#fermer à clé
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canonming · 1 year ago
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INVITATION A L,EXPERTISE C,EST QUI
#MERCREDI 17_01_2024 vers 21H une clé casse dans une porte de chambre#JEUDI 18_01_2024 achat d#un mécanisme de porte.Pose à 10 H. 2 vis préçieusement déposés au sol disparaisses.#Le montage est impossible.18H Bricolage du barillet.La porte est vérouillée#le barillet tombe sur le sol#la piéce est inutilisable.#A cet instant le bonnet de sport gris Decatlon consigné le Mercredi n17_01_2024 vers 13H4O#REAPPARAIT ;il est e nvirons 19H40 .UN ADDITIF DE L#ANGOISSE.VENDREDI 19_01_2024 _8H48 achat d#un nouveau mécanisme de sport et d#un nouveau barillet pour tenter d#ouvrir#ancien#mécanisme de porte en position fermer#unique clé du nnouveau mécanisme est édentée#Il ne reste plus que la tige.La porte n#était pas en position vérouiller .14H50 la clé du nouveau mécanisme installé à 9H15 REAPPARAIT de la même maniére que le bonnet de sport gri#Pourtant l#inspection de la poche contenant les différents éléments du mécanisme fut précédemment effectuer avec précaution.La question qui se pose#est la suivante.QUI est l#auteur de ces KINESIES Mercredi 17_01_2024 une lotion  dans un récipient en verre tombe au sol et se brise vers 7H. Deus vis de poignée#précieusement déposés au sol disparaisses.Elles sont introuvables.nous sommes JEUDI  18_01_2024  ves 10 H#vendredi 19_01_2024 9H15 le double de la clé du nouveau mécanisme est introuvablde.Pourtant l#inventaire fut effectuer#précédemment.#.Il ne faut pas confondre étourderie et phénomène obscur#.Dante doute Dominique pourrait s#orientait dans une forme de conspiration visant à obtenir une   expertise ..........#ooo
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leschosesetlesfantomes · 1 month ago
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des mots que j’aime des mots qui évoquent ma vie des mots qui étaient moi et qui m’ont été enlevés parce que je n’étais pas assez confiante pour oser fermer la porte à clé
des mots qui ont comme le petit prince profité d’un vol d’oiseaux sauvages pour s’échapper abandonnant derrière une rose précieuse et éphémère
les oiseaux sauvages avaient l’air bien plus intéressants qu’une vie plantée là dans la terre à essayer de faire racine si lentement dans un monde qui tournait si vite
je voulais prouver que je pouvais être le plus beau des oiseaux
alors j’ai volé j’ai été sauvage belle et intense j’ai visité toutes les planètes frotté mon cœur à tous les vivants j’ai appris et j’ai vécu
et puis j’ai brûlé petit tas de cendres je n’ai plus bougé d’un cil ni vol plané ni sauvageries pendant des mois immobile
n’est pas oiseau qui veut
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iranondeaira · 3 months ago
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Les “Je t'adore” et les “Je t'aime” sont superficiels, ils ne valent rien du tout.
Ce qui compte, c'est le temps, c'est les souvenirs. C'est toutes les emmerdes, tous les sourires, toutes les engueulades, tous les rires. Tous les moments à ne rien faire, toutes les soirées, toutes les larmes, toutes les conneries, tous les jeux, toutes les blagues pourries, toutes les vacheries, toutes les réussites, tous les succès, toutes les chutes, tous les échecs, tous les gribouillages, toutes les photos, toutes les musiques, tous les films, tous les mauvais choix, toutes les rencontres, tous les délires, tout le temps perdu et tout le temps gagné, toutes les étreintes, toutes les entraides, tous les moments où l'on s'est perdu, et tous ceux où on s'est retrouvé.
Tout ce bric à brac, c'est ça qui compte.
Garder toutes ces images, toutes ces odeurs, dans une petite boîte à souvenir qui s'appelle la mémoire. Les garder bien précieusement, et tout fermer à clé. Car c'est tout ce qui nous tient debout, pour toujours…
Auteur inconnu…
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jeanspire · 1 month ago
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Mon petit astronaute
La fusée ressemble à une tour haricot magique qui touche les nuages, sa base est d’un noir anthracite métallisé, le reste des deux autres tiers sont d’un blanc éblouissant, reflétant le bleu du ciel et le coton des nuages. Elle se tient là, immobile, dans l’attente du fameux décompte transpirant. Les petits hommes s’affairent à ses pieds en la baisant d’ingénieries et de mathématiques complexes, on marche devant les gigantesques réacteurs, on crie sur le chantier de construction.
- Plus que deux jours avant le lancement, dépêchez-vous de souder les dernières plaquettes. -
Le vaisseau pointe vers les cieux, triste de savoir qu’il va partir en petits morceaux pour des petits hommes à la conquête de l’infini. Bientôt le pantin au casque globuleux et à la combinaison matelassée touchera presque tous les petits points lumineux qui brillent dans la nuit noire, bientôt le vent ne fera plus voler ses cheveux vers l’arrière, bientôt il sera le cheveu dans le vide galactique, seul dans sa petite capsule respirant l’odeur de l’espace et du bacon.
Son entrainement était sans faille, la turbine ne lui faisait même plus d’effet, son endurance avait atteint des niveaux “surpantins”, sa boite crânienne complètement saturée de formules, statistiques et rêves. Il est prêt comme jamais, comme la dernière fois sauf qu’ici, ça sera la dernière fois.
Ses portes-mines sont chargés, il a aussi pris des mines de recharges: “On ne sait jamais, il faudra peut-être faire exploser des chars aliens sur la planète XPL-zion ou apprendre leur langue.”
Le D-Day est vite arrivé, la société voulait dire les au revoir à notre petit héros emmitouflé. Conférences de presse, questions-réponses, baisers d’adieu, photos, flashs… Superstar hollywoodienne couverte d’une visière qui reflète le ciel à l’image de son vaisseau.
Trois heures du matin, l’alarme s’enclenche, une main s’effondre dessus pour l’éteindre, il faut se lever tôt pour être un astronaute. Notre pantin enfile ses pantoufles en daim, marche dans le corridor de sa petite maison en bois et fait chauffer son dernier café terrien dans une cafetière style “Moka”.
- Un bon café italien - pense-t-il, - avant les cafés martiens. -
Deux œufs, un avocat, deux toasts au beurre salé, deux tranches de jambon bio et un peu de Sriracha pour ne pas que ça soit trop sec. Il avale son déjeuner doucement, profitant de chaque  bouchée car elles seront les vraies dernières. L’excitation du grand départ ne facilite en rien l’ingestion des derniers œufs hydratés mais il faut quand même des forces avant le grand départ.
Une douche froide et trois bâillements plus tard, voici arrivé le moment fatidique: quoi se mettre pour le grand jour? Ses mains balayent les ceintures à la vitesse d’une comète en dérive dans l’espace.
- Pas ça, mmh… Non, non, pas ceci… -
Le choix est difficile et requiert une attention astrale… Jusqu’à l’eurêka vestimentaire: un costume Tom Ford noir profond, si profond que le moindre pli se confond, trou de ver. Marchant avec une fière allure, il sortit de chez lui sans fermer la porte à clé comme si le voyage n’allait durer que 23 secondes, et pourquoi pas ? Les arbres défilaient à toute vitesse sur l’autoroute, il faisait chaud dehors et froid dedans comme il le fera dans la fusée.
Notre ami rentre dans la station, l’ambiance est studieuse et sérieuse. Pas d’agitation avant le grand bond vers l’au-delà, peur de perturber les neurones qui s’entrechoquent pour la grande réussite de la mission à travers les astres. Son défilé bien fringué dans les couloirs est long et émouvant, des souvenirs surgissent devant ses yeux sans aucun contrôle: sa petite maison en bois, sa cafetière, ses bancs d’école d’astronaute, sa penderie pleine de costumes, sa voiture vintage… Quelle vie… Pourquoi vouloir la quitter pour toujours? La réponse se trouvera peut-être dans le noir de l’espace.
Sa combinaison l’attend, elle a été customisée pour l’occasion, blanche éblouissante, écusson de la station brodé avec du fil ciré, coupe cintrée. Morceau par morceau, il enfile sa combinaison, considérant presque son trois pièces comme sous-vêtement. Le confort est palpable, l’excitation aussi.
Une grande porte s’ouvre à ses pieds, quelques pas pour descendre l’échelle, évitement d’une barre pour ne pas se cogner la tête, dernière salutation aux ingénieurs et fermeture du sas. Il est prêt, la tête à 90° face au ciel bleu étincelant et sa concentration au maximum. Allumage des réacteurs, décompte: 6… 5… 4… 3… 2… 1… décollage…
Ses mains semblent rentrer dans les accoudoirs et ses cheveux sont complètement tirés vers l’arrière, rien n’échappe à l’accélération de pesanteur. Jusqu’au moment venu, son corps flotte, il le sent, sa tête lui paraît s’envoler dans les airs, la terre semble déjà être un lointain souvenir. Nous y voilà, dans l’espace, prêts à le conquérir avec notre poussière de navette spatiale. Un son blanc résonne dans ses oreilles, suivi d’une voix enthousiaste:
- Wouhou! Bravo! Tu l’as fait, tu y es, nous perdrons la communication radio dans quelques jours. Dans ce cas, ne prenons pas de risques et dis-nous ce que tu as sur le cœur. -
Sa pensée est claire, nette, précise. Il ne faut pas trop réfléchir et dire ce que l’on a sur le cœur. Une profonde inspiration, un battement de cils:
- Au revoir… Et à bientôt, dans une autre galaxie d’étoiles. -
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marie-swriting · 10 months ago
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Pour La Toute Première Fois - Emily Prentiss
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Résumé : Emily a toujours pensé qu'elle finirait sa vie avec un homme, cependant c'est une femme qui fait battre son cœur plus rapidement.
Warnings : se passe pendant la saison 16 (pas de spoiler), consommation d'alcool (consommer l'alcool avec modération!), questionnement de sa sexualité, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : 10x better par Marielle Kraft
Emily Prentiss est plongée dans ces dossiers sur l’enquête de Sicarius. Elle relit chaque information, à la recherche d’un détail qui leur aurait échappé, en vain. Elle passe une main dans ses cheveux gris tout en soupirant. Elle regarde pour la énième fois la première page du dossier quand tu viens l’interrompre dans sa lecture.
-Excusez-moi, j’ai attendu la toute dernière minute, mais je vais fermer maintenant donc j’ai besoin que vous partiez.
-Oh mon Dieu, désolée ! s’excuse Emily tout en regardant sa montre. Je n’ai pas vu l’heure passée. Vous auriez pu me le dire avant, j’aurais compris.
-Ne vous inquiétez pas, j’avais tout le ménage à faire derrière et je voyais bien que vous étiez occupée, la rassures-tu avec un sourire cordial.
-C’est le moins qu’on puisse dire, mais ce n’est pas une excuse. Je ferai plus attention la prochaine fois.
-Vous travaillez sur un dossier important ? demandes-tu alors qu’elle range ses affaires dans son sac.
-On peut dire ça, oui.
-Qu’est-ce que vous faites ? Si ce n’est pas indiscret. 
-Je suis du FBI, au Département des Sciences du Compartiment, plus précisément, t’informe-t-elle en se levant de la table. 
-Je comprends mieux pourquoi vous vous arrachez vos cheveux alors, rigoles-tu. 
-Le stress fait partie du job.
-Pas au point de perdre vos beaux cheveux quand même, j’espère. Enfin, peut-être que je vais finir par faire pareil, ce job me prend toute mon énergie, même si ce n’est clairement pas au même niveau, je n’ai pas peur des grains de café. 
-Vous travaillez ici depuis longtemps ? questionne Emily.
-L’ouverture. Je suis la propriétaire. J’étais dans l’assurance avant et du jour au lendemain, j’ai tout plaqué pour ouvrir ce café dont je rêvais depuis des années.
-C’était un bon changement. J’aime beaucoup cet endroit, complimente-t-elle sincèrement et ça te met du baume au cœur.
-Merci. 
-Je vais vous laisser. Je voudrais pas plus vous retarder. Encore désolée.
-Pas de souci. 
Tu commences à prendre la tasse et la petite assiette lorsque la cloche de la porte d’entrée sonne. Tu attends que la porte se referme quand la voix d’Emily résonne une dernière fois dans le café. 
-Au fait, je m’appelle Emily.
-Y/N. Revenez quand vous voulez.
Emily te fait un dernier sourire avant de quitter le café. Tu la regardes partir à travers la fenêtre avant de fermer la porte principale à clé et de finir ton ménage. 
Après ce soir-là, tu n’as plus revu Emily pendant plusieurs semaines. Tu as continué ta vie habituelle, mais tu ne peux nier que tu aurais aimé la revoir. Emily a réussi à te marquer avec une seule conversation. Par conséquent, quand tu finis par la revoir installée à une table, tu ne peux empêcher le sourire sur ton visage. Emily a au moins trois dossiers étalés devant elle et un stylo dans la main droite. Comme la dernière fois, elle parcourt les différentes pages, un air désespéré sur le visage. Tu sers un autre client avant de venir vers elle.
-Il semblerait que vous ayez besoin d’un autre café, annonces-tu, la faisant relever la tête vers toi.
-J’ai besoin de bien plus que ça.
-Vous avancez ?
-Tout doucement. Trop doucement pour certaines personnes, souffle Emily en se massant la nuque.
-Je suis sûre que vous trouverez les indices nécessaires, dis-tu avec douceur et en posant ta main sur ton épaule, faisant battre son cœur plus vite. Je vous amène ce café tout de suite.
Emily ne bouge pas jusqu’à ce que tu reviennes, encore sous le choc de ton contact physique. Quand tu reviens, tu lui donnes sa nouvelle tasse de café ainsi qu’une petite assiette avec un donut au chocolat.
-Je me suis dit que vous auriez besoin de sucre. C’est offert par la maison.
-Ce n’était pas nécessaire.
-Ça me fait plaisir. 
Avant que tu puisses ajouter quelque chose, tu entends une de tes employés t’appeler. Tu souris à Emily puis, tu vas voir ton employée. 
Comme la dernière fois, tous les clients sont partis à l’exception d’Emily. Et comme la dernière fois, tu la laisses tranquille pendant que tu fais presque tout le ménage. Quand tu viens vers elle, Emily entend tes pas et relève la tête avant que tu puisses parler. Elle regarde sa montre et soupire.
-Je n’ai pas vu l’heure passer. Encore. Désolée.
-Oh, ne vous inquiétez pas, souris-tu en prenant la vaisselle sur sa table. 
-Vous avez besoin d’aide ? demande Emily. C’est le moins que je puisse faire pour vous remercier de votre patience et du donut, il était très bon, d’ailleurs. 
-Merci et je n’ai plus qu’à nettoyer votre table et le sol de la salle et j’ai fini donc pas besoin. 
-J’insiste. Et puis, ça me sortira de tous ces dossiers. 
-Comme vous voulez. 
Emily se saisit du balais alors que tu essuies sa table. 
-Ça vous arrive souvent de finir tard ? finis-tu par demander, interrompant Emily dans sa tâche.
-Plus que je ne le voudrais, mais c’est pour la bonne cause. 
-Et ce n’est pas trop compliqué avec votre vie personnelle ? Enfin, j’imagine que vous devez avoir une grande charge de travail et que vous devez voyager souvent.
-Ça peut être compliqué. Mon dernier ex était agent du FBI également et même si ça aidait pour comprendre à quel point on pouvait être occupés, le fait est qu’on a fini par se séparer. Il était gentil, mais ça ne fonctionnait pas vraiment. C’est un peu compliqué d’avoir une relation durable quand il y a la distance. 
En comprenant que la dernière relation d’Emily était avec un homme, tu te sens bête d’avoir pensé que tu aurais pu avoir une petite chance avec elle. Cependant, tu te rappelles vite qu’elle peut être tout aussi bien attirée par les hommes que par les femmes. Toutefois, tu dois bien garder en tête que potentiellement, tu as zéro chance avec elle.
-Je peux comprendre, mais pour ma part, avec mon ex, ça marchait plutôt bien. Si on s’est séparés, c’est plus parce que notre relation avait fait son temps plutôt qu’à cause de la distance. Je pense qu’avec la bonne personne et les efforts suffisants, ça peut marcher, avoues-tu sincèrement.
-Il travaillait dans quoi ?
-Elle était hôtesse de l’air.
En t’entendant corriger le pronom, Emily est gênée, mais une partie d’elle est aussi… rassurée ? Elle n’est pas sûre de comprendre. 
-Oh, pardon, je n’aurais pas dû partir du principe que…
-Ce n’est pas grave, rassures-tu.
-Vous avez retrouvé quelqu’un depuis ? 
-Non, je n’ai plus personne dans ma vie depuis un an alors, vous pouvez me faire terminer tard sans aucun problème, rigoles-tu. 
-Je me sens moins coupable.
Vous continuez à nettoyer le reste du café tout en continuant à faire connaissance. Rapidement, vous rigolez ensemble. Emily est tout de suite fascinée par ta personne. Elle n’avait jamais ressenti une connexion à une autre personne aussi vite. Elle ne cesse de te poser des questions, voulant en apprendre autant que possible sur toi. Quand le café est complètement propre, Emily est déçue. Elle aurait aimé que ce moment continue. 
-C’était bien de parler. On devrait faire ça plus souvent. 
-Oui, on devrait. 
-Peut-être en dehors du café. Qu’est-ce que vous en dites ?
À ta phrase, Emily ne sait plus fonctionner normalement. Es-tu en train de flirter avec elle ? Elle n’arrive pas à deviner, mais elle est sûre d’une chose : ça ne la dérange pas si c’est le cas. Tu lui donnes ton numéro de téléphone, la salues puis, tu pars vers ta voiture alors qu’Emily te regarde partir, un million d’émotions traversant son corps. 
Au fil des semaines, vous vous êtes revues plusieurs fois. Tout d’abord, en public, dans un parc, au cinéma, au restaurant puis, un soir, tu lui as proposé de finir la soirée chez toi et vous avez discuté jusqu’à tard dans la nuit. 
Emily se languit de ces moments passés avec toi. Elle veut toujours être en ta présence, écouter ta voix, te faire rire. Elle ne comprend pas totalement ce qui lui arrive. Au début, elle pensait avoir trouvé une amitié unique, mais plus elle y réfléchit, plus elle se dit que ses sentiments ne sont pas totalement platoniques. Toutefois, à cause de son travail, elle n’a pas le temps de se questionner, alors elle se contente juste de jongler entre sa vie professionnelle et personnelle. 
Tu finis par inviter Emily chez toi pour un repas. Emily est nerveuse, mais elle a hâte de te retrouver, surtout après la journée stressante qu’elle a eue. Elle veut se détendre et elle sait qu’avec toi, elle y arrive à chaque fois. 
Alors que tu finis de préparer la sauce, Emily frappe à la porte. Tu lui ouvres et l’invites chez toi. Tout de suite, Emily hume l’odeur émanant de ta cuisine.
-Oh mon Dieu, ça sent drôlement bon, complimente-t-elle, l’eau à la bouche. 
-Merci ! C’est la recette que j’ai apprise à mon dernier cours de cuisine. J’espère que tu as faim.
-Maintenant plus que jamais ! 
Tu fais un grand sourire à Emily avant de la traîner dans la cuisine. Afin de lui ouvrir un peu plus l’appétit, tu lui fais goûter la sauce et Emily se dit qu’elle n’a jamais mangé quelque chose d’aussi bon. Ta cuisine peut rivaliser celle de Rossi, bien qu’elle ne lui dirait jamais. 
Après avoir mangé votre repas, le ventre d’Emily est parfaitement rempli. Vous finissez votre soirée sur ton canapé, un verre de vin rouge à la main. Emily te parle un peu plus de son boulot et de son équipe. Elle te raconte plusieurs anecdotes et tu te dis que tu aimerais les rencontrer. Ils ont l’air d’être importants pour elle, d’être sa famille. Pendant qu’Emily parle, tu l’admires avec tendresse alors que vos deux corps se rapprochent de plus en plus sans que vous vous en rendiez compte.
En relevant la tête, Emily voit à quel point vos deux visages sont proches. Malgré elle, ses yeux dérivent sur tes lèvres. Tu le remarques et souris avant de te rapprocher tout doucement. Emily ne recule pas. Bien au contraire, elle se penche légèrement, ne laissant plus que quelques millimètres entre vos lèvres. Tu es sur le point de poser tes lèvres quand une sonnerie de téléphone retentit. Rapidement, Emily s’éloigne et sort son portable où elle trouve un nouveau message lui indiquant qu’à la première heure le lendemain, elle a une réunion importante faite par la Madame Davis, la procureure générale. 
-Rien de grave ? questionnes-tu, les sourcils froncés. 
-Non, juste des informations pour une réunion demain matin. 
Un blanc règne entre vous deux. Cette interruption soudaine vous a ramené sur terre et vous ne savez pas si vous devez agir comme si de rien était ou essayer de vous rapprocher à nouveau. Embarrassée, tu t’éclaircis la gorge avant de répondre : 
-Tu devrais y aller, alors. J’ai l’impression que tu ne dors pas beaucoup et je ne voudrais pas être la raison pour laquelle tu t’endors en plein travail. 
-Tu as raison. Je vais y aller, concède Emily en se levant de ton canapé. J’ai passé un excellent moment ce soir. On devrait refaire ça, mais chez moi cette fois. Je ne te promets pas un repas digne du tiens, par contre.
-Tant que c’est fait avec amour. 
En entendant ton dernier mot, Emily ne sait pas quoi ajouter. Elle se demande si ta phrase était innocente ou si tu sous-entendais quelque chose. Elle qui est une profiler hors-pair, tu arrives à lui faire perdre ses moyens. Par conséquent, elle te salue tout simplement avant de quitter ton appartement. 
Sur le chemin jusqu’à chez elle, Emily ne peut s’empêcher de repenser à votre soirée et au moment où vous avez failli vous embrasser. Si son téléphone n’avait pas sonné, elle aurait en tête un moment encore plus délicieux que ton repas. Avant ce soir, elle n’avait pas réalisé à quel point elle désirait tes lèvres. Au fur et à mesure de ses pensées, elle finit par imaginer un futur avec toi où vous seriez ensemble et pour la première fois de sa vie, elle n’est pas réticente. Elle se réjouit même de certains moments insignifiants alors que dans ces anciennes relations, elle savait toujours qu’elle se lasserait vite, mais pas avec toi. C’est différent. Ce qu’elle ressent pour toi, bien qu’elle ne comprend pas totalement, semble déjà plus simple, plus agréable. 
Tu as beau occuper l’esprit d’Emily plus qu’elle n’aurait jamais pensé, le fait est qu’elle a une enquête à résoudre. En effet, quand Emily est au bureau, elle arrive à rester professionnelle. Parfois, tu trouves ton chemin dans sa tête, mais Emily ne se laisse pas distraire. Cependant, ses pensées te concernant deviennent de plus en plus importantes et Emily a l’impression qu’elle va finir par exploser. Elle a besoin d’en parler à quelqu’un, même si c’est la dernière chose qu’elle veut faire. 
C’est la fin de journée quand quelqu’un frappe à la porte du bureau d’Emily, la tirant de ses pensées. Elle autorise la personne à entrer et Tara fait son apparition. 
-J’y vais, je voulais te saluer avant de partir.
À sa phrase, Emily regarde sa montre et découvre qu’il est presque vingt heures. Elle soupire avant de relever la tête vers sa collègue.
-Tara, je pourrais te parler avant que tu partes.
-Bien sûr. C’est par rapport à Sicarius ? veut savoir Tara en s’asseyant devant Emily. 
-Non, c’est… personnel. Rebecca est la première femme avec qui tu sors, n’est-ce pas ? Avant, tu n’étais sortie qu’avec des hommes.
-Oui, c’est ça. Pourquoi ?
Tara regarde Emily, perdue alors qu’Emily cherche ses mots avec précision. Jamais Tara n’avait vu Emily dans cet état. 
-Comment t’as compris que tu voulais plus avec Rebecca alors que…
-Avant, je n’avais jamais été attirée par des femmes ? finit-elle avec un sourire, comprenant où cette discussion va aller. Déjà, en y réfléchissant, je me suis rendue compte que j’avais été attirée par plus de femmes que je ne le pensais. Pour Rebecca, c’était juste… naturel. On s’est rencontrées lors d’une réunion et tout de suite, on a accroché. Je t’avoue que je n’ai même pas compris ce qui m’arrivait. Tout d’un coup, je me suis retrouvée à vouloir avec elle ce que je voulais avec mes exs, à la différence que cette fois, je suis tombée sur une bonne personne. Pourquoi cette question ? Aurais-tu rencontré quelqu’un ?
-On peut dire ça, admet Emily en détournant le regard. Rien n’est fait, mais je n’avais jamais ressenti ça avant. Tu sais, quand j’étais plus jeune, je faisais tout pour rentrer dans les normes, même si ça voulait dire faire des conneries. Mes relations n’ont jamais vraiment fonctionné au début alors, j’ai fini par créer cette liste de “l’homme parfait” et dès que l’homme que je pensais aimer ne correspondait pas à ces critères, je passais �� autre chose. Les rares fois où ces hommes ont réussi à rentrer dans ces cases, je trouvais toujours un défaut. J’avais toujours l’impression que quelque chose n’allait pas. Je ne savais pas si ça venait d’eux ou de moi, mais ces relations n’ont jamais marché et les hommes semblaient toujours plus attachés à moi que je ne l’étais à eux, confesse Emily en soupirant. Le fait est qu’il y avait toujours un problème, puis je l’ai rencontrée, elle. Comme pour toi et Rebecca, on a accroché tout de suite et tout me semble naturel. Je n’ai pas l’impression de devoir jouer un rôle et plus je pense à elle, plus je réalise qu’elle correspond à ce que j’attends d’une relation, même à des choses auxquelles je n’avais jamais pensé. Mais… je ne sais pas…, dit-elle avec hésitation. Je ne m’étais jamais imaginée avec une femme, mais avec elle, ça ne me dérange pas. Pour la première fois, je vois une relation avec une personne et ça semble… paisible. C’est dix fois mieux que ce que je pensais. Tu vois ce que je veux dire ?
-Je te comprends totalement, confirme Tara avec un grand sourire. Elle t’a vraiment tapé dans l'œil.
-Tu n’as pas idée. Mais je ne sais pas vraiment quoi faire. Je sais qu’elle aime les femmes et je pense que parfois, elle flirte, mais je ne sais pas.
-Tu devrais lui parler. Crois-en mon expérience et tiens moi au courant. 
Emily n’a pas arrêté de repenser à sa conversation avec Tara et elle s’est vite rendue qu’elle avait raison. En y réfléchissant avec plus d’attention, Emily comprend ce qui clochait dans toutes ses relations : elle n’a jamais aimé ces hommes, peu importe ses efforts. Emily a également réalisé qu’avec toi, ses sentiments étaient beaucoup plus réels alors, elle t’a invité chez elle afin que vous puissiez en parler. 
Cependant, quand tu es chez elle, Emily n’arrive pas à amener le sujet. Elle fait tout pour éviter le sujet. Emily a toujours eu du mal à parler de ses émotions, ayant appris à les gérer et après les faits. Toutefois, quand elle voit ton visage s’illuminer alors que tu parles des dernières nouveautés du café, elle n’a qu’une envie et c’est d’agir émotionnellement et de t’embrasser tout de suite. Tu continues à expliquer les nouvelles recettes de pâtisserie que tu veux ajouter quand Emily murmure : 
-J’ai tellement envie de t’embrasser.
-Quoi ? t’exclames-tu, les sourcils froncés et une pointe d’espoir.
-Euh… Désolé, c’est pas ce que je voulais dire, s’excuse Emily, rougissant. 
-Oh… d’accord,  dis-tu avant de marquer une pause et de te rapprocher d’elle. Si ça peut te rassurer, je n’aurais pas été contre. Je meurs d’envie de t’embrasser depuis des mois. 
-Qu’est-ce qui t’a retenu ?
-Je n’étais pas sûre que tu sois attirée par les femmes. 
-Je n’en étais pas sûre non plus puis, je t’ai rencontrée et tout est devenu plus clair, avoue Emily en te regardant droit dans les yeux. Depuis que je suis petite, j’ai toujours senti que j’étais différente, mais je n’avais jamais compris pourquoi. En te rencontrant, tout est devenu parfaitement clair. Je suis lesbienne et, oh mon Dieu, ça fait du bien de le dire à voix haute ! s’écrie-t-elle, joyeuse et tu la regardes amoureusement. Jamais je n’aurais pensé être à ce point à l’aise avec qui je suis.
-Je te comprends. Réaliser qui on est n’est jamais facile, encore moins quand on le réalise à notre âge, mais c’est tellement libérateur. Je suis contente que tu aies réussi à t’accepter, déclares-tu en prenant sa main dans la tienne. 
-J’ai encore des interrogations, mais je pense que j’ai fait le plus gros du chemin.
-Et bien, je serais contente de t’accompagner, sauf si tu préfères le faire seule, ce que je comprendrais totalement.
-Tu as oublié la partie où j’ai envie de t’embrasser.
-Je l’ai bien en tête, rigoles-tu, mais je sais aussi que parfois, on peut avoir besoin de se retrouver seule pour déballer tout ça. Tout ça pour dire que je ne t’en voudrais pas si tu ne veux pas d’une relation tout de suite.
-Bien au contraire, pour une fois, tout à l’air facile et je te veux, toi. J’en suis sûre à 100%, je n’ai pas peur de m’engager. 
Déterminée, Emily pose ses mains sur tes joues et te rapproche jusqu’à ce que ses lèvres se posent sur les tiennes. Tu souris en l’embrassant alors que tu passes une main dans ses cheveux gris et une autre trouve son chemin sur sa taille. Alors que vous continuez à vous embrasser, le cœur d’Emily est sur le point de sortir de sa poitrine. Ce baiser est le meilleur qu’elle ait jamais eu. Ce baiser est doux et pourtant dix fois mieux que tous ceux qu’elle a jamais partagés. Elle pourrait t’embrasser jusqu’à manquer d’air et pour la toute première fois de sa vie, Emily sait qu’elle a trouvé la personne pour elle. Finalement, l’idée de l’homme parfait n’existait pas, tout simplement parce que c’était une femme, parce que ça ne pouvait être personne d’autre que toi et tu es encore mieux que ce qu’elle avait pu imaginer.
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ibbiest · 5 months ago
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01.10.24
ma page matinale
"est-il si difficile de donner les clés à Dieu et fermer mes yeux?"
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verver · 5 months ago
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Épisode 3
Quelques jours plus tard, allongé sur le canapé, Ray s'était endormi, ses paupières s'étaient alourdies soudainement.
Quand il se réveilla il faisait déjà nuit.
Dans la salle de bain il s'aspergea le visage d'eau froide, il se lava les dents et se brossa les cheveux.
Ray prit la décision de s'occuper de son repas. Son estomac gargouillait sérieusement.
Il savait qu'il y avait des ailes de poulet dans le frigo, des oignons et un reste de légumes un peu ramollis.
Ray penché sur l'évier éminçait un oignon, des larmes coulaient de ses yeux.
Pendant que le poulet grésillait dans la poêle il y balança les oignons et les légumes. Il se servit un verre de vin qu'il but en surveillant la cuisson.
Son téléphone portable se mit à vibrer dans sa poche, il regarda l'écran c'était son supérieur qui l'appelait, Ray fut surpris c'est la première fois que Santenax téléphonait sur son portable.
Celui-ci lui dit qu'il voulait le voir demain à la première heure dans son bureau puis il raccrocha.
Ray dévorant ses ailes de poulet se posait tout un tas de questions sur cette convocation...
Une compilation de jazz tournait sur la platine , Miles Davis inondait l'appartement de ses sons graves et rythmés, Ray finissait son repas en silence.
Plus tard dans la soirée Ray le visage détendu en apparence dénué de tout soucis , un léger ronflement l'accompagnant, il bavait sur l'oreiller.
Au petit matin dans la cuisine, il se prépara un café bien serré pour être en forme afin d'affronter son supérieur.
Il prêta l'oreille, la radio retransmettait une conférence de presse qui retint toute l'attention de Ray, il s'agissait de la disparition inquiétante d'une jeune femme.
Ray reconnu la voix de son boss , l'assistance face à lui avait l'air plus nombreuse que d'habitude. Santenax commençait très tôt sa conférence de presse , ce n'était pas dans ses habitudes.
Ray alluma sa télé pour voir , la presse locale et nationale était présente, derrière la table autour de Santenax étaient assis le préfet et d'autres fonctionnaires.
Ray comprenait mieux son appel d'hier , il s'agissait d'une disparition qui datait déjà de plusieurs jours. Ce que Ray ne comprenait pas c'est pourquoi Santenax voulait le voir dans son bureau.
Ray arrêta de se prendre la tête en se posant des questions , il verrait bien en arrivant.
Arrive au commissariat Ray se dirigea directement vers le bureau de son supérieur, ilnlui dit bonjour en fermant la porte.
Santenax se lança dans une explication, il lui expliqua que les parents d'Amelie étaient des amis de longue date, qu'ils étaient très inquiet, la jeune femme était majeure mais tout l'entourage unanime disait qu'elle n'avait pas pour habitude de disparaître sans donner de nouvelles.
Santenax avait promis de s'en occuper personnellement, c'est pour cela qu'il lui confiait le soin d'enquêter sur cette disparition. Ray parcourut le bureau du boss d'un regard étonné il dit :
- d'accord chef !
Ray pensa qu'il se foutait dans la merde avec cette enquête, encore une fille de bonne famille qui a fabriqué je ne sais quoi et à qui il est arrivé quelque chose ou pas pour l'instant il allait voir ses collègues Blotin et Ginette pour les mettre au courant.
Santenax lui avait dit que tout les trois suffirait, que si besoin était il viendrait en renfort.
Pour l'instant la procédure consistait à visiter l'appartement d'Amelie et de relever tous les indices qui seraient utiles pour l'enquête. Les mains encombrées de cafés, Blotin entra dans le bureau et fit la distribution, Ginette dit :
- pour aujourd'hui je reste là , je prépare les dossiers et je ferais le lien.
- d'accord répondit Ray
- c'est parti ! gueula Blotin
Amelie habitait une petite résidence cossue, les gens qui habitaient là avaient oublié de fermer les portes à clé, à côté de l'appartement d'Amelie, quelqu'un faisait brailler la télé.
Le grand salon était impeccablement rangé et propre, ça se voyait que rien n'avait été touché depuis un bon moment.
Chaque objet était apparemment à sa place , Ray et Blotin éprouvaient une certaine gêne à fouiller cet appartement. Ce n'était pas comme un appart où avait eu lieu un crime et des bagarres.
Ray se dirigea en silence vers les fenêtres, il y passa un doigt sur le cadre , très peu de poussières.
Les détails se mettaient en place d'eux même, les photos de famille, les plantes vertes, les petits bibelots et un vieux bouquet de fleurs fanées.
Cela confortait Ray qu'elle était absente depuis un bon moment. Ils allaient fouiller les autres pièces dans l'espoir de trouver quelques indices.
Ray et Blotin retournèrent tout les tiroirs, ils fouillèrent tous les recoins toutes les boîtes, ils avaient trouvé un peu d'argent et surtout un carnet d'adresse, quelques bouteilles d'alcool étaient rangées soigneusement dans un placard au dessus de la chaîne hi-fi, table qui comportait un poste de télévision et un lecteur de dvd.
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ascle · 1 year ago
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Vous connaissez le mot, mais au Québec il prend un tout autre sens. Pour éviter de vous retrouvez perplexe, vaut peut-être mieux clarifier certains termes.
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Aujourd’hui: Double sens
Barrer:
Fermer à clé une porte. (« Débarrer » s’utilise aussi pour déverrouiller une porte)
Bas:
chaussettes 🧦
Cabaret:
plateau servant à transporter un repas dans une cantine.
Cartable:
classeur (et le classeur québécois est une armoire à dossiers 🗄️ )
Chaudière:
Seau 🪣
Crosser:
1- duper, arnaquer, tromper. ( « crosseur » se dit également pour traiter quelqu’un qui arnaque, dupe d’autres personnes)
2- (vulgaire) se masturber pour un homme
Écœurant:
Désigne quelqu’un ou quelque chose de vraiment bien, de génial, d’incroyable.
Espadrilles:
Chaussures de sport. Basket, tennis.
Fin/fine:
quelqu’un de gentil. (Rien à voir avec la taille)
Foufounes:
fesses (utilisé surtout avec les enfants)
Froc:
Au Québec s’utilise au féminin et désigne un manteau.
Gêné(e):
timide
Gomme:
chewing-gum (si vous voulez effacer quelque chose au Québec demandez tout simplement une « efface »)
Linge:
vêtement
Liqueur:
Boisson gazeuse, soda.
Sous-marin:
Oui ce terme est utilisé pour désigné le navire allant sous l’eau, mais il désigne également un long sandwich (style Subway™️).
Suçon/sucette:
la définition est inversée. Le suçon québécois est une friandise sucrée, alors que la sucette se fait dans le cou d’un amoureux.
Bonus!
Vous avez perdu ou trouvé quelque chose? En France, rendez-vous au service des objets trouvés. Alors qu’au Québec, prenez la direction des objets perdus.
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les-portes-du-sud · 2 years ago
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Vulgaire
19.08 2023
Je ne sais pas vraiment quand le fantasme m'est venu à l'esprit. Comment je suppose. Comme tous, elle s'est glissée dans un rêve, s'est révélée furtivement dans une chanson paresseuse, a chevauché un rayon de soleil par un après-midi d'été. Elle a apporté avec elle des visions d'une autre vie. Une liberté presque illimitée et indomptée, une liberté obscène en effet. Sa profondeur m'a à la fois intriguée et dégoûtée. Oui, je pensais, je serai libre. Et l'imagination sera libre. Mon pouvoir créatif et ma pensée, mes paroles et mes actions sans barrières. Et le fantasme, bien sûr, devait prendre une forme humaine, comme toutes les obsessions. Bien qu'indéterminée, elle dansait autour de moi les soirs et les matins sans sommeil, comme une elfe. Une forme exotique et fluide. Quelque chose entre, à la fois et jamais, ensemble, homme et femme, saint et pécheur, amant et ennemi, objet de désir et de passion. Un petit enfant innocent et un vieil homme vulgaire. La forme a pris des noms et des formes. Il a pris de la chair et des os dans les phrases et les regards et s'est affiné dans la pensée dans les touchers et les personnes de ma vie. Chacun d'eux se dressait comme un obstacle et la clé de sa réalisation, changeant sans cesse d'image et d'existence, selon sa volonté mystérieuse...
Parce que, bien sûr, elle avait ses propres intentions qui m'étaient insondables. Enfant de riche gâté, il exigeait tout et ne se satisfaisait de rien. Il demandait des danses endiablées, des amours désespérées, une paire d'yeux – parfois deux – et deux lèvres à rencontrer. D'autres fois, il demandait l'obscurité. Isolement. Une dépression profonde qui nous a beaucoup plu à tous les deux. Mais il a toujours voulu ce que je voulais aussi, c'est important. Et plus important encore que cela, il a toujours demandé de la compréhension. Une bouche pour me dire exactement ce que je voulais entendre. C'est-à-dire ce que nous voulions entendre. Une paire de jambes pour nous accompagner à notre danse. Une main pour fermer le volet, nous enfonçons dans les ténèbres. Une entreprise pour nous entraîner dans la décadence avec des enseignes au néon, des excursions nocturnes inutiles et des conversations nocturnes encore plus inutiles. Une existence qui ne se soucie pas de qui nous sommes. Qui comprend que nos désirs et nos vérités changeront constamment. Comment le futur n'existe que pour accueillir toutes ces possibilités improbables qui ne rentrent pas dans le présent. Que l'amour n'est pas limité par les délires des gens, par leur stupide possessivité, qu'il est plus grand que tout principe et toute règle et qu'il débordera dans nos baisers, peu importe à quel point ils essaient de la faire sécher.
Ce fantasme, cependant, c'était moi. Et il ne m'a pas fallu longtemps pour m'en rendre compte. Il ne m'a pas fallu longtemps pour réaliser que ce que j'imaginais, c'était moi, sous toutes mes formes.
Les-portes-du-sud
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emberdune · 2 years ago
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alors dites-moi c'est quoi exactement l'intérêt d'avoir une clé² de secours pour accéder au bureau, cachée quelque part en dehors du bureau, à utiliser en cas de perte de celle qu'on utilise de base (ou alors, avouons-le, des fois on est con et un collègue ou autre oublie la clé¹ principale dans le bureau et claque la porte), dans un endroit sûr qui s'ouvre à clé³, qui, elle, est rangée dans un placard accéssible à tout moment, mais qui peut néanmoins être fermé à clé⁴ si l'on le souhaite (mais assurez-vous, on ne le souhaite pas pour des raisons qui vont être claires par la suite), si l'un des collègues finit par fermer ce placard à clé⁴ et range cette clé⁴ dans le bureau, qui, lui, nécessite une clé¹ ² pour l'accès et que cette dernière¹ se trouve égarée derrière la porte renforcée dudit bureau ?
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yes-bernie-stuff · 8 days ago
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◀ 24 FÉVRIER ▶ Les Trésors De La Foi
Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. Jean 15:7
Entendez afin d'être entendu
Remarquons que, si nous voulons que Jésus nous écoute, il faut que nous l'écoutions aussi. Si nous n'avons pas d'oreille pour Christ, il n'en aura pas pour nous. Et en proportion de ce que nous entendrons, nous serons entendus. En outre, ce qui a été entendu doit demeurer et vivre en nous, puis agir sur notre caractère comme une force et une puissance. Nous devons recevoir les vérités que Jésus a enseignées, les préceptes qu'il a émis, et obéir aux mouvements de l'Esprit en nous, ou bien nous n'aurons aucune action auprès de trône de grâce. Si nous recevons les paroles du Seigneur, et qu'elles demeurent en nous, quel champ sans limite de bénédictions et de privilèges nous est ainsi ouvert! Nous pouvons exprimer notre volonté dans notre prière, parce que nous avons déjà soumis notre volonté à celle de Dieu. C'est ainsi que les Elie sont préparés à manier les clés du ciel, pour en ouvrir ou en fermer les nuées. Un tel homme vaut un millier de chrétiens ordinaires. Désirons-nous humblement être des intercesseurs pour l'Eglise et le monde et, comme Luther, recevoir du Seigneur ce que nous lui demandons? Pour cela, tendons notre oreille à la voix de ce Bien-Aimé et recueillons ses paroles pour y obéir soigneusement. Celui qui veut prier efficacement doit être prompt à écouter. - Lire plus ici :
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rideaupress01 · 29 days ago
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Rideaux pour domotique : La révolution de la gestion automatisée de vos fenêtres
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La domotique transforme notre quotidien en apportant des solutions innovantes pour automatiser nos maisons et améliorer notre confort. Parmi les nombreuses possibilités offertes par cette technologie, les rideaux pour domotique se distinguent par leur capacité à simplifier la gestion de la lumière, de la chaleur et de l’intimité dans vos espaces. Découvrez comment ces rideaux révolutionnaires changent la façon dont vous interagissez avec vos fenêtres et comment Rideaupress, expert en fourniture et pose de stores intérieurs à Bruxelles, peut vous accompagner dans cette transition.
Qu’est-ce que les rideaux pour domotique ?
Les rideaux pour domotique, ou rideaux électriques, sont des rideaux qui se commandent automatiquement grâce à un système intégré de motorisation et de connectivité. Ces rideaux peuvent être contrôlés via une application mobile, une télécommande, ou même directement par des assistants vocaux comme Google Assistant ou Alexa. Ce système vous permet de gérer l’ouverture et la fermeture de vos rideaux en fonction de vos besoins, de l’heure de la journée ou de votre présence dans la pièce.
L’importance des rideaux électriques dans la gestion énergétique
Les rideaux pour domotique ne sont pas seulement pratiques, ils sont également écologiques et économiques. En automatisant l’ouverture et la fermeture des rideaux en fonction de la luminosité extérieure, vous pouvez optimiser l’utilisation de la lumière naturelle, réduire les coûts énergétiques et améliorer l’efficacité thermique de votre habitation. Par exemple, en hiver, les rideaux peuvent se fermer automatiquement le soir pour conserver la chaleur, tandis qu’en été, ils peuvent s’ouvrir au matin pour laisser entrer la lumière et la chaleur naturelles.
Rideaux électriques et confort de vie
Un autre avantage majeur des rideaux pour domotique est le confort de vie qu’ils apportent. Imaginez-vous pouvoir ouvrir ou fermer vos rideaux sans même vous déplacer, surtout lorsque vous êtes confortablement installé dans votre canapé ou lorsque vous êtes en déplacement. De plus, grâce à des programmations horaires ou des capteurs de lumière, vos rideaux peuvent s’adapter automatiquement à votre emploi du temps, créant ainsi une ambiance idéale dans chaque pièce de la maison.
Rideaupress : votre expert en rideaux pour domotique à Bruxelles
Chez Rideaupress, nous offrons une large gamme de rideaux électriques à Bruxelles, spécialement conçus pour répondre aux besoins de votre maison intelligente. Que vous soyez à la recherche de rideaux modernes pour domotique ou de solutions personnalisées pour l’automatisation de vos fenêtres, notre équipe spécialisée vous accompagne tout au long du processus. Nous proposons la fourniture et la pose de stores intérieurs à Bruxelles, ainsi que des services sur-mesure pour l’installation de louverdrapelamellen, afin de garantir une intégration parfaite à votre système domotique.
La simplicité d’installation et d’utilisation
Installer des rideaux pour domotique peut sembler complexe, mais grâce à l’expertise de Rideaupress, l’installation est rapide et efficace. Nous veillons à ce que chaque installation soit simple et intégrée à votre système domotique existant, vous offrant ainsi une solution clé en main. Une fois installés, les rideaux électriques sont intuitifs et faciles à utiliser, ce qui vous permet de profiter rapidement des nombreux avantages de cette technologie.
Conclusion
Les rideaux pour domotique représentent une avancée significative dans la gestion de l’habitat moderne. Ils combinent technologie, confort et efficacité énergétique pour améliorer votre quotidien. Grâce à Rideaupress, vous pouvez bénéficier d’une solution sur-mesure qui allie esthétisme et performance. N’attendez plus pour transformer vos fenêtres en un atout de votre maison connectée. Contactez-nous dès aujourd’hui pour découvrir nos produits et services de fourniture et pose de stores intérieurs à Bruxelles.
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christophe76460 · 2 months ago
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L'Esprit du Seigneur dirait à l'Église :
« J'élève une génération de guerriers justes qui marcheront dans la puissance et l'autorité de Mon Esprit. Ils seront un phare de lumière dans un monde sombre, brillant de la justice qui émane de Moi. Je vous appelle à vous lever et à prendre votre place en tant qu'ambassadeurs de la justice. En marchant dans la justice, vous serez témoin de ma main qui bouge puissamment au milieu de vous. J'irai devant vous, préparer le chemin et redresserai tous les chemins tordu. J'ouvrirai des portes qu'aucun homme ne peut fermer et fermer des portes que nul homme ne peut ouvrir. Je vous guiderai sur le chemin de Mes pas, en vous guidant avec Ma sagesse et ma compréhension.
Ne vous laissez pas décourager par les défis et les épreuves qui se présentent à vous, car je suis avec vous. Je te fortifierai et te soutiendrai de Ma droite vertueuse. Je vous donnerai les mots à dire et les stratégies à surmonter. Faites-moi confiance et ne vous appuyez pas sur votre propre compréhension. Cherche Ma justice par-dessus tout, et je t'ajouterai toutes choses.
Je libère sur toi une nouvelle onction de justice. Elle coulera comme une rivière, lavant toute tache de péché et d'injustice. Il vous donnera le pouvoir de marcher dans la sainteté et la pureté, reflétant Mon image au monde. En marchant dans la justice, vous serez témoin des captifs libérés, des malades guéris et des disparus sauvés. Tu seras un vase de Ma gloire, portant Ma présence partout où tu iras.
J'apporte une nouvelle peau de vin, qui est conçue pour contenir le feu de Mon Esprit, pas seulement le vin ordinaire de l'ancien. Embrassez cette nouveauté et soyez ouvert aux voies inattendues dont j'avancerai au sein de vous. À travers cette transformation, je vais vous affiner et vous donner le pouvoir de porter Mon feu dans le monde.
Lève-toi et prends ta place dans cette heure. Que la justice soit votre bannière et votre bouclier. Laissez-le guider chaque étape et chaque décision. Que ce soit le fondement sur lequel tu construis ta vie. Car je fais une nouvelle chose sur la terre, et je cherche ceux qui marcheront dans la justice et s'associeront à Moi dans ce grand travail.
Je déclare sur toi que la justice ira devant toi et te mettra sur le chemin de Mes pas. Tu marcheras dans la victoire, car j'ai déjà vaincu le monde. Tu marcheras en autorité, car je t'ai donné les clés du royaume. Tu marcheras dans l'amour, car je suis amour.
Alors lève-toi et brille avec la lumière de Ma justice. Que vos vies soient un témoignage de ma bonté et de ma grâce. Que le monde voit et sache que je suis le Seigneur, et qu'il n'y en a pas comme Moi. Marche dans la justice, et tu seras témoin de la manifestation de Ma gloire au milieu de toi. "
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marie-swriting · 2 years ago
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Nouveau Futur - Natasha "Phoenix" Trace
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Top Gun Maverick Masterlist
Résumé : Après le dernier déploiement de Natasha, tu espères que votre relation ne se détériore pas à nouveau.
Warnings : angst, fin triste, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : It'll Be Okay par Shawn Mendes
Surexcitée, tu cours et sautes dans les bras de Natasha, la faisant lâcher son sac par la même occasion. Elle rigole avant de t’enlacer. Tu poses tes lèvres sur celles de ta petite amie tout en gardant tes bras autour de sa nuque. Tu n’avais pas senti ses lèvres pendant un mois et deux semaines. En d’autres termes, elles t’ont manqué. 
Natasha était en déploiement pour une mission dont tu ignores tous les détails. De plus, vous n’avez pas pu communiquer autant que vous l’auriez voulu alors elle t’a également manqué. Pendant que vous vous embrassez passionnément, vous entendez des sifflements autour de vous.
-Allez dans une chambre, s’exclame Hangman sur un ton moqueur.
Pour simple réponse, Natasha continue à t’embrasser et fait un doigt à Jake. Il rigole et continue de marcher avec Bradley. 
Quand vous vous séparez, Natasha prend ta main et récupère son sac au sol puis vous vous rendez à ta voiture. Sur le chemin, tu laisses Natasha se reposer, malgré ton envie de lui raconter tout ce qu’elle a manqué. Le sourire sur tes lèvres n’arrivent pas à partir, tellement tu es contente de la retrouver.
En arrivant, tu secoues légèrement Natasha. Une fois réveillée, vous rentrez dans votre maison en pleine rénovation. Vous l’avez achetée un mois avant qu’elle ne parte. 
Vous viviez une période assez compliquée - ce n’était pas la première, mais c’était la pire - et vous avez pensé qu’acheter un bien immobilier vous permettrait de vous rapprocher. Quand vous avez eu les clés, ça a fonctionné. La joie de passer à un nouveau stade de votre relation et de créer votre propre cocon vous a donné ce petit coup de pouce dont vous aviez besoin. 
Votre relation battait de l’aile, non pas parce que vous ne vous aimiez plus, bien au contraire, mais à cause d’éléments qui ne semblaient ne plus fonctionner entre vous deux, le principal étant le travail prenant de Natasha. Jugeant que c’était seulement un mauvais moment, vous avez préféré en créer un bon. 
Malheureusement, Natasha n’a pas eu le temps de beaucoup rénover la maison. Vous aviez commencé la chambre ensemble, enlevant le papier peint et commençant la peinture jusqu’à son départ. Entretemps, tu as fini la pièce. Natasha n’a pas pu encore la voir. 
Alors, en arrivant chez vous, tu lui fais fermer les yeux et la guide jusqu’à votre chambre commune. Quand vous y êtes, tu lui murmures à l’oreille qu’elle peut regarder. En ouvrant les yeux, un grand sourire prend place sur son visage. À première vue, il n’y a pas de défauts - même si tu sais les coins que tu as loupés - et tu as monté les différents meubles que vous aviez choisis ensemble. Tu es fière du travail que tu as fait.
-Tu as géré ! Ça rend tellement bien, complimente Natasha, épatée.
-Je suis contente que tu adores ! D’ailleurs, t’as intérêt à l’apprécier ta commode car elle était chiante à monter, informes-tu en pointant vers le meuble en question. Il y a également ces cadres que je voulais mettre aux murs, mais j’ai préféré attendre ton retour avant de faire des trous.
En expliquant, tu te diriges vers votre commode et le mur pour récupérer les quatre cadres de la même taille. Tu les disposes par terre pour qu’elle puisse voir les photos. Tu as fait plusieurs montages sur un site de photos avec des moments de vos voyages et des moments plus anodins pendant votre relation, comme des soirées au Hard Deck, à la plage ou dans vos anciens appartements respectifs. Tu lui montres où tu pensais les accrocher pendant qu’elle continue à admirer les clichés. 
-J’adore ! J’avais oublié certaines des photos, s’exclame-t-elle en regardant une photo de vous deux dans un restaurant.
-C’est bien pour ça que je les ai développés. Alors, t’en penses quoi ? Je peux faire les trous ? questionnes-tu, impatiente.
-Totalement, ça rendra bien. On le fait maintenant ?
-Tu ne veux pas te reposer ? On peut très bien le faire demain. Ils peuvent attendre un jour de plus, ils ne sont plus à ça près, rigoles-tu, Natasha secoue la tête.
-J’ai assez d’énergie pour ça. Par contre, après, je me douche et on reste allongées dans le lit, quémande-t-elle en posant ses mains sur tes hanches. 
-Je vais chercher la perceuse. 
Tu embrasses sa joue puis tu vas dans la chambre d’ami qui est actuellement plus un débarras et récupère les outils. Avant de sortir de la pièce, tu la regardes une dernière fois avec tendresse. En achetant cette maison, vous avez décidé que cette pièce serait la chambre d’ami jusqu’au moment où vous voudriez un enfant. Vous ne savez pas vraiment quand, mais c’est définitivement dans vos plans. Vous avez une idée complète du futur que vous souhaitez ensemble. 
Il vous faut à peine une dizaine de minutes avant de percer les quatre trous et d’installer les cadres. Maintenant, tu as l’impression que votre chambre est finie. 
Natasha va se doucher pendant que tu vides son sac et fais tourner une machine. Quand elle a fini, vous vous allongez dans votre lit, Natasha découvrant enfin le confort de ce nouveau matelas. Enlacées l’une contre l’autre, vous discutez. Tu caresses doucement ses cheveux, la berçant dans le sommeil. Une trentaine de minutes plus tard, ses respirations régulières te font comprendre qu’elle s’est endormie. Tu la regardes avec affection pendant que sa tête est posée contre ta poitrine. Délicatement, tu te baisses pour embrasser le haut de son crâne. Inconsciemment, Natasha se colle un peu plus contre toi. Tu aimerais mettre le moment sur pause pour rester dans votre bulle toute ta vie.
Cependant, ce moment est obligé d’avoir une fin. Après un peu moins de deux semaines à avoir Natasha à tes côtés, à te réveiller avec elle, tu sens les draps frois et non la chaleur de son corps en changeant de position dans votre lit. Tu ouvres un œil et tu trouves une place vide. Quand tu es sûre qu’il n’y a personne, tu ouvres totalement les yeux et regardes le réveil de Natasha sur sa table de nuit. En voyant qu’il est sept heures, tu devines où elle est.
Il n’est pas rare qu’elle soit appelée tôt dans la matinée pour une réunion ou autre mission. Votre proximité avec TopGun est à la fois une bénédiction et une malédiction. Elle n’est pas loin de toi s’ils ont besoin d’elle et par conséquent, ils font souvent appel à Natasha. Tu ne peux t’empêcher de te sentir agacée, même si tu sais que ça ne dépend pas d’elle.
En rentrant le soir, Natasha te retrouve dans le salon, la tête dans la notice de la bibliothèque. Quand elle arrive à ta hauteur, tu tournes la tête pour l’embrasser chastement. Tu es sur le point de retourner à la construction de ton meuble quand Natasha t’offre un bouquet de fleurs, souhaitant se faire pardonner pour son absence. Tu les acceptes avec plaisir et lui promets que tu ne lui en veux pas. Tu mets les fleurs dans un vase avant de retourner au salon. 
Natasha admire la pièce qui est presque terminée. Il ne reste plus que le meuble télé à monter, si on oublie celui que tu es en train de faire. Depuis le retour de Natasha, tu avances beaucoup plus vite dans les rénovations. Vous avez pu finir les peintures que tu avais commencé avant son arrivée. Rapidement, Natasha enlève ses chaussures avant de venir t’aider à monter la bibliothèque. Tu lui demandes de tenir les planches pendant que tu visses. Quand tu as fini, tu prends une autre vis alors que Natasha attire ton attention.
-J’ai eu les informations pour mon prochain déploiement.
-Oh ? t’exclames-tu en arrêtant tout mouvement.
-Je… Je vais devoir repartir dans trois semaines.
-Mais tu viens à peine de rentrer. 
-Je sais, mais c’est une mission urgente, ça ne peut pas attendre, explique Natasha en pinçant ses lèvres. 
-Et ça sera pendant combien de temps ? questionnes-tu en jouant avec le tournevis. 
-Deux mois, informe-t-elle avant de vite ajouter : je sais que ce n’est pas l’idéal et que tu vas devoir encore faire des rénovations seule, mais promis, en rentrant j'essaierai d’avoir du repos. 
-Ce n’est pas grave. C’est ton job, rassures-tu en prenant sa main. 
-Je sais, mais on ne s’est pas beaucoup vues ces derniers temps.
-On a qu’à profiter à fond des trois semaines qu’on a, alors, souris-tu.
Natasha t’embrasse, rassurée de savoir que tu n’es pas énervée par sa nouvelle. Sans plus attendre, vous reprenez la construction de la bibliothèque alors que ton esprit est perdu dans tes pensées. Peu importe si tu es avec Natasha depuis deux ans, tu détestes toujours quand elle doit partir. Tu sais que ton anxiété sera à son maximum et que tu te sentiras seule. Et puis, quand elle revient, vous avez toujours besoin d’un temps d’adaptation avant de retrouver votre routine habituelle. Tu repousses ces pensées dans un coin de tête, tu dois apprécier la présence de Natasha tant qu’elle est encore là, et tu te concentres sur le meuble.
Toutefois, les semaines suivantes ne sont pas tendres avec vous. Natasha n’est pas encore partie, mais c’est tout comme. Tout doucement, vous êtes retournées dans la phase dans laquelle vous étiez avant d’acheter votre maison. Vous êtes proches sans vraiment l’être. Elle doit souvent aller à TopGun et quand elle rentre, elle n’a pas l’énergie pour faire grand chose. Le rythme de vos rénovations a également ralenti et tu sens le fossé entre vous deux se creuser un peu plus chaque jour. Tu devrais être heureuse d’avoir Natasha à tes côtés et pourtant, tu es morose. Enfin, avec Natasha, vous parlez de moins en moins, malgré vos efforts communs. C’est comme si vous êtiez en train de devenir des inconnues. 
Tu détestes cette situation. Ce n’est pas la première fois que vous y êtes et tu ne sais toujours pas quoi faire. Tu as l’impression qu’à chaque fois que vous vous êtes enfin retrouvées, un élément extérieur vous renvoie à la case départ. Cet élément extérieur est souvent un déploiement. Ces périodes où Natasha n’est pas là te pèse de plus en plus, malgré toi, et ça se ressent dans votre relation. Tu passes tes journées à chercher une solution. Tu aimes Natasha. Il doit y avoir un moyen pour y remédier. Tu ignores laquelle, même si une partie de toi pense que, peut-être, cette fois, il n’y a pas de solution. Rien que cette pensée te retourne l’estomac. Tu essayes de l’oublier.
Quelques jours avant qu’elle ne parte, tu te dis que tu ne peux plus garder ces pensées pour toi. Tu dois en parler avec Natasha. Votre couple vit une période compliquée, vous devez en discuter pour arranger les choses. Vous ne pouvez pas rester planter là à ne rien faire. Par conséquent, un soir, tandis que vous êtes en train de manger, tu attires l’attention de Natasha. Elle te lance un regard interrogateur, attendant que tu prennes la parole.
-On doit parler, Nat’. Et c’est sérieux, commences-tu d’une voix douce.
-Je voulais te parler aussi.
-Alors, tu sais tout comme moi qu’on doit faire quelque chose. On ne peut pas rester dans cette situation. Et comme tu pars bientôt, on doit régler ce problème.
-Je sais, admet-elle avant de marquer un silence. Je… Je pensais que, peut-être, je pourrais demander à changer de poste. 
-Quoi ?
-Ouais, comme ça, je n’aurais pas besoin de partir autant.
-Mais tu aimes voler, t’exclames-tu, surprise.
-Je t’aime plus.
-Je ne peux pas te demander ça. Nat’, tu ne peux pas abandonner à cause de moi. Tu seras malheureuse si tu le fais et je ne le supporterai pas. 
-Y/N, on doit être honnête, ça ne fonctionne plus entre nous parce que je ne fais que partir, affirme Natasha en te regardant dans les yeux. 
-Peut-être qu’il faut juste qu’on trouve un meilleur équilibre entre notre couple et tes déploiements. Il nous faut peut-être une meilleure routine.
-On sait toutes les deux que ce n’est pas la solution. On a essayé plusieurs fois et on a toujours fini par se retrouver dans cette situation. C’est toujours temporaire. Cette maison en est la preuve, dit-elle en montrant les alentours de ses mains. Je pensais vraiment qu’en emménageant ensemble, tout irait mieux car on aurait un chez nous et ça serait plus simple pour se voir, mais ce n’est pas le cas. 
-Je ne veux pas qu’on se sépare, objectes-tu, comprenant ce qu’elle sous-entend.
-Moi non plus, mais je sais que, tout comme moi, tu y as pensé aussi. Y/N, ce n’est pas grave, rassure Natasha en posant sa main sur la tienne.
-Comment tu peux dire ça ? Je t’aime. Je ne veux pas te perdre, chuchotes-tu d’une voix tremblante.
-Je ne veux pas te perdre non plus, mais si on arrive pas à régler ça, on n’a pas d’autre choix. Si on continue, ça risque d’être pire. Ce n’est pas grave si on arrive pas à faire fonctionner notre couple, on n’a pas besoin de régler la situation.
-Et le futur que l’on a imaginé alors ? demandes-tu, les larmes aux yeux.
-Il n’est peut-être pas fait pour arriver. Y/N, tout ira bien. On s’en remettra, déclare-t-elle, sa voix se brisant à sa dernière phrase. 
-Je ne veux pas m’en remettre. Je veux rester avec toi. 
Suite à ta phrase, tu exploses en sanglots. Les larmes de Natasha commençant à couler sur ses joues, elle se lève et vient à côté de toi pour te prendre dans ses bras. Vous vous serrez tout en continuant à deverser votre tristesse. Vous restez dans les bras de l’autre pendant un moment. Quand vous vous séparez, Natasha pose ses mains sur tes joues et les essuie pendant que les tiennes sont sur sa taille. Elle te fait un sourire compatissant, tu n’as pas la force de le lui rendre.
-Je suis désolée, souffles-tu. 
-Tu n’as pas à t’excuser.
-Si, insistes-tu, quand on s’est mises ensemble, je t’avais promis que je savais dans quoi je m’engageais. Je pensais réellement que notre amour serait plus fort que ça.
-L’amour ne suffit pas toujours, malheureusement, sanglote-t-elle. Peut-être que, quand on sera un peu plus âgée, commence-t-elle en caressant du regard ton visage, on se retrouvera et cette fois, ça marchera mieux. Ou peut-être que notre amour n'est fait que pour fonctionner dans un autre univers. Je t’aimerai toujours dans tous les cas. N’en doute jamais.
-Je t’aimerai toujours dans tous les cas également. 
Vous vous regardez dans les yeux avant de vous embrasser délicatement. Dans ce dernier baiser, vous partagez tout l’amour que vous avez ainsi que votre tristesse. Pendant que vous vous perdez dans votre baiser, vous sentez tout ce que vous avez contruit et tout ce que vous avez rêvé de construire mourir doucement. Vous devez, à présent, imaginer un tout nouveau futur sans l’autre. 
Top Gun Maverick Masterlist
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charlastorfrenchlove · 2 months ago
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M'as tu piégés Princesse ? Chapitre 4
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Chapitre 4: Est-ce là sa punition ?
La nuit s'est passée assez calmement , Vaggie a pu regagner sa chambre bien que les deux compagnes ne se sont pas vraiment adressées la parole mais bon ce n'est pas partie en disputes mais bon toutes les deux savent très bien qu'elles ne peuvent pas continuer comme ça . La princesse se lève de son lit bien loin de s'imaginer de qui s'apprêtait à passer le pas dans son hôtel . Après un baiser assez froid avec sa compagne , la princesse est partie se préparer en prenant une douche rapide puis elle s'habille . Son estomac semble lui faire payer le fait de ne pas avoir dîner correctement la veille, elle s'apprête donc à se rendre dans la salle à manger pour prendre son repas quand quelqu'un frappe à la porte .
Elle sursaute et vient à la rencontre de l'étrange visiteur , elle ouvre la porte et un visage familier un peu trop ses yeux s'écarquillent de surprise et fut tentée de fermer la porte au nez de ce visiteur indésirable cependant ce dernier bloque la porte avec son bien lui faisant bien comprendre que c'était inutile .Charlie de ce fait recule complètement choquée ne s'attendant pas à le voir ici.
-Eh ben dit donc ma salope de princesse c'est un drôle d'accueil que tu me réserve pour une âme qui cherche la repentance * dit la voix sur un ton moqueur*
-Toi avoir la rédemption j'ai du mal à y croire * répond la princesse*
-Et pourtant toi qui est prête a faire confiance à tout le monde tu remettrais ma parole en doute* fit l'ancien ange*
Charlie ne pouvait pas lui donner tort et ça l'énervait à un point , elle décide donc de le laisser entrer à contre coeur bien évidemment , l'ancien ange lui adresse un grand sourire satisfait . Elle savait bien qu'au fond d'elle ,elle faisait certainement une erreur en l'acceptant mais la blonde savait très bien que si elle le refusait . Ce serait contraire à son crédo puis rien ne dit que dans le fond il est là juste pour se moquer d'elle mais au contraire travailler sur lui .
-Donc je vais te donner une chambre mon cher Adam mais à la moindre histoire je te met à la porte * prévient-t-elle*
-D'accord ça me convient * fit l'ancien ange*
Charlie n'ajoute rien et par chercher la clé qui servira de chambre , au châtain ce dernier avait un teint plus terne digne d'un mort de véritable corne et une queue .Ainsi qu'une dentition de requin semblable à celle de son père et d'Alastor , au bout de quelques seconde elle lui confia la clé de sa chambre se trouvant pas loin de celle de son père. En parlant de ce dernier la princesse se dit qu'elle allait devoir le trouver pour s'excuser de son comportement de la veille, se rendant bien compte qu'elle n'était pas cool avec lui .
Cependant elle avait bien l'impression que ça prendrait bien plus de temps de recoller les morceaux avec sa petite amie , c'est à ce moment-là que l'ancienne exorciste se trouve dans son chemin . Elle avait une mine gênée sur le visage et elle semblait chercher ses mots , Charlie n'avait pas le temps et encore moins l'énergie pour une nouvelle dispute avec elle. Vaggie semble bien le comprendre et semble se décider à prendre la parole pour éclaircir certains points avec sa petite amie.
-Je m'excuse pour hier je n'ai pas compris pourquoi j'ai pété un plomb pour cette idée concernant l'accueil je ne comprend pas . Je sais que le chant est ta passion , je suis encore tendue par rapport à ce qui se passe au paradis et cela malgré la mort d'Adam *s 'excuse la grise*
Charlie fut touchée d'avoir eu des excuses de la part de la compagne et se dit qu'il serait approprié que cette dernière s'excuse également après tout . Vaggie a fait un pas vers elle , il est donc normal qu'elle en face un à son tour. La princesse de l'enfer passe une main nerveusement derrière sa tête, abordant un petit sourire gêné.
-Et moi d'avoir mal réagi face à ton refus , je suppose qu'on est toutes les deux dans le même bateau . On est pas mal tendues après ce qui s'est passé mais bon je n'ai pas envie de te faire peur mais ce dernier vient de passer les portes de notre hôtel pour demander notre aide . Je me suis pas vue lui claquer la porte au nez car ça aurait été contraire à notre éthique * explique la princesse*
Vaggie passe une main sur son visage tout en soupirant mais bon , l'ancienne exorciste connaissait très bien sa petite amie et savait que c'était typiquement le genre de réaction qu'elle peut avoir . Puis son raisonnement est malheureusement correct et pas vide de sens . Elle sourit à son tour.
-Je te comprends et je ne t'en veux pas ma chérie , tu as fait ce qui te semblait le plus juste. On devrait aller le rejoindre , il doit nous attendre cependant tu ne m'en veux pas si je lui colle deux ou trois baffes ? *demande l'ange *
La fille de Lucifer laisse échapper un petit rire cristallin suite à la demande de sa petite amie , puis elle se reprend rapidement pour lui répondre que ça lui fera certainement les pieds .Vaggie lui adresse un sourire et s'approche de cette dernière pour venir lui déposer un baiser sur les lèvres et cette fois-ci Charlie lui rendit de bon coeur . Les deux femmes se détachent pour ensuite aller rejoindre leurs nouveaux résident qui devait trouver le temps bien long .Et il devait aussi se dire que la princesse mettait du temps à revenir pour une bête clé de chambre .
Alastor avait vu toute la scène de réconciliation des deux femme et pour une raison qui l'ignore cela le mettait dans une colère noire . Il aurait préféré que les deux femmes continuent à s'ignorer ainsi ce dernier aurait pu plus facilement s'approcher de Charlie et d'user de ses charmes pour mieux la manipuler ...Ou tout simplement lui tenir la main comme le fait simplement Vaggie et l'embrasser . Notre cerf se mit donc à secouer vigoureusement la tête comme pour chasser ses idées bizarre de sa tête , lui être avec la princesse autrement que par profit pour lui ça lui semble être une idée purement saugrenue .Pourtant cette simple idée semble l'apaiser et lui plaire de se trouver à la place de l'ancienne exorciste .
Il se devait d'agir au plus vite pour faire cesser les sensations qui l'assaillent au plus vite et parasites ses pensées . Une fois qu'il aura pris la place de l'exorciste peut-être que les choses redeviendront à la normale pour lui et il arrêtera d'avoir des idées bizarres.
-Je dois vraiment faire en sorte que la princesse soit à moi , ainsi ce flots de pensées parasites cesseront et je pourrais de nouveaux me concentrer sur mon objectif * se dit-t-il pour lui même *
"-Tu es sûr que ça suffira , je ne suis pas certain moi je vais te dire ce qui t'arrives mon bon maître . Tu es tombé amoureux de cette femme naive et pleins de bon sentiments pour autrui tout ton contraire " * déclare la voix désincarnée de son ombre*
Le cerf rouge allait répliquer mais cette dernière le prit de court
"-C'est quand même un comble pour toi qui voulait tout contrôler et manipuler , te voila tombé dans le vil piège de l'amour !" * déclare l'ombre infernale avant d'éclater de rire *
Il serre les poings de rage bien incapable de répondre quoique ce soit , cependant il essaye de se calmer. Commencant à prendre en considération la théorie farfelue de son compagnon infernal qui n'est peut être pas si folle que ça. Mais bon pour lui c'est un plongeon dans l'inconnu lui qui n'a jamais ressenti de tel sentiment avant et encore moins tombé amoureux . Puis encore moins d'une personne comme la princesse des enfers , peut-être que cela faisait partie de sa punition lui qui pendant un long moment s'était moqué de ce genre de sentiment .
.....Note de l'auteur : Je suis vraiment une grosse sadique au moment où ça commence a aller mieux entre Charlie et Vaggie notre cher Alastor va passer à l'action XD
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formationonline · 3 months ago
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La Loi de la Multiplication : La Clé Incontournable pour Bâtir une Richesse Durable
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As-tu remarqué que les personnes les plus riches ne dépendent jamais d’une seule source de revenus ?
La loi de la multiplication est simple : pour devenir riche, tu dois diversifier tes sources de revenus et créer des flux financiers qui se complètent.
Que tu sois salarié ou entrepreneur, ignorer cette loi, c’est risquer de rester bloqué dans un système fragile.
Pourquoi La Multiplication Est Une Nécessité ?
1. Un emploi, une épée à double tranchant
Être salarié offre une sécurité apparente, mais cette sécurité est souvent précaire. Une inflation galopante, une restructuration de ton entreprise, ou une simple dispute avec ton patron peuvent réduire tes revenus à néant.
Exemple : Durant la crise économique de 2020, des milliers de salariés ont perdu leur emploi du jour au lendemain. Ceux qui avaient des revenus supplémentaires ont pu rebondir, tandis que les autres se sont retrouvés dans l’incertitude.
2. L’entrepreneur et le piège de la dépendance unique
Même en tant qu’entrepreneur, se reposer sur un seul produit, service ou client est une erreur. Si ton produit devient obsolète ou si ton client principal décide de se tourner vers un concurrent, ton entreprise pourrait s’effondrer.
Exemple : Pense à un restaurant qui dépend uniquement de clients locaux. Avec la pandémie, ceux qui n’avaient pas diversifié leurs activités (livraison, partenariat avec des applications, etc.) ont été les premiers à fermer boutique.
3. Devenir riche : une question de flux multiples
Les personnes riches ne se contentent jamais d’une seule source de revenus. Elles multiplient leurs investissements, leurs entreprises, et leurs opportunités.
Exemple : Warren Buffett, l’un des hommes les plus riches au monde, ne se repose pas uniquement sur ses actions en bourse. Il possède des entreprises, des biens immobiliers et bien d’autres actifs générateurs de revenus.
A. Comment Appliquer la Loi de la Multiplication dans Ta Vie ?
Créer des sources de revenus passifs
Investis dans des actifs qui travaillent pour toi pendant que tu dors : l’immobilier, les dividendes d’actions, ou même des produits numériques comme des eBooks ou des formations.
Se lancer dans le marketing d’affiliation
L’affiliation te permet de promouvoir des produits ou services et de gagner des commissions sur chaque vente. Ce modèle est idéal pour diversifier tes revenus sans avoir à créer ton propre produit.
Développer plusieurs compétences
Ajoute des cordes à ton arc en apprenant de nouvelles compétences monétisables. Le freelancing, la rédaction web, ou encore la gestion de campagnes publicitaires sont des exemples concrets.
B. Multiplier les opportunités dans ton business
Si tu es entrepreneur, pense à ajouter de nouveaux produits, explorer de nouveaux marchés, ou collaborer avec d’autres marques pour étendre ton impact.
C. La Multiplication en Pratique : Par Où Commencer ?
Identifie tes compétences ou passions actuelles : Peut-être que tu aimes écrire, enseigner, ou vendre ? Ces passions peuvent être transformées en sources de revenus.
Explore des opportunités accessibles : Le marketing d’affiliation, par exemple, est une solution flexible et accessible. Tu peux commencer sans capital important et apprendre en chemin.
Forme-toi pour avancer intelligemment : Avant de te lancer dans un nouveau projet, investis dans des formations de qualité.
D. La Richesse Est à Ta Portée : Agis Maintenant
Devenir riche ne se fait pas du jour au lendemain, mais en adoptant la loi de la multiplication, tu construis une base solide pour atteindre la liberté financière.
Envie de diversifier tes revenus dès aujourd’hui ? Découvre ma formation gratuite en affiliation, une méthode simple et efficace pour générer des revenus en ligne, même sans audience ou produit à toi. Je te guide pas à pas vers une destinée financière glorieuse. Clique ici pour commencer maintenant !
Anselm Winner
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