#femme de dieu
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regardez tous ces gens. que jâai vus. EN VRAI
(tumblr fait chier avec la place des photos que soudainement je ne peux plus changer, la direction vous présente toutes ses excuses)
#mdr pardon Ă hervieu-lĂ©ger et florence viala pour le mauvais timing de screenshot#ARGH corberyâŠ.#et ARGH gĂ©novĂšseâŠ.#la photo avec Ă©liante a lâair bizarre but i promise they are kiki#dieu adeline dâhermy. quelle femme#je force ? oui. mais jâassume que diable#comĂ©die française#le misanthrope
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La condition des femmes en Islam
LâintĂ©rĂȘt portĂ© Ă la condition des femmes, Ă la suite de lâavĂšnement du nĂ©olibĂ©ralisme Ă©conomique puis du courant fĂ©ministe libĂ©ral, tranche avec lâabsence dâĂ©tudes historiques significatives de lâĂ©volution de cette condition ! Selon lâhistorien Charles Seignobos [1], « aucun document ne parle de la condition des femmes [Ă lâĂ©poque des Gaulois] ; nous ne pouvons quâimaginer leur vie, confinĂ©es dans des huttes Ă©troites, froides ou enfumĂ©es, absorbĂ©es par le travail long et pĂ©nible de broyer le grain et de prĂ©parer la nourriture des hommes. [Au moyen Ăąge], le trait le plus original de la vie de cour est le rĂŽle de la femme, dĂ©signĂ©e par un nom dâhonneur, la dame (domina), maĂźtresse, la femme du prince maĂźtre de la Cour. [âŠ] La dame se sent supĂ©rieure Ă ces adolescents placĂ©s sous ses ordres, et si elle vient Ă sâintĂ©resser Ă lâun dâeux, elle prend naturellement le rĂŽle dâĂ©ducatrice et de guide, auquel se peut mĂȘler parfois une tendresse fĂ©minine dâune autre nature. [Au XIXĂšme siĂšcle], les femmes, absorbĂ©es encore par les soins du mĂ©nage, mettaient leur luxe dans un Ă©norme approvisionnement de linge, de fruits et de confitures.».
Et pour cause ! Les femmes ont Ă©tĂ© considĂ©rĂ©es par le passĂ©, dans le monde entier, comme Ă©tant infĂ©rieures Ă lâhomme et dĂ©pourvues, en consĂ©quence, de leurs droits les plus Ă©lĂ©mentaires. Dans la pĂ©ninsule arabique, par exemple, le Coran Ă©voque certaines pratiques particuliĂšrement injustes de lâĂ©poque prĂ©islamique, telles que le fait de considĂ©rer la femme veuve comme faisant partie de lâhĂ©ritage que le mari dĂ©cĂ©dĂ© lĂ©guait aux siens ([4:19]) ou, dans certains cas extrĂȘmes, le fait dâenterrer de nouveaux nĂ©s de leur vivant au seul motif dâĂȘtre de sexe fĂ©minin ([16:59]).
La condition gĂ©nĂ©rale des femmes Ă©tait plus dĂ©sastreuse, encore, selon Mohammed al-Ghazali [2], chez les Grecs et les Romains et mĂȘme, beaucoup plus tard, dans dâautres nations europĂ©ennes. En effet, sâinterroge-t-il, si Platon plaça les femmes dans la derniĂšre classe sociale de sa « CitĂ© IdĂ©ale », quâen serait-il de leur situation dans la citĂ© dĂ©cadente ? Il ajoute que les femmes Ă©taient considĂ©rĂ©es par les Romains comme Ă©tant infĂ©rieures aux hommes et nâavaient presque aucun droit, et comme le droit europĂ©en fut largement influencĂ© par lâEmpire Romain, le droit anglais, par exemple, nâhĂ©sita pas, au XIXĂšme siĂšcle, Ă autoriser lâhomme Ă vendre son Ă©pouse, le lĂ©gislateur nâintervenant que pour encadrer le prix de vente praticable !
Ce dĂ©classement dĂ©clarĂ© des femmes sur les plans intellectuel, psychologique et moral, a perdurĂ© en Occident jusquâau XXĂšme siĂšcle, comme lâillustrent ces propos du philosophe et sociologue Pierre-Joseph Proudhon [3] : « la femme est un diminutif dâhomme Ă qui il manque un organe [âŠ]. Capable, jusquâĂ un certain point, dâapprĂ©hender une vĂ©ritĂ© trouvĂ©e, elle nâest douĂ©e dâaucune initiative ; elle ne sâavise pas des choses [âŠ] sans lâhomme, elle ne sortirait pas de lâĂ©tat bestial [âŠ]. LâhumanitĂ© ne doit aux femmes aucune idĂ©e morale, politique, philosophique ; elle a marchĂ© dans la science sans leur coopĂ©ration [âŠ]. LâhumanitĂ© ne doit aux femmes aucune dĂ©couverte industrielle, pas la moindre mĂ©canique. [âŠ] La femme auteur nâexiste pas ; câest une contradiction. » !
En ce qui concerne la position de lâIslam, le Coran indique que Dieu a honorĂ© la femme, au mĂȘme titre que lâhomme, et quâIl lâa prĂ©fĂ©rĂ©e, comme lui, Ă plusieurs de Ses autres crĂ©atures ([17:70]), de mĂȘme quâIl lâa crĂ©Ă©e pour accomplir la mĂȘme mission que lâhomme, qui est lâadoration du CrĂ©ateur ([51:56]). Le Coran prĂ©cise Ă©galement que les croyants et les croyantes sont alliĂ©s les uns des autres ([9:71]), que Dieu ne fait perdre le bien que quiconque, homme ou femme, a fait, en Ă©tant croyant ([3:195]), et que le plus noble, auprĂšs de Lui, parmi les hommes et les femmes, est le plus pieux ([49:13]).
Par ailleurs, la falsification de la Torah [4] selon laquelle les douleurs quâendurent les mĂšres pour enfanter seraient la consĂ©quence dâune punition divine de lâĂ©pouse dâAdam, pour avoir dĂ©sobĂ©i Ă Dieu, est rejetĂ©e en Islam. En effet, cela remet en cause lâun des piliers de la croyance en Dieu qui est Sa Roboubiyah, ou ce qui En fait le Seigneur de lâunivers, en renvoyant Ă une divinitĂ© qui ne maitriserait pas Sa crĂ©ation, qui agirait au coup par coup, et qui, plus est, punirait les femmes tous azimuts, et plus gĂ©nĂ©ralement toutes les gĂ©nitrices, en leur infligeant des douleurs pour une dĂ©sobĂ©issance quâelles nâont point commise ! A cet Ă©gard, il y a lieu de prĂ©ciser que lâĂ©preuve de la vie-prĂ©sente nâa nullement pour cause un quelconque pĂ©chĂ© originel de lâHomme en Islam, comme le prĂ©supposent certaines interprĂ©tations de lâĂvangile [5]. Le Coran indique, en effet, quâAdam et son Ă©pouse ont tous deux dĂ©sobĂ©i Ă Dieu, en succombant Ă la tentation dâIblÄ«s (Satan) ([2 :35-36]), mais que cette dĂ©sobĂ©issance ne constitue nullement la cause de lâĂ©preuve de la vie-prĂ©sente, voulue par le Seigneur pour Ă©prouver les Hommes (et savoir) lequel dâeux est meilleur en Ćuvre ([67:2]). De mĂȘme, il prĂ©cise quâau terme de lâĂ©preuve de la vie-prĂ©sente, nulle Ăąme ne portera le fardeau dâautrui, fusse-t-il un proche parent ([35 :18]). Quant aux douleurs causĂ©es par lâenfantement, elles sont le rĂ©sultat de la crĂ©ation de Dieu, qui a bien fait tout ce quâIl a crĂ©Ă© ([32 :7]), qui ne fait du tort Ă personne ([18:49]) et qui commande Ă lâHomme dâĂȘtre bienfaisant envers ses parents, en insistant justement sur les peines endurĂ©es par les mĂšres durant lâenfantement et mĂȘme jusquâau sevrage ([31:14], [46 :15], [19:23-26]). Il y a lieu de signaler Ă©galement que le Coran comporte une sourate (chapitre) [n°4] intitulĂ©e du nom des femmes [al-NissÄâa] et cite les cas de trois femmes exemplaires en matiĂšre de foi en Dieu et dâaccomplissement des bonnes Ćuvres : (i) Maryam (Marie), dont Dieu a fait, ainsi que de son fils JĂ©sus, un signe pour lâunivers ([21:91]) et dont la sourate 19 du Coran porte le nom, (ii) la mĂšre de Marie ([3:35-36]) ainsi que (iii) la mĂšre de MoĂŻse ([28:7]). De mĂȘme, les premiers versets de la sourate 58, intitulĂ©e "La discussion" [al-MujÄdalah], furent descendus suite Ă une discussion entre une femme et le Messager de Dieu, Muhammad, au sujet des suites Ă donner Ă sa rĂ©pudiation par son mari, selon un rite prĂ©islamique.
Câest dire que lâhomme et la femme sont Ă©gaux en droits et ont les mĂȘmes obligations devant Dieu, en islam. En revanche, le Coran prĂ©cise que le genre masculin nâest pas comme le genre fĂ©minin ([3:36]), dans la mesure oĂč Dieu a prĂ©destinĂ© lâhomme et la femme Ă des fonctions et des rĂŽles diffĂ©rents, mais complĂ©mentaires, auxquels Il a parfaitement adaptĂ© leur crĂ©ation, aux niveaux corporel, psychologique et intellectuel. A cet Ă©gard, le Coran indique que Dieu a crĂ©Ă© des hommes, des Ă©pouses pour eux pour quâils vivent avec elles en tranquillitĂ© [Soukoun] et a mis entre eux de lâaffection [Mawaddah] et de la bontĂ© [Rahmah] ([30:21]). Le Livre de lâIslam qui, pourtant, utilise bien le terme "amour" [Hobb] - entre humains - dans un autre verset ([12:30]), emploie dans le verset prĂ©cĂ©dent le terme "Mawaddah" (traduit par "affection"), qui consiste en de lâattirance physique et sentimentale et constitue la base premiĂšre de tout amour. En effet, lâamour entre les Ă©poux ne peut devenir effectif quâaprĂšs un engagement significatif et concluant dans leur assomption - groupĂ©e et solidaire - des responsabilitĂ©s qui dĂ©coulent du mariage. Ce dernier est, dâailleurs, qualifiĂ© dâengagement solennel [GhalÄ«d] en Islam ([4:21]), en ce sens que lâĂ©poux sây engage solennellement Ă bien se comporter envers son Ă©pouse ou, sinon, Ă la libĂ©rer [par un divorce] avec bienfaisance ([2:229]). De mĂȘme, le terme "Rahmah" (traduit plus haut par "bontĂ©") est utilisĂ© pour dĂ©crire le soin et lâattention que les Ă©poux mettent naturellement dans leur relation, dĂšs lâentame du mariage, mĂȘme sâils ne se sont pas suffisamment connus auparavant, un peu comme sâils Ă©taient unis par un lien du sang [Rahem] !
Par ailleurs, le Coran prĂ©cise que Dieu a responsabilisĂ© davantage lâhomme en matiĂšre de pilotage des affaires de la famille et lui a donnĂ©, de ce fait, autoritĂ© sur son Ă©pouse et ce, du fait quâIl a favorisĂ© les hommes par rapport aux femmes en matiĂšre dâautoritĂ©, justement, et de capacitĂ© de prise de dĂ©cision, ainsi quâen matiĂšre dâaccĂšs Ă la subsistance et de dĂ©pense de leurs biens ([4:34]). LâautoritĂ© [al-QawÄmah] Ă©voquĂ©e dans ce verset consiste en la responsabilisation de lâhomme en tant quâĂ©poux/pĂšre/chef de famille, non seulement en matiĂšre de sĂ©curitĂ©, de protection, dâautoritĂ©, de prise de dĂ©cision, dâorientation, de coĂ©ducation⊠mais Ă©galement en tant que responsable de la dĂ©pense dans la limite de ses moyens (logement, subsistance et toute autre dĂ©pense nĂ©cessaire Ă la vie dĂ©centeâŠ). Ce systĂšme islamique dâal-QawÄmah a pour but dâassurer une unitĂ© de commandement, Ă travers laquelle lâĂ©poux se doit de remplir son rĂŽle dâĂ©poux/pĂšre/chef de famille, chargĂ© de la dĂ©pense.
Certes, les hommes ne sâacquittent pas tous, comme il se doit, de cette grande responsabilitĂ© quâest al-QawÄmah, que Dieu leur a faite incomber et par laquelle Il les a favorisĂ©s et ne se montrent pas tous dignes de cette faveur, loin sâen faut ! Or, si Dieu lâavait voulu, tel aurait Ă©tĂ© certainement le cas ! Mais, Dieu a donnĂ© aux hommes, comme aux femmes, un libre arbitre et tout ce dont ils ont besoin pour les Ă©prouver dans la vie-prĂ©sente,  conformĂ©ment Ă Sa volontĂ©, la responsabilitĂ© dâal-QawÄmah faisant justement partie intĂ©grante de cette Ă©preuve pour les hommes. A cet Ă©gard, le Messager de Dieu a dit dans les deux Hadiths ci-aprĂšs (rapportĂ©s dans le SahÄ«h dâal-Tirmidhi) :
"Le meilleur d'entre vous est celui qui est le meilleur avec sa famille et je suis le meilleur d'entre vous avec sa famille âŠ";
"Le Croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur comportement et les meilleurs dâentre vous sont les meilleurs avec leurs femmes".
De mĂȘme, le compagnon du ProphĂšte AbĂ» Hurayrah relate dans un Hadith (rapportĂ© dans le Sahih dâal-BokhÄri) quâun homme vint trouver le Messager dâAllah et lui demanda : « Ă Messager dâAllah ! Quelle est la personne qui mĂ©rite le plus que je lui tienne bonne compagnie ? - Ta mĂšre, rĂ©pondit le ProphĂšte. - Ensuite qui ? Continua lâhomme. - Ta mĂšre ! rĂ©pĂ©ta le ProphĂšte. - Ensuite qui ? poursuivit l'homme. Ta mĂšre ! RĂ©itĂ©ra le ProphĂšte. - Ensuite qui ? demanda-t-il - Ton pĂšre ! conclut le ProphĂšte. ».
Câest dire lâimportance du rĂŽle de la femme dans lâunion du mariage en Islam, non seulement Ă travers ses multiples fonctions spĂ©cifiques au genre fĂ©minin dâĂ©pouse et de mĂšre, dont notamment lâaffection, sa grande capacitĂ© dâendurer par amour et par dĂ©vouement, lâenfantement, lâallaitement⊠mais aussi en matiĂšre de gestion du vivre ensemble, dâĂ©ducation, dâaccompagnement en cas de maladie ainsi que des nombreuses activitĂ©s quâelle est Ă mĂȘme dâaccomplir.
Il sâagit, en fait, dâune rĂ©partition naturelle de fonctions et de rĂŽles, spĂ©cifiques et complĂ©mentaires, entre lâhomme et la femme dans leur union par le mariage. Dans cette union, lâhomme a lâobligation en Islam dâhonorer ses responsabilitĂ©s en matiĂšre de QawÄmah, dans la limite de ses moyens. De mĂȘme, la femme est tenue dâassurer ses fonctions dâĂ©pouse et de mĂšre, dans la limite de ses capacitĂ©s, et de respecter lâunitĂ© de commandement quâinstaure le systĂšme dâal-QawÄmah, en obĂ©issant Ă son Ă©poux/chef de la famille, sauf si cette obĂ©issance contrevient Ă lâobĂ©issance Ă Dieu et Ă Son Messager ([4:59]). En particulier, lorsquâil sâavĂšre que lâĂ©poux/pĂšre faillit Ă ses obligations en matiĂšre de QawÄmah, lâIslam prĂ©voit que lâĂ©pouse puisse, dans ce cas, demander le divorce [6] et, le cas Ă©chĂ©ant, les droits dâusage, par les moyens lĂ©gaux en vigueur. Quant aux enfants, il leur est commandĂ© en Islam dâĂȘtre bienfaisants envers leurs parents, particuliĂšrement envers la mĂšre comme lâindique le Hadith citĂ© plus haut, et ce, Ă tout Ăąge et en toute circonstance, sauf si ces derniers les forcent Ă associer Ă Dieu de fausses divinitĂ©s, auquel cas ils ne doivent pas leur obĂ©ir mais continuer Ă les accompagner de façon convenable ([31:14-15]).
Par ailleurs, comme lâa bien montrĂ© Mohamed Achiq [7], câest en raison de la responsabilitĂ© financiĂšre quâimplique, pour lâhomme, le systĂšme islamique dâal-QawÄmah que Dieu lâa favorisĂ© dans deux types de situation par rapport Ă la femme en matiĂšre de part dâhĂ©ritage :
lorsquâils sont respectivement fils et fille du dĂ©funt (homme ou femme), câest-Ă -dire que le fils est encore en Ăąge de fonder une famille et de devoir en endosser la responsabilitĂ© financiĂšre, sâil nâest pas dĂ©jĂ Ă©poux/pĂšre/chef de famille, chargĂ© de la dĂ©pense ;
lorsquâil subsiste une part dâhĂ©ritage non affectĂ©e, aprĂšs lâattribution des portions explicites prĂ©cisĂ©es dans le Coran (le huitiĂšme, le sixiĂšme, le quart, le tiers, la moitiĂ©, les deux tiers) aux ayants droits concernĂ©s. Dans ce cas, dit "dâhĂ©ritage par TaĂąssÄ«b", on applique dâabord lâensemble des rĂšgles prĂ©cisĂ©es dans le Coran ou par la tradition ProphĂ©tique. Ensuite, sâil subsiste encore un reliquat dâhĂ©ritage non affectĂ©, on lâattribue alors Ă lâhomme le plus proche du dĂ©funt, en application du Hadith suivant, communĂ©ment admis, dans lequel le Messager de Dieu a dit :
"Attribuez les droits imposĂ©s [al-FarÄid] (en matiĂšre dâhĂ©ritage) Ă leurs dĂ©tenteurs [ahlihÄ] et donnez ce qui reste Ă l'homme le plus proche."
Ce Hadith recommande clairement lâutilisation des rĂšgles de Dieu en matiĂšre dâhĂ©ritage et sâappuie sur ces rĂšgles pour dĂ©terminer les critĂšres de proximitĂ© au dĂ©funt et les prioriser. Parmi ces rĂšgles, on peut citer les versets suivants, qui montrent des cas dâhĂ©ritage par TaĂąssÄ«b :
«âŠÂ Quant aux pĂšre et mĂšre du dĂ©funt, Ă chacun d'eux le sixiĂšme de ce qu'il laisse, s'il a un enfant. S'il n'a pas d'enfant et que ses pĂšre et mĂšre hĂ©ritent de lui, Ă sa mĂšre alors le tiersâŠÂ [11]» [S4]
«Ils te demandent ce qui a Ă©tĂ© dĂ©crĂ©tĂ©. Dis : "Au sujet du dĂ©funt qui n'a pas de pĂšre ni de mĂšre ni d'enfant, Allah vous donne Son dĂ©cret : si quelqu'un meurt sans enfant, mais a une sĆur, Ă celle-ci revient la moitiĂ© de ce qu'il laisse. Et lui, il hĂ©ritera d'elle en totalitĂ© si elle n'a pas d'enfant. Mais s'il a deux sĆurs (ou plus), Ă elles alors les deux tiers de ce qu'il laisse; et s'il a des frĂšres et des sĆurs, Ă un frĂšre alors revient une portion Ă©gale Ă celle de deux sĆurs⊠[176]» [S4]
Le verset 11 ci-dessus indique implicitement que dans le cas oĂč le dĂ©funt nâa pas dâenfant, son pĂšre hĂ©rite les deux tiers, Ă raison dâun tiers en tant quâayant droit et un tiers supplĂ©mentaire par TaĂąssÄ«b, et sa mĂšre hĂ©rite du tiers. Quant au verset 176, il concerne le dĂ©funt qui ne laisse pas de pĂšre ni de mĂšre ni dâenfant, mais une sĆur. Dans ce cas, la sĆur hĂ©rite de la moitiĂ© de lâhĂ©ritage de son frĂšre, alors que lui hĂ©rite dâelle en totalitĂ©, dans ces mĂȘmes conditions. En revanche, sâil a deux sĆurs ou plus, celles-ci hĂ©ritent, Ă portions Ă©gales, Ă hauteur des deux tiers, alors que sâil a des frĂšres et sĆurs, ces derniers hĂ©ritent de la totalitĂ©, Ă raison dâune portion pour chaque homme Ă©gale Ă celle de deux femmes.
De mĂȘme, le verset suivant concerne le cas du dĂ©funt (homme ou femme) qui nâa laissĂ© aucun ayant-droit parmi ses descendants ni ses ascendants, mais un frĂšre ou une sĆur, du cĂŽtĂ© de sa mĂšre. Ces derniers hĂ©ritent alors en prioritĂ©, juste aprĂšs lâĂ©pouse/lâĂ©poux si elle/il existe et ce, Ă raison dâun sixiĂšme chacun. Sâils sont plus de deux, ils se partagent alors le tiers, Ă portions Ă©gales, indĂ©pendamment du sexe :
«⊠Et si un homme, ou une femme, meurt sans hĂ©ritier direct, cependant qu'il laisse un frĂšre ou une sĆur, Ă chacun de ceux-ci alors, un sixiĂšme. S'ils sont plus de deux, tous alors participeront au tiersâŠÂ [12]» [S4]
A cet égard, il y a lieu de préciser que :
LâhĂ©ritage par TaĂąssÄ«b peut profiter Ă lâhomme ou Ă la femme, selon le cas. Par exemple, dans le cas dâun dĂ©funt qui nâa laissĂ© aucun ayant-droit de sexe masculin parmi ses ascendants ni ses descendants, mais qui a laissĂ© une fille ou petite-fille ainsi quâune sĆur consanguine, câest cette derniĂšre qui hĂ©rite par TaĂąssÄ«b le reliquat de lâhĂ©ritage (et "empĂȘche" les oncles paternels consanguins du dĂ©funt, par exemple, dâhĂ©riter par TaĂąssÄ«b) ;
Les hĂ©ritiers sont appelĂ©s en Islam Ă offrir quelque chose de lâhĂ©ritage aux proches parents, aux orphelins et aux nĂ©cessiteux, qui assistent au partage et de leur parler convenablement, de mĂȘme quâils sont appelĂ©s Ă redouter Dieu et Ă prononcer des paroles justes ([4:8-9]) ;
Le droit musulman prévoit des mesures qui permettent le traitement de certaines situations particuliÚres, dont on peut citer :
la possibilitĂ© de faire un ou plusieurs testaments au profit de personnes qui nâont pas le droit dâhĂ©riter et ce, dans la limite dâun tiers de lâhĂ©ritage pour lâensemble des testaments ;
la possibilitĂ© pour le parent de faire, de son vivant, un don Ă un enfant qui souffre dâun handicap ou dâune difficultĂ© et se trouve, de ce fait, dans une situation manifestement dĂ©favorable par rapport aux autres enfants et ce, Ă la condition que ces derniers soient tous majeurs et quâils marquent Ă lâunanimitĂ© leur consentement, libre de toute contrainte, en faveur de ce don ;
la possibilitĂ© pour le pĂšre dâinscrire, de son vivant, une clause de jouissance Ă vie (omrÄ) du logement principal au profit de son Ă©pouse et de sa (ses) fille(s), en cas de crainte que lâun des hĂ©ritiers ne fasse valoir son droit de rĂ©cupĂ©rer sa part dâhĂ©ritage par TaĂąssÄ«b, en vendant le bien en question, alors que lâĂ©pouse et les filles nâont pas les moyens suffisants pour acquĂ©rir un autre logement dĂ©centâŠ
Le droit Islamique des successions [Ilm al-MawÄrÄ«th] offre ainsi une certaine souplesse pour traiter de telles situations, mais ne peut ĂȘtre dissociĂ© du systĂšme dâal-QawÄmah, sur lequel repose le modĂšle islamique dâunion par le mariage qui cible, en prioritĂ©, la protection de la famille et de la sociĂ©tĂ© islamique. Et câest sans doute pour cette raison que les rĂšgles de ce droit ont Ă©tĂ© dĂ©taillĂ©es par Dieu dans le Coran ainsi que par lâintermĂ©diaire de Son Messager (et Dieu sait mieux). Par ailleurs, outre le fait que Dieu a enjoint Ă lâHomme dâĂȘtre bienfaisant envers ses parents, Ă tout Ăąge et en toute circonstance, lâĂ©poux et lâĂ©pouse sont appelĂ©s, en Islam, Ă jouer pleinement leur rĂŽle au sein de leur (petite) famille ([66:6], [2:233], [4:1]), mais aussi de faire le bien envers leurs proches parents, les orphelins, les nĂ©cessiteux ([8:41], [30:38], [59:7])⊠notamment en matiĂšre de dĂ©pense financiĂšre, pour lâhomme ([4:34]). Dans leur union, il est ordonnĂ© Ă ce dernier de se comporter envers son Ă©pouse de maniĂšre convenable ([4:19]), de mĂȘme quâils sont tous deux appelĂ©s Ă se considĂ©rer mutuellement comme un "vĂȘtement", lâun pour lâautre ([2:187]), avec tout ce que cela peut traduire, au niveau de leur relation intime, comme proximitĂ©, affection, amour, couverture, transparence, embellissement, protection mutuelle contre lâimmoralitĂ©, sĂ©rĂ©nitĂ©âŠ
LâIslam a ainsi supprimĂ© toutes les formes dâinjustice quâenduraient les femmes, avant lâenvoi du Messager de Dieu, Muhammad, notamment en organisant le mariage ([2:221-226], [2:233-235], [2:240], [4:20-25], [4:3-4], [24:32], [58:1-4]), en encadrant le divorce ( [2:227-232], [2:236-237], [2:241]) et en instituant le droit de la femme Ă lâhĂ©ritage ([4:7-13], [4:176]), interdisant au passage toute forme dâhĂ©ritage de la femme veuve ([4:19]). Par ailleurs, la tradition ProphĂ©tique a instituĂ© le droit de la femme Ă lâĂ©ducation, Ă la possession de biens, Ă bĂ©nĂ©ficier de testament⊠ainsi quâĂ toutes les opĂ©rations (licites) se rapportant aux contrats et aux affaires (licites). De mĂȘme, elle a accordĂ© Ă la femme le droit de travailler Ă lâextĂ©rieur dans des emplois qui respectent ses spĂ©cificitĂ©s, conformĂ©ment aux rĂšgles de lâIslam.
Abourina
[1] Charles Seignobos : « Histoire sincÚre de la nation française » (1933) ;
[2] Mohammed al-Ghazali : « [TdA] Les ProblÚmes de la Femme entre des Traditions stagnantes et des Traditions étrangÚres »- p.64-65. Ed. Dar al-Chourouk (2005) ;
[3] Pierre-Joseph Proudhon: « De la Justice dans la RĂ©volution et dans lâĂglise » (1858) ;
[4] Ancien Testament: Le Pentateuque: GenĂšse: Chapitre 3Â (verset 16)Â ;
[5] Nouveau Testament: Les ĂpĂźtres de Paul: Romains: Chapitre 5Â (verset 12)Â ;
[6] Avis partagĂ© par les Ăcoles Malikite, Chafiite et Hanbalite, dans le cas oĂč il est Ă©tabli que la faillite de lâĂ©poux Ă ses obligations cause du tort Ă lâĂ©pouse et ce, en se rĂ©fĂ©rant au verset (S2,v231) ;
[7] Mohamed Achiq, « Comprendre lâIslam Ă la lumiĂšre du Coran et de la tradition ProphĂ©tique » (Amazon.fr).
#Islam#Condition de la Femme#Femme#Coran#Holy Quran#Allah#ProphĂšte Muhammad#God#Dieu#Genre#muslim#philosophie#Sociologie
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Marshal Ney in Galicia
In 1902, an author named comte de la BĂ©doyĂšre (I do not know if and how related to the la BĂ©doyĂšre executed in 1815) wrote a book about Marshal Michel Ney, mostly about his trial and execution. But the appendix also contains several other documents, among them excerpts from the memoirs of a certain general BĂ©chet, Ney's aide-de-camp. The part I translated is about the first months of 1809, Ney's time in Galicia, after Napoleon in January 1809 had quit Spain for France and had left the task of conquering Portugal to his subordinates.
Marshal Soult was put in charge of this operation, in which he was to be assisted by Marshal Ney. The Marshal had sent me to Marshal Soult to discuss with him the positions which the troops of our corps would occupy as his troops moved towards Portugal. I found him near the place of Ferrol, which had not yet been surrendered (it was surrendered the next day). He didn't receive me too well, not because he resented me or even knew me, but because he wasn't on very good terms with my patron. I thought I would starve to death in that unfortunate town of Ferrol, where I had great difficulty in getting a bite to eat, as Marshal Soult had not invited me to dine with his officers.
Bad Soult! Don't kill the messenger (or in this case, don't let him starve) just because it's a messenger from Ney...
I'm unsure what the two marshals had agreed upon with regards to the placement of Ney's troops, who, as BĂ©chet says himself, had the task to support and thus to stay in contact with Soult's corps in Portugal. However, given the two marshals were "not on very good terms" with each other, Ney probably followed a primal instinct and tried to get as much distance between himself and Soult as possible, in going north to La Coruna, while Soult went south into Portugal. Communications soon were interrupted not only with Soult's expedition corps but also with Madrid. But it seems Ney & C. did not mind too much:
Our stay in this town was not without its pleasures. Sometimes we played whist at the marshal's house at one napoleon a card. One evening I lost twenty cards, I didn't have such a large sum with me and I asked the Marshal to give me credit; he sometimes demanded them back from me in jest, I replied in the same tone, and I ended up not paying him. The Marshal, who had only rare relations with King Joseph because the roads were interrupted by the guerillas, was regarded by the Spaniards as the viceroy of the province and had all the powers.
To which I have two remarks: 1) Some people were accused of wanting to make themselves king whenever they found themselves in a similar position. Just saying. And 2) Ney and his aides were not alone in regarding the interruption of communication by guerillas as a given, and to pay little attention to it. Joseph and Jourdan in Madrid, too, waited for an explicit order from an exasperated Napoleon before sending Kellermann to reopen communications with Ney in Galicia (with Soult in Portugal there was no contact at all).
And now comes a rather ... interesting story about what "viceroy" Ney was up to in this new domain of his:
He had the idea of visiting all the women's convents, and there were many, and of telling the nuns and novices that all those who had entered them against their will could leave if they wished. It was playing the role of the tempter, but such was the spirit of the time, and we thought we were doing a meritorious work by acting in this way.
I'm sure you did, you little prick...
In a convent where the nuns had the reputation of being very fanatical, a young novice, with a charming face, threw herself crying at the feet of the Marshal and addressed him in Spanish in a speech that we still only barely understood. Our hearts went out to her, and already more than one gallant knight was offering her his services, ...
Uh-huh...
... but our interpreter told us that, on the contrary, she announced to the Marshal that the Virgin had appeared to her that night, and warned her that that very day she would obtain the dispensation of age necessary to make her vows, and that she had no doubt that the Marshal was the envoy from heaven who had come to grant her the grace she was seeking. The Marshal replied that it did not depend on him, but that he would write to the court. So much for our tender feelings. In fact, I seem to recall that only one of these ladies took advantage of the freedom offered to her; she left the convent to marry an officer who took her back to France with him.
Must have been quite a blow to the self-esteem of all those "gallant knights" trying to free poor enslaved women, for utterly unselfish reasons, of course.
#napoleon's marshals#michel ney#peninsular war#jean de dieu soult#those two again#Coruna 1809#Galicia 1809#chercher la femme I guess?
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La Bonne Nouvelle
Dans son nouveau roman, Jean-Baptiste de Froment met en scÚne un couple d'aristocrates provinciaux, Paul et Hermine de Larmencour. AprÚs la « résurrection » du premier cité, son ex-veuve va tenter de faire la lumiÚre sur ce soi-disant miracle.
En deux mots Trois jours aprĂšs son enterrement, la tombe de Paul de Larmencour est vide. La pierre tombale a Ă©tĂ© dĂ©placĂ©e et le dĂ©funt a Ă©tĂ© vu errant dans la campagne. Cette ârĂ©surrectionâ laisse Hermine, sa veuve, incrĂ©dule. Avec les autoritĂ©s, lâenvoyĂ© du pape et les habitants de ce coin du boulonnais, elle va tenter de percer ce mystĂšre. Ma note â
â
â
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(jâai adorĂ©) Ma chronique Paul, revenuâŠ
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#Allier#Amour#apparition#Ă©mancipation#Ă©missaire#Boulonnais#canular#chĂątelaine#dĂ©funt#Dieu#Disparition#EnquĂȘte#fable#mari#miracle#mystification#pĂšlerins#pouvoir#prophĂ©tesse#rĂ©surrection#relation mari-femme#Rencontre#sexagĂ©naire#spiritualitĂ©#tombeau#Vatican#vie de couple
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#03 Mais je veux que vous le sachiez : la tĂȘte de tout homme#câest le Christ ; la tĂȘte de la femme#câest lâhomme ; la tĂȘte du Christ#câest Dieu.
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Destin de femme - Anne Dieu-le-veut, flibustiĂšre Bretonne (1661 â 1710)
Anne Dieu-le-veut, flibustiĂšre Bretonne (1661 â 1710) Anne Dieu-le-Veut, Ă©galement connue sous le nom de Anne Dieuleveult, est une flibustiĂšre du XVIIe siĂšcle. Nâayant que peu dâinformations sur sa vie et il est difficile de sĂ©parer la rĂ©alitĂ© de la lĂ©gende entourant cette figure historique. Cependant, voici ce que lâon sait dâAnne Dieu-le-Veut, la flibustiĂšre bretonne. Anne Dieu-le-veutâŠ
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Transcript of all the French dialogue in Interview with the Vampire S2 E03 "No Pain".
You asked, yours Frenchly delivered. Bonne lecture ! (long-ass post incoming)
(did not use timestamps as these may vary, but rather scene descriptions)
Armandâs Children of Darkness:
Coven vampire: La mort punira toute infraction de la premiĂšre et de la cinquiĂšme des grandes lois.
Armand sees Lestat at the theatre (performing Marivauxâs Le Triomphe de lâamour):
Lestat (as Arlequin): Ah ! Vous ĂȘtes donc des femmes !⊠(vous ĂȘtes deux) friponnes !⊠et par-dessus le marchĂ©, un honnĂȘte homme !...
Armand: Tu es le bĂątard de Magnus. Je sais que tu peux mâentendre, mon enfant.
Lestat: Qui mâappelle « enfant » ?
Armand: Il est mort, nâest-ce pas ? Je peux prendre soin de toi. Je peux tâapprendre ce quâil ne tâa pas appris. Viens Ă moi.
Lestat (as Arlequin): Mais de quoi sâagit-il, mes libĂ©rales dames ?
Armand: Viens Ă moi.
Lestat (as Arlequin): Encore plus honnĂȘte.
Armand confronts Lestat and Nicolas:
Armand (to the coven vampires): Ă la maison.
Coven vampires: Oui, maßtre. Désolés, maßtre.
Lestat (to Nicolas): Tu es si distrayant dans la fosse que je ne me rappelle plus du texte.
Nicolas: Je ne peux pas lire mes notes quand jâentends tes pieds sur le plancher⊠Nous allons nous faire attraper.
Lestat: Je lâespĂšre⊠Entends-tu cela ?
Nicolas: Par-dessus tes incessantes divagations ? Comment pourrais-je entendre quoi que ce soit ?... Quâest-ce ?
Lestat: Là ⊠Quelquâun me regarde.
Nicolas: Tu es toujours au centre de lâattention.
Lestat: Il pense que je ne sais pas quâil est lĂ .
Nicolas: Est-ce encore de la poĂ©sie ?... Viens plus prĂšs de mon oreille. Je peux seulement comprendre quand tu tâapproches.
Lestat: En pardessus.
Armand: Gardes-tu ce garçon comme aide-mémoire ?
Nicolas: Lestat, connais-tu ce gitan ?
Armand: La solitude que tu ressens, il ne lâatteindra jamais. Sois avec les tiens.
[Side note: they translated « the loneliness you feel, he will not reach it » for « atteindra », but i think Armand is actually saying « il ne lâĂ©teindra jamais », in the sense of « he will not extinguish it ». It makes a LOT more sense.]
Lestat: Et abandonner mon gilet à carreaux ? Mon col jabot ? Vivre comme une larve ?
Nicolas: Lestat, que se passe-t-il ?
Lestat: Rien. Il nâest rien⊠Bonne nuit, homme Ă©trange !
Armand: Lestat ! Là  !
Nicolas: Lestat ?
Lestat: Nicki !
Armand: Tu ne lui as pas rĂ©vĂ©lĂ© ta vraie nature, nâest-ce pas ?
Lestat: Quel est ce pouvoir ?... Je nâai pas ce pouvoir !
Armand: Mais tu lâauras. Tu as le sang de Magnus. Tu gĂąches ton potentiel en menant cette vie-lĂ .
Lestat: Relùche-le ! Relùche-le !!!
Armand: Et voici un buveur de sang !
Lestat: Qui es-tu ?
Armand: Je suis Armand. Je suis le chef de ton clan.
Lestat: Nicki !
Armand: RamÚne ton gilet chez les larves, veux-tu ?
Lestat confronts the Children of Darkness:
Armand: Je suis heureux que tu sois venu. Il est sain et sauf.
Lestat: Il est saigné. Il ne se réveille pas⊠Est-ce si amusant de vivre dans une telle saleté et la puanteur ?
Coven vampire: Nous devons servir Dieu au travers de Satan et au travers dâArmand.
Lestat: Ah⊠Une trinité crottée.
Coven vampire: Tu vas attirer la colÚre de Dieu sur nous avec tes péchés !
Lestat: Qui sont ?
Coven vampire: Tu vis parmi les mortels ! Tu marches dans le temple de Dieu !
Lestat: Il parle de lâhomme triste avec les mains clouĂ©es ? Ah⊠Bien. Câest un arbre tombĂ©. RabotĂ© simplement pour les simples dâesprit. Du mĂȘme arbre, on fit le pied dâune table et, lĂ , une flĂ»te ! Rampez hors de cette prison quâil bĂątit pour vous⊠Dieu⊠Satan⊠Armand⊠Est-ce vrai ? Hm ? Nous sommes les Dieux. Vous ĂȘtes les Dieux !
Lestat visits Armand:
Lestat: Que sâest-il passĂ©Â ?
Armand: Je pourrais parler jusquâĂ la fin du monde sans jamais te dire tout ce que tu as dĂ©truit ici.
Lestat: Nous sommes seuls. Satan ne nous Ă©coute pas⊠Comment transformes-tu lâair en feu ? Comment bouges-tu des objets par la simple force de ton esprit ?
Armand: Demande-t-il, tout en dansant dans les cendres⊠Tu as fait de ton Nicolas lâun des nĂŽtres ? Est-ce que le garçon a acceptĂ© le don ?... Trop fragile. Jâaurais pu te prĂ©venir.
Lestat: Il sâen remettra.
Armand: Certainement pas.
Lestat: Jâai une idĂ©e.
Lestat performs for Armand at the theatre (again, Le Triomphe de lâamour)Â :
Lestat (as Arlequin): Oh ! Mes mignonnes, avant que de vous en aller, il faudra bien, sâil vous plaĂźt, que nousâŠ
(As Lestat) Ils viennent accompagnés, séduits dans un élan collectif. Ils rient ensemble, pleurent ensemble.
Armand: Quâest-ce, pour un vampire ?
Lestat: Une opportunitĂ©. Hamlet est mort sous les coups dâune lame empoisonnĂ©e, mais lâacteur qui gĂźt sous leurs yeux respire encore. Dans ce temple, croire protĂšge. Annonce que tu es un vampire. Bois le sang Ă la vue de tous. Mets en scĂšne les rituels de ton clan, pas depuis les Ă©gouts mais depuis le premier balcon.
Armand: Je nâai pas de clan. Tu mâen as privĂ©.
Lestat: Au contraire, maĂźtre.
(as Arlequin): Je nâai encore quâun commencement dâenvie de nâen plus faire.
Outside the theatre:
⊠assouvir vos cruelles envies au théùtre des vampires !
At the theatre performance:
Victim: Jâai tant dâannĂ©es ! Tant dâannĂ©es !
Theatre vampire: Des annĂ©es ? La mort ne respecte pas lâĂąge !
Armand: Regarde comme ils sont immobiles. Ils croient vraiment que câest une piĂšce de thĂ©Ăątre. Des clous sur une porte Ă Wittenberg. Tu as menĂ© une rĂ©forme, Lestat.
Lestat: Nous lâavons fait ensemble.
Armand: Tu fais une meilleure Mort.
Lestat: La faux fait tout le travail.
Armand: AprĂšs une centaine de nuits ici, tu tâennuies dĂ©jĂ Â ?
Lestat: Seulement avec le jeu dâacteur⊠Allons-y.
Armand: Ici ? Maintenant ?
Lestat: Câest une loge spacieuse.
Armand: Il nous observe.
Lestat: Il devrait regarder sa partition.
Armand: Lestat⊠Je tâaime.
Lestat: Oui⊠Je tâaime aussi.
Aaaand that's it (for now), folks! Will do subsequent episodes if there's more French in them (more likely than not!). Bisous !
Episode 2 here
Episode 4 here
Tagging the peeps who requested: @nalyra-dreaming @indelicateink @chicalepidoptera @zailafaneez
#interview with the vampire#iwtv#iwtv s2#amc interview with the vampire#amc iwtv#scene transcripts#french dialogue
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the sound of the rain | c.l
pairing: charles leclerc x reader
warnings: nothing, just sad!charles
w/c: 0.9k
summary: while charles plays the piano and listens to the rain, he can only think of one thing⊠you â and how you cannot sit next to him anymore.
check this out: my masterlist <3 // my ko-fi to support me! <3 // my PayPal to support me! <3 // my Patreon to become a member! (get access to +65 works) // Save a Life carrd made by me! <3
As Charles sat on the small stool in front of his piano and listened to how the droplets crashed almost violently against his windows, he could only think of one thing.
Of one person.
You.
His fingers, that were still decorated with the same, familiar rings, danced along the white and black piano keys with slow and gentle movements, fingertips only grazing the keys while his eyes didnât leave the wet windows.
His mind was blank â no, it was actually filled, filled with painful emptiness, emptiness that would have never consumed his mind if you would have been here by his side.
If you just would have been sitting on the small leather stool next to him, his mind would be filled with all kinds of things.
Love. Devotion. Passion. Peace. Adoration. And even more love.
But now he had no reason anymore to fill his chaotic mind with those things.
He sniffled, tears streaming down his cheeks, landing either on the keys of his piano or on his fingers, one even gliding down his silver ring.
âG-God, Tu me manques tellement mon amour,â I miss you so much, my love, Charles didnât let his eyes drift off of the rain outside, his blue with tears-filled eyes matching the big blue sky which was crying as well.
Charles gulped, âyouâre crying with me, ma chĂ©rie, hmm?â He cried out, slowly letting his head hang low as he let his fingers play a melody that he heard oh so many times before, and he could never get tired of it.
âYou loved it when I was playing that⊠know you did,â he wiped his nose with the back of his hand before he went back to playing with both hands, âEt je t'aimais,â and I loved you, Charles bit his bottom lip as he felt it quivering in pure and utter grief.
His fingers danced along the keys as his eyes blinked fresh tears away to focus more on the loud rain landing on the concrete and the glass of the windows.
He cleared his throat and furrowed his brows, looking at the dark clouds now, âWhat nonsense am I talking, baby,â he shook his head, âI still love you of courseâŠalways did, always will,â he quietly mumbled to himself, salty tears making his top lip shine.
âI will never stop loving you, mon amour,â he shook his head, sighing before he closed his eyes, fingers still dancing along the keys, âhow could I? Any man that carries the ability to stop loving a women like you has for sure never experienced a love like yours, of course he hasnât when you gave it all to me.â
He looked at the droplets of rain again, lightly furrowing his brows with a sniffle, âDieu, j'ai de la chance d'ĂȘtre aimĂ© par une femme comme toi,â God am I lucky to be loved by a women like you, Charles whispered into the cold air, glassy eyes staring at the sky before he whined.
The monaguesque shook his head and closed his eyes, trying his best to get lost in the melody he was currently creating with the tips of his fingers.
âThis is â once again â is dedicated to you, mon amour,â he wiped his cheek on his T-Shirt and looked next to the empty space on his stool, âComme toutes les autres mĂ©lodies, notes et paroles Ă©taient dĂ©diĂ©es Ă toi, mon amour,â Just like every other melody, note and lyrics was dedicated to you, my love.
He continued playing the familiar melody that you adored so much, each time he played it, you gasped and immediately ran towards his spit on the piano and sat down next to him, lovingly leaning your head against his shoulder.
Unintentionally, Charles tilted his head slightly to the right, almost as if his cheek was desperately craving the touch of your hair that always grazed his face when you sat next to him.
âOh ce que je donnerais pour vous avoir assise ici Ă cĂŽtĂ© de moi une derniĂšre fois, mĂȘme si c'est des encres pour une seule seconde, ça ne me dĂ©range pas, toute quantitĂ© de temps passĂ© avec vous en est une autre,â Oh what I would give to have you sitting here next to me one last time, even if itâs only for one single second, I donât mind, any amount of time spent with you is another moment in life Iâm endlessly greatful for.
He cleared his throat, sniffling again, âI-If you want m-me to continue playing this f-for you, my loveâŠjust t-tell me-â
And before he even finished his sentence, a tiny stone hit his window.
Sane people may say that it was simply the storm that threw the stone against the thick glass next to him, but Charles was not convinced, he was sure that his lover threw the tiny stone at his window from above.
Probably with a smile on her face, her perfectly soft, lightly red-shaded lips sending him a tender smile so familiar and warm that it made Charles unintentionally smile, tears hitting his two dimples now.
âA-Alright, mon amour,â he chuckled, wiping his nose again before he started playing again,
âYour wish is my commandâŠas always,â Charles mumbled to himself, â no, to you of course, â smile not being able to leave his tears-stained face now as he watched how his talented fingers danced along the keys in the most familiar but also in the most painful way possible.
#fanfic#fanfiction#f1#Charles Leclerc#charles leclerc x reader#charles leclerc x you#charles leclerc x female reader#charles leclerc angst#Charles Leclerc x fem!reader#Angst
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With respect to the earlier post of hot french actors please share some hot french movies/tv shows. Or simply some good shows and movies to watch
Hot movies:
Yves Saint-Laurent (by Jalil Lespert)
La baie des anges
La collectionneuse
La vie d'AdĂšle
8 femmes
Le mépris
Et Dieu créa la femme
La piscine
Belle de jour
La folie des grandeurs (in a romantic way)
Un été brûlant
Une femme de ménage
Trois coeurs
Swimming pool
Good movies:
Le fabuleux destin d'Amélie Poulain
Amour
Le scaphandre et le papillon
La jetée
Joli Mai
Pierrot le fou
A bout de souffle
Mon oncle
Playtime
Les 400 coups
L'atalante
Le voyage dans la lune
Les enfants du paradis
Le samouraĂŻ
Cléo de 5 à 7
La boum 1 + 2
L'Ă©tudiante
Peau d'Ăąne
Le Magnifique
L'homme de Rio
Le rayon vert
De rouille et d'os
La haine
Le grand bleu (weirdly sexy)
Jo
La grande vadrouille
Fantomas
Le grand blond
Les tontons flingueurs
L'année derniÚre à Marienbad
Ciao pantin
Shoah
120 battements par minute
La classe américaine
Les demoiselles de Rochefort
Les parapluies de Cherbourg
Notre Dame de Paris
Les riviĂšres pourpres
Polisse
Les diaboliques
L'assassin habite au 21
And many more! La folie des grandeurs has been my favourite French movie since primary school so I would add it to the second list - must-watch if you're the "most ardently" type.
(I can't help with shows, I haven't seen many French ones!)
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Brigitte Bardot by Edward Quinn during filming of Et Dieu Créa la Femme. Studios de la Victorine, Nice 1956
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"Ma belle Ăąme.
Câest parce quâil y a cette distance entre nous que jâose te dire les mots les plus amoureux, avouer mes Ă©lans, comme si un invisible gardien des secrets mâempĂȘchait dâen parler quand tu es auprĂšs de moi.
Je tâaime du bout du monde comme un navigateur dĂ©sespĂ©rĂ© qui saurait quâil nây a plus de cĂŽte, plus de terre oĂč accoster, mais qui cherche encore et encore lâĂ©toile du NordâŠ
Tu es cette Ă©toile, une Ă©toile tombĂ©e du ciel pour me sĂ©duire et rendre brillant tout ce qui se voile dâombre et dâopacitĂ©. Je tâaime de cette maniĂšre dĂ©sordonnĂ©e car je sais que le monde est fait de morales de circonstance, alors, autant les oublier et redĂ©finir pour soi et pour lâautre les codes du bien et du mal, laisser monter en nous la force dâaimer et la force de mal aimer, comme si elles Ă©taient des lois Ă©crites pour nous seuls, innocents et purs, choisis par un dieu nâaimant pas les relations publiques, pour que nous nâayons pas Ă rĂ©pandre la nouvelle de celaâŠ
Jâai tellement espĂ©rĂ© une femme qui ait la force dâune femme et la naĂŻvetĂ© dâune jeune fille, que⊠câest cela que je voulais te dire : cette espĂ©rance Ă trouver un visage et une Ăąme, et ils te ressemblent.
De si loin, mon cĆur bat pour vous."
Yves Simon
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jâai lâimpression que plus la fin dâannĂ©e se rapproche plus b. ressent le besoin de me dĂ©montrer que je suis son petit chouchou. genre. he only calls on me ???? il a lu mon pastiche de flaubert il mâa dit que câĂ©tait trĂšs bien et quâil avait envie de lire la suite ???? jâai Ă©tĂ© un des seuls textes lus Ă voix haute ???? il me demande enfin comment je vais depuis mon malaise ???? il est pĂ©tĂ© de rire quand il mâentend parler avec les autres lors des pauses ???? yâa grave de la complicitĂ© dĂšs que je lâouvre ???? bitch tell me you like me
#vraiment je le jure. devant dieu mĂȘme.#dans dix ans je lâappelle par son prĂ©nom.#parce que je lâaurais tellement harcelĂ© quâon sera devenus potes.#les dĂźners avec lui et sa femme IT WILL BE A REALITY.#je jure.#prĂ©pa talk#la complainte de julot
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Le coeur de la femme souveraine est branché différemment. Elle aime les rejetés. Elle aime les sous-estimés. Elle aime les opprimés. Elle aime les négligés. Elle aime les abandonnés. Elle aime les oubliés.
Elle aime comme Dieu aime.
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âDieu voulut rĂ©sumer les charmes de la femme en un seul, mais qui fut le plus essentiel, et mit dans son regard tout l'infini du ciel.â
François Coppée
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En vérité, Alice
Dans son nouveau roman Tiffany Tavernier imagine une femme sous emprise ĂȘtre embauchĂ©e comme assistante auprĂšs d'un Ă©vĂȘque pour trier des dossiers de canonisation. Um emploi qui va lui permettre de s'ouvrir Ă la spiritualitĂ© et s'Ă©manciper.
 En lice pour le Prix des libraires 2024 En lice pour le Prix Aznavour des mots dâAmour 2024 En deux mots Alice est sous lâemprise dâun mari alcoolique et violent. Contrainte de trouver un emploi, elle dĂ©croche un poste dâassistante auprĂšs dâun Ă©vĂȘque en charge des dossiers de canonisation. Lâoccasion pour elle de se faire des amies et dâouvrir les yeux sur sa condition. Ma note â
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(jâaiâŠ
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#amitiĂ©#Amour#Ă©vĂȘque#bienheureux#bienveillance#canonisation#dĂ©ni#diocĂšse#don de soi#emprise#Famille#Femme#mĂ©decin#petite annonce#procĂ©dure#promotorat#quĂȘte#RĂ©silience#saint#serviteurs de Dieu#Vatican#vĂ©nĂ©rables#vĂ©ritĂ©#vie de couple#violence
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Que veux-tu que je t'Ă©crive? Que veux-tu que je te dise? Je suis plein de toi. N'es-tu pas au commencement et Ă la fin de toutes mes pensĂ©es. Tu as Ă©tĂ© longtemps ma joie; maintenant tu es ma consolation. Ton regard est si charmant, ton sourire est si ineffable et si doux, tu rĂ©pands autour de toi un rayonnement de grĂące, de dĂ©vouement et d'amour, il me semble, quand je suis prĂšs de toi, qu'il peut encore entrer un peu de lumiĂšre dans mes yeux et un peu de bonheur dans mon Ăąme! Je t'aime, mon pauvre ange! Tu as tous les trĂ©sors qu'une femme peut avoir dans le cĆur et dans l'esprit. Toi qui m'a ĂŽtĂ© tant de jours de deuil, toi qui m'a fait tant de jours de fĂȘte, ais un jour de fĂȘte aujourd'hui! Sois heureuse comme tu es bĂ©nie! Sois heureuse comme tu es bonne! Sois heureuse comme tu es aimĂ©e! Ecarte de ton beau front et de ton grand cĆur les petits chagrins du moment, les ombres, les nuages qui passent! Tu mĂ©rites le ciel. Je voudrais que Dieu te le donnĂąt sans t'ĂŽter Ă moi! Qu'il te fĂźt ange en te laissant femme. Je t'aime!
Victor Hugo
#pensĂ©es#joie#consolation#regard#sourire#rayonnement#dĂ©vouement#amour#lumiĂšre#Ăąme#ange#trĂ©sors#deuil#fĂȘte#coeur#chagrins#ciel
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