#atelier des auteurs
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Mon projet du moment!
Renaissance est un light novel de fantasy historique, type isekai/réincarnation. Des mentions de l'univers d'H2S, mon livre de JdR, sont présente, mais il n'est absolument pas nécessaire de le connaître pour lire l'histoire. Tous vos commentaires seront les bienvenus.
Actuellement publié sur l'Atelier des Auteurs!
#isekai#historic fantasy#light novel#réincarnation#hippogryphe saoul#young adult#atelier des auteurs#autrice#H2S Nobilia#literature#french literature#french#roman français#lecture#littérature#littérature française#écrivaine#roman jeunesse
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FAUNES FESTIVAL MICRO ÉDITIONS CO-ORGANISATION 2022
ORGANISATION DU FAUNES FESTIVAL 2022
Plaidoyer :
Avec mes acolytes de Conquêtes et La Poule rouge édition, nous avons décidé de faire un festival éclectique et dédié aux savoir faire, du DIY de la microédition.
Plus que jamais la micro édition doit créer des évènements à sa juste valeur pour faire vivre ses acteurs. Les acteurs et les créateurs de ce mouvement permettent d’illustrer la société avec des points de vue différents que ceux de la norme et nous en avons plus que besoin aujourd’hui.
Nous avions envie de faire un évènement qui rassemble et qui montre la richesse de la micro-édition: auteurs, bédéistes, fanzineux, illustrateurs, sérigraphes, linograveurs, brodeurs, dessinateurs… avec des genres variés (SF, Policier, Aventure, Queer, LGBT, Satirique, Rock, Trash…). Le public villeurbannais sera surpris le temps d’un week-end par cet éclectisme et pourra mieux connaître les acteurs de ce mouvement alternatif dans un lieu avec des valeurs comme l’économie circulaire et la promotion de l’artisanat en ville.
Nous avons choisi pour cette édition :
Inivité(e)s:
Atelier Mira / Atelier Garage / Cerise Lacastagne/ Collectif Encre-en-ciel / Douce Ecchymoz/ Editions Tanibis / Emre Orhun / Hangar éditions / Jenni Noisy (les bruits silencieux) / Kurbix / Les Ciseaux Fanzine / Ladel street art / Nissa Kool / Simon Rateau / Téo Transine /Marguerin / Papier Charbon / Carriola editions/ La revue des muses / Ladel street art et Super Marché noir
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LE VÉLO DE BRIGITTE (CHABEUIL, DRÔME) EST AUSSI UNE BELLE OEUVRE D’ART BRUT.
D’ordinaire, Brigitte roule en vélo dans Chabeuil (Drôme) sur la drôle de machine, qu’on voit ici, compliquée et très ornementée. J’ai dû lui demander d’en descendre pour en tirer le portrait ; Brigitte a accepté en souriant, de très bonne grâce.
Brigitte roule au pas, vraiment lentement, et ne quitte pas le centre ville et ses maigres pistes réservées, le plus souvent étroites et accidentées ; ce jour-là, elle allait faire ses courses au super marché, sur la grande route de Valence, encore un peu dans le village. Faut faire gaffe tout de même, ça roule vite...Mais Brigitte va toujours au pas...
Sa machine est belle et bien tenue, pleine de peluches et de gri-gris, hérissée de rétroviseurs aux effets miroitants et éclairée par une imposante lampe à piles attachée sous le panier d’avant. Pas difficile : ‘faut tout démonter pour changer les piles...C’est un jeune du village qui me l’a installée...’ Sur ce panier, elle peut rabattre une planchette taillée à la mesure : une sorte de tablette, très astucieuse. L’auvent qui protège Brigitte de la pluie ou du soleil est formé d’un plastique alvéolé, léger mais rigide, qui couvre l’ensemble du véhicule jusqu’à l’aplomb de la roue avant. Trois parois bâchées encadrent la selle et l’arrière est orné de splendides bandes réfléchissantes de sécurité, rouges et blanches , disposées sur toute la hauteur de la machine. L’ensemble, posé et fixé sur une plate forme arrière, forme un abri, une hutte confortable, une guérite qui se déplace avec précaution, complète et rassurante, protégée du monde extérieur et peut-être aussi des voitures, par ses fétiches.
Brigitte est active dans la ville : elle aide à la distribution des nombreux colis d’entraide que distribue une association locale dévouée à soulager les difficultés des pauvres à Chabeuil et alentours. Aussi elle participe avec assiduité à un atelier de peinture amateure et je connais deux collectionneurs chabeuillois qui lui ont acheté de petites toiles très bien composées, et qui les exposent en bonne place chez eux.
L’expression n’est guère satisfaisante, et sujette à bien des incompréhensions, mais les toiles de Brigitte, tout comme son vélo, c’est de l’’art brut’. De l’art à part entière qu’on appelle aussi l’art des outsiders tant sont perceptibles les difficultés existentielles de leurs auteurs. Ces artistes ont un grand musée, très beau et intriguant, à Lausanne, et un autre à Montpellier, où on peut admirer leurs oeuvres étranges, rêveuses (ou cauchemardesques) ou torturées, où on trouve justement ces oeuvres ‘brutes’ qui, d’ailleurs, montrent très souvent des avions, des locomotives, des voitures, et des vélos, toute sorte de machines. Bref, l’art brut s’occupe beaucoup de transport (et aussi d’armements, de plans de ville, d’architecture...), une sous spécialité, en somme, qui semble occuper beaucoup ces ‘outsiders’ qui composent comme mécaniquement leur oeuvre de détails et d’obsessions...
Dans cette chronique dédiée aux ‘luftmensch’ (si toutefois ces mots : ‘gens de l’air’... permet de mieux comprendre ce qu’ils sont...), j’ai déjà montré de ces vélos à la fois surchargés de vie et pleins de légèreté, un à Crémone en Italie, et deux autres à Valence. Voici donc maintenant celui de Brigitte, un croquis de fantaisie, amicalement brossé pour lui recommander encore une fois d’être prudente...On comprend en effet trop bien que les automobilistes chabeuillois ne sont pas tous sensibles à l’art brut, pas assez en tous cas pour passer au large du beau vélo de Brigitte......
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“Cette enfant est un génie !”: Mademoiselle Mozart de Yôji Fukuyama
« Mademoiselle Mozart… » avais-je lu sur Twitter, intriguée, début janvier. Ayant la tête dans d’autres mangas, d’autres sorties, je l’avais occulté jusqu’à le rencontrer de nouveau en librairie. Non seulement je trouvais le titre intrigant, mais en plus il y avait cette couverture que je trouvais tout aussi intrigante. J’ai tout de suite beaucoup aimé ce personnage à l’air un peu pantois, dont on a su capturer l’instant de la surprise. Pour autant, je n’achète pas car il faut savoir être raisonnable. Les jours passent, j’y pense et j’y repense encore. Au diable l’avarice, je me précipite en librairie pour acheter et enfin découvrir ce qui se cache derrière ce « Mademoiselle Mozart ».
Et si Mozart avait été une femme ? C’est avec cette idée en tête que Yôji Fukuyama se lance ici dans une biographie imaginaire du célèbre virtuose-compositeur Mozart. Devant le prodigieux talent de sa benjamine, Élisabeth, Léopold Mozart décide de faire d’elle Wolfgang Amadeus Mozart. Les mœurs du XVIIIe siècle ne permettant pas au génie féminin d’être reconnu à sa juste valeur. Désormais jeune homme, Mozart est déjà extraordinairement populaire à Vienne, aussi bien auprès de l’empereur Joseph II qu’auprès des femmes et des hommes. Mais Mozart doit garder une distance afin que son secret demeure. Pourtant, celui-ci est rapidement découvert par le compositeur de la cour, Antonio Salieri. De plus, Mozart s’éprend de la jeune Constance… Qu’adviendra-t-il de son secret ? Qu’adviendra-t-il de Wolfgang Amadeus Mozart ?
Mademoiselle Mozart est un manga de Yôji Fukuyama publié entre 1989 et 1990 dans les pages du magazine Morning. Rencontrant un formidable succès, le manga est adapté en comédie musicale en 1991 par la compagnie théâtrale Ongakuza puis en 2021 par la Toho. Bénéficiant de quatre éditions, c’est la dernière en date qu’ont choisie les éditions Atelier Akatombo pour publier le manga en France. Mademoiselle Mozart est disponible en librairie pour un prix de 10,80€.
Comme mentionné plus haut, Mademoiselle Mozart est une biographie imaginaire. Le terme de « biographie imaginaire » est paradoxal. La « biographie » implique de restituer des faits historiques réels, c’est un travail d’historien, de scientifique. Tandis que l’ « imaginaire » implique la fiction, le travail d’un artiste. C’est un genre littéraire que j’aime beaucoup car il permet de raconter d’une nouvelle manière une histoire que l’on connaît déjà. Il permet aux auteurs, autrices, mangakas, de prendre des libertés sur le réel, de le tordre, d’en faire ce qu’on veut afin d’en ressortir une fiction à part entière, un véritable travail d’artiste. On peut citer Innocent, Le Requiem du Roi des Roses ou encore Miss Hokusai. On peut aussi citer La Rose de Versailles, Thermae Romae ou Sakuran, qui relatent les vies de personnages fictifs afin de faire parler l’époque dans laquelle ils sont inscrits. Si j’aime la biographie imaginaire, c’est aussi parce que c’est un genre qui, en introduisant de la fiction dans le réel, autorise le manque de rigueur, les petits anachronismes afin de nous plonger dans une période historique fantasmée, afin de nous faire rêver. La biographie imaginaire est aussi intéressante car à travers son propre paradoxe, elle fait aussi ressortir celui du personnage biographé. En choisissant Mozart, Yôji Fukuyama fait un choix intéressant. On connaît tous Mozart: un jeune prodige à l’oreille absolue qui se produit dès son plus jeune âge un peu partout en Europe, qui compose nombre d’opéras que l’on joue encore, et pour finalement connaître une mort mystérieuse à seulement 35 ans. Mozart est déjà un personnage extraordinaire. L’idée de l’imaginer comme ayant été une femme renforce d’autant plus ce côté extraordinaire, hors-normes. Cette idée permet de rendre le récit (fictif) de sa vie encore plus passionnant que celui qu’on lui connaît déjà. Grâce à ce nouvel élément surprenant, j’ai dévoré le manga. J’avais constamment envie de savoir la suite. Que va faire Mozart ? Comment va-t-il s’en sortir ? Va-t-il réussir à garder son secret ? Comment est-ce que le mangaka va raconter son mariage ? Puis sa paternité ? Bien sûr, le mangaka fait intervenir divers personnages de la vie de Mozart d’une manière différente à celle de la réalité historique, dont ses assistants, dont Antonio Salieri. Pour Yôji Fukuyama, la vie de Mozart est un terrain de jeu aux multiples possibles, et pour nous, lecteurs et lectrices, un jeu auquel il est passionnant d’assister.
Contrairement à plusieurs des autres mangas mentionnés plus haut, Yôji Fukuyama opte pour un ton plutôt comique pour raconter la vie de Mozart. Ce ton un peu badin est tout à fait à l’image du personnage principal. Ce Mozart est excentrique, grossier aussi bien dans ses actes que dans ses paroles (particulièrement dans ses blagues scato), et n’a aucun filtre. On retrouve le caractère comique du manga dans le trait du mangaka. Il est léger, simple, clair et très expressif. Ces qualités se reflètent aussi dans le découpage des planches. Quoique Yôji Fukuyama nous surprend avec des formes, agencements et superpositions de cases venant casser le côté parfois presque trop simple de sa narration. Ces quelques moments viennent rythmer le récit, empêchant l’ennui de se faufiler entre les cases, et permettent de mettre en exergue divers passages importants de la vie de ce Mozart. Peut-être à l’image des compositions du virtuose qui ne laissent aucune place à la routine et qui arrivent à constamment surprendre en leur sein même ?
Gauche: Chassé-croisé de cases. Mozart s’éloigne dans son fiacre tandis que Salieri reste, enragé.
Droite: Que t’arrive-t-il Mozart ? Où vas-tu ?
J’ai beaucoup aimé le Mozart de Mademoiselle Mozart, j’ai aimé la dualité des genres dans ce personnage. Ici, Mozart est une femme ayant grandi comme un homme. Elle ne correspond absolument pas à ce qu’on attend d’une jeune fille de son époque, mais elle ne correspond pas non plus aux critères que l’on attend d’une jeune fille à l’époque du manga. Comme évoqué plus haut, Mozart est excentrique et grossière, complètement naturelle, sans aucun filtre. L’exact opposé de ce que peut attendre la société d’une jeune fille. Mademoiselle Mozart ne se plie jamais aux rôles de genre. Bien sûr, c’est sa condition d’homme qui lui permet ça dans le récit. Malgré tout, ce personnage est une véritable bouffée d’air frais. Plus tard dans le récit, une bascule s’opère. Alors qu’on pense à utiliser la dichotomie homme/femme pour Mademoiselle Mozart, il devient peut-être plus exact que celle-ci s’articule autour du genre et du « non-genre ». Évidemment, le talent et la personnalité de Mozart transcendent le genre, masculin ou féminin, mais ses amours aussi. Iel (sortons les pronoms appropriés !) est autant amoureux.se de Constance qu’iel n’est pas insensible aux avances de Salieri. Mademoiselle Mozart n’est ni homme ni femme, peut-être les deux à la fois, iel est autant Wolfgang qu’Élisabeth, iel est juste Mozart. Cependant, Yôji Fukuyama n’amorce aucune réflexion dans ce sens, et ne cherche pas du tout à se montrer engagé. J’ai trouvé ce côté accidentellement (?) queer, impulsif et spontané, intéressant et très amusant. Mozart en est d’autant plus énigmatique, insaisissable.
Pour évoquer quelques mots sur l’objet, c’est un manga que je trouve très réussi. Si la quatrième de couverture mérite sûrement un résumé, la maquette est plutôt réussie, sans aucune fioriture. Le rouge de la jaquette est beau, c’est ce qu’aurait mérité Yasha chez Panini. La couverture du livre est légèrement plastifiée, ce qui m’a été agréable en lisant ce petit pavé de plus de 500 pages. Oui, je fais partie des gens qui lisent sans jaquette. Le papier est bien blanc, peu transparent, épais, les noirs sont profonds, aucun moirage. Je suis aussi très contente du format 12x18, idéal pour le dessin et le découpage assez simples de Yôji Fukuyama. Je suis prête à parier qu’il aurait été en grand format chez d’autres éditeurs. Enfin, évidemment, son prix est imbattable: 10,80€ pour 500 pages dont une couleur. Avec un tel rapport qualité prix, ce livre me fait beaucoup penser à ce que propose l’éditeur italien J-POP. Mademoiselle Mozart est donc une très bonne surprise sur tous les plans.
Pour conclure, Mademoiselle Mozart est un manga surprenant malgré son apparente légèreté. Il m’a passionné, il m’a fait rire, et surtout, il m’a fait découvrir Mozart d’une façon unique en son genre. Bien sûr, je connaissais Mozart, mais de loin uniquement. C’est aussi un manga qui fait preuve d’une grande inventivité même avec ses nombreuses ressemblances avec un certain film sorti en 1984. Ayant enfin découvert ce qui se cachait derrière ce « Mademoiselle Mozart », j’espère et je pense m’en souvenir pendant longtemps tellement je ressors de ma lecture avec le sentiment d’avoir passé un bon moment. Par ailleurs, Yôji Fukuyama est l’auteur d’un manga nommé Don Giovanni, une adaptation de l’opéra du même nom. Comme nous avons eu la chance qu’il soit publié en France, je devrais probablement me pencher dessus très bientôt…
C’est tout pour moi aujourd’hui. J’espère que cet article vous a plu et qu’il vous a donné envie de lire à votre tour Mademoiselle Mozart. Dans tous les cas, merci beaucoup de m’avoir lu jusqu’au bout. Comme d’habitude, on se retrouve sur Twitter, mais aussi sur ko-fi où vous pouvez faire don à partir d’un euro ou acheter un super marque-page à 4€, frais de port inclus, pour soutenir le financement d’un futur site La Mangasserie ! Des bisous !
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Atelier-conférence : les mystères de la Déesse dans l'art et la mythologie
Depuis la nuit des temps, des groupes humains , des civilisations entières, ont cherché à transmettre, à travers l’art et des rituels, des symboles qui représenteraient l’un des plus grands mystères pour l’humanité : l’énergie féminine divine et la sagesse qu’elle renferme à travers l’archétype de la Déesse-Mère. Manly P.Hall, auteur sur la mythologie et la spiritualité affirmait : «Quand…
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04/09 au 31/10 Sabrina Auclair (invitation à réfléchir QUEER ?)
Lisant le programme de la Maison des écritures de La Rochelle, je repérais la résidence d’une artiste canadienne, Sabrina Auclair, présentée comme artiste et femme « queer » : Sabrina Auclair, fière artiste féministe et queer, est comédienne, autrice et metteure en scène basée à Montréal. Avec sa pièce Pluie acide, qui a été présentée lors du Festival St-Ambroise de Montréal en 2022, Sabrina a remporté les prix de « L’artiste francophone la plus prometteuse » ainsi que celui du « Texte le plus prometteur » au prix Frankies remis par la Fringe cette année-là. Elle a eu le grand bonheur de participer à un atelier-résidence d'écriture en Guadeloupe au printemps 2023 et d'y retourner cette année pour le Jamais Lu Caraïbes. C'est grâce à cette résidence que le projet traité pendant sa résidence à la Rochelle, "Y'es-tu trop tard pour apprendre à aimer les écureuils" a vu le jour. Sabrina travaille également à l'écriture d'un tout premier recueil de poésie inspiré du roman On the Road de Jack Kerouac.
Une résidence co-portée par le CEAD (centre des auteurs dramatiques) au Québec.
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Philipe Fournier de l’atelier 49 création est récemment venu en repérage pour la future édition de son guide du Haut-Anjou Sud Mayenne. À cette occasion Il a réalisé ce beau reportage. Un grand merci à lui
Film du château et des jardins de La Montchevalleraie en Haut-Anjou par Philipe Fournier Auteur / atelier 49 création Juillet 2024
#Anjou#anjouBleu#chateau#ChateauGontier#jardin#journeesdupatrimoine#LaMontchevalleraie#Loire valley#MaineEtLoire#patrimoine#patrimoine historique#segré#vidéo#vmf
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Transformez votre quotidien avec l'Hygiène Naturelle Infantile : consultation spécialisée
Vous êtes prêts à embarquer dans l'aventure de l'Hygiène Naturelle Infantile (HNI) ou avez des questions sur cette pratique révolutionnaire ? Notre consultation individuelle est la solution parfaite pour vous !
Pourquoi choisir notre consultation ?
Un soutien personnalisé : En visio ou par téléphone, bénéficiez d'une heure d'échanges pour discuter de votre quotidien et trouver des solutions adaptées à votre famille. Que vous débutiez ou que vous pratiquiez déjà l'HNI, notre soutien spécialisé vous permettra de prendre du recul, de mieux comprendre les signaux de votre bébé et d'adopter une approche qui respecte son développement et vos limites.
Des solutions pratiques : Apprenez comment pratiquer l'HNI même en hiver, comment positionner bébé sur le pot, ou encore comment intégrer l'HNI la nuit sans épuisement. Nos conseils sont concrets et applicables, conçus pour s'adapter à vos besoins spécifiques.
Une approche naturelle et écologique : L'HNI n'est pas seulement une alternative aux couches traditionnelles. C'est une méthode qui renforce le lien parent-enfant en vous aidant à mieux comprendre et répondre aux besoins de votre bébé. De plus, elle s'harmonise parfaitement avec l'utilisation de couches lavables et des systèmes astucieux et minimalistes. Une accompagnante expérimentée : Christina, maman de 4 enfants, accompagne les parents à travers ces ateliers depuis 2006. Formée par Signe Avec Moi, Faber et Mazlish (Roseline Roy), Association Française de Portage des Bébés. Créatrice de vêtements et accessoires dédiés à l'hygiène naturelle infantile et la continence des bébés, auteure du Guide HNI, et fondatrice de la marque Ecopitchoun. Elle a pratiqué le bébé lotus et l'isothérapie placentaire.
Pourquoi nous faire confiance ?
Expertise et expérience : Chez Ecopitchoun, nous accompagnons les familles depuis 2004. De nombreux parents nous ont fait confiance pour les guider dans l'adoption de l'HNI. Nous vous offrons une expertise reconnue et des années d'expérience pour vous assurer un accompagnement de qualité.
Un nouveau monde de communication : Découvrez une nouvelle dimension de communication avec votre bébé grâce à l'HNI. Cette pratique vous offre une compréhension plus profonde des signaux de votre enfant, ce qui peut transformer votre relation et faciliter la parentalité.
Comment ça marche ?
Réservez votre consultation dès maintenant et profitez d'une heure dédiée à discuter de vos préoccupations et à recevoir des conseils personnalisés. Que vous ayez des questions spécifiques sur le rythme de votre bébé, les grandes étapes de l'HNI, ou les meilleures pratiques pour les nuits, nous sommes là pour vous aider.
Rejoignez la communauté de parents éclairés et soucieux de l'environnement avec Ecopitchoun. Laissez-nous vous montrer comment l'HNI peut enrichir votre vie de famille et créer un lien encore plus fort avec votre enfant.
Réservez votre consultation aujourd'hui et faites le premier pas vers une parentalité naturelle et respectueuse !
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Un aperçu de l'évènement ENTREZ C'EST OUVERT 2024 : Vernissage à la Halle Roublot, puis portes ouvertes de mon atelier pendant les 3 jours du week-end de Pentecôte. Pour cette édition, j'avais invité l'artiste Rémi PELLETIER à exposer chez moi. MERCI aux très nombreux visiteurs qui sont passés me voir et à la ville de Fontenay-sous-Bois pour l'organisation de cet évènement riche en rencontres et découvertes !
Découvrez plus d'oeuvres sur mon site : Yaume-c, vente de dessins originaux et auteur du livre Séquences vives
#exposition#vernissage#portes ouvertes#artistes#évènement culturel#culture#art actuel#art contemporain#atelier d'artiste#Youtube
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02–05–24 Une exposition se tient dans un atelier d’artiste situé à côté du mien. Une espèce de vieux tronc d’arbre allongé dont on ne sait s’il est constitué de bois ou de terre, trône au milieu, supporté par des tréteaux. Une collègue me souffle le nom de son auteur, un nom à consonance nordique que je ne connais pas. Elle s’étonne de mon ignorance qui s’amplifie à mesure qu’elle égrène les noms des auteurs des autres œuvres accrochées. Je me sens honteuse. Aussi, quand vient le moment où la question de déjeuner tous ensemble surgit, je prétexte que je dois travailler dans mon atelier pour me désister. Mais comme il est déjà tard, le patron de la crêperie, appelé au téléphone pour réserver une table, accepte de prolonger le service à condition que nous soyons onze. Je suis la onzième, alors je me résous à les accompagner.
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Quelles menaces pèsent sur la faune et la flore de France hexagonale et de Corse ? Un éclairage à partir de la Liste rouge nationale - Publications scientifiques du Muséum national d'Histoire natur...
See on Scoop.it - EntomoNews
En France métropolitaine, 5 grandes pressions pèsent sur la faune et la flore : la disparition des habitats est en tête. Découvrez la 1re cartographie de 642 espèces menacées à partir de 1,7 millions de données d' occurrence
Publié le 17 avril 2024
Publications scientifiques du Muséum national d'Histoire naturelle https://sciencepress.mnhn.fr/sites/default/files/articles/pdf/naturae2024a7.pdf
"La Liste rouge nationale (LRN) est une démarche collaborative d’évaluation du risque d’extinction des espèces sur le territoire français selon la méthodologie de l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).
Entre 2008 et 2020, 6 700 espèces réparties en 11 chapitres ont été évaluées, et 700 sont considérées comme menacées.
Les auteurs ont bancarisé et harmonisé les catégories de menaces identifiées lors des ateliers selon la classification des menaces directes de l’UICN, afin de proposer une analyse des activités et des processus d’origine humaine ayant un impact négatif sur les espèces menacées de France hexagonale et de Corse. La disparition de leurs milieux de vie due à l’urbanisation, au développement industriel, à l’agriculture, à la production d’énergie, aux exploitations minières et aux modifications du système naturel apparaît comme la principale menace qui pèse sur les espèces terrestres.
Pour les espèces inféodées au milieu marin, les résultats de la Liste rouge nationale en métropole mettent en évidence les prélèvements comme la principale menace directe ou indirecte. Cet article présente également une carte de la répartition des espèces menacées en France hexagonale et en Corse à partir de 1,7 millions de données d’occurrence de l’INPN. Celle-ci met en évidence l’importance de la région méditerranéenne (en particulier du sud-est), des massifs montagneux et des vallées comme celles de la Loire et du Rhône.
Cette carte n’a pas l’ambition d’être exhaustive, notamment en raison de l’hétérogénéité du niveau de connaissance, mais doit contribuer à l’identification de secteurs à fort enjeu de conservation à l’échelle nationale.
Enfin, ce travail inclut à titre exploratoire, une analyse des patrons de distribution des espèces impactées par la pollution et l’enfrichement afin de diagnostiquer les zones potentiellement plus sensibles.
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NDÉ
via Muséum national d'Histoire naturelle sur X, 19.04.2024
https://twitter.com/Le_Museum/status/1781286178068533602
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Mercredi 10 avril 2024
Concerts et prise de sang
Jolie surprise l'autre soir peu après avoir posté mon dernier récit de ce journal, un internaute anonyme a laissé un commentaire adorable et flatteur, commentaire que je ne répéterais pas ici, ce serait un crime d'égocentrisme et de narcissisme. Merci à toi, qui que tu sois !
J'ai reçu il y a plusieurs jours l'un des plus beaux cadeaux que l'on m'ait jamais fait, le jouet ultime pour moi, quelque chose dont je rêvais depuis des années : un piano.
Il trône, triomphant et blanc, dans ma chambre, et j'espère qu'il m'accompagnera durant de nombreuses années. J'espère aussi qu'il me permettra d'écrire de bien jolies chansons. C'est un piano numérique avec des touches lestées dont le toucher est semblable à un vrai piano. J'y retrouve les mêmes sensations que lorsque je joue sur un vrai piano. C'est fantastique ! Merci maman et papa !
Je traverse en ce moment encore et toujours une période de mélancolie, ça va et ça vient, il y a des jours où je me trouve désespéré et puis il y a des journées positives, comme celle d'aujourd'hui où je vois la lumière, au fond. Je ne comprends pas trop ce qu'il se passe dans ma tête, mais, en bon soldat, je continue de gober toutes ces pilules qu'on me prescrit en me disant que ça ira...
L'autre jour, Ed Piskor, un dessinateur que je suivais sur les réseaux sociaux depuis des années, s'est donné la mort. Ca faisait suite à une campagne de harcèlement après quelques témoignages parus à son encontre. Rien de très grave, des histoires de dragues sur les réseaux sociaux, Ed Piskor n'a pas pu résister à la pression et à l'humiliation (il a été traité de pédophile pour avoir envoyé des messages à des filles de 17 balais!) et il a mis fin à ses jours, victime de cette cancel culture que j'exècre.
Décidément, c'est une sale période pour les dessinateurs, vous en conviendrez, vous qui me lisez, puis que j'ai déjà évoqué ces derniers moi les disparitions de Joe Matt et Akira Toriyama.
L'autre jour je suis sorti rejoindre Justine en ville pour aller assister à un concert dans un bar. Il faisait beau, les gens étaient gais, en attendant mon amie sur un banc je les ai observés et ça m'a rendu triste de voir les couples se promener, les filles jolies, je leur en voulait presque parce que moi je demeure seul pendant qu'ils vont, main dans la main (jouer ici une fameuse chanson de Françoise Hardy)...
Finalement Justine est arrivée et nous avons retrouvé le bar dans lequel le concert était prévu. Là, j'ai perdu mon spleen, il était si bon de parler avec mes amies ! Canel nous a rejoins plus tard. Le concert s'est déroulé et je l'ai observé d'une certaine distance, debout, contre un mur, pour supporter la douleur. Il faisait chaud et j'ai fini par sentir couler des perles de sueur dans mon dos, c'était désagréable. Heureusement, le concert n'était pas trop long :il s'agissait d'un jeune groupe anglais, the Silver Lines, ils n'ont pas encore sorti d'album mais ils ont, je trouve, énormément de potentiel. Le chanteur m'a rappelé Johnny Rotten ou Liam Gallagher, il y avait une vraie énergie punk, ces petits gars (il n'ont pas l'air d'avoir plus de 22 piges) n'ont rien à envier aux Arctic Monkeys (surtout ceux de maintenant, avec leurs concepts album foireux et prétentieux). Après le concert nous avons filés dans un bar boire un dernier verre et puis nous nous sommes séparés et Canel a eu la gentillesse de me ramener chez moi. Bilan : bonne soirée, à refaire.
Le lendemain, samedi, je me suis levé tôt, ce qui n'est pas une mince affaire, en ce qui me concerne. Je m'étais inscrit, à l'initiative d'Arthur, à un atelier nommé « Artiste, auteur, autoproduction », atelier ayant lieu à Clermont-Ferrand, au pôle musique.
Selon le tract, ça devait durer 7 heures, de 10 heures du matin à 17 heures. Je n'étais pas, je l'avoue, le plus motivé pour y aller, effrayé par la longueur de l'événement.
Mais j'ai tenu à y assister ne serait ce que pour ne pas lâcher Arthur.
L'atelier était animé par une professionnelle, ingénieure du son, entre autres, ayant une expérience de plus de trente ans de métier, elle a travaillé notamment avec Marianne Faithfull, Barbara ou encore Jean-Louis Aubert (ce n'est pas elle qui l'a dit, elle eu la modestie d'éviter le name dropping, j'ai appris tout ça en me renseignant sur internet).
Nous étions une dizaine à assister à cet atelier, dont plusieurs jeunes rappeurs et autres beatmakers. Arthur et moi étions les seuls rockers, sans surprise, puisque nous sommes en 2024.
Finalement, l'atelier était loin d'être inintéressant et, même si je n'ai pas pris de notes, j'ai appris des choses, pas de regret d'y avoir consacré ma journée.
Le lendemain, j'enchaînais avec la foire au disque annuelle de Gerzat.
J'ai retrouvé Justine et Arthur et après avoir englouti un repas de fast food, nous somme allé dans la salle des fêtes où se tenait l'événement. J'ignore combien de temps nous sommes restés, mais au bout d'un moment, inévitablement, j'ai commencé à souffrir du dos et des jambes, ce qui n'a pas contribué à gâcher mon plaisir, toutefois. J'en suis sorti avec 7 cds (du Kinks, du Led Zeppelin, du Dylan, du Nick Cave, du Doors et du Frank Black) et un vinyle de David Bowie (Station To Station) que j'ai acheté pour offrir à mon amie Amina.
Arthur et Justine ne sont pas repartis bredouilles non plus, c'était donc un après-midi réussi.
Mon spleen m'a repris entre temps et je l'ai combattu en passant des heures sur Tinder, la perspective de rencontrer toutes ces jolies femmes étant la seule chose qui
m'aident à voir une lumière au bout de ce foutu tunnel. Elles sont LE remède. La beauté est ce vers quoi je trouverai le salut ! C'est aussi une source de motivation. J'ai d'ailleurs mis en fond d'écran de mon téléphone une très belle photo de la jeune Monica Bellucci, ainsi, j'ai la beauté à portée de main et ça m'est très utile lorsque je me prend à broyer du noir. Un coup d'oeil et l'espoir reviens. Enfin, c'est ce que j'espère.
Hier soir je suis allé en ville retrouver un pote de Twitter, Maxence.
Je l'avais déjà croisé une fois auparavant, lors du concert de Woody Allen l'an dernier, il m'avait reconnu (puisque j'ai cette tendance à afficher ma sale tronche partout sur internet) et nous avions échangés quelques mots.
Aujourd'hui il se trouvait à Clermont-Ferrand et il m'a écrit, et nous nous sommes vus. Nous avons bus un verre et discutés et continué la conversation autour d'un repas mexicain. Nous avons parlé de littérature, de concerts et aussi un peu des filles (nous avions un crush en commun).
Le lendemain, c'est à dire aujourd'hui lorsque j'écris ces lignes, j'ai dû me lever à 6 heures du matin parce qu'un infirmier est venu me faire une prise de sang. En effet, j'ai été consulter le docteur le jour d'avant, pour lui parler de mes problèmes de souffle court. Il m'a examiné et m'a donc fait faire une prise de sang et prendre rendez-vous chez un cardiologue. Je craignais beaucoup cette foutue prise de sang parce que je n'aime ni la vue du sang et ni les aiguilles. Finalement, tout s'est passé très vite, j'ai à peine eu le temps de voir l'infirmier, j'ai tourné la tête lorsqu'il a pris mon sang et en un éclair tout était déjà terminé.
Et puis dans la journée, Paul, mon neveu, est venu passer l'après-midi à la maison.
Il a monté un set de Lego avec une efficacité étonnante pour un gosse de son âge.
Et puis moi, je suis parti dans ma chambre rejoindre Morphée parce que je n'ai pas l'habitude de me lever à 6 heures, normalement, je me couche à cette heure là !
Voilà tout pour aujourd'hui, merci de me lire chers lecteurs !
Bande son : On The Beach, Neil Young
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Les ombres de la Margeride - Florence Metge
Ils sont huit : huit auteurs débutants en quête de publication et de reconnaissance. Cet été, ils participent à un atelier d’écriture animé par une célèbre romancière au cœur de la Margeride. Ils découvrent des paysages sublimes et sauvages et travaillent sur leurs projets littéraires, évoluant entre fiction, histoire locale et légendes terrifiantes. Source d’inspiration, le territoire est peuplé d’ombres et de mystères : le géant Gargantua, les fées malicieuses, les verriers de la manufacture royale abandonnée, la bête du Gévaudan, le sulfureux comte de Morangiès, les résidents du château-asile de Saint-Alban, les barons de Randon, la poudrière du lac de Charpal, les militaires de Fortunio, les maquisards du mont Mouchet, Léo Ferré et sa Baraque du Cheval mort ainsi que les nombreuses victimes des tourmentes hivernales… À ce sombre passé viennent s’ajouter aujourd’hui des disparitions inquiétantes. Les auteurs en herbe sont-ils en danger ? De toute évidence, certains d’entre eux ne sont pas venus en Margeride que pour écrire… (Re)découvrez la Margeride avec ce roman qui réjouira les amateurs de Cluedo et de secrets.
Avant de se consacrer à l’écriture, Florence Metge a travaillé dans le monde de la communication scientifique. Elle a écrit cinq romans et contribué à une dizaine de recueils de nouvelles. Ses genres littéraires de prédilection sont le suspense et le thriller. L’histoire et la géographie tiennent une place importante dans ses récits. Le Gévaudan et sa bête lui ont inspiré plusieurs livres. Après « Meurtres en Aubrac » (2023), « Les ombres de la Margeride » mêle intrigues, enquête policière, psychologie, histoire locale et légendes. Retrouvez toute l’actualité de l’auteur sur Facebook et Babelio.
ISBN : 979-10-310-1452-4 11,5 X 17, 376 pages, 16,00 €
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François-Paul Cherrier publie aux éditions Spinelle l’ouvrage “Parviendrais-je à vous le dire ?”. Rencontre.
Passionné d’écriture, l’Agathois François-Paul Cherrier a passé une grande partie de sa vie à traveiller sur Paris, tout en vivant à Sète et Agde. Rencontre avec cet auteur, artiste qui prône la poésie vécue comme source de toute création et qui vient de publier Parviendrais-je à vous le dire?, aux éditions Spinelle.
Racontez-nous votre carrière.
Je suis passionné par la lecture d’essais philosophiques, de poésie et d’écriture. Mais mon tout premier métier était architecte, jusqu’à l’âge de 30 ans environ.
C’est un parcours atypique, non ?
Oui et surtout une coupure énorme avec la guerre d’Algérie et les événements de mai 68. Comme beaucoup, je voulais du changement, tout bougeait. J’avais dans mes cartons un projet d’édition que j’ai présenté à Hachette, qui a plu immédiatement. Et ce livre, "Trésors cachés", s’est vendu en deux tirages à 26 000 exemplaires.
Quelle est la particularité de cet ouvrage ?
J’ai voulu démontrer dans ce livre que dans l’enseignement, il y avait une erreur : celle d’inciter les jeunes à voir en deux dimensions alors que moi, toutes les études que j’avais faites, on m’avait appris à voir en trois dimensions et cela était colossal.
Votre biographie est riche en événements...
En 2006 par exemple, avec Odile Beaulieux, j’ai animé un atelier de poésie à la demande de l’ambassade de France à Vientiane, au Laos. J’ai pris en charge le poste de directeur de collection aux éditions Hachette pendant une quinzaine d’années.
Vous avez encore des projet qui vous tiennent à cœur ?
Lire bien sûr, mais avec encore dans un coin de ma tête avec un partenaire un important projet dans l’édition, bien sûr.
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Dédicaces et échanges
Pierre Roeder, auteur, présentera ses trois derniers récits de vie :
Aurélie (« Larmes de service »), Philippe (« Confidences d’un pudique ») et Pascal (« Là d’où je viens »).
Samedi 2 mars à partir de 17h30.
En présence d'Aurélie, Philippe et Pascal, Maurice Rausch proposera un échange autour du parcours de chacun, sur le besoin de le revisiter, de le raconter et d'en faire, avec la complicité de l'auteur, à chaque fois, un livre.
La soirée se terminera par un pot, simple et joyeux.
Atelier Ste Croix des arts
Jean Marie Wunderlich Philippe Buiatti
2 rue des écoles Metz
Quartier piéton
Crédit photo : Mélanie Kochert
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Les auteurs Robert Lalonde et Jonathan Harnois offrent des ateliers de création littéraire à North Hatley #Massawippi from Winston McQuade on Vimeo.
LE CULTUREL 2.0 avec Winston McQuade : Robert Lalonde, artiste d’exception de même que l’auteur Jonathan Harnois offrent des ateliers d’écriture dans le décor bucolique de North Hatley. On écoute Robert pour les détails... #artsculturemassawippi
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