#feuille de route
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cyberlabe · 1 year ago
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Strategic roadmap (aiSTROM) for AI implementation
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lescientifique · 1 year ago
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Feuille de route : mise en place de la structure de gestion du Parc National Historique Citadelle, Sans-souci, Ramiers (PNH-CSSR)
Résumé Cette feuille de route est le résultat d’un processus de consultation et de concertation mené par l’Agent de Liaison, avec le support des secteurs clés impliqués dans la gestion du Parc National Historique Citadelle SansSouci, Ramiers (PNH-CSSR). Ce guide s’adresse au Comité Interministériel de Gestion (CIG) du Parc National Historique Citadelle Sans-Souci, Ramiers (PNH-CSSR). Il propose…
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theodoreangelos · 1 year ago
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Country road winding through two deciduous trees Sich durch zwei Laubbäume windende Landstraße Проселочная дорога, петляющая среди двух лиственных деревьев Route serpentant à travers deux arbres à feuilles caduques Lars van de Goor – Roads to Roam
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coovieilledentelle · 1 month ago
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Décembre est la fin qui ressemble à un début. Décembre remplit nos cœurs de miséricorde et d'humilité.
Décembre est le temps des miracles, le temps des contes de fées, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'année. Parfois le plus cher à notre coeur. Une série de moments magiques pour les familles. Les gestes du cœur, l'affection, la chaleur du mois de décembre sont disposés de manière tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arrière-plan enneigé et réfracte nos rayons de soleil préférés dans un arc-en-ciel coloré d'espoirs pour un début coloré. Décembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc… Comme une feuille sur laquelle on écrit les moments passés et les projets d'avenir… entre les lignes du bilan. L'évaluation pour savoir si nous avons été bons, si nous avons été plus heureux au cours de l'année écoulée, ce que nous serons au cours de la nouvelle année… Nous colorons de nouveaux rêves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronées pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver après des levers de soleil encore plus beaux. Décembre est la flamme dans la cheminée, qui est allumée par les étincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. Décembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend réels. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanité, de la foi, de l'espoir et du partage ! Décembre est notre prière… Ne pas être seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santé ! Que nos cœurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bénis… Qu'il en soit ainsi !
Charlotte
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ernestinee · 2 months ago
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Ça ne sert à rien de lire ce qui suit, je le note surtout pour me souvenir de mon état qd je relirai tout ça en janvier prochain.
Tout a commencé par une vieille voiture jaune, apparemment rare, que l'homme veut retaper.
La voiture est en ce moment garée dans l'abri de jardin. Pour qu'elle soit garée là, on a enlevé tous les outils, vélos etc. et on les a mis sous l'abri à bois que j'avais construit seule l'année dernière souvenez-vous j'avais fait un billet tellement j'étais fière d'avoir fait ça pour y ranger le bois. Bah c'est rempli d'outils, de vélos, de motos, d'un quad, et de zéro bois.
Donc on a fait une grande dalle de béton devant l'abri de jardin. Ça n'a l'air de rien mais ça demande de:
- Faire un trou: retirer la terre sur 30 cm. Stocker cette terre, le tas est immense.
- commander des tonnes de graviers et de sable, qui seront livrés à l'avant de la maison alors que l'abri de jardin est à l'autre bout du terrain.
- déplacer ces tonnes de graviers et de sable vers l'arrière du jardin. Des brouettes et des brouettes.
- stocker 50 sacs de ciment de 25kg chacun au sec. Donc dans l'entrée de la maison parce qu'il y a rien de sec à l'extérieur et l'abri de jardin est envahi par la voiture. Donc enlever de cette entrée le meuble, le porte-manteaux, les manteaux, les chaussures, les trucs qu'on trouve dans une entrée de maison. Donc avoir tout ça en vrac dans la maison.
- Remplir la moitié du trou d'une sorte de gravier fin qui s'agglutine qd on l'écrase. Écraser tout pour que ce soit bien plat. Mettre un plastique au dessus.
- Aller chercher une bétonnière (elle a 50 ans) avec la remorque. 1h de route. Pire trajet de ma vie, je vais faire de la tachycardie si j'y repense. Et je ne parle même pas de comment on l'a mise dans la remorque. Il va falloir faire le chemin inverse qd on va la rendre, ça me rend déjà malade.
- faire du béton. 10 pelles de graviers+ 8 pelles de sable + un seau de ciment+ 1/2 seau d'eau. Puis transporter cet amas dans le trou. 15 cm d'épaisseur de béton à mettre de niveau et à lisser. Des brouettes et des brouettes.
- laisser sécher.
Dans deux semaines, la dalle durcie pourra accueillir sa voiture. Du coup l'abri de jardin pourra retrouver les vélos, le quad, les motos, les outils,etc.
Du coup mon abri pour le bois pourra accueillir du bois. Qui poireaute sans abri depuis mars dernier.
Alors. Le tas de terre. L'immense tas de terre. Il y a un projet qui est de décaisser un sentier pour l'instant en graviers, se débarrasser de tout ça et y mettre la terre toute propre du fameux tas. L'autre projet est de laisser les graviers et se débarrasser de la terre mais je sais qu'un jour on fera ce sentier en herbe et on devra acheter de la bonne terre. Alors que là, elle est là. Donc ça va me casser les couilles mais ce sentier est le prochain projet d'envergure. Un sentier de 60m de long, pour que la voiture jaune puisse aller et venir de son abri jusqu'à la route - quand elle roulera. A l'emplacement des roues, on va mettre des dalles creuses pour que l'herbe continue de pousser mais que le sol ne s'écrase pas, et éviter les grosses flaques. En gros, il va falloir creuser sur 20 cm de profondeur, mettre 10 cm de stabilisé, puis 5 cm de terre puis les dalles creuses, et remplir ces dalles de 5 autres cm de terre, puis semer de l'herbe. Je veux aussi que ce soit un couloir pour que les animaux du champ en face de la maison puissent rejoindre la prairie de l'autre côté de la maison quand les tracteurs sont dans les champs. Tous les voisins ont des chiens, il n'y a que chez moi que la faune est tranquille (à en croire par la quantité de lapin et de hérissons qui se réfugient).
Autre projet plus sympa et rapide pour cet automne, refaire un gazon, pcq là ça a été le chantier trop longtemps. Et aussi, planter des bulbes de crocus dans l'herbe.
Faire des abris pour les hérissons déjà maintenant avec les feuilles mortes, pour augmenter la quantité de bestioles à ces endroits là.
Élaguer le chêne en janvier.
Délimiter un nouveau sentier de brouette pour la gestion du bois l'année prochaine. Pcq on va recevoir 8 stères à fendre courant février.
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mrsines · 2 months ago
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Destinée ensorcelée
Résumé : Ivana, la fille aînée de Wanda, perd mystérieusement ses pouvoirs, ce qui la plonge dans une grande détresse. Ne sachant pas comment récupérer ses capacités, elle se tourne vers Agatha, une sorcière expérimentée, pour obtenir de l'aide. Ensemble, elles élaborent un plan pour ouvrir la route des sorcières, espérant que cela les mènera à une solution.
Pour renforcer leur magie, elles décident de réunir un sabbat, une cérémonie qui pourrait leur donner accès à des forces occultes puissantes. Cependant, alors qu'elles se préparent, des complications surviennent. Des forces obscures semblent contrecarrer leurs efforts, et des tensions émergent entre les participantes. Ivana et Agatha doivent naviguer à travers ces obstacles tout en découvrant des vérités cachées sur leurs propres pouvoirs et sur la nature de la magie. Cette quête les amène à remettre en question leurs croyances et à affronter des dangers inattendus, transformant leur aventure en un véritable test de courage et de détermination et d'amour.
Chapitre 1 : L’éveil d’une sorcière
Ivana Maximoff se trouvait au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait au ras du sol. Les arbres, aux troncs massifs et tortueux, semblaient murmurer des secrets anciens, leurs feuilles bruissant doucement dans le vent. La lumière de la lune filtrait à travers les branches, projetant des ombres dansantes qui ajoutaient une atmosphère mystérieuse à cet endroit.
Ivana sentait une présence, quelque chose de sombre et de malveillant qui rôdait autour d'elle. Les démons, aux traits grotesques et aux yeux luisants, émergeaient des ombres, leurs rires résonnant comme des échos sinistres. Ils se déplaçaient avec agilité, leurs corps se contorsionnant de manière surnaturelle, créant un spectacle à la fois fascinant et terrifiant.
Ivana, bien que pétrifiée, ressentait également une étrange curiosité. Elle pouvait entendre leurs chuchotements, des promesses de pouvoir et de connaissance, mais aussi des avertissements de danger. Chaque pas qu'elle faisait dans cette forêt semblait l'attirer plus profondément dans un monde où la réalité et le cauchemar se mêlaient.
Les couleurs autour d'elle étaient saturées, presque irréelles, avec des teintes de violet et de vert qui illuminaient la scène, créant une ambiance à la fois envoûtante et inquiétante. Ivana se tenait là, au milieu de ce chaos, son cœur battant à tout rompre, se demandant si elle pourrait échapper à cette danse macabre.
Ces silhouettes indistinctes semblent se rapprocher, glissant silencieusement sur le sol, créant une atmosphère de tension palpable.
Ivana, ressentant une présence menaçante, se réveille en sursaut. Son cœur bat la chamade dans sa poitrine, et un cri perçant échappe de ses lèvres, brisant le silence de la nuit. Elle se redresse, les yeux écarquillés, cherchant désespérément à comprendre ce qui se passe. La lumière de la lune filtre à travers la fenêtre, projetant des ombres inquiétantes sur les murs, mais il n'y a personne d'autre dans la pièce.
En reprenant lentement ses esprits, Ivana réalise qu'elle vient de faire un cauchemar. Elle se frotte les yeux, essayant de chasser les images terrifiantes de son esprit. Elle se demande ce qui lui est arrivé durant cette nuit désastreuse. Pourquoi ces ombres l’ont-elles hantée ? Quel message caché se cache derrière ce rêve troublant ? Elle se sent perdue, comme si une partie d'elle-même avait été touchée par une peur inexplicable.
Les questions tourbillonnent dans son esprit, et elle se demande si ce cauchemar est le reflet de ses angoisses profondes ou d'une menace qui rôde dans sa vie éveillée. La nuit, autrefois paisible, semble désormais pleine de mystères et d'inquiétudes, laissant Ivana dans un état de confusion et de vulnérabilité.
☆○o。  。o○☆.☆○o。  。o○☆
Ivana était assise sur son lit, les draps froissés autour d'elle, témoins de son agitation nocturne. Son cœur battait encore la chamade, résonnant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle fixait le mur en face d'elle, mais son esprit était perdu dans un tourbillon de pensées confuses. Les images de ce qu'elle venait de vivre se bousculaient dans sa tête, si réelles qu'elle avait du mal à croire qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Elle passa une main dans ses cheveux en désordre, soupirant profondément. Les souvenirs de cette expérience troublante l'assaillaient, la laissant dans un état de confusion totale. Elle se leva lentement, ses jambes encore un peu faibles, et se dirigea vers la salle de bain. 
Le carrelage frais sous ses pieds la ramena à la réalité, mais l'angoisse persistait. Elle ouvrit la porte de la douche, ajusta la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit chaude, presque brûlante, espérant que la chaleur apaiserait son esprit tourmenté. Alors qu'elle se tenait sous le jet d'eau, elle ferma les yeux, laissant les gouttes glisser sur son visage.
L'eau s'écoulait, emportant avec elle les résidus de ses pensées sombres. Elle se frotta les bras, comme si elle pouvait laver ses angoisses. Mais même sous le doux murmure de l'eau, les échos de son expérience la suivaient, la rendant incapable de se libérer de ce poids qui l'oppressait.
Ivana sortit de la douche, l'eau encore gouttant le long de sa peau. Elle avait enveloppé son corps dans une serviette moelleuse, l'odeur de son gel douche préféré flottant autour d'elle. Les gouttes d'eau glissaient sur ses bras, et elle se sentait rafraîchie, prête à affronter la journée. En entrant dans la cuisine, la lumière du matin filtrait à travers les volets, illuminant les surfaces en bois et créant une ambiance chaleureuse.
Elle se dirigea vers le réfrigérateur, son esprit encore embrumé par la chaleur de la douche. Elle ouvrit la porte, cherchant quelque chose à manger, quand soudain, un frisson d'inquiétude la traversa. Elle tenta de faire léviter une pomme, comme elle le faisait si souvent, mais rien ne se produisit. Ses mains, qui d'habitude émettaient une douce lueur, restaient désespérément normales.
Ivana plissa les yeux, se concentrant, mais aucun éclat magique ne se manifesta. Elle se mit à trembler, la serviette glissant légèrement sur ses épaules. "Non, pas maintenant," pensa-t-elle, sa voix intérieure teintée d'angoisse. Elle ferma les yeux, cherchant à ressentir cette énergie familière, mais elle était introuvable, comme un rêve qui s'estompe au réveil.
Les souvenirs de ses pouvoirs affluèrent dans son esprit : les moments où elle avait manipulé les objets avec aisance, où elle avait ressenti la magie pulser en elle. Tout cela semblait désormais hors de portée. Elle se retourna brusquement, ses yeux se posant sur le miroir de la cuisine. Elle y vit son reflet, une expression de confusion et de peur marquant son visage.
Ivana se mit à marcher nerveusement dans la pièce, le bruit de ses pieds nus sur le carrelage résonnant dans le silence. "Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Qu'est-ce qui a changé ?" se demanda-t-elle, la panique commençant à s'installer dans son ventre. Elle se rappela des avertissements qu'elle avait reçus, des signes qu'elle avait ignorés.
Avec un soupir lourd, elle s'appuya contre le plan de travail, le cœur battant. "Il doit y avoir une explication," murmura-t-elle, la détermination commençant à remplacer la peur. Elle savait qu'elle devait trouver un moyen de comprendre ce qui lui arrivait, même si cela signifiait affronter des vérités difficiles.
Ivana se redressa, prenant une profonde inspiration, prête à se battre pour retrouver ce qu'elle avait perdu, même dans cette cuisine qui lui semblait désormais si ordinaire.
Ivana savait que la seule personne qui pourrait l’aider à retrouver ses pouvoirs était Agatha Harkness, mais demander de l’aide à cette femme était du suicide. Pourtant, la détermination brûlait en elle, et elle avait décidé d’y aller quand même. 
Elle se dirigea vers sa voiture, une berline noire qui semblait presque impatiente de partir. Les phares s’allumèrent dans un vrombissement familier alors qu’elle s’installait au volant. "Allez, un dernier coup," murmura-t-elle pour se donner du courage, avant de démarrer en trombe en direction de Westview.
La route défilait à toute vitesse, le paysage flou derrière elle. Ivana se sentait à la fois excitée et nerveuse. Cependant, la vitesse était trop élevée, et bientôt, elle aperçut les girophare de police dans son rétroviseur. Son cœur s’emballa. "Non, pas maintenant," se dit-elle, mais il était trop tard. Elle se gara sur le bas-côté, la peur nouant son ventre.
Alors qu'elle attendait, Ivana pouvait sentir l'adrénaline pulser dans ses veines. La silhouette d'Agatha se dessina dans le rétroviseur. Elle s'approcha, un sourire mystérieux sur le visage.
Ivana, choquée, n'arrivait pas à croire qu'Agatha était là, en uniforme. "Agatha ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle, la surprise se mêlant à l'inquiétude.
Agatha se pencha légèrement, son expression sérieuse. "C'est  détective O'Connor. Je ne connais pas d’Agatha désolé.," annonça-t-elle d'une voix suave, ses yeux pétillant de malice.
Après un rapide contrôle, Ivana continua son chemin en voiture, les pneus crissant sur l'asphalte. Le paysage défilait à toute vitesse, les arbres se transformant en flous vert et marron, tandis que son esprit était envahi par des souvenirs de son enfance. Elle savait qu’Agatha était touchée par le sort de la sorcière rouge, et cette pensée la hantait, mais elle était déterminée à retrouver une solution.
En arrivant devant son ancienne maison, Ivana ressentit un mélange de nostalgie et d'appréhension. La maison, bien que familière, semblait avoir perdu de sa splendeur. La peinture s'écaillait, et des herbes folles poussaient entre les dalles du chemin. Elle se gara rapidement et sortit de la voiture, le cœur battant à tout rompre.
En entrant, l'odeur de poussière et de vieux souvenirs l'accueillit. Les murs étaient ornés de photos jaunies, capturant des moments heureux d'une époque révolue. Ivana ferma les yeux un instant, se remémorant les rires et les jeux d'enfance. Mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Elle devait fouiller de fond en comble pour retrouver une solution afin de rompre le sort de sa mère.
Elle commença par la cuisine, ouvrant les tiroirs avec frénésie. Des ustensiles oubliés et des recettes jaunies l'entouraient. Rien d'utile. Elle se dirigea ensuite vers le salon, où le vieux canapé était recouvert d'une couche de poussière. Ivana souleva les coussins, espérant y trouver quelque chose de précieux. Elle trouva seulement des pièces de monnaie et des bonbons durs, oubliés depuis longtemps.
Frustrée, elle monta à l'étage, où se trouvait sa chambre d'enfance. La porte grinça en s'ouvrant, et elle entra dans la pièce. Tout semblait figé dans le temps. Les murs étaient recouverts de posters de ses idoles, et son bureau était encore chargée de livres et de cahiers. Elle fouilla chaque tiroir, chaque recoin, sa détermination grandissant avec chaque minute qui passait.
Finalement, dans un vieux livre de contes qu'elle avait laissé là, Ivana découvrit une page pliée. En l'ouvrant, elle tomba sur une formule ancienne, une incantation oubliée qui pourrait peut-être l'aider à rompre le sort. Son cœur s'emballa d'espoir. C'était peut-être la clé pour sauver sa mère et briser l'emprise d'Agatha.
Avec cette découverte, Ivana savait qu'elle avait fait un pas décisif. Elle devait maintenant retourner à Westview, prête à affronter Agatha et à utiliser tout ce qu'elle avait appris pour défendre ceux qu'elle aimait.
Ivana se tenait devant la porte d'Agatha, le cœur battant la chamade. Elle avait enfin trouvé ce qu'elle cherchait, et maintenant, il était temps d'agir. Elle leva la main et sonna à la porte, le son résonnant dans le silence du quartier. Après quelques instants, la porte s'ouvrit lentement, révélant Agatha, les yeux écarquillés par la surprise.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda Agatha, fronçant les sourcils, visiblement perplexe. Sa voix trahissait une inquiétude mêlée de curiosité.
Ivana, sans perdre une seconde, poussa doucement Agatha sur le côté pour entrer dans la maison. L'air était chargé d'une tension palpable. Elle se retourna alors pour faire face à Agatha, ses yeux brillants d'une détermination ardente.
« Écoute, j'ai pas le temps pour tout expliquer, » déclara Ivana d'une voix ferme, presque impatiente. « Il faut que tu m'écoutes et que tu me crois. »
Agatha, encore sous le choc, ne savait pas quoi répondre. Elle croisa les bras, la méfiance se lisant sur son visage. « Attends une minute, je ne te connais . Tu ne peux pas juste entrer chez moi comme ça et... »
« Oh c’est pas vrais j’avais oublier comment Agnes était pipelette» coupa Ivana, sa voix s'élevant légèrement.
Ivana, les yeux fixés sur Agatha, ressentait une vague d'émotions l'envahir. Elle savait que même si ses pouvoirs avaient disparu, la magie analogique pouvait encore opérer des miracles. Elle inspira profondément et murmura le sort, sa voix à peine audible, comme un souffle porté par le vent.
« Libère-toi, Agatha... » chuchota-t-elle, chaque mot chargé d'intention.
À cet instant, Agatha sentit une chaleur douce l'envelopper, comme si une lumière intérieure s'éveillait en elle. Elle plongea son regard dans celui d'Ivana, et un flot de souvenirs afflua. Chaque moment partagé lui revenait en mémoire, vibrant d'une tendresse oubliée.
Agatha, touchée par cette connexion, réalisa à quel point Ivana avait changé. La petite fille qu'elle avait connue était devenue une sublime jeune femme, pleine de force et de détermination. Ses traits étaient marqués par la maturité, mais une lueur d'innocence persistait dans son regard.
« Mini Maximoff, » murmura Agatha, penchant la tête sur le côté, un sourire ému se dessinant sur ses lèvres. « Je suis surprise de te voir ici. »
Ivana, un léger sourire aux lèvres, sentit une chaleur envahir son cœur. « Je sais que c'est inattendu, mais j'avais besoin de toi, Agatha. »
Agatha hocha la tête, la surprise laissant place à une compréhension profonde. « Je vois. Tu as beaucoup grandi, ma chère. Mais dis-moi, que veux tu ? »
Ivana, le regard déterminé, se tourna vers Agatha, son cœur battant avec une impatience palpable. « Je veux rejoindre la route des sorcières, » annonça-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Agatha plissa les yeux, un sourire ironique aux lèvres. « La route n'existe pas, Ivana. C'est une légende, une illusion. »
Ivana, frustrée, secoua la tête. « Ne sois pas une menteuse, Agatha ! Je sais que ça existe. »
Agatha s'approcha d'elle, son regard perçant comme une flèche. Avec douceur, elle déplaça une mèche de cheveux d'Ivana derrière son oreille, créant un moment d'intimité.
« Écoute-moi, » murmura-t-elle. « La route va te tuer. »
Ivana, choquée, observa Agatha s'éloigner, se sentant à la fois trahie et confuse. « Mais tu ne t'es pas fait tuer, toi ! » lança-t-elle, tentant de garder sa voix ferme.
Agatha se retourna, un air de défi dans ses yeux. « Moi, je suis exceptionnelle. » Elle laissa échapper un léger rire, comme si la question ne méritait même pas d'être débattue.
Ivana, ne se laissant pas abattre, croisa les bras, son regard défiant. « Je vais aller sur la route, avec ou sans toi. »
Agatha éclata de rire, amusée par la détermination d'Ivana. « Et qu'est-ce que tu veux vraiment de cette route ? »
« Retrouver mes pouvoirs, » répondit Ivana, sa voix empreinte de passion.
Agatha, sérieuse à présent, hocha la tête. « Pour ça, il te faudra un sabbat. »
Ivana, intriguée, se pencha en avant, désireuse d'en savoir plus.
« Un sabbat ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »
Agatha, avec un air mystérieux, se contenta de sourire. « Tu as encore beaucoup à apprendre, ma chère. »
Agatha se leva, déterminée, et se dirigea vers le porte-manteau. Elle attrapa sa veste en cuir noir, la passant rapidement sur ses épaules, avant de chausser ses bottines à talons. Le bruit des fermetures éclair et le claquement des semelles résonnaient dans l'air, créant une ambiance de tension palpable.
Elle se retourna alors vers Ivana, qui était toujours figée, son regard perdu dans le vide. Agatha plissa les yeux, un sourire amusé sur le visage. « Aller, c’est pas en restant figée comme ça qu’on va trouver un sabbat, » lança-t-elle avec une pointe d'ironie dans la voix.
Ivana, surprise par l'énergie d'Agatha, sentit son cœur s'accélérer. Elle voulu répondre, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Agatha, ne laissant pas le temps à Ivana de réagir, tourna les talons et s'apprêta à quitter la pièce.
« Je regrette immédiatement cette décision, » murmura Ivana, presque inaudible, alors qu'une vague de doute l'envahissait.
Elle soupira, se sentant tiraillée entre son envie de rester et celle de suivre Agatha.Après un moment d'hésitation, elle prit une profonde inspiration et se décida à la suivre. « Comment les choses vont-elles se passer ? » se demanda-t-elle, angoissée mais excitée à l'idée de l'inconnu qui l'attendait. Elle rattrapa Agatha, se préparant à plonger dans cette aventure qui pourrait changer leur destin à toutes les deux.
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asofterepilogue · 7 months ago
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Et le député lfi qui fait compagne sur tinder…
Maudet ? Franchement c'est con mais c'est tellement loin d'être le pire. C'est sûr que ça dit quelque chose de l'état de la France, mais perso ce qui m'inquiète le plus c'est plutôt la véhémence de la haine des idées de gauche dans leur ensemble. On en est quand même à entendre tous les abrutis du monde dire que LFI c'est l'extrême-gauche (donc le diable), critiquer Israël c'est antisémite, faudrait dissoudre le NPA et même LFI !
Je rappelle que le programme actuel du NFP fait d'énormes concessions à l'aile droite du PS (déjà pas super super à gauche), et est même pas aussi "radical" que ce que le PS lui-même a pu défendre au siècle dernier. Mais toute la fenêtre d'acceptabilité a tellement glissé à droite qu'on peut entendre sans sourciller qu'il n'y a pas de honte à avoir été dans la Waffen-SS, l'homophobie c'est surtout à gauche, faudrait faire barrage aux "extrêmes", si t'es juif tu seras plus en sécurité avec le parti des nazis qu'avec la gauche, etc. Par contre dire que tu veux taxer les plus riches c'est limite staliniste.
La campagne sur Tinder, pour moi c'est juste un autre symptôme de l'anti-intellectualisme général, mais ça a rien de nouveau, et c'est malheureusement pas un problème spécifique à LFI. Évidemment que je préférerais qu'ils s'y adonnent moins, mais je comprends que quand tes concitoyens sont cons au point de gober tout ce que BFM raconte et de voter Bardella parce qu'il est sexy (🤮) sur Tiktok (comme certains ont voté Macron pour les mêmes raisons en 2017 hein), à un moment tu te dis "si ça marche, pourquoi pas moi". Je pense que c'est une erreur à long-terme et qu'elle risque de leur coûter cher comme leurs compromis pour l'alliance leur ont coûté et vont continuer de leur coûter cher, mais en vrai peu importe comment ils font campagne, à moins d'arriver à racheter 15 chaînes avec des fréquences publiques, ils vont toujours se faire cracher dessus au nom du maintien du statu quo. Quand t'es le seul parti (hors extrême-gauche) à proposer quelque chose qui s'apparente à un changement, et que ta feuille de route est sourcée et crédible en plus, évidemment que tous les petits bourgeois et autres delulu en attente d'un héritage imaginaire d'un oncle en Amérique vont te tomber dessus, quitte à se vautrer dans le bon vieux "plutôt Hitler que le Front Populaire", quitte à renier tous les idéaux de gauche, quitte à inventer les pires idioties sans aucune preuve. Et comme en plus beaucoup de Français sont réacs de base, et qu'il est toujours plus facile de se recroqueviller sur son petit moi en trouvant des boucs-émissaires que d'imaginer un autre monde, c'est avec délectation qu'ils lèchent les bottes de l'extrême-droite et de ses alliés (Macron compris).
Je préfère pas relever les petites idioties de LFI actuellement parce que 1) les autres partis font pareil quand ils ne font pas pire, 2) y a bien plus grave, et 3) dans le climat actuel, je pense pas particulièrement utile d'en rajouter sur le dernier parti de gauche qu'il reste.
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epopoiia-leblog · 1 month ago
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Tombées au sol
Tombées au sol, abandonnées et délaissées des arbres nus, elle les écrase, elle les malmène, ces feuilles mortes de l’automne, elle les traîne. Cailloux, pierres et graviers crissent sous ses semelles, et les restes de pluie viennent noyer ses pas. Elle avance trempée dans le noir de la nuit et pour seul horizon les phares des routards. Les vitrines sont éteintes, les magasins fermés, les chiens dans leur foyer, ne restent que les rats ; et quelques chats errants, en vagabonds funestes. Elle poursuit son chemin, dans l’ombre de ces rues, sous un ciel sans lune, mais partout le brouillard. Une lueur finit pourtant par éclairer sa route, l’éclat d’un réverbère ou d’une simple bougie, la flamme d’une présence qui l’invite à la suivre. Entre ses doigts gelés, le fil d’Ariane en main, elle se laisse emmener. C’est un tunnel brumeux mais au bout la lumière. Sur les rampes des escaliers, les rebords des fenêtres et celui du balcon, des guirlandes tout autour, une illumination. Des lanternes et du houx exposés sur le porche, une couronne de pin accrochée à l’entrée. La voilà sa maison et la porte est ouverte.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Décembre est la fin qui ressemble à un début. Décembre remplit nos cœurs de miséricorde et d'humilité. Décembre est le temps des miracles, le temps des contes de fées, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'année. Parfois le plus cher à notre coeur. Une série de moments magiques pour les familles. Les gestes du cœur, l'affection, la chaleur du mois de décembre sont disposés de manière tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arrière-plan enneigé et réfracte nos rayons de soleil préférés dans un arc-en-ciel coloré d'espoirs pour un début coloré. Décembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc… Comme une feuille sur laquelle on écrit les moments passés et les projets d'avenir… entre les lignes du bilan. L'évaluation pour savoir si nous avons été bons, si nous avons été plus heureux au cours de l'année écoulée, ce que nous serons au cours de la nouvelle année… Nous colorons de nouveaux rêves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronées pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver après des levers de soleil encore plus beaux. Décembre est la flamme dans la cheminée, qui est allumée par les étincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. Décembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend réels. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanité, de la foi, de l'espoir et du partage ! Décembre est notre prière… Ne pas être seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santé ! Que nos cœurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bénis… Qu'il en soit ainsi !
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aurevoirmonty · 2 months ago
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« Depuis l’élection de Macron en 2017, tout le monde sait désormais que l’on peut être élu sans vision ni programme, et tous les marketeurs de la Terre murmurent à l’oreille du politique : « Plus tu proposes, plus tu t’exposes. » Jusqu’aux partis populistes de tous bords et de tous pays qui réservent au bas-fond de leur site internet ou à quelques professions de foi que personne ne lit, les quelques orientations conceptuelles et programmatiques, souvent peu claires, préférant mobiliser leur énergie sur la critique du système en place. Eh bien, il est sans doute temps de se jeter à l’eau avec tous les risques que cela comporte et de mettre sous les projecteurs les dix points-clés d’un programme cohérent et synthétique, d’une feuille de route, d’un manifeste, qui reconsidérera de fond en comble et sans tabou la démocrature occidentale, lui préférant une ethnocratie où le peuple de la nation serait à nouveau souverain et fier de son identité. Une affiche en dix points qui refondrait intégralement l’organisation territoriale et administrative, présenterait une vision géopolitique euro-continentale et un projet économique ouvertement protectionniste, rejetant le casino planétaire et son insupportable tendance à broyer les classes populaires. Un étendard à dix flammes qui rappellerait simplement aux citoyens : « Camarades, n’ayez pas peur du vent qui se lève car le chaos est déjà là, mais de ce chaos nous ferons jaillir la lumière, une énergie, une vision en dix points-clés et dix actions-phares, véritables coups de poing dans la gueule du Système afin de reprendre en main notre destin. »
Hubert Calmettes, « Pour une dynamique du réveil » in revue Eléments n° 210 (en kiosques)
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christian-dubuis-santini · 4 months ago
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Feuilles de routes…
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lasaraconor · 1 year ago
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Filet de pêche
Routes de commerce
Feuilles d'olivier
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e642 · 1 year ago
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Dans le rôle de maman capable nous avons encore une fois la daronne de mon mec. Dites vous que sur un week end passé chez elle, j'aurais pu oublier beaucoup de choses, genre une chaussette, mon mascara, une feuille de cours mais le karma a décidé que j'oublierai une boîte de Xanax. Donc elle m'envoie un message en mode "j'ai trouvé telle boîte est ce que c'est bien à toi blabla". Je rép que oui, un peu gênée qu'elle réalise que je suis un peu en mental breakdown constant. Je la remercie, et elle me rép "en vrai je comprends, mon fils est stressant, ta nouvelle vie a nice aussi, je me débrouille pour te la ramener vite". On habite à 2h de route c'est bon pour vous ?
A noter que cette dame est le seul parent de ma vie n'ayant pas été ouvertement jugeant envers mes cicatrices, genre, elle a dit à mon mec la première fois que je suis allée chez elle, ya 9 mois, de prendre soin de moi, d'être sympa parce que j'avais pas dû avoir une vie simple ect. Et à chaque fois qu'on parle de près ou de loin de ça, elle se montre très compatissante sans jamais être intrusive.
On l'applaudit bien fort
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alain75fr · 2 months ago
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02 novembre 2024
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Aujourd’hui, une longue marche nous attend . Comme d’habitude nous prenons le petit déjeuner à base d’omelette et de thé noir pour moi , au lait pour Thierry accompagné de pancakes . Les sacs à dos sont prêts ainsi que nos deux gros sacs portés par Dépendra . Lui aussi est prêt . A peine , nous quittons Ayra que le voilà les quatre fers en l’air , je glisse sur des feuilles mortes. Plus de peur que de mal . Malgré tout en une fraction de seconde je me suis dit c’est fini . Ramji très vite m’a remis sur pieds , il m’a massé la cuisse droite … bref . Nous avons repris notre route . Légère montée pour accéder à un grand plateau, nous sommes à 3750 m d’altitude. Nous prenons quelques photos. Très belle vue sur Dhaulagari et L’Anapurna . Puis nous empruntons une descente en lacets très raides pour ne pas dire plus , bien évidemment avec l’épreuve du matin , j’avais très peur de recommencer mon exploit . Ramji a été à mes côtés durant toute la descente . Pour Thierry pas de difficulté . Nous atteignons une passerelle qui franchit la rivière Dichvang Khola . Ainsi nous atteignons l’autre rive . Peu après nous faisons une pose au Dhye shambala , endroit tenu par une famille composée de trois enfants . Nous sommes restés une petite heure . Après ce moment de repis , nous entamons une longue montée très raide qui durera une heure et demi . Ce fut difficile pour moi , Là aussi Thierry s’en est plutôt bien sorti . Les paysages sont magnifiques et les photos ne restituent pas leur grandiose beauté. Arrivés au col Dhichvang dont l’altitude est d’environ 4000 m nous faisons une courte halte pour nous récupérer. Nous descendons ensuite jusqu’à un plateau aride et très venteux sur lequel nous progressons sur une distance assez longue. Brusquement une nouvelle descente très verticale nous amène au village Tangye .(3340 m ) très beau village typique de la région , entouré de très belles parcelles de terre très bien cultivées . Ramji nous conduit à notre nouveau lodge et nous nous installons. Hotel Shambala .
Pendant que nous prenons notre repas, quelques jeunes, en vacance, ont pris place dans la salle où nous mangeons.
Les jeunes sont très tôt séparés de leurs parents durant plusieurs mois pour aller étudier à Pokhara.
Ils profitent des vacances pour retrouver leur famille et prendre part aux travaux des champs.
Un jeune membre d’une association passe pour récolter des fonds pour la préservation et dynamiser la région. Il explique à Ramji les enjeux et l’historique du village.
Notamment, Ramji nous décrit les rites funéraires pratiqués ici qui diffèrent de ceux de son village également de tradition bouddhique. Ainsi, alors que dans sa région on brûle les morts, qui ne sont jamais enterrés, ici, compte tenu du manque de bois, les défunts sont exposés dans un endroit près de la rivière où les vautours se chargent de les dévorer. C’est une pratique qui peut paraître barbare mais en fait elle reflète le rapport que les gens entretiennent avec la nature. Ici l’écologie n’est pas une idéologie.
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mrsines · 2 months ago
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Une terrible épreuve
Pour @babybeeelle j’espère vraiment que ça va te plaire 😌💜
numéro 5 « personne ne va vous faire de mal ».
Agatha x Reader
Reader avait décidé de suivre Agatha sur la route des sorcières, une décision qui l'emplissait d'une étrange excitation mêlée d'appréhension. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait accepté, mais au fond d'elle, une flamme d'amour secret pour Agatha brûlait doucement, la poussant à avancer sur ce chemin mystérieux. La route, sinueuse et parsemée de pierres scintillantes, semblait vibrer d'une magie ancienne, chaque pas résonnant avec les murmures des sorcières passées.
Arrivée au centre d'un pentacle dessiné avec soin, Reader s'assit, le cœur battant. Les symboles gravés dans le sol brillaient faiblement, illuminés par une lueur spectrale qui émanait de l'air lui-même. Elle pouvait sentir l'énergie de l'épreuve l'entourer, une pression palpable qui l'invitait à plonger dans les profondeurs de son être. Les ardeurs de son passé se mêlaient à l'atmosphère, des souvenirs lointains affluant comme des vagues tumultueuses.
Alors qu'elle fermait les yeux, des images commencèrent à se former dans son esprit, des scènes de bonheur et de douleur. Elle revoyait les moments de sa jeunesse, les rires qui avaient tourné au drame, les promesses brisées. Chaque souvenir était une épine dans son cœur, mais elle savait qu'elle devait les affronter. Reader respirait profondément, cherchant la force dans l'amour qu'elle ressentait pour Agatha, un amour qui lui donnait le courage de se confronter à ses démons.
La voix d'Agatha résonnait dans son esprit, douce et rassurante, l'encourageant à avancer. Reader laissa alors son esprit la guider, et soudain, elle se retrouva au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait entre les arbres majestueux. Les troncs noirs et noueux semblaient murmurer des secrets oubliés, tandis que le parfum de la terre humide et des feuilles fraîches éveillait en elle un sentiment de nostalgie. Ce lieu, elle le connaissait bien, un souvenir qu'elle avait soigneusement enfoui dans les recoins sombres de son esprit.
Elle se revit le jour de sa congrégation, entourée de ses jeunes amies sorcières, toutes vêtues de robes blanches éclatantes, symboles de leur pureté et de leur engagement. Le rituel sacré avait commencé dans une ambiance festive, les chants résonnant harmonieusement sous le ciel d'azur. Les rires et les éclats de voix remplissaient l'air, créant une atmosphère de joie et d'espoir. Reader se sentait invincible, unie à ses amies par le lien sacré de la sorcellerie.
Mais cette joie fut de courte durée. Reader revit le moment où la chef de la congrégation, une figure autoritaire et redoutée, prit la parole. Son ton, d'abord solennel, devint soudainement glaçant. Reader sentit un frisson parcourir son échine alors qu'elle réalisait que quelque chose n'allait pas. L'atmosphère festive se transforma en un cauchemar éveillé lorsque la chef, dans un acte de trahison impensable, commença à tuer les sorcières une par une.
Les cris de ses amies résonnaient dans son esprit, des échos de terreur et de désespoir. Reader revit chaque visage, chaque regard rempli d'incompréhension et de douleur, alors que l'horreur se déroulait devant elle. Elle se tenait là, pétrifiée, incapable de réagir, observant ses amies tomber, une à une, comme des feuilles emportées par le vent d'automne. Le sang coulait, teintant la terre d'une couleur rouge sombre, et le chant joyeux se transforma en un cri de désespoir.
Reader sentit son cœur se serrer, une douleur aiguë l'envahissant alors qu'elle revivait cette scène tragique. Elle savait qu'elle devait faire face à ce souvenir, affronter la culpabilité qui l'avait rongée depuis ce jour fatidique. La forêt, bien que magnifique, était devenue le théâtre de sa plus grande peur, et elle savait qu'elle ne pourrait avancer tant qu'elle n'aurait pas confronté cette part sombre de son passé.
Reader se tenait là, confrontée à une scène de son passé, les souvenirs s'entrelaçant comme des fils d'une toile complexe. Les images floues de moments douloureux s'affichaient devant elle, chaque visage, chaque voix résonnant dans son esprit. Elle pouvait presque sentir la chaleur des larmes qui coulaient sur ses joues, mais c'était à ce moment précis qu'une compréhension profonde l'envahit : rien de tout cela n'était de sa faute. Cette révélation, comme un éclair de lumière dans l'obscurité, lui apporta une forme de libération.
Cependant, cette prise de conscience ne venait pas sans un coût. À mesure qu'elle revenait à elle-même, une vague d'angoisse l'envahit. Son corps commença à trembler, les muscles se contractant sous la pression de ses émotions. Sa respiration devint rapide et saccadée, chaque inhalation semblant plus difficile que la précédente. Elle se tenait là, perdue dans un tourbillon de sensations, la peur et la tristesse s'entremêlant dans son cœur. Reader ferma les yeux un instant, essayant de retrouver son calme, mais les souvenirs continuaient de l'assaillir, comme une tempête qui ne voulait pas se calmer.
Agatha s'approcha lentement, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle voyait la femme qui faisait battre secrètement son cœur dans un état de vulnérabilité. Les larmes brillaient dans les yeux de Reader, et Agatha ne pouvait plus résister. Elle la prit immédiatement dans ses bras, la serrant contre elle avec une tendresse désespérée. 
"Personne ne va te faire de mal..." murmura-t-elle doucement, sa voix un mélange de douceur et de détermination. 
Reader ferma les yeux, cherchant du réconfort dans l'étreinte chaleureuse d'Agatha, essayant de calmer le tumulte qui régnait en elle. Agatha, sentant la tension dans le corps de Reader, la serra encore plus fort, comme si elle pouvait absorber toute la douleur de son amante. 
"Je ne laisserai personne te faire du mal, je te le promets," chuchota-t-elle à nouveau, sa voix un doux murmure qui flottait dans l'air. "Tout va bien, chérie."
 Ces mots résonnaient comme une promesse sacrée, un serment fait dans l'intimité de leur étreinte, alors qu'Agatha savait que rien ne serait jamais assez fort pour briser le lien qui les unissait.
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swedesinstockholm · 22 days ago
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22 octobre
cet été je m'en voulais de m'impliquer beaucoup plus dans mon journal que dans mon livre parce que je sentais qu'il allait nulle part mais depuis que j'ai commencé à mettre le journal en forme/poésie j'ai l'impression d'aller quelque part et la leçon à en tirer c'est qu'il faut suivre ses désirs. je fais aussi beaucoup de photos que je poste dans mes stories instagram tous les jours parce que ça m'aide à me motiver à sortir. faire des photos pour avoir des preuves de tout ce que je fais et de tout ce que je vois parce que je vois beaucoup de choses comparé à la maison. aujourd'hui j'ai passé trois quarts d'heure dans une librairie d'art à feuilleter un gros livre de photos d'un photographe qui s'appelle tino zimmermann. il a documenté sa dépression, ses journées enfermées dans sa chambre, ce qu'il fait sur son ordi, ses recherches google, y a des scans de paquets de tortellinis, des scans de ses pochettes de photos développées en magasin, ses essais de camera obscura etc. y a de très belles photos et des photos un peu chiantes, ça m'a tellement happée que j'ai regardé tout le livre, les 500 pages, dès que quelqu'un documente sa dépression ça m'intéresse, sous quelque forme que ce soit, même si c'est chiant, parce que c'est chiant la dépression, il se passe rien, c'est très monotone, mais ça m'intéresse.
j'ai pas l'impression d'être déprimée en ce moment. j'ai la flemme de sortir mais je sors et je prends du plaisir à mes sorties. je suis retournée à potsdam pour voir l'orangerie, je me suis promenée sous une rangée de grands arbres oranges et jaunes qui perdaient leurs feuilles, j'étais toute seule et je chantais et tout était magnifique, j'ai vu des fleurs qui ressemblaient à des clitoris roses et oranges, des vignes, un très beau cimetière niché entre la forêt et une prairie avec des allées recouvertes d'herbe très verte et très moelleuse qui ressemblait à de la moquette, c'était des couloirs de moquette, c'était un cimetière-hôtel de luxe. et puis google maps m'a joué un tour en me laissant plantée dans l'herbe au bord d'une route  bouchonnée à chercher des fausses ruines antiques qui étaient censées être là devant moi mais y avait rien à part la route. je me suis dit que peut être qu'elles existaient plus et que google maps s'était perdu dans le temps, mais j'ai fini par les trouver au sommet d'une colline cachées par les arbres, trois fausses colonnes grecques dont une nonchalamment inclinée contre les autres et une espèce de mini demi colisée avec une tour.
24 octobre
j'ai rêvé d'une maison qui partait en lambeaux. on venait de la refaire mais au bout de quelques semaines tout était déjà déglingué, mon armoire se désintégrait comme la petite table carrée ikea que j'avais dans ma première chambre de bonne, je disais mais pourquoi on a pas gardé nos vieux meubles? un des piliers du grand escalier blanc était en train de tomber et y avait de la poussière partout, quand les ouvriers sont arrivés je leur ai dit de revenir plus tard parce que je devais faire le ménage d'abord. et puis je me suis levée et ma fenêtre était recouverte de buée, première fois que ça arrive. je me suis dit que si je restais dans cet appartement plus longtemps j'allais attraper des moisissures et mon corps allait se désintégrer comme la maison de mon rêve. c'est pas étonnant que tout le monde soit tout le temps malade dans cette ville.
le garçon assis à côté de moi à la lecture de lisette lombé hier soir a du sortir pour aller tousser toutes ses tripes sur le trottoir et la femme de l'autre côté de moi toussait dans l'encolure de son pull. lisette lombé est poète nationale de la belgique et l'ambassadeur belge était en pâmoison devant elle, il arrêtait pas de hocher la tête et de faire des petites approbations orales quand elle lisait et quand elle parlait, surtout quand elle parlait de racisme. je me demandais ce qu'elle pensait de lui. elle lisait ses poèmes en tandem avec sa traductrice allemande et j'aimais bien voir comme ça à l'oral comment elle avait fait pour transposer ses poèmes, le son que ça faisait dans une autre langue, j'aimais bien le son de la langue allemande dans sa bouche, ça avait quelque chose de goûtu, goûteux? je sais pas pourquoi je relie toujours l'allemand à la bouffe.
avant la lecture je suis allée me promener sur la presqu'île de stralau avec j. on voulait voir le coucher du soleil mais il était caché par la ville, alors on s'est contentés de la lumière dorée sur les arbres jaunes. je me demandais si préférais le bleu et le vert ou le bleu et le jaune, le bleu et le jaune ayant un côté show off spectaculaire et éphémère, alors que le bleu et le vert c'est plus intemporel. mais c'est pas vrai les arbres ne restent pas verts tout le temps, à part les sapins, peut être que c'est pour ça que je les aime autant, pour leur constance. c'était agréable de pas me promener seule. j'aime discuter avec j. je me sens à l'aise avec lui. je lui ai montré mon cimetière mais il était moins sous le charme que moi.
aujourd'hui j'ai fait une excursion du côté de krumme lanke, je me suis promenée à travers la waldsiedlung zehlendorf, un grand ensemble de bâtiments bauhaus à moitiés enfoncés dans une magnifique forêt de pins. j'ai appris en rentrant qu'ils avaient été construits pour les ss dans les années 30. y avait aussi des maisons individuelles à toit pointu avec des volets en bois verts sapin et bordeaux entourées de jardins avec des petites clôtures en bois tout droit sorties de mes fantasmes. c'est là que je suis censée habiter, pas dans ce taudis. j'ai marché jusqu'au bout des habitations puis jusqu'au bout de la forêt et je suis arrivée au lac. j'étais pas seule donc j'avais pas peur. j'ai vu une femme qui se baignait, une fille assise au bord de l'eau en tailleur avec les yeux fermés au soleil et deux cormorans qui faisaient de la plongée. j'ai regardé les pins qui craquaient au dessus de ma tête jusqu'à ce que j'aie mal à la nuque. ils se balançaient légèrement alors qu'y avait pas de vent. y avait un pivert qui tapait sur un pin, ça faisait des bruits de travaux. je suis restée plantée au milieu du trottoir à le regarder, la folle qui n'a rien d'autre à faire de ses journées que d'écouter les pins craquer et les piverts taper. j'étais dans une rue à la lisière de la forêt et un vieil homme est sorti d'une maison en criant laura! laura du hast was vergessen! alors que laura était déjà à sa voiture, et j'ai brièvement entr'aperçu ma vie alternative allemande où mon père n'est pas mort et où on a jamais quitté l'allemagne et maintenant je suis adulte et j'ai une vraie vie et une voiture et mes parents habitent dans une maison blanche en lisière du grunewald et quand on regarde par la fenêtre on voit les bouleaux se mélanger avec les pins de la forêt. si je voyais des pins se mélanger avec des bouleaux depuis ma fenêtre je la quitterais jamais et je passerais mes journées à les regarder vivre jusqu'à ce qu'ils me disent d'aller vivre ma propre vie comme les arbres de la forêt à la maison un jour de 2018.
dans ma vie alternative germanique ma tête est mieux vissée sur mon corps et je fais des choses comme aller me baigner nue en hiver dans le lac de krumme lanke et manger à ma faim. je sais pas pourquoi j'arrive pas à manger quand je suis dehors. pourquoi c'est si dur de m'acheter quelque chose à manger, même une pâtisserie sur un petit marché comme celui qu'y avait devant la station de la u bahn. c'est pas qu'une histoire de ressources financières limitées parce que quand j'étais à amsterdam j'avais de l'argent et je me rappelle très distinctement d'une après-midi passée à me promener à travers la ville avec un bagel au cream cheese dans mon sac sans réussir à le manger. j'ai attendu d'être rentrée chez moi pour le dévorer sur le balcon de ma chambre universitaire, au bord de l'évanouissement. peut être que je devrais en parler à ma future psy. donc j'ai repris la u bahn sans manger et je suis allée me promener à la ferme pédagogique de dahlem. je regardais les corbeaux et je me demandais s'ils mangeaient à leur faim. ça sentait le cheval c'était bien, j'ai vu des belles rangées de choux et une femme qui lisait un livre sur un banc au soleil à côté des choux. j'ai aussi vu une autre femme assise par terre au pied d'un arbre qui se tenait la tête en tripotant les racines comme si elle devait résoudre un puzzle compliqué. enfin je sais pas ce qu'elle tripotait, j'ai pas osé regarder de trop près. dans la u bahn je regardais deux hommes âgés mais pas trop qui me donnaient envie d'être un homme âgé mais pas trop et j'avais l'impression d'avoir une araignée sur le nez.
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