#chef d’œuvre
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mmepastel · 1 year ago
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Je viens de finir cette merveille. Ce roman finlandais a été remarquablement chroniqué sur le site en attendant Nadeau, à qui j’emprunte mon introduction ci-dessous :
« Il ne faut pas lire Gorge d’or, premier roman d’Anni Kytömäki, pour se distraire ou passer un bon moment, mais pour éprouver physiquement la texture des pas lors de la traversée d’une tourbière, pour se réjouir du martèlement d’un pic noir sur un pin. Pour avoir les larmes aux yeux parce qu’un nom est écrit dans une botte, pour être bouleversé par une écriture à la fois simple et précise, lyrique et hypnotique, qui conduit jusqu’à une intensité incroyable les sentiments des personnages. Pour être émerveillé par la délicatesse et l’intelligence d’un art romanesque qui sait trouver dans le rapport intime à la nature la part de bonheur nécessaire pour que survive l’affection entre un père et sa fille, sur fond d’histoire troublée de la Finlande entre 1903 et 1937. Et si le grand livre de cette rentrée littéraire était un roman décrivant principalement des marches au fond des forêts finlandaises ? »
Ce livre est énorme. Plus de 600 pages, écriture serrée. Il est très contemplatif, parfois lent. Et pourtant je l’ai lu goulûment, avec avidité.
C’est tout d’abord une très belle histoire de filiation, entre un père, Erik, et sa fille, Malla ; ils nouent un lien indestructible, viscéral, en partageant leur amour et leur fascination organique pour la forêt finlandaise. J’ai été bouleversée par leurs destins complexes dans cette première moitié du XXe siècle, où la Finlande a été secouée par la première guerre mondiale, la révolution russe, l’indépendance durement acquise, la chasse aux communistes (les Rouges), la famine, la pauvreté.
Dans la première partie du livre, on suit l’évolution d’Erik, fils d’un riche propriétaire terrien qui se soucie principalement de s’enrichir, en vendant du bois, et en modernisant les accès à la forêt. Erik, lui, tient plus de sa mère, pourtant jugée dérangée, qui aime les histoires, et la nature. Elle lui en raconte de nombreuses, l’initié à la magie de la forêt, au secret des correspondances inexplicables, avant de ne plus pouvoir le faire. Sa première épreuve sera de perdre cette mère précieuse, mais beaucoup d’autres l’attendent, liées au contexte politique globalement hors champ mais dont on sent bien les répercussions. Amoureux d’une insurgée, perdu, il s’échappe vers le nord, et expérimente la solitude radicale.
Puis, un peu plus tard, redescendu vers le manoir familial, il devient père ; sa femme doit vite être écartée de lui aussi, je n’en dis pas plus pour ne pas gâcher votre lecture. Il semblerait que chaque être féminin qu’il aime soit condamné à un exil forcé. Il en va de même pour sa fille, Malla, qu’il a quand même la chance d’éduquer jusqu’à ses sept ans, et à qui il transmet le goût de la forêt.
On suit le destin de Malla dans la deuxième partie du roman. Elle aussi doit faire face au rejet qu’on voue à ceux qui n’étaient pas dans le bon camp lors de l’insurrection. On la force même à changer de nom. L’ombre étonnante d’un ours apparaît aussi, et la silhouette d’un vagabond (lui aussi rejeté pour son ascendance révolutionnaire) qui lui apprend à communiquer avec l’ours. Ils veulent le protéger des hommes qui ne manqueraient pas de le transformer en proie de chasse. On pourrait dire qu’à force de marcher dans la forêt par toutes saisons, à force d’en connaître chaque plante et animal, tous deux sont en osmose avec la forêt, et avec un certain esprit magique, ancestral, issu du folklore ancien de la Finlande, lorsque nature et humain ne se distinguaient pas autant, et où la forêt était souveraine.
C’est en cela que le roman a une dimension souterraine politique et écologiste très forte. La compréhension respectueuse d’Erik ou de Malla de la forêt est précieuse mais en danger par la course au profit et la modernité mal réfléchie.
Depuis mon canapé, j’ai adoré lire ce livre. C’était une expérience quasi sensorielle, physique. On entend craquer le gel sous les bottes de Malla, on sent sur sa langue les myrtilles qu’elle cueille, affamée, on sent les effluves des pins, la brume odorante qui émane de la tourbière au matin, c’est assez extraordinaire. Dans une langue simple mais sans cesse surprenante, Anni Kytömäki nous envoûte, nous promène et nous broie le cœur. Une merveille qui ressemble à un long voyage bouleversant.
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hcdahlem · 1 year ago
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Veiller sur elle
Meilleur de livre en livre, Jean-Baptiste Andrea signe un chef-d’œuvre avec Veiller sur elle. En racontant l'histoire d'un sculpteur de génie, de sa rencontre avec Viola, fille d’une riche famille et sa traversée du XXe siècle, il réussit un chef d'œuvre!
  Lauréat du Palmarès Livres Hebdo des libraires 2023 Prix du roman FNAC 2023 Finaliste du Prix Goncourt 2023 Finaliste du Prix Femina 2023 En lice pour le Prix Interallié 2023 En deux mots Michelangelo Vitaliani, dit Mimo, se meurt. À plus de 80 ans, dont près de la moitié passés au couvent, autour des frères qui l’entourent, il a choisi de rester aux côtés de son chef d’œuvre, La pietà que le…
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jules-and-company · 5 months ago
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parfois étudier de la philo c’est vouloir 1v1 platon dans un parking de mcdonald à 3 heures du matin
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the-chomsky-hash · 2 years ago
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lumieretrain · 4 months ago
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I finished to read War and Peace by Leo Tolstoy, which is one of the greatest masterpieces ever written that explores relevant topics about complex conflicts of an unforgettable historical event.
Ho finito di leggere Guerra e Pace di Lev Tolstoj, che è uno dei più grandi capolavori mai scritti che esplora argomenti rilevanti sui conflitti complessi di un evento storico indimenticabile.
Ich habe Krieg und Frieden von Lew Tolstoi fertig gelesen, eines der größten Meisterwerke, das je geschrieben wurde, die über relevanten Themen zu komplexen Konflikten von eines unvergesslichen historischen Ereignisses untersucht.
J’ai fini de lire Guerre et Paix de Léon Tolstoï, qui est l’un des plus grands chefs-d’œuvre jamais écrits, qu’il explore des sujets relevant sur les conflits complexes d’un événement historique inoubliable.
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vinstinx · 8 months ago
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I started it as a joke but here I am doing the google doc
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deadsetobsessions · 8 months ago
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Woo! I’ve finally got time to write! Had to go to a wedding, suffered through eight whole hours of pure disorganized mess, and got mad about it. Emphasis on the disorganized part. So, I bring you: party planner!Danny Phantom.
——
If anyone was to see him now, they’d definitely think that it was odd that Danny was the one in the party planning field. They wouldn’t be surprised if it was Jazz, but Danny ‘wing it’ Fenton planning things? Never.
But here he was, clipboard in hand and checking off hors d’œuvres from the list.
“Anton, could you do a check of the sound system? Make sure everything’s working?”
“Got it.”
Danny lifted the buffet table, laden with heavy food, and used a bit of his ghostly strength to move it over.
“Perfect.”
He double checked the seating chart, and readjusted the miniature ice sculpture centerpieces he made for the party.
Wayne Manor was all lit up and perfectly dusted. Danny ran through his mental checklist. Tabled? Check. Dance floor clean and scuff free? Check. DJ booth and open bar running without issues? Check. Live band setting up with back up instruments and strings? Check. Decorations on point? Oh, he’ll have to get the team to readjust those.
Time to check-
“Danny! How’s it going?” Bruce Wayne beamed and slung an arm around his shoulder.
Danny smiled politely. “Mr. Wayne. Everything is going smoothly. Would you like to check the food the chefs have made?”
“Sure, sure! I definitely need to eat before I drink, haha!”
“That’s a good idea! Good thing you’re about to try a bunch of food.” Danny matched the billionaire’s energy. He’s going to get paid so good.
“So, Danny, are you going to college?”
Danny passed him a small sampler. “Ah, I can’t. Some stuff happened in high school and I don’t really have the grades or the money to.”
Plus, his credentials were in another plane of existence and he hadn’t figured out how to transfer those records yet.
“You could still attend college, I’m sure! Your parents might be able to help pay?” Bruce nommed on the food. He gave a thumbs up.
Danny sighed. “It’s not always an option. Plus, my parents are dead.”
In this universe. His own? Alive and kicking GIW ass.
“Oh, I see-”
“Father.”
“Woah!” Danny blinked, looking down at the baby Wayne the popped up next to his father’s elbow.
“Damian! What’s wrong, kiddo?”
Damian shot his father a flat glare and dragged the laughing billionaire away.
Danny snorted and returned to his tasks. He has to check the speeches and the lighting. Hm… he doesn’t have time to adjust everything how he wants it.
Good thing he knew a guy that could stop time.
“Hey, Clockwork?”
——
“Father, I understand your inclination towards adopting poor black haired and blue eyed orphans, but I would like to remind you that I have far too many siblings to be adding yet another bumbling buffoon.”
“I was not considering that, Damian.”
Damian let go of his wrist with a grimace. “Denial is not becoming of a Wayne, Father.”
“Yeah, B. I could see you grab the adoption papers from all the way over here.” Tim adjusted his tie. “Anyways, Dick is on his way. He’s running a little late because of some stuff in Blüdhaven.”
“Thank you, Tim.”
——
“Batman.”
“Oracle.”
“Look at the footage of Wayne manor.” Oracle pulled up the video surveillance scattered through out the manor. Specifically, the ones of the west ballroom. Daniel Fenton stood in his spot, looking down at his clipboard but a second later, he's moved three inches to the left and the decorations had subtly been moved more aesthetic spots. "I think Danny might be a meta. We'll have to look into him."
Batman stood up, allowing the fondness he had for Danny as Bruce Wayne drain away. This is a potential threat, and Batman will treat him like one. (Danny will remember this.)
"Contact Flash. I need him to scan for any temporal disturbance."
"Understood."
——
"Brucie!" A socialite squealed as she came to bestow hugs upon a long suffering Bruce. "My god, this place is gorgeous! You must give me your planner's number. I could absolutely use some fresh eyes for the Annual Spring Party."
"Awe, Janine! I gotta keep some of the good things to myself!" Bruce whined, inwardly smirking as he saw his kids mock-gagging behind the lady's back. "What if your party's cooler than mine? What should I do then? You're already so gorgeous! Why, is that a Birkin?"
Janine lit up and all but forgot about getting Danny's contact information. Bruce patted his own back for a job well done, even if he had to listen to Janine's itemized list of random luxury goods she had to buy before being offered a bag.
He's a Wayne. The Gotham Hermes wished they could partner with the Waynes. Plus, he's pretty sure he's got at least three of those bags somewhere in the manor to bait out Selina.
Catching Danny sliding in between the servers and going towards the kitchen, Bruce quickly excused himself with a disarming himbo grin.
Time to subtly grill the kid.
——
"Hey, Timmy?"
"Hello, Dick," Tim smiled elegantly at the couple who's companies he was about to bring six feet underground and excused himself. "What's up?"
"Have you noticed that the ice sculptures haven't melted at all?"
Tim blinked, eyes sliding over to a harried Danny being followed by Bruce on a mission. Oof.
"Freeze?" He asked mildly, face innocent of any nefarious thoughts.
"That's what I'm thinking." Dick smiled sunnily, throwing an arm around Tim's shoulders.
"Heard the guy's living out near Crime Alley. We should get Jay to check it out." Tim pretended to laugh, grinning as his brains made plans for a stakeout.
"Heard, my ass. You totally stalked him, didn't you?"
"Got proof?"
Dick snorted, removing his arm. "Nope. I'll let Jay know. You should probably help Danny out, though, he looks like he's about to lose his temper."
"Bruce is at it again." Tim sighed. "Yeah, okay."
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lisaalmeida · 10 days ago
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Faites l’amour et n’ayez pas honte...
Parce que l’amour est de l’art,
et vous des chefs-d’œuvre divins...
Et ensuite, faites l’amour...
Pas de sexe, juste de l’amour...
Et avec ça je veux dire
Les baisers lents sur la bouche,
Sur le cou, sur le ventre, sur le dos,
Les morsures sur les lèvres,
Les mains tressées,
Et les yeux dans les yeux...
Je veux dire, des câlins tellement serrés...
Pour devenir une seule chose,
Des corps piégés et des âmes en collision...
Créer des constellations,
Inhaler des parfums...
Les cœurs qui battent ensemble...
Les respirations qui voyagent
Au même rythme....
Voilà,
Faites l’amour et n’ayez pas honte...
Parce que l’amour est de l’art...
Et vous, les chefs-d’œuvre divins...
Alda Merini
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frenchcurious · 7 months ago
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Le chef-d’œuvre de Paul Bracq, directeur du design de BMW. - source Cars & Motorbikes Stars of the Golden era.
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eminemily05 · 5 months ago
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Peaceful Mornings
Welcome, everyone, to my obligatory every couple months fanfic posting. Just so everyone knows I’m still alive.
This is an Ink x Reader rewrite from 2018 (Holy Shit), and I’m excited to get this revamped version out to some of you
It’s just straight fluff, hopefully on brand
There’s also a bit of French, so here are the translations:
Mon chef-d’œuvre - My masterpiece
Mon prisme - My prism
Without further ado, the story. It’s gender neutral, at a nice 1.7k words. I hope you all enjoy~
Soft sunbeams leaked past the cream colored curtains. Dust dancing through the shards. Birds sang and called softly from within their trees, enjoying their early mornings without so much of a care. A bed creaked slightly in the otherwise quiet room. The sound of fabric rustling together followed with a gentle groan of movement and life.
Quiet breaths slipped past your lips as you readjusted yourself in a sleep-filled manner. The covers slipped from your body slightly, prompting a whine as the room’s cold air nipped at your skin. Reaching out for any warmth lingering on your skin. You tried to scoot away to something warmer. Curling up, your head bumped slightly against something solid. The object bounced slightly with a silent laugh as your face screwed into one of confusion.
A gentle hand combed over your head, soft skeletal touches pushing you into a relaxed state once more. Your face unscrewed and became peaceful once more. They hummed, stopping as you moved to press into the touch. You couldn’t help the whine that left your throat. You were enjoying that, damnit. Your quiet protest was only met with an equally quiet snicker.
After a couple minutes, they finally spoke up. A teasing coo filled your ears as they seemed to lean in closer.
”Come onnnn, it's time to get upppp” An incessant poking began against your shoulder, prompting a grunt from your sleeping form. Trying to swat the touch away, you moved to roll on your other side. To try and get away from the playful needling. A hand on your arm easily prevented your escape.
“Aww, don’t be like that,” the poking moved up to your cheek, continuing its steady movement without fault. “You can’t sleep foreverrrr.”
You tried, to no avail, to bury your face into the pillow under your head to escape the next round of poking. A tired groan, followed by a loud yawn, signaled your waking consciousness. You blinked quickly, working your eyesight into focus as your brain booted itself to a sense of awareness. Flinching slightly as light flooded your vision.
So much for sleeping in…
A glare was shot at the innocent mask of the skeleton in front of you. Eye lights trailed on your face as he smiled without a shred of remorse. How dare he wake you up so early with the gall to look innocent.
”You wake me up like that again, and I’m tossing your bony ass to the streets.” You huffed, stretching out. “Don’t think I won’t, Ink.”
That innocent look morphed into a smug expression. He was lucky you were too tired to wipe it off that skull of his. And he was fully aware of that fact, too.
Smug little shit.
He snickered, bony arms wrapping around the softness of your waist. A tug and you were pulled against his loosely clothed body. Gentle nuzzles were pressed against your temple. Soft purrs vibrated his ribs and arms, pulling you in close with a slight smile.
Huh. He was being shockingly sweet this mornin-
“I figured it would be bed-er to cover-se with you than Broomie.” The words were mumbled against your skin, a smirk growing at his own wordplay. Snickers were hidden against your shoulder, though they threatened to spill easily,
Welp, there goes the wonderful moment.
Your silence was enough to cause the skeleton a moment of confusion. Thinking you had fallen back asleep, he let out a sound of surprise as a pillow was thrown against his skull. A loud snort followed from under the plush object.
”It’s too early for your puns, damnit!” You growled, with no true malice. “Pack your bags funny bone, you’re living on the streets.”
A loud whine was your response. Oh boy.
“No! Mon chef-d’œuvre! Don’t leave meeee!!!” A hand shot out, phalanges wrapping tight around the skin of your forearm. The pillow lifted, revealing a (somehow) pouting expression. Blurred eye lights enhancing the ‘sad’ emotion he was feeling.
Was that a tear shape, for crying out loud?
You centered a flick to his nose aperture. The pouting instantly melted into one of giggling and snorts. Very cute giggling and snorts.
Aw, hell. You couldn’t truly stay mad at him…
As long as he didn’t dump any more random buckets of paint on you. That was a grudge you could hold for days. You didn’t let him forget that either.
Content he had been thoroughly scolded, you settled down next to him. Your arms wrapped around his covered rib cage, head settling against the rising and falling of his sternum. Once his laughing had died down, he returned the gesture. Skeleton kisses pressed against the top of your head in apology. He would definitely forget about this come the evening time.
You both stayed there for a couple minutes, your brain booting to full consciousness. When you had finally felt awake enough you glanced up at Ink. But he wasn’t looking back at you. Instead, his eye lights were blurred around the edges, flickering slightly to indicate his blinking. He was completely focused on the wall, but you knew full well he was more focused on his own thoughts.
A serious expression dug into his features, surprising you. He could switch moods so drastically, not that it was anything new at this point in your life with him. He did it more times in a day than you could count on your hand. That didn’t keep it from constantly managing to surprise you. No matter how much it happened.
You grabbed his arm carefully, pulling it close as he stayed unwavering. Tracing the patterned swirls of his gray forearm, a shudder of his lights caught your attention. Then a shudder through his body. A flicker, new set of eye lights, and a turn of his head redirected his attention back to you.
He tilted his skull.
”…What were we doing…?” He asked, confused.
Humming, you intertwined your fingers with his skeletal ones.
”Well I was just about to get up, if you’d like to join me.” You softly explained, working to gently guide his thoughts.
Ink constantly did that, forgetting simple moments. But, you never held that against him. We all get mixed up then and again.
The artist gave you a broad smile, fangs peeking out slightly. The only warning you got before you were snatched from the warm covers.
”You don’t have to ask me twice!” He shot out of bed with newfound excitement, picking you up with ease (despite his much shorter stature). You couldn’t help but yelp in surprise as you’re hauled out of your room, gripping tight to his white shirt.
“Hey!” You laugh slightly as he bounds for the kitchen, “Don’t get too excited, you’re cooking breakfast this morning!”
He did not appreciate that, demonstrated by his mood doing an instant 180. You felt the groan rattling through his body before it slipped past his teeth. Smirking, you poked the black stain on his cheek. “Did you think I’d let you off the hook so easily for waking me up?”
He huffed and pretended to drop you, letting you squeal before quickly catching you. He was such a sore loser sometimes. That big ol’ baby.
You poked his cheek again. And again. And again.
Now he wasn’t gonna answer? What was he, 5?
”Inkkkk,” you whined, looping your arms around his neck. “Don’t be pouty. These are the consequences of your actions.”
Did...Did he just turn his nose up at you? He absolutely did.
Two could play at that game. You mumbled out, ”Fine then….I guess I’ll make breakfast…on my own…and work tirelessly…after being woken up so early…” A faux sigh of resignation followed your words.
There, the trap was laid. This is where he would pity you. Bundle you up in blankets and coo as he pleaded that, ‘No! You don’t need to! I’ll cook it for us.’ It was the perfect plan.
”You’ll cook breakfast? Oh, perfect, Mon prisme!” He gave you a beaming smile.
…damnit…
You groaned and rested your head against his chest. He wasn’t supposed to just give up like that! Ink was supposed to take up the task for himself so you wouldn't be made to cook. So much for convincing him.
“You’re lucky I can’t stay mad at you..”
A brightly colored tongue poked out from his mouth, expressing his cheeky expression. Wait a minute-
He knew full well what he was doing! Bastard!
Resigning to your fate, you let him place you down in front of the stove. As you moved around to grab ingredients, he made himself comfortable at the dining table. Ink hummed a soft tune, letting his sockets slide closed.
You peeked over your shoulder and smiled at the sight. The soft scent of cooking food filled the kitchen. Most times, you didn’t get to spend a day with Ink, never mind even waking up with him. He would usually be out, doing what he does best. Spreading creative inspiration, fighting the forces of evil, (you had told him he sounded like some cliche hero when he told you that. He was not pleased with that), and taking care of his art projects.
As much as you played being annoyed, you couldn’t be more happy. You can’t take any second for granted with his visits. So, you’d cook breakfast this one time and pay no mind. Even if that ‘one time’ was practically every time.
Grabbing two plates, you began to set food when bony arms wrapped around your waist. The skeleton practically purred as he buried his nose aperture against your back. A silent ‘thank you’ for your efforts, you supposed.Though, you’d already forgiven him for his cheeky attitude and turning the tables on you. You reached down and patted a hand against one of his. His grip tightened slightly.
You couldn’t help but chuckle.
“How about after this, we go lay back down? Or, we could go outside and relax in the grass.” You handed him a plate, adding, “As long as it isn’t too hot.”
He pulled himself away from your back, looking up at you. A soft expression coated his features, pink themed eye lights flickering.
”As long as you agree to be in a painting.”
Blushing slightly, you cleared your throat. It wasn’t a rare request from him, but it still got you flustered every time.
”Alright.” You mumbled. He instantly perked, taking the plate with a nuzzle to your cheek.
”Merci, my Muse!”
Ink better thank his lucky stars you were too flustered to chase him with the spatula in your hand. That flirt.
What ever were you ever going to do with him…
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mmepastel · 1 year ago
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J’ai moi aussi, comme Pierre Lescure, adoré le dernier roman de Richard Morgiève dont je n’avais jamais rien lu.
Je ne crois pas qu’il soit sélectionné pour aucun prix de la rentrée, et je ne comprends pas. C’est un livre éblouissant. Extraordinairement triste et remuant. Un livre qui vous prend par les tripes, vous secoue, vous fait pleurer, parfois rigoler (ou simplement sourire plutôt). Un livre qui choque. Qui met des grandes baffes dans la figure. Avec des fulgurances où votre cœur se serre et vous vous demandez comment il a fait pour vous retourner comme ça. Écoutez la petite chronique ci-dessus, elle explique la genèse hyper intéressante du livre, et en plus, vous avez des paroles directes, drôles et sincères de l’écrivain qui explique sa façon d’écrire.
J’ai l’impression que c’est un grand livre. En tous cas, moi je ne l’oublierai pas. Je n’oublierai pas Jacques, ni Antoine, ni Paul, ni ce père, ni cette mère qui au début fait penser à la Folcoche de Bazin mais qui est tellement plus intéressante. Cette enfance dans le Versailles ultra bourgeois des années 60, la France rance, le père meurtri par les camps, la question lancinante de la judéité, la culpabilité d’être un nanti, les tourments de l’adolescence, la mère toxique et pourtant adulée, cet amour qui déborde de partout mais qui ne réussit jamais à trouver de place, ou la bonne place. Jacques a de quoi être perdu, c’est le moins qu’on puisse dire. Avec la maladie qui lui tombe dessus comme un pied de nez du destin, il a de quoi se demander sans cesse qu’est-ce que vivre, est-ce que ça vaut la peine, à quoi ça rime, de la vouloir malgré tout cette vie, et de toujours retomber sur l’histoire familiale remplie de malheurs et de silences. Des chocs et des coups, Jacques en prend de si nombreux. C’est déchirant. Racontés sans pathos mais à l’os, au plus près du cœur, avec des images toujours surprenantes, des associations qui font mouche. Un texte qu’on devine très travaillé, mais qui a l’air de couler sous l’urgence, de jaillir spontanément. Au point de parfois couper le souffle.
C’est une pépite, lisez la, n’ayez pas peur même si vous manquez de tourner de l’œil parfois, le voyage vaut le(s) coup(s).
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justforbooks · 4 months ago
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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hcdahlem · 2 years ago
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Le gardien de Téhéran
Stéphanie Perez a délaissé le grand reportage pour retracer la vie de Cyrus Farzadi, un homme du peuple devenu un héros national en œuvrant pour la sauvegarde du musée d'art contemporain de Téhéran.
  En deux mots Cyrus Farzadi est chauffeur au Musée d’art contemporain de Téhéran. Cet homme d’origine modeste va se passionner pour ce projet lancé par l’impératrice Farah Diba et se battre, après l’arrivée de Khomeiny pour sauver la prestigieuse collection. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique L’homme qui a sauvé le musée de Téhéran Stéphanie Perez a délaissé le grand reportage pour retracer…
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thinkingimages · 1 year ago
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André Breton (1896, France - 1966, France) | Souvenir du paradis terrestre, 1953
Le mur de l’atelier d’André Breton, entré par dation au Musée en 2003, évoque la seconde pièce de l’appartement de la rue Fontaine à Paris, occupé par le poète, de 1922 à sa mort en 1966. Les 212 œuvres d’art et objets qui y sont regroupés rappellent l’esthétique défendue par Breton dans ses écrits et à travers sa collection. Il n’a cessé de l’enrichir, guidé par « un irrésistible besoin de possession », qu’il attribuait au désir de « s’approprier les pouvoirs des objets » ayant suscité en lui surprise et interrogation. Autour des chefs-d’œuvre des artistes qu’il a soutenus (Notre avenir est dans l’air, 1912, de Picasso, LHOOQ, 1919, de Picabia, Tête, 1927, de Miró, Boule suspendue, 1930-1931, de Giacometti, La Boîte-en-valise, 1935-1941, et Coin de chasteté, 1954/1963, de Duchamp), sont soigneusement accumulées des pièces en résonnance avec sa poétique de « l’œil à l’état sauvage, œil premier, libre de toute entrave » : des tableaux, des masques et des objets océaniens, précolombiens et nord-américains, ainsi que des objets trouvés, des objets populaires, des pierres, des racines, des boîtes de papillons. 
Brigitte Leal
Source : Extrait du catalogue Collection art moderne - La collection du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne , sous la direction de Brigitte Leal, Paris, Centre Pompidou, 2007
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revolutionarywig · 10 months ago
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I saw my friend took pictures of this play apparently now ongoing in Paris and I had to search it up
LE DÎNER DE- WHAT???
So Robespierre is not a character in the play, but rather there are these characters who must dress up as a figure from the French Revolution...
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Also there's Camille (middle) and presumably Marie Antoinette on the right
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Summary:
Dans une petite ville de province, un groupe d’amis de la bonne société se donne rendez-vous pour un « dîner de têtes ». Chacun doit se faire la tête d’un grand personnage de la Révolution française. André Bitos, fils du peuple devenu magistrat incorruptible et vertueux, est l’invité d’honneur : il jouera Robespierre. Mais il semble que l’objectif de cette soirée ne soit pas uniquement de refaire l’histoire de France... Cette bande de notables en smoking-perruque va se lancer dans un jeu de massacre aussi cruel que jubilatoire. Drôle, grinçant et terriblement actuel, ce chef d’œuvre d’intelligence renvoie dos à dos haine de l’Autre et tyrannie de la Vertu.
"In a small provincial town, a group of friends from high society meet for a dinner of heads. Each must reimagine themselves as a great figure from the French Revolution. André Bitos, son of the people who became an incorruptible and virtuous magistrate, is the guest of honour: he will play Robespierre. But it seems that the goal of tonight was not to only reenact the history of France...This band of notables in their tuxedo-wigs are heading into a game of massacre as cruel as it is exhilarating. Funny, grating, and terribly current, this intelligent masterpiece brings back to back the hatred of the Other and tyranny of Virtue."
Okay HMMMM from the wording of that it sounds like it's not gonna be the most redeeming or best depiction of Robespierre or the Revolution in general. From the website it seems to be connecting the "Terror" with post-WWII France "purge"? (l'épuration, from the wording on the website) .....I am not knowledgeable in WWII France but I am a bit on the fence for that.....
BUT heyyyyy look at that Camille
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The height BRUH
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joselito28-1 · 2 months ago
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Musée Jacquemart André. Superbe musée à Paris.
À quelques pas des Champs-Élysées, la demeure des époux Jacquemart-André présente la plus belle collection privée d’œuvres d’art de Paris, associée à l’atmosphère d’une grande demeure du 19e siècle. Les salons de l’hôtel particulier accueillent objets d’art et tableaux de maître : Uccello, Mantegna, Botticelli, Van Dyck, Rembrandt, Fragonard, Reynolds...
En ce moment, Chef-d'œuvre de la Galerie Borghèse, jusqu’au 5 janvier 2025.
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