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ABOUT LAST NIGHT ...

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Très bon choix de titre ^^

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Ça va être compliqué de tenir jusque-là !

Personnellement, je pense me l'imprimer déjà pour moi et ensuite le diffuser en ligne avec un lien pour l'acheter, le prix sera de 15€.

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Petite découverte du jour

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La musique crée un monde, l'écriture le fait vivre.

Depuis longtemps, je me réfugie dans la musique. Chaque morceau devient une échappatoire, un mur sonore que j'élève de plus en plus haut pour fuir une réalité trop lourde à porter. Au lycée, l'écriture est venue à moi, comme une main tendue dans l'obscurité. C’est à travers elle que j’ai donné vie à quelqu’un qui m’était cher, quelqu’un que je ne pouvais laisser partir.

Depuis, la musique et les mots sont devenus mon refuge, mon sanctuaire. Quand j’écris, quand j’écoute, je peux presque revoir son visage, entendre son rire. À travers ces mélodies, je ressens encore son amour, un amour qui semble me tenir en vie. Mais cet univers que j’ai bâti m’isole des autres. Quand je suis confronté à la réalité, à ceux qui m’entourent, je me sens décalé, comme un intrus dans leur monde. Et parfois, je perçois dans leurs regards une incompréhension, une colère sourde face à mon silence, face à cette bulle que je ne quitte plus.

Sans même m’en rendre compte, j’ai créé une barrière entre ceux qui m’aiment et cet imaginaire où je me réfugie. Et le pire, c’est que je ne sais plus si je veux en sortir. J’ai essayé de me confier, de m’ouvrir à certaines personnes. Quelques-unes ont tendu la main, d’autres m’ont encouragé à chercher de l’aide auprès de professionnels. Mais à chaque fois, c’est comme si je reculais face à l’idée de m’affronter, comme si j’étais incapable de lâcher prise.

J’ai une étrange faculté : celle de m’éloigner. Je me retire des vies des gens, parfois même des plus proches, comme si fuir leurs réalités me protégeait. C’est une manière de ne pas affronter leurs difficultés, de ne pas porter leurs fardeaux. Mais à force de tourner le dos, j’ai peur d’avoir oublié comment tendre la main et je comprends aussi pourquoi ils deviennent distants.

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Je commence à être convertie.

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Parce que quand j'écris j'ai besoin de musique dans les oreilles et souvent des morceau comme ça m'aide à faire naitre des émotions, des idées.

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SULFUR

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J'avais arrêté un peu d'écouter du metal pendant mon era Sigur Rós.

Et à force d'écouter des artistes Islandais, je suis revenue aux sources avec le groupe Une Misère.

Alors, je me suis remise à écouter un peu de métal et notamment NRJ Metal après avoir entendu quelques métaleux chanter sur une appli de karaoké.

Et j'envoie souvent des musiques à des amis métalleux et cet ami me parle d'un titre qui va tous changer !

Je vais les voir en concert en février ! J'ai hâte même si j'ai un peu peur de la fosse !

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Je voulais faire un article sur ces sentiments au moment où j'ai su qu'il n'était plus là.

C'est parfois une échappatoire d'écrire, mais c'est aussi une torture mentale, comme encore s'infligeait cet événement.

Alors, j'ai décidé de mettre juste une chanson avec un live, juste parce qu'il avait eu la chance d'aller les voir.

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En ce moment, c'est lui qui me fait rire !

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On ne changera rien !

Cette après midi là, je t'avais dit de venir chez moi, tellement innocente et sans arrière-pensée, juste parce que tu étais mon meilleur ami. Mais avec le recule, je me dis que ta tête à du tourné dans tous les sens à te dire, "mais qu'est-ce qu'elle veut ? Est-ce aujourd'hui qu'on va le faire ensemble !?"

Je ne sais pas ce que tu avais préparé dans ton sac eastpack noir, mais je me rappelle que tu avais fait l'effort de te garer loin de la maison de mes parents.

Je me souviens de ta clio campus grise, tu sortais fièrement le sourire aux lèvres, mais tu ne t'attendais à ce que je te fasse escalader le grillage pour rentrer en douce "que personne ne nous voit !".

Tu as déballé tes cd, je me rappelle Coal Chambers — Dark Days, Oomph! - Ego, Crazy Town - Darkside tous les rocks one que tu collectionnais et enfin le Graal de cette journée le DVD de Pleymo.

Je ne sais pas ce qui était le plus inoubliable dans ce moment, le fait que tu sois accro à ce groupe, emballé par chaque morceau.

"Injall lui ne m'a quitté ! "

"Né programmé pour tous cramer génération d'agité ! Polyester Grens !!!"

Oui j'avais créé un blog pour toi, te faire vivre à travers un blog.

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Rescue me… Tu as été l'un des seuls à comprendre, à ne pas me juger sur la scarification alors que mon béguin lui m'avait clairement demander de faire un choix, d'arrêter pour qu'il accepte d'être avec moi.

Alors que je te fuyais, persuadée que tu étais mauvais pour moi, que tu me manipulais, tu as su trouver les mots juste. Je me mentais à moi-même, préférant croire à un amour impossible plutôt que croire à ce qu'on me mettait sous le nez. Je préférais te détester, c'était plus facile pour moi, j'avais peur de tomber amoureuse pour de vrais.

Ce jour-là, tu m'as fait rougir et tu m'as fait sentir un peu plus vivante que je l'étais, je te revois en train de me sourire avec ton air de frimeur.

"Avoue qu'en fait, tu m'kiff ! "

Ouais, à ce moment-là, j'avais juste envie de le frapper, je me suis figée, il avait raison, je l'aimais.

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Maintenant comprenait pour quelle raison l'album Toxicity et que le bar "Le Temple" ont une importance dans mon histoire.

Soir de l'Halloween 2006, soirée dans un bar avec des potes, j'étais la seule déguisée et ce petit con pensais encore pouvoir me draguer.

À l'époque ce bar s'appelait "Les 3 Singes" et l'album Toxicity y tourner e boucle ce qui avait attiré la bande là bas.

Je me souviens encore de ces structures en bois, le gout de ce J&B dégueulasse à peine, j'avais bu mon verre que j'avais déjà des vertiges. Je n'avais bu d'alcool jusqu'à ce jour, aujourd'hui encore, je supporte très mal de boire à outrance, comme si j'avais été sevrée pendant cette soirée.

"T'inquiète à force boire, tu finiras par apprécier le gout"

La bande m'affirmait ça comme si c'était normal de boire comme un trou, le seul qui était lucide et qui pensait que c'était une mauvaise idée, c'était lui. Les vertiges s'accentuaient au fil des verres.

Je me souviens juste de sortir de ce bar, lui qui m'accompagne, descendre la rue du clocher jusqu'à sa voiture.

Le lendemain fût chaotique... Persuadé qu'il avait profité de la situation, j'étais en colère contre lui. Je savais ces intensions, il me draguait depuis un an, c'était l'occasion idéale et ces potes avait tout manigancé.

Mais toutes ces pensées étaient juste une manière de le fuir parce qu'il était trop bien pour moi, dans le genre physiquement ce qu'il pouvait bien me trouver !