#dune de sable
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unesourisetmoi · 2 months ago
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guilbertjj · 1 year ago
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ortodelmondo · 9 months ago
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Hiroshi Teshigahara
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Woman in The Dunes (1964)
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restonscalmes · 2 years ago
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By night
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coovieilledentelle · 1 month ago
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Petit bout de femme fière et affirmée, Laïla, fille du désert, est déjà une reine ! Ni dieu, ni personne ne pourra l'arrêter. Elle marche, coure à perdre haléne. Son royaume de sable est magnifique, un univers unique, un monde magique. Senteurs orientales au gout d'orangers, elle fixe son céleste destin déjà tracé. Envie d'aimer, de vivre et de découvrir, trouver pour toujours l'oasis des plaisirs ! son sourire gracieux illumine les dunes, Laïla est la fille du soleil et de la lune.
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🏜️
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laradiodusiecle · 24 days ago
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Nage Lente
Mon âme contre toi devient un soleil bleu cet astre d'océan dont la houle rayonne elle nage pour te chauffer te remuer, faire trembler la terre où tu habites, embrassée jusqu'aux yeux, entre ton cœur et ta bouche entr' ouverte, jusqu'à l'entrecuisse s'humidéfiant d'accueillir aride ma curiosité
Je t'embrasse en pluie mordue pour sceller tel un secret notre livre, toujours réécrit, de nos péchés intimes délicieux vices arrosant ta peau granulée par mes gouttes
chaudes je descends en rappel ta peau de tendresse d'aspérités bestiales sur tes flammes liquides faisant naturellement couler pour me désaltérer je descends te boire comme incendiaire, pyromane de ton eau vent sur ton sable balayé par mes souffles doigté, léché, caressé, pén- -étré entre les dunes, le pli de ton monde je descends encore
j'ajoute ma ceinture défaite aux serpents sonores que tu lâches quand tu halètes ils mordent, m'enveniment m'amènent au pourpre du sol aux brisures de ta montagne
Tu en saisis ma peau de cuivre partout sur elle tes dents, tes griffes ouvrent, éventrent les laves dévalant dans mes veines des pensées musclées par la pénétration, qui jaillissent entre tes dents, entre tes griffes quand je m' enfouis dans ton être, entre tes lèvres je nage je descends en nage lentement, au rythme de notre corps unifié devenu soleil-oasis, où tu bois, où je nage sur ta langue où je me noie dans les profondeurs cachées Quand tes mots en rappel remontent
Quand je descends mordre la pulpe de ton âme
.
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mich-bois · 9 days ago
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FLEURS DE LA DUNE.
Les Sables d'Olonne.
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div-blog · 2 months ago
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La dune de sable de la Gâche à Saint Cyr
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shakeskp · 5 months ago
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Pour le ao3 wrapped: 27 et/ou 29 ! :D
27. What do you listen to while writing?
ça dépend de ce que j'écris ! Si c'est du Star Wars, j'ai une playlist qui comprend une sélection des remix de la musique Star Wars par Samuel Kim ou la BO de la série Obi-Wan Kenobi. Sinon, je me partage entre Lofi Girl et le site My Noise, en fonction de de ce dont j'ai besoin comme ambiance/bruit de fond
29. Favorite line/passage you wrote this year?
Cette question est merveilleuse, parce que j'ai pu me rendre compte combien j'ai adoré ce que j'ai écrit cette année :D :D :D Mon égo est aux anges, merci pour lui. Je crois que je pourrais faire un Director's Commentary de tous mes fics.
Je vais faire une sélection douloureuse, mais j'en mets quand même plusieurs !!
D'abord Genshin !
Dans la partie 3 de De l'harmonie (De l'eurythmie), la scène où Kaveh et Alhaitham posent les fondations de leur nid, et ce petit bout tellement visuel dans ma tête : "
"Mais même Alhaitham eut un temps d’arrêt lorsque Kaveh se débarrassa de ses pantoufles et monta sur le tapis, faisant un petit tour satisfait sur lui-même, caressant la fibre des orteils. Il leva alors les yeux vers lui, brillants, et lui tendit la main.
— Viens voir comme il est doux !
Sans attendre de réponse, il lui saisit le poignet et le tira. Leurs glandes exocrines se touchèrent et leur arracha à tous les deux un gémissement vite étouffé. Mais Kaveh ne le lâcha pas et Alhaitham ne chercha pas à se dégager. La poitrine bloquée, il retira ses pantoufles à son tour et monta sur le tapis. La matière l’intéressait moins que la satisfaction de Kaveh, que ses doigts serrant les siens et son odeur qu’il mélangeait sans hésitation à la sienne."
(Et les blagues pourries de Cyno.)
*
Dans Et à la nuit s'épanouit, ce passage :
"— Qu’est-ce qui te fait croire que j’ai envie de partir ? 
Il indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait accrochés, le canapé qu’il avait fait retapisser, la bibliothèque où se trouvait sa table à dessin, et enfin la cuisine où bien trop de choses avaient été changées depuis son emménagement pour que ça vaille la peine de préciser quoi. Vue de l’extérieur, la crainte d’Alhaitham semblait effectivement ridicule. Mais encore une fois…
— Peut-être le fait que tu fasses ton budget pour savoir quand tu pourras déménager, répondit-il, irrité.
— Peut-être que j’attendais que tu me dises que je pouvais rester ! rétorqua Kaveh sur le même ton.
Alhaitham indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait laissé Kaveh accrocher, le canapé qu’il l’avait laissé retapisser, la bibliothèque où il avait fait de la place pour sa table à dessin et, enfin, la cuisine où Kaveh avait changé bien trop de choses pour que ça vaille la peine de préciser quoi."
(Et toute la scène entre Alhaitham et Nahida !!! Je l'aime fort !)
*
Côté Star Wars :
Dans la série des De l'espoir, la scène où Luke touche le Côté Obscur dans Les braises :
"Mal à l’aise, Luke reprit la méditation. Ce fut plus difficile qu’il s’y attendait. L’immersion qui lui venait si naturellement d’habitude lui échappait, le monde paraissait assourdi. Sous ses pieds, le sable glissait, traître, un adversaire plutôt qu’un compagnon. Le troisième jour, l’irritation de Luke fut à son paroxysme. Les yeux fermés très fort, imaginant le désert autour de lui, il chercha à nouveau la sérénité, mais les dunes l’étouffaient, cachaient la vie, s’étendaient trop loin et l’empêchaient de toucher l’horizon, le privaient de la lumière des soleils levants.
Il serra les dents, il ne voulait, pouvait, pas retourner auprès de Ben sur un tel échec, alors que ses pieds trébuchaient, alors que le désert se dérobait à lui… Il ferma les paupières encore plus fort et se dit que ce serait bien plus facile si les dunes dans sa tête cessaient de l’étouffer… Dans un élan de colère, il s’imagina les faire disparaître. Une tempête de sable changeait leur forme, pourquoi ne pourrait-il pas faire de même ? Les aplatir, les disperser, s’en débarrasser ! Elles ne lui servaient à rien !
Ses dunes imaginaires s’effondrèrent. Le sable s’éparpilla d’un coup. Le silence se fit dans sa tête. Mais c’était un silence inquiétant, celui d’un lieu mort, où plus une créature ne vivait, toutes chassées de chez elles par une violence inimaginable, ou pire : tuées.
Luke eut froid.
Puis honte."
*
La toute fin de À l'aube de notre premier jour :
"Main dans la main, ils traversèrent le long couloir blanc du palais royal.
Anakin n’arrivait toujours pas à mettre Obi-Wan dans une case, ni de confiance, ni pas, ni parfois oui, ni parfois non. Indéfinissable.
Mais il était sans équivoque dans le camp d’Anakin, songea ce dernier avec une inébranlable certitude.
Et il le serait toujours."
*
Dans Et tout au bout, ta main tendue, les deux scènes où on voit Anakin lutter contre le Côté Obscur, et à choisir, celle-ci :
"C’est trop tard, tu ne peux plus te cacher, tu t’es toi-même démasqué. Dis-moi quand, enfin, dans ta tête, je n’ai plus été un padawan pour de vrai, dis-moi, dis-moi, dis-moi…
Et la réponse vint : sur un fond de chagrin dévastateur, celui d’Obi-Wan, l’image d’Anakin aux yeux dorés, le visage dur et l’aura glaciale. D’un coup, il se retourne et découpe Sidious, une fois, deux fois, et il tombe à genoux, haletant. Son cri de rage, de douleur, et la voix rauque avec laquelle il hurle en boucle :
— Il n’y a pas d’ignorance ! Il y a la connaissance ! Il n’y a pas de passion ! Il y a la sérénité ! Il n’y a pas de chaos ! Il y a l’harmonie ! Il n’y a pas de mort ! Il y a la Force ! Il n’y a pas d’ignorance, il y a la connaissance, il n’y a pas de passion, il y a la sérénité ilnyapasdechaos…
Encore et encore, jusqu’à ce que sa gorge douloureuse le force à murmurer, jusqu’à ce que le mantra l’ancre à nouveau dans la réalité de la Force, que la chaleur du Côté Clair brûle le Côté Obscur qui empoisonnait sa signature, qui embrouillait ses pensées, qui nourrissait le noyau de fureur permanente au fond de lui.
Enfin, il lève les yeux, bleus, immenses, magnifiques. Et sous ceux d’Obi-Wan ne se trouve plus son padawan succombant au Côté Obscur, mais un homme extraordinaire."
*
Dans Les Voies, il y en a tellement que j'aime que c'est une torture, mais disons, pour les Voies divergentes, la première scène de la fic en elle-même, encore une fois Anakin vs le Côté Obscur :
"Le combat s’écoula dans un brouillard givrant, il n’existait que le choc du bleu sur le rouge, que les grognements de son ennemi qui reculait, que la puissance froide de la Force dans ses veines, dans chaque cellule. Les Sith contrôlaient la Force ? Les Jedi la servaient ? Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Il était la Force, il était son enfant, sa forme de chair, il était sa main et sa volonté !
Il abattit le traître. Le transperça de sa lame, l’ouvrit en deux. Puis il saisit cette vie pervertie avant qu’elle s’éteigne et s’offrit le plaisir de la détruire lui-même.
Il ne resterait rien de Sheev Palpatine, de Dark Sidious, pas même l’écho de sa conscience dans la Force.
— …Walker ! Skywalker !
Anakin se retourna et frappa, et sa lame en rencontra une autre, violette, inflexible. Mace Windu. Windu qui aurait dû être là, Obi-Wan aurait survécu s’il avait été là, mais non, il avait sûrement fallu encore discuter et palabrer, pour qu’il arrive aussi tard ! Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Le mieux était peut-être de reprendre à zéro. Tous les éliminer et recommencer. Windu ne le laisserait pas faire, et le combat serait difficile, plus dur que contre le traître. Mais au bout du compte, ce n’était qu’un Jedi. Les Jedi étaient au service de la Force, à SON service, et Windu plierait."
Pour les Voies convergentes, honnêtement 90% du chapitre 1, mais extrayons ce passage :
"— Je vais méditer un peu avant de manger. Est-ce que tu veux m’accompagner… ?
Parfois Anakin était d’humeur, parfois non, et parfois il se joignait à lui en cours de route. Il hocha la tête, alors ils s’installèrent face à face sur le tapis de méditation. Anakin tendit les bras, paumes offertes, et Obi-Wan y pressa les siennes avant de fermer les yeux. Ils n’avaient pas toujours besoin de se toucher, mais ça aidait Anakin et lui n’allait certainement pas le lui refuser, même si ça lui rajoutait une touche de difficulté.
Le contact de leurs callosités, un peu décalées à cause de la différence de taille et de forme de leurs mains, la dureté de la prothèse d’Anakin sous la douceur du gant de nanosoie, la chaleur constante qu’il dégageait, le bruit de son souffle tout proche, tant d’éléments perturbateurs dont se détacher.
Mais Obi-Wan, donc, avait de l’entraînement."
(Et aussi Anakin et le Vaapad, tellement) (et ce bout-là dans le chapitre 8 :
"Avec ce manque de dignité typique qu’Anakin invoquait chez lui, Obi-Wan lui mordit l’épaule. Étant donné les mains empoignant ses fesses, ce geste ne put que dérailler la conversation et les pousser à s’unir de façon bien plus prosaïque et profane que dans la Force.
Mais tout aussi transcendante.")
*
Dans Le Cercle littéraire des défenseurs de la galaxie : Tous les résumés de Cœurs de Kyber XD XD et :
"— Alors oui, continua Obi-Wan, sans merci. J’ai regretté de t’avoir pris comme padawan, et de nombreuses fois.
Inexplicablement, après cette déclaration d’une violence insoutenable, il esquissa un petit sourire. Puis il tourna un peu la tête, regarda Anakin du coin de l’œil.
— Aussi souvent, j’imagine, que tu as regretté que je ne sois pas Qui-Gon Jinn.
Il ne retenait vraiment pas ses coups.
— Mais quelle importance ? continua-t-il, les mains dans ses manches, le regard perdu à l’horizon. Quelle importance, ce que nous pensions et ce que nous regrettions il y a toutes ces années, comparé à tout ce que nous avons vécu ensemble, à tout ce que nous avons partagé ? Quelle importance ce que nous étions à l’époque, comparé à ce que nous sommes aujourd’hui ? Aujourd’hui, je ne regrette rien. Je suis simplement heureux de te connaître, heureux que tu me sois cher et de t’être cher. Et reconnaissant à Maître Qui-Gon de m’avoir donné la chance de te rencontrer."
(Mais aussi la scène avec Rex. La scène avec Rex <3)
*
Dans De la Cosmographie :
"Obi-Wan en profita pour le détailler, un plaisir qu’il s’accordait rarement. En partie pour ne pas nourrir l’ego déjà bien établi de son compagnon, en partie parce qu’il s’en était empêché si longtemps. Les boucles châtain aux reflets dorés qui ornaient son front, les sourcils épais qui lui donnaient si facilement l’air ombrageux. Ses yeux clairs, invisibles à cet angle, mais qu’il imaginait si bien. Son profil parfait, avec ce nez par miracle encore droit, le trait marqué de sa mâchoire où Obi-Wan aimait tant passer la bouche le matin, quand sa peau était délicieusement râpeuse. Ses lèvres pleines, encadrées de sillons triangulaires qui se creusaient quand il souriait, et qui révélaient déjà quel serait le dessin de son visage vingt ans plus tard.
Obi-Wan espérait le voir, de tout son cœur.
Il serait magnifique, son Anakin, avec des rides au coin des yeux."
*
Dans Sous vos yeux, la scène où Obi-Wan dit à Anakin qu'il a failli quitter l'Ordre pour lui me fait bêtement rire :
"— La première fois, évidemment, à ton arrivée au temple…
— Évidemment ?
Il se redressa à son tour face à lui, semblant surpris.
— Je croyais que tu le savais. Si le Conseil avait refusé de faire de toi un Jedi, je t’aurais enseigné à te servir de la Force en dehors de l’Ordre. Maître Qui-Gon avait raison en disant qu’il fallait que tu sois formé.
À nouveau, Anakin dut complètement réarranger sa vision des choses.
— Tu ne m’aimais même pas, à l’époque, lâcha-t-il sans le vouloir. Et, ajouta-t-il, ne me sors pas que les Jedi aiment tout le monde, je connais la théorie . La réalité, c’est que si tu pouvais faire tomber discrètement le sénateur de Geminia de sa nacelle, tu le ferais.
— Il serait bien moins compliqué de le faire destituer, rétorqua Obi-Wan d’un ton terriblement raisonnable, mais un sourire frémissant au coin des lèvres. Néanmoins, les Géminians ont voté pour lui et il est de notre devoir de respecter la volonté du peuple, quelle que soient nos réserves.
Anakin avait une tout autre opinion, mais il avait appris à choisir ses batailles.
— Quoi qu’il en soit, tu étais un être vivant, digne de mon dévouement comme le serait tout autre.
— Mais tu m’aurais fait tomber de la tour du Temple si tu avais pu ?
— Tu avais neuf ans, rappela Obi-Wan sévèrement.
— OK, OK, murmura Anakin en mettant la main sur sa nuque avant de l’embrasser pour détourner son attention du fait qu’il ait jamais été un enfant.
Il remarquait quand même qu’Obi-Wan n’avait pas nié qu’il l’aurait bien balancé par la fenêtre, s’il n’avait pas eu seulement neuf ans."
Voilà, pardon, je me suis emballée xD
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iranondeaira · 7 months ago
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Je vous écris depuis le bateau de mes errances
Sur la grande houle roulante du vent
Sur l’évidence blanche du sable
Et l’inexorable trame de l’horizon.
Je vous écris depuis mon exil,
Depuis ma dune,
Ma forteresse de sable
D’où j’étrille la lumière du jour
Et son illusoire transparence.
Je vous écris des vagues de frémissements
De grandes amphores bleues
Remplies de rêves battant des ailes.
Je vous écris avec les lettres du vent
Depuis mes blancheurs d’eau
Avec vos rêves brodés sur mon paysage.
©.Anna SamsKaïa - "Lettres du vent"
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transparentgentlemenmarker · 10 months ago
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Près de Gqeberha en Afrique du Sud, il y a les dunes d'Alexandrie et la société Addo Cruises And Sand Sledding propose aux touristes de faire de la luge de sable
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coolvieilledentelle · 2 years ago
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"Plus rien ne bouge dans le désarroi du temps. Même l’océan sommeille à l’ombre du phare. Sur le chemin qui mène aux marais salants La pluie s’agite pour embrumer le regard. J’entends dans le loin grimacer la chrysalide De la lune ronde qui semble fuir l’obscurité. Le ciel voudrait allumer ses bougies timides Mais les tisons sont froids dans sa cheminée. Te dire mon silence intérieur qui bâillonne Le mot écrasé sur le sable vert de l’intime Ne chassera pas tous ces requiem aphones Il pleut des ténèbres jusque dans la rime. Entre les dunes, serpente un vent orphelin Il me parle de toi et je flirte encore souvent Avec ton ombre posée sur la nuit sans tain Je t’ai suivi jusqu’à l’épilogue de ce roman. Seuls mes pas crissent entre les fougères Césures incertaines au bout de cette plage Pensées inaudibles, il vaut mieux se taire Pourtant, de notre livre, se tourne la page. Longtemps immobile, ma coque intérieure Vogue vers la parenthèse de ton grimoire. Dans l’écho de l’âme, ressuscite ton cœur Comme le font les étoiles tous les soirs." ✍ Sedna ✍
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guilbertjj · 8 months ago
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Le sable de la dune a reculé et a envahi le sentier...
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papillondusublime · 3 months ago
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J'ai rêvé d'un homme – ou était-ce une femme? – Au visage caché. Je n'ai vu que l'âme. Son regard sans yeux, aussi doux que mon songe, Gardait un soleil beau comme le mensonge.
Ronds comme un grain de sable et l'astre suprême, Ses globes étaient d'eau. Gouffre? Non, baptême! Ses cris abyssaux s'effritaient en sanglots; Ses larmes reflétaient l'éclat d'un halo.
Son cœur, miroir du ciel, rougissait en soir, Crachant des étoiles, défenses d'ivoire. Sur ses paumes luttaient vents d'hiver et flammes, D'un coup cassant sa voix en verre – des gammes!
Que j'aimais ses notes aiguës de douleur, Touchant mon ennui, paralysée ardeur! Ses mains chantaient un hymne aux plaies purulentes, Mon sang accompagnant notre danse lente.
Que de vifs tremblements parcouraient mon corps, Ondes palpitant dans un spectre sans mort! J'étais au rendez-vous. Était-il docteur? Sans un stéthoscope, il écoutait mon cœur.
Mais il dut, afin que mon cœur batte encore, Vaincre un cancer agressif perdant le Nord. Sans épée, il livra un combat de taille Contre les lourds regrets rongeant mes entrailles.
Il tint flambeaux de vie devant l'apoptose, Face au dragon me calcinant en nécrose. Donna le coup mortel son rire infectieux; Ses éclats de larmes craquèrent en feu.
Ô baisers-rayons! Fièvres d'incendie! Son soleil de santé fut ma maladie. Glissant sur ma langue comme du poison, Sa lueur de venin fut ma guérison.
Ô câlins-poignards! Je suis clouée au lit, Sous le clair de lune ne rêvant qu'à lui. Cet homme, qui est-il? De myrte et de rose, Son aura sombre dans une nuit d'hypnose.
-Poésie: "J'ai rêvé d'un homme", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme
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2t2r · 1 month ago
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🏜️🔥Le paysage surréaliste des arbres morts de Deadvlei entourés des immenses dunes de sable.
Infos sur ce lieu incroyable: https://www.2tout2rien.fr/arbres-morts-de-deadvlei-namibie/
#Namibia #Deadvlei #Desert #Travel
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coovieilledentelle · 1 year ago
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La fille du désert est déjà une reine ! ni dieu, ni personne ne pourra l"arrêter elle marche coure à en perdre haleine Son royaume de sable est magnifique un univers unique, un monde magique. Senteurs orientales au gout d'orangers elle fixe son céleste destin déjà tracé Envie d'aimer, de vivre et de découvrir Trouver pour toujours l'oasis des plaisirs ! son sourire gracieux illumine les dunes,
Elle est la fille du soleil et de la lune
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