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#d’eliza
kitonmitons · 6 months
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there are no shortcuts in art! I have been struggling with my paintings because I haven’t liked the brushes, and after hoping someone else’s brushes could fill the artistic void, I eventually had to sit down and build my own brush from scratch. here’s the test painting I did. Seb’s current gf D’eliza ❤️
You can find the brush here! (CSP)
sketch under cut:
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mmepastel · 4 months
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Zadie Smith est presque trop brillante.
Quand la semaine dernière j’ai appris qu’elle avait sorti un roman, se déroulant à l’ère victorienne, j’ai failli m’évanouir de joie. Je me suis précipitée dessus évidemment.
J’en ressors un peu déçue, je ne sais pas trop bien pourquoi puisque je n’ai pas de reproches à lui faire.
Elle nous mène tambour battant à travers l’Angleterre du XIXe, avec de courts chapitres enlevés, à travers la conscience d’Eliza Touchet, femme ayant réellement existé, au statut bancal, pourvue d’une famille étrange et d’un esprit drôlement affuté.
Le style est lumineux mais très sec. On sent que l’autrice s’est voulue exigeante, pas de sentimentalisme, des faits, un œil acéré sur l’époque. Roman victorien, non. Pas de narration linéaire, pas d’effusion, pas de chichis.
Eliza Touchet a été mariée et a eu un fils. Les deux sont morts tôt. Désargentée, elle a rendu service en vivant avec son cousin, un écrivain populaire (lui aussi réel mais aujourd’hui oublié), étant à la fois sa relectrice, sa gouvernante, son amante, sa confidente. Ça n’a pas empêché ledit cousin de se marier deux fois, ainsi la maisonnée, souvent délocalisée suite au déclin du succès des romans de William, est devenue un genre de microcosme composite : une épouse officielle (la deuxième) issue des bas quartiers, leur jeune fille, les trois filles de William de son premier mariage (avec Frances, avec laquelle Eliza a vraiment connu l’amour), et Eliza, qui gère tout ce beau monde et essaie de comprendre sa place dans cette maison, dans ce pays, dans cette époque.
Justement, le pays se passionne pour un procès célèbre. L’histoire d’un imposteur qui voudrait bien croquer une part des restes de l’argent généré par l’esclavage en Jamaïque, à peine aboli. Cette idée est très forte dans le livre et elle en est le cœur. A travers ce personnage et son domestique Bogle, un noir remarquablement stoïque, le pays se déchire. Eliza se passionne pour Bogle et sa conscience catholique abolitionniste s’en trouve renforcée.
Mais c’est là que cela s’est corsé pour moi : je n’avais pas les connaissances suffisantes pour comprendre toutes les subtilités économiques et politiques que soulevaient ce procès. La mort d’une époque, la fin de certains privilèges, je ne les ai compris que péniblement car Zadie Smith est plus ironique que pédagogue (et elle a raison !) ; n’empêche que c’est dur de suivre. Avec les sauts dans le temps aussi. La navigation d’une époque à une autre. Je n’aurais pas craché sur un poil plus d’explications contextuelles.
La meilleure idée du livre selon moi, celle que j’ai pleinement comprise et aimée, en riant souvent, c’est de placer au cœur de cette société patriarcale et raciste une femme intelligente et sarcastique, qui observe tout et a pris l’habitude de tout cacher pour sa sécurité et sa tranquillité. Eliza voit tout, observe tout, juge tout et tous, même Dickens en personne (et il n’est pas épargné par sa sagacité). Elle comprime ses pensées car une femme n’est pas censée penser ni parler politique. Elle supporte en serrant les dents les discussions des littéraires plus ou moins avisés ou alcoolisés, essaie de naviguer dans le petit sillon qui est le sien, se faire sa propre conscience, et agir selon ses convictions. Elle n’a pas beaucoup de marge de manœuvre, mais elle s’y tient. Cette droiture va de pair avec une immense solitude. Solitude que j’ai pleinement ressentie quand elle pose des questions existentielles en son for intérieur, questions qui comptent, cruciales, qu’elle ne peut poser à personne et qui résonnent dans le livre comme autant de coups contre une boîte dans laquelle les femmes et les noirs étaient enfermés en ces temps qu’on voudrait résolument révolus…
Peut-être faudrait-il que je relise ce livre, un jour, en ayant pris les informations nécessaires, en ayant bossé en quelque sorte ! Je crains d’être passé un peu à côté du bijou que ce doit être. Je vous dit, Zadie Smith est plus intelligente que nous. Enfin moi. Mais bon, franchement, elle est au-dessus du lot, largement.
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aforcedelire · 1 month
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Eliza est féministe, Michelle Quach
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Eliza s’attendait à être élue rédactrice en chef du journal du lycée, mais c’était sans compter Len DiMartile. L’ancien joueur star de base-ball vient de lui ravir le job, et Eliza est furieuse. Contrairement à lui, elle participe au journal depuis des années, elle s’est tuée à la tâche, et elle est bien plus qualifiée que lui. Mais elle n’est pas un homme… qu’à cela ne tienne, elle va leur montrer, à tous ! Eliza a tout prévu… sauf de tomber amoureuse de Len.
J’avais entendu parler de ce roman à sa sortie et je n’avais pas forcément eu l’occasion de le lire jusque-là, mais c’est désormais chose faite ! Je l’ai trouvé bien sympa. J’ai beaucoup aimé le côté comédie romantique, et assister au rapprochement d’Eliza et Len m’a plu, même si vers la fin j’ai trouvé qu’il y avait un tout peu trop de « on est ensemble mais en fait non mais ptetre que oui mais ah on sait pas ». Mais bon, à part ce léger détail franchement c’était chouette.
Ce que j’ai par contre beaucoup aimé, c’est que ce roman permet de s’interroger sur le féminisme. On parle beaucoup de l’égalité entre les filles et les garçons, on se questionne sur les « vraies » féministes et les « fausses » féministes (notamment à travers Eliza qui se proclame féministe mais qui tombe amoureuse de son rival, ou encore de Serena qui est jolie et plaît aux garçons), et on aborde aussi beaucoup la question de la rivalité féminine. Et ça, c’était hyper cool !
Mais ça va plus loin, et Michelle Quach en profite aussi pour aborder l’immigration et le rapport des enfants d’immigrés avec leurs parents, qui leur mettent parfois la pression parce qu’ils voudraient un avenir différent du leur pour eux. J’ai trouvé ça chouette d’avoir autant de personnages racisés, ça change un peu de ce qu’on peut trouver d’habitude !
C’est pas un grand coup de cœur, mais j’ai passé un bon moment. Je recommande aux ados dès 13-14 ans !
17/08/2024 - 18/08/2024
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fabiansteinhauer · 7 months
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Die anthropologischen Kränkungen
1.
Nach Malte Gruber gibt es fünf anthropologische Kränkungen. Vier benennt er namentlich und begrifflich, eine macht er. Wie in der Literatur üblich, spricht er die drei berühmten anthropologischen Kränkungen, also die kopernikanische, die darwinistische und Freuds Kränkung an, ergänzt sie luhmannistisch um die kybernetische Kränkung. Der Planet Erde nicht im Zentrum des Seins, der Mensch nicht auf der großen Linie einer göttlichen Schöpfung, nicht Herr im eignen Haus und statt zu sprechen, kommunizieren Systeme, denken, denkt es dem menschen und denkt er verteilt und zerteilt, sein Schreibzeug und die Systeme denken mit, sein Stuhl und der Gang, der Korridor auch.
Und trotzdem trägt das Stäubchen und Würmchen Mensch (un humile lavoratore) die Verantwortung für alles Leben und den Tod. Obwohl er nicht die Welt garantieren kann, weil ihm die Souveränität und der archimedische Punkt fehlen, soll er an die monotheistische Pflicht zum Hebeln erinnert werden, sich als Herrschaft über die Hebel der Welt zu begreifen. Das ist auch kränkend (vor allem, wenn man mit Thomas Mann die Krankheit als eine Form hochgefahrener Selbstbeobachtung begreift und das Sieche eine Verdichtung von Wahrnehmung sein soll). Die Kränkung reisst einen vielleicht nur minimal auf (keiner weint oder schreit nach der Lektüre von Kopernikus oder Darwin, viele lächeln eher und scheinen ganz glücklich). Die Kränkung schneidet einen auf, wie der Anwalt Riedenschneider in The man, who wasn't there aufschneidet. Macht einen ganz flimmrig, die Kränkung. Die Kränkung fügt einem, wenn auch winzige Traumata zu: Ich bin machtlos und schulde Macht, schulde der Macht etwas. Wenn es übertrieben klingt, keine Sorge, es sind nur kleine Schnitte. Widersprüche sind der Rechtswissenschaft Diesel. Im Grunde genommen könnte man die berühmten Kränkungen von Kopernikus, Darwin, Freud und Vergil (wenn man mit den Macys-Konferenzen, die zwischen 1946 und 1953 stattfanden davonausgeht, dass die Literatur der Kybernetik mit Vergil beginnt) auch Neckereien oder Kitzel nennen.
2.
Große Aufgaben erledigt man am besten Schritt für Schritt, zum Beispiel mit neuen Gesetzen, Satzungen oder Verwaltungsakten, die jetzt aber nicht mehr so tun, als könnten sie die Welt beherrschen, sondern nur so tun, als seien es nur kleine Schritte auf dem Weg zum nächsten Klimaziel. Was man anthropologische Kränkung nennt, ist limitiert, kommt an seine Grenzen, zum Beispiel dort, wo die Kränkung in Nervosität, Unruhe und Aktivismus umschlägt, in das klare Bewußtsein, etwas tun und etwas anderes unterlassen zu müssen, aber noch nicht zu wissen, was denn genau man jetzt tun und was genau man jetzt lassen müsse.
Letzte Woche wurde ich vor dem Institut um eine Unterschrift für die letzte Generation gebeten, sie wollen zur Wahl antreten. Ich sagte, wenn man mit mir die Paulskirche blau, grün, gelb oder orange (das ist diskutierbar) besprühen würde und im Städel ein Gemälde, das man gemeinsam aussuchen könne, mit Erbsensuppe oder einer Suppe ihrer Wahl überschütten würde, dann würde ich unterschreiben.
Da hieß es dann sowas tue man nicht und als ich drängte hatte man plötzlich Angst vor mir. Negative Affirmation nennt man nach Bazon Brock die Technik, wenn man Leuten versichert, man würde tun, was sie von einem wollen und die das dann nicht mehr wollen. Alles dringlich, weil es Meteorologie ist, weil es kommt und geht und man das nur schwer berechnen und kalkulieren kann. Die letzte Generation will die letzte Generation bleiben, und keine neue Generation wie mich, die jetzt dazu kommt. Ich hätte unterschrieben, aber das wollten sie dann nicht. Limited ink, aber nicht nur Tinte ist limitiert, ihre Radikalität ist auch relativ. Bin gespannt, ob die letzte Generation mal wieder was besprühen wird. Wenn sie es nicht tun: an mir liegt es nicht.
3.
Die Kulturtechnikforschung forscht normativ, operativ und rekursiv zum Recht und seiner Wissenschaft. Dabei werden manchmal Subjekte zu Objekten, Medien zu Subjekten, Medien zu Objekten. da wird übersetzt und gereinigt, etwas wird zu etwas anderem. Weil die Netwerkforschung schon zehn Schritte voraus ist, weicht die Forschung, die in Frankfurt am MPI zur Kulturtechnik gemacht wird, aus. Es gibt Anschlüsse zum anderen Technikforschungen, zur ANT oder zu STS. Wir versuchen vor allem, an Cornelia Vismann anzuschließen, um einen Start, einen Anfang zu haben und um kopieren zu können, um nachmachen zu können und Vorbild zu haben. Insofern erscheint das A in ANT zuerst einmal als Akt oder Akte, genauer gesagt als graphischer oder choreographischer Zug (Train(ing), Trakt, Tracht, Träger), der wiederum als eine elementare, in dem Sinne auch anfängliche Operation, normativ und rekursiv verstanden wird.
Statt von Netzwerken gehen wir von Assoziationen aus, die dank und durch Trennungen erscheinen (kommen und gehen) und damit gehen wir von Trennungen aus, die dank und durch Assozationen erscheinen (kommen und gehen). Am Begriff der Assoziation wollen wir die Unsicherheit und die Unbeständigkeit, das Limitierte und Kanalisierte aller Gründe und Gründlichkeit mitfassen. Wir wollen nutzen, dass der Begriff der Assoziation in der deutschen Rechtswissenschaft ab und zu pejorativ, als unverbindliche Verbindung verstanden wird, als Verbindungen durch Risse und Brechungen, mit Widerständen und Insistenzen. Dass die Assoziation ein Werk ist, das können wir nicht ausschließen, wollen es aber nicht zur Bedingungen des Konzepts machen. Dass sie ein Netz ist, das können wir nicht ausschließen, wollen es aber ebenfalls nicht zur Bedingung des Konzepts machen. Eines wollen wir zu Bedingung des Konzepts machen: Die Assoziation kreuzt, streicht also auch Bindung aus und durch, ist in dem Sinne auch Dissoziation. Sie cancelled, wie es bei Vismann heißt. Sie kreuzt, cross, a cross across: diagonal oder transversal.
Der Trakt oder die Linie, die ein elementarer graphischer oder choreographischer Akt erscheinen lässt, fragmentiert nicht, ohne zu totalisieren, (denn er/ sie trennt und bindet). Der Trakt oder die Linie kontrahieren und distrahieren, normativ, operativ und rekursiv. Obschon der Trakt oder die Linie einen Anfang markieren, geht etwas vor, das auch kontrahieren und distrahieren kann - aber dazu können wir nicht sagen, weil wir es nicht markieren. Wir orientieren uns insoweit an normativen und operatieven Rechtstheorien wie Luhmanns Rechtstheorie und dessen Nutzung des Formkalküls (ohne das 1:1 übernehmen zu können). Wir sind insofern eher am Kreisen der Referenzen interessiert, an de Tardes Überlegungen zu Mimesis oder Maria Muhles Überlegungen zu Mimesis als daran, (Selbst-)Referenzen zu garantieren oder ihren Verlust so zu besingen, wie Luhmann das am Ende seiner Rechtstheorie tat, als er von einer europäischen Anomalie sprach. Die Melancholie darin, die scheint uns normal, von Anfang an fängt das Recht an, zu verschwinden und zu gehen, von Anfang an wollen wir die Unbeständigkeit, die Metorologie und die Polarität des Rechts (also auch die Melancholie, die man heute Biplarität nennt) mitbedenken und nicht als Ende, zumindest nicht in der Tradition der zahlreichen monumentalen Endstücke wie etwa bestimmten Apokalpysen oder Hegels Enden oder Carl Schmitts Brüchen und aufs Totale bezogenen Fragmenten denken. Wir wollen Enden und Endnungen als Wendungen, Kippen oder Kehren untersuchen, als Tauschmanöver und damit wieder als Kreuzung. Wir wollen den Anfang sekundär denken, als Effekt und effektiv. Technisch meint u.a. artifiziell, umwegig und involvierend - das ssoziieren wir mit den Wissenschaften, die seit langer Zeit neu heißen, unter anderem also mit der nouva scienza Giambattista Vicos, den Kulturwissenschaften (die bei Vico u.a. an Kulturtechniken der Rhetorik hängen).
3.
Philippe Descola ist ein Ratgeber für die Kulturtechnikforschung, weil er zu Bilder forscht und Bilder Objekte sind, an denen wir beispielhaft durchführen, was wir tun wollen. Er forscht zu Menschen, die von der den anthropologischen Kränkern zwar nichts über die berühmten wissenschaftlichen Kränkung erfahren haben, von den Kränkern aber beherrscht und dazu noch besorgt oder umsorgt werden, dass es sie nicht nur kränkt, sondern teilweise sogar auslöscht, ihnen Apkolapysen reproduziert. Dabei handelt es sich um anthropologische Wesen, die den Untergang der Welt nicht vor sich haben, sondern hinter sich haben. Sie haben nicht nichts hinter sich (auch nicht die Drohung, dass die Welt und das Leben wegkommen könne), sie haben eine Welt im Rücken, die ist untergegangen und rückt trotzdem in alle Entfernungen, bis ins Naheste und Verrückte weiter, sogar ihnen auf die Pelle. Diese anthropologischen Wesen nutzen Objekte, um zu bilden und zu tafeln, der Kürze halber nennen wir das Bilder.
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pdj-france · 1 year
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Malgré les difficultés économiques, la Russie connaîtrait un boom du secteur minier du Bitcoin, les géants du matériel Bitmain et MicroBT étant prêts à saisir cette opportunité. Selon un article d'Eliza Hkritsi pour CoinDesk publié plus tôt dans la journée, la Russie est le principal destinataire de machines minières dans le monde. Historiquement, l'énergie abordable et le climat froid de la Russie en ont fait un acteur clé de l'exploitation minière de Bitcoin. Son importance a augmenté lorsque la Chine a interdit l'industrie en 2021, poussant la Russie dans les premiers rangs mondiaux. Fait intéressant, cette croissance coïncide avec les sanctions internationales imposées à la Russie à la suite de son invasion de l'Ukraine en 2022. David Carlisle, vice-président de la politique et de la réglementation chez Elliptic, a noté que même si les sanctions n'interdisent pas explicitement l'exploitation minière, elles présentent des risques importants. Les entreprises du secteur minier russe ne peuvent pas faire affaire avec des entités sanctionnées ou effectuer des paiements aux banques et entreprises d'État. Le rapport CoinDesk a poursuivi en disant que malgré les risques de réputation potentiels, la hausse du prix du Bitcoin et le projet Ordinals ont créé des conditions favorables à l'exploitation minière en Russie, selon Sergey Arestov, PDG de BitCluster. De plus, une surveillance réglementaire et une fiscalité accrues ailleurs ont fait de la Russie une destination attrayante pour les opérations minières. Les faibles coûts énergétiques ont davantage incité les mineurs russes à étendre leurs opérations. Actuellement, les mineurs peuvent installer leurs machines dans les installations d'autres entreprises pour 0,05 $ à 0,055 $ par kWh, ce qui est nettement inférieur à la moyenne américaine de 0,08 $ par kWh.
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millenium-blog · 3 years
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CINEPHILE2.0
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THE LAST KINGDOM : UN FILM DE DEUX HEURES POUR TERMINER LA SÉRIE APRÈS LA SAISON 5
La série historique The Last Kingdom de Netflix s’arrêtera avec la saison 5, puis se poursuivra dans un film de deux heures intitulé Seven Kings Must Die.
The Last Kingdom, la série diffusée sur Netflix, devrait faire l’objet d’un long métrage après sa dernière saison.
The Last Kingdom est basée sur The Saxon Stories, une série de romans de Bernard Cornwell. Elle se déroule en l’an 866, à une époque où les tensions entre les Saxons et les Vikings s’exacerbent. La série a été produite à l’origine par la BBC et diffusée en 2015, mais Netflix a coproduit la deuxième saison et a complètement pris en charge la création du show dès la saison 3. Elle met en vedette Alexander Dreymon dans le rôle d’Uhtred, un Saxon qui a été élevé par des Vikings, aux côtés d’Eliza Butterworth, Arnas Fedaravicius, Millie Brady, Emily Cox et Mark Rowley.
La saison 5 de The Last Kingdom, composée de dix épisodes, devrait être diffusée sur la plateforme de streaming en 2022. Cette saison adaptera Warriors of the Storm et The Flame Bearer, les neuvième et dixième romans de la saga littéraire. Les livres racontent comment Uhtred se prépare à reconquérir les terres de sa ville natale, Bebbanburg. En mai de cette année, Netflix a annoncé que la saison 5 de The Last Kingdom serait la saison 
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A gauche, l’Echelle catholique de 1840 du prêtre catholique canadien francophone François Norbert Blanchet. Décrit comme un catéchisme visuel, cet outil graphique combine éléments cronographiques et symboliques pour enseigner les concepts fondamentaux du christianisme. La branche qui part à droite  dans la partie centrale, au-dessus des trois barres verticales figurant Luther, Calvin et Henry VIII, représente la Réforme protestante. 
A droite, l’Echelle protestante, œuvre d’Eliza Hart Spalding de 1845. Contrairement à l’Echelle catholique, celle ci vise à souligner la différence entre les volets protestants et catholique du christianisme.
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vfmovies · 3 years
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Regarder Miss Scarlet, Détective privée: Saison 1 Épisode 1 en streaming VF
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Voir Miss Scarlet, Détective privée: Saison 1 Épisode 1 complet en franaçais, très bonne qualité et gratuit.
Lorsque le père d’Eliza Scarlet décède d’une crise cardiaque, la jeune femme décide de reprendre l’entreprise de détective privé qu’il avait créé, contre la volonté de sa famille et de l’inspecteur Wellington. Pour sa première affaire, Eliza est contactée par un client sans scrupules qui souhaite retrouver sa nièce disparue…
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La Forme de l’eau (2018), Guillermo Del Toro
Au regard de sa filmographie, et en particulier du Labyrinthe de Pan et de Hellboy, Guillermo Del Toro ne plonge pas a priori le spectateur en eaux troubles avec La Forme de l’eau. Il s’agit d’une fable fortement esthétisée, prenant place dans un cadre historique marqué (les sixties et le début de la Guerre Froide) et mettant au centre de son intrigue une créature amphibienne attirant toutes les attentions. Celle d’abord de Strickland (excellent Michael Shannon), agent du gouvernement l’ayant découvert en Amérique du Sud et qui la voit comme une abomination. Celle ensuite d’Eliza, femme de ménage dans un laboratoire secret de Baltimore, muette, qui en tombe amoureuse. Et enfin celle du scientifique Hoffsteller espionnant les activités du laboratoire pour le compte du gouvernement russe, qui la considère comme une merveille qu’il faut préserver au nom du savoir. Le cinéaste présente donc son monstre comme un objet de désir, autour duquel gravitent tous les personnages du film.
De cette idée, il en tire un récit limpide et efficace, composé en trois actes. En premier lieu, Del Toro introduit, non sans convoquer les accordéons d’Amélie Poulain, la vie quotidienne minutée d’Eliza (le minuteur des oeufs bouillis, la répétition de ses tâches quotidienne selon un montage rapide), quelque peu déréglée par la découverte de l’amphibien sur son lieu de travail. Alors, apprenant que ce dernier risque la mort, Eliza, aidé de ses amis et de Hoffsteller, fomente un plan pour l’extraire du laboratoire, à la barbe de Strickland et des agents de sécurité (étrangement absents dans les couloirs du laboratoire). Le dernier tiers du métrage s’attarde sur la recherche éffrénée de Strickland, alors que l’exposition continue à l’air libre de l’humanoide menace sa santé et son idylle avec Eliza. Cette structure tripartite permet un déroulement clair des enjeux, et confère au  récit la forme du conte. De fait, Del Toro envisage son histoire d’amour comme universelle, appréhendable par tous. Il est à noter la subtilité dont fait preuve le cinéaste mexicain à irriguer son récit d’indices visuels par une focalisation sur des objets-clés (à la manière de Shyamalan), accentuant plus encore la fluidité du récit. Ainsi, la traque du monstre et des malfaiteurs par le très énervé Strickland est rythmée par les indices qu’a laissés naïvement Eliza derrière elle, trop occupée à garder en vie son amant, comme l’oeuf laissé au bord du bassin de monstre, ou encore le post-it accroché au mur de son appartement révélant la localisation de la bête convoitée. Pour ainsi dire, la manière dont se déroule le récit coule de source, et rappelle que Del Toro est un formidable conteur.
Formidable conteur donc, mais aussi grand plasticien. Par son camaïeu de bleu et vert saturés, la photographie exalte le merveilleux factice d’un continent qui mise pourtant tout sur l’apparence, comme en témoigne le disours publicitaire savamment ficelé d’un vendeur de voitures (toutes bleues), poussant ainsi Strickland à en acheter une pour légitimer son rang social. Si le vert est la couleur du progrès pour le colocataire d’Eliza (l’intitulé de la peinture qu’il transmet à son patron le souligne), il est aussi celle de la vase dans laquelle s’embourbe l’Amérique avec sa vision de la réussite sociale. Il serait pourtant réducteur de cantonner la direction artistique du film à sa seule fonction de satire. C’est en déployant sur le mur des intérieurs des reflets bleutés  que le cinéaste construit un monde en pleine liquéfaction. L’appartement d’Eliza est à ce point nimbé d’ambiances sous-marines qu’il en devient le refuge (certes provisoire) de l’amour qu’elle nourrit pour la créature, et réciproquement. Ce qui permet l’apparition de la plus merveilleuse scène du film (et donc la plus belle), à savoir l’enlacement d’Eliza et de la créature dans la salle de bain totalement submergée par l’eau. Alors, Del Toro parvient à créer un monde éthéré, partiellement étanche au monde extérieur qui menace l’unicité du couple.
Cette vision du monde aurait pu d’ailleurs être alourdie et noyée sous un flot de symboles véhiculés par les personnages du récit: Eliza est une femme de ménage handicapée aux origines hispaniques, sa collègue est noire, son colocataire homosexuel. Del Toro brosse un portrait si large et archétypale des marginalités qui composent le territoire américain, qu’il en vient par endroits à guider la compréhension du spectateur sur un récit a priori déjà simple. L’on comprend pourtant que cette exhaustivité doit se lire à la lumière des relations que ces personnages entretiennent individuellement à la créature. Celle-ci se trouve paradoxalement délestée de sa monstruosité pour devenir le reflet des minorités rejetées stigmatisées par la société américaine. Il n’est alors pas si étonnant de constater la faible présence du monstre durant presque la moitié du film, hormis au travers de la parole des humains, en hors-champ. Après tout, ce sont eux qui intéressent Del Toro, davantage que sa créature. En cela, le film touche juste.
2 mars 2018
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kitonmitons · 5 months
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my recent oc D’eliza (my icon) is my oc Seb’s current girlfriend. She’s a tiefling from the tiefling neighborhood of Baldur’s Gate, and she currently works as a sex worker at Sharess’s Caress. She loves her job and her coworkers. It was thru her job that she met Seb, who was a regular LMFAOOOO
She loves going out with her friends/coworkers after work and generally spreading love and good vibes to whoever she can. She’s very social and outgoing. She also loves her family in the city, her parents and siblings :)
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Tarnished Are the Stars
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Présentation :
En anglais, non traduit.
Titre original : Tarnished Are the Stars
Autrice : Rosiee Thor
Type d’ouvrage : Roman
Maison d’édition : Scholastic Press
Genre : Science-Fiction
Résumé :
A secret beats inside Anna Thatcher's chest: An illegal clockwork heart. Anna works cog by cog — donning the moniker Technician — to supply black market medical technology to the sick and injured, against the Commissioner's tyrannical laws.
Nathaniel Fremont, the Commissioner's son, has never had to fear the law. Determined to earn his father's respect, Nathaniel sets out to capture the Technician. But the more he learns about the outlaw, the more he questions whether his father's elusive affection is worth chasing at all.
Their game of cat and mouse takes an abrupt turn when Eliza, a skilled assassin and spy, arrives. Her mission is to learn the Commissioner's secrets at any cost — even if it means betraying her own heart.
When these uneasy allies discover the most dangerous secret of all, they must work together despite their differences and put an end to a deadly epidemic — before the Commissioner ends them first.
Représentation : MC aro-ace, MC bisexuelle, MC lesbienne
TW/CW : opération chirurgicale, meurtre d’un enfant, sang, mort, maladie, deuil, blessures, violences parentales (physiques et psychologiques)
L’avis du CLAAN :
Positif :
La couverture est sublime, avec des reflets fort esthétiques, ou pour citer un.e membre du CLAAN : “Il est joli donc il fera quand même pas dégueu dans ma bibliothèque.”
La représentation lesbienne n’est pas trop mal traitée.
Le niveau d’anglais est accessible.
Négatif :
L’univers dans lequel se déroule le roman est très peu décrit et jamais vraiment expliqué.
Les intrigues ainsi que le comportement des personnages présentent un grand nombre d’incohérences.
Le personnage d’Eliza fait un peu Mary Sue, on a du mal à s’y intéresser. Il y a également une grande différence entre la manière dont elle nous est présentée (c’est-à-dire une espionne assassine extrêmement douée et impitoyable) et ses actions (par exemple, enguirlander des nobles qui ont fait pénétrer des fleurs dans leur vaisseau sans autorisation, ou dévoiler ses plans très rapidement).
La représentation ace est maladroite et mal amenée (trop didactique, tranche avec le ton de la scène).
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acjournal06 · 5 years
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Vidéo Abstraite
1- Pendant un long moment, je n’avais absolument rien comme piste. Je pensais peut-être faire une vidéo dans le style de celle que j’ai analyser dans la publication précédente. Cependant, une création dans un style comme celle-ci aurait été trop ambitieux et trop difficiles. Après plusieurs réflexions, j’ai décidé d’aller vers un thème axé sur la nourriture ou la nutrition grâce à la grande sélection d’image à ma disposition.
2- Pour raffiner mon thème, j’ai choisi les fruits. Ce thème est très libre, mais contient des limites. Il est facile de trouver des vidéos sur le thème et offre une expérience visuelle intéressante grâce aux multiples couleurs.
3- Lors de la création de la vidéo, j’ai utilisé de nouvelles techniques comme l’utilisation de GIF afin de donner un deuxième visuel à la vidéo.
4- J’ai principalement utilisé des images de fruits et une image d’un garçon en costume de chef. Pour ce qui est des sons, j’ai utilisé des sons de GarageBand pour la musique et les instruments. J’ai aussi utilisé un son (yummy) que j’ai trouvé sur une banque de son en ligne et que j’ai converti pour pouvoir l’utiliser dans GarageBand.
5- Voir prochaine publication “Processus de la Vidéo”.
6- a) Je n’aime pas vraiment ma vidéo. Pour moi, elle ne semble pas être une vidéo abstraite, mais une vidéo avec une trame sonore comme celle faites l’année dernière. De plus, le thème ne semble pas si intéressant, surtout après avoir vu les créations des autres. La trame sonore est aussi très générique est n’est pas très complexes. J’aurai aimé trouver mon thème plus vite afin de pouvoir travailler plus sur les différents aspects de ma vidéo.
b) Je vais analyser la vidéo d’Eliza. Sa vidéo, selon moi, est très élaboré. En effet, elle a utiliser la techniques du GIF tout au long de son produit ce qui a dû prendre beaucoup de temps, mais a donné un effet très intéressant et créatif. De plus, j’adore le thème. 
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ownerzero · 5 years
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Les diplômés : Eliza Paddeu, la marque et le territoire
Chaque année, chez étapes:, nous proposons à l’automne un numéro spécial diplômes qui présente une sélection de projets de fin d’études réalisés par des étudiants en écoles d’art et de design. Dans le cadre de notre partenariat avec le Campus Fonderie de l’Image, nous publions une interview d’Eliza Paddeu, qui revient sur cette année cruciale […]
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Quote
Il était impossible de se promener ce jour-là. Le matin, nous avions erré pendant une heure dans le bosquet dépouillé de feuillages ; mais, depuis le dîner (quand il n’y avait personne, Mme Reed dînait de bonne heure), le vent glacé d’hiver avait amené avec lui des nuages si sombres et une pluie si pénétrante, qu’on ne pouvait songer à aucune excursion. J’en étais contente. Je n’ai jamais aimé les longues promenades, surtout par le froid, et c’était une chose douloureuse pour moi que de revenir à la nuit, les pieds et les mains gelés, le cœur attristé par les réprimandes de Bessie, la bonne d’enfants, et l’esprit humilié par la conscience de mon infériorité physique vis-à-vis d’Eliza, de John et de Georgiana Reed. Eliza, John et Georgiana étaient groupés dans le salon auprès de leur mère ; celle-ci, étendue sur un sofa au coin du feu, et entourée de ses préférés, qui pour le moment ne se  sur un sofa au coin du feu, et entourée de ses préférés, qui pour le moment ne se disputaient ni ne pleuraient, semblait parfaitement heureuse. Elle m’avait défendu de me joindre à leur groupe, en me disant qu’elle regrettait la nécessité où elle se trouvait de me tenir ainsi éloignée, mais que, jusqu’au moment où Bessie témoignerait de mes efforts pour me donner un caractère plus sociable et plus enfantin, des manières plus attrayantes, quelque chose de plus radieux, de plus ouvert et de plus naturel, elle ne pourrait pas m’accorder les mêmes privilèges qu’aux petits enfants joyeux et satisfaits. « Qu’est-ce que Bessie a encore rapporté sur moi ? demandai-je. — Jane, je n’aime pas qu’on me questionne ! D’ailleurs, il est mal à une enfant de traiter ainsi ses supérieurs. Asseyez-vous quelque part et restez en repos jusqu’au moment où vous pourrez parler raisonnablement. »
Charlotte Brontë - Jane Eyre Traduction par Mme Lesbazeilles Souvestre . Librairie Hachette et Cie, 1890 (pp. 1-5).
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vfmovies · 4 years
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Regarder Miss Scarlet, Détective privée en streaming VF
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Voir Miss Scarlet, Détective privée complet en franaçais, très bonne qualité et gratuit.
L’histoire d’Eliza Scarlet, la toute première femme détective, dans le Londres du 19e siècle. A ses côtés, l’Inspecteur William Wellington, alcoolique, joueur et coureur de jupons, aussi connu sous le nom du Duke.
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songedunenuitdete · 7 years
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Crush de Maya Banks
[Chronique de Bee] Crush de Maya Banks - Une lecture décevante; venant de Maya Banks, c'est très dommage.
Eliza Cummings n’a rien d’une demoiselle en détresse. Elle est déterminée, farouche et prête à tout pour empêcher le monstre qui a fait de son adolescence un enfer de frapper à nouveau. Wade Sterling n’a rien d’un héros. Il est arrogant, autoritaire et égoïste. Mais il n’aime pas du tout la lueur de panique qu’il surprend dans le regard d’Eliza. Car Eliza est à lui, corps et âme – il le sent dans…
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