#en ayant presque pas mal!!!
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barbie bras tordu (et défoncée)
#c'est le plus bas que je peux#en ayant presque pas mal!!!#feat mes cheveux ce tas de paille#j'aimerais bien faire un masque mais je peux plus avec ce bras!!!!#c'est ce pantalon le fautif d'ailleurs je devrais le brûler
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
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Chère Eugénie,
Je vous remercie pour votre lettre et vous confirme que nous avons bien reçu de Jules une lettre assez inquiétante, même si Constantin continue de traiter les événements comme un simple retard des services postaux. Malgré le fait que nous lisions les journaux tous les matins, il est encore difficile pour lui de comprendre le rapport entre les événements et le fait que les chantiers sont actuellement suspendus. Il continue à protester en affirmant que les fouilles n'ont rien à voir avec des questions politiques et qu'il est navrant que de braves hommes se soient pris dans de tels événements. Il parle d'obtenir un permis de fouilles alors même que ses confrères sont tous rentrés en urgence, ou presque, pour sauver leur vie. J'aimerai parfois bien vivre dans le monde de mon mari, où une grave situation politique ayant fait des centaines de morts n'est qu'un simple contretemps agaçant. Il passe son temps à affirmer qu'il n'a jamais rien fait contre le peuple égyptien, si ce n'est exhumé sa culture perdue, et il lui parait inconcevable que des hommes puissent être lynchés pour cela.
Transcription :
Constantin « Et du coup, il me paraît évident que les textes funéraires du caveau de Sennefer me semble encore mal connus. Je vais demander un permis de fouilles séances tenantes, nous pourrions apprendre des choses révolutionnaires sur l’administration thébaine sous le règne d’Aménophis II. »
Eugénie « C’est beau de te voir retrouver ton entrain. »
Cléopâtre « Tiens, en parlant d’événements révolutionnaires… »
Eugénie « Cléopâtre, ma chérie, laisse donc ton père finir. Qu’avait-il de remarquable ce… Sennofeur ? »
Constantin « C’était un administrateur de la cité thébaine, Grand-Mère ! Gérant des greniers à blé de la région, il avait la main, au nom du pharaon, sur les possessions du clergé d’Amon. Il participait, entre autres choses, à limiter l’influence du clergé sur la politique royale. Imagine ce que nous pourrions apprendre en étudiant davantage sa tombe, les administrateurs adorent parler de leurs hauts faits, et ils sont d’ailleurs assez peu reconnus. »
Eugénie « Je suis bien d’accord, personne ne s’intéresse aux petites mains de l’ombre. En gros, il administrait les biens de l’église, un peu comme au Vatican n’est-ce pas ? »
Constantin « Non pas du… Oui, si l’on essaie de trouver une analogie, ce n’est sans doute pas si loin. »
Eugénie « Merveilleux, me voici enfin à comprendre quelque chose à toutes ces histoires égyptiennes. »
Cléopâtre « Bien sûr, Grand-Mère. Mais peut-être faudrait-il aussi parler de la situation en Egypte en ce moment ? »
Constantin « Oh, ça ne peut pas être si grave n’est-ce pas ? »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Constantin Le Bris#Jules Le Bris#Cléopâtre Le Bris
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- suggestion de faceclaim pour le pré-lien big brother is watching you
tw - mention de fausse couche, maladie (cancer), décès, deuil, prise de substances / comportement autodestructeur (naia)
kenan, c'est l'aîné de la famille, ce grand frère avec qui naïa n'a que trois années d'écart. à la fois partenaire de bêtises, confident et protecteur, il est devenu un véritable pilier de son existence, kenan. tous les deux ont noué au fil des années cette relation privilégiée qu'ils ont réussi à préserver, à cultiver même. parce que même si les années passent et ne se ressemblent pas, il est toujours la première personne auprès duquel elle se réfugie quand elle va mal, quand elle a besoin de réconfort. du moins, c'est ce qu'elle faisait jusqu'au décès de maman, naïa. parce que depuis le décès de maman, elle a changé du tout au tout. un changement radical qui lui fait peur à kenan parce qu'il ne reconnaît plus sa petite sœur, parce qu'il voit bien également qu'il n'arrive pas à honorer cette promesse faite à leur mère - celle de prendre soin de sa petite sœur.
les dolan, c'est une famille originaire de barcelone qui est formée autour du couple de sully et summer. un couple partageant le même amour doux et sincère depuis de nombreuses années. un couple ayant réussi à passer à travers les hauts, mais aussi les bas ensemble. c'est presque naturellement qu'ils ont souhaité agrandir leur famille. et c'est ce qu'ils ont réussi à faire en accueillant leur premier enfant, kenan. rapidement après la naissance de kenan, summer est tombé à nouveau enceinte d'une petite fille, ena. une petite fille qui n'aura jamais eu l'occasion de pousser ses premiers cris. deux années à pleurer la perte de ce petit ange qu'ils n'auront jamais eu l'occasion de côtoyer, deux années à espérer et également se battre pour parvenir à agrandir de nouveau leur famille. et c'est chose faite avec celle qu'ils voient comme leur petit miracle, naïa. (...) et alors qu'ils semblent tout pour être heureux, tout bouscule en mai 2022 - ce fameux jour où maman leur a appris souffrir d'un cancer du sein. et si maman a peur, elle ne leur montre rien. elle reste cette femme digne et forte qui décide de faire de son mieux pour se battre pour son mari, pour ses deux enfants qu'elle a tant désiré. et si elle est affaiblie par les chimiothérapies, elle ne montre rien et demeure cette femme joviale et blagueuse qu'ils ont toujours connu. jusqu'à que tout s'effondre une seconde fois en octobre 2023. parce que summer a perdu son combat face à la maladie. et sans elle, rien ne semble plus avoir de sens. parce que sans summer il y a ce fossé qui se creuse chaque jour un peu plus au sein de la famille dolan. une famille où chacun semble dépérir à sa manière.
#forum rpg#forums#rpg francophone#forumactif#rpg français#avatars rpg#faceclaim rpg#ressource rpg#pub rpg#kit butler#kit butler avatars
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Salut :) ✍🏻️
Hey~ Alors... J'ai déjà parlé de pas mal d'OCs, donc allons-y pour celle qui est encore floue dans mon esprit : l'exploratrice de ma nouvelle "La Musique des Sphères".
Elle n'a pas encore de nom, ni vraiment de visage, ayant toujours été décrite comme une femme dans la trentaine cachée sous la capuche de son long manteau.
Elle n'a jamais été là pour devenir autre chose qu'une spectatrice. Son but n'est pas de résoudre les problèmes des gens ou des lieux qu'elle peut rencontrer, mais servir de témoin et découvrir les histoires liées aux mystères des ruines qu'elle parcourt. Sa curiosité est sa principale qualité mais également son plus gros défaut. Elle va dans des endroits qui se trouvent abandonnés pour de bonnes raisons, et c'est ce qui l'amènera à découvrir le conservatoire, un lieu qui entraînera sa perte. Il faut dire qu'elle n'est pas franchement aidée à être raisonnable vu qu'une de ses amies, une tatoueuse de génie, lui a implanté un tatouage d'hacking sur la paume. Elle peut pirater tous les appareils électroniques et, s'il leur reste assez d'énergie, les activer. Résultat, des portes qui auraient dû rester fermées s'ouvrent assez pour la laisser passer (l'histoire se passant dans le futur et l'espace, la technologie est presque partout).
Elle est par ailleurs très empathique avec l'ambiance des lieux qu'elle visite. Même si elle le réfute, elle est beaucoup trop touchée par ce qu'elle voit pour rester rationnelle. Les émotions fortes qu'elle ressent font qu'elle continue ses explorations, malgré les dangers qu'elle a rencontrés, parce qu'elle est incapable de résister à ces frissons. Du fait de ses recherches (oui, elle n'est pas inconsciente au point de se rendre à un endroit sans faire quelques vérifications au préalable) elle a beaucoup de connaissances sur les langues anciennes et les systèmes d'archives parfois sacrément compliqués à comprendre et à utiliser. Elle est également assez athl��tique, et sait se débrouiller avec ce qu'elle a pour survivre ou réparer son vaisseau seule. Elle a aussi une excellente mémoire, et une tendance à essayer de relier les moindres éléments en sa possession afin d'en tirer toutes les conclusions possibles.
Je pense réutiliser ce personnage dans d'autres nouvelles, où je pourrais continuer de l'étoffer, voire de lui donner sa propre histoire, surtout qu'elle a désormais une épée de Damoclès sur la tête.
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Vendredi 7 juin
Eric Clapton, Pierre Le Tan et compagnie
J'ai pris le bus pour Lyon alors que je n'avais guère envie de bouger, tout ça me fatiguait d'avance, mais j'avais une bonne raison de faire ce trajet : Eric Clapton. Qu'est ce qu'on ne ferait pas pour une légende des 60's...
Pour le trajet, j'avais de la bonne lecture, évidemment. C'est à ce moment là, en ouvrant un livre de Pierre Le Tan, que j'ai réalisé qu'il allait falloir absolument creuser dans la bibliographie de cet auteur là, mais j'y reviendrai.
Une fois arrivé à Lyon j'ai filé dans mon hôtel lyonnais habituel, le Victoria. Comme je n'ai jamais eu le sens de l'orientation, je me suis arrangé pour tourner en rond pendant quelques minutes avant de trouver enfin le bon chemin pour accéder à l'hôtel.
Finalement je suis arrivé et je me suis installé dans ma petite chambre.
J'étais censé rencontrer Nassim (un pote de Twitter que j'avais déjà rencontré l'année précédente lors d'un autre passage à Lyon, souvenez vous) mais finalement, ça n'a pas pu se faire, hélas, et puis j'ai commandé un Mcdo, me le suis enfilé, et j'ai filé sur le lieu du concert où m'attendait Charly (toujours un pote de Twitter).
J'ai choisi la facilité en prenant un Uber. Mais le chauffeur, qui avait l'air plutôt sympa, m'a laissé à 2 kilomètres de la salle de concert. Ca m'a beaucoup embêté, je déteste marcher, surtout sans savoir où je vais, mais finalement, je suis arrivé à bon port, c'était l'affaire de 10 minutes.
J'ai retrouvé Charly et nous avons discuté, refaits le monde de la musique et trinqué, bière en main.
Et puis nous avons fini par entrer dans la grande salle de concert flambant neuve et nous sommes allé chacun nous installer à notre siège numéroté.
Nous étions bien en avance et la salle se remplissait petit à petit.
Pendant ce temps là, une sono diffusait les Beatles, pour mon plus grand plaisir.
Le public était composé d'environ 80% de boomers, ce qui est logique, Clapton étant âgé lui même septuagénaire.
L'attente fut interminable, pendant que je souffrais, assis sur ce maudit siège en plastoc qui me faisait mal aux fesses et aux jambes.
Finalement, après une première partie pas désagréable (Rover), le héros de la soirée a débarqué sur scène.
Enfin, j'avais Eric Clapton devant les yeux, au loin, mais bel est bien là !
Il faut dire que jusqu'ici j'ai réussi à voir tous mes héros et il me manquait Clapton, je rêvais de ce concert depuis presque deux décennies.
Que dire du concert ? Il était satisfaisant, Clapton a conservé sa voix et surtout, il n'a rien perdu de son jeu de guitare fabuleux, ce talent grâce auquel il gagna le surnom de « God », dans les années 60.
Il faut noter qu'il s'entoure d'un groupe de musiciens prodiges, tous des cracks dans leurs instruments respectifs. Le contraire aurait été étonnant.
Concernant la setlist, elle fut quasiment satisfaisante. Voir Clapton chanter Tears In Heavens était un rêve pour moi qui se réalisait. C'était aussi beau qu'émouvant (surtout quand on connaît l'histoire de cette chanson). C'était également un énorme kiffe d'entendre Cocaine, à vrai dire, il ne manquait que Layla, qu'il a osé ne pas jouer mais je le savais déjà, ayant étudié au préalable ses setlists des concerts des jours précédents. Il faut croire qu'il s'est lassé de sa chanson emblématique.
Le concert terminé, j'ai filé, pour me retrouver sous la pluie, dehors, éclairé par la lune, et après quelques mésaventures, j'ai fini par réussir à retrouver ma chambre d'hôtel, avec le cul en feu, résultat de plusieurs heures passées sur un siège inconfortable. Mais j'étais satisfait, j'avais enfin vu l'un de mes héros, après tout, c'est le principal. C'était l'objectif que je m'étais fixé il y a bien longtemps.
Je suis rentré chez moi le lendemain.
Pour revenir à Pierre Le Tan, il faut que je vous raconte comment ma bibliophilie s'est aggravée : je suis récemment tombé fou de l'oeuvre de cet auteur et illustrateur passionnant et, après avoir lu deux de ses ouvrages, j'ai fini par vouloir creuser et me procurer d'autres de ses bouquins. Le problème, c'est qu'outre les deux livres que j'avais déjà de lui, ses autres ouvrages n'ont pas été réédités, et on ne peut les trouver que d'occasion, et à des prix délirants. Ainsi, après avoir écumé les sites de vente en ligne, j'ai réussi à me procurer le très convoité « Rencontre d'une vie » pour la modique somme de 100€. J'ai pensé qu'après ça je serais enfin comblé mais, non, il me fallait absolument me procurer « Les années pop » et « Epaves et débris sur la plage ». J'ai fini par craquer et j'ai acheté le premier pour la modique sommes de 150€ et le second pour 60€. Ce sont des bouquins qui, à leur sortie, ne coûtaient pas plus de 12 balles. Autant vous dire qu'ils m'ont coûté une fortune, enfin, à l'échelle de mon porte monnaie. Mais une fois ces livres en main j'étais totalement comblé. Je crois que je suis un peu obsédé par tout ça mais, au final, ça vaut mieux que d'acheter de la drogue, vous croyez pas ?
Si vous me lisez régulièrement vous savez qu'il y a quelques semaines je me suis rendu à Paris pour voir Cat Power et que cette dernière a annulé le concert au dernier moment. Eh bien, l'autre jour, mon frère m'a contacté (chose rare) et il m'a proposé de me rendre au prochain concert de la belle, en juillet prochain. Je serai sur la liste des invités, j'entrerai donc gratuitement au concert en échange d'un article sur le blog (slowshow.fr). Je n'avais pas fait ça depuis le concert de Jack White, mais j'étais totalement emballé, alors j'ai accepté : rendez-vous le mois prochain pour lire le récit du concert, enfin, si la chanteuse ne décide pas d'annuler d'ici là.
Voilà, j'ai écris tout ce que j'avais à écrire, je vous salut et je vous remercie de me lire !
Bande son : Initials B.B.,
Love On The Beat, Serge Gainsbourg
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Wallonie: une mère sur deux risque une dépression post-partum (Sandra Durieux, Le Soir, 22 fév 2024)
"« Pour moi, rien n’est agréable dans la maternité, tout n’est que souffrance, fatigue et inquiétude. »
Voilà 18 mois maintenant que Margot a donné naissance, à 30 ans, à son petit garçon.
Dix-huit mois qu’elle éprouve un profond mal-être que jamais elle n’aurait imaginé ressentir.
« Je n’avais aucun souci de santé mentale avant mon accouchement, confie-t-elle.
Au contraire, j’étais plus du genre à prendre les gens qui en souffraient de haut, en disant qu’il suffisait de le vouloir pour s’en sortir.
Maintenant je sais ce que c’est d’être dans un état tel d’angoisse, de dégoût et de culpabilité qu’on se pose la question de savoir s’il ne faudrait pas en finir.
Je ne franchirais pas le pas mais j’ai du mal à apercevoir la lumière au bout du tunnel. »
Un bébé arrivé très rapidement alors que jusque-là, elle ne souhaitait pas avoir d’enfant, un allaitement quelque peu forcé à l’hôpital, un petit bout hospitalisé à 6 semaines, un compagnon indépendant qui doit très vite reprendre le travail et un entourage qui juge son mal-être comme étant « normal »
(…)
Solidaris a également épinglé des profils particulièrement à risque : chez les néo-mères, la monoparentalité, la mauvaise santé du nouveau-né, le fait que celui-ci soit le fruit du premier accouchement, le fait d’avoir moins de 25 ans et le fait d’avoir accouché par césarienne sont des facteurs qui augmentent significativement le taux d’initiation d’une consommation d’antidépresseurs après la grossesse.
Elle montre également que les mères aidantes proches, ayant perdu leur emploi, victimes de violences, ayant fait l’expérience de difficultés avec le personnel soignant et bénéficiant de peu de soutien sont davantage à risque de dépression du post-partum.
Pour Solidaris, au regard de sa prévalence, la dépression post-partum est tant un enjeu de santé publique que de justice sociale et de genre.
« Et il existe, selon nous, plusieurs leviers d’action sur lesquels travailler pour endiguer ce phénomène, assure Basile Cornet, expert Etudes et plaidoyer chez Solidaris.
Ainsi, nous réclamons des mesures de soutien aux parents comme l’extension du congé de maternité à 21 semaines, une augmentation des places en crèches et leur mise à disposition sans conditions ou encore un alignement du congé de naissance (du co-parent) sur celui de la mère.
La jeunesse des mères est un facteur de risque. Il faut une généralisation des cours d’Evras et une pérennisation du droit à l’IVG.
Nous estimons aussi qu’il faut un screening systématique pour la dépression du post-partum pour la mère et le co-parent. »
Pour Margot, ce suivi par les professionnels devrait presque être forcé.
« Car à force d’entendre l’entourage nous dire que ce qu’on vit et subit après la naissance est normal, on finit par le croire et on se dit que nous aussi on va surmonter cette angoisse seule.
Or ce n’est pas le cas. On se sent de plus en plus incompris, incapable et coupable de ne pas être une bonne mère au fil des semaines.
On s’isole de plus en plus et on tombe dans un cercle vicieux très dangereux. J’aurai aimé que quelqu’un me force à en sortir. »"
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''Le Canard est toujours vivant''...
Je ne suis pas certain que ce soit bien prudent ni très sage de reprendre si vite un semblant d'activité : la Faculté –dans sa pompeuse majesté--, Hippocrate et Esculape (et même moi, tout au fond de mon ''ressenti le plus intime'')... disons et répétons que c'est une folle décision : je suis loin d'avoir récupéré les forces perdues après toutes les tuiles qui me sont tombées dessus il y a bientôt un mois, et qui me laissent encore faible et comme épuisé. Mais l'important semble être que je sois encore vivant, comme le célèbre canard du vieux ''sketch'' de Robert Lamoureux.
D'un autre côté, j'ai vraiment hâte de dire mille fois ''Merci'' à toutes les marques de gentillesse que j'ai reçues, en un torrent de mails presque ininterrompu, illustré de mots qui m'ont comblé d'émotions profondes et auraient pu ''me donner la grosse tête'' s'il n'était pas évident qu'elles étaient dictées par le cœur et pour aucune autre raison. Compte tenu de l'état de grande fatigue dans lequel je me débats, je ne suis pas du tout certain de pouvoir répondre à la totalité des gentils messages qui me sont envoyés. Que tous leurs émetteurs trouvent ici le témoignage de ma reconnaissance émue et de ma sincère gratitude pour ce soutien, dans le fond vital.
Mais il n'y a pas que ''ça'' : malade ou pas, épuisé ou pas, j'entends résonner les cris de révolte qui se multiplient en France, ce pauvre pays si insulté, si mal traité, si calomnié, sur chaque sujet. Pour un peu, j'aurais envie de paraphraser De Gaulle : ''La France outragée, la France brisée, la France martyrisée''... à ceci près que personne ne peut honnêtement et sérieusement oser penser qu'elle puisse être ''libérée'', de près ou de loin : nos gouvernants, défaillants à en être criminels, refusent de voir toute vérité et n'osent même pas prononcer les noms des maux qui menacent notre existence en tant que nation et que peuple, mais aussi en temps que simples individus pris dans un ouragan..
Ai-je le droit d'invoquer une baisse de tension ou une chute de globules pour arrêter de hurler qu'il n'est pas acceptable (en donnant à ce mot sa vraie valeur, à l'inverse de nos politicards) que en France, en 2024, tout parent d'un adolescent ayant entre 11 à 17 ans tremble de peur en le regardant partir vers son lycée ou son collège ? Dans notre ''vieux pays sur un vieux continent'' (comme pouvait encore le dire mon ami Dominique de Villepin en février 2003 à l'ONU) un coup de couteau mortel est une ''aventure'' qui peut arriver à tout instant, n'importe où... pour rien ou pour une soi-disant insulte (NB : si traiter un afghan d'Afghan, c'est grave... c'est grave !).
Nous voici ramenés aux périodes les plus noires de notre histoire, à ceci près qu'il s'agit, là, de vraies périodes noires, pas des mauvaises interprétations de ce qui dérange les idéologues de notre Gauche, décidément tous pourris... Nos enfants ne sont plus en sécurité nulle part dans nos villes, juste parce qu'ils sont un peu plus blancs que d'autres, du même âge, qui s'attribuent le droit de les tuer à coups de couteau de boucherie pour cette seule absence de raison.
Mais que doit-on dire de nos femmes et de nos jeunes filles qui ne peuvent même plus sortir en jupe ou en robe (sauf longues comme un jour sans pain !)... de nos citadins condamnés à la laideur, en bas de chez eux, de campements de ''fortune'' (la seule ''fortune'' est celle que se font les ''dealers'' de drogues infâmes !)... d'où sortent des puanteurs assassines de substances mortelles pour notre jeunesse, déjà contaminée à l'excès... de la violence généralisée que refuse de voir une ''Justice'' (sic !) qui ne mérite plus son nom...
Devant ces troubles qui devraient être inacceptés –mais qui ne sont dits ''inacceptables'' qu'en paroles, dans des discours volontairement creux destinés à noyer le gogo-- nos gouvernants poursuivent des folies qui ne peuvent nous mener qu'à des catastrophes encore plus définitives. Au lieu de lutter, toutes affaires cessantes, contre une invasion de substitution clairement reconnue dans toute la littérature du genre depuis 20 ans, le Pouvoir en place nie toute évidence irréfutable et toute démonstration incontournable, et ne réagit pas lorsque des islamo-gauchistes criminels la soutiennent en mélanchonnisant sans savoir de quoi ils parlent, et sont prêts à tout pour ravager la planète jusqu'à sa mort –et la nôtre... ''quoi qu'il en coûte'' … comme si une phrase aussi stupide pouvait avoir le moindre sens !
C'est pour continuer à me battre contre les moulins à vent marqueurs de notre triste époque que je vais essayer de revenir vous murmurer ma petite sérénade, dans la faible mesure de mon absence de moyens. Peut-être, au début, sera-ce avec un rythme moins régulier, en fonction de mes possibilités physiologiques. Mais au moins aurai-je ainsi l'impression, lorsque mon heure viendra, d'avoir ''donné de moi-même''. Mais ceci est une autre histoire, dont nous reparlerons... le plus tard possible. A très bientôt, et –encore une fois-- un immense ''Merci'' pour votre soutien.
H-Cl.
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Ils étaient forts, ils étaient beaux, ils sentaient bon le sable chaud... De leur vertu et de leur gloire, on fascinait les auditoires ! Les bons, les braves et les coeurs purs suivaient en choeur leurs aventures ... Au firmament des âmes aimées, brillaient leurs noms d'un feu sacré ! *Oooooh*
Bien, la scène étant posée, vos aventuriers ont a priori survécu à la nuit avec tous leurs organes encore connectés au réseau habituel, et se réveillent donc comme des fleurs avec les hurlements indignés des canards à 7 heures. C'est notre nouvel ennemi local.
Nous prenons un délicat petit déjeuner à base de pain et de fromage frais, lorsque sous le regard ébahi des deux docteurs, ma tartine s'essaye aux acrobaties (10/10 pour les figures effectuées) avant de me faire gagner un supplément terre et cailloux. Ça croustille sous la dent.
C'est ensuite tout guillerets et parfaitement sereins que nous entamons nos 5h de trajet jusqu'à la nouvelle frontière argentine, absolument persuadés que tout va bien se passer, comme hier. Après tout, Dr X a un tel karma qu'on estime au million le nombre de chatons tués dans son ancienne vie, que pourrait il mal se passer ?
En approchant de la frontière, le monde nous envoie un petit message en nous faisant traverser 20km de forêt crevée, dans une atmosphère digne d'Halloween.
Et bien mes amis, comme nous en étions intimement convaincus, nous avons ... Passé la douane sans aucun souci. Hormis le meurtre abject d'un paquet de clémentines et de notre gousse d'ail, volés par les contrôles sanitaires (heureusement qu'ils n'ont pas mis le nez dans nos chaussettes, on serait partis en quarantaine direct), le procédé a pris au moins 5 minutes !
Les douaniers nous ont demandé un quart des papiers d'hier, m'ont posé une question que je n'ai pas compris, ont dit "oh tant pis, on s'en fiche" quand je leur ai signifié mon incompréhension, et on tamponné les papiers. Fin. C'est un peu anticlimactic comme résultat je trouve, mais ... ON EST EN ARGENTIIIIIIIIIIIIINE
Nous découvrons alors (enfin, "on", Dr X et Touille, les mauvais élèves, Dr Rathatton ayant bien bachoté son trajet depuis deux mois) que le début de l'Argentine va être fort agréable : c'est un immense parc naturel !
Il y a encore pas mal de neige, ce qui nous limite dans la découverte des petits sentiers, mais déclenche des libérations de pulsions enfouies depuis hier par certain.e.s.
Après un déchaînement de violence qui vaudrait bien un reportage sur la crevette, nous faisons nos emplettes habituelles à l'arrivée dans un nouveau pays : carte sim et sousous.
Ici, c'est très bizarre : il y a de telles variations de la monnaie dans le pays qu'il y a carrément deux taux... Le taux blue, taux officieux auquel s'échangent les dollars dans le pays, et le taux officiel, utilisé par les banques et les cartes de retrait. On a quand même presque un facteur trois entre les deux ! On passe donc par western Union pour retirer des sousous, récupérons l'équivalent de 500 000 pesos argentins, et réalisons avec bonheur que nous allons pouvoir faire une imitation fort réaliste de Picsou : ici, le billet maximal est de ... 2000 pesos. Et vu qu'ils sont rares, on n'en a qu'une vingtaine, le reste est constitué de billets de 1000 et de 500. Vous avez déjà tenu une liasse de 550 billets dans la main ?
Ce sont donc trois mafieux devant planquer des centaines de billets qui partent se coucher ce soir, posés au bord d'un lac, et surtout ... Du bon côté de la frontière !
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DONS ET SPÉCIFICITÉS MAGIQUES - Descendant de vélane
Créatures du diable pour certains, divinités sacrées pour d'autres, les descendant.e.s de vélanes ont cette particularité de ne laisser personne indifférents. Que vous les trouviez incroyablement séduisants ou que leur beauté vous rende jaloux au possible, vous ne pourrez pas faire comme s'ils n'existaient pas. Lorsqu'ils sont là, les regards sont braqués sur eux, hypnotisant par leur charisme extraordinaire. Attirants, sulfureux, les demi-vélanes ont ce charme qui fait d’eux qu’il est bien souvent difficile de détourner les yeux. Hommes et femmes, peu importe, ils sont aussi fascinants qu’une étoile. Les demi-vélanes sont rares, il n'existe qu'une poignée de familles possédant le gène dans son sang.
HISTOIRE DE LA VÉLANE
A l'origine, la vélane est une créature magique à l'apparence humaine. Elle prends la forme d'une femme à la beauté enivrante, presque surnaturelle, cachant également en elle une deuxième facette ; celle d'une hideuse harpie qui sort lorsqu'elle ressent une immense colère, déformant ainsi son visage si parfait en un monstre horrible. Le charme des vélanes fait des ravages, faisant perdre tout discernement à la personne qui en est victime. On se souvient notament de la Coupe du Monde de Quidditch de 1994, lors du match Irlande/Bulgarie, où l'arbitre s'était mis à danser en plein match, envoûté par les vélanes présentes sur le terrain.
La Vélane descendrait, de part de nombreuses sources, d'un Esprit Légendaire de la Nature venant d'Europe de l'Est, fée slovaque pouvant prendre la forme d'un oiseau, La Vily
, Esprit ayant également engendré la célèbre sirène.
Dans The Fairy Mythology (Thomas Keightley, 1878), Les Vilas
, telles qu'elles apparaissent dans les légendes serbes, seraient des nymphes alpines, jeunes et belles, vêtues de blanc, avec de longs cheveux flottants. Il est dit que leur voix ressemble à celle d'un pivert. D'après la croyance populaire, elles décocheraient des flèches mortelles aux hommes, et enlèveraient parfois leurs enfants.
Le livre A Field Guide to the Little People décrit les Vily de façon très détaillée. Il s'agiraient des Gardiennes de la Nature, qui prendraient soin des arbres, des cours d'eaux et des fleurs présents sur leur territoire. Elles seraient extrêmement jalouses des belles femmes. Leurs humeurs seraient aussi variables que le temps et elles pourraient à la fois provoquer ou soigner les maladies. Un humain essayant de goudronner leur territoire pourrait être tué par une flèche ou mourir soudainement d'une crise cardiaque, d'un lumbago, ou être emporté par une avalanche. Les Vily auraient le teint clair et des cheveux bruns ou roux et bouclés qui tomberaient à leurs pieds. Elles seraient vêtues des vêtements blancs chatoyants ou des couvertures faites de feuilles vertes.
TRANSMISSION DU GENE
Techniquement parlant, les descendants de vélane ne sont ni plus ni moins que des hybrides. Ayant vu le jour après l'accouplement d'une vélane et d'un sorcier, certains les placeraient même dans la catégorie des créatures magiques. Le gène de vélane étant un gène puissant et dominant, il se transmet presque systématiquement, bien qu'il existe quelques exceptions. Un demi-vélane ayant des enfants avec une sorcière aura donc de très fortes chances de transmettre son gène à sa progéniture.
La raison pour laquelle si peu de demi-vélane existent dans le monde est assez simple, à vrai dire ; réussir à séduire et à enfanter une vélane est en effet quelque chose de quasi-impossible et très très rare sont les sorciers pouvant se vanter d'avoir réussit cet exploit.
EN PRATIQUE
D'un point de vue purement physique et scientifique, les gènes de vélane confèrent à celui qui les détient une beauté aux diapason de leurs origines magiques ; traits parfaits, visage parfaitement symétrique, sourire éclatant... On a du mal à en détacher les yeux. Les réactions face à cette beauté sont diverses et variées : si certains vont bégayer et devenir maladroits, d'autres peuvent ressentir une jalousie profonde, ou encore baver en les voyant. C'est à vous de décider la façon dont cette beauté objective touche votre personnage. Leurs phéromones sont largement plus odorants que ceux des sorciers lambdas et cette odeur est d'ailleurs beaucoup plus remarquée par les loups-garous et les vampires, qui arrivent donc à repérer les demi-vélanes assez rapidement - et à être attirés par eux. Une caractéristique physique est commune à tous les descendant.e.s de vélane ; ils ont systématiquement les yeux clairs.
En principe, le charme des demi-vélanes éclipse les autres personnes présentes, mais il arrive qu'en de rares occasions le demi-vélane soit entouré d’un halo qui rend les personnes autour de lui plus belles et plus rayonnantes.
Les familles possédant le gène de vélane sont censées être obligatoirement recensées au Ministère de la Magie, dans le registre des Êtres
au même titre que les vélanes normales et leurs cousines sirènes, les loups-garous et les vampires. Fait intéressant, c'est pour ne pas être classés avec ces "créatures" que les centaures et les êtres de l'eau ont demandé à être considérés comme des animaux et non pas comme des êtres. On ignore encore d'où cette tension entre les sirènes et les vélanes est née, elles qui sont censées être de la même espèce.
ATOUTS Au même titre que leurs cousin.e.s les descendant.e.s de sirène, les demi-vélane peuvent charmer avec leurs voix mais leur arme principal reste leurs regards. Un regard au fond des yeux, un timbre de voix sensuel, et il y a de fortes chances que le demi-vélane soit en train de vous charmer, volontairement ou non. Attention ; un demi-vélane ne peut pas pousser quelqu'un vers la mort si cette personne n'en a pas l'envie de base. De même, ils ne peuvent pas forcer autrui à avoir des relations sexuelles. Son charme fait cependant ressortir les désirs et les envies
enfoui dans l'inconscient de la personne envoûtée.
L'auteur Bulgare Konstantin Gavrilov Velikov fut le premier et le seul a écrire un ouvrage complet sur son statut de fils de vélane. "Veela", 1345 ap. J.C. Voici un extrait :
"Non content d’attirer le monde à nous, nous possédons un unique don : celui d’hypnotiser qui nous voulons... Pour cela, un regard au fond des yeux, une voix douce, un peu de volonté et n'importe quelle demande peut être exécutée. L'hypnotisé ressent alors un plaisir non feint et veut à tout prix exécuter nos désirs et demandes les plus folles. Nous devenons sa priorité. Pour acquérir ce "don" il faut beaucoup de travail et de concentration car à la moindre défaillance de l'esprit, l'enchantement peut se rompre. Au départ l'hypnose ne dure quelques secondes, puis à force d'entraînement, elle peut s'étendre sur quelques minutes, voir quelques heures pour les demi-vélane plus âgés ayant eut une vie entière pour l'acquérir. Chacun ressent l’hypnose différemment, plus la volonté est forte et plus il est facile d’y résister. Ceux capables de détermination ne ressentiront qu’une légère attirance et pourront se défaire du lien aisément, tandis que d’autres seront sous un contrôle total. Il n’existe que de rares personnes complètement immunisées contre ce don ; celles qui sont capables d’un amour sincère envers le demi-vélane."
De part son ancêtre, le demi-vélane possède également plusieurs domaines dans lesquels il peut exceller ; lorsqu'il danse par exemple, il n'est pas rare que la beauté et la sensualité de celui-ci déborde et que l'on ait du mal à détacher les yeux de lui. Il en va de même pour leurs chants : un demi-vélane chante avec une perfection innée qui vous touche en plein coeur. Leurs cousin.e.s demi-sirène ont particulièrement hérité de cette aptitude.
FAIBLESSES Il y a bien un moment où le charme est rompu, c'est lorsque le demi-vélane est en proie une rage profonde. Ils tiennent encore une fois cela de leur ancêtre vélane, mais lorsque cette colère, cette rage, fait surface, la beauté se brise et le demi-vélane se montre alors sous une autre facette ; la harpie qui sommeille en eux depuis toujours sort de sa léthargie et confère au descendant.e de vélane un apparence effrayante. Grondements profonds, rides de rage, yeux noirs, c'est presque une bête sauvage qui prend possession de ces visages d'ordinaire si parfaits.
Il est, normalement, impossible d'être immunisé aux charmes d'un demi-vélane... à une seule exception. Seuls ceux capables d'un amour vrai et sincère envers l'hybride pourront être en mesure de passer au travers des charmes et des envoûtements. Nous ne parlons pas là d'une amourette de passage mais bel et bien d'un sentiment amoureux profond - avoué ou inavoué.
INTERACTION AVEC LES AUTRES SPÉCIFICITÉS
DEMI-VÉLANE vs ANIMAGUS : Aucune interaction. La personne animagus n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e animagus venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
DEMI-VÉLANE vs MÉTAMORPHOMAGE : Aucune interaction. La personne métamorphomage n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e métamorphomage venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir celui de métamorphomage.
DEMI-VÉLANE vs LÉGILIMENS : Le ou la légilimens à une très légère résistance aux charmes du demi-vélane. Iel pourra tenter de résister face à un.e demi-vélane débutant.e. Lorsqu'une personne légilimens pénètre ou tente de pénétrer dans l'esprit d'un.e descendant de vélane, elle y percevra une voix charmeuse, s'insinuant en elle comme un lent poison. Si un.e descendant.e de vélane et un.e légilimens venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir celui de légilimancie.
DEMI-VÉLANE vs OCCLUMENS : De part son esprit entraîné, l'occlumens peut posséder une résistance aux charmes du demi-vélane. Il pourra résister face à un.e demi-vélane débutant.e mais ne pourra pas résister face à un.e demi-vélane plus expérimenté.. Si un.e descendant.e de vélane et un.e occlumens venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le don d'occlumancie n'est pas héréditaire.
DEMI-VÉLANE vs VOYANT : De part son esprit souvent sollicité, le voyant ou la voyante peut posséder une résistance aux charmes du demi-vélane. Iel pourra résister face à un.e demi-vélane débutant.e mais ne pourra pas résister face à un.e demi-vélane plus expérimenté.. Si un.e descendant.e de vélane et un.e voyant.e venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir le 3ème oeil.
DEMI-VÉLANE vs DEMI-VÉLANE : Dans l'Histoire, il n'a jamais été fait mention de deux demi-vélanes se retrouvant en contact. Dans les faits, si cela devait arriver, la réaction serait pour le moins... explosive. Leurs charmes respectifs seront décuplés et l'envoûtement fonctionnera sans réels efforts. Les gènes se "reconnaissant" entre eux, les demi-vélanes seraient pris d'une attirance inexplicable, ne pouvant que difficilement résister à l'envie d'établir un contact physique. Avec le temps, s'ils se côtoient régulièrement, ils réussiront à contrôler cette attirance, les gènes s'apprivoisant entre eux. Si deux demi-vélane venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 100% de chance d'hériter du gène.
DEMI-VÉLANE vs DEMI-SIRÈNE : La vélane et la sirène venant du même ancêtre commun, les gènes des deux descendances sont donc issus de la même souche, un peu comme des cousins. Un.e descendant.e de vélane se verra toujours attiré par un.e descendant.e de sirène et vice et versa. Leurs charmes respectifs seront décuplés et l'envoûtement fonctionnera sans réels efforts. Si un.e descendant.e de vélane et un.e descendant.e de sirène venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur de l'un ou l'autre des gènes.
DEMI-VÉLANE vs LOUP-GAROU : Aucune interaction. La personne atteinte de lycanthropie n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. La personne atteinte de lycanthropie ayant l'odorat plus développé que la moyenne, elle peut cependant être beaucoup réceptive à l'odeur que dégage les demi-vélane et ressentir une attirance par rapport à ça. Cependant, les 3 jours précédents la pleine lune ainsi que les 3 jours suivants, le.a lycanthrope se voit assez affaibli et devient donc bien moins résistant.e à l'envoûtement durant cette petite semaine. Si un.e descendant.e de vélane et un.e lycanthrope venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le gène de loup-garou n'est pas héréditaire. En revanche, si un.e demi-vélane se fait mordre par un loup-garou, sa vie est fortement en danger. Dans l'hypothèse ou cela se produirait, les gènes des deux créatures entreraient dans une lutte acharnée à l'intérieur du système immunitaire du demi-vélane. Dans le meilleur des cas, l'un ou l'autre des deux ADN réussit à prendre l'ascendant ; le ou la demi-vélane aurait donc 50% de chance de rester un.e descendant.e de vélane et 50% d'être contaminé.e par le gène de lycanthropie. Dans le pire des cas, le ou la demi-vélane pourrait succomber de cette morsure si aucun des ADN ne réussissait à battre l'autre.
DEMI-VÉLANE vs VAMPIRE : Contre un jeune vampire, le charme du ou de la demi-vélane fonctionnera plutôt bien, la jeune créature n'étant pas encore "stable". En revanche, contre un vampire de plusieurs centaines d'années, il faudra un.e demi-vélane tout aussi expérimenté.e pour réussir à envoûter à la créature à canines. Tout comme les loups-garous, les vampires ayant un odorat bien plus développé, ils peuvent être beaucoup plus réceptifs à l'odeur qui se dégage du descendant de vélane et ressentir une attraction par rapport à cette odeur. Un.e demi-vélane et un.e vampire ne peuvent pas s'accoupler, le.a vampire n'étant cliniquement pas vivant. Si un.e demi-vélane venait à se faire mordre par un.e vampire dans le but d'une vampirisation, les gènes du vampire prendrait l'ascendant, tuant les gènes de la vélane. Le ou la demi-vélane perdrait donc son don au profit de celui de vampire. Si le ou la demi-vélane se fait mordre sans entamer le processus de transformation en vampire, il ou elle garde son gène de vélane.
DEMI-VÉLANE vs FOURCHELANG : Aucune interaction. La personne fourchelang n'a aucun pouvoir sur le ou la demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e fourchelang venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 80% de chances d'être porteur du gène de vélane et 20% d'avoir la faculté du fourchelang.
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July 14th Fraxus Week Eve: Wine and Blood / Scars and Flowers
Les cicatrices n'étaient pas rares. Le travail de mage était parfois dangereux, et l'unité Rajine ne s'attardait pas sur des missions simples et confortable. Ils n'étaient pas à leur première guilde noire, ni même à leur premier adversaire qui avait manqué de les tuer.
Cela laissait leur peau touchée pas plusieurs cicatrices. Toutes différentes. Toutes avec une histoire.
Que se soit la cicatrice de Laxus que Freed touchait parfois, habituer et ayant l'impression que le blond l'avait toujours eu. Ou bien des cicatrices gagnaient en combat, car ils étaient trop faibles, ou pour protéger un ami. Chacune était la preuve qu'ils avaient survécu.
Il était facile d'oublier que des cicatrices avaient fleuri bien avant cela. Freed ne pouvait pas les voir de toutes manières, des signes d'abus effacer par le temps en des lignes maintenant discrète et presque invisible, des ronces dans son dos traduisant d'une violence qui l'avait fait arriver à FairyTail.
Un mal pour un bien. Il était heureux ici.
Il était heureux alors qu'il était allongé dans son lit, laissant Laxus passait sa main sur son dos. Ils ne disaient rien, il n'en avait pas besoin. Laxus savait déjà tout qu'il avait besoin de savoir, et Freed n'avait pas envie d'en reparler. De se replonger dans le passé. Malgré que la peau n'était plus aussi marquait, aussi à vif qu'avant, le bruit des coups oui. Toujours aussi frais, comme une fleure qui ne cesserait d'éclore. Jamais elle ne fanerait. C'était ainsi qu'était certain souvenir.
Éternelle comme une rose prise dans la glace. Douloureuse comme des ronces qui frappaient encore et encore son dos, ses poignets, jusqu'à ses jambes. Une marque qui disparaît mais pas la douleur. C'est ce qui l'avait construit, fait de lui l'homme qui se tenait contre Laxus. Dans le pire et le meilleur. Il ne sursaute pas quand Laxus embrasse l'une de ses marques. Cela laisse quelque chose fleurir dans son cœur.
De plus doux. Cela laisse un frisson le parcourir. Il ne sait pas si c'est normal d'être encore surpris de ressentir de la douceur en des endroits marquaient par la douleur. C'est parfois encore difficile de laisser fleurir tout cela, même si c'est agréable. Un jour il oubliera totalement ses mauvaises herbes qui s'accroche à lui. Le temps était bon pour cela. Et il passait vite bien entouré.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 12
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Je suis une sortcelièèère et ma vie est en dangeeeeer
Bonjour à tous et toutes, les Hateread continuent ! Dans le dernier chapitre, Mara et Cal avaient un moment de complicité plutôt sympa, Tara ne savait pas trop où elle en était niveau sentiments et, à la fin, Lisbeth venait d’avouer qu’elle était prête à faire sauter une des Lunes d’Autremonde au cas où les démons représentaient un danger !
Maintenant que j’y pense : si Tadix et Madix sont mentionnées comme les « lunes » d’Autremonde, est-ce qu’elles influent de la même façon que notre propre satellite sur les courants marins ? Je ne me rappelle pas d’avoir lu ça mentionné dans les bouquins quelque part, je me pose la note ici, du coup.
Le chapitre du jour s’appelle « Lisbeth, ou comment se prendre pour Dark Vador en envisageant de faire exploser une planète… juste. »
Hm, j’aurais mis « juste » ailleurs dans la phrase, ou plutôt fini celle-ci avec « … rien que ça ». Préférences personnelles, tout ça tout ça. Mais selon mes préférences personnelles, mettre une comparaison avec un autre univers fictif dans le titre d’un de mes chapitres serait pas ragoûtant, donc bon.
« Tara en resta bouche bée.
— Tu… tu veux faire exploser une planète ?
— Non.
— Ah, je préf…
— On va la faire imploser.
Tara reperdit sa voix. C’était un peu trop pour elle d’un seul coup. »
D’un côté, j’aime bien l’idée que Tara réagisse à cette situation inacceptable, de l’autre, je trouve que c’est pas la meilleure personne à laquelle donner une réaction atterrée. Sachant que pour elle, faire revenir des fantômes sur une planète juste pour voir son daron, exploiter les Diseurs ou faire ami-amie avec les objets démoniaques restent des choses de l’ordre de l’envisageable sans secouer un minimum son quotidien. Mais bon, c’est bien, après 10 tomes on aura enfin appris que Tara peut trouver une chose inacceptable : l’implosion volontaire d’une planète !! Yay !!!
Ah oui, et Lisbeth affirme à la fin du chapitre précédent qu’elle voudrait éviter de détruire Tadix, alors que là, elle en parle presque comme si elle comptait absolument voir la chose arriver.
« — Oui, précisa paisiblement Lisbeth. Tu comprends, si on la fait exploser, des morceaux vont percuter Madix et AutreMonde. Cela risque de nous détruire aussi. Donc, en la faisant imploser, ça va soulever pas mal de poussière, mais rien de bien dangereux pour nos deux mondes. Et la contraction ne devrait pas être intense au point que cela crée un trou noir comme avec une étoile. (Je suis claquée du cul en terme de sciences physiques, mais mon petit doigt me dit que c’est pas aussi simple que ça et que l’implosion d’une planète fait un poil plus de dégâts que quand tu secoues ton tapis à la fenêtre. Se peut que je me trompe, cela dit)
Formidable. Expliqué comme ça, cela paraissait tout de suite nettement plus simple. Exploser, pas bien. Imploser, beaucoup plus propre, pas de vilain trou noir, juste des millions de gens morts flottant dans l’espace. Plus hygiénique. (en vrai ce passage m’a fait rire) D’autant qu’un trou noir finirait par avaler le tout au bout d’un certain temps. Sans laisser de trace. (dommage que le paragraphe traîne en longueur et perde son côté un peu drôle) Sauf qu’il avalerait les planètes aussi. Pas génial comme solution. »
À la question cohérente qui suit, aka « les Tadixiens vont te laisser faire ? », Lisbeth réplique que les Tadixiens sont ceux ayant proposé l’idée, étant donné que le système d’explosion/implosion est présent depuis longtemps sur leur planète. Je trouve ça excessivement bizarre qu’il n’y ait pas le moindre Tadixien pour s’opposer à l’hypothèse de sa mort et/ou à l’hypothèse de la disparition de son lieu d’origine. Ce genre de truc devrait créer des révoltes a minima. Ça renforce l’image des peuples dans Tara Duncan comme ayant tous exactement la même mentalité, et je suis désolée, mais ça tue tout concept d’histoire et de politique intéressante hors gouvernement sortcelier, si tu suggères que tout un peuple va avoir la même opinion de toute façon. Et c’est très chelou de s’imaginer que tout le monde suivra la même idée. On parle d’une planète entière, là. J’ai le sentiment que les Tadixiens ne devraient pas être tous formatés pareil mentalement.
Tara lui demande ensuite à Lisbeth pourquoi elle envoie tant de personnes si elle compte seulement faire sauter la planète.
« — Pas tant que ça. J’ai précisé que je ne voulais que des ambassadeurs, pour des raisons de sécurité, corvéables et sacrifiables, volontaires, de préférence célibataires et parfaitement bien payés pour cela, répondit dédaigneusement Lisbeth (bien payés pour se faire tuer… quelque chose me dit que t’as surtout pas prévu d'envoyer les pommes les plus vertes du panier). Les gouvernements ne seront pas déstabilisés, quoi qu’il arrive. Et mon demi-frère, l’Imperator Sandor,(« Que tu ne connais définitivement pas, aha. Comment ça il est de ta famille, travaille dans la même cour que toi et t’entraîne régulièrement au combat ? Cesse de dire des sottises et laisse-moi te rappeler qui il est ») dirigera Omois en mon absence. Il n’a pas aimé, parce qu’il voulait nous accompagner, mais je ne lui ai pas laissé le choix.
Tara grimaça. Même si elle avait peu d’atomes crochus avec Sandor, elle reconnaissait que c’était un sacré combattant. Pour une fois, elle aurait nettement préféré l’avoir avec elle. (nous aussi, Tara, nous aussi.)
— Tu aurais dû faire le contraire, grogna-t-elle, peu convaincue. Envoyer Sandor et rester à Tingapour !
Lisbeth éclata de rire.
— Le laisser négocier des conditions commerciales avec les démons ? Il sortirait son épée, la mettrait sur la gorge de leur roi au bout de dix minutes de discussion en lui expliquant calmement qu’il n’est pas d’accord avec les conditions financières. (POUAHAHA LE MANQUE D’ESTIME POUR SANDOR ?? Et pardon, mais c’est quoi cette raison pourrie ? Tu refuses de l’envoyer en mission suicidaire dans un traité commercial parce qu’il est trop impulsif, mais par contre, diriger Omois en l’absence de l’Impératrice et de son Héritière, ça te semble viable ?) Non, moins diplomate que mon demi-frère, je ne connais pas. Autant éviter, si les démons sont sincères, d’irriter leur roi. Je n’ai pas envie de déclencher une guerre par maladresse. »
Au lieu de poser la question qui me semble évidente, aka « Mais pourquoi tu veux que ton demi-frère reste ici pour gouverner le pays s’il n’est pas diplomate et maladroit ? », Tara demande pourquoi Lisbeth insiste sur les traités commerciaux. Il s’avère qu’Omois a des gros déficits budgétaires, notamment dû à l’accueil massif de nonsos. Cependant, il semblerait que ces derniers émigrent beaucoup vers le Continent Interdit, où vivent les loups-garou (l’info que Moineau et Tara avaient vu à la télé il y a bien 8 chapitres). Tara réalise que sa tante instrumentalise les nonsos : elle a encouragé Teal, président des loups-garou, à faire de la pub pour son continent, ce dans le but que les nonsos puissent être utiles en temps de guerre au lieu d’avoir à être défendus.
C’est crade, mais c’est une stratégie politique digne de la monstruosité de Lisbeth qu’on dépeint souvent sans la montrer suffisamment, perso j’apprécie le ressort scénaristique.
La discussion qui suit évoque le fait que Lisbeth et Tara ignorent complètement à combien de personnes s’élève la population des démons, et elles concluent d’après quelques observations qu’ils sont moins qu’ils veulent le faire penser. Résumé comme ça, c’est pas très convaincant, mais il faut dire que la discussion me blase un peu. On dirait que le cas des démons a été découvert hier, et que les dragons, malgré leurs centaines de milliers d’années, n’ont jamais pris le temps de s’appesantir sur ceux qui sont continuellement présentés comme leurs pires ennemis. Lisbeth embraye sur le fait qu’ayant six planètes, les démons l’intéressent davantage pour faire des traités commerciaux, et qu’elle aurait davantage envie qu’Archange épouse Tara pour cette raison.
C’est assez stupide que ce genre de considération arrive seulement maintenant, alors que l’Impératrice s’était déjà, semble-t-il, résolu à faire exploser une planète entière, ainsi qu’elle-même et sa nièce, pour protéger l’univers. Selon moi, il faudrait envisager toutes les options et paramètres avant de se dire que foutu pour foutu, autant laisser mourir l’Impératrice et l’une de ses Héritières.
Et quel beau timing : alors que Lisbeth évoque l’avantage d’un mariage entre Tara et Archange, Cal envoie un message à Tara sur son hor, pour lui demander où elle est ! Lisbeth repère le sourire stupide de Tara et la cuisine à ce sujet, mais si brièvement qu’à la réplique d’après, elle montre un plan de Madix à Tara.
Okay... ?
Tara pose enfin les bons sujets, aka « J’arrive pas à croire que les Tadixiens acceptent qu’on fasse sauter leur planète », ce à quoi Lisbeth répond par un argumentaire bien peu convaincant :
« — Ils ne sont pas si nombreux, à peine un million. Nous avons commencé les évacuations, ils sont rapatriés sur Autre-Monde, à part ceux qui restent pour faire fonctionner les systèmes de survie. Les casinos seront fermés et les touristes sont déjà détournés depuis des jours. Ce sera une lune quasi déserte que nous ferons imploser. Et tous ceux qui resteront sont des volontaires. Nous serons à peine trois mille. Les gardes, les Tadixiens qui nous reçoivent et les représentants des différents pays ainsi que leurs assistants. »
Par où commencer…
1/ Ah oui, rapatrier sur Autremonde est une solution viable qui, encore une fois, ne posera certainement pas problème à un seul des un millionsde représentants de cette espèce. Changer de planète définitivement, perdre ses racines et sa culture, ses habitudes, potentiellement ses proches parmi les trois mille personnes qui resteront sur place ? C’est peanuts.
2/ On peut parler de la façon dont Omois traite les personnes qui y migrent… ? Aka « t’es bien gentil mon loustic mais je vais encourager des techniques de manipulation médiatisées pour que tu ailles te transformer définitivement et être utile dans la guerre au lieu de te tourner les pouces » ? Je sais pas, en tant que Tadixienne, à quel point je serais ravie d’échouer là-bas, perso.
3/ C’est bien mignon de vider la planète pour éviter le maximum de morts, Lisbou, mais du coup j’ai une toute, toute, toute petite question… À quel moment les putains de démons vont pas se rendre compte qu’il y a anguille sous roche en débarquant sur une planète DÉSERTÉE DE SES HABITANTS ?? Franchement, garde ta cohérence, reste monstrueuse et fais sauter toute la planète avec les habitants dessus ? Là, tu laisses juste toute l’occasion aux démons de s’apercevoir sans ambiguïté que quelque chose se trame (puisque la planète aura été vidée pour la réception) et d’éventuellement préparer une contre-attaque ou une stratégie pour s’enfuir et laisser les autres ambassades mourir.
Wow, ce plan est d’un débile hallucinant.
Bref, Tara et Lisbeth se retrouvent chacune avec le détonateur de la planète intégré à leur hor. Une fois déclenché, ce dernier fera sur-le-champ imploser la planète, sans délai.
« Ce qui l’ennuyait aussi, c’était que les âmes avaient assisté aux plans secrets d’Omois. Si elles se retournaient contre eux, elles sauraient où et comment neutraliser les bombes. Elle haussa mentalement les épaules. Tant pis, de toutes les façons, elle n’avait pas vraiment le choix. »
…
Qu-que dire. Que les âmes démoniaques devraient un poil plus réagir à l’éventualité de leur mort prochaine, sachant que Tara n’a toujours pas trouvé de solution pour les envoyer en Outremonde ? Qu’elles viennent basiquement de voir Tara signer pour un sacrifice sans lutte contre les démons, alors qu’elle avait spécifiquement tiré les objets de leur Lune parce qu’elle voulait qu’ils les aident à lutter contre les démons ?
Parlons plutôt de Cal ! Tara s’en va parce qu’il faut qu’elle voit CAL ! Parce que certes elle va mourir dans deux jours mais CAL ! C’est vraiment ce qui est dit dans la narration je… je sais pas quoi dire. Comment tu peux autant penser à la relation que tu as avec ton meilleur pote/crush alors que tu sais parfaitement que rien de tout ça n’aura d’importance puisque tu vas probablement MOURIR ? Lisbeth a bien recruté Tara au même endroit que ses ambassadeurs qu’elle paye pour qu’ils partent crever sur Tadix. Franchement j’en serais pas à penser à un date si je réalisais qu’on me condamnait à une mort imminente. En fait, à une heure du matin, après la journée que Tara a eue, j’irais probablement dormir, perso. Le Voleur ne devrait rien avoir à redire à ça.
Tandis qu’elle est escortée par des gardes vers sa suite, ceux-ci arrêtent brusquement le chemin. En effet, le couloir par lequel ils doivent passer pour rejoindre les appartements de Tara est plongé dans l’obscurité. Le chef de sa garde juge plus prudent de l’accompagner jusqu’à l’intérieur de sa suite. Et là… Tara découvre…
Le corps ensanglanté de Cal.
YES ALLEZ LET’S GO DITES-MOI QU’IL EST MORT !!! :D
Pardon ahem.
Euh.
« Oh nooooon pas Caaaaleuh je voulais voir si Tara allait le péchooooooo »
Ahem.
C’est la fin du chapitre 12 ! Celui-ci était relativement court, à commenter comme à lire, voilà pourquoi la critique arrive plus vite. Le prochain chapitre se concentrera sur Cal !
Eh oui, il est vivant, hélas. On ne peut pas tout avoir dans la vie, malheureusement.
À la prochaine et prenez soin de vous ! (pas comme Cal !)
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Dans le genre "analyse trop poussée sur Goldman", c'est très intéressant de réécouter l'album de la tournée En passant en sachant qu'initialement, Goldman ne voulait pas refaire de tournées après ça et qu'il a finalement fait Un tour ensemble parce qu'il ne se sentait pas de dire à son équipe que c'était la dernière. (WARNING analyse trop longue en-dessous)
Mais il a pris cette décision des années après, donc si on considère que la tournée En passant était potentiellement sa dernière et qu'il le savait en la préparant, elle prend un tout autre sens.
Typiquement, le choix de jouer "Le rapt" qui est "une vieillerie, une chanson du premier album" pour le citer peut sembler étonnant, même si Goldman adoooore reprendre des vieilles chansons à lui et les moderniser (comme "Être le premier" dans la tournée Rouge). "Le rapt" est une chanson écrite du point de vue d'un mec qui kidnappe une fille, sans lui faire mal, sans l'agresser (c'est dit dans la chanson qu'il ne la touchera pas), simplement parce que :
"Mais j'en pouvais plus de vous croiser dans la rue / Sans un regard, comme si vous ne m'aviez pas vu"
Ou pour citer Goldman :
"si tu rencontres une fille dans la rue, tu passeras pour un fou si tu lui parles. Par contre, si elle t'est présentée par un ami commun, tu pourras lui parler tout à fait normalement."
C'est une chanson un peu cringe, un peu étrange, où on est clairement sur un personnage qui commet un crime, qui dérange. Je l'aime bien pour cela, parce que j'aime les histoires de personnages toxiques, sans pour autant les excuser.
Globalement, c'est une chanson sur l'incompréhension sociale, l'importance des codes sociaux, une problématique qui imprègne de nombreux textes de Goldman dans les années 80 par ailleurs (je pourrais faire un autre post sur les chansons de Goldman qui parlent de malaise social).
Maintenant, pourquoi reprendre cette chanson en 1998 ? En imaginant que Goldman s'imaginait tirer sa référence à ce moment là et quitter la scène, il est facile d'interpréter le texte différemment. Cette distance impossible à franchir entre deux individus, on la retrouve aussi entre une star et son public et je ne peux pas m'empêcher de penser que ce passage :
"J'ai aimé votre désarroi, votre peur / Je me suis réchauffé à votre malheur/J'ai brisé l'apparence toute glacée/J'ai même trouvé une larme inespérée"
est très raccord avec la relation qu'entretient Goldman avec la célébrité et l'image. Dans le film de la tournée Traces, que je vais analyser, il le faut, il parle de son image et à quel point ça le bouffe, vraiment. Sans trop en dire, dans Traces, il imagine ce qui se serait passé s'il avait choisi de tout arrêter en 89 et qu'il avait volontairement disparu. Et on a donc des passages où il se demande ouvertement s'il est possible d'échapper à sa propre image, si un monde où ne se souviendrait que de ses chansons et pas de lui est envisageable.
En ayant ça en tête, ce passage du "Rapt" peut parler de ce rapport compliqué à la scène, d'autant plus que dans la version live en 1998, il chante ce moment là seul à la guitare et le public réagit, en criant, en faisant "ouhouh". Et le rapport s'inverse ! Il dit "Vous pouvez rentrer chez vous, il est déjà tard" et le public dit "nooon" car il se met dans le rôle de la fille kidnappée, mais pour moi, c'est l'inverse. Goldman adopte le rôle du public, qui veut plus, toujours plus derrière les apparences, qui veut tout savoir.
C'est sans doute un peu tiré par les cheveux mais ça l'est moins si on considère une autre chanson chantée lors de ce live, "Le coureur" qui raconte en gros l'histoire d'un jeune africain (ce n'est pas spécifié dans la chanson mais c'est dit en interview) qui est recruté (presque acheté) pour devenir un coureur de haut niveau, qui connaît la célébrité, l'argent, mais qui à la fin de la chanson :
"Puis le hasard a croisé ma vie / J'suis étranger partout aujourd'hui /Etait-ce un mal, un bien ? / C'est ainsi"
Dans des interviews, Goldman dit qu'il ne porte pas de jugement mais que le décalage l'intéresse, entre un mec qui court dans son village en Ethiopie et qui se retrouve soudainement propulsé devant des millions de caméras. Encore une chanson sur le décalage social, la célébrité, le regard des autres contre notre perception de nous-mêmes, qui donne une certaine tonalité à cette tournée et qui fait, selon moi, écho au "Rapt". De nouveau, il chante ce passage seul à la guitare.
Elle est particulière cette tournée, parce que Goldman prend plus de risques (comme il le dit lui-même dans le DVD) en choisissant de jouer et de chanter seul à la guitare à plusieurs reprises, vraiment face au public, antithèse absolue de la tournée Rouge où il y avait toujours d'autres personnes sur scène et souvent, beaucoup de gens. La dernière chanson de la tournée En passant est "Pour que tu m'aimes encore", et Goldman change le début pour parler directement au public :
"J'irai chercher vos âmes dans les froids dans les flammes /Je vous jetterai des sorts pour que l'on m'aime encore"
Et ce final a encore une fois une autre saveur si on imagine qu'il avait été pensé pour clore la dernière tournée de Goldman. Plus fort encore, c'est le choix de l'avant-dernière chanson, "Sache que je", que Goldman explique comme ça :
"C'est une réponse au fait que je n'ai dit "Je t'aime" dans aucune de mes chansons. Beaucoup de gens me demandent pourquoi je ne fais pas ou peu de chansons d'amour."
(Il explique aussi qu'il dit rarement "je t'aime" dans sa vie privée, et ça, à la limite, c'est entre lui et son épouse.)
Dans beaucoup d'interviews sur cette chanson, il critique les chanteurs disant "je t'aime" à leur public, mots qu'ils ne pensent pas, selon lui. Finir sur "Sache que je" et "Pour que tu m'aimes encore", c'est finir sur un paradoxe ou une provocation : je ne vous dirai pas que je vous aime mais je veux que vous m'aimiez. Je ne vous chanterai pas des chansons d'amour, sauf une dernière fois. Ou, possibilité amusante, chanter "Sache que je" est une façon de désamorcer "Pour que tu m'aimes encore", de la rendre obsolète par avance : ne prenez pas cette chanson un peu niaise au sérieux. Rien n'est vrai. Inversement, on peut aussi dire que "Pour que tu m'aimes encore" annule "Sache que je" : oui, je prétends ne pas aimer les chansons d'amour mais c'est bon aussi d'être vulnérable, comme pour adoucir la froideur de "Sache que je" (d'autant plus quand "Pour que tu m'aimes encore" a CARTONNÉ deux ans avant).
Ou tout simplement : n'essayez pas de me comprendre, ne présumez rien, je sais être paradoxal. Comme il est dit dans "Peur de rien blues" :
"Quand les rumeurs "vipèrent" /Quand l'image déteint / Il m'reste ce vrai mystère / Et ça, ça m'appartient"
Et c'est pour moi le message final de la tournée En passant.
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à la recherche de mes lectures estivales
Après mon année de préparation à l'agrégation de lettres modernes, passée à lire et relire la même dizaine de livres au programme, j'ai (enfin) pu lire ce que je voulais, et la variété de mes lectures en témoigne. De la poésie à l'essai-fiction en passant par de la littérature contemporaine et même une pièce de théâtre, mes lectures ont été relativement diverses, parfois géniales et parfois moins... mais revenons-en au début.
Alors que j'étais à Paris, prête à passer mes oraux d'agrégation, et ayant terminé mon énième relecture du Temps retrouvé de Proust (mon bijou), j'ai lu une poignée d'ouvrages qui m'ont accompagnée pendant ces temps instables.
Lectures parisiennes
Mon premier livre hors-agreg a été Roses d'acier. Chronique d'un collectif de travailleuses du sexe chinoises, écrit par le journaliste Rémi Yang (que j'ai interviewé) et publié chez Marchialy. De ce livre, j'ai déjà parlé dans un article publié chez Diacritik et que vous pouvez lire juste ici.
Emprunté dans une bibliothèque parisienne, j'ai ensuite lu L'Invitation de Claude Simon, un auteur que j'adore et qui ne m'a encore une fois pas déçue. L'Invitation, c'est cette description cryptique de ce qui ressemble à un voyage d'affaires, dans un pays et avec des personnes jamais nommées, par un narrateur qui se veut avant tout observateur, voire critique. C'est dans un entralcs de violence et de beauté, comme de passé et de présent, que Claude Simon construit ce récit court et linéaire, que je ne peux que recommander si vous désirez découvrir ce majestueux auteur.
Enfin, et vous le verrez par la suite, j'ai entamé un petit périple dans les méandres de la littérature contemporaine grâce à la plateforme NetGalley, qui permet de recevoir des services presse en version électronique. La première étape de ce voyage a été Rétrécissement de Frédéric Schiffter, un roman dont le potentiel n'a malheureusement pas été exploité : j'en parle un peu plus en détail dans ma critique Goodreads.
Lectures de plage
Qui dit lectures estivales dit lectures au bord de la mer, avec iode et odeur de crème solaire pour complimenter celle du vieux papier de mes livres d'occasion.
Acheté en frippe à Paris, Trois femmes suivi de Noces, recueil de nouvelles de l'écrivain autrichien Robert Musil (connu pour son Homme sans qualités), m'a suivi jusque dans le sud, où j'ai adoré son mélange glaçant et presque psychédélique de psychologie et de fantastique. Là encore, j'en ai parlé un peu plus en longueur dans une vidéo, où j'évoque aussi les deux lectures suivantes : celle de closer, baby, closer, un recueil de poèmes tout récent de la poétesse Savannah Brown, dont je ne cesse de chanter les louanges, et celle de la pièce de Jean-Paul Sartre intitulée Le Diable et le bon dieu, immense coup de cœur qui rejoint ma collection de livres traitant du sacré, de la foi, de la morale, le tout dans un ouragan de violence.
Dans ma fièvre vingtièmiste, j'ai enchaîné avec Enfance de Nathalie Sarraute, autrice que je n'avais jusqu'ici jamais lue. Construite comme un dialogue entre le je et son alter ego, cette autobiographie non seulement promet un certain plaisir de lecture, mais s'inscrit dans une interrogation passionnante sur le double je et la diffraction narratoriale qui anime le genre biographique depuis, au moins, La Religieuse de Diderot. Une merveilleuse lecture de plage.
Deuxième lecture contemporaine de l’été, moins ambivalente que la première : j’ai apprécié la narration captivante de Sorj Chalandon dans L’Enragé, ce roman qui raconte l’histoire véritable d’un adolescent qui, enfin parvenu à s’échapper du bagne, doit réapprendre à vivre avec la violence qui couve en lui. Le style n’est ni incroyablement beau ni incroyablement mauvais, les personnages sont bien construits ; arrivée dans le dernier tiers, j’avais même du mal à lâcher le livre.
Acheté à Paris lui aussi, j’ai lu le recueil de nouvelles de Nabokov intitulé Mademoiselle O, du nom de la première nouvelle du recueil. C’est une autre facette de l’écrivain que l’on découvre ici, dans de courts récits pétris de souvenirs personnels et d’observations, mais aussi dans des histoires presque absurdes qui s’inscrivent parfaitement dans l’esthétique de l’auteur. Les nouvelles sont très courtes, une bonne façon de découvrir l’œuvre magistrale d’un des plus grands écrivains du XXe siècle.
Et parce qu’un ouvrage du XXe en cache toujours un autre… j’ai profité de l’avoir trouvé en boîte à livres pour lire Une femme d’Annie Ernaux, autrice que j’ai lue à plusieurs reprises, dont je n’apprécie pas particulièrement le style mais que je me fais un devoir de lire morceau par morceau. Dans ce récit, court à son habitude, Ernaux raconte la vie de sa mère, son éducation, sa modeste ascension sociale puis sa contraction de la maladie d’Alzheimer. Mais elle évoque aussi ce genre littéraire singulier qui lui appartient et qui se situe entre la littérature et la sociologie, le livre ne proposant pas seulement le récit de la mort d’une femme mais aussi celui de la naissance de l’écriture d’une autre.
Enfin, éloignons-nous du roman le temps de mes dernières lectures de plage : j’ai lu Lise Deharme, cygne noir de Nicolas Perge, une biographie toute récente de la poétesse surréaliste éponyme dont je n’avais auparavant jamais entendu parler. De son enfance à sa rencontre avec André Breton, en passant par sa multitude d’œuvres artistiques et littéraires, Perge raconte, en mêlant enfance, vie adulte et vieillesse, la vie mouvementée d’une autrice oubliée et pourtant essentielle à l’évolution du surréalisme en France. À lire, avant ou après la lecture de ses livres à elle.
Tes yeux sont deux cratères / de lave et de gouffres ouverts / semés d'étincelles et de feu / Tes yeux sont deux mondes perdus — Lise Deharme, Cahier de curieuse personne (1937)
À la biographie a succédé la philosophie, puisque j’ai lu Le Mythe de Sisyphe de Camus (il était temps !). Si les premières parties sur le suicide et la morale étaient certes intéressantes, j’ai surtout aimé les dernières parties, celles où l’auteur traite de littérature, et notamment des œuvres de Dostoïevski et de Kafka — mes deux écrivains adorés.
L’été prend fin
Entre la préparation des cours et les formations, plus le temps de lire autant qu’au plus fort de l’été. Mes dernières lectures estivales ont été plus brèves, à commencer par le nouveau roman de Han Kang, Impossibles adieux, que j’ai abandonné (ironie du sort) au premier tiers. Son récit était haché, mal construit, trop peu envoûtant ; sa valeur esthétique semblait reposer sur la répétition d’un seul et unique motif, comme si l’autrice n’avait voulu écrire qu’à partir d’une image jusqu’à la vider de toute puissance stylistique ou émotionnelle.
Après cette déception, retour vers une valeur sûre : j’ai enfin lu les Journées de lecture de Proust, cette préface à sa traduction de Sésame et les lys de Ruskin. Outre le plaisir de retrouver les amples phrases de Proust, le livre est empli d’une douceur nostalgique puisqu’il revient sur des souvenirs de lectures d’enfance, sur la beauté qu’ils contiennent et sur ce que la lecture a d’unique pour le développement d’un esprit. C’est loin d’être le meilleur de ce qu’a fait Proust, mais c’est une lecture courte qui permet de voir, déjà, les germes de la Recherche.
Il n'y a peut-être pas de jours de notre enfance que nous ayons si pleinement vécus que ceux que nous avons cru laisser sans les vivre, ceux que nous avons passé avec un livre préféré.
Mon dernier livre de l'été fut L'Abîme, un roman contemporain de Nicolas Chemla, que j'ai... abandonné. Que n'était mon enthousiasme, pourtant, au début de ma lecture, lorsque j'ai vu ces phrases longues, ces mots envoûtants, cette intrigue prometteuse...! Malheureusement, cet enthousiasme s'est rapidement dégonflé quand le narrateur est devenu, peu à peu, puis tellement que je ne pouvais plus passer outre, l'archétype même du "vieux con réac'", qui déteste tout et tout le monde, sauf son chat qu'il passe des pages et des pages à décrire — quand il ne nous fait pas un descriptif exhaustif de toutes les publicités qu'il croise sur Google. J'ai dit ma déception sur Goodreads, mais pour résumer : abstenez-vous.
Nota bene : pour la magistrale renaissance de ce blog, je lui ai ajouté une section "labo d'écriture", où vous pourrez (bientôt) retrouver des textes et poèmes signés de ma plume.
Littérairement vôtre,
Ève
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Bon et bien c'était laborieux !
Je pensais atteindre l'objectif bien avant mais pas mal de choses énergivores se sont greffées (le mois de juillet tendu au boulot, tensions avec ma responsable...). J'espère que vous êtes contentes de votre Camp NaNo @queenfredegund et @violets-in-her-arms-writes
Mais au moins j'ai dépassé mon objectif !
-J'ai écrit 3 chapitres de ma fic (et d'ailleurs je suis entrée en plein dans l'arc final, ça fait quelque chose après avoir passé tant de temps dessus).
-Et j'ai terminé aussi aujourd'hui le premier chapitre d'une petite histoire qui m'est venue complètement par impulsion. Je ne sais pas où ça va mener mais c'est drôle à écrire.
Et comme je poste toujours des extraits, je vais en mettre un de cette dernière vu que c'est ce que je trouve le mieux.
J'ai repris un concept que j'utilise dans mes histoires, avec une héroïne ayant des pouvoirs liés aux ténèbres sans que ça ne soit quelque chose de maléfique. C'était très intéressant de décrire ses perceptions et sa fascination pour l'obscurité.
"Marya courut à perdre haleine mais ne s'éloigna pas de la rivière. Le froid cour d'eau serpentait à l’infini. La boue collait à ses bottes. Elle pressa l’allure, mais le paysage ne changea pas. Chaque pas la ramenait à son point de départ. Un soleil indifférent et blafard la contemplait depuis son zénith.
Acculée, Marya chercha une issue, ne souhaitant rien de plus que dormir et oublier. Elle s’agita, se souvint être dans un rêve et souhaita de toutes ses forces se réveiller. Rien ne bougea. Une brise spectrale agita les doigts squelettiques des arbres.
Marya était prisonnière des limbes. Sa détresse coula sur ses joues. Il lui fallait un abri, ne plus voir ce lieux de désolation. Ses poings se serrèrent et elle maudit la rivière. Sa colère se heurta à un mur invisible.
Une ombre glissa soudain près d'elle. Une voix douce et légère murmura son nom.
“Viens, Marya.”
Les ombres jaillirent, rideau noir, mouvant et soyeux et occultèrent peu à peu la rivière. Eperdue de reconnaissance, Marya sourit. La danse de l'obscurité l'envoutait. Elle en oublia presque sa tristesse.
Une impression de familiarité l’étreignait, son cœur chantait. Marya se laissa porter par le rêve et tendit la main par instinct. Elle franchit le voile, descendit dans le ventre de la nuit. Cette dernière l’enveloppa dans le plus beau des manteaux, la coucha sur le velours. Le cauchemar avait disparu. Ne restaient plus que le noir et les battements de son coeur. Les ténèbres n’étaient ni trop chauds ni trop frais. Marya s’allongea et y déposa sa tête, les trouvant plus confortables qu'un oreiller. Un délicieux silence l’entoura.
Elle ne voulait pas se réveiller…la réalité et la rivière reviendraient demain. Pour l'instant, rien ne pouvait cependant l'atteindre. La quiétude finit par la gagner.
Le reste de la nuit passa dans un sommeil réparateur et sans rêves.
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du coup je viens de voir le dernier épisode des petits meurtres et je vais essayer de faire une critique (comme pour l'épisode les souris dansent).
d'abord j'ai tout de suite capté le personnage autiste et ça m'a même surprise quand Rose a dit le mot parce que je me suis habituée à juste des sous-textes très souvent involontaires (en plus il a le même prénom que mon frère qui est aussi autiste mdr). mais ça m'a fait plaisir de voir que Rose était attentive à son trouble, ça c'est mon comfort character <3 !!
par contre vu que les auteurs savent que les personnes autistes existent, j'aurais aimé que ça se fasse peut-être plus tôt parce que je suis sûre que Marlène, Arlette et Le Goff (dans la saison 3) sont autistes (et vraiment sûre de chez sûre pour Arlette).
J'adore Rose, je veux tellement la voir avec une femme (Gréco si possible svp) purée, c'est tellement une high femme, je l'aime (son costume noir là cette femme est LESBIENNE !!!!). Et la scène avec Annie à la fête chez les patrons de l'agence.. je veux juste des lesbiennes pitié. aussi j'ai failli oublier mais j'adore le fait qu'elle soit toujours autant féministe, et même plutôt radicale pour son milieu (c'est sûr elle a lu dworkin ma vie)
En parlant des patrons, j'ai bien aimé la directrice de l'agence, surtout son jeu et ses robes :').
aussi, c'est plus général mais j'adore voir des acteurs et des actrices que j'ai déjà vu soit dans d'autres épisodes de la série soit ailleurs !
pour les points plus négatifs, la romance d'Annie m'a ennuyé, je trouvais que quitte à lui donner un love interest masculin, elle avait plus d'alchimie avec François de l'épisode 2 (peut-être parce que ce personnage a un nom de famille sépharade aussi).
le truc Rose/Max j'ai soufflé, à chaque épisode j'ai peur qu'ils les mettent ensemble (ex : la bande annonce de l'épisode 5) et là j'ai vraiment eu peur, en plus qu'elle l'empêche d'avoir un rendez-vous.
aussi le fait que le garçon autiste soit un pervers (je dis pas que ça n'existe pas) est peut-être pas le meilleur move quand c'est le premier personnage canoniquement ayant ce trouble dans la série mais personnellement ça ne m'a pas trop dérangé, ils pourront toujours rattraper leur coup.
mais ces deux premiers points m'ont assez gêné, d'autant plus que j'ai toujours un peu du mal avec Blum. je vais développer vite fait mais la relation Marlène/Swann était différente parce que même si Marlène avait une obsession pour le commissaire de la même manière que Blum, il y a dans la saison 3, même si les rôles des sexes sont inversés, un déséquilibre des pouvoirs et un homme harcèle littéralement une femme puisqu'elle lui a explicitement répété à plusieurs reprises qu'elle n'était pas intéressée. en plus, je trouve que la blague s'essouffle assez vite et j'aurais aimé voir Bob un peu plus !!
mais malgré ça, j'ai passé un bon moment, j'adore ce trio !!
mais si je devais faire un classement des épisodes de la saison 3, je pense que ça serait :
épisode 2 (celui avec les mannequins)
épisode 5 (le bar)
épisode 1 (beaucoup parce qu'on découvre le trio 💙)
épisode 3 (chirurgie esthétique)
épisode 4 (groupe de musique, presque à égalité avec le 3 parce que les deux ont des très bons points forts mais aussi quelques points faibles)
épisode 6 (je l'ai bien aimé mais il est avec un net écart après le 4)
bref, il a apparemment fait 3,5 millions d'audience, j'espère que ça va encourager la production et france 2 à ne pas annuler la série.
et j'ai trop hâte pour le prochain épisode, je le sens bien, il y aura des cosmonautes français dans les années 1970s, ça a l'air d'avoir les mêmes vibes qu'OVNI(s) qui est une série que j'adore :') !!
#les petits meurtres#les petits meurtres d'agatha christie#french stuff#french tv show#french side of tumblr#up the baguette#sophia talks#je suis pas une très bonne critique mais j'avais envie d'en parler#bref la prochaine fois je vais parler de mon rapport en tant que lesbienne butch à la caractérisation d'Alice après le miroir se brisa#et je vais dessiner Rose avec une petite amie butch
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The Poughkeepsie Tapes
John Erick Dowdle
U.S (2007) 86min : Horror, Found Footage, Body Horror
J'ai revu The Poughkeepsie Tapes récemment, à l'occasion de sa sortie 'officielle' en Blu-ray ... Dommage pour la version bootleg originale de 2007 qui donnait au film une certaine saveur de dégueulis presque réelle. Ce n'est que du cinéma. Gare aux snobs ... Haters gonna Hate.
Après avoir vu Broadcast signal Intrusion de Jacob Gentry, je n’ai pu m’empecher de jeter à nouveau un œil au terrifiant Poughkeepsie Tapes. Dans le genre c’est probablement avec le récent Sorgoï Prakov l’un des films le plus réaliste et malsain du genre. A vous de juger …
Un tueur en série laisse derrière lui une cache de cassettes vidéo relatant ses meurtres et la subjugation d’une de ses victimes. Un documentaire mettant en vedette des experts et des profileurs criminels les analyse et tente de percer le mystère du « boucher de la rue de l’eau ».
On ne peut nier la sursaturation des images d’horreur trouvées. Depuis la sortie de The Blair Witch Project, et plus récemment la série VHS, il y a eu une interminable cavalcade d’imitations, certains efforts étant complètement banals. C’est une tendance qui est devenue caduque et fondée sur des formules, avec très peu d’innovation à faire. Pour être franc, bon nombre de ces titres coûtent une dizaine de sous et parfois, c’est trop cher. Cependant, s’il y en a un qui a réussi à briser le moule et à utiliser la technique à son plein avantage, c’est The Poughkeepsie Tapes. Les efforts de John Erick Dowdle en 2007 sont non seulement très efficaces dans leur exécution, mais aussi un regard poignant sur le monde dans lequel nous vivons, un regard qui aborde un sujet dont beaucoup continuent de s’imprégner.
La fascination du public pour le tueur en série a été bien établie grâce à de nombreuses formes de divertissement. Il y a quelque chose chez ces gens qui ont un appétit insatiable de tuer qui nous repousse jusqu’à notre noyau, mais qui propulse notre curiosité vers eux. Nos livres, nos films et nos documentaires débordent de sociopathes et de monstres bien réels. Ce sont des exemples vivants de loups vêtus de moutons, se déplaçant parmi les masses sans méfiance attendant le moment parfait pour frapper.
On ne peut pas regarder cette fascination morbide sans contempler l’existence d’un véritable film de tabac à priser, un film, dans lequel le vrai meurtre est représenté. Dans Henry : Portrait of a Serial Killer, cela a été exploré sous la forme d’un meurtrier filmant ses propres crimes pour se délecter du plaisir voyeuriste et revivre l’expérience. Dowdle prend ce concept simple, et en fait la base pour un film entier. Les bandes de Poughkeepsie est beaucoup plus qu’un film de tabac dramatisé cependant, car il présente le matériel d’une manière intelligente, racontée dans les limites d’un pseudo-documentaire.
La plus grande force du film se trouve dans sa présentation. Bien que plusieurs tentatives d’enregistrement aient tenté d’imiter le style documentaire, beaucoup ne réussissent pas et ont du mal à ressembler à quelque chose de légitime. Les bandes Poughkeepsie démontre une capacité à avoir un air de validité, tout en étant minutieux avec plusieurs détails de la détection du crime. L’analyse approfondie contenue dans le film donne l’impression au spectateur qu’il regarde une véritable étude de cas et pas seulement des acteurs qui jouent des rôles. Beaucoup d’attention est accordée aux motifs et aux techniques comme la détection judiciaire et le profilage criminel.
Coïncidant avec la partie documentaire du film est la vidéo trouvée composée des bandes laissées par le tueur. Leur composition et leur apparence générale est remarquablement bien faite. Il est extrêmement sombre, troublant et contient certaines des images les plus troublantes qu’on puisse trouver. Tout en ayant beaucoup de la même texture et de la même qualité que l’on pourrait trouver avec un vieux caméscope VHS, il permet au public d’être placé dans l’état d’esprit du boucher de la rue de l’eau. La séquence commence progressivement à progresser à mesure que l’agresseur devient plus habile à exécuter ses crimes et à les enregistrer en même temps. Le développement global du tueur est choquant et fascinant à mesure que les événements se développent. Un sous-lot primaire avec les images en ce qui concerne sa subjugation et manipulation d’une de ses victimes, une jeune femme nommée Cheryl Dempsey.
L’histoire de Cheryl n’est pas seulement celle d’une personne kidnappée et torturée, mais aussi l’un des effets à long terme de la violence sexuelle, physique et mentale. Le film aurait pu opter pour une série de meurtres avec un enregistreur VHS granuleux. Elle aurait aussi pu être exploitée en y ajoutant une analyse occasionnelle pour donner l’impression d’être plus éclairée. Ce que nous donne Cheryl Dempsey est un parfait exemple du syndrome de Stockholm. Le film exprime de grands sentiments d’impuissance face à la situation de son personnage. En tant que public, nous sommes forcés de la regarder subir une transformation induite par la souffrance de sa captivité. C’est ce qui élève The Poughkeepsie Tapes au-dessus de tant d’autres dans le sous-genre ; il contient une forme profondément efficace d’horreur psychosociale.
Même si ce n’est peut-être pas acceptable pour tout le monde, The Poughkeepsie Tapes est certainement un film qui mérite d’être visionné et qui mérite d’être salué pour avoir abordé un sujet pertinent pour la société dans laquelle nous vivons. L’un des plus célèbres tueurs en série, Ted Bundy, a déjà fait remarquer que les tueurs en série sont « partout… nous sommes vos maris et vos fils, et d’autres de vos enfants mourront demain. » Dowdle non seulement comprend ce sentiment, mais le transmet d’une manière qui est trop réelle.
Écrit et réalisé par John Erick Dowdle (Quarantaine), The Poughkeepsie Tapes joue dès le début avec les attentes du public. Les bandes sont taquinées avant qu’une séquence ne soit montrée et dépeignent des crimes si odieux qu’ils hantent ceux qui les ont vus. Dowdle a coédité le film avec Elliot Greenberg, et le calendrier du tueur en série est présenté en grande partie dans l’ordre chronologique. La police est capable de relier les points sur beaucoup de cas non résolus et d’utiliser les enregistrements pour garder une trace du changement de mode opératoire de leur tueur. Dowdle n’a jamais insisté pour que son histoire soit vraie, mais la présentation travaille dur pour convaincre le public qu’elle l’est. À première vue, cela ressemble à un simple documentaire, mais il y a beaucoup de « révélations » si vous prenez du recul et prêtez attention. Les victimes et leurs familles s’en tirent le mieux, tandis que certaines figures d’autorité sont peu convaincantes dans leurs performances. En passant, les fédéraux sont assez rapides pour révéler toutes les preuves qu’ils ont dans une enquête en cours.
Dowdle fait un bon travail en créant un cauchemar atmosphérique via les images du tueur et garde l’homme dangereux qu’il torture une victime ou qu’il parle à des enfants innocents. L’actrice Stacy Chbosky est aussi puissante que Cheryl Dempsey, la longue victime enlevée. Elle est mise en enfer et ses moments les plus puissants viennent dans sa scène finale. La représentation d’Ed par Ben Messmer est plus convaincante lorsqu’il parle avec désinvolture à des cibles potentielles dans la rue que lorsqu’il les crie dans son sous-sol. Ces deux acteurs effectuent un travail impressionnant de porter cette image et je n’aurais pas eu peur de voir plus de leurs allers-retours.
Les bandes de Poughkeepsie a son lot de défauts, mais je n’ai jamais été assez distrait pour perdre l’intérêt pour l’image. Le film est surtout connu des fans de genre par son acte de disparition. Initialement prévu pour une sortie MGM en 2007, le studio a retiré le titre de son calendrier deux semaines avant la première. Le timing coïncidait avec une misérable projection au Texas, mais ce n’est peut-être qu’une coïncidence. Le film est resté sur l’étagère pendant les sept années qui ont suivi avant de se retrouver brièvement sur un service de streaming en 2014. Encore une fois, le titre a été rapidement retiré et mis de côté jusqu’à maintenant, avec cette sortie Blu-ray de Scream Factory. Bien que ce ne soit pas un film d’horreur parfait (peu le sont), il y a suffisamment de moments qui fonctionnent pour que le film mérite une meilleure réception et une bonne chance de répondre aux attentes du public.
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