#coup de cœur 2020
Explore tagged Tumblr posts
dystopiakawa · 5 months ago
Text
Special Eurovision
Commençons par le début, je me rappellerais toujours cette discussion où on me racontait qu'il avait un groupe de métal finlandais à l'eurovision qui se présentait.
Me voilà devant la télé à écouter un Drucker coincé, horrifié par le groupe "Je ferais même pas écouter ce genre de choses à chienne" assurait-il devant des milliers de spectateurs et moi, je croisais les doigts pour ce que groupe gagne, j'adorais leurs costumes, leur musique et puis j'ai toujours eu un faible pour la Finlande.
youtube
C'est à ce moment-là en mai 2006 que j'ai commencé à regarder le programme chaque année, bien sûr au début juste pour la musique, ensuite pour vraiment le côté artistique et soutenir des groupes différents.
Je me souviens aussi de ce violoniste incroyable. Soutenir les pays nordiques a commencé aussi à ce moment là.
youtube
2017, c'est à ce moment où j'ai suivi même les sélections avant
Et un gros coup de cœur sur la prestation et l'artistique de ce jeune suédois !
youtube
2019 ma chanson préférée de l'eurovision !
youtube
Mon groupe préféré 2019 : pour son originalité et le décalage !
youtube
Bon après 2019, c'est aussi parce qu'en semi-final il y avait Darude qui n'a pas obtenu sa qualification, j'étais fier de revoir Ville Virtanen.
2020 Covid donc 2021 : pour moi la meilleure année avec des banger !
youtube
youtube
youtube
2022 même si pour moi y a eu pas mal de "c'était prévu UK - Ukraine" Angleterre avec toujours des mauvais scores depuis le Brexit devient 2ᵉ comme par hasard. Les ukrainiens était parmi mes favoris.
youtube
Pour fois, j'étais pour la France !
youtube
6 notes · View notes
mofred · 8 months ago
Text
Rituel pour le mal d'homme
Tout ce qu’il me faut est perdu
sauf le rite qui me suit
à rebours des jours
et m’invite
à revendiquer
Me régaler dans le vice de
tricoter tes nerfs de travers et les tripes
Les remouler à chaud, puis à froid
les tracasser
Contre le cœur  
le cœur des hommes écœurés, qui traînent
les rues ; nous prennent d’assaut
Et ce doigt
Gros. Violent. Sale.
Qui ose pointer la beauté. L’arracher de nos corps.    Je le coupe aussi
Je tranche
Je triture. Tout
Broyer, écraser, moudre, briser
tant que râle le cri dans mes oreilles
Puis, me reposer
Attendre, dans ce trou
que la magie agisse, ici
où tu as déporté les morceaux que j’aimais
Qu’un quelconque me retrouve
os éparpillés
la terre dans mes dents
et la chair, s’il y en est
Mofred
Visitez ma Librerie Online Poésies et Nouvelles (cliquez ICI) Poésie en mouvement sur  www.instagram.com/lafalfy Livres en vente *Segundo B (nouvelle courte, 2024) Pelícano mambí (poésie, 2022) Historias para un instante de amor (poésie, 2020) *disponible aussi sur www.amazon.com Merci!🌹
4 notes · View notes
ahjdaily · 2 years ago
Text
INTERVIEW: Une discussion avec Albert Hammond Jr. sur la vie, les Strokes et le sentiment d’être incompris (Les Inrockuptibles)
François Moreau | 07/07/2023 à 15h47
This interview is solely in French. For an English-translated version of the website: click here Please note, the translation may not be not entirely accurate.
For archival purposes, full text is stored below.
Le guitariste des Strokes vient de sortir “Melodies on Hiatus”, son cinquième album solo. L’occasion d’évoquer avec lui la vie en marge du groupe, le besoin incessant de composer et l’éternel sentiment stroksien d’être incompris et insatisfait.
On appelle Albert Hammond Jr. aux aurores à l’occasion de la sortie de Melodies on Hiatus, son cinquième album solo paru en juin. Le guitariste hirsute des Strokes décroche le combiné depuis le jardin de sa maison dissimulée dans les collines de Hollywood, à Los Angeles, Californie. Après notre entretien, il ira à la salle de sport. La routine angelina.
Comme beaucoup de musiciens de la côte est des États-Unis, à l’instar de Julian Casablancas depuis belle lurette, Albert a lui aussi migré à l’ouest en quête de soleil et de nouvelles opportunités. S’il prétend composer et enregistrer quotidiennement sous le ciel bleu californien quand il n’est pas en tournée, il passe aussi des castings pour le cinéma : vous l’avez peut-être vu jouer un type cocaïné dans Babylon (2022), de Damien Chazelle, le temps d’une brève apparition. En 2018, il confiait même avoir auditionné pour la série Stranger Things, avec un essai à la clef, mais l’aventure n’est pas allée plus loin.
La musique reste donc le cœur d’activité de ce bon vieil Albert. Quand on lui passe ce coup de fil, il rentre tout juste lessivé d’une mini tournée américaine avec les Strokes, bouclée le 25 mai sur la scène du Minute Maid Park de Houston, Texas, avec escales à Minneapolis (MN), Syracuse (NY), Phoenix (AZ) et San Antonio (TX). Les New-Yorkais partageaient la scène avec Red Hot Chili Peppers, preuve, s’il en fallait une, que The Strokes a désormais un stadium status, comme on dit outre-Atlantique, même si une telle affiche au début des années 2000 aurait interpellé. Après tout, la première fois qu’on a vu Pixies sur scène, c’était en première partie de la bande à Flea. Les digues séparant l’indie du rock’n’roll circus hollywoodien, si tant est qu’elles aient un jour existé ailleurs que dans l’étroitesse de nos jeans slim, ont cédé dans les grandes largeurs.
“Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”
Mais la question ne se pose certainement pas en ces termes en Amérique, ni même dans l’esprit d’Albert, qui ne s’embarrasse de telles considérations et reste lucide sur le parcours de son groupe : “Le paysage d’aujourd’hui n’est pas celui de nos débuts et, musicalement, le meilleur est devant nous”, tranche-t-il. Plus de vingt ans après la sortie de Is This It (2001) de la cave et après le Grammy du meilleur album rock de l’année pour The New Abnormal (2020) remporté en 2021, le quintet est bon pour le Rock’n’Roll Hall of Fame. Le club des cinq sera d’ailleurs pour la première fois à Rock en Seine cette année, le 27 août, en clôture du festival francilien, après une poignée de dates en Asie, aux États-Unis (encore) et à Londres. 
Carrière solo
Notre dernière rencontre avec le guitariste remonte au 18 février 2020, dans les coulisses de l’Olympia. “Je m’en souviens bien, on avait fait cette séance photo dans le parking deux minutes avant de monter sur scène”, nous glisse-t-il. À l’époque, nous n’étions qu’une poignée de chanceux·euses à avoir pu écouter The New Abnormal, le dernier album des Strokes au titre prophétique sorti en avril 2020, et le groupe accordait aux Inrocks une interview exclusive. Comme prévu, Julian Casablancas avait été expéditif, gêné comme d’habitude aux entournures par l’exercice. Albert, quant à lui, ouvrait les vannes, tenant le crachoir une heure durant dans sa loge, oubliant qu’Alex Turner, Hedi Slimane ou encore un représentant de Phoenix étaient en train de s’envoyer des coupes de champagne dans la pièce à côté. “Tu me demandes ce que ça fait de jouer avec les Strokes ? Mais j’en sais rien, je suis membre des Strokes, je ne peux pas avoir ce recul”, nous avait-il confié après le show.
Aujourd’hui, il tient le même discours : “Dans le fond, je n’avais jamais eu véritablement l’intention de faire des disques en solo. Faire partie d’un groupe comme les Strokes, qui a du succès, me suffit. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu ça. Quand j’ai sorti le premier album, les gens disaient que certains morceaux ressemblaient aux Strokes. Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”. 
Pour un type qui ne rêvait pas de carrière solo, Albert Hammond Jr. est le membre du groupe qui possède la discographie la plus étoffée, avec cinq albums et un EP, AHJ (2013) sorti chez Cult Records, le label du pote Julian. A l’époque de Yours to Keep (2006), il est même le premier à s’échapper des Strokes, alors que les New-Yorkais entrent à peine dans une période de hiatus de six ans et que, par médias interposés, Casablancas se plaint d’être celui sur les épaules duquel repose l’existence du band. 
L’idée derrière Yours to Keep n’était effectivement pas tant de sortir un disque à tout prix, mais d’arriver au bout d’un processus, qui semble pourtant encore inachevé aujourd’hui, si l’on en croit Albert : “Je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de réfléchir à quel musicien je voulais être, parce que j’ai toujours fait partie d’un groupe. Si j’y avais pensé plus tôt, j’aurais peut-être fait certaines choses différemment. Je n’aurais pas pris autant de drogues pour ¿Cómo Te Llama?, mon deuxième album. Je vivais dans une réalité, disons, qui n’était pas un modèle de vie durable. Avec le recul, je crois que l’idée, c’était de faire les choses et d’avancer avec le groupe quoiqu’il arrive. Je sais que je n’ai jamais été capable de faire de la musique tout seul, j’ai besoin d’un tuteur pour me montrer comment plonger. Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau.” 
New York années 2000
Albert revêt une allure de survivant encore un peu ébranlé par la frénésie des choses. La dope, le New York junkie et grisant des années 2000, celui dont on peut lire les exploits dans l’essentiel ouvrage de la journaliste Lizzy Goodman Meet Me In the Bathroom – New York 2001-2011 : une épopée rock, fraîchement traduit en français aux éditions Rue Fromentin ; le musicien se contente de l’évoquer quand on lui en parle, mais tient à désamorcer toute forme de nostalgie mal placée qui dit généralement plus de l’intervieweur que de l’interviewé : “C’est ma jeunesse, tu sais. C’est difficile de ne pas romantiser cette période de ta vie. Parfois je regarde en arrière pour réaliser que les choses sont belles aujourd’hui. Dans les moments les plus sombres, je me dis que j’aurais dû profiter davantage de tel ou tel moment.”
“Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau”
Au sujet de la dope, justement, Albert – sobre depuis longtemps – ne cache rien en interview, mais disqualifie, une fois encore, les biais de romantisation, notamment lorsqu’il s’agit d’évoquer le temps de la création musicale : “J’imagine que si tu es sous influence, que tes perceptions changent pour t’amener à voir les choses sous un autre angle et que tu travailles vraiment dur en suivant cette ligne, tu peux accomplir certaines choses. Mais cette discipline est presque impossible à atteindre. Même si un trip t’amène à voir des choses extraordinaires, une fois retombé, il te reste à tout rassembler ensuite. Et c’est une tâche sans fin.
J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord. Quand tu crées, tu dois composer avec ta part d’ombre. Ça peut prendre plus de temps d’arriver là tu veux aller, mais au moins c’est réel et profond. Je trouve ça bizarre de penser que c’est la substance qui crée. C’est toujours la personne et ce qu’elle met dans son œuvre ! La substance te permet juste de faire taire cette petite voix intérieure qui peut parfois se transformer en monstre quand tu es en plein processus de création. Si j’avais pu m’imposer cette discipline plus tôt, il aurait été intéressant de voir où ça m’aurait mené. Heureusement, je ne me suis pas grillé, mon cerveau est toujours là.” 
Dur labeur
Pour Melodies on Hiatus, un double-album de dix-neuf titres, Albert s’est ainsi entouré d’un producteur, Gus Oberg, vieux collaborateur des Strokes, et d’une parolière, la Canadienne Simon Wilcox, appelée à la rescousse quand il a fallu mettre des mots sur la somme de démos enregistrées. Au générique de ce disque, une poignée de musiciens : Goldlink, Matt Helders (Arctic Monkeys), Steve Stevens (guitariste de Billy Idol), la chanteuse Rainsford. L’idée d’être le type qui rassemble autour de lui, tel un esthète, le branche-t-il ? “Je n’irais pas si loin. Disons que, parfois, j’ai l’impression de comprendre que certaines personnes vont bien avec d’autres. Mais je connais mes points faibles, j’aime m’entourer de gens qui savent faire ce que je ne sais pas faire. C’est fun d’assembler les pièces du puzzle.”
Comme il le répétera tout au long de notre conversation, Albert n’avait pas spécialement en tête de faire un disque aussi pléthorique. Contrairement à Francis Trouble (2018), son précédent album enregistré de façon assez classique, avec un groupe venu en studio pour mettre en boîte des démos travaillées au préalable par Albert, Melodies on Hiatus s’est fait sur le temps long aux côtés du pote Oberg, avec peu de gens autour dans un premier temps : “Je voulais déconstruire l’idée du groupe en studio. L’idée, c’était d’avoir Gus avec moi, quelques drum machines, un ordinateur, des potes de passage pour jouer quelques instruments. On se disait ‘essayons ceci, essayons cela’, et finalement les morceaux sont sortis assez naturellement. Très vite, je me suis retrouvé avec une vingtaine de chansons et je me suis senti dépassé.” 
“J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord”
Dépassé, parce que le songwriting n’est pas le fort d’Albert Hammond Jr. qui, même s’il a grandi avec son auteur/compositeur de père, ne vit pas la musique de cette manière. “Les paroles, en musique, c’est vraiment la dernière chose à laquelle je me raccroche”, confie-t-il, avant d’évoquer sa collaboration avec Simon Wilcox, qui a coécrit toutes les paroles alors que les deux n’avaient alors échangé que par téléphone.
De longues conversations téléphoniques en forme de déversement de flux de conscience : “Je peux chanter avec du faux texte, parfois même, comme sur le morceau Old Man, quelques lignes surgissent, mais il me fallait quelqu’un. Je me suis dit que j’allais demander à des potes d’autres groupes de m’écrire quelques morceaux, et puis on m’a présenté Simon. On s’est tout de suite bien entendu. On a eu des conversations profondes, des choses très personnelles, et elle a su capturer toutes ces choses. D’une certaine manière, on peut dire que ça ressemble à une thérapie. C’est toujours plus simple pour moi de laisser couler le flot de la conversation que de déterminer à l’avance un sujet pour un morceau. Ça sonne faux pour moi.
De ce point de vue, la création peut donc être perçue comme une thérapie, oui. Parce que, créer, c’est faire surgir une partie de toi qui ne s’autorise pas toujours à exister. Mais ça reste beaucoup de travail. Bien sûr, il y a des moments suspendus, ça arrive, mais tu ne peux pas attendre ces moments éternellement. La plupart du temps, ça se résume à bosser énormément et à assembler les pièces d’un puzzle. Être capable de tout détruire et de reconstruire, sans trop t’attacher aux choses. Si un morceau ne marche pas, tu dois comprendre pourquoi. En d’autres termes, tu dois constamment te battre contre toi-même”. 
Incompris
Obnubilé par la personnalité accidentée de Julian Casablancas, on oublierait presque les quatre autres membres des Strokes, leur histoire en marge du groupe, le chemin parcouru pour se frayer une voie en dehors des perceptions parfois limitées que le succès du band a probablement dû exacerber ces vingt dernières années. Qui se rappelle de l’album de Nikolai Fraiture, bassiste discret, sorti en 2009 sous le sobriquet de Nickel Eye ? Il faudra s’en rappeler quand il s’agira de répondre à la question : que se tramait-il dans la tête d’un jeune New-Yorkais vingtenaire ayant grandi dans le Manhattan des années 2000 ?
À mesure que le temps passe, les fantasmes se cristallisent, quitte à nous fourvoyer. “’Ive been all around this town / Everybody’s singin’ the same song for ten years”, chantait Julian en 2011 sur Under Cover of Darkness. Albert semble avoir tracé sa route et ne regarde derrière que quand quelqu’un lui demande de regarder derrière, comme si on voulait encore et toujours rejouer l’histoire, comprendre l’incompréhensible, raviver une flamme éteinte depuis belle lurette. 
“C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif”
“Le truc, c’est que même 20 ans après, et c’est une constante chez moi, j’ai le sentiment d’être incompris, nous rencarde Albert. Je n’ai jamais l’impression de faire face à des gens qui me comprennent, et notamment quand je suis face à des fans. C’est un peu frustrant, et une sensation étrange. À chaque fois que j’entends quelqu’un parler d’un de mes morceaux, c’est si éloigné de ma propre perception des choses ! On me parle de chose que je n’essayais ni de près ni de loin de faire, de reproduire ou de copier. C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif. C’est toujours intense pour moi de sortir un disque, ça ressemble à un matin qui n’existe jamais vraiment.” 
Tout porte à croire que des groupes comme les Strokes ou Arctic Monkeys sont essentialisés jusqu’à la moelle (il n’y a qu’à voir ce que se mange en pleine poire Alex Turner quand il fait son Scott Walker, au lieu de donner dans le riff adolescent), au point de leur faire porter le poids des élans nostalgiques de trentenaires qui les verraient bien au Panthéon. Albert : “J’ai plutôt l’impression de ne pas avoir accompli certaines choses, plutôt que l’inverse. Je ne vais pas m’asseoir et énumérer avec toi tous nos succès. Les gens doivent comprendre que si ce qu’on a pu faire toutes ces années leur paraît énorme, c’est difficile de notre côté d’éprouver ce genre de sentiment.”
11 notes · View notes
mmepastel · 1 year ago
Text
Tumblr media
Gros coup de cœur pour ce roman qui date de 2020 et que j’avais raté, alors qu’il a quand même été dans la short list du Prix Femina.
L’autrice est extrêmement jeune mais diablement talentueuse.
Elle s’est inspirée d’une histoire (hélas) vraie. Au début du XVIIe siècle, dans le nord de la Norvège, sur une petite île éloignée de tout, Vardø, une tempête terrible s’est abattue alors même que presque la totalité des hommes du village avait pris la mer. Tous meurent. Les femmes, stupéfaites, dévastées, les mères, les épouses, les promises, toutes se retrouvent veuves, orphelines. Elles doivent peu à peu surmonter la douleur et s’organiser. Mais un autre fléau ne tarde pas à pointer son nez. Un pasteur pâle est dépêché sur l’île pour assurer la survie du village, alors que ce qui leur manque est clairement de quoi manger, de quoi se chauffer… et il est bientôt suivi par un délégué de l’église luthérienne, en pleine expansion, qui a fait étape en Norvège pour prendre femme (pauvre Ursula qui quitte sa famille sans se douter avec qui elle va désormais partager sa couche).
Progressivement on assiste dans la communauté à la division des femmes qui avaient déjà peine à s’unir en raison de désaccords liés au culte religieux (dans cette région, les Samis se sont fait rares, mais quelques uns sont là, dédaigneusement appelés Lapons, et ils ou elles ont imprégné les lieux de leurs pratiques évidemment contraires au dogme chrétien). Le délégué du roi de la Norvège se donne comme mission d’éradiquer la sorcellerie et le démon sur l’île. Sa femme, bien innocente au début, tente de s’entendre avec les femmes du village, mais doit bien vite se contenter de l’amitié de Maren, femme sombre et torturée qui se prend d’affection pour elle, et lutter contre le dégoût et la peur que lui inspire son mari, à la fois pieux, rigide, zélé et cruel.
On sent que tout cela finira mal. Plusieurs femmes sont dénoncées par les pieuses acquises à la foi luthériennes, et malgré les efforts de Maren et d’Ursula, de plus en plus proches, l’étau se resserre. Le sort réservé aux supposées sorcières est atroce.
La lecture de ce récit est très forte. On est vraiment plongé dans l’atmosphère angoissante de cette traque permanente, on ressent la dureté de la vie, en ces temps, sur ces lieux précis, pour des femmes. Leur solitude. L’indifférence qu’elles inspirent aux hommes, qui les considèrent comme des demis personnes, utiles pour assouvir leurs désirs tout au plus. Les souffrances de Maren et celles d’Ursula sont parfois dures à supporter. J’ai parfois pensé à The Handmaid’s Tale : l’obscurantisme guidant des mains de tortionnaires…
C’est très bien écrit, la psychologie des personnages est très cohérente, assez poussée. On frémit devant ces destins brisés, on admire le courage de certaines, on s’arrache les cheveux d’impuissance. On espère l’amour, on le touche du doigt, mais l’île devient piège…
Un roman très puissant, écrit d’une main d’acier dans un gant de velours…
6 notes · View notes
emiebritonstudio · 1 year ago
Text
OS Detective Conan : ''Pardonne-moi, Ran''
Me voilà à nouveau avec un OS sur l'univers de Détective Conan. Je me suis surtout basé sur le couple Shinichi x Ran. C'est la romance principale de la série et du manga. Eh bien qu'elle soit officielle, elle mérite qu'on écrive dessus, tellement leur situation est complexe.
Voilà donc comment j'imagine leurs retrouvailles, après que Shinichi est retrouvé son corps et a abattu l'organisation des hommes en noir qui l'a fait devenir enfant.
A NOTER QUE L'OS A ÉTÉ ÉCRIT EN 2019. Par conséquent, je n'ai pas pu prendre en compte les élèvements plus récents qui ont été publié par la suite entre 2020 et maintenant.
Bonne lecture,
Émie <3
Tumblr media
- Ran...RAN !!! Ran, réveille-toi.
Le souffle court, mes poumons engorgent plusieurs grandes goulées d'air afin de se ravitailler. Je dépose une main sur mon front encore chaud. Mes doigts tremblent encore aux souvenirs de ces images froides derrière des barreaux de prison. Le son de la voix de Shinichi résonne encore dans ma tête et un goût aigre dans ma bouche la rend toute pâteuse. Mes prunelles glissent autour de moi. Je pris conscience de mon environnement, rassuré de reconnaître ma chambre. Ce n'��tait qu'un cauchemar. Cependant, celui-ci me paraissait si réel que j'ai encore du mal à m'en remettre.
Je me suis assoupie à mon bureau de travail inconsciemment. Je coule un coup d'œil vers mon réveil. Je lâche un soupir, lasse. Il est l'heure de prendre possession de la cuisine. J'ai plusieurs ventres affamés à nourrir et ils comptent sur moi pour les remplir. Décidé à réaliser ma tâche, je sors de ma chambre. L'appartement est silencieux. Mon père doit toujours se trouver à son bureau à l'étage d'en dessous, s'égosillant devant une course de chevaux qu'il va encore perdre.
Je resserre le nœud de mon tablier autour de ma taille. Je lisse ma chevelure brune du bout des doigts. Je dépose ces derniers sur mon menton en guise de réflexion, perdu dans les étalages de nourriture du réfrigérateur familiale. Je fis la moue, pas décidé sur le menu à réaliser. Comme chaque fois que je bloque sur ce sujet, ma voix se mit à s'élever dans les pièces à vivre.
- CONAN-KUN ! QUE VEUX-TU MANGER CE SOIR ? JE N'ARRIVE PAS À ME DÉCIDER.
Tout en criant, mes pas se mirent à chercher la silhouette enfantine de la personne que je cherche. Mais malgré mes innombrables appels, Conan ne me répond pas. Un rictus se forme sur mon front. Intriguer, je fouille chacune des pièces. Mais je ne le trouve dans aucune d'elles. Je redouble d'efforts en descendant à l'étage du dessous. Après tout, il s'est peut-être procuré un moyen de soutenir mon géniteur dans ses enquêtes.
Cependant, comme je m'y attendais, mon père est à son bureau devant les résultats des courses de chevaux. Le garçonnet n'apparaît nulle part. Les journées d'école sont terminées depuis plusieurs heures. Inquiète de le savoir dehors, je ne sais où, je m'approche de mon paternel pour espérer récolter quelques réponses.
- Otoosan ! As-tu vu Conan aujourd'hui ?
- Pas depuis qu'il est parti à l'école ce matin.
- Il n'est pas rentré ?
- Pas que je sache.
- Où a-t-il bien pu aller ?
- Va savoir. Ce gamin va fourrer son nez partout !
- Tu devrais le chercher avec moi. On ne sait jamais. Il a pu s'attirer des ennuis.
- Je suis sûr que tu te fais du souci pour rien. Il est peut-être allé chez le professeur Agasa pour tester un nouveau jeu.
Je grimace face à l'indifférence de mon géniteur. Cependant, il me donne une idée. Il est vrai que lui et les Détectives-Boys se rendent souvent chez le professeur. Il a pu y aller sans voir le temps passé, et a oublié de me prévenir. Forte de cette idée, je délaisse mon tablier contre une veste en jean blanc et mes chaussures de ville.
Je trottine sur le chemin qui mène à ma destination. Je le connais encore par cœur. Mon cœur se serre et ma gorge se sèche. Mes pensées s'égarent et comme toujours, il est au centre de celles-ci. Je ne compte plus le nombre incalculable de fois où j'ai été le voir. Je me rappelle encore clairement les premières fois, où petits, nous nous sommes rendus chez son voisin un peu loufoque et solitaire. Cependant, son amitié est précieuse pour lui qui s'est souvent retrouvé seul avec ses parents voyageant aux quatre coins de la planète. Un sentiment de nostalgie s'empare de moi. Cela me parait si loin à présent, comme venant d'une autre dimension, une autre vie.
Shinichi, où es-tu ? Tu me dis toujours qu'il s'agit d'une affaire longue qui demande tout ton temps. Mais moi, dans tout ça ? Suis-je suffisamment importante à tes yeux pour me faire promettre de t'attendre ? Comment peux-tu me demander une pareille promesse si tu refuses de tout me dire ? Me fais-tu réellement confiance ? Je suis ton amie d'enfance après tout.
Un profond soupir franchit mes lèvres malgré moi. Je resserre ma prise autour de la lanière de mon sac à main. Je ne dois pas m'égarer ainsi de mon but. Je dois retrouver Conan. J'accélère ma course. Je distingue le portillon de la moderne propriété du professeur. Je reprends mon souffle avant de franchir l'allée. J'appuie plusieurs fois sur la sonnette, toujours anxieuse de ne pas savoir où a bien pu disparaître cet enfant. Le visage du scientifique se dessine dans l'entrebâillement de la porte. Ce dernier m'adresse un sourire qui sonne faux. Il fait aller sa main contre sa nuque d'un geste gêné. Pourquoi réagit-il ainsi ? Ce n'est que moi, après tout. Je laisse de côté cette étrange impression qui me tord l'estomac afin d'entamer la conversation.
- Excusez-moi Agasa-San. Je suis à la recherche de Conan. Serait-il venu ici par hasard ?
- Oh non, pas à ma connaissance.
- C'est étrange. Il n'est pas rentré à la maison. Et l'école doit être finie depuis plusieurs heures.
- Il n'y est pas venu aujourd'hui.
Surprise par cette intervention, je me tourne vers les trois enfants qui sont cachés derrière le professeur. Celui-ci se voit contraint d'ouvrir en grand sa porte. Je reconnus les habituels membres du groupe des Détective-Boys. J'adresse un sourire chaleureux aux amis de Conan tout en m'accroupissant à leur hauteur. Je fais abstraction du sentiment de stress qui émane d'Agasa pour me concentrer sur les informations que ces élèves de primaire veulent bien me communiquer.
- Comment ça ? Conan n'a pas été à l'école aujourd'hui ?
- Oui, c'est vrai. Il a été absent à l'appel de ce matin et cet après-midi, aussi. Complète Mitsuhiko.
- Nous sommes venus ici pour essayer de le voir, mais le professeur nous a dit qu'il a peut-être déménagé. Tu t'en rends compte ? Rouspète Genta.
- Quoi ? Déménager ?
- Enfin, il aurait rejoint sa famille à l'étranger. Sans même nous dire au revoir.
Touché par les larmes d'Ayumi, je lui tends les bras afin qu'elle s'y réfugie. Je lance un regard désapprobateur à notre aînée qui détourne ses prunelles vers l'extérieur et glisse sur la maison d'à côté. Je fronce les sourcils. Que peut-il bien y voir ? La maison des Kudo est déserte depuis l'absence prolongée de Shinichi. Enfin, à ma connaissance, car j'ai l'intime conviction que des choses me sont cachées volontairement. Je maintiens ces questions pour moi, davantage soucieuse du bien-être de ces enfants. Je dépose une main sur leurs épaules en arborant une expression réconfortante.
- Je suis sûr que Conan va réapparaître.
- Tu en es sûr ?
- Oui, vous avez ma parole. Maintenant, rentrez chez vous. Vos parents vont s'inquiéter.
- D'accord. Tu nous appelles dès que tu le retrouves, hein ?
- C'est promis.
Rassurer, le trio reprend leurs affaires avant de quitter la propriété. J'attends qu'ils disparaissent au coin de la rue pour me concentrer sur le scientifique d'une quarantaine d'années. Je prends appui de mes poings sur mes hanches et grimace sous la colère.
- Comment avez-vous pu leur dire ça ?
- Et bien, c'est-à-dire...
- Y a-t-il une chose dont vous êtes au courant et dont vous refusez de me parler ? Le questionnais-je en le coupant dans son élan.
- Désolé, Mouri-san. Mais ce n'est pas à moi de vous dire tout ça.
- De quoi parlez-vous ?
- Je vous demande juste de l'écouter jusqu'au bout lorsqu'il vous dira toute la vérité sur cette affaire.
- Quoi ? De qui parlez-vous ? Quelle affaire, Agasa-san ?
D'innombrables questions s'agitent dans mon petit cerveau. Cependant, aucune ne trouve de réponse. Le professeur est resté évasif et il a claqué la porte avant même que je ne puisse l'interroger un peu plus. Je grogne devant cette issue qui s'est refermée sous mes yeux. Ma conviction s'accroît. Comme si toutes les personnes autour de moi sont au courant de quelque chose que j'ignore. C'est un sentiment extrêmement désagréable.
Je traîne les pieds en faisant machine arrière. Je ne suis pas plus avancé. Je claque le portillon derrière moi, restant un instant immobile. Mes prunelles scrutent le trottoir. Puis, elles coulent autour de moi jusqu'à s'incruster sur la demeure d'à côté, située à ma droite. Je me tourne complètement vers elle. Quelque chose me dérange autour de cette propriété, autrement que les souvenirs qu'elle peut renfermer.
Mes paupières papillonnent. Elles s'éveillent comme après un mauvais rêve. J'ai tellement imaginé son retour que j'ai cru l'avoir encore inventé. Pourtant, deux véhicules se sont fièrement garés devant l'entrée. Je frissonne en détaillant l'un d'eux. Il s'agit de la voiture de la mère de mon ami d'enfance. Je me tends, rien que de me rappeler comment la conduite de cette femme peut être violente et abrupte. Je déglutis aux souvenirs de ce voyage à New York. Cette même excursion où j'ai réalisé mes sentiments pour lui.
Mon cœur s'accélère machinalement. Que peut bien faire sa mère ici ? Cela, veut-il dire qu'il serait rentré ? Mon regard reste fixé sur l'entrée. La tentation est trop irrésistible. Même si un risque de déception plane au-dessus de moi, je ne peux pas rester ici les bras pendants. Je dois savoir s'il est là. Il me doit bien ça. Mes battements s'alourdissent au rythme de mes pas. Timidement, je m'aventure dans l'allée de cette grande maison.
Je ferme un instant les yeux et je pris une grande respiration. J'y puise le courage nécessaire pour frapper à la porte. Cependant, je me ravise au dernier moment. La porte est déjà entrouverte. Des voix féminines me parviennent. Le bois grince sous mes doigts qui agrandissent l'ouverture. En m'entendant arriver, trois visages se tournent dans ma direction. J'avance de quelques pas vers elles, encore sous le choc.
Je m'arrête soudainement, prenant le temps de les dévisager. Je reconnus sans hésiter la mère de Shinichi qui m'adresse un sourire chaleureux. Ainsi que mon ancienne professeur d'anglais, Jodie-sensei. En sachant qu'elle est aussi une membre du FBI, je m'inquiète de sa présence ici. Dans quoi ce passionné des énigmes, c'est encore fourrer ? Toutefois, je maintiens cette question pour moi-même afin de prendre le temps d'adresser un regard à la troisième présence. Celle-ci ressemble, trait pour trait, à Ai-chan. Si bien que je la prenne pour sa sœur ou sa mère, voir même la fillette en plus âgée.
Je secoue ma tête afin de remettre mes idées en place. Je divague. Elle ne peut pas être Haibara. Bien que je réalise qu'elle n'était pas présente chez le professeur quelques minutes plus tôt. Je me concentre à nouveau sur mes trois interlocutrices. La mère de mon ami d'enfance fait un léger pas vers moi sans quitter son habituel sourire enjoué. Cependant, au font de moi, je perçois que quelque chose cloche.
- Oh Ran-chan ! Quelle bonne surprise ! Si tu viens pour le ménage, je dois te dire que ça ne sera plus nécessaire que tu t'en charges.
- Que faites-vous ici ?
- Pardon ?
- Je vous croyais aux États-Unis, tout comme Jodie-sensei d'ailleurs. Et quel est le lien avec cette femme, qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Ai-chan ?
Mon débit de paroles est anormalement élevé, preuve de mon anxiété. Je les fixe toutes, tour à tour, sans parvenir à obtenir le moindre indice dans leurs faits et gestes. Je grimace en refermant mes bras contre ma poitrine. Une nouvelle fois, c'est Yukiko qui ose me répondre. Elle s'humecte nerveusement les lèvres en cherchant ses mots.
- Désolé Ran-Chan. Mais ce n'est pas à nous de tout t'expliquer.
Je hausse un sourcil, lasse qu'on me dise encore la même chose. Pourquoi ne veulent-ils pas me fournir des réponses ? Y a-t-il quelque chose dont on me tient volontairement à l'écart ? Je ressasse les derniers événements en entendant à peine les pas qui s'approchent dans mon dos. Les sons s'arrêtent, mais pas le fil incessant de mes pensées angoissantes.
- Expliquez quoi, okaasan ?
En percevant cet éclat de voix, mon sang ne fait qu'un tour. Mon ouïe bourdonne, faisant frissonner ma colonne vertébrale. Pendant si longtemps, c'est la seule chose que je percevais de lui, l'unique preuve qu'il était encore en vie. Mon corps se raidit. Je ne parviens plus à effectuer le moindre mouvement. Je suis comme pétrifier. Mon esprit affiche son visage et je ferme temporairement les yeux. Shinichi est là, à quelques mètres dans mon dos. Je perçois le son du froissement de ses vêtements en déposant un sac sur le sol. Je devine qu'il vient de prendre conscience de ma présence.
Le poids du regard du trio féminin se décuple. Elles nous fixent et nous examinent tour à tour. Puis, d'un pas commun, elles regagnent la sortie. Seule la mère de Shinichi s'accorde le temps de ralentir à ma hauteur. Elle se penche à mon oreille et murmure ses quelques mots.
- Bonne chance. Et prête-lui une oreille attentive, surtout.
Je fronce les sourcils sans saisir le sens de ses paroles. Comment pourrais-je le faire ? J'ai déjà des difficultés à comprendre ce qu'il se passe. Tout ce dont j'ai la certitude, c'est que mon ami d'enfance réapparaît après plus d'un an d'absence, comme s'il revient d'un simple voyage. Cependant, je ne le perçois pas comme ça. Plutôt qu'une oreille attentive, j'ai l'envie irrésistible d'abattre mon poing sur son joli minois. Après tout, c'est tout ce qu'il mérite après m'avoir abandonné, à nager entre les doutes, les secrets et l'indifférence.
J'entends à peine la porte d'entrée se refermer. Je le réalise notamment par la soudaine baisse de luminosité dans ce hall d'entrée. Mes poings se serrent un peu plus sous l'ébullition de tous mes ressentiments. Je suis devenue une véritable bombe à retardement, et même si je lui donne le dos, il est assez perspicace pour le deviner. En tout cas, c'est ce que j'espère. Car s'il y a bien une chose qu'il n'a jamais réussi à comprendre ou analyser, ce sont les sentiments que je lui porte.
- Ran.
Son appel ressemble davantage à un murmure brisant le silence qui était devenu roi. Je me mords la lèvre inférieure. Ma gorge est nouée. Je ne parviens pas à sortir le moindre son de ma bouche. Il effectue un pas mal assuré vers moi. Ce fut le déclencheur de tout tel une goutte d'eau qui fait déborder un vase. Je ferme fortement mes paupières, laissant s'écouler quelques perles salées accrochées à mes cils.
Je me retourne vivement vers lui, guider par mon instinct. Mes poings s'activent, brassant de l'air, jusqu'à parvenir à lui. Ils s'abattent sur lui, tapant sur ce qu'il me semble être son torse. Mes doigts tremblants se resserrent dans mes paumes. Mes coups sont de plus en plus forts. Pourtant, je ne perçois aucune réaction de sa part. Se laisse-t-il faire volontairement ? Où me serais-je trompé de cible ? Peu importe. J'ai ouvert les vannes sans que personne ne puisse plus rien pour m'arrêter. J'évacue le trop-plein d'émotion que ce maniaque des enquêtes lui-même ne peut pas soupçonner.
De légers cris franchissent mes lèvres, sifflant à travers mes dents. Je veux lui faire comprendre la grandeur de ce vide dans mon cœur qu'il a laissé en partant. Puis, je m'essouffle. Tout doucement, mes coups se font de moins en moins fort. Ils sont espacés par mes sanglots. J'entrouvre les yeux fixant le pull qui me fait face. Je l'empoigne, l'inondant rapidement de mes larmes. J'y camoufle mon visage. La haine laisse place au désespoir, les blessures de l'absence et l'incompréhension. Pourquoi ? pourquoi me fait-il tout ça ?
- Chut... Tout va bien, Ran. Je te promets que tout est fini maintenant.
- Non.Soupirais-je à demi-mot.
- Quoi ?
Je me retire de quelques pas afin de pouvoir finalement voir ses prunelles d'un bleu perçant. Cependant, je secoue la tête pour ne pas me laisser ensorcelée. Je préserve les poings serrés devant moi, prête à nouveau à en découdre au moindre mot ou geste qui trahirait un nouveau départ. Je ne le laisserai pas partir, pas cette fois.
- Tu ne peux pas me dire ça et faire comme si rien ne s'était passé.
- Oui, je sais. Je te dois des réponses. Je te dois bien ça, après tout.Soupire-t-il, le regard baissé vers le sol.
- Oui.
Je le fixe, coulant mes prunelles autour de lui comme pour l'examiner. Il garde les siennes baissées vers le sol et il dépose une main contre sa nuque. Serait-il mal à l'aise ? Je fronce les sourcils. Non, il ne peut pas l'être. Shinichi a toujours su faire preuve d'une entière confiance en lui et d'un charisme incontestable lorsqu'il fait part de ses déductions à la fin d'une enquête. Je ne peux pas croire qu'il perde un soupçon d'assurance en ma présence. Après tout, ce n'est que moi, Ran Mouri, son amie d'enfance et camarade de classe.
- Lorsque tu m'as vu disparaître à la fin de cette journée au parc d'attractions, j'ai vu ses hommes en noir agir bizarrement. Et j'ai voulu les suivre pour savoir ce qu'ils mijotent. Mais...
- Que s'est-il passé ? Je questionne pour l'encourager à poursuivre.
- Je n'ai pas voulu t'inquiéter. Et puis j'ai eu un contre temps qui m'a causé pas mal d'ennui. Grimace-t-il.
- Pourquoi ne m'as-tu rien dit ?
- Je ne pouvais pas. Si tu avais tout compris, tu aurais été aussi leur cible. Ils auraient pu te tuer et je n'aurais pas pu le supporter.
- Parce qu'être loin de toi, tu penses que ce n'était pas plus douloureux ?
- En réalité, j'ai toujours été là.
Je lève un sourcil, le dévisageant comme s'il venait de me poser une énigme. À quoi fait-il allusion ? Son demi-sourire s'efface face au malentendu qui se forme dans mon esprit. Ses iris fuient les miennes. Pourtant, il va bien devoir affronter la conversation qui va suivre.
- S'il te plaît, ne te mets pas en colère.
- SHINICHI ! SI TU NE ME DIS PAS TOUT DE SUITE CE QU'IL SE PASSE, JE VAIS AVOIR UNE BONNE RAISON DE TE FAIRE MA MEILLEURE PRISE DE KARATÉ !
Le concerner fait quelques pas en arrière comme pour fuir ma folie furieuse. Cependant, je rétablis mon calme. Je lui prête une oreille attentive, croisant à nouveau les bras sous ma poitrine. Il grimace. Puis, soupire comme lasser par la situation. Le lycéen-détective ose affronter mon regard, y plongeant comme pour y puiser le courage de m'avouer la vérité.
- Conan et moi sommes la même personne.
- Qu... Quoi ? Je bafouille.
- Je sais que tu l'as suspecté à plusieurs reprises. Et même si j'ai tout fait pour que tu arrêtes de le faire, tu avais raison. Car j'étais Conan Edogawa.
Mes paupières papillonnent. Je n'arrive pas à éclaircir mes idées après que cette intervention soit montée dans mon cerveau. Ma bouche s'ouvre et se ferme sans parvenir à sortir un mot. Ma lucidité est compromise alors que d'autres questions se bousculent. Mon visage passe par toutes sortes d'expressions et sentiments. Shinichi s'empresse de poursuivre ses explications.
- Les personnes que j'ai suivies appartiennent à une organisation secrète. Ils m'ont changé en enfant à l'aide d'un poison. Quand tu m'as découvert chez le professeur Agasa, j'ai imaginé rapidement un prénom et un nom de famille avec des noms d'auteurs de roman policier. Et puis, à l'aide d'un nœud de papillon qui me permet de changer de voix, et ma montre qui cache des flèches anesthésiantes, je pouvais résoudre les enquêtes à la place de ton père. De fil en aiguille, j'ai réussi à récolter plusieurs informations qui m'ont permis de remonter jusqu'à la tête de l'organisation qui m'a fait devenir enfant.
- Pourquoi ?
- ''Pourquoi'' quoi ?
- Pourquoi ne pas m'avoir mise dans le secret ?
Mes prunelles sont au bord des larmes. Mon cœur s'est naturellement resserré sur lui-même. Je n'arrive pas à croire qu'il a pu me cacher autant de choses. J'en viens à me demander si je le connais réellement. Je détourne un instant le regard. La déception m'envahit. Qui suis-je réellement pour lui ? Ne suis-je qu'une petite fille insignifiante, incapable de le comprendre ?
Je reste de profil et je l'entends déglutir. Aurait-il de la peine pour moi ? De la pitié ? Si c'est cela, je préfère tirer un trait, passer mon tour. Je ne veux pas qu'il me prenne pour une petite chose fragile dont il peut se servir à sa guise.
- Tu ne me fais pas confiance ?
- Bien sûr que si. Bien plus qu'à n'importe qui d'autre.
- ALORS, EXPLIQUE-MOI POURQUOI ? POURQUOI NE M'AS-TU RIEN DIT ? POURQUOI AS-TU FAIT QUE ME MENTIR TOUT CE TEMPS ALORS QUE TU SAVAIS QUE JE SOUFFRAIS.
Mes hurlements s'estompent par manque d'air. J'en pris une longue bouffée comme pour calmer mes nerfs à fleur de peau. Je réalise seulement que dans mon discours, je me suis précipité en face de lui, à quelques centimètres de son visage. Mes iris réalisent notre soudain rapprochement et je me recule de quelques pas. Puis, j'affronte à nouveau ses prunelles avec sérieux et détermination.
- Je suis plus forte que tu ne le crois.
- Je le sais. Je l'ai appris à mes dépens. Tout comme le mal que je te faisais.
J'ai un mouvement de recul. Ses propos me font réaliser tout ce dont il a été témoin sous l'apparence de Conan. Tout ce que je lui ai confié, mes chagrins, mes doutes. Et il peinait à me rassurer afin de recoller les morceaux de mon cœur brisé. Mes joues s'empourprent subitement. Je saisis désormais qu'il est au courant pour les sentiments que je lui porte. Cependant, il n'a peut-être pas réalisé leur intensité.
- Chaque fois que je t'ai vu pleurer à cause de moi, j'avais envie de disparaître vraiment. J'ai la sensation de ne pas mériter toute l'amitié et... l'amour que tu me donnes. Soupire-t-il, il poursuit en affrontant mon regard.Et puis à chacune des actions de l'organisation, je me rappelais pourquoi c'est important que je tienne bon. Je ne voulais pas te mettre en danger. C'était vraiment des personnes sans cœur qui n'aurait éprouvé aucun scrupule à te tuer.
- Mais je m'en fiche d'être mise en danger. Pas si c'est pour être à tes côtés. J'ai l'impression de pouvoir tout affronter si tu es près de moi.
Un léger silence s'installe entre nous. Mon cœur se gonfle face à son sourire. Il effectue quelques pas vers moi et cette fois-ci, je ne l'empêche pas d'approcher. Ses doigts effleurent et caressent ma joue. Je ferme un instant les paupières pour profiter de ce geste tendre.
- Mais tu n'as pu à t'inquiéter. Toute cette histoire est derrière nous. Nous avons réussi à détruire cette organisation et trouver un antidote à ce poison !
- Nous ?
- Jodie-sensei, et d'autres membres du FBI m'ont beaucoup aidé dans mon enquête. Et aussi Haibara.
- Alors c'est bien elle que j'ai vue tout à l'heure ?
- Oui. Elle faisait partie de l'organisation et elle est responsable de la création de ce poison. Mais après qu'ils aient tué sa sœur aînée, elle les a trahis. Elle a été également changée en enfant pour échapper à leur vigilance. Ses connaissances scientifiques ont aidé le professeur Agasa à trouver l'antidote.
Mon cœur se serre à nouveau. Mon corps tremble malgré son toucher. Tant de personnes ont été mises dans le secret. Cependant, on m'en a toujours tenu éloigné. Je fus prise de soubresaut à cause de nouvelle larme qui menace d'inonder mon visage. Ses doigts glissent sous mon menton pour me forcer à plonger dans ses prunelles.
- Je t'avais promis de revenir et bien que ça m'a pris du temps, je suis là. Et je ferai tout pour qu'on ne soit plus jamais séparé.
- Non.
- Non ?
- Je ne veux pas que tu fasses une autre promesse en l'air de ce genre. Mon cœur ne pourrait pas le supporter.
- Moi non plus.
Mes prunelles glissent sur son visage comme pour imprimer chacun de ses traits dans mon esprit. L'une de mes mains s'agrippe autour de son poignet qui maintient mon regard dans le sien. Il la fait glisser derrière mon oreille puis le long de ma nuque. Je ne romps pas notre échange visuel. Il déglutit, la gorge sèche à cause de l'émotion.
- Tu es bien trop importante pour moi.
- Vraiment ?
- Oui. Tu es la seule et unique que j'aime, du plus profond de mon cœur.
Les battements de mon cœur s'accélèrent comme s'il vient de faire les montagnes russes. Ma gorge s'assèche à mon tour. Shinichi m'avoue ses sentiments pour moi. Je reste tétaniser, sous le choc par une telle révélation. Je ne suis plus capable d'effectuer le moindre mouvement. Il m'adresse un sourire timide qui me fait fondre davantage.
- Si seulement tu pouvais me pardonner, Ran.
- Bien sûr.
- C'est vrai ?
- Je suis incapable de t'en vouloir bien longtemps. Tu le sais bien.
Je lui adresse un fin sourire, faisant agrandir le sien. Ses prunelles s'illuminent. Puis, il prit soudainement mes lèvres en otages. J'écarquille les yeux en comprenant ce qu'il se passe. Mes membres s'activent à nouveau. Mes doigts glissent dans ses cheveux, trouvant refuge dans sa nuque. Ses mains se posent sur mes hanches, m'attirant un peu plus à lui.
Je profite de ce baiser partagé en fermant finalement les yeux. Je soupire d'aise. J'ai l'impression d'avoir guetté ce moment toute ma vie. Mon bas-ventre s'électrise en un millier de papillons. Sa langue effleure mes lèvres que j'entrouvre afin de lui en donner l'accès. Mon cœur se gonfle d'une douce chaleur réparatrice. Je serai prête à subir un millier de fois la colère de cette organisation pour pouvoir sentir encore et encore ses lèvres sur les miennes. Maintenant que je peux l'appeler « mon petit-ami », je ne suis pas prête à le laisser s'envoler. Ho non, plus jamais.
Tumblr media
Si vous souhaitez lire d'autres OS voici le lien de mon livre d'histoire courte dispo sur Wattpad : Cliquez ici
2 notes · View notes
les-degustations-ugo · 2 years ago
Text
🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, Connaissez-vous les Pouilly-Fuissé blanc en 1er Cru ❓❓🇫🇷
Tumblr media
🍇🍷AOP Pouilly-Fuissé 1er Cru 2020 cuvée La Frérie de la @maisonauvigue 🍇🍷:
🍇 :
100% Chardonnay
Roches sédimentaires du crétacé, type argilo-calcaire avec des argiles rouges indiquant la présence d’oxyde de fer.
🏺:
Elevage sur lies fines pendant environ 11 mois en fûts, suivi d’un affinage de 5 mois en cuve inox. La fréquence du bâtonnage est adaptée en fonction des caractéristiques du millésime. 
👁️ :
Robe de couleur jaune or
👃 :
Un nez sur des notes de fleurs blanches et abricot
💋 :
En bouche, on a un vin qui allie fraîcheur et rondeur. Sur des arômes d'abricot, de miel, d'agrumes. L'élevage en fûts, très discrets, apporte de la finesse et de l'onctuosité. Une bonne longueur en bouche avec une finale sur des notes de truffes et de fruits à coque torréfiée.
📜En résumé📜 :
Un gros coup de cœur pour ce beau Pouilly-Fuissé élégant, gourmand avec de la fraîcheur en bouche. Une belle dégustation que je vous recommande.
🧆Dégusté sur des Noix de Saint Jacques poêlées🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Ris de veau, Andouille, Bar farci aux herbes, Blanquette de cabillaud, fromages de chèvre.....
.
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine  pour voir toutes les cuvées et promotions du moment📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré. 
#lesdegustationsugo #vinplaisir #dégustations #aperotime #explosiondeplaisirs #winetasting #winetastings #œnologie #winelife #winelove #winelovers #wine #wineinsta #wineinstagram  #glouglou #winewinewine #winewinewine🍷 #winewine  #wineinfluencer #redwine #instagram #instagood #vinsdefrance #instawine #winetasting #vinsrouges #winelover #winelover #vinstagram
___________________________________________
🗣️🇫🇷Description du domaine @maisonauvigue 🗣️🇫🇷
On ne nait pas dans la famille Auvigue sans avoir le cœur qui bat pour les terroirs du Pouilly-Fuissé. Depuis fort longtemps, les pas de Sylvain Brenas-Auvigue, arrière-petit fils du fondateur de la maison éponyme, sillonnent les vignobles qui entourent les villages de Pouilly et de Fuissé.
Ce dernier a repris la Maison Auvigue en 2016. Il aime par-dessus tout le Mâconnais Sud et ses vignes. C’est dans cet écrin, autour de la Roche de Solutré que les vignobles, véritables orgues à arômes, produisent des raisins qui donneront naissance à des vins remarquables. C’est parce qu’il a suivi leur évolution campagne après campagne, qu’il a accompagné la transformation des raisins de chacune d’entre elles, que Sylvain connaît par cœur chacune des parcelles qu’il exploite. Que ce soit les 8 hectares de « Pouilly-Fuissé » en propriété ou celles de ses amis et partenaires vignerons, qui collaborent avec la Maison Auvigue depuis fort longtemps.
A la vigne, c’est une attention de chaque instant qu’il dispense. Céline Hirsch, qui l’a rejoint dans l’aventure en 2018, a en charge le vignoble et le travail de cave. L’un et l’autre sont sur la même longueur d‘onde : pas de concession et peu de compromis ! Cette approche est aussi valable en cave. Pour l’un et l’autre, chaque intervention doit être justifiée et réduite au strict minimum, que ce soit en conventionnel ou en biologique.
Pas question de brouiller les pistes, les vins doivent avoir le champ libre pour se révéler.
Le regard se porte sur les fûts qui protègent les précieux nectars, l’oreille se tend à l’écoute de l’évolution du vin.
___________________________________________
⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓ Hello corkscrew lovers.  And you, do you know the white Pouilly-Fuissé in 1er Cru ❓❓🇬🇧
🍇🍷AOP Pouilly-Fuissé 1er Cru 2020 cuvée La Frérie de la @maisonauvigue 🍇🍷:
🍇:
100% Chardonnay
Sedimentary rocks from the Cretaceous, clay-limestone type with red clays indicating the presence of iron oxide.
🏺:
Aging on fine lees for about 11 months in barrels, followed by a 5-month refining in stainless steel vats.  The frequency of stirring is adapted according to the characteristics of the vintage.
👁️:
Golden yellow dress
👃:
A nose with notes of white flowers and apricot
💋:
On the palate, we have a wine that combines freshness and roundness.  On aromas of apricot, honey, citrus.  Aging in very discreet barrels brings finesse and smoothness.  A good length in the mouth with a finish on notes of truffles and roasted nuts.
📜In summary📜:
We fell in love with this beautiful, elegant, gourmet Pouilly-Fuissé with freshness on the palate.  A beautiful tasting that I recommend.
🧆 Tasted on pan-fried scallops 🧆.
🍷 Some food and wine pairings possible with this cuvée 🍷: Calf sweetbread, Andouille, Bar stuffed with herbs, Blanquette of cod, goat cheese.....
.
📌 Don't forget, drinking a cannon is saving a winemaker.  Go see the domain's website to see all the vintages and promotions of the moment 📌.
.
🔞 "Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation"🔞 Most of the wines have been tasted and spat out.  Unpaid tasting.
.
#lesdegustationsugo #vinplaisir #dégustations #aperotime #explosiondeplaisirs #winetasting #winetastings #œnologie #winelife #winelove #winelovers #wine #wineinsta #wineinstagram  #glouglou #winewinewine #winewinewine🍷 #winewine  #wineinfluencer #redwine #instagram #instagood #vinsdefrance #instawine #winetasting #vinsrouges #winelover #winelover #vinstagram 
___________________________________________
🗣️🇬🇧Description of @maisonauvigue 🗣️🇬🇧
You are not born into the Auvigue family without having a heart that beats for the terroirs of Pouilly-Fuissé.  For a very long time, the footsteps of Sylvain Brenas-Auvigue, great-grandson of the founder of the eponymous house, have crisscrossed the vineyards surrounding the villages of Pouilly and Fuissé.
The latter took over Maison Auvigue in 2016. Above all, he loves the Mâconnais Sud and its vines.  It is in this setting, around the Roche de Solutré, that the vineyards, veritable aroma organs, produce grapes that will give birth to remarkable wines.  It is because he has followed their development campaign after campaign, that he has accompanied the transformation of the grapes of each of them, that Sylvain knows by heart each of the plots he cultivates.  Whether it's the 8 hectares of "Pouilly-Fuissé" owned or those of his friends and winegrower partners, who have been collaborating with Maison Auvigue for a very long time.
In the vineyard, he provides constant attention.  Céline Hirsch, who joined him in the adventure in 2018, is in charge of the vineyard and the cellar work.  Both are on the same wavelength: no concessions and few compromises!  This approach is also valid in the cellar.  For both, each intervention must be justified and reduced to the strict minimum, whether conventional or organic.
No question of covering the tracks, the wines must have the free field to reveal themselves.
The gaze falls on the barrels that protect the precious nectars, the ear strains to listen to the evolution of the wine.
___________________________________________
🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi.  E tu, conosci il Pouilly-Fuissé bianco in 1er Cru❓❓🇮🇹
🍇🍷AOP Pouilly-Fuissé 1er Cru 2020 cuvée La Frérie de la @maisonauvigue 🍇🍷:
🍇:
100% Chardonnay
Rocce sedimentarie del Cretaceo, di tipo argilloso-calcareo con argille rosse che indicano la presenza di ossido di ferro.
🏺:
Affinamento sulle fecce fini per circa 11 mesi in botte, seguito da un affinamento di 5 mesi in vasche di acciaio inox.  La frequenza dei rimescolamenti è adeguata alle caratteristiche dell'annata.
👁️:
Abito giallo dorato
👃:
Naso con note di fiori bianchi e albicocca
💋:
Al palato abbiamo un vino che unisce freschezza e rotondità.  Su aromi di albicocca, miele, agrumi.  L'invecchiamento in botti molto discrete apporta finezza e morbidezza.  Buona lunghezza in bocca con un finale su note di tartufo e noci tostate.
📜In sintesi📜:
Ci siamo innamorati di questo Pouilly-Fuissé bello, elegante, gourmet con freschezza al palato.  Una bella degustazione che consiglio.
🧆 Degustato su capesante saltate in padella 🧆.
🍷 Alcuni abbinamenti enogastronomici possibili con questa cuvée 🍷: Animella di vitello, Andouille, Barretta ripiena alle erbe, Blanquette di baccalà, formaggio di capra.....
.
📌 Non dimenticare, bere un cannone è salvare un enologo.  Vai a vedere il sito del dominio per vedere tutte le annate e le promozioni del momento 📌.
.
🔞 "L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione"🔞 La maggior parte dei vini è stata assaggiata e sputata.  Degustazione non pagata.
________________________________________
🗣️🇮🇹Descrizione i @maisonauvigue 🗣️🇮🇹
Non nasci nella famiglia Auvigue senza avere un cuore che batte per i terroir di Pouilly-Fuissé.  Per molto tempo, le orme di Sylvain Brenas-Auvigue, pronipote del fondatore dell'omonima casa, hanno attraversato i vigneti che circondano i paesi di Pouilly e Fuissé.
Quest'ultimo ha rilevato la Maison Auvigue nel 2016. Soprattutto, ama il Mâconnais Sud e i suoi vitigni.  È in questa cornice, intorno alla Roche de Solutré, che i vigneti, veri e propri organi aromatici, producono uve che daranno vita a vini straordinari.  È perché ha seguito il loro sviluppo campagna dopo campagna, che ha accompagnato la trasformazione delle uve di ciascuno di loro, che Sylvain conosce a memoria ogni appezzamento che coltiva.  Che si tratti degli 8 ettari di proprietà di "Pouilly-Fuissé" o di quelli dei suoi amici e soci viticoltori, che collaborano da molto tempo con Maison Auvigue.
In vigna presta un'attenzione costante.  Céline Hirsch, che lo ha affiancato nell'avventura nel 2018, si occupa dei lavori in vigna e in cantina.  Entrambi sono sulla stessa lunghezza d'onda: nessuna concessione e pochi compromessi!  Questo approccio vale anche in cantina.  Per entrambi, ogni intervento deve essere giustificato e ridotto al minimo indispensabile, sia convenzionale che biologico.
Non si tratta di coprire le tracce, i vini devono avere campo libero per svelarsi.
Lo sguardo cade sulle botti che proteggono i preziosi nettari, l'orecchio tende ad ascoltare l'evoluzione del vino.
2 notes · View notes
claudehenrion · 2 years ago
Text
L'UE ''en état de mort cérébrale'' ?
   Le Royaume-Uni a préféré faire face à d'énormes difficultés économiques et politiques plutôt que de rester dans l'étouffoir bruxellois, enrégimenté, pervers, et amoral puisque progressiste... Le pseudo couple franco-allemand bat de l'aile sans avoir jamais existé –sauf dans les rêves d'enfants de cœur... L'Italie est ''sous surveillance'' pour avoir fait un ''mauvais choix'' (?)... Les pays dits ''du Pacte de Visegrad'' ont de plus en plus raison... Ursula poursuit ses dérapages aux relents nauséabonds... Et l'Ukraine souligne la dépendance aux USA de cette soi-disant ''Europe'' qui n'est plus qu'une usine à gaz, normative, liberticide et de plus en plus lourde à subir, à laquelle les peuples tournent le dos.... L'Europe, c'est quoi ?
Le 7 novembre 2019, Emmanuel Macron, pour une fois bien inspiré (c'est si rare qu'il faut le souligner !) avait déclaré : ''l'Otan est en état de mort cérébrale'' (seul ennui, la mort clinique n'a pas suivi : cela nous eût épargné la calamiteuse gestion de la crise du covid et l'actuelle crise ukrainienne qui, de moins en moins limitée, risque d'exploser, à tout instant, en un champignon vénéneux). La tentation est grande, de se demander si ce ne serait pas l'Europe, qui est en état de mort cérébrale... à ceci près qu'il eût fallu qu'elle ait un cerveau... alors que, à la place de cet organe de toute première nécessité, on trouve, et ''c'est vraiment pas de bol'', la pernicieuse Ursula ''Von der des der'' qui est aussi dangereuse (et aussi ''con'', mais des choses comme ça ne s'écrivent pas ! Je ne vais donc pas l'écrire) qu'elle est jolie ! (NDLR : c'est dire combien elle est belle !). Il ne reste guère que la grosse Commission du Berlaymont dont les membres croient encore pouvoir nous persuader que quelque chose de bon pourrait sortir de... rien !
''Couac'' qu'il en soit (orthographe de circonstance), les membres de l'Union s’opposent sur tout. Nous sommes entrés –durablement, semble t-il-- dans une ère du ''chacun pour soi'', au grand dam du président français (qui est le seul à n'avoir rien compris à cette nouvelle distribution des cartes). Même une crise majeure comme la guerre Russie-Ukraine, dont on a pu croire qu'elle allait resserrer les liens entre les nations européennes, n'a pu le faire autrement que ''en façade'' et ''en paroles'', sur des sujets qui peuvent paraître faire consensus, feu artificiel plus que d'artifice dont les excès-mêmes auraient du attirer l'attention (NDLR - J'écrivais ici-même le 27  février dernier, (éditorial n°1375) : ‘'Mourir pour Kiev ?  Après un ''baroud d'honneur'', la réponse est maintenant connue, et c'est NON. L’Union européenne n'est pas prête à sacrifier son bien-être, même pas à avoir un peu froid ! La solidarité avec Kiev, les discours creux ruisselants de pseudo ''valeurs'' réinventées, et les grands serments, la main sur le cœur ? Un tsunami de bluffs''... qu'on essaye de faire oublier, à coup de tanks Abrams de 60 tonnes ou Leopard à 6 millions de US $ l'un... qui sont autant de chiffons rouges qu’on agite pour exciter Poutine ! A force de flirter avec la ''zône rouge'', on va finir vitrifiés ! Les soi-disant ''experts-télé'', ces va-t-en guerre, s'en pourlèchent d'avance les badigoinces !
Après l'illusion des premières années ''post CEE'', la crise larvée qui finira inévitablement par éclater au grand jour (la seule question étant : ''quand ?'') s'est peu à peu structurée, à travers quelques grandes étapes : le rêve des années '60... le réajustement des années '70... le sursaut des années '80... le relâchement des années '90... l'effondrement des années 2000... les mensonges et les promesses intenables des années 2010... et la chute terminale qui sera, tout porte à le croire, pour les années 2020. Contrairement à des espoirs insensés  –dont ceux de notre Président, qui est le dernier (donc le seul) dirigeant européen à rêver encore à cette caricature d'Europe et à une souveraineté européenne qui croyait trouver une excuse dans sa jeunesse et son inexpérience abyssale-- l'union sacrée n'a pas eu lieu... Ces naïfs répétaient qu'ils attendaient un prodige, pendant que, au même moment, ils tiraient chacun de son côté. Ah ! Les cons ! Et... ''pauvres de nous'' !
Devant l'ampleur d'un tel désastre annoncé (voir le prix que paie le Royaume Uni pour s'être libéré de cette hydre –qui est si juteuse, pour les prébendiers qui la servent, qu'ils rendent presque impossible de se libérer de ses griffes), la question qui se pose est, évidemment : ''Que reste-t-il de l'Union européenne voulue par les ''Pères Fondateurs'' ? ''. Cette question paraît incongrue à beaucoup, tant nous sommes imprégnés par une phraséologie qui parle (dans le vide) d'une Union prétendue évidente et dite incontestable, travestie avec emphase et approximation par des formules incroyables telles que : ''La France est notre patrie, l’Europe est notre avenir'' (ça, c'est du Mitterrand. Ça ne veut rien dire !), ou : ''Il y a une souveraineté européenne à construire'' (celle-là est de Macron. Même remarque). Ces verbiages n'ont aucun sens... Ils peuvent faire illusion et même sembler beaux... tant qu'on ne voit pas qu'ils sont désespérément vides !
Je regardais hier une récente vidéo de la ''sulfurieuse'' Ursula (NDLR - je promets que le ''i'' (bienvenu) dans ''sufurieuse'' est involontaire. Ce n'est qu'à la relecture que je m'en suis aperçu... et ai décidé de le garder : il est trop beau, trop vrai !) : elle était toute vêtue en bleu et jaune, aux couleurs de l'Ukraine, comme une insulte à la neutralité-de-fonction due à son job. J'attends avec impatience le ''thésard'' qui osera lister tout le mal qu'elle a pu causer, à elle toute seule, à l'Europe, à la civilisation, à l'humanité, à la paix dans le monde... et aussi à l'intelligence ! Elle vaut Erdoģan ! Mais contre tout ce qu'elle croit, raconte ou représente, il reste un espoir : l’Histoire nous enseigne que c’est à l’épreuve de la guerre que les peuples prennent conscience de leur identité (l'Ukraine illustrant parfaitement cette vieille sagesse des nations). Un espoir, donc, mais aussi une crainte : dans ce cas précis, il semblerait plutôt que, par une ruse dont l’Histoire est coutumière, la guerre a rouvert les cicatrices mal fermées des précédentes crises.
Un seul point d'interrogation subsiste : y aura-t-il un miracle qui nous sauvera ? Et si ''oui'', nos vieilles nations, épuisées par des décennies –ou par trois siècles, si on prend 1792 pour ''point zéro'' de notre décadence-- d'attaques ininterrompues et de guerres ravageuses entre membres d'une même famille, auront-elles encore la force, le ressort et la santé morale pour rebondir ? Rien ne permet d'en être certain. Et en attendant, ce machin abusivement appelé l'Europe, plus proche d'une déroute programmée que d'un chemin vers l'espoir, s'élargit à l'infini : n'ayant rien de moral, d'intellectuel, de culturel, et surtout pas d'intelligent à proposer comme ''projet à partager'', elle se rabat sur la taille en km² et la contrainte normative des citoyens.
L'arrivée de la Croatie (pays sympathique, mais c'est hors sujet) dans le pervers et mortifère ''espace Schengen'' et sans doute de l'Ukraine, bientôt –qui pourtant ''coche un minimum de cases''-- n'est qu'une étape de plus vers la Turquie, à qui personne n'a jamais osé dire que ce n’est que comme envahisseur indésirable qu’elle a jamais joué un rôle en Europe... qu'elle aimerait tellement torpiller une bonne fois pour toutes, de l'intérieur...  Mais nos européâtres sont si stupides, si incultes et si confits dans leur ''maso-aveuglement''... qu'ils finiront bien par inviter le renard dans le poulailler : ils semblent avoir fait le choix criminel de ne considérer souhaitables que les chemins sans issue et conséquences autres qu'effroyables !
H-Cl.
2 notes · View notes
monhijabmodest · 1 month ago
Text
Robe de prière : Élégance et Confort au Quotidien
La robe de prière est un vêtement essentiel pour de nombreuses femmes musulmanes qui cherchent à allier confort, modestie et spiritualité. Lors des prières quotidiennes, ce vêtement permet de se concentrer pleinement sur l'acte de dévotion tout en restant couverte et élégante. Mon Hijab Modest propose une gamme de robe de prière qui respectent à la fois les exigences de la tradition islamique et le besoin de style et de confort au quotidien.
Tumblr media
L'importance de la modestie dans la prière
Dans l'Islam, la prière (salat) est un moment sacré, et la robe de prière en est une partie intégrante. Elle doit être ample et couvrante, tout en offrant la liberté de mouvement nécessaire pour accomplir les gestes de la prière. La modestie, qui est au cœur de l'identité musulmane, se reflète à travers ce vêtement. En plus de sa fonction spirituelle, la robe de prière est un symbole de respect envers soi-même et envers Dieu.
Confort et praticité au quotidien
Chez Mon Hijab Modest, nous comprenons que la praticité est primordiale dans le choix de vêtements religieux. Nos robes de prière sont conçues pour être légères et faciles à porter, tout en garantissant un ajustement parfait. Fabriquées avec des tissus doux et respirants, elles vous permettent de vous concentrer pleinement sur vos prières sans être gênée par la chaleur ou l'inconfort. Que ce soit pour les prières quotidiennes, les prières de Tarawih pendant le mois de Ramadan, ou pour toute autre occasion spirituelle, nos robes de prière sont idéales.
Des modèles modernes et élégants
La robe de prière n'est plus simplement un vêtement utilitaire. Elle est devenue un moyen d'expression du style tout en respectant les principes de modestie. Les robes de prière de Mon Hijab Modest allient élégance et simplicité, avec des couleurs et des modèles qui conviennent à toutes les préférences. Que vous préfériez une robe de prière unie, avec des détails subtils, ou une version plus moderne avec des éléments décoratifs, notre collection vous offre un large choix.
Les robes de prière de notre boutique en ligne sont disponibles dans des tissus comme le jersey, la soie ou le coton, pour un maximum de confort tout au long de la journée. La coupe ample et la longueur généreuse des robes garantissent une couverture parfaite sans compromettre votre confort.
Accessibilité et éthique
Depuis sa création en juin 2020, Mon Hijab Modest s'engage à offrir des produits de qualité à des prix abordables. Chaque robe de prière que nous proposons est soigneusement sélectionnée pour répondre aux besoins des femmes modernes qui cherchent à maintenir leur style tout en respectant leur budget. Nous mettons également un point d'honneur à suivre des pratiques éthiques dans la production et la sélection de nos vêtements, afin de vous offrir non seulement des produits accessibles mais aussi responsables.
Conclusion
Choisir une robe de prière de Mon Hijab Modest, c'est choisir une pièce de vêtement qui respecte vos principes religieux tout en étant à la pointe de l'élégance et du confort. Nous nous efforçons de vous offrir une gamme de produits qui vous permettent de prier en toute sérénité, tout en mettant en valeur votre style personnel. Découvrez notre collection et faites de chaque prière un moment de paix et de beauté.
1 note · View note
spiritgamer26 · 5 months ago
Text
Ace Attorney Investigations Collection
Tumblr media
https://www.youtube.com/watch?v=PLFMaakr_xg
Ace Attorney Investigations : Miles Edgeworth, Toujours en Haut du Podium
Les fans de jeux vidéo connaissent bien les montagnes russes émotionnelles que peuvent provoquer leurs séries favorites. Entre des franchises iconiques qui sombrent parfois dans l’oubli après des suites ratées, et la pression constante des studios pour sortir des jeux à la chaîne, il est rare qu’une saga reste intacte. Pourtant, certains titres parviennent à traverser les âges sans perdre leur éclat. Et Ace Attorney fait justement partie de ces rares élus. Bien sûr, même Ace Attorney a connu quelques turbulences. Phoenix Wright et sa bande ont vu passer différents scénaristes, notamment Shu Takumi, le créateur originel, qui n’a pas toujours été aux commandes. Dans certains chapitres, il a laissé la plume à Takeshi Yamazaki, qui a introduit des changements discutés mais globalement bien accueillis. En dépit des critiques, Yamazaki a maintenu la série vivante avec brio jusqu'à son départ en 2020. Il est vrai que ses jeux, notamment les deux Investigations, ne possèdent peut-être pas la cohérence narrative des épisodes signés Takumi. Mais même là, les personnages excentriques et mémorables sont toujours au rendez-vous, avec un petit coup de cœur pour Kay, la jeune et pétillante assistante. Parmi les œuvres de Yamazaki, les deux spin-offs Ace Attorney Investigations se démarquent, centrés sur l’un des personnages les plus adorés de la saga : Miles Edgeworth. Ce procureur rigide et brillant, d’abord antagoniste dans le premier jeu, a rapidement conquis les cœurs des fans. Et si le premier opus de Investigations a été bien accueilli chez nous, le second est resté tristement confiné au Japon. Pourquoi ? Capcom n’a tout simplement pas jugé bon d’investir dans une localisation à l’époque, jugeant les projections de ventes trop faibles. Un choix qui a laissé un goût amer, d’autant que ce deuxième épisode, bien qu’ayant ses défauts, était tout aussi solide que les autres volets de la série. Capcom sort Ace Attorney Investigations Collection. Cette compilation remasterisée propose des graphismes retravaillés et, surtout, inclut les deux épisodes. Alors, après toutes ces années, Miles Edgeworth et ses enquêtes sont-ils toujours dignes de votre attention ? La réponse est un retentissant "Oui !" Certes, les mécaniques de jeu n’ont pas radicalement changé, mais la qualité d’écriture, les personnages excentriques et les affaires tortueuses qui ont fait le succès de la série sont toujours là, avec un petit coup de neuf graphique qui ne fait pas de mal. Que vous soyez un vétéran de la saga ou un néophyte curieux, cette collection mérite sans hésitation une place dans votre bibliothèque. En conclusion, Ace Attorney Investigations prouve que certaines sagas, même avec quelques bas, savent maintenir une qualité exemplaire sur la durée. Quant à Miles Edgeworth, il continue de briller, encore et toujours, même après toutes ces années.
Ace Attorney Investigations : Miles Edgeworth au Mauvais Endroit, Mais pour le Meilleur Récit
Si vous avez suivi la saga Ace Attorney depuis ses débuts, les intrigues des deux spin-offs Investigations ne vous dépayseront pas. Cette fois, c’est Miles Edgeworth qui endosse le rôle principal, se retrouvant mêlé, sans grande surprise, à une série de meurtres aux ramifications internationales. Le tout gravite autour du mystérieux voleur Yatagarasu et d’un complot nébuleux où même Interpol entre en scène. Une trame intrigante, certes, mais pas totalement étrangère aux précédentes aventures signées Shu Takumi. Exit les salles d’audience et les "OBJECTION !" tonitruants de Phoenix Wright. Cette fois-ci, les confrontations se déroulent directement sur les scènes de crime, sans passer par la case tribunal. Miles, toujours au mauvais endroit au mauvais moment (merci, le destin), doit user de ses talents de procureur pour interroger un casting haut en couleur et découvrir ce qui s’est réellement passé. La mécanique de jeu diverge ici du classique Ace Attorney : les phases d’investigation prennent une place prépondérante, avec des objets à dénicher et des indices à collecter, façon aventure point-and-click. C’est là que les Investigations se démarquent nettement des affaires de Phoenix Wright, avec une structure unique et rafraîchissante dans l’univers de la série. Ces mécaniques distinctives apportent une bonne dose de diversité, que les fans ont souvent perçue comme un point très positif. Mais malgré cette innovation, les enquêtes d’Edgeworth peinent à égaler les chapitres les plus emblématiques de la série. La faute à une narration un peu moins cohérente, sans doute due à la diversité des auteurs après le retrait de Shu Takumi. Le premier Investigations pâtit d’un certain essoufflement vers sa fin, là où d’autres épisodes brillaient de bout en bout. Pourtant, ne vous y trompez pas : malgré ces faiblesses relatives, les deux spin-offs regorgent des éléments classiques qui font le charme de la saga Ace Attorney. Personnages excentriques, twists à gogo, et rebondissements inattendus sont toujours de la partie. En somme, Ace Attorney Investigations peut ne pas atteindre les sommets des chefs-d’œuvre de Takumi, mais il se maintient tout de même en haute altitude. Les enquêtes d’Edgeworth, malgré quelques défauts, offrent encore aujourd’hui des moments de pur plaisir pour tout amateur de la saga.
Les Enquêtes de Miles Edgeworth ou l’Art de Ne Pas Oublier un Détail
Quand on parle de différences mécaniques dans Ace Attorney Investigations, on ne s’éloigne pas tant que ça du schéma classique de la série. Comme Phoenix Wright, Miles Edgeworth doit examiner attentivement les déclarations de ses interlocuteurs, traquant la moindre faille logique pour les coincer à coup de preuves et d'informations glanées lors des phases d'enquête. La vraie nouveauté ici réside dans ces phases d'investigation : elles obligent à affûter sa logique dès l’exploration des lieux de crime, avec des indices visuels à relier entre eux pour élaborer des théories solides, réutilisables plus tard lors des confrontations. Cependant, il n’est pas rare de se heurter à des liens logiques un peu tirés par les cheveux, qui forcent à aiguiser ses compétences d'enquêteur. Cela peut sembler anodin, mais les jeux de la série Ace Attorney ne sont pas réputés pour leur facilité, et ce n’est pas différent pour Investigations. À mesure que l'on progresse, les indices deviennent plus subtils, les connexions logiques plus complexes, et les affaires de plus en plus délicates à résoudre. Les fans chevronnés auront sans doute peu de mal à assembler les pièces du puzzle, mais pour les autres, le défi se corse rapidement. Et attention : chaque erreur grignote un peu de la barre d’endurance d’Edgeworth, menant éventuellement à une "mauvaise fin". Si vous ne voulez pas finir par recharger votre partie à chaque mauvaise déduction, il est essentiel de prêter une attention méticuleuse aux détails et de se rappeler ce que chaque témoin a déclaré. Pour les têtes en l'air, pas de panique : la collection introduit un ajout salvateur sous la forme d’un historique de dialogues, absent dans les jeux originaux. C'est loin d'être une révolution, mais quand on est en pleine tempête cérébrale, c'est un outil plus qu’apprécié. Grâce à cette fonctionnalité, il est désormais possible de relire les discussions passées et éviter de perdre le fil. Un détail, certes, mais dans une série où chaque mot compte, un détail qui fait toute la différence.
La Série de Miles Edgeworth entre Réinvention et Manque de Traditions
Dans la série Ace Attorney Investigations, la deuxième aventure, Ace Attorney Investigations 2, se distingue nettement du premier épisode grâce à l’introduction de deux nouvelles mécaniques : le "Little Thief" et les "échecs mentaux". Le "Little Thief" est une machine qui permet de reconstituer virtuellement une scène de crime déjà nettoyée. Cette fonctionnalité ajoute une couche de complexité intéressante à la phase de recherche de preuves, offrant la possibilité de comparer directement les éléments d’une carte avec sa reconstruction virtuelle. En revanche, les "échecs mentaux" — des comparaisons temporelles nécessitant de savoir quand interroger un témoin et quand le presser — nous ont laissés un peu sceptiques. Cette mécanique simplifiée des comparaisons habituelles n’apporte pas grand-chose de nouveau et paraît souvent superflue. Bien que tous les ajouts ne soient pas des réussites éclatantes, le deuxième chapitre l’emporte largement sur le premier. L'histoire se concentre davantage sur Miles Edgeworth, qui dans le premier opus était paradoxalement moins central malgré son rôle de protagoniste. Le rythme de la campagne est également plus soutenu, bien que la dernière phase du premier jeu, excessivement longue, traîne un peu en longueur après la meilleure révélation, sans vraiment redresser la barre. Étant donné que cette collection ne modifie pas le contenu des jeux originaux, ces défauts persistent, affectant l'expérience globale. Pour alléger la monotonie des énigmes répétitives, un mode histoire est disponible, permettant de résoudre automatiquement les puzzles. Ce mode ne vous permettra pas de débloquer tous les succès, mais il améliore le flux des phases moins réussies du premier jeu. En outre, la possibilité de jouer directement à chaque étape des chapitres grâce à la sélection libre est un atout pour ceux qui veulent éviter les longueurs. Techniquement, Ace Attorney Investigations reste fidèle à ses origines Nintendo DS. Ne vous attendez pas à des miracles visuels : les graphismes 2D et les animations limitées des personnages restent inchangés, avec un doublage assez limité. Cependant, Capcom a réalisé un excellent travail en remasterisant la bande-son et en réajustant les sprites avec soin. Les graphismes pixel art d'origine n'ont pas pris une ride, et il est même possible de revenir au style visuel original avant de commencer à jouer, bien que l'option de remplacement immédiate en cours de jeu manque. L’interface a également été adaptée avec soin pour les écrans non tactiles, ce qui est un plus considérable.
Tumblr media
Read the full article
0 notes
latribune · 6 months ago
Link
0 notes
celtic-cd-releases · 7 months ago
Link
https://www.tiennetsimonnin.fr/
https://www.facebook.com/tiennet.simonnin
https://tiennetsimonnin.bandcamp.com/.../the-besom-in-bloom
1 note · View note
a-solitary-sea-rover-backup · 8 months ago
Text
After the 2020 edition of the Vendée Globe generated unprecedented interest, the elite solo round the world race increased the number of places at the start to 40 IMOCA competitors for the 2024 edition. 
The qualification rules had been strengthened since 2020, which required the sailors to take the start of two solo races and finish at least one of them between 2022 and 2024, in a time that does not exceed the winner’s time plus 50%. Among the 44 entrants, 42 skippers managed to qualify.
The limit was deemed necessary for safety reasons and to preserve the unique and exceptional characteristics of this race, with organizers having to make the final cut for the entrants to start on November 10, 2024.
2024 Entrants: • Fabrice Amedeo (Nexans – Wewise) – FRA • Romain Attanasio (Fortinet – Best Western) – FRA • Eric Bellion (STAND AS ONE) – FRA • Yannick Bestaven (Maître CoQ V) – FRA • Jérémie Beyou (Charal) – FRA • Arnaud Boissières (La Mie Câline) – FRA • Louis Burton (Bureau Vallée) – FRA • Conrad Colman (MS Amlin) – USA/NZL • Antoine Cornic (Human Immobilier) – FRA • Manuel Cousin (Coup de Pouce) – FRA • Clarisse Crémer (L’Occitane en Provence) – FRA • Charlie Dalin (MACIF Santé Prévoyance) – FRA • Samantha Davies (Initiatives-Cœur) – GBR • Violette Dorange (DeVenir) – FRA • Louis Duc (Fives Group – Lantana Environnement) – FRA • Benjamin Dutreux (GUYOT environnement – Water Family) – FRA • Benjamin Ferré (Monnoyeur – Duo for a Job) – FRA • Sam Goodchild (VULNERABLE) – GBR • Pip Hare (Medallia) – GBR • Oliver Heer (Oliver Heer Ocean Racing) – SUI • Boris Herrmann (Malizia – Seaexplorer) – GER • Isabelle Joschke (MACSF) – FRA/GER • Jean Le Cam (Tout commence en Finistère – Armor-lux) – FRA • Tanguy Le Turquais (Lazare) – FRA • Nicolas Lunven (Holcim – PRB) – FRA • Sébastien Marsset (Foussier) – FRA • Paul Meilhat (Biotherm) – FRA • Justine Mettraux (TeamWork – Team SNEF) – SUI • Giancarlo Pedote (Prysmian) – ITA • Yoann Richomme (Paprec Arkéa) – FRA • Alan Roura (Hublot) – SUI • Thomas Ruyant (VULNERABLE) – FRA • Damien Seguin (Groupe APICIL) – FRA • Kojiro Shiraishi (DMG MORI Global One) – JPN • Sébastien Simon (Groupe Dubreuil) – FRA • Maxime Sorel (V and B – Monbana – Mayenne) – FRA • Guirec Soudée (Freelance.com) – FRA • Denis Van Weynbergh (D’Ieteren Group) – BEL • Szabolcs Weöres (New Europe) – HUN • Jingkun Xu (Singchain Team Haikou) – CHN
0 notes
omagazineparis · 9 months ago
Text
Cette saison, les méduses se réinventent !
Tumblr media
Les sandales mythiques de notre enfance reviennent en force cet été 2020. Plage, campagne, ville, en PVC ou bien cuir les méduses se réinventent, se déclinent et s’adaptent à toutes nos envies. Le mois de juin pointe déjà le bout de son nez et une même paire de chaussures revient déjà chez plusieurs instagrameuses. Les méduses font un effet un retour surprenant dans nos dressings cet été tout en se réinventant. https://www.instagram.com/p/B-ev44SpRmt/?utm_source=ig_web_copy_link Les méduses : incontournables de l’été Made in France Les méduses, sandales françaises ? Et oui ! Plus précisément originaire du Puy-de-Dôme, où elles ont été créées en 1946 par Jean Dauphant. Bien qu’aujourd’hui la forme la plus connue est en PVC transparent elle n’était à l’origine qu’une simple galoche. Le plastique s'impose très vite comme composant principal de cette sandale dans une après-guerre où le cuir se faisait rare. La méduse devient rapidement un incontournable pour les vacanciers français grâce notamment à sa résistance à l’eau, idéal pour les plages. Côté chiffres, enviros 400 000 paires sont vendues par an dans le monde. Mais alors avec quoi porter la méduse cet été? On peut casser le côté enfantin et son image de "ugly shoes" avec un look plutôt romantique chic. Robe longue à fleur, pantalon avec des imprimés classiques comme des rayures avec une blouse blanche délicate… Ou alors, jouez complètement le jeu en accompagnant vos sandales avec des chaussettes et salopette ! Tout est permis ! A lire également : Les couleurs estivales à adopter de toute urgence ! et Transformez votre shopping mode avec ces applications mobiles indispensables Notre sélection de méduses pour cet été Minimaliste chez Céline ou encore façon bijoux tape à l’oeil chez Gucci en passant par les classiques en PVC chez Asos, voici notre sélection de méduses pour l’été. Et vous ? Pour quelle paire craquez-vous ? N'hésitez pas à nous partager vos coups de cœurs chaussure sur notre Twitter et notre compte Instagram! Read the full article
0 notes
mmepastel · 2 years ago
Text
Tumblr media
Emballée par L’ami, j’ai lu le dernier roman de Sigrid Nunez.
C’est un superbe livre, qui m’a captivée. La narration, comme dans L’ami, est totalement libre et originale. Une narratrice (dans les deux cas écrivaine) raconte ce qui lui arrive ; en fait les deux narratrices de ces deux livres se ressemblent énormément, un peu comme si le dernier roman était écrit par la même personne, avec la même voix. Cela m’a donné l’impression que c’était du coup autobiographique, comme si l’autrice avait vécu ces histoires d’amitié et de deuil. Mais j’ai écouté un bout d’une interview, et pas du tout. Sigrid Nunez n’a pas vécu ces histoires là. Elle les invente. Mais ça semble terriblement vécu ; sans doute en partie grâce au procédé qui est le sien : raconter au fur et à mesure, de manière linéaire, une histoire. Dans l’interview, elle explique qu’elle ne sait jamais où elle veut aller avec ses livres. Elle commence et fonctionne avec l’esprit d’escalier, une pensée en amène une autre, sans parler des multiples digressions. On a un peu l’impression d’un flux de conscience, en même temps qu’une forte tendance à s’échapper par le biais de l’essai. La narratrice digresse comme on le fait dans la vie. Les heures sont sans cesse interrompues par des pensées, des rapprochements, des rêveries, des questions, des flashs, des peurs, des choses triviales et d’autres philosophiques. Elle semble ne pas faire le tri (alors qu’elle doit le faire, évidemment, c’est une romancière habile), délibérément, avancer par blocs, et on la suit sans peine.
Le résultat est qu’on se sent très proche de la narratrice si généreuse, qui s’efface pour accompagner au mieux son amie, atteinte d’un cancer, au stade qu’elle appelle fatal.
Le titre est emprunté à Simone Veil pour qui la vraie question qui montre un réel intérêt pour autrui est celle-ci : « quel est donc ton tourment ? », ce qui m’a aussi fait penser à la chanson de Biolay « comment est ta peine ? ». Chanson qui a emporté les cœurs en 2020, parce que cette peine (sûrement amoureuse si on écoute le reste des paroles) était commune à tous, la peine nouvelle du covid, mais même plus largement, la peine qu’on se traîne tous, pour nos raisons à la fois si variées et si communes, c’est le talent des grandes chansons que de toucher par des mots simples à l’universel. Même, et surtout, des chansons de variété.
Ici encore, on touche à l’universel avec cette obligation de se coltiner la mort, en face, droit dans les yeux. Alors, comme c’est intenable, on fait des détours, on s’appuie sur des livres, des œuvres, pour chercher des aides, des réponses, on divague, on piétine, mais avec Sigrid Nunez, on reste sur le fil de la justesse, de l’honnêteté. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, c’est un livre très agréable à lire car il est lumineux, intelligent, il ne nous mène toujours où on ne s’attend pas, et il ne met pas la poussière sous le tapis. La parole vraie est toujours bénéfique, bienfaisante, quand bien même ce qu’elle dit est dur.
Les pages sur le vieillissement des femmes m’ont beaucoup marquée. C’est rare de lire de telles choses. Cette disparition qui guette les femmes qui vieillissent, ça me parle beaucoup, et ça fait du bien.
Un livre sur la mort, le vieillissement, les femmes, l’intranquillité, l’art, l’écriture, mais aussi, sur l’amitié et la vérité. Un livre qu’on lit comme une conversation entre l’autrice et sa narratrice, passionnante et bouleversante.
6 notes · View notes
toutsurlevin · 10 months ago
Text
Un vin de la semaine craquant
Une découverte coup de cœur que ce pinot noir de Bourgogne où les vignes sont cultivées sur des plateaux de 300 à 400 mètres d’altitude. Par Natalie Richard Stéphane Murat Bourgogne Hautes-Côtes de Nuits 2020, Bourgogne France Le vignoble de Stéphane Murat surplombe la côte de Gevrey-Chambertin jusqu’au bois de Corton. Ce millésime est super harmonieux d’un nez qui “pinote” de bonheur, de cerise,…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
les-degustations-ugo · 2 years ago
Text
🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, connaissez-vous les Côtes du Roussillon Villages❓❓🇫🇷
Tumblr media
🍇🍷Aop Côtes du Roussillon Villages rouge 2020 cuvée Alchimie du Domaine La Part Des Anges 🍇🍷:
🍇 :
Syrah
Carignan
Grenache noir
🏺:
Production 8000 bouteilles par an
💰:
Non communiqué par le domaine
👁️ :
Un robe de couleur grenat soutenu
👃 :
Un nez expressif sur des notes de fruits noirs, épices.
💋 :
En bouche, on a un vin aromatique, élégant, ample, généreux. Sur des arômes de fruits compotés, murs, cassis, pruneaux, le poivre en grains fraîchement moulus. Une belle longueur en bouche avec une finale sur des notes de cigares et de chocolat en poudre.
📜En résumé📜 :
J'ai vraiment adoré cette cuvée d'une belle justesse. Du plaisir à chaque gorgée. Un gros coup de cœur, je dois bien l'avouer.
🧆Dégusté sur un magret de canard saignant 🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Colombo de cabri, Coquelet à l'estragon, Cuisses de canard rôties, Filets mignons de porc, Jarret de porc braisé......
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine pour voir toutes les cuvées et promotions du moment📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
___________________________________________
⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓Hello corkscrew lovers. And you, do you know the Côtes du Roussillon Villages ❓❓🇬🇧
🍇🍷Aop Côtes du Roussillon Villages red 2020 cuvée Alchimie from Domaine La Part Des Anges 🍇🍷:
🍇:
Shiraz
Carignan
black grenache
🏺:
Production 8000 bottles per year
💰:
Not communicated by the domain
👁️:
A deep garnet color
👃:
An expressive nose with notes of black fruits and spices.
💋:
On the palate, we have an aromatic, elegant, ample, generous wine. On aromas of stewed fruits, blackcurrants, prunes, freshly ground peppercorns. A nice length in the mouth with a finish on notes of cigars and powdered chocolate.
📜In summary📜:
I really loved this cuvée of a beautiful accuracy. Pleasure in every sip. A big crush, I must admit.
🧆 Tasted on a bleeding duck breast 🧆.
🍷 Some food and wine pairings possible with this cuvée 🍷: Colombo de cabri, Cockerel with tarragon, Roasted duck legs, Cute pork fillets, Braised pork shank......
📌 Don't forget, drinking a cannon is saving a winemaker. Go see the domain's website to see all the vintages and promotions of the moment 📌.
🔞 "Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation"🔞 Most of the wines have been tasted and spat out. Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
___________________________________________
🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi. E tu, conosci i Côtes du Roussillon Villages❓❓🇮🇹
🍇🍷Aop Côtes du Roussillon Villages rosso 2020 cuvée Alchimie del Domaine La Part Des Anges 🍇🍷:
🍇:
Shiraz
Carignano
granato nero
🏺:
Produzione 8000 bottiglie all'anno
💰:
Non comunicato dal dominio
👁️:
Colore granato intenso
👃:
Un naso espressivo con note di frutti neri e spezie.
💋:
Al palato abbiamo un vino aromatico, elegante, ampio, generoso. Su aromi di frutta cotta, ribes nero, prugne, pepe in grani appena macinato. Una bella lunghezza in bocca con un finale su note di sigari e cioccolato in polvere.
📜In sintesi📜:
Ho davvero amato questa cuvée di una bella accuratezza. Piacere in ogni sorso. Una grande cotta, devo ammetterlo.
🧆 Degustato su un petto d'anatra sanguinante 🧆.
🍷 Alcuni abbinamenti enogastronomici possibili con questa cuvée 🍷: Colombo de cabri, Galletto al dragoncello, Cosce d'anatra arrosto, Filetti di maiale carini, Stinco di maiale brasato......
📌 Non dimenticare, bere un cannone è salvare un enologo. Andate a vedere il sito del dominio per vedere tutte le annate e le promozioni del momento 📌.
🔞 "L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione"🔞 La maggior parte dei vini è stata assaggiata e sputata. Degustazione non pagata.
2 notes · View notes