professionnelles dont je suis particulièrement fière, parce qu’atypique à certains égards, même s’il ne s’agit pas d’expériences révolutionnaires. En même temps, je me balance toujours aujourd’hui sur mon U, sachant que, même si je suis fière de ma carrière, je sais qu’il me reste encore des choses à expérimenter et à approfondir.
Et en restant ici, je continue de vivre en français au sein d’une communauté bilingue parfois écorchée, parfois blessée, laquelle est, heureusement, de plus en plus colorée. Et j’aime croire que j’y ai ajouté un petit trait de ma propre couleur aussi, même ténu. Parce que j’ai continué de défendre cette langue que j’aime, à ma façon, au travail comme dans la vie quotidienne, et au sein d’organismes sans but lucratif, tout en entretenant ce lien, quoiqu’un peu passif parfois, à ma francophonie canadienne.
Je n’ai pas changé le monde comme l’idéaliste que j’étais, mais je l’ai quand même réinventé quelques fois. Et j’ai appris que les petits gestes sont aussi importants et nécessaires que les grandes réalisations. Je crois avoir laissé quelques marques positives sur mon chemin. Que ce soit en ouvrant ma porte, en offrant un verre, en étant à l’écoute, en donnant un coup de main, en forçant une sortie, en transmettant certaines connaissances et expériences, ou en proposant une aventure. Oui, j’espère avoir laissé quelques petites marques qui ont permis à des amis, à des connaissances ou à des collègues de voir une situation différemment, de se défouler, d’oublier le quotidien, de découvrir de nouveaux horizons, d’exister. De petites marques pour remercier de tous les bons gestes et les bonnes paroles dont j’ai bénéficiés moi-même.
Je n’ai pas connu le grand amour avec qui j’aurais pu partager le quotidien, fondé une famille. Mais j’ai mieux compris qui j’étais, de quoi j’étais capable, ou incapable, et su m’entourer de personnes qui peuvent m’épauler au besoin. Et j’ai connu la famille par procuration, grâce à mes nombreux neveux et nièces. Je me suis découverte une autonomie et une liberté qui ne me déplait pas même si ça ne garde pas au chaud la nuit.
Oui, j’aime bien être sur mon U. Un U qui se balance, un roulis nécessaire et maintenant rassurant parce qu’apprivoisé qui me permet de continuer à apprendre, à croître, à mieux aimer, parce que forte d’outils, de ressources et de liens triés au fil des ans.
Et vous, sur quelle lettre êtes-vous?
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cryptoscammersnews · 2 years
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L'ex-député Laurent Louis vend des fausses cryptos depuis Lyon
Malgré une instruction judiciaire ouverte à son encontre à Charleroi, l'ex-député Laurent Louis continue de vendre de fausses cryptomonnaies. Pour mener ses activités, il s'est délocalisé en France.
Lancien député fédéral Laurent Louis est incorrigible. Malgré une instruction judiciaire ouverte à son encontre dans un dossier tentaculaire de fraude aux cryptomonnaies, l'homme continue de mener ses activités douteuses en toute impunité. Nous avons retrouvé sa trace dans le département de l'Isère, en France. Il réside dans un village situé entre Lyon, Grenoble et Champéry. De là, il vend de fausses cryptomonnaies à des gens de la région, mais aussi à toute une communauté d'investisseurs recrutée en ligne, composée majoritairement de Français et de Belges.
Recrutement sur YouTube
Il recrute ses clients via des vidéos sur les réseaux sociaux, notamment via YouTube où il vante les mérites de "produits financiers alternatifs" permettant de générer "des revenus passifs." Il ne manque jamais de rappeler son passage au Parlement fédéral belge. Élu en 2010 sur les listes du Parti Populaire de Mischaël Modrikamen, il a siégé jusqu'en 2014. Ce mandat de député sert aujourd'hui à asseoir sa crédibilité et à mieux convaincre les investisseurs du sérieux de son discours.
Ces dernières années, l'ancien député s'est notamment spécialisé dans la vente d'un produit financier plus que douteux: OmegaPro. Le site web faisant la promotion d'OmegaPro a fait l'objet d'une mise en garde de la part de la FSMA en mai 2021. Il est mentionné sur la liste des plateformes de trading frauduleuses, régulièrement mise à jour par le gendarme belge du secteur financier. "Le programme d’affiliation auquel cette entité a recours présente les caractéristiques typiques d’un système pyramidal. La FSMA a reçu une trentaine de signalements et demandes en lien avec cette entité", explique Mathieu Saudoyer, porte-parole de la FSMA.
Les clients séduits par ce "produit" qui se présente comme une crypto - mais qui n'en est pas une - sont invités à rejoindre un groupe WhatsApp animé par Laurent Louis. Ce groupe, dénommé "Omega Pro Union Team", compte environ 80 personnes. Le vendeur y promet des rendements compris entre 8% et 12 %. Magique. "Tu peux savoir que j'ai mis plus de 100.000 euros dans ce produit. C'est dire si je sais que ça fonctionne ;)", écrit Laurent Louis dans un message à l'un de ses "clients".
Relation de confiance
"J'ai commencé par mettre 5.000 euros dans ce produit. Au début, tout fonctionnait bien, je touchais mensuellement 5% de la somme. J'étais dans une relation de confiance. Il m'a ensuite convaincu de placer 10.000 euros dans un autre produit, Daxio, qui était censé produire 10% d'intérêts mensuels", explique Mélanie (prénom d'emprunt). Cette Française a rejoint le groupe WhatsApp de Laurent Louis quelque temps après l'avoir rencontré à un séminaire.
Pour acheter les "produits financiers" promotionnés par l'ex-député, Mélanie a utilisé différents procédés. Elle a notamment envoyé des virements sur un compte en banque français ouvert au nom de la femme de Laurent Louis. Nous avons pu consulter un message envoyé par le vendeur de fausse crypto, qui confirme le procédé: "Je te propose de passer par un simple virement sur le compte de mon épouse (RIB français). Il faut juste mettre en communication 'achat le bon coin', comme ça on évite les contrôles et les questions en tous genres."
Achats en cash
Mélanie a également rencontré Laurent Louis en personne afin de lui acheter les produits en cash. Au total, elle a déboursé près de 18.000 euros. Elle n'a récupéré qu'une petite partie en rentes mensuelles, qui se sont arrêtées au bout de quelques mois. "C'est une grosse perte pour moi. Cela représentait toutes mes économies", souligne Mélanie. Elle reconnaît avoir été "sous emprise" pendant des mois. "Pendant la crise sanitaire, je me rebellais contre le système. Je regardais des vidéos complotistes sur YouTube. Je me suis retrouvée dans une forme d'isolement. J'étais à la recherche de solutions alternatives. Le discours de Laurent Louis m'a séduite."
Action en justice
L'investisseuse fait partie d'un second groupe WhatsApp animé par Laurent Louis autour d'un autre produit peu recommandable, Daxio. Ce groupe compte environ 60 personnes. Mélanie est désormais persuadée que ces produits vendus par Laurent Louis ne sont rien d'autre que des arnaques. Elle est entrée en contact avec quatre autres victimes. Ensemble, ils examinent la possibilité d'agir en justice pour récupérer tout ou partie de leur mise. L'un des membres de ce groupe a contacté un avocat.
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l'amour sain
Douceur et tendresse. A mes yeux, ce sont les mots qui te décrivent le mieux. Ta douceur et ta tendresse enivrent absolument tout mon être, me permettant de me sentir apaisée et calmée au moindre contact entrepris avec toi. C’est d’ailleurs la douceur que tu as dégagé ce premier soir qui m’a littéralement fait tomber amoureuse de toi. Parce qu’il s’agit vraiment d’une chute. Une chute inattendue, qui renverse et déséquilibre tout un monde déjà peu solide.
Si on me demandait ce que je préfère chez toi, je pense que je répondrai qu’il s’agit de ton rire. Ton rire est doux et si sincère qu’il me transporte à des kilomètres de l’endroit où je me trouve. J’aime l’entendre raisonner dans l’espace, mais surtout, j’aime te voir rire. Ton regard si assuré s’en va et laisse place à un regard plus innocent, vivant le moment présent sans se soucier du reste. Mais j’aime par-dessus tout ce que tu représentes. Cette jeune femme confiante et déstabilisante lorsqu’elle danse sous le rythme de la musique, celle immensément bienveillante et empathique avec le public qu’elle accompagne dans le cadre de sa profession, celle plus mature et posée avec qui j’apprécie parler des heures durant, ou encore celle plus vulnérable et émotive qui se laisse aller à ses sentiments et accueillent ceux des autres avec tolérance.
J’aime particulièrement l’attention que tu portes à chacun de tes gestes quand ils me sont adressés. J’aime sentir tes doigts parcourir ma peau et me faire frémir à chaque instant où ton contact électrise mon corps. J’aime la manière dont tu me prends dans tes bras à la sortie d’une douche, juste avant un départ, au réveil matinal ou en soirée tardive. J’aime le son de ta voix qui résonne au creux de mes oreilles. J’aime sentir tes mains glisser contre ma nuque pour m’attirer vers toi et m’embrasser tendrement. J’aime le goût de tes lèvres contre les miennes, et j’aime encore plus lorsque ces dernières laissent place à ton si joli sourire. J’aime particulièrement l’odeur de ton corps, et la douceur de ta peau. J’aime te voir fermer les yeux lorsque je balade le bout de mes doigts de tes cheveux à tes épaules, de tes épaules à ton dos, de ton dos à ton visage. J’aime l’air que tu prends quand tu n’as pas envie que je m’en aille ou que je défasse notre contact. J’aime l’écoute que tu me proposes et ta voix si douce que tu prends lorsque j’ai besoin d’être calmée et rassurée. J’aime t’entendre me dire que tu seras là pour moi et que tu m’accompagneras dans le combat de ma propre vie. J’aime la manière dont tu prends soin de moi en tout point et j’aime aussi la façon que tu as de me faire l’amour tout en prenant en compte mon passif.
En réalité, je crois que j’aime tout de toi, car tu es tout ce que j’ai toujours souhaité trouver. Tu m’offres un espace sécurisant, tu me promets une écoute attentive et compréhensive, tolérante et bienveillante. Tu es réfléchie et posée dans nos discussions, qu’elles soient superficielles ou profondes. Tu es cet amour sain que je n’attendais plus, celui qui te remet sur le droit chemin et te montre à quel point la vie peut être vécue autrement. Tu es véritablement ce halo de lumière qui éclaire mes nuits les plus sombres et me donne la force de m’accrocher, même lorsque mes pires démons me poursuivent et me trainent vers le bas. Ta main tendue me permet de me relever et de marcher toujours un peu plus loin que les fois précédentes.
Je ne peux décrire aujourd’hui tout ce que tu représentes à mes yeux, mais je peux affirmer que tu m’apaises profondément et soulage mes maux par ta simple présence. Quel avenir pour nous ? Seul le temps nous le dira. Et même si je suis complètement terrorisée par ce que je ressens pour toi et que je visualise à quel point la chute pourrait être douloureuse et conséquente, je ne peux m’empêcher d’être auprès de toi. J’ai tenté de me protéger, tu sais ? Moins attendre, moins ressentir ton absence, moins avoir besoin de ta présence, de tes bras, de ta voix, de tes mots. Mais la vérité est que je n’ai pu rien contrôler depuis le jour où je t’ai rencontré sur cette plage. Sans me l’avouer directement, je savais que c’était toi, cette histoire qui allait me renverser pour une vie entière. La seule chose que je pourrais souhaiter, c'est que tu ne t'en ailles pas, que tu ne t'en ailles jamais. Parce qu'il y a eu un avant toi, mais il y aura également un après toi que je ne souhaite jamais connaître. Parce que je n'imagine plus ma vie sans que tu en fasses partie.
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madou-dilou · 3 years
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Remarques en vrac sur Lancelot du Lac (spoilers KV1)
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Déjà, j’ai trouvé que Thomas Cousseau, malgré la passivité et le ridicule de son personnage, a quand même tout défoncé. <3 
Il arrive quand même à donner une certaine classe ténébreuse et imposante à un Lancelot paralysé, qui se comporte comme un môme et engoncé dans un costume immonde. (Faut dire que les années lui ont donné une voix plus grave, ce qui n’est pas pour me déplaire, bref)
Thomas, se regardant dans le miroir : ... J’ai pas le choix, c’est ça ?
Alexandre, tout sourires, avec ses cheveux longs et ses tenues de cuir noir moulant hyper classes : Noooooooooon ! Il te va à. RAVIR.
(J’ai si hâte de voir ça dans les bêtisiers.)
Alors on a tous rigolé quand on a vu son armure, et c’est vrai qu’elle est ridicule.
Mais je la trouve extrêmement intéressante à analyser. En traînant sur YT et sur le serveur Discord des Petits Croustillants, j’ai glané quelques idées intéressantes ! Donc la majorité de ce que je dis est un pot-pourri, manifestez-vous si vous reconnaissez vos idées !
Déjà, elle montre un homme qui n’est pas serein et qui sait qu’une lame peut le frapper à n’importe quel moment, car il n’est légitime ni par Excalibur, ni par le consentement des seigneurs, ni par celui du peuple. 
Ensuite, elle a un symbolisme très riche. Et pas seulement parce qu’elle lui donne une vraie tête de gland. 
De la même manière qu’Hercule se drape de la peau du lion de Némée après l’avoir vaincu, Lancelot peut utiliser la peau d’un dragon (et pour ce qu’on sait du personnage, il peut très bien l’avoir tué lui-même) pour montrer à tous qu’il a évincé la lignée des Pendragon et qu’il est donc désormais le souverain légitime. 
Ensuite, nous savons que Lancelot se rêve en prince charmant défenseur des opprimés, sauveur de princesses et tueur de dragons. Ce qu’il a été jusqu’au milieu du livre IV. Mais il est incapable de se rendre compte qu’il oppresse les petites gens, qu’il garde une princesse prisonnière et qu’il se tapit dans l’ombre en attendant qu’un prince armé d’une épée magique vienne l’occire; bref, que le dragon, c’est lui. 
(Voire : le Serpent géant du Lac de l’Ombre.)
(J’ai trop hâte de lire les interviews de Marylin Fitoussi qui s’est occupée des costumes.)
Tout cela, on le voit très bien dans sa relation avec Guenièvre (ne serait-ce que dans le livre IV) : il avait tout pour être le sauveur qu’il a toujours rêvé d’être, mais il a tellement eu peur d’être abandonné qu’il a fini par la persécuter. La vidéo de Sy Play sur le syndrome du sauveur et le triangle de Karpman l’explique tellement bien <3
https://www.youtube.com/watch?v=aiH7RqH0h58&t=272s&ab_channel=SyPlay
Bon, tout ce que je viens de répéter, ça tournait dès la sortie des affiches. Mais en voyant le film, d’autres éléments viennent enrichir le bazar.
Déjà, il réagit comme Scar (et Joe Dalton) en entendant le nom de sa némésis Arthur. Ensuite, il n’arrive pas à consommer son mariage avec dame Mévanwi (élément du film qui manque de développement, je les shippe à mort mais je ne comprends pas pourquoi il a décidé de l’épouser alors qu’il est toujours obsédé par Guenièvre, ce qui établit un parallèle avec Arthur qui choisit de respecter sa promesse à Aconia en s’interdisant d’être heureux avec Guenièvre) : il a peur de n’être qu’un Arthur low-coast. D’être encore comparé à Arthur après avoir récupéré ses pots cassés. Peur qu’il avait déjà avec Guenièvre dans le livre IV, et qui s’est sans doute encore accentuée lorsque Méléagant lui a révélé qu’il était l’élu avant que la Dame du Lac ne l’abandonne. Tout le monde l’a abandonné pour Arthur, et c’est peut-être pour ça qu’il veut le tuer. Ses hurlements et supplications lorsque Méléagant le laisse seul dans le livre V m’ont toujours émue aux larmes.
Pourtant, une fois qu’il tient Arthur à sa merci, il ne parvient pas à se résoudre à l’achever. Peut-être parce qu’Arthur représente le héros qu’il aurait pu être, et assassiner Arthur signifierait la mort de cet idéal. Il a conscience d’être un mauvais roi, et il sait aussi qu’une fois qu’il aura tué Arthur, sa vie n’aura plus aucun sens, il n’aura plus personne avec qui rivaliser.
Bref : comme il est pris entre ces deux feux, il se retrouve complètement passif. Ce que lui reproche son entourage, d’ailleurs (”Réagissez, espèce de lézard moisi!”) D’ailleurs, durant le combat contre Arthur, il n’attaque pas et ne fait que se défendre.
(Son petit sourire sarcastique quand il ouvre le passage secret pour laisser à ses sbires le loisir de s’enfuir <3 : “C’est ça que vous cherchez ?” .On ne peut pas lui enlever qu’il fait preuve de courage en restant pour faire face à un Arthur armé d’Excalibur... mais aussi de mépris, on entend clairement le “bande de lâches” adressé à ses sbires fuyards, qu’il ne dit pas. Courage et arrogance : du Lancelot tout craché.)
On note aussi qu’une fois vaincu, Lancelot traite Arthur de lâche et d’incapable pour avoir refusé de l’achever. C’est intéressant puisque lui même a refusé de tuer Arthur par trois fois : une fois lorsque Méléagant lui a ordonné de brûler le pupi ensorcelé, une fois lorsqu’il lui a sauvé la vie alors qu’il agonisait dans sa baignoire, et une fois en refusant de l’exécuter une fois qu’il l’avait capturé.
Et encore une fois en s’enfuyant de Kaamelott qui s’effondre au lieu de planter Arthur. Enfin si, du coup il le plante au sens figuré, mais pas au sens propre : quatre fois, ça commence à faire beaucoup.
Ce n’est pas si inconsistant que ça en a l’air : les paroles du Juste Judex qui joue à ce moment là sont pleines de contrition. C’est presque comme si il espérait qu’Arthur le punisse. J’en viens à me demander s’il n’y pas un truc psychanalytique à fouiller du côté de la thématique du père -si chère à AA.
Pour finir, il y a ça :
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Est-ce que c’est Lancelot qui hallucine ? Ou pas ?
Il y a un headcanon qui traîne selon lequel Ban était le héros de la résistance face à la tyrannie d’Uther, mais a été vaincu et exécuté. Ca ferait un jeu de miroirs assez intéressant : le fils du tyran devient héros et le fils du héros devient tyran. Auquel cas Ban est en train de passer un énorme savon à Lancelot sur le thème du “Heureusement que le bâtard t’a détrôné, t’étais devenu un monstre, alors prends exemple sur Arthur et ferme ta grande gueule”, ou alors “Regarde en toi, tu vaux mieux que ce que tu es devenu.”
On peut aussi supposer quelque chose de plus proche de Hamlet (car Mufasa ne dit jamais à Simba de venger son meurtre) : Ban demanderait à Lancelot de venger sa mort en tuant le fils d’Uther... ? 
Ca dépend de comment Lancelot interprète la venue du spectre. Est-ce qu’il est définitivement timbré et irrécupérable (auquel cas il se dirigera vers la seconde version) ou est-ce qu’il y a une lueur d’espoir pour une éventuelle rédemption (première version) ? 
Personnellement, j’espère que Lancelot va arrêter ses conneries et se diriger vers une éventuelle rédemption qui ne se conclura pas par sa mort. Je sais que ça serait cohérent avec Dark Vador, mais c’est tellement cliché. J’ai envie qu’il apprenne de ses erreurs et qu’il vive et qu’il souffre. Et qu’il essaie de se racheter.
Et... quel rôle va jouer Méléagant ? 
(dès que j’ai vu quelqu’un manger de la neige, j’ai failli hurler.)
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thom-de-tours · 2 years
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Il me contacte. Nous commençons à discuter ;  il me pose les questions habituelles. "Tu vis où,  tu mesures combien, tu pèses combien,  tu as les cheveux de quelle couleur,  court, tu vis chez tes parents, tu fais quoi dans la vie ", mais à aucun moment il ne parle de sexe.
A un moment,  il m'explique qu'il cherche un jeune homme pour ne pas passer ses vacances seul dans la région de Bayonne sur la côte basque. Je lui explique ce qui vient de m'arriver. Il me dit qu'il cherche un petit minet bien passif et même soumis pour son plaisir.
Je lui dis que je suis un jeune homme passif mais sans grande expérience.
C'est à ce moment là que mes parents sont  rentrés et m'ont appelé .
J'explique à Jean que je dois couper. Je ne sais pas pourquoi mais je lui donne mon numéro de portable :0670......
Je lui dis de m'envoyer des sms et je coupe.
Dans la minute qui suivait,  mon téléphone vibrait dans la poche arrière de mon jeans taille basse.  Cette sensation a commencé à m'exciter, surtout que j'étais avec mes parents.
Jean a continué à m'envoyer des sms,  mais je ne pouvais pas les lire.
Dans ses sms, il me disait comment pourrait se passer ces vacances.
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e642 · 2 years
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Cette semaine j'ai vu deux films qui m'ont bouleversée. C'est mon avis. J'ai lu quelques critiques peu importe.
D'abord, le film retraçant l'histoire de Simone Veil. Je la connaissais. Qui ne connait pas cette dame ? Mais qui la connait pour autre chose que sa loi dépénalisant l'IVG ? Je la connaissais également pour son passif abominable de déportée. Mais elle a fait tellement d'autres choses que je me suis sentie bête de ne pas connaître. Maintenant je le sais. Elle s'est battue pour les conditions de vie dans les centres pénitentiaires -qui étaient une honte, c'était inhumain-. Également, elle a eu un rôle dans l'encadrement du VIH, ou encore de la toxicomanie. Ect. Ce que je retiens c'est qu'elle s'est toujours relevée. C'est qu'elle a fait de ses faiblesses et de son passif meurtrier une force. Ça me touche qu'un être humain puisse vivre tant de choses, les camps de concentration, la perte de sa famille, la gestion de la sienne, le sexisme, l'antisémitisme et s'élever. J'ai pleuré tout le film parce que c'était dur, et c'est important que ce soit aussi dur. On a plus envie de glamouriser ou inhiber tout ça. C'est un film d'utilité publique qui donne foi en l'être humain.
D'autre part, j'ai vu sans filtre, qui lui fait perdre foi en l'humanité. C'est une critique si juste de la lutte des classe. Il pue le chanel n°5 ce film. Les influenceurs, les likes, la thune, l'amour superficiel, le mannequinat. Il y en a qui crèvent étouffés par leur argent et je ne les plaindrai pas. On y voit deux mondes absolument opposés : les riches et les pauvres. Et au fil du film, toutes les inégalités se creusent. Ya un défilé de mode au début où la propagande c'est "tous égaux" et c'est intéressant de voir comment ce film déconstruit cette idée. Qu'on soit sur un yacht luxueux ou sur une île déserte, là où toute lutte des classes semble impossibles, tout le monde sur le même piédestal, on arrive quand même à retrouver les pauvres et les riches. La dernière image du film c'est une riche sauvée par une pauvre sur une île déserte qui lui dit -maintenant qu'elles semblent sauvées car secours trouvés- "tu sais, avec tout ce que tu as fait pour moi, je te propose un post pour bosser, tu seras mon assistante si tu veux". C'est là qu'on comprend que tout le monde est resté à sa place, que c'est dur de faire changer la hiérarchie riche/pauvre. Qu'on apprend pas de nos erreurs. Qu'on ne vit pas dans les mêmes mondes.Qu'une fois le malaise passé, c'est comme si de rien n'était. Tu restes pauvre et moi je serai toujours riche mais tu peux bosser pour moi, c'est déjà bien. Ça m'a touchée parce que c'est vrai, on aura beau les ridiculiser les riches -comme c'est le cas dans le film- on retrouve cette non empathie et ce retour à la normale. C'est là qu'on voit que les pauvres, les classes moyennes, ceux qui ont toujours bossé, toujours galéré continuent à s'en sortir dans la galère quand les riches sont ébahis, n'imaginant même pas une seconde à quel point la vie peut-être dure, dégradante et ingrate.
C'est maladroit ce que j'écris mais ces deux films m'ont fait ressentir une colère vive.
D'ailleurs je suis très fière de moi, dans sans filtre, il y a une scène très longue dans un yatch où tout le monde vomit a flot et même si j'ai été très angoissée au point d'en avoir les larmes aux yeux, jai fini le film.
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