#en vrai je les aime bien
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Je vais me plaindre ici. Ça va être un pavé. Vous pouvez passer si vous voulez.
J'ai donc récupéré mon ami et son pote.
On est tous les 3 autistes. Les 2 dyspraxiques, anxiété /dépression assez forte.
Je sais qu'ils viennent de se prendre 17h de vol.
Je sais que niveau énergie c'est pas top.
Je les avais prévenus que la ville au Japon, c'est pas neuroa friendly tellement c'est remplis de stimulis.
J'avais prévenu qu'on allait BEAUCOUP marcher.
Et ils se plaignent. Et ça me saoule. Car même si avec ma coloc française on pratiquait un ralage à la française de temps en temps. Le fait que ça ne fasse pas parti de notre quotidien. Bah ça fait un bien fou. Et surtout pour mon moral
Tumblr c'est un peu un exutoire, donc je me suis bcp extériorisé ici. Mais je n'étais pas négative avec mes colocs.
Je me rend compte que je n'ai plus la patience de tant de négativité. Et les entendre se plaindre de rien. De chose que j'avais prévenu. Ou d'humour noir et remarques où ils se déprécient eux même ??? Je peux plus.
Après on est des gens éduqués. Et on dit que "welp là je suis à bout. Je m'excuse si j'ai parlé méchamment mais la fatigue frappe fort"
Je leur ai dit que oui j'étais sur les nerfs car ils sont grognons et que, sur la journée ça fatigue.
Mais surtout que je n'ai pas eu de reconnaissance sur quoi que ce soit depuis mon arrivée (je sais qu'ils le pensent. Mais trop fatigués pour l'exprimer)
J'ai beau répété que je ne leur en veux pas personnellement. Mais vu qu'ils gèrent des états dépressifs/anxieux et qu'ils sont très conscients de leurs faiblesses. Je sens que ça les touche bcp
J'avais pas prévu de m'occuper d'ados à la base 😭
#jezatalks#jez au japon#en vrai je les aime bien#mais la fatigue de plein de facteurs#et l'impression d'être la seule adulte responsable...#on n'est que le 2eme jour (ou 3 je sais pas comment compter)
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Moi quand
Moi quand quelqu'un dans ma classe m'a demandé de quel bord politique j'étais pour me dire qu'elle était d'extrême droite
#j'ai commencé l'année en étant en mode 'ah shit. there are mean girls there.' puis je me suis dit - c'est pas bien de juger les gens#et l'autre elle me sort ça. plus tard dans l'année on a eu le droit à une journée de la jupe et#déjà c'était à but caritatif pour les violences faites aux femmes et ces CONNASSES ont pas été foutues d'y mettre du leur (alors que je#connais un mec trans qui est passé outre sa dysphorie pour cette journée - bc yeah EVRYONE had to come with a skirt on (not mandatory but#guys were incited to come with one too) - teachers and students)#MAIS EN PLUS.#en plus - et je fais pas expliquer mon indignation j'vais juste écrire la conversation et vous aurez votre opinion qui j'espère sera#similaire à la mienne - : 'Hé [...] si ton mec il s'était ramené avec une jupe tu l'aurais quitté nan?' '-Bah ouais j'sort pas avec une#tapette.'#tout ça pour dire que. des fois. l'instinct il te dit des trucs vrais (et pourtant je m'étais convaicu que c'était moi et qu'elles devaient#pas être si méchantes! mais elles ont rempli toutes les cases pour que je les aime pas donc.. raté.)#didn't find a gif strong enough to express my indignation and - lets be real - terror but thats probably how i physically reacted back then#so it fits
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Je veux pas critiquer booktok pour critiquer booktok mais je crois que j'ai compris pourquoi certains livres très populaires déçoivent parfois quand on les lit enfin. Je regardais une booktokeuse qui parlait des livres qu'elle aimait et qu'elle n'aimait pas et elle en parlait de manière très émotionnelle : "ce livre va vous faire pleurer", "ça me faisait frissonner" et c'est pas forcément une mauvaise chose ! Je dis souvent à mes élèves de partir de ce qu'ils ressentent pour analyser un texte. Mais après il faut aller plus loin : quand elle parle du style d'un auteur qu'elle n'aime pas "vous verrez en lisant, c'est particulier" en quoi ? C'est froid ? Au contraire, c'est très riche, y a beaucoup d'adjectifs ? En quoi c'est triste, en quoi c'est beau ?
Le problème, c'est que je peux vous montrer trois livres radicalement différents en vous promettant qu'ils m'ont fait pleurer et ce sera sans doute vrai, mais ça ne suffit pas : c'est le détail, la forme, qui va porter le livre, le distinguer des autres. Si elle avait dit : "J'ai beaucoup aimé ce livre car sa structure narrative atypique fait qu'on est porté tout au long de l'histoire. Le style froid de l'auteur, assez neutre, permet de vraiment mettre en relief la dureté de ce monde" etc, on saurait à quoi s'attendre et en lisant ensuite le livre, même si on aime quand même pas, on n'aurait pas l'impression d'avoir été trompé sur la marchandise. Je pourrais me dire "en effet, la structure narrative est atypique mais personnellement, je la trouve confuse" et ainsi de suite. Alors que juste dire "ça m'a fait pleurer donc c'est bien", on ne peut pas cerner l'intérêt du bouquin.
Vous pouvez pleurer en lisant Twilight et en lisant Proust, et c'est légitime dans les deux cas, mais les techniques littéraires ne seront pas les mêmes.
#je sais pas si c'est clair#je veux pas clasher sur booktok mais c'est plus un conseil méfiez-vous des avis sans éléments concrets#je dis ça parce que je me suis déjà fait avoir lol#livre#booktok
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Frenchvedev!
"moi, chui quelqu'un qui réagit à ce qui se passe, parfois dans le négatif, parfois dans le positif"
"on va voir comment ça se passe cette année... il y des jours ou il y a tout le stade pour moi, il y a des jours ou il y a tout le stade contre - ouais, les français ils sont durs à - comme vous dites - à séduire"
"c'est des émotions, un jour on t'aime un jour on t'aime pas"
"ben on aime bien... next gen, old gen, moi, chui mi-gen"
"j'ai plus le même feu de jeunesse, quand on monte, on vient de rentrer dans les 100, dans les 10, je suis plutôt là à progresser, à garder cet feu"
"le service [de Giovanni Mpetshi Perricard] m'inspire, c'est vrai. C'est marrant parce que déja... on s'entrainait quand il, je ne sais pas quelle place il avait, mais autor de 500-600 et ouais, c'était dûr de le retourner déja!"
et il termine par la petite anecdote en racontant que Karen s'entrainait avec GMP lors des US Open et avait décidé de rentrer dans le terrain un peu plus pour les entraînements à la deuxième balle, puis était assez choqué par les "missiles" qu'il recevait - et GMP qui lui explicait calmement qu'il avait bien réduit la vitesse de service de 10 km/h 😂
#i saw he had done a new interview in french and immediately had to look it up#yeah some small mistakes here and there but how is he soooo french in the way he talks sometimes it's amazing!#daniil medvedev#tennis#paris masters 2024#france.tv interview#danya interview#my screenshots
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement épique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rêves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rêves
Dire alors "je vous rêve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage à la fenêtre
Que fixe l'étoile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais être le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-être
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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Quand je regarde mes séries j'entends souvent dire "Si ils parlaient correctement de ce qu'ils ressentaient, y aura pas de conflit ou de problème dans leur relation". Et en soit c'est vrai, dans une relation il est important de communiquer. En revanche ce qui se passe dans maws ne peut pas se résoudre simplement par de la communication. Pendant cette saison 2, le trio a commencé a avoir leurs propres choses concernant leurs vies. Jimmy est devenu Flamebird pour le Daily Planet et a une équipe. Lois a le choix de booster sa carrière. Mais Clark ? Il n'a que sa vie Superman, on voit qu'il aime bien son boulot au Daily Planet. Mais je trouve pas que ça le passionne autant que Lois.
Sans compter que Lois a aussi ses problèmes, son père, le fait que ses problèmes de confiance et d'abandon reviennent à la surface dans les récents épisodes. Elle aime Clark mais ne sait pas comment correctement entretenir cette relation pareil pour Clark. Avant Jimmy et Lois, il s'était isolé des autres et du coup ça lui arrive d'être un peu ignorant concernant les signes et les relations sociales. Leur manque de communication n'est pas dû à un manque de confiance l'un envers l'autre. Mais parce qu'ils craignent la réaction de l'autre si ils l'apprennent. Mais aussi par le fait qu'en ce moment, des évènements les dépassent complètement et n'ont pas pu trouver ne serait ce qu'un moment pour se poser et parler seul à seul. Clark et Lois sont tellement focalisés sur leurs problèmes qu'ils se négligent l'un à l'autre, voir même être distant sans même le vouloir. Au bout d'un moment, ça finit par craquer comme on a pu le voir avec Lois par exemple.
C'est pour ça que j'avais pas mal apprécié Jimmy dans cet épisode, car il sait pas comment parler à Clark suite à ce qui s'est passé au Star Lab. Ce qui est assez compréhensible ! Mais en parlant avec Kara qui le comprend à une certaine mesure, il arrive à retrouver le courage nécessaire pour pouvoir lui parler !
Oui il faut parler dans une relation mais parfois il arrive que même parler avec son ami ou son partenaire, ça peut aggraver les choses. Je sais que les gens n'aiment pas les clichés du manque de communication, le malentendu etc... mais en soit c'est quelque chose d'assez réaliste dans les relations qu'elles soient romantiques ou platoniques. Ce que traverse le trio est en soit réaliste et je pense que c'est pour ça que ça rend leur relation triste en soi !
When I watch my series, I often hear people say "If they talked properly about how they felt, there wouldn't be any conflict or problems in their relationship". And in itself it's true, in a relationship it's important to communicate. But what's happening in maws can't be solved simply by communication. In season 2, the trio began to do their own thing with their lives. Jimmy has become Flamebird for the Daily Planet and has a team. Lois has the choice of boosting her career. But Clark? He's only got his Superman life, and you can tell he likes his job at the Daily Planet. But I don't think he's as passionate about it as Lois is.
Not to mention that Lois also has her own problems, her father, the fact that her trust and abandonment issues come to the surface in recent episodes. She loves Clark but doesn't know how to properly nurture that relationship, and the same goes for Clark. Before Jimmy and Lois, he'd isolated himself from others, so he's sometimes a bit clueless about signs and social relationships. Their lack of communication isn't because they don't trust each other. It's because they're afraid of how the other will react if they find out. But also because, at the moment, events are completely out of their control and they haven't been able to find even a moment to sit down and talk to each other alone. Clark and Lois are so focused on their problems that they neglect each other, even being distant without meaning to be. And after a while, it just snaps, as we saw with Lois, for example.
That's why I liked Jimmy in this episode, because he doesn't know how to talk to Clark after what happened at Star Lab. Which is quite understandable! But by talking to Kara, who understands him to a certain extent, he manages to find the courage he needs to talk to him!
Yes, you have to talk in a relationship, but sometimes even talking to your friend or partner can make things worse. I know people don't like the clichés of lack of communication, misunderstanding etc… but in itself it's something quite realistic in relationships whether romantic or platonic. What the trio is going through is in itself realistic, and I think that's what makes their relationship sad in itself!
#my adventures with superman#maws#maws spoilers#maws season 2#clark kent#lois lane#jimmy olsen#kara zor el#I don't care if there miscommunication or misunderstanding because I know they will be able to resolve this#In some ways those problems test their relationship to see if it can overcome it#I just want them to be okay
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Automne 1928 - Champs-les-Sims
4/5
En parlant de Mademoiselle Laroche, il me semble qu'elle et mon frère soient passés à une nouvelle phase de leur relation. Une phase dont la discrétion laisse à désirer mais je n'ose vraiment en parler frontalement à Antoine, de peur de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Si ils se tournent toujours autour comme deux oiseaux en pleine parade nuptiale, il leur arrive de plus en plus fréquemment de se lancer de petites piques en ma présence ou celle d'Oncle Adelphe. Même Jean-François m'a évoqué son "sentiment de gêne" dans sa dernière lettre. Mon jeune frère a un côté pudique et convenable à l'excès que Grand-Mère adore, et quand il rentre nous voir, Antoine l'appelle "Grand-Père".
Bref, en écrivant ces lignes, je me rends compte que ce n'est pas vraiment la réalité. C'est Antoine qui la provoque bien davantage que l'inverse, et elle a souvent l'air profondément confuse, même si elle répond toujours pas une répartie bien sentie. Je ne sais pas vraiment à quoi joue mon frère, mais j'ai parfois l'impression qu'il ne réalise pas que dans cette relation, Mademoiselle Laroche est bien moins libre que lui. J'en suis un peu inquiète, car j'ai peur qu'il finisse par tout gâcher sans s'en rendre compte, et j'aimerai que leur histoire finisse bien. Que veux tu ? Cléopâtre et son indécrottable et ardent romantisme m'ont contaminés !
Transcription :
Aurore « Mais qu’est-ce qui vous a pris ? »
Marc-Antoine « De quoi... »
Aurore « Tous ces sous-entendus quand je parlais à votre sœur ! Vous voulez vraiment que je me fasse renvoyer ? »
Marc-Antoine « Mais non ! Et vous n’êtes pas non plus toute blanche dans cette affaire il me semble ! De toute façon, je pense qu’elle se doute de quelque chose depuis un moment car elle m’a dit qu’elle parlait de nous dans ses lettres à Cousin Lucien. J’imagine qu’il s’agit de... »
Aurore « Votre cousin ? Même votre cousin du Canada est au courant ? Et j’ai toujours mon emploi ? Mais dans quelle famille j’ai atterri au juste ? »
Marc-Antoine « Les Le Bris sont un peu particuliers c’est vrai. Ceux de France en tous cas. »
Aurore « Une maîtresse de maison qui laisse, comme ça, son frère flirter avec la bonne, c’est sur que ce n’est pas commun. »
Marc-Antoine « Si ça vous gêne, on peut arrêter. »
Aurore « Non, j’apprécie bien nos échanges. »
Marc-Antoine « Vraiment ? Alors je vous manque quand je suis à Paris ? »
Aurore « Je fais mieux mon travail quand vous n’êtes pas là mais… oui, vous me manquez. Faites juste en sorte que ce soit un peu plus discret, ne me cherchez pas comme ça devant votre sœur, même si elle est au courant. Et surtout pas devant Madame Eugénie ! »
Marc-Antoine « Pas besoin de me le dire, je tiens à garder ma tête encore un peu de temps ! Vous savez, tout le monde au village se souvient de la façon dont elle a réagit quand son fils aîné s’est fiancé à la gouvernante quand il était jeune. Je n’ai pas vraiment envie qu’il m’arrive la même chose. »
Aurore « Oh… et il lui est arrivé quoi au juste ? »
Marc-Antoine « Heu… je ne connais pas les détails, mais tout le monde s’accorde pour dire que ça a été terrible. Après tout, on s’en souvient encore même si seulement deux personnes seulement sont assez vieilles pour encore s’en souvenir. »
Aurore « Je vois... »
Marc-Antoine « Ne tirez pas cette mine ! Ils ont pu se marier finalement. »
Aurore « Comment s’appelait ce Monsieur ? »
Marc-Antoine « Il me semble que… Matthieu oui, c’est ça. Mon grand-oncle Matthieu. Mais… qu’est-ce qu’il y a ? »
Aurore « Il fait partie de ceux qu’il est rigoureusement interdit de mentionner en présence de votre grand-mère. Votre mère m’a donné une liste quand je suis arrivée. C’est que ça n’a pas du se terminer si bien que ça. »
Marc-Antoine « Ma famille est compliquée, c’est tout. »
Aurore « Je ne veux juste pas que ça vous créer des histoires. »
Marc-Antoine « Non, ça n’en créera pas Aurore… enfin, Madamoiselle Laroche. Ecoutez, je vous aime beaucoup, et même si c’est encore un peu tôt, j’aimerai tout de même que vous me laissiez une chance de vous prouver que je ne suis pas là pour jouer avec vos sentiments ou simplement pour m’amuser. Tout le monde vous dira de moi que ce n’est absolument pas mon genre ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Adelphe Barbois#Jean-François Le Bris#Matthieu Le Bris
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Lucifer Morningstar est un Hypersensible
Dépressif , père absent mais pas que , beaucoup n'apprécie pas la personnalité de ce roi des enfers un peu atypique et enfantin beaucoup attendez autre chose de lui . Qu'un petit gars mignon pas du tout intimidant mais il est juste à l'image qu'on dépeint de lui avant sa chute .Un Chérubin ange a l'apparence enfantine ( oui d'après mes nombreuses recherches il n'est pas un archanges et pas un séraphin dans la bible ) , dans Hazbin hôtel débordant de créativité et de fantasie prête à être donné au monde . Point qu'on donnent aux Hypersensible venant balayer le fait qu'il pourrait être autiste comme dirait dans certaine théorie . Les autistesont un goût pour rester dans les régles et ne seront jamais créatif spontanément . Même si les hypersensibles et les autistes partagent de nombreux point commun comme avoir de forte émotions et une mauvaise gestion c'est bien pour cela que les hypersensible peuvent être vue a tords comme autiste vu leurs réaction . Sa passion des canards tournant à l'obsession peut être un TOC ( Le trouble obsessionnel-compulsif demeure souvent une énigme pour ceux qui n'en sont pas directement touchés. C'est un trouble anxieux qui se caractérise par des pensées intrusives et indésirables (obsessions) entraînant des comportements répétitifs et ritualisés (compulsions). En gros la fabrications de ses canards en plastique pouvant être une manifestation de sa dépression .... Dépression qui le force à se reclure chez lui voulant le moins contact possible due à son mal être .Les Hypersensible ont aussi cette volonté pas pour les même raison mais juste que les contacts les mettent mal à l'aise et épuise .... L'hypersensibilité peut être juste la cause qui la mené à la dépression par le rejet des autres anges ...Voir ses rêves s'envoler ainsi que ses croyance étant condamné à voir que le mauvais chez les humains comme le dit si bien sa fille dans l'introduction quand elle conte la légende de ses parents
Il est certes absent pendant une bonne partie de la vie de sa fille PAS par choix mais par fatalité .L'hypersensibilité quand tu es dans un cadre favorable peut être un don ou une malédiction un vrai démon si tu es pas dans un cadre favorable pour apprendre à la dompter ...Indomptée d'autre chose peut s'y mêler comme la dépression ...Donc selon moins Lucifer aurait au moins deux démons son Hypersensibilité et Dépression ... Son cerveau ne pouvant que resasser les choses en boucles et souvent le négatif l'entraîne dans cette spirale infernal le rendant incapable et faisant s'éloigner tout ceux qu'il aime .
Et en quoi il serait à l'image du Lucifer de la bible , lui aussi voulait notre bien .Nous aimant d'un amour débordant mais encore une fois jugé comme étant un individu dangereux avec ses idées pour l'équilibre il finit chassé . Sauf que le Lucifer biblique donna une autre réponse que la dépression .Mais la colère , une rage débordante
Que ce soit répondre par de la tristesse ou la colère c'est deux réponses que les Hypersensibilité peuvent donner tout cela à cause du même sentiments d'injustice que les deux ont ressentis
J'ai été moi même diagnostiqué Hypersensible ou j'ai appris à enchainer mon démon car je suis bien entourée mais il fut une époque ou j'étais partie sur le même chemin que notre Luci pour ça que je me sens proche de lui ( Pour exemple mon Toc serait de me mordre la main dès que j'ai une émotions peut importe la quelle qui risque de me submerger c'est un pour me calmer .Selon moi la fabrication de canard en plastique à pour but que Lucifer se calme et redescent émotionnellement )
Depressed, an absent father, but not just that—many don't appreciate the personality of this somewhat atypical and childish King of Hell. A lot of people expected something different from him. A cute little guy, not intimidating at all, he is simply a reflection of how he was portrayed before his fall. A cherub, an angel with a childlike appearance (yes, according to my many studies, he is not an archangel or a seraphim in the Bible), in Hazbin Hotel overflowing with creativity and fantasy, ready to be given to the world. Points that are attributed to hypersensitive people dismissing the notion that he could be autistic, as stated in some theories. Autistic people tend to stick to rules and are rarely spontaneously creative. Even though hypersensitive people and autistic individuals share many similarities, like experiencing strong emotions and having poor emotional regulation, hypersensitive individuals can often be wrongly perceived as autistic due to their reactions. His obsession with ducks could be a form of OCD (Obsessive-Compulsive Disorder). OCD is often a mystery to those not directly affected. It is an anxiety disorder characterized by intrusive, unwanted thoughts (obsessions) leading to repetitive, ritualized behaviors (compulsions). In short, the creation of his rubber ducks could be a manifestation of his depression… Depression that forces him to isolate himself, seeking minimal contact due to his inner suffering. Hypersensitive individuals also tend to avoid contact, not for the same reasons, but because interactions make them uncomfortable and drain them. Hypersensitivity could be the very cause that led to his depression, possibly stemming from rejection by other angels. Watching his dreams and beliefs crumble, doomed to see only the worst in humans, as his daughter says so well in the introduction when she recounts the legend of her parents.
He was certainly absent for much of his daughter's life, not by choice but by fate. Hypersensitivity, when nurtured in a supportive environment, can be a gift or a curse—a true demon if you are not in the right setting to learn how to tame it. Untamed, other issues can arise, such as depression. So, in my opinion, Lucifer has at least two demons: hypersensitivity and depression. His mind, constantly ruminating on things, often focusing on the negative, traps him in this infernal spiral, making him incapable and pushing away everyone he loves.
And how is he like the Lucifer of the Bible? He, too, wanted our well-being. He loved us with an overwhelming affection, but once again, judged as a dangerous individual due to his ideas about balance, he was cast out. Except the biblical Lucifer responded not with depression, but with anger, with overflowing rage.
Whether responding with sadness or anger, both are reactions that hypersensitive people can have, all due to the same sense of injustice that both have experienced.
I myself was diagnosed as Hypersensitive or I learned to chain my demon because I am well surrounded but there was a time when I went on the same path as our Luci because of that I feel close to him
(For example, my OCD would be to bite my hand as soon as I have an emotion, no matter what it is, which risks overwhelming me. It's to calm me down. According to me, the purpose of making a rubber duck is to make Lucifer calm down. and come down emotionally)
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Mes parents m'ont toujours dit que j'étais une enfant qui s'ennuyait beaucoup mais que je ne le verbalisais pas. Que je pouvais passer beaucoup de temps à rien faire sans demander d'alternative. Je ne me rappelle plus si ça me pesait ou pas. Puis, en grandissant, je suis devenue une adolescente qui s'ennuyait beaucoup. Ça m'a laissé pas mal de temps pour développer pas mal de troubles, pour me poser pas mal de questions, pour penser silencieusement à pas mal de choses. Et finalement, j'ai continué à m'ennuyer jusqu'à devenir une adulte. Maintenant. Un manque de passion criant. Je n'ai jamais eu d'hobby particulier, et je n'en ai jamais cherché. Ce qui a toujours eu le don d'exaspérer mes parents. Encore aujourd'hui, ils ont du mal à me voir rien faire, à me regarder attendre que ça passe. J'ai de l'admiration pour les gens qui ont des passions ou même de la passion, des envies, des activités qui leur tiennent à cœur. Et ça ne m'a jamais trop posé d'ennui socialement jusqu'à comprendre que j'étais la seule à rien avoir de distrayant dans ma vie. Ça a amorcé la création de petits sillons m'éloignant des autres. Quand on épuise notre passé, notre vie quotidienne et nos avis, on a vite plus rien à dire. J'ai jamais forcé les discussions de mon côté. J'ai souvent favorisé le silence ou la répétition. Là où ça me pose des problèmes c'est quand je côtoie des gens plus d'une après midi car ils sont amenés à constater que j'attends. Ils ne le supposent plus, ils le voient. Mon copain le voit actuellement. Et c'est vrai que moi je peux me satisfaire de passer beaucoup de temps à rien faire, rien dire, juste être avec l'autre. Mais c'est pas sain. Alors je passe beaucoup de temps à m'ennuyer quand lui investit son temps de choses qu'il aime. Et c'est bien normal. Ça me met toujours un coup de mou, de la rancoeur mal placée évidemment. C'est pas parce que moi j'ai rien et que je n'ai rien fait pour avoir, que ça devrait être pareil pour les autres. Je me suis souvent sentie pas à ma place pour ces raisons, en voyant que les autres ne supportaient pas de s'ennuyer, ne pouvaient pas juste apprécier rien faire avec moi, ça m'a fait me sentir de trop. C'est pas un truc que je partage ou explicite parce que j'ai tort. Il n'y a pas une pensée viable dans ma conception de l'ennui et des autres. J'ai un rapport juste toxique et j'arrive à me sentir triste que les autres ne l'aient pas. Pas jalouse. Seulement déçue. J'ai peur de m'ennuyer toute ma vie. Et une des raisons pour lesquelles je n'aimerais pas habiter avec quelqu'un c'est pour ça, que la personne réalise que je ne suis construite sur rien et que je passe beaucoup de temps à me sentir seule, à m'ennuyer, à attendre comme un chat devant la porte pour qu'on lui ouvre. J'ai du mal à exister normalement et ça m'a souvent créé des piques d'angoisse qu'on vienne à découvrir l'être inconsistant que je suis.
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dimanche ennui donc liste (certainement pas exhaustive) de moi à moi des artistes que j'ai déjà vu en concert, de ceux que je vois bientôt, de ceux que j'aimerais voir et de ceux que je RÊVE de pouvoir écouter en live un jour:
concerts faits dans un ordre totalement approximatif:
julien doré (petite, j'étais amoureuse de lui et je me souviens d'avoir eu mal au cœur quand il chantait winnipeg)
jeanne cherhal (petite aussi, j'étais absorbée car elle avait chanté quelques chansons suspendue à un cercle en l'air)
olivia ruiz (toute mon enfance)
la grande sophie
the dedicated nothing (ils ont fait un album on en a plus jamais entendu parler et je les avais vu dans une boutique longboard comme c'était des surfeurs mdr)
the dø (dans un festival paumé en vendée, j'étais la plus heureuse)
george ezra
the black lilys
radio elvis 2x
feu! chatterton 3x (j'ai l'impression de faire l'amour quand j'entends arthur teboul chanter en live, un des trois concerts était en plein air vers l'océan c'était beau et poétique)
grand blanc
jumaï
chevalrex
pr2b
clarika (toute mon enfance, dans la voiture avec ma mère)
the limi��anas (inattendu, jamais écouté avant de les voir mais si cher à mon cœur maintenant)
girls in hawaii (souvenirs d'adolescence)
genghar (concert avec mon père dernièrement, j'écoutais beaucoup adolescente aussi)
sallie ford 2x
norma 2x (elle fait fondre mon cœur j'aimerais qu'elle perce)
mattiel
the twilight sad
las aves
prudence (la chanteuse de the dø, on avait gagné un concours avec ma sœur!!)
cate hortl
clara luciani 3x
pomme 2x
franz ferdinand 2x
arctic monkeys 2x (dont une fois catastrophique à rock en seine, des amitiés se sont brisées, des crises d'angoisses, un son merdique)
the strokes (son merdique et problèmes techniques car rock en seine mais j'étais au max)
ledher blue
the cure (que dire de plus??? 3h de the cure en live c'est le paradis)
depeche mode (que des bangers, je m'en remets pas encore)
pi ja ma (choupette, je l'aime depuis la nouvelle star)
delilah bon (à la fin de son concert on a eu droit à tous les chants de manifs de gauchos sans aucune raison pendant 20 minutes et c'était génial)
kalika
fontaines dc (je veux les revoir)
ethel cain (c'était thérapeutique)
angel olsen
lucy dacus (très vite)
tamino 4x (je l'adore de tout mon cœur mais je fais une pause je l'ai trop vu)
ko ko mo 7x ou plus?? (découverts dans un festival paumé en vendée, depuis on les voit tous les ans)
jesse jo stark (trop sexy)
clemence violence
hachiku
jen cloher (lesbiennes australiennes je vous aime)
dynamite shakers
odezenne (j'ai pu chanter je veux te baiser en live c'était fantastique)
georgio (marque le début de la fin d'une amitié mais j'étais tellement heureuse ce soir là)
slowdive
frank carter and the rattlesnakes (ma sœur qui se fait une entorse dans un pogo)
the mysterines
yeule (premier concert toute seule, il m'a fait du bien)
sorry (chanteuse toute timide toute choupi mais génial et j'ai pu crier les paroles de there's so many people that want to be loved)
alexandra savior (écoutez là c'est un ordre)
sarah maison
sextile (concert génial soirée traumatisante)
wunderhorse (de vrais anglais qui s'en branlent de tout c'était cool)
no elevator
emma peters (j'écoute pas mais sympa)
skip the use (j'y allais en mode souvenirs, j'avais jamais écouté ses récents albums et le gars est trop chaud en live)
agar agar
nada surf (le chanteur est trop gentil <3)
hoorsees
adrien gallo (à défaut d'avoir pu voir les bb brunes... et j'étais aussi amoureuse de lui petite)
therapie taxi
nova twins (un de mes meilleurs concerts elles avaient une énergie trop folle)
la femme (mes meilleurs pogos)
tori amos (concert avec ma mère, icone)
l'impératrice 3x (2 fois sans que je veuille vraiment juste ils étaient dans des festivals et j'en peux plus leur scéno c'est toujours la même et c'est mou)
terrenoire
snail mail (mou)
parcels (j'écoute pas mais en concert c'est fou)
tame impala (l'impression d'avoir pris du lsd pendant 1h30)
gaz coombes (le chanteur de supergrass!!)
inhaler
idles (de loin mdr)
foals (mouais)
wet leg (absolument génial premier rang à crier toutes les paroles, tellement qu'il a plu et qu'on a fini le concert dans la boue)
yeah yeah yeahs
izia
the murder capital (amoureuse)
suzie stapleton
maddy street (une copine de ma sœur, c’est trop bien)
origine club renommé bonne nuit (à revoir c’est des vendéens et j’adore les vendéens pas fachos)
alice et moi
prochains concerts:
stoned jesus
dionysos (cadeau de noël pour mes parents, ils nous ont bercé avec)
air
ethel cain (encore)
mannequin pussy
cherry glazerr
lana del rey!!!!!!!!!
ko ko mo (pour la millième fois mdr)
eartheather (j'ai eu une place alors qu'il n'y en avait plus??? yaayyy)
artistes que j'aimerais voir:
yoa
the marias (ils avaient annulé la seule date qu'ils faisaient en france alors qu'on avait nos places avec ma meilleure amie, on leur en veut encore)
anna calvi
bar italia
the last dinner party
coco & clair clair
dora jar
king krule (on m'a empêché de prendre une place la dernière fois car apparemment il chante mal en live)
beach house
lebanon hanover
japanese breakfast
mitski
sally dige
deerhunter
tove lo (je l'ai raté à rock en seine...)
tv girl
sir chloe
hooverphonic
tomberlin
portugal. the man
last train
baxter dury
sophie meier
thao & the get down stay down
fka twigs
elita
yelle (je serai une femme accomplie le jour où je l'aurai vu)
artistes que je rêve de voir dans mes rêves les plus fous:
lush
soko (elle soignerait tous mes maux)
pulp
garbage
fiona apple (c'est beau de rêver)
the smashing pumpkins
courtney barnett (c'est une nécessité je connais tout par cœur)
siouxsie sioux
björk (ratée en septembre dernier...)
eels (mes parents y sont allés sans moi et sans me le dire????)
alt-j (j'écoute depuis trop longtemps pour ne jamais les avoir vu)
cults
pixies
iggy pop (icone, il faut, et je suis amoureuse de lui)
new order
interpol
massive attack (si je craque pour rock en seine...)
emiliana torrini
deftones
she wants revenge
hope sandoval
sigur rós
arcade fire (je crois que le chanteur est un agresseur sexuel. bon.)
the last shadow puppets
the white stripes mais bon... ou jack white
madonna...... mais je suis pauvre
si une âme charitable a tout lu et veut me fournir de quoi me payer des places de concerts je suis preneuse lol merci
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Bienvenue –si j'ose !-- en enfer...
Dans un délai qui risque d'être court, cette ''Fête de Pâques 2024'' restera comme la date officielle du début de la fin de ce qui fut la France : depuis le 15 novembre 2013, ce blog, s'appuyant sur mon arabophonie et ma connaissance de la civilisation arabe –c'est à dire, à peu de choses près, le Coran-- a répété, billet après billet, que nous allions vers une bérézina... Combien de gens de bonne foi et bien intentionnés m'ont écrit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir...
Et soudain, voilà que toutes les boutiques de sondages se mettent à changer de discours et découvrent ce qu'elles refusaient de voir : les français sont inquiets à en paniquer, ils sont plus pessimistes que je ne l'ai jamais été, et les vrais chiffres sortent enfin des armoires où on les tenait cachés… Faut-il que tout aille mal, pour que nos armadas de vrais parasites/faux démocrates, nos laïcards de salon, nos soi-disant républicains, nosgauchistes d'opérette et nos révolutionnaires du ''Flore'' en soient soudain réduits à dire la vérité, comme de vulgaires hommes de Droite : neuf français sur dix osent enfin dire qu'ils ont peur, dans leur vie de tous les jours, et que l'insécurité progresse à toute vitesse... 72% d'entre avouent ne pas faire confiance au gouvernement pour les protéger (dixit Odoxa, devenue brutalement honnête), et 6 sur 10 ont décidé de se défendre eux-mêmes (alarmes, armes de poing, sports de combat).
Jusque là, on pouvait craindre qu'une passion pour le déni du réel, un attrait pour les idées de Gauche –toutes mauvaises-- et un refus de ce qui n'est pas conforme au grand mensonge qui sert de fondement à toutes nos idéologies mortifères, ne soient devenus de plus en plus difficiles à contourner : le ''système'' en place avait réussi à tout bloquer ! Des gouvernements peuplés d'aveugles et de nuls (mais tout puissants) nous interdisaient tout ce qui n'était pas ''pile-poil'' conforme à leur mensonge, via l'injustifiable (et démodé) enrégimentement à Gauche de 99 % des journalistes (qui doivent être tenus pour co-responsables de tous les maux qui nous tombent dessus). Ils ont été jusqu'à inventer des ''pandémies'' inexistantes pour nous cacher la seule pandémie (qui, elle, en est une, et ''mahousse'' !) qui nous menace vraiment : l'islam triomphant.... aidé dans sa marche par leurs silences et leurs mensonges ! Cet arsenal mortifère nous conduisait peu à peu là où ils voulaient que nous allions : en enfer. Nous n'y sommes pas encore, mais ''on n'en a jamais été aussi près'' !
Nos lamentables gouvernants, incapables --par système, mais aussi par absence d'intelligence et de référentiels culturels-- de désigner par leur nom toutes les horreurs dont ils ont fait notre quotidien, ont brutalement ouvert les yeux, et viennent tout juste de commencer à entr'apercevoir la série de catastrophes à laquelle leur impéritie et leur imprévoyance ne nous laissent que très peu de chances d'échapper : ceux qui ont vu clair ont baptisé ce drame ''le grand remplacement'', pendant que les idiots-utiles parlaient ''d'une chance pour la France''. Cherchez l'erreur !
On en revient toujours à Camus : ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde''... sauf que nos faux guides ne nomment même pas : ils esquivent ! Dans un torrent de pensée à l'envers, ils essaient de nous faire avaler que si on est pour la paix, on est pro-poutine... si on est pour dire la vérité, on est complotiste... et si on aime la France en tant que ce qu'elle est (et non en souhaitant leur enfer-sur-terre), on est facho... Notre cas semblait sans espoir...
Devant ce changement, la panique de nos apprentis-ministricules si peu professionnels devrait faire de la peine à voir... sauf que, ayant fait tout ce qu'il ne fallait pas pour que le ciel leur tombe sur la tête, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! Nous allons, nous, souffrir ''un max'', mais en ce qui les concerne... ''c'est bien fait pour leur gueule''. Et ils croient nous impressionner en ayant mis devant chaque église, pour Pâques, (''quoi qu'il en coûte'', ajouterait sans doute leur chef, s'il ne s'était pas réfugié dans un inutile ''sauvetage -sic !'' de la forêt amazonienne --qui, sans lui, est condamnée... tout le monde sait ça !-- en veillant à ce que ses costumes voyagent sur un siège ''First Class'', plein prix. Honte à lui !), des militaires lourdement (?) armés des quelques sarbacanes qui nous restent encore, après que nous ayons sacrifié nos arsenaux et nos réserves stratégiques au fantasme anti-poutinien du chef... La vérité ? On ne les croit plus, c'est tout.
Vous rendez-vous compte de ce que signifie cette déroute en rase campagne ? Au nom d'une ridicule ''laïcité'' résiduelle, vidée de son sens et de tout intérêt, seul le christianisme est interdit de pratique, de respect et de considération, en France, où seuls comptent les choix supposés de quelques minorités, surtout si elles ne sont représentatives de rien ou de quelque dépravation indescriptible... Des pouvoirs hostiles ont pris le pouvoir dans nos banlieues, dans nos villes, nos campagnes, nos villages... et nous avons de moins en moins les moyens d'assurer la sécurité dans nos rues... Si Jules Romains revenait parmi nous, il ne ferait plus de ''Ambert et Issoire'' deux ''trous de province'' où des ''Copains'' (joués, plus tard, par Philippe Noiret, Guy Bedos, Pierre Mondy et Claude Rich, accompagnés par Les Copains d’abord de Georges Brassens) exerceraient leurs talents... mais des lieux de ''points de deal'' ! Sic transit gloria mundi, hélas !
Aujourd'hui, la population française –qui n'ose même plus se revendiquer telle, tremble en permanence pour son intégralité physique (je ne parle même pas de son intégrité morale...) pour ses biens, pour ses femmes et ses filles, pour ses enfants visés par les drogues les plus immondes... Notre langue est battue en brèche et arabisée, notre magnifique culture est niée par celui-là même qui devait la promouvoir, nos modes de vie menacés par la violence la plus barbare, et notre histoire, si riche, remplacée par des enchaînements de bobards dont pas un seul ne tient la route, mais que des ''cavaliers d'Allah'' barbus et sales interdisent de mettre en doute, puisqu'ils sont archi-faux !
Au nom de notre gloire fanée, et dans l'irresponsabilité la plus totale... nous avons fait la danse du ventre pour organiser des jeux olympiques qui ne devraient logiquement plus être ni l'un ni l'autre : nous n'avons plus un kopek vaillant en poche, et ceux que nous jetons par les fenêtres vient de traites tirées sur le futur de nos enfants. La guerre rode partout –en partie par notre arrogance à raconter que nous sommes prêts à la déclencher ''pour de vrai'' sans en avoir le début de l'ombre d'un moyen... Au nom du beau mouvement olympique, nous refusons aux athlètes russes de se produire sous les couleurs de leur pays et d'avoir droit à leur hymne national … qui sont les deux strictes définitions-conditions de l'olympisme... Nous sommes inconséquents, irresponsables et provocateurs, en offrant notre gorge aux tueurs de Daech, du défilé inaugural (''Une folie criminelle'', d'après Alain Bauer) au défilé final... qui risque ''d'être de la revue'' !
Et s'il n'y avait que tout ça... Au fil des ans et des mauvaises idées, c'est par vagues successives que nos lamentables gouvernants qui, initialement nuls, se révèlent dangereux tout azimuts (dixit aussi Alain Bauer) détruisent le bel édifice, construit avec amour, persévérance et tellement d'intelligence par 70 générations de français (qui furent, par moments, gaulois ou gallo-romains) : ils croyaient bâtir un monde... et il a suffi de 2 mandatures de ''lumières éteintes'' pour tout foutre par terre... Oh ! Que j'ai mal, très mal, à ma France !
En rongeant les fondamentaux, ils ont fait s'écrouler les murs... et nous voilà offerts, sans défense, aux dangereux vents du large. Un exemple ? Au moment où le monde entier se réarme, fait des stocks de munitions, re-remplit ses arsenaux... nous nous sommes engagés à offrir, gratos, à l'Ukraine (à qui ça ne sera d'aucune utilité : les carottes sont cuites... et nous, avec ! Là encore, il serait sage de voir le monde tel que 7 humains sur 10 le voient...), la totalité de tout ce que nous aurions pu produire... mais que notre impécuniosité va laisser à l'état de ''rêves éveillés''. Pauvre France ! Lorsque les canons tonneront (ce qui est possible, avec les puérils excès présidentiels !), on pourra continuer à donner au monde ce que nous nous croyons encore capables de donner : de mauvais conseils... à surtout ne pas suivre... Dire qu'il suffisait de si peu... trois fois rien, peut-être...
H-Cl.
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance, notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand, aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça. Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent, il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement pas à ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire, paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est ! Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif, sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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LA PEINE ESSENTIELLE DES NON-ESSENTIELS...
LE LIBRAIRE
Il a toujours aimé lire mais il n'y arrive plus trop en ce moment. Trop d'angoisse. Les charges qui tombent, le propriétaire qui réclame les deux mois de loyer en retard, le conseiller bancaire qui est un peu plus sec. "Désolé mais je ne peux pas donner des crédits à la terre entière. Faites du click and collect." Son neveu lui a bricolé à toute vitesse un site Internet mais il paraît qu'il n'est pas bien référencé. C'est un métier de vendre sur Internet et ça n'est pas le sien. Lui, il aime faire des petites fiches manuscrites sur les livres et conseiller ses clients.
Il a mis son unique employée en chômage partiel, il a installé une table pour bloquer la porte de la librairie et faire comme un guichet. Parfois les visages s'éclairent : "Oh mais vous êtes ouvert." "C'est pour le click and collect", il répond. Puis, en baissant la voix : "Dites-moi ce que vous voulez et on va faire comme si vous l'aviez commandé." On lui dit "bon courage" en baissant la voix comme s'il avait une maladie grave.
Derrière son guichet toute la journée, il attend que le téléphone sonne puis va sur le site vérifier s'il n'y a pas de commandes.
Le quincaillier lui a pris quelques livres en dépôt. Avant tout ça, ils allaient parfois boire des bières le soir dans le petit café d'à côté. L'autre jour, le quincaillier a vendu un livre de Marcel Proust à quelqu'un qui venait acheter des clous. Il était tellement fier que le libraire a souri derrière son masque, il y a juste cette boule dans la gorge qui ne s'en va pas.
LA FLEURISTE
Comme la nuit elle ne dort plus, la journée elle ne tient pas debout, alors elle boit café sur café. Ses enfants ont dû s'apercevoir de quelque chose, quand ils rentrent de l'école ils jouent en silence et elle n'a même plus besoin de crier pour qu'ils rangent leurs affaires. Elle a déposé des bouquets à 17 euros à la boulangerie d'à côté. La boulangère vend cinq, six bouquets par jour, c'est déjà ça, mais ce n'est pas comme ça qu'elle va arriver à payer les charges. Les fleurs, c'est pour les fêtes, les anniversaires et les amoureux ; en ce moment il y a surtout des enterrements. Parfois, la fleuriste a des idées noires puis elle regarde ses enfants et elle se dit qu'elle doit tenir le coup.
L'INTERMITTENT
On lui a tellement répété qu'il était un privilégié qu'il a fini par le croire. C'est vrai qu'il fait un métier sympa avec des horaires sympas et des gens sympas. Pendant le premier confinement, il faisait des vidéos sur Internet, là il se demande comment il va payer son loyer. Parfois il a l'impression qu'il ne sert à rien.
LE RESTAURATEUR
Ça faisait longtemps qu'il rêvait d'avoir son restaurant. Depuis ses années d'apprentissage, quand il se levait à 4 heures du matin pour accompagner son patron à Rungis. Il a ouvert en janvier 2020 et tout de suite ça a cartonné. Au premier confinement, il apportait des repas dans les hôpitaux et disait en rigolant : "On pourra dire que j'ai bien choisi mon année." Là, il s'est inscrit sur Deliveroo, prépare des salades César en barquettes plastique à 9 euros et du chirashi saumon au quinoa à 11 euros : les gens dans les bureaux ne mangent que ça à Paris. Le ministre de l'Economie a annoncé qu'il y avait des aides, mais il y a plein de trucs à remplir en ligne. Le restaurateur a du mal, il manque toujours un papier. Il a dû aller aux impôts, la dame derrière le guichet a dit : "Eh ben, vous avez bien choisi votre année pour démarrer", et le restaurateur s'est mis à pleurer.
NE LES OUBLIEZ-PAS ! LEUR VIE NE TIENT QU'À UN FIL...
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
9/10
J'imagine que Cléo se sentira comme un poisson dans l'eau à Paris. Elle se rêve en citadine depuis que nous sommes petites, et c'est bien pire depuis qu'Antoine est parti au pensionnat. Je crois qu'elle s'en fait une fausse idée bien romantique mais en même temps, elle a l'air si heureuse. Elle va habiter l'appartement de mon cousin Ange qui se situe au centre de la ville, et il a promis qu'il s'occuperai bien d'elle et qu'il lui ferait découvrir ce que la capitale a de mieux à offrir. Je pense qu'il ne réalise pas que Cléo aime davantage l'idée qu'elle se fait des choses que les choses en elles mêmes. J'ai peur que tout ce qu'elle découvre la déçoive.
Transcription :
Constantin « Cléopâtre. Es-tu déjà allé au courrier ? »
Cléopâtre « Non, Papa… Pas encore… pourquoi j’irai d’ailleurs ? »
Constantin « Et bien pour recevoir la confirmation de ton inscription à la faculté voyons! Tu verras ma fille, c’est un des meilleurs moments qui soient dans une vie que d’apprendre que tu vas pouvoir te consacrer à l’étude durant des années. Jeune homme j’en ai été tout ému. »
Albertine « Te connaissant, je n’en suis pas étonnée. Je regrette de ne pas t’avoir connu à cette époque. »
Constantin « Ne le sois pas. J’étais tant absorbé que te rencontrer à ce moment aurait été compliqué. J’aurai du choisir entre toi et mes études. »
Cléopâtre « Vous exagérez Papa. »
Constantin « Du tout. Sache que l’amour que j’ai pour ta mère occupe mes pensées à chaque instant, et c’était encore bien plus vrai quand nous n’étions pas mariés. Je n’étais pas bon à grand-chose quand elle n’était pas là, mais ce n’était pas plus facile quand elle était à mes côtés, car la seule pensée de ne pouvoir la toucher me rendais à demi fou. Notre mariage fut sans aucune commune mesure le pinacle de ma vie d’alors, car enfin nous avons pu... »
Albertine « Constantin ! Ne voulais-tu pas aller voir si tu avais reçu le courrier de Monsieur Bénédite ? »
Constantin « Ah oui bien sur ! Sais-tu ma chérie qu’il a prévu de retourner en Egypte visiter le tombeau de Toutankhamon ? »
Albertine « Je pensais qu’il en revenait. »
Constantin « C’est un sacré voyage pour un homme de son âge ! Et n’est pas Eugénie Le Bris qui veut, cela doit se préparer. »
Albertine « Vas-y donc Constantin, je te rejoins plus tard. »
Cléopâtre « Je ne savais pas que Papa avait ce côté si… romantique. Il a parlé de vous avec une telle émotion dans la voix. »
Albertine « Ton père est un homme compliqué, mais aussi passionné. »
Cléopâtre « Oui, par ses vieilles tombes poussiéreuses et ces antiquités hors de prix que personne n’a le droit de toucher. Enfin, je savais que vous aviez fait un mariage d’amour, mais j’imaginais moins de... »
Albertine « D’affection ? Il est vrai qu’il ne montre presque rien devant les autres, il garde ses marques d’affection pour notre intimité de couple. Il faut que tu saches que se dévoiler est un exercice difficile pour ton père, que cela le fait se sentir extrêmement vulnérable. »
Cléopâtre « J’ai toujours pensé que c’était plus raisonné qu’autre chose. Je ne savais même pas qu’il était capable d’émotions aussi intenses. »
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J'aperçois un gauchiste et son faciès infâme, La rage et la pitié se disputent mon âme ; Dois-je par un effort, que je crois surhumain À qui veut la couper tendre ma ferme main ? Il a son libre arbitre et plus de vingt ans d'âge, Devrait-il — c'est folie — échapper au lynchage ? Je songe à lui parler, mais que peut ma raison Face aux murs endurcis du fort de l'émotion ? C'est un homme et j'éprouve, en conscience avertie, Envers le sexe faible un peu plus d'empathie ; Rien ne semble imposer à mon esprit fervent, De quoi bien réprimer son mécontentement. Comment un homme blanc, vainqueur de toute époque Peut-il de son passé clamer « oui je m'en moque ! » ? Et comment, de surcroît, niant son sang guerrier, Peut-il à qui le veut gentiment se donner ? Certains diront « langueur », d'autres crieront « parjure ! », Peut-on à son pays faire plus grande injure ? Ses aïeux sont là-haut, et dédaignant son rang, Il fait fi des douleurs, des larmes et du sang, Ce sang qui lorsqu'il coule au-delà des frontières Engendre à ce dément d'innombrables misères, Mais quand il coule ici, provoquant quelque émoi, Au revers du bon sens le fait demeurer coi. Néanmoins, non content de sa froideur funeste, Il gronde, il parle enfin, il s'agace, il conteste ; Voyant certains Français ne voulant point mourir, Il voudrait empêcher ceux-là de discourir. Se croyant défenseur de la liberté reine, Quand l'un dit « détracteur » lui nomme plutôt « haine ». Faut-il donc être haineux pour préférer les siens, Vouloir les épargner de macabres desseins ? Faut-il donc être fou pour aimer sa famille, Du regard de ses sœurs conserver la pupille ? C'est ce qui m'apparaît si j'en crois cet infect Et que je prends pour vrai tout son verbiage abject. La charité chez lui est tout sauf ordonnée Et ne se voit jamais au Bien subordonnée, Préférant mille fois un continent lointain, — « Proche » a pourtant donné l'appellation « prochain » — Il s'agite toujours pour défendre « le monde », Mais quand à notre seuil le plus noir péril gronde, Pire que de se taire il œuvre à ses côtés L'aidant à s'affermir par tant d'atrocités. Il est devant mes yeux, cet ignoble transfuge, La rue est clairsemée, il n'a point de refuge, Ce ne sont pas ses mots qui le protégeront, Ni ses deux bras chétifs, quelle horreur ! quel affront ! Il n'a donc rien pour lui : voilà ! je crois comprendre ! Est-ce donc pour cela qu'il aime tant se vendre ? Est-ce par lâcheté, faiblesse, abattement Qu'il se meut chaque jour contre son propre camp ? À moins que consciemment, la Beauté il refuse, Et pour la dévoyer, chaque jour une ruse Naît comme une fleur noire en son pervers esprit ; Se sentira-t-il mieux si tout est avili ? Je le regarde encore et tout mon sang bouillonne, Ma Muse veut rimer mais ma fureur résonne : La plume ou bien le poing ? quel moyen retenir ? Un second traître au loin ! je n'ai plus à choisir !
Alexandre Charpentier
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Dans la vie de tous les jours, je ne suis pas quelqu'un de spécialement agréable. Je fais le béaba, je souris dans la rue aux vieux qui ont l'air tout tristes à ceux qui ont pas l'air tout tristes, mais pas à ceux désagréables. Je réponds dans la rue quand on me pose une question poliment. Je reste cordiale quand on l'est en face de moi. En fait je suis polie avec les gens, même avec ceux que j'aime pas. Mais alors quand j'aime bien quelqu'un il se joue quelque chose en moi de particulier, peu importe mon degré d'appréciation, il faut que je fasse rire la personne. Je sais pas pourquoi. Je me trouve extrêmement drôle et j'ai la sensation que si je fais pas rire la personne en face de moi, je manque quelque chose. C'est une sorte de challenge. Je vis pour saisir chaque occasion de faire une blague ou une remarque qui peut aller de souffler du nez à l'éclat de rire. Et jcrois que ya 3 ou 4 personnes dans ma vie que j'estimais très marrantes qui m'ont dit de me lancer dans le stand up bah la vérité, j'y pense chaque jour. Voilà, si un jour vous me rencontrez, vous saurez 2 choses: si j'essaie de vous faire rire je vous aime bien, si j'essaie pas, je vous aime pas. Plus je fais rire les gens, mieux je me sens. C'est trop bizarre. C'est même pas pour les rendre heureux, ni pour mon ego vraiment, c'est juste que j'ai besoin de ça (c'est peut-être mon ego en fait). On dirait pas que je suis drôle mais en vrai, de fou. C'est la seule réelle qualité que je me donne.
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