#eux pensent que oui
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luma-az · 1 year ago
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La Zone
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 21 août 
Thème : Camille/quand le chat n’est pas là
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Il s’appelle Camille. Elle aussi. Et les deux autres aussi, qui les suivent en essayant de ne pas se faire distancer. Tout comme celle qui attend au volant de la camionnette. C’est presque une comptine. Cinq Camilles qui vont au marché. Un marché pas cher du tout.
Que voulez-vous, quand le chat n’est pas là, les souris dansent. Et c’est un gros matou qui est de sorti ce soir.
Les Camilles aiment beaucoup cet endroit. La Zone est une terre sauvage, un lieu de vie et de nature, un endroit précieux que l’avidité humaine n’a pas encore salopé. Les Camilles n’apprécient pas du tout le projet de construction en cours. Pas du tout du tout.
Alors ce soir, tandis que le promoteur du projet est en train de vendre sa version en pleurant sur un plateau télé quelconque – le pauvre chou, victime de toutes les vilaines Camilles du pays – les Camilles sont de sortie sur le chantier. Et font leur petit marché.
Ils passent par derrière, loin des gardes, et sautent les palissades assemblées à la va-vite. Ils agissent vite et bien. Ils attrapent les chaines, les pinces, tous les outils qui leur tombe sous la main…
Mais les Camilles ne sont pas des voleurs. Ils rendent très, très vite ce qu’ils ont pris. En choisissant soigneusement quoi en faire.
Et lorsque les Camilles repartent, ils laissent derrière eux un chantier nettement plus en chantier – outils enchainés, moteurs sabotés, le tout décoré d’un message soigneusement graffé : « Ne Touchez Pas A Notre Zone »
Il faut bien ça pour que le message arrive à destination.
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soeurdelune · 17 days ago
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oui oui les ships c'est cool, mais ce que j'aime le plus, c'est quand les personnages ont une telle connexion entre eux qu'un seul regard suffit à communiquer ce qu'ils pensent à l'autre, même pas besoin de rajouter la moindre ligne de dialogue, qu'ils se connaissent si bien qu'interpréter les tics, gestes de la main, tressaillements ou soupirs est un jeu d'enfant, les personnages qui se complètent mutuellement leurs phrases, que ce soit platonique ou romantique qu'importe, juste ça, ce genre d'alchimie.
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 357
24h du Mans moto-3
18/04 suite :
En attendant nous passons notre temps entre mater la course et se balader le long du circuit. Bon d'accord je mate aussi les petits culs quand ils sont bien mis en valeur par les pantalons ou les combis en cuir. On croise quand même un bon nombre de petits mecs qui accompagnent leurs pilotes !
Ils sont reconnaissables à différents détails : une différence d'âge limite père/fils, des physiques disparates avec souvent un des deux typé " crevette ", et pour celui-ci une tenue plus soignée que celle du motard de base qui privilégie le confort à l'esthétisme. Ils répondent sans pudeur par un grand sourire à mes clins d'oeil quand nos regards se croisent.
On se retrouve tous pour diner. Bon ça prend une bonne demi-heure pour que nous soyons tous réunis mais nous sommes au complet pour nous restaurer. Nous choisissons la " gargote " en fonction de sa capacité à nous recevoir tous.
La nuit tombe sur le circuit et l'ambiance change. Malgré la fraicheur qui tombe, l'alcool ingurgité tout l'après-midi commence à faire des effets sur un bon nombre de spectateurs. Ça va des mecs qui cuvent sur un talus à ceux qui n'en sont pas loin mais gerbent le surplus sans compter les mauvais coucheurs qui interpellent ceux qui passent à leur portée dans le but inavoué de déclencher une bagarre.
Notre groupe décourage les emmerdeurs même si nous sommes moins discrets et que les couples qui le compose sont évidents, plus collés/serrés.
Mais nous tombons sur un groupe d'Anglais inconscients. Ils sont une 10aine et nous aussi puisque l'autre moitié de notre groupe nous suit à plus de 20 mètres derrière. Ils sont plein de bière et nous insultent. Même si nous leur faisons savoir que nous sommes tout à fait d'accord avec eux quand ils nous traitent de PD, ils n'en restent pas là et veulent vraiment se battre. Nous sommes dans une partie peu fréquentée du circuit et ils se pensent vraiment au-dessus de nous avec leurs physiques lourds !
On essaye de leur faire comprendre que ce ne serait pas raisonnable pour eux de continuer à nous chercher mais ils sont sourds, les oreilles bouchées par l'alcool ingurgité en grande quantité.
La première ligne anglaise laisse passer ceux qui étaient derrière. Eux sont armés de chaines. Moins drôle tout à coup ! Heureusement nous sommes tous équipés de cuir et les renforts vont nous servir.
Je pense qu'ils se sentent réglos en avançant un par un.  J'engage le premier qui se présente. Contrairement à ce que son alcoolisation pourrait le faire penser, il est encore très lucide ! On fait à peu près la même taille mais il me semble plus lourd.
J'attends qu'il fasse le premier pas. Il me fonce dessus. Je tente un truc qui devrait, si cela marche, l'arrêter direct. Il s'agit de frapper très fort avec le plat de la main situé à l'aplomb du bras sur le front de l'agresseur. Selon la théorie, car c'est évident qu'on n'a pas essayé ça entre nous, ça doit stopper un boeuf.
Je tente et frappe à l'endroit voulu. Ça marche !! Le mec tombe à mes pieds. Par contre le choc en retour est costaud.
Ses potes sont sidérés. Ça devait être leur leader car ils restent comme des cons sans réagir. Un des internes s'occupe du mec que j'ai couché. Il nous rassure tous, oui même moi. Le mec est juste assommé. Les copains nous rejoignent. Ça finit de dissuader les anglais qui repartent avec leur pote.
On rejoint des lieux plus éclairés en discutant de l'efficacité de ma riposte. Nos deux gendarmes ne connaissaient pas et trouvent ça plutôt pratique. PH et Ludovic sont un peu déçu que le reste de la troupe n'ai pas suivi et me reprocheraient même d'avoir été trop rapide. Ils se font remonter les bretelles par Marc et nos représentants de l'ordre public. On était là pour la course pas pour se faire un tableau de chasse.
Frank me dit avoir filmé la scène avec son smartphone. On s'isole et je mate la vidéo. On voit bien le geste. Je lui dis qu'il devra me l'envoyer pour que je le passe à notre prochaine séance d'entrainement.      
On s'approche de la zone du concert. La foule est dense pour écouter les Wampas. On passe un bon moment entre musique et " gesticulations ".
Un nouveau tour du côté de la piste et comme minuit est passé nous rentrons dormir un peu. Pas un chat sur la route, nous mettons 5mn pour arriver au château.
Notre hôte n'est pas encore couché. J'en profite pour lui donner son t-shirt. Il est tout content et nous accompagne pour l'en cas que nous avions prévus. Alors qu'il apporte les plats avec l'aide de quelques-uns d'entre nous, Frank branche son portable sur l'écran plat. Les professionnels (gendarmes) et même les autres regardent le geste que j'ai fait et l'analysent.
On critique le mouvement et je leur explique que si ça mis le mec au tapis, ce n'est pas sans douleur au poignet au moment du choc. Donc c'est le genre de truc à ne pas louper. Les médecins expliquent le phénomène. Ça ressemble au KO d'un boxeur. Le choc au front entraine un traumatisme du cerveau et une perte de connaissance. Les lobes situés à l'avant du cerveau contrôlent la parole et le langage, le raisonnement, la mémoire et divers autres fonctions dont et surtout les mouvements. Le lobe frontal droit gère les mouvements du côté gauche du corps, et inversement pour le gauche.
Donc quand on choque cette partie du cerveau avec une force suffisante, on obtient une immobilisation temporaire immédiate.
J'explique que c'est la première fois qu'on met en oeuvre cette parade. Ils rient et nous disent d'éviter de nous entrainer sur nous-même. Chaque choc à la tête provoque la destruction de centaines de neurones.
Ils nous disent aussi que ce n'est qu'en dernier recours que nous devrions avoir recours à cette parade. Les risques sont important pour le frappé d'avoir des séquelles importantes si le choc est trop fort.
On en prend note et les assurons que nous l'utiliserons qu'en arme ultime.
Nos faims calmées nous partons dormir un peu.
19/04 :
Réveils décousus sur une bonne heure. Je suis le premier debout et part vite plonger dans l'eau me réveiller et détendre mes muscles. Quand je sors de l'eau, le cuisinier m'apporte un café accompagné d'un croissant tout frais. Je lui dis de rester là et pars chercher son t-shirt dans le sac resté dans l'entrée. Quand je reviens il est toujours planté à côté de la table de jardin. Je lui tends le bout de tissu. Il le déplie, lit l'inscription et me remercie qu'il ne fallait pas. Je lui dis que c'est pour le remercier de nous avoir sacrifié son WE. Je m'approche de lui, retire le t-shirt basique blanc qui recouvre son torse et après m'être rincé l'oeil, lui dit d'enfiler le nouveau. La taille est bonne, c'est-à-dire 1 en dessous. Ça le moule bien et on devine le modelé de ses abdos. Pour les pecs, c'est évident et de profil même ses tétons sont visibles !
Quand il repart en cuisine je lui sors un " bonne chance maintenant pour éviter de te faire violer ". Il se retourne et me remercie du compliment.
Mes acolytes se réveillent dans le désordre et me rejoignent, les yeux encore collés, qui les cheveux en bataille quand ce n'est pas les deux à la fois.
Comme prévu, ce sont des sifflements qui sortent de toutes les bouches quand le cuisinier apporte les plateaux de bouffe. Mes amis attendent quand même qu'il les ait déposés avant de passer leurs mains dessus, justes pour apprécier le-t-shirt bien sûr !!
Nous arrivons à le faire bander même s'il n'est pas persuadé de baiser avec nous !
Donc petit déjeuner, douches, enfilage des combis et on saute sur nos motos pour rejoindre le circuit. Nous arrivons en milieu de matinée et la population debout, autour de la piste est encore dispersée. Nous sommes frais et propre par rapport à ceux qui sont restés toute la nuit dans l'enceinte du circuit. On fait le point sur les évolutions de la nuit, qui est en première place, qui en second ...
Il fait beau. Je retire mes bras du haut de ma combi et me met torse nu. Je suis imité par mes mecs (PH et Ludovic) et par la moitié de notre groupe. Ceux qui voudront nous chercher sauront �� quoi s'attendre. Plus cachés sous le cuir, nos masses musculaires imberbes font dans la dissuasion.
Et c'est efficace car bien que nous ne nous retenions pas en geste tendre (sans non plus être collés tout le temps à se rouler des pelles) nous n'entendons plus les remarques homophobes de la veille et ne sommes pas pris à partie.
La journée se passe merveilleusement bien jusqu'au drapeau à damier.
Comme bon nombre de motards, nous envahissons la piste et attendons sous le podium la remise du prix et la douche de champagne. Ça parle toutes les langues autour de nous, Espagnol, Italien, Anglais bien sûr mais aussi des langues du nord, hollandais et plus septentrional encore type norvégien et suédois. Non je ne comprends pas toutes ces langues mais comme les diffuseurs agitent des drapeaux nationaux, j'arrive à deviner !
On n'est pas les seuls à être torse nu mais on est le groupe le plus homogène question muscles.
Comme j'ai loué jusqu'à demain matin, personne n'est pressé et nous laissons partir la majorité des motards avant de retrouver nos montures et rentrer au château.
Nicolas nous attendait. On se met à poil et directs dans la piscine. Comme c'est évident qu'on va baiser, pas la peine de s'encombrer de maillots ! Bonne détente musculaire et ça dérape vite. On sort de l'eau et ça s'embrasse de tous les côtés juste au moment où Nicolas arrive avec les bières fraiches.
L'un de nous veut l'entrainer dans notre délire mais il recule et me dit que son cuisinier est là et qu'il ne veut pas être en porte à faux avec lui. Je comprends. Je pars donc en cuisine chercher " l'empêcheur de tourner en rond ".
Je le trouve avec le t-shirt que je lui ai offert le matin même. Il est toujours aussi sexy. Je profite qu'il a les mains pleines pour passer mes bras autour de sa taille, lui faire un bisou dans le cou et lui dire que nous attendons qu'il nous rejoigne à la piscine. Il pose sa poêle se retourne (oui je l'avais attrapé de dos) et me dit que c'est impossible elle est réservée aux clients. Il m'énerve ! Je le bascule sur mon épaule et le porte jusqu'à la piscine où je l'envoi dedans. Puis j'avise Nicolas et lui annonce que son homme est dans l'eau et qu'on va se charger de lui apprendre à baiser des mecs. Donc, lui n'a plus de raison de se retenir, son chef cuistot ne saurait le faire chanter une fois dépucelé.
Le temps qu'on discute, les deux gendarmes et 3 autres sont dans l'eau à dévêtir le nouveau venu.
Quand il est éjecté de l'eau, il est donc tout nu et déjà bandant ! Comme quoi c'était bien la peine de me dire non !!
Nicolas est un peu gêné jusqu'à ce que Louis se mette à téter sa bite.
Moi, son cuisinier m'attire. C'est normal, je ne le connais pas ! Je dois pousser deux Bordelais pour pouvoir atteindre sa peau. Il est face à moi. Le mec est canon de corps (tête normale) surtout un bassin étroit qui porte une belle bite aux couilles rasées et pubis dégagé, raide comme un bâton.
Les deux " expulsés " me poussent dans ses bras et j'en profite. Tentative de roulage de pelle qui est finalement acceptée et même voracement acceptée. Ma bite vient au contact de la sienne et mes mains descendent de son dos pour attraper ses petites fesses. J'essaye de les écarter. Il serre ses fessiers et m'empêche quelques secondes d'accéder à sa rondelle. On continue à se mélanger nos langues et à frotter nos queues l'une contre l'autre.
Les copains me le laissent et sont partis chercher leur plaisir entre eux. Mes tétons durcissent contre les siens. Il lève ses bras pose ses mains derrière ma tête et appui histoire de me retenir au cas improbable où j'aurais souhaité le laisser tomber !
Il relâche ses muscles et j'arrive à séparer ses fesses et à poser un doigt sur sa rondelle. Je sens sa bite sursauter contre la mienne dès que le bout de mon doigt se pose sur cet endroit intime.
Je repousse ma tête, le fixe dans les yeux et lui dis " tu veux me faire croire que t'as pas envie de ma bite au fond de ton cul peut être ? ". Il m'embrasse dans le cou et me souffle que, faire ça chez son boss c'était pas évident pour lui.
C'est vrai, nous c'est facile, on est des clients mais lui, c'est Nicolas qui le paye.
Je lui dis d'ouvrir une parenthèse que demain quand on sera parti, il l'a refermera tout comme son boss et il ne restera qu'un bon souvenir pour tous.
Je descends ma tête jusqu'à ses tétons déjà raidis. Je suce, mordille. Je l'entends gémir. Je descends encore et trouve son gland juste au niveau de son nombril. Il est circoncis et gonflé à en éclater. Je m'empresse de tempérer son extrémité. J'ouvre la bouche et après l'avoir mis dedans, je joue de ma langue. Léchages langue plate, tour de sa couronne, tentative de l'enfiler dans son méat, je m'occupe bien de son bout avant de me l'enfoncer dans la gorge. Je ressens son sursaut alors que son gland passe ma glotte. J'attrape ses fesses et les tire vers moi pour bien écraser mon nez sur son pubis. Sa bite rentre profond. A vue de gorge, elle doit faire dans les 21cm. Je m'étouffe puis recule pour respirer puis recommence. Je l'entends au-dessus de moi gémir que c'est trop bon.
Je me redresse et on se roule une nouvelle pelle. Il est encore plus chaud qu'avant. A son tour, il glisse contre moi et sans arrêt part directement chercher ma queue. Sa pipe est bonne mais pas du niveau de la mienne. Il s'y essaye pourtant et s'étrangle deux fois avant de se contenter de me téter le gland. Il l'aspire collant ses joues contre lui. Il gonfle ses joues pour avoir la place d'en faire le tour avec sa langue.
C'est pas mauvais non plus !
C'est lui-même qui se redresse et me tourne le dos tout en restant collé contre moi. Il roule du bassin jusqu'à ce que ma bite se calle entre ses fesses. Là, il contracte ses muscles et elle se retrouve emprisonnée alors que je suis toujours dehors ! Pas mal du tout !!
Je glisse entre elle comme un hétéro entre deux seins ! Mais c'est meilleur car plus de compression.
Je mordille son cou et lui souffle à l'oreille que j'adorerai lui défoncer la rondelle. Réponse : " pareil ", " enfin non, je veux ta bite en moi ". Bon on est sur la même longueur d'onde, c'est tout bon.
Je me kpote et lui enduit le trou de gel. Bon je lui enfonce quand même deux doigts bien profond pour graisser l'entrée. Ils rentrent facile. Je les remplace par ma bite. Je pousse doucement je lui laisse le temps de se détendre. J'accentue ma pression et mon gland pénètre son ampoule anale. Je cesse de pousser le temps qu'il s'habitue à ma présence. En fait j'attends et c'est lui qui relance la pénétration en se reculant.
Je termine d'un coup sec et pose mes hanches contre ses fesses. Dieu que c'est bon un cul nouveau ! J'y vais doucement les trois/quatre premiers assauts.  Je monte en puissance. Il encaisse bien et prend du plaisir sous mes coups de boutoirs. Sa rondelle se crispe par moment et amplifie mon propre plaisir. Je me couche sur son dos et lui affirme que je suis bien dans son cul mais que je ne suis sûrement pas le premier. Il tourne la tête, me sourit et me confirme le fait. Il ajoute que ce n'est quand même pas sa pratique habituelle et que sa dernière sodo remontait à quelques mois quand même.
Sans cesser notre emboitement mouvementé, on mate un peu les autres baiseurs. Il rigole de voir son patron dans sa position, avec un gendarme à chaque extrémité. Je fais un panoramique. Mes mecs sont bien occupés aussi. Ludovic est en train d'enculer le Louis de Frank avec ce dernier planté dans son cul. PH lui est occupé avec deux de nos bordelais. Kamal lui s'éclate la rondelle sur la méga-bite du Lad.
La baise est intense. Entre les gémissements on peut distinguer des " Fuck ", des " t'es trop bon toi ", des " plus fort ". Tout va bien !!
Quand la baise est finie, nous mettons tous la main à la pâte pour finir la préparation du diner et ce malgré les refus répétés de Nicolas et de son cuisinier.
C'est sûr qu'il ne faudrait pas que la DDPP se pointe pour une visite sanitaire. Voir des mecs en maillot dans la cuisine, ça passerait pas !
Soirée calme puis gros dodo en prévision des retours.
Jardinier
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a-room-of-my-own · 4 months ago
Note
#oui les hommes s’en foutent#mais rassurez-vous ils se foutent aussi de tout le reste Je trouve ce que tu as dit hyper intéressant. C'est honnêtement ma thèse, de plus en plus, à mesure que j'avance dans la vie, sans que j'ai quoi que ce soit d'autre que mon expérience pour la soutenir. Je ne sais pas à quoi ça tient, mais j'ai le sentiment que nous, les hommes, les mâles humains, peu importe, ne tenons pas à la vie matérielle autant que les femmes. J'entends "tenir" au sens premier du terme. On y est moins connectés, ou on s'y connecte moins, je ne sais pas. Des religieux radicaux aux fans supposément ultra-rationalistes d'Elon Musk, par exemple, il y a toujours un gouffre de l'idéal vers le réel qui doit être franchi. L'idéal, c'est où le quotidien devrait être vécu, et le contact avec le réel est toujours difficile. C'est le moment des larmes, ou de la colère, ou, dans les pires des cas, de la destruction, j'entends la destruction entendue pour rectifier le décalage entre l'idée et le concret, ou signer un manifeste en faveur de l'idée au détriment du concret. J'ai la conviction que les hommes peuvent vivre une existence entière purement au travers de symboles et de structures esthétiques qui auront déterminé leur _histoire_. Je pense que la structure principal d'un homme, en général et pas en particulier, c'est une structure narrative. Je pense que si on sort de sa narration, il y a désarroi. Au mieux, pour lui-même, au pire, pour les autres.
Alors c’est juste mon hypothèse, mais je pense que ça a beaucoup à voir avec le fait de vouloir remplir le vide créé par l’incapacité de concevoir / d’engendrer.
D’un côté il faut contrôler les femmes et leur capacité à engendrer, de l’autre il faut créer de multiples formes de conception, voire tenter grâce à la technologie de les remplacer : par les mères porteuses puis les utérus artificiels, par la robotique, par la technologie …
Tout dans la nature rappelle que ce qui est nourricier au sens premier du terme est féminin. Plus les hommes se distancient du féminin pour essayer de trouver leur identité propre, plus ils peuvent se réfugier dans l’abstrait ou l’artificiel. Ou dans le mensonge, en racontant dans leurs mythes que les femmes ne sont que des fours, que l’âme vient de la semence masculine, que les femmes sont des hommes ratés etc…
C’est un mensonge et ils le savent. Mais pour le maintenir il faut non seulement se tenir à distance du féminin mais aussi le dévaloriser. Tout ce qui a trait aux femmes est humiliant, inférieur, niais, ce qui rentre en confrontation directe avec l’orientation sexuelle de la majorité d’entre eux. Comment réconcilier le fait d’être attiré sexuellement par un être qu’on jalouse et qu’on méprise?
En considérant que le sexe est par nature un péché. Que la femme est tentatrice, que son corps est sale, qu’elle est impure. Encore une raison de se réfugier dans l’abstrait et l’artificiel ! Mais ça ne protège pas de la colère, qui s’abat sur les femmes qui même quand elles n’ont rien ont toujours trop.
J’ai toujours envie de rigoler quand je vois des hommes écrire des scénarios catastrophe sur les robots qui tueraient l’humanité et dont il faudrait restreindre le libre arbitre. On voit bien ce que les hommes pensent d’eux-mêmes. Aucune femme n’a jamais pensé que ce serait une bonne chose de briser le libre arbitre de ses enfants et d’en faire des serviteurs dociles. Il n’y a qu’un homme pour se dire « je ferai mieux que les femmes » (une créature sur mesure) « qui ensuite me tuera » (parce que je suis incapable de l’aimer correctement).
Le jour où les hommes auront dépassé leur trauma collectif de ne pas avoir d’utérus on pourra peut-être avancer mais c’est pas pour demain.
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selidren · 3 months ago
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
12/20
Je t'ai déjà longuement parlé d'eux et de leur relation il me semble. J'aimerais un jour qu'Antoine et moi soyons comme eux. Ils ont cette amitié exclusive qui les rapproche plus que des frères. Cela s'est encore vu lors des funérailles de Grand-Mère.
Quand ils sont sortis de la chambre, Papa était blême. Adelphe, lui, semblait avoir quantité de poids supplémentaires à porter sur ses épaules. Il a semblé plus marqué que jamais, même sa cicatrice de la guerre fait pâle figure.
Transcription :
Adelphe « Tintin… Il faut y aller maintenant. Ce ne serait pas correct de trop faire patienter les gens. »
Constantin « Je ne peux pas Adelphe. »
Adelphe « On en a déjà parlé. C’est important. On ne peut pas aller aux funérailles sans toi. »
Constantin « Ne dis pas ce mot ! »
Adelphe « Il faut te faire une raison... »
Constantin « Non… non, je ne peux pas. C’est trop dur... »
Adelphe « C’est dur pour moi aussi. C’est dur pour tout le monde. Mais… personne ne comprendrait si tu ne venais pas. Et tu le regretterais... »
Constantin « Je m’en fiche de ce que les autres veulent comprendre ou pas ! Je m’en fiche de ce qu’ils pensent ? Je veux qu’on me laisse tranquille ! Je veux que tout redevienne comme avant ! Je veux ma grand-mère ! »
Adelphe « Ecoute… S’il te plait... »
Constantin « J’en ai assez tu comprends ? C’est toujours pareil… Les gens disparaissent encore et encore. J’ai perdu Maman, et Tante Lucrèce. Puis Papa. Et après Monsieur Hautbourg est mort dans cette putain de guerre. Puis les cousins. Et voilà que c’est grand-mère qui m’abandonne... »
Adelphe « Elle ne nous a pas abandonnés. Elle est restée avec nous bien plus longtemps que la plupart des gens. »
Constantin « Elle dit toujours… que sa cane est plus vieille que moi... »
Adelphe « Oui. Elle disait cela oui. »
Constantin « Pourquoi les gens doivent-ils disparaître et mourir sans arrêt ? Pourquoi est-ce que, à chaque fois qu’un nouveau s’en va, ça doit faire si mal ? Pourquoi j’ai l’impression d’avoir manqué tant de choses ? Les regrets, la culpabilité… C’est trop dur. »
Adelphe « C’est que... »
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lisaalmeida · 1 year ago
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« Est-il possible qu’on n’ait encore rien vu, reconnu et dit de vivant, est-il possible qu’on ait eu des millénaires pour observer, réfléchir et écrire et qu’on ait laissé passer ce millénaire comme une récréation pendant laquelle on mange sa tartine et une pomme ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que malgré invention et progrès, malgré la culture, la religion et la connaissance de l’univers l’on soit resté à la surface de la vie ? Est-il possible que l’on ait même recouvert cette surface qui après tout eu encore été quelque chose, qu’on l’ait recouverte d’une étoffe indiciblement ennuyeuse qui la fait ressembler à des meubles de salon pendant les vacances d’été ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’histoire de l’univers ait été mal comprise, est il possible que l’image du passé soit fausse parce que l’on a toujours parlé de ces foules comme si l’on ne racontait jamais que des réunions d’hommes au lieu de parler de celui autour de qui ils s’assemblaient parce qu’il était étranger et mourant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que nous croyons devoir rattraper ce qui est arrivé avant que nous soyons nés ? Oui, c’est possible.
Est-il possible qu’il faille rappeler à tous l’un après l’autre qu’ils sont nés des anciens, qu’ils contiennent par conséquent ce passé et qu’ils n’ont rien à apprendre d’autres hommes qui prétendent posséder une connaissance meilleure ou différente ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que tous ces gens connaissent parfaitement un passé qui n’a jamais existé ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que toutes les réalités ne soient rien pour eux, que leur vie se déroule et ne soit attachée à rien comme une montre oubliée dans une chambre vide ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on ne sache rien de toutes les jeunes filles qui vivent cependant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on dise les femmes, les enfants, les garçons et que l’on ne se doute pas malgré toute sa culture, que l’on ne se doute pas que tous ces mots depuis longtemps n’ont plus de pluriel mais n’ont qu’infiniment de singulier ?
Oui, c’est possible.
Est il possible qu’il y ait des gens qui disent Dieu et pensent que ce soit un être qui leur est commun ?
Oui, c’est possible.
Vois ces deux écoliers, l’un s’achète un couteau de poche et son voisin, le même jour, s’en achète un identique et après une semaine, ils se montrent leurs couteaux et il apparaît qu’il n’y a plus entre les deux qu’une lointaine ressemblance tant a été différent le sort des deux couteaux dans des mains différentes ? Oui, dit la mère de l’un s’il faut que vous eussiez toujours tout et encore est-il possible que l’on croit posséder un dieu sans l’user ?
Oui, c’est possible ».
Mais si tout est possible, si tout cela n’a même qu’un semblant de possibilité, mais alors il faudrait pour l’amour de tout au monde, il faudrait que quelque chose arriva.
- Rainer Maria Rilke se pose les questions dans ´Les Cahiers De Malte Laurids Brigge
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e642 · 2 years ago
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trucs que je déteste que les gens fassent/disent
- les gens qui donnent des tapes sur l’épaule (plus tu sursautes fort mieux ils se sentent) - les gens qui disent au jour d’aujourd’hui ou malgré que (faut arrêter de suite, si vous n’arrivez pas à vous y faire faut contacter l’académie française) - les gens qui haussent le ton dans une conversation pour pour couvrir ta voix et avoir la parole (attends ton tour comme tout le monde) - les gens qui font des bruits de bouche (pas de commentaire) - les gens qui coupent la parole (attends ton tour aussi) - les gens qui racontent une histoire/blague mais sans faire de chute (quel est l’intérêt ?)  - les gens qui disent "hein” ou “quoi” quand ils ont pas entendu (ça ne m’a jamais donné envie de répéter) - les gens qui finissent leurs phrases par “ou quoi”: mais t’es bête ou quoi (si c’est tant une évidence que ça, t’as pas besoin de le relever) - les gens qui s’amusent à siffler avec leurs doigts (vous pensez que je peux me permettre de perdre de l’oui gratuitement comme ça ?)  - les gens qui continuent à applaudir quand tout le monde a arrêté parce que c’est marrant apparemment ?? (ça ne l’est pas) - les gens qui mettent pas leur main devant lorsqu’ils éternuent (si j’avais voulue être malade je me serais débrouillée autrement tu peux garder tes postillons)  - les gens qui disent “j’ai lu en diagonal” pour pas avouer qu’ils ont rien lu du tout - les gens qui te posent une question mais qui n’écoutent, ouvertement, pas la réponse (ne me la pose pas dans ce cas, ce sera un gain de temps précieux) - les gens qui vont courir aux heures chaudes et qui se plaignent d’avoir mal au crâne (sois plutôt reconnaissant de pas avoir fait une rupture d’anévrisme) - les gens qui disent “j’aurais pas aimé être à ta place” (en général c’est assez logique vu les contextes où cette phrase peut aller) - les gens qui utilisent une belle expression française mais se trompent (”mieux vaut tard que plus tard”, “pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir harponné”, “l’herbe est plus jaune ailleurs” c’est non)  - les gens qui sont sûrs d’eux quand ils disent une énorme connerie (c’est plus pour eux que pour moi) - les gens qui disent qu’ils préfèrent le goût des fruits/légumes surgelés (à moins que tu n’aies pas les moyens d’acheter du frais je ne suis pas en mesure de comprendre) - les gens qui disent oki doki (c’est mon unsafe word jsp pk) - les gens qui prennent jamais de position en disant toujours “si tu veux” même quand la réponse ne peut pas être autre chose que oui ou non (-on appelle les pompiers ? oh bah si tu veux- niquel) - les gens qui pensent vraiment que leur horoscope est une excuse au fait que ce sont des vrais cons (je trompe mon mec mais ça c’est parce que je suis taureau oups ihih) - les gens qui répondent “ça va et toi ?” lorsque tu dis ça va dans le sens c’est carré (la ponctuation est ton amie) - les gens qui se plaignent d’une douleur mais refusent de prendre un médicament (juste prends le médicament ou tais toi ou les deux c’est encore mieux) - les gens qui agrémentent leur phrase par “ma belle”(ya pas grand chose de plus méprisant que ces deux mots collés) - les gens qui disent “ya pas de souci” alors qu’il y en a clairement un (juste parle fr) - les gens qui font la distinction entre les collègues, les connaissances, et les je le.la connais de vue (c’est pour se compliquer la vie ou à ce stade ya vraiment une diff ?) - les gens qui disent concubin et pas partenaire (j’aime pas ce mot, peut-être parce qu’il y a con et cu juxtaposés) - les gens qui disent “tant que toi ça va, moi ça va” (c’est connu, on va bien parce que les gens autour de nous vont bien ou inversement) - les gens qui commencent leur phrase par “bah” (ça me donne l’impression que j’étais censée savoir) - les gens qui disent trop bon trop con (t’es juste en train de laisser croire aux personnes les plus crédules qu’être gentil est finalement un défaut qui donne raison aux mauvais comportements) à suivre
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jezatalks · 3 months ago
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Je vais me plaindre ici. Ça va être un pavé. Vous pouvez passer si vous voulez.
J'ai donc récupéré mon ami et son pote.
On est tous les 3 autistes. Les 2 dyspraxiques, anxiété /dépression assez forte.
Je sais qu'ils viennent de se prendre 17h de vol.
Je sais que niveau énergie c'est pas top.
Je les avais prévenus que la ville au Japon, c'est pas neuroa friendly tellement c'est remplis de stimulis.
J'avais prévenu qu'on allait BEAUCOUP marcher.
Et ils se plaignent. Et ça me saoule. Car même si avec ma coloc française on pratiquait un ralage à la française de temps en temps. Le fait que ça ne fasse pas parti de notre quotidien. Bah ça fait un bien fou. Et surtout pour mon moral
Tumblr c'est un peu un exutoire, donc je me suis bcp extériorisé ici. Mais je n'étais pas négative avec mes colocs.
Je me rend compte que je n'ai plus la patience de tant de négativité. Et les entendre se plaindre de rien. De chose que j'avais prévenu. Ou d'humour noir et remarques où ils se déprécient eux même ??? Je peux plus.
Après on est des gens éduqués. Et on dit que "welp là je suis à bout. Je m'excuse si j'ai parlé méchamment mais la fatigue frappe fort"
Je leur ai dit que oui j'étais sur les nerfs car ils sont grognons et que, sur la journée ça fatigue.
Mais surtout que je n'ai pas eu de reconnaissance sur quoi que ce soit depuis mon arrivée (je sais qu'ils le pensent. Mais trop fatigués pour l'exprimer)
J'ai beau répété que je ne leur en veux pas personnellement. Mais vu qu'ils gèrent des états dépressifs/anxieux et qu'ils sont très conscients de leurs faiblesses. Je sens que ça les touche bcp
J'avais pas prévu de m'occuper d'ados à la base 😭
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claudehenrion · 2 years ago
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Vieillir jeune (suite inattendue et non-programmée...)
  Le 12 avril dernier, nous avions passé un moment à disserter sur un gros rapport statistique de l'Insee sur les centenaires. C'était net, clair, factuel, précis, , sobre, arithmétique... et donc rigoureusement extérieur à tout ce que tous les gens qui sont entrés dans le processus du vieillissement pensent, ressentent, vivent, éprouvent. Plusieurs gentils lecteurs me l'ont fait remarquer très vite : en prenant de l'âge, deviendrais-je un technocrate désincarné ?. Que la réponse soit oui, oui-oui, ou oui-oui-oui, je dois me faire pardonner : ''un vieux'', c'est tout, excepté des statistiques et des chiffres, alignés dans un rapport INSEE, comme à la parade.
La seule question qui soit intéressante, c'est, en dernier ''ressort'' (ce ressort qui est une des choses qui disparaissent avec l'âge, et il en arrive un, un jour, qui est ''le dernier'' !) c'est : ''qu'est-ce que vieillir, et comment sait-on ou sent-on qu'on est entré dans ce cycle de la vie qui ne fait pas l'unanimité et n'a pas toujours très bonne réputation ?''. Car enfin, ne trouvez-vous pas paradoxal  que alors que vieillir n'a rien de sexy, l'idée de vivre encore longtemps fait, en gros, l'unanimité... ? En réfléchissant à ce lourd dilemme, je me suis souvenu d'une boutade de Golda Meir : ''Le grand-âge, c'est comme un avion dans une tempête : une fois que vous y êtes, il n'y a pas grand chose que l'on puisse faire, à part attendre et prier...''. Et puis il y a cette phrase terrible de De Gaulle, lancinante, définitive pour une chose qui, justement, ne l'est pas : 'La vieillesse est un naufrage''...  Ces deux grands ouvreurs des portes ont... grand ouvert celles autour desquelles je slalome !
Partons de Picasso –qui, bien que mouginois d'adoption, n'est pas vraiment un de mes maîtres à penser, mais pour une fois...-- qui disait ''on ne vieillit pas, on mûrit'', citation qui m'a remis en mémoire que, il y a quelques années, je répétais et me répétais : ''je deviens adulte'', ce qui était un peu vrai (''Encore cinq minutes, Monsieur le Bourreau !'')... J'ai longtemps cru que devenir grand-père me ficherait un bon coup de vieux, mais pas du tout, c'est passé comme un lettre à la poste (NB : c'est le fait d'être marié à une grand mère qui m'a fait prendre des années !). Depuis, promu ''Arrière-grand père'', je n'ai plus ce genre de soucis ! Tout au contraire, une petite voix me susurre de plus en plus souvent que plus je vieillis, plus je m'améliore dans pas mal de domaines (même si je serais bien incapable de vous dire lesquels !) : mes souvenirs me parlent d'un type qui a été nettement meilleur en tout que je ne l'ai été : je me souviens fort bien (ou plutôt... ''il surgit en ma mémoire'') de performances qui auraient fait de moi un champion olympique dans pas mal de sports : ''plus le temps passe, et plus je me souviens avec précision de choses qui n'ont jamais eu lieu... '', disait Mark Twain sur le tard.
Je pense, en écrivant cela, à l'ancien Président des Etats-Unis Ronald Reagan qui, frappé des syndromes d'Alzheimer, se réjouissait de ne jamais avoir une seconde à lui : ''Je rencontre sans cesse des inconnus qui ont, de moi, des souvenirs que je recherche. Je n'arrête pas !'', la limite extrême de cette évolution un peu crue, qui fait le bonheur de certains humoristes (jeunes, eux !) étant : ''au début, on oublie les noms... puis on oublie les visages... ensuite on oublie de remonter sa braguette... et puis... on oublie de la baisser...''. Ce n'est pas très distingué... mais cette constatation, heureusement, est plus souvent anecdotique que revendiquée...
Dans un domaine moins cru (et moins cruel), ce qui me frappe, c'est que jamais on ne m'a autant dit que je ne fais pas mon âge que depuis que celui-ci s'est envolé vers des sommets dignes d'un respect que le modernisme a oublié. Plus je me sens me décatir, plus des gens qui croient me faire plaisir me racontent qu'ils me trouvent jeune (sic !), la phrase ''standard'' étant le terrible (car si mensonger) ''Tu n'as pas changé''... qui sous entend que vers 30,  45 ou 60 ans, je ressemblais au vieillard que je suis... Les gens sont drôles, à force d'être tristes. Et vice-versa. 
Il me semble que plus je vieillis, plus je passe de temps à expliquer que jamais je ne me suis senti aussi jeune... alors que l'âge que j'ai atteint n'est, au fond, que la punition ou la conséquence d'avoir vécu si longtemps ! Mais pouvoir constater qu'on est vivant doit être malgré tout plus agréable que de dire qu'on est mort ! Hélas, on ne peut raconter qu'une seule de ces expériences, et c'est dommage.
Avez-vous remarqué que, chez ceux de vos amis qui flirtent avec le chiffre ''100'', on sent moins de pression sociale ? Ma mère, vers 103 ans, se plaignait souvent que les visites de ses amies de classe se faissent plus rares, et s'en étonnait parfois : ''Tu sais, me disait-elle, Une Telle me déçoit. Elle ne vient plus me voir, comme avant''.... et je lui proposais  de l'accompagner au cimetière de Cannes, où elle en ''reverrait'' plein, d'un coup... La vieillesse, au fond, c'est le temps de la vie où les gens vous abandonnent et où les anniversaires ne sont plus des fêtes : un gâteau d'anniversaire de mon père, portant presque cent bougies, avait failli mettre le feu, ratant de peu ''l'incendie du siècle'', ou plutôt... celui du centenaire !
Une brève incise dont je certifie l'exactitude : ce cimetière de Cannes est un magnifique jardin, à pic sur ''la Grande Bleue''. A la porte, un écriteau : ''Cimetière du Grand Jas'' (NB : la grande bergerie, en provençal). En dessous, les horaires d'ouverture été-hiver, puis cette notule qui m'enchante ''Défibrilateur à l'intérieur'', dont Pagnol aurait tiré un enchantement. Pour moi, seule la joie de vivre de notre midi peut fabriquer un tel optimisme : ''il était mort, le Pépé, mais au moment de descendre dans le trou, il a préféré un pastaga à 360 joules pour profiter encore un peu de ce coquin de soleil et battre encore Titin à la pétanque...''. La vérité, té... c'est que la vieillesse, c’est rien que une certaine idée que les autres se font de vous. La mort, c'est pareil... Et dit ''avé l'accin'', c'est encore bien ''plusse'' beau !
Je vais arrêter ces lieux communs sur le grand âge et cet enfonçage de portes ouvertes vers un milieu puis vers un lieu réputés pour leur fermeture... sauf pour regretter le ''bon vieux temps'' où vieillir apportait, dit-on, une garantie d'être écouté et respecté –au moins en apparences : aujourd'hui, la société trouve que, ne produisant plus rien, vous êtes inutile... alors que vous vous donnez du mal  pour faire croire que vous ''vieillissez jeune''. En prenant de l'âge (déjà... quelle drôle d'expression ! On ne prend rien du tout, on en prend, et plein la gueule !), on réalise que être vieux, c'est dire : ''Jamais je ne me suis senti aussi jeune'', au mépris de l’évidence. Vieillir, ce n'est pas tant ''se faire vieux'', que vouloir rester jeune !
Le monde est mal fait : les jeunes rêvent d'avoir l’air plus vieux et les vieux d'avoir l’air plus jeunes ! Je pense souvent à cette histoire pour chansonnier du ''vieux monsieur qui vient de renouveler son abonnement à Play Boy... mais n'arrive pas à se souvenir pourquoi'' … Pour me faire pardonner ma sécheresse apparente ''post-INSEE'', je cherchais une ''sortie'' souriante... Celle-là me convient. Bonne semaine.
H – Cl.
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edlim-sims · 2 years ago
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Après les cours, Marina croise Justine, avec qui elle veut réparer les pots cassés.
Justine: Tu voulais me parler?
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Marina: Je m’excuse pour l’autre fois, mais je ne comprends toujours pas ta réaction.
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Justine: Arf c’est si compliqué? Tu ne vois pas le problème? C'est évident…
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Frédéric: Hé salut! Euh…
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Justine: Bon, voilà le loup! Ce que j’allais te dire, c’est que je suis contre que vous soyez en couple, car je ne lui fais pas confiance. Les membres de sa famille ne pensent qu’à eux et aux simflouz. Ils ne se soucient pas des autres.
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Frédéric: C'est injuste! Oui, mes parents sont comme ça, même chose pour certains de mes frères et sœurs, mais je ne m’associe pas à eux. Je suis différent.
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Justine: Seul le temps nous dira si tes actions correspondent à tes paroles. Je vous laisse.
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Marina: Justine…
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Frédéric: Ça va aller.
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Marina: Merci. Tu sais, Justine a parlé de toi et moi comme d'un… couple…
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Frédéric: Ouais, je sais pas? Probablement? On peut être en couple… si tu veux!
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Marina: Ok ouais!!!
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Aucun couple n’est officiel sans un selfie publié sur les réseaux sociaux! ✅
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kilfeur · 2 years ago
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Servir la justice dans The Great Ace Attorney
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Je trouve que le jeu soulève un point intéressant avec Stronghart, Kazuma, Genshin Barok, Klint et Ryunosuke. Jusqu'où on est prêt pour agir pour le nom de justice ? Jusqu'où une personne serait prête à se battre contre un système juridique corrompu pour rétablir la "justice" ? Pour répondre à la justice, seriez vous prêt à vous salir les mains afin de faire payer les vrais criminelles ? Pour moi, ces cinq personnages représentent une manière de se battre pour la justice.
Parlons de Genshin, ce que je trouve intéressant malgré le peu d'infos qu'on a sur lui. D'après Barok, Kazuma et Mikotoba, c'était quelqu'un de très droit, de mémoire il avait l'ambition d'apprendre le système juridique anglais pour pouvoir ramener ce qu'il a apprit au Japon afin d'améliorer le système juridique de son pays. D'après les dires de Barok, Klint et Genshin travaillaient ensemble dans certaines affaires et il y avait un certain respect mutuelle. Toutefois quand il découvrit la vérité au sujet du professeur, il essaya d'abord d'en parler à Lord Stronghart, sauf que bien sûr vu que c'est lui le maître manipulateur. Il feint l'ignorance en lui rappelant sa position. C'était un étudiant étranger à Londres qui n'a aucun pouvoir ici, de plus si il cause le moindre souci, ça pourrait causer un incident diplomatique. Je crois me souvenir que Genshin non plus n'avait pas de preuves pour dire que Klint était le professeur. Au final, il décida de confronter Klint soulevant une certaine impulsivité de vouloir régler ce problème lui même. Lui qui voulait apporter la justice, l'a fait en salissant ses mains et le jeu ne le glorifie pas. Pour moi la lettre Klint ne glorifie à aucun moment Genshin, il savait très bien que ce duel signait la mort de l'un deux. Oui il a pu arrêter le professeur mais il n'est pas pour autant innocent dans cette affaire car pour rétablir la justice, il a dû faire couler le sang. Bon après il y a aussi la tentative d'évasion mais là j'ai du mal à le blâmer émotionnellement parlant. Vu qu'il voulait revenir au pays pour son fils ! Mais droit comme il est, ça m'étonnerait qu'il aurait poursuivi ses études de droit si il avait réussi à s'évader.
Ryunosuke qui arrive tout juste dans ce milieu voulant honorer le rêve de Kazuma et apprend si il doit placer sa foi ou non envers ses clients après l'affaire MgGilged. Même quand il a fallu défendre Gina, il a eu des doutes mais a prit l'affaire quand même. Toutefois dans ce procès, il n'hésitera pas à se battre contre n'importe qui pour protéger son client si il a foi en lui. Ryunosuke dit quelque chose au sujet d'apporter la vérité, bien qu'au début il dit qu'il faut que la vérité soit dévoilé. Il comprend aussi que cette vérité peut avoir de lourdes conséquences. Je trouvais que son évolution par rapport à la vérité est sympa. Quand à Barok, il était prêt à porter le titre du faucheur si ça permettait de baisser le taux de criminalité à Londres et de faire payer les criminelles qui pensent pouvoir s'échapper à la loi. Sauf qu'inconsciemment, Stronghart l'avait au creux de sa main et pouvait faire de lui sa marionnette pour atteindre ses objectifs. Et le peuple de Londres craignait sa présence dans le tribunal du Vieux Bailey montrant que ce n'était pas un procès qu'ils assistent mais à une exécution.
Bien qu'il enquêtait secrètement sur l'organisation du faucheur, ses efforts pour cette enquête n'ont pas été suffisants car son ami est mort. Dans la photo où on le voit jeune, on pouvait voir aussi Gregson supposant que ces deux là étaient proches à l'époque (dans les contenus spéciaux, il y a un épisode extra où on les voit discuter ensemble). Barok était le bouc émissaire idéal pour blâmer la mort de tous les criminelles de Londres. Malgré son travail aux tribunal pour faire tomber les criminelles et malgré ses principes à rétablir la vérité et à amener la justice, l'un d'entre eux a été brisé pendant le dernier procès, c'est justement l'un des symbole les plus fort du jeu. Surtout que Klint celui qu'il admirait pour son travail, qu'il voulait suivre ses pas, à un moment il a douté de lui sur le fait qu'il était le professeur. Mais il y refusait comme pour refuser de briser la belle image qu'il avait de ce dernier, mine de rien il l'a aussi idéalisé tout comme Ryunosuke a idéalisé Kazuma après sa fausse mort.
Kazuma qui bien qu'au début a des ambitions nobles se cache une ambition bien plus sombre, celle de venger ceux qui ont causé du tort à son père. Je pense toujours que malgré sa vengeance, il voulait sincèrement changer le système juridique japonais. Sa vengeance obscurcisse son jugement l'empêchant d'écouter les faits de Ryunosuke. Même si il apparaît calme et calculateur dans le procès, je sentais qu'au fond, il y avait cette colère, cette rancune et cette haine dans ses yeux enfoui pendant des années. Il m'a fait faire les montagnes russes, ce sale petit con. Plus j'avançais dans le jeu, plus j'avais du mal à croire jusqu'où Kazuma était prêt à aller pour atteindre ses objectifs. Ce qui signifie, accepter un contrat d'assassinat surtout qu'il était à deux doigts de le tuer. A ce moment là, je m'étais même demandé si je voulais rester mon ami après ce qu'il avait fait ? Surtout qu'il y a des moments où il m'a aussi tapé sur le système, j'étais tellement contente quand Ryu lui dit d'ouvrir les yeux. Au début, je trouvais Kazuma trop parfait, limite, ça aurait pu être lui le perso principal à la place de Ryu. Mais dans ce procès, on découvre un Kazuma imparfait dans le déni qui prétend rendre la justice et ainsi laver le nom de son père. Sauf qu'au final c'est surtout sa justice à lui qu'il voulait rendre, un ressenti émotionnel qu'il a enfoui pendant ces dix derniers années jusqu'à découvrir ce qui s'est réellement passé il y a dix ans.
Mael Stronghart, je le trouve assez complexe, oui ce qu'il a fait est horrible mais tout ça, c'était pour rendre la justice de Londres efficace envers les criminelles qui croyaient pouvoir s'y échapper. Et qu'on le veuille ou non, ses actes ont eu des résultats, le taux de criminalité a baissé montrant que son organisateur du faucheur bien qu'extrêmement douteux fonctionne. Il était pleinement conscience qu'il faisait face à un système juridique corrompu, d'après Stronghart pour éliminer le mal il faut s'attaquer par la racine et c'est ce qu'il a fait. Certes ce n'est pas lui qu'il l'a fait, il a manipulé des personnes pour atteindre ses objectifs. Il fait partie de ces personnages la fin justifie les moyens, toutes les magouilles étaient permit pour lui si ça permettait d'établir la justice dans sa ville. Je veux dire quand il a révélé la vérité au sujet de Klint, lors de son discours, j'admets que je trouvais certains de arguments valables.
Du coup, je me sentais tiraillée alors que le peuple était pour lui, il faut dire qu'aussi qu'il était un très bon orateur et sait imposer sa présence quand c'est nécessaire. Donc ça aide en soi, certains trouvaient ça illogique que Stronghart réintègre Ryu en tant qu'avocat vu son passif. Mais en soi, c'est consistant avec le personnage, il voulait montrer à Ryu que le système est corrompu et qu'il aurait beau se débattre pour rétablir la justice et la vérité, il n'y arrivera pas. Et je trouve que c'est encore bien plus présent lorsqu'il est juge dans ce procès, lui montrer que le système juridique de Londres est corrompu et que le seul moyen de le combattre est de s'attaquer à la racine. Sauf que Ryu est resté fidèle à ses principes et a su montrer à Stronghart, sa manière de rétablir la justice et qu'ainsi que les victimes aient le droit de découvrir la vérité sur ce qui s'est passé. Stronghart manigançait dans l'ombre en cachant la vérité sous son rôle de Maître Juridique (Je connais pas le terme équivaut en français) pour faire avancer le système juridique de son pays. Tandis que Ryu poursuit la vérité afin de la révéler car selon lui, le peuple et les victimes ont le droit de savoir quitte à subir les conséquences. (Bon par contre la partie où Stronghart fait revenir Ryunosuke en tant qu'avocat ne vient pas de moi mais d'un post sur tumblr que j'ai trouvé intéressant en terme d'analyse. Par contre le contraste entre Ryu et Stronghart ça vient de moi)
Quand à Klint, il voulait sincèrement rétablir la justice par des moyens légaux sauf qu'il s'est rendu compte que ce n'était pas suffisant. Et que pour faire payer les criminelles, il n'avait pas d'autres choix que de se salir les mains pour y parvenir. C'est le procureur qui a sombré dans les ténèbres, celui qui est tombé dans la disgrâce. Et même si par la suite il était tout aussi victime de chantage de la part de Stronghart. Il a sa part de responsabilité, utilisant son propre chien pour tuer ceux qui sont corrompus. Dans son idée de justice, il est devenu le monstre et pour Stronghart, il est devenu son exécuteur. Ce n'est qu'une fois qu'il a tué son mentor que ça a été son wake up se rendant compte qu'il est allé trop loin. Surtout qu'à ce moment là, il allait bientôt devenir père, était ce vraiment ça l'avenir qu'il comptait offrir à sa famille ?! Celui d'un meurtrier qui exécute sauvagement ses victimes au nom de la justice ?! C'est pour ça qu'il a décidé d'éloigner sa femme enceinte de lui en n'espérant que ces derniers ne soient pas touchés par les vices du Professeur. Quand à Klint, il comprit qu'il était condamné, qu'il ne méritait pas de servir de la justice alors qu'il a brisé ses principes pour y parvenir. Toutefois avant son duel, il écrivit une lettre afin de l'utiliser comme arme contre Stronghart afin que tout comme lui ce dernier tombe en disgrâce. Montrant que malgré tout ce qu'il avait commit, il y avait peut être encore une once de justice venant de ses anciens principes.
J'ai adoré jouer à ce jeu même si j'étais un peu malmenée émotionnellement ça prouve à quel point TGAAC est un bon jeu.
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lettresdamours · 2 years ago
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été de ceux
Dont les frontières
N’existe pas
dont la peur
Le froid .
Ne déteigne pas sur l’âme
De ceux qui éblouissent
de leur aura
Se laissé vaguer sur le fil
Pensent-ils que tout est écrit
Que faire du libre arbitre
été de celle qui tourner
Le dos , au bien docile
Beni oui oui se voit
Perdu
Face au soleil
Face à eux même
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christophe76460 · 1 month ago
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LES CIEUX D'ABORD/2
Être en Christ fait de nous des êtres célestes à l'image de Dieu. Il est écrit dans Colossiens 3 verset 1 que si nous sommes ressuscités avec Christ nous devons rechercher les choses d'en haut... Certains chrétiens ne sont pas conscients de leur position céleste en Jésus-Christ. Ils ont un Dieu lointain dans les cieux et eux pensent qu'ils sont sur la terre. Oui physiquement nous sommes sur la terre mais en Christ c'est notre esprit et notre âme qui ont du prix aux yeux de Dieu, c'est pour sauver notre esprit et notre âme que Jésus a donné sa vie à la croix. Tout le reste est secondaire car la chair et le sang dont nous avons tendance à prendre plus soin n'hériteront pas le royaume de Dieu. Et comme le dit Jésus dans jean 6 verset 63, la chair ne sert à rien, c'est l'esprit qui vivifie, la chair n'est qu'une enveloppe, une tente dans laquelle habite notre vrai nous, ce n'est que la maison dans laquelle est installée notre esprit et notre âme. La chair retournera à la poussière d'où elle a été prise ( genèse 3 verset 19). La première demeure du chrétien étant le ciel, la vie chrétienne se vie également du haut vers le bas, c'est a dire de l'homme esprit qui est assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ à l'âme qui est la connection entre l'invisible et la chair. L'âme est la vie de la chair qui doit se soumettre à l'esprit. Un esprit vivant et une âme restaurée, ensemble, ils produisent la fécondité, la multiplication, l'assujettissement de la chair et donc de notre partie terrestre ainsi que de la création terrestre, et la domination sur la terre. Un chrétien qui vie selon la chair, selon les sens ne peut pas être agréable à Dieu parce qu'il est écrit que sans la foi, impossible d'être agréable à Dieu. Hors la foi n'est pas terrestre, elle est spirituelle, elle est en accord avec la Parole de Dieu. La foi n'est pas activée par ce qu'on voit avec nos yeux physique, malheureusement un chrétien charnel agit et vie en général selon ce qu'il voit, entend, récent etc... Un chrétien spirituel est un aigle qui vit dans les hauteurs tandis qu'un chrétien charnel est comme une poule qui a des ailes mais ne vole pas haut. L'aigle au contraire voit les choses d'en haut et se sert des vents contraires pour arriver à ses fins. Cette exhortation a pour but de vous faire prendre conscience de votre nouvelle identité spirituelle en Jésus-Christ ou pour vous faire comprendre si vous êtes réellement en Jésus-Christ ou si vous êtes simplement des croyants religieux. La question de la vie éternelle est la plus importante question qu'un être humain doit se poser. Suis je né de nouveau ? Est si on a l'assurance que nous sommes nés de nouveau la deuxième question doit être : pourquoi je ne vis pas les promesses de Dieu ? En général la réponse est le manque de connaissance révélationelle de la Parole de Dieu. Le manque de profondeur avec le Seigneur Jésus-Christ par le Saint Esprit. La mauvaise interprétation et compréhension de la Parole de Dieu. Si Jésus nous avait sauvé pour que nous vivions sur la terre uniquement pendant notre pèlerinage, IL n'aurait pas dit qu'IL va nous préparer une place et qu'IL revient nous chercher, afin que là où IL va, nous y soyons aussi. Dans ce verset de jean 14, il ne s'agit pas de l'enlèvement ou de la fin des temps. Car tout le reste de ce chapitre nous confirme que c'est spirituellement dès à présent en étant physiquement sur la terre que Jésus-Christ viendra nous chercher. Au verset 3 lorsque Jésus dit qu'IL viendra nous chercher après son départ, IL précise bien : afin que là où je suis vous y soyez aussi. IL ne dit pas, afin que là où je serai vous y soyez aussi parce que bien que Jésus était physiquement sur la terre, IL était en même temps dans les lieux célestes de part son Esprit !. Et aux versets 16 à 19 , Jésus dit que le monde ne le verra plus mais que les disciples le verront et que le Saint Esprit viendra vivre en nous....
La première chose que les mages ont vu et qui les a poussé à entreprendre leur voyage jusqu'à Jérusalem, c'est l'étoile de Jésus le grand Roi ( Matthieu 2 verset 2). Ils ont vu Jésus d'en haut avant de le voir sur la terre. Et les mages ont vu son étoile qui partait de l'Orient ( Matthieu 2 verset 2), parce que le jardin d'Eden où était le premier homme devenu Adam était en Orient ( genèse 2 versets 8 et 23 à 24). C'est là bas que se trouvait l'arbre de la vie et c'est de là bas que le Seigneur de la vie est venu à Jérusalem, la cité de la paix pour annoncer aux hommes la possibilité de retrouver la paix avec Dieu et de retourner dans le jardin d'Eden qui était fermé à l'homme Adam par Jésus-Christ l'étoile brillante du matin. Afin que nous redevenions en Jésus-Christ des étoiles, des lumières comme Lui est la lumière du monde et que nous puissions retrouver notre demeure céleste où l'homme était placé par l'Éternel Dieu au commencement de la création. La lumière est placée en haut dans le ciel de chaque chrétien né de nouveau pour pouvoir éclairer et restaurer sa chair qui est la terre. Vivons par les lieux célestes pour restaurer notre terre ! Vivons par notre position élevée pour dominer sur la puissance des ténèbres. Satan est un esprit sur la terre, mais nous, nous sommes dans les cieux en esprit. Un esprit est puissant lorsqu'il domine d'en haut, de sa demeure céleste. Nous avons une demeure céleste qui nous permet de dominer sur le prince de la puissance de l'air qui lui n'a plus de demeure céleste et qui est spirituellement sous nos pieds. Par l'autorité du Nom de Jésus Christ que nous avons reçu, Jésus dit dans Luc 10 verset 18 après le retour des 70 disciples qu'IL avait envoyé avec l'autorité de son Nom : je voyais satan tomber du ciel comme un éclair.... Si Jésus avant même d'être glorifié sur la terre a envoyé des hommes qui n'étaient pas né de nouveau avec son Nom qui représente son autorité spirituelle et que ces hommes ont pû faire chuter satan du ciel, à plus forte raison maintenant que le Nom de Jésus Christ et le Saint Esprit sont en nous lorsque nous sommes disciples de Jésus Christ.... croyons et vivons dans cette grâce en manifestant la vie d'en haut sur la terre !
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anoukphotographyuniverse · 2 months ago
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Lecture Magdala Alchemist Path - Tome 1
Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ? Aujourd'hui, je vous entraîne dans le tome 1 d'un manga assez court dans un univers de Fantasy. Peut-être le connaissez-vous ou non car cela fait déjà plusieurs années qu'il est sorti dans nos contrées, mais j'avais envie de vous en parler. Sur ce, je vous laisse avec le résumé. Sur le chemin des terres mystiques de Magdala, la rencontre d'un alchimiste avec une mystérieuse religieuse vêtue de blanc... « Je suis ici pour vous surveiller. » Un monde où les hommes ne pensent qu'à élargir leurs conquêtes par la découverte de nouvelles techniques... C'est à cette époque que l'alchimiste Kûsla rencontre une jeune religieuse nommée Fenesis, venue surveiller ses travaux à son arrivée dans la ville de Gulbetti. Mais cette dernière cache un invraisemblable secret... Fantasy et alchimie se mêlent dans cette histoire qui vous entraîne vers Magdala ! Commençons avec l’alchimie, cette science n’ayant rien à voir avec la magie. Faire de nombreux essais souvent ratés, forger, distiller, enfreindre des règles pour arriver à son but. Voilà ce que cela peut être et les personnages dans Magdala Alchemist Path nous le montre clairement. Même si je dois avouer que j’avais du mal avec Ul Fenesis au début… Mais passons ce détail. Dans le manga, nous nous rendons compte que les alchimistes travaillent dans des ateliers – ou chez eux s’ils ont le matériel adéquat – et ne sont pas, vraiment, des enfants de chœur. Ils ne sont, d’ailleurs, pas dans la trinité chevalerie – église – commerce et pourtant s’avèrent utiles pour les personnes en faisant partie. Comme un alchimiste de notre monde en réalité, un être à part des autres faisant ses expériences et avançant à petit pas vers son but ultime. L'alchimie, c'est aussi l'art de pouvoir provoquer un résultat inattendu. Et je pense que tout ce qui est imaginable est concevable. Kûsla Les personnages peuvent être... Haut en couleur ? Kûsla et Weyland ne sont pas des saints par exemple. On se doute qu'ils sont capables du meilleur et du pire, cela les rend d'ailleurs bel et bien humain. D'ailleurs lorsque Kûsla décrit Weyland à Fenesis, je me demandais s'il était réellement sérieux ou s'il mentait car oui, notre cher alchimiste est un menteur accomplit comme nous nous en rendons compte au fil du premier tome. De plus, les deux protagonistes ne sont plus des enfants et ont des comportements d'adultes - même si Weyland peut paraître fou à certains moments d'après les passants - pour lesquels l'alchimie est un travail ainsi qu'un plaisir. Ils vivent pour leur métier, pour leurs rêves. A côté de ce duo se trouve Fenesis, une enfant vêtue de blanc, qui doit les surveiller. Elle ressemble à une poupée à première vue (oui, oui, c'est comme ça que je la voyais) et avait un caractère assez... Naïf ? Au  début du moins, mais en même temps la pauvre ne savait pas totalement dans quoi elle allait se retrouver embarquée. D'ailleurs en un seul volume, son évolution est assez rapide et j'étais surprise - et soulagée - de voir qu'elle n'est pas réellement ce qu'elle semble être à la fin du tome 1. Comme quoi les apparences peuvent être trompeuses... A côté de ce trio, nous retrouvons bien entendu d'autres personnages tous ayant leur importance jusqu'à un certain point même si je dois avouer que je n'aimerais pas me retrouver face à certains d'entre eux... Je suis certaine que d'autres personnages se grefferont dans les tomes qui suivent à ceux déjà présents, rajoutant des énergumènes à ceux déjà présents. Ce premier tome est celui qui nous présente l'univers, les personnages, le début de l'intrigue et sincèrement j'ai déjà envie d'y replonger afin d'en savoir plus. L'alchimie est quelque chose qui m'a toujours intriguée et la voir exploitée ici me donne envie d'en lire plus. Parce que oui, on apprend sur ce sujet en compagnie du cynique Kûsla lorsqu'il en parle à Fenesis ou la laisse essayer et bon sang que j'aurais apprécié être à la place de la demoiselle. L'intrigue semble être plus complexe que ce que l'on pense aux premiers abords, les questions se succèdent et les réponses arriveront probablement dans la suite du récit. Les dessins sont réellement jolis, soignés, fins et j'aimais bien tout observer lorsque cela était possible afin de m'imprégner des lieux, des différences entre les personnages. A mes yeux c'est un plaisir de pouvoir s'immerger autant. La ville que l'on découvre petit à petit semble remplie de surprise en tout genre grâce à sa position, non loin de la ligne de front, et j'ai hâte de la visiter plus en détail dans les tomes suivants. Je me suis replongée trois fois de suite dans ce premier tome afin d'être certaine de n'avoir rien raté, d'avoir tout bien comprit et j'en profitais pour tenter de me faire mes propres théories. Comme vous l'aurez compris, ce manga de l'auteur de Spice & Wolf m'a réellement charmée et je ne suis pas mécontente d'avoir fini par l'acheter. A force de le voir à chaque fois que j'allais faire mes achats, il fallait bien que je saute le pas un jour. Ce premier volume était réellement agréable et tient ses promesses dès son ouverture. C'était un régal et je compte bien acheter les trois tomes manquants de cette courte série afin de savoir si Magdala existe bel et bien, si leurs rêves pourront exister un jour et ce qu'est cette malédiction dont nous parle Fenesis. Parce que, oui, cette malédiction est un mystère à mes yeux pour le moment et je veux en savoir plus ! Connaissiez-vous ? Read the full article
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click-and-psy · 2 months ago
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Se connaître soi-même permet de mieux connaître les autres, qu'est ce que la connaissance de soi ? Est ce vraiment utile de se connaître mieux nous-mêmes ? Cela, change-t-il quelque chose à notre vie ? La réponse est oui, il est important de se connaître soi-même et vous allez découvrir pourquoi.
Qu'est-ce que la connaissance de soi ?
La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même au cours de sa vie, d'un point de vue psychologique et spirituelle, à travers ses expériences. Elle l'aide à se connaître, à connaître ses capacités, sa force, ses qualités, ses défauts et ses caractéristiques. Elle représente la capacité à se voir clairement comme nous sommes. Elle permet de nous aider à savoir qui nous sommes, qui nous voulons être, ce que nous voulons ou pas dans la vie, la capacité à faire des choix et à prendre des décisions rapidement en étant en accord avec nous-mêmes.La connaissance de soi permet également d'atteindre un sentiment de complétude, des relations plus solide avec les autres, avoir plus confiance en soi et être plus créative.
La plupart d'entre nous pensent, que nous nous connaissons parfaitement, alors qu'en réalité nous nous mentons à nous-mêmes, nous connaissons quelques détails sur nous-même, nous ne plongeons pas profondément à l'intérieur de nous, pour savoir qui nous sommes réellement.
Comment savoir si on se connaît réellement nous-mêmes ?
Pour le savoir, il faut prendre conscience de notre existence et la comprendre, comme par exemple en se posant des questions telles que « qui suis-je en tant qu'humain ? », « qui suis-je en tant qu'homme ou femme ? » , « qui suis-je en tant que fille, Sœur, parent et ami ? » , « comment est vraiment mon caractère et ma personnalité ? » , « qui suis-je de plus au-delà de mes déterminations et de mes conditionnements ? », « suis-je un être libre ? », « suis-je réellement conscient de ce qui me détermine comme personne ? », toutes ses questions ont une réponse cachée en nous. Pour mieux nous comprendre, nous pouvons le découvrir également en interagissant avec les autres, plus nous rencontrons et nous parlons avec eux, plus nous apprenons sur nous-mêmes, ce que nous désirons, ce qui nous attire, ce qui nous intéresse, la personne que l'on est ou que nous voulons devenir, la voie que nous choisissons et ce que nous ne voulons pas être.
Les cures psychanalytiques permettent de se connaître davantage, en faisant un travail approfondi sur l'inconscient, le refoulement, les choses cachées, dont nous n'avons pas conscience et qui permettraient de rendre l'inconscient, conscient en parfaite adéquation, il est vrai cependant, que la psychanalyse est un très long chemin.
Comment améliorer la connaissance de soi-même ?
Les options que nous pouvons utilisés pour améliorer notre connaissance de soi,passent par le fait de prendre un temps de pause pour nous recentrer sur nous-mêmes en prenant soin de nous,le stress,la vie que nous menons,nous laisse guère de temps pour nous poser,pour réfléchir et comprendre ce que nous pouvons ressentir,le temps de pause est nécessaire à notre développement intérieur,notez ses forces et ses faiblesses permettent de renforcer nos forces et de travailler sur l'amélioration de nos faiblesses pour devenir plus solide,avoir l'avis ou l'opinion,d'une personne de confiance sur nous-mêmes,peut nous aider à mettre en avant les aspects caractéristiques qui nous définit en l'explorant d'avantage et en tirer le meilleur parti,l'intelligence émotionnelle permet quand à elle,de mieux gérer ses émotions et d'atteindre un équilibre psychologique,ce qui permet ainsi d'obtenir un bien-être général et une meilleure connaissance de soi,écrire ce qui vous rend heureux comme,vos passions,vos joies,vos objectifs,permet de vous analysez,d'avoir les idées plus clairs et de mieux vous connaître,mais la clé essentielle de ma connaissance de soi,c'est d'avoir confiance en soi,en son jugement et en son instinct,sans vous souciez des étiquettes que les autres peuvent vous collez,ne laissez pas les autres interférer dans votre vie en ayant plus confiance en eux qu'en vous-même.
La connaissance de soi est un long chemin à parcourir, c'est un plus dans la vie qui nous offre la chance d'atteindre le bonheur, de s'épanouir davantage et de se sentir complet.
Pour finir ce chapitre, je vous laisse sur une citation de Saint Augustin
« Au lieu d'aller dehors, rentre en toi-même : c'est au cœur de l'homme qu'habite la vérité. »
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selidren · 4 months ago
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
7/10
En fait, c'était même miraculeux. Je n'aurai jamais pensé à lui, je ne lui avais même pas parlé de ma situation. Tu penses bien, j'avais fait une énorme bêtise, et j'avais horriblement peur de le décevoir. Je m'étais vantée de mon histoire d'amour dans mes lettres, lui racontant le romantisme, les petites attentions qui font la différence. Admettre que tout était un mensonge a été difficile à digérer, mais ça a été bien pire de devoir l'admettre devant d'autres. Heureusement, Grand-Mère s'en est chargée pour moi, sans que je puisse jamais savoir les termes qu'elle a employé.
Mais Ange est un homme droit et serviable, jamais il n'irait me le dire si elle a émis des réserves sur mon comportement, ou pire si elle m'a traitée de fille de mauvaise vie. Il a simplement fait la seule chose à faire.
Transcription :
Arsinoé « Je suis contente de te voir. Qu’est-ce que tu fais ici ? Je croyais que tu passais tout l’été à Paris. »
Ange « C’est bien ce qui étais prévu, mais j’ai reçu un appel de Grand-Mère. Elle m’a dit que tu avais des problèmes. Et comme elle a appelé plutôt qu’envoyé un courrier, j’ai bien compris que la situation était grave. »
Arsinoé « Oh si tu savais… J’ai voulu t’écrire un million de fois, mais j’avais bien trop honte. »
Ange « N’aie pas honte. Si tu savais le nombre de fois où je me suis fait trahir par un bon ami avant d’apprendre à me méfier… J’avoue tout de même que les conséquences sont bien pires pour une femme que pour un homme cependant. »
Arsinoé « Elle t’a tout raconté alors. »
Ange « L’essentiel. Elle a surtout insisté sur les conséquences probables pour le nom des Le Bris, la famille, la descendance… enfin, tout ce qui l’a toujours préoccupée, tu la connais aussi bien que moi. Mais bon, même sans ça, je serai venu. Nous n’avons pas le même nom, mais ma famille est tout de même capitale pour moi. »
Arsinoé « A ce propos, je suis désolée au sujet d’Emilien. »
Ange « C’est un crétin, à point c’est tout. Et je le suis sans doute encore plus pour avoir cru pouvoir me confier à lui. »
Arsinoé « Mais tout de même, c’est ton frère. »
Ange « Ecoute Noé, c’est encore trop tôt pour moi. J’ai encore besoin d’un peu de temps avant de pouvoir te confier ce que j’ai sur le coeur. Des mots ont été échangés qui m’ont donné matière à réfléchir. Je peux attendre. Toi, tu ne peux pas vraiment attendre. Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais ça commence un peu à se voir. »
Arsinoé « Oh non... »
Ange « Oui, c’est bien pour ça que je suis là. Il faut te marier avant que ta situation devienne évidente au premier coup d’oeil. Je n’ai pas envie de t’angoisser, mais tu n’as pas beaucoup de temps. »
Arsinoé « Je vois. C’est bien ça que Grand-Mère a fait appel à toi, tu connais beaucoup de bons partis pour moi. »
Ange « Heu… oui, ce n’est pas faux. J’en ai croisé plus d’un dans les cabarets, mais je ne suis pas sur que tu les aimerais. Ils ont beaucoup d’égo, détesteraient vivre à la campagne et nombre d’entre eux se sentent supérieurs car ils pensent pouvoir se passer des femmes pour être heureux. »
Arsinoé « Quel charmant tableau... »
Ange « Non, Grand-Mère et moi sommes d’accord sur un point fondamental, et je pense que tu le seras également, il te faut quelqu’un que tu pourras considérer comme un ami. Un partenaire de vie, sur qui tu pourras te reposer, quelqu’un en qui tu auras entièrement confiance. »
Arsinoé « Et où comptes-tu dénicher un tel spécimen en si peu de temps ? »
Ange « Oh, j’ai déjà trouvé. Mais saches que tu reste libre de refuser si ça ne te tente pas. »
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