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My Lady Jane, Cynthia Hand, Brodi Ashton & Jodi Meadows
J’ai adoré et dévoré la série, du coup je voulais absolument lire le livre, et devinez quoi ? C’ÉTAIT ENCORE MIEUX. Pour celles et ceux au fond (et qui hésiteraient, foncez), My Lady Jane se passe en 1553 en Angleterre. Le roi Edward VI, fils de Henry VIII (celui avec ses six femmes), est mourant ; il décide de nommer sa cousine, lady Jane Grey, comme héritière du trône. (Dans la vraie vie, lady Jane Grey a gouverné l’Angleterre 9 jours avant d’être décapitée. Ici… vous verrez !) Sauf que Jane est plus intéressée par ses livres que par la couronne. Mais ce n’est pas tout : une femme ne peut pas gouverner seule ; du coup, on la marie à lord Gifford Dudley, qui a la fâcheuse tendance de se transformer en cheval au lever du jour. Oui, parce que ici, certains humains ont le pouvoir de se transformer en animaux (on les appelle les Ethians), et sont persécutés pour ça. Bref, voilà donc Jane à la tête du royaume, avec un mari homme la nuit et cheval le jour, et des tas de personnes qui ne veulent pas la voir sur le trône. À commencer par Mary Tudor, la sœur d’Edward…
Bon vous avez dû le comprendre dès le début du post, mais j’ai BEAUCOUP TROP AIMÉ. C’était trop trop bien. Déjà, j’ai adoré le mélange entre historique et fantasy… Mais surtout, c’est un roman extrêmement DRÔLE ! C’est super original, et aussi très ludique ; moi qui aime beaucoup l’histoire des reines et des rois, je ne connaissais pas celle de lady Jane Grey et j’ai été ravie de la découvrir, surtout sous ce prisme ! J’ai aussi beaucoup aimé avoir les trois points de vue différents, de Jane, de Gifford et d’Edward.
En plus, il y a une petite romance qui va bien et qui se met en place doucement, et qui m’a RAVIE. J’ai adoré la relation entre Jane et Gifford, j’ai adoré Gifford, et j’ai adoré Jane. Elle déboîte et elle est vraiment cool !
C’est différent de la série (ils ont supprimé et rajouté des choses, il y avait des personnages en plus dans le livre, et des motivations différentes), et j’ai trouvé ça super intéressant d’avoir vu la série et lu le livre. Et pour le coup, pour celleux qui hésitent, vraiment lisez-le et regardez-la. Ça se complète très bien !
Dès 14 ans.
23/07/2024 - 30/07/2024
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L'appel du vide de Marin Ledun
L’appel du vide de Marin Ledun – Editions Rageot L’appel du vide de Marin Ledun, présentation Paul est en 5ème, il a 13 ans. Il a un petit frère, Adam, de 8 ans; Paul est sportif mais il a peur du vide. Ce sont bientôt les vacances d’été et il souhaite passer du temps avec sa meilleure amie, Lia, qu’il considère comme sa petite amie car ils se sont déjà embrassés. Paul est puni par sa mère et…
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Défier la Nuit de Brigid Kemmerer
Mon avis : Pour cette nouvelle trilogie, nous faisons la connaissance de Tessa et Corrick qui vivent dans le royaume de Kandala. Notre héroïne est une rebelle qui s’insurge contre les démonstrations de forces et la cruauté du Prince Corrick. Dans une ambiance noire et cruelle où la mort est omniprésente, Tessa essaie de venir en aide à son prochain. Pour cela, elle a l’appui de Wes un jeune…
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5 Books I Saved in June
My summer expectations upended – again! But when the books sound this good, how can I complain? No Trouble At All | Cursed Morsels Press Politeness is the glue that holds society together. We are all expected to do our part—a pressure ripe with horror. Rotten, even. Whether we adhere to this contract or defy it, there are consequences. These fifteen stories respond to promises made for us,…
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La dernière amazone: une aventurière sous la plume d'Estelle Faye
Des bas fonds d’Athènes aux contrées lointaines, en passant par les Enfers, La dernière Amazone nous embarque aux côtés de Lysia, accompagnée de Méduse, Hélène et tant d’autres. Avec un regard contemporain, Estelle Faye revisite la mythologie sous un autre angle, avec un regard féminin et féministe. Continue reading La dernière amazone: une aventurière sous la plume d’Estelle Faye
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Le choix littéraire de Sab en live -“Nous les surhumains” de J.M. Erre aux éditions rageot.
J’aime à dire qu’on n’a pas deux fois l’occasion, de faire une première impression.En même temps peut-être ne doit-on pas s’entêter sur une première impression mitigée. Ce jour-là on n’était pas dans ses baskets, levée du pied gauche, mal digéré, du coup mal dormi.Bref on vous a conseillé un livre, trop drôle, un auteur à retenir , Et puis vous, ça ne marche pas, ça ne passe pas, vous ne riez pas…
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‘My Love’ (1925).
French illustrator René Vincent (1879-1936) for ‘La Vie Parisienne’ magazine. René Vincent was a French illustrator, painter and poster designer. Prevalent in the 1920s-1930s, he worked in the popular Art Deco style. His illustrations helped define early 20th-century advertising, birthing countless imitators and admirers alike. Tintin creator, Hergé, cited René Vincent as an inspiration.
He created perfect worlds with glamour fashionistas in luxury settings, partaking in jolly pastimes. His characters were vibrant and confident. Which in turn attracted many fashion and lifestyle periodicals such as La Vie Parisienne, Femina, Le Rire, and Fantasio. Interestingly, he went under a few pseudonyms, Rene Mael, Rageot and Dufour, allowing him to change style freely.
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Il la suivit, les yeux brillants. Il l'avait tenue dans ses bras, avait senti la douceur sauvage de sa peau et celle, brûlante, de ses lèvres. Son corps, son cœur et son âme étaient imprégnés de son parfum.
Rien ne serait plus jamais comme avant.
Le Pacte des Marchombres, tome 2 : Ellana, l'envol - Pierre Bottero (2008, Rageot)
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📚 Plongez dans Le défi de Yaran d’Estelle Faye, une aventure où l’héroïsme se redéfinit à travers traditions et nature. Un roman jeunesse incontournable publié chez Rageot ! 🌟
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Le T2 de L’École de Minuit « Démon en fuite» de Maëlle Desard sort aujourd’hui chez Rageot Editeur. Design et illustration by me (again). 🙂
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Le Bureau des Affaires non résolues – Efface-moi ! par Christophe GUILLAUMOT
édition Rageot – 288 pages Présentation de l’éditeur : Toulouse. Au Bureau des Affaires non résolues, Gaspard, 16 ans, propose au capitaine Ruben Arcega de rouvrir un cold case. Au lycée, Garance l’a supplié d’enquêter sur la disparition de sa cousine Candice onze ans plus tôt… A l’époque, un serial killer surnommé l’Effaceur par les […]Le Bureau des Affaires non résolues – Efface-moi ! par…
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Partageons mon rendez-vous lectures #23-2024 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Norferville de Franck Thilliez Norferville de Franck Thilliez – Editions Fleuve noir La punition qu’elle mérite d’Elizabeth George. La punition qu’elle mérite d’Elizabeth George – Editions Pocket L’appel du vide de Marin Ledun L’appel du vide de Marin Ledun – Editions Rageot En lecture, Hiver arctique d’Arnaldur Indridason Hiver arctique…
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〈Lecture〉 Éliott et la bibliothèque fabuleuse - Pascaline Nolot
Éditions Rageot (2019) Pour échapper à la terrible Charlie de l’école, Éliott se cache à la bibliothèque. Il ouvre un bon livre et s’endort ! À son réveil, la bibliothèque s’est métamorphosée. Une organisation secrète, l’armée des rats mécaniques, pousse des chariots de livres malades dans les travées sous les ordres d’un chat autoritaire. Mais le voilà accusé d’espionnage ! Pour ne pas voir…
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Ancient Egyptians used exotic oils from distant lands to make mummies
https://sciencespies.com/humans/ancient-egyptians-used-exotic-oils-from-distant-lands-to-make-mummies/
Ancient Egyptians used exotic oils from distant lands to make mummies
A workshop used for mummification at Saqqara in Egypt contains remnants of the substances used to make mummies, revealing many came from southern Africa or South-East Asia
Humans 1 February 2023
By Michael Marshall
Illustration of the underground embalming workshop in Saqqara in ancient Egypt
Nikola Nevenov
An underground workshop found at an ancient Egyptian burial site contains ceramic vessels with traces of the substances used to make mummies. They include resins obtained from as far away as India and South-East Asia, indicating that ancient Egyptians engaged in long-distance trade.
“We could identify a large diversity of substances which were used by the embalmers,” says Maxime Rageot at the University of Tübingen in Germany. “Few of them were locally available.”
The workshop, dating from around 600 BC, was discovered in 2016 at Saqqara, which was the burial ground of Egyptian royalty and elites for centuries. “It was used as an elite cemetery from the very earliest moment of the Egyptian state,” says Elaine Sullivan at the University of California, Santa Cruz, who wasn’t involved in the study.
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Close to the pyramid of Unas, archaeologists led by Ramadan Hussein, also at the University of Tübingen, found two vertical shafts dug into the ground. One was 13 metres deep and led to the embalming workshop, while the other was 30 metres deep and led to burial chambers. Hussein died in 2022.
It is the first Egyptian embalming workshop to be found underground, says team member Susanne Beck at the University of Tübingen. This may have been to keep the process secret, but it also had the advantage of keeping decaying bodies cool.
In the workshop, the team found 121 beakers and bowls. Many were labelled: sometimes with instructions like “to put on his head”, sometimes with names of embalming substances and sometimes with administrator titles.
Vessels from the embalming workshop
© Saqqara Saite Tombs Project, University of Tübingen, Tübingen, Germany.
The researchers chose the nine beakers and 22 bowls with the most legible labels for analysis. They studied the chemical residues left in the bowls to find out what substances had been used during embalming and mummification.
A host of substances, including plant oils, tars, resins and animal fats, were discovered. Two examples were cedar oil and heated beeswax. Many of the substances were known to be used in mummification, but some were new.
One new substance was dammar, a gum-like resin obtained from trees in India and South-East Asia. The name “dammar” is a Malay word.
The team also found elemi: a pale yellow resin resembling honey that comes from trees in the rainforests of South Asia and southern Africa.
The dammar and elemi show that Egyptian embalming drove early globalisation, says Philipp Stockhammer at Ludwig Maximilian University in Munich, Germany, another member of the team. “You really needed to transport these resins over large distances.” It fits with other evidence of long-distance trade at the time.
The ancient Egyptian elite liked exotic goods as much as modern capitalists, says Sullivan. At times when the state was powerful and organised, “we see a great interest in the outside world and in connections to the outside world and bringing those things from the outside world together”.
Stockhammer and Sullivan both say that the substances were transported by chains of traders. “The Egyptians don’t have to be going to the eastern side of India themselves,” says Sullivan.
The researchers were also able to translate two new words. Many texts on mummification refer to antiu and sefet. The former had been tentatively translated as “myrrh” or “incense”, and the latter as “a sacred oil”. However, because they were written on pieces of pottery with residue inside, it was possible to identify them. It turns out antiu is a mixture of oils or tars from conifers. Meanwhile, sefet is an unguent – an ointment or lubricant – containing plant additives.
Many of the substances had antibacterial and antifungal properties, and were combined into elaborate mixtures. For Stockhammer, the complexity of the substances displays “enormous personal knowledge that was accumulated through these centuries of experience of embalming human individuals”.
That fits with textual evidence that priests tasked with embalming were important people with considerable skill, says Sullivan. “They would have needed to have a lot of ritual knowledge and a lot of material knowledge,” she says. The body had to be preserved physically and rites had to be performed correctly according to the Egyptian religion. It was “both a spiritual and physical practice”.
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Le choix littéraire de Sab en Live : « Oxcean » de Nicolas Michel chez Talents hauts
La première fable écologique que j’ai lu c’était « Les enfants de Noé » de Jean Joubert à l’école des loisirs, je devais avoir 13 ou 14 ans. Elle m’a tant bouleversée que je m’en souviens encore.Je me souviens également de la série de Hélène Montardre « Oceania » chez Rageot datant de 2007Et puis voilà « Oxcean » de Nicolas Michel chez Talents hauts.Je ne sais pas pourquoi on les appelle « Fable…
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