#littérature young adult
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aforcedelire · 25 days ago
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Nous, Christelle Dabos
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La reine Christelle Dabos est de retour pour mon plus grand bonheur ! Cette fois, elle nous emmène dans une société dystopique et futuriste, où chacun fait partie d’une sorte d’intelligence collective appelée le Nous, qui régente tout. Au cœur du Nous, chacune et chacun a un Instinct, et l’Instinct sait où, quand et comment. Instinct de protection, Instinct de confident, Instinct nourricier, Instinct musical, Instinct de réparation… Goliath, un protecteur, n’a plus qu’une vie à sauver avant d’espérer devenir un Saint. Claire, elle, garde un secret qui pourrait bien tout envoyer en l’air.
Je trouve ce roman un peu compliqué à résumer et à expliquer… mais la vache, qu’est-ce que c’était bien ! Au début, j’avoue (comme avec La Passe-Miroir cela dit) j’ai eu du mal à rentrer dedans. L’univers riche et fourmillant, la multiplicité des personnages et des points de vue, les règles à appréhender… et puis comme avec La Passe-Miroir et Ici et seulement ici, le déclic. D’un coup, je me suis plongée dedans, j’ai retrouvé avec délice Claire et Goliath et tous les autres, et je tournais les pages avec avidité. C’est du grand Christelle Dabos, et c’est du pur bonheur.
J’ai beaucoup aimé cette création et cette multitudes d’Instincts, allant du plus petit (resserrer les vis de toutes sortes d’objets, par exemple) au plus imposant et abstrait. Au début ça me faisait un peu penser à Divergente, avec ces différentes « factions », mais c’est carrément plus que ça. J’ai beaucoup aimé voir ce nouveau monde se dessiner et prendre forme devant moi. Et puis : c’est une dystopie pour les (grands) ados, qui est en un seul tome. Dont l’histoire est complète et foisonnante. Et surtout, c’est ce genre de roman où à la fin tu repenses au début, et tu te dis « Il s’est passé tellement de choses et ils ont vécu tellement de choses, c’est fou que ça ne se soit passé qu’il y a 500 pages ». Les 100 dernières pages étaient DINGUES, définitivement ce Nous c’était un vrai bonheur à lire. L’ambiance vintage était folle, vraiment j’ai adoré.
Et puis surtout, j’ai vu un avis qui disait que c’était le Mea culpa de l’autrice pour la fin de LPM 4, et : oui.
18/11/2024 - 28/11/2024
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prosedumonde · 9 months ago
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Les tragédies n’arrivent qu’une fois, les souvenirs les revivent éternellement. 
Hafsah Faizal, Chasseurs de flamme t. 1 (We Hunt the Flames)
VO :
Tragedies happen once, memories relive them eternally.
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mari-g-auteur · 1 year ago
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Light novel
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nordiamus · 1 year ago
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Mon projet du moment!
Renaissance est un light novel de fantasy historique, type isekai/réincarnation. Des mentions de l'univers d'H2S, mon livre de JdR, sont présente, mais il n'est absolument pas nécessaire de le connaître pour lire l'histoire. Tous vos commentaires seront les bienvenus.
Actuellement publié sur l'Atelier des Auteurs!
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alouestriendenouveau · 24 days ago
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« Love Never Fails est tout à fait l’antithèse des dark romances », entretien avec Melissa Bellevigne
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Melissa Bellevigne, romancière française vivant en Angleterre, vient de sortir son dernier roman, Love Never Fails Side A, chez Albin Michel. Il narre l'histoire d'une jeune fille de 17 ans qui débute une relation avec son idole, une rock star, après avoir fugué de chez elle pour s’éloigner de sa famille toxique.
Bouleversant, parfois difficile à lire par les sujets abordés (violences conjugales, viol, suicide), ce roman dénonce les relations d’emprise, familiales et conjugales, devenant ainsi une véritable antithèse des dark romances.
J’ai eu l’occasion de rencontrer Melissa afin de lui poser des questions sur ce roman poignant, mais également plus largement sur son travail et son évolution personnelle.
- Love Never Fails est sorti peu de temps après 7 jours en Écosse, ton précédent roman. Il y a un contraste saisissant entre ces deux livres qui sont assez éloignés au niveau des thématiques et du traitement. Tu peux nous en dire plus ? Lequel as-tu écrit en premier ?
J'ai écrit Love Never Fails en premier. Le processus de publication a été différent pour les deux maisons d’édition chez lesquelles ils sont sortis. Pour tout te dire, mon éditrice chez Bragelonne est tombée amoureuse de ma plume en lisant le manuscrit de Love Never Fails. Elle était relativement déçue que le sujet soit totalement hors de leur ligne éditoriale. C’était beaucoup trop sombre et poignant, alors qu’elle dirige la collection Hauteville qui est feel good. Elle m’a demandé si j’avais dans mes tiroirs une autre idée de projet, qui correspondrait mieux à leur ligne éditoriale.
En 2022 je suis partie en Écosse toute seule pour la première fois, pendant un burn-out. C’est d’ailleurs, entre autres, ce qui m’a permis de m’en sortir je pense. Quand je suis revenue je me suis dit « il faut absolument que je raconte cette histoire ». C’est très romancé, mais comme dans tout ce que j’écris, il y a aussi beaucoup de vrai dans ce livre, parce que ça a été une sorte de voyage initiatique pour moi aussi, j’ai été bousculée par cette expérience. C’était assez intense comme voyage, comme Raiponce descendant de sa tour, je passais la moitié de mon temps à sauter de joie, et l’autre moitié à pleurer de culpabilité. Et c’est quelque chose que l’on retrouve dans le roman.
Love Never Fails est également inspiré d’émotions réelles, même si moins de faits réels que 7 jours en Écosse. Quoique sur le point de vue de la toxicité intrafamiliale, peu de choses ont été romancées malheureusement. Mais ce sont des expériences que j’ai vécu en tant qu’adolescente, donc des souvenirs qui sont moins proches forcément.
J’ai galéré avec des relations toxiques avec des pervers narcissiques comme on dit en France, en Angleterre on parle de personnes atteintes du trouble de la personnalité narcissique, je préfère ce terme. Le mot pervers implique une volonté de faire exprès, alors qu’en dépit du mal qu’on a pu me faire, je comprends les mécanismes qui ont mené ces gens-là à devenir tels qu’ils sont. La plupart du temps, ils ne se rendent pas compte du mal qu’ils font, c’est trop ancré dans leur personnalité.
L’idée de Love Never Fails m’est venue pendant cette période de burn-out que j’évoquais, avant de partir en Écosse. Il y a un jour où j’étais vraiment au fond du trou, toute seule en train de pleurer chez moi, et je me suis imaginée un personnage un peu flou, un Écossais ça c’était une évidence. C’est comme s’il était au pied du lit et qu’il me regardait en me disant « t’es encore en train de te demander pour la millième fois pourquoi t’as pas eu le cran de fuguer quand tu avais 16 ans ? Viens, je vais te montrer moi ce qu’il se serait passé si tu étais vraiment partie et que tu avais suivi un groupe de rock comme tu en rêvais »
Très vite son prénom, Mason, s’est imposé dans ma tête, je ne l’ai pas vraiment choisi. C’est un peu comme s’il me prenait par la main et m’emmenait dans une salle de cinéma vide, m’installait sur un siège et me disait « tu mets ton clavier sur les genoux et tu n’as qu’à retranscrire ce que tu regardes », ça m’a vraiment fait cet effet-là. Alors que 7 jours en Écosse était presque un carnet de route romancé. Très romancé, j’insiste, parce que je n’ai jamais croisé d’Alastair !
Avoir été comme plongée dans le noir à regarder une sorte de film de ma vie parallèle était une expérience très bizarre. Et en même temps je crois que j’en avais besoin pour me relever de certains traumatismes d’enfance et d’adolescence. Le contraste entre ces deux romans vient probablement du fait que les émotions exploitées dans Love Never Fails sont des émotions d’ado, et dans 7 jours en Écosse ce sont des émotions de mère, de femme active surchargée. Et honnêtement, à choisir entre les deux situations, je ne sais pas du tout laquelle est la plus confortable.
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- Paradoxalement on retrouve des éléments en commun dans ces deux romans, comme l'Écosse justement. Et même un personnage de 7 jours en Écosse qui fait une furtive apparition dans Love Never Fails… Il y a aussi l'incursion d'un personnage d'Enlève-moi, un autre de tes romans. C'est important pour toi de superposer légèrement les différents univers de tes romans en faisant des caméos de personnages d'autres univers ?
Oui, il y a toujours des crossovers entre mes romans, il y en a d’autres dans plusieurs autres de mes livres. D'ailleurs, Sam d'Enlève-moi fera plus qu'une apparition dans le tome 2 [Love Never Fails Side B, prévu pour avril 2025], il va être un personnage secondaire très important. On retrouve aussi la psy de ma duologie Paranoïa et Miroir dans mon roman London Calling.
Mon mari me fait souvent la vanne en disant que j’ai fait le MBU comme d’autres ont fait le MCU (Marvel Cinematic Universe). Ce sont des personnages auxquels je suis très attachée, ce n’est même pas de la nostalgie à ce stade, c’est que je ne veux pas lâcher prise, je les aime trop donc je veux les revoir !
C’est aussi une façon de tisser un lien assez durable avec mes lecteurs depuis le début. Si tu me lis depuis des années, tu sais ce qu’il advient de chaque personnage. Dans un de mes prochains livres, Alter Ego, qui devrait sortir au printemps 2026 chez Albin Michel, il y aura d’autres crossovers où on aura une idée de ce que sont devenus des personnages d'Enlève-moi et Love Never Fails 10 ans plus tard. Ça m’amuse beaucoup de faire ça !
Je tiens cette idée de Fred Vargas, dont je suis fan. Depuis le début des années 1990, elle met en sc��ne son personnage, Jean-Baptiste Adamsberg. Et si tu lis ses romans dans l’ordre chronologique, tu suis sa vie privée en filigrane. J’ai toujours trouvé ça formidable, à chaque fois j’ai l’impression de prendre des nouvelles d’un vieux pote.
- Dans Love Never Fails, tu dénonces les relations d'emprise, qu'elles soient familiales ou conjugales. Est-ce que pour toi c'est l'antithèse des dark romances, qui au contraire banalisent et romantisent ce type de relations ?
Absolument ! Mais ça n’a pas été un argument marketing parce que, jusqu’à il y a quelques temps, j’avais un peu peur d’exprimer cette opinion. Le journal Libération m’a justement proposé d’écrire un article qui a été publié le 27 novembre, dans le cadre d’une édition spéciale pour le Salon du Livre de Montreuil. Et j’ai choisi d’écrire sur les dark romances, ça a été le premier sujet auquel j’ai pensé, et j’avais d’ailleurs très peur qu’on me dise d’éviter car c’est aussi ce qui fait des best-sellers.
Donc Love Never Fails est tout à fait l’antithèse des dark romances, oui. Une part de moi est d’ailleurs franchement satisfaite de n’avoir eu que des garçons, car c’est un phénomène qui me terrifierait si j’étais maman de filles. Je prends un parti vraiment tranché dans le récit, dès les premières pages Mason dénonce tout de suite la relation d’emprise, et la poudre aux yeux que ça peut représenter.
J’ai fait pas mal de dédicaces ces derniers temps, et j’ai entendu des libraires être absolument scandalisés de voir des enfants, parfois de 13 ans, leur demander des dark romances. C’est vraiment dramatique. Mon livre, qui est pourtant engagé dans l’autre sens, est déconseillé avant 16 ans, ça me tient à cœur.
- Dans le roman il y a des trigger warning en début de certains chapitres, annoncés par un pictogramme de guitare électrique, pour prévenir que des thèmes difficiles vont être abordés. Tu y avais pensé dès l'écriture ?
Non, absolument pas. C’est très égoïste ce que je vais dire mais je n’écris jamais pour un public. J’écris toujours pour moi avant tout, autrement je ne suis pas capable d’être créative.
Ces trigger warnings sont venus plus tard. Il y avait des scènes dures dans le texte, et c’est dans les habitudes de l’éditeur de prévenir le lecteur. Et moi je me suis pliée volontiers à cette règle que je trouve parfaitement saine.
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- Dans ta vie précédente, tu avais une chaîne YouTube avec une direction artistique plutôt pastel, colorée, des sujets légers. Tu dis maintenant que tu masquais à ce moment-là ton vrai toi, ta noirceur, et que tu ne veux plus le faire. Est-ce que tu as des regrets à ce sujet ?
Absolument pas, non ! Le burn-out que j’ai fait n’était pas un burn-out parental, ni professionnel d’ailleurs, même si tout était lié. C’était un burn-out autistique. Et c’est parce que j’ai pété les plombs à ce moment-là que j’ai pu avoir une consultation avec un psychiatre, puis une chose en amenant une autre, j’ai été diagnostiquée autiste en mai 2022. Et je pense qu’il m’a fallu 2-3 semaines pour tout fermer.
Le masking est très typique de l’autiste non diagnostiqué, c’est-à-dire qu’on prend sur soi très longtemps, parfois pendant des décennies. En particulier les femmes, qui ont tendance à masquer énormément leur autisme, car on a le cuir un peu plus épais je pense et qu’on nous apprend très tôt à la fermer. Et c’est extrêmement courant au moment du diagnostic qu’un phénomène d’unmasking se produise aussi sec. C’est assez intense et pas forcément évident, déjà d’intégrer l’information du diagnostic, on est souvent dans le déni au départ.
Puis tu vis ta vie à l’envers, tu regardes le film dans l’autre sens et tu comprends beaucoup de choses. Du coup, tu arrêtes de faire des choses pour lesquelles tu as été conditionné. Moi je me suis toujours sentie illégitime de parler de rock, de noirceur, alors que c’était ce que je consommais le plus, mais personne ne le savait. J’avais tendance à ne pas le dire, et à ne parler que de la country que je pouvais écouter, à porter des vêtements pastel.
Ce n’est même pas que je portais des œillères ou que je n’y voyais pas clair, c’est juste que je n’avais pas conscience que j’avais été conditionnée depuis l’enfance à ne pas exprimer ce que j’avais comme besoins, ou mes goûts par exemple. Et le diagnostic a fait sauter tout ça d’un coup, ça a même été une explosion. Je n’en pouvais plus d’être une autre, j’avais besoin qu’on me voie telle que je suis.
Sur le coup, ça m’a mené à m’enfermer plus qu’autre chose, parce que j’avais besoin d’intégrer ça et de digérer toutes ces infos pour me sentir de nouveau légitime de revenir plus publiquement. Avec, finalement, une image qui paraît nouvelle pour tout le monde, alors que ça a toujours été ce que je pensais être à l’intérieur sans oser le dire. Tout a été réajusté, ma façon de voir mon couple, ma maternité, ma vie professionnelle. Ma plume est probablement la seule chose qui n’a pas tant évolué que ça, bien que je me lâche beaucoup plus qu’avant.
Je pense que les seules personnes qui m’ont toujours devinée telle que je suis sont celles qui lisaient mes romans. Hors de ce contexte j’étais toujours dans la douceur, fallait pas faire de vagues.
- Tu as d’ailleurs retiré tes vieilles vidéos YouTube. Tu ne veux plus qu’on voit cette facette de toi ?
Je pense qu’il y a effectivement une part de rejet, c’était pas moi donc je ne voulais plus que ce soit public. Mais il y a aussi le fait que j’ai vraiment besoin de me concentrer maintenant sur ce que j’ai toujours voulu faire de ma vie, à savoir être romancière.
Pendant des années, et jusqu’à il y a peu, quand je voyais mon nom sortir à propos d’une nouvelle parution on associait toujours ça à l’ancienne YouTubeuse ou blogueuse. Je sais que j’ai été influenceuse pendant plusieurs années, mais j’étais également déjà romancière et ça décrédibilisait énormément mon travail d’autrice. Parce que même s’il n’y a toujours eu que de très bons retours sur ma plume, les gens qui n’avaient pas lu partaient du principe que c’était forcément mauvais.
- À l'avenir est-ce qu'on va te retrouver avec des sujets aussi sombres, et peut-être tout aussi personnels ? Est-ce que c'est cathartique pour toi d'écrire sur ces sujets ?
Oui, puisque j’assume plus ma noirceur et que je pense être plus noire que solaire, forcément ce sont des thématiques qui vont revenir. Mon prochain roman, Alter Ego, va aussi aborder la thématique de la toxicité dans le couple, notamment la thématique assez touchy de la jeunesse qui s’éprend d’un homme plus mature, qui va user et abuser de son bagout et de sa position de force. Une relation d’emprise d’un autre type, moins franche mais plus pernicieuse.
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lire1x · 4 months ago
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Les coquillages ne s'ouvrent qu'en été de Clara Héraut
L’été tire rapidement vers sa fin. Les élèves belges et suisses francophones ont déjà repris le chemin de l’école, alors que les Français savourent encore les derniers instants de leurs congés estivaux. Certaines appellations laissent croire à tort que leur lecture est réservée à la période estivale, du 21 juin au 20 septembre. « Les coquillages ne s’ouvrent qu’en été », de Clara Héraut, fait…
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lebibliocosme · 1 year ago
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Le royaume de Pierre d'Angle, tome 1 : L'art du naufrage
Titre : L’art du naufrage Cycle/Série : Le royaume de Pierre d’Angle, tome 1 Auteur : Pascale Quiviger Éditeur : Rouergue / Folio SF Date de publication : 2019 / 2023 Synopsis : Après deux ans à sillonner les mers en compagnie de son équipage, le prince héritier Thibault se résigne à rentrer à Pierre d’Angle. Bientôt, il le sait, il sera appelé à régner sur ce royaume admiré de tous. Mais, lors…
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khaleesiofalicante · 5 months ago
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Hello Dani ,
I am exited to see the books you were recommended too because the whole concept of « race » is being more known in my country too just now and I am interested in learning more about from variés perspectives. I have been learning from an American point of view only. And even tough I am very cautious about my teachers and source materials, it’s always good to see a problem from all sides.
I am from Haiti , and even tough race was mentioned in regards to racism in certain topics when I was in school it was not discussed as a system because just like in your country, race is not part of our Identity.
It only seemed to have affected us on an international level with asinine ideas of IQ différence and it is such a weird idea to us since our existence is proof that it is all BS , we only learned of it through thé littérature of that time.
I did not fully identify as « Black «  even after going to school and working in the US for 10 years because I never fully understood the concept.
2020 brought me clarity and as a result I no longer live in the US 😂 - thank the Universe for that - these people are crazy.
Just like u I knew of the high level of testosterone in black women and I knew that they have been using as an excuse whenever they please as a weapon. When I read your analysis I understood it just like u did.
I understand the reason why you took the post down but I do think that we need to have more in depth nuance conversation in regards to posting information online and how to correct and amend old or incomplete information. Because to me , you taking it down is taking information away from a space that could have needed and it also could have been a véhicule for more information had the people with the added info had addressed it correctly, with the nuances that the situation asked for .
If we are to be a community, we have to not only be able to account for people s background/ location and limitations.
Yes u would have always been responsible to do more recherche but your post could have been a source for people who would not but would have still received info that other with more knowledge would have added more nuances to. It is not only your job as this the job of everyone in the global south (plus the non-melanined allies that are either doing the work or have done it )
Anyways - sorry for the essay - it just that the way that the current state of social media and the lack of nuances and any discourse online is just maddening to me and I want to concerver and protect this pocket of sanity you have created . 😘
Always feel free to rant, talk, and share in this space. You know that already, but just reminding you all anyway 😊
I'm really glad you brought up your experiences and perspectives. This ignorance you mentioned (among us and everyone else too in different ways) is so scary and dangerous. It's frustrating too.
We don’t learn about race (or even gender) in the classroom the way we should. At least, we don't where I live. These are real topics and are integral parts of our identities. They're also the root of much hate and violence, both online and offline. I wish our education systems would spend more time and resources helping young people understand these nuances better. While it's important for adults to be critical and self-educated, I think sustainable change starts with early education. Without that foundation, the damage becomes much harder to undo (I'm always advocating for education reform hehe)
I totally understand your point about taking down the post. I felt that many people were reblogging it without reading into the replies, where the actual conversation and critical thinking were happening, so it wasn't doing any good.
But to be completely transparent, I took it down because I was overwhelmed. I received over 20 hateful messages over the weekend, and I just wanted it to stop. It was impossible to have a constructive conversation about the topic (as we are doing now) while being constantly attacked. We need to give people the space to learn and opportunities to reevaluate. Otherwise, I'm not sure how we can expect change.
Online discourse can be maddening. Agreed! But conflict and discourse are good, they just need to be transformative. Conflict without transformation and learning just fuels more hate and violence, which is a lot of what we're seeing in the world right now (I was reading up on what's happening in the UK, and it's awful!!).
I know I can’t always protect this space from all of that, but when it does come up, I want it to be handled with care and responsibility. I'm responsible for the people here, and I want to ensure we create a space for meaningful, respectful dialogue.
So, thank you (and everyone else) for talking about it and sharing your experiences. I'm eternally grateful for it 💙
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elia-lo · 24 days ago
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« Quelqu’un avait tourné le bouton du volume à zéro. L’atmosphère se vidait, Inès elle-même se vidait : elle sentait ses cris, ses battements de cœur être un à un aspirés à l’intérieur du monstre ; c’était une impression vertigineuse, celle de retourner dans le ventre du monde… Dé-naître. Puis le voile s’obscurcit, la lumière vacilla à son tour, et –»
Inès et Tristan sont deux jeunes ados qui, alors qu'iels sont en vacances au camping avec leur famille, basculent par mégarde dans le monde de Bordeterre. Dans cet univers parallèle au leur, iels découvrent des créatures aux trois yeux effrayants, des gens plus ou moins transparents et des chants qui ont le pouvoir de modifier la réalité. Et bien sûr, le mystérieux et terrifiant lac Zéro, un morceau du néant qui sépare les deux mondes...
Peu après leur arrivée, Inès et Tristan prennent chacun.e des chemins très différents : Inès prend le nom d'Ignace Dulac et devient l'apprenti d'un aristocrate, tandis que Tristan devient le bras droit d'une jeune femme aux idéaux révolutionnaires. Mais, chose étrange, le frère et la sœur commencent petit à petit à oublier leur vie d'avant, leur famille, et, surtout, à s'oublier mutuellement.
Bordeterre est le premier roman de Julia Thévenot. Paru aux éditions Sarbacane en 2020, ce livre s'adresse à un public jeunesse/young adult, à partir de 14 ans. Julia Thévenot déroule son univers avec une plume poétique - où l'on reconnaît certaines influences, notamment Christelle Dabos - et pleine de musicalité. C'est là, de mon point de vue, le point fort du roman : un univers original et bien ficelé. Le worldbuilding est très pointu, mais laisse tout de même la place à la rêverie et au mystère. Le système de magie basé sur le chant (ses paroles, mais aussi sa musique), le quartz et les étranges esprits aux trois yeux permet au roman de se démarquer parmi les nombreux titres de littérature imaginaire destinés aux adolescent.e.s.
Si j'ai eu un peu de mal à rentrer dans la narration au début, dès que l'intrigue bascule en Bordeterre (dès que l'intrigue "déborde"), je me suis tout de suite vue accrochée à l'histoire. J'ai beaucoup aimé la place importante de la musique et du chant dans l'univers.
Le rythme est assez intense, surtout dans la deuxième partie du roman. J'ai tout de même été déçue par la fin qui présente une conclusion trop rapide et facile à mon goût. Mais, puisqu'il s'agit d'un premier roman et que nous sommes dans le domaine de la littérature young adult, je peux passer sur cela.
Néanmoins, quelques points m'ont gêné au cours de ma lecture et ont quelque peu terni le plaisir que j'ai pu prendre pendant la lecture.
Premièrement, Tristan a été pensé comme autiste par l'autrice. Une caractérisation bienvenue sur le papier mais qui a du mal à s'exprimer correctement. Le personnage de Tristan tombe facilement dans la caricature, ce qui fait de lui - en quelque sorte - le diagnostic parfait, comme s'il cochait toutes les cases. (Ce n'est pas pour dire que de telles personnes n'existe pas : l'autisme est un spectre et il y a autant de formes d'autisme qu'il y a de personnes autistes. Cependant, il est un peu triste de constater qu'il s'agit toujours des mêmes types de personnages qui sont mis en lumière.) Sa neurodivergence et les particularités qui l'accompagnent sont vues comme des obstacles à "dépasser", notamment son bégaiement qui finit par disparaître grâce au pouvoir de ~l'amour~. J'ai trouvé cela dommage, c'est assez rare d'avoir des personnages principaux qui bégaient. Mais dès que Tristan commence à avoir des responsabilités et est pris au sérieux, son élocution devient parfaite.
Deuxième point qui m'a posé problème : la caractérisation d'Inès est très inconsistante. Le personnage est tantôt présenté comme une enfant insouciante, une femme mature et réfléchie, et une ado rebelle, sans qu'une réelle cohérence ne soit nouée entre ces aspects de sa personnalité.
Ensuite, un petit point qui m'a fait tiquer à plusieurs reprises. La différence d'âge entre Aïssa et ses "love interests" n'est jamais abordée. Du haut de ses vingt deux ans, elle a quatre ans d'écart avec Adelphe et six avec Tristan (les deux garçons ayant respectivement dix-huit et seize ans). À ces âges là (surtout dans le cas de Tristan), cet écart est loin d'être négligeable. Cependant, le sujet n'est jamais réellement amené, encore moins questionné.
Pour continuer sur le sujet d'Aïssa, il est regrettable que l'autrice se laisse facilement tomber dans des "tropes" racistes. Pour le cas d'Aïssa, une femme noire, on retrouve le stéréotype de la "angry black woman" : Aïssa est en colère, assoiffée de vengeance et ne cherche pas à s'en cacher. Parfois, elle est décrite comme se rapprochant d'un animal.
« Aïssa, comme une panthère, bondissait sur lui, presque les yeux fermés. » partie III, chapitre 56.
Au delà de cet aspect ensauvageant, le problème de la sexualisation excessive des femmes racisées est également présent. Parmi les différents personnages féminins, Aïssa et Alma sont les deux seules à être décrites comme racisées. Ce sont également les deux seules dont la sexualité est mentionnée. Ces deux femmes sont sans cesse ramenées à leurs corps, dans une vision sexualisée à outrance, avec un arrière goût d'orientalisme et d'exotisme. C'est encore plus le cas pour Alma.
Alma est grosse, ce qui est un point positif car on a assez peu de personnages gros. Cependant, Alma est constamment caractérisée par son poids. Le livre nous balance au visage de la grossophobie gratuite. On comprend bien que nous ne sommes pas censé.e.s adhérer à ces propos, mais rien n'est jamais dit de positif sur l'apparence physique d'Alma, ou alors il s'agit de compliments en demi-teinte.
« Elle est très jolie. Pourtant elle est grosse. Mais c’est son visage qui est joli. » partie II, chapitre 29.
« Celle-là a un beau visage, mais elle est vraiment trop grosse. » partie III, chapitre 35.
Enfin, j'ai trouvé l'acte final bien trop précipité et la résolution de l'intrigue trop "simple". Encore une fois, nous sommes en littérature jeunesse, donc je laisse passer ce genre de défauts. J'ai trouvé au cours de ma lecture que le récit avait quelques problèmes de rythmes, donc cette fin que j'ai trouvé un peu bâclée n'a pas été une surprise.
Pour conclure ce petit compte rendu, j'ai tout de même aimé Bordeterre. L'univers est riche et intéressant, il est prenant. Malgré les points faibles cités plus haut, ce premier roman jeunesse sait se faire apprécier. Si comme moi vous arrivez à passer outre ces petits impairs, vous trouverez en Bordeterre une lecture agréable et entraînante.
Retrouvez Bordeterre sur le site des éditions Sarbacane :
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lapassiondeslivres · 1 month ago
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Irréelle. Étrange. Surprenante. Cette histoire est entraînante et pleine de péripéties étonnantes. Un roman avec un suspense intense, des personnages intrigants et de la magie insolite.
Une histoire originale. Un Young Adult (littérature jeunesse) ÉTONNANT, étrange et insolite. Un roman parfait pour l’Halloween. J’ai passé un bon moment avec Allan et sa famille…
#PactedeSang #roman #famille #héritage #maléfice #morts #magie #suggestiondelecture #lecturedumoment #lecturedusoir #chronique #servicepresse
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scififr · 8 months ago
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The traitor’s son, par Dave Duncan (Shadowpaw press, mai 2024)
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Sur une planète à peine habitable où les survivants d’un vaisseau-arche ont mis en place une société féodale, un dissident politique exilé avec sa famille dans une colonie pénitentiaire minière est finalement assassiné. Son jeune et brillant fils se lance dans la longue quête de la vengeance de son père et de la libération de la société.
Un roman d’aventures assez plaisant à placer dans catégorie « young adult ».
Sur le même thème (l’équipage qui se dote du pouvoir absolu et qui domine les colons) il faut évidemment relire le chef d’œuvre du genre, et de la littérature en général, « Lord of Light » !
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aforcedelire · 5 months ago
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My Lady Jane, Cynthia Hand, Brodi Ashton & Jodi Meadows
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J’ai adoré et dévoré la série, du coup je voulais absolument lire le livre, et devinez quoi ? C’ÉTAIT ENCORE MIEUX. Pour celles et ceux au fond (et qui hésiteraient, foncez), My Lady Jane se passe en 1553 en Angleterre. Le roi Edward VI, fils de Henry VIII (celui avec ses six femmes), est mourant ; il décide de nommer sa cousine, lady Jane Grey, comme héritière du trône. (Dans la vraie vie, lady Jane Grey a gouverné l’Angleterre 9 jours avant d’être décapitée. Ici… vous verrez !) Sauf que Jane est plus intéressée par ses livres que par la couronne. Mais ce n’est pas tout : une femme ne peut pas gouverner seule ; du coup, on la marie à lord Gifford Dudley, qui a la fâcheuse tendance de se transformer en cheval au lever du jour. Oui, parce que ici, certains humains ont le pouvoir de se transformer en animaux (on les appelle les Ethians), et sont persécutés pour ça. Bref, voilà donc Jane à la tête du royaume, avec un mari homme la nuit et cheval le jour, et des tas de personnes qui ne veulent pas la voir sur le trône. À commencer par Mary Tudor, la sœur d’Edward…
Bon vous avez dû le comprendre dès le début du post, mais j’ai BEAUCOUP TROP AIMÉ. C’était trop trop bien. Déjà, j’ai adoré le mélange entre historique et fantasy… Mais surtout, c’est un roman extrêmement DRÔLE ! C’est super original, et aussi très ludique ; moi qui aime beaucoup l’histoire des reines et des rois, je ne connaissais pas celle de lady Jane Grey et j’ai été ravie de la découvrir, surtout sous ce prisme ! J’ai aussi beaucoup aimé avoir les trois points de vue différents, de Jane, de Gifford et d’Edward.
En plus, il y a une petite romance qui va bien et qui se met en place doucement, et qui m’a RAVIE. J’ai adoré la relation entre Jane et Gifford, j’ai adoré Gifford, et j’ai adoré Jane. Elle déboîte et elle est vraiment cool !
C’est différent de la série (ils ont supprimé et rajouté des choses, il y avait des personnages en plus dans le livre, et des motivations différentes), et j’ai trouvé ça super intéressant d’avoir vu la série et lu le livre. Et pour le coup, pour celleux qui hésitent, vraiment lisez-le et regardez-la. Ça se complète très bien !
Dès 14 ans.
23/07/2024 - 30/07/2024
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prosedumonde · 11 months ago
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« Elle est terrible, la mémoire des morts. Méfiez-vous de la nuit où ils rêvent encore. Car dans leur coeur se trouve un souvenir qui dort… - Celui d’un coeur qui a battu trop fort » 
Shelby Mahurin, Gods & Monsters, t.3
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mari-g-auteur · 10 months ago
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Si vous aimez les romans de fantasy peuplés de démons et de monstres en tout genre, je vous conseille de vous rendre sur Amazon / Kobo / Google Books / iBooks ou autre, et de jeter un oeil à mon roman, Azrael Black - Le Dernier Démon.
Initialement sorti en 2021, Azrael Black - le Dernier Démon, est un roman qui narre l'histoire d'Azrael, le seul et unique démon encore en vie. Forcé de cacher sa vraie nature en se faisant passer pour un nécromancien, afin de ne pas se faire massacrer ou ostraciser davantage, Azrael chasse des monstres pour survivre. Il peut, heureusement, compter sur Michael Valentine, un lycan, et son compagnon de toujours.
Un jour, alors qu'il se rend au bureau des quêtes dans l'espoir d'y trouver du travail, Azrael est pris à parti par un homme mystérieux qui lui révèle qu'il connaît sa vraie nature.
S'ensuit alors un odieux chantage.
Si Azrael veut garder sa nature secrète, il devra tuer quelqu'un.
Azrael devra donc choisir entre sacrifier une vie... Ou son identité.
Prix : 0,99 centimes
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nordiamus · 1 year ago
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Rowan ar Ro'han
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Espèce : Faë de la Cour du Printemps Date de Naissance : 21 Avril 1897 Yeux : vert sapin Cheveux : roux Apparence générale : comme tous les Faës, il a oreilles pointues, orientées vers l'arrière de son crâne. En tant que membre de la Cour du Printemps, il a des ailes diaphanes et irisées, s'apparentant à celles des libellules. Ses cheveux sont généralement attachés en tresses compliquées, traditionnelles des Faës.
Roman ar Ro'han est le fils unique d'Alan et Eithne ar Ro'han, kont et kontez Bro San Brieg(1). Il a pendant un temps complexé d'avoir plus hérité de sa mère, Originaire des Royaumes-Unis, que de son père, dont il était appelé à prendre la suite. Rencontrer Loarwenn ar C'hastel lui a permis d'apprendre à apprécier ses propres qualités, et développer son talent plutôt que de tenter d'émuler son père. Il est à la fois le meilleur ami et le rival de Loarwenn, que ce soit sur le plan académique, magique, ou dans le maniement des armes.
1 Kont: comte Kontez: comtesse Bro San Brieg: comté de Saint Brieuc (littéralement pays de Saint Brieuc)
(image généré par Imagine)
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Mini-chroniques d'octobre 2023
Hello les koalas ! Je profite de mon jour de congé pour vous parler de mes lectures d’octobre qui furent très satisfaisantes. Il y en a pour tous les goûts aujourd’hui ! Du jeunesse avec Mémoires de la forêt, un peu de Young Adult Fantasy avec Vanja et le loup et enfin de la littérature adulte avec Jolis Jolis Monstres que j’ai lu lors de mon citytrip à Rome. Lequel vous tente le plus parmi ces…
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